Le Pas-de-Calais fait la leçon à la France…

Le Pas-de-Calais a créé « une task force pour accélérer la lutte contre les violences conjugales. Cette unité mobile, unique en France, sillonne les commissariats du Pas-de-Calais en renfort des enquêteurs locaux afin de résorber un stock de procédures accumulées depuis 2019 » (Le Parisien).

Comment expliquer qu’une initiative aussi évidente n’ait vu le jour que si tardivement, dans un seul département, et exclusivement pour lutter contre les violences conjugales ?

Cela fait des années qu’à mon niveau modeste, j’ai dénoncé à plusieurs reprises sur mon blog le scandale absolu de l’enlisement de milliers de plaintes et de procédures dans les commissariats français, avec l’aval choquant de l’ensemble des autorités concernées. Ce mouvement, visant à classer systématiquement sans suite une multitude de dossiers au motif de retards prétendument insurmontables, n’a cessé de s’amplifier. Il n’a pourtant suscité que peu d’indignation parmi nos concitoyens, y compris – et surtout – parmi les très nombreux justiciables qui ont vu leur aspiration à la justice réduite à néant dans un effacement généralisé.

Confrontés à l’ampleur du nombre de dossiers, commissaires et magistrats du parquet ont parfois fait le choix de se laisser dominer, n’envisageant d’autre réponse que l’inaction.

Le Pas-de-Calais, lui, a pris partiellement la mesure du fiasco et s’est efforcé d’y remédier en mettant en place une task force qui mériterait d’être généralisée. Celle-ci pourrait utilement venir en renfort partout où une administration policière débordée, dépassée, ne transmet plus les plaintes aux parquets et les laisse s’accumuler au point de n’avoir d’autre recours que leur relégation.

Est-il inconcevable, pour l’excellent ministre de la Justice qu’est Gérald Darmanin et pour le nouveau ministre de l’Intérieur, de se pencher sur ce problème dramatique et de constituer, toutes affaires cessantes, un véritable service d’urgence destiné, à l’échelle nationale, non plus à faire disparaître les dossiers, mais à les mettre en lumière ; non plus à éradiquer les plaintes, mais à rendre la justice possible ?

Qu’on ne me dise pas que c’est impossible : dans un arbitrage à opérer entre l’étouffement mécanique et une entreprise de redressement multiple, patiente et courageuse, c’est le signe d’une démocratie malade que d’opter pour le premier en négligeant la seconde ! Ces unités mobiles, qui combattraient partout un immobilisme scandaleux et un lamentable statu quo, pourraient démontrer leur utilité et leur efficacité, à condition d’être également adaptées au champ judiciaire.

Si les inspections générales des services n’étaient pas vouées uniquement à contrôler, sanctionner, soupçonner et mettre en cause – trop souvent – des comportements à peine fautifs mais explicables, au détriment de dysfonctionnements authentiques et de retards impardonnables, on aurait pu envisager de leur confier une part de responsabilité dans une politique résolue de « chasse à la lenteur ».

Je me souviens du grand magistrat qu’a été Pierre Truche, alors procureur général, sous l’autorité duquel il était gratifiant de travailler, et de ce coup d’éclat qui révélait à quel point il avait conscience de cette plaie fondamentale du service public de la Justice : son inadmissible incurie. C’est le citoyen qui en pâtit.

Pierre Truche avait demandé à ses collaborateurs de requérir, auprès des juges d’instruction, le retour des dossiers vieux de deux ans ou davantage, et d’en assurer le règlement lorsque cela était possible. Cette injonction a eu des conséquences très positives. Elle n’a plus jamais été mise en œuvre depuis.

Sans me pousser du col, j’avais moi-même, il y a des années, à la tête d’une section du droit bancaire à Paris, mis en place un système qui avait été reconnu efficace pour éviter aux victimes de vols de leurs papiers d’identité et de leur permis de conduire d’être sans cesse mis en cause par les délinquants qui avaient usurpé leur identité. Il avait suffi de quelques formulaires et d’une réaction immédiate pour faire échapper au pire de la bureaucratie et de l’injustice beaucoup d’honnêtes citoyens.

