« Des étudiants et des militants de la cause noire ont empêché par la force la tenue d’une pièce d’Eschyle, Les Suppliantes, au motif que des acteurs blancs portaient des masques sombres ou étaient grimés en noir » (Le Monde).
Ces étudiants appuyés et soutenus par le CRAN jamais en retard d’un combat absurde dénonçaient le « blackface », un procédé qui consistait à exhiber et à ridiculiser des Noirs pour amuser les Blancs.
Pour le metteur en scène Philippe Brunet, helléniste passionné, il s’agit « d’une forme d’ordre moral imposé de force ». Il récuse à juste titre l’accusation d’avoir voulu tourner en dérision les Noirs alors que dans le théâtre antique, le masque est constamment utilisé et que faute de budget et de temps, il n’a pu faire porter aux comédiens les masques dorés initialement prévus.
Par ailleurs, la tragédie d’Eschyle est aux antipodes du sarcasme et de la discrimination : elle se contente d’être une grande oeuvre universelle.
Philippe Brunet, la pièce ayant dû être annulée, s’interroge sur un dépôt de plainte ou non. Ces censeurs se rengorgeant face au succès de leur intervention, la plainte marquerait un coup d’arrêt et l’expression du refus de céder à cette scandaleuse intimidation (Le Figaro).
Que tirer de cette lamentable péripétie ?
D’abord l’absence de culture, radicale, de ces étudiants et militants. Ils ignorent tout et ont remplacé le savoir par un esprit vindicatif compulsif mettant sur le même plan des démarches douteuses et racistes qui ont existé et des manifestations honorant le théâtre et n’offensant en aucun cas ce qu’ils sont.
C’est de la bêtise dans sa quintessence.
Mais, comme ce groupuscule et le CRAN sont prétendus progressistes, de gauche et forcément admirables puisqu’ils mettent en cause un racisme, aussi imaginaire soit-il, ils ne sont pas traités comme ils le mériteraient : pour des ignares que l’idéologie a rendu délirants. Il y a encore un zeste de révérence pour ces obsessionnels de la race. Au point de faire ressembler leur antiracisme à une lamentable pantalonnade tristement contre-productive.
Tentons de deviner quelles seraient les réactions si l’extrême droite ou le catholicisme conservateur, face à d’authentiques indignités, se révoltaient et faisaient annuler une pièce emplie de toutes les nauséabondes audaces que l’air du temps adore : la prévision est facile, ce serait un lynchage politique et médiatique contre ces rustres incapables d’apprécier les vrais, les grands spectacles.
Deux poids deux mesures à l’évidence.
Cessons de gratifier en l’occurrence ces étudiants et le CRAN de quoi que ce soit d’autre que de bêtise !
Il faudrait inventer ce délit pour eux.
Sur la chaîne C8, on revient sur l’enlèvement d’Agnès Martin.
En 2011, un garçon de 17 ans viole d’une manière ignoble une amie âgée de 15 ans. Emprisonné quelques mois, il est remis en liberté provisoire par un magistrat. Il est scolarisé, interne dans un dans établissement MIXTE malgré un contrôle judiciaire incombant à un autre magistrat. Quelques mois après, il viole, torture, assassine une camarade de classe, Agnès, 13 ans.
Condamné bien sûr.
Mais que penser de ces deux magistrats inconscients ou négligents ? Les parents obtiennent la condamnation de l’Etat : une amende ! Mais le pire du pire, un magistrat a fait appel de cette décision : une injure supplémentaire pour les parents… et des juges bien sûr même pas blâmés.
Absence de sanctions pour les magistrats fautifs comme le fut le juge Burgaud, au contraire promu, cela commence à bien faire. Les plus coupables devraient être révoqués, on n’a que faire de tels individus dans une magistrature incapable de se réformer.
Le plus étonnant dans l’affaire (ou peut-être pas), c’est que M. Brunet a été le professeur de grec du président du CRAN Louis-Georges Tin, rue d’Ulm. Tout cela se passe en famille, en quelque sorte…
Bravo ! Heureusement que ce blog existe.
Non, Monsieur Bilger, ces antiracistes de pacotille ne se rendent pas coupables du délit de bêtise, mais bien du délit de haine viscérale de la France et de sa culture d’origine gréco-latine.
Merci néanmoins pour l’article et bon week-end à tous.
Le racisme n’existait pas dans l’Antiquité et à l’époque médiévale : il me semble que les Noirs devraient se sentir à l’aise dans des œuvres ne les infériorisant pas.
Le masque ? Comme à Venise, comme sur Internet, permet d’exprimer ce qui ne peut l’être autrement.
Dix petits nègres.
Lorsque j’étais à l’école primaire, j’ai participé, lors d’une fête de fin d’année, à une pièce de théâtre très librement adaptée de la comptine des dix petits nègres. Nous avions tous le visage noirci au bouchon brûlé – l’effet était plus proche du petit ramoneur que de vrais noirs.
Imaginez si cela se passait aujourd’hui…
——-
Reçu hier un mail titré par l’expéditeur « Prise de position courageuse d’une victime de Walt Disney », et que je ne résiste pas à partager:
« Cara Delevingne déplore le rapport de Disney à la sexualité: «Les princesses Disney aiment toutes les hommes»
Cara Delevingne a abordé l’impact des modèles proposés par Disney dans ses dessins animés.
Mis en ligne le 29/03/2019 à 14:11 Soir Magazine (version internet).
Le mannequin a accordé ce mercredi 27 mars un entretien audio à Ru Paul et Michelle Visage, animatrices du podcast What The Tee ? et de l’émission Drag Race. Elle évoque la façon dont les princesses Disney ont influencé sa vie sentimentale. Ces films d’animation l’ont conduite à renier son homosexualité. « Je n’ai jamais vraiment voulu accepter ma sexualité », confie-t-elle.
Pour elle, depuis sa tendre enfance, une princesse aime les princes, donc les hommes. « Je me disais : Les princesses Disney aiment toutes les hommes. C’est comme ça, et je ne serai pas une princesse si je ne le fais pas », explique Cara Delevingne. Heureusement, en grandissant, le mannequin a relativisé sa vision de la sexualité et du genre. Elle ne cache plus sa bisexualité. Elle pense que les studios Disney « pourraient faire une grande différence dans le monde en sortant de la zone hétéronormative. » »
Personnellement, cela m’a fait rire, mais…
Comme le dit @ Robert Marchenoir | 29 mars 2019 à 00:15
« On commence par les admettre à la Sorbonne, et puis ils finissent par nous interdire d’y jouer Eschyle. »
Et surtout de ne pas permettre à ceux qui ne connaissent pas Eschyle de le voir, ceux qui n’ont pas pu accéder à la culture que leur a dispensée la République française, bonne fille.
« Un antiracisme coupable du délit de bêtise… »
Non, cher P. Bilger ! C’est trop court comme explication !
Certes la bêtise est ultra-présente dans cette démarche, mais le fondement est un racisme déguisé en antiracisme.
Ces dirigeants d’associations ultracommunautaristes tentent d’importer les théories en cours dans certaines universités américaines : à savoir l’homme blanc est le mal absolu, un oppresseur depuis toujours, qui doit s’incliner et payer pour ses exactions (supposées) depuis la nuit des temps.
D’ailleurs quelques responsables de ces associations ont réalisé leur initiation à ces mouvements anti-Blancs dans le cadre de « l’International visitors leadership » qui permet à certaines personnes d’effectuer un séjour d’études aux USA.
Notamment Rokhaya Diallo qui en a bénéficié (dont le thème de son séjour était « la diversité ») et qui a récemment promu des « camps d’été ouverts à toute personne non blanche ». Ce racisme avéré n’a pas ému les autorités françaises et cette journaliste (sic) se pavane dans les médias français (et notamment chez Pujadas) en diffusant régulièrement – en mots très châtiés – ce qui ressemble fortement à de la haine raciste.
De la bêtise, oui bien sûr cher P. Bilger, mais aussi un racisme profond et qui vient de loin.
Cordialement.
@ François | 30 mars 2019 à 11:55
« Le plus étonnant dans l’affaire (ou peut-être pas), c’est que M. Brunet a été le professeur de grec du président du CRAN Louis-Georges Tin, rue d’Ulm. »
Tiens donc… je n’avais pas percuté. Une rapide lecture de la biographie de Louis-Georges Tin permet en effet de constater deux choses : c’est un homme supérieurement cultivé (Normale Sup, agrégation de lettres…), et c’est un militant homosexualiste enragé, en plus d’être un extrémiste de « l’anti-racisme ».
Or, il tente d’importer en France les combats « anti-racistes » promus aux Etats-Unis par les Noirs les plus abrutis (et leurs complices blancs qui le sont moins) : destruction des statues de grands hommes ayant été mêlés à l’esclavage (il veut faire disparaître les statues de Colbert…), persécution du « blackface » et de « l’appropriation culturelle »…
Le « blackface » n’a évidemment rien de répréhensible. Il consiste simplement pour des Blancs à se grimer en Noirs. Non seulement les enragés du gauchisme veulent nous persuader que les races n’existent pas, mais ils veulent nous faire croire que les Noirs ne sont pas noirs.
C’est le droit le plus strict de n’importe qui de se grimer en n’importe qui, et ce ne sont pas de pompeux casse-pieds qui n’ont rien d’utile à faire dans leur vie qui vont y changer quoi que ce soit.
La persécution du « blackface », dernière mode du politiquement correct aux Etats-Unis, est étroitement liée à cet autre mythe « anti-raciste » selon laquelle il existerait un truc nommé « l’appropriation culturelle », et que ce ne serait pas bien.
« L’appropriation culturelle », cela consiste, pour des Blancs, à utiliser des thèmes empruntés à des cultures étrangères, dans un but en général artistique. Par un exemple, un mannequin blanc, utilisé par un créateur de mode occidental pour promouvoir des vêtements japonisants, et maquillé, coiffé de façon à le faire ressembler à un Asiatique. Ou bien, une troupe de théâtre canadienne faisant jouer des rôles d’Indiens à des acteurs européens, avec l’accoutrement qui va bien. Vous voyez l’idée.
Depuis peu, les militants hystériques de « l’anti-racisme » nord-américain ont décidé que de telles initiatives constituaient le summum de l’abomination, et déclenchent régulièrement des scandales médiatiques sous ce prétexte.
On pourrait croire que de tels gestes sont la marque du « vivre-ensemble », de « l’ouverture à l’Autre » et du « métissage des cultures », tant vantés par les mêmes enragés gauchistes.
C’est ignorer la monstrueuse hypocrisie de l’idéologie « anti-raciste », qui ne fonctionne évidemment qu’à sens unique. Seuls les Blancs peuvent être persécutés sur ce motif. Pour les autres races, naturellement, c’est l’inverse.
C’est un scandale si des acteurs noirs ne sont pas choisis pour jouer des rôles de Blancs, il faut absolument des quotas de « racisé-e-s » partout, et ainsi de suite. Faire jouer Ulysse par un Noir, ce n’est pas de « l’appropriation culturelle », c’est une juste mesure de lutte contre le racisme et de reconnaissance des droits des minorités.
De même, Louis-Georges Tin ne peut être soupçonné, contrairement à la plupart de ses frères de race, de ne comprendre que couic à la tragédie grecque antique, et de réagir comme un abruti devant un maquillage noir (en réalité : marron), en voyant du racisme là où il n’y en a pas.
Louis-Georges Tin, très vraisemblablement, a un quotient intellectuel de 110, 120 ou 130, non seulement très largement au-dessus de ses frères africains qui sont à 70 en moyenne voire moins, mais largement au-dessus des Français blancs qui sont à 100 (et encore, c’est peut-être moins que ça aujourd’hui).
Sa prétendue indignation face à une très, très lointaine évocation de « blackface » par une troupe de théâtre est une hypocrisie monstrueuse. C’est juste un « shakedown », comme on dit dans le pays d’où il a emprunté ces sottises. C’est un racket. Une tentative d’extorquer de l’argent et du pouvoir aux Blancs. Par la menace, l’intimidation, les voies de fait et le chantage.
Louis-Georges Tin, à l’instar d’innombrables autres militants gauchistes et « anti-racistes », est un professionnel de l’indignation et du bobo à l’âme. C’est une victime de métier.
A chaque pseudo-scandale « d’appropriation culturelle » monté par les crapules « anti-racistes » en Amérique, le scénario est immuable. Le « coupable » se répand en protestations de vertu : il est parfaitement de gauche, il peut en fournir les preuves, il adore les Noirs, les Pygmées et les transsexuels anorexiques. Il s’excuse platement et s’humilie aux pieds de ses accusateurs.
Ces derniers ne sauraient s’en contenter, bien entendu, mais peut-être leur juste « colère » pourrait-elle passer du cran 12 au cran 11 si le magazine en question pouvait recruter douze mannequins chinois pour promouvoir des chinoiseries, si l’entreprise en question pouvait signer ici pour une prestation de vingt millions de bourzoufs de « sensibilisation à l’anti-racisme » — que moi et mes potes noirs nous empresserons de fournir, et ainsi de suite.
Le banditisme prétendument « anti-raciste » se voit comme le nez au milieu de la figure, et concernant Louis-Georges Tin, il prend un tour grotesque : ce normalien, agrégé de lettres et professeur s’en prend à son ex-professeur de Normale Sup, simplement parce que ce dernier a réussi dans son métier, et est considéré comme un maître de la tragédie grecque ; quant à Louis-Georges Tin, il est tout juste capable de manifester sa gratitude envers son ancien professeur en le traînant dans la boue sans la moindre raison.
La Grèce antique ne l’intéresse que dans la mesure où il peut en tirer un livre intitulé Homosexualité : aimer en Grèce et à Rome. Le narcissisme et le ressentiment sont manifestes dans ce cocktail explosif de ces deux armes de destruction massives du gauchisme contemporain : le militantisme homosexualiste, et l’activisme prétendument « anti-raciste ».
Preuve est faite que le prétendu « vivre-ensemble » et la prétendue « ouverture à l’Autre », tant vantés par ces messieurs, sont, en réalité, exactement le contraire. C’est moi, mon nombril et ma pomme, par ici la monnaie et que tous les autres aillent au diable.
Tin est peut-être intelligent, mais il n’est pas très malin. Dans l’une de ces merveilleuses collisions des moralités gauchistes que le politiquement correct produit régulièrement, il a choisi la mauvaise cible : un Artiste de Gauche, un Théâtreux qui fait de la Culture. En conséquence de quoi, deux ministres se sont rués pour le défendre, celui de la Culture et celui de l’Enseignement supérieur. (Le plus rigolo étant que le premier ne fait pas mystère de son homosexualité, ce qui semble être désormais une qualification pour le poste. Si Tin avait parié sur la solidarité du « lobby » homosexuel, c’est raté.)
Pour une fois, un gouvernement qui ne s’est pas précisément illustré dans l’anti-anti-racisme a refusé de céder au chantage de la fausse moralité de gauche. Faut-il que Louis-Georges Tin s’y soit pris comme un manche…
Pour mettre les choses au point, je suggère que lors de la prochaine Hétérosexuels-Pride entre République et Bastille, tout le monde se grime en « blackface », se déguise en roudoudou obèse et se plante une plume dans le derrière. Histoire de se moquer de Louis-Georges Tin comme il le mérite.
Encore un peu, et ces gens-là vont nous interdire de rigoler.
Merci M. Bilger pour votre billet. Cela me fait penser, en outre, à cette autre stupidité:
« Le 2 mars 2015, le CRAN dénonce des pâtisseries jugées obscènes et racistes, vendues dans une boulangerie de Grasse et, devant le refus du propriétaire de la boulangerie de modifier ses pâtisseries, saisit la justice. Leur exposition en vitrine est alors interdite à la suite d’une décision du juge des référés du tribunal administratif de Nice, mais leur fabrication et leur vente, autorisée.
Le boulanger gagne cependant en appel à la suite d’un recours au Conseil d’État et peut à nouveau exposer ses pâtisseries. »
Le « Cran » n’a pas assez de cran pour réfléchir.
Personnellement je n’ai pas entendu une seule voix pour défendre cet acte imbécile et leurs auteurs débiles qui effectivement desservent la cause qu’ils prétendent défendre.
Vous voulez créer le délit de bêtise, je ne suis pas sûr que vous en ayez mesuré toutes les conséquences. Tant que vous y êtes, je vous suggère de créer le délit de délire pour tous ceux qui nous bassinent avec leur « deux poids, deux mesures ».
Les Suppliantes, dans la pièce, évitent le sacrifice auquel elles sont promises.
2 500 ans plus tard, Les Suppliantes (la pièce) est sacrifiée.
Formidable régression !
L’idée, fausse, que le sacrifice est un Bien, n’est pas morte…
CRAN, CRIF, etc. sont des associations qui justifient leur existence et les subventions dont ils vivent, ainsi bien sûr que leurs avocats, avec des dénonciations bidon, comme le GIEC vit de diagnostics bidon.
En fait de subventions, il s’agit de racket aux élus locaux d’hivers et avariés qui doivent payer s’ils ne veulent pas les avoir aux fesses pour un oui ou pour un non.
Encore et toujours des bandes d’escrocs qui vivent aux crochets du contribuable, et qui s’auto-fanatisent pour ne pas s’avouer ce qu’ils sont.
Aux USA on va en taule si on prononce le mot « nègre ».
Chez nous, ça ne va pas tarder si on parle de travail au noir. Le terme marché noir devrait être rayé des livres d’histoire. Ça fera un sacré trou dans celle de 39-45…
A propos de noirs, voilà qu’on se ramasse les homos du Cameroun parce qu’ils y sont méprisés ! Non seulement on subit l’immigration africaine, mais en plus c’est celle des rebuts de l’humanité.
D’où tenez-vous que tout ce monde serait progressiste, de gauche ?
Où cela aurait-il été annoncé ?
De plus c’est un groupe raciste qui a empêché la pièce : la brigade anti-négrophobie.
Un mouvement qui affirme que seuls les personnes Noires ont été mises en esclavage, alors qu’en Europe les personnes Blanches l’ont été aussi. Un mouvement avec pas mal de personnes qui s’affirment Africaines, alors que l’esclavage des Amériques ce ne sont pas eux qui en ont été victimes, c’est plutôt eux qui ont vendu aux esclavagistes.
Ils parlent d’afro-descendants, alors que Afrique, Africain n’a jamais voulu dire : Noir.
Ils vont même jusqu’à parler d’Afro-Caribéen qui tout autant ne veut pas dire : Noir ; puisque dans les deux cas, il y a des personnes non Noires en Afrique : les Maghrébins ; et aux Caraïbes : les Amérindiens et les Blancs.
Le blackface est un truc des USA pour ridiculiser les personnes Noires, les rabaisser ; pour cette pièce de théâtre ce n’est pas le cas, il n’y a pas de blackface, employer les mots de l’ennemi, c’est lui donner acte.
Cela reviendrait à interdire aux personnes Blanches d’avoir le droit de se mettre du noir sur le corps, les personnes Noires revendiquant la propriété exclusive de cette couleur.
Rappelons que la pièce de théâtre en question a été écrite de cette manière, elle a 2 466 ans ; un groupe de Noirs et de Blancs s’affrontent, mais il ne s’agit pas de personnes Noires et Blanches, ils ne sont distingués dans la pièce que par la couleur, afin que l’on sache qui est qui, comme pour une équipe de sport collectif, les maillots noirs et les maillots blancs.
