J’ai conscience du caractère désespérant de ce titre mais il n’implique pas dans mon esprit que la défaite soit pour toujours et qu’un redressement soit impossible.
Il n’empêche que jour après jour, et depuis des années, avec l’aggravation terrible du quinquennat d’Emmanuel Macron sur le plan largement régalien pour des raisons que j’ai été conduit à trop développer malheureusement, quelque chose de fondamental s’est produit dans notre société. Il me semble que sans forcer le trait nous sommes passés, dans beaucoup de registres, d’un monde où le Bien n’était pas respecté à celui de la domination du Mal. Le rapport de force a changé de camp.
Avec, de surcroît, une certaine illisibilité dans la hiérarchie des responsabilités et des sanctions.
Je continue à mettre l’accent, pour le début de cette dramatique évolution, sur le moment où dans certaines cités, le corps des sapeurs-pompiers, unanimement admiré, et les médecins appelés souvent en urgence, ont été attaqués, molestés, sans possibilité d’accomplir leur mission de sauvegarde.
Tout a commencé là, quand même l’humanité la plus exemplaire a été bafouée seulement parce qu’elle était une émanation officielle, l’expression d’un Etat dont ces enclaves devenues de plus en plus étrangères et maîtresses des lieux ne voulaient plus.
Alors il serait fastidieux de dérouler la chronique d’une France de plus en plus mal en point et face à laquelle les indignations politiques, les tweets et les déplacements n’apportaient pas l’ombre d’une solution. Par impuissance sûrement.
Tous ces citoyens qui n’en pouvaient plus de subir et d’endurer faisaient partie de ce peuple qui dans notre pays a très mauvaise presse. Il est tellement plus gratifiant de s’occuper des problèmes sérieux, les banques, les bénéfices, le CAC 40, la France en 2050, l’écologie sophistiquée, plutôt que de s’attacher à la détresse des Français, quelles que soient leurs conditions d’existence. Les délits et les crimes, c’est inéluctable… la tolérance zéro est impossible… et ils nous fatiguent, tous ces indignés, alors que l’insécurité et la violence n’existent pas puisqu’elles résultent seulement d’un « sentiment »…
Une autre fracture fondamentale s’est produite qui a radicalement changé la donne. Par exemple les policiers ne nous ont plus protégés, il a fallu les protéger. Ils n’étaient plus respectés par principe mais présumés coupables et l’usage de la force légitime par les forces de l’ordre a été mis sur le même plan – notamment lors du comble des Gilets Jaunes dont le meilleur de leur cause a été sacrifié – que les rares et scandaleuses violences illégitimes de fonctionnaires d’ailleurs de plus en plus poursuivis et condamnés.
On a constaté, sans attirer suffisamment l’attention sur le phénomène, que le Mal ne s’est plus contenté d’attendre, de se dissimuler, de résister, de fuir et d’adopter une attitude singulière ou collective qui révélait encore une sorte de déférence perverse pour la police mais qu’au contraire il a pris la main.
On a tendu des embuscades, des guet-apens à la police, on lui a tiré dessus avec des mortiers, on a attaqué et brûlé ses véhicules, on n’a plus eu le moindre scrupule pour la blesser, la tuer, elle est devenue l’ennemie contre laquelle tout était permis puisque d’une part avec cet Etat infirme on pouvait tout se permettre et que d’autre part le charme sombre de la voyoucratie et de l’immigration forcément innocente a supplanté, médiatiquement, tout ce que la réalité enseignait et qui crevait les yeux. Mais certains ne voulaient pas voir.
Cette transformation d’un Etat qu’on a craint dans la multitude de ses incarnations officielles, malgré les envies de déstabilisation ou de révolte, en une société qui a pris sa relève pour le pire, a été dévastatrice. Ce qui retenait a craqué. Ce qui dissuadait s’est effacé. La démocratie est apparue comme un concept de plus en plus creux, l’autorité telle une forme vide, les politiques comme au mieux des bonnes volontés dépassées, parce que les premières ont été vidées de sens et et que les seconds se sont enlisés dans un parler tiède et une approche prudemment atténuée de la réalité et de son extrémisme incontestable.
D’où la poussée considérable d’une droite extrême qui se situe au moins à 30 % de l’électorat avec une très forte majorité approuvant les thèmes zemmouriens, jusqu’à l’éventualité du Grand Remplacement (CNews).
Sur le plan régalien, on a muté : l’armement de l’adversaire est devenu, dans tous les sens du terme, supérieur au nôtre dont on peut d’ailleurs se demander en mille circonstances s’il a le droit d’être utilisé. Parfois j’incline à penser que notre monde, notre France (elle a son identité et je ne crache pas sur la conception contraire d’une France diluée dans l’universel au point de se perdre de vue mais ce n’est pas la mienne) n’ont que l’envie de se coucher pour qu’on les achève.
Pour finir, je voudrais répondre à un argument trop souvent répété mais guère convaincant aujourd’hui à mon sens.
Face aux tragédies, aux massacres, aux crimes, aux délits, à la démonstration que le Mal a pris la main (par exemple ce policier hors service poursuivi et gravement frappé par quatre voyous dans le train parce qu’ils l’avaient identifié et qu’ils affirmaient connaître son adresse : trois ont été mis en examen et incarcérés pour tentative de meurtre), l’argumentation de certains bons apôtres est de s’attacher au singulier pour refuser la leçon du nombre, de nuancer, d’affaiblir, de relativiser: ce n’est qu’un épisode de violence parmi d’autres, ce n’est jamais qu’un fonctionnaire de plus de molesté…
Pourtant il n’est plus pertinent ni honnête de raisonner de la sorte. Quand les transgressions, du plus infime au plus mortifère, se déroulent quotidiennement et toujours selon le même processus, on n’est plus face à des péripéties singulières mais à un climat délétère global, à un récit national, à une France qui n’est pas offensée ici ou là mais qui perd son sang, son identité partout où, victime expiatoire, elle succombe aux coups d’une malfaisance heureuse de son impunité, persuadée de l’avoir emporté pour toujours.
Le Mal a pris la main. J’espère que sa seule faiblesse est de croire que ses adversaires politiques sont à perpétuité hors d’état de lui nuire.
« J’ai conscience du caractère désespérant de ce titre mais il n’implique pas dans mon esprit que la défaite soit pour toujours et qu’un redressement soit impossible. »
Je suppose qu’après avoir lu ce billet vous avez le moral dans les chaussettes. Je crains que notre hôte nous fasse une petite crise de zemmourite aiguë. Mais après l’élection présidentielle ça devrait passer.
Ceci étant vous vous êtes procuré un Taser (attention il faut un permis car c’est une arme de catégorie B) ou une petite bombe lacrymogène pour sortir le soir au cinéma ou au théâtre.
Voici deux informations qui devraient vous remonter le moral :
Taux de chômage le plus bas depuis 13 ans
La bourse de Paris se hisse à son niveau le plus haut depuis l’an 2000
Si cela ne suffit pas, il vous reste la méthode Coué en vous rappelant cette citation d’Henri Queuille que Savonarole se plaît de temps en temps à nous rappeler :
« Il n’est pas de problème, si compliqué soit-il, que le temps et l’absence de solutions ne finissent par résoudre. »
Ou encore cette phrase de Bossuet très prisée par sbriglia :
« Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes. »
Surtout gardez le moral. Dites-vous qu’aujourd’hui les choses vont plus mal qu’hier mais beaucoup mieux que demain ! 🙂
Vous parlez, avec juste raison, d’une « malfaisance heureuse de son impunité ». Curieuse expression de la part d’un ancien magistrat, un procureur qui plus est.
Vous ne vous attardez pas pour expliquer les raisons de cette impunité. Pourquoi ?
Serait-ce parce que ces voyous qui transgressent quotidiennement la loi savent très bien que, même traduits en justice, ils ne risquent pas grand-chose ? Même condamnés, ils bénéficieront d’un sursis qui ne sera jamais révoqué, même en cas de récidive.
Tous les jours on découvre dans la presse que tel auteur de crime ou délit est « défavorablement » connu de la police et, qu’accessoirement son casier judiciaire comporte de nombreux feuillets.
À qui la faute ? Les lois existent, il y en a même trop se plaignent les magistrats. Alors pourquoi ne sont-elles pas appliquées ?
Chacun sait qu’un enfant qui a fait une bêtise et qui n’est pas puni recommencera. Il en est de même avec la racaille. On peut caillasser une voiture de pompiers, se mettre à quatre pour tabasser un flic, on ne risque rien.
C’est là qu’il faut chercher les racines de ce Mal que vous déplorez.
Ces racines ont poussé grâce à un terreau fertilisé par l’absence d’éducation parentale et la faillite de l’Education nationale.
Oui, la France se délite et il semblerait que seul Zemmour le constate, ce qui lui vaut la haine et les injures de la gauche bien-pensante. Bertrand et Pécresse se voient obligés de lui emboîter le pas. Quant à MLP, elle est tellement emberlificotée dans ses revirements successifs qu’elle est inaudible pour le moment.
Une chose est sûre, c’est que le président de la République et ses sycophantes n’aborderont jamais – car ils ne le reconnaissent pas – ce problème du Mal qui a envahi la France. Indifférence ? Lâcheté ? Chacun choisira.
Cher Philippe,
Je ne partage pas totalement votre point de vue sur le moment auquel « le Mal a pris la main ». Pour ma part, je pense que le basculement est plus ancien. Une guerre ne débute pas le jour de la déclaration de guerre, à l’heure des premiers morts, mais lorsque l’envahisseur se donne les moyens de combattre en achetant des armes, qu’il stocke avant d’être suffisamment puissant pour franchir la frontière.
Je me souviens d’un commissaire des RG qui, voici plus de trente ans, avait rédigé un rapport après une visite des caves du Val Fourré à Mantes-la-Jolie. Il y avait vu des kalachnikovs, il l’avait écrit… il l’avait dit à la presse locale… il a été muté, la presse n’a pipé mot… et son rapport « n’a jamais existé »…
Je me souviens aussi qu’à cette même époque, plusieurs médecins installés dans ce quartier ont fait l’objet de cambriolages violents. Les « jeunes » – pardon, les voyous – étaient à la recherche de drogue et, déjà, n’avaient plus aucun respect pour eux.
Oui, le Mal a pris la main, mais on l’y a aidé, on la lui a tendue. Ce « on », c’est le laxisme des autorités, voire ici et là leur connivence pour s’assurer la paix sociale. Le Kärcher de Sarkozy n’a jamais fonctionné et, avant lui, Chirac s’est éteint après son propos sur les « odeurs »… Quant aux présidents de gauche…
Darmanin n’est que le dernier d’une longue liste de ministres de l’Intérieur qui, face à la pègre des quartiers perdus, ont donné des coups de menton… et rien de plus. Il est vrai que, cette fois, on a atteint le sommet avec Dupond-Moretti, qui a trouvé la parade ultime : l’insécurité en France, ce n’est qu’une impression…
Non, Monsieur Acquittator, la mort d’un flic, le caillassage d’une équipe de sapeurs-pompiers, ne sont pas qu’un fait divers, un de plus. C’est un fait de société, la preuve que la société, notre société, est en danger. La preuve que nous sommes le dos au mur, que nous n’avons que deux issues : la reddition – choix de Mélenchon et d’une bonne partie de la gauche – ou la résistance, que propose la droite, celle qui sait dire non.
Cette fois, il ne suffira pas d’annoncer le « zéro tolérance », la « fin des rappels à la loi », « la fermeté de la justice » pour que le peuple apaise sa peur. Il faudra appliquer fermement ces promesses… et plus encore. Comment dès lors faire confiance au président sortant qui a mis quatre ans à découvrir le sens du mot « régalien » et danse avec le diable ? Comment croire des disciples de la dernière heure, convertis in extremis à la suppression du regroupement familial ou – mesurette pour sapin de Noël – à la suppression des « allocs » pour les familles de voyous ?
Avant même de répondre au cri d’alarme de Zemmour sur l’avenir compromis de notre civilisation, il est urgent de chasser le Mal qui déjà dépèce notre société. Il fut un temps où un ex-président de la République – celui-là justement surnommé « L’Ex » – critiquait ouvertement les paroles de La Marseillaise, « Ridicules », avait-il jugé. Encore « ridicules » aujourd’hui ? « …Ces féroces soldats… Ils viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes »…
Tout juste peut-on encore espérer que la phrase finale du refrain ne soit jamais d’actualité. Les mois qui viennent seront déterminants.
L’avenir donnera raison à Zemmour : guerre civile sur tout le territoire qui finira par un chaos irréversible, les communautés arabo-africaines vont prendre le pouvoir par la haine et la violence, les policiers vont de plus en plus quitter leur métier trop exposé aux criminels racailles musulmanes islamistes impunies qui tiennent toutes les zones et quartiers devenus des coupe-gorge sanglants, la valise ET le cercueil pour les derniers blancs de souche, une épuration ethnique violente par la terreur sanguinaire.
Vous pouvez tous faire l’autruche si ça vous arrange, vous finirez tous tondus décapités égorgés.
@ Achille 05 novembre 2021 à 15h52
« Si cela ne suffit pas, il vous reste la méthode Coué »…
Excellent conseil. Vous êtes un spécialiste de la méthode Coué… et vous vous portez comme un charme (*).
(*) Expression désuète, le charme étant en voie de disparition… Le charme… l’arbre, bien sûr. Pas l’enchantement. Votre admiration de Macron en est la preuve.
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@ Ninive 05 novembre 2021 à 16h53
Personnellement, j’en compte six. C’est sous le « règne » de Giscard que la sociologie des quartiers aujourd’hui perdus a été bouleversée (regroupement familial, politique d’habitat individuel – les « chalandonnettes » pour les initiés – incitant la classe moyenne à quitter ces quartiers, majorité à 18 ans modifiant l’autorité des parents, aucune politique d’intégration…).
Et ben mon vieux ! Comme disait mon grand-père !
Philippe au bord du désespoir ?
Voilà ce qui se passe quand on fréquente trop les journalistes et, pire, on les croit !
Pour vous remonter le moral je suis prêt à vous faire suivre les bulletins que je reçois régulièrement de l’IESF et d’une très vieille école d’ingénieurs
Si quelqu’un ici me donne l’adresse email de Zemmour je les lui ferai suivre automatiquement ! Je l’ai cherchée en vain ! 1 200 000 fans de la France devraient l’intéresser puisque la France c’est lui, d’après lui !
Car pour faire un état des lieux, pour faire un bilan, même social, surtout social, il faut deux colonnes : débit et crédit ! En chiffres !
Premier postulat : ne jamais croire les journalistes, ce sont pour la plupart les cancres de nos universités, Zemmour compris ! Rater deux fois l’ENA ne plaide pas en faveur de son QI !
Il serait donc bon de faire une liste des communes de France, population y résidant et nombres de délits ou crimes commis, après avoir déterminé une moyenne sur les derniers quarante ans et de comparer !
Voilà ce qui se passe quand dans un pays se vanter d’ignorer Maths et Sciences est devenu une forme de snobisme.
On se met dans les mains de pessimistes, seul produit qu’ils savent vendre !
C’est exactement le combat de Zemmour, démoraliser le pays ! N’y arrivant pas, il passe maintenant à la méthode émeutes. Son parcours est pourtant clair !
Un pays peut fonctionner sans journalistes ils commencent d’ailleurs à s’en rendre compte ! Le ton change, une question commence à les titiller : et si Christian Jacob avait réussi, en silence, à reconstruire la Droite ? En ignorant Zemmour et Marine Le Pen ? Les gens de droite depuis son appel adhèrent en masse au LR qui a franchi les cent mille adhérents en trois semaines ! Macron lui a indiqué le chemin avec le passe sanitaire qui a expédié les Français en masse à la vaccination. Disant au Français vous avez le choix : ou Zemmour ou un(e) des nôtres pour seulement 30 euros dont une partie déductible sur votre prochaine feuille d’impôts ! Aucune découverte c’est tout simplement le processus de sélection américain depuis 1776 !
Hier un journaliste nous a sorti l’éternel « nous avons la droite la plus bête du monde ! » auquel un de ses collègues a ajouté « la gauche aussi » !
