Préfecture de police : l’incurie nue…

« Epouvantable de devoir chercher dans l’innommable l’esquisse, la possibilité d’un sursaut, enfin, pour demain. »
Demain ne sera pas.
Yves Cochet l’a affirmé dernièrement dans l’émission « C à vous ». En 2038 (à cinq années près précise-t-il) l’humanité aura disparu.
Même les mises en garde de Greta Thunberg n’auront rien pu faire.
Quand un ancien ministre se met à tenir le même discours qu’une autiste de seize ans, cela interpelle. Et si ces deux-là avaient raison ? Allez savoir !
2038 c’est dans dix-neuf ans, autant dire demain. Le grand remplacement annoncé par Renaud Camus et Eric Zemmour n’aura même pas eu le temps de s’amorcer.
La prochaine extinction de masse est en route. Alors profitons du temps qui nous reste !

« On a réclamé la démission du ministre de l’Intérieur. Une tradition française qui croit que changer un homme garantirait enfin une toute nouvelle efficacité. Illusion mais on aurait pu concevoir que Christophe Castaner, à titre personnel, malgré le soutien appuyé et pour tout dire ridicule du Premier ministre, se soit senti responsable de cette architecture calamiteuse de la Préfecture de police de Paris et en ait tiré des conclusions. »
Comment imaginer que Monsieur Castaner, arrivé au sommet de l’État, carriériste au possible, doté d’une vision politique n’excédant pas son nombril et d’une fascination de petite fille pour Macron, démissionne ? C’est ce que l’on pourrait attendre d’un chef, oui ; pas d’un « manager ».
Dans le Fil de l’épée, De Gaulle écrit à propos du chef : « Que l’affaire réussisse, il en distribue largement l’avantage et, dans le cas d’un revers, il n’admet pas que le reproche descende plus bas que lui. On lui rend en estime ce qu’il offre en sécurité. »
Monsieur Castaner est l’exact contraire de cette définition. D’une manière générale, les ministres n’ont jamais été aussi irresponsables que depuis qu’ils disent être « aux responsabilités » plutôt qu’« au pouvoir ». Ils font en sorte que la responsabilité frappe sous eux.
Dès lors, comment avoir de l’estime pour eux ?

On a réclamé la démission du ministre de l’Intérieur. Une tradition française qui croit que changer un homme garantirait enfin une toute nouvelle efficacité.
Non, ce n’est pas spécialement une « tradition française » mais simplement le fait qu’une personne investie de certaines responsabilités doit en assumer les conséquences, qu’elles soient heureuses ou malheureuses, et réponde de ses actes, sinon autant reconnaître et généraliser le principe d’irresponsabilité totale, ce qui tend à devenir la norme en France sans l’avouer, entre autres avec le principe de « dilution des responsabilités ».
En Chine à une époque, les responsables qui avaient failli étaient décapités.
Au Japon, il est arrivé que dans des cas similaires ils aient pratiqué le seppuku.
Nous n’en demandons pas tant, mais pourquoi en France avons-nous la manie de décorer à tour de bras des gens qui n’ont fait que leur travail pour ne pas sanctionner ceux qui ont fait preuve d’incompétence ou de manquements graves ?
Pourquoi certains postes ou certaines fonctions sont-ils liés à des honneurs et à divers avantages matériels si rien ne le justifie en contrepartie ?
Le maréchal Joffre a déclaré à propos de la bataille de la Marne: « cette bataille, je ne sais pas qui l’a gagnée mais je sais très bien qui l’aurait perdue ».

Ouh là là nous vous avons connu plus tempéré Monsieur Bilger.
J’attends déjà les réactions outrées à vos propos pour une fois « tranchés »… dans le vif…
Votre titre aurait pu se terminer par « L’incurie d’Augias »…
Monsieur Marc Ghinsberg ne va pas vous épargner et vous le savez fort bien, ainsi qu’Achille et bien d’autres et vous recevrez une adhésion sans faille de sylvain.
En fait, pour un début de semaine, voilà qui réveille.
😉

@ Xavier NEBOUT
Les policiers et gendarmes sont tenus au respect d’un Code de déontologie qui, en cas de manquement, peut entraîner une sanction disciplinaire (du blâme à la révocation en passant par un exclusion temporaire).
Exemples d’articles qui pourraient trouver une application contre les « infiltrés » :
Article R. 434-9 du CSI, alinéa 2 :
« [Le policier] ne se prévaut pas de sa qualité pour en tirer un avantage personnel et n’utilise pas à des fins étrangères à sa mission les informations dont il a connaissance dans le cadre de ses fonctions. »
Article R. 434-12, alinéa 2 :
« En tout temps, dans ou en dehors du service, y compris lorsqu’il s’exprime à travers les réseaux de communication électronique sociaux, il s’abstient de tout acte, propos ou comportement de nature à nuire à la considération portée à la police nationale et à la gendarmerie nationale. Il veille à ne porter, par la nature de ses relations, aucune atteinte à leur crédit ou à leur réputation. »
Article R. 434-21, alinéa 3 :
« Il alimente et consulte les fichiers auxquels il a accès dans le strict respect des finalités et des règles propres à chacun d’entre eux, telles qu’elles sont définies par les textes les régissant, et qu’il est tenu de connaître. »
Article R. 434-29, alinéa 2 et 3 :
« Il s’abstient, dans l’exercice de ses fonctions, de toute expression ou manifestation de ses convictions religieuses, politiques ou philosophiques.
Lorsqu’il n’est pas en service, il s’exprime librement dans les limites imposées par le devoir de réserve et par la loyauté à l’égard des institutions de la République. »
Nous avons les moyens de les virer.

Le responsable est celui qui a nommé le tueur à ce poste.
Il fallait respecter le quota d’emplois handicapés. Sourd et muet, cet employé modèle ne risquait pas de trahir des secrets.
On voit le résultat.
Pour peu qu’il ait eu des tendances homosexuelles, il se serait trouvé indéboulonnable.

Bonjour M. Bilger,
Je suis étonné par le placement en garde à vue de la compagne de cet homme dans les heures qui ont suivi la commission des faits, alors que la qualification terroriste n’avait pas été retenue et que ce choix avait été porté à la connaissance du public. Pourtant, on sait que c’est pratique courante dans un contexte d’association de malfaiteurs à caractère terroriste. Je commence à avoir une certaine expérience et je n’ai aucun exemple d’une telle décision dans une affaire de meurtre dite de droit commun à l’endroit d’une personne qui ne se trouvait même pas sur le lieu des faits, à moins d’éléments permettant d’envisager l’existence d’une complicité ou la commission d’un délit d’abstention de porter secours ou de dénonciation de crime. Vous savez que le contrôle de l’existence des raisons plausibles de la commission d’une infraction est rigoureux, pouvant entraîner une annulation de la mesure. Comment expliquer cette apparente contradiction : refuser la qualification terroriste tout en mettant en oeuvre une pratique souvent induite par celle-ci ?
Bien à vous.

INCURIE NUE ou j’menfoutisme ?
Ce drame s’est produit au sein d’un service de renseignement et de sécurité.
Deux agents mentionnent au responsable de la radicalisation ce qu’ils ont entendu et constaté, celui-ci ne fait pas suivre parce que les deux agents n’ont pas voulu signer une déclaration signée !!??
C’est un cauchemar !
Un responsable de la sécurité sur la radicalisation est un vulgaire fonctionnaire qui ne fonctionne que sur papier puis, certainement, ordinateur.
Si ses agents avaient accepté, leurs dépositions auraient été enregistrées sur un ordinateur au nom du suspect. Lequel avait accès aux ordinateurs au cours des quatre années depuis 2015…
Ce genre de sécurité demande de la discrétion !
Ou on a confiance en ses collègues et subordonnés, ou pas ! Dans le dernier cas il doit rentrer dans le rang et dénier toute autorité.
Car en matière de renseignement ou on opère par anonymat ou on opère verbalement ! On ne laisse pas une piste de petits cailloux blancs virtuels sur un ordinateur ou dans un dossier se baladant de bureau en bureau.
Ce n’est pas de la défaillance !
C’est du sabotage par négligence et incompétence ! C’est de la traîtrise !
Dans un service de ce genre il y a des règles et des procédures précises, le renseignement est le but, pas la papasserie !
N’importe quel inspecteur de police pourrait en témoigner « on ne donne pas ses informateurs ».
Notre sécurité est aux mains de ronds-de-cuir !
Si ici et ailleurs des anonymes postent leurs commentaires sous un alias c’est par simple mesure de sécurité.
Un ou plusieurs dirigeants de cette Préfecture semblent ignorer cela, tout en postant peut-être des commentaires sur un journal ou blog anonymement !
Le danger n’est plus l’islamisme, c’est l’incompétence et l’irresponsabilité de nos fonctionnaires.
Non seulement il y en a trop mais en plus beaucoup sont incompétents ou j’menfoutistes !

