Pascal Praud menacé de mort mais le national-populisme médiatique est coupable !

Comme souvent, dans ce quotidien irremplaçable et agaçant qu’est Le Monde, j’avais lu avec beaucoup d’intérêt et une envie de contradiction une double page consacrée à « l’essor du national-populisme intellectuel et médiatique ».

Je n’aurais pas songé à lui faire d’emblée un sort sur mon blog si je n’avais pas appris, quasiment dans le même temps, que Pascal Praud, animateur de l’Heure des pros sur CNews, avait été menacé de mort dans une chanson, « Zéro Détail », par les deux rappeurs Nekfeu et Sneazzy, en ces termes: « …ça mérite une balle dans le cervelet, le canon au fond de la bouche… »

Bien sûr, comme d’habitude, on nous dira que c’est une plaisanterie à prendre au figuré. Alors que le premier s’était déjà illustré en exigeant dans une chanson « un autodafé pour ces chiens de Charlie Hebdo » et en formulant un vague regret sur Facebook.

Pour ma part je suis sûr qu’aucune menace de mort n’est anodine et qu’en tout cas elle est susceptible d’être une mèche faisant exploser une poudre et une violence trop réelles.

Eric Zemmour a été à plusieurs reprises menacé, parfois au travers de ses enfants.

Je regrette qu’un Jean-Michel Aphatie, avec son obsession anti-Zemmour et sa frénésie de prétendre l’ostraciser médiatiquement, idée fixe relevant plus, à mon sens, d’une jalousie que d’un humanisme dont il ne peut pas se déclarer le dépositaire naturel, ait participé à la diffusion d’une haine scandaleuse. Dont les prestations de Zemmour sur CNews, de plus en plus suivies chaque soir, font d’une certaine manière justice. On peut se faire plaisir, on peut plaire à sa coterie mais on ne trompe pas durablement le peuple, le commun des citoyens.

Est-il même nécessaire d’évoquer les attaques et les agressions honteuses subies par Alain Finkielkraut ?

Si j’attire l’attention sur ces épisodes, ce n’est pas pour les insérer dans un processus qui les rendrait responsables de tout ce qu’il y a d’odieux dans la vie artistique, intellectuelle et médiatique. Mais il n’empêche qu’à leur manière, comme avec cette analyse biaisée du « national-populisme intellectuel et médiatique », est mise en place, contre le danger que représenterait ce dernier, une machine de guerre. Mais, paradoxe, les seules victimes sont à dénombrer au sein de ce fléau fantasmé !

5cd1f1c89978e25347f8ba5b

« Des polémistes droitiers omniprésents sur les chaînes d’info » et « dans la presse comme dans les médias audiovisuels, les polémistes de la mouvance souverainiste et identitaire s’imposent contre une prétendue dictature de la bien-pensance » (Le Monde).

Il me semble que ce constat se parant d’objectivité n’est pas exact.

D’une part, intellectuellement et médiatiquement, on sort d’un long hiver où la gauche a dominé et d’ailleurs est loin d’être morte – qu’on songe par exemple à France Inter – même si elle s’est imprégnée de couleurs adoucies, d’une tonalité plus subtile, d’autant plus malaisées à identifier mais corrompant plus profondément la perception de la réalité et donc la vérité.

D’autre part il me semble que qualifier certains polémistes de « droitiers » est les étiqueter de manière commode mais approximative. Qu’on prenne tous ceux auxquels naturellement Le Monde fait référence, on pourra aisément relever certes une opposition à la gauche conventionnelle, forcément humaniste mais surtout une appréhension du réel avec une volonté de le nommer et de n’en dissimuler ni les ombres ni les lumières. Si être droitier renvoie à cette double lucidité, force est de considérer que celle-ci est de plus en partagée.

Les intellectuels et journalistes sont en effet de plus en plus rares qui continuent de mon point de vue à vouloir imposer leurs convictions et préjugés fixistes à une réalité mouvante les contredisant. Ils prennent l’eau et elle les déborde.

Par ailleurs il est assez piquant, quand on s’efforce de présenter un tableau honnête d’un paysage médiatique et qu’on a à l’évidence une thèse, de demander son avis à un homme comme Clément Viktorovitch, longtemps mon aimable compagnon sur CNews, présenté par facilité comme « politologue » alors qu’il est de gauche, voire de gauche extrême. Les juges choisis sont donc les partisans de l’autre bord. Je rêverais qu’un jour on consulte, par équité, les personnalités dites « droitières » sur les invités qui s’opposent à elles.

Mais malheureusement le mouvement va toujours dans le même sens : qui ne pense pas à gauche doit se justifier et est suspect par principe. Alors qu’on devrait se féliciter d’une liberté d’expression qui conquiert de plus en plus les esprits et met en lumière le caractère jamais simpliste du réel, on s’en émeut, on la met en procès.

Ma première conclusion qui est mon titre est cette anomalie. Le national-populisme est coupable mais c’est Pascal Praud qui est menacé de mort.

La seconde personnelle.

Je suis fier chaque mercredi d’être à ses côtés sur CNews dans l’Heure des pros. Encore plus depuis qu’il est ciblé par l’ignominie haineuse de deux misérables rappeurs.

Article précédent

Contre Lambert Wilson : le virus de la bêtise a encore frappé !

Article suivant

Marine Le Pen : le redoutable caméléon...

Voir les Commentaires (129)
  1. Genre comment cirer les pompes de son supérieur hiérachique !
    Ce n’est pas sur Pascal Praud que porte la balle dans le cervelet !
    Mais sur les journalistes et les hommes en bleu !
    Une majorité de vos lecteurs sera d’accord avec la menace contre les journalistes, puisqu’ils passent leur temps à le faire ici, mais joueront les vierges effarouchées.

    • J’fais mon retour comme Zinedine, crache le feu qui t’électrise
      J’aime écrire que quand j’suis au plus bas, j’aime que les sujets tristes
      J’suis bien trop sûr de moi mais y a pas grand chose que je maîtrise
      J’veux l’argent du beurre, ouais, pour mon humeur, j’veux tout l’bénéfice (ouais)
      Les hommes en bleu sèment la terreur, n’ont aucun cœur comme collabo
      Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud (salope)
      Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet), le canon au fond de la bouche (la bouche)

      J’suis musulman et j’suis fier de l’être, on va jamais m’traîner dans la boue
      L’succès, ça va, ça vient, c’est surtout quand ça veut, j’ai jamais d’mander vos avis, j’suis jamais passé aux aveux (demande à Feu)

    Au bout de : 1 minutes 12 secondes.
    Je ne comprends même pas la quasi-totalité de leurs paroles, moi ?!
    En plus je trouve cela moche, le clip tout aussi laid.
    Il en faut pour tous les goûts, du Polanski, du Sardou, du Hallyday, des trucs pour beaufs, comme si dans les cités, ils échappaient à ça ?!
    Allez, vive Madame Chapman !

  2. « Le national-populisme médiatique » selon le journal Le Monde…
    Il y a bien longtemps, cher P. Bilger, que la malhonnêteté intellectuelle de certains journalistes du Monde s’étale tranquillement dans ses colonnes. Ce qui est assez nouveau, c’est de constater qu’elle commence à gangrener l’esprit de la rédaction et ruisselle tranquillement dans les multiples revues qui dépendent du navire amiral. Bien que certaines de ses parutions aient déjà dépassé Le Monde en la matière.
    Car c’est la doxa du journal Le Monde (et dans sa foulée tout un monde intello-médiato) qui est mise en cause. Doxa qui se voit ainsi fissurée dans l’exclusivité de son autorité morale de gauche heureuse et dominatrice. Une de ses figures mythiques vient d’ailleurs de nous quitter : le très controversé Jean Daniel qui a eu droit, scandaleusement, aux obsèques que l’on sait.
    Une fois de plus votre billet est courageux et je vous en remercie.
    Pascal Praud reçoit mon soutien. Même si, certains jours, c’est une vraie tête à claques. Mais l’important est son émission : espace de liberté assez souvent.
    Aphatie est un imbécile inculte qui a terrorisé plus d’un jeune journaliste et plus d’un député, mais heureusement il est sur le déclin.
    Viktorovitch est un petit personnage. Une de ces nouvelles têtes pensantes (sic) de l’extrême gauche traditionnelle qui doit sortir des bessonnières trotskistes.
    Je ne sais ce qu’est le « national-populisme », cher P. Bilger. Mais ce que je peux dire et constater c’est que c’est l’extrême drouaaaate (comme on dit) qui a, dans les médias, lancé les premiers coups de pioche contre le mur de la bien-pensance de « gôche » qui sclérose et voue aux extrêmes toute autre pensée que celle du petit livre rouge médiatique.
    Vous êtes des courageux (rares, si rares) qui ont suivi. Soyez-en encore une fois remercié.
    Cordialement.

  3. @ Malghorn
    « Franchement c’est beaucoup moins grave que la blague de Tex qui lui a valu d’être viré de France 2. »
    Euh… non. Des menaces de mort, c’est quand même un peu plus grave.

  4. Patrice Charoulet

    Cher Philippe,
    Deux rappeurs, nous dites-vous, menacent de mort Pascal Praud dans l’une de leurs chansons. Ma réponse est simple. Je prie le parquet de Paris de leur appliquer l’article 222-17 du Code pénal et de demander pour eux « 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »
    Nous avons toutes les lois qu’il faut. Reste à s’en servir.

  5. Robert Marchenoir

    Les notables de la gauche intellectuelle s’affolent. Ils constatent que leur arnaque est dévoilée, qu’il y a de moins en moins de gens pour y croire. Ils nous soufflent donc dans les bronches en se plaignant que la droite puisse enfin s’exprimer.
    Mais jusqu’à nouvel ordre, personne ne peut se faire ostraciser en déclarant son appartenance à la gauche. C’est bien la droite, encore et toujours, qui est persécutée.
    Quant aux menaces de mort, peut-être y en a-t-il des deux côtés, mais la violence réelle, la violence physique, vient quasi exclusivement de la gauche. Et celle-là, elle est jugée normale.

  6. Mais malheureusement le mouvement va toujours dans le même sens : qui ne pense pas à gauche doit se justifier et est suspect par principe.
    Eh oui, mais si nous en sommes arrivés là et si la gauche a fini par faire entrer dans le crâne des Français qu’elle représenterait le « camp du Bien », c’est aussi parce qu’ils n’ont pas encore compris qu’elle utilisait l’art de la dialectique révolutionnaire et en particulier la manipulation orwellienne du sens des mots pour les tromper en leur faisant prendre des vessies pour des lanternes…
    A part cela, excellent et nécessaire billet.

  7. « Pascal Praud menacé de mort mais le national-populisme médiatique est coupable ! »
    « Ma première conclusion qui est mon titre est cette anomalie. Le national-populisme est coupable mais c’est Pascal Praud qui est menacé de mort. » (Philippe Bilger)
    —-
    Que voulez-vous dire ? Que le national-populisme devrait-être menacé de mort et qui est ce national-populisme ?

  8. Patrice Charoulet

    Liberté d’expression
    J’ai publié un millier de commentaires sur le blog de Philippe Bilger. Tout a été accepté. Je n’ai jamais été censuré. Rien n’étant diffamatoire ou injurieux dans ma prose, j’aurais été un peu surpris de l’être. Ce ne fut pas le cas.
    Il m’est arrivé de proposer mes commentaires sur d’autres blogs, le blog littéraire de Pierre Assouline, le blog politique de Maxime Tandonnet, le blog politique d’Ivan Rioufol, notamment.
    Ivan Rioufol présente son blog en ces termes, qui sont prometteurs :
    « À propos de ce blog
    Ce blog veut être celui de la liberté de la parole et de la confrontation des idées.
    Je me propose d’évoquer à chaud et succinctement, un fait d’actualité, une déclaration intéressante, ou un événement appelant un éclairage, une remarque. Je m’autorise à être subjectif, anecdotique, rapide. Il est loisible de débattre à partir de ces thèmes et sujets, ou d’autres que les lecteurs peuvent choisir. Car ce blog a pour objectif d’être un lieu d’échanges. Un rendez-vous régulier, amical et tolérant.
    Tout peut, ici, être dit, même s’il n’est pas interdit d’être argumenté et pertinent. La seule condition que je pose est de respecter les règles élémentaires de la civilité : les propos injurieux ou outranciers sont évidemment à proscrire.
    Un modérateur y veille.
    Bienvenue ! »
    Or, depuis quelques mois tous mes commentaires sont refusés sur ce blog-là. Ils ne sont jamais injurieux, jamais outranciers.
    J’ai demandé plusieurs fois pour quelles raisons. Réponse ? Pas de réponse. J’ai ma petite idée. Mais beau « rendez-vous amical et tolérant » et belle « liberté d’expression ! » A comparer avec la vraie liberté d’expression qui règne sur le blog de PhiIippe Bilger.

  9. Savonarole

    Cette menace de mort est un aveu.
    Pour ceux qui ont à peu près mon âge, on aura vu surgir ces dernières années la prolifération d’une médiatisation de droite, ce que la gauche ORTF ne supporte pas.
    L’arrivée de Sud Radio, Pascal Praud, Zemmour, Bercoff, BFM TV, CNews, Rioufol, BFM Business, Bilger, tout cela était impensable sous Mitterrand, souvenez-vous.
    Voyez le mercato annuel des mouvements de journalistes qui passent d’un média à l’autre, personne dans les médias privés ne veulent des journalistes ORTF, on croyait qu’ils allaient se les arracher à coup de millions, que dalle. Personne ne veut des journaleux de France Inter.
    Pascale Clark est au chômage, Daniel Mermet à la retraite, Patrick Cohen survit sur une chaîne France Télévisions, à la rigueur Anne Sinclair en réanimation avec une portion Vache qui Rit sur Europe 1. Quarante-cinq minutes pas plus. Ivan Levaï pleure sur ses revues de presse estampillées France Inter. Plus personne n’en veut.
    C’est là qu’alors, après ce constat, surgissent les tarés de banlieues qui menacent Pascal Praud.
    Comme dans nos publicités à la TV, on met des noirs partout. Avez-vous déjà vu un black, comme on dit aujourd’hui, entrer chez Audi pour acheter le dernier modèle à 60 000 euros ? Pas moi. A la TV oui, c’est possible, voyez la dernière pub.
    On les verra bientôt interpréter le Duc d’Anjou dans une série sur Netflix.

  10. Michelle D-LEROY

    Il faudrait déjà redéfinir la gauche actuelle. Car elle n’a plus de gauche que le nom, elle a perdu tout son sens, celui de défendre la veuve et l’orphelin, les pauvres et les modestes.
    Maintenant, la gauche c’est défendre le nouveau prolétariat, celui de la diversité, les nouveaux misérables comme nous l’a présenté dans son film Ladj Ly, c’est beaucoup plus chic que de défendre les Gilets Jaunes de la France rance, selon leur formule préférée.
    C’est aussi la France ouverte contre la France qu’elle juge « repliée sur elle-même ».
    Et, si nous ne sommes pas dans ce registre-là, si on ose juste se poser légitimement des questions sur les sujets sociétaux, sur la nouvelle famille ou sur l’arrivée massive de migrants (ce qui se passe à la frontière gréco-turque en ce moment par exemple), la gauche qui se dit ouverte n’accepte pas le débat. Le journal « Le Monde » est l’archétype de cette gauche-là, celle qui saurait tout ce qui est bien.
    Tout argument contre leur vision de la société est tout simplement po-pu-liste. National-populiste ! voici la nouvelle qualification qui n’est pas sans en rappeler une autre. La nouvelle injure à l’encontre de ce vieux Français qui ne comprend rien à la modernité, ce vieux Français mal dégrossi et méchant.
    Pascal Praud organise des débats avec trop de gens suspectés d’être trop à droite, il faudrait l’abattre pour lui interdire son émission.
    Vive la liberté vue par la gauche !

  11. Comment !!! des peines de prison pour des menaces de mort ?!!
    Mais non, un tout petit rappel à la loi du juge qui s’excuse d’être aussi dur.

  12. Serge HIREL

    Le rap serait une « culture urbaine », dit-on dans les milieux branchés. Rue de Valois, par exemple. Le rap est donc sous la tutelle du ministre qui se prélasse en ces lieux. Deux rappeurs, dont un en état de récidive, ont vomi des menaces de mort. Que fait ce bon M. Riester ? Ne sait-il pas que menacer de mort un individu (Pascal Praud) ou un groupe d’individus clairement identifié (les journalistes, les policiers) est puni par la loi ? Ne sait-il pas que, étant « autorité constituée », l’article 40 du Code de procédure pénale lui fait obligation de signaler ce délit sans délai au Procureur de la République ?
    On en est sûr depuis le printemps 2017 : certains procureurs sont extrêmement réactifs après une telle dénonciation, même si elle émane de la presse. Quelques heures à peine entre la parution du « Canard » et l’ouverture d’une enquête préliminaire sur les présumés délits financiers de François Fillon. Aujourd’hui, l’affaire est d’une tout autre gravité et la réalité du délit ne fait aucun doute. Un « déséquilibré à capuche » qui prend la menace pour un ordre du Très-Haut et il y aura mort d’homme…
    A moins que… A moins que le rap ne soit pas le sous-produit d’un art… mais la simple expression commune aux territoires perdus de la République. Auquel cas, c’est au « kéké » d’appeler le Procureur. Et fissa !

  13. Beau billet Philippe Bilger, dans lequel vous vous faites le porte-voix de tous ceux qui sont plus que las de la partialité des animateurs, éditorialistes, journalistes, experts convoqués par les chaînes publiques et privées pour asséner des vérités qui sont avant tout leur vérité.
    Mais on sent poindre ici et là non pas une sorte d’affolement de la part des « de gôche », mais plutôt des irritations, des démangeaisons, analogues à celles que des éléphants peuvent ressentir lorsque des parasites viennent à leur percer le cuir.
    Les éléphants, vous les avez nommés: Aphatie et sa voix de crécelle assurant devant ses collègues, qui ne démentent pas, dans l’émission archétypale de la bien-pensance « C à vous » (France 5), que « Valeurs actuelles est un torchon » ! Askolovitch dans 28′ sur Arte ou France Inter s’évertuant à ne citer que les citables : les Inrocks, Libé, Télérama et bien sûr Le Monde dont je vois que vous persistez à dire qu’il est « irremplaçable et irritant ».
    Irremplaçable ? Demandez à ses ex-lecteurs dont je fais partie ce qu’ils en pensent. Comme me le répète depuis des années un de mes amis distingué titulaire de deux agrégations: « un journal de menteur écrit pour des ignorants » !
    Son parti-pris pro-immigration, ses attaques contre ceux qui persistent à attacher un prix à des valeurs jugées par eux dépassées (la religion chrétienne, la PMA, la GPA, etc.) ont achevé de le déconsidérer, sans compter ses dilections pour les penseurs néo-socialistes comme Piketty et ses mensonges éhontés (faire passer Viktorovitch ce Lénine au petit pied pour un politologue !!).
    Comme Robert Marchenoir le souligne (17h54), seule la « gôche » peut se plaindre d’être persécutée et ce ne sont pas les Bilger, Ornellas, Bastié présents sur les plateaux revivifiant ainsi les débats sclérosés, qui vont totalement inverser la tendance.
    C’est que 90 % des journalistes votant PS, et maintenant probablement LREM, la maison est bien gardée et je crains que finalement, vous notre hôte et les quelques autres courageux, ne restiez que de fragiles arbrisseaux dévorés par la forêt de la malhonnêteté intellectuelle et du mensonge qui nous font tant de mal (air connu).

