C’est beau, c’est grand, c’est exaltant, c’est moral.
Mais cela suffit-il ?
J’ai scrupule à questionner la validité et l’efficacité de ces funèbres et solennelles cérémonies à répétition. Il n’est personne qui autour de moi n’ait pas apprécié le dernier hommage rendu par le président de la République à la mémoire des quatre victimes de l’assassin Mickaël Harpon, son ton, sa mesure, sa dignité et sa vigueur.
Sa vigueur ?
Etait-il nécessaire, après avoir évoqué l’obligation d’une « société de vigilance », d’user de précaution de pensée et de langage pour bien la distinguer du « soupçon qui corrode » ? Comme si les Français en avaient jamais fait trop dans leur quotidienneté contre « l’hydre islamiste » enfin nommée sans détour !
Le président en a appelé à l’exigence de l’unité et à l’esprit de résistance. Il a souhaité la mobilisation de tous, pas seulement celle de l’Etat et des administrations. Elle devrait conduire à « repérer à l’école, au travail, dans les lieux de culte, près de chez soi, les relâchements, les déviations ».
Emmanuel Macron promet « un combat sans relâche ».
Pourquoi ce verbe volontariste et qu’un citoyen de bon sens ne peut qu’approuver sonne-t-il pourtant non pas faux mais en quelque sorte « impuissant » ?
D’abord il a été peu ou prou exprimé, moins bien certes, mais on ne peut pas dire que François Hollande ait été sur une ligne radicalement différente, dans l’oralité, de celle de son successeur.
Ces hommages qui se répètent constituent un tragique aveu d’impuissance qui, pour susciter l’émotion, révèle surtout un terrifiant désarroi face à ce qu’on est incapable d’empêcher.
Non pas qu’il faille s’en abstenir – on n’a pas le choix – mais j’aimerais que dans les tréfonds de la République on ne s’y habitue pas. Comme s’il s’agissait d’une fatalité à prendre avec notre démocratie humaniste mais désarmée.
Le président de la République, comme on l’a souligné ici ou là, s’est efforcé de ne pas hystériser son propos mais la rançon de ces somptueuses banalités est qu’en définitive nous n’avons pas eu le ton d’un chef de guerre mais celui d’un responsable qui, à force de ne pas vouloir angoisser le pays tout en cherchant à l’alerter, a donné certes des pistes, insufflé de l’énergie, formulé des avertissements mais sans que rien d’opératoire ne puisse en résulter.
Il n’a pas mis l’accent prioritairement sur l’autorité, le respect de la loi – le nombre d’infractions tenant par exemple à l’interdiction du voile intégral non relevées -, l’exemplarité professionnelle, les sanctions à prononcer contre les défaillants et les incompétents et le devoir d’une société de se défendre en se corsetant et en prenant les devants au lieu d’attendre le coup de grâce.
Pour qu’Emmanuel Macron puisse convaincre que sa volonté de rassemblement concerne tous les citoyens, il conviendrait qu’il cesse de mêler à ce combat capital pour notre sauvegarde l’opposition politique et l’apparent consensus démocratique. Comme si son objectif principal était davantage d’exclure les électeurs du RN de cette entreprise collective que de permettre à la France de bander toutes ses forces pour demain.
Je tiens à cette distinction entre l’affrontement politique et au moins l’aspiration à une concorde républicaine pour ne pas laisser le moindre citoyen sur le bord de ce chemin où se joue notre survie. Quand je lis un éditorial « Terrorisme : faire bloc » (Le Monde), je retrouve ce risque de considérer que la « subversion migratoire » dénoncée « par Marine Le Pen et Marion Maréchal » est beaucoup plus dangereuse quasiment que la mission collective de lutter contre le terrorisme.
A voir plusieurs réactions immédiates et à prendre acte de certains constats, n’aurait-on pas le droit d’estimer que notre société et les autorités publiques ont plus besoin d’être boostées, stimulées qu’incitées à un apaisement qui n’est que trop naturel pour un régime prenant ses défaites pour de la sagesse et ses avanies pour une heureuse modération ?
Qu’on en juge. Un imam de la mosquée de Gonesse jamais éloigné comme il aurait dû l’être dans les meilleurs délais. Un Hadama Traoré qui annonce son intention de manifester à Gonesse pour, si on analyse bien, restituer le vrai Harpon, comme si l’assassin ne suffisait pas. La manifestation est interdite et Traoré placé en garde à vue. Des commissariats dans la région parisienne ont reçu des messages insultants et des menaces islamistes. A Saint-Denis un couple dont la femme portait le voile intégral a reçu l’appui de la force publique alors qu’il s’en était pris à un mouvement défendant la laïcité (Le Point). Des épisodes ne laissant pas douter que le ver est dans le fruit et qu’aucun discours à la fois humaniste et pugnace ne saurait le réduire.
Mais il y a plus grave que ces troubles inquiétants de la quotidienneté.
Jean-Pierre Chevènement, personnalité admirée, dit-on, par le président de la République, souligne « un danger certain de fragmentation » et énonce que « les guerres civiles commencent toujours à bas bruit » (Le Point). Ces assertions lucides sont confirmées par le fait que « 3 Français sur 4 sont tentés par un vote antisystème », ce qui démontre, selon Dominique Reynié, que « le niveau de la menace populiste est historiquement élevé » (Le Figaro). Avec une forte défiance à l’égard des institutions et des politiques. Ainsi que, constante, une moitié des Gilets jaunes qui demeurent rétifs au vote.
Dans ces conditions, on ne peut pas se contenter de la saillie pertinente de Riss: « Les délateurs de l’islamophobie, les adeptes de la laïcité apaisée, ne demandent jamais aux plus fanatiques de s’apaiser, ça non » (Le Point).
J’incline à penser, avec la modestie qui convient face à une France au moins désorientée, que les somptueuses banalités du président ne suffisent pas.
Il n’a pas besoin de devenir quelqu’un d’autre pour susciter notre adhésion mais de grâce que sa parole soit l’injonction d’un guerrier et non le message d’un républicain brillant mais sans surprise.
Ce président a les qualités d’un banquier mais certes pas celles d’un homme d’Etat : manipulateur, tortueux, beau parleur, onctueux, il cherche à appâter et fidéliser ses clients, se complaisant avec affectation dans différents rôles de composition suivant les circonstances.
Si encore il avait su s’entourer de véritables décideurs, d’hommes et femmes à poigne, de chefs charismatiques, de vrais patrons, notamment à la tête des ministères régaliens de la Défense, la Justice ou l’Intérieur. Or il a fait tout le contraire, craignant manifestement qu’on lui fasse de l’ombre, s’empressant de limoger ou mettre au rancart des officiers généraux de l’armée (gendarmerie comprise) ou des hauts fonctionnaires de la police nationale qui avaient une vision pragmatique des problèmes de société et souhaitaient la mise en œuvre d’une politique sécuritaire plus efficace, en commençant par exiger l’application de la loi sur tout le territoire de la République.
Analyse particulièrement fine et précise, Monsieur Bilger dont je retiens ces deux passages :
– « Il n’a pas mis l’accent prioritairement sur l’autorité, le respect de la loi – le nombre d’infractions tenant par exemple à l’interdiction du voile intégral non relevées -, l’exemplarité professionnelle, les sanctions à prononcer contre les défaillants et les incompétents et le devoir d’une société de se défendre en se corsetant et en prenant les devants au lieu d’attendre le coup de grâce. »
– « Dans ces conditions, on ne peut pas se contenter de la saillie pertinente de Riss: « Les délateurs de l’islamophobie, les adeptes de la laïcité apaisée, ne demandent jamais aux plus fanatiques de s’apaiser, ça non ». »
Comme toujours, nos politiciens se refusent à voir la vérité en face, jusqu’au jour où tout explosera, la crise des Gilets jaunes n’étant que l’expression d’un symptôme du délitement général de la société française, conséquence d’une volonté idéologique cachée sous la célébration d’une mondialisation heureuse sous les auspices de la disparition des nations et de la négation de l’existence de peuples en leur imposant une politique de « melting-pot » vantant les bienfait du droit à la différence et de la diversité.
Dès lors, ces mêmes politiciens sont incapables de concevoir les voies et moyens pour lutter contre ce délitement.
Je tiens à cette distinction entre l’affrontement politique et au moins l’aspiration à une concorde républicaine pour ne pas laisser le moindre citoyen sur le bord de ce chemin où se joue notre survie.
Oui, cher monsieur Bilger, contrairement à beaucoup d’hommes politiques, d’éditorialistes, de faux intellectuels ou de Français ordinaires, vous avez parfaitement compris que l’enjeu de la guerre asymétrique qui nous est déclarée et qui répand partout ses métastases, c’est tout simplement notre survie en tant que pays, en tant que nation et en tant que personnes physiques.
Ces assertions lucides sont confirmées par le fait que « 3 Français sur 4 sont tentés par un vote antisystème », ce qui démontre, selon Dominique Reynié, que « le niveau de la menace populiste est historiquement élevé ».
En employant de façon déplacée dans le cadre des circonstances que nous traversons le terme « menace », M. Reynié ne se rend pas compte de ce qu’il avance, à moins qu’il ne se moque carrément du monde.
Et si le « populisme », au lieu d’être une « menace », était au contraire une planche de salut devant le naufrage d’un État rongé et vermoulu par ses incohérences, ses incompétences, ses turpitudes, ses collaborations honteuses et surtout ses trahisons ?
« Les somptueuses banalités du président suffisent-elles ? »
Déjà en son temps le général disait « Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe 258 variétés de fromage ? ». Il a oublié de préciser « et des millions de râleurs ». Depuis, le nombre de fromages n’a pas vraiment évolué, mais celui des râleurs n’a cessé d’augmenter.
Ce n’est pas par hasard que les deux présidents qui ont précédé Emmanuel Macron n’ont pas pu renouveler leur mandat.
Alors oui, le Président a fait un bel éloge aux victimes de Mickaël Harpon. Et alors ? Qu’auraient dit ses détracteurs s’il n’en avait pas été ainsi ?
Même cela, il en est qui trouvent le moyen de le critiquer.
EM ne se limite pas à de belles paroles, il agit également dans la limite de ses pouvoirs qui ne sont pas absolus car placés sur le contrôle de la Constitution et du Parlement.
La manifestation qui devait se tenir jeudi après-midi devant la mairie de Gonesse,, à l’initiative d’Hadama Traoré, a été interdite par la préfecture du Val d’Oise.
Il a été placé ce mercredi 9 octobre au soir en garde à vue pour « menace et intimidation sur une personne exerçant une fonction publique et menace de crime ». Des perquisitions sont en cours à son domicile.
Reste le cas de l’Imam de Gonesse. Les services de la préfecture de police de Paris se penchent en ce moment sur son cas et je pense qu’il a du mouron à se faire.
Il faut, bien sûr, réunir les éléments permettant de justifier son expulsion et non pas lui faire prendre le premier charter en partance pour son pays d’origine ainsi que le souhaiteraient certains excités du RN et de LR qui oublient un peu vite que la France est un pays qui respecte les droits du citoyen, même le plus méprisable.
Eh oui, nous sommes encore en démocratie et tout n’est pas aussi simple que ce que préconisent les « y’a ka faut kon » de ce blog et d’ailleurs, les mêmes qui accusent leurs contradicteurs de tenir un langage simpliste, un comble !
Que voulez-vous que nous fassions avec à la tête du pays une équipe d’arrivistes dont l’honnêteté et la capacité intellectuelle rasent le plancher des vaches et que leur chef d’orchestre soit un psychopathe exubérant totalement manipulé par des forces directives.
D’où les catastrophes passées, présentes et à venir. Pourquoi reprocher aux musulmans de voiler les femmes alors que nous nous voilons nous-même la face.
La Cinquième Ripoublique n’est plus adaptée aux circonstances actuelles.
Nous n’aurions pas besoin d’une main-d’œuvre illusoire si nos femmes n’étaient pas converties en libertines en prenant la pilule et n’avortaient pas pour leur confort. Le système éducatif depuis la Seconde Guerre mondiale conduit à la paresse et à au rêve d’être fonctionnaire (cela touche aussi les immigrés qui sont choyés dès leur arrivée). Quant aux hommes de ce pays on peut se demander où ils sont !
Enfin, emprunter pour masquer les déficits est la preuve de l’incompétence d’une nation riche qui mise sur l’inflation pour cacher ses tares.
@ Mary Preud’homme 11 octobre 2019 à 01:25
Le « Je suis votre chef » adressé au général d’armée Pierre de Villiers lui collera aux basques jusqu’à la fin de son quinquennat.
Mal parti au départ, ça ne s’arrange pas en interne, ni en Commission européenne où il vient de prendre un camouflet avec l’échec de Sylvie Goulard.
« Il n’a pas besoin de devenir quelqu’un d’autre pour susciter notre adhésion mais de grâce que sa parole soit l’injonction d’un guerrier et non le message d’un républicain brillant mais sans surprise. » (PB)
Si Emmanuel Macron avait parlé comme un guerrier vous auriez intitulé votre billet :
« La politique du coup de menton est-elle suffisante ? »
Je me trompe ?
« Ce verbe volontariste… sonne-t-il non pas faux mais en quelque sorte « impuissant » ? »
C’est le constat de ce déphasage entre la parole et les actes qui à la fois désespère et exaspère les Français.
Les paroles ne sont rien et ceux qui les prononcent perdent toute crédibilité si elles ne se traduisent pas dans les actes.
Le verbe n’a de puissance que par l’action qu’il déclenche. Sinon, il n’est que l’emballage affriolant et trompeur d’un contenant qui est vide.
Le problème, ce n’est pas en réalité que le pouvoir en place soit « incapable d’empêcher » ce qu’il se passe mais bien qu’il n’ait ni le courage ni la volonté de prendre les mesures qui s’imposeraient pour parvenir à cet objectif.
Ne soyons pas naïfs, le risque zéro n’existe certes pas en la matière, mais ouvrons aussi les yeux et reconnaissons que nous savons parfaitement tendre le bâton pour nous faire battre.
Avec une déconcertante naïveté, nos exécutifs successifs n’ont que trop exposé nos failles, nos faiblesses face aux islamistes, ce dont ces derniers ont su parfaitement profiter.
Alors, qu’ils fassent preuve de réalisme, qu’ils analysent les faits tels qu’ils sont et qu’ils empruntent enfin une autre voie.
La « culture du déni », que vous aviez dénoncée il y a quelques années, pousse-t-elle les élites à la cécité, retardant la mise en place de mesures pour lutter contre l’infiltration de l’islamisme ?
Ce qui nous menace, et pas dans un horizon lointain, c’est la déferlante de la bêtise. Celle-ci peut prendre des formes diverses.
https://www.lepoint.fr/politique/jean-pierre-chevenement-les-guerres-civiles-commencent-toujours-a-bas-bruit-10-10-2019-2340497_20.php?M_BT=194508641590#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Mi-journee%5D-20191010
L’art moderne, selon Roberto Calasso, est devenu de la décoration d’intérieur, et le métal des tulipes de Koons ne sauraient cacher qu’elles sont plantées au fi*n de la Cicciolina.
Les élites cooptées n’échappent pas à cette menace et quand nos intelligents augmentés ajouteront l’odeur à leur pornographie, on mesurera alors sur quel pestilence est fondée leur chorégraphie.
Depuis combien de temps tout est dit, écrit, proclamé ? Et on nous parle encore de déni, et on censure Céline et tous ceux qui dévoilent qu’au fond du désir du cœur de l’homme, c’est la guerre qui gît, au fond du cœur de la France la défaite de 40 et le dégoût de Verdun, qu’elle ne saura accomplir son destin qu’en s’avouant qu’elle est incapable de se mentir assez pour retourner au désastre, ce ressort est cassé et définitivement, qu’il est vain de parler de guerre pour des problèmes qui ne concernent que la police et l’éducation, qu’elle ne saura assez se mobiliser que pour défendre la réconciliation, le soin aux plus petits, l’Europe en somme en son renoncement à l’empire, que là est le vrai courage et la vraie définition de la meilleure défense contre l’ennemi, définition d’elle-même en sa capacité à décrire la réalité de son humanité, reconnaissant que Mme Bovary, c’est elle, pour mieux conjurer les tentations diverses qui la détournent de sa mission, cette mystique républicaine, cette transcendance laïque dont se réclame Chevènement, rappelant que, selon Péguy, il n’y a que pour cela qu’on puisse encore mourir.
https://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/chevenement-j-ai-ete-passionnement-stendhalien-page-3-29-06-2017-2139172_1913.php#xtatc=INT-500
« C’est beau, c’est grand, c’est exaltant, c’est moral. »
C’est surtout théâtral !
Il s’est trompé d’adresse en s’installant au 55 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré au lieu du 2, rue de Richelieu !
« Les somptueuses banalités du Président suffisent-elles…?
Non bien sûr cher P. Bilger.
En accord en tous points avec vos développements.
Pour prolonger moins élégamment que vous ne le faites, je dirai qu’E. Macron nous fait quelles que soient les situations, du Macron. C’est-à-dire, au-delà des « somptueuses banalités », l’incapacité chronique à comprendre la France et donc à mettre en place des solutions que dégagerait tout esprit de bon sens.
Mais il est obnubilé par sa propre personne, son propre destin, l’image qu’il veut donner. Il s’isole lui-même. Il est trop convaincu d’avoir raison sur tout. Et en plus il n’est presque jamais dans l’action.
Un bel exemple de ratage : le dossier Sylvie Goulard ! Ratage qui montre qu’il ne comprend pas ce qui se passe dans le monde occidental : les peuples et leurs représentants ne veulent plus que leur soient imposées des décisions d’en haut résultant d’une volonté jupitérienne.
Ratage doublé d’une image désastreuse de sa réaction filmée par toutes les caméras à Lyon où franchement il a l’attitude du gamin pris les doigts dans le pot de confiture et qui semble dire « c’est pas moi, c’est la faute aux autres ».
Décidément, ce personnage se rapetisse de plus en plus à mes yeux même s’il nous offre « des banalités somptueuses ».
Cordialement.
Là, M. Bilger, vous avez un coup de retard.
Le couple Volfoni s’est pris un pain au Parlement européen en voulant lui fourguer l’une de ses secondes gâchettes.
Éparpillée façon puzzle, la Goulard.
@ boureau | 11 octobre 2019 à 10:36
Vous êtes dur avec le « ratage Goudard », ce n’est qu’une péripétie et il y a un vivier solide pour la remplacer: Ferrand, Benalla, Royal… !
@ Michel Deluré
« Ne soyons pas naïfs, le risque zéro n’existe certes pas en la matière, mais ouvrons aussi les yeux et reconnaissons que nous savons parfaitement tendre le bâton pour nous faire battre. »
Cette formule « le risque zéro n’existe pas » a été inventée et employée depuis quelques années par des hommes politiques ayant tenté de se dédouaner des risques qu’ils ont fait courir aux Français par incurie, par bêtise, par irresponsabilité et peut-être même par trahison.
Que penserions-nous par exemple du moniteur de ski qui inciterait ses élèves débutants à emprunter la piste noire et qui après l’accident oserait nous ressortir cette formule malséante ?
Oui ou non, les nouveaux types inédits de crimes et délits qui se multiplient en France existaient-ils ou étaient-ils seulement concevables il y a une cinquantaine d’années, avant que des idéologues irresponsables ne se soient mis à faire n’importe quoi en jouant avec l’âme des peuples en ignorant leurs spécificités ?
L’ennemi est clairement nommé ; il s’agit de l’hydre islamiste et il y aurait deux responsables identifiés actuellement disponibles à cet effet, le Président et le ministre de l’Intérieur. Simplisme accablant.
Il ne faudrait pas masquer la réalité. Le mal n’a pas débuté le 14 mai 2017. La cécité, les abandons, les concessions, les accommodements raisonnables, le poids des habitudes, l’entrisme, sont les plaies qui affectent la laïcité depuis longtemps. Ils représentent un boulevard pour des atteintes les plus graves c’est-à-dire le terrorisme.
Bien évidemment, il faut lutter pied à bien pour défendre nos valeurs. Mais avec quels moyens ? Nous avons bien un ‘observatoire de la laïcité’ qui devait déboucher avec fermeté sur un plan d’action et un déploiement de moyens. Un note positive cependant. La prise de conscience de la population et la volonté d’agir efficacement. Attention, l’idéologie d’extrême droite n’est pas la réponse appropriée.
Il faut bien voir l’enjeu de la décision politique aujourd’hui. On nous parle de faire la guerre à l’islamisme. « Faire la guerre », mesure-t-on la portée de l’expression ? La guerre appelle des mesures radicales qui ne sont pas toujours compatibles avec les droits de l’homme. La guerre signifie se salir la conscience et les mains, la guerre est un pis-aller.
La France est-elle prête à la guerre ? On peut en douter. Pour de bonnes ou de mauvaises raisons, indifférence, pacifisme, choix ataviques ou confessionnels, la guerre n’est pas envisageable. Elle suppose une unité de pensée et de volonté qui n’existe pas dans notre pays décomposé. Les adeptes de la laïcité apaisée prospèrent.
Un pouvoir n’est fort que de l’adhésion des citoyens. Aujourd’hui, à en croire les sondages, ces derniers sont anti-système mais pour des raisons tellement différentes qu’on en est réduit aux banalités qui ne sont même pas somptueuses.
Etre anti-système ne mène à rien: il faut proposer autre chose. Nos ennemis ont une ligne de pensée. Nos n’avons que le vide du bien-penser.