Ces quatre morts sont à porter aussi au débit de l’incompétence et de la négligence.
Il ou elle avait déjà souligné la mortelle léthargie, ici même ou ailleurs peu importe, l’important c’est de le redire :
Illusion + Diversion + Aveuglement sont devenus les trois mamelles de la France.
Après une longue léthargie des fonctions supérieures, le laxisme a fait son œuvre.
Depuis les années 1970 de nombreux facteurs se sont cumulés pour aboutir à une situation que nous n’imaginions même pas.
Et ce n’est pas le contexte économico-politique qui va arranger les choses. On sent bien que nos politiques de droite comme de gauche tentent de sauver le meubles. Et en passant, que peut même faire, en bien ou en mal, tout l’argent du Qatar ?
Le fond des choses, c’est qu’au-delà de la perte des repères pour un trop grand nombre de citoyens, l’inculture grandissante mêlée à une religion en quête de nouveaux territoires, une fracture sociale sans précédent, des communautarismes exacerbés, et j’en passe, vont aboutir à une radicalisation de la société.
La bascule entre un religieux intégriste et une politique dictatoriale va devoir s’opérer avec ou sans heurts, et entre les deux nous voyons bien laquelle va devoir s’installer afin d’éviter les guérillas.
Pour mémoire :
Islam et radicalisation
https://www.contrepoints.org/2019/01/13/334524-lislamisme-radical-la-lutte-seculaire-entre-le-palais-et-la-mosquee?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=40045ce6c8-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-40045ce6c8-114248925&mc_cid=40045ce6c8&mc_eid=a8b5070468

Ce qui me choque dans les propos de Christophe Castaner et Laurent Nunez, c’est comment ils renvoient toute la responsabilité sur les collègues qui n’ont pas confirmé le signalement.
Imaginez la situation: vous connaissez un collègue depuis une dizaine d’années, travaillez dans une ambiance familiale, connaissez les familles de chacun. Un jour vous voyez que ce collègue, qui s’est converti après son embauche, commence à avoir des propos choquants sur les attentats. Vous faites la démarche, probablement contre l’avis de certains collègues, de signaliser ces comportements à la hiérarchie. C’est lourd de conséquence, car si cela aboutit, ce collègue handicapé va perdre son habilitation et son job. Là-dessus votre hiérarchie vous demande de confirmer si vous êtes bien sûr, mais réellement certain…
Pour peu que le collègue se soit fait plus discret sur ces sujets, évidemment que c’est difficile de confirmer et d’endosser le rôle du salaud islamophobe qui a bousillé la vie d’un handicapé.
Maintenant, voir Castaner puis Nunez – qui a côtoyé ces policiers – leur mettre tout sur le dos alors que ce sont les seuls qui ont tenté quelque chose, c’est humainement lamentable. Je crois et j’espère que ce duo d’approximatifs irresponsables perdra l’appui des policiers à cause de ça.
Quant à l’épouse, on voit déjà sa ligne de défense: les propres collègues policiers n’ont pas signalé son mari, comment pouvait-elle le faire, sachant qu’elle risquait en plus de devoir gérer la confrontation, plus les conséquences sur ses deux enfants. Elle avait déjà retiré une plainte contre des violences domestiques qui avaient causé 8 jours d’ITT…

Incurie nue certes cher P. Bilger mais pas seulement.
Bien plus important est « le délitement de la conscience professionnelle » que vous signalez. Délitement venant en grande partie du relativisme ambiant qui est né dans les années 60/70. Et ce dans tous les services de l’Etat régalien, comme d’ailleurs dans bien des sociétés du privé, les fonctionnaires n’ayant pas le monopole du relativisme dans l’affaissement de la conscience professionnelle.
Bien plus grave est l’absence de volonté du sommet de l’Etat, à commencer par E. Macron lui-même, pour nommer « l’ennemi » avec force et envisager des solutions dures et espérons-le efficaces et suivies, pour endiguer cette montée irrésistible de l’islamisme dans tous les rouages de notre société.
Seulement quelques succinctes déclarations du bout des lèvres, comme si prononcer les mots de la terrible réalité condamnait les musulmans dans leur ensemble, et risquait de faire s’envoler un électorat pour l’instant captif.
Quand on écoute la macronie, on peut mesurer leur ignorance du problème et malgré les éléments de langage (d’un niveau pitoyable) fournis par l’Elysée, les prestations, sur ce sujet, des élus LREM hésitent entre bisounours et incantations.
Un livre, « Taqiyya » de Mohamed Sifaoui, vient de paraître sur le thème de la dissimulation et de l’entrisme des islamistes dans les rouages de l’Etat (et ailleurs).
Sifaoui, personnage sulfureux au passé trouble et peu connu quand il vivait en Algérie, lancé par Yves Calvi il y a quelques années, provoque toujours chez moi un certain recul quand je le vois et l’entends.
Sans vouloir le dévaloriser à tout prix, il n’est pas mauvais d’entendre le document YouTube de Pierre Cassen de Riposte laïque. Portrait facétieux au deuxième et troisième degré qui éclaire sur le personnage.
Si un habitué de ce blog a lu son livre, il serait intéressant d’avoir son avis. Je soupçonne un chouïa ce Sifaoui d’être lui-même un champion de la dissimulation. Mais je ne demande qu’à être repris !
Cordialement.

@ Théodore
Il n’y a rien dans les articles que vous citez qui permettait d’écarter un musulman fervent dit « islamiste » de ses fonctions, dès lors que ses propos et attitudes ne s’exprimaient pas en public.
Dire par exemple en privé aux collègues de bureau que tant qu’à tuer quelqu’un, le tueur aurait mieux fait de nous débarrasser de Macron, ce n’est pas le clamer sur le blog de P. Bilger.

« La France sombre doucement, tragiquement à tous les niveaux dans une sorte de délitement de la conscience professionnelle. »
Ce constat est désolant, mais explique malheureusement les drames dont nous sommes les témoins impuissants.
Après l’incendie, près de Rouen, d’un site classé « Seveso », on met plus d’une semaine pour établir la liste des produits qui ont brûlé et on ne connaît toujours pas la dangerosité des composés qui ont pu se former pendant la combustion.
En face de la Préfecture de Police de Paris, la ruine de Notre-Dame de Paris illustre également cette insouciance.
Le chantier est maintenant entouré de palissades couronnées de fils de fer barbelés, avec vidéosurveillance, alors qu’avant l’incendie, il ne bénéficiait d’aucune protection.
Comme l’État souhaite un geste architectural contemporain dans la reconstruction, Sylvain Tesson, d’une phrase fulgurante lors d’une intervention radiophonique, a fait remarquer que ce geste avait déjà eu lieu et qu’il s’agissait tout simplement de l’incendie résultant de l’impéritie de notre société actuelle.
Notre parc nucléaire nous assure une production d’électricité moins nuisible pour notre planète que la plupart des autres productions d’énergie qui sont en train de la détruire.
Mais il a été conçu à une période où la rigueur et la conscience professionnelle permettaient d’engager des réalisations aussi audacieuses.
Ce parc est-il encore aujourd’hui sous contrôle ?
Ce n’est pas après le drame qu’il faudra se poser la question, comme on le fait trop souvent.

Édouard Philippe soutient Castaner, lequel soutient Nuñez, secrétaire d’État, lequel soutient le Préfet de police Lallement puisque celui-ci est toujours en poste et n’a pas démissionné ou été viré, lequel Lallement soutient…
Et c’est là que je me perds un peu dans la suite des soutiens de haut en bas.
Jusqu’au descend-on dans la hiérarchie du soutien ?
Qui sait qui a été sanctionné pour imprévoyance de sécurité dans un service qui devrait être sécurisé au moins à l’intérieur.
Pour l’extérieur, je ne me fais plus aucune illusion, comme on dit en Israël, chacun de nous est un soldat et un combattant exposé.
Il n’y a plus de civils, il n’y a que des cibles potentielles qui doivent se préparer au pire.

@ Exilé
« Mais à qui fera-t-on croire qu’il n’existerait pas en France d’homme capable d’assumer cette fonction délicate avec intelligence, honnêteté, poigne et doigté… »
Feu Pasqua peut-être ?

@ Achille 07 octobre 2019
Merci Achille pour votre complément s’agissant du juge Marc Trévidic.
Cordialement.