  14. Pascal Praud est l’un des pires journalistes de la télé française. Il faut l’avoir vu dans ses jeunes années à Téléfoot, d’ailleurs. Son émission est de celles qui abêtissent le téléspectateur et entretiennent la médiocrité intellectuelle, des ratiocinations aigries de retraités de droite. Un infâme ragoût populiste assaisonné aux fake news, il suffit d’inviter Zemmour pour ça.
    Il ne mérite pas pour autant des menaces de mort: la liberté d’expression est sacrée, et celle de dire et d’écouter des âneries aussi.

  15. Mais… que se passe-t-il Marchenoir ? Ce n’est donc pas un complot des Russes ? Vous faiblissez…

  16. Marc GHINSBERG

    « Pour ma part je suis sûr qu’aucune menace de mort n’est anodine et qu’en tout cas elle est susceptible d’être une mèche faisant exploser une poudre et une violence trop réelles. »
    Je partage cette opinion de monsieur Bilger. Je condamne sans restriction toute menace de mort, réelle ou symbolique, de premier ou de deuxième degré, sérieuse ou parodique. Qu’elle vise Pascal Praud, Éric Zemmour, mais aussi Marlène Schiappa, Christine Kelly ou Emmanuel Macron quand on le promène en effigie, sa tête au bout d’une pique.
    Cela étant ce n’est pas pour autant que ceux qui sont victimes d’imbéciles excités doivent être exemptés de toute critique et mis à l’abri de tout combat intellectuel. Le Monde dresse un tableau de ce qu’il appelle le national-populisme très présent médiatiquement qui chercherait à conquérir l’hégémonie culturelle ayant bien retenu les leçons de Gramsci. Un point commun réunit ceux qui relèveraient de cette mouvance : la détestation du « système » et des « élites », eux s’exprimant bien entendu au nom du « peuple » dont ils constituent l’avant-garde éclairée. Ils fustigent la démocratie représentative et prônent l’usage du référendum, voire la généralisation du tirage au sort pour désigner les représentants du « peuple ». Ils se déclarent souverainistes, ils n’ont pas de mots assez durs à l’égard de l’Europe de Maastricht, et du néo-libéralisme dont elle serait le chantre.
    Ces nationaux-populistes, qui sont en fait des démagogues pour mettre un mot sur la réalité, ont un autre point commun. Dans leur immense majorité, ils ignorent les contraintes économiques. La dette ? Ce n’est pas un problème, il suffit de ne pas la rembourser. La compétitivité du système de production ? Ce n’est pas une difficulté, il suffit de rétablir les frontières.
    Il n’est pas si facile de combattre des démagogues. On ne doit ni les négliger, ni leur donner une importance qu’ils ne méritent pas, au risque de voir se vérifier la formule de Patrick Boucheron : « Désigner son adversaire revient à choisir son successeur ».

  17. La violence fait partie des textes des chansons de rap. Mouvement « culturel » des banlieues qui n’a jamais brillé pas sa subtilité.
    Alors pourquoi s’en prendre à Pascal Praud ?
    Peut-être que son émission L’Heure des Pros est effectivement un peu trop orientée « national-populiste ».
    Il faut savoir que L’Heure des Pros fait partie des émissions les plus signalées au CSA avec celle d’Hanouna.
    Comment pourrait-il en être autrement quand on regarde la liste des intervenants réguliers : Ivan Rioufol, Elisabeth Lévy (journalistes clairement de droite), et surtout Jean Messiha délégué national du RN qui arrive à agacer Pascal Praud lui-même. N’oublions pas non plus Philippe Bilger, tous les mercredis, qui bien que modéré n’en est pas moins de droite.
    Certes il y a bien quelques invités de gauche, afin de permettre d’animer les débats. Je pense notamment à Gérard Leclerc qui se fait régulièrement rabrouer par Pascal Praud.
    Mais il arrive souvent que les échanges soient chauds et les dérapages pas toujours bien contrôlés.
    Ceci étant je ne pense pas que les propos irresponsables de ces deux rappeurs justifient que Pascal Praud ait besoin d’une protection policière. D’autant que les auteurs sont clairement identifiés et que la Justice saura les inciter à un peu plus de retenue à l’avenir.

  18. Est-ce que Pascal Praud a déposé une plainte pour menace de mort contre ces deux rappeurs ? Sinon, il faudrait qu’il y pense. On ne peut pas laisser passer de telles menaces proférées publiquement sans réagir.
    La justice doit passer envers et contre certains médias et tous ceux qui soutiennent ces deux rappeurs malfaisants.
    La violence ne peut pas gagner !! Si la justice ne fait rien, alors ça voudra dire qu’on laisse faire et on continue à pourrir la vie des gens et des quartiers.
    Dans certains pays de l’UE où il y a l’ordre et la sécurité, (et pas comme chez nous où la violence fait la loi) l’affaire serait réglée illico presto. Menottes au poignets, perquisition à leur domicile, garde à vue et embarqués direct chez le juge d’instruction à poigne.

  19. Ce que je retiens de ce billet, au-delà des menaces de mort contre Pascal Praud (il paraît que c’est de l’art), ce sont vos citations sous la photo d’illustration :
    « Des polémistes droitiers omniprésents sur les chaînes d’info » et « dans la presse comme dans les médias audiovisuels, les polémistes de la mouvance souverainiste et identitaire s’imposent contre une prétendue dictature de la bien-pensance » (Le Monde)
    Il ne me semble pas utile de tenter de prendre longuement le contrepied de ces affirmations. On remarque simplement que c’est le modèle du raisonnement binaire qui a été à l’œuvre chez monsieur Bush fils : le Bien contre le Mal, le bien étant bien entendu ce que pensait monsieur Bush comme ici les prises de position du Monde, « quotidien de référence » autoproclamé.
    Il suffit de se rappeler la manière dont ce journal a procédé lors du référendum sur le traité constitutionnel européen en 2005 et son incompréhension totale du non du peuple français.
    Et c’est le même journal qui chasse les « fake »…
    Cela me rappelle l’excellent entretien qu’a accordé Aymeric Patricot à Alexandre Devecchio dans le Figaro Magazine de cette fin de semaine. Son dernier essai, La révolte des Gaulois (https://flipbook.cantook.net/?d=%2F%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F558154.js&oid=339&c=&m=&l=&r=&f=pdf) tend à montrer que le monde de l’équipe du Monde ne tourne déjà plus comme elle veut l’imposer. Le Gaulois se montre ainsi de plus en plus réfractaire au bourrage de crâne…

  20. Christine L.

    @ Elusen | 07 mars 2020 à 17:30
    Merci de nous avoir rappelé cette magnifique chanson de Tracy Chapman. Quel plaisir de l’écouter à nouveau. Je l’ai rajoutée sur ma liste de préférence sur Tidal.

  21. Denis Monod-Broca

    « Qui ne pense pas à gauche doit se justifier et est suspect par principe »
    Ce n’est pas aussi simple.
    La réalité est plutôt celle-ci de nos jours, de façon de plus en plus brutale et de plus en plus flagrante : « Qui ne pense pas comme moi doit se justifier et est suspect par principe ». Et c’est bien là le drame.
    Quand on ne croit plus en la vérité, chacun se réfugie dans « sa vérité » et la discussion devient un combat. Pauvres de nous…

  22. Nekfeu, du feu de Dieu dans le cervelet et le canon dans la bouche.
    Eh bien nous voici éclairés sur l’état d’esprit et les intentions particulières d’un adepte de la religion de tolérance et de paix.

  23. « Des polémistes droitiers omniprésents sur les chaînes d’info » et « dans la presse comme dans les médias audiovisuels, les polémistes de la mouvance souverainiste et identitaire s’imposent contre une prétendue dictature de la bien-pensance » (Le Monde).
    Il me semble que ce constat se parant d’objectivité n’est pas exact. »
    ==========
    Vous maniez l’euphémisme avec le petit doigt relevé telle la comtesse prenant son thé…
    Le mot « constat » est à mon avis impropre.
    Ils ne constatent pas quelque chose qui n’existe pas, ils interprètent ou inventent une situation qui elle, est « prétendue ».
    Car les gaucho-bien-pensants irréalistes, les giléjonophiles (gilets sales) de tous bords eux sont bien présents dans les media, sans contradicteur/trice, par prudence.
    Le Môhonde du haut de son piédestal imaginaire autodécerné, juge, se haussant du col, les manants qui osent penser autrement.
    La bien-pensance, il en est l’incarnation, le co-auteur, l’exécutant et le directeur.
    Sa lecture reste utile et instructive mais il faut le lire entre les lignes car il écrit de façon fourbe, Plenel et Colombani, que Péan avait éclairés de son phare avisé, ayant laissé des traces dans la dialectique trotskoïde qui nous est infligée.
    Il agace car de mauvaise foi. Sans compter le martyre qu’il impose à la langue française par snobisme comme par incompétence en anglais et médiocre maîtrise du français. Je ne suis pas bien placé pour cette critique, je le reconnais.
    Si je devais payer plus que les presque 10 euros par mois qu’il me prélève, je résilierais.
    A noter : c’est une des rares entreprises que je connaisse qui exige une lettre recommandée pour la résiliation. Ce qui me la rend encore plus antipathique.

  24. @ Ellen | 07 mars 2020 à 21:21
    « Est-ce que Pascal Praud a déposé une plainte pour menace de mort »
    Le propos n’est pas contre Pascal Praud, mais contre tous les policiers et les journalistes ; le propos exact est :

    • Les hommes en bleu sèment la terreur, n’ont aucun cœur comme collabo
      Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud
      (salope)
      Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet), le canon au fond de la bouche (la bouche)

    L’identité de ‘Pascal Praud’ est une injure dans leur phrase, ils injurient les journalistes de : Pascal Praud ; les journalistes sont des amateurs comme Pascal Praud.
    Injure de l’ordre de : « espèce de Pascal Praud » ; comme dire à quelqu’un : « espèce de Morano ; espèce d’Hitler.»
    Le mot prononcé par l’autre rappeur : salope, est-il au pluriel ou au singulier ?!
    Je n’en sais rien, j’ai trouvé les paroles sur des sites : Paroles & Musiques ; donc, il faudrait l’original ; au pluriel se sont tous les journalistes qui sont des salopes, au singulier cela ne porterait que sur Pascal Praud.
    ▬ « Ça mérite » ferait référence aux propos d’avant : Hommes en bleu (policiers) et journalistes.
    Ou alors, à toutes les lignes d’avant et au fait qu’ils disent qu’ils dépriment.
    Le site du journal Le Monde donne les paroles, j’aurais tendance à le prendre au sérieux.
    Si vous voulez savoir lisez les paroles !
    Personnellement, je ne comprends rien de la chanson, ni de la manière dont c’est écrit ; donc s’il y a procès une belle perspective d’empoignade, parce que difficile d’affirmer quoi que ce soit tellement c’est mal écrit.
    Vive Madame Morissette : Ironic !

  25. @ Patrice Charoulet 7 mars à 19 h 29
    Ivan Rioufol est une personne 3 en 1 !
    Il y a le journaliste du Figaro, estimable, écrivant des articles souvent remarquables – je veux dire qui ont mon assentiment – et que l’on peut consulter sur son blog.
    Il y a le consultant télé avec sa face ronde, ses yeux hagards, ses vêtures chatoyantes, sa façon d’être assis sur sa chaise comme un petit enfant sage, son regard constamment étonné, sa réserve contrite, sa prise de parole bafouillante, son discours hésitant ; lesquels le font ressembler de plus en plus à un clown triste !
    Il y a enfin le patron nominal d’un blog (celui qui vous interroge !) aux mains d’une camarilla !
    Ce qu’il y a de pire dans l’extrême droite française : Pétain, Monseigneur Lefebvre, Maurras, « l’armée d’Afrique » !
    Et le meilleur : l’Algérie française version OAS !!
    Après, pour vous infiltrer là-dedans, c’est vous qui voyez !
    Moi, j’en reviens !
    —————————————————-
    @ boureau 7 mars à 17 h 34
    Bonjour camarade.
    Heureux de vous retrouver  !
    Avec toute mon amitié

  26. @ Savonarole
    Personnellement je connais André Bercoff et Pascal Praud depuis la fin des années 80 quand ils sévissaient à la télé. J’avoue ne pas me souvenir de quand j’ai entendu parler pour la première fois d’Ivan Rioufol (le Zemmour qui a raté, non ?) mais les éditos du Figaro Magazine que je lisais chez le dentiste à l’époque où je m’éveillais péniblement à la politique étaient aussi réactionnaires que ceux de VA aujourd’hui, juste mieux écrits.
    Tout ça se passait sous Mitterrand. Et c’est sous Mitterrand qu’ont été libéralisées la radio et la télévision, pour mémoire.
    Les plumitifs que vous mentionnez sont des réactionnaires assumés qui tentent de recycler les vieilles chimères du temps passé. Ils s’agitent encore avant de périr sous les vagues de la mondialisation qui les emportera tous. Et comme les trois quarts de leurs thuriféraires sont des vieux, il n’y a pas à s’inquiéter de leur audience qui ne pourra qu’aller diminuant.

  27. Tout comme l’islam qui est la religion de la haine absolue, le socialisme, le gauchisme sont des religions de crétinisation totalitaire des masses populaires par la propagande du bien officiel propagée par les merdias gauchistes couchés soumis.
    Les gros beaufs de gauche boivent les paroles de leurs gourous sans sourciller sans broncher, ils sont réduits à des troupeaux abêtis sans cervelle, tout juste bons à défiler dans les rues en braillant des slogans débiles ressassés jusqu’à la nausée.
    Cette partie du peuple regroupe les losers de la lie de la fange sociale ; incapables de penser par eux-mêmes leurs neurones décalcifiés et la cavité orbitale censée abriter un cerveau étant désespérément vide, ils se raccrochent aux belles paroles d’enfumage de tous les escrocs de gauche : socialistes, communistes, LFI, NPA et de tous les procureurs gauchistes du service public distributeurs de bons points de gauche et de mauvais points de droite.
    Heureusement qu’il existe des grands résistants à cette vaste escroquerie idéologique : Zemmour et bien d’autres, tous menacés de morts car ils ont osé s’insurger et défier le totalitarisme gauchiste arriéré moyenâgeux violent haineux.
    Grâce au gauchisme on peut, en toute impunité, menacer de mort, casser, agresser, interdire, calomnier, pratiquer l’Inquisition odieuse et infamante contre tous ceux qui se sont libérés des chaînes et boulets de leurs goulags idéologiques.
    Et si un juge téméraire s’avisait de vouloir condamner un gauchiste violent, quelques vitrines brisées, voitures cramées, menaces, chantages, le ramèneront illico à la (Allah) raison. Un droitiste ne bénéficiera pas des mêmes bonnes grâces, suffit qu’il fronce un sourcil et le voilà embarqué au tribunal avec forces amendes et rappels à l’ordre gauchiste : Zemmour a payé très cher la vérité libérée de la censure gauchiste officielle.
    Conclusion, les amoureux de la liberté soutiendront Pascal Praud face au fascisme islamogauchiste, la nouvelle dictature/religion de la haine.

  28. Ne m’intéressant pas au football, je ne connais Pascal Praud que depuis qu’il anime son émission sur CNews.
    Sur le plan professionnel je trouve qu’il est plutôt un bon animateur si l’on tient compte du comportement d’élèves mal élevés de ses intervenants attitrés.
    Sur le plan des idées, même s’il est clairement de droite, il sait faire preuve d’une certaine tenue en n’accablant pas en permanence le gouvernement, ce qui dénote une certaine honnêteté intellectuelle que l’on ne rencontre guère de la part de certains débatteurs.
    Bref je le préfère à un Hanouna qui n’hésite pas à faire dans le mauvais goût et l’extravagance pour faire tourner sa boutique.
    Je regarde également l’émission Face à l’info animée par l’excellente Christine Kelly et dans laquelle sévit Eric Zemmour. J’avoue que l’intervenant qui m’a séduit le plus est Marc Menant qui sait raconter comme personne certains faits historiques. Avec un prof d’histoire comme lui, je pense que je n’aurais eu que de bonnes notes à mes interrogations écrites.
    Le face à face qui oppose le polémiste à un invité de marque (philosophe, sociologue, économiste, politicien et même scientifique) est toujours riche d’enseignement. Et j’avoue que je ne rate pratiquement aucun des débats.
    Zemmour est un personnage clivant, parfois agaçant, mais il sait très bien apporter la contradiction à son adversaire, ce qui permet à chacun de nous de consolider ses idées que ce soit dans son sens ou celui de son interlocuteur.
    Zemmour on aime ou on n’aime pas mais on l’écoute et cela les décideurs de CNews l’ont très bien compris.

  29. Xavier NEBOUT

    Assumons, osons être chrétiens.
    En ce jour de la femme, osons dire et redire à la suite de saint Paul et des centaines de millénaires de civilisation qui nous ont précédés, que sa place est celle de la maîtresse de la maison alors que celle de l’homme est d’être le chef spirituel de la famille, et donc qu’elle doit se soumettre à lui dans la mesure où Dieu est son chef.
    Osons revenir aux lois anciennes pourtant issues de la Révolution et qui consacraient l’autorité du chef de la famille et ses moyens coercitifs à l’égard de son épouse.
    Mieux vaut une femme battue que les divorces qui détruisent tout, père, mère et enfants.
    L’agent immobilier a encore été témoin, cette semaine, de ces ventes de maison où l’un et l’autre en ressortent au bord des larmes devant le parachèvement du désastre, la fin des jours heureux et la destruction de leur famille au fil de surenchères dans les emportements et les reniements.
    Combien ils auraient, au fond d’eux-mêmes, voulu que le curé du village les oblige à rester ensembles avec même leurs disputes y compris les injures d’un côté et les baffes de l’autre.
    Non ! L’adultère n’est pas de même nature pour l’homme et la femme, car la sexualité de l’une est génitale et spirituelle et uniquement génitale pour l’autre.
    Non ! La femme doit réserver ses charmes pour son époux et ne pas montrer ses fesses à tout-va.
    Non ! La femme ne doit pas être la subordonnée d’un autre homme que son époux sauf à le déshonorer.
    Non ! Le fonctionnement du cerveau n’est pas le même chez l’homme et la femme, car les deux côtés ne peuvent comme chez l’homme fonctionner séparément en conséquence de quoi la femme est une éternelle immature sur le plan spirituel.
    Dans les années 70 encore, le monde judiciaire était quasi unanime à dire que les femmes étaient incapables de juger en se détachant de leur subjectivisme.
    Et même une catastrophe huit jours par mois…
    Que le droit de vote soit réservé aux chefs de famille, et que ces derniers ramènent manu militari à la maison les femmes qui manifestent dans la rue pour les droits de la femme !
    Si c’est l’islam qui doit le dire parce que la hiérarchie de notre église n’est plus qu’un ramassis de sous-hommes, alors vive l’islam !
    Quant aux gauchistes et à la franc-maçonnerie qui en est l’âme, qu’on fiche tout ça en camps de rééducation à la mode de leur vénéré Boudarel.
    Que celui qui est plus à droite lève le doigt !