Ben non ! C’est plus simple ! Nous avons, en les regardant de droite ou de gauche, mais aussi de devant et par-derrière, par-dessus et en dessous « Nous avons les journalistes les plus… bêtes du monde « !
De peu toutefois les Américains et les Britanniques ne sont pas loin derrière.
Le Mal est le « Prince de ce monde » depuis le commencement. Dante le voit cloué sur la Croix, à la place du Christ. Ce n’est pas un blasphème. La pleine conscience de cette mise à mort d’un innocent aurait dû ouvrir définitivement les yeux des hommes, ils auraient dû alors renoncer à faire le Mal, le Prince de ce monde se serait évanoui. Au lieu de cela, nous nous aveuglons de plus belle, nous mettons toujours tout ce qui va mal sur le dos d’autrui…
Bref, nous sommes fichus. La grogne qui soupire ne se transformera pas en rugissement, malgré la présence des dénonciateurs de vols de figues.
Le mal ! Comme s’il existait ! Le Mal est comme le temps, un élément courbe et insaisissable.
Chaque génération, comme le tisserand de Rivarol, le place dans le va-et-vient des actions humaines, à la frange de l’être et de l’étant.
Rosser le guet a été une distraction noble, pas racaille, comme percer le bedon d’un impertinent. Alors, on peut moderniser ça par l’emploi de mortiers ou de coups de tatane dans la tronche sur un homme à terre. Oui, mais là c’est la populace qui survient, la même qui venait, aiguilles à tricoter en main, voir tomber les têtes de jolies dames au nom de l’égalité.
Et c’est toujours au nom de cette ignominie que la France se dit porteuse de valeurs. Quelques mauvais papiers pompeux et tardifs ne changent rien à l’affaire, le pays a toujours poussé sous les drapeaux des enfants rigolards et bravaches, morts la pipe au bec, et la tripe à l’air. La France se dit juge mais refuse de tacher son régime du génocide vendéen parce que la République ne se discute pas, mais Molotov a craché sur le cadavre de Staline.
Le combat pour le bien ? Le jeu est beau de rajouter à la perte de l’Église son autodestruction, tout en parlant bas des institutions d’État ; vaille que vaille, on arrive à des chiffres qui sont tout simplement humains, c’est-à-dire, vils. La France se vit comme Beauvoir en s’aristocratisant dans une pensée brumeuse et salonarde, elle fait sa promotion par des ilotes de caste, eunuques du grand sérail, boudant des lèvres du haut de leurs diplômes obscurs et de leurs calculs égoïstes. C’est de la caste que vient le mal, comme depuis des siècles dans tous les mondes connus. Le peuple en épouse les contours, cherche à jouer le Léviathan. Tout a été dit, analysé, mais l’époque que nous vivons, sélective jusque dans la mémoire, souffre de deux maux supplémentaires: l’avidité de l’immédiat et la terreur devant l’infini. Ces notions qui ont animé Heidegger et qui l’ont fait se tromper, un temps, de route, jusqu’à être rattrapé, après les faits, par les immobiles, les soviétiques de la pensée amoindrie, les cégétistes du raisonnement.
Il n’y a pas de mal, il n’y a que des gens, comme les appelait avec esprit Mélenchon et qu’importe ce qu’il en aurait fait.
Rien ne pourra s’imposer, que ce soit sous la houlette de Sandrine Rousseau, souriante impénitente, esprit fin dans une âme naïvement féroce ou d’un Zemmour à qui il ne reste plus que l’attaque ad hominem pour achever son parcours pseudo-électoral.
Pas d’étendard fleurdelysé, pas de Montjoie Saint-Denis, l’avenir sera aux mathématiciens qui vérifieront les comptes et les politiques obéiront ou l’avenir ne sera pas. Le consultatif devra devenir impératif et la justice redevenir un pouvoir, pas une autorité sans autorité.
Quant au mal lui-même, il déploiera ses ailes tant que le politique lui fera plus confiance qu’aux citoyens.
Les nouveaux Gilets jaunes et ce n’est que le début :
https://actu.orange.fr/societe/fait-divers/les-dalton-sur-le-sentier-de-la-guerre-a-lyon-CNT000001Gajsk.html
Nous rentrons dans une sombre époque avec ses collaborateurs zélés. Après monsieur Emmanuel Lechypre voulant menotter les récalcitrants, voila monsieur Barbier jouant au commissaire de police incitant à la délation. À quel jeu joue-t-il ? Pourquoi jouer les boutefeux ? Il se pourrait bien que par un juste retour des choses certains veuillent lui rendre la pareille.
https://www.businessbourse.com/2021/11/05/christophe-barbier-en-roue-libre-sur-bfmtv-on-peut-demander-a-ceux-qui-ont-les-noms-des-non-vaccines-de-donner-ces-fichiers-a-des-brigades-a-des-agents-a-des-equipes-qui-vont-aller-frapper-a-le/
@ hameau dans les nuages
« Nous rentrons dans une sombre époque avec ses collaborateurs zélés. Après monsieur Emmanuel Lechypre voulant menotter les récalcitrants, voila monsieur Barbier jouant au commissaire de police incitant à la délation. À quel jeu joue-t-il ? Pourquoi jouer les boutefeux ? Il se pourrait bien que par un juste retour des choses certains veuillent lui rendre la pareille. »
Tout à fait. C’est d’ailleurs bien parce que la police défonçait ma porte à coups de hache pour que je me soumette à l’autorité médicale de ma mère que cela me fait chaud au cœur d’entendre Christophe Barbier prôner la brutalité à l’encontre des non-vaccinés qui ont le culot de hurler à la dictature sanitaire.
Le paragraphe précédant s’appelle « rendre la pareille, » comme vous le dites.
Je ne vous cache pas que je le pense. Cela s’appelle la vengeance. Un plat qui se mange froid.
Maintenant, si je prends un peu de recul par rapport à mes dispositions naturelles, effectivement, ces propos de Barbier vont bien trop loin.
Qu’on mette une obligation légale de vaccination, cela rentre dans les prérogatives de l’État. Il a le droit de le faire. Je défends l’idée qu’il en ait le droit. Je m’oppose à ce qu’il exerce ce droit de cette manière. Surtout de la manière que Christophe Barbier expose…
La santé publique légitime des mesures coercitives sur la vaccination. Pas n’importe lesquelles. Ce qu’on voit, à l’heure actuelle, c’est le danger de laisser toutes ces données s’accumuler de cette façon dans un État qui utilise son pouvoir « régalien » de manière assez barge. Parce que Barbier, il souhaite les utiliser, ces données, et ce sans complexes… Je serais curieux de lire mon entrée dans cette base de données !!
C’est à cause de ce genre de phénomène que je souhaite soustraire la médecine au contrôle étatique typique de la France. Cela fait des années que je crie dans le désert.
La santé publique justifie des choses. Elle ne justifie pas tout. Elle ne justifie pas les propos de Christophe Barbier. Nous ne sommes pas en Chine.
Maintenant, que voulez-vous ?? C’est le paradoxe français: le pays le plus anti-vaccin d’Europe occidentale. Et le pays d’Europe occidentale qui, simultanément, a les pratiques les plus coercitives sur le plan des obligations vaccinales. (Avec peut-être l’Italie comme exception, je ne sais plus…)
Mais bref. Oui. La santé publique ou même individuelle ne justifie pas tout. Mais est-ce que vous croyez que c’est la faute à La Science ? Ou la faute à un État tellement infatué de lui-même qu’il est capable de ne plus se sentir *….. ?? Ou la faute aux pulsions morales qui ont plaqué sur la médecine la même espérance de salut que la religion, et qui de ce fait font passer leur morale sous le couvert de Science ?
Cette situation n’est pas la faute à la Science. C’est la faute à l’État. Et au Français de droite et de gauche qui ne savent jamais lui poser de limites. Chaque camp pour des raisons différentes, d’ailleurs…
La droite tente perpétuellement de faire passer ses lubies morales sous couvert de médecine. Genre l’homosexualité. Résultat: quand on outrepasse les libertés publiques sur la vaccination, la droite a passé des années à scier la branche sur laquelle elle était assise: Homosexualité = Médecine = Morale = Salut. Bon, ben c’est pareil pour les vaccins. Auto-goal.
La gauche, elle, passe son temps à chouiner qu’on ne soigne jamais les gens. Qu’il en faut toujours plus. Toujours plus de lits. Toujours plus de médecins. Toujours plus de santé. Toujours plus de tout. Et quiconque critique la médecine est un nazi car il souhaite voir crever les pauvres.
Bon. Ben, il ne vous reste plus qu’à écouter Christophe Barbier et à pleurer.
Je m’en réjouis.
@ Claude Luçon
Je suis maintenant certain qu’avec vous il est inutile d’argumenter son propos dès que vous abordez vos obsessions : Zemmour et « les » journalistes. Alors autant s’amuser… par exemple en vous rappelant que l’expression « la droite la plus bête du monde » est le titre d’un bouquin paru en 1987 et écrit par un certain Philippe Vasseur, diplômé de l’ESJ Lille et ancien directeur de la rédaction du « Figaro-Economie ». Vous voici donc citant un des ces journalistes que vous exécrez… À moins que vous ignoriez cette tare de l’ancien ministre de l’Agriculture d’Alain Juppé. Lui avait eu la prudence d’ajouter un point d’interrogation…
Votre longue vie et vos pérégrinations professionnelles auraient dû vous apprendre que, dans tout corps de métiers, il y a un pourcentage, à peu près toujours le même, de gens bêtes, voire méchants. Cela est vrai chez les journalistes comme chez les ingénieurs pétroliers. Le tout est de ne pas les fréquenter, encore moins d’en faire partie.
Au fait, j’y pense, vous ne m’avez toujours pas répondu à ma question sur la date, le lieu et les termes employés par Zemmour qui, selon vous, aurait injurié les anciens élèves de l’ESJ Lille. Je vais finir par croire qu’il s’agit d’un bidonnage inventé par vous (fake news en jargon novlangue).
Quant au régime des pays qui peuvent fonctionner sans journalistes – ce qui semble être votre vœu pour la France -, il a un nom : la dictature.
« La France est en danger de mort. »
« Si on continue comme ça, la France en 2050 sera un Liban en grand. »
Ben oui, la France a peur, elle est au bord du gouffre. Mais heureusement avec Zemmour président, elle va faire un grand pas en avant.
EZ veut transmettre à ses enfants et petits-enfants la France qu’il a connue dans les années 60.
Quelle France ?
– Une France secouée par les attentats du FLN et de l’OAS ?
– Une France chahutée par une révolte d’étudiants trotskistes et maoïstes en mai 68 ? À noter que depuis, les leaders de ce mouvement sont devenus députés européen, professeurs de faculté, philosophes et même journalistes.
– Une France où la guerre froide entre les USA et l’URSS laissait planer la menace permanente d’une troisième guerre mondiale ?
Elle était si belle que ça la France des années 60 ?
Zemmour utilise la harangue des grands dictateurs qui ont conduit leur peuple à leur perte et leur pays au désastre.
Elle consiste à répandre la peur dans la population. Et qui dit peur dit haine sur fond de xénophobie.
En clair le programme de Zemmour réunit tous les ingrédients pour provoquer une guerre civile.
Est-ce vraiment ce que veulent les Français pour les années à venir ?
Le pouvoir d’achat est à ce jour celui qui compte le plus dans le choix des électeurs. Ceci devant la sécurité, l’immigration et même la santé.
Ben oui, les Français veulent des sous, du blé, de l’oseille, de la thune, avant toute chose. De quoi se payer des vacances aux Seychelles l’été, faire du ski à Megève l’hiver et aller au resto avec les amis tous les samedis soir.
Que compte faire Éric Zemmour pour satisfaire leur attente pressante sur ce point ?
Sa collaboratrice, qui elle a réussi le concours de l’ENA, saura-t-elle lui susurrer les solutions qui conviennent pour répondre à cette attente pressante des électeurs ?
Mais la concurrence est féroce dans le domaine de la générosité, sur fond de « C’est pas cher, c’est l’État qui paie ! »
Les autres candidats font preuve de largesses impressionnantes : augmentation des salaires, des effectifs, des moyens matériels dans tous les domaines de la fonction publique : enseignement, hôpitaux, police, justice. Ce qui ne les empêche pas, au demeurant, de reprocher au président en exercice de dilapider l’argent public, ceci à des fins purement électorales, bien sûr !
Alors faut-il combattre le mal par le Mal en votant Zemmour ? Je ne prendrai pas ce risque !
@ Serge HIREL | 05 novembre 2021 à 18:58
« Le charme… l’arbre, bien sûr. Pas l’enchantement. Votre admiration de Macron en est la preuve. »
Au moins le charme ne produit pas des glands…
Allons M. Bilger ! En ce début de saison automnale , asseyez-vous confortablement au coin de l’âtre, asséchez vos sanglots longs. Lisez avec assiduité le journal « Le Nouveau Détective », rompant ainsi votre mélancolie d’une longueur monotone, des jours sans pain, sans faim. Alimentez généreusement votre foyer de ces feuillets arrachés. Des flammes ainsi ravivées au centre de l’âtre réchaufferont votre âme meurtrie de tant d’inhumanité. Patientez stoïquement jusqu’à l’avènement d’une éclaircie printanière.
Tout se met en place pour une libanisation de la France (de l’Europe peut-être). Certes ça ne se fera pas d’un coup mais les clignotants sont allumés depuis longtemps, je dirais les années 80. Souvenons-nous de ce qu’était le Liban, le pays du cèdre, une petite Suisse où il faisait bon vivre… Alors chers politiques de droite, de gauche ou d’ailleurs réagissez car notre maison brûle..
Le mal n’existe pas mais il déploie ses ailes.
Autant dire l’enfer c’est les autres, toujours, sauf moi qui le dénonce, témoignant de ma contamination pandémique, ne sachant l’arrêter qu’en y cédant.
Le mal n’a pas pris la main, il est dévoilé, aussi se déchaîne-t-il, et la victime expiatoire retrouvera le bras armé indispensable de l’État de droit, quand elle aura compris qu’elle ne peut plus faire du souci des victimes un nouveau totalitarisme, cette plaisanterie de l’ère postchrétienne, caricature d’un ultrachristianisme qui essaie d’échapper à la révélation judéo-chrétienne en radicalisant le souci des victimes dans un sens antichrétien.
Le mal n’est donc pas faible, cher hôte, il est abattu, définitivement dévoilé, reste à chaque individu à en prendre la mesure toute personnelle.
Dupé par la croix, Satan n’expulse plus Satan, et si nous mesurons ce qui est encore folie pour ceux qui se perdent à vouloir justifier la vengeance, cette sagesse du monde qui est démence des hommes, nous mesurerons qu’il sera possible d’imiter ce qui encore semble fou, mais n’est que la sagesse du réel, fondement de l’éducation invitant chaque citoyen à prendre conscience de cette réalité présente au cœur de chacun, et le mal, pulvérisé par le pardon de sa victime qui permet de le décrire, n’aura plus aucune excuse pour prétendre qu’il n’existe pas.
Il retournera au trou qui est son logis, circonscris par cette nouvelle loi parfaitement définie.
Après hameau dans les nuages accusant sans vergogne les commissaires de police d’inciter le bas peuple à la délation, voilà F68.10 qui enchaîne la série de fantasmes mensongers en nous rapportant des aventures imaginaires.
En effet a-t-on jamais vu des policiers utiliser une hache pour forcer une porte ? Un bélier oui, et encore… dans quelques situations rares et bien précises. Et dans le « cas » de notre génie échappé de Sainte-Anne avec l’aval d’un médecin psy.
La hache pour défoncer une porte, ce sont les pompiers qui l’utilisent en cas d’urgence, de péril absolu et bien souvent pour sauver des vies.
Renseignez-vous donc un minimum avant de tenter de nous enfumer et de salir « à tort » un métier noble (celui de policier de tous grades) et de plus en plus difficile et exigeant sur tous les plans.
Quand on en arrive à vouloir recruter encore et encore plus de policiers pour protéger les pompiers et les policiers, c’est que ça va très mal
En dehors du port d’arme, les policiers devraient aussi être formés aux sports de combat physique et aux arts martiaux, tels que: l’aïkido, le judo, le karaté, le kick-boxing (japonais), le ninjutsu (japonais), le muay-thaï et la boxe (thaïlandaise). Pour les quatre dernières disciplines, vaut mieux être bien baraqué (tout en muscles) avec 1,80 m au moins. Avec ces sports de combat, je peux vous assurer que l’agresseur est KO en quelques secondes, incapable même de se relever.