« L’incurie nue.
On avait tout. La conversion à l’Islam, la mosquée, les prêches haineux, le salafisme, l’apparence s’étant modifiée, l’approbation de la tuerie de Charlie Hebdo, le refus de saluer les femmes, des propos sans équivoque sur Facebook n’ont pas suffi à une direction du renseignement si peu renseignée sur elle-même. »
Sauf dans les clés USB où l’informaticien stockait des renseignements sur ses collègues bien sûr !
Et sur qui d’autre encore ? Et pour le bénéfice de qui ? Maintenant qu’il a été abattu par un fonctionnaire de police à qui cela vaudra la Légion d’honneur, on ne le saura jamais.
En tout état de cause c’est E.F.F.A.R.A.N.T. ! et effrayant. La hiérarchie informée ayant négligé de prendre quelque mesure que ce soit, doit désormais prendre ses responsabilités !
Quand je pense à toutes les personnes que le renseignement intérieur em…de pour des broutilles, ou pas, sur une base purement fantasmatique et dénoncées anonymement la plupart du temps, à tous les bâtons dans les roues mis à Pierre, Paul, Jacques par leurs divers infiltrés à droite et à gauche, je reste sans voix !

Les Pieds Nickelés dans toute leur splendeur, « Les Pieds Nickelés espions » pourrait-on titrer. Forton et Montaubert à coeur joie, quelle rigolade !
Laisser à l’aventure, seul, un personnage chargé de faire la maintenance, disques durs à profusion, mémoire interne, listings, on peut imaginer aussi lesquels… Pourquoi se serait-il gêné ? Allons-y gaiement !
Il rendait des services, paraît-il ? On peut imaginer encore ce qu’il a pu stocker avec des clefs USB qui s’achètent pour moins qu’une poignée de pistaches, tout seul pour s’occuper d’un parc informatique dans le saint des saints, finalement le « Bureau des légendes » et la sophistication du scénario était bien une légende.
Un pékin… Imaginer encore et toujours un Filochard ou Croquignol lâché dans une boutique qui ferait rêver n’importe quel esprit tordu, les rayons garnis, débordants d’informations à vendre ou servir sur canapé, pas comme les rayons alimentaires de l’ex-RDA, même pas se baisser, tout à portée de clic… Que de claques qui se perdent, dans ces milieux où l’intelligence ne dépasse pas finalement la semelle des chaussures !
Ils sont fous ! On n’est pas dans un magasin informatique, on est dans l’informatique de la cathédrale du renseignement, servez-vous ! listings en rayons… incroyable ! Quand la fiction dépasse la fiction à travers le réel.
Cadeaux à nos Pieds Nickelés qui sont censés être secrets, un abonnement à un de mes magazines favoris, juste pour le fun, ma gymnastique de geek pour ne pas perdre la main… ou plutôt la tête que n’a plus la « Préfecture de police : l’incurie nue… » (PB), c’est peu de le dire monsieur Bilger dans un billet qualifié ici de « beau » avec en creux ce qui est dévoilé de pire qui pouvait arriver.
Comme pour les gosses, ils vont devoir tout reprendre, je ne sais si les citoyens se rendent compte, tous les éléments de stockage à la portée d’un Ribouldingue, n’importe quel gamin leur aurait monté une architecture de protection, dramatique et désespérant.
https://i.goopics.net/k7jLJ.png

Après Notre-Dame de Paris dont la structure a flambé comme une torche et s’est effondrée en moins d’une demi-heure, tandis que les agents de surveillance n’avaient rien remarqué d’anormal quelques instants plus tôt et négligé une alarme, c’est au tour de la Préfecture de police d’être visée avec là encore toutes sortes de contrôle qui n’auraient pas fonctionné en amont, permettant aux « décisionnaires » de s’exonérer de toute responsabilité quant à la présence en leur sein d’un radicalisé habilité SD ? Quelle sera la prochaine cible spirituelle ou temporelle en l’île de la Cité : la Sainte-Chapelle, le Palais de Justice ?
Paris frappé au cœur, c’est la France que l’on veut détruire insidieusement, en saper les fondements et répandre partout le poison du terrorisme aveugle que l’on ne combat pas avec des marches blanches ou des séances chez le psy.
Nous sommes en guerre, ce que nos gouvernants semblent oublier et c’est d’abord cela qui devrait faire peur : ce laxisme, cette apathie, ces paroles de circonstance ou de fausse compassion face au danger ! Comme un vulgaire magicien ou une voyante le ferait pour conjurer le mauvais sort et appâter les gogos !

@ boureau | 07 octobre 2019 à 17:05
@ sylvain | 07 octobre 2019 à 18:39
Mêmes soupçons de mon côté !

@ yves albert | 07 octobre 2019 à 15:34
« Enfin, ne lisez pas les fakes news propagées par Achille car il n’a pas été baigné à sa naissance dans le Styx mais dans un canular (ruisseau où s’écoulent les eaux usées de l’Elysée). »
Mon pauvre yves albert, autant que vous sachiez tout de suite que je n’ai que faire de vos petites perfidies, niveau colleur d’affiches du RN.
Inutile de me coller aux basques comme un petit roquet, je n’ai pas de temps à perdre avec vous.

Un seul commentaire pour résumer :
La République en Marche vers la… mosquée !

LE DENISLAMISME
« Mais comment est-ce possible ? Comment un terroriste islamiste a-t-il pu se lover ainsi dans l’appareil d’État, au cœur même de la structure policière précisément censée lutter contre les menées islamistes, pour perpétrer – en pleine Préfecture de police – le massacre que l’on sait ?
Mais comment avons-nous pu ignorer, ou négliger, ces signes de radicalisation sans équivoque dont on découvre a posteriori qu’ils jalonnent le parcours de ce converti à l’islam – qui s’était notamment désigné à l’attention de ses collègues en applaudissant, en 2015, à la tuerie de Charlie Hebdo ?
Mais comment le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a-t-il pu soutenir publiquement que cet individu, en relation avec un imam salafiste, et qui ne souhaitait plus avoir de contact avec les femmes, n’avait «jamais présenté de signe d’alerte ni de difficulté comportementale»? Lui a-t-on menti ? Nous a-t-il menti ? Le pouvoir politique a-t-il fait pression sur l’administration ou la justice, ce qui serait gravissime, afin de conserver à cet attentat terroriste les apparences d’un tragique fait divers ?
Depuis le resurgissement, jeudi, de la barbarie au cœur de nos vies, les mêmes questions tournent en boucle, qui donnent à ce drame national des allures d’affaire d’État. Ces questions sont absolument légitimes. Le gouvernement, inquiet à juste titre des conséquences politiques de toute cette affaire, aurait grand tort de n’y apporter que des réponses lacunaires ou dilatoires. Seule la transparence totale permettra – peut-être – d’apaiser les inquiétudes que cet invraisemblable et tragique ratage a suscitées dans l’opinion.
Mais, disons-le tout net: si l’on devait se contenter de traquer les défaillances du système sécuritaire, les dysfonctionnements dans la chaîne judiciaire ou les dissimulations dans les propos de Christophe Castaner, on passerait à n’en pas douter à côté de l’essentiel, qui tient en peu de mots: si nous n’avons rien vu venir de ce qui se tramait à la préfecture de police de Paris, c’est que nous n’avons rien voulu voir ! Et si nous n’avons rien voulu voir, c’est que nous sommes, en France, collectivement victimes d’un mal étrange, particulièrement virulent dans les administrations, les cabinets ministériels et les salles de rédaction, une maladie de l’esprit, proche de la cécité volontaire, une maladie qu’il faudra bien, si l’on veut la combattre, se résoudre à appeler par son nom: le dénislamisme.
Le dénislamisme, c’est cet étrange tour d’esprit qui toujours fait reconnaître un «déséquilibré» derrière chaque attentat perpétré sur le sol national. Du bourreau de Sarah Halimi, à Belleville en 2017, au réfugié afghan qui a tué un jeune homme et blessé huit personnes à Villeurbanne cet été, c’est peu ou prou le même scénario: l’homme qui a porté «des coups de couteau à la gorge de sa victime» (le dénislamisme répugne à employer le mot «égorgé») est dans un premier temps décrit comme un «déséquilibré», un «psychotique» qui a été le jouet d’une «bouffée délirante», puis, comme tout finit par se savoir, il apparaît que le «déséquilibré» est aussi un islamiste radical, mais c’est pour ainsi dire un détail, en tout cas un élément parmi d’autres dont il ne faut pas exagérer l’importance…
Cette fois, parce que les antécédents islamistes du tueur de la Préfecture de police étaient vraiment trop lourds, cette «psychiatrisation» du terroriste n’aura tenu que 24 heures. Il est probable qu’on se serait fort bien accommodé qu’elle durât davantage…
Et le tout avec la meilleure conscience du monde ! Car si le catéchisme dénislamiste est écrit par une avant-garde militante islamo-gauchiste, en guerre ouverte contre notre système et notre civilisation, il est pour l’essentiel prêché par un bas clergé politique et médiatique, soucieux surtout de cultiver sa supériorité «morale» sur le bon peuple. Quand on lui parle d’islam politique et de communautarisme islamique, il répète en boucle les mêmes mantras: «Il ne faut pas inquiéter inutilement les Français», «Il ne faut pas jeter de l’huile sur le feu», «Il ne faut pas soulever un problème contre lequel on ne peut rien et qui, avec le temps, finira bien par se résoudre» (un problème dont, à vrai dire, nos bons apôtres souffrent assez peu)…
Bref, dormez en paix, braves gens ! Et c’est ainsi, de pieux mensonges en demi-vérités, que la parole publique, sur ce sujet-là comme sur beaucoup d’autres – l’accident de Rouen, la réforme des retraites -, a perdu le moindre semblant de crédit aux yeux de la majorité des Français…
Cette chape de coton, des intellectuels, des journalistes lanceurs d’alerte essaient bien sûr régulièrement de la lever: Michel Houellebecq, en un roman tristement prophétique ; Boualem Sansal, qui sait de quoi il parle: il a vécu sous la menace du GIA ; les anciens de Charlie: Riss, qui dénonce les «collabos» de l’islam politique, et Zineb El Rhazoui ; Alain Finkielkraut, bien sûr, qui depuis vingt ans dénonce les effets délétères d’un antiracisme devenu fou ; Kamel Daoud, qui, avec nombre d’écrivains du monde musulman, pointe courageusement les germes de violence contenus dans l’islam… mais contre tous ceux-là, et quelques autres encore, la patrouille dénislamiste exerce une vigilance sans relâche. Un mot de trop, et les voilà convaincus d’«amalgame», coupables de «stigmatisation», pire encore, accusés d’«islamophobie», car, nouveauté au pays de Voltaire, les tribunaux ont désormais mission de défendre un culte contre le libre exercice de l’esprit critique (pour les autres religions, on est plus coulant)…
Mais il y a plus ! Si le procès en islamophobie ne suffit pas à faire taire l’esprit rebelle, on lui envoie la bombe atomique: la reductio ad hitlerum, qui procède d’un syllogisme bien connu: «Les musulmans sont les juifs d’aujourd’hui ; or ceux qui dénoncent l’islamisme s’en prennent aux musulmans ; donc ceux-là sont des nazis !» Et c’est ainsi que notre confrère Le Monde a accusé Éric Zemmour – puisqu’il faut bien parler de lui ! – non pas de tenir à la tribune des propos outranciers, provocateurs, voire ineptes ou honteux – ce qu’après tout chacun a le droit de penser ou d’écrire -, mais de se rendre complice d’un futur crime contre l’humanité au nom de l’enchaînement: «Stigmatisation, exclusion, expulsion, extermination» (sic) ! Ainsi va la logique délirante du dénislamisme: pour ses scribes, Zemmour, c’est Hitler, mais, dans la vraie vie, ce sont sous les coups des islamistes que tombent les Français, et tout particulièrement – n’en déplaise à Jacques Attali, qui considère que l’antisémitisme «n’est pas un problème au niveau national» – les Français juifs…
Mais combien de temps cet aveuglement idéologique va-t-il durer ?
Le dénislamisme est un piège pour ceux qu’il est censé protéger: à force de prétendre contre toute évidence que les attentats ne sont en rien le produit d’une pratique extrême de l’islam, il installe l’idée – évidemment fausse, et dangereuse – que derrière tout musulman se cache un terroriste en puissance.
Le dénislamisme met en danger les Français. Il brouille la perception de la menace et désarme les esprits. Au moment où la mobilisation devrait être maximale, il paralyse la lutte contre les infiltrations islamistes dans nos démocraties.
Le dénislamisme tue. Nous ne gagnerons pas la guerre que nous a déclarée l’islam radical en continuant de marcher les yeux grands fermés » (Alexis Brézet, Le Figaro)

L’Etat n’a pas été mis en échec. Il s’est mis en échec tout seul.
Mais cet État obèse, qui s’occupe de tout et de rien y compris de ce qui ne le regarde pas, qui ne sait que promulguer à foison des lois Frankenstein ou bien des lois liberticides interdisant d’appeler un chat un chat et Rollet un fripon (*), cet État-là est non seulement incapable s’assurer la première de ses missions régaliennes qui est de garantir la sécurité des Français mais encore il est également incapable d’assurer la sienne.
Cet État-là, miné qu’il est par ses propres dévoiements du droit, est devenu aussi incapable de vérifier que ceux qu’il recrute ne présentent pas de risque pour ses propres services de même qu’il est incapable de filtrer les masses compactes de gens pas toujours très bien intentionnés qui s’engouffrent à travers nos frontières-passoires…
A quoi peut-il donc encore servir ?
(*) Je précise qu’il ne s’agit pas d’un appel à une quelconque forme de « haine » à l’encontre de ce Rollet, comme la modération du site d’un grand quotidien a cru le comprendre une fois.

@ Achille
« Le grand remplacement annoncé par Renaud Camus et Eric Zemmour n’aura même pas eu le temps de s’amorcer. »
Tout le monde sait que vous êtes un grand amateur d’idées reçues, mais le « grand remplacement » – ou du moins le remplacement pour commencer – ne relève en rien d’un fantasme zemmourien ou camusien mais bel et bien d’un programme de l’ONU.
« La Migration de remplacement:
Est-ce une solution au déclin et au vieillissement des populations?
https://lesobservateurs.ch/2016/12/21/limmigration-de-grand-remplacement-est-un-programme-officiel-de-lonu/

Quand va-t-on embaucher dans nos services publics des bâtisseurs ?
Tous ces énarques élevés au tout-aliment et en batterie sont des poulets sans saveur, sans odeur, sans imagination.
On leur apprendrait ce qu’est la rigueur, fondations, poteaux, poutres, planchers, la logique du raisonnement et surtout l’intelligence au bout des doigts, imaginez que les contrôles d’accès existent depuis des décennies dans le milieu de la construction, et là au plus haut des cieux de la sécurité, on rentre comme dans un moulin, le trousseau de clef à la main offert par ceux qui sont les gardiens du temple. Quelle tristesse.
Être en 2019 et se faire berner, piller, dépouiller par un modeste salarié, ceux qui nous gouvernent incapables de tenir une boutique, payés royalement pour de la bêtise incommensurable.
Ces dirigeants portent un nom dans notre pays, des « pimpoyos » qui ont livré sur un plateau des informations sans se rendre compte que l’armoire était grande ouverte aux quatre vents.
Misère de misère ! L’affaire est d’une gravité sans nom et toujours des manquements dans des cerveaux plus près des plateaux TV que de l’intelligence brillante, celle qui donne la confiance, celle qui rassure, celle qui force le respect.

Assemblée nationale ! Débat sans vote sur l’immigration.
Le Peuple ! Ne sera jamais consulté.
C’est dangereux tout ça !

Nous avons trop de rappeurs dans notre pays…
« « Le blues, ça se joue quand tu as perdu ton boulot, quand ta petite amie t’a plaqué et quand tu n’as même plus un rond pour te payer une bière », disait un vieux guitariste noir. Le blues n’exprime pas une protestation sociale, mais chante l’inconvénient d’exister sur le rythme balancé d’un rocking-chair. Tout le contraire du rap entendu partout, sur toutes les ondes et à tout moment, vendu comme une forme moderne de blues des ghettos ou une mélopée de révoltés alors que l’indigence musicale et la prétention sentencieuse des paroles témoignent plutôt d’un ressentiment de mal lotis à l’égard d’un supermarché social dans lequel ils rêvent de faire leur place. Les messages vengeurs, moralisateurs et orduriers du rap flattent la sensibilité de consommateurs frustrés ; les accords et les voix brisées du blues s’adressent à un petit nombre de mélomanes de la déréliction. »
Frédéric Schiffter, Traité du cafard.

@ Exilé | 08 octobre 2019 à 09:03
L’histoire de l’humanité montre qu’elle n’a été qu’un « grand remplacement » depuis l’Antiquité.
Les guerres de conquête, de religion, les invasions, les migrations ont de tout temps existé.
Les Occidentaux sont mal placés pour donner des leçons, eux qui ont envahi nombres de pays en y imposant leur propre culture.
Cette « découverte » de Zemmour et Camus n’a d’autre but que de semer la panique dans la population. Notre civilisation est le résultat du mixage des cultures diverses, c’est ce qui fait sa richesse.
Ce qui importe est d’éliminer les dérives pernicieuses propagées par des esprits malades.
Les lois de la République sont là pour garantir la démocratie qui accepte la diversité d’opinion à condition toutefois que celle-ci ne conduise pas à un régime totalitaire.