  30. Patrice Charoulet

    LA DINGUERIE SURVIVALISTE
    « Le Parisien » de ce dimanche 8 mars 2020 m’offre en deux pleines pages le portrait détaillé d’un pittoresque survivaliste. Si vous ne savez pas ce que c’est que ce genre d’oiseau, c’est un type qui se prépare aux pires événements imaginables et qui s’entraîne en multipliant les techniques de survie. Bunker, conserves, masque à gaz, tir à l’arc, j’en passe et des meilleures. J’allais de sourire en sourire, quand vers la fin, je tombe sur ces mots « ex-partisan de Marine Le Pen et actuellement simple Gilet jaune ». Tiens, tiens, le monde est petit !
    Eh bien moi, je ne suis ni lepeniste, ni Gilet jaune, ni survivaliste. Et je compte bien voter aux municipales dimanche prochain, sans gel hydroalcoolique et sans masque en papier. Et je suis allé au café ce matin, comme d’hab converser avec un ami avocat.

  31. @ Patrice Charoulet
    L’expression : « J’en reviens » a deux sens. Physique et appréciatif.
    Elle est utilisée dans la première acception : j’ai été rayé des personnes honorables. Comme mes trois frères, Archibald, Bill Noir, Gamain et deux de mes oncles, Epiqure et Kontrôll !
    Nous ne pouvions pas rester dance blog où la Maison Le Pen occupe le haut du pavé ; une organisation que nous tenons pour responsable de l’établissement de la dynastie des Souhmis et qui empêcha la formation d’un nationalisme propre et de bon aloi capable de sauver la Nation et l’Espace Civilisationnel Européen.
    J’y avais pourtant un bon ami, au pseudo « chanceux », avec lequel nous partagions certaines expériences.
    J’y avais aussi deux amies ; elles me laissèrent tomber quand ce fut dérapant pour moi… les dames sur Internet faut pas trop y compter… elles ont leurs problèmes propres !
    Tout ceci, camarade Charoulet, pour vous dire que vous n’êtes pas trop mal installé ici, traité par le Fauve comme n’importe lequel d’entre nous !
    Bon dimanche professeur

  32. @ Marc GHINSBERG
    « Ces nationaux-populistes, qui sont en fait des démagogues pour mettre un mot sur la réalité, ont un autre point commun. Dans leur immense majorité, ils ignorent les contraintes économiques. La dette ? Ce n’est pas un problème, il suffit de ne pas la rembourser. »
    Dans ce cas, tous les gouvernements de la vraie gauche et de la fausse qui se sont succédé de 1973 à nos jours répondent à la définition du national-populisme que vous reprenez à votre compte au vu de la façon selon laquelle ils creusent allègrement la dette publique de la France sans se soucier du lendemain.

  33. i-MAGE
    Le menton en avant, agressif. Les dents découvertes. Mal rasé, peu peigné, les lunettes sur le bout du nez, rouges pour faire le pitre, cravate mal nouée, les sourcils interrogatifs, le regard ironique/cinglant… il s’apprête sans doute à déstabiliser le malheureux Rioufol !
    Je trouve ce type un peu déplaisant ! Mais de là à le buter !

  34. @ Zonzon 08 mars 2020 08:29
    Vos quelques mots m’ont touché.
    Merci.
    Mes innombrables aller-retour entre les urgences de mon hôpital et mon domicile me laissent peu de temps. Mais je m’efforce de suivre le blog et notre hôte. C’est un besoin quasi vital.
    J’en reviens depuis jeudi et j’ai pu mesurer, une fois de plus, l’incroyable désorganisation des services et le désenchantement du personnel. J’ai même vu du personnel en pleurs qui n’en pouvait plus.
    Vraiment Zonzon vous m’avez fait plaisir.
    Cordialement.

  35. Jean le Cauchois

    @ Achille
    « Zemmour on aime ou on n’aime pas mais on l’écoute et cela les décideurs de CNews l’ont très bien compris »
    C’est la méthode bien connue des montreurs d’ours : il faut savoir éventuellement changer d’ours. Mais dans votre cas, ça ne semble pas s’appliquer : vous n’avez d’yeux que pour la montreuse d’ours, ou pour le conteur d’histoires, et ça doit vous changer des lectures de Télérama.
    ——————————————
    @ Zonzon à 08:29
    @ boureau à 12:31
    Merci au premier, et courage au second : avec vous tous les deux.

  36. Jean le Cauchois

    @ Patrice Charoulet à 11:20
    « Et je suis allé au café ce matin, comme d’hab converser avec un ami avocat »
    Cher Patrice,
    En cette journée dédiée au droit international des femmes, exceptionnellement, contrairement à d’hab (?), vous pourriez offrir le thé à madame, avec l’épouse ou la compagne de votre ami avocat : le Café des Tribunaux me paraît tout indiqué. Bon dimanche à tous les quatre.

  37. @ Patrice Charoulet
    « Je prie le parquet de Paris de leur appliquer l’article 222-17 du Code pénal et de demander pour eux « 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »
    Nous avons toutes les lois qu’il faut. Reste à s’en servir. »
    J’ai l’impression que vous n’avez pas encore compris que dans la France actuelle, en matière de justice comme pour d’autres, le principe d’égalité ne s’appliquait pas pour tout le monde de la même manière…
    Quand seulement il est appliqué, bien entendu.

  38. @ Exilé | 08 mars 2020 à 14:42
    Ce qui veut dire que ceux qui détiennent le pouvoir agissent en fonction de leurs intérêts et donnent en conséquence des ordres à la presse et à la justice !
    Certes on nous raconte sans arrêt que ces deux organismes font ce qu’ils peuvent et qu’ils fonctionnent correctement, mais nous ne le croyons plus quitte à être traités de pauvres gens par nos semblables.
    La lumière de nos pseudo-élites est tellement faible qu’elle ne peut plus éclairer nos trous noirs.

  39. Michel Deluré

    Quel que soit le jugement que l’on puisse porter sur Pascal Praud, toute menace de mort proférée à son encontre est intolérable.
    Une telle menace, inacceptable, ne saurait être banalisée sauf à laisser le champ libre à ceux qui veulent imposer par le chantage, par la peur, par la force, leur idéologie, leur dogme.
    Etre tolérant n’est pas tout tolérer.
    Sinon, ce serait alors accepter ce que l’on condamne, laisser faire ce que l’on combat.
    Ce serait ouvrir grand les portes au totalitarisme, au fanatisme, c’est-à-dire au pouvoir par la force d’une doctrine, d’une idéologie.

  40. @ Savonarole | 07 mars 2020 à 19:52
    « On les verra bientôt interpréter le Duc d’Anjou dans une série sur Netflix. »
    Vous ne devez pas être très attentif à l’actualité. La ville d’Orléans a déjà fait mieux, beaucoup mieux en choisissant Mathilde Edey Gamassou pour incarner Jeanne d’Arc en 2018.
    Puis, en 2019, les antiracistes (à sens unique ?) ont fait interdire la représentation des Suppliantes d’Eschyle à la Sorbonne parce que les acteurs portaient des masques noirs, conformément aux pratiques du théâtre antique.
    On vit une époque formidable, vraiment.

  41. Jean-Michel Aphatie

    Vous faites semblant, monsieur Bilger, mais vous le faites bien, de ne pas comprendre les propos qui sont les miens. J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. Et c’est très bien, puisque répandre la haine ne peut être encouragé, une fois que la justice, au nom du peuple français, a authentifié cette dérive. Et d’autres personnes, plusieurs fois condamnées, ne subissent pas ce sort, ce qui me paraît étrange et dangereux.
    Tant que vous ne traiterez pas cette différence, vous ne répondrez pas aux propos qui sont les miens.

  42. @ Jean le Cauchois | 08 mars 2020 à 14:10
    « C’est la méthode bien connue des montreurs d’ours : il faut savoir éventuellement changer d’ours. »
    On ne change pas d’ours quand il attire le chaland. Tout comme on ne change pas une équipe qui gagne…
    Supprimez Zemmour de Face à l’info et l’audience s’écroule. Pour la « montreuse d’ours » je suis moins sûr. Mais ce serait dommage de la remplacer.
    —————————————————–
    @ boureau | 08 mars 2020 à 12:31
    Tenez bon. Nous sommes tous avec vous dans l’épreuve que vous traversez.

  43. @ Jean-Michel Aphatie
    « J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. »
    Oui, ben non. À peu près aussi incohérent que de refuser le droit de vote aux prisonniers ou aux handicapés mentaux ou physiques. C’est-à-dire pas cohérent. Populaire, certes, mais pas cohérent.
    N’importe qui à le droit à la parole. Qu’un média refuse d’inviter telle ou telle personne, cela ne regarde que lui. Qu’il impose par sa moraline aux autres médias de leur refuser la parole, c’est inexcusable. Car il outrepasse son rôle. Et il importe de récuser ce type d’absolutisme moral.
    Ce « chilling effect » est inacceptable. Priver quelqu’un de sa liberté d’expression est plus grave que de le priver de son droit de vote.
    « Tant que vous ne traiterez pas cette différence, vous ne répondrez pas aux propos qui sont les miens. »
    Je ne parle pas pour Monsieur Bilger, mais pour moi: « différence » traitée.

  44. @ Shadok
    « Ce qui veut dire que ceux qui détiennent le pouvoir agissent en fonction de leurs intérêts et donnent en conséquence des ordres à la presse et à la justice ! »
    Le pire est que ce n’est même plus nécessaire.
    J’ai entendu Robert Ménard, qui connaît tout de même bien le monde du journalisme, raconter comment ses confrères pratiquaient eux-mêmes l’autocensure sur certains sujets sans que personne ne le leur ait demandé.
    Nous pouvons penser qu’il en va de même dans le monde judiciaire, qui a peut-être parfois du mal à secouer certaines idées reçues et à se libérer de certains dogmes ou de certains slogans à la mode.
    Par ailleurs, comme les juges Falcone se font rares en France, nous pouvons parfois aussi nous demander si la peur des représailles ne joue pas.

  45. Robert Marchenoir

    @ Xavier NEBOUT | 08 mars 2020 à 10:59
    Je m’apprêtais à vous faire une remarque, au fil de la lecture de votre philippique, et puis vous l’avez faite vous-même :
    « Si c’est l’islam qui doit le dire parce que la hiérarchie de notre église n’est plus qu’un ramassis de sous-hommes, alors vive l’islam ! »
    Par ailleurs :
    « Que celui qui est plus à droite lève le doigt ! »
    A ce stade-là, la gauche et la droite se rejoignent. Roger Garaudy est passé du communisme au christianisme, puis à l’islam. Ce dernier n’est ni de droite, ni de gauche : il est islamique. Mais l’islamo-gauchisme est vivace. L’islamo-droitisme, beaucoup moins.
    Par ailleurs, l’islam est profondément anti-chrétien, mais ça n’a pas l’air de vous déranger plus que ça.
    ______
    @ Achille | 08 mars 2020 à 09:03
    « Je regarde également l’émission Face à l’info animée par l’excellente Christine Kelly et dans laquelle sévit Éric Zemmour. J’avoue que l’intervenant qui m’a séduit le plus est Marc Menant qui sait raconter comme personne certains faits historiques. »
    Ah oui d’accord. Marc Menant, le mauvais acteur maquillé en journaliste, qui a commencé dans le journalisme sportif, qui a continué dans le paranormal, et qui maintenant fait de grands gestes à la télé pour faire croire qu’il connaît l’histoire. Toujours avec un biais de gauche, si vous avez remarqué.
    Votre naïveté vous perdra.
    ______
    @ Marc GHINSBERG | 07 mars 2020 à 20:59
    « Ces nationaux-populistes, qui sont en fait des démagogues pour mettre un mot sur la réalité, ont un autre point commun. Dans leur immense majorité, ils ignorent les contraintes économiques. La dette ? Ce n’est pas un problème, il suffit de ne pas la rembourser. »
    Exact, mais vous omettez un épisode nouveau, et décisif : les économistes les plus gradés, les politiciens les plus conformistes et les banquiers centraux sont devenus nationaux-populistes, à cet égard. La drogue des taux d’intérêt négatifs les a largement avalés. Non seulement le crime n’est pas puni, mais il est récompensé. Pourquoi se gêner ?
    Il reste quelques économistes pour expliquer que des taux d’intérêt négatifs ou nuls sont un non-sens, que cela ne peut pas marcher, que c’est incompatible avec le fonctionnement de l’économie. Mais comment voulez-vous raisonner avec des drogués ?
    Par là-dessus, vient le prétexte fallacieux et tout trouvé pour accentuer la dépense publique : la « sauvegarde de la planète ». Qui pourrait être contre la sauvegarde de la planète ? Hein ? Hein ? Vous n’êtes pas raciste, tout de même ? Vous ne voulez pas la mort de la planète ?
    ______
    @Savonarole | 07 mars 2020 à 19:52
    « Avez-vous déjà vu un black, comme on dit aujourd’hui, entrer chez Audi pour acheter le dernier modèle à 60 000 euros ? Pas moi. »
    Vous devez être aveugle. A quoi sert l’argent de la drogue, à votre avis ? Vous pensez que les rappeurs à succès et les footballeurs professionnels sont payés au Smic ?
    ______
    @ Zonzon | 08 mars 2020 à 11:45
    « J’ai été rayé des personnes honorables. Comme mes trois frères, Archibald, Bill Noir, Gamain et deux de mes oncles, Epiqure et Kontrôll ! Nous ne pouvions pas rester dance blog où la Maison Le Pen occupe le haut du pavé. »
    Dans votre immense culot, vous n’avez pas l’air d’envisager la possibilité que vous ayez été banni du blog d’Ivan Rioufol pour utilisation de pseudonymes multiples. De nombreux commentateurs de Rioufol vous ont pourtant reproché cette sale habitude.
    Il semble vous échapper que c’est universellement considéré comme l’un des pires crimes possibles sur les espaces de discussion d’Internet. Vous n’avez pas l’air de comprendre pourquoi.
    Vous avez l’immense chance que cette crapulerie de votre part soit tolérée ici. Vous n’avez pas l’air de comprendre à quel point c’est un privilège qui vous est concédé.
    Quant à vos piques répétées et cauteleuses à mon égard, sur le mode de…
    « Tout ceci, camarade Charoulet, pour vous dire que vous n’êtes pas trop mal installé ici, traité par le Fauve comme n’importe lequel d’entre nous ! »
    …elles sont tout à fait raccord avec l’hypocrisie de vos pseudonymes à roulettes. N’ayant pas le courage de choisir un nom et de vous y tenir, vous n’avez pas non plus celui de nommer vos adversaires.
    Je regrette que votre malveillance et votre esprit de persécution m’oblige à rectifier vos mensonges. J’ai pour ma part tourné la page, l’intéressé ayant cessé ses attaques, mais votre inclination perverse à dresser les gens les uns contre les autres me contraint à dire que je préfère être un fauve, plutôt qu’un hypocrite dans votre genre ; que je préfère être un fauve, plutôt que de mener des campagnes de diffamation prolongées à l’égard de tel ou tel, au motif qu’il serait « raciste » ; et que je préfère être un fauve, plutôt que de voler l’adresse mail d’un commentateur qui refuserait de me la communiquer, puis de m’en servir pour le harceler à domicile contre sa volonté.

  46. Savonarole

    @ Jean-Michel Aphatie | 08 mars 2020 à 15:58
    Sacré Jean-Michel !
    Filandreux comme d’habitude. Il se croit le délégué syndical du journalisme alors que ses confrères se rient de ce Tartarin de Tarascon. Il a été humilié par Zemmour qui a dit de lui, « je n’écoute jamais Aphatie, c’est de l’hygiène »… Mortel.
    On se demande comment il a pu aligner ces quatre lignes car lorsqu’il sévissait à RTL il fallait quatre correcteurs pour remettre d’aplomb ses éditoriaux (Achille en est témoin).
    Laurent Gerra en a fait une star, il est plus écouté chez Gerra que lorsqu’il pérore sur LCI, une performance ! Sa caricature est plus célèbre que le bonhomme.

  47. Savonarole

    @ Tomas | 08 mars 2020 à 08:34
    Tout n’est pas faux dans ce que vous dites. Vous êtes un jeune homme en colère (un « angry young man », une école cinématographique aujourd’hui disparue).
    Permettez toutefois qu’à nos âges nos journées soient ponctuées par quelques oasis médiatiques où l’on puisse s’abreuver d’autre chose que de l’empire France Télévisions/ORTF. Soyez patient, on n’en a plus pour longtemps, vous serez vous-même dévorés par les enfants de Greta Thunberg.
    « Passant, j’étais ce que tu es, tu seras ce que je suis » (épitaphe italienne célèbre, Le Carrosse de la Mort)

  48. @ Robert Marchenoir | 08 mars 2020 à 17:00
    J’avoue que je ne connaissais absolument pas Marc Menant avant de regarder l’émission Face à l’info. Je pensais que c’était un professeur d’histoire à la retraite qui venait dans cette émission pour améliorer ses fins de mois, vu que les pensions des enseignants sont, paraît-il, très étriquées.
    J’aurais dû lire sa fiche Wiki. ! 🙂

  49. Thomas Perrot

    Pascal Praud, que je connais car il a déjà été accueilli plusieurs fois dans mon établissement (et quel chemin depuis ses débuts à Téléfoot !) et qui cite volontiers l’Île où je réside au cours de ses interventions, a été d’une façon outrancière menacé dans un médiocre rap, si mauvais d’ailleurs qu’il en est presque parodique…
    Je ne suis pas de ceux qui considèrent que le rap est mauvais par essence, malheureusement beaucoup de jeunes musiciens français utilisent aujourd’hui l’anglais, le rap est une terre musicale riche d’inventivité et de vitalité linguistique sur ce point.
    Le problème est la culture anti-française qui y est omni-présente, le terreau premier de cette musique étant évidemment les banlieues.
    Certains esprits « gaulois » soumis s’y vautrent complètement, comme Nekfeu, ou même Orelsan, si facile de critiquer le « beauf français » sans prendre de risques. Il est amusant de voir comment les anciens « diables » médiatiques, NTM, ont un discours depuis toujours tellement plus intelligent que la relève d’aujourd’hui…
    L’islam devient un nouvel étendard pour l’autoproclamée misère, pas étonnant que le communisme, dans les rangs duquel on trouve autant d’experts en marketing que chez Mondelez, ait débarqué les ouvriers pour cette nouvelle peuplade anti-française.
    Bien sûr que le journal Le Monde panique… Je tiens un hôtel, et JAMAIS on ne m’a demandé ce journal (seulement Ouest France par localité, le Figaro, et l’Equipe)… Quant à ma cousine qui y travaille, on lui a signifié, à son embauche: ICI IL FAUT ÊTRE DE GAUCHE.
    Au moins c’est clair 🙂
    Pour finir… à l’attention de M. Marchenoir
    Vous avez peut-être un talent littéraire, quoi qu’il faudrait étudier le temps que vous passez sur ce blog et à écrire vos réponses, mais quel cuistre vous faites parfois… Autant chez M. Bilger chaque mot est choisi, est une flèche qui tape dans le coeur, autant chez vous j’ai l’impression que vous choisissez vos mots, non pour leur à-propos mais pour leur originalité… Pardonnez-moi mais cela fait cuistre… je sais les reconnaître, l’étant moi-même 😉
    Vous nous avez certes épargné votre habituelle russophobie primaire sur ce billet, mais de grâce, un peu moins de certitudes, cela fera du bien…

  50. Savonarole

    Le tunnel narcissique…
    Pascal Praud a l’art de faire « circuler la parole », comme il dit. Ses émissions sont fluides, tout le monde a sa chance pour exprimer son point de vue. Il ne pontifie jamais et ses costumes typiquement anglais prouvent que c’est un gentleman.
    En revanche on est accablé par Apolline de Malherbe et autre Ruth Elkrief qui pratiquent la technique du tunnel. Questions interminables, narcissisme, tenir l’écran le plus longtemps possible, yeux au ciel pour Apolline, bataille de cheveux qu’elle fait virevolter, tout ça pour finir par dire « et alors qu’est-ce que vous en pensez ? »
    Sincèrement féministe, je serais d’avis de leur recommander d’arrêter de faire les cocottes.