Face aux maux criants, il y a des solutions.

Mais on constate que la police, la gendarmerie et la magistrature s’habituent trop aisément à ce que l’on pourrait appeler une crise chronique, et qu’elles ne sont pas suffisamment attentives à la dévastation qu’engendrent, dans l’esprit des citoyens, cette indifférence et ces lenteurs.

Dans les programmes judiciaires qui, je l’espère, n’auront pas peur de la rupture d’ici à 2027, je forme le vœu que soit affirmée cette règle capitale : le citoyen ne passera jamais à la trappe et l’institution devra répondre à tout.

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Voir les Commentaires (10)
  1. Mary Preud'homme

    @ Serge HIREL
    « Quand votre religion vous enseigne que votre compagne doit vous être soumise, que vous pouvez la battre parce qu’elle vous est inférieure, que vos mœurs ancestrales font de vous le maître incontestable et craint, il y a de fortes chances que vous soyez plus enclin à commettre des violences à son égard que celui dont la civilisation considère égaux l’homme et la femme… »

    Très juste ! Mais j’en connais, notamment à gauche, qui pourraient bien vous accuser de racisme, voire porter plainte pour incitation à la haine raciale (comme on a fait avec notre BB nationale), à dire haut et fort et sans langue de bois certaines vérités.

  2. Je souhaite « bon courage » aux fonctionnaires de police de cette « brigade flottante », et il faut en avoir, du courage, pour aller remettre les mains dans des procédures vieilles de six ans, et qui en auront certainement sept ou huit quand les éventuelles parties prenantes auront été retrouvées. D’autre part, les services de police sont à l’os et l’on arrive quand même à dégager des effectifs OPJ et APJ qui vont certainement manquer aux services dont ils ont été extraits. Il y a aussi un autre problème : la filière « police judiciaire » n’attire plus.

    J’ai le souvenir d’un inspecteur de police — c’était l’appellation à l’époque — qui avait collé une affiche sur la porte de son bureau et qui expliquait :
    « Pour le moment, nous traitons l’urgence ; pour les miracles, prévoir un délai d’attente. »

  3. Qui n’accepterait pas l’extension à la France entière de l’expérience conduite par la justice dans le Pas-de-Calais ? Mais…

    Il ne faudrait pas déshabiller Pierre pour habiller Paul. C’est-à-dire créer des équipes spécialisées dans les poursuites en matière de violences conjugales en se servant parmi les personnels affectés à d’autres tâches. On le sait, le mal le plus vif dont souffre la justice est le manque d’effectifs. Comment justifier, auprès des victimes d’autres délits, la priorité accordée à celles-là ?

    Dans chaque juridiction, des centaines de plaintes pour des vols, des menaces, des escroqueries, des agressions, des harcèlements, des attouchements, des violations de domicile, des atteintes à la vie privée, des injures… — sans parler des affaires au civil — attendent désespérément d’être traitées et, trop souvent, disparaissent dans un placard dont personne ne possède la clé. Ceux qui les ont déposées peuvent-ils comprendre que leur détresse est moins grave que celle ressentie par les victimes de violences intrafamiliales, que leur besoin de justice est moins important ?