Macron prend les gens pour des crétins et il a raison de le faire puisque ça marche.
@ revnonausujai
Ah la Royale ! De Duquesne aux canonnières du Mékong, c’était le temps de la grande diplomatie.
Un peu de calfatage, quelques dorures sur la poupe, des voiles neuves, et elle pourrait bien encore faire illusion quelque temps. Sa chance, c’est que les Anglais regardent ailleurs, parce que vu l’état des membrures, il ne s’en faudrait pas de grand-chose pour qu’elle coule.
« Le président en a appelé à l’exigence de l’unité et à l’esprit de résistance. Il a souhaité la mobilisation de tous, pas seulement celle de l’Etat et des administrations. Elle devrait conduire à « repérer à l’école, au travail, dans les lieux de culte, près de chez soi, les relâchements, les déviations ».
Emmanuel Macron promet « un combat sans relâche ». »
Si on accepte que des musulmans s’installent chez nous, à quoi bon ? Cela revient à demander aux gens d’écoper sans réparer un navire qui prend l’eau.
Mais l’illusion d’agir, s’écouter parler et jouir de commander priment, n’est-ce pas ?
https://www.youtube.com/watch?v=3BfcBSEqDIk
Ajoutons : combat sans relâche, sans fin surtout !
Et en nous dressant à nous surveiller les uns les autres, nous le serons à abandonner nos libertés.
Des chiens pour lever le gibier.
Mais nous n’avons pas le droit de porter des armes, cela nous donnerait une mentalité de combattant, et il ne faut pas.
Soumis à l’Etat et demain aux musulmans, c’est ce qui nous attend, à ce rythme.
Partir ou se tuer, quoi d’autre à l’horizon pour l’éviter, alors.
Les discours d’Emmanuel Macron n’excitent plus ma curiosité. Je le laisse parler avec indifférence, et j’ai le sentiment de ne pas être la seule dans ce cas. Les journalistes et les politiciens dissèquent encore ses mots pour en dégager la substantifique moelle, mais même parmi les plus irréductibles de ses apôtres, le cœur n’y est plus vraiment dirait-on. À force de saturer l’espace médiatique de sa présence, et malgré ses efforts pour sortir un nouveau lapin de son chapeau à chaque apparition, il nous a hébétés. Trop brillant, sans doute, mais aussi trop enclin à ratiociner et à jongler avec les idées, sur un fond dont on cherche vainement la consistance. Et puis ce ton : grandiloquent, moralisateur, suintant le sentiment de supériorité. Je n’ai jamais réussi à m’intéresser aux sermons, encore moins quand ils viennent d’hommes politiques.
Le discours ne fait qu’enrober la réalité, en particulier devant des cercueils. Nous continuons à vivre dans ce qui a toutes les apparences d’une société prospère et bien gérée, mais in vivo, le doute nous mine tous les jours davantage quant à la construction intellectuelle que Macron a prétendu mettre en œuvre ; et ses homélies ne calment en rien la douleur du constat.
@ Achille
« EM ne se limite pas à de belles paroles, il agit également dans la limite de ses pouvoirs qui ne sont pas absolus car placés sur le contrôle de la Constitution et du Parlement. »
Je suis assez souvent d’accord avec vos commentaires cher Achille (voilà qui doit vous changer, n’est-ce-pas ;-)), mais là, indépendamment de l’hommage nécessaire, EM nous a encore fait des coups de menton qui ne sont plus de mise. Il faut maintenant passer aux coups de poing, condamner (et faire appliquer les peines), expulser (et virer les fauteurs de trouble).
Faute de quoi, le RN continuera à jouer sur du velours.
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@ yves albert
« Nous n’aurions pas besoin d’une main-d’œuvre illusoire si nos femmes n’étaient pas converties en libertines en prenant la pilule et n’avortaient pas pour leur confort »
Euh, vous pouvez m’expliquer ? je ne vois pas bien le lien avec le sujet…
Macron a raté sa vocation de comédien.
Il nous le prouve tous les jours avec un surmoi particulièrement faible qui le pousse à provoquer constamment:
Je ne veux pas de Goulard au gouvernement, pas grave je la fourgue à la Commission !
Les Français sont des Gaulois réfractaires (traduction : je ne comprends pas les manants) et je les emm…
Je vais montrer à Villiers de quel bois je me chauffe, moi qui n’ai pas fait l’armée…
Je vais critiquer Poutine, Orban, Salvini, moi qui suis impuissant à vaincre « l’Etat profond » dans mon propre pays !
Je vais chasse l’hydre islamiste, mais je continue à autoriser la présence de salafistes dans mon pays.
Je fais semblant de vouloir un débat sur l’immigration alors que le nombre de titres de séjour (256 000 en 2017, 274 000 en 2018) augmente !
Etc., etc.
@ Robert | 11 octobre 2019 à 07:00
« Comme toujours, nos politiciens se refusent à voir la vérité en face, jusqu’au jour où tout explosera, la crise des Gilets jaunes n’étant que l’expression d’un symptôme du délitement général de la société française… et patati et patata… »
C’est bien connu, la France est composé de 67 millions de sélectionneurs, c’est valable pour le football mais aussi pour la politique.
Reste maintenant à savoir par qui remplacer ces politiciens qui votent nos lois, occupent nos ministères et dirigent le pays.
Peut-être proposez-vous le RIC pour consulter les Français sur tout et n’importe quoi, avec toutefois un taux d’abstention de plus de 50 % ? A moins que vous ne préfériez une dictature qui elle ne consulte personne ou bidonne les résultats de scrutin. Cela évite au pays de perdre du temps dans des palabres interminables, bien que pas tout à fait inutiles.
Qui sait, votre vœu sera peut-être bientôt exaucé.
Comme dirait boureau « il y a des moments, franchement, on se demande si… » 🙂
Comme si les Français en avaient jamais fait trop dans leur quotidienneté contre « l’hydre islamiste » enfin nommée sans détour !
Il est évident que «mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde » selon le propos attribué à Albert Camus, mais ce serait mieux de ne pas faire les choses à moitié.
Nous savons que ce recours au terme « islamisme » et à ses dérivés est une façon politiquement correcte d’aborder une réalité de plus en plus prégnante qu’il n’est plus possible de masquer par un déni systématique et obtus.
Ceci dit, islamisme et islam, c’est bonnet blanc et blanc bonnet…
ISLAMISME. subst. masc. Religion des musulmans. Synon. Islam.
https://www.cnrtl.fr/definition/islamisme
Pour les amateurs de nuances :
« L’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire. L’un et l’autre se réclament d’un seul et même Coran »
Ferhat Mehenni, poète kabyle
« Lorsqu’un jour l’historien, loin des tumultes où nous sommes plongés, considérera les tragiques événements qui faillirent faire rouler la France dans l’abîme d’où l’on ne revient pas, il constatera que la résistance, c’est-à-dire l’espérance nationale, s’est accrochée, sur la pente, à deux môles qui ne cédèrent point. L’un était un tronçon d’épée, l’autre la pensée française. Je dis bien la pensée française. »
Charles de Gaulle (Alger, 30 octobre 1943)
Les circonstances ne sont pas les mêmes. Cependant, qu’en est-il de la pensée française ? Est-elle toujours ce môle qui ne cédera pas ? On peut en douter.
L’Islam serait décidé à convertir le monde, à commencer par le monde occidental. Une telle perspective est répétée à l’envi, elle fait peur. Certes nous avons subi d’affreux attentats, mais nous ne sommes pas pour autant pauvres, faibles, seuls et sans défense. Pourquoi avons-nous si peur ? Pourquoi ce complexe d’infériorité ? Cela mérite réflexion.
Nous monde occidental, n’avons-nous pas le même objectif que l’Islam, convertir le monde ? Ne considérons-nous pas que le sens de l’histoire commande que le monde se convertisse à la démocratie, aux droits de l’homme, au mariage pour tous et à la PMA pour toutes, au libre marché, etc., autrement dit à notre idéologie ? Et idéologie et religion sont, à bien des égards, deux mots pour la même chose.
Notre désir et celui de l’islam se renforcent l’un l’autre, ils se justifient l’un l’autre, en dernière analyse ils se confondent purement et simplement. configuration classique : chacun désire ce que l’autre désire, chacun s’exaspère de l’assurance supposée de l’autre.
A condition de faire l’effort de prendre un peu de recul, cette symétrie mimétique est flagrante, cette réciprocité de plus en plus violente saute aux yeux.
Et, à la manière de Caïn, au lieu de prendre ceux d’en face pour des frères, au lieu de voir à quel point nous sommes semblables, partageant le même désir, nous les prenons pour des ennemis. Et réciproquement.
Comment échapper à l’engrenage ? Quel chemin prendre ? Où est la pensée française ?
« Dans cet établissement, il se trouve à l’étage « des personnes vulnérables », une trentaine de cellules dans un quartier étanche de la prison où sont notamment gardées les personnalités médiatiques. Il vit actuellement seul dans une cellule de 9 mètres carrés, qu’il quitte peu, selon nos informations.
Des liens d’amitié noués avec d’autres détenus… »
Tu parles Charles ! « Des liens d’amitié noués avec d’autres détenus… », alors qu’il vit dans un quartier VIP, isolé de tout si ce n’est autres que boutons de manchettes dorés à l’or fin.
« Les somptueuses banalités du président suffisent-elles ? »
Pourquoi cette introduction sur Balkany, elle révèle bien que nous ne faisons rien comme les autres, nous sommes des vaporisateurs, soit à disperser du vide, notre Président bien-aimé, soit à protéger des emprisonnés de luxe qui crachent sur le droit et dépouillent le peuple d’une participation à l’impôt.
Déjà pour quelle raison un quartier spécial ? Il a dit maintes fois qu’il était comme tout le monde, le Volatile lui portera des chocolats fourrés en attendant mieux. Les riches tricheurs ont des appartements de luxe même en prison, l’administration veillera sans doute à lui faire payer la différence avec le commun des détenus, c’est l’égalité républicaine.
Et pendant ce temps-là notre Président toutes voiles dehors essaye d’endormir les citoyens plus que jamais méfiants, avec des discours pour participants à la course du mât de cocagne.
La retraite pour tous est mal engagée, pour l’instant rien de concret pour simuler une arnaque à venir, j’ai bien senti Maître Le Borgne sur une défense caponnière coopérative, je ne sais si on peut le dire ainsi mais toujours prêt à discuter pourvu qu’il fasse partie de la discussion.
@ yves albert 11 octobre à 8 h 29
J’aime bien ce que vous écrivez !
Sincèrement vôtre
Dernière minute: communiqué de Mme le porte-parole du Gouvernement:
« La meuf, elle est barred, Manu, il est vénère grave »
« C’est beau, c’est grand, c’est exaltant, c’est moral »
C’est beau comme de l’antique en somme.
Mais que reste-t-il du chef qui a remplacé le général de Villiers en prononçant ces paroles « je suis votre chef » ? Rien.
La preuve, Manu « le chef » vient de se faire claquer le beignet par ceux qu’il adore, et plus particulièrement par celle avec qui il avait passé un deal tel un banquier d’affaires se croyant encore chez Rothschild.
A malin malin et demi et pouf, pouf, patafouf, ça ne s’est pas passé comme chez Alstom car il reste parfois chez certains députés européens venus du noooord 😉 une éthique qui considère que si cette madame Goulard sorti par la porte de son poste ministériel en France, même après avoir remboursé les sommes indûment perçues pour ses tricheries grossières, ne peut revenir par la fenêtre se refaire une virginité européenne au frais de l’Union.
Naturellement Manu, le roi du deal à des pas de prix, ne comprend pas. Qoâââ ? Qu’est-ce qu’on m’fait-on à moi qui postule pour la présidence de l’U.E. ? Ce sont des manoeuvres, de la jalousie, de la vengeance. Je demande des explications !! (Il n’a pas tapé du pied mais c’était tout comme.)
Un jour il faudra bien que Manu nous explique par QUI a été financée sa campagne électorale et notamment la place de ces financements pour sa campagne médiatique.
On a eu de beaux jours avec Chirac, nous allons en avoir avec Sarko et son ami de trente ans, mais le meilleur reste à venir. Réjouissons-nous.
Excellente analyse que je rejoins en tout point.
« Un combat sans relâche »… pourtant dès le lendemain il a fallu à Emmanuel Macron et son staff pratiquement 24 heures pour interdire une manifestation anti-républicaine et ignoblement pro-islamiste.
Ce fait est juste une preuve que les discours ne sont pas en accord avec les actes.
Aujourd’hui Manchester, c’est donc bien la preuve que notre ennemi se trouve en Europe et qu’il y a lieu de ne pas fermer les yeux car cela pourrait à terme amener des guerres civiles ou réveiller de vieux démons.
@ Alpi | 11 octobre 2019 à 12:43
Il est vrai que sur ce blog je ne suis guère habitué à voir des intervenants partager mon avis. Mais depuis le temps que je viens ici, j’ai eu le temps de me faire une raison.
Il me semble toutefois qu’Emmanuel Macron a fait preuve de fermeté dernièrement.
Sur l’islamisme radical d’abord, où son discours a été particulièrement ferme et sans ambiguïté.
Sur l’attaque unilatérale de la Turquie contre les Kurdes ensuite où il a demandé à Erdogan de mettre fin immédiatement à son offensive militaire.
Trump a encore une fois commis une grosse bourde dont même les Américains risquent de payer les conséquences.
Reste encore la possibilité d’éviter un conflit destructeur par le jeu de la diplomatie et la France a je pense un grand rôle à jouer car lorsque la parole peut éviter l’irréparable, il serait dommage de ne pas l’utiliser. La force étant la dernière solution quand toutes les autres ont été tentées.
@ jack
« Nous avons bien un ‘observatoire de la laïcité’ qui devait déboucher avec fermeté sur un plan d’action et un déploiement de moyens. Un note positive cependant. La prise de conscience de la population et la volonté d’agir efficacement. »
Ah, encore un observatoire…
Nous croulons sous les observatoires, les comités, les conseils, conseils supérieurs et hauts conseils, les groupes, les instances, les syndicats mixtes ou pas, les commissions et autres comités Théodule qui coûtent un « pognon de dingue » et qui ne servent qu’à placer les copains.
Et, au vu de l’expérience, nous voyons très bien le type de « fermeté » qui serait décrété par un de ces observatoires bourrés de mollusques, qui agiraient comme ces instituteurs qui, pour ne pas stigmatiser les vrais fauteurs de troubles, punissent toute la classe, comme à l’époque de l’apparition des premiers voiles islamiques à caractère provocateur où pour assurer une apparence de justice basée sur une fausse symétrie, le port de médailles religieuses juives ou chrétienne a été réglementé alors que le problème ne venait pas de ce côté-là…
@ Achille 11/10 08:21
Sincèrement Achille, mettre en garde à vue Hadama Traoré et interdire la manifestation qu’il envisageait de manière indécente d’organiser et s’occuper du cas de l’imam de Gonesse, ne pensez-vous qu’en regard des quatre victimes du tueur barbare de la Préfecture de police c’était la moindre des actions qui s’imposait à EM et qui malheureusement paraît aujourd’hui bien dérisoire et tardive, une fois le forfait accompli ?
Nous sommes bien sûr dans un Etat de droit, mais que dire de ce droit si, au lieu de protéger les citoyens de cet Etat, il favorise en raison de ses lacunes, de ses failles, les odieuses actions de ses adversaires ?
N’est-il pas alors du devoir de l’exécutif de pallier ces lacunes, ces failles, pour assurer prioritairement la sécurité de ses concitoyens ?
Cet exécutif peut-il se retrancher derrière des principes démocratiques qui constituent justement son point faible pour justifier les limites de son action dans une lutte contre un adversaire qui n’a que faire de ces principes et qui agit sans l’ombre de la plus petite parcelle d’humanité ?
C’est une exigence que de s’adapter à l’adversaire et si la loi en vigueur n’y satisfait pas, alors il faut la mettre à jour pour qu’elle soit en adéquation avec les circonstances nouvelles.
Quant aux pouvoirs du président, s’ils comportent certes des limites, ceux que la Constitution de la Ve République lui a conférés sont heureusement assez élargis.
Et EM dispose de surcroît, me semble-t-il, d’une majorité plus que confortable pour soutenir son action, sachant qu’en ce domaine précis, cette majorité ne demanderait qu’à s’élargir encore.
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@ Exilé 11/10 11:20
Je vous avoue très sincèrement que je ne sais point qui est à l’origine de l’expression « le risque zéro n’existe pas » et que cette question d’ailleurs ne me soucie nullement.
L’essentiel est qu’elle exprime bien cependant ce qu’elle veut dire. La preuve en est qu’elle est utilisée dans nombre de domaines, bien au-delà de la politique.
Et justement, s’agissant d’un moniteur de ski pour reprendre votre référence, j’ai le souvenir de l’un d’entre eux qui, s’adressant à un débutant qui craignait la chute et ses conséquences et laissait entendre qu’il aurait peut-être été préférable qu’il choisisse une autre activité, lui a répondu que « quel que soit le sport pratiqué, le risque zéro n’existe pas ».
Pour en revenir au domaine qui nous intéresse, je crois effectivement que l’Histoire est là pour apporter la preuve qu’en matière de terrorisme cette expression est malheureusement bien fondée.
Mais débattre sur les causes et les moyens d’éradiquer ce fléau importe plus, me semble-t-il, que d’échanger sur l’origine et la pertinence de l’expression « le risque zéro n’existe pas ».
Monsieur Macron finira par battre Hollande dans le grotesque.
Ce président est un homme seul, cela se voit de plus en plus, ses ministres ne sont que des « âmes mortes » (Nicolas Gogol).
Castaner est complètement démonétisé, Agnès Buzyn se coiffe comme Simone Veil et parle comme elle, le mimétisme est frappant, mais dès qu’elle ouvre la bouche on s’endort, torpeur de l’hypnose. Il ne s’est rien passé à Rouen.
Quant aux autres, il faut remercier la télévision qui fait apparaître un bandeau sur la fonction du ministre qui nous cause, sans quoi nous serions perdus. Qui c’est celui-là, chantait Pierre Vassiliu.
C’est cette solitude qui est frappante chez Macron, seul en France et maintenant seul en Europe avec la claque Goulard qu’il vient de recevoir.
« Le drame de notre temps, c’est que la bêtise se soit mise à penser »
Jean Cocteau
Notre président ne pense pas, il ne sait plus quoi faire ! Tout comme ses prédécesseurs. Comment agir et éviter un bain de sang ? Fidèle à la mascotte de la France le coq, « volatile qui continue de chanter les deux pieds dans la m*rde ! »
@ Savonarole
C’est vrai que Mme Buzyn fait tout pour ressembler à Simone Veil, mais ce n’est qu’une pâle copie, n’est pas Simone Veil qui veut.
Là, vous tombez dans la facilité du Macron/bashing, M. Bilger. Vous savez bien que quoi qu’il fasse, ça n’ira pas, dans ces circonstances surtout, mais dans tant d’autres. Comme ça n’allait pas non plus pour ses prédécesseurs et n’ira pas encore pour ses successeurs.
@ Denis Monod-Broca
« L’Islam serait décidé à convertir le monde, à commencer par le monde occidental. Une telle perspective est répétée à l’envi, elle fait peur. Certes nous avons subi d’affreux attentats, mais nous ne sommes pas pour autant pauvres, faibles, seuls et sans défense. Pourquoi avons-nous si peur ? Pourquoi ce complexe d’infériorité ? Cela mérite réflexion. »
Les Français ont raison d’avoir un complexe d’infériorité : ils ont perdu contre les nazis, les Alliés nous ayant délivrés, ils n’ont pas fait grand-chose contre le communisme, ils croyaient que l’Islam de France éclairerait l’Islam quand, en vérité, l’Islam endeuille et enténèbre la France.
Bref, en France, on aime jouer à qui perd gagne… Mais enfin, on finit par se rendre compte que soit nous nous en sortons par nos alliés, soit nous ne nous en sortons pas.
Ennuyeux, quand on croit avoir des leçons à donner aux autres, je pense. Quand nous croyons pouvoir rivaliser avec les Etats-Unis après l’avoir fait avec l’Angleterre.
En vérité, nous devons imiter les Anglo-Saxons, et non comme des rivaux, mais comme des élèves, car notre retard est immense.
Nous n’avons pas de vrai équilibre des pouvoirs, nous ne sommes pas capables de nous abstraire, à juste titre à mon avis de la part des Etats-Unis en essayant de juguler l’immigration musulmane, moins justement dans dans d’autres cas… Mais l’essentiel est de savoir partir.
Les Anglo-Saxons ne sont pas comme nous, ils savent partir, plus explorateurs que nous, plus capables de changer de politique, moins dans la vanité que pense-t-on de nous et plus dans nous voulons atteindre un objectif.
Dans tant de domaines, nous devons les imiter ! Quel malheur que la Grande-Bretagne ne se soit pas unie à la France contre les Allemands, d’abord pour la victoire, et ensuite pour nous élever à leur niveau.
Les Français ont raison de faire des complexes, tort de ne pas réagir comme il faut : pour devenir meilleurs, imiter les meilleurs.
Cela ne veut pas dire abandonner le meilleur de soi, car c’est le meilleur des ancêtres, et non le pire, qu’il faut imiter.
Comme les Japons ont su imiter, il faut que nous imitions, aussi le Japon et sa haute technologie et son peu d’immigration.