  51. Denis Monod-Broca

    @ Jean-Michel Aphatie
    Je ne suis pas sûr de comprendre cette phrase « J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. »
    Comme il n’existe pas à ma connaissance de peine d’interdiction de voix au chapitre, je suppose que vous voulez dire qu’un certain nombre de personnes ayant été condamnées pour incitation à la haine raciste ne sont plus invitées sur les plateaux de télé ou de radio. À la différence de Zemmour qui, condamné lui aussi, est encore invité. On peut trouver la différence choquante de deux façons : pourquoi Zemmour est-il toujours invité ? Pourquoi ces autres personnes ne le sont-elles plus ?
    Ça s’explique.
    La justice juge les actes, pas les personnes.
    Une fois la vérité dite sur l’acte, le châtiment prononcé et exécuté, la personne condamnée est à nouveau « innocente ». Pourquoi serait-elle interdite à vie de voix au chapitre ?

  52. @ GDAT13 | 08 mars 2020 à 15:55
    « Puis, en 2019, les antiracistes (à sens unique ?) ont fait interdire la représentation des Suppliantes d’Eschyle à la Sorbonne »
    Ce ne sont pas les antiracistes, mais des groupes d’extrême droite, les skinheads ne sont pas que des blancs-becs, ici il y avait des skinheads noirs.
    Le racisme n’est pas une marque déposée par les Blancs, ni la propriété intellectuelle des uniques Blancs.
    Dans l’affaire que vous citez : La Brigade Anti Négrophobie ; ‘Brigade’ en politique tout est dit !
    Tous les racistes ont ceci qu’ils rendent service à l’humanité en mourant !
    ► Une étatsunienne qui chante en français ; Teri Moise – Les poèmes de Michelle.

  53. Savonarole

    Tu tousses Tonton ? (Hors sujet)
    Quelle que soit notre admiration pour l’Italie, on ne peut qu’être interloqué d’apprendre qu’on y avoisine les 400 morts du Coronavirus.
    Pour avoir sillonné cette fameuse Toscane, où je me suis ennuyé comme un rat mort, j’avais remarqué le délabrement de tout, sauf des hôteliers, restaurateurs et compagnies de voitures de location. Un pays en arrêt, un pays mort.
    Je vous recommande Grosseto, vanté par mon hôtelier, c’était Hiroshima après la bombe.
    Ici en Espagne moins de 10 morts, en France on frise les 20 morts, même chose partout en Europe.
    Il y a un truc avec cette Italie.
    Curieusement Jean Quatremer, l’ahuri qui sévit sur LCP et Libération n’en dit pas un mot.

  54. Serge HIREL

    @ Jean-Michel Aphatie 8 mars 15 : 58
    Vous êtes, assurez-vous, journaliste professionnel. La première des règles de ce noble métier est, m’a-t-on appris, de s’assurer de ne délivrer à ses lecteurs – à ses auditeurs dans votre cas – que des informations vérifiées.
    J’ai beau tourner et retourner le Code pénal en tous sens, lire et relire la loi du 1er juillet 1972, dite Loi Pleven, je ne parviens pas à déceler dans ces textes qu’applique la Justice, la moindre ligne qui apporterait un soupçon de réalité au fait qu’une personne ayant été condamnée pour incitation à la haine raciale est aussi « condamnée à ne plus avoir voix au chapitre dans la démocratie ».
    Merci de bien vouloir indiquer aux commentateurs de ce blog quelles sont vos sources… A moins qu’il s’agisse d’un point de vue simplement personnel et que vous souhaitiez que le législateur – seul habilité à modifier de tels textes – le fasse sien. A mon avis, il vous faudra attendre que notre beau pays soit devenu une dictature… La désirez-vous ?
    En revanche, votre texte, par cette proposition de « double peine », invite à discriminer Eric Zemmour et ceux qui, comme lui, ont été condamnés pour incitation à la haine raciale. Un simple rappel : le Code pénal – l’article 1er de cette Loi Pleven en particulier – punit lourdement les individus commettant un tel délit. Rassurez-vous néanmoins : ce blog privé accueillant votre prose n’ayant pas un caractère public au sens de la loi et bénéficiant donc de la législation sur le courrier privé, vous ne risquez rien. Ce qui ne serait pas le cas si vous utilisiez votre antenne pour promouvoir cette remarquable idée républicaine, pleine de tolérance…
    Comme Eric Zemmour… et beaucoup d’autres, je soigne ma petite santé et mon sens de la démocratie : je ne vous écoute pas. Votre accent n’y est pour rien. Le problème, ce sont vos dérapages… tel celui cité ci-dessus.

  55. @ Michelle D-LEROY
    « Il faudrait déjà redéfinir la gauche actuelle. Car elle n’a plus de gauche que le nom, elle a perdu tout son sens, celui de défendre la veuve et l’orphelin, les pauvres et les modestes. »
    Enfin, dans certaines limites car la « générosité » que la gauche prétend incarner est loin de celle qui exige un effort voire un renoncement de la part de celui qui la pratique, car en fait les gens de gauche sont souvent de façon individuelles animés par l’esprit de lucre.
    La gauche est généreuse avec l’argent des autres, d’aucuns appelleraient cela la redistribution, ce qui n’est qu’une forme hypocrite de vol permettant au voleur de se faire bien voir par ses clients.
    Et si les « riches » à dépouiller se font plus rares, même la poule aux œufs d’or est mortelle, il reste « l’État », cette nouvelle divinité supposée trôner dans un temple bâti sur des caves remplies d’or.
    « L’État paiera ». Qui n’a jamais entendu cette formule, sans se demander d’où venait cet argent que l’État est supposé verser ?
    Et quand les caisses sont vides – ce qui est le cas en France – et que l’État est criblé de dettes, qui va se substituer à lui pour payer ?
    La faillite de la Grèce en 2009 – bien que des gens comme Madame Aubry aient soutenu qu’un État ne pouvait faire faillite – est pleine d’enseignements sur ce qui nous pend au nez.
    « L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. »
    (Frédéric Bastiat)

  56. Pathétique Aphatie !
    Tout a été dit sur ce faux derche loser islamogauchiste collabo haineux.
    Il faut que l’islam s’intègre à la République dit-il ! ça relève de la psychiatrie, un bon pétainiste qui réclame que le nazisme s’intègre aux lois collabos ; le nazislamisme.
    Je l’ai connu du temps de Sarko où il sévissait sur son blog RTL : le blog de Jean-Michel Aphatie ; son antisarkozysme parano schizo avait, pendant des années, jour après jour, permis à ce triste sire sous le pseudo de Kidcarson de proférer les pires insultes injures odieuses infamantes calomnieuses contre tous ceux qui voulaient dialoguer sur son blog.
    Evidemment les chartes de cette époque, toutes gauchistes, encourageaient ces horreurs, Aphatie faisait partie de la caste merdiatique des journalopes protégés de gauche qui sévissaient en toute impunité contre Sarko.
    Aphatie déteste Zemmour, non pas pour son bord politique mais tout simplement parce qu’il a un succès fou, une audience record, alors que ce malheureux Aphatie est une nullité, un loser qui collectionne les échecs et patauge dans sa fange pendant que l’étoile Zemmour le survole de son mépris.
    Parler de ce guignol, c’est lui rendre hommage mais soyons bons princes, accordons-lui quelques moments de compassion.

  57. « J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. Et c’est très bien, puisque répandre la haine ne peut être encouragé, une fois que la justice, au nom du peuple français, a authentifié cette dérive. Et d’autres personnes, plusieurs fois condamnées, ne subissent pas ce sort, ce qui me paraît étrange et dangereux. »
    Les arguments développés par monsieur Aphatie m’ont surpris car, s’ils sont l’expression de positions personnelles respectables en tant que telles, sur un blog intitulé « Justice au singulier », ils ne sont pas fondés en droit.
    Le premier élément qui m’apparaît reste la référence à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui stipule :
    Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
    Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
    A partir du moment où une personne a été condamnée pour s’être exprimée en contravention avec la loi, où elle a été jugée et condamnée et où elle a purgé sa peine, elle retrouve ses qualités entières de citoyen, sauf si le jugement l’en prive. Dès lors elle recouvre le droit de s’exprimer librement dans le respect des dispositions de la loi.
    Par ailleurs, la mode est à la condamnation pénale de la haine en tant que telle. Jusqu’à preuve du contraire, la haine, comme l’amour, est un sentiment et ne saurait constituer, en droit positif, une infraction à la loi pénale. En revanche, si l’expression publique de ce sentiment contrevient à la loi et trouble l’ordre public, alors la Justice doit se saisir et prononcer les condamnations qui s’imposent.
    Une personne condamnée pour ce type de faits ne saurait être bannie de la société et privée de tout moyen d’expression, en rappelant que la même Déclaration précise clairement :
    Art. 5. La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
    C’est le fondement même de la liberté de pensée et d’expression garantie par la République !

  58. Patrice Charoulet

    Débats TV-radio
    Je lis des livres et des journaux. Et je suis friand de débats TV-radio. J’estime une cinquantaine d’intervenants. Le journaliste à accent du Sud qui vient d’intervenir sur ce blog en signant de son nom n’est pas de ce nombre. Je venais de dire ici que Gérard Miller est comme lui, bien qu’il se déclare, assez ridiculement, « éditorialiste ».

  59. @ Denis Monod-Broca
    « Une fois la vérité dite sur l’acte, le châtiment prononcé et exécuté, la personne condamnée est à nouveau innocente. Pourquoi serait-elle interdite à vie de voix au chapitre ? »
    Je doute que Jean-Michel Aphatie prenne la peine de vous répondre. M’enfin, sait-on jamais…
    Mais reconnaissons-lui la délicatesse d’avoir daigné intervenir sur un blog où il n’est pas en position de s’attendre à bénéficier du même niveau de civilité que sur une chaîne de télévision.
    La réponse relèverait probablement du fameux paradoxe de l’intolérance, au nom duquel on ne saurait tolérer l’intolérance. Le petit détail dans le cas Zemmour (bien que ce Monsieur ne soit pas ma tasse de thé) est qu’en affirmant, dans le cadre de ses propos qui lui ont valu une condamnation pour incitation à la haine raciale, qu’il fallait faire un choix entre la démocratie et l’islam, Zemmour s’inscrivait lui aussi dans le cadre de ce fameux paradoxe de l’intolérance.
    Nous sommes donc dans une situation où l’islam, si tant est qu’il soit une idéologie intolérante, relève de deux régimes contradictoires: 1. La liberté de conscience et religieuse, accordée au nom entre autres de la tolérance, et 2. Le paradoxe de l’intolérance, au nom de quoi nous nous devons d’interdire ce type d’intolérance.
    La chèvre, le chou…
    Mais bon, Jean-Michel Aphatie est toujours le bienvenu pour répondre à toutes les questions que nous pourrions nous poser, puisque l’aspect catégorique de ses positions semble indiquer qu’il a les idées très claires sur la question. Ce serait obscurantiste de sa part que de ne pas nous faire part de ses lumières…

  60. @ Serge HIREL | 08 mars 2020 à 20:39
    « Je ne parviens pas à déceler dans ces textes qu’applique la Justice, la moindre ligne qui apporterait un soupçon de réalité au fait qu’une personne ayant été condamnée pour incitation à la haine raciale est aussi condamnée à ne plus avoir voix au chapitre dans la démocratie »
    Vous utilisez le concept démocratie légèrement me semble-t-il.
    La démocratie n’a strictement rien à voir avec la liberté d’expression, mais uniquement avec le vote ; qui a le droit ou pas de voter ; c’est juste un système qui organise le vote.
    D’ailleurs le mot, en soi, est une erreur de construction sémantique, puisque ce n’est pas le démos (peuple) qui vote, mais les citoyens.
    Les enfants sont membres du peuple, les personnes noires aussi, les personnes de religion israélite tout autant, les femmes également, pourtant certains ne votent pas, d’autres n’en avaient point le droit.
    Il fut un temps où les pauvres étaient interdits de vote : censitaire.
    Des personnes qui n’ont pas la nationalité française peuvent avoir le droit de vote.
    Qui est citoyen, qui n’est pas citoyen, la démocratie s’attache à cela en réalité et rien d’autre ; or, vous pouvez perdre votre droit de vote, vous aurez ainsi mal lu le Code pénal, le Code électoral.
    Une condamnation pénale peut vous retirer ou suspendre votre droit de vote, de citer, de la parole publique, de citoyen.

  61. @ Savonarole
    L’Italie est vieille, ai-je vu sur France Info, c’est pour l’heure la seule explication que j’ai lue dans la presse.
    En tous cas, les hôtels chinois ne sont pas solides.

  62. @ Jean-Michel Aphatie
    « J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. Et c’est très bien, puisque répandre la haine ne peut être encouragé, une fois que la justice, au nom du peuple français, a authentifié cette dérive. »
    Vous commettez une confusion. La démocratie est une procédure d’exercice de pouvoir : sélection des élus, équilibre du pouvoir. Ce n’est pas une foi religieuse interdisant certaines hérésies telles que le racisme. Il ne s’agit pas d’un discours s’opposant à un autre discours.
    En passant, le racisme peut répandre la haine ou pas, ça dépend : certains haïssent, d’autres méprisent ceux qu’ils s’imaginent inférieurs.
    Quoi qu’il en soit, les sentiments des gens les regardent. Les prétendants à contrôler les sentiments des autres sont liberticides. Et de plus, en prêchant l’amour, on aboutit à la haine.
    Les chrétiens ont eu l’Inquisition, aujourd’hui, on a un début d’interdit de discours en général injustement rabaissant discriminant pour certains, Noirs, Juifs, femmes et autre, mais pas toujours*… Et si l’Etat ne tue pas encore, on a des menaces de mort comme on le voit dans ce billet. En plus d’une mort médiatique pour certains, mais cela ne vous suffit pas.
    Il faut qu’aucun n’échappe :
    « Et d’autres personnes, plusieurs fois condamnées, ne subissent pas ce sort, ce qui me paraît étrange et dangereux. »
    Voulez-vous changer la loi ?
    L’aggraver ? C’est contestable dans son principe. Et cela peut être tragique pour la survie de la liberté de notre pays.
    Oui ! Car qui voudrait interdire l’immigration musulmane peut être traité de raciste, moi sur ce blog.
    Pourtant, il est prudent de s’opposer au renforcement d’une communauté dont certains immigrés sont les premiers à nous rendre pour le bien d’être accueillis le mal des attentats.
    Intolérable !
    Je ne vois pas pourquoi nous rendrions pour le mal de l’ingratitude le bien d’un pardon qui nous désarme.
    Il faut donc, si possible, interdire l’immigration musulmane, et si impossible, toute immigration. Car l’immigration doit être organisée pour le pays et non le pays pour l’immigration, ce qui commence à avoir lieu comme j’espère vous n’allez pas le nier, par complaisance envers les islamistes.
    La démocratie doit préserver la liberté de ses membres, la nation sa survie. Or je suis triste de constater que ce qui se présente comme la défense d’innocentes victimes peut en venir à contrevenir à ce sans quoi notre liberté finirait abolie.
    *On entretient la confusion entre la critique de l’immigration musulmane et le racisme, on a attaqué l’étude historique de la traite négrière au nom d’enjeux mémoriels et si certains dissimulent leur antisémitisme dans l’antisionisme, leurs symétriques accusent les critiques des abus israéliens d’être antisémites.
    Pourquoi ? Comme de plus en plus, notamment avec vous, on va vers la mort sociale en étant accusé, à tort ou à raison de tout cela, toute opposition aux revendications d’un groupe sera accusée par le groupe d’être motivée par quelque haine de ce dernier – soit un crime de la pensée, enfin, même pas, des émotions.

  63. @ Robert | 08 mars 2020 à 20:51
    @ Serge HIREL | 08 mars 2020 à 20:39
    Clair et net, bravo d’avoir fait remarquer à Jean-Michel Aphatie qu’il prend des libertés avec la loi. On se demande s’il s’en rend compte tellement il a l’air de se croire dans son bon droit. C’est un tyran, dans son genre.
    ——————————-
    @ boureau
    Bon courage. J’espère que vous continuerez longtemps à apporter vos points de vue sur le blog. C’est agréable de discuter avec vous et vous défendez bien vos idées !

  64. Robert Marchenoir

    @ Jean-Michel Aphatie | 08 mars 2020 à 15:58
    « Vous faites semblant, monsieur Bilger, mais vous le faites bien, de ne pas comprendre les propos qui sont les miens. J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. »
    D’autres ont déjà expliqué en quoi cette assertion relevait d’une volonté d’établir une dictature en France.
    Mais ce qui est frappant, c’est que vous êtes tellement enfermé dans votre bulle médiatique de gauche, que vous ne vous rendez même pas compte de l’énormité de vos écrits.
    Vous assurez que vos propos ont été déformés, vous intervenez ici pour les atténuer, pour protester de vos bonnes intentions, et vous ne trouvez pas mieux que de nous confirmer, noir sur blanc, ce que nous savions déjà, mais qu’il est bon de voir théorisé par ses partisans mêmes : quiconque ne se conforme pas à l’opinion dominante, et est condamné ne serait-ce qu’à un euro d’amende pour ce fait, doit être frappé de mort sociale, se voir empêché d’exercer son métier, privé de moyens d’existence et continuellement diffamé.
    Par une clique de journalistes et d’intellectuels qui n’ont de comptes à rendre à personne, qui ne sont élus par personne, mais qui s’arrogent le droit d’ostraciser, sous prétexte de « haine », ceux qui s’opposent à l’immigration de masse, et plus généralement ceux qui ne se soumettent pas aux dogmes de la gauche.
    Il va de soi que les condamnations, par les tribunaux français, pour prétendue « incitation à la haine raciale », ne présentent strictement aucune différence par rapport aux condamnations, par les tribunaux soviétiques, de prétendus « ennemis du peuple ». Dans les deux cas, il s’agit de délits d’opinion.
    Bien sûr, vous et vos amis, vous ne haïssez personne. Vous êtes tout dégoulinant d’amour pour tout le monde. Y compris Éric Zemmour, au hasard.
    C’est bien pour cela que vous nous exprimez, ici, votre souhait de le voir exclu de son métier, interdit d’exercer, empêché de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille.
    C’est parce que vous ne le haïssez pas, et que vous, vous ne haïssez personne.
    Tout comme les Soviétiques étaient pour la « paix dans le monde » grâce à la « démocratie populaire ».