    En annonçant sa décision, en 2017, de considérer la lutte contre ces violences comme l’une de ses multiples priorités, puis en confirmant ses propos en 2022, peut-être aurait-il fallu que le chef de l’État fasse le premier pas en dotant la Chancellerie des moyens financiers lui permettant d’atteindre la médiane européenne du nombre de magistrats par habitant. Selon la Commission européenne pour l’efficacité de la justice, en 2024, au sein de l’UE, il y avait en moyenne 12,2 procureurs et 21,9 juges pour 100 000 habitants. En France, elle a compté 3,2 procureurs et 11,3 juges pour 100 000 habitants…

    Par ailleurs, chacun sait qu’une chaîne n’a de solidité que celle de son plus faible maillon. Autrement dit, il ne suffirait pas que la justice devienne tout à coup excellente dans la lutte contre les violences conjugales pour que le problème soit résolu. Encore faudrait-il que les autres professionnels concernés par ces drames atteignent, eux aussi, un meilleur niveau d’efficacité.

    Les initiatives institutionnelles et associatives sont légion — avec, chez ces dernières, des objectifs parfois moins féministes qu’anti-masculinistes — mais, faute de réelle coordination entre elles, elles restent, la plupart du temps, à un niveau insuffisant pour « renverser la table ». Côté police et gendarmerie, de grands progrès ont été faits… mais il survient encore des couacs qui, médiatisés, font hésiter les victimes à déposer plainte… Sans plainte, c’est toute la chaîne qui devient inutile… et la justice ne peut rien faire, ou presque.

    Peut-être faudrait-il, pour améliorer ces comportements et ces résultats, jeter encore une fois un regard sur ce qui se fait dans le Pas-de-Calais depuis 2019. En tout cas, cette année, ce département, dont les statistiques restent parmi les pires en matière de violences conjugales, ne compte aucun féminicide, quand son voisin, le Nord, en déplore onze… (selon un article récent de La Voix du Nord). Peut-être cette apparente contradiction s’explique-t-elle en partie par une plus grande attention portée aux auteurs de telles violences ayant déjà fait l’objet de poursuites. Il est en effet, semble-t-il, assez rare qu’un féminicide ne soit pas précédé de quelques délits de ce type…

    On aborde là le difficile problème de la prévention. Les violences conjugales survenant dans tous les milieux sociaux et, en grande majorité, dans le cadre de la vie privée, il est quasi impossible de les prévenir… sauf en utilisant l’Éducation nationale pour apprendre aux jeunes la notion d’interdit…

    On pourrait aussi repérer les milieux dans lesquels le risque de dérive est le plus grand… Quand votre religion vous enseigne que votre compagne doit vous être soumise, que vous pouvez la battre parce qu’elle vous est inférieure, que vos mœurs ancestrales font de vous le maître incontestable et craint, il y a de fortes chances que vous soyez plus enclin à commettre des violences à son égard que celui dont la civilisation considère égaux l’homme et la femme…

    Le problème est qu’en France il est formellement interdit de classifier les habitants (citoyens et étrangers) par religion — laïcité oblige — et de renseigner les services de l’État sur l’origine ethnique des Français qui ne le sont que grâce au droit du sol… Or les chiffres le confirment d’année en année : c’est dans un groupe bien précis, quant à son origine et à sa religion, que l’on enregistre le plus grand nombre d’auteurs de féminicides et de violences conjugales.

    Que faire devant cette aberration, qui réduit considérablement l’efficacité des actions de prévention de la justice et de la police, sinon attendre des jours (politiques) meilleurs ? Peut-être sera-t-il alors possible de conseiller à bon nombre d’imams, sans trop de précautions, d’adapter leurs discours du vendredi à la loi française, sous peine de se voir décerner une OQTF (pour les étrangers) ou de faire l’objet d’une plainte pour incitation aux violences conjugales (pour les autres)…

    On peut rêver… mais on ne pourra pas accepter que rien d’efficace ne soit entrepris pour faire cesser ces drames, aujourd’hui quotidiens.

  4. L’État ne peut pas, d’un côté, projeter d’augmenter le prix des assurances pour couvrir les émeutes, et de l’autre interdire la justice privée.
    Car soit l’État assure l’ordre : mais, dans ce cas, il n’abdique pas, il ne fait pas payer les innocents pour les émeutes ! Soit l’État n’assume pas l’ordre et, la nature ayant horreur du vide, il se fera une justice privée.