Mais la France n’est pas, et heureusement, tout l’Occident, sans quoi le nazisme, mais qu’importe ? Vous avez bien dit que les nazis n’étaient pas pire que nous, auraient gagné.
Plus tard, les communistes.
Et aujourd’hui, vous devez bien avoir une petite idée ?
Je suis d’accord que l’Occident, manie héritée du christianisme et plus généralement monothéisme, a tendance à vouloir convertir.
C’est une ânerie, il faut laisser les arriérés à leur arriération et aller de l’avant sans plus nous en occuper, ils ralentissent et on a tendance à devenir comme ses ennemis.
Alors que nous pouvons augmenter nos capacités, devenir immortels et nous répandre dans l’espace !
@ Alpi | 11 octobre 2019 à 12:43
Je vous explique cher alpi, autant pour jack et Achille :
https://www.bing.com/videos/search?q=tire+tire+la+bobinette&ao=1&qs=SW&cvid=6eb29c50ff044b41a11a9588475395b4&pq=tire+tire+la+bobinette&cc=FR&setlang=fr-FR&PC=ACTS&wsso=Moderate&qfig=e708fff051094eaebff18ad3bff0fe3c&ru=%2fsearch%3fq%3dtire%2btire%2bla%2bbobinette%26form%3dWMSRPA%26ao%3d1%26qs%3dSW%26cvid%3d6eb29c50ff044b41a11a9588475395b4%26pq%3dtire%2btire%2bla%2bbobinette%26cc%3dFR%26setlang%3dfr-FR%26PC%3dACTS%26wsso%3dModerate%26qfig%3de708fff051094eaebff18ad3bff0fe3c&view=detail&mmscn=vwrc&mid=2A865E9FC5677D0610812A865E9FC5677D061081&FORM=WRVORC&cc=FR&setlang=fr-FR&PC=ACTS&cvid=6eb29c50ff044b41a11a9588475395b4&qs=SW&nclid=15C83A8F90539D2E74BB203BDEE3C118&ts=1570813557420
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@ Nathalie D | 11 octobre 2019 à 14:00
Merci.
Nous savons tous que l’on nous abuse depuis des décennies ; le glas a sonné aussi pour d’autres pays d’Europe :
https://fr.gatestoneinstitute.org/14968/suede-perdu-controle
Et toujours la sempiternelle question interdite : « qui veut détruire l’Europe avec l’aide des musulmans » ?
Commission européenne
Je ne vois pas pourquoi Sylvie Goulard s’est embarquée dans cette galère avec l’appui d’Emmanuel Macron. Elle avait mis un terme à sa fonction de ministre. Les causes de cette démission n’ont pas disparu et elle se lance dans une autre aventure. On l’attendait au tournant. D’autant mieux que le ricochet était destiné au Président Macron.
Cette histoire d’assistant parlementaire a brisé la carrière de Mme Goulard. Des compétences sont ainsi sacrifiées.
Manifestement, d’autres leaders bruyants, ayant mis les doigts dans le pot de confiture, s’en sortent mieux. Suivez mon regard.
Il faut croire que pour l’actuel président, c’est plus facile de limoger, sans aucune autre forme de procès, un général un peu taquin, néanmoins doté du sens de la franchise, qu’expulser un rigoriste imam perfide, qui lui est relié à d’occultes et influents réseaux. Tout le drame du… « maître des horloges » se résume à cela.
Je redoute que nous n’ayons pas fini de pleurer…
Ni Lui de se ridiculiser. Mais Lui est à l’abri puisque le ridicule ne tue pas…
@ Alpi | 11 octobre 2019 à 12:43
« Euh, vous pouvez m’expliquer ? je ne vois pas bien le lien avec le sujet… »
Comment, vous ne saviez pas ? yves albert est le cousin germain de Xavier NEBOUT. 🙂
@ Michel Deluré
« Mais débattre sur les causes et les moyens d’éradiquer ce fléau importe plus, me semble-t-il, que d’échanger sur l’origine et la pertinence de l’expression « le risque zéro n’existe pas ». »
Le but de mon propos, que j’ai laissé entrevoir, est de prétendre que l’invocation par les hommes politiques de ce risque-zéro-qui-n-existe-pas est particulièrement déplacée dans leur bouche alors qu’il font tout pour tendre vers le risque infini.
Et encore une fois, il y a cinquante ans, le risque zéro existait bel et bien pour de nombreux aspects de la vie quotidienne alors que de nos jours les risques pleuvent dru du fait des conséquences des âneries des irresponsables qui croient gouverner quelque chose…
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@ Alpi
« Euh, vous pouvez m’expliquer ? je ne vois pas bien le lien avec le sujet… »
Il faut vraiment vous faire un dessin ?
Avec au bas mot 250 000 avortements par an, soit 10 750 000 Français en devenir jetés dans les incinérateurs depuis 1975, je ne compte même pas les quelques millions qui auraient dû correspondre à leur descendance, vous retrouvez grosso modo le montant de l’immigration que des politiciens-félons ont favorisée pour combler le vide, comme si les hommes étaient interchangeables…
@ yves albert | 11 octobre 2019 à 08:29
« Nous n’aurions pas besoin d’une main-d’œuvre illusoire si nos femmes n’étaient pas converties en libertines en prenant la pilule et n’avortaient pas pour leur confort. Le système éducatif depuis la Seconde Guerre mondiale conduit à la paresse et à au rêve d’être fonctionnaire (cela touche aussi les immigrés qui sont choyés dès leur arrivée). Quant aux hommes de ce pays on peut se demander où ils sont !
Enfin, emprunter pour masquer les déficits est la preuve de l’incompétence d’une nation riche qui mise sur l’inflation pour cacher ses tares. »
Voyons, de ces quelques phrases je déduis plusieurs choses :
1. Vous, vous ne misez pas sur l’inflation pour cacher vos tares !
2. Vous vous demandez où sont les hommes de ce pays, à mon avis pas là où vous vous trouvez…
3. Quant à la question des femmes, disons que cette question épineuse vous distingue de façon, comment dire ? Distinguée ? Non, pas du tout…
Vos femmes (il semble que vous les possédiez toutes…), vous leur en avez parlé de vos élucubrations ?
Dans tous les cas, je dépiaute comme personne le lièvre, si vous avez besoin d’une dépiauteuse de lièvres, je veux bien vous venir en aide à la condition que vous-même alliez chasser la bête.
Cela fera un dépiauteur venu d’ailleurs en moins… cette main-d’œuvre très qualifiée est devenue hors de prix, le savez-vous ?
Ce monde est merveilleux, il existe des êtres d’une intelligence, d’une profondeur, d’une subtilité qui donnent envie de… se faire avorter au plus vite et deux fois de suite (on ne sait jamais !).
@ Michel Deluré | 11 octobre 2019 à 17:20
« Cet exécutif peut-il se retrancher derrière des principes démocratiques qui constituent justement son point faible pour justifier les limites de son action dans une lutte contre un adversaire qui n’a que faire de ces principes et qui agit sans l’ombre de la plus petite parcelle d’humanité ? »
C’est le point faible de la démocratie qui permet à chacun de s’exprimer librement (et même jusqu’à l’injure), de pratiquer la religion de son choix (sans l’imposer aux autres) et de fréquenter qui bon lui semble (qui n’est pas de sa culture). Principes de bases des droits de l’Homme.
En voulant éliminer ce point faible nous risquons de nous retrouver dans un régime qui repose sur la suspicion, la délation et la ségrégation. Bref un régime d’extrême droite, comme il s’est manifesté en Italie, en Hongrie et qui commence à poindre dans d’autres pays de l’UE dont l’Allemagne.
Les Français sont trop attachés à leur liberté pour accepter ce genre de régime. La démocratie a ses failles, mais c’est le prix à payer pour garder notre liberté de penser.
@ Savonarole,11 octobre 17h46
Agnès Buzyn se coiffe comme Simone Veil, à vous en croire.
On avait beaucoup parlé de la coiffure de Sibeth Ndiaye.
Moi, je lance une pétition contre la coiffure de Mme Belloubet. Il n’y a pas pire.
Les banalités du discours de M. Macron ne suffisent pas à M. Bilger ; mais le travail de représentation a été accompli devant les quatre cercueils. Un petit tour et puis s’en est allé ailleurs. Il a participé à la grande messe annuelle de Bercy où le tissu des entrepreneurs se réunit. Ensuite il a géré la déconfiture du rejet de la candidature de sa protégée à un poste convoité des commissions européennes.
L’affaire de la préfecture de police est oubliée, c’est une honte. Ce n’est plus qu’un fait divers alors qu’il aurait dû s’agir d’une affaire d’Etat.
@ Achille | 11 octobre 2019 à 21:38
Vous êtes désespérant à vous enfermer de la sorte dans des raisonnements binaires.
Je résume vos propos : on ne peut rien faire contre l’Islamisme radical parce qu’on est en démocratie et que tout le monde a le droit de pratiquer la religion qu’il veut (quitte à égorger ceux qui ne la pratiquent pas). Et si on essaye de faire quelque chose, ça veut dire qu’on est pour l’extrême droite, et on aime trop notre liberté pour être d’extrême droite. Moyennant quoi, on aime tellement notre liberté qu’on envoie Zemmour au tribunal dès qu’il dit ce qu’ils pense, on n’ose critiquer qu’à mots couverts le fanatisme religieux le plus sanguinaire, tandis qu’on laisse les rappeurs chanter leurs jolies chansons, toutes pleines de bons sentiments à notre égard, gestes à l’appui, et on ne se sent pas le droit d’interdire aux musulmans extrémistes d’essayer de vouloir imposer peu à peu leurs interdits à la société tout entière, sous la menace.
Belle liberté, bien défendue. Achille, cessez de jouer au petit saint.
Entre Xavier Nebout, qui parle de rétablir le catholicisme comme religion d’Etat pour combattre l’Islam, et vous, qui trouvez que combattre le fanatisme est contraire à la démocratie, on se demande qui est le moins réaliste. Mais Xavier Nebout n’a aucune chance d’être entendu, tandis que vous tenez un discours très répandu, et très obstiné, je le crains.
@ Lucile | 11 octobre 2019 à 22:55
Vous ne résumez pas mes propos, vous les caricaturez, nuance ! Et donc la binarité est plutôt dans votre reformulation fantaisiste qui correspond bien au formatage de la pensée de droite conservatrice qui règne sur ce blog.
Le France traverse, en ce moment, une véritable crise identitaire particulièrement favorable à la montée du communautarisme. Bonjour l’ambiance !
Contrairement à ce que vous insinuez plutôt lourdement, mes propos ne laissent absolument pas entendre qu’il faut accepter l’islamisme radical comme une fatalité. Il faut le combattre, bien sûr, mais certainement pas en pratiquant un « maccarthysme » à la Zemmour. Il faut le combattre avec discernement. Rien n’est pire que la peur de l’autre.
La plupart des musulmans pratiquent leur religion sans chercher à l’imposer à qui que ce soit et n’ont donc pas à subir l’opprobre de ceux qui les mettent dans le même panier que les islamistes radicalisés.
«La démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres.» disait Churchill. Sa faiblesse réside dans le fait qu’elle ne peut exister que dans la mesure où les citoyens ne pensent pas qu’à leurs droits, mais aussi à leurs devoirs et qu’ils respectent les règles du vivre-ensemble. Et en ce moment on ne peut pas dire que ces conditions soient réunies.
@ yves albert
« Nous savons tous que l’on nous abuse depuis des décennies ; le glas a sonné aussi pour d’autres pays d’Europe. »
Les manipulateurs fourbes qui tentent d’excuser les crimes, délits et comportements déplacés d’une partie de la population immigrée nous sortent invariablement les motifs du chômage, du racisme, de l’exclusion, de la discrimination, du colonialisme, de la misère etc. comme si tout cela, à supposer que cela soit fondé, pouvait être une excuse à la haine de la France voire au crime.
Or la Suède, qui n’a eu aucun passé colonial et qui observe une neutralité parfaite vis-à-vis des interventions militaires étrangères dans des pays dits en voie de développement, est un modèle (pas forcément à suivre) en matière d’accueil de « l’Autre », qui est quasiment chouchouté, assisté, protégé, logé, soigné etc. à des conditions auxquelles les natifs n’ont peut-être pas toujours droit.
Or nous n’y comptons plus les émeutes, les agressions, les viols, les meurtres, les actes à caractère machiste ou antisémites, les attentats etc.
C’est donc qu’il y a tout de même bien un problème quelque part.
Alors pourquoi et au nom de quoi les gouvernants des pays européens obligent-ils les populations à être exposées à des risques pour leur tranquillité voire pour leur existence ?
@ Achille 11/10 21:38
Ce n’est pas défendre la démocratie que de se refuser à corriger ses points faibles, c’est au contraire l’exposer à sa perte.
Ces points faibles sont les brèches par lesquelles s’infiltrent ses adversaires pour mieux la détruire par l’intérieur.
Ne rien faire pour colmater ces brèches, c’est donc condamner la démocratie.
La démocratie, c’est certes la liberté mais vous savez aussi bien que moi, et vous le soulignez dans le commentaire que vous m’avez adressé, où peut conduire l’abus de liberté qui peut aller jusqu’à tuer cette même liberté.
La démocratie n’est pas un paquet que l’on accepte tel qu’il est dans sa totalité ou que l’on refuse.
Si nous voulons, parce que justement elle est précieuse mais qu’elle est fragile, qu’elle vive alors il convient d’édicter les règles qui la protègent, qui la pérennisent.
@ Achille
« «La démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres.» disait Churchill. »
Vous reprenez là une citation tronquée reprise par tous ceux qui tentent d’occulter les graves dérives d’un système à prétention démocratique mais qui n’en est plus qu’une caricature penchant de plus en plus vers le totalitarisme.
Seul en France, le roi est républicain, dit-on.
Cela n’a rien d’étonnant, car c’est notre réalité constitutionnelle.
Quand en plus, il voudrait faire le nécessaire pour sortir le pays de l’ornière, la structure profonde de celui-ci se rebelle car la coiffure des ministres ne convient pas, et est prête à toutes les révolutions, rassurée par l’argument en béton que tout cela est de la faute des nègres, n’est-ce-pas, des bougnoules, voire des youpins, vous comprenez, tout ceux qui ne font pas partie de la famille, n’ont pas le bon profil pour nous donner l’illusion que nous avons raison, dans l’entre-soi du salon bourgeois où l’on compte les profits du tas d’or pétainiste qui n’est plus que rente de la dette, ne s’apercevant pas que les troubles qui viennent risquent de perturber l’équilibre de l’architecture compliquée du chignon admiré sur le champ de course par la redingote et le gilet rayé, que les salafistes ne sont que des ultra-libéraux qui utilisent la dimension libérale pour détruire la dimension républicaine, que si nous ne savons pas redéfinir notre bien commun, les uns comme les autres détruiront notre République :
« Notre système français repose sur une dimension libérale, à savoir la démocratie, et sur une dimension républicaine, le bien commun. Les islamistes utilisent la dimension libérale pour nier la dimension républicaine. Ils opposent à la République un bien commun islamique, qui remplace la fraternité et les formes de solidarité nationale. »
https://www.lepoint.fr/politique/bernard-rougier-les-territoires-conquis-de-l-islamisme-09-10-2019-2340296_20.php?M_BT=194508641590#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-abonnes-perso%5D-20191012
Grâce soit rendue à Macron de tenter l’impossible, croire que ce peuple sera capable du sursaut nécessaire d’être à la hauteur de son institution, le dernier ouvrage de notre hôte indiquant qu’il est encore des êtres capables de résister aux corruptions de ceux qui la représentent, et que la seule protection viable dépend de ceux qui savent l’incarner avec courage et sincérité :
« Le parquet a parfois le sens du vent. De la part de certains magistrats, il y a une connivence tellement évidente, tellement accordée au pouvoir qu’on ne peut même plus parler d’intervention, mais, presque, de complicité, d’affinité de jumeaux. Pour ma part, j’ai tendance à considérer que les tempéraments sont plus forts que les structures. Ce qu’on impute à la faiblesse des structures renvoie, trop souvent, à la faiblesse des caractères. Je suis peut-être naïf, mais si nous avions, au niveau de la chancellerie, avec une autre instance que le Conseil supérieur de la magistrature, la préférence pour des caractères forts, intelligents en même temps que loyaux, sans doute aurions-nous une autre forme de justice, incarnée par des personnalités incontestables – et incontestées – dans tous les lieux de pouvoir judiciaire. On peut résister, à ses risques et périls – de moins en moins d’ailleurs –, mais c’est possible… »
https://www.lepoint.fr/societe/philippe-bilger-le-mur-des-cons-a-fracture-la-confiance-dans-la-justice-11-10-2019-2340687_23.php#xtmc=bilger&xtnp=1&xtcr=1
Oui, c’est possible, c’est même le seul honneur qu’il nous reste, affirmer et agir pour la Justice, qui ne saurait se définir qu’au singulier.
@ Achille
Mais comment donc, il y a les gentils musulmans et les méchants musulmans.
Sauf que la question se pose de savoir quelle est la proportion des gentils qui basculeront vers le méchant lorsqu’ils seront en position de force.
Il en a été de même des communistes qui pensant incarner le bien, trouvaient naturel de l’imposer une fois au pouvoir. C’est en fait le principe fondateur de tous les totalitarismes, et il en est de même aujourd’hui du totalitarisme politiquement correct dit « progressiste » de l’anéantissement de la civilisation au nom de la liberté individuelle.
Vous êtes idiot, ou vous faites semblant comme le font les gauchos roses rouges ou verts ?
@ Exilé | 12 octobre 2019 à 09:51
« Vous reprenez là une citation tronquée reprise par tous ceux qui tentent d’occulter les graves dérives d’un système à prétention démocratique mais qui n’en est plus qu’une caricature penchant de plus en plus vers le totalitarisme. »
Et vous proposez de remplacer ce système « à prétention démocratique » par quoi ?
Par un autre régime totalitaire « à prétention démocratique » pire que celui qui existe actuellement, je suppose…
Il suffit d’écouter MLP et J-L Mélenchon et leurs affidés pour s’en convaincre.
Comment l’Etat peau de chagrin protège les renards :
« Une première chose sidérante est qu’un homme radicalisé et connu comme tel dans son service ait pu être habilité « secret défense » par l’Etat français afin de travailler pendant plus d’une décennie dans le cœur nucléaire du renseignement pour la lutte contre le terrorisme notamment islamiste. Que dirait-on d’un paysan qui nourrirait tous les jours un renard au cœur même de son poulailler ? Qu’il est cinglé ? Oui, et on aurait raison…
Une autre chose est qu’on apprend de la bouche même du ministre de l’Intérieur auditionné par les sénateurs qu’il existe actuellement une vingtaine de policiers radicalisés mais qui sont suivis nous dit Castaner – par des fonctionnaires parmi lesquels se trouvent peut-être aussi des radicalisés pas encore détectés ? Que dirait-on cette fois-ci d’un paysan qui nourrirait tous les jours un élevage de renards au milieu de ses poules ? Qu’il est vingt fois plus cinglé que le précédent. Et l’on aurait encore raison… »
(Michel Onfray)
https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/a-bas-bruit
La traque de l’hydre islamiste va commencer, dans l’ordre.
Emmanuel Macron et son gouvernement feraient mieux, en priorité, de regarder de près ce qui se passe dans les mosquées véreuses continuant à endoctriner les musulmans et les convertis à la violence et à la haine contre les Occidentaux. Les Français en priorité.
1. S’attaquer aux imams véreux et dangereux prêchant la haine et la violence dans les mosquées dont celle de Gonesse qu’il faut absolument fermer et pas seulement se contenter de la faire surveiller par les renseignements tout en laissant cet imam très dangereux continuer à prêcher la violence. Ce type est toujours en activité malgré l’injonction de quitter la France. Le bougre est toujours sur notre sol, paraît-il intouchable ! L’Arabie Saoudite n’a pas à nous dicter ses lois. Il faut que Macron le comprenne une fois pour toutes.
Suite de l’opération d’éradication :
2. Fermer les mosquées clandestines non déclarées, et surveiller de près celles en activité en délogeant les imams illégaux envoyés par l’Arabie Saoudite.
3. Fermer les écoles coraniques privées non soumises au contrat de l’Education nationale, donc non contrôlées ni surveillées.
J’ai vu sortir de ces écoles coraniques de nombreuses fillettes toutes voilées (10-12 ans) et vêtues d’un vêtement de couleur noire ou bordeaux foncé tombant jusqu’aux chevilles, marchant dans la rue tête baissée comme pour éviter notre présence.
4. Mettre en rétention les islamistes radicalisés étrangers et contacter leurs pays d’origine pour les récupérer chez eux. Si leurs pays respectifs refusent l’entrée au pays de leurs malfaisants, on applique alors la loi française qui existe déjà mais non appliquée ni par les précédents gouvernants, moins encore par Emmanuel Macron qui nous demande notre aide, mais lui ne fait pas ce qu’il faut d’abord.
5. Cesser de régulariser les clandestins aveuglement.
6. Cesser de naturaliser aveuglement n’importe qui à tour-de-bras.
7. Enfin EXPULSER illico par charter civils tous ceux qui sont déboutés du droit d’asile et restés sur le sol français malgré l’injonction de quitter la France.
Une fois que le ménage sera fait, on pourra aider E. Macron et les renseignements pour continuer à éradiquer l’hydre islamiste passée à travers le filet de la DGSI.