  65. Quand un chanteur de rap appelle au meurtre et à l’émeute, les chances sont infimes de le voir condamné pour incitation à la haine et au racisme à l’encontre des policiers.
    Au lieu d’appliquer la loi, de suspendre ses droits civiques, le ministère de la Culture ou une association s’empresse de lui verser des subventions.
    Aphatie et Tomas sur ce blog vont avoir de grandes difficultés à enfouir la vérité, mission impossible.

  66. « Je regrette qu’un Jean-Michel Aphatie, avec son obsession anti-Zemmour et sa frénésie de prétendre l’ostraciser médiatiquement, idée fixe relevant plus, à mon sens, d’une jalousie que d’un humanisme dont il ne peut pas se déclarer le dépositaire naturel, ait participé à la diffusion d’une haine scandaleuse. »
    Difficile de dire sans autres indices POURQUOI un homme agit comme il le fait. Et certes, on peut s’y pencher si on s’intéresse particulièrement à la personne ou si on croit par là mieux comprendre la nature humaine.
    Mais pour condamner son attitude, il suffit de voir le résultat : la diffusion de la haine « scandaleuse », ce dernier mot, je suppose, indiquant une possibilité de violence physique.
    Parce que sinon, comme je l’ai déjà dit, vouloir imposer ou empêcher des sentiments est :
    – Illégitime : les gens devant pouvoir penser et ressentir ce qu’ils veulent.
    – Et précisément ce qu’on reproche à Zemmour et à d’autres : de répandre des mauvaises idées ou mauvais sentiments ou les deux, la direction de intériorité étant au moins aussi confuse que cette dernière.
    Tout cela remonte au moins à ce personnage :
    http://atheisme.org/saintaugustin.html
    On persécute pour convertir car on le vaut bien par l’Eglise, l’Etat – plus tard le parti.
    Depuis lors, personne, ni Eglise, ni Etat, ni individu n’a oublié, sur ce modèle, de persécuter tant et plus pour changer les gens, si possible au nom de l’amour, ça sonne mieux.
    Et sans aller jusque-là, on se demande toujours si tel ou tel comportement a lieu au nom de l’amour, ce qui excuserait tout, ou est dépourvu d’amour, ce qui le condamnerait, bien sûr… Mais voyons ce que ça peut donner, concrètement, de nos jours.
    Depuis des temps, on confond persécution pour convertir à l’amour qui justifie tout, donc ne nous étonnons pas de la complaisance pour le cimeterre. Oui, certains s’élèvent contre les persécutions et sur un registre proche le viol et le harcèlement et la soumission de la femme, une domination au nom de l’amour, et de l’ordre, comme si les deux ne faisaient qu’un mais la vérité est que certains sont ainsi y compris chez les chrétiens :
    Xavier NEBOUT | 08 mars 2020 à 10:59
    Et que d’autres, sans s’assumer à ce point, n’en sont pas loin… Car l’impunité de Polanski, parce qu’il ne se vantait pas, paraît-il, c’est cela au fond. Un rapport de force a été créé qui doit être avalisé parce que le transgresseur est hors d’atteinte et que le fait qu’il n’ait pas récidivé le couvre sans parler du fait qu’il tient un discours par ailleurs conforme sur d’autres victimes que les siennes.
    Ce rapport de force aussi appétissant qu’une viande crue dévorée par les vers, on va en ôter les insectes, d’abord en disant l’individu rédempté, comme si on était, encore une fois, convié à jouer le rôle de directeur de conscience.
    Puis l’ordre qu’on prétend défendre contre par exemple les drogués qui ne font rien à personne, sera oublié en sa faveur, ce que j’assimilerais à de la cuisson, c’est vrai que impunité ne peut pas donner d’idée à un transgresseur. Plus ou moins, à point ou saignant ?
    Pourtant, ceux qui veulent défendre Fillon ou quelque autre disent que peu importe ce qu’il a fait, d’autres aussi.
    Qu’il ne faut pas le poursuivre… Bien, eh bien tout abuseur d’enfant pourrait dire, certes sans public conquis pourquoi moi et pas Polanski ? Peu probable, on fait profil bas face au juge, et les pédophiles sont souvent des plus lâches, mais enfin, personne ne peut prétendre depuis Polanski qu’on a une horreur unanime et sans concession pour l’abus.
    Enfin si, on le dit, mais disons qu’on ne me le fera pas accroire, jamais. Les gens ont été choqués, je le veux bien.
    Mais pas au point que certains en viennent à répudier leur trinité : ordre, partialité et hypocrisie. Sans l’approuver, je comprends que la partialité dédouane chacun de ses devoirs et couvre ses amis, mais ce n’est pas s’arracher à soi ou un autre soi-même que de préférer les victimes aux bourreaux et au faux ordre des apparences l’ordre vrai de l’exemplarité.
    L’amour et la haine, c’est formidable, cela donne le droit d’intervenir sur les autres plus que le simple intérêt : extension du pouvoir.
    Et cela permet d’être aussi injuste qu’on veut : j’aime tant le drogué que j’ai le droit de le surtaxer et ainsi de prolétariser les fumeurs smicards. De quoi je me plains ? Autant de taxes en moins pour moi. Pareil pour les enfants. Je ne suis plus un enfant, alors ?
    Alors, il est bas d’être injuste, de punir les gens d’user d’eux-mêmes, et à l’inverse, de ne pas le faire de qui abuse des autres.
    Pire, on punit certaines opinions, peut-être bientôt par l’ostracisme légal dans les médias voire ailleurs. Mais je dis que si on veut censurer, faisons-le bien, en prohibant les débats sur Internet pour certains, par exemple, voyons, une surveillance de leur connexion qu’on pourrait ensuite étendre aux autres au nom du principe de précaution.
    Mais rien de tout cela ne pose problème puisque l’amour est tout et que la liberté est bien relative.
    Pourquoi les Français s’inquiéteraient-ils de perdre leur liberté ? Ce n’est pas par hasard qu’elle leur a souvent échappé, c’est parce qu’ils ne l’aiment pas. La liberté pourquoi faire ? Jusqu’où la liberté ? On dirait la personne recevant je ne sais quel gadget en cadeau, faisant la grimace et se demandant contre quoi l’échanger en prétendant l’adorer.

  67. Eh ben dites donc, Jean-Michel Aphatie s’est pris une belle volée de bois vert.
    Son acrimonie envers Eric Zemmour est bien connue. Quand ils œuvraient tous les deux à RTL on imagine l’ambiance électrique qui y régnait.
    Querelle de personne, querelle d’idées, un peu des deux finalement.
    J’avoue que, sur le plan des idées, je me sens plus près d’Aphatie que de Zemmour. Ce qui explique pourquoi j’ai suivi son blog pendant quelques années.
    Déjà à l’époque il se faisait rabrouer grave par des intervenants pas très tendres à son égard.
    Quand il ne fait pas sa fixette sur Zemmour, il peut avoir des analyses intéressantes que je partage souvent.
    Allez JMA, ouvrez un blog. Je suis certain qu’il aura beaucoup de succès.

  68. Quand la « justice » punit plus sévèrement les propos choquants (selon certains) des humoristes que le verbiage ordurier et menaçant des rappeurs dégénérés et haineux, ce n’est pas au Monde qu’il faut en avoir. Mais bien à une certaine « magistracaille ». Laquelle aime tant se laisser influencer par une presse dénuée de la moindre éthique. Ne parlons même pas de la morale. La question est de savoir qui aujourd’hui, rend encore la justice (ou la manipule) dans les contrées décadentes de cette foutue Europe ?

  69. On voit à quelles extrémités sont réduits les accros à la haine, tous ces gourous d’une secte dont ils ne sont que l’unique membre, dealers de l’enfer économique des accoutumances qu’ils osent appeler libéralisme, menteurs qui pensent encore ne pas être vus dans toute l’hypocrisie de leur imposture, réclamant leur droit à haïr au nom de la liberté de pouvoir l’enlever à l’ennemi qui, lui, ne sait que haïr en retour.
    Cela s’appelle la guerre de tous contre tous, et tant que nous saurons pas lire nos textes fondateurs hors de leur païenne interprétation, nous nous y soumettrons, car refusant le choix du respect d’autrui, nous choisissons avec lui la commune destruction.

  70. @ Jean-Michel Aphatie | 08 mars 2020 à 15:58
    Après avoir ajusté mon masque antipollution biologique et politique je peux intervenir sur le blog.
    Dans un billet précédent, Tipaza | 06 mars 2020 à 15:57, j’ai parlé des petites gens, véritables trous noirs de la société absorbant la lumière des Brillants.
    Et paf, voilà que Jean-Michel Aphatie apparaît dans sa robe blanche et son auréole, ce qui pour être le trou noir du PAF, est pour le moins saugrenu.
    Qui a dit que le hasard n’existait pas ?
    Avez-vous remarqué qu’il postillonne beaucoup quand il parle ? Hélas ses postillons ne sont pas biologiques, de ceux dont on se protège avec des masques. Ce sont ceux qui véhiculent la mauvaise foi et l’intolérance, porteurs du virus mortifère de la pensée formatée de la bobocratie médiatique, celle qui nous empoisonne la vie, au propre comme au figuré.

  71. @ Achille | 09 mars 2020 à 07:36
    « Allez JMA, ouvrez un blog. Je suis certain qu’il aura beaucoup de succès. »
    Hum, son précédent blog avait eu les honneurs de la médiacratie.
    Voici ce que disait l’Obs à l’époque, le 05 février 2007:
    « Le journaliste de RTL Jean-Michel Aphatie a été récompensé, le week-end des 3 et 4 février, pour le blog qu’il consacre chaque jour à la politique française, affirme-t-il sur son blog, lundi 5 février. Une récompense délivrée par le monde des médias et les internautes qui pouvaient voter en ligne pour élire le meilleur blog tenu par des journalistes.
    « Je précise que ce prix m’a procuré un énorme plaisir. Voilà deux ans que je bataille tous les matins sur le clavier », affirme le journaliste, « je m’énerve tout seul dans le bureau, et un jour, récompense suprême, le césar-oscar du blog, le nobel bientôt, je suis bien content. » »
    Et puis son blog est parti en vrille, pour deux raisons:
    ses billets étaient faibles, il écrit encore plus mal qu’il ne parle, ce qui n’est pas peu dire. Très vite personne ne commentait ses billets et chacun faisait son commentaire perso.
    Et puis il manquait la modération d’acier inoxydable, dans un gant en tungstène (ou l’inverse, je ne suis pas doué en métallurgie) qui existe présentement ici ,-)
    Ce qui donnait lieu à des combats homériques, par exemple entre un certain socialiste Gérard 57 et d’autres, dont un certain Vladimir.
    Mais il y avait tellement de combats personnels que le blog était devenu une arène de gladiateurs blogueurs !

  72. @ F68.10
    « La réponse relèverait probablement du fameux paradoxe de l’intolérance, au nom duquel on ne saurait tolérer l’intolérance. »
    Ah, tolérance, que de crimes on commet en ton nom !
    Rappelons tout de même que l’on ne tolère en principe qu’une imperfection, une anomalie, un écart léger par rapport à une norme ou à une loi, ou une chose contestable voire à la limite un vice, dont certains sont ou ont pu avoir été qualifiés de « fléaux sociaux ».
    En quelque sorte, l’aiguille de la tolérance est généralement positionnée quelque part entre le Bien et le Mal, dans une zone grise.
    Le problème est que lorsque cette aiguille est carrément bloquée sur le Mal ou sur l’inacceptable, ce qui est de plus en plus fréquent dans la « France officielle » actuelle, les grands-prêtres de la tolérance se transforment alors à l’encontre de ceux qui souhaiteraient le retour à plus de normalité voire au Bien en inquisiteurs encore plus intolérants que ceux des siècles passés, qui eux au moins assuraient un procès équitable à leur clients…

  73. Lucile
    Robert
    Achille
    Jean le Cauchois
    Zonzon
    Et les autres…
    Si vous saviez comme recevoir des mots du coeur est gratifiant…
    Aux derniers mois ou semaines de sa vie, le drame familial de la séparation est terrifiant. Mais, à ma grande surprise, prendre conscience que dans peu, vous ne ferez plus partie de la grande famille humaine, de la cité, de cette grande mouvance intellectuelle qui avance, qui avance… et pour laquelle, très vite vous ne serez plus rien et avec laquelle vous ne participerez plus à rien, provoque un étrange sentiment de vide et d’abandon.
    Mais reprenons-nous ! Tout ce mélo, comme d’habitude, c’est la faute à Zonzon qui a eu des mots gentils ! Mais de quoi se mêle-t-il ?
    Cordialement à vous tous.

  74. @ Achille | 09 mars 2020 à 07:36
    « Allez JMA, ouvrez un blog. Je suis certain qu’il aura beaucoup de succès. »
    C’est de l’ironie ? Vous êtes un coquin !
    Et si ça ne l’est pas pourquoi vouloir faire scier la branche sur laquelle Aphatie est assis ?

  75. Michel Deluré

    Qu’une signature connue s’immisce dans le débat en cours et voilà que ce dernier s’enflamme, les passions se déchaînent.
    JMA ou l’étincelle mettant le feu aux poudres !
    Je ne sais en revanche si, agissant ainsi, il s’attendait à un tel retour de flammes ? Toujours est-il qu’il n’aura pas été déçu du voyage comme l’on dit familièrement.
    Mais je ne me fais pas trop de souci, il doit avoir le cuir suffisamment tanné.
    En tous les cas, quel coup de projecteur sur votre blog, Philippe Bilger.

  76. @ Serge HIREL | 08 mars 2020 à 20:39
    « Rassurez-vous néanmoins : ce blog privé accueillant votre prose n’ayant pas un caractère public au sens de la loi et bénéficiant donc de la législation sur le courrier privé, vous ne risquez rien. »
    C’est doublement inexact.
    D’une part ce blog est soumis aux diverses dispositions de loi de 1881, il est public, et toute diffamation, injure, tout délit de presse en général pourrait y être poursuivi. D’autre part, même si vous parveniez à démontrer que celui-ci ne serait pas public, cela n’aurait pour conséquence que de faire dégénérer les délits en contraventions.

  77. Je n’ai pas entendu M. Aphatie s’insurger de la présence permanente de M. Fogiel dans l’espace médiatique.
    Dans l’affaire du sketch de Dieudonné du colon israélien, M. Fogiel a été condamné pour ses commentaires racistes.
    Mais c’est Dieudonné qui a été ostracisé !
    Surprenant non ?

  78. Serge HIREL

    @ Elusen 8 mars 21 :27
    La partie de mon commentaire que vous citez est en quelque sorte sortie de son contexte. Il s’agit d’une réponse au message de Jean-Michel Aphatie (8 mars 15 :58) dans lequel il s’emporte sur le fait qu’Eric Zemmour, condamné pour incitation à la haine raciale, ait encore « voix au chapitre dans la démocratie ». Il est vrai que, dans mon texte, cette citation d’Aphatie aurait pu être entre guillemets.
    Le rôle que vous attribuez à la démocratie – « un système qui organise le vote » – me paraît réducteur. Il n’y a pas de démocratie sans liberté de pensée et sans liberté d’expression. Elle est donc par essence protectrice de ces « Droits de l’Homme » essentiels.
    La Loi Pleven, qui réduit la liberté d’expression, n’a d’ailleurs été promulguée qu’après de vifs combats parlementaires et de multiples débats dans les cercles proches du pouvoir. Aujourd’hui encore, nombreux sont ceux qui voudraient la voir disparaître.
    Il est à noter qu’elle est loin d’instituer une répression jusqu’au-boutiste. Elle ne prévoit même pas de peines plus sévères en cas de récidive. Et nul, en 1972, n’a proposé la « double peine » que préconise Aphatie. Tout simplement parce qu’une telle disposition, en instaurant une peine définitive, serait contraire à notre concept de la justice, qui, tout en punissant l’acte, doit aussi respecter l’homme.
    En fait, M. Aphatie et ses amis quelque peu totalitaires souhaitent que la loi punisse, non plus l’expression de la haine raciale, mais la haine raciale elle-même. Donc qu’elle punisse un sentiment, une pensée, et non plus seulement son expression. De par le monde, certains pays pratiquent cette scandaleuse – et impossible – chasse à l’intime : les pires dictatures et les Etats qui appliquent la « charia »…
    Quant à la haine raciale, pour avoir fréquenté un peu les « territoires perdus de la République », il me semble qu’elle est assez bien présente au sein des communautés qui y vivent – y compris entre elles – et que ceux qui l’expriment le font en toute impunité. Les deux rappeurs appelant à la haine des policiers et des journalistes vont-ils être poursuivis ?

  79. @ Tipaza | 09 mars 2020 à 10:54
    Il est vrai que j’ai eu quelques échanges houleux avec ce vieil anar de Vladimir dont il était difficile de savoir s’il était d’extrême gauche ou d’extrême droite.
    En fait il était tout simplement anti-système comme J-L Mélenchon et MLP qui se retrouvent sur de nombreux points dans la mesure où ils sont systématiquement contre tout ce que propose le gouvernement, apportant un négativisme stérile ne pouvant conduire qu’à un régime totalitaire.
    Mais malgré nos différences idéologiques j’appréciais à sa juste mesure sa grande culture.
    Concernant les billets de JMA, je serai moins sévère que vous. Le style était certes moins alambiqué que celui de Philippe Bilger, mais il savait aller à l’essentiel. Ce qui n’empêchait pas les commentateurs de diverger très rapidement du thème du billet pour s’écharper. Un peu comme sur ce blog finalement…

  80. « J’ai noté, et je réitère, que des personnes condamnées par la justice pour incitation à la haine raciale n’ont plus voix au chapitre dans la démocratie. »
    Monsieur Aphatie est-il en droit d’édicter des lois ? Je ne comprends pas que le 4ème pouvoir vise à prendre la place du 1er pouvoir au risque de devenir une dictature. Zemmour peut et doit être contesté sur certains aspects mais en démocratie qui est en droit de le bâillonner ? Pour aboutir à quoi ? On autoriserait les appels au meurtre de rappeurs délirants et on censurerait des Zemmour ?