Au Canada, il y a à peine deux mois, à Montréal, un bar spectacle a interdit son accès à un homme Blanc parce qu’il avait des dreadlocks et qu’il aurait ainsi volé la culture des personnes Noires, ce qu’ils appellent : appropriation culturelle ; or les dreadlocks étaient déjà en usage chez les Égyptiens au temps des pharaons et chez certains peuples celtes il y a plus de 3 000 ans.
https://frama.link/pZNLFfDH
Il y a ce phénomène de violence qui arrive en France : appropriation culturelle, qui vise à interdire aux personnes Blanches d’avoir certaines coupes de cheveux, de porter certains vêtements, de chanter certaines chansons, de jouer certains rôles, etc. Le Premier ministre fédéral Justin Trudeau en a fait les frais quand il s’est habillé avec un certain type de vêtements.
Au Canada deux pièces de théâtre ont été empêchées l’été dernier.
♦ Slāv, parce qu’une chanteuse française Blanche chantait des chants d’esclaves des USA et qu’elle avait quelques choristes Blanches dans son groupe.
https://frama.link/486wj0tr
♦ Kanata, parce que des acteurs non Amérindiens jouaient des rôles d’Amérindiens. Ils ont tenté d’empêcher cette pièce de théâtre en France.
Ariane Mnouchkine a été obligée de se présenter au Canada pour s’expliquer, elle a refusé de se soumettre.
https://frama.link/j1643RXM
Le même phénomène est aux USA avec une violente polémique sur le film français « Intouchables », puis le remake US. Parce que deux acteurs, dont Bryan Cranston pour les USA, sont des acteurs « valides » et qu’ils jouaient des personnages invalides. Aux USA, ils ont bien employé le mot : valide.
The Upside : https://www.rottentomatoes.com/m/the_upside
Sans compter qu’il a été affirmé que ce film était rempli de clichés racistes, alors qu’il s’agit d’une histoire vraie.
Les individus noirs de peau ne seraient donc supportables qu’à la fête du 14 Juillet de l’Elysée, se trémoussant en short et bas résilles ?
Eschyle réveille-toi, ils sont devenus fous.
@ lefort | 30 mars 2019 à 11:48
« Mais que penser de ces deux magistrats inconscients ou négligents ? »
Auriez-vous la preuve de cela ?
Le droit autorise-t-il, impose-t-il de remettre en liberté une personne ?
Les juges votent-ils les lois ou les appliquent-ils ?
Y aurait-il séparation des pouvoirs ?
Quel est le rapport avec le sujet sur les skinheads ?
Dans les hautes sphères où se forgent les destinées des peuples, la France doit être considérée comme un laboratoire d’essai du métissage, de l’abolition de la nationalité, voire de la personnalité. Il est évident qu’aucun autre pays n’accepterait de subir ce que l’on nous impose.
Pourquoi nous oblige-t-on à perdre nos racines et par conséquent notre devenir ?
Simplement pour que les propriétaires des hautes sphères puissent continuer à mieux nous dominer, capter toutes nos richesses avec comme finalité la robotisation des humains :
http://mecaniqueuniverselle.net/animal-homme/environnement/robot.php
Ce qui permettra aux élus de la haute sphère de décider de notre naissance et de notre mort, de ce que nous devrions manger, apprendre, faire et surtout nous dresser à obéir.
Certains, sans relâche, travaillent sur ce sujet, nous connaissons d’ailleurs l’un d’entre eux qui fait des livres à répétition et conseille, voire nomme, nos présidents.
Alors réussiront-ils à s’approprier l’humanité ou nous révolterons-nous avant le massacre final ?
Pour croire en dieu, il faut un dieu. Pour être un homme il faut agir comme tel !
« …et que faute de budget et de temps, il n’a pu faire porter aux comédiens les masques dorés initialement prévus. » (PB)
…et que faute de budget et de temps, il n’a pu faire porter aux comédiens ?! comédiennes (excusez du peu) les masques dorés initialement prévus…
Donc une pièce d’Eschyle pas finie et qui par négligence fait apparaître ce que tout néophyte du dramaturge grec prendrait pour argent comptant, en assistant au spectacle…
Alors règlement de compte en famille théâtrale…
@ lefort | 30 mars 2019 à 11:48
J’approuve totalement votre commentaire et je n’ai rien à y ajouter.
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@ Xavier NEBOUT |30 mars 2019 à 17:31
« Le terme marché noir devrait être rayé des livres d’histoire. Ça fera un sacré trou dans celle de 39-45.. »
Drôôôle… 😀
« Cessons de gratifier en l’occurrence ces étudiants et le CRAN de quoi que ce soit d’autre que de bêtise ! »
Manifestement ils ignorent également que le noir est dans l’Antiquité occidentale ainsi que chez les Bouddhistes, la couleur du savoir et des lettrés.
Notamment, en ce qui concerne « les Quatre Rois célestes » (四大天王 = sìdà tiānwáng) où Sìdà n’a rien à voir, bien évidemment, avec le virus homophone en français ; soit littéralement « Quatre grands célestes Rois » lesquels, sont en Chine, les gardiens des horizons et de la loi bouddhique qu’en sanskrit on nomme encore Catur maharaja kayikas, celui dont les attributs sont un rouleau d’écriture et un pinceau, arbore ici le noir au centre entre le rouge (en haut) et le bleu (en bas) et a ici la peau complètement noire et non pas seulement le centre des énergies.
Les Japonais l’appellent notamment 多聞天 (TAMON-TEN = Celui qui est au courant de tout) et les Indiens d’Inde, Viśravas qui a la même signification que celle donnée au nom de « Dionysos ».
J’ai appris pas mal de choses, merci pour ce blog.
Les militants de la cause noire nous ont déjà habitués à ce genre d’indignation sélective.
Ce sont les mêmes qui voulaient interdire l’album d’Hergé Tintin au Congo (datant de 1931), le jugeant insultant pour le peuple Noir.
Ils ont aussi fait tout un pataquès au sujet de la pub (datant de 1915) représentant un tirailleur sénégalais, et disant avec l’accent de « là-bas » Hum, y’a bon Banania
Dernièrement ils ont aussi exigé que les pâtisseries au chocolat appelées « Têtes de nègre » s’appellent désormais « Têtes de choco ».
Comme c’est parti on n’osera même plus commander un « petit noir » à son bistrot PMU sans risquer de se faire traiter de raciste.
Tout cela est franchement ridicule et tend finalement à démontrer que le multiculturalisme, s’il peut apporter une richesse à une société, peut aussi conduire celle-ci à une dérive communautariste détestable.
« Louis-Georges Tin, très vraisemblablement, a un quotient intellectuel de 110, 120 ou 130, non seulement très largement au-dessus de ses frères africains qui sont à 70 en moyenne voire moins, mais largement au-dessus des Français blancs qui sont à 100 (et encore, c’est peut-être moins que ça aujourd’hui). »
« Sa prétendue indignation face à une très, très lointaine évocation de « blackface » par une troupe de théâtre est une hypocrisie monstrueuse. C’est juste un « shakedown », comme on dit dans le pays d’où il a emprunté ces sottises. C’est un racket. Une tentative d’extorquer de l’argent et du pouvoir aux Blancs. Par la menace, l’intimidation, les voies de fait et le chantage » (Robert Marchenoir, 30 mars 16:19)
Personnellement je ne savais rien à ce jour de ce Tin. blanc de teint, noir, métis, bounty ou déteint qu’importe ! Quoique plutôt marqué par les clairs de peau (sinon d’esprit) question raisonnement sectaire eu égard au QI dont Marchenoir (qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau) le gratifie sans le connaître, en nous assommant une fois de plus avec celui prêté aux Noirs (en général) qui n’ont pas inventé la boussole (ainsi que le disait lui-même Senghor dans un savoureux poème où il remettait en perspective l’intelligence technique et froide occidentale – présumée – avec celle du cœur, des sentiments et de la souffrance prêtée à ses frères de race).
Mais quand Marchenoir se fend de ces deux paragraphes (précités) et nous parle d’hypocrisie, avouons qu’il y a de quoi sourire, que les bras vous en tombent devant un tel manque de discernement face à ses propres travers, ses préjugés imbéciles et une obsession hystérique racialiste qui revient à tout bout de champ, voire comme ici hors sujet.
Alors que le billet du jour avait justement pour but de dénoncer le sectarisme, ce pauvre Marchenoir tombe à pieds joints dedans et en profite avec perversité pour nous infliger une fois de plus son pathétique credo sur l’infériorité congénitale des Noirs.
La honte doit changer de camp. La France n’est pas un pays raciste, pour preuve c’est que nous avons dans notre pays, comme aucun autre en Europe, un multiculturalisme venu de tous horizons dont beaucoup ne veulent pas s’intégrer malgré les subventions généreuses, aides financières, écoles gratuites, logements fournis avec les allocations logements, etc. Nous ne pouvons plus continuer à être insultés et nous laisser piétiner de la sorte. Nous devons dénoncer le racisme anti-blanc qui existe bel et bien. Il s’est même aggravé. Non seulement ce déni de justice est le symptôme du mal profond dont souffre la société française, mais le pire est que ceux qui osent combattre le racisme antiblanc font l’objet d’un ostracisme particulier, sans complexe, sans limite et sans concessions qui mine les fondations de l’Etat et de la nation française.
Quelques témoignages des victimes blanches.
Souvenons-nous, ce rappeur noir en chanson menace de pendre les blancs, d’aller chercher les enfants bancs dans les écoles et de les tuer…
Que fait la justice ? une petite claque sur les doigts ?
Et le CRAN d’ultra gauche n’a pas porté plainte contre ce rappeur violent ? C’est une honte !
Voici notre association bien à nous. Défendons-nous. Que les blancs n’hésitent pas de dénoncer le racisme violent qu’ils subissent. Marre de se taire !!
https://www.olra-asso.org/single-post/2018/05/12/Gilles-William-Goldnadel-Mais-quand-va-t-on-enfin-sinsurger-contre-le-racisme-anti-blanc-
@ breizmabro | 30 mars 2019 à 18:18
« Le terme marché noir devrait être rayé des livres d’histoire. Ça fera un sacré trou dans celle de 39-45… » (Xavier Nebout)
Drôôôle… »
——
Trou dans le Marchenoir et pas que !
@ Marc GHINSBERG
« Vous voulez créer le délit de bêtise, je ne suis pas sûr que vous en ayez mesuré toutes les conséquences. »
LOL !
Oups ! Je m’approprie la culture jeune anglo-saxonne !!Je ne recommencerai pas !
Pas LOL !
Oui j’en rajoute, Monsieur Bilger non ! Une infraction, pas un délit ! Sinon les affaires criminelles courantes seraient jugées en 20 ans et plus en 10 !
Le billet de M. Bilger et en plus les autres cas affligeants rapportés seraient une confirmation d’Einstein « Il y a deux choses sans limites, l’univers, et la bêtise humaine, mais pour le premier je ne suis pas complètement sûr ».
Bon c’est apocryphe j’imagine mais cela confirme le « vaste programme » judiciaire.
@ Ellen
Les pâtisseries offusquant le CRAN ont attisé ma curiosité.
Elles sont là:
Les enfants allez voir à la cuisine si le lait déborde !
https://tinyurl.com/yxa625o2
Beurk !
Trop de délicatesse tue les delikatessen !
Mais je suis un vieux chnoque.
Bonsoir,
Triomphe de la minorité intolérante sur la majorité tolérante.
Que ce soit noirs, moins noirs, moins hétéros, pas du tout hétéros, mangeurs de graines, électriciens chauves et bisexuels du Gers, etc.
En République Française, la société n’est plus, déculturation et décivilisation triomphent. Balkanisation des groupes sociaux.
Le pouvoir exécutif accorde des privilèges aux minorités intolérantes.
Le pouvoir judiciaire massacre la majorité des mâles blancs hétéros.
Les pouvoirs en place se régalent de démolir les Gaulois de souche, diabolisés.
Cet angélisme exterminateur est auto-réflexif, boîte de Pandore en Macronie.
Souvenez-vous de la fête de la Musique à l’Elysée et de l’humiliation du plan Banlieue Borloo, la frontière du normal/anormal a glissé: le blanc est anormal.
Ch. Aubert, mâle blanc hétéro qui mange de la viande et fume des clopes, pas de diesel mais aucune pitié pour le pouvoir exécutif félon et le pouvoir judiciaire collabo.
Notre guerre sera totale, non-linéaire, organique et sociétale… en France.
A croire que l’on manque d’acteurs à la peau noire ou métissés pour jouer ces rôles, au point d’utiliser au 21ème siècle (en France) des blancs masqués et grimés en « y’a bon Banania », comme au temps de la Coloniale où on exhibait ces sauvages dans des cages !
Il est vrai que pour tenir le rôle du métis Alexandre Dumas (ce qui avait déjà fait polémique il y a quelques années), on avait bien choisi Gérard Depardieu !
Or qu’attendre d’hommes et de femmes qui descendraient du singe comme avait fort ironiquement répliqué le même Alexandre Dumas à un homme qui voulant l’humilier le ramenait à ses origines !
L’air de la bêtise, Jacques Brel l’a remarquablement chanté, sachant que nul n’est à l’abri de la sottise crasse ou d’un manque de jugement quand il s’arrête à son nombril. Pas plus que du racisme d’ailleurs blanc, noir, jaune, arabe ou antisémite. Et surtout pas les donneurs de leçons compulsifs qui se répandent sur ce blog, alors que vu leur panel dégoulinant de sectarisme et de racialisme immonde, ils devraient faire profil bas ou se cacher !
@ Xavier NEBOUT | 30 mars 2019 à 17:31
« Aux USA on va en taule si on prononce le mot « nègre ». »
Archi faux. Seul le terme « nigger » est considéré comme péjoratif et insultant mais il ne vous conduit pas en taule comme vous dites !
La traduction de nègre est negro (mot d’origine espagnole signifiant noir). A noter que le terme American Negro pour désigner les noirs aussi bien que les métis d’ailleurs (natifs des Etats-Unis) a été employé jusque dans les années 1990 et ne fut remplacé que récemment par l’appellation générique Afro American.
Sachant que d’autres groupes de populations noires ou sangs-mêlés issues de l’immigration : Latinos, Caribéens, Amérindiens (d’Amérique du Sud), etc. font l’objet d’un classement à part.
Bonnes intentions sans doute de la part de ces militants. mais l’enfer en est pavé… A ce compte, il faut aussi interdire les Perses : « j’apprends que les Barbares, outre les maux présents, subiront d’autres calamités ». Si ce n’est pas de la discrimination ! Et quand on y pense, l’incitation à la haine des Troyens dans la colère d’Achille… Et la misogynie chez Platon. Et Cicéron qui fait l’apologie du massacreur de Carthage. Et César ! Et je ne vous parle même pas d’Aristote ! Affreux !
@ breizmabro | 30 mars 2019 à 18:12
Macron nous avait prévenus, il n’y a pas de culture française et les Français ont commis un crime contre l’humanité… Wow ! rien que ça… Donc, pour plaire à certains afro-dictateurs corrompus, ça valait bien une gigantesque reconquista aux hurlements antilaïques et antiblancs, invités par le Thénardier jupiter number One à nous remplacer et à nous faire un gigantesque doigt d’honneur le soir de la fête de la musique. De quoi se réjouir ! Il ne manquait que les gardes républicains pour afficher le clou du spectacle.
Hourra ! Enfin la musique techno à l’Elysée avec un tee-shirt blanc marqué en noir « je suis noir, immigré et pédé… et je vous emmerde ».
On s’en souviendra !
Juste pour contextualiser cette affaire, dont j’espère ardemment qu’une plainte sera déposée contre les personnes qui ont empêché cette pièce de théâtre, sachez que les photographies qui circulent ne datent pas de lundi.
Cela fait un an que la pièce de théâtre est jouée, les photographies datent de mars 2018, ainsi il faut un an à des individus pour jouer les outragés.
En mars 2019 les acteurs n’étaient pas grimés de noir, mais portaient des masques !
Le « blackface », c’est étatsunien et non français, donc importer des théories culturelles dans une autre culture, il y a comme un problème, cela devient du racisme à partir du moment où l’on prétend qu’une culture doit dominer une autre, voire imposer ses concepts et sa vision civilisationnelle.
Cet acte étatsunien de grimer son visage en noir vise à humilier et rabaisser les êtres humains Noirs en les jouant pour les faire passer pour des idiots, des êtres inférieurs, des dégénérés.
Dans la pièce de théâtre en question cela n’a jamais été le cas !
Nous devrions refuser catégoriquement d’employer cette terminologie étasunienne, car l’employer c’est donner raison à l’extrême droite ; il n’y a pas que des Blancs à l’extrême droite, il y a aussi des skinheads nègres et plein d’autres de toutes les couleurs et religions.
La journaliste Lilia Hassaine explique ici l’origine de cette histoire dans une vidéo de 2mn 46s. Soit elle se télécharge, soit elle démarre dans votre navigateur Internet, c’est en fonction du navigateur Internet dont vous faites usage.
=> La vidéo <=
Si vous regardez bien les photographies que présente la journaliste Lilia Hassaine, les acteurs qui jouent les personnages Blancs sont eux aussi grimés en blanc.
Et en regardant de plus près sur l’une des photographies, l’une des comédiennes jouant les personnages Noirs ne semble pas blanche originellement.
« Des étudiants et des militants de la cause noire … »
Quelqu’un devrait leur dire que dans toute l’Afrique Noire le masque est largement utilisé pour promouvoir leur culture y compris des masques peints en blanc dont certains particulièrement laids.
Faute d’écriture les Africains ont écrit leur passé dans leurs récits transmis verbalement et, surtout, leurs masques et statues de pierre, de bois et de terre cuite.
Il faut les pousser à visiter les sections africaines de tous les musées de ce monde, peut-être alors comprendront-ils le rôle du masque dans l’évolution de la civilisation à travers tous les continents ! Au passage ils pourront aussi jeter un coup d’oeil sur ceux de l’Egypte antique, des anciens Asiatiques chinois comme japonais, des Indiens d’Amérique du Nord comme du Sud… et découvriront ainsi que les Grecs n’ont fait que ce que faisaient tous les autres.
Par ailleurs les danses traditionnelles chez les Africains comme chez les Indiens sont aussi une forme de théâtre qui raconte leur histoire et leur perception du monde.
A chacun sa civilisation, son théâtre et ses masques !
« C’est de la bêtise dans sa quintessence. »
Qui hélas ne s’applique pas qu’à ces étudiants et au CRAN et pas seulement au sujet des masques !
Après avoir analysé les antagonismes sociaux produits par l’immigration de masse et le Grand remplacement en cours, ainsi que les paravents idéologiques déployés pour le favoriser, prenons un peu de hauteur. Voyons dans quel contexte s’exercent ces polémiques idiotes sur le « blackface », et autres crimes « racistes » imaginaires.
Comme souvent, c’est à la Russie qu’il convient de se référer. D’abord parce qu’elle est dans la même situation que nous, et suit le même chemin ; et aussi parce que, malgré l’intense propagande qui l’étouffe, le politiquement correct y a un peu moins de prise. Il y a encore des Russes qui s’autorisent à dire que le roi est nu.
Je défie quiconque de lire le texte suivant sans y voir un parallèle frappant avec la France. Inutile de dire que la réalité décrite est à l’opposé de la fable poutiniste propagée en Occident.
« La Russie ne se contente pas de subir un exode des cerveaux massif, qui la prive de la main d’œuvre qualifiée dont elle bénéficiait jadis, écrit Anatoly Komrakov dans le quotidien russe Nezavissimaïa Gazeta ; elle remplace ces émigrés par des gardiens d’immeuble, les immigrés que le Kremlin cherche à attirer pour compenser le déclin démographique. »
« Ce mouvement de ciseaux constitue une menace infiniment plus grave, pour la Russie, que ne le serait l’une ou l’autre tendance prise isolément. »
« Selon une étude qui vient d’être publiée, ’18 % environ des dépôts de brevet en Europe et aux Etats-Unis sont effectués par des émigrés russes, qui ont dû fuir leur pays pour satisfaire leurs ambitions professionnelles’, explique Komrakov. Tous ces gens-là ont fait des études supérieures. C’est le signe manifeste d’un exode des cerveaux massif. »
« Cette substitution de personnes hautement qualifiées par des individus peu éduqués est ‘une catastrophe’, dit Vadim Kvachev, expert à la Chambre de commerce et d’industrie de Russie. ‘Il est impossible de fermer les yeux sur ce phénomène’. La Russie est devenue un fournisseur de cerveaux pour l’Occident, et un importateur d’immigrés en provenance des pays de l’ex-URSS. »
« L’importation d’immigrés dépourvus d’éducation peut permettre aux entreprises russes d’améliorer leurs profits à court terme, mais l’exode des personnes les plus qualifiées annulera cet effet à long terme, dit cet expert, rejoint par d’autres. »
« Cette fuite des meilleurs prend des proportions véritablement dramatiques, et la tendance s’aggrave. Selon Nadezhda Reingand, de Patent Hatchery, un cabinet de conseil en brevets installé à Washington, 300 demandes de brevet avaient été déposées par des Russes aux Etats-Unis en 2009. Maintenant, le chiffre est de 900 par an. Beaucoup d’entre elles figurent parmi les meilleures : les brevets déposés par des Russes sont accordés dans un cas sur deux ; ceux déposés par des Américains dans un cas sur trois. »
« Cette évolution, souligne Komrakov, ne fait pas seulement présager de sombres lendemains pour l’avenir intellectuel de la Russie. Elle suscite une xénophobie de plus en plus importante à l’égard des nouveaux arrivants, ce qui dégrade la qualité de vie en Russie, et accroît d’autant l’envie d’émigrer des plus qualifiés. »
« Le gouvernement traite ces deux mouvements, d’immigration et d’émigration, de façon séparée, relève le journaliste. Mais ils sont, en fait, étroitement liés, et menacent de plus en plus les intérêts à long terme de la Russie. »
Comme vous le voyez, toute analogie avec un pays doté de nombreux fromages, et d’un Conseil représentatif des associations noires, serait parfaitement abusive…
Les Gilets jaunes, ce sont ceux qui restent… ceux qui n’ont pas pu émigrer, parce qu’ils n’ont pas le niveau. Sans surprise, ce n’est pas brillant. On voit à quoi ressemble notre avenir, si l’on ne fait rien, ni pour stopper l’immigration de masse, ni pour libéraliser massivement les institutions et l’économie.
Tresser des couronnes aux vertus immanentes du saint peuple vêtu de jaune ne mènera nulle part, pas plus pour ce dernier que pour le reste de la population.
Dans cette société où chaque communauté, chaque groupuscule, veut absolument marquer une trace de son existence – par ailleurs, souvent subventionnée – le monde de la culture porte une écrasante responsabilité, en matière de comportements plutôt lâches, dès que l’on touche aux personnes d’origine étrangère.
Et souvent, plutôt que de corriger ces errements de leur susceptibilité exacerbée, ces plaintes systématiques de « maltraitance », le monde de la culture les a confortés, soutenus, défendus. Quitte à laisser accuser des… « nationaux » de tous les maux envers la diversité ; le satané racisme n’étant pas le moindre. Alors, si aujourd’hui, forts de ce soutien systématique, les associations douteuses et partiales, comme le CRAN, se sentant intouchables, se retournent contre la culture, il ne faut pas trop compter sur moi, pour la plaindre.
Comme on fait son lit on se couche…
@ Mary Preud’homme 30 mars 2019 23:17
@ Xavier NEBOUT 30 mars 2019 17:31
» Black – nigger – negro – African American »
Mary Preud’homme a raison : personne ne va en prison aux USA pour avoir employé ce terme « nigger » ! D’autant plus que ce terme n’est plus utilisé dans la conversation courante depuis fort longtemps ! Où aviez-vous la tête Xavier Nebout ?
Nigger n’est donc quasiment jamais utilisé dans la vie courante, ni surtout en matière juridique ou policière et en définition ethnique.
Black est le terme le plus couramment utilisé dans la vie de tous les jours. Par les Blancs, les Noirs, les Latinos, les Asiatiques et Amérindiens. Et aussi bien par la police que par la justice.
African-American l’étant par certains noirs et blancs progressistes et intellos dans des conversations médiatisées. Et accessoirement par des progressistes rigolos français.
Negro est le terme vulgaire, méprisant et insultant pour définir un black. De plus en plus utilisé dans la classe populaire. Et aussi au cinéma et dans les séries !
Cordialement.
@ Robert Marchenoir | 31 mars 2019 à 07:09
« Après avoir analysé les antagonismes sociaux produits par l’immigration de masse et le Grand remplacement en cours…»
Il n’y a jamais eu d’immigration de masse en France !
Où sont vos chiffres INSEE ou INED qui l’attesteraient ?
Quant à la théorie arriérée du « grand remplacement » qui n’est fondée sur aucune preuve scientifique, il convient de rappeler que les gens qui vous précédent sont morts et que vous les avez remplacés.
Poursuivons sur cette théorie d’arriéré, le peuple venant de l’actuelle Suède, les Germaniques, se sont séparés en deux groupes, dont l’un est venu voler, coloniser, les terres des Celtes, sous le nom de Frekkrs alias les Francs ; terres que nous appelons aujourd’hui France.
Les Vikings sont venus coloniser, donc voler, des terres en France, homme du Nord : Man come from North, Man of North, Normand, Normandie.
Les Flamands le nord de la France, les Germaniques l’Alsace-Moselle, sans compter les Huns.
Des Scandinaves venus voler le sud-ouest de la métropole : Visigoths, dont une partie sera expulsée par les Francs et ils iront fonder la Catalogne.
Des Celtes chassés par les Saxons et les Angles, de l’actuelle Angleterre, qui vont venir coloniser la Bretagne.
L’Empire romain qui a colonisé les pays celtes en les appelant par une injure : Gaules ; de Galli, Gallo, les poules, le coq, qui donna par la suite gallinacé.
Nous pouvons parler des USA, du Canada, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, eux bel et bien remplacés par des blancs-becs !
Ce n’est pas naturel des blancs-becs à Christchurch !
Quoi qu’il arrive vous mourrez, comme nous tous, et serez donc remplacé !
La mort remplace tout !
Racisme anti-blanc ?!
Mais qui a prôné la supériorité d’une race sur une autre ?!
Supprimons le mot « blanc » et remplaçons-le par clair (en hiver), bronzé (en été)…
@ Elusen 31 mars 2019 à 08:54
« Quoi qu’il arrive vous mourrez, comme nous tous, et serez donc remplacé !
La mort remplace tout ! »
Je souscris à votre démonstration excepté la conclusion. Ce n’est pas la mort qui remplace tout, c’est la vie, la continuité de la vie.
@ Mary Preud’homme | 30 mars 2019 à 22:43
« A croire que l’on manque d’acteurs à la peau noire ou métissés pour jouer ces rôles…»
Avez-vous lu la pièce qui date d’il y a 2 466 ans ?
Savez-vous qu’il s’agit d’un cours de théâtre à l’université, donc que seuls les étudiants inscrits peuvent jouer ?
La pièce de théâtre est-elle écrite pour des personnes consubstantiellement noires ? Non !
Le noir n’est pas une couleur de peau dans cette pièce de théâtre, mais une couleur pour distinguer deux groupes, que l’on sache qui est qui.
Cela aurait pu être vert et orange, ainsi Trump aurait pu crier au complot de la Sorbonne !
Vous avez vraiment le même niveau intellectuel que Robert Marchenoir, c’est dire !
La pièce sur le site officiel de la Bibliothèque Nationale de France, Gallica.
=> Les Suppliantes <=
Et Edmond Lévy professeur d’histoire spécialisé dans l’Antiquité à l’université Marc Bloch de Strasbourg explique la pièce.
=> Explication pour beaufs voulant briller en société sans avoir lu la pièce <=
Le costume masculin moderne habillé (veste, pantalon, chemise), adopté de nos jours par le monde entier, est d’origine européenne, et même anglaise et militaire me semble-t-il. Il va falloir interdire ce signe culturel à tous ceux qui imitent le mâle blanc européen sans y avoir droit, au bureau, dans les rendez-vous d’affaires, aux mariages et aux enterrements. Je n’ose évoquer le cas des femmes qui portent le pantalon. Que la chasse commence.
@ GERARD R. | 31 mars 2019 à 08:01
▬ « …par ailleurs, souvent subventionnée »
Même le MEDEF reçoit des subventions, plusieurs lignes de crédit. Et ça ce ne sont que les subventions du gouvernement et des assemblées.
Les riches sont subventionnés ouaiiiiis !!
=> En 2016 <=
=> En 2017 <=
▬ « Comme on fait son lit on se couche… »
Ben non !
Si on le fait, c’est que l’on vient de se lever : « va faire ton lit », disait votre mère.
On le défait pour aller se coucher !
@ Elusen 31 mars 2019 08:54
« Le Grand Remplacement »
Le Grand Remplacement est une image, pas une théorie scientifique. Serait-ce trop simple pour que vous le compreniez ? Comme il est, sans doute, trop simple d’ouvrir les yeux !
Cordialement.
@ Lucile
« Bravo ! Heureusement que ce blog existe. »
Les souchiens racistes peuvent certes y aboyer tout leur soûl et s’y nourrir de leurs propres déjections, mais en quoi, je vous le demande, cela empêche-t-il la caravane antiraciste d’être bien installée en France ?
Il n’y a pas de grand remplacement, mais s’il y a un grand changement dont vous ne mesurez pas encore toute la profondeur, c’est dans le fait que les antiracistes ne cherchent plus à discuter avec les gens comme vous, d’où leurs réunions racisées.
Ils ont aujourd’hui parfaitement intégré que vous étiez totalement imperméables au sens des mots et à la raison, que vous parler ne sert ainsi strictement à rien et leur a fait longtemps perdre un temps plus que précieux.
Le temps de l’action.
Personne n’a jamais confondu Al Jolson et Louis Armstrong. L’un d’eux était un génie.
@ boureau | 31 mars 2019 à 11:32
« Le Grand Remplacement est une image, pas une théorie scientifique. »
Et comme vous avez beaucoup d’images vous avez l’intention de nous pondre un album mon petit Panini.
Vous pourrez toujours dire ça, le jour de votre mort quand vous serez remplacé : « c’est pas scientifique, ce n’est qu’une image ! »
@ S Carioca | 30 mars 2019 à 21:32
« Beurk ! »
Et qu’avez-vous l’intention de faire avec les petits beurres ?
Les pédophiles, eux, savent déjà ce qu’ils vont faire des petits filous et le FN des petits écoliers ; bien que les prêtres depuis quelque temps ce soient les religieuses et Marine Le Pen les glands.
« Personne n’a jamais confondu Al Johnson et Louis Armstrong. L’un d’eux était un génie. »
Rédigé par : Solon | 31 mars 2019 à 11:44
Il s’appelait Al Jolson, et non Johnson et il était blanc.
Pour les fans de GG:
https://twitter.com/ggaspary/
http://metactualites.blogspot.com/
Y’a du lourd comme on dit maintenant.
Elusen aurait retrouvé, et traduit, la partie perdue du cycle des Danaïdes qu’il me soupçonne de n’avoir pas lue et pour cause ?
Alléluia !
En comparaison du sien, le QI de Marchenoir c’est de la gnognotte !
@ Elusen | 31 mars 2019 à 12:15
@ boureau | 31 mars 2019 à 11:32
Lu sur Wikipédia à propos du Grand Remplacement :
« Le « grand remplacement » est une expression introduite par Renaud Camus, écrivain français d’extrême droite, selon laquelle il existe un processus de substitution de la population française et européenne par une population non européenne, originaire en premier lieu d’Afrique noire et du Maghreb. »
Lu aussi sur Wikipédia concernant Renaud Camus :
Il a également des relations avec de jeunes hommes d’origine arabe, qu’il relate dans son journal à plusieurs reprises :
« Et je fus bien content, mais enfin pas plus que cela, deux heures plus tard, de rencontrer certain jeune Maghrébin remarquablement bien bâti… »
https://fr.wikiquote.org/wiki/Renaud_Camus
On est en droit de se poser la question de savoir ce que sont la motivation et la conception du Grand Déplacement chez Renaud Camus et surtout à quel niveau il se situe…
@ Garry Gaspary | 31 mars 2019 à 11:37
Bref si les anti-racistes sont racistes, c’est à cause de moi. Et moi, si je suis anti-anti-raciste, c’est à cause de vous. Mais voyons bien sûr. C’est toujours la faute de l’autre.
@ Garry Gaspary | 31 mars 2019 à 11:37
Et alors, donc, c’est raciste de se grimer le visage ainsi ?
Parce que, pour répondre de cette manière à Lucile il faut quand même le préalable que pour vous cela soit raciste. Et si vous trouvez cela raciste cela prouve que vous êtes stupide, mais nous le savions déjà, n’est-ce pas ?
Mais on sent bien que vous n’êtes pas stupide de naissance, mais que vous avez décidé, par idéologie, de vous rendre étanche à la raison.
C’est un choix étrange. Pourquoi donc ?
@ Mary P | 30 mars 2019 à 20:49
« Trou dans le Marchenoir et pas que ! »
Moi pas comprendre, alors moi cherché et moi trouvé :
Le trou,
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/5/5e/BH_LMC.png/750px-BH_LMC.png
Le lien,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_noir
[…Un trou noir ne doit pas être confondu avec un trou blanc ni avec un trou de ver.]
Le trou de ver, je connais, mais le « trou blanc », je ne connaissais pas. Et pourtant il existerait aussi :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_blanc
Finalement mieux vaut en rire, humour noir de blanc du dimanche :
Une dame arrive devant saint Pierre aux portes du paradis. Celui-ci l’accueille lui disant de s’asseoir pendant qu’il remplit son Grand Livre des Inscriptions. Pendant qu’elle attend, elle entend des pleurs et des cris venant de l’intérieur. Curieuse, elle demande à saint Pierre :
Que veulent dire tous ces geignements ?
– Ah, madame… Ce sont nos tout nouveaux anges, les personnes qui sont arrivées hier. On leur perce des trous dans la tête et dans le dos. C’est pour pouvoir installer l’auréole et les ailes, vous comprenez ?
– Si c’est comme ça, je préfère aller en enfer !
– Mais madame, en enfer, ils vous violent et vous sodomisent !!
– Peut-être ! Mais, là au moins, les trous sont déjà faits….
Nota : l’histoire drôle, ou non je ne sais pas, doit aussi marcher avec un homme j’imagine.
Dans « Chroniques de Jazz » Boris Vian expliquait qu’il fallait être Noir pour jouer cette musique de jazz. Pour ceux qui aiment la recherche, pour moi c’était il y a quelques années :
https://goopics.net/i/7JKAR
Boris Vian n’aimait pas non plus l’accordéon – dans ses chroniques aussi. En fait pour ces deux sujets il avait la lecture immédiate, et subjective, on peut le comprendre il n’a pas vécu suffisamment de temps – malgré sa boulimie – pour se faire une idée des chemins qui s’ouvraient et la possibilité et l’inventivité des instrumentistes à venir.
Il n’a jamais entendu sans doute la Luciole de Médard Ferrero. Et tout ce qui arrivait par la suite, malheureusement pour lui.
https://youtu.be/jey0RRvVcnk
Boris Vian était du temps de Miles Davis – sa passion effrénée du jazz était sans distraction il courait comme un dératé après la vie, on peut le comprendre.
Concerto de Aranjuez https://youtu.be/S5u41KdKZV4, pour les amoureux, il me semble me souvenir que Savonarole n’est pas fan, c’est parce qu’il manque de souffle, pourtant certains passages n’en manquent pas, exceptionnels.
« Ascenseur pour l’échafaud », sans sa trompette le film n’a plus le même goût.
Toute musique est belle quand elle est maîtrisée et inventive, Blanc ou Noir à l’origine, elle a diffusé, s’est mélangée, tout est bon à prendre pourvu qu’on sente l’ivresse, à consommer sans modération.
Je persiste et signe, la voix de Marlène Schiappa me fait saigner les tympans, ajouté à sa muqueuse humide à cirer les bottines vernies du Président, elle ne pourra jamais accéder à la beauté des notes.
Sinon elle travaillerait son organe, horripilantes sonorités, elle a la même écriture que ses vocalises, je la fuis dès qu’elle apparaît, mes tympans m’avertissent, ils sont très sensibles.
Petite digression d’un dimanche ensoleillé, sous une des plus belles musiques du monde:
https://youtu.be/w7xXzoDLmyI
Drôle, pas d’autre mot. C’est drôle. Et même, allons, drôlement imbécile.
Parce qu’il y a les stupides, qui ne bougent pas, les agités du bocal qui sartrisent à tout-va, et les excités qui ne pensent qu’à eux et leur réputation, les BHL, en général, les artistes dits engagés, mais si engagés qu’on ne souhaite plus rien que de les voir « dégager ». Mme Diallo et sa moue méprisante soigneusement calculée fait partie de ceux-là, mais elle n’est qu’un portemanteau, bonne à mettre sur le dos d’un cheval cinglé pour accélérer son allure. C’est là qu’on rigolerait avant que la bonne pensée ne nous l’interdise.
Le tampon anti-rire c’est le raciste. On en voit partout, enfin, a-t-on idée : patron un petit noir. Il fait noir comme dans un four, les gueules noires, encore heureux qu’on se fasse marquer à l’encre rouge. Surtout le chocolat noir choque, évoquant Banania, sans parler de l’œuvre au noir.
Bien sûr, le noir c’est l’Afrique, l’Africain c’est l’esclave, l’esclave du Blanc, raciste et méprisant. Sauf, sauf, sauf, que le Noir est l’esclave de l’Arabe, historiquement, n’est-ce pas, Taubira ? Qu’il fut aussi celui du Grec, dans des prises de guerre out of africa, mais aussi empereur des Romains. Et qu’il fut ainsi avec des heurs et malheurs pendant 35 000 ans où les Africains firent exactement ce qu’ils voulaient, sauf à s’esclavager les uns les autres et même à devenir juifs.
Mais pendant ce temps, des peuples plus ou moins bronzés faisaient aussi ce qu’ils voulaient : se bouffer entre eux, comme le firent certains Gaulois, prendre des esclaves dans la tribu voisine, et édifier une culture du sang et du crime considérés comme un des beaux-arts. Ah, je rêve de l’écrasement maya pour crime d’oubli. 300 Espagnols pour battre les Aztèques, oui, mais aidés par 6 000 supplétifs… Aztèques qui en avaient ras le bol de Tenochtitlan et de son odeur de sang permanente… pourri en plus.
Et le Japon sciait petit à petit la tête des condamnés, enfoncés dans le sol, avec des outils en bambou, cultivait la mort et l’enfermement pour finalement adopter les chaises Napoléon III.
Et pendant ce temps, en toute brutalité, en pure cruauté, les Grecs construisaient la pensée qui allait devenir occidentale. De cet affrontement paradoxal naquit une flamme qui ne s’est éteinte que chez ceux qui n’y voient rien d’autre qu’une discrimination rêvée.
Enfin, l’Amérique fut découverte et exploitée et l’art de l’esclavage connut son apogée, lesdits esclaves noirs étant vendus par des potentats noirs à des négriers arabes qui les fourguaient aux négriers blancs.
Et pendant ce temps, l’Europe, par Louis XIV, se débarrassait des pirates algérois et turcs qui rapinaient des esclaves sur les côtes françaises et dévastaient la Corse, précédant ceux qui ont su faire un pays d’une zone de brigandage turc qui depuis trois siècles venait s’approvisionner en esclaves blancs sur les rives de la Méditerranée française italienne et espagnole.
De telle sorte qu’aujourd’hui, nous avons un pays que la France a fabriqué qui commence à comprendre que des dirigeants arabes ou noirs ne sont pas forcément des modèles et que la liberté ne se contente pas de l’insulte et la haine mais réclame la conscience de soi-même.
D’autres, en revanche, n’ont toujours rien compris et comme ils n’ont pas envie d’apprendre, continuent à rapiner sur le colonisateur le plus obligeant et le moins musulman. On voit mal Diallo chez les Turcomans ni Tin, d’excellente lignée, chez les Saoudiens. Ya bon la France pour exprimer les ressentiments de ceux qui n’ont pas les moyens ni la liberté de les exprimer.
L’arme alors la plus sûre, c’est la censure par la violence. Par un étrange mouvement de récurrence, ces partisans de l’égalité s’empressent de singer ceux qu’ils veulent dénoncer.
Il est heureux que les gens du CRAN aient commis cette énorme erreur. Ils n’ont pas censuré un metteur en scène, ils ont censuré Eschyle et le difficile chemin de la liberté, en cela ils sont restés esclaves, comme cette dame Diallo, insignifiante dans son arrogance cosmétique.
@ Savonarole, 12h46
Pardon pour l’orthographe ! Mais évidemment qu’il était blanc… et se noircissait le visage. Un peu dans le sens du billet de Monsieur Bilger… Faites un effort.
La devise du CRAN:
« Faire sans blanc ».
Il a été dit que la mort nous remplaçaient tous ? Oui et non, quand on aime quelqu’un, il est irremplaçable.
Contre la mort et ses « justifications », j’aime bien cette fable :
https://nickbostrom.com/fable/dragon-tyran.html
@ genau de 16:41
« Et pendant ce temps, l’Europe, par Louis XIV, se débarrassait des pirates algérois et turcs qui rapinaient des esclaves sur les côtes françaises et dévastaient la Corse, précédant ceux qui ont su faire un pays d’une zone de brigandage turc qui depuis trois siècles venait s’approvisionner en esclaves blancs sur les rives de la Méditerranée française »
Merci pour ce hors sujet dominical bien intéressant.
« Même les idées ont leur dimanche » (LF Céline)
Ça nous repose…
Vous connaissez peut-être le Général Joseph Vantini, enlevé par les barbaresques, une vie hors du commun que je vous laisse découvrir, revenu en France on l’appelait « Général Youssouf » on lui attribue la création du corps des Bachi-bouzouks, mais plus probablement celui des Spahis.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Joseph_Vantini
@ fugace | 31 mars 2019 à 15:02
Oui enfin, aux dernières nouvelles il paraît qu’on serait sur le point d’abandonner cette hypothèse intenable du point de vue de la mécanique quantique: https://blogs.mediapart.fr/jean-paul-baquiast/blog/130618/cosmologie-cosmologie-les-trous-noirs-existent-ils-vraiment
Et donc, le seul trou noir serait celui de la mémoire d’où l’information serait dans l’incapacité de réémerger.
“…Je demande trop aux hommes! Mais pas assez aux nègres, Madame ! S’il y a une chose qui, autant que les propos des esclavagistes, m’irrite, c’est d’entendre nos philanthropes clamer, dans le meilleur esprit sans doute, que tous les hommes sont des hommes et qu’il n’y a ni Blancs ni Noirs. C’est penser à son aise, et hors du monde, Madame. Tous les hommes ont mêmes droits. J’y souscris. Mais du commun lot, il en est qui ont plus de devoirs que d’autres. Là est l’inégalité. Une inégalité de sommations, comprenez-vous ? A qui fera-t-on croire que tous les hommes, je dis tous, sans privilège, sans particulière exonération, ont connu la déportation, la traite, l’esclavage, le collectif ravalement à la bête, le total outrage, la vaste insulte, que tous, ils ont reçu plaqué sur le corps, au visage, l’omni-niant crachat ! Nous seuls, Madame, vous m’entendez, nous seuls, les nègres ! Alors, au fond de la fosse ! C’est bien ainsi que je l’entends. Au plus bas de la fosse. C’est là que nous crions ; de là que nous aspirons à l’air, à la lumière, au soleil. Et si nous voulons remonter, voyez comme s’imposent à nous, le pied qui s’arc-boute, le muscle qui se tend, les dents qui se serrent, la tête, oh ! la tête large et froide ! Et voilà pourquoi il faut en demander aux nègres plus qu’aux autres: plus de travail, plus de foi, plus d’enthousiasme, un pas, un autre pas, encore un autre pas et tenir gagné chaque pas ! C’est d’une remontée jamais vue que je parle, Messieurs, et malheur à celui dont le pied flanche !
(Aimé Césaire, la Tragédie du roi Christophe)
A méditer.
@ Giuseppe | 31 mars 2019 à 15:02
Merci, j’aime Nougaro…
Mais une version plus nette de cette même vidéo (380 p au lieu de 240)
https://www.dailymotion.com/video/xovzq
Et puis, profitons des vidéos gratuites de l’INA dans lesquelles il est toujours agréable de farfouiller un après-midi d’ennui… et l’ennui disparaît 🙂
https://www.ina.fr/video/I04076267 (qualité « haute » payante !!!)
https://www.youtube.com/watch?v=qGAFfw0LjYI
Et la reprise par Maurane qui nous a laissés bien trop tôt…
https://www.youtube.com/watch?v=KtCX0FvV_7E
Cher Philippe,
A nous questionner sur l’abbé puis sur l’Abaé, n’y aurait-il pas une idée d’abus de définition de la bêtise?
françoise et karell Semtob
@ Xavier NEBOUT |30 mars 2019 à 17:31
« Le terme marché noir devrait être rayé des livres d’histoire. Ça fera un sacré trou dans celle de 39-45.. »
Un astrophysicien aurait dit « un trou noir ».
Avant tout merci à vous, Philippe Bilger de parler de cette affaire, elle peut paraître anodine ou marginale, or, elle ne l’est pas.
Le fait d’avoir bloqué cette représentation n’est pas juste une scandaleuse intimidation, c’est au contraire significatif de ce qu’est devenue notre société divisée et minée par les minorités revendicatrices.
A force de reniements et de renoncements, à l’école, dans les médias, dans les débats, à force d’adapter notre vocabulaire pour l’affadir, de tout faire pour ne pas froisser les susceptibilités, on ne va jamais assez loin et cela doit nous faire prendre conscience de ce qui nous attend si nous ne mettons pas le holà.
Je n’ai pas entendu beaucoup d’indignation de la part des belles âmes humanistes, alors que oui, si l’extrême droite avait fait la même chose à l’inverse j’imagine très bien le flot de colère indignée et le tollé justifié sur toutes nos chaînes télévisées.
Serons-nous obligés un jour d’abandonner Molière et son Bourgeois gentilhomme, Aïda ou encore Voltaire parce qu’ils se moquent, critiquent ou font jouer des personnes noires ou de cultures différentes ? Jusqu’où nous obligera-t-on à renier notre culture ?
Tout cela n’a pas de sens et il est regrettable que cette occasion n’ait pas donné lieu à un recadrage immédiat de la part de ceux qui nous dirigent, à part un tweet mollasson du ministre de la Culture.
M. Brunet s’est excusé, regrettant d’avoir pu blesser quelqu’un… le contraire de ce qu’il aurait dû faire, car non ces étudiants ne sont ni incultes ni bêtes ni débiles, ils ont la volonté de nous imposer leur vision culturelle, celle de leur communauté intouchable, puisque c’est ainsi que s’expriment les gens du CRAN, dont Mme Thiaba Bruni chez Pujadas. Un racisme à l’envers imposé en toute impunité, alors qu’un mot malheureux ou mal employé peut emmener un « Blanc » « face de craie » au tribunal.
Nous devons nous protéger d’une société communautarisée avant que la situation ne devienne invivable et qu’il ne soit trop tard.
@ Solon | 31 mars 2019 à 16:44
Mais… mais…
Al Johnson était bien un chanteur noir américain de musique soul…
Celui qui a fait la confusion n’est pas celui qu’on croit…
@ Pierre Blanchard | 31 mars 2019 à 18:46
Heureux que cela vous ait fait plaisir.
Pour Maurane j’ai eu l’occasion de l’écouter en concert privé à Bercy, invitée ce jour-là, pour nous c’était soirée détente après la journée nationale… Belle chaleur de voix pour soirée sympa.
Sibeth N’Diaye nommée porte-parole du gouvernement.
Celle qui a dit au moment de la mort de Simone Veil: « Yes, la meuf est dead », au moins aussi irrespectueux
que les tags sur les photos de Simone Veil.
Dans la lignée de la fête de la musique à l’Elysée, le racisme anti-blanc a de beaux jours devant lui, et devient une institution.
Finalement, Eschyle et Louis-Georges Trin n’étaient qu’une étape.
Mince alors, pendant que je me dorais la pilule, il s’en passait des choses intéressantes…
Mais oui, quand on s’ennuie on peut commenter des âneries, et ce qui est vraiment chouette c’est que les imbéciles ne manquent pas d’idées que les gens intelligents n’oublient pas de décortiquer…
Cependant, j’ai été bien punie, et je constate avec horreur que la peau exposée au soleil à une fâcheuse tendance à comment dire ? rosir, rougir, brunir, noircir, cuire et se tanner…
Je ne crains pas de dire que c’est si délicieux de noircir, se dessécher, se faner au soleil, qui était bon, doux, chaud et juste assez brûlant pour que je me dise que je suis une pure abrutie de ne pas avoir pensé à me protéger !
Car comme certains l’ont souligné, on va tous mourir, et cela est une excellente nouvelle, sans quoi la sottise pourrait durer toujours ! Enfin, il semble…
@ Michelle D-LEROY | 31 mars 2019 à 19:38
« Un racisme à l’envers »
À l’évidence vous vous êtes une vraie raciste, c’est avec ce type de phrase que l’on vous reconnaît ; il y aurait ainsi un racisme à l’envers et un autre à l’endroit.
Le racisme serait dès lors l’exclusive propriété des Blancs et ce qui vous gêne c’est que les Noirs vous voleraient votre propriété.
Vous n’êtes pas gênée par le racisme en tant que tel, mais que l’on vous vole votre propriété intellectuelle. Doublement raciste par ailleurs, puisqu’en plus, vous ne faites peser le racisme que sur les Blancs et personne d’autre, comme si cela était inhérent aux Blancs, génétique chez eux.
Il n’y a pas de racisme à l’envers ou à l’endroit, tous les racistes sont des vomissures, des parasites du genre humain et ce quelle que soit leur couleur, leur religion.
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@ Mary Preud’homme | 31 mars 2019 à 13:17
«…qu’il me soupçonne de n’avoir pas lue et pour cause ? »
Et vous auriez lu quelque chose qui n’existe pas ?!
Vous n’aviez jamais entendu parlé des Suppliantes et aujourd’hui vous en seriez l’experte.
La mise en scène n’a jamais visé à humilier les personnes Noires, ni à leur ressembler.
Noir est une couleur dont les Blancs ont le droit de faire usage et la couleur noire dans la mise en scène visait seulement à distinguer deux groupes sur scène et non à imiter des personnes Noires.
La preuve irréfutable, que la modération a refusé de publier, les acteurs qui jouaient les Blancs étaient eux aussi grimés en blanc. N’importe qui peut voir que ces deux acteurs sont maquillés avec du blanc, il suffit de voir pour l’un le contour des yeux et pour l’autre la main et l’avant-bras. C’est dans la vidéo de la journaliste Lilia Hassaine mise plus bas.
Bravo, poursuivez vos efforts !
@ Herman kerhost | 31 mars 2019 à 14:21
« On sent bien que vous n’êtes pas stupide de naissance, mais que vous avez décidé, par idéologie, de vous rendre étanche à la raison. »
C’est en effet un syndrome fort courant de nos jours. Faire l’imbécile est une stratégie délibérée, qui présente pour ceux qui l’emploient beaucoup d’avantages.
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@ Lucile | 31 mars 2019 à 10:47
« Le costume masculin moderne habillé (veste, pantalon, chemise), adopté de nos jours par le monde entier, est d’origine européenne, et même anglaise et militaire me semble-t-il. Il va falloir interdire ce signe culturel à tous ceux qui imitent le mâle blanc européen sans y avoir droit. »
Tout à fait. Cette manifestation d’appropriation culturelle est parfaitement scandaleuse.
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@ boureau | 31 mars 2019 à 08:39
« Nigger n’est donc quasiment jamais utilisé dans la vie courante, ni surtout en matière juridique ou policière et en définition ethnique. »
Par vous ou moi, non, certainement. Mais par les Noirs américains, si. En particulier par deux catégories : les rappeurs, et les délinquants d’habitude. Catégories qui se recouvrent un peu, il faut bien le dire.
Un Noir a le droit de dire « Nigger ». Ils ne s’en privent pas. Ce mot a deux sens dans leur bouche : c’est un terme de camaraderie affectueux (un peu comme « mon salaud » ou « mon cochon »), et cela désigne (voire auto-désigne, pour les condamner mais aussi pour les glorifier) les Noirs qui ne se conforment pas aux lois et aux usages sociaux, ceux qui mettent le bololo. Les Gilets jaunes, si je puis dire, quoique l’incivisme prend là-bas des formes un peu différentes.
C’est tellement manifeste qu’un rappeur (noir, naturellement) s’est servi récemment de ce deux poids, deux mesures pour jouer un très mauvais tour à l’un de ses fans (une jeune fille, blanche bien évidemment).
Dans l’une de ses, euh… « chansons », il emploie le mot « Nigger » à tire-larigot. Lors d’un de ses concerts, il a fait monter la donzelle sur la scène, en feignant de lui faire un immense cadeau. L’écervelée était liquéfiée de reconnaissance, comme on l’imagine. Sur quoi, son idole l’invite à chanter son tube au micro. Sitôt qu’elle eut prononcé le mot « Nigger », il arrêta la « musique », changea de ton et se mit à lui hurler dessus devant tout le monde, pour avoir osé prononcer le mot « raciste ».
Bien entendu, comme toujours en pareil cas, la fille fut harcelée et traînée dans la boue sur les réseaux sociaux. Une persécution particulièrement cruelle, vu la place irremplaçable que tiennent ces derniers dans la vie des jeunes Américains. Elle a été stigmatisée à travers le pays tout entier — et même à l’étranger.
« Negro est le terme vulgaire, méprisant et insultant pour définir un black. »
Aujourd’hui, oui. Mais plus personne ne l’emploie. En revanche, dans les années 1940 ou 1950, c’était au contraire le terme correct. Un Blanc qui disait « the Negro », au lieu de « Niggers », faisait preuve d’anti-racisme affirmé.
De même, le terme correct est devenu, plus tard, « coloured ». Personnes de couleur. Aujourd’hui (c’est tout à fait nouveau), un Blanc qui dit « coloured » (croyant bien faire) se fait agonir d’injures par tout le club des Noirs « anti-racistes ». Il y a eu un incident de ce type en Angleterre récemment.
Le politiquement correct déplace sans cesse la cage de buts à roulettes. Un mot correct ne le reste pas longtemps. Il faut sans cesse supprimer le mot pour cacher la chose. C’est ainsi qu’on est passé de « Niggers » à « Negroes », puis à « coloured people », puis à « Blacks », et maintenant à « African-Americans ».
De même, on est passé d’invalide (ou mutilé, ou débile mental, selon le cas), à handicapé. Maintenant, les handicapés se sentiraient insultés d’être qualifiés de handicapés : ils ne sont qu’en « situation de handicap », ce qui change tout, effectivement.
De plus en plus de gens sont en situation d’intense bêtise, en tout cas.
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@ ch A | 30 mars 2019 à 22:14
« Triomphe de la minorité intolérante sur la majorité tolérante […]. Cet angélisme exterminateur est auto-réflexif, boîte de Pandore en Macronie. […] Notre guerre sera totale, non-linéaire, organique et sociétale… en France. »
On ne peut pas, à la fois, enquiller des formules prétentieuses et dépourvues de sens, pratiquer le sectarisme et la haine sociale, et se rendre compte de ce qui se passe.
Il se trouve que, dans ce cas précis, « la Macronie » a condamné sans ambiguïté cette énième tentative d’intimidation « anti-raciste ». Vous avez tout faux. « La Macronie » n’existe pas.
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@ Mary Preud’homme | 30 mars 2019 à 23:17 | 30 mars 2019 à 22:43 30 mars 2019 à 20:05
« Seul le terme ‘nigger’ est considéré comme péjoratif et insultant mais il ne vous conduit pas en taule comme vous dites ! »
Mensonge par omission. Il ne conduit pas en prison, mais il conduit à la mort sociale : perte de votre emploi, stigmatisation à vie, ruine de la carrière, les amis et la famille se détournent de vous, etc.
« A croire que l’on manque d’acteurs à la peau noire ou métissés pour jouer ces rôles, au point d’utiliser au 21ème siècle (en France) des blancs masqués et grimés en ‘y’a bon Banania’. »
Même le gauchiste en résidence le plus enragé du blog, j’ai nommé Elusen, a pris parti contre les soi-disant « anti-racistes » dans cette affaire. 100 % des commentateurs, ici, se sont rangés à l’avis de Philippe Bilger. Sauf… Mary Preud’homme, soi-disant « de droite », qui se met une fois de plus, à cette occasion, au service du racket « anti-raciste ».
Sans compter qu’elle étale aux yeux de tous son ignorance flagrante de l’Antiquité grecque… Je sais bien que les Noirs sont au centre du monde, mais enfin il n’y en avait pas, dans les tragédies d’Eschyle. Désolé de bousculer vos illusions.
« Alors que le billet du jour avait justement pour but de dénoncer le sectarisme, ce pauvre Marchenoir tombe à pieds joints dedans et en profite avec perversité pour nous infliger une fois de plus son pathétique credo sur l’infériorité congénitale des Noirs. »
Ce n’est pas un credo. C’est un fait. Vous avez visiblement quelques difficultés avec la science et avec la réalité.
D’ailleurs vous vous contredisez à quelques lignes d’intervalle :
« En nous assommant une fois de plus avec le QI prêté aux Noirs (en général) qui n’ont pas inventé la boussole (ainsi que le disait lui-même Senghor dans un savoureux poème où il remettait en perspective l’intelligence technique et froide occidentale – présumée – avec celle du cœur, des sentiments et de la souffrance prêtée à ses frères de race). »
Donc, les Noirs « n’ont pas inventé la boussole », selon Saint Senghor lui-même (mais lui a le droit de le dire), et cela n’a rien à voir avec leur quotient intellectuel moyen de 70 ?
Vous tentez de nous refourguer le vieux bobard avarié de « l’intelligence du cœur », qui serait tellement plus importante que « l’intelligence froide et technique des Occidentaux ».
Mais dites-moi, si c’est le cas, pourquoi les Africains ne restent-ils pas tranquillement en sécurité chez eux, à profiter mutuellement de leur magnifique « intelligence du cœur », au lieu de risquer mille morts pour s’installer illégalement chez ces racistes d’Occidentaux ?
Pourquoi s’obstinent-ils à se rapprocher de notre « intelligence froide et technique » (et en plus, « présumée »), alors qu’ils seraient tellement mieux chez eux avec leur intelligence floue et chaleureuse ?
Serait-ce parce qu’il n’existe aucune nation africaine qui ait réussi ? Ainsi que l’explique, dans le magazine Foreign Policy, Chigozie Obioma, qui, comme son nom l’indique, a un peu plus de légitimité à parler au nom de l’Afrique que Mary Preud’homme ?
Peut-être est-ce que cela un rapport avec le fait que les Africains n’ont jamais inventé ni l’écriture, ni la roue, ni la marine à voile ? Ce qui est évidemment lié à leurs capacités cognitives, dramatiquement insuffisantes, en moyenne, pour faire fonctionner — et encore moins créer — une société développée telle que la nôtre ? Ainsi que le prouvent, non seulement la science, mais la réalité de tous les jours ?
Pourquoi, pourquoi les sondages montrent-ils une proportion aussi massive d’Africains rêvant d’émigrer chez nous, alors que les mêmes, ainsi que leurs complices occidentaux, n’ont pas de mots assez durs pour dénoncer notre « racisme » ? Ils sont stupides, ou quoi ?
Souvenir… souvenir !
Alors que je travaillais dans une grande entreprise et cherchais vainement dans le listing les coordonnées d’Anne de L (petite-fille du général de Gaulle), quelqu’un m’a dit, je cite : « elle est noire, vous ne la trouverez pas sur la liste du personnel… » Interloquée comme si le monde s’écroulait à ses pieds une autre a alors eu cette réplique savoureuse : « Anne de L est noire, ça alors c’est le bouquet ! »
Evidemment, ma première interlocutrice parlait d’une liste noire qui regroupait du personnel qu’en raison de leur poste ou de leur parenté avec des célébrités, on ne devait pas déranger abusivement.
Ce que l’employée choquée et s’imaginant avec effroi notre icône nationale affligé d’une petite-fille noire, n’avait pas compris.
Près de quarante ans plus tard, je ris encore en revoyant l’air effaré, stupéfait, hébété et pour tout dire niais de cette pauvre dame !
@ Mary Preud’homme | 31 mars 2019 à 18:38
Quand on songe qu’un « Caligula au petit pied » a voulu enterrer Aimé Césaire au Panthéon cela nous aurait dégoûté de tous les bistrots environnants.
Quel assommoir que cet Aimé Césaire ! Il n’en reste rien. Que dalle. Whalou. Nada.
On préférera Léopold Sédar Senghor et sa Négritude, lui au moins ne touchait pas RMI, RSA, allocs en tous genres…
Le grand ethnologue André Claveau a tout dit sur le sujet
https://m.youtube.com/watch?v=LeThhb5nuUA
@ Robert Marchenoir | 31 mars 2019 à 21:44
Pour une fois faites preuve de pragmatisme et avant de commenter la courte citation d’un poème de Senghor concernant la boussole, sur laquelle j’étais sûre que vous alliez rebondir sans la moindre réflexion, eu égard à vos préjugés indécrottables, lisez la suite dudit poème, ce qui vous permettra (peut-être) de comprendre où le poète voulait en venir.
LA DAME QUI DORT DANS SA VOITURE
Je ne suis pas le seul à regarder l’émission d’Ardisson, sur C8, le dimanche soir. Ce soir l’invité principal était François-Xavier Bellamy, qui mènera la liste LR aux prochaines européennes. Je ne redirai pas que je voterai pour cette liste, de peur de lasser. Je me délectais à l’idée de l’entendre. Il ne m’a pas semblé mauvais.
Un chroniqueur a filmé une dame. Elle a 71 ans, elle a toujours travaillé, elle travaille toujours, elle gagne 1 300 euros par mois, elle dort dans sa voiture dans un parking en sous-sol à Puteaux. Pourquoi ? Parce qu’elle ne peut pas trouver à louer un petit logement dans le secteur privé, et n’a pas obtenu un logement en HLM, malgré ses demandes répétées depuis 15 ans, dit-elle.
Tout le monde, ou presque, a été ému, sur le plateau. La plus touchée fut la femme d’Alexis Corbière. Elle proposa à la dame de l’héberger le soir même chez elle, jusqu’à ce qu’un logement en HLM à Puteaux lui soit attribué. C’est très gentil.
Il y a des dizaines de milliers de personnes qui sont dans une situation analogue. Que faire ? Qui parmi vous est prêt à en héberger ? Des noms !
@ duvent
« Car comme certains l’ont souligné, on va tous mourir, et cela est une excellente nouvelle, sans quoi la sottise pourrait durer toujours ! Enfin, il semble… »
Non. C’est la sottise dont il faut espérer la mort, pas celle des sots ; incitons les gens à mieux réfléchir de même que les gens à accepter qu’on augmente leurs capacités, au premier rang desquelles l’intelligence, quand ce sera possible.
Que la science augmente l’intelligence, que chacun y ait accès, et que le plus de gens possible y consentent, c’est le vœu que je forme.
Si on inventait un délit de bêtise, les idiots actuels ou ceux qui refuseraient des augmentations d’intelligence si c’était possible, seraient frappés, ce qui va dans un cas contre une bêtise dont on n’est pas responsable, et dans l’autre, contre une véritable liberté de choix.
Bien sûr, le délit de bêtise est dit pour rire, mais attention… Liberté d’abord.
Ce qui ne m’empêche pas de vouloir que le meilleur vienne, et pour l’intelligence, et pour la vie, et à propos :
https://www.youtube.com/watch?v=lWeWRw7TQRA
@ Mary Preud’homme, 16h44
J’avoue bien volontiers mes approximations. Je voulais parler du « king of blackface performers », Al Jolson, plus blanc que blanc, qui se grimait en noir pour la scène.
J’ai écrit sans vérifier un souvenir vieux de soixante ans au moins. Mea maxima culpa. L’illustration n’en était pas moins belle quant au fond.
Ben oui, on les a traités de « Bamboula » trop longtemps, ils ne trouvent plus ça drôle, voilà où ça mène.
Nous ne récoltons que ce que nous avons semé. Ou plutôt vous ne récoltez que ce que vous semez !
@ Tomas | 31 mars 2019 à 23:36
« Ben oui, on les a traités de « Bamboula » trop longtemps »
Le seul problème, c’est que la pièce de théâtre n’a rien à voir avec ça.
C’est quand même étrange que des gens inventent un truc qui n’a jamais eu lieu et affirment y croire.
Cela relève du délire à ce stade-là !
Il n’y a aucune référence aux personnes Noires en tant que telles dans la pièce ni dans la mise en scène.
Pour distinguer les deux groupes d’acteurs qui s’affrontent dans la pièce, et que le public sache qui est qui, les acteurs ont été grimés en noir et en blanc.
C’est tout !
Ils n’avaient aucun accent sénégalais, ivoirien, malien, antillais, guyanais, ni de grosses lèvres, rien de cela.
C’est comme deux maillots pour distinguer deux équipes de rugby et comme un des maillots était noir, une étudiante sur Fèces de Bouc a hurlé son ignorance et rameuté la foule, cette étudiante devrait passer en conseil de discipline pour avoir inventé un problème juste en regardant une photo de mars 2018 soit d’il y a un an. Elle n’a pas vu la pièce, ne l’a même pas lue, ne sait pas de quoi ça parle et ne sait rien de la mise en scène.
La couleur noire n’appartient pas aux personne Noires, c’est un fait !
Ils n’y ont aucune propriété intellectuelle, aucun droit patrimonial là-dessus, point, circulez y a plus rien à voir.
Il y avait AUSSI des personnes maquillées, => grimées, peinturlurées en blanc ! <=
Je pense qu’il faut relativiser cet incident, même si sur la forme, empêcher par la force la représentation d’une pièce de théâtre est parfaitement inadmissible.
Je doute qu’il y ait eu beaucoup de gens qui se soient bousculés pour aller voir cette pièce d’Eschyle qui doit être particulièrement soporifique, sauf, bien sûr, pour quelques intellos qui ont fait deux ou trois années de grec dans leur tendre enfance et souhaitent replonger dans leurs classiques.
Cette réaction est d’autant plus regrettable que ce sont des étudiants, si j’ai bien compris, qui sont à l’origine de cette opération punitive. Blancs ou noirs, on est en droit d’attendre un peu plus de discernement de la part de jeunes gens qui se prétendent érudits.
Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine comme disait Montaigne.
Le petit extrait suivant devrait donner à réfléchir :
« Les Suppliantes sont plus instructives ; le choeur des Danaïdes y avait le teint basané des Egyptiens, ce teint brûlé par le soleil du Nil qui distinguait les populations de la Libye. Eschyle insiste sur ce trait comme il insiste sur l’accoutrement bizarre des choreutes, sur leur parure barbare, qui ne rappelle en rien les mœurs grecques, sur leurs voiles de lin et leur haute coiffure sidonienne, sur le bandeau multicolore enserrant les cheveux, sur la longue ceinture qui s’enroule autour de leur reins…/… On ne saurait méconnaître dans ces peintures multipliées comme à plaisir au cours de la pièce, l’intention de donner aux Suppliantes une apparence exotique, en rapport avec leur lointaine patrie…/… Quand Danaos du haut de la colline où il est censé se tenir avec ses filles, aperçoit le navire redouté, il reconnaît ceux qui le montent à la couleur noire de leurs membres etc. »
(de l’expression des masques dans Eschyle, revue des Etudes grecques – Paul Girard)
@ Tomas | 31 mars 2019 à 23:36
Ils nous rendent la pareille.
En Afrique les anglophones sont des « Yellow Monkeys » et les francophones des « Sales Blancs » !
Et comme nous n’avons en général pas d’odeur corporelle épicée, à part celle de la sueur mal lavée pour certains, ils pensent que nous sentons comme les cochons.
@ Catherine JACOB | 31 mars 2019 à 18:29
Et donc, avec beaucoup de « si » ils (des scientifiques) en arrivent à imaginer des ECO (Objets Compacts Exotiques).
Qu’en pensent les Japonais ?
« …Pour en savoir plus, les astronomes japonais espèrent maintenant continuer à observer le nuage dans différentes longueurs d’onde ainsi que d’autres nuages moléculaires compacts qui pourraient cacher d’autres trous noirs de masse intermédiaire.
Le 11 septembre 2017 à 18:27 • Emmanuel Perrin
extrait de https://www.maxisciences.com/trou-noir/notre-galaxie-pourrait-abriter-un-deuxieme-trou-noir-geant-100-000-fois-plus-massif-que-le-soleil_art39859.html
Et pour aller encore plus loin in in in in in in :
La revanche des trous noirs masqués (eux aussi !)
http://irfu.cea.fr/dap/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast.php?id_ast=2248
Mais qui donc fait le ménage avec tant de poussière ?
D’un point de vue religieux, l’Antiquité est une époque bénie, polythéisme la règle, monothéisme, par le judaïsme, l’exception, d’où ni guerres de religion, ni Inquisition, ni autres joyeusetés qu’on a connues par la suite.
C’est tellement vrai que pas seulement pour les agnostiques, athées ou néo-polythéistes ; quand les abrahamistes en ont marre de l’enrégimentent qui caractérise leur règne, ils y reviennent pour la pensée, appel aux philosophes anciens, pour le rêve, mythologie, et pour une période historique où le divin apportait la paix et non la guerre et autres caractéristiques intéressantes.
Cela fait office de fonds culturel commun, de terre de trêve entre tous.
Eh bien ! L’Antiquité et l’époque médiévale devraient avoir la même fonction entre toutes les couleurs.
Disons d’apaisement par la distance temporelle.
Car du point de vue qui nous occupe, le territoire était encore commun entre gens à présent trop souvent opposés. Le racisme n’existait pas. Pourquoi l’y importer ?
Les Grecs, par leur science, leur philosophie et le reste, sont à la source de notre civilisation, et du monde d’aujourd’hui, ce qui inclut tout le monde. De même, les religions abrahamiques qui y sont nées. Ne rendons pas le monde plus invivable qu’il ne l’est.
Ne le rétrécissons pas. Il l’a déjà été au moins deux fois. Le monothéisme a contraint les croyants à se disputer le même dieu.
Le racisme à se disputer le territoire, le titre, comment dire ? d’humain de plein droit quand les autres étaient rejetés vers l’animalité, pour déficit d’intelligence, présumée bestialité des mœurs et autres choses semblables.
Ne réécrivons du moins pas le passé, et en plus dans un sens diabolisé qui essentialise toute opposition et la rende ainsi inexpiable.
Si les Anciens venaient parmi nous, on les prierait de ne pas restaurer l’esclavage, si on allait parmi eux, on peut imaginer une émigration temporelle dans les deux sens, ils nous demanderaient de ne pas les contaminer avec nos propres problèmes non plus.
Pour maintenir la paix entre tous, inspirons-nous du meilleur des réalisations culturelles de chaque époque, et j’aurais pu dire, de chaque endroit, car il y a aussi lieu de s’inspirer de l’Extrême-Orient.
Monsieur O
La dame noire a immédiatement fait couler beaucoup d’encre et de salive, parmi les trois nouveaux ministres. Pour diverses raisons. Ce n’est pas fini.
Moi, peu friand de pseudos, et grand amateur de patronymes, j’ai été beaucoup plus intrigué par Cédric O. J’ai certes pensé à « Histoire d’O », livre préfacé par Jean Paulhan. J’ai aussi songé que Monsieur O était comme Monsieur X ou Monsieur Z.
Eh bien non ! « O » est un patronyme… coréen.Fin du roman et du suspense.
@ Mary Preud’homme | 31 mars 2019 à 22:23
« Pour une fois faites preuve de pragmatisme et avant de commenter la courte citation d’un poème de Senghor concernant la boussole, sur laquelle j’étais sûre que vous alliez rebondir sans la moindre réflexion, eu égard à vos préjugés indécrottables, lisez la suite dudit poème, ce qui vous permettra (peut-être) de comprendre où le poète voulait en venir. »
Bien sûr que non. Je ne lis pas des ordures communistes promues par des écervelées racistes et ethnomasochistes. Si vous avez quelque chose à dire, dites-le clairement. Ne vous réfugiez pas derrière untel ou untel.
Lépolod Sédar Senghor est mort, figurez-vous, et ses écrits, pas plus que sa personne, n’ont la moindre pertinence par rapport aux problèmes qui nous occupent ici : les décisions politiques à prendre aujourd’hui pour corriger les graves maux dont souffre la France, en matière d’immigration de masse, de délinquance, de guerre ethnique, d’islamisation, de chômage, de pauvreté, de socialisme, etc.
Vos idoles de jeunesse, c’est charmant à condition de les laisser à leur place, et de ne pas nous les resservir à tout propos, comme si le monde n’avait pas légèrement changé depuis votre naissance.
Contrairement à vous, je ne manifeste ici aucun préjugé : uniquement des post-jugés, basés sur l’observation de faits vérifiés. Ça s’appelle la science — et accessoirement la justice, notion qui semble complètement vous échapper.
Vous ne pouvez pas comprendre, vous avez la tête farcie de mythes et de propagande. Que ça vous aide à vivre, c’est votre problème, mais que vous prétendiez détruire la France pour entretenir votre confort moral, voilà qui passe les bornes.
______
@ Patrice Charoulet | 31 mars 2019 à 22:30
« Il y a des dizaines de milliers de personnes qui sont dans une situation analogue. Que faire ? Qui parmi vous est prêt à en héberger ? Des noms ! »
Ah ! en voilà un autre qui bat sa coulpe sur la poitrine des voisins… Et donc en fait, vous, vous en hébergez combien, des miséreux, chez vous ?
Et surtout, vous préconisez quoi, pour que cette dame, et d’autres, ne dorment plus dans leur voiture ? Combien de postes de fonctionnaires voulez-vous supprimer pour que la prospérité revienne en France ? Et à défaut, quelles sont vos solutions à vous ?
Augmentation de la dépense publique de 56 % à 65 % du PIB ? 80 % ? 100 % ? « Grand plan Marshall » pour construire encore plus de HLM ? Alors qu’une proportion ahurissante de Français, pour ne pas parler des étrangers, a déjà « droit » à un HLM ? Quelle diminution de votre retraite accepteriez-vous pour qu’il y ait plus de « moyens » pour le « logement » ?
@ Tomas | 31 mars 2019 à 23:36
Ne vous en déplaise, on continuera de plus belle à les appeler « bamboula banania blanchette blanche neige » etc. surtout que depuis l’annonce de la nomination de cette porte-parole qui n’a pas de masque de comédie, le dégoût s’amplifie chez les citoyens normaux, j’insiste sur les citoyens normaux, ceux qui vont de plus en plus voter RN et qui en ont marre des provocs à répétition de ce Macron : fête de la musique, selfie aux Antilles et maintenant le coup de grâce de cette porte-parole, la coupe a plus que débordé.
Je suis de plus en plus fier d’être fasciste de droite chrétien hétéro blanc de souche, toutes ces qualités qualifiées d’insultes chez les islamo-gauchistes et qui m’honorent de plus en plus.
@ Lucile
« Bref si les anti-racistes sont racistes, c’est à cause de moi. »
Les antiracistes ne sont pas racistes, par contre, ils ont aujourd’hui compris qu’ils ont autre chose à faire qu’à perdre leur temps à tenter de convaincre les racistes.
Et ça, c’est un réel progrès pour leur cause.
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@ Herman kerhost
« Et alors, donc, c’est raciste de se grimer le visage ainsi ? »
Evidemment.
« Et si vous trouvez cela raciste cela prouve que vous êtes stupide, mais nous le savions déjà, n’est-ce pas ? »
Houla, mais moi, je suis « stupide » à un tel point que non seulement je trouve cela raciste, mais je peux expliquer pourquoi cela l’est.
D’ailleurs, un commentaire de ce billet l’a déjà fait à ma place. Non, non, pas Mary Preud’homme | 31 mars 2019 à 18:38 sur lequel je reviendrai, mais Lucile | 31 mars 2019 à 10:47.
L’habit ne fait pas le moine, comme dit l’adage. Et c’est bien vrai. C’est tellement vrai qu’il suffit, comme le dit Lucile, pour un non-européen de s’habiller en européen pour faire européen. Pour un acteur d’enfiler un uniforme de pompier pour faire pompier, de policier pour faire policier, etc. Car si l’habit ne fait pas le moine, il fait indubitablement sens, et c’est pour cela que le déguisement fonctionne si bien.
Le blackface, quelle que soit son intention, est raciste d’abord et avant tout parce que la peau d’un être humain n’est pas un déguisement. C’est ce qui rend que la comparaison de Lucile importante parce qu’elle est complètement hors sujet.
Le blackface, quelle que soit son intention, est raciste parce qu’en faisant de la peau noire un déguisement, il pose ipso facto que la couleur de la peau d’un être humain fait sens, et, par définition même, le raciste est celui pour qui la couleur de la peau fait sens.
Et si le commentaire de Mary Preud’homme qui cite Aimé Césaire est secondaire, c’est bien parce que se servir du blackface pour signifier que le Noir a le rythme dans la peau est aussi raciste que pour signifier que le Noir a un QI de 70. Marchenoir, en grand spécialiste qu’il est de ces énormités grotesques, vous expliquera mieux que moi que tout cela est la théorie de « scientifiques » américains créationnistes pour qui la Terre est âgée de 6 000 ans, Charles Darwin est une taupe du KGB et qui détiennent dans leurs archives l’exemplaire unique de l’emballage Carambar qui prouve de manière indubitable que le réchauffement climatique est une vaste blague.
Par contre, le commentaire de Mary Preud’homme est essentiel pour montrer à quel point la comparaison de Philippe Bilger dans son billet est d’une « intelligence » que, pour continuer à mettre en valeur ma « stupidité », je qualifierai de crasse. Car mettre sur le même rang l’extrême droite et les catholiques qui luttent contre la République pour retrouver la domination et les privilèges passés que cette dernière leur a justement retirés, et ceux qui luttent encore aujourd’hui pour que leurs droits soient réellement reconnus et que la République soit autre chose que trois mots vides de sens au fronton de nos mairies, c’est quelque chose qui, effectivement, me dépasse…
« Mais on sent bien que vous n’êtes pas stupide de naissance, mais que vous avez décidé, par idéologie, de vous rendre étanche à la raison.
C’est un choix étrange. Pourquoi donc ? »
Je ne sais pas. Peut-être à cause d’une simple allergie totalement incurable à Pascal Praud et à Sud Radio…
@ Robert Marchenoir 31 mars 2019
« Nigger »
Ce terme a toujours été utilisé, aux USA, en « underground » par d’extrêmes minorités noires, forcément du showbizz (puisque tout lui est permis, voir les libertés des humoristes (sic) juifs envers leur communauté). Quelques centaines de personnes sur, quand même, presque quarante millions de noirs américains.rappeurs
Non seulement par quelques, mais aussi par une littérature noire très minoritaire mais très « engagée », en vogue dans la bien-pensance – noire ou blanche – de la côte est comme de la côte ouest.
Pour le reste de votre billet sur ce sujet, tout à fait à l’unisson.
Cordialement.
Un antiracisme coupable du délit de bêtise…
S’il n’était coupable que de cela, ce ne serait pas trop grave s’il n’avait pas tendance à se prendre au sérieux pour imposer les calembredaines qu’il ressasse…
Les antiracistes voient des « racistes » partout de même que les Puritains de Salem se croyaient entourés de sorcières.
Et s’il y avait des tribunaux chargés de pourchasser les sorcières, c’est donc la preuve que les sorcières existaient, n’est-ce pas ?
Si l’antialcoolisme s’efforce de combattre le fléau social réel qu’est l’alcoolisme sans viser les alcooliques, l’antiracisme est lui une machine de guerre qui d’un côté combat la chimère qu’est le racisme (du moins en France) pour lui donner corps et qui de l’autre s’en prend de façon agressive et gratuite à tous ceux qu’il accuse de « racisme » sous les prétextes les plus futiles voire les plus fallacieux qui puissent être, tout cela à des fins de basse politique, à l’instigation d’une gauche qui pourtant « a tout faux » à son habitude.
Mais où commence exactement le « racisme » ? Comment est-il par exemple possible de placer sur le même plan les membres du Klu Klux Klan qui s’en prenaient physiquement aux Noirs de façon violente et un pâtissier qui se contente de pratiquer son art quand il confectionne des Têtes de nègre au chocolat ?
Rappelons que lorsque Michel Rocard a commencé son discours d’introduction au débat de la loi sur le racisme par la phrase « le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit », par une pirouette présentée comme une vérité première tombée du ciel, il a édifié son exposé sur une base branlante.
Et surtout, il n’a pas clairement défini le sens du néologisme populaire « racisme » trop souvent galvaudé ainsi que ses limites, ce qui est grave pour la promulgation d’une loi ayant valeur juridique mais qui est source d’ambiguïtés alors qu’elle devrait être compréhensible par tous.
Nous pourrions aussi nous poser des questions sur l’opportunité de cette loi, dans une France qui depuis le lendemain de la fin de la Seconde Guerre mondiale n’a pas connu de problème grave ayant relevé d’un quelconque racisme.
Tout porte à croire qu’il s’agissait de créer artificiellement un point de clivage dans la société visant à opposer les Français pour des raisons pas très avouables d’ordre politique.
Et puis, au nom de quoi, le « racisme » ne semble-t-il être invoqué en pratique que contre des Franco-Français leucodermes d’origine européenne ? Est-il normal que la loi, qui ne précise pourtant rien à ce sujet, puisse être interprétée à la tête du client alors qu’en fait ce sont eux qui sont le plus souvent victimes d’actes commis ouvertement selon des critères permettant de les définir comme racistes et reconnus comme tels par leurs auteurs ?
Encore et toujours par application du deux poids, deux mesures ?
@ Patrice Charoulet
« Il y a des dizaines de milliers de personnes qui sont dans une situation analogue. Que faire ? Qui parmi vous est prêt à en héberger ? Des noms ! »
Vous proposez de mauvaises solutions à un problème mal posé.
Peut-être que si nous commencions par loger les nôtres qui nous sont relativement proches au lieu de nous préoccuper en priorité des autres envers qui nous ne sommes redevables de rien, en cessant de marcher sur la tête, les choses iraient probablement mieux en France…
@ Noblejoué | 31 mars 2019 à 22:53
« Non. C’est la sottise dont il faut espérer la mort, pas celle des sots ; incitons les gens à mieux réfléchir de même que les gens à accepter qu’on augmente leurs capacités, au premier rang desquelles l’intelligence, quand ce sera possible.
Que la science augmente l’intelligence, que chacun y ait accès, et que le plus de gens possible y consentent, c’est le vœu que je forme. »
______________________________________
On peut former tous les bons vœux imaginables, il demeure que je trouve parfaitement juste qu’une chose aussi imparfaite que l’homme sot, soit périssable, et dans la foulée celle de l’homme de bien…
Oui, c’est une excellente disposition que l’impermanence, car si nous savons et sommes certains que la sottise est d’airain, nous sommes aussi contraints de constater que rien ne peut faire d’un abruti un génie. (Nota bene : utiliser l’outil ne fait pas d’un benêt, un architecte…)
Ainsi, nous voyons ici, un spécimen banal et répandu de l’imbécile, qui désire au-delà de tout que chacun sache combien il tire de plaisir de son onanisme intellectuel, j’ai nommé Marchenoir, l’inénarrable, l’incomparable, le déchu à qui il ne suffit plus de marteler sa théorie obscure, qui bien qu’il soit convaincu de l’infériorité de certains, bien qu’il ait selon lui démontré statistiquement, pense utile et nécessaire de rappeler quotidiennement à notre bon souvenir sa thèse infecte et fétide.
Pourquoi, me direz-vous ? Eh, bien, pour la raison qui est à la fois unique et stupide, qui est la crainte d’oublier comment et par quel mystère, lui cet homme ordinaire et insignifiant a fait cette découverte !
Évidemment, il pourrait nous dire que Goebbels son maître, l’aide à se souvenir, mais il ne ferait pas florès, car le boiteux maître n’est pas en odeur de sainteté…
Mais, enfin s’il faut considérer que l’antisémitisme est le problème des antisémites, il doit être concevable de tirer cette conclusion de tous les sujets épineux, et alors, nous voyons combien nous avons progressé dans le raisonnement.
Oui, nous avons beaucoup progressé, puisque des homoncules incultes prétendent détenir les solutions finales, qui doivent rendre heureux les abrutis… Ceci n’est pas un exploit, il ne faut donc pas convoquer les Dieux, l’impermanence suffira ! Vanitas…
@ Garry Gaspary | 01 avril 2019 à 09:40
Je ne peux pas dire que je sois d’accord avec vous, mais je lis toujours attentivement sur ce blog les rebelles, les réfractaires, les anarchos, les singes hurleurs, les fous du préau et les flagellants, il y a toujours une goutte de vérité chez eux qui mérite de ne pas rejeter le tout.
Le cinéma offre parfois confusément ce que vous dénoncez.
– Dans le film le Seigneur des Anneaux, tout tourne autour d’une race blanche qui veut survivre, les ennemis de l’autre monde sont tous des monstres noirs et horribles.
– Dans Game of Thrones, la tribu des Méditerranéens sont tous affublés du physique de mon épicier arabe. Cruels et fourbes.
– Dans Dexter, c’est l’inverse, Hollywood oblige, le commissariat de police est un milk-shake de l’Amérique, ses gradés sont des Chicanos, un Chinois, des Noirs, seul le Blanc est un salopard qui tue d’autres salopards (Dexter lui-même).
En moins de cinquante ans, le noir américain est passé de boniche insupportable dans Autant en emporte le vent à cosmonaute ou Président des États-Unis.
À ce jour on n’a entendu personne s’indigner, pourtant ça crève les yeux.
Pierre Conesa a écrit un livre tout à fait éclairant sur ce sujet, haut fonctionnaire de la Défense, il m’a été rapporté qu’il n’est pas communiste.
https://m.youtube.com/watch?v=8hXj_iYd2lM
@ Garry Gaspary
La supercherie, c’est de faire croire que les noirs de maintenant risquent d’être traités comme des esclaves et que les blancs de maintenant sont tentés d’être esclavagistes. La plupart des blancs eux-mêmes, ceux qui sont épiés à chaque instant par des Justiciers Sociaux auto-déclarés pour des soupçons de dérives potentielles, ont aussi parmi leurs ancêtres des serfs, des valets et des filles de ferme, ou plus près de nous des mineurs, ou des soldats enrôlés comme chair à canon dans des guerres qu’ils n’avaient pas voulues.
Peuvent-ils autant exercer une surveillance accusatrice sur leurs contemporains sous prétexte que leurs ancêtres ont vécu une vie affreuse ? Ont-ils pour autant le droit de régenter leur vocabulaire, leurs loisirs, leur culture, leurs vêtements ? L’esclavage est une horreur, nous en sommes tous conscients, ne faites pas semblant de croire que nous voudrions le voir revenir. Mais le racisme n’est pas de l’esclavage, on passe de l’un à l’autre comme si c’était la même chose. Et l’esclavage, qui a existé depuis les origines de l’humanité sur tous les continents, appartient au passé. Certains gentils noirs oppriment de nos jours allègrement leurs femmes ou leurs domestiques, tout comme certains méchants blancs. Ils tombent alors sous le coup de la loi. L’esclavage est hors la loi depuis pas mal de temps.
La majorité des noirs se refuse à exploiter les drames de l’histoire à leur profit et à mener la guerre aux blancs actuels, à ennuyer et culpabiliser des gens qui n’y sont pour rien, à faire semblant de croire que l’esclavage est encore latent en Occident, et à en débusquer la menace derrière n’importe quelle parole. Ceux qui enfourchent ce cheval de bataille sont des profiteurs, ou des crétins, ou des escrocs. Ils alimentent le racisme.
Aura-t-on le droit de dire que « la meuf is black » en parlant de Sibeth Ndiaye ?
@ Garry Gaspary
Pas plus dans les exemples que vous citez que dans le cas qui nous occupe, la peau, ou le corps, ne sont un déguisement, ils ne sont que le sujet déguisé.
Par conséquent, une fois encore, vous êtes stupide, et une fois encore, il y a de grandes chances que vous ayez, consciemment ou non, choisi cette voie.
L’idéologie, vous dis-je, l’idéologie !
@ Michelle D-LEROY | 31 mars 2019 à 19:38
« Nous devons nous protéger d’une société communautarisée avant que la situation ne devienne invivable et qu’il ne soit trop tard. »
L’OLRA, organisation et/ou association, en parle ici :
https://www.olra-asso.org/l-association
et là
https://www.olra-asso.org/actualites/page/1
Trou noir, encore !
« …Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l’information comme de la réflexion. »
extrait de :
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/03/19/31003-20180319ARTFIG00144-le-racisme-anti-blanc-impose-l-omerta-mediatique.php
« Après avoir été portée aux nues, Sibeth Ndiaye, chargée des relations presse d’Emmanuel Macron, est devenue une cible après que le Canard enchaîné lui a attribué un texto dans lequel elle aurait écrit, au sujet de la mort de Simone Veil : « Yes, la meuf est dead ». »
Jeunisme, inculture, bêtise de soi, et dire qu’elle va représenter la voix du pays.
Ils ont fait un cursus scolaire qui ne les a pas lestés de l’intelligence de vie d’un Malraux, Mauriac et bien d’autres.
Il leur manque l’odeur de la vraie vie, celle des méchouis de livraison d’opérations immobilières, les égouts qui fuient et les fosses toutes eaux à remplacer par des stations d’épuration.
Nous sommes gouvernés par des adolescents, élevés en batterie dans des locaux aseptisés.
Notre pays pense start-up alors que l’Allemagne fait apposer le nom du mécanicien qui a assemblé le moteur.
Je reçois ma voiture de nos voisins italiens, depuis des lustres elle est équipée de poignées dissimulées, de commandes de clefs USB à portée de volant.
L’industrie se porte bien ailleurs, le reste est un mirage, la production c’est ce qui fait vivre un pays. l’industrie ce sont des emplois, tout le reste est littérature. Exportations en faillite, l’aviation est le masque de cette déficience.
Je me souviens de la qualité des pieux métalliques fournis par la Suède, à leur prix bien entendu et avec leurs conditions bien évidemment.
Sibeth Ndiaye communicante d’école de commerce pour qui la vie se résume à des déclarations, du vent quoi.
Nos voisins allemands imposent le tempo, jamais plus d’esbroufe que le son de leur industrie, les Chinois raffolent de leurs véhicules, l’Europe les envie, zéro dette que du profit même si leur PIB ralentit, mais leurs fondations sont solides.
Ceux-ci veulent discuter avec de vrais industriels pas des gamins moniteurs de colonie de vacances : la fête de la musique du Château, les déclarations incongrues de la nouvelle porte-parole, en fait un jeu de Lego qui gère nos vie est au pouvoir.
Nous n’avons que des représentants de commerce depuis des décennies, le luxe pour nous sauver, et gratifier une image de marque de hâbleurs, cacher une misère ministérielle au pouvoir et des petites blagues pour gouverner. Pauvres de nous !
Et voilà que le plus nul d’entre tous, celui qui a rendu les armes sans combattre, est en train de donner des leçons de maintien.
Pépère le gladiateur d’opérette, écrivain à ses heures, pour le plaisir de groupies qui peuvent aller lui faire signer un bouquin qu’ils exposeront sur le napperon de dentelle de leur télé, comme le chien qui oscille la tête sur la plage arrière de leur voiture.
L’outil industriel génère toutes les ambitions et les découvertes, produire de la qualité, pas des éoliennes du type de la nouvelle porte-parole qui parlait avec une désinvolture crasse d’une femme qui était la vie du pays, la libération de toute une génération, l’intelligence même, et l’humilité de ceux qui se sont heurtés violemment à l’existence.
Chez nous une réflexion du type formulée par une gamine de pouvoir (élue avec 28% des inscrits) devrait l’inciter à plus de lucidité, comme François Mitterrand l’avait préconisé elle devrait apprendre à tourner sept fois sa langue dans sa bouche et enfin se nourrir de ce que les autres ont vécu avant elle.
@ Patrice Charoulet | 01 avril 2019 à 07:40
Son O, à lui et le son de O
Leçon de « o »
https://la-conjugaison.nouvelobs.com/regles/orthographe/le-son-o-95.php
Question : J’ai remarqué que M. Castaner prononçait ses « o » différemment de la leçon précitée.
J’entends mal ?
Thèse : « nous sommes aussi contraints de constater que rien ne peut faire d’un abruti un génie » (duvent)
Antithèse : « …Marchenoir… qui bien qu’il soit convaincu de l’infériorité de certains… thèse infecte et fétide » (duvent)
On attend la synthèse…
@ breizmabro | 01 avril 2019 à 13:08
Oui, il est même recommandé de le dire sachant que les racistes ont cela de commun avec les antiracistes compulsifs, qu’ils répugnent à dire les choses simplement en raison de leurs préjugés.
Concernant Sibeth on pourra même ajouter qu’elle est au moins aussi mal coiffée que Belloubet, tiens ça rime ! Si bête ou belle ou bête, comme tu veux tu choises !
Sauf que le choix se rétrécit et que la seconde nommée a tout de même un autre cursus que la trentenaire sénégalaise à peine naturalisée pour la forme !
Evidemment quand on promeut des seconds couteaux ou des tout frais émoulus issus de l’émigration, non seulement il n’y a aucun risque qu’ils vous fassent de l’ombre mais en outre on est assuré d’une fidélité sans failles ! N’est-il pas Manu ?
Quant à servir l’intérêt de la France avec de courageux choix politiques, c’est une autre affaire ! Et que ceux qui ont contribué à élire cet imposteur, à défaut de continuer à le soutenir fassent leur examen de conscience, reconnaissent leurs erreurs et cessent de se répandre en lamentations ici ou ailleurs.
« Par conséquent, une fois encore, vous êtes stupide, et une fois encore, il y a de grandes chances que vous ayez, consciemment ou non, choisi cette voie. »
Rédigé par : Herman kerhost | 01 avril 2019 à 13:12
Serait-ce donc lui dont parlait Samuel Butler : « Il était né stupide et avait considérablement développé ses dons naturels » ?
@ Savonarole | 01 avril 2019 à 12:11
Toujours ramener Obama à sa noiritude africaine est aussi une forme de racisme insupportable à l’égard de ses ascendants maternels (d’abord sa mère d’origine irlandaise et cherokee qui l’a mis au monde et élevé seule avec l’aide de ses grands-parents blancs). Tandis que son père d’origine africaine l’a quasiment abandonné à moins de deux ans.
Et si beaucoup de métis aux Etats-Unis ont accepté de se revendiquer ou se décrire comme noirs, c’est que la loi des différents Etats ne leur donnait d’autre choix que celui de renier leur « partie » blanche, soit la chair de leur chair, pour avoir la paix.
Aux ignorants de ce blog je rappelle enfin qu’il est même arrivé à ce même Obama de confier qu’il avait souffert du racisme de ses propres grands-parents blancs et que le mot « nigger » qui par la suite lui avait un jour échappé, lui avait même valu d’être mis en cause pour injures raciales.
Par ailleurs pour avoir vécu longtemps aux USA et connu, directement, l’odieuse discrimination qui était le lot, dans les années soixante à soixante-dix, des couples mixtes – dont le mariage était interdit dans une vingtaine d’Etats, je reconnais que l’Amérique a bien changé, contrairement à la France qui a régressé sur ce plan comme en bien d’autres domaines hélas !
@ Mary Preud’homme 01 avril 2019 à 12:11 (@Savonarole)
« Toujours ramener Obama à sa noiritude africaine est aussi une forme de racisme insupportable à l’égard de ses ascendants maternels (d’abord sa mère d’origine irlandaise et cherokee qui l’a mis au monde et élevé seule avec l’aide de ses grands-parents blancs). Tandis que son père d’origine africaine l’a quasiment abandonné à moins de deux ans »
Mais enfin, Mary, je n’ai jamais parlé d’Obama !
(Tant son passage sur terre ne laisse aucune trace.)
@ Savonarole | 01 avril 2019 à 12:11
« Pierre Conesa a écrit un livre tout à fait éclairant sur ce sujet, haut fonctionnaire de la Défense, il m’a été rapporté qu’il n’est pas communiste. »
Par qui ? Vous devriez creuser davantage.
« Haut fonctionnaire » n’est pas une marque de vertu. J’aurais tendance à dire : bien au contraire. « Vaguement rattaché à l’armée » ne signifie pas « d’une sagesse exemplaire et d’une moralité au-dessus de tout soupçon ». Le politiquement correct de droite ressemble furieusement au politiquement correct de gauche.
______
@ Exilé | 01 avril 2019 à 09:52
« Rappelons que lorsque Michel Rocard a commencé son discours d’introduction au débat de la loi sur le racisme par la phrase ‘le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit’… »
Tiens donc. Saint Rocard, le gentil Rocard, le type qui était censé dédouaner la gauche parce qu’il n’était pas vraiment de gauche.
J’ignorais qui avait inventé cette saleté. Comme d’habitude, en France, tout le monde répète des slogans sans jamais rappeler leur origine.
Tous les sombres abrutis qui répètent, aujourd’hui, que « le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit », sont tellement stupides qu’ils ne se rendent même pas compte du caractère profondément incriminant de cette phrase. Revendiquer cela, c’est avouer que l’on réclame l’instauration de délits d’opinion. C’est avouer qu’on est une ordure communiste, une graine de kaguébiste, un dictateur de poche.
@ Lucile
« …ceux qui sont épiés à chaque instant par des Justiciers Sociaux auto-déclarés pour des soupçons de dérives potentielles, ont aussi parmi leurs ancêtres des serfs, des valets et des filles de ferme, ou plus près de nous des mineurs, ou des soldats enrôlés comme chair à canon dans des guerres qu’ils n’avaient pas voulues. »
C’est exactement, au mot près, ce que je pense. Il faut à un moment donné arrêter de regarder un passé lointain même douloureux et vivre un présent pas toujours facile mais plus humain et surtout arrêter de cliver les gens selon leur couleur de peau, leur âge, leur niveau social alors que nous aurions besoin de sérénité et de rassemblement. Le problème c’est que beaucoup de Blancs qui se croient humanistes entretiennent ce sentiment d’excuse avec une repentance permanente qui voudrait nous faire payer au centuple un passé dont on n’est pas responsable.
Il serait temps aussi que des responsables politiques, des acteurs ou des cinéastes rappellent qu’un film ou une pièce de théâtre, c’est exactement le fait d’entrer dans la peau d’un autre personnage que soi, de jouer par le truchement d’un acteur quelqu’un d’autre… et donc de jouer parfois en se déguisant.
Car se taire aujourd’hui, c’est interdire d’autres thèmes culturels demain.
——————————————
@ fugace
Merci pour ces liens qui décrivent la réalité de notre société actuelle car cette situation au lieu de se stabiliser, empire et devient inquiétante pour le bien vivre ensemble dans les années à venir.
Le plus angoissant étant qu’il y a visiblement un certain nombre de personnes qui aiment mettre de l’huile sur le feu et se réjouissent de mettre la zizanie.
« En moins de cinquante ans, le noir américain est passé de boniche insupportable dans Autant en emporte le vent à cosmonaute ou Président des États-Unis. »
Rédigé par : Savonarole | 01 avril 2019 à 12:11
« Mais enfin, Mary, je n’ai jamais parlé d’Obama !
(Tant son passage sur terre ne laisse aucune trace.) »
Rédigé par : Savonarole | 01 avril 2019 à 17:47
Mais alors qui était donc le président « noir américain » dont il était question dans votre post de ce jour à 12:11 ?
@ Robert Marchenoir | 01 avril 2019 à 18:00
« C’est avouer qu’on est une ordure communiste, une graine de kaguébiste, un dictateur de poche. »
J’aime bien quand Marchenoir mettant le doigt (sans en être conscient) sur ses propres travers se projette avec une aigreur grinçante qui semble être la trame de son caractère de refoulé haineux.
@ sbriglia | 01 avril 2019 à 15:41
« On attend la synthèse… »
Vous n’avez pas assez attendu, mais si vous êtes patient, il se peut que patience et longueur de temps fassent mieux que force ni que rage…
Il me semble, mais il se peut que je me trompe, qu’ici, vous êtes un ridicule laquais, or il pouvait se montrer, le chatoyant plaideur !
@ Giuseppe
« L’industrie se porte bien ailleurs, le reste est un mirage, la production c’est ce qui fait vivre un pays. l’industrie ce sont des emplois, tout le reste est littérature. Exportations en faillite, l’aviation est le masque de cette déficience. »
Bravo ! Cela fait 35 ans que je répète cette litanie. Hors l’industrie, point de salut.
@ sbriglia | 01 avril 2019 à 15:41
Je dois vous tirer mon chapeau pour être parvenu à distinguer une contradiction dans les commentaires de duvent. Pour ma part, je n’arrive pas à y trouver le moindre sens, raison pour laquelle je m’abstiens de les lire.
Mais en effet, sur ce coup, elle a réussi à dire une sottise. Saluons cet exploit comme il convient. D’habitude, elle se contente de faire du bruit avec la bouche.
Un. De Pierre Conesa, dont parle Savonarole, plusieurs vidéos sont à écouter, notamment sur l’Arabie saoudite. Wikipédia ne dit pas tout sur ses activités.
Deux. Incitation à la haine raciale cf. article 1er de la loi du 7 juin 1972.
Dura lex sed lex.
@ Mary Preud’homme de 18:17
Il s’agit du personnage David Palmer, dans la série 24 heures chrono. C’était la première fois qu’Hollywood mettait en scène un Président noir. Heureusement il est très rapidement assassiné.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/David_Palmer_(personnage_de_s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C
@ Robert Marchenoir | 01 avril 2019 à 19:26 (@ sbriglia)
« Je dois vous tirer mon chapeau pour être parvenu à distinguer une contradiction dans les commentaires de duvent. Pour ma part, je n’arrive pas à y trouver le moindre sens, raison pour laquelle je m’abstiens de les lire.
Mais en effet, sur ce coup, elle a réussi à dire une sottise. Saluons cet exploit comme il convient. D’habitude, elle se contente de faire du bruit avec la bouche. »
J’ai cru que je n’aurais pas de poisson d’avril, et par chance sbriglia et Marchenoir, dans leur grande bonté, m’ont fait ce plaisir !!
Mais il ne sera pas dit que duvent est une ingrate, et donc je m’en vais répondre au laquais et à son maître.
Je dois reconnaître que l’émotion est forte, en effet, j’ai jusqu’à présent dû essuyer l’indifférence de sa Grandeur. Cependant, mes efforts, pour que son Altesse se rende compte que j’existe, n’ont pas été vains.
Quel bonheur sans mélange ! Quelle joie pure et innocente !
Dieu du Ciel et de la Terre, c’en est trop pour un cœur simple, comme celui qui bat (enfin c’est un bien grand mot…) qui tremblote furtivement et de façon aléatoire dans mon étroite et malingre poitrine de phtisique…
Il (sa Majesté…) s’abstient de me lire, mais Il remarque l’exploit…
Je rougis de confusion, et transpire dans mes escarpins dont les semelles, par un heureux hasard, sont rouges…
Que dire ? Quoi penser ? Quo curram, quo non curram ? Il me vient l’envie de demander illico presto à Savonarole, la marieuse de céans, d’organiser mes noces.
Non ! Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation, je dois au préalable demander la pogne de mon chevalier à la triste figure à sbriglia !
La crainte et même la frayeur, m’étreignent le cœur, et si son Altesse allait jeter son dévolu sur Breizmabro ? Mais cela ne se peut, car sa Majesté sait que je fais du bruit avec ma bouche !
Dois-je ou ne dois-je pas lui demander ce que lui fait avec sa bouche ?
Tout bien réfléchi, je préfère en parler d’abord avec sbriglia, qui doit tout savoir des performances de son maître… Car voyez-vous, je suis passée par le Couvent des Oiseaux, et nous n’aimons pas du tout le coïtus interruptus ! POISSON D’AVRIL !
@ Savonarole | 01 avril 2019 à 20:29
Je reconnais ne pas avoir fait le rapprochement avec cette fiction très médiocre.
Concernant par ailleurs le film « Autant en emporte le vent », il me semble qu’il remonte à près de quatre-vingts ans et non cinquante… Je n’étais donc pas née et lorsque je l’ai découvert, il datait déjà beaucoup par rapport à la réalité que j’ai connue aux Etats-Unis, tant à Chicago, qu’à San Antonio au Texas.
@ Alpi | 01 avril 2019 à 18:48
Quand on avait du travail par-dessus la tête, toutes les équipes étaient aux anges, partout. Il faut dire que derrière chaque M3 envoyé c’était tous les métiers en ordre de marche et d’intelligence. De l’IA dont on nous rebat les oreilles comme si on découvrait la lune, jusqu’à l’entreprise qui nettoyait pour les livraisons au client.
Nous sommes devenus un pays de ventilateurs.
Toujours l’anti-racisme à géométrie variable. Cette fois-ci, la triplette police-justice-médias veut bien admettre que les vrais racistes, ceux qui agressent en groupe et délibérément les Roms ou présumés tels, ce sont les Arabes. Une phrase est lâchée dans cet article du Parisien, consacré à une condamnation qui vient d’être prononcée par les tribunaux dans cette affaire :
« Un ‘Nord-africain avec une barbe importante’ [visible sur les images de surveillance de l’agression] est resté introuvable. »
Immense surprise, depuis qu’Edgar Morin nous avait appris que c’étaient « nos » peurs irraisonnées à l’égard de « nos » enfants qui étaient en cause, mais bref. Edgar Morin va faire publier un rectificatif de son interview dans Le Parisien, je n’en doute pas.
En revanche, pas un mot sur l’identité du condamné. Il y a délit raciste, le tribunal l’a confirmé :
« Les deux hommes de belle stature (plus d’un mètre quatre-vingt-dix pour une centaine de kilos) avaient été sortis de leur camionnette, rue de Savigny, puis frappés par ‘une quinzaine de jeunes gens de 15 à 20 ans’. »
« Le prévenu » a bel et bien été condamné à 18 mois de prison (4 seulement demandés par le procureur…). L’une des victimes était bien au tribunal (« un hématome violet et quelques points de suture lui couvrent l’œil »). Elles sont bien roumaines (et non roms). Elles ont bien été attaquées au prétexte de rapts d’enfants imaginaires perpétrés par les Roms.
Le condamné a 19 ans. Rien ne s’oppose à ce que la presse l’identifie. Or, on ne connaît rien de lui. Ni son nom, ni sa race, ni sa nationalité, ni sa religion, ni son origine… Seulement qu’il est « imberbe » (très intéressant !) et qu’il est « contractuel d’une collectivité locale ». Pas même de « prénom modifié », cette fois-ci.
Il faut se reposer sur l’avocate des victimes pour entendre :
« Mais qui êtes-vous pour contrôler qui ce soit ? Les jeunes de Seine-Saint-Denis crient souvent au contrôle au faciès et là, on contrôle, on tabasse ! Je ne comprends pas comment un jeune inséré peut se retrouver dans cette situation. »
Hum… ce serait donc un « jeune » de Seine-Saint-Denis. Un jeune Japonais, je suppose.
Notons cette sortie involontairement comique du procureur (une femme) :
« C’est minable, honteux et c’est raciste ! Tous les Maghrébins sont des voleurs et les Noirs violent les gens ? Ça va bien les fausses rumeurs ! Ici, c’est la République française et tout le monde a le droit de vivre librement. »
Euh… non, Madame le procureur. Pas les Maghrébins : les Roms. Enfin, les Maghrébins aussi, mais moins. Vous êtes bien placée pour le savoir.
Bienvenue dans le monde merveilleux du multi-culturalisme.
______
@ Patrice Charoulet | 01 avril 2019 à 19:44
« Deux. Incitation à la haine raciale cf. article 1er de la loi du 7 juin 1972. Dura lex sed lex. »
Ah ! voilà. Le gentil professeur (de droite) se transforme à nouveau en kaguébiste de fauteuil. J’veux pas l’savoir, fourrez-moi tous ces malpensants en tôle.
Est-ce pour sa coiffure ou pour son prénom que madame Ndiaye a été nommée porte-parole du gouvernement LaREM ?
Sacré Manu, toujours prêt à nous divertir…
@ Garry Gaspary
« Les antiracistes ne sont pas racistes, par contre, ils ont aujourd’hui compris qu’ils ont autre chose à faire qu’à perdre leur temps à tenter de convaincre les racistes. »
Bien sûr que les antiracistes sont racistes. S’ils ne le sont pas consciemment, ils le sont par les motifs qui les poussent à être antiracistes. Je veux dire les antiracistes honnêtes, pas ceux qui le sont par cupidité, soit en espérant un retour sur investissement (voyez comme je suis bon !), soit par le gain immédiat que cet engagement produit en terme d’auto-célébration morale (comme je suis bon !).
L’antiraciste considère les autres races inférieures. Il pense que les personnes issues de ces races nécessitent qu’on les aide, alors que ces gens ne leur ont rien demandé. L’antiraciste est condescendant, de fait, envers les races qu’il considère faibles.
En fait, selon les critères de l’antiracisme même, les antiracistes malhonnêtes sont plus respectables que ceux qui sont honnêtes.
Et prétendre que les antiracistes ont autre chose à faire que de « convaincre les racistes » c’est se moquer du monde, puisque le billet sous lequel nous commentons répond justement à une nouvelle tentative des antiracistes professionnels de nous convaincre que nous devrions voir du racisme où ne ne voyons rien de tel.
Non, s’il y a bien quelque chose qui a changé, c’est que de plus en plus de gens se détournent de cette idéologie. Ils ne deviennent pas racistes pour autant, mais ils commencent à comprendre que les Garry Gaspary se sont bien fichus d’eux. Vous devriez vous méfier du retour de bâton.
@ Herman kerhost | 01 avril 2019 à 23:46
« Bien sûr que les antiracistes sont racistes. S’ils ne le sont pas consciemment … »
Ah bon, c’est nouveau, c’est une nouvelle théorie scientifique ?
Basée sur quelle recherche ?
Auriez-vous des travaux à nous soumettre ?
Vous ne maîtrisez pas le concept de raciste. Les personnes Blanches n’ont pas le monopole du racisme, la droite et l’extrême droite n’ont pas le monopole du racisme.
Le racisme est une idéologie, il n’a aucune réalité ou base scientifique, mais que du scientisme, un truc relevant de l’astrologie, la numérologie et de la sorcellerie.
Qu’est-ce qui a déclenché l’affaire ?
– Le fait que des personnes Blanches auraient utilisé la couleur noire pour la poser sur leur corps.
– Cela ne se rattache qu’au fait, et rien d’autre, que les personnes sont Blanches, elles sont donc attaquées pour cela, ce n’est donc pas de l’antiracisme, mais bel et bien du racisme.
La couleur noire, par ces personnes Blanches, n’ayant jamais été utilisée pour stigmatiser les personnes Noires, cela revient à poser une discrimination et à interdire aux personnes Blanches de faire usage de la couleur noire ou de la poser sur leur corps ; de faire ce qu’ils veulent de leur corps, il leur est interdit d’en disposer.
Cela n’a strictement rien à voir avec l’antiracisme, ce sont des racistes qui ont attaqué des personnes Blanches en inventant un problème qu’elles ont rattaché à leur couleur de peau blanche.
Le racisme ne peut se qualifier que si la personne a bien une intention, pas parce qu’une autre personne qui la regarde a eu une émotion ou qu’elle n’a rien compris.
Le fait d’être une personne Blanche ne suffit pas à poser une suspicion, être une personne Blanche ne suppose pas qu’il y ait délit.
Dès lors, vous êtes invité à mieux maîtriser les concepts avant de les employer à la légère.
Il n’y a jamais eu d’antiracisme dans cette affaire, mais des racistes qui ont attaqué des personnes.
Code pénal :
– des entraves à l’exercice des libertés d’expression article 431-1
– avec circonstance aggravante pour discrimination article 225-1
– diffamation publique, Loi du 29 juillet 1881 article 29
– atteinte à l’honneur article 226-4-1, toujours du Code pénal
@ fugace | 01 avril 2019 à 03:01
Les Japonais ne parlent pas de « trou noir » mais de « black hole » en utilisant donc la dénomination anglo-saxonne (caverne, cavité). L’article japonais montre le ‘black hole’ de la galaxie, Sagittaire A*, à travers une lentille gravitationnelle.
ECO qui désigne une « compact star » (ou un « compact object ») ou encore MACHO (massive astrophysical compact halo object ou encore de massive compact halo object) sont des acronymes anglo-saxons. Ces derniers précisent qu’un « compact object » qui n’est pas un « black hole » est une « degenerate star ».
Définitions:
Objet compact: astre de haute compacité comme en effet les trous noirs ou encore les étoiles étranges (ou étoiles à quarks = un quark est une particule élémentaire et un constituant de la matière observable), étoile hypothétique imaginée par des physiciens soviétiques et théorisée par des Polonais.
Une étoile exotique (異種星) est un objet compact en grande partie théorique.
Les Japonais semblent s’occuper du phagocytage des galaxies cannibales entre elles. D’une façon générale les dénominations sont traduites de l’anglais et on ne peut donc pas faire les mêmes jeux de mots idiots qu’en français.
Et donc, à propos de certaines particules hypothétiques de « dark matter », cette matière noire encore appelée matière transparente, ils parlent eux aussi de WIMP (Weakly Interactive Massive Particle) en expliquant que ce sont des 弱虫 = YOWA-MUSHI = des lâches.
Vous trouverez sur cette page de son CV , l’e.mail du professeur 岡 朋治 (OKA Tomoharu ) de l’Université KEIO (慶應義塾大学 = KEIŌGIJAKU-DAÏGAKU), université privée de Tokyo fondée en 1920 et qui est située dans la zone portuaire : et vous pourrez donc lui poser la question de ces trous noirs intermédiaires, directement. Vous trouverez également des tas de belles images sur la page WEB de son laboratoire.
Pour l’instant, il me semble que le plus gros danger représenté par un trou noir, c’est qu’il vote LREM aux européennes parce que là, on n’aura pas fini de chercher la ‘hole’ derrière le ‘trou’ ! dixit Ali Baba…
@ Lucile
« La supercherie, c’est de faire croire que les noirs de maintenant risquent d’être traités comme des esclaves et que les blancs de maintenant sont tentés d’être esclavagistes. »
Mais qui fait croire cela ? Où et quand le terme « esclave » est-il apparu dans cette malheureuse histoire ?
Vous projetez vos peurs et votre mauvaise conscience historique. Vous imaginez avoir affaire à des gens qui souhaitent se venger alors que tout ce qu’ils demandent, c’est d’être respectés comme tout autre citoyen et que, en l’occurrence, notre culture, qui en tant que telle véhicule un message normatif forgeant les consciences, cesse d’être raciste.
Le problème n’est pas un quelconque retour du passé, mais bien un présent et un meilleur avenir pour tous.
@ Herman kerhost | 01 avril 2019 à 23:46
« L’antiraciste considère les autres races inférieures. Il pense que les personnes issues de ces races nécessitent qu’on les aide, alors que ces gens ne leur ont rien demandé. L’antiraciste est condescendant, de fait, envers les races qu’il considère faibles. »
Voilà. Et en plus, « l’anti-racisme » est toujours un racisme anti-blanc, qu’il soit ethnomasochiste ou tribal.
« Est-ce pour sa coiffure ou pour son prénom que madame Ndiaye a été nommée porte-parole du gouvernement LaREM ?
Sacré Manu, toujours prêt à nous divertir… »
Rédigé par : breizmabro | 01 avril 2019 à 23:07
Surtout qu’on risque de la retrouver sur le perron de l’Elysée en string avec les trans bi homos LGBT, nous faire une danse du ventre pendant la fête de la Zizique.
Vas’y Manu c’est bon !
Encore un exemple d’anti-discriminationnisme à géométrie variable : une femme dont on nous dit qu’elle est « transgenre » (moi y’en a pas savoir ce que c’est) se fait insulter, puis malmener, puis carrément frapper par la foule à Paris. Et Le Parisien titre : Paris : agression transphobe en marge d’une manifestation, une enquête ouverte
En marge d’une manifestation algérienne, abruti. En marge d’une manifestation composée exclusivement d’Algériens, malfaiteur intellectuel communiste. Mais il est tellement plus simple de suggérer que les Parisiens n’aiment pas les homosexuels… (alors qu’ils en élisent à tour de bras, bizarrement).
Il faut, en effet, lire l’article, pour comprendre qu’il s’agissait d’une manifestation contre la réélection du président Bouteflika en Algérie. Même lorsqu’on parcourt le texte, pas une seule fois n’apparaît l’information qu’il s’agissait d’une manifestation d’Algériens, de personnes issues de l’immigration dont on connaît la haine qu’elles vouent aux homosexuels, et les violences qu’elles leur infligent.
Le lecteur finit par le comprendre, car « un rassemblement contre le président algérien Bouteflika, place de la République, à Paris » ne peut être constitué que d’Algériens. Mais ce n’est pas le journaliste du Parisien qui se sera donné la peine de l’expliquer.
Quant au mot « musulman », il ne figure bien sûr nulle part dans le texte, pas plus qu’aucun rappel concernant le sort prôné par la religion musulmane envers les homosexuels. Et autres « LGBTQI + », comme le dit Le Parisien sans rire, et comme on ne disait pas encore à l’époque de Mahomet. (Le +, c’est pour les amateurs de poupées gonflables ?)
Le message est clair : nous autres Français, non seulement nous sommes « racistes », mais en plus nous pratiquons la « haine transphobe » (sachant que la quasi-totalité des gens finiront leurs jours sans avoir jamais vu un seul transsexuel — mais l’essentiel est bien de les culpabiliser à mort).
@ Robert M. 02 avril
Pour vous distraire encore un peu.
« Cecile Eledge, une Américaine de 61 ans, a proposé à son fils de porter son enfant. Matthew et son compagnon Elliot ont accepté. Uma Louise est née la semaine dernière et se porte bien »
Vive l’Amérique, ce pays où la vie ne peut coûter que 40 000 dollars.. si ça reste en famille…
Adéo Robert M. 😉
https://www.leparisien.fr/…/a-61-ans-elle-accouche-de-sa-petite-fille-01-04-2019-8044476.php
@ Robert Marchenoir
« Le condamné a 19 ans. Rien ne s’oppose à ce que la presse l’identifie. Or, on ne connaît rien de lui. Ni son nom, ni sa race, ni sa nationalité, ni sa religion, ni son origine… Seulement qu’il est « imberbe » (très intéressant !) et qu’il est « contractuel d’une collectivité locale ». Pas même de « prénom modifié », cette fois-ci. »
Voici encore une affaire du même genre dans laquelle, à part un Espagnol et « un Français de 42 ans au patronyme corse », les autres protagonistes sont semble-t-il de purs esprits sans âge, sans patronyme, sans nationalité (simple ou double), sans origine, sans lieu de naissance, sans domicile, sans profession, sans aucun signe distinctif…
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/04/01/01016-20190401ARTFIG00004-trafic-de-drogue-a-saint-denis-trois-suspects-dont-un-ex-agent-municipal-devant-le-tribunal.php
A croire que la criminalité en France est principalement le fait de fantômes…
@ Exilé | 02 avril 2019 à 22:33
Eh oui ne pas nommer les choses ou les personnes, ne pas oser s’enquérir de leurs origines, quand ils sont manifestement différents (en raison de la couleur de leur peau, de leur accent ou de leur culture), éviter de les critiquer, refuser de les combattre quand ils mettent en péril notre sécurité et nos valeurs, est incontestablement une forme de racisme de la nature la plus insidieuse qui soit.
Comprenne qui pourra mais certainement pas les racistes et antiracistes compulsifs qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau et ne sont que le revers et l’avers d’une médaille figurant le même type de sectarisme et de préjugés indécrottables !
@ Exilé
@ Robert Marchenoir
« A croire que la criminalité en France est principalement le fait de fantômes… » (Exilé)
Et cela change quoi au délit ou au crime ?!
En quoi savoir l’âge, la nationalité, la couleur de peau, la ville de naissance, le lieu d’habitation, la taille du phallus au repos ou en tumescence va aider en quoi que ce soit ?!
Depuis quand, en France, la Justice se rend sur la taille du machin, la couleur de peau, la ville de naissance ?!
Oui, restez exilés tous les deux, qu’à l’étranger ils vous gardent et qu’ils prennent votre tour de poitrine, que l’on sache enfin si vous êtes coupables.
@ Mary Preud’homme
« Eh oui ne pas nommer les choses ou les personnes(…)est incontestablement une forme de racisme… » »
Je vous rejoins sur ce que vous exprimez dans ce commentaire.
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. »
Albert Camus
Rien de tel qu’un petit billet sur l’antiracisme ou le racisme (entre nous il n’y a pas de grandes différences) pour mettre un peu d’ambiance sur le blog.
Tout ça fait un peu penser aux grandes bagarres de poissons pas frais des albums d’Astérix.
Sauf qu’il est peu probable que tout cela finisse par un grand banquet avec sanglier à volonté. 🙂
@ Mary Preud’homme | 03 avril 2019 à 01:07
« Eh oui ne pas nommer les choses ou les personnes… »
La commission des délits et des crimes serait ainsi en fonction de l’accent, du lieu de naissance, de la couleur de peau, la longueur des cheveux d’une personne ?!
Je suppose que vous auriez des preuves scientifiques que le fait d’être un homme blanc né dans le département 78, baptisé, royaliste, catholique, ayant fait Assas, Dauphine, HEC, s’habillant en costume cravate attesterait d’être un escroc bancaire et un blanchisseur d’argent sale.
Je persiste et signe, vous avez le niveau intellectuel de Marchenoir qui dit que du fait que vous soyez noir, vous avez un coefficient intellectuel inférieur de 30 % ; quant à Exilé, du fait que vous êtes noir, il n’est même pas convaincu que vous soyez un humain ; alors continuez à leur courir après.
@ fugace
« On peut former tous les bons vœux imaginables, il demeure que je trouve parfaitement juste qu’une chose aussi imparfaite que l’homme sot, soit périssable, et dans la foulée celle de l’homme de bien… »
C’est toujours injuste. Il n’y a rien de juste dans la nature, par exemple la souffance et la mort; le lapin n’est pas justement frappé par le loup, il n’est pas juste non plus que le loup meure de faim s’il n’attrape rien. Aucun des deux n’a rien fait de mal.
Si un Dieu tout-puissant nous a créés, il est aussi mal qu’il nous dé-crée. Il nous inflige la souffrance et la mort, à nous qui ne lui avons rien fait et ne pourrions d’ailleurs lui infliger quoi que ce soit, impuissants malmenés par un tout-puissant.
Rien n’est parfait dans la nature, si on dit que ce qui est très imparfait doit disparaître, on n’a pas à le limiter aux individus et aux humains, tout devrait être aboli.
Mais je ne pense pas ainsi ; les êtres existent tels qu’ils sont par sélection naturelle. Ils existent car leur « parents » avaient une adaptation suffisante.
Rendre le milieu pire pour que les humains soient forcés de développer leurs capacités ? Jamais.
Mais on peut et on doit développer tout ce qui développe l’Homme, que ce soit par l’éducation et les futures augmentations de capacités qui, je le pense, seront disponibles par manipulation génétique, nano-technologie et autre.
Pour le reste, des gens peuvent être idiots ou on peut ne pas en aimer certains mais cela ne doit pas polluer cette grande ambition.
Et pour réconcilier tout le monde ainsi que souhaiter le meilleur à tous, je ressortirai Rabelais : « Buvez toujours, ne mourez jamais ».
@ Elusen | 03 avril 2019 à 10:58
« …alors continuez à leur courir après. »
Eu égard à mes antécédents, mes performances et ma réputation en la matière, il me semble que ce serait plutôt l’inverse.
Néanmoins je comprends que mon indépendance d’esprit alliée à une longue expérience contre les théories fumeuses de racistes et de sectaires de tout poil (dont vous êtes la quintessence) puissent vous incommoder.
@ Elusen | 03 avril 2019 à 10:58
« Vous avez le niveau intellectuel de Marchenoir qui dit que du fait que vous soyez noir, vous avez un coefficient intellectuel inférieur de 30 %. »
Inférieur à qui ? En ce qui vous concerne, il est manifeste, du fait de ce que vous écrivez, que votre quotient intellectuel est nettement au-dessous de la température d’ébullition d’une casserole de flotte. Pas forcément aussi dramatique que celui d’un Subsaharien moyen, mais enfin, par rapport à vous, l’écart est certainement plus modeste.
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@ Mary Preud’homme | 03 avril 2019 à 01:07
« Eh oui ne pas nommer les choses ou les personnes, ne pas oser s’enquérir de leurs origines, quand ils sont manifestement différents (en raison de la couleur de leur peau, de leur accent ou de leur culture), éviter de les critiquer, refuser de les combattre quand ils mettent en péril notre sécurité et nos valeurs, est incontestablement une forme de racisme de la nature la plus insidieuse qui soit. »
« Comprenne qui pourra mais certainement pas les racistes et antiracistes compulsifs qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau et ne sont que le revers et l’avers d’une médaille figurant le même type de sectarisme et de préjugés indécrottables ! »
Une fois de plus, on voit à l’œuvre, ici, le fascinant élastique intérieur gauchiste qui détruit les cerveaux les plus atteints (y compris chez ceux qui se disent « de droite »). Hop je dis un truc, hop je dis exactement le contraire juste après.
Ni vu ni connu j’t’embrouille, mais je retombe toujours sur les pattes du politiquement correct, tout en ayant fait mine de rendre hommage à la réalité la seconde d’avant.
Combien de temps faut-il pour réduire un peuple entier à cet état d’abrutissement congénital ? Quarante ans, depuis l’avènement de Saint François ? Soixante-quinze ans, depuis le coup d’État de Maurice Thorez, perpétré avec l’aimable assistance du général de Gaulle ? Quatre-vingts ans, depuis le noble Front populaire, et sa semaine de quarante heures qui nous a valu l’ignominieuse défaite de 1940, déjà (*) ? Deux siècles et des brouettes, depuis la glorieuse Révolution française, avant laquelle la France n’existait pas ? Chacun aura son propre instrument de mesure, mais le délabrement des cerveaux et des caractères est incontestable.
______
(*) Et la suppression des « petites lignes » de la SNCF. J’y tiens, à celle-là.
@ Robert Marchenoir | 03 avril 2019 à 18:17
Où l’on voit que ce pauvre Marchenoir avec ses théories fumeuses, fruit de ses préjugés, de ses obsessions morbides ou de ses informations tendancieuses, glanées sur des copiés-collés qu’il tient pour vérités authentiques – à l’égal d’un Elusen, privé tout comme lui de phares de recul – est complétement ignorant de la réalité de ce siècle (vingt et unième de nom) et totalement largué quand il se trouve confronté à un témoin qui parle (sans œillères) de son vécu et par conséquent de la vraie vie.
@ Robert Marchenoir | 03 avril 2019 à 18:17
A ce sujet il me revient une anecdote savoureuse (des années 1990) où m’étant opposée vigoureusement dans le métro à une jeune cousine américaine d’origine haïtienne sur je ne sais plus quel sujet, j’eus la surprise de me voir prise à partie par une dame qui manifestement avait confondu mon droit à une opinion différente en privé, avec un préjugé racial généraliste et m’accusait ni plus ni moins de ce fait de racisme.
Ce qui au passage avait bien faire rire ma présumée victime du moment (cousine par alliance) qui elle, nonobstant son QI (qualifié en moyenne de 70 par un certain Marchenoir) ne se sentait pas du tout visée (et plutôt gênée par l’irruption manifestement orientée et inopportune d’une militante sectaire et bornée dans notre échange familial).
@ Robert Marchenoir | 03 avril 2019 à 18:17
« Combien de temps faut-il pour réduire un peuple entier à cet état d’abrutissement congénital ? Quarante ans, depuis l’avènement de Saint François ? Soixante-quinze ans, depuis le coup d’État de Maurice Thorez, perpétré avec l’aimable assistance du général de Gaulle ? Quatre-vingts ans, depuis le noble Front populaire, et sa semaine de quarante heures qui nous a valu l’ignominieuse défaite de 1940, déjà ? Deux siècles et des brouettes, depuis la glorieuse Révolution française, avant laquelle la France n’existait pas ? Chacun aura son propre instrument de mesure, mais le délabrement des cerveaux et des caractères est incontestable. »
Quand vous écrivez « réduire un peuple entier », vous voulez dire « entier », « entier » ? Ça fait beaucoup, quand même, non ? Non, pour vous, c’est le bon compte !
Et lorsque vous précisez « congénital », vous voulez dire « congénital », « congénital » ?
Le congénital de, avant la naissance ? Parce que, figurez-vous que si c’est de celui-là qu’il s’agit, je peux vous donner la réponse.
Notez que je n’ai pas eu besoin d’utiliser un de vos « instruments », j’en ai déjà un et de qualité supérieure, c’est un pifomètre fabriqué en France, SGDG !
Alors, donc, il suffit de l’approcher de la boîte crânienne du premier venu, avant il faut bien évidemment s’assurer qu’il s’agit d’un spécimen français, et alors vous pourrez lire sur les lèvres (ou la bouche si elle fait du bruit ou duvent) de ce personnage, dans la langue des signes, la phrase suivante (et tâchez de vous en souvenir, car elle peut servir plusieurs fois ) : Un certain temps !
@ Mary Preud’homme | 03 avril 2019 à 19:24
« Où l’on voit que ce pauvre Marchenoir avec ses théories fumeuses, fruit de ses préjugés, de ses obsessions morbides ou de ses informations tendancieuses, glanées sur des copiés-collés qu’il tient pour vérités authentiques – à l’égal d’un Elusen, privé tout comme lui de phares de recul – est complétement ignorant de la réalité de ce siècle (vingt et unième de nom) et totalement largué quand il se trouve confronté à un témoin qui parle (sans œillères) de son vécu et par conséquent de la vraie vie. »
Ce qu’on voit, c’est simplement que vous avez la tête profondément enfoncée dans votre nombril, pour rester poli et ne pas employer une expression américaine plus imagée.
Ce qu’on voit aussi, c’est que vous mentez. Vous dites (en parlant de vous à la troisième personne — mes hommages à Votre Excellence) :
« Quand il se trouve [ça c’est moi] confronté à un témoin qui parle (sans œillères) [non… pas du tout… des œillères ? Mary Preud’homme ? où ça ?] de son vécu et par conséquent de la vraie vie. »
Mais justement. Vous ne nous parlez pas du tout de votre « vécu ». Enfin, en tant qu’il ait un rapport avec le sujet, c’est à dire l’imbécillité moyenne des Noirs, leur propension à la délinquance beaucoup plus importante que celle des populations qui les accueillent, leur irrespect de ces dernières, et, par conséquent, la nécessité d’en empêcher l’immigration.
Vous tartinez sans honte, en effet, sur vos aventures parachutistes, secrétariales, polyphoniques, résidentielles et que sais-je encore, mais vous n’essayez même pas de nous prouver que votre « vécu » tend à montrer que non, les Noirs installés dans les sociétés occidentales ne sont pas en moyenne plus abrutis que les indigènes, plus méprisants de la loi qu’eux, etc.
Vous n’essayez même pas de le faire, et quand bien même vous le feriez, cela n’aurait qu’une valeur extrêmement limitée, pour ne pas dire nulle.
Votre « vécu », pas plus que celui de n’importe qui, pris isolément, n’a la moindre importance en la matière. Vous nous servez la sensiblerie politiquement correcte, soixante-huitarde et nombriliste qui tient le haut du pavé actuellement. Vous nous servez les slogans stupides sur « la vraie vie » — qui serait la vôtre, naturellement, ce qui ferait que vous auriez raison sur le sujet en débat, ce qui veut dire quoi, exactement ? Que les autres vivent une « fausse vie » ? Que votre vie est plus importante que celle des autres ? Et c’est vous qui nous jouez le pipeau de la « tolérance » et de « l’ouverture à l’Autre » vivre-ensemblistes ?
Il ne s’agit pas de « vécu ». Il s’agit de science. Soit les faits que j’ai exposés sont vrais, soit ils sont faux. Or ils sont vrais, puisque ils sont prouvés par d’innombrables études et statistiques portant sur l’ensemble des populations, que personne n’a été en mesure, jusqu’à présent, de les réfuter au moyen de données similaires (et pour cause), et que, pour votre part, vous n’avez même pas essayé de le faire. Sans compter les innombrables témoignages allant dans le même sens !
Vous vous contentez de nous tartiner votre répugnante moraline en couches épaisses, à grands renforts de « moi, je », « moi, je », moi, mon vécu et mon nombril.
Mais on s’en moque, de votre vécu, ma petite dame. Il n’a rien à faire dans le sujet. Vous êtes un spécimen éclatant de la génération de Mai 68, qui s’imagine que le monde gravite autour de sa personne et ne connaît que l’argument touristique, avatar de la culture journalistique dévoyée qui infecte notre temps : j’ai « vu », c’est mon « vécu », mon « ressenti », donc je sais. Sur le sujet, vous ne connaissez rien. D’ailleurs, vous ne faites même pas semblant.
Pas une seule fois, depuis que vous cassez les arpions aux populations ici à l’aide de vos répugnants préjugés « anti-racistes », vous n’avez tenté de réfuter les faits et les arguments apportés en masse par les opposants de cette idéologie détestable.
En revanche, vous vous employez abondamment à pratiquer le fond de la méthode « anti-raciste », qui se résume à l’invective, aux attaques personnelles, à la diffamation des uns et des autres, à l’intimidation et même aux menaces, d’autant plus grotesques que votre pouvoir de nuisance ici est rigoureusement nul.
Incidemment, le « vécu » de centaines de millions de Blancs habitant en Europe, aux Etats-Unis, en Australie, au Canada et même en Afrique, tend, lui, à prouver l’inverse de ce qui est écrit sur votre tube de moraline à vous, et que vous tentez de faire passer pour votre « vécu », sans jamais nous en parler réellement.
Contrairement aux personnes que je viens de citer, dont le « vécu » circonstancié s’étale dans toutes les gazettes, dans tous les tribunaux et dans votre fameuse « vraie vie » — à géométrie fortement variable, vue au travers de vos lunettes noires et roses à la fois. Elles aussi, elles ont une « vraie vie », figurez-vous.
Quand elles ne la perdent pas aux mains de vos petits protégés, comme les agriculteurs blancs d’Afrique du Sud et du Zimbabwe, persécutés, attaqués, torturés, violés, massacrés par les cousins de votre bien-aimé Léopold Sédar Senghor, avant d’être expropriés de leurs fermes, lesquelles seront naturellement laissées à l’abandon — et ce sera encore notre faute si les Noirs d’Afrique du Sud meurent de faim en conséquence.
@ Mary Preud’homme | 03 avril 2019 à 16:58
«…puissent vous incommoder. »
Ce serait plutôt les odeurs qui incommodent, voire votre rôle de kapo.
C’est un peu le truc des négriers et esclavagistes basé sur la théorie du nègre des champs et nègre de maison.
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@ Robert Marchenoir | 03 avril 2019 à 18:17
«…au-dessous de la température d’ébullition d’une casserole de flotte »
C’est pourtant là que baigne toute cervelle, dans la flotte et il semblerait que, quand les vieux prennent la flotte, c’est de l’incontinence.
Surtout avec ce penchant obsessionnel à vouloir se définir systématiquement par rapport aux personnes Noires et à vouloir prouver que c’est vous qui avez le plus gros… QI ; mais à l’heure du viagra, rien n’est moins certain.
Vous avez un problème avec la taille, il suffit de voir systématiquement vos écrits inutiles.