M. Harpon avait, sur des clés USB, les coordonnées des policiers de la Préfecture de police de Paris.
Trois questions se posent :
1- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans la gendarmerie nationale ?
2- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans la police nationale ?
3- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans l’armée française ?

@ caroff | 08 octobre 2019 à 10:03
«J’apprends que Macron va décorer de la Légion d’honneur les quatre fonctionnaires tués lors du carnage de la préfecture de police, ainsi que le policier stagiaire qui a tué l’assaillant.»
La médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme créée en 2016 sous le mandat de François Hollande, suite aux attentats de 2015, me paraît plus appropriée pour la circonstance.
La L.H. devrait être réservée aux actes de bravoure, à la rigueur aux personnalités s’étant distinguées par un parcours exemplaire dans leur carrière : hauts fonctionnaires (qui ne l’a pas de nos jours ?). Elle est déjà plus contestable pour les exploits sportifs, les comédiens de talent qui ont fait honneur à la France, vu qu’ils disposent déjà de leurs propres récompenses (médailles pour les sportifs, César, Molière, palmes d’or, etc. pour les comédiens).
A l’exclusion, bien sûr, du copinage avec les personnages bien placés au gouvernement, ce qui est trop souvent le cas.
Sinon on peut se demander à quoi sert cette médaille dédiées aux victimes d’attentats.

@ Achille 08 octobre 2019 10:15
« L’histoire de l’humanité montre qu’elle n’a été qu’un « grand remplacement » depuis l’Antiquité ».
Vous avez le chic pour écrire vraiment n’importe quoi !
D’abord vous ne pouvez parler globalement de l’humanité dans ses variations de populations : cela n’a aucun sens.
En ce qui concerne la France : c’est pire, vous reprenez la théorie du journal Le Monde qui est d’une malhonnêteté intellectuelle très bien expliquée par Alain Finkielkraut, reçu par Apolline de Malherbe sur BFMTV.
La France n’a pas connu d’immigration massive pendant plus de mille ans. Les historiens constatent les premières grandes migrations après les années 1870. Avec les Italiens, les Polonais, les Belges puis…
Il y a des moments, franchement Achille, on se demande si…
Cordialement.

@ Isabelle | 08 octobre 2019 à 10:23
« M. Harpon avait, sur des clés USB, les coordonnées des policiers de la Préfecture de police de Paris.
Trois questions se posent :
1- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans la gendarmerie nationale ?
2- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans la police nationale ?
3- Combien y a-t-il de djihadistes infiltrés dans l’armée française ? »
Réponse à vos trois questions. D’après les statistiques et renseignements de la DGSI, une cinquantaine sur tout le territoire national.
Mais attention, ce sont seulement des islamistes radicalisés qui ne sont pas encore passés à l’acte. Ils sont surveillés paraît-il, mais toujours en poste comme l’était Mickaël Harpon qui a harponné ses propres collègues le 3 octobre dernier.
Maintenant, il faut savoir que la DGSI ne dispose pas de fichiers sur tous ceux qui se sont radicalisés discrètement sans faire de bruit jusqu’à la prochaine fois, de ce fait ils sont inconnus aujourd’hui de la police du renseignement. Ces islamistes radicalisés ont tout des cafards, ils sont partout et c’est là où on les attend le moins qu’ils resurgissent le couteau à la main pour tuer. Le pire dans cette histoire c’est qu’ils ont investi les lieux publics stratégiques pour mieux surveiller « l’Etat dénislamiseur », comme le dit si bien Alexis Brézet.

« Non à l’intronisation de l’Islam en France. Ce n’est pas une marque d’intolérance religieuse : je dirais “oui”, aisément, au bouddhisme, au brahmanisme, à l’animisme… mais l’islam, c’est autre chose. L’islam est la seule religion au monde qui prétende imposer par la violence sa foi au monde entier. Je sais qu’aussitôt on me répondra : “Le christianisme aussi !” Et l’on citera les croisades, les conquistadors, les Saxons de Charlemagne, etc. Eh bien il y a une différence radicale. Lorsque les chrétiens agissaient par la violence et convertissaient par force, ils allaient à l’inverse de toute la Bible, et particulièrement des Évangiles. Ils faisaient le contraire des commandements de Jésus, alors que lorsque les musulmans conquièrent par la guerre des peuples qu’ils contraignent à l’Islam sous peine de mort, ils obéissent à l’ordre de Mahomet. Le djihad est la première obligation du croyant musulman. Et le monde entier doit entrer, par tous les moyens, dans la communauté islamique. Je sais que l’on objectera : “Mais ce ne sont que les ‘intégristes’ qui veulent cette guerre.” Malheureusement, au cours de l’histoire complexe de l’Islam, ce sont toujours les “intégristes”, c’est-à-dire les fidèles à la lettre du Coran, qui l’ont emporté sur les courants musulmans modérés, sur les mystiques, etc. »
(Jacques Ellul)

N’est-ce pas le Christ lui-même qui aurait dit « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut point voir, il n’est pire sourd que celui qui ne veut point entendre » ?
En attendant, le tueur islamiste sourd qui a égorgé des policiers à la Préfecture de police de Paris a entendu des voix, lui…

@ boureau | 08 octobre 2019 à 10:52
« La France n’a pas connu d’immigration massive pendant plus de mille ans. Les historiens constatent les premières grandes migrations après les années 1870. Avec les Italiens, les Polonais, les Belges… »
Achille s’est perdu. Il a oublié l’histoire des siècles passés.
Un petit complément… En 1870, c’est Napoléon III qui a ouvert la porte aux Italiens, principalement aux grands bâtisseurs et architectes et ouvriers (40 000 Italiens), pour reconstruire la ville de Paris et les immeubles haussmanniens, nom de l’ancien baron et Préfet de la Seine de l’époque.
Les Polonais fuyant l’impérialisme russo-germano-romain, sont venus travailler en France avec papiers en règle, sans faire de bruit et en travaillant dur.
Les Belges, qui étaient Français de la Wallonie à 50 % et à quelques dizaines de kilomètres de Lille, avaient fui le pays à cause des Flamands ralliés à la politique de l’empire guerrier germano-romain.
Ces trois histoires n’ont rien de semblable à l’immigration actuelle, venue clandestinement par bateaux pneumatiques, avec des passeurs mafieux et corrompus, d’Afghanistan, Irak, Syrie, Soudan, Algérie, Maroc, Tunisie, Pakistan, Niger, Mali, etc. pour que la France et l’UE les prennent en charge aux frais des contribuables.

@ sylvain | 08 octobre 2019 à 11:45
Envoyez votre CV à M. Macron et au grand spécialiste de la sécurité intérieure. On ne sait jamais.
En tout cas c’est bien de leur rafraîchir la mémoire.
Mais vont-ils suivre vos arguments si vrais même si politiquement incorrects.

@ Denis Monod-Broca 08 octobre 2019 11:36
« S’affubler du statut de victime donne bonne conscience ».
Quel rapport avec ce que j’ai écrit ? Quel rapport avec l’islamisation de l’Etat régalien ?
Débiter du lieu commun ne signifie pas que vous avez atterri ! Il sera temps, alors, de déclencher les aérofreins et de déployer les inverseurs…
Cordialement.

@ antoine marquet | 08 octobre 2019 à 13:00
« Pour les artistes il existe « l’ordre des Arts et des Lettres » qui comporte trois grades… mais pas de dignités, suffisant tout de même pour satisfaire quelques ego. »
Et Dieu sait si l’ego est grand chez les artistes. Tout comme chez les personnalités politiques d’ailleurs. Mais faut comprendre, dans ce « métier », si l’on ne parle pas de vous, vous êtes vite oublié !

@ Claggart | 08 octobre 2019 à 12:29
« Un point positif dans cette scandaleuse affaire: l’efficacité du HK G 36. »
Pas seulement, il y a l’accessoire performant certes, mais d’abord c’est celui qui la portait pour éliminer le cafard islamiste qui a le plus de mérite. Heureusement que ce jeune gardien de la paix n’a pris pris sa pause déjeuner à ce moment précis. Qui sait si d’autres policiers n’auraient pas été visés.

@ Isabelle, 8 octobre 11:29
Jacques Ellul l’un des penseurs français* sans doute le plus considérable et visionnaire de la seconde moitié du vingtième siècle, est hélas aussi parmi les plus méconnus dans son propre pays.
Avec trente ans d’avance et des analyses fouillées concernant de multiples problèmes de société liés à la technique systématique « enjeu du siècle », prenant le pas sur l’homme, soit le bluff technologique, la propagande, l’illusion politique, la montée de l’islam, du terrorisme, les manipulations génétiques, les nanosciences, la dégradation de l’écosystème, il avait « presque » tout prévu. Sans oublier les ouvrages très critiques mais tellement d’actualité sur la religion de ce protestant à la foi chevillée au corps : la Subversion du christianisme, la Foi au prix du doute, l’Espérance oubliée, la Parole humiliée etc.
A noter que ses œuvres magistrales, soit une bonne vingtaine sur la soixantaine publiée, devraient figurer dans toutes les bibliothèques publiques, ainsi que dans tous les programmes scolaires dès le secondaire, comme c’est le cas depuis longtemps dans les universités américaines et canadiennes.
*juriste, sociologue, théologien et… philosophe (bien qu’il s’en soit toujours défendu en raison de sa volonté farouche de n’adhérer à aucun courant).

Dans la clé USB de M. Harpon y avait-il l’adresse où était stocké le coffre-fort de Maroine/Alexandre Benalla ? Non ? Toujours pas ? Les « enquêteurs » perquisitionneurs auraient donc perdu sa trace ? Dommage, peut-être y avait-il des choses intéressantes à l’intérieur…
Après on s’étonne que les mêmes n’aient pas vu que machin allait dans sa mosquée salafiste préférée habillé en qamis alors même que cette mosquée était sous surveillance policière, et qu’il était un des leurs 🙁
Nous voilà bien… Pauvre France.

@ Patrice Charoulet | 08 octobre 2019 à 08:32
Merci d’avoir partagé ce texte très objectif qui ne convaincra hélas que les déjà convertis et les bien réveillés. Pour beaucoup d’autres, il faudrait un magistral coup de pied quelque part pour qu’ils sortent enfin de leur torpeur, à moins de les envoyer vivre quelques semaines dans certains quartiers ou cités où c’est devenu l’enfer au quotidien.
Mettre l’islam au pas et au pied du mur, voilà ce que nous aurions dû faire depuis longtemps, du moins dès 1989, lors des premières affaires du voile islamique, en commençant par imposer au moyen d’un contrat signé par les responsables de cette religion, le respect d’une stricte laïcité et de nos valeurs et lois républicaines. Dès lors les musulmans eux-mêmes s’engageraient à faire le ménage parmi leurs ouailles, à écarter les radicalisés au lieu de les protéger comme c’est souvent le cas, quand ils ne font pas de certaines mosquées des bases arrière où des imams fanatiques ne se gênent pas pour prêcher la charia en arabe. Au passage il devrait être exigé que tous les prêches soient faits dans notre langue nationale ou du moins traduits simultanément ou sur papier ; et enfin, interdire le prosélytisme de rue, les signes ostentatoires, les revendications spécifiques en matière alimentaire ou culturelle, etc.
Toutes mesures qu’avait d’ailleurs préconisées un certain Jacques Ellul, tellement décrié à l’époque, mais qui avait néanmoins senti venir le grand danger (voir en particulier son dernier livre testament « Islam et judéo-christianisme »).

@ Elusen qui nous parlait de la religion de paix, d’amour et de tolérance où il n’était question « nulle part dans le Coran, de kamikazes, de bombes, de terrorisme »
Morceaux choisis
« Sourate 2 (La vache), versets 190-193.
« Purifier » le territoire des associationistes.
« Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs !
« Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés… Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
« Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah seul.
« Le djihad, obligation coranique.
« Le combat vous est prescrit alors qu’il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose [alors] qu’elle vous est mauvaise. C’est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas…
« Sourate 2, verset 256.
Un verset souvent mal compris
« Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement etc.
« La formule coranique “pas de contrainte en religion” (II, 257), qui est souvent évoquée pour faire de l’islam une religion tolérante par essence, n’a été en fait isolée que tardivement, pour en faire un axiome de la discipline juridique des “buts de la Loi”, qui ne date que du XIVe siècle et qui reste très peu répandue. En fait le reste du verset (“celui qui est infidèle aux idoles et croit en Dieu s’est saisi de l’anse la plus solide et sans fêlure”) montre que cette formule est à sens unique : il faut laisser la liberté à un non-musulman d’embrasser l’islam, mais rien n’est dit de la démarche inverse où un Musulman choisirait de renoncer à sa religion. Plusieurs hadiths parleront bien de ce dernier point mais leur fiabilité n’a pas dû être reconnue comme absolue puisque le fiqh (le fihq est le droit musulman qui constitue la charia) a traité toute apostasie, même individuelle, non comme un délit religieux mais comme une offense à l’État, réclamant la peine de mort. »
« Sourate 4 (Les femmes), verset 74.
« Récompense des djihadistes.
« Qu’ils combattent donc dans le sentier d’Allah, ceux qui troquent la vie présente contre la vie future. Et quiconque combat dans le sentier d’Allah, tué ou vainqueur, Nous lui donnerons bientôt une énorme récompense.
« La récompense est le paradis, où chacun des « martyrs » (c’est-à-dire des djihadistes tombés au combat) jouit des houris (femmes éternellement vierges) qui sont à sa disposition pour l’éternité. Cf. Sourate 37, verset 48 ; 38, 52 ; 44, 54 : « Et Nous leur donnerons pour épouses des houris aux grands yeux » ; 52, 20 ; 55, 56 et 72-74 ; 56, 22 et 36-38 : « Nous les avons faites vierges, gracieuses, toutes de même âge, pour les gens de la droite » ; 78, 33.
« Sourate 4, verset 95.
« Supériorité des djihadistes sur les autres hommes.
« Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelque infirmité – et ceux qui luttent pour l’expansion et la défense de la « vraie Religion », c’est-à-dire de l’Islam … Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un degré d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense.
« Sourate 5 (La table servie), verset 33.
« Tuer, crucifier, expulser du pays les corrupteurs.
« La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
« Pour certains auteurs, les infidèles sont considérés comme « corrompant la terre », dans la mesure où ils ne respectent pas le pacte qui veut que tout homme soit par nature musulman. « Ceux qui rompent le pacte [mitaq] qu’ils avaient fermement conclu avec Allah, coupent ce qu’Allah a ordonné d’unir, et sèment la corruption sur la terre. Ceux-là sont les vrais perdants. » (Sourate 2, verset 27). Pour « plusieurs auteurs musulmans », la Sourate 7, verset 172 fait allusion « au pacte, au contrat de foi octroyé aux hommes avant leur naissance […] un sceau de foi scellé par Dieu même, que tout homme porte en son cœur… En ce sens, tout homme naît musulman.

Bref, mais excellent billet d’humeur, Monsieur Bilger. J’avais initialement lu le titre « l’incurie tue », avant de me raviser.
Nue ou qu’elle tue, l’incurie règne à tous les étages de notre système politique. La plupart des dirigeants politiques ne sont capables que de tactique électorale et incapables de penser la France comme nation. Ils ne savent rien de la stratégie, qu’elle soit économique, industrielle ou militaire. Très beaux esprits pour l’oral d’admission à l’ENA, formatés aux discours en trois points et en novlangue, celle que monsieur Castaner ne semble pas avoir bien assimilée, ce qui lui vaut quelques avanies « communicationnelles ».
L’inflation législative a fait de l’islamophobie un délit. Il suffit de reprendre les éléments de la condamnation pour constater que l’apologie de la haine religieuse reprochée à Eric Zemmour est devenue un délit particulièrement grave. On lit par exemple que « le polémiste Éric Zemmour est définitivement condamné à 3 000 euros d’amende pour provocation à la haine religieuse après des propos anti-musulmans tenus en 2016, après le rejet de son pourvoi en cassation, selon une décision consultée jeudi par l’AFP. » https://www.nouvelobs.com/teleobs/20190919.OBS18672/zemmour-definitivement-condamne-pour-provocation-a-la-haine-religieuse.html
L’article rapporte : « La cour d’appel avait estimé que ces passages ne comportaient « pas d’exhortation, même implicite, à la provocation à la haine ». Selon une jurisprudence récente, une « incitation manifeste » ne suffit pas à caractériser le délit: il faut désormais pour entrer en voie de condamnation que les propos relèvent d’un « appel » ou d’une « exhortation ». Mardi, la Cour de cassation a estimé que la cour d’appel « a exactement retenu que, par leur sens et leur portée, les propos incriminés, qui désignaient tous les musulmans se trouvant en France comme des envahisseurs et leur intimaient l’obligation de renoncer à leur religion ou de quitter le territoire de la République, contenaient un appel à la discrimination ». A l’issue de ce pourvoi, Eric Zemmour devra payer 2 500 euros supplémentaires à l’association au titre des frais de justice. »
Compte tenu de l’articulation des motifs, de la Cour de cassation comme de la cour d’appel, on voit mal comment nos dirigeants pourraient « mener une guerre contre l’islamisme » puisque toute action en ce sens ne manquera pas d’être jugée comme discriminatoire. Cette guerre sera sans doute menée en mots bien choisis sans doute. Mais passer à l’acte de guerre, cela me semble impossible dans un tel corset juridique.
Or, mes souvenirs d’Histoire de France me laissent à penser qu’en 1906 la mise en application de la loi de 1905 pour l’inventaire des biens de l’Église correspondait alors à une vraie « haine religieuse d’État » contre l’Église catholique. La situation, après la soudure nationale face à l’Allemagne pour gagner la guerre 1914-18, ne s’est apaisée qu’à partir de 1924. Mais à ma connaissance, aucune fraction catholique ne s’était livrée à des crimes comme ceux commis par les islamistes, quelle qu’en soit l’obédience (Frère musulmans, Tabligh, etc.).
Mais avec la religion musulmane il faut prendre des gants et éviter tout amalgame propre à stigmatiser tous les musulmans qu’on n’a pourtant guère vus condamner les attentats contre Charlie Hebdo ou du Bataclan, sauf du bout des lèvres…
Dès lors on comprend fort bien le pessimisme exprimé par votre phrase de conclusion :
« Epouvantable de devoir chercher dans l’innommable l’esquisse, la possibilité d’un sursaut, enfin, pour demain. »
Pauvre France incapable du moindre sursaut parce qu’anesthésiée par une idéologie de la soumission et de la culture de la différence !

Ils m’ont toujours fait rire tous ces gradés en retraite ou pas d’ailleurs, venant nous expliquer la stratégie de… Enfin toutes ces supputations de plateaux TV sur les conflits, les milles facettes de ces entreprises guerrières extérieures, et les mêmes qui ne sont pas au courant qu’une vulgaire clé USB peut se promener dans une poche, stocker pour quelques petits euros des millions d’informations, des disques durs externes pour trois francs six sous et 3 To au bout du stylo (moins de 100€).
On construit des Rafale et le moindre petit besogneux vous pique les informations les plus secrètes sur vos collègues… Et le reste sans doute.
Le pire reste à venir, j’imagine Mongénéral attendant la sortie prochaine du Volatile.
Nos grands champions du brainstorming incapables de préserver un pot de confiture au frais sans que personne y touche.
Nos caïds du renseignement entourloupés, amusés et promenés comme par un ailier All Black qui convoite la ligne d’essai et aucune stratégie de placage en face, ni de ligne de défense… Abracadabrantesque !
Si l’on dévoilait l’organigramme de ces services, les barrettes dorées doivent s’empiler comme des allumettes, quant aux directeurs de services le fameux « cargat des missiou », il doit bien y en avoir autant que la misère sur le pauvre monde.
« L’incurie nue » (PB), et encore notre hôte est loin du compte, le pire est à découvrir.

@ Claude Luçon | 08 octobre 2019 à 14:12
« Le nouveau Préfet, venu de Bordeaux, était supposé être un dur »
Didier Lallement, en tant que préfet de Gironde et de Nouvelle-Aquitaine, était effectivement un (très) dur lors de la répression des Gilets jaunes.
Il était beaucoup plus prudent et modéré quand il s’agissait de squats de gens du voyage ou de clandestins.
On a la dureté qu’on peut, n’est-ce pas !
Cela dit, il a pris son poste actuel le 21 mars 2019, soit il y a 6 mois. Il me paraît difficile de lui faire porter le chapeau pour des dérives et erreurs qui semblent remonter à plusieurs années.
———————————————————–
@ Ellen | 08 octobre 2019 à 11:48
Il faut ajouter que plus de la moitié des Italiens sont repartis, soit en Italie, soit dans un autre pays, parce qu’ils n’arrivaient pas à s’assimiler.
Idem pour les Polonais.
Quant à la majorité des immigrés clandestins, ils arrivent essentiellement en avion, avec des papiers en règle, dont des visas accordés pour des motifs souvent fumeux.
Ils oublient juste de repartir.

@ Elusen | 08 octobre 2019 à 13:46
Comme d’habitude vous faites dans la dentelle, posté courageusement en caponnière derrière votre clavier alors que « le très lâche Eric Zemmour » (sic) fait dans la dentelle mais à visage découvert ! Vous avez écrit lâche ? Ah bon ?

@ antoine marquet | 08 octobre 2019 à 22:18
Ben oui, j’ai écrit lâche et je viens de le réécrire parce qu’il n’est pas question d’une prise de parole publique, mais de comment il ne va pas assumer devant la justice, il a toujours des excuses bidon, c’est plutôt drôle d’assister aux audiences publiques.
Là, il va balancer « mais j’ai parlé de l’Islam, pas du Musulmanisme », alors qu’il sait que vous êtes inculte comme tout son auditoire et que vous ignoriez il y a encore peu la différence entre Islam et Musulmanisme.
Le même Éric Zemmour qui chiale contre les procès qu’il subit, alors que lui-même en entame contre d’autres pour les faire taire, tout comme Ménard, Brunet, Morano, Lévy, les Le Pen et tant d’autres.
Alors oui : lâche !
———————————————-
@ Mister Bean | 08 octobre 2019 à 17:45
▬ «…de vestiaires de presbytères. »
Ah, revoilà l’éternelle envie du sieur de violer des enfants, systématiquement y faire référence.
▬ « bravo à Zemmour »
C’est un Berbère d’Algérie, circoncis, qui a tenté l’ENA à trois reprises, qui règle ses problèmes de vengeance des suites de la guerre de sécession entre la Métropole et la région d’Algérie, en France avec des gens qui n’y sont pour rien, 57 ans plus tard, le genre de type qui bat sa femme parce qu’on l’a enquiquiné au bureau.
Mais ça, cela vous fait exister, c’est votre porno à vous avec les enfants, c’est un merdia comme vous dites et celui-ci vous en mangez et buvez.

Pourquoi la femme du tueur n’a-t-elle pas prévenu les autorités alors qu’elle avait reçu une trentaine de SMS le matin du drame de la part de son mari ?
Pourquoi sa garde à vue a-t-elle été levée aussi rapidement ?

@ Elusen | 09 octobre 2019 à 02:14
Heureusement que votre lumière est là pour nous sortir de notre obscure ignorance !

À mon avis Harpon s’était mal marié !

@ Elusen | 10 octobre 2019 à 01:34
Voyez le niveau de ce petit Elusen, après nous avoir nié qu’il n’y avait aucun appel au meurtre et à la guerre sainte dans le Coran, il argue du fait que son prophète chamelier n’avait pas parlé des bombes explosives, n’ayant pas prévu qu’elles prendraient le relais des siècles plus tard des arcs et flèches de son époque. Oubliant par ailleurs que le poignard rituel servant à égorger de façon rituelle et tourné vers La Mecque le cou du mécréant, sectionnant net la carotide, resterait toujours d’actualité ! Comme on a pu en juger il y a quelques jours avec l’exécution sauvage de quatre fonctionnaires de la police nationale.

@ Achille | 10 octobre 2019 à 07:56
Ne vous faites pas plus idiot que vous ne l’êtes !
Un couteau à huîtres bien manié peut tuer dès lors que l’on atteint des zones vitales. Les artères vitales (carotides, fémorales notamment) ne sont pas inaccessibles à ce type d’arme par destination et la personne mourra vidée de son sang.
Je pense que vous rétorquerez que vous plaisantiez. Mais une plaisanterie de ce genre, dans les circonstances actuelles, ne me semble pas du meilleur goût (de sang tout particulièrement)…

Une question de béotien.
Je crois savoir que dès que lorsque dans une affaire de légitime défense ou assimilée il y a blessure et a fortiori mort de l’agresseur, une enquête est ouverte, ce qui peut être très difficile à vivre par exemple pour des vieillards qui après avoir subi le traumatisme d’une agression se retrouvent en plus en garde à vue, dans une situation très pénible voire inhumaine au regard de leur âge.
Or dans le cas de la P.P., il semblerait que le gardien qui a eu le réflexe de tirer – ce que nous ne lui reprocherons pas – ait été immédiatement décoré sans plus attendre.
Une instruction a-t-elle été ouverte sur son action ?
Rappelons qu’un militaire en civil ayant à Paris retourné l’arme de son agresseur contre lui a fait l’objet d’une procédure judiciaire qui a mis plusieurs mois à se conclure par son acquittement.
Qu’en est-il au juste ?

« Question : pourquoi Mickaël Harpon a-t-il acheté un couteau à huîtres en même temps qu’un couteau ordinaire ? »
Rédigé par : Achille | 10 octobre 2019 à 07:56
Il voulait peut-être avoir l’air de réassortir sa batterie de cuisine, au cas où la caissière l’aurait soupçonné. Ou alors il s’est dit : « Il y aura peut-être un gentil Achille pour faire remarquer que je ne pouvais pas avoir prémédité tout ça puisque j’ai acheté en même temps un couteau à huîtres ».

@ Achille
« Question : pourquoi Mickaël Harpon a-t-il acheté un couteau à huîtres en même temps qu’un couteau ordinaire ? »
Vous savez bien qu’il n’avait plus droit au porc.
Une autre question ?

@ Exilé | 10 octobre 2019 à 14:19
C’est là que justement on voit que nous avons une maison de la justice qui parfois juge à double tranchant. Thémis est réprésentée avec son bandeau sur les yeux (symbole d’impartialité), la balance (équilibrage avec mesure) et le glaive symbolisant la main punitive de la justice.
Aucun juge ne juge les affaires de la même façon, à Paris ou en province, même si elles ont les mêmes profils et caractéristiques.
En tout cas toutes mes félicitations au jeune gardien de la paix. Sa médaille il l’a méritée amplement. Moi, je lui donnerais en plus une promotion gradée et bien rémunérée. Ce jeune a de l’avenir. Castaner devrait s’en souvenir.

La France a des problèmes avec ses islamistes. L’Allemagne, elle, a les siens avec ses néo-nazis
En milieu de journée mercredi, celui qui a été identifié comme Stephan Balliet, 27 ans (pas vraiment un nom à consonance musulmane), a tenté de pénétrer dans la synagogue du quartier Paulus, où étaient réunies, en ce jour de fête religieuse juive, « 70 à 80 personnes ».
Bilan: deux morts.
On attend les commentaires de MLP et de Marion sur ce drame.

@ Achille | 11 octobre 2019 à 11:53
Ah bon ? Cela ne peut pas être un déséquilibré ?
En tout cas vu l’image où il est en train de tirer avec son mousquet, il n’a pas inventé la poudre… noire… Il a été recalé dans ses études de chimie dixit la presse allemande… tu m’étonnes…
https://www.francetvinfo.fr/image/75nme2gd5-77f9/1200/450/20207543.jpg
Cet enfumage vous rassure ?

@ Achille | 11 octobre 2019 à 11:53
Vous avez bien raison de souligner le parallèle entre national-socialisme et islamisme, c’est la même engeance ! L’histoire contemporaine le confirme, entre salamalecs échangés par le Reichskanzler et le Grand mufti de Jerusalem, l’incorporation dans la Wehrmacht et la Waffen-SS de grandes unités musulmanes et leurs communes détestations.
Reste à espérer que la mise hors d’état de nuire du second n’ait pas le même coût humain et matériel que celle de son prédécesseur ; vu le nombre et l’activisme des islamocollabos, j’ai comme un doute !

@ Elusen | 11 octobre 2019 à 23:16
« Je ne comprends pas cette fascination pour le mot néo. »
Pourtant vous devriez vous inquiéter, le néoplasme vous guette cher Elusinet, il s’est installé définitivement dans vos neurones et y a développé des tares islamo-gauchistes irréversibles, ce qui est un pléonasme dans votre cas ; néoplasme, pléonasme, tout ça ce ne sont que des anagrammes ; vous y jouez ?

@ Savonarole 13h42
« Si un jour il devait y avoir un grand procès pour l’autopsie de la France, l’Education nationale devrait être assise au banc des prévenus. »
Anecdote: un de mes amis agrégé lisant Le Figaro en salle des profs a été immédiatement mis au ban par ces pourceaux.
Quand ils ont appris qu’il était adhérent au SNALC, seul syndicat enseignant à n’être pas de gauche, l’affaire était entendue: si le goulag existait encore il serait devenu « zek ».
Amusant pour un prof de russe !!

@ Achille | 12 octobre 2019 à 07:26
« Arrêtez de jouer les pinailleurs. C’est pénible ! »
Néo-pinailleurs ! Qui va à la néo-boulangeire s’acheter une néo-baguette parce que c’est néo-pénible !
Alors, néo-heureux ?!

@ Savonarole | 12 octobre 2019 à 13:42
« On cherche des coupables ou à désigner des responsables, un vrai délice français depuis l’Occupation. »
Et votre occupation à vous, c’est d’en chercher et d’en désigner !
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@ caroff | 12 octobre 2019 à 14:36
« …un de mes amis agrégé lisant le Figaro en salle des profs a été immédiatement mis au ban »
Et quelle preuve vous a-t-il fourni ?
Qui vous dit qu’il n’a pas été mis au ban pour d’autres raisons, voire si son histoire est vraie ?
N’enseigne-t-il pas sur plusieurs établissements ?
Il enseigne le russe, d’habitude c’est en option 3ème langue, ou extrêmement rare en 2ème.
Un agrégé, c’est 15 heures de présence obligatoire devant des élèves, le reste c’est préparation des cours, copies, etc.
Il devrait donc avoir 5 classes de lycée, et à l’ordinaire en lycée, il n’y a qu’une seule seconde, une seule première, une seule terminale. Il y a tellement peu d’élèves qu’ils sont regroupés. Je n’ai jamais vu un enseignant de russe avoir un poste permanent sur un seul établissement.
Le russe n’est pris en langue que par des élèves de classe sociale ultrafavorisée. La langue russe sert à exclusion dans les lycées, virer les enfants des pauvres, les lycées qui l’enseignent sont des lycées de type Henri-IV, Louis-le-Grand, Lakanal, des lycées où 99,99 % des élèves viennent de famille bourgeoise ou riche, des lycées où entre 40 % et 50 % des enseignants sont des droites et la SNALC possiblement un syndicat majoritaire.
Si vous voulez que votre enfant aille dans ce type de lycée, il faut mettre option russe.
Une fois que l’enfant est pris, il lui suffit en début d’année de se désinscrire, car aucune loi n’oblige à se maintenir dans une option en lycée.
C’est une technique connue et courante des classes favorisées.
Donc, je pense que vous et lui baratinez.

@ caroff
« Un de mes amis agrégé lisant Le Figaro »
Sectarisme commun et journalier de bien des enseignants.
Il y a une vingtaine d’années, une jeune femme venait de réussir ses concours pour enseigner et lors d’une de ses premières apparitions dans la salle des professeurs, s’est vu sèchement apostrophée avec cette phrase:
« Bon, maintenant que tu es dans l’Education nationale, la messe le dimanche matin c’est fini hein ! »
Cordialement.

@ caroff | 13 octobre 2019 à 10:35
Non, les élèves de milieu social défavorisé ne prennent pas le russe !
Le russe, le mandarin, le japonais, le coréen, sont des techniques des lycées favorisés pour ne pas avoir d’élèves de familles pauvres.
Ces lycées mettent une option sur ces langues, car les plus favorisés se reconnaîtront entre eux, ils seront prioritaires pour ces établissements en prenant l’option ; alors qu’en début d’année scolaire leurs enfants viendront se désinscrire de ces options.
15 heures par semaine pour un agrégé cela fait 5 classes, car c’est 3 heures de langues.
3 niveaux, Seconde, Première, Terminale, il n’y a pas assez d’élèves sur la langue russe.
Tous les élèves prenant langue russe sont regroupés dans la même classe de Seconde.
Pour la Première et la Terminale, ils ne sont regroupés qu’au moment de l’enseignement de la langue.
[3 x 3 heures ] = 9 h sur 15 h d’enseignement devant les élèves, il doit encore enseigner 6 heures ; il est sur un autre établissement.
Les lycées qui reçoivent des élèves favorisés ont le SNALC comme syndicat ; ce syndicat est excessivement rare dans les ZEP.
Les enseignants ou CPE au SNALC ne choisissent pas les ZEP, voire jamais.
Ainsi affirmer qu’il était le seul du SNALC dans un lycée à option langue russe, donc lycée où il y a de l’oseille, des pépettes, de la thune, du flouze, c’est faux.

@ Elusen | 13 octobre 2019 à 20:01
Question langues, Elusen choubidou sait de quoi il parle, lui qui a été parfaire la pratique de la sienne dans un presbytère du comté du Sussex.
Coucou Elusinou, c’est l’heure où les écoles ouvrent leurs grilles !