  81. Bravo à M. Bilger pour avoir appâté le pathétique Aphatie aplati par l’islamogauchisme.
    Aphatie, Kidcarson (orthographe aléatoire) dans son blog RTL ravagé par la haine féroce antisarko de l’époque, a fait entendre sa parole de socialiste parano psycho acharné sur France Inter, RTL, Europe1, et il sévit désormais sur France Info, rémunéré grassement par nos impôts et taxes pour avoir la liberté de proférer dans les micros les pires âneries islamogauchistes collabos.
    Un bien triste sire dans la lignée des Joffrin et tous ces journaleux labellisés crétins gauchiasses grassement subventionnés de L’Obs, Le Monde, Libé, etc.
    Merci cher Philippe pour ces bons moments que vous nous offrez.

  82. breizmabro

    Ce matin en écoutant d’une oreille distraite les Grandes Gueules (les femmes ont autre chose à faire ! ;)) sur une chaîne concurrente de CNews aux mêmes horaires, je me suis réjouie d’avoir entendu les présentateurs de cette chaîne s’offusquer que la presse ne se soit pas manifestée pour soutenir Pascal Praud menacé de mort pour.. on ne sait trop quoi par des rappeurs en mal de buzz. Une avocate présente sur le plateau a quant à elle apporté tout son soutien à P. Praud. J’ai trouvé leur soutien confraternel assez classe.
    Après évidemment les hommes (majoritaires sur ce plateau) ont donné leurs avis sur les interventions des femmes sur tel ou tel sujet. Certains disaient, Meetoo on est d’accord, mais que des avocates défendent la présomption d’innocence après l' »affaire » Polanski (?), NON ! *
    Un très grand moment de patriarcat. Tout à coup je me suis demandé si dans quelques années les hommes ne pétitionneront pas pour supprimer le droit de vote aux femmes…
    *Il serait bon pourtant de se remémorer l’affaire Christian Iacono accusé de viol par son petit-fils de 9 ans (incarcéré deux fois sur cette accusation). Onze ans plus tard le petit-fils en question écrira au procureur de la République que ses accusations étaient fausses et en donnera les raisons (qui étaient familiales).
    Je ne peux donc m’empêcher de citer à nouveau Maître Thierry Lévy :
    « Je ne dirai pas que l’accusation n’est pas humaine parce que c’est très humain d’accuser les gens, de les calomnier, de les vilipender.
    Ce que je dirai en revanche c’est que dans l’accusation, il y a quelque chose de substantiellement mensonger car on ne peut accuser quelqu’un, et surtout le traiter comme une personne irrémédiablement coupable qu’en dissimulant sciemment une partie de la vérité ».

  83. Sacré Aphatie, il n’a pas fait le voyage pour rien sur ce blog !!
    Il me revient en mémoire une fameuse prise de bec entre Dupont-Aignan et lui en 2012 où le coquinou qu’il est refusait de donner son salaire.
    Toujours prêt à faire la leçon mais incapable d’assumer qu’il touche des émoluments à faire rêver une cargaison de Gilets jaunes !!
    https://www.dailymotion.com/video/xq4oij

  84. Edouard:
    – Quand on ne sait pas où l’on va, il faut y aller… Et le plus vite possible.
    J.M.A.
    – Je dis des choses tellement intelligentes que le plus souvent je ne comprends pas ce que je dis.
    Macron :
    – En essayant continuellement, on finit par réussir… Donc plus ça rate, plus on a de chances que ça marche.
    Bilger :
    – S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème.
    Il ne reste plus qu’à pomper !
    Salutations distinguées.

  85. Jean le Cauchois

    Je viens de découvrir le site « Islam & Info », qui sous-titre « L’info par le Musulman, pour le Musulman » et qui publiait, le 16/10/2019, « Serge Nedjar de CNews déclare la guerre aux musulmans de France !? » à propos de l’apparition d’Eric Zemmour sur cette chaîne.
    Les raisons invoquées pour l’interdire sont les mêmes que celles invoquées actuellement par monsieur Aphatie.

  86. breizmabro

    @ Robert 08 mars à 20:51
    « En revanche, si l’expression publique de ce sentiment contrevient à la loi et trouble l’ordre public, alors la Justice doit se saisir et prononcer les condamnations qui s’imposent »
    Que dites-vous alors des paroles des rappeurs Sneazzy et Nekfeu :
    « Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud / Ça mérite une balle dans le cervelet, le canon au fond de la bouche… »
    Mais vous comme moi savez que quand bien même le parquet se saisirait de l’affaire les juges feraient, contrairement au cinéma du César, le distinguo entre l’artiste et l’oeuvre, comme lorsque Bedos avait été relaxé pour avoir traité Morano de conne publiquement MAIS dans son spectacle.
    Dernièrement nous avons eu une « humoriste » traitant un réalisateur de film de nain en le surnommant « Atchoum ». Quel/quelle nain/naine oserait déposer plainte pour ce mépris de gens qui ne font pas plus d’un mètre soixante puisque c’était de l’humour… à 120 000 euros ? (Le prix qu’aurait pu fixer ‘Madame Claude’ en son temps ;))

  87. Michelle D-LEROY

    @ Tipaza
    « Ce sont ceux qui véhiculent la mauvaise foi et l’intolérance, porteurs du virus mortifère de la pensée formatée de la bobocratie médiatique, celle qui nous empoisonne la vie, au propre comme au figuré. »
    Non seulement cette mauvaise foi véhicule l’intolérance et la pensée formatée de la bobocratie, mais elle veut l’imposer comme pensée obligatoire.
    Ces mêmes personnes voudraient voir leur contradicteurs jugés pour incitation à la haine raciale mais curieusement font signe d’ignorer les propos de rappeurs ou de minorités qui incitent à la haine de l’autre.
    L’ouverture d’idées à géométrie variable…
    Merci à Robert (20 h 51) pour son rappel à la loi.
    ————————————————–
    @ boureau
    Tout mon soutien et ma sympathie. A bientôt j’espère sur ce blog pour lire vos remarques qui changent de la pensée standardisée.
    —————————————————-
    @ Exilé
    « La gauche est généreuse avec l’argent des autres, d’aucuns appelleraient cela la redistribution, ce qui n’est qu’une forme hypocrite de vol permettant au voleur de se faire bien voir par ses clients. »
    La gauche croit que l’argent de l’Etat tombe du ciel, tout le monde se souvient du « c’est la France qui paie » de François Hollande. Et surtout en dépensant sans compter en allocations diverses et variées, elle a l’impression d’être vraiment à gauche.

  88. @ Exilé
    « Ah, tolérance, que de crimes on commet en ton nom ! »
    Dites-m’en plus…
    « Rappelons tout de même que l’on ne tolère en principe qu’une imperfection, une anomalie, un écart léger par rapport à une norme ou à une loi, ou une chose contestable voire à la limite un vice, dont certains sont ou ont pu avoir été qualifiés de « fléaux sociaux ». »
    Comme vous n’avez pas pris la peine de préciser ce que vous appelez un « fléau social », j’ai demandé à Google Actualités de me sortir son premier lien à ce sujet. Premier « fléau social » mentionné, donc: le viol.
    À ma connaissance, peu de gens prétendent tolérer le viol, (bien que certaines semble revendiquer leur droit à s’exposer au risque de viol au nom de leur liberté à revendiquer leur liberté, comme Camille Paglia). La tolérance publique du viol serait, en effet, selon vos termes, un « crime »; de nature plus sociétale qu’individuelle, selon moi. Nous ne rentrons donc pas dans le cadre où il y aurait actuellement une tolérance publique, et coupable, d’un tel « fléau social »; qui n’en est pas moins une réalité concrète.
    J’ai donc du mal à percevoir le sens de votre propos sur la criminelle tolérance des fléaux sociaux.
    « En quelque sorte, l’aiguille de la tolérance est généralement positionnée quelque part entre le Bien et le Mal, dans une zone grise. »
    En général, le paradoxe de la tolérance (et non pas le paradoxe de l’intolérance, mea culpa) fait plutôt référence à la question de la tolérance de l’intolérance en matière de liberté de conscience, en matière de tolérance de gens qui n’ont eu que le défaut de naître, et dans une moindre mesure en matière de tolérance de formes diverses de diversité culturelle.
    Il y a effectivement une zone grise, mais qui peut se défricher à grand coups de machette en récusant la liberté d’incohérence en la matière. C’était effectivement le sens de mon propos, qui, en constatant qu’Eric Zemmour avait indirectement été accusé d’enfreindre ce principe, fait le constat qu’Eric Zemmour dénonçait aussi la tolérance de l’intolérance islamique. En des termes pas exactement explicites ni gauchos, certes.
    Monsieur Aphatie, dénonçant les doubles standards, semble récuser la liberté d’incohérence au sujet de la privation d’expression publique de gens condamnés pour incitation à la haine raciale. Il est donc légitime de lui faire aussi remarquer qu’il se prévaut aussi, lui-même, du même type de liberté d’incohérence qu’il dénonce s’il ne donne pas un bon point à Eric Zemmour quand celui-ci dénonce, lui aussi, la tolérance de l’intolérance.
    En somme, Monsieur Aphatie peut difficilement se soustraire lui-même à une autocritique. Enfin, si, il le peut: il lui suffit de remonter sur son piédestal de télévangéliste….
    « Le problème est que lorsque cette aiguille est carrément bloquée sur le Mal ou sur l’inacceptable, ce qui est de plus en plus fréquent dans la « France officielle » actuelle, les grands-prêtres de la tolérance se transforment alors à l’encontre de ceux qui souhaiteraient le retour à plus de normalité voire au Bien en inquisiteurs encore plus intolérants que ceux des siècles passés, qui eux au moins assuraient un procès équitable à leur clients… »
    Je ne sais pas s’il y a beaucoup de monde à qui l’on puisse décerner des Bons Points de Cohérence Intellectuelle à ce sujet… Sur ce sujet, c’est un peu à qui jouera le plus vertueux… Je n’aime pas du tout ce type de surenchère.
    ——————————————————
    @ boureau
    Vous avez un souci spécifique en ce moment ? Je ne veux pas jouer l’insensible excessivement, mais des allers-retours incessants aux urgences, c’est rarement une partie de plaisir. Les miens avaient fini par prendre un côté grand-guignolesque, mais je doute que les vôtres soient du même ordre…

  89. @ F68.10 | 09 mars 2020 à 16:36 (@ Exilé)
    « Ah, tolérance, que de crimes on commet en ton nom ! »
    Dites-m’en plus… »
    La tolérance est l’acceptation de la transgression, le premier pas vers l’abolition de la règle existante pour laisser la place à une autre règle.
    Il n’est de bonne tolérance que la tolérance zéro.
    Condition minimum de survie en ces temps troublés par une invasion plus que tolérée, voulue par un humanisme dévoyé.

  90. Serge HIREL

    @ Gavot 9 mars 11 :44
    Merci d’avoir rectifié mon tir qui était très loin d’être parfait… carrément en dehors des clous… L’arroseur arrosé… puisque, dans ce même message, je reproche à M. Aphatie de n’avoir pas vérifié ses informations. Mea culpa, j’ai commis la même faute en me fiant à ma mémoire, clairement défaillante.
    Pour ma défense, j’oserai néanmoins invoquer le nombre incalculable d’entorses à la loi de 1881 que les différents services électroniques véhiculent sans être vraiment inquiétés. Et je ne pense pas que le Procureur de la République va fondre sur l’éditeur de ce blog parce que le commentaire de M. Aphatie contient un appel à la discrimination de M. Zemmour… Le rédacteur de ce message illicite n’en vaut pas la chandelle…

  91. anne-marie marson

    Ce soir, le Liban multiculturel est en cessation de paiement.
    Plus rien à voir avec le Liban chrétien.

  92. @ Tipaza
    « La tolérance est l’acceptation de la transgression, le premier pas vers l’abolition de la règle existante pour laisser la place à une autre règle. »
    Moui, il y a un peu de cela. Pas que cela non plus: il y a aussi une certaine inéluctabilité de la transgression si les lois ou règlements ne sont pas correctement calibrés ou jouissent d’un mauvais niveau de légitimité. Deux problèmes que je trouve importants en pratique.
    « Il n’est de bonne tolérance que la tolérance zéro. »
    Vous arrive-t-il de traverser en dehors des passages cloutés ?
    Il y a des sujets où la tolérance zéro est de mise. Souvent ceux où, en fait, on parle de tolérance zéro quand on veut simplement parler de retour à la normale. Des exemples sont faciles à trouver…
    « Condition minimum de survie en ces temps troublés par une invasion plus que tolérée, voulue par un humanisme dévoyé. »
    Je suis d’accord que nécessité fait loi. Bon, il est un peu comique que cette expression soit originellement « nécessité n’a loy » au Moyen Âge; mais bon, le traitement philosophique des apories est une sous-discipline de la philosophie assez curieuse: Machiavel traite beaucoup de la nécessité.
    Mais si la tolérance zéro se couple de la croyance que cela suffirait pour résoudre les problèmes actuels, peu de choses risquent de s’arranger.
    Mais plus concrètement: souhaitez-vous remettre en cause la liberté de conscience et la liberté religieuse avec votre tolérance zéro ?

  93. @ Serge HIREL | 09 mars 2020 à 12:42
    « Il n’y a pas de démocratie sans liberté de pensée et sans liberté d’expression. »
    Pour qui ?
    Les esclaves aux USA, en France et à Athènes ?!
    Peut-être parlez-vous des femmes avant 1946 ?
    Peut-être parlez-vous des pauvres avec les régimes censitaires ou seuls ceux qui paient des impôts ont le droit de vote ?
    Peut-être parlez-vous de la ségrégation aux USA et en Afrique du Sud ?
    Peut-être parlez-vous du Code de l’indigénat ?
    Éventuellement des lois sur les Amérindiens aux USA, Canada, Brésil et autres pays ?
    La démocratie est un mot fourre-tout, puisqu’il est faux dès le départ, ce n’est pas le Peuple qui vote, mais les personnes à qui l’on accorde le droit de vote, celles à qui l’on accorde le droit de cité, de prendre la parole publique : citoyenne.
    Ce que vous dénommez loi Pleven s’est contenté de modifier la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse (et la parole publique) ; elle ne peut pas disparaître en tant que telle, puisqu’elle modifie une autre loi ; l’on parlera d’abroger des articles de la loi de 1881 ou de les modifier.
    Ainsi en réalité, vous ne parlez que d’une seule loi, celle de 1881, sans compter que vous méconnaissez la Constitution française et l’une de ses quatre parties, celle de 1789 :

      – La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui
      – La loi n’a le droit de défendre (interdire) que les actions nuisibles à la société
      – pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.
      sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

    Puis vous méconnaissez le procès ; celles et ceux qui peuvent engager des procédures en dehors de la loi de 1881, le Code civil – La responsabilité extracontractuelle en général, existe au minimum depuis 1804 :

    • Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.

    En 1972, la triple, quintuple peine était appliquée, la peine de mort aussi, c’est fatal comme peine ça ; le concept de double peine nous est contemporain, quoique la rétention de sûreté donne tort à tout le monde.
    La liberté est toujours limitée, ne serait-ce que par la mort ; mais surtout, en vie, par les procès, donnant ainsi à ceux qui en ont les moyens financiers d’ester ; tous les pays la limitent ou la régulent par le procès.
    Pour rappel, car j’aime à le signifier, tous ceux qui beuglent contre ces lois sont les premiers à s’en servir, à engager des procédures, des procès pour faire taire d’autres personnes ; Nadine Morano, Éric Zemmour, Robert Ménard, les Le Pen, etc, s’en servent ; ils sont les premiers à déposer des plaintes.
    Je vous invite à prendre connaissance du Code pénal français et son article 131-26, créé par une loi de 1836, donc avant 1881 et 1972 :
    L’interdiction des droits civiques, civils et de famille porte sur :

    • 1° Le droit de vote ;
      2° L’éligibilité ;
      L’interdiction des droits civiques, civils et de famille ne peut excéder une durée de dix ans en cas de condamnation pour crime et une durée de cinq ans en cas de condamnation pour délit.
      La juridiction peut prononcer l’interdiction de tout ou partie de ces droits.

    ————————————————–
    @ DAUMONT | 09 mars 2020 à 12:38
    « Dans l’affaire du sketch de Dieudonné du colon israélien, M. Fogiel a été condamné pour ses commentaires racistes.
    Mais c’est Dieudonné qui a été ostracisé ! »
    Mensonge !
    M. Fogiel n’a pas été condamné pour le sketch de M. M’Bala M’Bala ; mais suite à une plainte de M. Dieudonné M’Bala M’Bala contre M. Fogiel, et d’autres personnes.
    M. Fogiel n’a pas été condamné pour avoir tenu des propos racistes, mais en tant qu’animateur-producteur, en clair comme responsable de publication ; les propos ayant était tenus par un autre, pas par lui.
    C’est comme sur ce blog, le directeur de publication, c’est l’Honorable Honoraire, il peut être condamné pour avoir publié vos propos ; même l’attachée de production peut être condamnée, la mystérieuse madame qui valide.
    Surprenant non ?!

  94. APHATISME 1
    Celui qui suggère qu’un commentateur doit être viré d’un blog nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.

  95. Finalement Pascal Praud ne portera pas plainte contre les deux rappeurs qui l’ont menacé de mort dans leur dernière chanson.
    Sage décision me semble-t-il.
    Sneazzy et Nekfeu, Booba et Kaaris, des rappeurs qui n’ont pour seul public que les « cailleras » de banlieue et n’ont d’autres moyens de se faire connaître que la violence des paroles de leurs chansons.
    Inutile de leur faire de la pub.

  96. @ F68.10 | 09 mars 2020 à 22:44
    « Vous arrive-t-il de traverser en dehors des passages cloutés ? »
    Dans mon village il n’y pas de passages cloutés, pas même de passages protégés.
    « Mais plus concrètement: souhaitez-vous remettre en cause la liberté de conscience et la liberté religieuse avec votre tolérance zéro ? »
    Vous avez l’art de retourner les situations ou de jouer au ping-pong verbal.
    Quand on m’impose le remboursement par la sécurité sociale de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules, c’est non seulement ma liberté de conscience qui est affectée, mais pire, c’est ma liberté de disposer de mon argent pour des causes nobles, et pas pour résoudre les désirs égoïstes de certaines femmes.
    Un argent si laborieusement et péniblement gagné par des années passées à résoudre les vénérables équations de Maxwell. Vous avez beaucoup parlé de leur formalisme, pas beaucoup, et même pas du tout de leur résolution, et pourtant en la matière le verbe formaliste n’est rien, la manipulation concrète est tout.
    Bon là, je blague un peu, c’est juste pour vous dire que vous êtes dans le monde des idées platoniciennes, quand il faut sortir de la caverne aux idées pour étreindre une réalité qui nous étouffe.
    Quant à la liberté religieuse que vous invoquez c’est aussi la liberté de ne pas croire en certaine religion sans risquer la peine de mort.
    Je vous renvoie au sujet du billet. Que pensez vous de la non-liberté qui nous est imposée de facto ?
    Là aussi vous sortez de la réalité pour théoriser une liberté imaginaire ou conceptuelle. Nous n’en sommes plus là.
    La réalité est ici et maintenant. Et cette réalité est gouvernée par les conditions initiales qui se renouvellent à chaque élection présidentielle, et les conditions aux limites, celles du supportable.
    Un peu comme pour les équations de Maxwell 😉

  97. MDR !
    « C’est comme sur ce blog, le directeur de publication, c’est l’Honorable Honoraire, il peut être condamné pour avoir publié vos propos ; même l’attachée de production peut être condamnée, la mystérieuse madame qui valide. »
    Surprenant non ?!
    Rédigé par : Elusen | 10 mars 2020 à 02:20
    Ouais, en effet, c’est comme sur ce blog, notre islamogauchiste Ben Elusinou chou peut être condamné pour avoir publié des propos haineux incitant à la (ALLAH) haine raciale, christianophobie, racisme antiblancs, calomnies, insultes injures, propagations de fake racistes xénophobes, stigmatisants, et collaboration avec l’ennemislamiste envahisseur.
    Surprenant non ?!
    Message de votre très raelienisto pédophilo islamophobo droitisto lepenisto.