Il faut mettre fin à cette hypocrisie macronienne. Il y a environ deux ans, la mairie de Nantes avait accueilli d’une grande poignée de main et en fanfare, l’imam islamiste salafiste appartenant aux Frères musulmans, très dangereux, en présence des Edouard Philippe et Emmanuel Macron et du Premier ministre saoudien qui finance les mosquées en France. La municipalité de Nantes était-elle complice de cet accueil soi-disant amical ? C’est inouï et incompréhensible. Nos politiques sont donc si aveugles pour ne pas anticiper le danger ?
Depuis lors, la mosquée à Nantes est dans l’oeil du cyclone de la police et surveillée de près. Qu’en est-il aujourd’hui, à ce stade ?
Emmanuel Macron et Christophe Castaner nous demandent de traquer les barbus. L’héritier saoudien Mohammed ben Salmane Al Saoud aussi ?
De qui se moque-t-on ? On vous ramène des milliers de barbus M. Macron, mais qui peut-être ne seront pas les islamistes radicalisés. Maintenant que vous avez lancé cette annonce, ils vont tous se la raser.
L’émission « Répliques » d’Alain Finkielkraut, on le sait, est diffusée chaque samedi de 9h à 10h sur France Culture. Il reçoit deux invités et ils conversent sur un thème donné.
Ce samedi 12 octobre 2019, le thème était La Bruyère, l’un des deux invités, l’excellent Jean-Michel Delacomptée, venant de publier un livre sur cet important auteur français du XVIIe siècle. Je recommande chaleureusement cet ouvrage.
https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/lire-la-bruyere
Le samedi 19 octobre, les deux invités seront Pascal Bruckner et Robert Redeker. Emission à ne pas manquer !
@ Exilé
« Il faut vraiment vous faire un dessin ?
Avec au bas mot 250 000 avortements par an, soit 10 750 000 Français en devenir jetés dans les incinérateurs depuis 1975, je ne compte même pas les quelques millions qui auraient dû correspondre à leur descendance, vous retrouvez grosso modo le montant de l’immigration que des politiciens-félons ont favorisée pour combler le vide, comme si les hommes étaient interchangeables. »
Je n’osais pas trop y croire mais je subodorais bien une tartufferie de ce genre… Avec vos statistiques à 2 balles, vous nous faites du Elusen !
Mais vous devriez être content, il y a même des immigrées qui subissent une IVG. Allez donc savoir si elles ne viennent pas en France rien que pour cela !
« Et encore une fois, il y a cinquante ans, le risque zéro existait bel et bien pour de nombreux aspects de la vie quotidienne »
Voilà bien un propos de café du commerce !
Il faut vraiment vous faire un dessin ?
Car moi aussi je peux faire de l’Elusen :
Malpasset 1959, 423 victimes ;
Clamart 1961, 21 morts ;
Caravelle Ajaccio-Nice, 1968, 95 victimes ;
Accidents de la route 1975, plus de 14 000 victimes.
Et je pourrais continuer ad nauseam.
La mauvaise foi et le ‘cétaitmieuxavantisme’ font vraiment dire n’importe quoi !
@ Achille
« La plupart des musulmans pratiquent leur religion sans chercher à l’imposer à qui que ce soit »
Non, je suis désolé, c’est entièrement faux. Pour avoir voyagé dans des dizaines de pays, je suis familiarisé avec les différents us et coutumes, et alors que des individus de ces horizons parfois très variés immigrent en France, il n’y a que les musulmans qui se détachent et ce de façon volontaire, en n’acceptant aucun compromis, aucune concession.
Quand je sors dans la rue, je peux affirmer à tout instant qui est musulman alors que je n’ai aucune certitude sur qui serait chrétien, bouddhiste ou autre*. Quand je vais faire mes courses, il y des rayons entiers coupés des autres, ceux pour les musulmans. Sur les produits achetés, de plus en plus souvent il y a une traduction arabe, et des fois la seule. Cela s’appelle le communautarisme, quoi d’autre ?!
Vous avez beau répéter que ce sont des Zemmour et des Le Pen qui cherchent a diviser, ça reste un canular, ouvrez les yeux. Ce qu’ils demandent eux, c’est justement la cohésion, alors que pour vous être Français ne signifie plus rien quant au supposé destin commun.
*et de surcroît, je peux aussi affirmer qui est sur la voie de la radicalisation islamiste, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
@ Valéry | 12 octobre 2019 à 11:48
« Pour avoir voyagé dans des dizaines de pays… »
Voyager ne suffit pas pour juger un peuple il faut y avoir vécu et travaillé plusieurs années !
Allez vivre en Indonésie et au Nigeria (plus de 400 millions de musulmans entre les deux) et vous aurez un autre point de vue. Garanti !
« Je peux aussi affirmer qui est sur la voie de la radicalisation islamiste, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. »
C’est merveilleux d’avoir le don de télépathie ou d’être mentaliste !
« Quand je vais faire mes courses, il y des rayons entiers coupés des autres, ceux pour les musulmans. »
Il y a aussi des rayons casher, même des supermarchés casher, souvenez-vous de Coulibaly !
Et même des marchés vegan, pour cette nouvelle religion !
@ Valéry | 12 octobre 2019 à 11:48
C’est très juste tout ce que vous décrivez. Faut pas être naïf et ignorant pour savoir que c’est leur méthode pour tisser leur toile pour mieux nous encercler. Savez-vous que dans le monde la religion qui est la plus persécutée par l’islam est le christianisme ?! L’Europe et la France sont les premières visées. Mais qu’on se rassure, Emmanuel Macron a fait passer le mot d’ordre – traquer l’Hydre islamique sans relâche où qu’elle soit !
On le prend au mot.
@ Alpi
« Malpasset 1959, 423 victimes ;
Clamart 1961, 21 morts ; »
Veuillez avoir la bonté de pas faire exprès de comprendre les choses de travers en m’accusant d’une mauvaise foi qui semble plutôt être de votre côté.
Je n’ai pas évoqué les catastrophes naturelles ou les accidents imprévisibles de la vie mais la quasi-absence à l’époque que j’ai citée d’une sur-criminalité associée à l’apparition de nouveaux types de crimes, délits ou incivilités, pour ne pas évoquer certaines coutumes comme les incendies volontaires de véhicules ou les attaques de pompiers en service commandé, pour s’en tenir là parmi une foultitude de nouveautés dont nous nous passerions bien.
Tout cela n’existait pas « avant », cela ne relève pas du domaine de l’opinion mais de la constatation des faits.
———————————————–
@ Ellen
« Emmanuel Macron et Christophe Castaner nous demandent de traquer les barbus. »
Il y en a un qui rôde au ministère du Poker et des Cultes, mais je ne le dénoncerai pas 😉
@ Xavier NEBOUT | 12 octobre 2019 à 10:35
« Vous êtes idiot, ou vous faites semblant comme le font les gauchos roses rouges ou verts ? »
Quand un individu comme vous me traite d’idiot, j’aurais plutôt tendance à penser que je suis sur la bonne voie. C’est surtout quand il me dit qu’il est d’accord avec moi que je m’inquiète.
@ Patrice Charoulet
« Moi, je lance une pétition contre la coiffure de Mme Belloubet. Il n’y a pas pire. »
S’il n’y avait que la coiffure !
@ Savonarole
« Agnès Buzyn se coiffe comme Simone Veil et parle comme elle, le mimétisme est frappant »
C’est très rare de vouloir ressembler à son ex-belle-mère.
@ Claude Luçon 12h39
« l y a aussi des rayons casher, même des supermarchés casher, souvenez-vous de Coulibaly ! »
La différence entre les religions juive et musulmane c’est que seule la seconde est prosélyte !!
@ Valéry | 12 octobre 2019 à 11:48
« …et de surcroît, je peux aussi affirmer qui est sur la voie de la radicalisation islamiste, ça se voit comme le nez au milieu de la figure. »
Vous devriez postuler pour un poste de profiler. Ils en cherchent en ce moment à la préfecture de police de Paris. 🙂
Des crétins de plateau, ce matin – pendant mon entretien physique -, mettaient en cause notre police, sans avoir aucun renseignement, sans savoir, la parole inutile d’une bêtise crasse, ces crétins donc, remettaient en cause la fiabilité des policiers qui auraient laissé passer la coqueluche médiatique du jour, Dupont de Ligonnès.
« Crétin » repris par Michel Onfray dans sa dernière intervention, qui vaut bien tous les noms d’oiseaux pour dénoncer tous les imbéciles de la terre.
« Les somptueuses banalités du président suffisent-elles ? » (PB), et là est toute la différence entre la parole du dérisoire et les mots pour le dire.
Médias imbéciles, qui ne vérifient rien, qui commentent tout, le vomi de l’information, la nullité des interventions.
« On est mal » comme dirait l’autre, le défunt Cruchade est toujours là, la bêtise toujours au-dessus il applaudirait des deux mains.
Bribes de témoignage, à toutes fins utiles, du bénévole Cimade que je suis :
– l’administration a 3 priorités : 1/ expulser, 2/ expulser, 3/ expulser.
– les bâtons mis dans les roues des étrangers, au mépris de la loi, sont innombrables et profondément choquants.
– de très nombreux étrangers, bien que remplissant les conditions requises (arrivée en France avant l’âge de 13 ans, présence en France depuis plus de 30 ans, enfants scolarisés depuis plus de 3 ans…) ne parviennent pas à obtenir le renouvellement de leur titre de séjour, étant ainsi acculés à travailler au noir (ou pire).
En résumé, notre exécutif se vante de faire héroïquement barrage au FN tout en appliquant sereinement la politique que le FN au pouvoir appliquerait.
@ Claude Luçon
Je constate que le sens de mon commentaire vous a échappé. Je précise:
Après avoir voyagé dans des dizaines de pays et avoir observé leur us et coutumes je remarque que, contrairement à tous les autres, les arabo-musulmans sont les seuls à insister, après immigration, sur la nécessité de garder leur bagage culturel intact, même si cela crée des conflits. Je ne juge pas les pays, mais observe un état de faits.
Regardez sous cet angle: lorsque moi je décide d’immigrer en France, il m’apparaît évident que la France c’est « mieux » que d’où je viens. Que mon avenir sera meilleur ici, pour une tonne de raisons. Une fois cela enregistré, c’est une question de coefficient d’intelligence: dois-je être arrogant où accommodant avec les Français ?
Ce qui répond à votre deuxième question, celle sur le radicalisme dans la rue. Ces femmes qui insistent pour sortir dans leurs accoutrements bizarres, couvertes de noir de la tête aux pieds, ce n’est pas pour être en harmonie avec leur religion (si c’était le cas, on n’aurait pas tous ces mouvements anti-voile en Arabie Saoudite et en Iran, tous durement réprimés) mais – excusez l’abrupt de l’expression – pour vous faire ch*er. Ils vous méprisent, voilà. C’est la première marche de la radicalisation.
Si vous ne l’avez pas encore pigé, c’est vous qui ne comprenez rien aux autres, en particulier ceux qui affichent un taux d’appartenance à la même religion au-delà de 99 %.
@ Exilé
Le régime parfait est l’absolutisme théocratique dans l’équilibre entre le spirituel et le temporel, et avec un empereur comme bras armé de l’Eglise.
Il fut un temps où des Bossuet se creusaient la cervelle plus qu’aujourd’hui pour trouver le bon régime.
La démocratie est vouée à la faillite dès lors que le droit de vote est donné à des immatures et que les mandats de représentation ne sont pas impératifs.
Dans la démocratie athénienne, les métèques et les femmes considérées comme éternelles immatures n’avaient pas le droit de vote, et il fallait au moins payer des impôts…
Sans compter que si un clown avait dit à cette époque qu’il se trouverait des abrutis pour dire que les principes et idées symbolisés par dieux et déesses n’existaient pas, il n’est même pas sûr qu’il aurait fait marrer.
@ Denis Monod-Broca | 12 octobre 2019 à 15:30
Le ciel ne vous est pas tombé sur la tête mais probablement autre chose.
Vous êtes complétement en dehors de la plaque et au stade où vous en êtes rien ne pourra vous changer, vous êtes irrécupérable et vous en êtes heureux comme tous les imbéciles bien nés.
A titre documentaire, je suggère que les billets soient reproduits dans l’ordre chronologique en partant du plus ancien et non du plus récent. Cela permettrait d’éviter les yoyos pour comprendre une réponse à un message antérieur.
De fait, c’est assez souvent très drôle de lire des adresses plutôt musclées, mais on se demande pourquoi le propos entraîne de si vigoureuses philippiques.
Au demeurant, ce n’est pas très important, de toutes façons, tout ce que nous pensons, les uns et les autres, n’a aucune influence ni conséquence ; seuls les hauts fonctionnaires pensent utile. Nous, on s’amuse, quoique peut-être, certains y croient. L’avantage de commenter les attitudes politiques, c’est qu’on ne peut pas atteindre le fond des motivations, passée l’illusion du bien public.
Pourtant, tout ne va pas si mal: on se vautre toujours sur des plages qu’on salit, on achète ds voitures malgré l’ire ministérielle et on paie toujours les impôts.
Pourquoi changer ? Les pauvres, petit à petit, génération après génération, s’enrichissent, s’ils veulent bien bosser, puis l’Etat leur prend ce qu’ils ont gagné pour le donner à d’autres qui n’ont, du coup, plus envie de travailler, sauf ceux qui, très supérieurs, en veulent encore plus, se croient français, ou européens, ont la FOI républicaine. De temps en temps, on coupe des têtes, on change de mystification spirituelle.
Comme dit Satan, expert en sociologie: « tout va bien. »
@ Denis Monod-Broca
« L’administration a 3 priorités : 1/ expulser, 2/ expulser, 3/ expulser. »
Pas vraiment efficace l’administration : 15 677 expulsions en 2018 sur environ 90 000 OQTF (obligation de quitter le territoire français) chaque année !!
@ Giuseppe | 12 octobre 2019 à 14:40 (1er paragraphe)
C’est le propre du scoop, autrement dit du racolage à bas prix que de faire un gros titre bien voyeur, en omettant de se poser cette simple question : combien les enquêteurs ont-ils dû examiner de signalements, dénonciations et pistes en 8 ans de traque, concernant le dénommé Ligonnès avant de le serrer ? Si toutefois les tests ADN confirmaient qu’ils tiennent le vrai coupable !
Des journaleux de pacotille qui n’ont que le sarcasme à la bouche, ignorants qu’ils sont de la somme de travail, d’efforts, de patience et d’obstination cumulés pour peut-être aboutir à un résultat tangible et toucher au but.
@ genau | 12 octobre 2019 à 18:08
Dans votre commentaire vous faites des phrases pour ne rien dire. Peut-être une sieste prolongée après un repas lourd à digérer.
Bref, on ne peut pas être toujours brillant.
P.-S.: la méthode inverse que vous suggérez n’est pas forcément la meilleure, voyez ce qu’il en est chez Ivan Rioufol.
@ Denis Monod-Broca
« …les bâtons mis dans les roues des étrangers, au mépris de la loi, sont innombrables et profondément choquants. »
Ne pas suivre les lois est choquant.
Il faut les changer. Il se trouve que trop de musulmans ne cessent de menacer la laïcité, s’en prennent aux femmes, insultent les citoyens ou les battent pour crime de paraît-il mauvais regard, pourquoi pas mauvais œil, on rêve, obligent les Juifs à déménager et autres joyeusetés quand ils ne commettent pas d’attentats…
Au bien d’être reçu, ces immigrés ont, c’est sans précédent, répondu par le mal.
Les musulmans doivent donc être traités comme la population à risque qu’ils sont, plus de droit d’asile et de regroupement familial.
Ne le sont-ils pas ? Ils croient pouvoir dominer les autres, qui comme un mantra se raccrochent à des lois émollientes.
Vous avez dit que l’Occident prêchait ? Quelle erreur, on n’arrive même pas à éduquer les musulmans ici, ils rejettent Darwin, la Shoah, et demain, quoi ? On rêve.
Comme les adultes sont trop souvent des ingrats et les enfants inéducables, il est bien évident qu’on doit faire de son mieux pour en limiter le nombre.
Et donc, plus d’immigration économique voire d’asile pour les musulmans, plus de regroupement familial non plus.
Le rassemblement national déplaît aux gens indulgents à nos destructeurs, comme vous, mais aussi à ceux qui n’aiment pas d’autres aspects de sa politique. Si on pense à l’immigration, on peut, par exemple, être plus larges avec des gens ne nous rendant pas le mal pour le bien, ces aberrants.
Il y a la politique économique et sociale, plus largement… Mais des citoyens excédés par le danger musulman pourraient oublier tout le reste. A force qu’il ne soit pas pris en compte par des gens genre tout se vaut, les nazis, et donc a fortiori les islamistes… Allant d’un excès à l’autre.
Sans forcément adorer Macron dur aux pauvres et méprisant à beaucoup, je comprends comme lui, c’est bien évident, que la politique comporte du « en même temps », se garder du danger du croissant, et considérer les autres problèmes, par exemple.
Moindre mal, considérer tous les problèmes, choisir le temps et l’heure, c’est un art.
@ caroff
Figurez-vous qu’il y a, en France, État de droit, des règles, des délais, des voies de recours… à respecter.
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@ abraracouci
Depuis quand est-ce « être en dehors de la plaque » que de faire part d’une expérience personnelle ?
@ Valéry
« Une fois cela enregistré, c’est une question de coefficient d’intelligence: dois-je être arrogant où accommodant avec les Français ? »
C’est très simple.
Si vous appartenez ou provenez d’une sphère culturelle qui a introduit une infinité de nuances complexes dans les relations humaines, comme par exemple des échelons progressifs en cas de désaccord avant de mettre en œuvre des solutions extrêmes, vous conviendrez naturellement de vous-même d’être accommodant avec les Français, peut-être même avec ceux qui ne vous ont pas toujours très bien accueilli.
Si vous provenez d’une civilisation envisageant les choses d’une façon binaire sur le schéma dominant-dominé, vous considérerez que si vos interlocuteurs vous traitent avec gentillesse, vous passent vos caprices, vous accordent des passe-droit, ne répondent pas par la force ou la violence à vos provocations etc. c’est qu’ils reconnaissent en vous un dominant qu’ils essaient en tant que dominés d’amadouer en achetant ses faveurs.
La réponse est simple : on ne traite pas d’égal à égal avec un esclave qui rampe à vos pieds et on ne le traite que par la brutalité et par la violence, ce qui explique en partie les déboires éprouvés par les Européens qui se sont montrés trop gentils avec leurs « invités ».
Les gouvernants qui se sont succédé à ce qui reste de pouvoir et leurs représentants, qui rampent devant les nouveaux arrivants et s’efforcent de paraître « sympas » à leurs yeux, n’ont pas compris qu’au contraire ils devaient absolument commencer par se faire respecter, par la force s’il le fallait.
« Si tu es lion je serai mouton, si tu es mouton je serai lion. »
Ce n’est pas plus compliqué que cela, mais je ne suis pas sûr que cela soit enseigné à l’ENA.
@ Denis Monod-Broca 12 octobre 2019 15:30
« Bribes de témoignages, à toutes fins utiles, du bénévole Cimade que je suis »
Ah bon ! Vous m’en direz tant ! Bénévole de la Cimade ! Voila l’explication de vos propos genre « bisounours » !
La Cimade : une association qui me semble, quelquefois, confondre aide et prosélytisme.
Au-delà d’une aide nécessaire et bienvenue pour certains cas, beaucoup d’opérations de partis pris qui gâchent l’esprit de départ de cette association fondée avant-guerre.
J’avais bien senti dans vos propos une tendance luthérienne ! Allons, ne soyons pas excessif, disons plutôt protestante ! Je ne m’étais pas trompé !
Compliments pour votre engagement, tout en regrettant les partis pris de la Cimade dans certaines villes de France.
Toutefois, Denis Monod-Broca, imaginez qu’on peut être bénévole de la Cimade, mais admettre aussi qu’une politique restrictive d’immigration est absolument nécessaire tant nous sommes et vous êtes, complètement débordés.
Moins de cas à traiter mais mieux les traiter, n’est-ce pas mieux ?
Cordialement.
@ Valéry | 12 octobre 2019 à 15:39
Je sévis sur ce blog depuis plusieurs années et ai toujours soutenu la même thèse : l’Islam est à l’agonie !
Ce que nous voyons au Moyen-Orient et au Sahel ne fait que me convaincre que je suis sur la bonne piste. Ignorer les femmes de ces pays est une erreur géopolitique car ce sont elles qui ramèneront l’Islam au rang de religion, tôt ou tard, plutôt tôt que tard, elles aussi dénonceront leurs boucs, faute de porcs !
En comptant 18 ans de Nigeria dont la moitié de la population, les Hausas-Fulanis, est musulmane et 3 ans d’Iran, j’ai côtoyé et employé des musulmans pendant 30 ans, ils me savaient chrétien ce qui ne leur a jamais posé de problème et eux ne m’en ont jamais posé !
Ben Laden d’abord, al-Baghdadi maintenant, sont plus un problème pour les musulmans que pour nous.
Jamais les pays du Moyen-Orient n’accepteront un Califat issu d’un hurluberlu comme al-Baghdadi !
Nous pleurons, avec raison, nos compatriotes assassinés par Daech, après ceux tués par le GIA des années 80, mais ces fous d’Allah tuent leurs propres compatriotes et coreligionnaires par centaines de milliers.
Djellaba, burkini, voile, ne devraient être considérés que comme des accoutrements pas si différents de ceux que portaient nos nonnes, curés et cardinaux il n’y a pas si longtemps.
C’est vraiment le cas d’écrire : il vaut mieux en rire qu’en pleurer !
Le Vatican, de Rome, ne gouverne pas la France, croire que les Musulmans le feront un jour de La Mecque est une élucubration de nos intellos rivés sur leur fauteuil, trop lâches pour aller s’informer sur place.
Surtout, la vraie guerre de religion est entre les Chiites et les Sunnites, il ne faut surtout pas oublier que les Chiites sont d’abord des Perses, fiers de l’être et dotés d’un sérieux complexe de supériorité à l’égard de ceux en lesquels ils voient des descendants de bédouins.
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@ caroff | 12 octobre 2019 à 14:28
« La différence entre les religions juive et musulmane c’est que seule la seconde est prosélyte !! »
Correction : la différence entre les religions juive, chrétienne et musulmane est que les deux dernières sont prosélytes !
Que croyez-vous que font les Mormons, les Born Again, les Seven Days Adventistes, etc. en Afrique ?
Même les Bouddhistes et leur Dalaï Lama ailleurs font du prosélytisme ! Certes ils préfèrent, sans modération, les cocktails hollywoodiens que Molotov, moins meurtriers !
@ genau | 12 octobre 2019 à 18:08
« Au demeurant, ce n’est pas très important, de toutes façons, tout ce que nous pensons, les uns et les autres, n’a aucune influence ni conséquence ; seuls les hauts fonctionnaires pensent utile. Nous, on s’amuse, quoique peut-être, certains y croient. L’avantage de commenter les attitudes politiques, c’est qu’on ne peut pas atteindre le fond des motivations, passée l’illusion du bien public. »
Je le pense aussi.
De temps à autre j’aime bien publier ce dont le choeur des politiques se défend : « on n’est pas tous pourris ! ».
Alors, comme le citait un article relevé dans Mediapart, me semble-t-il, qu’est-ce que cela fait du bien de le dire ! Tous pourris ! Déjà on peut se sentir mieux.
Un de plus ! Cela ne changera rien du tout. Pas un jour, pas un mois, pas une année ne passe sans qu’un politique – seulement les plus connus – fasse la une des titres.
AFP, publié le samedi 12 octobre 2019 à 13h43
« Ses activités de conseil dans le privé sont considérées comme suspectes par les juges: le député LREM Thierry Solère, visé par une instruction à Nanterre, a été mis en examen vendredi pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence passif. »
Rien que cela ! Une broutille dans le fond, c’est d’un commun ! Lui cela ne l’empêchera pas de dormir, il va nous raconter… la litanie habituelle, laissons la justice travailler, tout était pour le bien public.
Bon, mardi prochain sera le sujet de conversation au salon de coiffure, et sans doute l’esprit leste de ma coiffeuse – ainsi que ses ciseaux – soulignera que couper les cheveux en quatre ne les empêche pas de repousser…
Tout le jeu, fort amusant au demeurant, et intéressant, consiste à avoir la foi tout court pour capter un rayon du réel qui, lui, décape tout cynisme et permet enfin, dégagé de cette mystification, d’éclairer avec sûreté la direction du pas suivant sur notre chemin sans chemin.
@ Denis Monod-Broca | 12 octobre 2019 à 15:30
« Bribes de témoignage, à toutes fins utiles, du bénévole Cimade que je suis. »
Aaaah… ben voilà, tout s’explique ! Que ne le disiez-vous plus tôt ? Vous êtes un professionnel de l’immigrationisme. Vous auriez dû commencer par là, au lieu de vous contenter de nous balancer d’invraisemblables principes généraux, qui vous ont attiré des quolibets amplement justifiés.
La preuve : vous nous apportez maintenant des éléments de témoignage, sur lesquels nous allons pouvoir discuter concrètement.
Bon, ça ne change rien au fait que vous êtes un traître à la patrie, mais ça n’empêche pas d’entretenir une conversation civilisée, n’est-ce pas ? Vous disiez donc :
« L’administration a 3 priorités : 1/ expulser, 2/ expulser, 3/ expulser. »
Caroff vous a répondu là-dessus : je ne sais pas sur quoi vous vous basez pour affirmer cela, mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’y a pratiquement pas d’expulsions. Le nombre des reconduites à la frontière est dérisoire par rapport au nombre des immigrés illégaux. Il l’est encore plus si l’on ne prend en compte que les expulsions définitives — et qu’on exclut, donc, les expulsions « pour de rire », en particulier celles des romanichels qui prennent le billet de retour, et le petit cadeau financier qui va avec, pour aussitôt revenir par la fenêtre.
« Les bâtons mis dans les roues des étrangers, au mépris de la loi, sont innombrables et profondément choquants. »
Enlevons le « au mépris de la loi » — les « étrangers » dont vous parlez passent leur temps à violer la loi, et la violent par le seul fait de leur présence ici. Reprocher à l’Etat de violer la loi à leur encontre est donc particulièrement culotté, si l’on omet de préciser ce fait auparavant.
Admettons que l’Etat mette des bâtons dans les roues aux étrangers dans leur ensemble, et que ces bâtons soient innombrables et fort pénibles.
Je veux bien le croire. J’ai, d’ailleurs, tendance à penser que c’est vrai.
Et alors ? Quelle conclusion en tirez-vous ? Vous dites qu’il faudrait être beaucoup plus accommodant envers les immigrés. Vous avez tout faux. La conclusion juste est à l’opposé : il faut combattre l’immigration de façon beaucoup plus vigoureuse.
C’est, en effet, parce qu’on laisse entrer n’importe qui n’importe comment que, par la suite, on est bien obligé de soumettre un nombre considérable de ces intrus à des vexations innombrables, et, en effet, choquantes — si l’on omet de considérer le laxisme préalable qui a conduit à ces mesures, et le fait que nombre de leurs victimes sont des délinquants du fait de leur seule présence chez nous.
Je ne prendrai qu’un seul exemple : les files d’attente interminables aux guichets pour renouveler les permis de séjour. Lesquelles nuisent aussi bien aux étrangers en règle qu’à ceux qui fraudent.
Cela fait des décennies que les médias tartinent des reportages pleurnichards sur ce phénomène en effet insupportable, mais qui perdure depuis la nuit des temps.
A qui la faute, sinon aux dirigeants politiques qui encouragent l’immigration de masse, légale comme illégale ?
Une fois ces gens chez nous, il est matériellement impossible de leur donner satisfaction. Il est non seulement nécessaire de rendre leur séjour déplaisant, afin de dissuader de nouveaux candidats, mais ne le voudrait-on pas, qu’il serait impossible de les traiter tous avec les égards qu’ils réclament.
Après que les hommes politiques, les journalistes, les intellectuels et les polisseurs de leur propre bonne conscience, dont vous faites partie, se sont employés à inonder la France d’étrangers en nous assurant que cela ne poserait aucun problème, les mêmes se tordent les mains en constatant qu’on ne peut pas faire entrer deux litres de flotte dans une bouteille d’un litre. Ils nous disent alors : le remède, c’est de déverser dix litres de flotte dans la bouteille.
Et ils s’indignent derechef lorsqu’ils s’aperçoivent que ça ne marche pas, qu’ils en ont mis partout, et que tout le monde patauge dans la boue.
Voilà ce qui s’appelle de l’aveuglement idéologique. C’est caractéristique d’une religion (d’une fausse religion, bien entendu). Le protestantisme dévoyé au nom duquel la Cimade se fait, depuis 70 ans, un agent de subversion de la France au profit de l’étranger montre bien que les faits ne pèsent pas lourd, lorsque les mythes et les émotions prennent le pas sur la raison et sur une politique digne de ce nom.
Si l’action de la Cimade était justifiée à sa naissance, en 1939, et portait essentiellement sur nos réfugiés de guerre, elle a été rapidement pervertie pour devenir tout autre chose : un soutien actif et inconditionnel à l’immigration de masse, légale comme illégale.
La façon dont les membres de la Cimade justifient leur action subversive par l’action passée de leur organisation contre les conséquences du nazisme est particulièrement répugnante. Ils prétendent encore lutter contre un envahisseur disparu depuis longtemps, alors qu’ils se font les promoteurs d’une invasion bien plus funeste que la précédente — après tout, le nazisme n’a duré que douze ans en tout et pour tout, et l’Occupation encore moins. Tandis que le grand remplacement en cours risque d’être perpétuel. La fraude morale, intellectuelle est politique est flagrante.
On voit bien que la bonne conscience est l’un des pires crimes qui soient. Ce n’est pas le prétendu « racisme » qui devrait être une circonstance aggravante des crimes et délits : c’est la destruction de la France pour le seul motif de faire reluire sa belle âme qui devrait entraîner une épuration impitoyable.
« Somptueuses banalités »…
Quel talent ! Dommage que Monsieur Bilger se freine dans l’incisif !
@ Claude Luçon
« Djellaba, burkini, voile, ne devraient être considérés que comme des accoutrements pas si différents de ceux que portaient nos nonnes, curés et cardinaux il n’y a pas si longtemps. »
C’est quand même incroyable, j’ai entendu cet argument des milliers de fois mais très rarement la réponse pertinente pour démontrer sa vacuité. Nonnes, curés, cardinaux : des gens de Dieu. Leur accoutrement c’est leur uniforme de travail. Personne n’y trouverait à redire si les burqas n’étaient utilisées que par les musulmans travaillant dans les mosquées.
Quant à l’Islam étant à l’agonie, il ne s’est jamais aussi bien porté, tous les sondages le montrent en pleine expansion et radicalisation. Pas partout c’est vrai, mais dans les secteurs qui concernent directement les Européens, c’est-à-dire dans les anciennes colonies, là où le sentiment de revanche est omniprésent.
SAMEDI AU CINÉMA
« Xav en Écosse » est une superproduction hollywoodienne de la firme Élysée 0001 !
@ Robert Marchenoir
Vous m’invitez à une « discussion civilisée » tout en me traitant de traître à la Patrie et, si je comprends bien votre dernière phrase, en souhaitant que je sois, en tant que « bonne conscience », impitoyablement épuré. Je préfère arrêter tout de suite la discussion.
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@ boureau
Nous sommes d’accord, les étrangers en France devraient être mieux traités.
La question du nombre est-elle si importante ?
Nous sommes loin d’être « débordés ».
Nous ne le sommes que dans l’exacte mesure où nous n’avons plus foi en nous-mêmes, en ce que nous sommes, en nos principes. Un immigré, un étranger est un individu avant d’être une unité à classer dans une catégorie et à compter dans des statistiques.
@ Robert Marchenoir | 13 octobre 2019 à 02:16
« …c’est la destruction de la France pour le seul motif de faire reluire sa belle âme »
C’est tout à fait ça, ni plus ni moins. Tous les prétextes sont bons dont ceux invérifiables :
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/2019/10/03/bayonne-pau-jerry-migrant-homosexuel-arrete-mercredi,2609219.php
Il a été depuis libéré…
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@ boureau | 12 octobre 2019 à 20:14
« Moins de cas à traiter mais mieux les traiter, n’est-ce pas mieux ? »
Eh non ce n’est pas possible pour eux mentalement car cela dépasse le raisonnable. « Ils ont tellement d’amour à donner ».
Il y a des gens qui recueillent un chat de gouttière voire deux mais il y a des gens qui se retrouvent avec quarante chats souvent au bout du compte malnutris vivant au milieu de leurs excréments, car l’acte le plus important est la notion d’accueil sans s’occuper de la contingence.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_No%C3%A9
https://eucalyptuseater.files.wordpress.com/2016/10/lesyndromedenoe.png?w=810
Cela devient pathologique.
Impitoyable épuration.
C’est signé, et la famille divisée ne sait plus témoigner que de sa soumission au pire, nous ôtant alors la dernière protection car c’est Satan qui expulse Satan :
« Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine ; et nulle ville, nulle maison, divisée contre elle-même, ne saurait se maintenir.
26 Or, si Satan expulse Satan, il s’est divisé contre lui-même : dès lors, comment son royaume se maintiendra-t-il ?
27 Et si moi, c’est par Béelzéboul que j’expulse les démons, par qui vos adeptes les expulsent-ils ? Aussi seront-ils eux-mêmes vos juges.
28 Mais si c’est par l’Esprit de Dieu que j’expulse les démons, c’est donc que le Royaume de Dieu est arrivé jusqu’à vous.
29 Ou encore, comment quelqu’un peut-il pénétrer dans la maison d’un homme fort et s’emparer de ses affaires, s’il n’a d’abord ligoté cet homme fort ? Et alors il pillera sa maison.
30 Qui n’est pas avec moi est contre moi, et qui n’amasse pas avec moi dissipe.
31 Aussi je vous le dis, tout péché et blasphème sera remis aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas remis.
32 Et quiconque aura dit une parole contre le Fils de l’homme, cela lui sera remis ; mais quiconque aura parlé contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera remis ni en ce monde ni dans l’autre. »
https://www.levangile.com/Bible-JER-40-12-26-complet-Contexte-non.htm
Surtout, qu’on ne lise pas Dostoïevski, on risquerait de comprendre la toute-puissance du Paraclet, en sa toute simplicité invisible à notre cécité d’accusateur.
@ Denis Monod-Broca 13 octobre 2019 08:41
« La question du nombre est-elle si importante ? »
Oui Denis Monod-Broca. Elle est même fondamentale ! C’est pourquoi je disais : accueillons moins, mais mieux.
Je rappelle avoir écrit ici que dans mes doléances remises à la Mairie de ma commune dans le cadre du grand débat, j’avais noté, entre autres, un moratoire de deux ans de l’immigration pour pouvoir régler le problème des deux cent à trois cent mille clandestins en déshérence en France actuellement.
Ne me faites pas le coup du « monopole du coeur » ! Comme d’autres, j’ai oeuvré pendant les quinze premières années de ma retraite pour les humains en difficulté. Et je disais même, dans un commentaire, la tristesse que m’inspiraient, il y a déjà dix ans, les jeunes « mineurs noirs isolés » tremblant de froid et de détresse déambulant tôt le matin dans les rues de ma ville. Leurs visages et leurs yeux, quand je les croisais, m’ont marqué à vie.
Éternelle bataille entre la raison et la compassion.
Savez-vous que les services « mouvements de populations » de l’ONU informent qu’il y a plus de vingt millions d’immigrants prêts à entrer dans l’Europe dans les deux ans à venir. Et l’ONU ne demande pas que l’Europe prenne des dispositions pour les dissuader mais au contraire pour les accueillir.
Submersion, remplacement, peu importent les termes. Les chiffres sont là.
L’humanisme bien-pensant dans son absolue naïveté, précipitera l’abaissement de notre civilisation européenne.
Cordialement.
@ Claude Luçon | 12 octobre 2019 à 20:57
Encore de la mauvaise foi, avez-vous adhéré à une secte vous aussi comme Denis Monod-Broca ?
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@ Denis Monod-Broca | 12 octobre 2019 à 15:30
Il vaudrait mieux que nous ne nous rencontrions jamais, j’ai une sainte horreur des traîtres à la patrie.
@ Robert Marchenoir | 13 octobre 2019 à 02:16
Voici quelques extraits de vos propos, que je vous invite vivement à corriger dans l’hypothèse où lesdits extraits ne seraient pas conformes à vos écrits… Ce qui n’est pas le cas, bien évidemment !
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« Si l’action de la Cimade était justifiée à sa naissance, en 1939, et portait essentiellement sur nos réfugiés de guerre, elle a été rapidement pervertie pour devenir tout autre chose : un soutien actif et inconditionnel à l’immigration de masse, légale comme illégale. »
On voit bien que la bonne conscience est l’un des pires crimes qui soient. Ce n’est pas le prétendu « racisme » qui devrait être une circonstance aggravante des crimes et délits : c’est la destruction de la France pour le seul motif de faire reluire sa belle âme qui devrait entraîner une épuration impitoyable »
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Je vois que vous approuvez l’action de la Cimade lorsqu’il s’agissait de « vos » réfugiés de guerre, auriez-vous l’extrême amabilité de nous dire qui étaient « vos réfugiés de guerre » ?
Et par la même occasion, en quoi leur statut leur permettait de recueillir votre approbation, laquelle nous l’avons vu, est distribuée avec la parcimonie d’un avaricieux maladif…
Puis, parce que vous êtes en charge de ce monde, ce qui trouve sa raison dans vos attributions inconnues, mais est aussi justifiée par votre grande… je ne sais pas quoi ? J’aurais envie d’écrire « gueule », mais ce mot n’est pas joli, alors je choisis d’accoler à « grande » mettons « divagation », je vais examiner votre proposition !
Ainsi, il ressort que suite à vos attributions, vos qualités inconnues, votre bonté renommée, il faille immédiatement si l’on veut échapper à la damnatio memoriae, renoncer au pire crime qui soit et que vous n’avez pas peur de nommer « la bonne conscience » !
Cela faisait déjà un bon moment que je me disais que « la bonne conscience » était criminelle, et depuis que je vous ai lu, je me sens une « bonne conscience » mortellement criminelle…
@ Aliocha | 13 octobre 2019 à 09:54
« Surtout, qu’on ne lise pas Dostoïevski, on risquerait de comprendre la toute-puissance du Paraclet, en sa toute simplicité invisible à notre cécité d’accusateur ».
Si Dostoïevski vous aide à « expulser Satan », grand bien vous fasse. Mais ne dégoûtez pas les autres de ce grand écrivain à force d’idolâtrie et de bondieuseries. Ne vous imaginez pas que vous êtes le seul à le comprendre et que ceux qui ne le lisent pas dans le même état d’exaltation que vous soient atteints de cécité.
Politiquement, ce qui me paraît dangereux à l’époque que nous traversons, est d’ériger le masochisme en modèle, et de ne souffrir aucune discussion sérieuse sur la question. On en revient aux somptueuses banalités du Président devant les cercueils des victimes.
@ Claude Luçon 12 octobre à 20:57
« Je sévis sur ce blog depuis plusieurs années et ai toujours soutenu la même thèse : l’Islam est à l’agonie ! »
Exact. Pour une fois vous avez trouvé du pétrole…
L’Islam s’est éteint au XIIe siècle. Depuis, on cherche l’interrupteur.
Depuis, ce ne fut qu’une cohorte sanglante et sans fin de satrapes, califes, généralissimes ou sous-brigadiers, et autres « étrangleurs ottomans », de Saladin à Kadhafi. Le plus célèbre étant Iznogoud…
Certaines civilisations ne subsistent que par leurs monuments, ou leurs arts, c’est le cas des Mayas ou des Incas, mais quand on creuse on s’aperçoit de leur nullité absolue, ce qui nous explique pourquoi les Conquistadors n’en ont fait qu’une bouchée, à juste titre. Quand on égorge des milliers de nouveau-nés pour qu’il pleuve sur les récoltes, on perçoit l’imbécillité de cette civilisation. Seule l’Egypte des pharaons a échappé à cette plaie, mais l’Egypte c’est un monde à part (j’y ai vécu 3 ans).
Pour l’Islam, c’est la même chose, une civilisation qui s’évanouit, dont il ne restera que des débris dans nos musées, pour occuper nos professeurs orientalistes du Collège de France.
@ Valéry 8h24
Nonnes, curés, cardinaux : des gens de Dieu. Leur accoutrement c’est leur uniforme de travail. Personne n’y trouverait à redire si les burqas n’étaient utilisées que par les musulmans travaillant dans les mosquées. »
Vous avez raison.
J’ai entendu cet argument à maintes reprises dans la bouche de musulmans tout à fait pacifiques.
Mais leur identité passe par l’accoutrement, la victimisation et les revendications alimentaires puisqu’ils n’ont rien d’autre à déployer d’intéressant dans la société où ils vivent, chez nous ou chez eux…
Affaire Dupont de Ligonnès, suite.
Et si Xavier voyageait en réalité avec le passeport de Benalla ?
@ Robert Marchenoir
Denis Monod-Broca vous ment ou se ment en disant :
« Vous m’invitez à une « discussion civilisée » tout en me traitant de traître à la Patrie et, si je comprends bien votre dernière phrase, en souhaitant que je sois, en tant que « bonne conscience », impitoyablement épuré. Je préfère arrêter tout de suite la discussion. »
Je vous dis tout net que si on m’avait parlé comme ça, j’aurais peut-être répliqué comme lui.
Mais comme d’un autre côté, il ne m’a pas répondu plusieurs fois sur le sujet, par exemple le Noblejoué | 12 octobre 2019 à 19:26, on peut croire qu’il ne répond pas quand il ne veut pas répondre dans d’autres cas que les insultes.
Que penser de qui met sur le compte de sa dignité blessée le comportement habituel de ne pas répondre quand ça l’arrange ?
Qu’il se drape dans sa dignité comme dans une tenue de camouflage, que sa vanité est un mensonge qu’il fait aux autres ou à lui-même, je ne suis heureusement pas son directeur de conscience.
Il ne me répond pas parce que je suis insensible à ses manipulations par la vanité, dites comme moi et vous êtes un bon. J’annonce la couleur : haro sur la vanité nationale, de quoi pouvons-nous nous prévaloir quand incapable de préserver notre liberté ? Haro sur la vanité chrétienne, haro sur tout ce qui est faux et obstacle à la liberté : le chrétien a le droit de finir martyr mais pas de placer les autres dans une situation dangereuse le conduisant à le devenir.
La vérité est que que la France a perdu plusieurs fois la forme démocratique, a été délivrée par les Alliés, et qu’elle est mal placée pour donner des leçons aux Américains.
La vérité est que nous avons fait preuve de foi, avons cru en la bonne foi des musulmans, d’espérance, avons attendu des progrès, et de charité, avons pardonné. Des valeurs chrétiennes données comme perles aux cochons. Que des chrétiens s’amusent à se faire maltraiter comme individus par des gens est une chose, une autre chose, qu’ils n’ont pas le droit de faire, est de détruire notre société par cette attitude complaisante avec les musulmans.
Il ne me répond pas parce qu’il ne peut pas me reprendre sur le racisme, je ne suis pas raciste, ou sur des attaques, vu que je n’attaque jamais en premier.
Mais je ne pardonne jamais. Ni faire de victime, ni en être.
Bref, s’il voulait me répondre à présent, je ne sais même pas si je le ferais… Il n’avait pas le devoir de me répondre.
Mais le devoir de ne pas parler de sa dignité blessée quand ce n’est pas pour cela qu’il ne répond pas aux gens. Autre argument, quand j’ai dit ce que je pensais d’un dieu tout-puissant et donc responsable du mal, il n’a pas dit qu’il était trop blessé pour son dieu, non, il avait, ou croyait avoir assez de réserves théologiques et girardiennes pour répondre. Mais là ! Jésus n’a pas prêché qu’on ouvre les portes de l’Empire romain aux Barbares, René Girard n’a pas prescrit une politique particulière envers le monde musulman.
Faute d’argument, la vanité fournit, au moins, un ressort d’action pour lui, ou pour faire mouvoir les autres.
Je me rends compte de ma sévérité, mais quand on m’accuse de faire un dieu à ma sauce quand je ne fais que reprendre les grands classiques, remarquez, on avait accusé Dante de cruauté, dans l’enfer, mais enfin, il ne faisait qu’en reprendre l’idée…
Quand on me critique parce que je vois que les causes ont des conséquences, on m’encourage à voir les inconséquences des autres.
Nous avons fait preuve de charité, de foi, d’espérance, avec les musulmans, et c’était une erreur.
A présent qu’on voit que cette politique est folle, pour inciter les gens à poursuivre, on table sur leur vanité. Si vous êtes contre, soyez diabolisé, si vous êtes pour, loué, mais jamais la grande question de savoir comment rester libre n’est abordée.
A Munich, les gens ont eu peur de mourir, à présent, ils ont peur d’être considérés comme méchants.
Comment gouverner des gens sans colonne vertébrale ? Par solidarité, je vais dire que je suis César.
@ Denis Monod-Broca
Comme boureau, je dirais: accueillons moins mais mieux.
Mais n’oublions pas tous ces immigrés célèbres, prix Nobel, sportifs, entrepreneurs…
Il serait trop long de tous les nommer. Certains diront que la plupart d’entre eux ne provenaient pas du sud de l’Europe. Ce qui n’est pas totalement exact (Mohed Altrad, Mourad Boudjellal, Zinedine Zidane… pour n’en nommer que quelques-uns).
Bref, ce qui est abject, c’est de jouer sur les peurs comme le fait le RN.
Que la loi s’applique, c’est normal mais le premier devoir quand on rencontre un immigré, c’est de l’aider à s’intégrer, pas de le stigmatiser.
Je serais d’ailleurs assez d’accord avec l’idée qu’un sans papiers puisse travailler et qu’au bout d’un temps certain passé à travailler régulièrement, il puisse obtenir des papiers s’il n’a pas commis de délits.
@ Paul Duret
« Le premier devoir quand on rencontre un immigré, c’est de l’aider à s’intégrer, pas de le stigmatiser »
J’ai du mal a comprendre votre logique. Quand on voit les trous pourris d’où la plupart viennent, il est logique de penser qu’une chance inouïe leur est offerte, donc c’est aux personnes bénéficiant de cette unique opportunité de faire des efforts, et non pas ceux qui les accueillent. De fait, les stigmatiser n’est pas la bonne attitude non plus, mais par contre, il faut être droit dans ses bottes et leur demander d’être responsables. Sinon, c’est la porte, il y en a d’autres qui attendent.
Une dame voilée accompagnant une classe de primaire.
Ce n’est pas souhaitable mais ce n’est pas interdit… de porter le voile dans un espace public dit Jean-Michel Blanquer qui n’avait pas envie de se mouiller suite à l’incident au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, où le conseiller régional RN Julien Odoul avait raison de faire la remarque à cette dame voilée. Ces gens-là se moquent ouvertement d’une France laïque.
Quelle autorité JM Blanquer ?! Aucune crédibilité !
Et que dirait-on si j’arrivais en chemise de nuit rayée tombant jusqu’aux chevilles avec une croix du Christ bien imposante ?
Dans les lieux publics, la tenue vestimentaire doit être neutre et pas ostentatoire à l’image des islamiques cherchant le défi et la provocation.
@ abraracourci | 13 octobre 2019 à 13:41
??? Pourriez-vous développer votre commentaire, je ne vois pas son rapport avec le mien.
Continuez sur ce genre de réponses mais changez votre alias, je suggère « averboracourci » !
Jetez un coup d’oeil sur ce qui suit.
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@ Valéry | 13 octobre 2019 à 08:24
Je récidive : l’Islam est en crise, leurs femmes sont en train de le révolutionner, sans violence.
Une remarque d’abord: nos ancêtres ont fait une Révolution au titre des Droits de l’homme et du Citoyen, dans leur enthousiasme ils en ont oublié le Droit des Femmes et des Citoyennes !
Nos compagnes et leurs ancêtres féminines se battent depuis 230 ans pour corriger cet oubli.
Elles y sont presque mais pas encore tout à fait !
Je vis cela depuis l’âge de 15 ans quand ma mère a eu le droit de voter, entre autres, pour lequel elle se battait comme et avec ses contemporaines.
Leurs soeurs musulmanes, aidées par les moyens modernes de communication, se libèreront beaucoup plus rapidement !
Sur France 2, Delahousse de 20 heures du jour, voir « Papicha » !
Détail de l’Histoire: les femmes musulmanes n’ont découvert les notions de République et de Démocratie qu’avec la première révolution électronique, celle des années 1960/70, avec l’avènement du transistor dans la vie quotidienne de tous les pékins du monde !
Le pékin que je suis a été rappelé de Somalie en 1960 pour étudier à Paris cette nouvelle électronique qui a transformé complètement notre technologie de l’exploration pétrolière.
Ce petit gadget leur a soudain permis d’écouter le reste du monde sur les radios portables, fonctionnant grâce à des batteries, sous leurs tentes dans les dunes du Sahara et de la péninsule d’Arabie et dans les gourbis dans leurs villages.
Pour elles 1789 a eu lieu, au mieux, vers 1969 !
Il leur faudra bien moins de 230 ans !
D’autant plus qu’elle peuvent maintenant aussi voir, en plus d’entendre, TV et iPad aidant. Notre monde est en accélération permanente, même si Greta rêve de revenir en arrière.
N’oubliez pas, nos journalistes doivent aussi manger, donc gagner des sous, donc raconter tout et n’importe quoi si besoin est ! Nous venons d’en avoir la preuve avec l’affaire Xavier Dupont de Ligonnès dont ils ont le culot d’accuser les policiers écossais pour justifier leur précipitation dans leur besoin de scoop !
@ Noblejoué
Je ne sais pas si la personne qui écrit sous ce pseudo de Noblejoué est toujours la même. Une chose est sûre, je ne comprends plus rien à son verbiage.
@ Noblejoué | 13 octobre 2019 à 17:55
« Le chrétien a le droit de finir martyr, mais pas de placer les autres dans une situation dangereuse les conduisant à le devenir. »
Voilà qui devrait faire partie des évidences. Hélas, les mots ont perdu leur sens. Il a été remplacé par les émotions qu’ils évoquent, et par les préjugés contenus dans la propagande du moment.
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@ Chemins de traverse | 13 octobre 2019 à 05:45
» ‘Somptueuses banalités’… Quel talent ! Dommage que Monsieur Bilger se freine dans l’incisif ! »
Ce n’est pas la première fois que notre hôte s’attire une telle remarque. Il n’est jamais aussi bon que lorsqu’il castagne, mais son tempérament le porte plus à la nuance. D’un autre côté, il faut bien qu’il équilibre les fous furieux qui se bousculent dans ses commentaires…
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@ Valéry | 13 octobre 2019 à 08:24
Le voile islamique équivalent de la coiffe des nonnes, voilà le type même de la fausse équivalence, du mensonge gros comme une maison qui devrait se voir comme le nez au milieu de la figure, mais non : les gens ont perdu la faculté de penser.
Combien de femmes catholiques se sont-elles fait casser la figure parce qu’elles ne portaient pas une coiffe de nonne ? Zéro, voilà la réponse. Combien de religieuses catholiques ont-elle tenté de se faire recruter comme vendeuses de soutien-gorge, en insistant pour porter leur habit de nonne au travail, puis ont tapé un scandale médiatique et porté plainte après s’être vu opposer un refus ? Zéro, bien évidemment.
Malgré cela, des millions de gens se taisent lorsqu’on leur dit : oui, mais le voile catholique gna-gna, oui, mais l’Inquisition gna-gna.
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@ hameau dans les nuages | 13 octobre 2019 à 09:46
« Tous les prétextes sont bons dont ceux invérifiables :
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/2019/10/03/bayonne-pau-jerry-migrant-homosexuel-arrete-mercredi,2609219.php »
Non seulement l’asile au motif de l’homosexualité persécutée est absurde (il nous faudrait alors accueillir la totalité des homosexuels du monde musulman, pour commencer, soit 18 millions de personnes au doigt mouillé), mais bien entendu, la naïveté occidentale est largement exploitée en la matière.
De nombreux Africains des deux sexes ont compris qu’il suffisait de se déclarer homosexuel pour espérer avoir droit à l’asile, sans que pour autant l’on exige de l’impétrant quelque test vérificatoire que ce soit. En conséquence, les faux homosexuels abondent, bien évidemment, aux guichets.
Ainsi, cette soi-disant lesbienne mais vraie Ougandaise, qui s’est réfugiée en Angleterre, en prétendant qu’elle fuyait son oncle qui aurait voulu la tuer pour ce motif. Manque de bol, lorsque les agents de l’immigration sont venus la trouver chez elle, ils l’ont surprise au lit avec un homme…
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7297417/Lesbian-asylum-seeker-sent-Uganda-sleeping-man-returns-UK.html
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@ Denis Monod-Broca | 13 octobre 2019 à 08:41
« Vous m’invitez à une ‘discussion civilisée’ tout en me traitant de traître à la Patrie et, si je comprends bien votre dernière phrase, en souhaitant que je sois, en tant que ‘bonne conscience’, impitoyablement épuré. Je préfère arrêter tout de suite la discussion. »
Je n’en attendais pas moins de vous. Merci de nous faire la démonstration que votre idéologie est totalement étanche au monde extérieur, et ne survit qu’en s’auto-justifiant.
Vous ne croyiez tout de même pas que vous pourriez, simultanément, travailler à la ruine de la France et de sa civilisation, et échapper à la qualification objective de votre comportement ?
Ce n’est pas comme si vous pouviez revendiquer l’ignorance ou l’innocence. Vous êtes présent sur ce blog depuis la nuit des temps, et depuis la nuit des temps vous êtes exposé, ici, aux faits et aux explications présentés par ceux de vos compatriotes qui sont opposés à l’immigration.
Vous n’avez jamais daigné répondre à ces objections, sinon par des généralités moralisatrices, et vous voudriez que l’on vous ménage avec des gants beurre frais dès lors qu’il s’agit de démonter votre arnaque intellectuelle, politique et morale ?
Vous êtes, en effet, un traître à la patrie. C’est une constatation objective. Vous vous faites le complice actif des milliers d’agressions, de viols et de meurtres perpétrés par vos protégés immigrés. Par votre militantisme au sein de la Cimade, comme par vos propos ici et je suppose ailleurs. Sans parler du vote qui en découle certainement.
Et vous voudriez vous défausser de cette responsabilité ? Vous jouez les offusqués, vous prétendez qu’on n’est pas « sympa » avec vous, en conséquence vous seriez dispensé de justifier vos actes et vos revendications politiques ? Ah non ! C’est un peu trop facile, mon ami…
Surtout que vous avez commencé, comme tous les membres de votre secte « anti-raciste » et immigrationiste, par étaler votre supériorité morale supposée, par rapport à tous les Français ordinaires qui s’estiment persécutés par l’immigration de masse.
Postulat n°1 : je suis supérieur moralement à tout le monde parce que je soutiens l’immigration, postulat n°2 : je n’ai pas besoin de justifier mes étranges préférences par quelque fait que ce soit, puisque, selon le postulat précédent, j’appartiens au camp du Bien, postulat n°3 : lorsqu’on me dit des choses pas gentilles, face à mon obstination à nuire à l’intérêt général sans jamais répondre aux objections qui me sont faites, j’en tire argument derechef pour me retirer en mes appartements, car Mon Auguste Majesté ne saurait se compromettre avec de tels ruffians.
Votre réponse confirme mon analyse : « l’anti-racisme », l’immigrationisme et le politiquement correct ont pour seul et unique objectif de promouvoir le confort psychologique de leurs partisans, l’image qu’ils se font d’eux-mêmes et la supériorité morale qu’ils s’imaginent posséder face à tous les autres.
Cela n’appellerait que le ridicule et la moquerie, si le prix d’une telle vanité n’était la ruine du pays, le crime et la destruction de notre civilisation.
L’effroyable déséquilibre entre la superficialité du bénéfice espéré par une seule personne, et la gravité des conséquences subies par des dizaines de millions d’autres, montre assez que de telles dispositions témoignent, à l’opposé des prétentions de leurs pratiquants, d’une moralité radicalement défaillante.
Pour mesurer l’hypocrisie de votre attitude, il suffit de considérer que si votre militantisme auprès de la Cimade était effectivement motivé par l’impératif chrétien de charité, vos actes personnels de secours aux immigrés s’accompagneraient d’une opposition résolue à l’immigration elle-même (laquelle produit les maux auquel votre bénévolat tente de remédier).
Le fait même que cette disposition d’esprit soit pratiquement inexistante dans l’opinion publique, le fait qu’on n’ait jamais vu, en France (c’est différent en Italie, par exemple), un bénévole d’une association d’aide aux immigrés militer parallèlement pour la fermeture des frontières et l’interdiction de l’islam (ce qui serait la seule attitude cohérente), montre assez la tromperie que constitue l’idéologie immigrationiste et « anti-raciste ». (*)
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@ Claude Luçon | 12 octobre 2019 à 20:57
« Je sévis sur ce blog depuis plusieurs années et ai toujours soutenu la même thèse : l’Islam est à l’agonie ! »
Il est singulièrement prétentieux, de votre part, d’affirmer que vous soutenez quelque thèse que ce soit. Soutenir une thèse supposerait de présenter un certain nombre de faits à l’appui de vos allégations.
Or, tout ce que vous faites, c’est de sortir de votre chapeau des assertions péremptoires, avant de nous assurer que nous devons vous croire sur parole parce que vous, vous avez vécu quelques années dans je ne sais quel pays de sauvages.
Sous prétexte que les musulmans ne vous auraient jamais posé de problèmes à vous, il s’ensuivrait qu’ils n’ont jamais posé de problèmes à personne ? Votre ahurissant nombrilisme est une fois de plus ici à la manœuvre. C’est sûr que, dans la maison de retraite de luxe d’où vous nous distillez vos leçons, vous ne risquez guère de subir de « problèmes » de la part des musulmans…
Même vos rodomontades se contredisent. Vous nous avez amplement conté les menaces du FLN auxquelles vous avez courageusement résisté. Comme chacun sait, le FLN n’était pas du tout composé de musulmans, et l’idéologie islamique était entièrement étrangère à son combat…
Le petit détail selon lequel tout, au contraire, montre que l’islam est dans une phase ascendante, impérialiste et agressive, n’a pas l’air de vous impressionner. Vous n’avez pas l’air de vous sentir obligé le moins du monde de nous présenter des chiffres montrant, au contraire de tout ce que l’on sait, que la population musulmane dans le monde est en régression, que les attentats musulmans se réduisent comme peau de chagrin, que l’influence politique des musulmans disparaît à vue d’œil dans les instances internationales, que le nombre de mosquées est en chute libre en Europe, que les exigences des musulmans en France diminuent de jour en jour, qu’ils se comportent de plus en plus comme d’humbles citoyens soumis à l’autorité…
Non, rien que les pires clichés des bisounours gauchistes : les femmes musulmanes viendront à bout de l’islam (ah bon ? elles ont eu pourtant mille quatre cents ans pour le faire, et pour l’instant le boulot n’est même pas commencé ; quant aux folles furieuses qui partent en Syrie combattre avec l’Etat islamique, ce sont des travestis ?) ; les musulmans se mettent sur la figure entre eux, par conséquent ils sont inoffensifs pour nous (c’est sûr qu’il n’y a eu ni attentats sunnites, ni attentats chiites en France…) ; les Iraniens sont fiers et sont issus d’une ancienne civilisation (oui, et alors ?) ; et puis celle-là, qui est quand même le summum du moquage de figure : les catholiques ne nous menacent pas, par conséquent les musulmans ne nous menacent pas non plus (« Le Vatican, de Rome, ne gouverne pas la France, croire que les Musulmans le feront un jour de La Mecque est une élucubration de nos intellos rivés sur leur fauteuil. ») ; vous avez même réussi à nous placer le burkini qui n’est pas différent des « accoutrements » des nonnes et des cardinaux.
Ça valait bien la peine de passer vingt ans au bout du monde, pour en ramener une telle sagesse de Bambi au pays des merveilles…
______
(*) Je connais une seule exception, et Dieu sait si elle est marginale : l’Action sociale et populaire du pasteur Blanchard. Inutile de dire qu’elle ne bénéficie ni des subventions, ni de la promotion médiatique dont bénéficient les associations de gauche comme la Cimade.
@ Denis Monod-Broca et aux autres
Vous prétendez à ce qu’on vous respecte, quand vous faites tout pour ouvrir le pays à ceux qui vont le détruire et voulez fermer la bouche de ceux qui préviennent et vous mettent devant vos vanités, en disant qu’ils feraient du « verbiage ».
Si on n’est pas d’accord avec les gens : verbiage, mauvaise foi, complot et autre.
Je suis toujours la même personne et me heurte aux mêmes réactions mais j’ai toujours la même : je ne pardonne rien, jamais.
Je pense qu’il serait bon que les gens qui, comme moi, ont prévenu, ne fassent rien contre le pire, quand il viendra, que les valises pour les plus aisés.
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@ Tous
Comme vous avez dû le remarquer, les favorables à la pénétration musulmane font tout contre le dialogue.
Ils se prévalent de texte détournés contre la liberté. Ils se saisissent de tous les prétextes pour ne pas discuter, l’un sera insultant, l’autre fera du verbiage – mais cela, ce n’est pas insultant.
Verbiage, et l’autre, attaque sur le style et déni de nationalité : ne croyez pas qu’il n’y a que moi qu’on expulsera du débat.
Ou qu’on menacera des lois comme Elusen.
Ces gens pour l’accueil de l’autre, veulent de l’autre soumis, je veux dire, réfugiés qui soient à leur merci par la misère.
Ou mis à leur merci, les citoyens par les lois, les débatteurs par un mépris où toujours on ignore une chose pourtant évidente.
Et c’est ?
Les musulmans nous rendent le mal pour le bien. Il faut donc se protéger d’un danger si nouveau et si révoltant à la fois.
Et comment ? Eh bien, on n’éduque pas plus les ingrats que les femmes le mari qui les bat.
On s’en sépare. Certes, nous ne pouvons expulser des Français… Mais rien ne nous oblige, en toute justice, à accueillir plus de gens susceptibles de nous poignarder dans le dos.
Toutes les lois qui nous acculent doivent être changées.
Et les musulmans laissé dehors.
Dans la vie, il faut toujours un plan B.
A partir de quel moment, où et autre question pratique. Quelqu’un a des idées ?
Je jure de ne jamais oublier qu’on a moqué mon style ou parlé de ma nationalité, ou dit que je faisais du verbiage, ou menacé de lois détournées de leur but parce que je défendais la liberté et essayais de prévenir le pire.
Ni oubli, ni pardon, je sais qu’on mythifie le passé, on dira qu’à l’époque de la liberté, nous voulions la conserver.
Mais non… Nous diminuons la liberté d’expression et laissons s’introduire des ennemis de la liberté.
Donc quand, où, comment partir ?
@ Lucile, 13 octobre 2019 à 15h38
« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement »… bien dit.
@ Claude Luçon 12 octobre à 20:57
« Je sévis sur ce blog depuis plusieurs années et ai toujours soutenu la même thèse : l’Islam est à l’agonie ! »
Vous plaisantez j’espère ? Vous avez le droit de rêver ! Pour l’instant ce sont les islamistes qui nous égorgent, qui poignardent à tous les coins de rues, et dernièrement au sein même de la Préfecture de Police.
Depuis une vingtaine d’années cela ne fait que s’accroître, ils ont pris le terrain pour faire régner leur lois islamiques, le charia, la soumission à Allah, et vous, dans votre imagination vous soutenez que l’islam est à l’agonie. Vous êtes très inventif dans votre imagination.
Allez au nord de Nice, à Marseille, à Montpellier, Toulouse, Lyon, Bordeaux, Grenoble, Strasbourg, Lille, Toulon, Nîmes et leurs banlieues, vous découvrirez des quartiers entiers où vous n’oserez pas mettre les pieds. Et ça va en s’aggravant.
Nos politiques ne le souhaitent pas, mais ce n’est pas interdit !
Je suis choquée de vous entendre parler ainsi. Ouvrez les yeux.
Nous n’avons jamais vu autant de femmes voilées, de mosquées pousser comme des champignons, d’imams venus des pays islamiques, d’écoles coraniques sans contrat national et non contrôlées, de communautés s’affronter violemment, des armes blanches et des kalash entre les mains des islamistes. Et vous croyez que c’est pour notre bien-être, notre « vivre-ensemble » ?
Je crains maintenant, depuis qu’Erdogan a attaqué les Kurdes, que les djihadistes emprisonnés au nord de la Syrie et gardés par les soldats kurdes ne s’échappent tous. Il y a eu déjà cinq djihadistes qui se sont enfuis et 800 familles des djihadistes échappées des camps de rétention et éparpillées dans la nature. Et ce n’est que le début.
Ce matin, j’ai entendu une femme à la radio (pardon, je n’ai pas retenu son nom), demander à la France de rapatrier les familles des djihadistes en France. Et pourquoi pas leurs maris assassins !
Il est préférable d’envoyer sur place du renfort pour les appréhender et les garder en lieu sûr qu’elles ont choisi elles-mêmes. Les rapatrier, ça va encore nous coûter un pognon de dingue et le plus grand danger en perspective nous attend !
Si on veut traquer l’hydre islamique sans relâche, alors pas question de les rapatrier en France ni en Europe. Elles ont fait leur choix en trahissant la France pour rejoindre les assassins, alors qu’elles y restent. Allah les récompensera.
La Cimade, une légère touche d’antisémitisme !
Dostoïevski aide à comprendre que, selon les paroles évangéliques, c’est Satan qui expulse Satan, ce qui permettrait d’éviter de le prendre pour modèle de tous les « Unsex me », et que Lucile alors serait tentée d’expulser Aliocha, et réciproquement, Aliocha Lucile, les deux belligérants réduits alors au même corps possédé, fruit de cette étreinte symboliquement létale.
Qu’on se rassure, j’ai autant de difficultés que chacun à saisir ces fondements si profonds, les tentatives de leur expression dans nos débats, ces jeux si bien décrits par genau ne m’exonèrent d’aucune imprécision et d’aucune cécité d’accusateur, alors que ma démarche n’a d’autre objectif que de tenter de partager ce savoir révélé, qui n’a jamais été que de repousser, pas à pas, un peu plus loin la question que nous posent les mystères de nos existences :
« Si Girard s’accorde avec les Pères pour soustraire la défaite du démon à la violence divine, les scènes d’exorcisme dans les évangiles entrent-elles toutes dans ce cadre ? La puissance supérieure de Jésus ne se traduit-elle pas aussi en actes d’expulsion du démon ?
Il faudrait alors admettre une distinction entre la violence et la puissance, trop facilement confondues, au risque de se livrer à un jeu de mots. Alors que la violence pervertit l’amour en se faisant dominatrice et en écrasant le plus faible, c’est de l’amour qu’émane une puissance libératrice qui combat l’égoïsme du démon. Là est le propre de la puissance du Christ exorciste. Le dévoilement du mensonge se poursuit par la révélation de l’amour, source de vérité, dans un conflit qui ne cesse de démasquer une violence qu’exacerbe sa défaite par la Croix. »
https://www.cairn.info/revue-recherches-de-science-religieuse-2003-1-page-45.htm#re49no49
@ Claude Luçon 22h35
« Leurs soeurs musulmanes, aidées par les moyens modernes de communication, se libèreront beaucoup plus rapidement ! »
Je ne vois absolument pas se profiler l’ombre du début du commencement de ce que vous affirmez.
Un exemple: je suis allé en mission à de nombreuses reprises dans les pays du Maghreb de 1992 à 2015. Les fonctionnaires marocaines étaient cheveux au vent il y a vingt ans et plus et puis, brutalement, j’ai pu remarquer que les mêmes se sont voilées… pour faire plaisir à leurs maris et à… leurs mères sous l’influence des chaînes de télé moyen-orientales disponibles par le satellite…
Pareil en Tunisie (mais un peu moins) et je ne parle pas de l’Algérie dont toutes les femmes sont voilées, à l’exception des grandes villes…
Le pire c’est que ce sont les mères et les grand-mères qui poussent à l’oppression contrairement à ce que vous affirmez !
Une organisation internationale des porteurs de valise, des trousses à pharmacie et des noyades en Méditerranée !
Pour le meilleur destin de l’Humanité… qu’ils disent !
@ Ellen | 13 octobre 2019 à 22:34
« Dans les lieux publics, la tenue vestimentaire doit être neutre et pas ostentatoire »
D’où sortez-vous cette calembredaine ? A part la nudité, et dans certaines circonstances le fait de masquer son visage, il n’existe à ma connaissance aucune autre interdiction ou injonction vestimentaire dans l’espace public. Et heureusement (personnellement je serais pour l’interdiction des pantacourts qui sont une véritable injure au bon goût).
En d’autres termes, Dostoïevski ne m’aide à expulser Satan que dans la compréhension erronée de ceux que j’irrite, et que leur irritation pousse à m’expulser, comme ils expulsent ce qu’ils taxent de bondieuseries ce qu’ils ne sont plus à même d’entendre :
« Cet art qui révèle au grand jour les divisions et les dédoublements de l’orgueil idolâtre n’est plus, lui-même, dédoublé. Dire qu’il révèle le bien et le mal comme choix pur, c’est dire qu’aucun manichéisme ne subsiste en lui.
Nous sentons qu’à tout instant Ivan peut se sauver et Aliocha se perdre. La pureté toujours menacée de celui-ci n’a rien à voir avec l’immobile perfection d’un Myshkine. Il n ‘y a plus de bons ni de méchants en soi. Il n ‘y a plus qu’une seule réalité humaine. C ‘est là la forme suprême de ce que nous avons appelé l’art « par rassemblement ». Le mal et le bien y sont comme les voix alternées d’un même chœur.
Si farouche que soit leur combat, il ne peut plus nuire à l’harmonie de l’ensemble. Les grandes scènes du roman sont autant de fragments d’une véritable épopée chrétienne. »
Aussi, en renonçant à l’orgueil, avons-nous le pouvoir de guérir nos maux et d’identifier ce qui serait pour l’Occident l’occasion de formuler les raisons de son échec, à défaut de quoi, l’orgueil, notre orgueil, nous détruira :
« Au fond de toutes choses, il y a toujours l’orgueil humain ou Dieu, c’est-à-dire les deux formes de la liberté. C’est l’orgueil qui maintient profondément enfouis les souvenirs gênants; c’est l’orgueil qui nous sépare de nous-mêmes et d’autrui; les névroses individuelles et les structures sociales oppressives sont essentiellement de l’orgueil durci, pétrifié. Prendre conscience de l’orgueil et de sa dialectique c’est renoncer aux découpages de la réalité, c’est surmonter la division des connaissances particulières vers l’unité d’une vision religieuse, seule universelle.
Mais, pour se rendre maître de cette dialectique, il faut autre chose que de l’intelligence, il faut une victoire sur l’orgueil lui-même.
Jamais l’intelligence orgueilleuse ne comprendra la parole du Christ: Qui ne rassemble vers la dispersion et la division finale, c est-à-dire vers la mort; mais accepter cette mort, c’est renaître à l’unité. L’œuvre qui rassemble au lieu de disperser, l’œuvre vraiment une, aura donc elle-même la forme de la mort et de la résurrection, c’est-à-dire la forme de la victoire sur l’orgueil.
Le double expulsé, l’unité retrouvée, c’est l’ange et la bête romantiques qui s’évanouissent pour faire place à l’homme dans son intégrité. La droite raison et le réalisme vrai triomphent sur les chimères du souterrain. En
acceptant de se regarder d’abord comme pécheur, l’écrivain ne s’est pas écarté du concret, il ne s’est pas abîmé dans la délectation morose; il s’est ouvert à une expérience spirituelle dont son œuvre est à la fois la récompense et le témoin.
L’expérience ne diffère pas, dans son essence, de celle de saint Augustin ou de Dante; c’est pourquoi la structure des Frères Karamazov est proche de celle des Confessions et de La Divine comédie. C’est la structure de
l’incarnation, la structure fondamentale de l’art occidental, de l’expérience occidentale.
Elle est présente toutes les fois que l’artiste réussit à donner à son œuvre la forme de la métamorphose spirituelle qui lui a donné le jour. Elle ne se confond pas avec le récit de cette métamorphose, bien qu’elle puisse coïncider avec lui; elle ne s’achève pas toujours dans la conversion religieuse qu’exigerait son plein épanouissement… »
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33337986/f172.item.texteImage
Voilà, le chemin de traverse saura alors déboucher sur le pays de lumière, où ce qui se conçoit difficilement est exposé à la clarté que les grands artistes sont à même de formuler, et dont je ne suis ici que l’obscur traducteur, voué, ce qui est un encouragement, à l’impitoyable épuration de ceux qui refusent de voir et d’entendre.
@ Noblejoué | 14 octobre 2019 à 00:46
« Donc quand, où, comment partir ? »
« Courage fuyons » est la pire des solutions. C’est abandonner son pays pour mieux le livrer à l’ennemi pour l’occuper. Ça s’appelle la lâcheté, la pire des faiblesses – la trouille d’aller les affronter de face.
La France et l’Europe, une vraie passoire, feraient mieux de s’entendre sur le même registre si nous voulons vivre en sécurité : créer une frontière unique autour des 27 pays de l’UE avec des miradors, des radars de géolocalisation et des caméras de surveillance. Techniquement c’est possible et faisable, à condition que tout le monde y mette du sien avec réalisme et lucidité. Attendre et ne rien faire c’est être incapable de prévoir le pire.
@ Aliocha
Se sacrifier pour porter la culpabilité d’autrui se traduit très simplement par le fait de tendre l’autre joue lorsqu’on vous gifle injustement. Il s’agit de faire prendre conscience à son agresseur de sa faute, une fois son agressivité assouvie.
Il s’est sacrifié pour nous faire prendre conscience de nos fautes et par là même nous en absoudre.
Girard semble avoir ignoré que dans la Grèce antique, se sacrifier ainsi était un privilège pour lequel on faisait la queue, celui s’accéder ainsi à la sainteté.
Et ne serait-ce pas comme il l’a fait avec le deus pater des Indo-Européens, Alexandre qui aurait introduit en Palestine cette pensée totalement étrangère au judaïsme ?
@ Chemins de traverse | 14 octobre 2019 à 03:55
« Ce qui se conçoit bien… »
Merci. Mais Belzébuth fait de la résistance.
@ Nathalie DP
Mais où êtes-vous allée chercher ça ?!?…
@ Robert M. 13 octobre 2019 à 22:45
« Vous avez même réussi à nous placer le burkini qui n’est pas différent des « accoutrements » des nonnes et des cardinaux »
Perso j’ai été en pension cinq ans dans les années 60 chez les « bonnes » soeurs et je n’en ai jamais vu AUCUNE en burkini, voire en short, alors que certaines étaient nos profs de sport (basket, volley, tennis).
En même temps, comme dit Manu, on n’avait pas piscine non plus…
Dommage, à la réflexion, soeur Marie Myriam (120 kg, à vue d’oeil) en burkini ça nous aurait réconcilié avec notre prof de maths qui nous tannait avec sa phobie sur la relativité.
Plus tard, devenue grande, j’ai opté pour la comptabilité analytique (mais mon psy me dit que ce n’est pas grave :D)
Adéo Martchi
@ Ellen
Je n’ai jamais prétendu avoir du courage… Je ne prétends à rien d’autre que de vouloir être libre.
Donc je dis aux gens de ne pas s’abandonner, fermer les frontières, et être ferme face au grignotage de la laïcité, des droits des femmes et d’autres abus.
Mais si le pays s’abandonnait, pourquoi ne pas l’abandonner ?
Dois-je vivre en dhimmi ou finir en martyr à cause des Aliocha, Denis Monod-Broca et autres Elusen ?
C’est aux auteurs de cette situation et non aux innocents de porter les conséquences de leurs actes.
Si le pays s’abandonne et qu’on a les moyens, soit d’argent, direction Etats-Unis ou Canada, soit de courage, suicide, il faut prendre ses dispositions. On m’a censuré sur le suicide.
Je voulais le plus de renseignements possibles sur les signes politiques décisifs possibles d’un moment de basculement, des renseignements sur l’installation à l’étranger et… des renseignements sur le suicide. Avec capital ou compétences, on est reçu, sans non.
Donc pour les élus comme pour les rebuts, il faut penser à tout le monde, je demandais des renseignements sur l’immigration comme sur le suicide. Je n’oublie personne, ni les revers de fortune, ni au contraire l’élévation de la catégorie des personnes que personne ne veut possiblement accueillir.
http://framon.unblog.fr/2015/08/18/la-roue-de-la-fortune/
Eh bien, entre ceux qui nous condamnent aux musulmans et ceux qui nous réquisitionnent pour la résistance, les gens comme moi n’ont aucune chance. Si on pouvait fumer de l’opium, tout serait simple, j’en prendrais raisonnablement, et en cas de problème comme celui que nous évoquions, ou d’autre, il me suffirait de me laisser aller à une plus grande dose et partir sur un nuage.
Je n’ai jamais rêvé de finir héros, mais d’avoir l’intelligence de prévenir des dangers, ce qui n’est pas la même chose.
Il faut bien comprendre que le courage est requis… en cas d’échec. Et ce sont des coupables comme Denis Monod-Broca, même pas capable de voir la différence entre nazi et non nazis, qui vont sauver la situation ? Ou des ratés comme moi, qu’on n’écoute ni pour le danger musulman, ni pour le risque d’un possible gouvernement mondial tyrannique ni pour rien, qui soudain, auraient de l’éloquence ? Il faudrait croire qu’un pays avec police et armée devrait sa délivrance à des résistants à peine armés ?
La dernière fois, nous avons été sauvé par les Alliés, pas par Papy fait de la Résistance !
Donc, résumons, quelqu’un qui a échoué dans un pays de gens si lâches qu’incapables de prévenir les dangers doit victorieusement résister aux envahisseurs ?
Ou alors, c’est pour le panache. Alors, le panache, c’est distrayant, mais je n’en ferais pas un numéro.
Empêcher le pire d’arriver à mon pays, au monde, a moi, c’est ce que je désire le plus au monde. Le panache, ou pire que tout, le qui perd gagne, n’est pas pour moi.
Seule la victoire est belle :
https://www.panoramadelart.com/victoire-samothrace
La Cimade, compagnon de route « objectif » du parti cocomuniste.
Il est donc nécessaire de me répéter, Xavier NEBOUT, puisque vos oreilles n’entendent pas, ce que je vous avais déjà dit sur le sujet :
Non, Xavier, car la porte est ouverte à présent et il n’est plus besoin de sacrifice. La faute étant identifiée et le mensonge pulvérisé, la volonté d’être crucifié, après le Christ, n’est que désir de pouvoir, de s’approprier l’être transcendant de la victime qui, dans le système archaïque, ramenait l’ordre par son sacrifice. Ce n’est donc pas la crucifixion qui est à imiter car elle est démonétisée par la révélation, mais plutôt le don total sans rétribution sacrée, ce qui pourrait être une nouvelle définition de la sainteté.
Ainsi, la volonté chez les Grecs de se sacrifier est volonté de s’associer au corps du bouc, divinisé car il ramenait l’ordre et la paix dans le corps social, avant la révélation.
C’est ce mécanisme qui est révélé, selon Girard, par la croix, affirmant que c’est l’homme qui définit la divinité ainsi, Jésus contredisant cette affirmation. Il n’y a donc, maintenant que tout est révélé, que le renoncement au désir de prédation car la mécanique émissaire a avoué son mensonge, et tendre l’autre joue ne signifie pas ne pas se défendre, mais ne plus agir selon ce désir, brisant alors le cycle des vengeances réciproques.
Si Lucile avait conscience de cela, elle s’éviterait le ridicule de me traiter comme elle le fait, elle ne fait que prouver qu’elle est soumise à l’esprit de haine et de division, Dostoïevski ayant démontré que ce n’est qu’une forme comme une autre de vénération.
« Libère-moi du sang versé, Dieu, mon Dieu sauveur,
et ma langue acclamera ta justice.
Seigneur, ouvre mes lèvres,
et ma bouche annoncera ta louange.
Si j’offre un sacrifice,
tu n’en veux pas,
u n’acceptes pas d’holocauste.
Le sacrifice qui plaît à Dieu,
c’est un esprit brisé,
tu ne repousses pas, ô mon Dieu,
un cœur brisé et broyé… »
Psaume 50 chanté en slavon pour le Carême :
https://www.youtube.com/watch?v=erIgelUhqoc
@ Lucile
« Si Lucile avait conscience de cela, elle s’éviterait le ridicule de me traiter comme elle le fait, elle ne fait que prouver qu’elle est soumise à l’esprit de haine et de division ».
Quant à moi, je serais national-socialiste ou autre, ce n’est pas la chute des feuilles mais des crachats. Marrant comme des gens qui sont pour l’accueil de l’autre qui nous menace ou pour le pardon des offenses peuvent être offensants : j’ai toujours pensé que l’accueil inconditionnel ou le pardon était des illusions.
On accueille le musulman menaçant, on ne ne différencie pas le nazisme du reste, mais toutes griffes dehors si on n’est pas de votre avis !
Il n’y a que DÉPLACEMENT.
Le pardon ? Les chrétiens espèrent bien que s’ils pardonnent, Dieu leur donnera le paradis et l’enfer aux autres : la bonne affaire de céder son dû pour en recevoir cent fois plus.
Renoncement, honnêteté intellectuelle : mais oui, c’est cela…
Si René Girard a raison de dire que le renoncement à la vengeance apaise la société, il dit aussi, je ne sais plus où, qu’en fait, la violence se déplace : il prend je ne sais plus où l’exemple de ceux qui autrefois chassaient des têtes et ne le font plus, et qui se comportaient mieux avec leurs femmes avant.
Pour lui, lié au christianisme, c’est plus facile a voir que la question de l’enfer et de se dédommager de pardonner aux ennemis par cela ou par exigences démesurées envers l’ami. Tels sont par exemple des gens qui n’ont pas été aimés voire carrément maltraités par des gens, leur pardonnent, mais, agressifs, ce qui se comprend avec leur vie, feront un drame si à leurs critiques acerbes, on répond sur le même ton.
Dès qu’il ne s’agit pas de christianisme, d’enfer et autre chose, René Girard retrouve cette notion de déplacement, avec la fin des duels, on a une violence plus diffuse, plus de ressentiment.
C’est évident : et moi, je suis pour le rétablissement des duels, donc. Le ressentiment, ce n’est guère beau, perdre l’honneur, non plus, la Justice n’est pas toujours juste, la popularité non plus. Alors dire que le plus fort gagne comme si ailleurs non….
Comment donc envisager de vivre quand on vous a injustement insulté ? La royauté, par avarice du sang des nobles, par monopole de la violence, a voulu les priver de défendre leur honneur, et ensuite la République n’a pas voulu qu’on défende son honneur.
Ce qui n’est pas défendu se perd, il n’y a plus d’honneur. Les gens s’échangent des insultes, des injustices, assurés de l’impunité physique, et comme si cela ne suffisait pas, morale, en promouvant l’impunité morale. Je n’ai pas tort, je te pardonne, et fais comme moi pour les autres.
En fait, ce sont eux, les offenseurs. Au nom de leur dieu, ou même de René Girard, paradoxe quand lui était VRAIMENT dans l’écoute de l’autre et sans offenser, ce qui ne veut pas dire mou, lire son style tranchant. Au nom de n’importe quoi, le réfugié, c’est de saison, tiens, toute offense, sur le style, l’envergure intellectuelle, on fait feu de tout bois.
Et puis, de nos jours, l’honneur n’est JAMAIS rétabli.
Ici , un incroyable naïf a écrit un jour que les gens allaient trop loin et le regrettaient.
Et moi je dis que soit ce sont des lâches niveau invertébrés vu qu’ils ne risquent rien à s’excuser, soit en fait, ils ne regrettent rien, soit qu’ils s’imaginent avoir raison, soit que, comme Polanski si excusé ici, ils apporteraient tant au blog qu’on devrait prendre leurs crachats comme des décorations.
Parce qu’ils ne présentent jamais leurs excuses.
La repentance pour les ancêtres, c’est mieux que rien, certes, mais comme on n’en a pas le culte, on ne peut pas dire que cela nous coûte grand-chose.
Peu de gens s’excusent, et quand ils le font, ils sont insupportables, on dirait qu’ils veulent être applaudis pour un tel exploit et sont titulaires d’un droit à être pardonné.
De sorte qu’au lieu d’humiliées et soumises, elle peuvent être humiliantes et dominatrices.
Un comble !
Or moi, je ne pardonne guère que si les gens le méritent, ce qui est rare. Je ne veux pas qu’on punisse des innocents, on le fait toujours, les drogués par exemple, je ne veux pas que des gens qui s’en prennent injustement aux autres le fassent impunément.
En clair, si j’étais un animal, je ne voudrais pas être une poule, qui se laisse picorer par la supérieure et picore l’inférieure
Je voudrais être un tigre, si possible de Sibérie, il y a un livre formidable sur le fauve, la faune, les gens, Histoire, ethnologie, géographie sur le sujet.
Eh bien ce fauve est l’animal le plus juste qui soit. Pas pour ou contre l’être humain, il rend ce qu’on lui donne, il ne fait rien à je ne sais plus quel peuple qui le laisse tranquille, et traque le chasseur qui l’a blessé quels que soit le temps et les risques, et d’une manière souvent déroutante.
De nos jours, il est de mise de dire que ce n’est pas l’Homme, mais le chat qui a domestiqué l’humain, en tout cas, un jour, un tigre a amené un animal mort à un Russe qui l’a poliment décliné de peur que l’animal ne vienne, à charge de revanche, se servir dans son bétail.
http://www.leseditionsnoirsurblanc.fr/le-tigre-john-vaillant-9782882502551
Bref, les gens qui pardonnent leurs offenses pour le faire payer à d’autres ou sous formes différée par un autre comme avec l’enfer, ou plus souvent qui disent de le faire sans ces contorsions, sont comme des poules qui piquent qui ne les pique pas et ne pique pas qui les pique.
Sinon, il y a, c’est vrai, l’amour, on aime tellement telle personne qu’on lui passe tout, cela existe, et n’est, pas forcément, un bien, comme on le voit avec les femmes battues… Un pardon qui ne soit ni hypocrisie, ni contorsion, ni soumission, je ne vais pas dire que ce soit impossible, mais enfin, ce n’est pas aussi fréquent qu’on le prétend, et disons, rare et discret, comme une once, en fait :
https://www.youtube.com/watch?v=89y_VwtH7cA
Bref, ne pas répliquer est bon pour la société dans son ensemble dans le sens paix, mais c’est une paix comme après une dictature où les tyrans ne seront pas punis.
Il y a un coût : l’abaissement des victimes, la publicité du métier de tyran. Aventure puis villégiature ! Dans ce métier de transgresseur, l’Etat garantit votre impunité même quand vous avez quitté le pouvoir, de sorte que sans être le chef des forces armées, elles restent à votre service sans que vous ayez seulement le souci de les commander. Est-ce que le vrai luxe c’est l’espace ?
https://www.dailymotion.com/video/xaoayi
Une des raisons pour lesquelles on expulse les peuples premiers des futures ou anciennes réserves naturelles : on n’aura pas à se polluer les yeux sur des humains, on parcourra, dominera un vaste… espace.
Ou est-ce que le vrai luxe, c’est l’impunité ? Cas du tyran, cas de ceux qui expulsent les sauvages ?
Mais bref, le tourner la page, soyons moderne, le pardonnons, soyons chrétiens, c’est l’excuse du faible qui abdique son droit ou du fort qui l’affirme quand il le dépasse, dans les deux cas, de gens errant aussi loin de la justice que l’ivrogne incapable de marcher sur une ligne droite.
En général.
Non, René Girard n’a jamais dit de nous laisser submerger par les musulmans, il ne jouait pas à je sais tout, quoique en sachant beaucoup, disant, par exemple, qu’il y a de grands problèmes de traduction du Coran.
Il n’a pas dit que le pardon soit si pur qu’on le présente souvent, et n’a pas l’arrogance moralisatrice de ses épigones.
Dans un cas, pour l’enfer, il était bien embarrassé, plus tard, il semblait y voir quelque chose d’inexistant mais donnant lieu à de l’esthétique, je ne vais pas chercher là, mais enfin, René Girard n’est pas ce qu’on en fait, son oeuvre est très riche, très inspirante.
Jamais il ne s’est vu comme incontournable, Bible, romans ou autre, il a toujours dit que bien des gens avaient découvert l’essentiel qu’il ne faisait que systématiser.
Jamais il n’a voulu être un gourou… Mais sa manière de tenir à ce qu’il avait compris tout en ne l’assénant pas et en comprenant l’autre est exemplaire. Enfin, était ! Sa mort m’a fait un choc. Un choc répété dans une certaine mesure quand je vois la manière dont on l’instrumentalise.
Dans la vie, on m’a dégoûté de certaines choses, je n’y peux rien, c’est irrémédiable.
Je ne désire pas qu’on dégoûte de René Girard. Et il peut même m’arriver d’éprouver une certaine bienveillance pour des gens à l’identité de croyant, car pour vous, je crois qu’il s’agit plus de cela que de l’impression qu’il y aurait un dieu. Mais qu’est-ce que j’éprouverais avec des sermons qui errent si loin et de ce qu’a dit Jésus comme rendez à César, et il n’a pas ouvert l’Empire romain, et manquent tant de lucidité, tant on en vient à mettre les nazis et les autres aux même niveau, comme je l’ai lu ici, n’importe quoi… René Girard avait, lui, montré que le renoncement au renoncement à faire des victimes était une caractéristique totalitaire, mais c’est un détail de l’Histoire, si j’ose dire.
Enfin bon, avec des gens pareils, sans dire que ce sont des traîtres car paradoxalement malgré Girard, ils ne voient pas ce qu’ils font, je dirais que nous avons de grands risques de perdre notre liberté.
@ Achille | 15 octobre 2019 à 08:16
Faux monsieur Jenesaisrien !
Toute IP est géolocalisable qu’elle soit fixe ou dynamique, j’ai déjà mis les liens sur au moins deux sites plus bas.
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@ Noblejoué | 15 octobre 2019 à 04:45
« En clair : notre hôte, l’Etat et des experts en informatique. »
Non !
Il y a des techniques je les avais même indiquées dans un post que les autorités ‘bloguesquestes’ ont refusé de publier. J’avais même l’adresse postale de Robert Marchenoir et j’expliquais comment légalement je l’avais obtenue lors de son délire avec Charoulet P.
Mais surtout beaucoup de choses écrites ne sont pas de moi, mais écrites par quelqu’un d’autre des autorités ‘bloguequestes’.
Sur ce blog je peux avoir vos informations, mais je ne suis pas autorisé par l’autorité ‘bloguesquestes’ à dire comment faire.
Quant à vos propos ségrégationnistes, il suffit de remplacer le mot musulman par juif, noir, vieux, nain, roux, Rom, gitan, pour immédiatement vous décrédibiliser.
Vous dites que le mieux c’est d’empêcher ceux qui exercent la ségrégation d’exercer le pouvoir, or vous exigez cette ségrégation ; vous carburez à quoi ?!
@ Elusen
Pour l’informatique, je vous laisse débattre avec Achille.
« Quant à vos propos ségrégationnistes, il suffit de remplacer le mot musulman par juif, noir, vieux, nain, roux, Rom, gitan, pour immédiatement vous décrédibiliser.
Vous dites que le mieux c’est d’empêcher ceux qui exercent la ségrégation d’exercer le pouvoir, or vous exigez cette ségrégation ; vous carburez à quoi ?! »
C’est vous qui n’êtes pas crédible. Vous comparez des gens et groupes qui n’ont rien à voir : ni juifs, nains, roux, Roms, gitans, n’ont jamais traité les autres comme les musulmans se le permettent installés au pouvoir.
Autant dire qu’on exerce une ségrégation contre les malades épidémiques dans les lazarets :
http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/lazaret/fr-fr/
Et encore, ma comparaison n’est pas équitable pour les malades : eux ne prévoient pas de contaminer les autres avec leur maladie ou de les tuer tandis que c’est ce que font les musulmans dès qu’ils le peuvent.
Il n’y a pas trente-six moyens d’empêcher la contagion religieuse de s’abattre sur un territoire.
Chine et Japon se sont fermés aux chrétiens sous peine de mort… Je ne propose que la reconduite des musulmans aux frontières.
Mais enfin, vous pouvez aller leur demander une repentance au nom du principe de non discrimination !
Dommages et intérêts aux familles des victimes ou aux Eglises, alors ?
Vous vous proposez de favoriser l’épidémie islamiste : vous carburez à quoi ?
Le jour sans pain des justifications rappelle que le ridicule, j’en sais quelque chose, ne tue pas, et qu’il est effectivement salvateur que les polythéistes athées, dont on voit bien qu’il n’ont d’autre impasse à emprunter que de se prendre eux-mêmes pour un de leur dieux, définissent la liberté en l’usage de l’un ou l’autre psychotrope, seule solution pour croire en leur salade, et se satisfaire des jeux cruels du bac à sable de la mondanité.
Ah, les gens ma bonne dame, ne sont pas comme nous, et tous ces musulmans, bouh, bouh, bouh, des belzébuths, des branleurs, des nazis, des autres, quoi, des qui osent ne pas se soumettre au grand omnipotent moimoimoi, jetons-leur notre gant, à ces manants, qu’ils amènent leur témoin, demain à l’aube derrière l’église, ils nous feront alors la grâce, ou de se soumettre, ou d’abréger la souffrance, la haine qu’on leur porte, ne sachant cacher que notre idole, c’est eux, que l’intelligence qui nous a été donnée est un piège redoutable, et que le mépris qu’on leur porte, au petit matin tout à coup, contre nous se trouve inversé.
La Cimade bien sûr, mais le Secours catholique c’est pas mal non plus !
@ Aliocha
« Le jour sans pain des justifications rappelle que le ridicule, j’en sais quelque chose, ne tue pas, et qu’il est effectivement salvateur que les polythéistes athées, dont on voit bien qu’il n’ont d’autre impasse à emprunter que de se prendre eux-mêmes pour un de leur dieux, définissent la liberté en l’usage de l’un ou l’autre psychotrope, seule solution pour croire en leur salade, et se satisfaire des jeux cruels du bac à sable de la mondanité. »
Je défends la drogue au nom de la liberté d’expérimenter sur soi. Je n’ai pas besoin de drogue pour me confirmer ce que je pense. Quand il s’agit de tout faire pour rester libre ou d’accroître ses capacités. Et d’autre part, quand je doute de quelque chose, comme à quoi bon quoi que ce soit dans le monde tel qu’il est, il faudrait certes le rendre meilleur, mais on part de si bas que c’est infiniment difficile, je ne fais pas tout pour y croire quand même.
C’est un truc de monothéiste de douter de ces salades, par exemple, un dieu tout-puissant responsable de rien alors que les humains seraient coupables quand ils ne font que subir… Et de compenser en persécutant les autres, et/ou par l’usage de prières, et/ou par l’usage de direction de pensée, de confessions, de cent techniques de compensation… Je n’ai en rien une mentalité de monothéiste, à savoir de double pensée.
La drogue est une technique, la drogue pour modifier ses perceptions, non sa philosophie, certains en prennent pour ceci, d’autres pour cela, moi ce ne serait pas pour faire dans la mondanité dont jamais rien de bon ne sort, seulement des insultes et le fait qu’en conclusion, en France, les gens sont contre la liberté, ni pour la liberté d’expression, ni pour la liberté de la GPA ni pour préserver la liberté du danger musulman, ni pour la liberté de s’habiller comme on veut, enfin, jamais pour aucune, il y a toujours une bonne raison de renvoyer la liberté aux calendes grecques.
J’ai hésité à vous répondre tant vous mélangez tout et donner dans la caricature, si je pouvais prendre de l’opium, je n’irais plus sur le blog, il y a d’autres choses aussi, dont je ne me soucierais plus, je me laverais les mains de tout comme Pilate, et je serais dans un mélange de détachement et de joie parfait.
Mais notre société est trop doloriste pour accepter la sérénité pour tous comme elle surévalue trop le passé pour être favorable à la PMA et la GPA pour tous et même au mariage pour tous.
Il faut bien surévaluer le passé, tout le passé, quand on n’est pas capable de voir qu’il nous faut imiter l’amour de la liberté des Anglo-Saxons, dont le parcours n’est pas constamment semé de périodes de régressions autoritaires, de la Terreur à l’Occupation.
Qu’un peuple si enclin aux illusions réconfortantes s’oppose plus que d’autres à celles de la drogue s’explique : il faut communier dans une grande illusion collective, que bien sûr on ne va pas s’avouer, et s’en prendre à qui reste sur son nuage personnel. Il faut réquisitionner les gens, c’était pour plus de productivité que les Américains ont fait la Prohibition, nous, c’est aussi pour cela que nous sommes contre les drogues, mais surtout pour ce que j’ai dit, la productivité d’illusions collectives opposées au paradis artificiel et personnel du drogué.
Et qu’on ne prétende pas qu’on agisse par compassion ! La compassion de vouloir faire honte et d’aller jusqu’à enfermer des gens pour le seul crime du plaisir, très peu pour moi. Aller jusqu’au bout de la logique de rentrer les drogués dans le rang, dans leur petite case, c’est les mettre dans un cercueil, comme aux Philippines, politique approuvée par plusieurs et dénoncée par… ?
Moi, moi, moi… Je ne crains pas de m’affirmer, que le moi soit haïssable ou pas, ce qui nous fera une habile transition jusqu’à une autre de vos salades.
« Ah, les gens ma bonne dame, ne sont pas comme nous, et tous ces musulmans, bouh, bouh, bouh, des belzébuths, des branleurs, des nazis, des autres, quoi, des qui osent ne pas se soumettre au grand omnipotent Ah, les gens ma bonne dame, ne sont pas comme nous, et tous ces musulmans, bouh, bouh, bouh, des belzébuths, des branleurs, des nazis, des autres, quoi, des qui osent ne pas se soumettre au grand omnipotent moimoimoi, jetons-leur notre gant, à ces manants, qu’ils amènent leur témoin, demain à l’aube derrière l’église, ils nous feront alors la grâce, ou de se soumettre… »
Les musulmans posent d’insurmontables problèmes, nous ne maintiendrons pas, je le pense, nos libertés en laissant s’installer trop de gens hostiles à la laïcité, la démocratie, les Juifs, les droits des femmes et je dois en oublier car il y a parmi eux trop d’arriérés.
Comme on ne sait manifestement pas trier entre le bon grain et l’ivraie, il faut maintenir tous les candidats à l’immigration hors de nos frontières.
D’autre part, je parlais du duel. A savoir de rétablir l’honneur… Qu’est-ce que cela peut avoir à voir avec les musulmans sans honneur, eux qui rendent le mal pour le bien ? Je n’ai pas pensé à eux pour un sujet aussi noble. Je ne pense jamais à eux quand il s’agit d’établir une plus grande liberté d’expression, augmenter les capacités humaines ou quoi que ce soit de quelque valeur, cela va sans dire.
Les musulmans n’en sont pas exclus s’ils en veulent. Mais ce n’est pas une adaptation à leur usage. Accessoirement : nous n’avons pas à nous adapter à eux, savoir être moins laïcs, moins pour les droits des femmes ou ne pas protéger les Juifs de leurs menaces.
La Cimade : Qui veut faire l’Ange fait la Bête !
Vous avez raison, Noblejoué, vous décrire revient à tout confondre, et je ne fais que vous proposer une alternative aux illusions confortables, les toxiques ne faisant qu’entretenir la tyrannie des manies.
Pour ma part, je serais plutôt anti-prohibition de tout, même du voile, étant adepte de la liberté, proposant d’accéder au consentement démocratique, en soulignant l’exigence absolue qu’il demande, fort bien décrite par la loi, laissant à celle-ci le pouvoir transcendant bien que toujours perfectible du maintien de l’ordre.
Cela permet, au moins pour soi-même, d’envisager une alternative à la montée aux extrêmes, où le duel inévitable est toujours la chute dans l’idolâtrie, ce mélange de haine et de vénération qui nous guette quand nous oublions que nous fonctionnons par mimétisme, et que l’autonomie est en ce sens l’illusion suprême du romantisme.
Nous fonctionnons en imitant un modèle, le nier transforme ce modèle en rival à abattre, et nous appartenons alors à la violence, seule à même de justifier cette négation.
Ce que propose le Christ pour sortir de ce mensonge et nous permettre d’envisager avec joie notre si bref passage en cette conscience qu’est la vie humaine, est de l’imiter lui, nous permettant d’échapper ni à la souffrance ni à la mort, mais au mensonge, nous donnant la force nécessaire pour effectuer ce passage vers la vérité qu’est l’imitation du Rabbi, ce passage du double à l’unité, où l’humain enfin capable de s’envisager pleinement révélé, accepte l’invitation qui lui est faite de participer au festin de l’éternité :
« Les hommes retrouveront peut-être le génie épique quand ils sauront ne rien croire à l’abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux. Il est douteux que ce soit pour bientôt. »
http://teuwissen.ch/imlift/wp-content/uploads/2013/07/Weil-L_Iliade_ou_le_poeme_de_la_force.pdf
Notre discussion en est le signe, ce bientôt de Weil est maintenant, je vous remercie de me donner l’occasion, en ce qui n’est pas opposition mais partage, de savoir formuler cette proposition que nous fait la vie, et que, naturellement, vous êtes libre de refuser.
@ Aliocha
« Nous fonctionnons en imitant un modèle »
Mes modèles sont ceux qui nous dépassent en quelque domaine que ce soit : les Anglo-Saxons pour la liberté, par exemple.
Je ne nie pas notre arriération face à eux… Je ne saurais être dans la rivalité avec eux tant ils nous sont supérieurs en cela.
« Vous avez raison, Noblejoué, vous décrire revient à tout confondre, et je ne fais que vous proposer une alternative aux illusions confortables, les toxiques ne faisant qu’entretenir la tyrannie des manies. »
Vous confondez tout parce que je ne rentre pas dans vos cases, voyons. Je n’ai jamais nié imiter des gens.
Et même admirer par exemple ici, mais on m’a rendu le mal pour le bien. Je n’en ai pas cru mes yeux, mais en somme, cela m’a appris que la personne était injuste, donc pas admirable. Vous rendez-vous compte que sinon j’aurais pu imiter quelqu’un qui ne le méritait pas ? Et ainsi, j’aurais dégénéré à ce niveau, c’est effrayant.
Effrayant aussi est la crainte de ne pas se hisser au niveau qu’on voudrait, pour soi et pour quelqu’un qui vous y aide, c’est bien bon, non parce qu’on serait pire mais qu’il serait triste de blesser quelqu’un de merveilleux. Il paraît que je suis bien sévère quand on me déçoit, je lui ai dit que je ne vois pas comment elle pourrait le faire, ai dit que je ne voulais pas être comme ça avec elle, j’y pense en l’écrivant, comme elle me recrée, je ne peux pas le faire, ce serait comme renier ses parents de découvrir qu’ils ne sont pas parfaits.
Je voudrais bien le lui dire, mais j’en ai assez de parler, et de tout depuis le 10 septembre 2017, d’ailleurs, et cela n’a malheureusement rien à voir avec de distrayantes histoires de rivalité.
« …les toxiques ne faisant qu’entretenir la tyrannie des manies. »
Vous ne comprenez pas plus les drogues que vous ne me comprenez, elles sont différentes les unes des autres, et pour ce qui concerne l’opium, détache de tout.
L’opium n’abolit rien, il n’entretient rien, il détache… Mais les monothéistes ne comprennent pas le détachement. C’est tout ou rien, on est avec eux ou contre eux, dans le monde au sens de rivalité ou hors du monde au sens de révélation.
Je ne suis pas dans la foi, je sais ou je ne sais pas. Je ne tiens pas le vestiaire des gens lapidant les chrétiens puis ensuite me mettre à diaboliser les non chrétiens. Beaucoup s’agitent pour ne pas changer au fond, être toujours aussi fanatique. Typique de l’attitude monothéiste.
Je ne crois ni au satori ni à la révélation, il y a, plus simplement, des états mentaux sans rien, je le pense, évidemment, je n’en sais rien mais qui, de transcendant.
Quoi qu’il en soit, se surveiller permet de se savoir dans la rivalité dans le cas où on le serait. Donc d’essayer de ne pas y perdre sa lucidité, et surtout de ne pas faire ou laisser faire de victime.
Mais il n’y a pas que la rivalité… Il y a l’extrême haut et l’extrême bas où c’est impossible.
Les Anglo-Saxons sont trop hauts pour la liberté politique, quelques Orientaux le sont ou l’étaient, qu’en reste-t-il, dans un détachement taoïste ou l’idée de faire le bien sans désir de récompense et sans se payer de mots comme Confucius, j’imite, je ne saurais rivaliser.
Les musulmans n’apportent rien, les meilleurs sont capables d’imiter la liberté occidentale, les pires la minent, et moi je dis que nous avons à assumer tous les Français mais à nous fermer à tous les musulmans étrangers.
Car nous ne sommes pas des orientalistes distingués pour savoir garder les meilleurs, rejeter les autres, ni des alchimistes pour changer du plomb en or.
Si j’étais dans un château-fort et alertais à cause de suspects qui ensuite nous égorgent, je ne me battrais ni pour leur prêcher les usages de céans ni pour me battre à coups d’épée avec eux : aux coupables de se réhabiliter en s’occupant de leurs protégés.
Je dirais qu’on se ferme aux autres Troyens de bas étage, et qu’il serait bon d’apprendre les usages des châteaux plus merveilleux que le nôtre, en somme, se sauvegarder et progresser, pas jouer au pompier pyromane.
Je suis, comme tout le monde, en rivalité avec des égaux, par exemple, sur ce blog, comme toute personne, à essayer de faire progresser mes idées.
Et je vise d’autres choses ailleurs, où je ne saurais dire qui sont mes rivaux car ce serait dévoiler mes buts.
Le pasteur Blanchard est un Saint, pas un Parfait. Il tient pour Le Pen !