    Les adultes ne sont pas des enfants. À l’école, certes ! Il est facile aux professeurs, surveillants et autres de ne pas empêcher des élèves d’être harcelés par les autres, puis de les punir s’ils en viennent à frapper fortement les attaquants, voire plus radicalement, viennent avec quelque arme à l’école. Les enfants, totalement soumis à leurs camarades et aux adultes, sont une proie plus facile que des citoyens qui n’ont pas d’adultes pour faire semblant de veiller sur eux, peuvent voter et se coaliser.

    Il est, par parenthèse, bien dommage que les politiciens se prennent pour le corps enseignant, lesquels ne débitent de la morale que pour ne pas différencier les coupables des victimes, soit donner la préférence aux agresseurs.
    Cela induit cette attitude en général.

    De plus, l’adoption des enfants immigrés clandestinement à l’enseignement scolaire en France, pour généreuse qu’elle soit, induit à cautionner une immigration qui peut nous rendre le mal pour le bien. Si tous les musulmans ne sont pas ainsi, je rappelle que, du point de vue du pays d’accueil, l’immigration est censée servir, ou du moins ne pas nuire. Une immigration innovante pour sa nocivité est une aberration.
    Ensuite, qu’importe que les nocifs soient minoritaires ? Je rappelle que des minoritaires ont déjà pris le pouvoir sur les autres, chrétiens dans l’Empire romain, totalitaires plus près de nous.

    Il faut donc réagir vite et de façon constante par l’interdiction effective de toute immigration musulmane. Sinon ? Il n’y aura pas de task force, de cavalerie qui arrive toujours à temps pour nous sauver. En France, on aime bien se mettre au bord du gouffre, à attendre quelque rédempteur, mélange de manque de vertu, loin, à des galaxies, de gens ayant toujours préservé leur liberté par des institutions équilibrées et une grande vigilance.

    Mais on compense en faisant la morale à tout le monde, bien sûr, comme Léon, dans Les Vacances de la comtesse de Ségur, feint d’être courageux alors qu’il n’est jamais qu’un sale gosse essayant d’intimider les plus petits, et qu’il se vante de faux exploits. L’enfant ne devient courageux que d’avouer sa lâcheté, et qu’il ne se flatte que dans l’espoir que dire être courageux le rendra courageux. Je suis désolé de dire que nous sommes comme Léon, sauf que lui, du moins, voulait être courageux, et a fini par avouer son imposture. Mais il est plus difficile de se réformer, en groupe et adulte.
    Même et surtout face à de mortels périls !

  5. « Sans me pousser du col, j’avais moi-même, il y a des années, à la tête d’une section du droit bancaire à Paris, mis en place un système qui avait été reconnu efficace pour éviter aux victimes de vols de leurs papiers d’identité et de leur permis de conduire d’être sans cesse mis en cause par les délinquants qui avaient usurpé leur identité. » (PB)

    Excellente initiative.

    En effet, les membres de l’institution judiciaire qui seraient tentés de jeter à la poubelle les plaintes qui leur sont transmises ont peut-être parfois tendance à oublier que les Français, soumis à diverses obligations — qu’elles soient fiscales, administratives, domiciliaires ou autres — sont contraints, pour vivre, de récupérer les pièces justificatives ou les informations qu’on leur a volées et doivent donc impérativement trouver une solution.

    Mais si, d’un côté, la justice clame qu’« on n’a pas le droit de se faire justice soi-même », tout en refusant, de l’autre, de faire son travail ou en se montrant incapable de le faire, que faire d’autre, sinon agir aux marges de la loi en comptant sur la compréhension des autorités ?

    Par exemple, des personnes victimes d’individus ayant roulé avec la carte grise de l’ancien propriétaire de leur véhicule et multiplié les infractions ont, un jour, après avoir identifié l’auteur de ce type d’agissements et retrouvé ses coordonnées, bloqué — sans violence — son véhicule sur une petite route, puis appelé la gendarmerie au prétexte (fallacieux et, bien entendu, discutable) que la circulation était alors bloquée sur la route en question.

    Le véhicule de l’individu a toutefois été saisi, et le préfet a annulé les amendes imputées à tort au nouveau propriétaire. Il est cependant évident que le procédé utilisé était, à la rigueur, illégal.

    Mais, au fond, à qui la faute ?

  6. Le « classement sans suite » induit la justice privée.
    « Professionnels » et milices locales ont un bel avenir. Le bond en arrière dans le temps est saisissant !

  7. « Face aux maux criants, il y a des solutions. » (PB)

    En effet : par exemple, dans le prolongement et en complément des « task forces » du Pas-de-Calais, remettre la France au travail ! C’est-à-dire passer des 35 heures — payées 40, mais de nos jours glissantes vers les 30 — aux 40 heures effectives.
    Ainsi, il devrait y avoir mécaniquement moins de dossiers en souffrance dans les institutions publiques en particulier, des délais de rendez-vous médicaux moins longs (six mois pour un ophtalmologue, ou plus chez le dermatologue ; quinze jours chez mon généraliste) notamment, etc.
    Bien sûr, il faudrait de la volonté et du courage politiques pour faire face aux cris, manifestations et désordres sociaux qui ne manqueraient pas de se produire. Je rassure tout le monde : cela n’arrivera pas et, par conséquent, je souhaite à tous les lecteurs et commentateurs de ce blog, quelles que soient leurs opinions, une excellente santé et une très bonne année 2026.

  8. Il y a longtemps déjà que l’Afrique commence à Calais ; où est le blême ?

    La vraie task force est islamiste : celle qui met l’État à genoux. Nos majorettes — policiers, gendarmes, juges — tous couchés, soumis. Quelques bandes de migrants armés de canifs suffisent pour faire régner la terreur sur tout le territoire, pas seulement dans le Pas-de-Calais.

    Ce gouvernement collabo, lèche-babouches, islamo-gauchiste, macronien, a tout intérêt à ce que cette situation perdure, leur but étant la disparition de la vraie France, celle qu’on a connue et qui ne reviendra jamais.

    Nous avons de grandes gueules ; eux, ils tuent !

  9. « Cela fait des années qu’à mon niveau modeste, j’ai dénoncé à plusieurs reprises sur mon blog le scandale absolu de l’enlisement de milliers de plaintes et de procédures dans les commissariats français, avec l’aval choquant de l’ensemble des autorités concernées. » (PB)

    Cela me rappelle Edgar Faure, qui n’avait pas son pareil en matière de petites phrases décapantes :
    « Voici que s’avance l’immobilisme et nous ne savons pas comment l’arrêter » (prix de l’humour politique 1988).
    Cela fait déjà 37 ans et, finalement, rien n’a changé.
    Mais, comme le disait Albert Einstein :
    « On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème. »

  10. Les sérums de vérité sont en usage en Inde — pays notoirement arriéré, comme chacun sait — mais étrangement délaissés dans les pays occidentaux, au prétexte de leur manque de fiabilité.
    En faisant néanmoins le tri entre le fiable et le non fiable dans la parole débridée sous sérum, nous pourrions mettre fin à des enquêtes interminables, anéantir en quelques mois toute la délinquance organisée et ainsi désencombrer la police et la magistrature.

    Si on ne le fait pas, c’est qu’une bonne partie de la pègre politicarde, des hauts fonctionnaires, etc., y laisserait sa peau par la même occasion.
    Où irait-on, en effet, si l’on devait examiner des plaintes pour détournement de fonds publics via de prétendues recherches et associations diverses et avariées ?

    Cependant, les Français commencent à ouvrir les yeux. Tremblez, fripouilles hypocrites !

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