  98. APHATISME 2
    Celui qui se formalise et appelle à la Garde quand on l’appelle Le Fauve a raison, car il n’est qu’un bousier !

  99. @ Michelle D-LEROY 09 mars 2020 16:25
    @ F68.10 09 mars 2020 16:36
    Merci infiniment.
    Cordialement.

  100. Où sont-ils les indignés professionnels qui poussent des cris d’orfraie quand un identitaire, un membre du RN, un Zemmour, relatent des faits prouvés chiffrés avérés sur l’invasion des immigrés migrants islamistes clandestins délinquants dans nos prisons, dans les banlieues, infiltrés dans toutes nos institutions pour propager l’islamisme haineux, cette religion guerrière afin de soumettre le pays sous leur joug avec leur diktats fascistes, où sont-ils tous ces lâches ces trouillards ces collabos traîtres, ces gauchiasses journalopes de Libé, du Monde, pour dénoncer cette horreur de rappeurs islamistes qui menacent appellent au crime contre Praud et bien d’autres, ces criminels musulmans maghrébins qui crachent sur la France et les blancs ?
    Plus facile de s’attaquer à Zemmour, à Praud, à un Ménard, cibles permanentes de cette pourriture gauchiste qui sévit en toute haine impunie dans les merdias, les écrans, les tribunaux et dans tous ces partis politiques ignobles fascistes de gauche.
    Où est-il l’aplati Aphatie, le valeureux Kidcarson des blogs et tous ses complices, Joffrin et sa bande subventionnée grassement pour répandre la haine, les LFI, les cocos, les socialauds, les EELV escrolos, tous ces grands donneurs de leçons de liberté d’expression gauchiste ?
    Bande de pitres !

  101. anne-marie marson

    @ Achille | 10 mars 2020 à 08:19
    « Inutile de leur faire de la pub. »
    C’est vrai, inutile de leur faire de la pub.
    Ce rappeurs sont millionnaires et vivent aux Etats-Unis, comme Omar Sy, et comme beaucoup de donneurs de leçons multiculturels.
    Ils ne viennent en France que pour gagner de l’argent et menacer les Gaulois de souche.

  102. @ Tipaza
    « Dans mon village il n’y pas de passages cloutés, pas même de passages protégés. »
    Mais c’est le tiers-monde ! Dans mon village préféré, vous écopez d’une visite de la police suite à une dénonciation anonyme par une petite vieille qui vous observe du haut de son immeuble quand vous traversez en dehors des passages cloutés. Ça, c’est la civilisation !
    « Vous avez l’art de retourner les situations ou de jouer au ping-pong verbal. »
    Merci. Des années et des années d’expérience en tant que malade très difficile, cela finit bien par payer ! Immensément flatté.
    « Quand on m’impose le remboursement par la sécurité sociale de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules, c’est non seulement ma liberté de conscience qui est affectée, mais pire, c’est ma liberté de disposer de mon argent pour des causes nobles, et pas pour résoudre les désirs égoïstes de certaines femmes. »
    Je vous suggère de réévaluer vos priorités entre votre liberté de conscience et votre droit à la propriété. Mais sur le fond, je conteste que votre liberté de conscience soit atteinte par le fait que des femmes optent pour la procréation médicalement assistée. Par contre, ce n’est pas pour moi le rôle de la solidarité nationale de financer cela. Seulement de le permettre. Et très personnellement, je suis contre la médicalisation outrancière… c’est s’ajouter des chaînes pour le plaisir, souvent, je trouve. Mais je dois bien constater que je suis ultra-minoritaire sur ce dernier point.
    « Un argent si laborieusement et péniblement gagné par des années passées à résoudre les vénérables équations de Maxwell. Vous avez beaucoup parlé de leur formalisme, pas beaucoup, et même pas du tout de leur résolution, et pourtant en la matière le verbe formaliste n’est rien, la manipulation concrète est tout. »
    Je suis plutôt un anti-formaliste, mais c’est un peu long à expliquer. Pour la propagation de fronts d’onde, je suis plutôt un adepte de l’analyse algébrique telle que développée par Masaki Kashiwara. C’est probablement trop abstrait à votre goût, mais je trouve cela éminemment concret. Mais si vous voulez sortir du « formalisme » pour tâter de la poésie, je vous suggère ce petit extrait au sujet de la nature de la nature par Feynman. Je pense qu’il vous plaira (et la traduction automatique en français est disponible).
    « Bon là, je blague un peu, c’est juste pour vous dire que vous êtes dans le monde des idées platoniciennes, quand il faut sortir de la caverne aux idées pour étreindre une réalité qui nous étouffe. »
    Deleuze prônait le « renversement du platonisme » [page 59], et je suis assez d’accord.
    « Quant à la liberté religieuse que vous invoquez c’est aussi la liberté de ne pas croire en certaine religion sans risquer la peine de mort. »
    C’est avant tout cela. J’attends des déclarations sans ambiguïté de tous les responsables religieux à ce sujet. Ah oui ! Aussi des musulmans… et même à l’étranger. Quand on fait des menaces de ce style sur Kamel Daoud, eh bien je considère ce Monsieur, Abdelfattah Hamadache Zeraoui, comme relevant du concept de « fair game » en termes de mesures de rétorsion. Bon, au moins a-t-il la délicatesse de demander à ce que soit uniquement l’Etat algérien qui inflige une peine de mort pour apostasie, mais bon, cela ne passe quand même pas pour moi…
    « Je vous renvoie au sujet du billet. Que pensez vous de la non-liberté qui nous est imposée de facto ? »
    Que j’aime beaucoup le hip hop. Autant politiquement « brouillon » qu’abstraitement élégant. On peut parfaitement faire de la musique revendicative à visée politique, y compris pour défendre sa religion d’une manière que je n’apprécie pas, sans se la jouer menace de mort. Et une menace de mort contre un journaliste (même Aphatie…) est une attaque insupportable contre la liberté d’expression. Même voilée ou implicite. C’est de mon point de vue bien plus grave qu’une menace de mort contre un policier… Si on ne trace pas une ligne rouge là, je ne vois pas où on pourrait la tracer…
    Mais bon, les deux zigotos sont bien entendus libres de venir s’exprimer sur cette menace implicite. Ici même, par exemple… Un peu facile de se la jouer « je veux m’exprimer » quand on ne souhaite pas débattre avec ses critiques, de mon point de vue.
    « Là aussi vous sortez de la réalité pour théoriser une liberté imaginaire ou conceptuelle. Nous n’en sommes plus là. »
    Ah ben si, nous en sommes là ! Vous venez de le prouver avec la question de l’apostasie. Si ce n’est pas une question de liberté de conscience, je ne sais pas ce que c’est.
    « La réalité est ici et maintenant. Et cette réalité est gouvernée par les conditions initiales qui se renouvellent à chaque élection présidentielle, et les conditions aux limites, celles du supportable. Un peu comme pour les équations de Maxwell 😉 »
    Vous voulez vraiment qu’on rentre dans du Sobolev et du Hille-Yosida pour disserter, respectivement, sur l’intolérable et l’institutionnel en matière de politique ? Je crois qu’on peut s’en passer: il suffit de constater qu’il y a des problèmes, et que ces problèmes nécessitent qu’on ose enfin parler de leurs solutions possibles. Ce qui aurait déjà dû avoir lieu depuis longtemps… Cela n’a jamais été une question d' »humanisme » mais simplement de réalisme et de refus de l’incohérence érigée en système.

  103. @ Vamonos
    Que ceux qui s’estiment lésés portent plainte, je ne connais pas les détails de la loi ni l’interprétation qui en est faite, ne fréquentant guère les prétoires et ayant depuis longtemps remisé mes manuels de droit à la cave. Je suis pour la liberté d’expression, y compris artistique, et pour qu’Eric Zemmour s’exprime où on le laissera faire.
    Mais cette clique national-conservatrice est d’un niveau tellement affligeant et sort de telles âneries qu’on ne peut pas prendre sa défense, même si un rappeur menace de mort ses représentants.
    La beauferie et le « bon sens » du peuple sage qui a tout compris contre les élites parisiennes gauchistes et bobo qui nous gouvernent il faut arrêter ce couplet, on n’est pas en Hongrie ou en Pologne chez nous, pas encore. Quoiqu’à force, on va y arriver !
    Je ne connais pas bien M. Aphatie, je l’ai toujours trouvé sympathique car il vient du Sud-Ouest comme moi mais j’ignore radicalement tout de ce qu’il pense. Ne me catégorisez pas trop vite !
    Signé un fumeur de clopes qui a un diesel (et qui roule avec, mais pas tous les jours, sinon quel intérêt d’habiter en ville ?)

  104. APHATISME 3
    Celui qui vit dans un univers où la plupart des mots et des choses sont montés sur « roulettes » ne peut être surpris que les pseudonymes, eux-mêmes roulettisables, parcourent les blogs de l’espace pour aller lui donner des  »piques répétées et cauteleuses » dans les fesses !

  105. APHATISME 6
    Ceux qui sont dotés d’un  »immense culot » sont généralement incapables de comprendre qu’ils puissent être  »bannis du blog d’Ivan Rioufol. »
    Bannis… la vache !

  106. Serge HIREL

    @ Elusen 10 mars 02 :20
    Simple remarque : je n’ai pas écrit que la liberté de pensée et la liberté d’expression sont les seules critères à prendre en compte pour déterminer si un pouvoir est démocratique ou non. Mais j’affirme que, sans eux, il n’y a pas de démocratie possible. Ces deux notions, d’ailleurs, ont évolué au fil des siècles et des techniques. Tout comme le droit de vote, qui est également un critère déterminant. Vos références aux situations anciennes sont intéressantes, mais ne sont plus du tout d’actualité… et je ne pense pas que quiconque soutienne que la France sous la IIIe République n’était pas une démocratie sous le prétexte que les femmes n’avaient pas le droit de vote.
    J’apprécie également la rigueur de votre analyse juridique du statut de la presse. Permettez-moi néanmoins de vous dire que, parmi les professionnels, par commodité, on distingue, en raison de leurs conséquences sur leurs pratiques, la loi de 1881, les ordonnances de 1944, la loi Pleven et les lois Gayssot, même si ces trois dernières – et d’autres textes moins contraignants – sont en fait intégrés à la loi de 1881. Les journalistes ne sont pas nécessairement des juristes… et vice versa.
    Dernier point : dans l’article 131-26 du Code pénal que vous citez, l’alinéa 2 établit une liste exhaustive des délits qui entraînent obligatoirement une peine d’inéligibilité. Aucun délit de presse n’y figure. Souhaitez-vous que ce texte « louis-philippard » soit modifié pour punir un peu plus ces journalistes qui osent exprimer une opinion contraire à la doxa au pouvoir ? Iriez-vous jusqu’à applaudir une modification du code qui permettrait de les priver de parole ?
    Bref, souhaitez-vous la mort sociale d’Eric Zemmour ? Pas simple de défendre cela dans une démocratie… Mais, j’y pense, selon vous, la France d’aujourd’hui est-elle une démocratie ?…

  107. Évocation de Semmelweis par Marc Menant sur CNews !
    Insupportable !
    Physiquement insupportable !

  108. @ Achille | 10 mars 2020 à 08:19
    « Finalement Pascal Praud ne portera pas plainte contre les deux rappeurs qui l’ont menacé de mort »
    C’est surprenant, il suffit que quelqu’un, une structure médiatique, à qui l’on prête de la puissance, dise une chose fausse et tout le monde la répète comme étant une vérité, mais avec les évidences sous le nez.
    Ils n’ont pas nommément menacé de mort Pascal Praud, mais les hommes en bleu et les journalistes, ‘Pascal Praud’ est utilisé comme étant une injure.
    S’il est journaliste, il est menacé de mort en tant que tel, pas en tant que Pascal Praud :

    • Les hommes en bleu sèment la terreur, n’ont aucun cœur comme collabo
      Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud
      (salope)
      Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet), le canon au fond de la bouche (la bouche)

    Pascal Praud est cité pour dénigrer les journalistes, ils sont amateurs comme lui ; vous ne pouvez départir la menace de mort, au minimum, de tous les journalistes.
    La question devient donc : pouvait-il déposer une plainte en tant que Pascal Praud, ou en tant que journaliste ?
    ————————————————–
    @ Serge HIREL | 11 mars 2020 à 17:31
    ▬ « Mais j’affirme que, sans eux, il n’y a pas de démocratie possible »
    J’en suis désolé, mais hélas, si.
    La démocratie ne porte que sur le droit de vote et qui est autorisé à voter. L’expression peut n’être accordée qu’à ce groupe et interdite à ceux qui n’ont pas le droit de vote.
    Permettez que je vous rappelle, car vous le savez nécessairement, mais ne l’avez pas en mémoire immédiate, sont officiellement démocratiques, par déclaration publique et constitutionnelle :
    la République populaire démocratique de Corée, dite Corée du Nord.
    la République populaire de Chine, ‘démocratie’ est employé 7 fois, ‘démocratique’ 19 fois.
    la République arabe de Syrie, ‘démocratie 2 fois, ‘démocratique’ 1 fois, ‘démocratiquement’ 2 fois.
    la République de Turquie, ’démocratie’ 3 fois, démocratique 7 fois.
    la Palestine, ‘démocratie’ une fois.
    ◘ l’ex URSS
    la Fédération russe, dite Russie, ‘démocratique’ 2 fois.
    etc., etc.
    ▬ « Bref, souhaitez-vous la mort sociale d’Éric Zemmour ? »
    Ceci n’est pas une question, mais une affirmation à laquelle vous avez ajouté un point d’interrogation.
    Je ne suis pas concerné par ce monsieur.
    Je vous indique que des condamnations au pénal, peuvent entraîner l’interdiction des droits civiques, ce que vous sembliez contester à l’endroit de Jean-Michel Aphatie.
    Les condamnations pour incitation à la haine, à la ségrégation, ne sont pas que des délits de presse, mais également du droit pénal.

  109. @ Elusen
    « Ils n’ont pas nommément menacé de mort Pascal Praud, mais les hommes en bleu et les journalistes, ‘Pascal Praud’ est utilisé comme étant une injure. »
    Mouais. À d’autres. Manier l’ambiguïté ainsi, navré, cela ne passe pas.
    « S’il est journaliste, il est menacé de mort en tant que tel, pas en tant que Pascal Praud. »
    Eh bien c’est particulièrement grave de menacer de mort des journalistes. Bien plus que de menacer de mort un policier ou un individu lambda.
    « Permettez que je vous rappelle, car vous le savez nécessairement, mais ne l’avez pas en mémoire immédiate, sont officiellement démocratiques, par déclaration publique et constitutionnelle. »
    Je me permets de citer John Bonvin, pour vous faire prendre la mesure du ridicule qu’il y a à argumenter du caractère démocratique d’une entité politique sur la base de déclarations formelles dans une constitution:
    « Journal de bord de John Bonvin: […] Notre production de neige est maintenant écologique depuis qu’on a mis des panneaux pour dire qu’elle l’est. Terminé. » — John Bonvin, la Guerre des Romands.
    Je regrette de devoir vous faire part de cette mauvaise nouvelle, mais les démocraties populaires n’ont jamais été ni démocratiques ni populaires.

  110. Pascal Praud ne pourra pas porter plainte contre les deux rappeurs au seuls motifs que Praud est, d’après la gauchiasserie islamiste, un sale blanc raciste fasciste droitiste et que nos deux menaceurs de morts sont colorés, fachoracistes antiblancs islamogauchistes donc protégés par les ligues de vertu gauchistes pour lesquelles une menace de mort est une action légitime de lutte sociale de gauche contre la peste brune des heures sombres incitation à la (ALLAH) haine raciale, n’importe quel juge du SM gauchiste vous le confirmera.
    Scénario inverse : Praud menace de mort les deux rappeurs, aussitôt incarcéré, fortement pénalisé : 45 000 euros d’amende, trois ans de prison en premier appel, n’importe quel juge du SM gauchiste se fera un plaisir de vous le confirmer.
    Praud devrait se mettre au rap et arrêter ses émissions fascistes racistes xénos, se bronzer et parler le sabir, il aurait un meilleur avenir devant lui.

  111. On finira peut-être par comprendre qu’il n’est possible de connaître le phénomène religieux, reconnaissant à quelle profondeur il nous constitue, que si nous admettons cette connaissance, la plaçant dans la juste polarité ; l’érudition alors devient un véritable outil d’émancipation, c’est-à-dire de guérison.
    Mais si l’érudition se place en première ligne, refusant cette conscience qu’il n’y a que le cœur, le chagrin proustien, qui puisse incarner ce chemin d’incarnation, elle ne saura qu’inconsciemment réitérer l’imitation vengeresse de l’erreur originelle.
    Le vrai héros postmoderne est celui qui sait reconnaître en soi-même sa tendance persécutrice, construisant alors sa capacité d’accession à cette conscience, admettant la prééminence charnelle du corps souffrant comme base de sa construction intellectuelle.
    Cela s’appelle une conversion religieuse, celle que tous les intégristes sont incapables d’opérer, inconsciemment pris dans le mimétisme de l’erreur susdécrite, cette malignité qui nie au premier chef que le corps est chair, pensant l’intelligence supérieure, alors qu’elle n’est que destruction si elle ne sait pas reconnaître la prééminence de son incarnation.
    « Si on pouvait l’éteindre,
    Perpétuelle serait l’union !
    Si embrasé il pouvait être,
    L’amant, jamais, ne pécherait ! »
    Ibn’Arabi, Zonzon, est aussi notre frère en Christ, ne l’oubliez jamais, ayons le fier courage de ne jamais céder aux intégrismes.

  112. APHATISME 7
    Celui qui expédie journellement en roulettes express des vilenies est bien incapable de savoir pourquoi on peut se faire vider d’un blog !
    Un bousier ne connaît pas de limites !