@ Achille 7h28
« Zemmour utilise la harangue des grands dictateurs qui ont conduit leur peuple à leur perte et leur pays au désastre.
Elle consiste à répandre la peur dans la population. Et qui dit peur dit haine sur fond de xénophobie.
En clair le programme de Zemmour réunit tous les ingrédients pour provoquer une guerre civile.
Est-ce vraiment ce que veulent les Français pour les années à venir ? »
La « harangue des grands dictateurs », vous n’avez pas forcé sur le jaja de si bon matin ?
Je ne sais pas où vous habitez, s’il vous arrive de voyager en France, de prendre les transports en commun, mais je suis effaré de votre mauvaise foi.
La « guerre civile » se déroule à bas bruit sur notre sol quotidiennement avec une immigration de masse en provenance de pays dont les ressortissants ne possèdent pas nos codes, mais connaissent notre laxisme ! D’où des atteintes aux biens et aux personnes et des attaques infâmes contre les pompiers ou les flics obligés de battre en retraite. Si ce n’est pas la guerre, ça y ressemble !
Si ce que dénonce Z ne correspondait pas à une réalité vécue par nombre de nos compatriotes, croyez-vous une minute qu’il agrégerait autant de Français autour de l’idée que cette situation est devenue insupportable ?
Par ailleurs je peux vous affirmer que les Français ne sont pas xénophobes (cf les chiffres du recensement des étrangers): aucune attaque contre les musulmans n’a eu lieu après les ignobles attentats qui ont durement frappé notre pays. Imaginez un seul instant ce qui se serait produit si des chrétiens « intégristes » avaient posé des bombes en Tunisie ou en Algérie ! La réponse est contenue dans la question !!
@ Axelle D | 06 novembre 2021 à 11:30
Vous n’avez pas compris. Commissaire est pris au sens large du terme, comme il existait des commissaires politiques. Cela revient à la mode.
Des nouvelles ? Ma voisine de 76 ans qui avait pris un PV de 135 euros en marchant dans la rue pour aller voir les vaches de son fils à 100 mètres. Vaccinée, elle est en soins intensifs, AVC.
Et ce matin sa belle-fille, femme tout en muscles de 40 ans, agricultrice comme son mari, ne fumant pas, rien, en pleine santé et vaccinée après l’allocution de Manu… Caillot à la thyroïde.
Quand les hasards s’accumulent…
Nous allons vivre une époque formidable.
@ Axelle D
« Après hameau dans les nuages accusant sans vergogne les commissaires de police d’inciter le bas peuple à la délation, voilà F68.10 qui enchaîne la série de fantasmes mensongers en nous rapportant des aventures imaginaires. »
Ah là là… la culture du déni.
« Hameau dans les nuages » n’a pas accusé les commissaires de police d’inciter le bas peuple à la délation. Il a accusé Christophe Barbier de réclamer que les autorités fouillent dans leurs bases de données pour cibler les anti-vaccins d’une manière que je juge excessive.
Ce qui est parfaitement factuel.
Ne déformez pas les propos de « hameau dans les nuages ».
Quant à moi, vous qualifiez le fait qu’effectivement, la pression médicale de ma mère ait abouti à défoncer ma porte à coups de hache d’aventures « imaginaires » ?
Vous étiez là ? Vous savez ce qui s’est passé ? Non.
De quel droit vous permettez-vous de qualifier la réalité d' »imaginaire » ? Ma fille s’en souvient encore. Ce serait aussi des souvenirs que je lui aurais induits ? Mon ex-femme en a encore pleuré récemment devant moi, il y a une semaine, maudissant la pression qu’elle a subie à cause de toutes ces histoires et qu’elle subit encore, et qui a conduit à l’éclatement de sa famille contre son gré et à sa paupérisation. Qui essuie ses pleurs ? Vous ? Ou moi ?
Vous refusez de croire mes assertions. Et vous refuserez de les croire, même en présence de preuves. C’est tout. Et vous refuserez de le croire non pas au motif que cela puisse être vrai ou faux sur des bases objectives, mais simplement parce que cela vous déplaît qu’on puisse accuser des médecins de débloquer et que cela vous déplaît encore plus qu’on puisse insinuer que les mères ne sont pas des êtres parfaits. En plus, vous haïssez les hommes, et ne tolérez simplement pas qu’ils puissent être des victimes. C’est une forme de bigoterie qui vous pousse à nier la réalité sans avoir le moindre début d’indices sur la situation.
Vous faites partie de ces gens qui savent ce que les gens vivent ou voient mieux qu’eux. Vous seriez même capable de nier que la Terre a bien l’air plate au motif qu’elle soit ronde. C’est dire votre niveau de dogmatisme. (Alors qu’en fait, elle est bien en forme de poire.)
Et c’est à cause d’esprits comme le vôtre que le Munchaüsen par procuration prospère et n’est quasiment jamais détecté. Vous accusez aussi ce syndrome d’être imaginaire ? Bien sûr que oui: vous ne pouvez y croire. C’est là que votre pseudo-scepticisme à l’endroit de mes propos mute résolument en négationnisme de la science.
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@ Wilfrid Druais
« Quand on a besoin de se trouver comme signe distinctif pour exister médiatiquement une écharpe rouge alors qu’on est censé être simplement un bon journaliste, c’est vraiment qu’on est nul comme journaliste. »
Je n’ai jamais eu une bonne opinion de Christophe Barbier. Mais je ne juge pas la personne ni son accoutrement. Je juge ses propos. Qui sont over the top.
Maintenant, l’écharpe rouge de Barbier ou l’araignée accrochée au costard de Cédric Villani, je vous avoue que je m’en moque complètement. S’ils veulent se balader à poil, cela ne changerait rien au fait que c’est bien leurs propos que je jugerais.
Quand les transgressions, du plus infime au plus mortifère, se déroulent quotidiennement et toujours selon le même processus, on n’est plus face à des péripéties singulières mais à un climat délétère global, à un récit national, à une France qui n’est pas offensée ici ou là mais qui perd son sang, son identité partout où, victime expiatoire, elle succombe aux coups d’une malfaisance heureuse de son impunité, persuadée de l’avoir emporté pour toujours.
Exactement.
Nous ne sommes plus en présence d’un fait divers isolé mais, par la répétition quotidienne d’événements du même type, face à une lame de fond voire peut-être à terme à un raz-de-marée qui risque de nous engloutir.
@ ellen
« je peux vous assurer que l’agresseur est KO en quelques secondes, incapable même de se relever. »
Pourquoi « l’agresseur » ?
Vous raisonnez comme à l’époque du monde « d’avant ».
N’avez-vous donc pas encore remarqué que dans la plupart des cas, nous assistons désormais à des agressions de victimes isolées, très vite projetées à terre après une attaque dans le dos par une meute d’agresseurs qui s’acharnent à coups de pieds sur elle ?
Et quand il n’y a pas assez de monde, il est toujours possible d’en rameuter par un coup de téléphone portable, c’est la mésaventure qui est arrivée il y a quelque temps à un maire qui avait eu le malheur de faire une remarque à un « jeune » pour lui avoir demandé de ralentir son quad.
@ F68.10
Je refuse de croire que des policiers aient pu défoncer votre porte avec une hache (ce que vous avez écrit) tout simplement parce que les membres des forces de l’ordre, policiers ou gendarmes, quelle que soit leur spécialité, n’utilisent jamais ce genre d’outil pour forcer une porte, mais exclusivement un bélier. Et les seuls à utiliser une hache, dans certains cas, sont les pompiers. Vu ?
Quant à l’allusion perverse de hameau dans les nuages visant à assimiler Barbier à un « commissaire de police délateur », elle crève les yeux de toute personne dotée d’un minimum d’objectivité.
D’autant que depuis que je lis la prose du susnommé hameau, je me suis fait une idée de ce personnage qui aime se la jouer contestataire soixantehuitatardé et transgresseur compulsif, bien à l’abri sur son nuage…
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@ hameau dans les nuages | 06 novembre 2021 à 12:19
Stop ! Arrêtez de prendre les lecteurs de ce blog pour des imbéciles !
Vous aviez bien écrit dans le post en question commissaire de police et non commissaire au sens large – commissaire politique, commissaire priseur, commissaire aux comptes, etc. -, comme vous le prétendez maintenant pour avoir raison !
Un peu d’honnêteté que diable !
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@ ellen | 06 novembre 2021 à 11:50
« Quand on en arrive à vouloir recruter encore et encore plus de policiers pour protéger les pompiers et les policiers, c’est que ça va très mal
En dehors du port d’arme, les policiers devraient aussi être formés aux sports de combat physique et aux arts martiaux, tels que: l’aïkido, le judo, le karaté, le kick-boxing (japonais), le ninjutsu (japonais), le muay-thaï et la boxe (thaïlandaise). Pour les quatre dernières disciplines, vaut mieux être bien baraqué (tout en muscles) avec 1,80 m au moins. Avec ces sports de combat, je peux vous assurer que l’agresseur est KO en quelques secondes, incapable même de se relever. »
1er paragraphe
Sauf que les policiers recrutés en question sont en grande majorité des ADS (c’est-à-dire des auxiliaires de police contractuels recrutés sans obligation de diplôme pour trois ans renouvelables une seule fois) et qui ne reçoivent qu’une formation sommaire de quatre mois. Contrairement aux gardiens de la paix qui eux sont bacheliers minimum afin de pouvoir passer le concours et intégrer une école de police pour un an.
Donc une police au rabais, sans aucun pouvoir, au détriment de vrais policiers gradés et expérimentés, sachant en outre que les corps des officiers et commissaires ne cessent de diminuer de façon drastique depuis une dizaine d’années.
Alors à qui la faute ? Certainement pas celle des gardiens de la paix qui sont en première ligne et en ont leur claque de se voir adjoindre des ADS à foison, soi-disant pour les aider, alors que lesdits adjoints de sécurité à part quelques exceptions s’avèrent être de vrais boulets.
2ème paragraphe :
C’est une blague vous aurait dit Martine Monteil ?
@ Achille 06 novembre 2021 à 08:10
« Au moins le charme ne produit pas des glands… »
Mais le charme produit parfois des mirages, puis des déceptions… Ne dit-on pas : tomber… sous le charme. Ce qui, bien sûr, n’a rien à voir avec la botanique et la beauté des charmes. Je vous abandonne à votre prince charmant…
@ Axelle D
Article « Intervention trop musclée de policiers à Bastogne ? ». Il est fait mention d’une « hache de service » que les policiers auraient utilisée pour enfoncer une porte. L’article n’est pas en accès libre, il est donc un peu compliqué de vérifier. Et Bastogne est en Belgique. Pas en France.
Cela étant, si, ma porte fut bien défoncée à la hache. Je vous explique la technique: il faut frapper au niveau de la serrure ; juste à côté ; faire un trou suffisant pour y passer la main ; puis on peut ouvrir la porte de l’intérieur. Nul besoin de défoncer toute la porte.
Cela étant, cela s’est passé en Suisse. Pas en France. P’têt qu’en France on ne défonce pas à coups de hache. Mais, en Suisse, si. Bien sûr, Madame Axelle D, non contente d’être une experte en pratiques policières en France, connaît les règlements en la matière de chacun des 26 cantons suisses… qui interdisent tous, bien sûr, sans exception, de recourir à la hache…
Et que le règlement aille dans un sens ou dans l’autre, il demeure que la réalité est que c’est bien à la hache qu’ils ont procédé. Règlement ou pas. (Et je pense que c’est règlementaire, bien que ce point soit parfaitement anecdotique.)
Je dois bien avoir la facture qui traîne dans mes dossiers. Que j’ai confiée à un tiers: ma fille. (Ben ouais, c’est pas gratuit de se faire taper en chambre d’isolement… mais au moins j’ai une preuve. Pas sûr qu’il soit fait mention de « hache » dessus, mais bon…)
Ils utilisent aussi des verins pneumatiques, en France. Ils utilisent aussi des pieds de biche, en France. À Berlin, on utilise des tronçonneuses. En Belgique, ils font appel à des serruriers aussi.
Donc, toute une gamme de méthodes sont pratiquées à travers le monde. Et des coups de hache propres au niveau de la serrure ?? Non… jamais la police. Les pompiers, au mieux.
Sauf que les règlements en matière de soins contraints ne sont pas les mêmes selon les pays. Et mon expérience en Suisse, c’est que c’est les policiers qui sont dépêchés préférentiellement aux pompiers. Ce sont toujours les policiers ou les urgences qui m’ont délivré mes PLAFA. Jamais les pompiers. (Ben ouais, ils s’occupent du feu, en Suisse, et ne pratiquent pas la chasse aux handicapés: c’est pas leur boulot…)
Et cela a au moins l’honnêteté de considérer (ou feindre de considérer, plutôt) que les soins contraints s’inscrivent dans le cadre du droit. Contrairement à la France, où on a le culot de notifier oralement le patient de ses droits. Ce qui permet de ne rien notifier du tout et de prétendre l’avoir fait. Et de ne pas laisser de trace écrite permettant au patient de saisir un tribunal administratif. Il paraît que cela a un peu changé depuis, mais je ne mettrais pas ma main à couper que les fondamentaux ont changé. Bien au contraire.
Mais, vous, Axelle, vous savez que la police n’utilise pas de hache en Suisse, et vous connaissez le droit qui s’applique aux PLAFA mieux que moi ?
Vous savez ce qu’est un PLAFA ? C’est défini dans le droit français ? À l’alinéa qui suit celui qui interdit à la police d’utiliser une « hache de service » mais qui les force à utiliser des vérins pneumatiques ou des pieds de biche ?
Votre culot est insondable.
@ caroff | 06 novembre 2021 à 12:19
« La « harangue des grands dictateurs », vous n’avez pas forcé sur le jaja de si bon matin ?
Je ne sais pas où vous habitez, s’il vous arrive de voyager en France, de prendre les transports en commun, mais je suis effaré de votre mauvaise foi. »
Aucune mauvaise foi de ma part. Il m’arrive de voyager comme tout le monde, parfois par le train mais surtout avec mon véhicule personnel. Je sors de temps en temps avec des amis au resto, au ciné. Je fais mes courses dans des grandes surfaces où je rencontre des gens appartenant à toutes les communautés. Tout se passe bien.
Concernant le « jaja » je n’abuse pas. Un petit verre de vin à midi (mais du bon), un petit verre le soir avec le fromage. Bref rien d’excessif qui pourrait altérer mon raisonnement.
Parfois un petit cognac hors d’âge en regardant la télé.
Je ne pense pas que les 15 à 17 % d’Éric Zemmour donnés par les sondages constituent une cote d’alerte ainsi que vous le prétendez. D’autant que d’autres sondages laissent entendre que ce même Zemmour est un des personnages les plus détestés de France.
Dire que je le déteste serait exagéré. Je ne l’aime pas, c’est tout, même si je lui reconnais un certain talent lors des débats avec ses adversaires.
Mais avoir du talent ne signifie pas avoir raison. Surtout qu’EZ a fortement tendance à travestir les événements historiques ainsi que le confirment nombre d’historiens, des vrais eux !
Qui peut affirmer sur ce blog que le citoyen français n’a pas perdu des libertés en 5 ans, hors pass sanitaire ?
– obligation de rouler en voiture parmi un choix réduit
– impossibilité de louer ou acheter un logement de son choix, à part en faisant de gros investissements
– attaques dans les transports en commun
– incivilités de toutes sortes
– taxation à la moindre faute
– contrôle technique renforcé et coûteux
– arabisation et islamisation du pays
Si Zemmour n’est pas encore la solution, on sait que Macron n’en est pas une.
Et tout cela à cause de Sarkozy qui devait nous débarrasser de la racaille et ne l’a point fait.
Quel candidat pour essayer sérieusement de nous débarrasser de la racaille ?
Débarras de racaille qui redonnera confiance au peuple et à son avenir.
Il semble qu’il n’y en ait qu’un seul.
Et je vous parie que Dupont-Aignan va le rejoindre et l’aider à obtenir les 500 signatures.
Il faut être d’une particulière mauvaise foi ou avoir comme certains sur ce blog un « champ visuel » singulièrement obtus pour nier l’évidence d’une délinquance au sens large toujours plus présente dans notre pays, n’épargnant aucune parcelle du territoire, infectant des lieux qui étaient jusqu’à présent réputés pour leur tranquillité, pourrissant la vie au quotidien de nombre de citoyens et cela en toute impunité, de cette impunité qui confère justement à ces délinquants encore plus de détermination, plus d’audace.
EM a incontestablement sa part de responsabilité dans la dégradation et la pérennisation de cette situation mais il ne fait hélas que se situer dans la lignée de ses prédécesseurs qui ne se sont guère montrés plus efficaces pour résoudre ce problème qui est pourtant au coeur des préoccupations des citoyens.
De là à dresser un bilan désespérant et à prétendre que le Mal a pris la main sur le Bien, il y a un pas que je ne franchirai pas. D’abord, parce que cette situation n’est pas irréversible et qu’il suffit d’une volonté politique forte, aiguillonnée par les citoyens, pour y mettre un terme. Ensuite, parce que le Bien existe toujours mais qu’il est trop souvent occulté par les médias au profit de Mal, tellement plus porteur !
Je vois, dans cet article, un manifeste anti-communiste. Qu’est-ce, en effet, que cette dénonciation du Mal (avec une majuscule), sinon une récusation de l’éternelle culture de l’excuse issue de la doctrine de la lutte des classes ?
Si les délinquants violent la loi, si, même, ils s’attaquent aux forces de l’ordre et à d’autres représentants de l’État, ce ne peut être, nous dit le dogme communiste, que la faute à la pauvreté.
Non seulement on a raison de se révolter, nous dit ce dogme, non seulement le progrès tient dans « l’émancipation » de classes par définition opprimées, non seulement la fin justifie les moyens, mais il est vain de s’opposer à cette violence, puisqu’il y a un « sens de l’histoire » et que l’avènement du prolétariat (ou des races allogènes) est inévitable.
Dire que le Mal a pris la main, c’est reconnaître que le mal existe, qu’il est irréductible et qu’il faut le combattre. C’est reconnaître que certaines personnes sont inaccessibles à la conviction, et que la seule solution est de les séparer de la société par l’exercice de la force légitime.
C’est, en somme, un cri de révolte contre le régime communiste de fait qui a pris possession de nos institutions comme de nos esprits. Indépendamment des affiliations partisanes de chacun et des convictions explicitement affirmées.
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@ Axelle D | 06 novembre 2021 à 11:30
« Après hameau dans les nuages accusant sans vergogne les commissaires de police d’inciter le bas peuple à la délation […] »
Ah oué… tout de même… À ce stade-ci, il convient de s’interroger : faites-vous semblant de ne rien comprendre à ce que vous lisez, dans le but de déclencher de vaines querelles ? êtes-vous carrément analphabète ? souffrez-vous de quelque maladie mentale ?
Hameau dans les nuages a écrit ceci :
« Voilà Monsieur Barbier jouant au commissaire de police incitant à la délation. »
Et le lien qu’il fournit montre (après une petite recherche) que Christophe Barbier préconise, parmi d’autres solutions pour augmenter le taux de vaccinés, de demander aux administrations qui possèderaient la liste des non-vaccinés, de la transmettre à des brigades qui iraient frapper aux portes pour inciter ces personnes à se faire vacciner (et non pour les y obliger, au passage).
Barbier ne précise pas quelle administration posséderait un fichier des non-vaccinés. En fait, il est douteux qu’une telle chose existe : il faudrait probablement créer ce fichier, en soustrayant, de la liste des personnes inscrites à la Sécurité sociale, par exemple, la liste des personnes qui ont été vaccinées, et qui existe effectivement.
Mais ce qui est sûr, c’est que ni Christophe Barbier, ni hameau dans les nuages, n’ont jamais accusé les commissaires de police de quoi que ce soit ; ni même n’ont dit un traître mot des commissaires de police eux-mêmes…
Avez-vous programmé un logiciel pour soumettre un commentaire automatique à chaque fois que l’expression « commissaire de police » apparaît ici ?
« Voilà F68.10 qui enchaîne la série de fantasmes mensongers en nous rapportant des aventures imaginaires. En effet a-t-on jamais vu des policiers utiliser une hache pour forcer une porte ? Un bélier oui, et encore… dans quelques situations rares et bien précises. »
Et voilà. Pour la millième fois, nous avons ici le syndrome de l’étatiste fanatisé au stade terminal. Il sait, lui, que la réalité n’existe pas, puisque les formulaires administratifs ne prévoient pas que ça se passe comme cela.
C’est marqué dans la circulaire B-792 modifiée 685-X qu’une porte se défonce au bélier et non à la hache, donc le type dont la porte a été défoncée à la hache a rêvé, il n’a pas vu ce qu’il a vu, son expérience est « cancelled » et d’ailleurs il convient de l’annuler lui-même.
Tout le monde sait bien que l’administration françouése est une machinerie pure et parfaite qui ne se trompe jamais. Comment les « assujettis » osent-ils prétendre qu’ils ont une vie à eux, qu’ils constatent des trucs et que leur témoignage a une valeur quelconque ?
Vous nous avez joué cette partition mille fois et sur tous les sujets : du saut en parachute à la préparation des œufs mollets (quoique ma mémoire peut me trahir sur ce deuxième point).
Votre réaction vient à point pour illustrer le communisme terminal qui imprègne la société française, y compris chez ceux qui se prétendent de droite.
@ Robert Marchenoir
L’émancipation, la cancel culture comme doctrines sont certes des impasses, mais d’une puissance égale à la fringale de pouvoir et à l’accaparement des richesses par un petit nombre qui ne sait faire que cela. Peut-être même que les premières sont des réponses aux secondes.
Cela ne mène nulle part puisque cela part du principe du moi d’abord, de la dénégation de l’utilité du lien social et de l’organisation en sociétés, et la fin de la modération et des vertus.
@ hameau dans les nuages
@ Axelle D
Sans intention de mettre de l’huile sur le feu – il est suffisamment intense -, il me semble que l’emploi du mot « délation » est inopportun. La mission d’un policier, qu’il soit gradé ou pas, est d’inciter au témoignage et, dans certains cas précis – crime, agression sexuelle sur mineur, mauvais traitement sur mineur… -, d’exiger le respect de la loi qui oblige à la dénonciation. Le mot « délation » est péjoratif et renvoie à d’autres temps, il est vrai trop souvent évoqués ces jours-ci.
Quant à l’homme à l’écharpe rouge, il aurait mieux fait de s’abstenir d’émettre une telle ânerie. Mais il n’en est pas à sa première bourde…
« On a tendu des embuscades, des guet-apens à la police, on lui a tiré dessus… » (PB)
Ne considérer que les attaques dont la seule police serait la victime équivaut à ne considérer que le sommet d’un énorme iceberg, si l’on ne mentionne pas la partie immergée, représentant pourtant la grande masse des agressions dont les pompiers, les médecins, les agents des services de transports et bien d’autres professions sont la cible, sans oublier d’innombrables Français lambda qui ont eu le malheur de croiser quelques nuisibles en chasse.
Il faudra tout de même bien un jour s’interroger sur le point commun à toutes ces agressions de type gratuit, qui n’est autre que la haine de ce qui est trop français, c’est-à-dire en pratique l’expression d’un racisme.
Pourquoi la justice n’examine-t-elle pas systématiquement ce mobile, par exemple pour l’affaire de l’agression du fonctionnaire de police passé à tabac dans un train où elle a seulement retenu une tentative de meurtre ?
Qu’on ne vienne pas nous dire que dans tous les cas similaires le seul mobile serait le plaisir de jouer à des jeux idiots.
Nous pourrions aussi évoquer les véritables brûlots que sont les textes de rap écoutés en boucle qui font se pâmer d’aise nos magistrats, qui feignent n’y voir qu’un aspect culturel même quand ils appellent explicitement à tuer des Blancs.
Mais ceci est une autre histoire…
« Tous ces citoyens qui n’en pouvaient plus de subir et d’endurer faisaient partie de ce peuple qui dans notre pays a très mauvaise presse. Il est tellement plus gratifiant de s’occuper des problèmes sérieux, les banques, les bénéfices, le CAC 40, la France en 2050, l’écologie sophistiquée, plutôt que de s’attacher à la détresse des Français, quelles que soient leurs conditions d’existence. Les délits et les crimes, c’est inéluctable… la tolérance zéro est impossible… et ils nous fatiguent, tous ces indignés, alors que l’insécurité et la violence n’existent pas puisqu’elles résultent seulement d’un « sentiment »… » (PB)
Vive la transparence du nouveau monde à l’Elysée. Corruption, conflits d’intérêts, paradis fiscaux à Genève, faux rapports, rien que des magouilles maquillées par les hauts fonctionnaires de l’Etat menaçant Anticor de ne plus leur renouveler l’agrément. Pourquoi ? Affaires trop gênantes pour que les Français ne le sachent pas ?
Pour ceux qui n’auraient pas vu ce reportage très intéressant:
MSC-Scandale Alexis Kohler qui menace Emmanuel Macron
https://www.youtube.com/watch?v=jf6UBcPKlMM
Et tenez-vous bien, Alexis Kohler perçoit un salaire mensuel de MSC de 29 000 euros par mois tout en restant secrétaire général à l’Elysée et le premier conseiller d’E. Macron. Si ce n’est pas un conflit d’intérêt, on se demande pourquoi MSC a placé A. Kohler au conseil d’administration et pourquoi l’Etat (nos impôts) a financé MSC à hauteur d’un peu plus de deux milliards d’euros alors que c’est une affaire familiale italienne dont Kohler et l’un de leurs cousins.
Pendant ce temps E. Macron n’offre aux Français que 100 euros (8,33 euros/mois) pour toute une année depuis l’explosion tarifaire de l’énergie, EDF, gaz et essence en pleine période hivernale.
@ Wilfrid Druais | 06 novembre 2021 à 19:09
Vous avez oublié qu’il y a des exceptions.
La police a le droit de défoncer la porte lorsqu’elle a constaté avec preuves que la personne en question est dangereuse, qu’elle détient chez elle des armes et/la drogue, ou qu’elle est recherchée pour délit ou crime commis.
@ Wilfrid Druais
« Sans affirmer que vous mentez comme un arracheur de dents ou que vous délirez totalement, j’ai du mal à croire que les flics aient défoncé votre porte à coups de hache sous la pression de votre mère psychiatre. »
L’histoire est un plus complexe que cela, mais, si, cela s’est bien passé comme cela.
Pour la faire court, à un moment, à force de lire dans mes dossiers que je suis consentant, que j’aime la psychiatrie, que j’aime me faire interner, que je suis gentil tout plein avec les infirmières, j’ai constaté que ces gens ne comprenaient pas le mot « Non ».
Donc, effectivement, à un moment, je fais exprès de ne pas ouvrir la porte. Ne serait-ce que pour manifester que « Non », c’est « Non ».
Le résultat, c’est qu’ils la défoncent.
Pour une fois, j’ai un document manifestant que j’affirme « Non »: la facture du défonçage de porte. Mais bien sûr, cette preuve n’est pas une preuve. Rien n’est jamais une preuve quand on décide à l’avance que telle ou telle chose est improuvable. C’est toujours à la tête du client, la notion de preuve, n’est-ce pas…
« Si comme vous dites il ont défoncé votre porte à coups de hache c’est qu’ils avaient donc une autorisation judiciaire parce que vous étiez une sorte de forcené dangereux pour lui-même… »
Ouaip. C’est ce que ma mère se plaît à raconter: que je suis un terro. J’ai compris, depuis le temps. Il a fallu m’expliquer longtemps, mais je comprends vite.
Je ne pense pas qu’ils avaient une autorisation particulière autre qu’un PLAFA. Et la raison pour laquelle ils ont sorti le PLAFA, c’est que je m’oppose à la situation dans laquelle ma mère m’a mis: je refusais désormais les « soins » de manière catégorique. Car tout cela commençait à aller beaucoup trop loin.
C’est ce qui s’appelle « dire non ». Et je vous assure que c’est allé très loin: j’ai aussi un document en bonne et due forme me notifiant, avec un joli tampon du médiateur de la la gendarmerie vaudoise, d’une menace d’internement à vie. C’est une preuve de quoi cela au fait ? Que nous sommes enfin rentrés dans un débat rationnel et argumenté au sujet de la notion de maltraitance médicale, sûrement…
Vous aurez beau arguer que l’internement à vie n’existe pas dans le droit français… cela existe bel et bien dans le droit suisse. Je me suis d’ailleurs fendu d’un lien dans le passé vers un site gouvernemental suisse qui explique tout cela noir sur blanc.
« Votre histoire est pour le moins douteuse et de toutes façons improuvable. »
Ma fille a toutes les pièces: c’est les médecins, d’ailleurs, qui les écrivent, les pièces et les preuves. Il suffit de ne pas boire intégralement leurs paroles, et de se demander « qui dit quoi », et on remonte toujours à la même personne. Et c’est bien la particularité de ce fameux syndrome: c’est quasiment improuvable, même quand cela crève les yeux. Et même quand cela crève les yeux, personne n’ose remettre en question la sacralité du soin et le dévouement de la mère. Et, cela, c’est attesté de mille manières dans la littérature scientifique, ainsi que par les témoignages à la fois de victimes et de médecins conscients et impuissants face à ce phénomène. Qui sont rares, mais qui existent.
Mais ce qui est fascinant dans ce mot – « improuvable » – c’est que c’est toujours mes allégations qui sont improuvables. Celles de ma mère, par contre, c’est parole d’évangile. Retirez les propos de ma mère avant l’emballement infernal, et le dossier fond comme neige au soleil. C’est cela la « preuve » de ce syndrome. Ou tout d’un moins un des éléments probants qui justifieraient, dans un monde parfait, qu’on remette sa parole en cause. Même si elle est médecin. Mon médecin, d’ailleurs, sur les fiches d’internement. Parce que là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir…
J’adore quand on m’explique que je ne sais pas lire mes propres dossiers.
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@ Axelle D
« Je refuse de croire que des policiers aient pu défoncer votre porte avec une hache (ce que vous avez écrit) tout simplement parce que les membres des forces de l’ordre, policiers ou gendarmes, quelle que soit leur spécialité, n’utilisent jamais ce genre d’outil pour forcer une porte, mais exclusivement un bélier. »
Ou des haches de service en Belgique. Des tronçonneuses en Allemagne. Des pieds de biche et des vérins pneumatiques en France.
En France, je n’ai jamais eu affaire à la police en ces termes. C’était inutile: ma mère avait les infirmiers à sa disposition. C’était alors en mode guet-apens. Et toujours pendant les grandes vacances d’été. Pour bien être sûre qu’elle pouvait contrôler mon orientation dans les Graaaaandes Ecoles à coups de certificats médicaux. Et par la force.
Vous voulez plus de détails ? Je vous parle des fausses intoxications aux fluor à l’âge de deux et demi où le centre anti-poison marque que les analyses toxicologiques sont négatives avant de procéder, quand même, nonobstant les résultats négatifs, parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir, à des opérations invasives ? Vous ne trouvez pas curieux que le médecin du centre anti-poison utilise deux stylos sur le même document, et que son écriture ressemble furieusement à celle de mon carnet de santé, qui est maniaquement noirci sur environ 50 % des entrées ??
Franchement: arrêtez de rebondir sur un sujet que vous êtes à mille lieux de comprendre.
@ F68.10
Tiens après un tour pour rien en Belgique, il s’agirait de la police suisse à présent ! De mieux en mieux dans les élucubrations et les mensonges !
Et votre compère Marchenoir qui en remet une couche (et quelle couche) en nous parlant de « l’administration françouése ». Complétement à côté de la plaque le pauvre garçon dans son obsession (maniaque) à venir m’insulter et me chercher sans raison et quel que soit le sujet, comme c’est le propre du pervers narcissique.
En tout cas, raté votre petit numéro de duettistes mabouls ! Vous en avez d’autres dans le genre absurde, qu’on rigole ?
Déçu par ce match de rugby 🏉 : les joueurs ne se sont pas mis à genoux 🧎♀️ pour lutter contre le racisme, ni n’ont levé l’arrière-train pour lutter contre l´homophobie.
Pas de pancarte « no to racism » ni « no to Zemmour », en effet le mal a pris la main ce soir, ça mollit chez les progressos antiraços intellos bobosses.
L’ombre de Zemmour planait ce soir sur le Stade du Saindenikistan.
@ Axelle D
« Tiens après un tour pour rien en Belgique, il s’agirait de la police suisse à présent ! »
Je montrais simplement, par des coupures de presse, que de multiples techniques existent, en Belgique, en France et en Suisse, pour défoncer des portes. Contrairement à vos propos, la police utilise d’autres méthodes que le seul belier, en France même, pour défoncer des portes. Nommément: le vérin pneumatique et le pied de biche. J’ai fourni des sources attestant de cela.
Maintenant, je précise pour les mal-comprenants comme vous: la seule police à laquelle j’ai eu affaire en matière psychiatrique, c’est la police suisse. Mais sur le versant judiciaire, j’ai en effet tâté à la fois du droit français et du droit suisse. Mais jamais de police française.
La raison en est bien simple, et vous serez incapable de la comprendre, mais Wilfrid Druais la comprendra très bien: en France, il y a trois modes d’hospitalisation (qui ont changé de nom): 1. hospitalisation « libre » 2. hospitalisation à la demande d’un tiers 3. hospitalisation d’office.
Comme la police n’avait pas de problèmes avec moi, car seule ma mère en avait un, l’hospitalisation à la demande d’un tiers suffisait amplement aux besoins de ma mère. Pas besoin de recourir à la police en France: elle cumulait les rôles du tiers effectuant la demande d’hospitalisation et celui du médecin traitant, voyez-vous… et elle connaissait tout l’hôpital, vu qu’elle y travaillait (enfin, dans celui d’à côté.) Super pratique pour elle.
En Suisse, il n’y a pas d’hospitalisation à la demande d’un tiers. La raison en est simple: vu le pognon qui existe en Suisse, ils interdisent aux membres de la famille de pouvoir demander des internements de la petite vieille subclaquante qui est assise sur une montagne de pognon… Pour déclencher des hospitalisations contraintes, il faut donc passer par la police. Et les psychiatres basculent donc les demandes familiales sur la seule option qu’ils ont: hospitalisation d’office, le PLAFA, i.e. la police.
Voilà pourquoi les modes de fonctionnement ne sont pas les mêmes, et pourquoi ma mère devait hurler comme un putois dans les cages d’escalier en Suisse pour déclencher des interventions policières en importunant les voisins: elle n’avait plus le pouvoir, et la fuite en avant dans l’hystérie était sa seule option. Vous aurez beau arguer du délire, c’est la pure et simple réalité.
Vous pouvez vérifier mes commentaires sur ce blog: c’est toujours, invariablement, la police suisse. J’ai passé l’essentiel de ma vie d’adulte en Suisse. Pas toute, mais l’essentiel. Le 8 août 2020, je mentionne la Suisse dans cette histoire. Le 10 octobre 2020, je mentionne encore la Suisse. Donc: bien que l’histoire chevauche la France et la Suisse, je n’ai jamais fait mystère du versant suisse et de l’aspect policier en Suisse.
Vous cherchez donc inutilement des noises: vous ne serez pas capable d’isoler une contradiction dans mes propos à ce sujet. Ils sont concordants.
Police suisse qui est malgré tout beaucoup plus polie que les sagouins de la police française. (Sauf une grosse c*nne de policière vaudoise, qui mériterait de sévères paires de baffes.)
« Et votre compère Marchenoir qui en remet une couche (et quelle couche) en nous parlant de « l’administration françouése ». Complétement à côté de la plaque le pauvre garçon dans son obsession (maniaque) à venir m’insulter et me chercher sans raison… »
Sans raison ? Non. Toujours pour la même raison: votre dogmatisme accordant une crédibilité absolue à tout ce qui vient des corps intermédiaires para-étatiques, comme la police. Votre absence complète d’esprit critique, en somme.
« …et quel que soit le sujet… »
C’est essentiellement toujours le même et principal sujet qui suscite vos altercations avec Robert Marchenoir: votre dogmatisme pro-police.
« En tout cas, raté votre petit numéro de duettistes mabouls ! Vous en avez d’autres dans le genre absurde, qu’on rigole ? »
Si vous voulez que je vous raconte tout ce que j’ai vu en psychiatrie, je pense que vous avez de quoi vous marrer pour le restant de vos jours. Le seul problème, c’est que vous êtes bête comme vos pieds ; et que je rigolerai donc de vous voir vous gausser à tort et à travers, tout en prétendant que vous défendez les victimes, vous… Votre escroquerie intellectuelle ne manquera jamais de me bidonner.
Maintenant, laissez tomber ce sujet que vous ne comprenez manifestement pas. Cessez vos attaques personnelles. Je vous ai accusé de raconter n’importe quoi quand vous avez prétendu avoir fait l’objet d’une tentative de viol ?? Non. Parce que j’ai un minimum de décence, voyez-vous: je ne me moque pas, comme vous le faites, de gosses de deux ans qui subissent un syndrome où la mortalité des détectés est de 6 %. Ne venez pas me faire croire que 6 % des femmes qui ont subi des tentatives de viol en décèdent. Vous vous moquez d’un sujet beaucoup plus grave et mortel que le viol, bien que bien moins prévalent.
Quand on lit les échanges entre commentatrices…teurs sur le blog aujourd’hui, Philippe peut maintenant changer le titre et écrire :
« Le Mal a pris la main sur mon blog »… et tout ça pour une histoire de porte !
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@ Serge HIREL | 06 novembre 2021 à 01:30
Puisque vous me posez la question : en 1987 je vivais à Lagos, Nigeria, dans la zone résidentielle de Victoria Island, Plot 1422, Ahmodu Tijani Street !
Professionnellement j’étais en plein pétrole. Pollueur en plus de menteur suivant vos critères ! Ça vous va ?
À l’époque nous étions sous régime militaire depuis la fin de la guerre du Biafra, je n’ose pas l’appeler dictature après vous avoir lu, il y avait 46 journaux publiés dans le pays (de 36 Etats) pour les 160 millions de Nigérians à l’époque, dont seulement deux quotidiens gouvernementaux. L’un des autres 44 s’est même permis d’accuser l’épouse du Général alors chef d’État, Ibrahim Babangida, d’être à la tête d’un cartel de drogue entre l’Asie et l’Europe ! Ce qui lui a valu une bombe dans ses bureaux mais rien d’autre, même pas un journaliste blessé ! Et pour cause, le journal appartenait à une très puissante famille royale yoruba (oui ! Il y avait plein de Rois et encore plus de Princes au Nigeria, il y avait même eu une Impératrice par le passé).
Entre militaires et chefs traditionnels les règlements de comptes se faisaient sans mort !
Seulement chaises, bureaux et machines à écrire, l’ordinateur n’était pas encore arrivé d’Asie avec la drogue !
Quant au reste je ne vois pas à quel titre je vous dois des explications.
Toutefois, j’ai vu à l’étranger (Somalie, Algérie, Iran et Nigeria) les dommages que causaient les journaux comme Le Monde et le Herald Tribune, NY Times et Washington Post et même The Guardian, en déformant les faits, je me méfie des journalistes, leur célébrité est plus importante pour eux que la vérité !
Seriez-vous de tempérament dictatorial, comme Zemmour, pour imposer votre volonté aux commentateurs du blog de Philippe Bilger ?
C’est Philippe qui m’intéresse, pas vous !
Essayez de lire un texte en entier Serge vous en deviendrez plus s’age ! (Yes, it’s a double pun.)
@ Wilfrid Druais | 06 novembre 2021 à 23:24
« Heureusement je suis revenu juste avant qu’il parte et j’ai donc su qu’il avait sonné chez toutes les « chances pour la France » de mon escalier (…) et il m’a dit qu’aucun voisin n’a voulu prendre mon colis trop grand pour ma boîte aux lettres, parce que je suis méchant. »
Vous pouvez vous consoler en vous disant qu’après tout, vos voisins, à défaut d’être serviables, sont honnêtes car ils auraient pu garder pour eux le colis ou encore le revendre à la sauvette.
Il paraît qu’ils sont comme ça les Arabes si on en croit la rumeur… 🙂
@ F68.10
Pour vous divertir de vos accusateurs, et soulignant que je crois à vos dires comme je crois à la fiction évangélique et suis en conséquence sincèrement solidaire de vos souffrances, voici un article qui répond aux questions du soutien de Trump par l’éminence grise de la Silicon valley, qui devrait vous intéresser :
https://www.bloomberg.com/news/features/2021-09-15/peter-thiel-gamed-silicon-valley-tech-trump-taxes-and-politics
Pour ceux qui penseraient que cette incise est sans rapport avec le billet, je précise que Peter Thiel est le fondateur d’Imitatio, fondation pour la diffusion de la théorie mimétique de René Girard, que je soupçonne d’utiliser la théorie mimétique en en dissimulant le fondement évangélique à des fins personnelles, permettant de dégager l’effet excessivement dangereux de l’utilisation de ce qui ne se maîtrise pas, notamment, on l’a vu, pour la démocratie et qui est, si Thiel sait réellement ce qu’il fait, ce qui reste encore à prouver, fondamentalement maléfique.
Eh bien voilà. Axelle D nous a encore pourri un fil.
1. Je file un coup de boule à un commentateur au hasard (ici, hameau dans les nuages et F68.10), au moyen d’une attaque personnelle qui n’a rien à voir avec la choucroute.
2. J’attends les réactions inévitables.
3. Je redouble d’attaques personnelles en me plaignant d’être une pauvre victime. J’ai mis mon nombril au centre de la discussion et le sujet d’origine est complètement oublié.
Le trollage pour les nuls.
« Le Mal a pris la main ! » (PB)
Intéressante remarque, pas seulement en ce qu’elle traduit une réalité évidente, mais philosophiquement ou théologiquement (comme on voudra) en ce qu’elle s’oppose à la vision catholique du Mal.
Embarrassé par l’existence du Mal en tant que tel, dans un univers créé selon l’Église par un Dieu charitable, saint Augustin s’en tire par une pirouette surprenante en disant que « le Mal est la privation de Bien » (sic, mais en latin).
À la suite de quoi l’Église s’engouffre dans ce sophisme et cela dure depuis.
Et pourtant il suffit de se plonger un peu dans la Bible, et en particulier dans Le Livre de Job, pour constater que le Mal existe en soi.
Rassurez-vous, je serai bref.
« Un beau jour », Satan et Dieu décident de jouer la vie de Job, pour savoir si celui-ci qui est fidèle à Dieu dans l’opulence, l’est également même dans la misère. Dieu relève le défi de Satan, comme deux compères qui jouent le sort d’un combat de coq ou d’une corrida, et accepte que tombent alors sur Job les pires misères, Job qui imperturbable reste stoïque et fidèle, jusqu’à finir par cette déclaration sublime: « J’en appelle à Dieu, de Dieu lui-même ».
Évidemment Dieu comprend cette injonction et tout s’arrange pour Job, il retrouve une femme, une fortune, etc.
Voilà qui sur un blog juridique est extraordinaire, une victime demandant à son bourreau de se condamner lui-même.
Himself, comme dit le wokisme au blanc hétéro.
Le jour viendra où les woke se présenteront comme des successeurs de Job vis-à-vis des Blancs.
Bref, tout ça pour dire que je suis d’accord, que le Mal existe, et qu’il m’arrive même de penser que Macron est une des représentations de l’Antéchrist. Je me demande si c’est recevable dans une campagne électorale ou si on me reprochera de diffuser une fake news ?
Les deux mamelles du Mal absolu : l’islamisme sanguinaire et le LGBTisme dégénéré.
L’islamisme avance à grands pas, bruits de babouches et de couteaux, c’est clair et net, pas besoin de Zemmour pour le voir.
Mais aussi le LGBTisme qui s’infiltre partout, dans le showbiz c’est fait depuis longtemps : être noir de gauche homo telle est leur devise, dans les écoles facs lycées avec la théorie du genre enseignée dès le primaire, dans les médias, l’odieux visuel islamo gauchisé : films séries pubs : scénarios homos noirs couples mixtes tous sexes confondus.
Dans toutes les manifs et reportages, le drapeau LGBT est brandi très haut et bien visible ; on a eu une petite manif contre un projet immobilier, parmi quelques pancartes « halte au projet etc. » il y avait un drapeau LGBT, que faisait-il là ? Ben voyons ils font leur pub, cher ami.
Hier manif antipass : un drapeau LGBT ; manif COP climat : un drapeau LGBT. manif de Soudanais contre la dictature militaire, en arrière-plan : un drapeau LGBT, les couleurs des dessins animés : arc-en-ciel celles des LGBT, il faut habituer les gamins à ce LGBTiser, etc. etc.
Ils avancent lentement mais sûrement, avec pour but de créer des générations de détraqués pervers dégénérés sexuels et comme l’islamisme avec leurs couteaux et machettes, ils gagneront eux aussi et finiront par détruire ce mâle blanc de droite hétéro catho honni et haï.
Épuration ethnique sexuelle genrée : le Mal LGBT a pris la main… des petits enfants, et celle du grand remplacement islamiste raciste racialiste.
Le mal a enfin remporté la victoire.
Pas touche à la cantine du Sénat, Larcher la sentinelle vigile toujours attablé y veille fermement.
@ Wilfrid Druais
« Bon, apparemment vous avez des docs selon vous. Donc vous n’avez plus qu’à porter plainte contre l’État pour arrestation abusive ou un truc du genre. »
Trouvez-moi un seul exemple, AU MONDE, d’une personne qui est sortie, SEULE, d’un SMpP en cours.
Je ne connais qu’un seul cas. Par le meurtre.
Donc, comme on évacue cette option, il ne reste plus d’option.
Je ne connais aucun cas de personne qui ait réussi à faire reconnaître, contre les médecins, même avec les preuves, un SMpP qu’elle ait subi. Je ne parle même pas de poursuites, là. Seulement de reconnaisance, pour pouvoir ne serait-ce qu’avoir une relation saine, honnête et apaisée avec la médecine. Ce qui n’est pas possible sans reconnaissance.
Trouvez-moi un procès, en France, un seul, à ce sujet, initié et gagné par la victime sur la base des preuves que la victime elle-même apporte. Je n’en connais aucun. Le cas que notre hôte a traité, ce n’est pas la victime qui a levé le lièvre… C’est le Pr. Saudubray. S’il n’y avait pas eu l’imprimatur du Pr. Saudubray, ce cas ne serait jamais sorti des fourneaux. Notre hôte a d’ailleurs condamné sur des bases documentaires… minces ? Quoi qu’il en soit, mon cas n’est de ce que j’en vois pas comparable, et cela n’a jamais été l’issue que je recherchais.
Personne ne sort seul de ce genre de situation. Sauf Gipsy. Par le meurtre. Pas vraiment mon délire. De toutes façons, c’est maintenant trop tard: j’ai passé des années à essayer d’en sortir de manière négociée. C’est d’ailleurs pour cela que j’ai écopé d’une menace d’internement à vie: parce qu’il n’existe pas de négociation possible. Sans la menace d’internement à vie, jamais je n’aurais pu être certain qu’il n’y avait pas d’issue. Maintenant, je le sais: il n’existe pas d’issue au SMpP. Donc: zéro regret.
Les options sont: 1. le suicide 2. le meurtre 3. l’esclavage médical avec la mort au bout 4. la fuite pour certains, mais pas pour tous, et de facto pas pour moi. La justice ne fait pas partie des options. Axelle D fait d’ailleurs des pieds et des mains pour que cela ne change pas. J’essaie d’innover avec une cinquième option, mais elle n’a rien à voir avec la justice.
Mes documents ne sont pas pour la justice. Ils sont pour ma fille. Et pour une autre personne aux États-Unis: une épidémiologiste qui a subi cette ultime perversion de la médecine et qui fait un travail de, disons, documentation. Mais sûrement pas pour la justice.
Mais laissons tomber ce sujet, voulez-vous bien…
Le problème n’est pas le mal, mais que plus rien ne définit le bien et le mal.
On tape sur l’islam parce qu’il nous envahit, mais comment lutter contre ceux qui s’en prévalent pour nous accabler du mépris de notre existence, quand il est pour eux la seule référence du bien ?
De notre Eglise en ruine, gangrenée depuis longtemps par l’imposture de l’ignorance paravent de l’homophilie quand ce n’est pas pire, il ne reste de sa gloire qu’une poignée de prêtres héroïques portant soutane, et quelques centaines de moines en majorité âgés et confinés dans l’oubli.
Eric Zemmour semble être l’homme providentiel capable d’entendre le mot « spiritualité ». Il en donne au moins l’espoir là où il n’y en a aucun ailleurs.
Il reste aussi quelques lieux, comme ce blog, pour accomplir autant que possible et en faisant abstraction de l’accueil mitigé pour peu qu’on insiste un peu trop sur la vérité, sa promesse d’éclaireur.
Un jour viendra où Tipaza se rendra compte qu’il aura tenté de faire de Macron son Job, pour éviter de se rendre compte que lui aussi est un persécuteur.
« La Bible conte l’étrange histoire de Job : il a tout perdu, il est rejeté par les siens, abandonné par Dieu et se lamente sur son tas de fumier. Elle rapporte aussi les dialogues de Job et de ceux qui se nomment ses amis. La tradition
accorde peu d’attention à ces Dialogues, ils révèlent pourtant la vraie dimension sociale de Job : il est le bouc émissaire de sa communauté. Comme Œdipe, il doit emprunter « la route antique des hommes pervers » qui mène à la mort sacrificielle. Refusant d’entrer dans le jeu des bourreaux, Job dévoile le fonctionnement victimaire des univers primitifs.
Mais les démêlés de Job et de ses amis rappellent surtout les caricatures de procès auxquels se livrent sous nos yeux les régimes totalitaires : mêmes accusations de perversion, même nécessité des aveux de la victime, même mépris pour la vérité.
Ainsi, l’antique Livre de job permet-il à René Girard d’analyser avec clarté et conviction le phénomène totalitaire qui tente de ressusciter un religieux primitif et violent. Tentative d’autant plus redoutable qu’elle est mensongère, puisque nous savons tous depuis deux mille ans que les victimes sont innocentes. »
https://www.google.fr/books/edition/La_route_antique_des_hommes_pervers/cpNs7APYeIMC?hl=fr&gbpv=1&printsec=frontcover
@ Tipaza | 07 novembre 2021 à 09:32
« Et pourtant il suffit de se plonger un peu dans la Bible, et en particulier dans Le Livre de Job, pour constater que le Mal existe en soi. »
Vous vous compliquez trop la tête. Les choses sont beaucoup plus simples que ça.
En fait, si on se plonge dans la Bible, il faut remonter jusqu’à la Genèse. Le Mal y est représenté sous la forme d’un serpent qui depuis souffre d’une sinistre réputation.
Ce dernier a réussi à séduire Eve en l’incitant à manger la pomme de l’arbre de la Connaissance.
On n’a jamais vraiment su pourquoi Dieu le Père ne voulait pas que l’on touche à cet arbre. Peut-être qu’il redoutait que l’Homme en fasse mauvais usage, ce qui n’est pas tout à fait faux quand on observe ce qu’il en a fait…
On connaît la suite. Eve a réussi à convaincre son ballot de concubin (à l’époque le mariage n’existait pas encore) qui a croqué dans la maudite pomme. Fatale erreur !
Mais Xavier NEBOUT vous expliquera tout ça bien mieux que moi.
Toujours est-il que depuis on en est là, à gagner notre pain quotidien à la sueur de notre front, alors qu’on aurait pu avoir une vie bien peinarde, sans pinailler sur l’âge de départ à la retraite ou encore s’interroger sur les bienfaits d’une troisième vaccination contre le coronavirus.
@ Claude Luçon 07 novembre 2021 à 02:26
Comme vos pareils sur ce blog et ailleurs, qui passent leur temps à haïr tel ou tel et pleurnichent qu’ils sont victimes quand leur tête de Turc se défend, vous avez une fâcheuse tendance à éviter les questions qui vous sont posées. C’est le cas de ce commentaire, qui, naturellement, s’achève par une nouvelle diatribe contre vos ennemis jurés, « les » journalistes. Encore que… vous avez mis de l’eau dans votre pétrole : cette fois, vous ne voulez plus les voir disparaître, vous vous contentez de vous en « méfier ».
Votre histoire de Lagos est passionnante… mais hors sujet. Pourquoi voulez-vous que je ne considère pas comme dictature un régime – militaire de surcroît – qui prend le pouvoir sur un coup d’Etat, puis annule des élections ?
Par ailleurs, quiconque connaît un peu l’Afrique sait l’importance du respect des pouvoirs traditionnels pour un gouvernement, démocratique ou non. Cela explique, encore aujourd’hui, en particulier au Sahel, bon nombre d’événements et d’attitudes.
Quant à votre tir d’arbalète contre quelques-uns des plus grands titres de la presse mondiale, il est suffisamment ridicule pour ne pas mériter de réponse.
Reste Zemmour, que vous haïssez – sans, pour l’instant, avoir indiqué clairement l’origine de cette haine, hormis qu’il est journaliste -, « dictateur » dites-vous… A-t-il annoncé qu’élu, il supprimerait les élections législatives, ferait arrêter Macron et ses sbires, sortirait les chars contre les quartiers perdus ?
Un peu de sérieux ! Sinon, vous allez écrire bientôt qu’il se nommera Maréchal !
@ ne faites pas la poire ma belle Ellen !
« La police a le droit de défoncer la porte lorsqu’elle a constaté avec preuves que la personne en question est dangereuse, qu’elle détient chez elle des armes et/la drogue, ou qu’elle est recherchée pour délit ou crime commis. »
Rassurons Ellen et les garçons, tous les innocents, tous les coupables, toutes les victimes passées et à venir, tous les agresseurs, tous les criminels, les décapiteurs, les égorgeurs, les éventreurs: bientôt la police n’aura même plus le droit de faire… la police, tout simplement.
Perpétuellement ostracisés, calomniés, caricaturés, menaces sur leurs femmes et enfants à domicile, attaqués dans les rues, dans les trains et dans les manifs, humiliés surveillés épiés muselés sanctionnés mis en garde mis à l’index par leur hiérarchie carriériste arrogante cynique méprisante, de plus en plus de policiers n’ont qu’un but : fuir ce métier de fous masos kamikazes seuls au monde contre tous, de la macronerie criminelle LREM en passant par tous les élus surtout de gauche PS PCF EELV LFI NPA et droite chochotte, les juges et avocats qui se targuent tous de soutenir leur police tout en leur mettant un maximum de bâtons dans les roues, en protégeant les racailles arabo-africaines.
Fuir aussi par le suicide, un nombre impressionnant de policiers hélas choisissent de mettre fin à leurs jours.
Il faut prendre le temps d’écouter les ubuesques, hallucinantes et ahurissantes interventions des invités caméléons girouettes aux débats enflammés sur les chaînes infos, tous ces Zéribi, ces Joffrin, ces Dartigolles etc. qui jurent haut et fort être du côté de la police, « oui …. MAIS ! »…
Leur naturel revient très vite au galop, leurs masques hideux tombent et leurs vrais visages aux rictus haineux antipolice anti-Blancs de souche apparaissent au grand jour : les pauvres victimes racailles et les méchants policiers, sans oublier les inquisiteurs des tribunaux extrêmes gauchistes des Ruquier, de France Inter et toutes les chaînes du sévice public idéologiquement et viscéralement anti-flics.
Le mot d’ordre actuellement dans tous les merdias collabos c’est d’insister sur le fait qu’ils sont « Francéééés, hé ! » formule ad nauseam de l’indécrottable et pagnolesque Zéribi ; même le syndicaliste David Le Bars a appliqué en bon soumis cette consigne odieuse dictée par la bien-pensance officielle : ce sont des Français !
Non messieurs les soumis traîtres, vos Françéééés hé, ce sont des Maghrébins arabo-africains musulmans islamistes, des Français de contrefaçon, de faux Français de papiers.
On ne change pas une cagette de courgettes en carottes en y mettant une étiquette de carottes, ce seront toujours des courgettes, et nos courgettes à nous ont un palmarès criminel impressionnant.
Tout ce que je viens d’écrire se retrouve dans le Petit Zemmour illustré, même rayon de librairie que celui du : Zemmour pour les nuls.
Vous connaissez Zemmour sûrement ? C’est ce vilain monsieur fasciste raciste extrême droite constamment condamné par les Torquemada islamo-macroniens pour incitation à la haine raciale et à cause de qui, d’après nos brillants experts, s’il était élu président, la France connaîtrait un chaos sans précédent dans l’Histoire ; hou le méchant Zemmour !
Bonjour Philippe,
Le malappris malin.
Belle contrepèterie.
Que de digressions dans les commentaires de ce billet pourtant fort bien orienté.
En préalable, il me semble, Monsieur Bilger, que vous vous inscrivez d’une certaine manière dans une forme binaire qui se pratique beaucoup aux Etats-Unis : l’Empire du Bien, c’est eux ; l’Empire du Mal, ce sont les autres. Conception que la saga Star Wars a tellement imposée.
Le problème avec ce titre de billet (« Le Mal a pris la main… ») est qu’on se place d’emblée dans un niveau de considération religieuse qui ne peut que gêner la perspective.
Le Mal, le Malin : le Diable nous gouvernerait-il en lieu et place de Dieu le Miséricordieux, le seul vrai Agent du Bien ? C’est un peu la question que ce titre donnerait en première lecture.
Or, la situation dans laquelle est notre pays ne saurait être analysée sous cet aspect, ce que d’ailleurs vous vous gardez bien de faire.
Pour autant, je retiens de ce billet le passage suivant : « Cette transformation d’un Etat qu’on a craint dans la multitude de ses incarnations officielles, malgré les envies de déstabilisation ou de révolte, en une société qui a pris sa relève pour le pire, a été dévastatrice. Ce qui retenait a craqué. Ce qui dissuadait s’est effacé. La démocratie est apparue comme un concept de plus en plus creux, l’autorité telle une forme vide, les politiques comme au mieux des bonnes volontés dépassées, parce que les premières ont été vidées de sens et et que les seconds se sont enlisés dans un parler tiède et une approche prudemment atténuée de la réalité et de son extrémisme incontestable. »
Ici se trouve à mon sens l’essentiel de votre propos. Une société ne peut correctement fonctionner que si elle sécrète par elle-même les ferments de relations pacifiées entre ses membres et contrebat de manière efficace ceux du désordre et de la violence. Donc par une autorité manifeste et évidente de l’État, garant non pas du « bien commun » comme l’on dit à présent, mais bel et bien de « l’intérêt général » grâce à un système juridique juste, des lois claires, comprises et respectées par la majorité des membres du corps social. Et, dès lors que la loi n’est pas respectée, par un système de sanctions mis en œuvre par des organes régaliens, régulateurs, notamment par une police et une justice fermes et respectées.
Ce que l’on observe est que la société est à présent soumise, non à la loi de la majorité, mais à la tyrannie des minorités, par un processus de pensée qui procède essentiellement de l’anarchie politique, de la subversion généralisée de toutes ses institutions régaliennes et d’une absence de courage politique pour répondre avec la fermeté nécessaire aux violences, même et y compris les plus extrêmes.
À présent, le relativisme généralisé conduit à une chienlit permanente, du fait principalement de la disparition du « collectif » au seul bénéfice de l’individualisme forcené, pour ne pas dire à l’érection en totem du nombrilisme généralisé. Ce d’autant plus que les prétendus réseaux sociaux déconnectent de plus en plus les gens des réalités sociales et humaines véritables et que les projets de Métavers de Facebook et autres GAFAM ne feront qu’aggraver.
Une autre manière, notamment pour notre personnel politique peu soucieux de l’intérêt général mais de s’assurer des carrières politiciennes rémunératrices, d’appliquer l’adage « diviser pour régner »…
@ F68.10
« C’est le Pr. Saudubray. S’il n’y avait pas eu l’imprimatur du Pr. Saudubray, ce cas ne serait jamais sorti des fourneaux. »
Si vous croyez ce que les journaleux racontent, de l’Est républicain à Libération en passant par le Monde et le Parisien, alors là vous êtes très mal informé !
Ayant suivi cette affaire de l’intérieur de bout en bout et connaissant personnellement les mis en cause et la jeune victime, je peux affirmer que ce n’est pas le professeur Saudubray qui a sorti l’affaire et sauvé par son intervention providentielle la jeune Caroline, mais un membre de la famille de cette dernière.
Le professeur Saudubray n’a fait qu’embrayer après que les services sociaux de l’hôpital Necker informés par ledit membre lui aient mis la puce à l’oreille.
J’ajoute que dans cette affaire le syndrome de Münchhausen par procuration dont souffrait soi-disant la principale accusée (décédée dans des conditions troublantes 5 semaines avant son procès où elle menaçait de « tout déballer », dont le véritable rôle de son mari médecin) n’a jamais été démontré. Et que son complice de mari (médecin), bien décrit par Monsieur l’Avocat général de l’époque, lui, s’en est tiré à bon compte grâce à la mort de sa femme qu’il s’ingénia à faire passer hypocritement auprès de sa famille pour un suicide (par remords).
@ Jérôme 7 novembre 11:29
Bonne remarque.
La préoccupation prioritaire des Français, si on en croit les gens de Bien, est le pouvoir d’achat.
Attendons-nous la semaine prochaine à un éditorial intitulé…
non pas « Le Mal a pris la main ! »
mais
« Le pain a pris la malle ! »
@ Robert | 07 novembre 2021 à 12:32
C’est juste ce que vous dites. Cependant j’ajoute aussi que si nos politiciens, gavés gracieusement, se souciaient un peu moins de leur intérêt personnel que de se battre pour l’intérêt général de la France, nous ne serions pas dans l’état sombre et désastreux où nous sommes actuellement. J’entends autour de moi de plus en plus de gens de toutes classes sociales criant leur colère et allant voter pour la droite extrême par défaut. Ils en ont marre des mensonges, marre d’être pris pour des pigeons à plumer pendant que « Panama papers » et « Pandora papers » (paradis fiscaux) regorgent de centaines de milliards d’euros que les gros bonnets délinquants cachent pour échapper au fisc français, marre de vivre dans une insécurité permanente et générale, marre de se voir imposer les indésirables… Je continue ?
Je remarque qu’après 48 h de commentaires, aucun des participants au débat, qu’il approuve ou désapprouve – ils sont plus rares – les propos de notre hôte, n’a émis le moindre soupçon sur le fait que l’origine de ce Mal pourrait ne pas être « extra-européenne » ou de souche « extra-européenne ». Philippe, pour sa part, a prudemment évité cette donnée pourtant essentielle : d’où vient le Mal ? J’ai ma petite idée…
@ Tipaza 07/11 09:32
@ Achille 07/11 10:53
Dans une approche tant philosophique que théologique, vous nous incitez Tipaza à nous référer à la Bible pour nous convaincre que « le Mal existe en soi ».
Mais déjà Platon dans le « Ménon » (env. 390-385 av. J.-C.) traitait de ce thème et considérait alors, à partir de l’analyse du désir humain, que « nul n’est méchant volontairement », celui qui accomplit le Mal n’en ayant pas forcément conscience puisque celui-ci trouve son origine dans un désir, tout comme le Bien. D’où la conclusion qu’il en tirait que ce Mal n’était finalement pas affaire de perversité mais bien plutôt d’ignorance et que la connaissance alors suffisait pour lever les ambiguïtés entre Bien et Mal et dissoudre ainsi le Mal.
Manière en fait de démontrer qu’il n’y a pas de fatalité du Mal. Il n’y a qu’une indifférence à se satisfaire de ce qui est, à se résigner au « c’est comme ça », à ne pas choisir librement le Bien, ce qui est effectivement le meilleur moyen de laisser « le Mal prendre la main ». Nous sommes coupables du Mal que nous choisissons de ne pas combattre.
@ Axelle D
« Si vous croyez ce que les journaleux racontent, de l’Est républicain à Libération en passant par le Monde et le Parisien, alors là vous êtes très mal informé !
Ayant suivi cette affaire de l’intérieur de bout en bout et connaissant personnellement les mis en cause et la jeune victime… »
Compte tenu de votre précédent identifiant patronymique ou pseudonymique sur ce blog, il n’est pas complètement incongru que vous ayez, effectivement, un lien avec cette affaire.
Et oui, je n’ai que les « journaleux » pour me documenter sur cette affaire. Qui d’autre, je vous le demande ? Au nom de quoi devrais-je suspendre mon jugement ??
« …je peux affirmer que ce n’est pas le professeur Saudubray qui a sorti l’affaire et sauvé par son intervention providentielle la jeune Caroline, mais un membre de la famille de cette dernière. »
Il demeure, pour autant que j’en sache, que sans l’imprimatur de Saudubray, il n’y a pas de caution médicale permettant de passer au stade judiciaire: il importe en effet, procéduralement sur un plan diagnostique, qu’une falsification sous une forme ou sous une autre soit objectivée (sauf quand on fait n’importe quoi au sujet du SMpP comme dans le cas de l’affaire Rachel).
Seul un médecin, de préférence de rang non médiocre, peut porter la charge d’une telle accusation de falsification impliquant directement ou indirectement d’autres membres du corps médical ou para-médical, comme c’est trop souvent le cas dans ces affaires. La parole d’une fille, jeune ou adulte, ne vaut en effet rien face à celle des médecins. Et, de plus, manifestement, cette fille ne souhaitait pas particulièrement engager de poursuites au départ. Je dis bien « au départ ».
« Le professeur Saudubray n’a fait qu’embrayer après que les services sociaux de l’hôpital Necker informés par ledit membre lui aient mis la puce à l’oreille. »
Dont acte. Je sais que cela se centralise à Necker, en France, surtout en bas âge. Quant à moi, je suis trop vieux pour qu’à deux ans et demi ce syndrome fut connu à cette époque. Il n’apparaît en effet dans la littérature qu’en 1977… Il n’était donc pas possible alors de passer sous le crible de Necker. Necker, qui, par certains côtés, je vous l’avoue, m’afflige puissamment sur ce sujet.
Mais vous confirmez ce que j’affirme: qu’une victime de cela ne peut pas s’en sortir seule. Qu’il s’agisse de Saudubray ou des services sociaux, c’est un tiers qui intervint: une victime est impuissante face à cela et sa crédibilité est nulle par postulat médical.
« J’ajoute que dans cette affaire le syndrome de Münchhausen par procuration dont souffrait soi-disant la principale accusée… »
C’est un peu facile de prétendre que X ou Y souffre d’un syndrome de Münchhausen par procuration. C’est à peu près aussi pertinent que de prétendre que X ou Y souffre du syndrome du violeur ou que X ou Y souffre du syndrome du père incestueux ou que X ou Y souffre du syndrome du père fracasseur de côtes. Passons sur ce débat terminologique oiseux.
Mais niez-vous la réalité du phénomène que décrit cette (lamentable) appellation, non pas sur ce cas particulier, mais de manière générale ? Il existe ou il n’existe pas, ce syndrome ? Votre propos n’est en effet pas très clair sur ce point.
« Et que son complice de mari (médecin), bien décrit par Monsieur l’Avocat général de l’époque, lui, s’en est tiré à bon compte grâce à la mort de sa femme qu’il s’ingénia à faire passer hypocritement auprès de sa famille pour un suicide (par remords). »
Je ne peux prendre position sur cette accusation implicite de votre part. Accuser le mari d’empoisonner sa femme, ou l’insinuer, ou insinuer un truc du genre, si je ne vous lis pas de travers, c’est quand même un peu suspect: les suicides de mères dans ce type d’affaires ne sont pas si rares que cela (chose qui rend la prise en charge médicale complexe une fois détecté) bien que ce constat ne préjuge en rien de ce cas particulier. Et figurez-vous que même les victimes souhaitent protéger leurs mères, voyez-vous… eh oui… parce que même les mères finissent aussi victimes d’elles-mêmes dans ces histoires. C’est impolitiquement correct de le dire ?
Mais, lisant ce que je lis de la part des « journaleux », les propos de ces journaux au sujet de ce cas français ne me surprennent dans l’ensemble pas. Le prisme journalistique sur ces affaires ne me semble jamais rendre compte des réelles dynamiques sous-jacentes. Mais les réactions du mari se décrivant comme « témoin », les qualificatifs de « falot » et bla-bla-bla et bla-bla-bla à son encontre selon les « journaleux », ne me surprennent pas du tout. Ils ne sont néanmoins pas exactement généralisables en portrait-robot de ces situations au vu de la littérature à ce sujet. Le père y est généralement décrit comme « à l’ouest », bien que les modes en varient.
Les journaux rendent en effet compte de l’écume du phénomène. Et, bien que vous prétendiez avoir vécu au contact de cette affaire, il est loin d’être impossible que, vous aussi, vous n’en compreniez toujours pas la dynamique. Les coupables, les victimes, ainsi que les médecins: tout le monde a tendance à être dans le brouillard. Pendant de très longues années. Je ne vois pas pourquoi vous seriez une exception, car c’est bien ainsi que fonctionne ce syndrome.
Maintenant, si cela ne vous dérange pas, il serait de bon ton que nous passions à autre chose.
Et la main a pris le mâle, alors, voyons, voyons, n’oublions pas Sarah Knafo !
@ Robert
« Le problème avec ce titre de billet (« Le Mal a pris la main… ») est qu’on se place d’emblée dans un niveau de considération religieuse qui ne peut que gêner la perspective. Le Mal, le Malin : le Diable nous gouvernerait-il en lieu et place de Dieu le Miséricordieux, le seul vrai Agent du Bien ? »
Cher Robert,
Veuillez me permettre pour une fois de ne pas être tout à fait d’accord avec vous.
Ne devrions-nous pas au contraire examiner la situation actuelle, en général, aussi sous l’angle religieux, à la lumière à la fois de divers textes et même de révélations ?
La lutte entre le Bien et le Mal a en fait précédé la création de l’homme, nous pourrions même dire que la révolte de Satan (le plus beau des anges) qui a proclamé « non serviam » (je ne servirai pas) a été la première confrontation entre l’Ordre et le Désordre révolutionnaire subversif.
Cet affrontement se poursuit de nos jours par l’intermédiaire de protagonistes humains qui, de façon consciente ou par ignorance, ont choisi un des deux camps.
Le Bien triomphera un jour, mais le fait que le Mal se sachant vaincu se déchaîne actuellement sous divers aspects (guerres, violences, crimes, inversion des valeurs, haines, licence des mœurs, folie des peuples et de leurs gouvernants, etc.) semble montrer que nous pourrions peut-être nous approcher de la fin des temps, mais bien entendu je n’ai aucune compétence pour annoncer une date, je ne suis pas le Patron…
@ Michel Deluré | 07 novembre 2021 à 14:59
« Nous sommes coupables du Mal que nous choisissons de ne pas combattre. »
Hum, ce n’est pas si simple !
Vous posez le problème du libre arbitre et au-delà.
D’abord vous admettez, puisque vous mettez une majuscule à Mal, que celui-ci est un concept ou une idée, c’est donc qu’il dépasse la nature humaine.
Il fait partie de la création, et c’est bien ce qu’indiquent les épisodes bibliques du serpent et Ève ou celui de Job.
Une fois admis qu’il fait partie de la création, il reste à savoir quel comportement avoir face à lui.
Un concept universel ne se combat que dans sa mise en application, ce qui déjà n’est pas facile, mais si en plus il faut le combattre dans ce que l’on ignore de lui, cela relève de la mystique qui peut soulever des montagnes, ou presque, ou de la théologie verbeuse par nature.
Le Mal peut prendre plusieurs formes de mise en application, et la première c’est l’ombre en nous-mêmes. Il faut d’abord se connaître soi-même, pour le combattre, et en cela Socrate me semble avoir mieux compris le problème que Platon.
Reste ensuite le combat que mène la société, et là c’est un choix collectif.
L’exemple de Munich, ou celui présent de nos élites qui cèdent aux islamistes au nom de valeurs pseudo-morales ou des droits de l’homme pervertis, montre que ce combat est loin d’être gagné puisqu’à peine engagé, et encore quand je dis engagé, j’exagère.
Rien à attendre de Macron, j’ai forcé le trait en le traitant d’Antéchrist, mais sa volonté de repentance perpétuelle est une soumission totale au Mal qui gangrène notre pays sous la forme du mal islamiste.
Et puisqu’on parle de religion, je dois dire que le qualificatif d’Antéchrist pourrait s’appliquer, toujours en forçant le trait, au pape François qui cherche à dissoudre ce qui reste de tradition catholique.
Une religion sans tradition n’est rien. Mais c’est un autre sujet.
@ Michel Deluré | 07 novembre 2021 à 14:59
« Nous sommes coupables du Mal que nous choisissons de ne pas combattre. »
Ceux qui choisissent de combattre le mal se retrouvent au tribunal parce qu’ils défendent la France et notre identité nationale avant tout.
Un bon exemple de ce mal qui se répand dans le monde : les drogues de plus en plus dévastatrices et qui transforment les humains en zombis décérébrés dangereux qui pourrissent sur place.
L’émission « Sept à huit », « les trottoirs de la perdition à Philadelphie »: hallucinant, diabolique, satanique, le modèle de spectacle que Hidalgo la reine des salles de shoot et du crack veut imposer de gré ou de force à ses Parisiens en toute impunité et inconscience criminelle ; du sadisme de très haut niveau dans l’horreur.
Apparemment la grande majorité des Parisiens doit donc se droguer pour souhaiter et favoriser la réélection de leur meilleure dealer municipale.
Je ne vois pas d’autres raisons.
@ F68.10 | 07 novembre 2021 à 15:33
Oui ce syndrome existe, je ne l’ai jamais nié et en avais entendu parler de longue date lors de mon long séjour aux Etats-Unis.
Quant au beau-père et non père de la petite victime, il a effectivement joué un rôle trouble dans l’affaire de bout en bout mais pas que lui. J’ajoute que sa femme avait menacé de tout « déballer » aux assises quelque temps avant sa mort brutale et suspecte (l’autopsie, auquel le mari et la famille s’étaient violemment opposé, avait conclu à un empoisonnement).
Je précise que je n’accuse personne, mais qu’il me paraît curieux que la principale accusée qui semblait attendre les assises pour faire d’importantes révélations, se soit suicidée à quelques semaines desdites assises sans un mot d’explication pour ses proches, notamment sa fille qui avait à l’époque treize ans.
À noter que l’avocat de l’accusée qui devait en savoir beaucoup sur sa cliente, qui écrivait à tout-va, n’a jamais cru à cette fable non plus.
@ Tipaza | 07 novembre 2021 à 18:27
@ Michel Deluré | 07 novembre 2021 à 14:59
À noter que le Mal est un concept spécifiquement humain. Un animal ne connaît pas la notion de bien et de mal. Il tue seulement pour se nourrir ou lorsqu’il se sent agressé, lui ou sa famille.
Une troisième condition existe, cependant, c’est lorsque l’animal a été dressé pour tuer, par l’Homme.
Mais il agit alors sans haine, simplement parce que c’est son travail et que son maître lui demande de le faire.
En fait ce sont les religions et notamment les trois religions monothéistes qui ont introduit le concept du bien et du mal. Vu que pendant longtemps l’humanité était surtout constituée de gens en grande majorité analphabètes qui n’avaient jamais entendu parlé de Platon, de Socrate ou autres éminents philosophes grecs ou latins.
Le seul enseignement que les gens recevaient sur les notions de bien et de mal était transmis par le curé de campagne, l’imam, le pasteur ou le rabbin.
Le Bien et le Mal sont les concepts fondamentaux de la vie en société pour les humains. Ils sont inscrits dans les livres saints (Bible, Coran)
Les animaux eux agissent selon leur instinct grégaire et par atavisme.
Sans verser dans le conspirationnisme, on peut se demander s’il n’y aurait pas une guerre entre magistrats et Eric Dupond-Moretti.
Il ne se passe pas une semaine sans qu’un Landru ou un Eugène Weidmann soit condamné à un stage citoyen ou bien à un rappel à l’ordre. Tu as tué père et mère, tu iras au coin avec un bonnet d’âne.
Taubira+Belloubet+EDM = La chute de l’Empire romain à eux trois.
Ça devient d’un comique effroyable.
Et pendant ce temps-là notre hermine continue à jouer le délégué syndical de la magistrature chez Pascal Praud, avec des alexandrins interminables « mais non, pas du tout, quoi qu’il en soit, par-devers moi-même s’il en est, et quoi qu’on en puisse dire, la magistrature est irréprochable ».
« De ce que j’en ai vu, je n’aimerais pas être jugé en France » (Olivier Guichard, ministre de la Justice)
@ Exilé | 07 novembre 2021 à 17:36
D’évidence, nos approches diffèrent et je respecte profondément la vôtre, ayant été initialement élevé dans cette vision du monde et de l’humanité. La vie a fait que je m’en suis éloigné.
Pour ma part je considère que le Bien et le Mal sont inhérents à la nature humaine et que l’Homme, selon les circonstances et surtout son éducation (notamment religieuse, voire agnostique), est capable du pire comme du meilleur.
Le problème fondamental reste celui du libre-arbitre qui doit permettre à l’individu d’écarter le Mal et d’accomplir le Bien dans la mesure de ses possibilités.
Le procès des auteurs des attentats du Bataclan et autres montre à l’évidence que certains sont persuadés d’avoir accompli le Bien prôné par leurs préceptes religieux.
Par ailleurs, je considère que notre gouvernement, malgré ses rodomontades, n’a en rien fait ce qu’il fallait pour célébrer l’anniversaire de l’assassinat de Samuel Paty.
Il suffit de lire cet article pour se convaincre du manque de courage intellectuel du ministre de l’Éducation prétendument nationale, à travers lui de l’élite qui nous gouverne, et pour ressentir une honte indicible qui devrait être celle de tout citoyen français digne de ce qualificatif.
https://www.mezetulle.fr/samuel-paty-commemoration-a-lecole-ne-pas-aborder-ce-qui-sest-passe/
Gégé Larcher faisait peine à voir dans le Grand Rendez-vous, il se défaussait sur les autres, la langue de bois pour échapper aux questions toujours incisives de Sonia Mabrouk. Les deux autres compères n’étaient pas mal non plus.
Gégé qui bottait en touche, Sonia qui lui bottait les fesses de temps à autre pour le recentrer et le ramener au coeur des questionnements.
Au fur et à mesure, le Président Larcher montait en température, il devenait de plus en plus rougeaud, masquant difficilement un embarras de repu qui n’a plus rien à faire et dont le Sénat n’apparaissait plus comme un contre-pouvoir.
Le Sénat, il va falloir en reparler, inutile donc pour un Président Macron à la manoeuvre, il a essayé d’exister Gégé mais il ne faisait pas le poids… Euh… C’est venu tout seul, il n’était pas habitué à être poussé dans ses retranchements, il avait du mal à s’expliquer.
On ne remerciera jamais assez EZ d’avoir posé sur la table des fondamentaux d’un pays et de ses dirigeants qui se cachaient depuis des décennies derrière leur petit doigt. Un pays livré à lui-même, je ne connais pas le programme d’un non-candidat à ce jour, mais il est sûr qu’il a mis un coup de tatane dans cette fourmilière qui ronronnait, et dont des politiques comme Gégé profitaient, non seulement de mandats de rentiers, mais d’une endogamie rance pour la vie démocratique du pays.
Il est clair aujourd’hui que le Sénat ne sert plus à grand-chose, il faut en réduire les coûts et son personnel politique, la maison de villégiature est trop grande et n’a plus besoin d’autant de personnel.
On peut sortir sans problème les deux tiers de ses occupants, cela fonctionnera toujours, les nouveaux pouvoirs à venir s’en accommoderont, comme
s’en est accommodé Emmanuel Macron.
Il m’a fait un peu pitié… Euh… Enfin pas celle de la formule qu’il valait mieux faire envie que… Enfin de ce côté-là Gégé est pourvu.
Obligé de monter au créneau, le Repu, depuis des décennies il en vit nous en crevons, il a reconnu sans se tordre trop les tripes que lui et les autres avaient occulté des pans essentiels de fonctionnement du pays.
Il a concouru lui aussi au déclin de son parti, pour une grande partie des citoyens qui pensaient qu’il avait un mandat à vie, il n’a fait que les dégoûter et les éloigner des urnes, alors que ce pays a besoin de respirer.
Macron est arrivé, heureusement, mais un pays sclérosé ne se remet pas d’un claquement de doigts, de l’obésité subie de bon nombre de nos élus, il fallait reconstruire, en aura-t-il le temps ?
Il est temps que Gérard Larcher s’en aille, on lui trouvera une autre cantine, la France n’en manque pas, on le recasera, mais c’est vrai qu’aujourd’hui on a l’estomac lourd de voir sans arrêt les mêmes nous gâcher nos repas.
@ Axelle D
Je vous prie de m’excuser: j’ignorais que vous aviez des liens avec cette histoire. Je ne souhaitais pas remuer le couteau dans la plaie.
Je sais que ces situations sont kafkaïennes. Je sais que ce diagnostic peut être utilisé à tort et à travers. Rien de cela ne m’est étranger.
Ce qui n’est pas normal, c’est que ces situations se terminent systématiquement mal. Et vont systématiquement de mal en pis. J’espère que nous pouvons au moins être d’accord sur ce point.
J’espère qu’un jour nous saurons mettre un terme à ces situations sans pousser les gens ni au suicide, ni à d’autres types de mesures extrêmes. Nous n’y sommes pas encore.
@ Serge HIREL | 07 novembre 2021 à 11:14
« Un peu de sérieux ! Sinon, vous allez écrire bientôt qu’il se nommera Maréchal ! »
Pourquoi diable voulez-vous que je sois sérieux ?
Je vais bientôt célébrer mon 92e anniversaire, laissez-moi terminer une vie bien remplie en riant au lieu de pleurnicher comme mes compatriotes.
Relisez ce billet de Philippe !
Non je ne ferai pas l’honneur à Zemmour de le comparer à un Maréchal, trop de Maréchaux ont honoré ce pays, un seul a perdu la raison et perdu la dévotion que lui portait la génération de mon père !
À la rigueur brigadier-chef de CRS, mais là aussi je ne veux pas insulter les CRS, plutôt « La Paine » en plagiant notre famille favorite !
Je répète ici assez fréquemment que je ne prends plus Homo sapiens au sérieux depuis longtemps, ce qui ne veut pas dire pour autant que je ne respecte pas nos compères commentateurs et commentatrices du blog, vous compris !.
Je suis d’accord : je le confirme ou me tais ! Je ne suis pas d’accord je le dis : poliment, vertement, ironiquement, cyniquement, exagérément…
C’est délibéré Serge ! Pensé ! Voulu !
Venez me rendre visite, vous verrez que je ne reçois pas mes hôtes en pointant une arme de haute précision sur leur ventre ! Et je vous jure que je ne vous traiterai pas d’imbécile !
Zemmour est un poison pour moi !
Il n’est français que par le sol et le premier de sa lignée ancestrale. Il ne sait pas que le territoire français qu’il n’a jamais quitté ne représente, outre-mer exclu, avec ses 550 000 km2, que 1,4 % de la surface de notre si belle Planète. Et dans son ignorance il oublie par contre que la voix de la France touche elle les 40 millions de km2 de sa surface ! Dans son insolence il en oublie que les quelque 7 milliards d’individus de la planète, leurs cultures et coutumes ainsi que leurs lois et religions, méritent autant de respect et de courtoisie les uns que les autres !
Respect dont il se juge le seul bénéficiaire !
Cet homme est bourré de complexes et cherche seulement à nous prouver le contraire ! Dans son dérangement mental il insulte musulmans et juifs, ministres et journalistes (même plus que moi pour ces derniers), Britanniques et Américains…
Par air, mer, routes et pistes j’ai surtout survolé, mais aussi parcouru près d’un tiers des 40 millions de km2 de la planète, partout j’ai été fier de la réputation de notre pays, partout, même ici en cette France de bisounours portant gilets jaunes paniqués par une vaccination, fier sauf dans un cas : Zemmour !
En 1968 lors d’un drame ayant touché une de nos jeunes compatriotes à Manama à Bahreïn, alors protectorat britannique, parce que le haut commissaire britannique s’empressait de ne rien faire, indigné j’ai télexé à notre ambassadeur à Koweït lui demandant d’intervenir, j’ai déjà raconté ce qui suit ici ! Notre ambassadeur m’a nommé immédiatement par retour consul honoraire avec instructions précises de défendre les intérêts des sept Français que nous étions, avec copie au roi de Bahreïn me donnant autorité de régler le problème de cette jeune femme directement avec lui. Notre ambassadeur lui savait que je n’étais pas un menteur ! Lorsque je suis allé voir le roi avec mon télex, Isa Al-Khalifa ben Khalifa, un musulman sunnite, il m’a littéralement sauté au cou, fier comme un paon, car pour lui, pas moins que le pays des droits de l’homme, la France, par ce travers, reconnaissait Bahreïn non plus comme une colonie britannique mais comme une nation de droit ! Le premier pays à le faire !
On est fier d’être Français quand une chose pareille bien qu’inattendue vous arrive, Serge !
Comme on l’est lorsqu’un Président français, Nicolas Sarkozy, dans un discours fait lever et applaudir 49 fois tout le congrès américain en 2007 ! Un record inégalé ! Au point que même Fox News qui nous hait par tradition en était muet de surprise !
Depuis toujours la France normalement n’abandonne pas ses citoyens, sauf hélas en 1962, c’est l’honneur de nos soldats mais aussi de nos diplomates qui savent, eux, contrairement à nos gouvernants actuels, utiliser les compétences et le culot de leurs concitoyens !
Zemmour fait le contraire, il met les citoyens français résidents en pays musulmans en danger en plus de nous, chez nous !
Il n’a rien compris aux terribles drames de Merah, Charlie, Bataclan, bistrots parisiens, promenade des Anglais, gorges coupées, et nous en concocte même de nouveaux sans même y penser avec ses diarrhées verbales !
Les Français ne savent pas la chance qu’ils ont de vivre sur ces 670 000 km2, outre-mer compris, ne comprennent pas qu’ils sont sur la Terre promise !
Personne n’a jamais prétendu qu’au Paradis le luxe régnait !
Quant à Zemmour sa place est à Constantine ou Bordj Menaïel, pas en France !
Qu’il retourne au foyer de ses ancêtres dont les descendants ont bien besoin de lui et de sa langue fourchue ! Nous pas !
Un dernier mot sur Zemmour et ses prétentions patronymales, il ne semble pas avoir remarqué que les immigrants arméniens, dont beaucoup nés en Turquie, ont francisé leur nom !
Ce que lui n’a pas fait !
« Une Église pauvre pour les pauvres »
François, ou l’Antéchrist de Tipaza.
@ F68.10
Je n’ai aucun lien avec cette affaire. J’ai seulement eu des informations de première main par une très proche de l’accusée et de la victime.
Fermez le ban.
@ Achille | 07 novembre 2021 à 20:37
« Un animal ne connaît pas la notion de bien et de mal. Il tue seulement pour se nourrir ou lorsqu’il se sent agressé, lui ou sa famille. »
D’abord il faudrait définir ce que sont le Bien et le Mal. Vaste sujet que philosophes et théologiens esquivent souvent, Bien et Mal n’ayant rien à voir avec la morale, et c’est là qu’est la difficulté de la définition !
Pour le reste c’est faux, un animal peut tuer simplement parce que son instinct le pousse à tuer même quand il n’a pas faim.
L’éthologie moderne a montré l’importance de la notion de territoire chez les animaux qui peuvent tuer dans des combats pour posséder ou défendre un territoire. C’est même la grande découverte du XXe siècle du comportement animal.
Vous n’avez jamais vu un chat jouer avec une souris pas encore morte, puis la tuer et s’en désintéresser sans la dévorer ?
Et je ne parle pas du comportement des fourmis qui ayant conquis une fourmilière ennemie font des vaincues leurs esclaves. Je n’ai pas le temps, ni l’envie de chercher des liens mais c’est bien connu.
Le Mal est consubstantiel de la création, si on est croyant, ou plus simplement de l’univers si on ne l’est pas.
« En fait ce sont les religions et notamment les trois religions monothéistes qui ont introduit le concept du bien et du mal. Vu que pendant longtemps l’humanité était surtout constituée de gens en grande majorité analphabètes »
Ne confondez pas analphabétisme et bêtise, ce sont des concepts différents.
Il y a toujours eu dans toutes les religions y compris les pluralistes, si je puis dire, l’idée d’un Mal sous l’inspiration et le contrôle d’un dieu spécifique.
Ce dieu a pour fonction le principe destructeur qui est associé au principe créateur géré par un autre dieu.
Le fait que dans le monde, création, préservation, destruction, vont l’amble, a généré naturellement les concepts de Bien et de Mal chez l’Homme. Chaque religion les formulant à sa façon.
Chez les Hindous, ce sont Brahma, Vishnou et Shiva qui se partagent les rôles.
Pour ce qui est de l’analphabétisme et son lien ou pas avec la mise en oeuvre pratique du concept du Bien je vous rappelle que bien avant les religions monothéistes, il existait un code juridique parfaitement connu de tous y compris des illettrés c’est le code de Hammurabi, à Babylone, passionnant même pour un non juriste.
Je serai bon prince, voici le lien:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Hammurabi
@ Claude Luçon | 07 novembre 2021 à 22:01
« Un dernier mot sur Zemmour… »
Ah, si ça pouvait être vrai. Chiche !
« les immigrants arméniens, (…) ont francisé leur nom !
Ce que lui n’a pas fait ! »
Excellente idée que je m’empresse de lui transmettre.
Je propose qu’il le francise en Zammour.
Sur une affiche, le slogan: « Zammour, toujours », fera un malheur ou un bonheur c’est selon 😉
@ ellen 07/11 14:59
Lorsque je parlais de combattre le mal, j’avais surtout en tête l’attitude que chacun, à son niveau, dans les fonctions qui lui incombent, doit adopter pour tenter d’éradiquer ce mal. Mon « nous » incluait donc l’exécutif dans le cadre de son obligation régalienne, les parents dans le cadre de leur devoir parental, le système éducatif dans le cadre de son rôle d’apprentissage à la vie sociale et d’enseignement non seulement de savoir mais aussi de valeurs, les médias dans la responsabilité qu’ils prennent quant à l’impact des informations qu’ils diffusent.
Ces comportements ne me semblent donc pas de nature à faire encourir des actions judiciaires à l’encontre de ceux qui les adoptent.
@ Tipaza | 08 novembre 2021 à 08:41
« Excellente idée que je m’empresse de lui transmettre. »
Comment faites-vous ?
Si c’est vrai, passez-moi l’adresse SVP, je pourrai enfin m’adresser directement à lui au lieu d’espérer qu’il lise JaS où je suis obligé de peser mes termes !
Pour le moment j’attends qu’il se déclare candidat, s’il le fait j’envoie un texte à tous les journaux du genre : « Recommandations d’un Aryen à Herr Zemmour »
Merci d’avance !
Le mal a pris la main et il progresse. Tous les départements de France ne sont pas parvenus au même point de saturation. Celui qui est en avance sur tous les autres est un petit confetti posé entre l’Afrique et l’île de Madagascar. Il s’agit de Mayotte où les agressions, vols et incendies sont omniprésents. La légion étrangère garde les centres commerciaux la nuit. Les barricades de véhicules incendiés bloquent la circulation. Les salaires alléchants ne suffisent pas à motiver les fonctionnaires, ils fuient la pression, l’insécurité. Les tribunaux sont saturés et tout est bloqué. La racaille jouit de l’impunité.
La guerre civile semble être pour bientôt.
l’éventualité du Grand Remplacement
Nous ne sommes plus dans le domaine de l’éventualité mais dans celui de la réalité.
Outre les statistiques officielles, il existe divers indicateurs qui ne trompent pas, comme par exemple depuis plusieurs années les photographies figurant sur les emballages de couches-culottes ou plus récemment les réclames mettant systématiquement en scène des diversitaires, sans oublier le spectacle de la rue, des commerces, de sorties d’écoles, des transports, des urgences des hôpitaux, des changements de paysages urbains, etc.
Quand la somme des entrées légales et illégales atteint environ le chiffre de 400 000 personnes par an, il n’est pas difficile de calculer à quoi cela mène.
Mais bien entendu, il est toujours possible de s’enfoncer dans le déni.
@ Michel Deluré | 08 novembre 2021 à 09:04
Merci d’avoir développé votre idée, je comprends mieux.
Ce que vous résumez est tout a fait exact, sauf qu’il faudrait un siècle pour remédier à tous ces manquements à condition que les prochains responsables chargés de l’Etat soient très au-dessus de ceux que nous avions et avons. Une perle rare ne se trouve pas facilement. Il y a du boulot.
@ Claude Luçon 07 novembre 2021 à 11:14
Dieu, que vous avez une curieuse façon de rire… ou de tenter de faire rire ! Pratiquez-vous l’humour pétrolier, celui que l’on découvre bien enfoui, au-delà de mille mètres de profondeur ? Pas facile de le ramener à la surface… Pour ma part, modestement, je me contente des premier et second degré, assez souvent présents sur ce blog.
Quant à Zemmour, tant il occupe vos pensées, je crois bien qu’en fait vous l’adorez… Il vous ressemble : radical dans ses convictions, sans nuance dans ses propos… et foncièrement patriote.
@ Exilé | 08 novembre 2021 à 18:14
L’étude des publicités en dehors de leur contenu est très intéressante. Souvent le Blanc est vieux ou stupide et à moitié obèse, son épouse étant une cruche. Le « toutcouleurs » est beau, intelligent, malin, attentionné et donneur de leçons.
Sur le front du covid, Moderna est suspendu pour les moins de 30 ans.
« Si j’aurais su, j’aurais pas venu » et ça commence à se savoir.
L’ivresse est le résultat d’une intoxication alcoolique : excitation, désinhibition – c’est souvent l’effet recherché -, baisse de la vigilance et de la coordination, le tout accompagné d’une espèce d’euphorie ou de hargne, souvent vulgaires, souvent violentes, presque toujours ridicules. Parfois, quelqu’un est tué par l’enivré. Cela peut être sa femme. Et l’on sait ce qui peut arriver s’il se met au volant dans la nuit de samedi à dimanche, en sortant de boîte de nuit. Tant pis pour les passagers. Ou la voiture d’en face.
Pas de quoi pavoiser. Et pas de quoi sourire. Mais on me dira que je suis un rabat-joie.
@ Patrice Charoulet
Vous êtes rabat-joie, et pire, injuste. Tout est dangereux, ce qui ne veut pas dire qu’il faut tout interdire. Vous dites être de droite, donc pour l’ordre, pas contre le pouvoir, j’imagine ?
Interdire une chose quand ses abus sont moindres que le bénéfice n’est pas pertinent. Ainsi, l’ordre diminue la guerre de tous contre tous. Il y a des abus ? Il faut des contre-pouvoirs et des contrôles.
C’est pareil pour l’alcool : contrôle, il faut interdire de boire trop avant de conduire. Sinon, on doit désintoxiquer les ivrognes dangereux pour les autres sans parler de punir les gens qui battent les autres, avec ou sans alcool, et quelles que soient leurs victimes. Désintoxiquer de force celui qui ne fait rien de pire que cuver dans son vomi sur son canapé ? Jamais, ce que fait un adulte de soi le regarde.
Par contre, le vin multiplie le plaisir de la dégustation des plats : combien il y a plus de mariages convenables voire divins là-dedans qu’entre humains ! Et se désinhiber légèrement est absolument nécessaire à la fête. Or l’alcool y est plus propre que la musique, et n’envahit pas le voisin, ce qui est gênant quand on n’aime pas la même que lui.
Ainsi, plaisir du goût, légère euphorie et communion avec les autres ne font idéalement qu’un.
Bien sûr, tout le monde ne peut pas boire. Mais doit-on interdire les gratte-ciel parce que certains ont le vertige ?
Vivre avec les autres c’est vivre dans l’entre-concession de réalités dont chacune peut mettre son voisin ou soi-même mal à l’aise, la fête est un moment de communion où c’est la joie que tous partagent.