  113. @ F68.10 | 12 mars 2020 à 01:11
    « Mouais. À d’autres. Manier l’ambiguïté ainsi, navré, cela ne passe pas. »
    Vous connaissez le truc citoyen de la Confédération helvétique, cette affaire est sous juridiction française, vous avez la charge de la preuve.
    Ah ces bons vieux Codes de procédure pénale et civile !

    • Les hommes en bleu sèment la terreur, n’ont aucun cœur comme collabo
      Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud
      (salope)
      Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet), le canon au fond de la bouche (la bouche)

    Le « comme » ne va pas vraiment vous aider à prouver que la balle dans le cervelet concerne nommément Pascal Praud.
    Si ce n’est pas lui qui est visé, cela devient difficile de déposer une plainte et trop facile de jouer les bons seigneurs : « j’ai décidé de ne pas déposer de plainte ».
    Gageons que vous allez venir expliquer que ‘comme’ ne veut pas dire ce qu’il dit parce que YouTube et Wikibeauf vous l’auraient dit.

  114. @ Elusen
    « Vous connaissez le truc citoyen de la Confédération helvétique, cette affaire est sous juridiction française, vous avez la charge de la preuve. »
    Allons donc, mon bon monsieur. Vous n’avez pas d’hôpitaux psychiatriques en France ? Pour une petite menace de mort de ce style, je prône des soins sans consentement sur décision d’un représentant de l’Etat. Une petite formule qui change un peu la nature de la charge de la preuve, et aussi la nature des audiences: audiences en pyjama, shooté, par vidéo, avec une connaissance limitée de ce qui vous est reproché et un accès aux pièces quasiment inexistant.
    « Ah ces bons vieux Codes de procédure pénale et civile ! »
    Ah, ce bon vieux code de la santé publique!
    « Le « comme » ne va pas vraiment vous aider à prouver que la balle dans le cervelet concerne nommément Pascal Praud. »
    Ce n’est pas moi qu’il faudra convaincre, mais le personnel médical. En l’état, des propos de ce niveau d’ambiguïté permettent d’affirmer sans trop d’états d’âme qu’il s’agit d’individus « dangereux pour autrui ». Vous avez remarqué le truc ? Il suffit de dire « dangereux pour autrui » ! Nul besoin de préciser si c’est nommément ou pas ! C’est-y pas beau ?
    « Si ce n’est pas lui qui est visé, cela devient difficile de déposer une plainte et trop facile de jouer les bons seigneurs : « j’ai décidé de ne pas déposer de plainte ». »
    C’est pas le genre d’événements où l’action publique pourrait être engagée par le ministère public ? Cette option aurait ma préférence.
    « Gageons que vous allez venir expliquer que ‘comme’ ne veut pas dire ce qu’il dit parce que YouTube et Wikibeauf vous l’auraient dit. »
    Eh ben non. Je trouve simplement qu’on peut remplacer ce genre de petit débats par des certificats médicaux. La magie de tels certificats est qu’il n’est pas besoin d’écrire des phrases complètes sur les formulaires préremplis. Quelques gribouillis de mot-clés suffisent. Même pas besoin de verbe pour que ce soit valable. Alors disserter sur votre conjonction de subordination me semble complètement à côté de la plaque…

  115. anne-marie marson

    @ Deviro | 13 mars 2020 à 10:06
    Non, je n’ai pas d’idée.
    En plus, votre question est stupide, comme d’habitude.
    Vous avez des exemples dans le monde entier de ce qu’il faut faire, en particulier à Taïwan, mais vous vous adressez à moi par perversité et parce que vous croyez que la morale est de votre côté.
    Je comprends votre préoccupation pour les punaises de lit, ou plutôt pour LA punaise de lit.

  116. @ F68.10 | 13 mars 2020 à 12:08
    Confondre menace de mort et certificat médical émis par un médecin psychiatre constatant une pathologie psychiatrique, il faut être complètement…
    Confondre la charge de la preuve, « qui est menacé de mort », et certificat médical psychiatrique, il faut être complétement…
    Votre habitude à vouloir changer de sujet en permanence pour embrouiller tout le monde ; la ramener pour la ramener, voilà tout est dit !
    La charge de la preuve incombe à celui qui accuse, c’est donc à Pascal Praud et vous de prouver que c’est nommément lui qui est menacé de mort.

  117. @ Elusen
    « Confondre menace de mort et certificat médical émis par un médecin psychiatre constatant une pathologie psychiatrique, il faut être complètement… »
    Euh non… cela légitimerait pas mal une SDRE (soins sans consentement sur décision d’un représentant de l’Etat). Un préfet n’est pas un psychiatre mais il peut ordonner l’hospitalisation. Ce n’est que dans un second temps que les certificats médicaux se mettent en place ; assez rapidement, certes, mais la décision initiale est quand même celle d’un représentant de l’Etat. Pas nécessairement d’un psychiatre.
    Et quand vous avez une menace de mort à votre actif, il n’est généralement pas très compliqué de commencer à remplir un tableau clinique pour coller un diagnostic. En l’occurrence, une menace de mort, cela compte déjà pour une présomption de symptôme positif de schizophrénie, et cela justifie sans trop de peine un placement. Ensuite on peut discuter du sous-type de schizophrénie si cela peut vous détendre… ou disserter sur les diagnostics différentiels avec, je sais pas, moi… allez… disons… des troubles délirants persistants un peu lourds ? Mais compte tenu des chiffres de prévalence, il vaut mieux tabler sur une forme de schizophrénie qu’un trouble délirant persistant dans ce contexte. Parce que bon, on peut quand même exclure une dépression ou un trouble de l’humeur chez deux zigotos comme n’étant pas tout à fait le problème. Eventuellement un trouble de la personnalité du cluster C avec un touche de cluster A ? Mais comme la composante politique et même le délire religieux voire mystique semble de mise avec cette référence à l’islam dans leur chanson, on est quand même plutôt du côté de la schizophrénie à symptômes positifs…
    « Confondre la charge de la preuve », « qui est menacé de mort », et certificat médical psychiatrique, il faut être complétement… »
    Eh bien non. Les deux zigotos manifestent clairement qu’ils sont ou veulent être directement ou indirectement un danger pour autrui. Voilà: c’est clair et carré. C’est prouvé.
    « Votre habitude à vouloir changer de sujet en permanence pour embrouiller tout le monde ; la ramener pour la ramener, voilà tout est dit ! »
    Ben, non, je propose des solutions…
    « La charge de la preuve incombe à celui qui accuse, c’est donc à Pascal Praud et vous de prouver que c’est nommément lui qui est menacé de mort. »
    C’est de mon point de vue au ministère public de demander à ces deux zigotos pourquoi ils menacent Pascal Praud ou à défaut l’ensemble des journalistes, ce qui est tout aussi grave voire plus qu’une menace individuelle… position que j’ai déjà affirmée dans le passé ici et ici.

  118. @ F68.10 | 13 mars 2020 à 19:53
    Depuis quand peut-on hospitaliser sous contrainte, en France, très cher citoyen de la Confédération helvétique, quelqu’un sans aucune évaluation faite par un docteur en médecine avec certificat de psychiatrie ?
    Depuis quand un juge des libertés et de la détention n’aurait pas à se prononcer ?
    F68.10, c’est pourtant la nomenclature internationale d’un trouble psychiatrique, du syndrome de Münchhausen.
    Changer de sujet constamment pour détourner l’attention et escroquer tout le monde, avec des gens comme vous, il ne faut jamais perdre l’objectif.
    Pour la menace de mort, vous avez la charge de la preuve, tout comme Pascal Praud ; l’adverbe « comme » se rattachant aux journalistes, vous êtes dans la mouise :

    • Les hommes en bleu sèment la terreur, n’ont aucun cœur comme collabo
      Les journalistes salissent l’islam, sont amateurs comme Pascal Praud
      (salope)
      Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet), le canon au fond de la bouche (la bouche)

    C’est le texte qui doit être analysé pas vos propos, bien évidemment My sweet lord !

  119. @ Elusen
    « Depuis quand peut-on hospitaliser sous contrainte, en France, très cher citoyen de la Confédération helvétique, quelqu’un sans aucune évaluation faite par un docteur en médecine avec certificat de psychiatrie ? »
    Alors, en ce moment même: l’hospitalisation est décidée par un représentant de l’Etat pour des motifs qui lui sont propres. L’évaluation dont vous parlez est censée commencer à ce moment-là: à partir du moment où l’hospitalisation effective commence.
    Dans cet ordre: d’abord le préfet ou autre, et dans un deuxième temps le médecin. J’espère que ce n’est pas une nouvelle pour vous… Ensuite, il y a l’art et la manière de choisir des médecins plus ou moins complaisants: s’il existe une infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris, c’est quand même pour faciliter un peu le boulot du préfet, hein…
    Si on était en Corée du Nord, effectivement, j’aurais moins de soupçons de collusion entre Etat et médecins dans ce domaine. Ils n’ont pas besoin de la psychiatrie pour traiter de problèmes politiques et idéologiques là-bas… La Corée du Nord, ce n’est pas l’Union Soviétique tout de même, hein…
    « Depuis quand un juge des libertés et de la détention n’aurait pas à se prononcer ? »
    Vous posez la question à l’envers. Vous auriez dû demander: « Depuis quand un juge des libertés et de la détention aurait-il à se prononcer » ? Et la réponse aurait été: le 5 juillet 2011.
    Juillet 2011, hein. Pas Mai 1968. 9 petites années seulement… Peut-être qu’un jour vous comprendrez l’utilité d’un concept comme la Cour européenne des droits de l’homme.
    Quoi qu’il en soit, cela se fait après la décision du préfet, et aussi après l’évaluation du médecin psychiatre (ce dernier point n’est pas sans poser de problèmes, de mon point de vue). En dans le cas des deux zigotos, je peux vous garantir qu’on peut aisément leur concocter une audience aux petits oignons. Je vous suggère de regarder « 12 jours », film de Raymond Depardon pour que vous compreniez à quel point les deux zigotos n’auraient aucune chance dans une telle audience. (Bien que ce film, traitant essentiellement des unités pour malades difficiles, est donc assez biaisé pour se faire une idée de la procédure réelle en temps normal ou en temps « politique »; et est empreint d’un pathos et d’une émotivité sourde qui ne rend pas compte de la réalité ailleurs qu’en unités pour malades difficiles: Le Vinatier à Lyon en l’occurrence.)
    « F68.10, c’est pourtant la nomenclature internationale d’un trouble psychiatrique, du syndrome de Münchhausen. »
    Effectivement. Et il y a peu, aussi de sa variante par procuration, que vous semblez volontairement ignorer. Je trouve cela un peu plus concis et courtois comme pseudonyme que « Violé et Torturé dans une Cage dans une Cave ». Pas vous ?
    Ce pseudonyme, c’est aussi revendiquer le statut d’expert (oui, là je le revendique…) en matière de droit et pratique de l’hospitalisation sous toutes ses formes (centres antipoisons, chirurgies diverses et variées, psychiatrie lourde, la totale, en somme… La famille Addams version médicale, pour faire simple) ; et surtout en matière de falsification de données médicales (la caractéristique typique et diagnostique de cette entité clinique) ; ainsi qu’au sujet de quelques autres broutilles médicales.
    Bref, c’est pas le coronavirus qui va me faire jongler. Comme si j’avais besoin de cela pour saturer les hôpitaux de ma seule présence ! Une véritable aura, vous dis-je…
    « Changer de sujet constamment pour détourner l’attention et escroquer tout le monde, avec des gens comme vous, il ne faut jamais perdre l’objectif. »
    Je ne change pas le sujet: nous sommes sur le thème de ce billet, et je suggère un traitement que je considère approprié pour nos deux jeunes phares de la pensée. Mais je vous suggère de laisser tomber le nom du baron si vous voulez rester sur le thème du billet.
    « C’est le texte qui doit être analysé pas vos propos, bien évidemment My sweet lord ! »
    Il peut parfaitement être « analysé », comme vous le dites, par un psychiatre lacanien à l’I4P, comme on dit dans le milieu pour désigner l’infirmerie de la préfecture de police de Paris. Je suis certain qu’il pourrait en faire une perle d’exégèse à destination du juge des libertés. Sur lequel ledit juge se basera lors de la fameuse audience, n’est-ce pas ?
    Merci pour le morceau de musique. Un peu trop de bons sentiments dedans à mon goût, mais merci tout de même.

  120. @ F68.10 | 14 mars 2020 à 22:51
    Décidément, vous êtes en boucle sur tous vos hors sujet !
    Mais que vois-je, que lis-je ?! Rien !
    Pas une preuve sur le fait que Pascal Praud soit menacé de mort directement, nommément lui ; juste un zozo qui change de sujet pour camoufler son ignorance.
    Après tout, c’est un sujet sur l’écriture d’une chanson, donc Pascal Praud à « salope » aurait pu répondre avec classe en utilisant la chanson ironique :
    « je suis une mère, une enfant, une sœur, une amante, une sainte, je suis tes rêves, je suis une salope ».
    Meredith Brooks : i’m bitch. ; immense succès des années 1990.

  121. @ Elusen
    « Décidément, vous êtes en boucle sur tous vos hors sujet ! »
    Comme je vous l’ai expliqué ici, il ne s’agit pas d’un hors-sujet: il s’agit de ma réaction aux paroles de ces deux zoticones. Elle est parfaitement légitime et dans le thème de l’article.
    « Mais que vois-je, que lis-je ?! Rien ! »
    Il faut que je vous fasse déchiffrer les mots et les caractères un à un ? Comme au sujet de l’autorité que Pétain avait sur le gouvernement lorsque les pleins pouvoirs lui ont été accordés ? Allons donc…
    « Pas une preuve sur le fait que Pascal Praud soit menacé de mort directement, nommément lui ; juste un zozo qui change de sujet pour camoufler son ignorance. »
    Je vous l’ai dit: il s’agit d’une menace implicite ou explicite qui à défaut de toucher Pascal Praud touche l’ensemble des journalistes, selon votre propre analyse. C’est plus grave qu’une menace de mort individuel sur le vulgum pecus. Je m’en suis expliqué ici, ici et ici.
    « Après tout, c’est un sujet sur l’écriture d’une chanson. »
    Eh bien analysons psychiatriquement les paroles une à une:
    « Les hommes en bleu sèment la terreur » [sentiment de persécution, de « terreur » même…], « n’ont aucun cœur comme collabo » [sentiment de ne pas être reconnu à sa juste valeur] « Les journalistes salissent l’islam » [idées de référence couplées à un délire mystique et à une adhésion excessive à une idéologie], « sont amateurs comme Pascal Praud (salope) » [fixation sur un persécuteur nommément nommé] « Ça mérite une balle dans le cervelet (cervelet) » [dangerosité explicite des individus avec adhésion totale au délire], « le canon au fond de la bouche (la bouche) » [planification scénarisée de l’idéation homicidaire]
    Bon, ben voilà. Je pense qu’avec ces quelques mots clés sur une certificat médical, on peut les contraindre à se « faire soigner », comme on dit. Et cela va être difficile à faire annuler comme décision administrative…
    « Meredith Brooks : i’m bitch ; immense succès des années 1990. »
    Votre lien était bloqué dans mon pays pour une raison qui m’est inconnue. Celui-là me semble passer un peu mieux. Mais non, on ne répond pas par l’ironie à des propos de ce style: il y a des lignes rouges à tracer. J’ai entendu certaines personnes raconter pas mal de fantasmagories à mon sujet pendant des années et des années, et j’ai longtemps cru que je pouvais traiter ces choses par l’ironie, une forme de « tolérance » et de distanciation. Mais la réalité est que beaucoup de gens croient réellement les inepties qu’ils racontent ; et lorsque j’ai vu toutes ces fantasmagories répercutées noir sur blanc dans tous mes dossiers médicaux, y compris l’accusation plus ou moins directe de terrorisme, j’ai fait une volte-face sur ces questions: certains propos ne sont pas un jeu, et doivent être étouffés dans l’oeuf.
    Pascal Praud (que je n’aime pas beaucoup) ne devrait pas laisser passer cela. Jamais. Et c’est au ministère public ou à la psychiatrie préfectorale de traiter ce genre de choses de manière à ne pas pousser un homme public à se ridiculiser comme s’il était un hypersensible ou je ne sais quoi du style. Encore, qu’un homme politique se fasse menacer de mort par un illustre et ridicule inconnu, cela peut m’amuser de le voir jouer à la pleureuse et nous faire tâter de l’émotionnel à peu de frais ; mais une attaque de ce style sur des journalistes ou des intellectuels publics est bien plus grave, et les autorités publiques se doivent de protéger l’expression publique en France.

  122. @ F68.10 | 15 mars 2020 à 03:33
    En droit germanique, ou encore dit romano-germanique, système français, celui qui pose l’accusation a la charge de la preuve, pas d’être en boucle sur son délire.
    Vous faites 40 lignes, vous abusez de 511 mots pour ne rien dire ; où dans le propos, il est nommément appelé au meurtre de Pascal Praud ?
    Rien que pour vous sur Vimeo, folk-rock !
    Meredith Brooks : i’m bitch [moquerie sur le mot : salope]

  123. @ Elusen
    « En droit germanique, ou encore dit romano-germanique, système français, celui qui pose l’accusation a la charge de la preuve, pas d’être en boucle sur son délire. »
    Je sens que ce genre de considérations va beaucoup amuser leurs psychiatres. Je vous rappelle qu’ils ont fait médecine et pas droit, à la fac… et ils ont même parfois tendance à s’en vanter pour s’auto-excuser de ne pas tenir compte du cadre juridique dans lequel ils sont censés opérer…
    « Vous faites 40 lignes, vous abusez de 511 mots pour ne rien dire ; où dans le propos, il est nommément appelé au meurtre de Pascal Praud ? »
    J’utilise des mots pour vous expliquer que vous racontez n’importe quoi, et je vais ici continuer: il est indigent de simultanément demander à votre interlocuteur de pratiquer une exégèse du texte de ces deux zigotos, et simultanément venir vous plaindre qu’on utilise trop de caractères pour vous répondre.
    Je pense même que ce type de comportement rhétorique devrait subir de sévères sanctions sociales lorsque, comme vous, on en abuse à outrance.

  124. @ nous les réaliens islamophobos pédophilos racistos fachos | 16 mars 2020 à 08:34
    « La gauche et son Connerivirus a encore frappé. »
    En ce cas, il ne vous reste plus qu’à attendre la prochaine canicule qui enfin viendra vous délivrer.
    Souffrez en paix, mon vieil ami.
    ——————————————
    @ F68.10 | 16 mars 2020 à 00:42
    Le fait d’être psychiatriquement instable, ne vous rend pas expert en psychiatrie.
    ► Code de la santé publique – Exercice illégal de la médecine – article L4161-1
    J’ai beau chercher, je ne trouve toujours pas la preuve pénale que Pascal Praud eut été nommément menacé de mort.
    ► En parlant de mort ; Joe Cocker – Never Tear Us Apart avec des anges et tout.

Laisser un Commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *