Il n’est pas un Premier ministre qui n’ait pas annoncé des mesures contre l’antisémitisme et le racisme. Qui n’ait pas exprimé sa honte face à ce poison qui gangrenait les veines de la France.
Il n’est pas un président de la République qui ne se soit pas rendu à l’invitation du CRIF. La plupart du temps applaudi. Rarement contesté ou même hué.
Le président de la République, dans la soirée du 20 février, a connu ce moment de grâce : l’ovation de la part d’une assistance légitimement inquiète puis rassurée.
Pourtant la teneur de son propos a été courageuse. Il a évidemment pris la mesure de la montée absolument sans précédent de l’antisémitisme. La progression sensible chaque année de ce fléau intellectuel et civique a été indéniable mais la terrifiante accélération de ce mal en 2018 a représenté un signal d’alerte inédit, une menace dont Emmanuel Macron a souligné à juste titre le caractère exceptionnel.
Comme si la dénonciation permanente et seulement humaniste de l’antisémitisme n’avait abouti, dans des esprits malades, haineux ou odieusement politisés, qu’à l’effet inverse de celui souhaité. En répétant pour éradiquer, on installe et on renforce le pire. C’est un paradoxe sombre dont je n’ai pas seulement relevé l’existence dans ce domaine capital de notre savoir-vivre républicain.
Le président de la République, s’il a annoncé une loi au mois de mai prochain pour tenter de purifier Internet et les réseaux sociaux – bon courage ! -, n’a pas cédé à la tentation perverse de donner l’impression d’une action en inscrivant les infractions antisémites et racistes dans le droit commun.
Certains avocats et la LICRA par exemple, aspiraient à cette banalisation procédurale mais je suis sûr qu’Emmanuel Macron a bien fait en refusant l’amalgame entre des « actes » délictuels et criminels et des « paroles » abjectes, indécentes, scandaleuses, mais des paroles (Le Figaro).
Il était nécessaire de ne pas succomber à cette propension française, face à une impuissance concrète, de proposer des rigueurs symboliques qu’on ne saurait, sur le plan de la preuve, mettre sur le même plan : par exemple la matérialité délictuelle ou criminelle des transgressions antisémites et l’expression de critiques, voire d’injures qui pourraient parfois être protégées par une liberté poussée au comble. Dans la réalité, tout n’est pas toujours aussi honteusement simple que ce qui a offensé Alain Finkielkraut et indigné une majorité de citoyens.
Le président également n’a pas projeté la pénalisation de l’antisionisme même s’il a accepté de l’intégrer dans une définition plus large de l’antisémitisme. L’antisionisme, en effet, peut relever d’une opinion, d’une conviction légitimes dès lors qu’il ne vise pas absurdement à remettre en cause l’existence de l’Etat d’Israel mais seulement sa politique.
Emmanuel Macron avait solennellement déclaré après la violation de sépultures juives à Quatzenheim : on fera des actes, on fera des lois et on punira.
Heureusement, peu ou prou, il a abandonné la facilité des lois qui trop souvent se substituent à l’action. Un leurre qu’on agite devant les citoyens pour leur donner l’illusion d’un Etat réactif.
Face aux crises qui blessent la République et qui concernent le registre pénal, il y a trois manières de ne rien accomplir : instaurer une répression théorique plus sévère, allonger le délai de prescription et proposer de nouvelles lois.
La France dispose actuellement de l’arsenal législatif qui lui permettrait de répondre à la malfaisance de l’antisémitisme et du racisme. Il faut déterminer précisément qui sont ces fauteurs de haine selon toutes les modalités dont ils usent. Les interpeller, les poursuivre et les condamner s’ils sont coupables avec l’interprétation adaptée à la gravité de chaque espèce, à la personnalité de l’auteur et à l’éventuelle réitération ou non de ce type d’agissements.
Que le CRIF ait ovationné le président, c’est bien. Que la peste monte, c’est tragique. Qu’on gagne le combat contre elle, ce serait enfin efficace sur le plan républicain.
On ne se payerait plus seulement de mots. Contre le Mal.
Pour commencer, on pourrait déjà stopper l’importation d’antisémites par dizaines de milliers par an.
On pourrait aussi interdire la diffusion sur notre sol des chaînes de TV satellitaires qui injectent leur poison antisémite.
Et là, je pourrai enfin croire que l’on fait réellement quelque chose contre l’antisémitisme.
Pour l’instant, ce n’est que du vent.
Mon Dieu, ces exercices d’hypocrisie et de politique de l’autruche collective sont pathétiques…
Je peux vous prédire une chose avec certitude : toutes les mesures précédentes contre l’antisémitisme n’ont en rien endigué sa montée et il en sera de même pour les suivantes. On peut même estimer qu’elles sont contre-productives en moyenne (mais pour cela il faudrait avoir le courage de réfléchir).
Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes…
@ Noblejoué
@ Catherine JACOB
Je suis sur la même longueur d’onde que vous à propos du discours de Macron au dîner du CRIF (billet précédent). Punir, punir, encore punir pour combattre le racisme. Et faire honte !! C’est paraît-il la méthode à l’allemande, elle serait efficace. On va prendre des leçons d’antiracisme chez eux ? Hum, ça ne me paraît pas psychologiquement très adroit…
Et punir quoi ? Les mauvais sentiments (« les passions tristes », ça fait plus cultivé) et la liberté de parole. Les journalistes commentateurs se frottent les mains, ils ne regrettent qu’une chose, ce ne sera pas si facile que ça.
Quand un voisin de Sarah Halimi l’a passée par la fenêtre sans que personne n’intervienne, alors qu’elle appelait au secours si je me souviens bien, la tuant parce qu’elle était juive et au nom d’Allah, les mêmes qui, pour des slogans et des injures, défilent et applaudissent les discours punitifs, on mis des mois à en parler, de peur de dénoncer un déséquilibré. Le déséquilibre n’est pas forcément du côté que l’on croit.
Non pas que j’approuve les injures ou les profanations, elles témoignent de l’état larvé de guerre civile où nous nous trouvons, de la pression mise par certains groupes minoritaires sur l’ensemble de la société, et de la menace violente qui pèse sur certaines cibles en particulier, mais en fait sur l’ensemble à plus long terme. Quand on accepte de sacrifier les plus exposés on devrait savoir que son tour viendra ensuite.
Une étude passionnante sur le politiquement correct est sortie il y a quelques mois sur « The Atlantic ». Trop long pour que je le résume. L’idée générale est qu’à part 10% d’activistes à gauche et à droite de l’éventail politique, les citoyens sont dans la grande majorité à ranger dans la catégorie des « politiquement épuisés » (exhausted).
Les militants progressistes de gauche constituent en Amérique le groupe le plus homogène sur le plan de la race (blancs), de l’argent (riches), des diplômes (beaucoup). Ils dirigent la plupart des institutions, et ils conseillent les politiques. Alors que la population pense à 80% que le politiquement correct pose un problème (97% chez les militants conservateurs), ils ne sont plus que 30% à le penser dans ce groupe. Les 90% ne faisant pas partie de la tribu, loin de penser que le politiquement correct relève d’un souci de justice sociale, le considèrent comme une marque condescendante et bêcheuse de supériorité culturelle. Pire, une façon de tenir ses distances et de faire peser sur ceux qui ne possèdent pas les codes du politiquement correct un soupçon permanent de racisme. Il ne reste donc plus qu’à les punir au moindre écart de langage (c’est moi qui l’ajoute. Aux États-Unis, la liberté de parole reste malgré quelques entorses un droit sacré).
La représentation d’un pays coupé en deux, avec d’un côté : les vieux, les aigris, les hommes, les blancs, et de l’autre : les progressistes, les jeunes, les intelligents, les femmes, la diversité, est complètement artificielle, mais c’est celle qui est véhiculée par le discours dominant.
L’étude montre aussi que les « politically exhausted » (épuisés) détestent le racisme, donc n’ont pas besoin d’être harangués ni fliqués sur la question (c’est moi qui l’ajoute). Les deux groupes se retrouvant chacun à chaque extrémité ont réussi à persuader leurs militants que le groupe à l’opposé constitue une menace existentielle. Bien sûr nous ne sommes pas aux USA, mais l’étude a démenti l’idée bien ancrée que la plupart se faisaient d’une Amérique en deux blocs, et je pense que nous aurions les mêmes surprises. Trump selon certains, a été élu non pas pour ses idées, mais parce qu’il a osé braver le politiquement correct.
https://www.theatlantic.com/ideas/archive/2018/10/large-majorities-dislike-political-correctness/572581/
J’aimerais qu’on me mette sous les yeux des documents écrits ou sonores dont on pourrait dire que (1) ils sont « antisionistes », mais que (2) ils « ne mettent pas en cause l’existence de l’État d’Israël ».
Pour ma part, je n’ai encore jamais rencontré de tels documents et propos.
Hier 20 février j’annonçais à 18h19, en réponse à un/une commentateur/trice :
« Demain ce sera le décryptage du mêêêrveilleux discours de Manu devant le CRIF »
Dorénavant appelez-moi madame Irma 😀
Il faut déterminer précisément qui sont ces fauteurs de haine selon toutes les modalités dont ils usent. Les interpeller, les poursuivre et les condamner s’ils sont coupables avec l’interprétation adaptée à la gravité de chaque espèce, à la personnalité de l’auteur et à l’éventuelle réitération ou non de ce type d’agissements.
Pour commencer, il faudrait peut-être que nous nous réveillions et que nous comprenions que nous sommes en 2019 et que l’antisémitisme imputé de façon sommaire et simpliste à une extrême droite fantasmée n’est qu’une baudruche agitée comme un épouvantail depuis quarante ans par des partis politiques aidés de leurs sous-marins associatifs pour se maintenir en place.
Cela vaut aussi pour les commentateurs de ce blog qui reprennent sans réfléchir l’antienne des macronistes qui, ne sachant comment discréditer définitivement les Gilets jaunes pour s’en débarrasser, sortent le joker de l’antisémitisme pour les achever, alors que les Gilets jaunes historiques n’ont rien de vraiment antisémite dans un environnement qui depuis quelques années l’est pourtant de plus en plus et de façon violente.
Tout cela pour dire que l’antisémitisme a totalement changé de nature et qu’il s’infiltre désormais partout y compris dans les milieux les plus inattendus.
Nous nous souvenons de la réprobation suscitée par les dégradations causées à l’Arc de Triomphe, imputées en bloc à l’ensemble des Gilets jaunes, y compris à ceux qui ont fait ce qu’ils pouvaient pour s’y opposer.
L’article suivant, bien documenté, expose les tentatives de subversion menées par des islamistes dans la mouvance des Frères Musulmans en France se traduisant entre autres par l’infiltration du mouvement des Gilets jaunes, avec l’accomplissement de violences à la clé.
L’article – qui mérite d’être lu – est long, mais pour avoir une preuve de cette manœuvre d’infiltration, il faut aller trouver vers les trois quarts une photographie de l’Arc de Triomphe portant le graffiti suivant : « LεS GILεTS JAUNεS TRIOMPHεRONT ».
L’auteur explique la symbolique du recours à ces quatre epsilon et pourquoi elle est la signature d’un acte revendiqué par des Frères Musulmans.
http://mohamedlouizi.eu/2018/12/29/gilets-jaunes-et-alexandre-benalla-lours-islamiste-est-sorti-de-ses-banlieues-les-preuves/#_ftnref233
Mais bien entendu, comme à Byzance alors que l’assaut était donné aux murs de la ville, les équivalents des théologiens que sont les hommes politiques et leurs satellites complètement déconnectés des réalités pourront encore remuer leurs méninges pour imaginer encore plus de lois de circonstance assorties d’encore plus de surveillance et d’interdictions à la petite semaine, au lieu de s’occuper de l’essentiel…
C’est ce qui reste de la clique à Mitterrand, l’homme qui recevait Bousquet à l’Elysée, qui veut, comme toute gauche qui se respecte, donner des leçons de lutte contre l’antisémitisme.
Il n’y avait à l’époque pas de commission sénatoriale pour étudier le fonctionnement de l’Elysée et on a vu la suite.
Où est donc passé Besancenot, si prompt à réagir ?
Une question cependant, est-ce être antisioniste ou antisémite que d’être « anti-antipalestinien ? »
N’oublions pas que la bande de Gaza est le plus grand « camp de concentration de la population au monde, en densité », après… Monaco.
On peut aussi avoir des pensées chrétiennes pour cette population sans systématiquement que les mots antisémite, antisioniste, fusent.
Ah ! Vivement des « gestes forts », des « actes tranchants », des « punitions sévères » contre la bêtise, contre la peur, contre l’aveuglement…
Ce Manu, un vrai contorsionniste !
OK, je sors…
Je veux bien qu’on m’explique que l’antisionisme n’est pas de l’antisémitisme. C’est en effet discutable. Critiquer l’Etat d’Israël pour sa politique envers la Palestine n’est en effet pas un délit. Sauf que !
Beaucoup de nos compatriotes critiquent Trump, par exemple, et on n’a encore jamais entendu de déséquilibrés défenestrer des ressortissants américains ou les agresser dans la rue à cause de la politique trumpiste.
Il y a donc bien un antisionisme qui se mélange et s’ajoute à l’antisémitisme basique de façon culturelle, religieuse et politique. Et forcément plus arrivent sur notre sol de migrants musulmans, plus l’antisionisme et ce qui va avec s’amplifie. Il est difficile de le dire sans être suspecté de racisme ou de xénophobie, pourtant c’est une réalité et un sentiment anti-juif qui monte notamment dans les banlieues.
Hier Macron a donné le change en promettant des mesures sans nommer de coupables, préférant laisser planer le doute. Il va faire dissoudre trois organisations d’extrême droite, s’il s’agit de groupuscules nazillons, il a entièrement raison. Sachant malgré tout que ces groupuscules se reconstitueront d’une façon ou d’une autre, sous un autre nom comme c’est le cas à chaque fois. L’occasion était toute trouvée et judicieuse de faire dissoudre des groupuscules antifa tout aussi nuisibles, mais c’est visiblement difficile pour la gauche, même modérée, de s’attaquer à son extrême, même la plus nocive.
« Le président de la République, s’il a annoncé une loi au mois de mai prochain pour tenter de purifier Internet et les réseaux sociaux – bon courage ! » (PB)
Oui bon courage pour traquer les propos injurieux ou racistes, car c’est parfois bien subjectif et du coup pourrait entamer la liberté d’expression.
Une liberté d’expression indispensable dans une démocratie. A moins que, profitant de cette affaire d’antisémitisme, le gouvernement fasse d’une pierre deux coups pour faire taire toute velléité de critique en général. Critiquer n’est pas insulter, mais le prétexte pourrait être tentant dans ce contexte de fronde.
On nous répète qu’Internet est un déversoir de haine, de propos douteux et d’injures racistes, c’est certainement vrai, mais il y a aussi des phrases perfides et insidieuses, pire que des injures, comment faire la part des choses en toute objectivité ? Nos services de police dédiés à la cybercriminalité a bien du mal à arrêter des réseaux qui passent par l’étranger, alors les vrais antisémites pourront aussi sévir via des réseaux cryptés ou étrangers.
Avant Internet tout cela existait, car le bouche à oreille fonctionne très bien aussi. Par exemple la « rumeur d’Orléans et de Rouen » en 1969 s’était répandue en maximum trois jours, sans Facebook, sans Twitter. Une rumeur tenace, antisémite et abjecte à laquelle tout le monde croyait de prime abord.
Tout cela pour dire qu’il est difficile de museler l’opinion à moins de faire régner la peur ou la dictature.
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@ Achille
La politique d’Israël, bien avant Netanyahou était ciblée par les pays arabes qui aimeraient voir disparaître cet Etat. Beaucoup de ceux qui ont voulu sinon un rapprochement, du moins un apaisement, ont été assassinés. Anouar el-Sadate par exemple où les chefs d’Etats arabes (y compris le roi Hussein de Jordanie, pourtant pacifique) n’ont pas assisté à ses funérailles, alors qu’il avait été lâchement assassiné après avoir voulu cet apaisement.
Israël n’est pas un Etat comme les autres. C’est d’abord là que l’Histoire des trois grandes religions prend ses sources. C’est aussi un peuple, parti en errance pendant deux mille ans, revenu, fort et soudé, et qui a travaillé dur pour survivre dans un désert. Forcément cela crée des jalousies et des tensions. Après, il y a une politique discutable mais à mon avis, la paix n’est pas pour demain.
Ils sont 36 095 preux à reconquérir le royaume pour le malheureux Prince Souhmis.
Bientôt ils seront supérieurs en nombre face aux GJ !
« On ne se payerait plus seulement de mots. Contre le Mal. » (PB)
Pour cela, il faudrait d’abord nommer le mal. Dans les circonstances présentes, vouloir la dissolution de trois groupuscules d’extrême droite, c’est encore jouer du pipeau pour faire croire qu’on agit. Tout le monde (sauf Manu ?) sait que l’antisémitisme de masse ne vient plus de l’extrême droite et que l’Action française ne pèse rien face aux Frères Musulmans.
« Il était nécessaire de ne pas succomber à cette propension française, face à une impuissance concrète, de proposer des rigueurs symboliques qu’on ne saurait, sur le plan de la preuve, mettre sur le même plan : par exemple la matérialité délictuelle ou criminelle des transgressions antisémites et l’expression de critiques, voire d’injures qui pourraient parfois être protégées par une liberté poussée au comble » (PB)
C’est beau, ce devrait être, mais lorsqu’on lit les « dernières » de Marlène Schiappa, ministre du gouvernement, elle, elle n’a pas peur de mettre sur le même plan la manif pour tous et le terrorisme islamiste.
Marlène Schiappa l’artiste sachant souffler sur les braises.
« Le CRIF ovationne, la peste monte »
Reçu par le CRIF (un des lobbys parmi les plus influents en France) le Président Macron a égrené, cher P. Bilger, des mots, encore des mots.
Franchement, soyons sérieux, quelles décisions ont été prises ? Dissolution de trois minuscules organisations dites d’extrême droite et un projet de loi. Encore une ! Une déception de plus par rapport aux annonces et à la situation !
Une image grotesque : quand à la fin du discours du Président, le président Francis Kalifat lui prend le bras et le lève comme si E. Macron venait de gagner un combat ! Du beau lobbying ! Et quelques électeurs de plus pour E. Macron !
Quant à la discussion byzantine sur le sionisme ou l’antisionisme, on ne peut rien bouger car les juifs eux-mêmes sont partagés sur cette question. Un des plus grands penseurs de notre temps, George Steiner, s’est exprimé contre de façon forte et cet homme, discrètement, est un des plus grands influenceurs et de la communauté juive et du monde des décideurs.
Le CRIF, si je puis me permettre, devrait demeurer plus discret. Il est un des vecteurs majeurs qui importe les problèmes autour d’Israël. Trop agressif, trop direct, et avec dans son sein des organisations (par exemple l’Organisation des étudiants juifs de France) plutôt très agressives et quelquefois dans des comportements limites.
On vient d’apprendre la mort de Fabien Clain sous les attaques américaines. Excellente chose ! Quand on pense que cet homme pendant des années a prêché sur les marchés en toute impunité et en étant très connu des services de renseignements. Qui n’ont jamais reçu l’ordre de l’arrêter systématiquement !
Ce qui manque cruellement à E. Macron, c’est l’action. Le parler, cher P. Bilger, aussi brillant soit-il, devient dérisoire dans des circonstances graves. La preuve !
De l’action !
Cordialement.
« C’est d’abord là que l’Histoire des trois grandes religions prend ses sources »
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 21 février 2019 à 16:49
Vrai pour le judaïsme et le christianisme mais certainement pas pour l’islam…
La source de l’islam (religion fondée par Mahomet en 610 après JC) est à Médine en Arabie et non à Jérusalem, laquelle nouvelle religion dans la foulée s’accapare les textes bibliques de l’Ancien et du Nouveau Testament pour les refondre à la sauce bédouine, ce qui n’est ni plus ni moins qu’un grossier patchwork des textes révélés, doublé de vol et de plagiat et de récupération des prophètes. Quant au Jésus des chrétiens, le roi des Juifs, c’est le pompon le voilà redevenu à la même époque, soit six siècles après sa naissance, de par la volonté d’un chamelier ignare, prophète de l’islam.
Et ce n’est qu’en 634-644 que le calife Amar annexe les territoires de Syrie et de Palestine au titre de la politique d’expansion et de conquête de cette nouvelle religion. Jérusalem tombe après deux ans de siège… etc.
Youpi !! Fabien Clain (ancien Français né à Toulouse), le porte-parole de l’Etat islamique, le revendicateur des attentats de Paris, est mort.
Reste ce que va dire la France à propos du rapatriement, ou pas, de sa famille.
@ Lucile
Comme d’habitude, vous écrivez de manière équilibrée sans être fade pour autant, et apportez un éclairage intéressant sur la signification du vote Trump.
De plus, vous parvenez à ramener à la raison quelques personnes commettant divers abus sur le blog.
Mais attention, je ne donne pas dans le jugement de Paris… Achille à qui on a fait du tort et qui ne fait pas de concession, l’intelligent Ulysse ou Énée le devoir avant l’amour et avant Corneille, je crois que je préfère à peu près tout le personnel héroïque au bellâtre cause de la guerre, et non pas Hélène, à mon avis.
Et allez, une loi de plus, une intégration législative, pour dire vrai.
J’ai souvent dit ma réprobation pour la mise en avant d’un phénomène qui ne concerne pas vraiment le public qui, répétons-le encore et toujours, n’est pas antisémite. Faut-il encore remuer le vocabulaire sempiternel ? Je m’étais effectivement trompé en parlant d’un délit antisioniste, lecture trop rapide.
Il n’en est pas moins que nous allons enterrer en grande pompe: « CARTHAGO DELENDA EST » car, imaginez que vous prononciez cet aphorisme, sans doute controuvé d’ailleurs. Raisonnement d’un juge : incitation à la destruction d’une cité, donc intention de nuire à son peuple. Carthage fut fondée par des gens de Tyr, voisine d’Israël. Ergo, principe de précaution, qui veut détruire Carthage souhaite détruire partiellement la marge d’Israël, donc est antisioniste. Condamnation. Non ? Tant pis. Un escalier vient de me tomber sur la tête et à 80 ans, je m’en suis sorti, alors le poids de l’indifférence sarcastique me laisserait de marbre comme les marches en question.
J’ai suffisamment expliqué mes rapports avec le monde juif. Ita necesse est silentium.
« Je ne veux voir les scènes de la vie qu’en petit, afin que celles qui ont un caractère d’atrocité soient réduites à un pouce d’espace et à des acteurs d’une demi-ligne de hauteur, et qu’elles ne m’inspirent plus des sentiments d’horreur ou de douleur violents. Mais n’est-ce pas une chose bien bizarre que la révolte que l’injustice nous cause soit en raison de l’espace et des masses ? J’entre en fureur si un grand animal en attaque injustement un autre. Je ne sens rien, si ce sont deux atomes qui se blessent ; combien nos sens influent sur notre morale ! »
(Diderot)
Des insensés sont à l’œuvre pendant que vos sens anesthésiés tournent en rond sur des points et des controverses, les mots interdits effacent la pensée mauvaise, dormez tranquilles braves gens, les grands hommes s’occupent de votre destinée. La nuit sera chaude, brûlante, volcanique, elle sera en fusion et avant même que vos sens ne vous préviennent il sera trop tard, l’homoncule en colère vous abusera, tandis que vous croyez que l’autre, celui qui ne vous est rien, celui-là paiera le prix, c’est votre espérance qui sera la compensation ! Dormez tranquilles braves gens…
La meilleure réponse à l’antisémitisme est de parler de l’arnaque palestinienne, de dire l’admiration que l’on peut porter à l’histoire du peuple juif et de débattre. Sûrement pas de tenir des propos convenus applaudis par les antisémites de LFI ni d’interdire ou de punir. Les antisémites sont convaincus et convaincants. Il suffit de lire certains commentaires de ce blog. Certains autres sont en revanche les meilleurs qu’on puisse trouver sur la toile sur le sujet. Merci à Robert Marchenoir pour sa pédagogie.
Bonsoir Monsieur Bilger
Pour lutter contre l’antisémitisme islamo-gauchiste, Macron va dissoudre « Bastion social » qui aide les Français pauvres.
Logique.
Avant que la France ne soit envahie par les islamistes, la faute à nos dirigeants aveugles, il n’y avait pas d’antisémitisme, aucun problème entre les Français de confession juive et chrétienne. Tout le monde vivait en bonne harmonie. Les banlieues n’étaient pas dégradées, les écoles respectées, il n’y avait pas de zones de non droit, pas de casseurs, pas de voitures qui flambaient, pas d’attaques contre les forces de l’ordre, pas de terrorisme islamique, etc.
Qui a l’intérêt à ce que les chrétiens et les juifs disparaissent de notre civilisation si ce n’est les fanatiques islamistes religieux et leur politique débile qu’est la charia ? Et pourtant, les politiques français n’ont rien fait de concret pour stopper l’importation des islamistes. Et pour quelle raison ? Ah, les contrats qui rapportent beaucoup de sous, ces milliardaires qui nous achètent à prix d’or nos plus beaux joyaux, patrimoine historique, nos plus beaux châteaux, hôtels palaces 5 étoiles, immobilier de luxe, etc. Quand ils n’auront plus de pétrole dans leurs puits, ils viendront s’installer avec leurs tribus en France et diront « nous sommes chez nous », les Français chrétiens dehors.
Mais est-ce qu’on est si stupides pour ne pas ouvrir les yeux ?!
Depuis que l’antisémitisme s’est installé en France, depuis que le terrorisme islamique frappe à nos portes, les vrais et les seuls responsables de ce désordre sont les Qataris, l’Arabie saoudite ayant exporté les pires individus avec beaucoup d’imams compris, pour y régner et semer la terreur.
Ce ne sont pas des centaines de lois qui feront du bien à la France, commençons déjà à faire le grand ménage chez nous pour éradiquer le mal qui nous ronge depuis trop longtemps.
J’en profite pour remercier les sénateurs Philippe Bas, Jean-Pierre Sueur et Muriel Jourda pour leur excellent travail. J’espère que la justice suivra les affaires jusqu’au bout sans se faire intimider. La justice doit être irréprochable.
A. Benalla : « Le patron (EM) hier soir, il m’envoie un message, il me dit : tu vas les bouffer »…
V. Crasse : « donc, le patron nous soutient ? »
A. Benalla : « Ah ben, il fait plus que de nous soutenir »
Message daté du 26 juillet 2018, quatre jours après avoir été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction de rentrer en contact, téléphonique et physique. Mais comme ces deux protagonistes corrompus et mafieux s’assoient sur la justice de la France, ils se rencontrent quand même pour comploter sur comment faire disparaître les preuves.
Merci à Mediapart d’avoir informé les magistrats, le Sénat et le public.
On veut une République débarrassée de ceux qui la salissent et la détruisent pour leurs compte et intérêt personnels.
Je suis super contente de voir que la justice a enfin saisi la gravité de cette affaire.
« Comme si la dénonciation permanente et seulement humaniste de l’antisémitisme n’avait abouti, dans des esprits malades, haineux ou odieusement politisés, qu’à l’effet inverse de celui souhaité. En répétant pour éradiquer, on installe et on renforce le pire. C’est un paradoxe sombre dont je n’ai pas seulement relevé l’existence dans ce domaine capital de notre savoir-vivre républicain. »
Non seulement nous édictons des lois liberticides à la chaîne, mais elles ne servent à rien… Revenir à la liberté alors ?
Pas question, comme certains ont horreur du vide, les Français ont horreur de la liberté. Elle n’est qu’un lest dont on se débarrasse pour prendre de la hauteur, progresser dans différents principes ou planer hors de la réalité.
Les islamistes nous soumettront, d’abord nous importons leur terreau, les musulmans, et cela fait depuis des temps et des temps que nous nous dressons entre nous à la soumission.
Il y a les lois liberticides… Et celles que certains voudraient faire contre l’anonymat d’Internet, par exemple.
Alors salut la compagnie ! L’avantage du masque, c’est qu’on est libre. On se recrée derrière une autre identité. A quoi bon continuer à parler masqué par les convenances ? L’Outre-Internet est là pour ça… Si je n’ai pas dit « la réalité », c’est que taper sur un clavier n’est pas moins réel que parler dans la rue ou au téléphone.
Deux influences culturelles fondamentales. L’Islam par nos immigrés. L’Amérique par Internet, heureusement pas encore français ou chinois ou pire que tout arabe, et ainsi, libres.
Plus libre que nous ne le sommes dans notre pays. Extraterritorialité, liberté permise sans avoir besoin de s’exiler.
C’était trop beau, ce sera aboli, l’exception culturelle à la française, en l’occurrence, ce sera de s’aligner sur la muraille de Chine virtuelle contre la liberté. Où ne nous mène pas l’antiaméricanisme et l’horreur de la liberté !
Point de détail : les dirigeants des GAFA vont-ils respecter des gens tellement contre la liberté ? Non, bien sûr.Et nous allons partir sabre au clair, pays d’importance moyenne et de nul poids moral car ennemi de la liberté, pour les taxer.
Nous sommes si exceptionnels que les rapports de force n’existent pas, sans trop de puissance et rien de respectable, nous allons en imposer aux GAFA, c’est absolument fantastique. Le fantastique ? Quand une chose ne devrait pas arriver dans le réel et qu’on se demande bien pourquoi, ni la science ni la religion ne l’expliquent… En France, on n’aime pas trop le fantastique, se voulant cartésien, mais on nage dans un fantastique de dernier ordre, qui est un masque de vanité au nom duquel on va démasquer des gens comme moi masqués pour dire ce qu’ils estiment être la vérité.
Nous avons choisi l’Islam en recueillant des musulmans, et jusqu’à reprendre des Français ayant trahi, l’Islam, et nous avons rejeté la liberté d’Internet, rejeté l’Amérique, rejeté un outil de liberté, aboli le dernier espace de liberté de notre pays, aboli l’espoir qu’il diffuse la liberté ailleurs, non, c’est l’Outre-Internet qui va anéantir la liberté qui y régnait.
Il est plus facile d’y sévir que dans les zones de non-droit, certaines banlieues et certaines cours de récréation.
Car tandis qu’on traite les Français en enfants en les infantilisant par des lois les empêchant de s’exprimer, c’est la loi de la jungle dans les cours de récréation où tant d’enfants sont harcelés par leurs congénères. Qu’on ne me reprenne pas pour le mot : quand les gens se comportent en bêtes, il est juste de leur accoler un nom qui renvoie à la chose… Mais je sens qu’un jour on n’aura plus le droit de dire le mot pour la chose.
Ce qui a commencé par bienséance, mouvement de recul face à l’ordure, on n’a pas le droit de dire « merde », sera étendu à tout, en bonne logique.
On me dira que les gens ne sont pas logiques… Je ne parle pas du cerveau des individus mais de l’agitation des groupes.
Déjà, il est mal vu de dire du mal de l’Islam, terreau de l’islamisme, demain de toutes les religions ? Pourtant, quel est le syndicat du crime de rapt de la liberté de tous, de confiscation des choix de chacun, les religions. A part le droit de subir sa religion, est-ce que les religions se battent pour la liberté de penser, des mœurs, de la recherche, artistique, autre ? Non, tout ce qu’on peut en dire, c’est que les moins contre se vantent de leur modération comme un conquérant pourrait dire à des peuples soumis qu’ils seraient moins écrasés par de nouveaux maîtres que par les anciens, tels les conquistadors s’appuyant sur les naïfs opposants aux Aztèques avec les résultats que l’on sait.
Je sens qu’on va balancer le délit de religionphobie et bien sûr de blasphème. Autant abolir la logique.
Car si un dieu tout-puissant existe, il est responsable de tout, souffrance et mort, notre bourreau… What else ?
Plus de logique si on ne peut le dire, plus de responsabilité non plus, ce n’est pas le créateur d’une chose ou le chef le responsable, mais le résultat, le soumis, enfin, quel avantage, on peut s’en prendre au faible bien en mal de se défendre.
D’autant que sans masque, on peut aller lui cracher dessus ou plastiquer son domicile : les croyants se rehaussent face à leur dieu en marchant sur les impies, du même mouvement, ils ont la satisfaction de détruire et de faire leur cour à leur juge, en sorte de pot-de-vin fourvoyant sa justice.
« Ne regarde pas nos péchés, mais la foi de notre Eglise », le croyant veut l’impunité face à son dieu, à plus forte raison, ne répondre de rien face à la société, le chrétien n’en réclame pas le droit, mais le fait, abuser d’enfant en famille spirituelle, il ne faut pas le dire, le musulman rêve qu’on change les lois pour exciser ses filles et autres joyeusetés du même type.
Ce n’est pas pareil, mais il y a un continuum, qui fait que quand les croyants ne se battent pas entre eux, ils réclament un respect des autres que leur comportement interdit pourtant d’éprouver, et d’autant plus qu’ils ne le méritent pas d’ailleurs, leur idée étant toujours de se mettre dans une position d’infériorité, je suis un pécheur, voire un criminel, mais aimé par mon juge, je ne subirai rien, tandis que l’autre, qui n’a pas la même odeur que moi, sans doute, que je ne peux pas sentir, je vais me jeter dessus comme un rat sur un rat qui n’est pas de sa tribu1, pas apprécié, sans doute moins courtisan ou dans la mauvaise équipe, croyant comme il ne faut pas, sera condamné.
Voilà qui abolit tout sens de la justice, mais il n’empêche que la religion élèverait. Je dirais, agir le plus justement possible et si on en est capable, sans désir de récompense, mais chacun ses goûts, évidemment.
Quand les croyants auront aboli toute liberté comme c’est leur tropisme, ils diront avoir toujours raison vu que personne n’osera plus rien dire, ni même penser.
Alors, j’ai pris un peu d’avance… Dire ce qu’on pense. Et vous mettre face à vos responsabilités, c’est le croyant qui diminue les libertés, c’est lui qui donne l’exemple aussi au croyant politique, de le faire, le croyant politique prenant le relais avec la même religiosité.
Le croyant religieux peut protester, c’est lui qui a créé ça, comme le musulman crée l’islamiste… Les gens se plaignent de ce qu’ils ont, ou que leurs prédécesseurs, créent, ainsi un évêque que les gens ne lisent pas la Bible. Mais après qu’on en a interdit la lecture à certains endroits, à certains moments, après en avoir longtemps confisqué l’interprétation, il ne faudrait pas s’étonner, l’avouer et dire en quoi la Bible peut intéresser si on ne veut pas juste amuser l’auditeur.
Aux coupables d’avouer leurs fautes pour sauver le futur, je ne vais pas dire leur âme, faudrait-il pour faire bien peur ? Je laisse les méthodes de père fouettard aux croyants. Aux gens du présent de sauver le futur en empêchant la réduction des libertés.
Et en instituant la liberté d’expression américaine, avec le Premier amendement, sinon rien. Je ne mendie pas un peu plus de liberté, pardon, comme le criminel, coupable voire innocent, face aux autorités. Tant que je ne m’en prends pas à la liberté d’autrui, j’ai le droit de tout dire, air connu, de tout faire.
Et les autres aussi : mieux vaut prévenir que guérir, si les autres veulent être libres, il vaut mieux qu’ils se battent pour leur liberté et celle des autres. Désarment, chacun doit respecter les libertés des autres, tout le monde doit s’unir contre un pouvoir qui veut rabaisser tout le monde, toujours sous couleur de salut.
Avant, le salut était religieux, type paradis céleste, puis paradis terrestre, et maintenant, le salut, c’est le salut de diverses catégories de gens risquant d’être victime.
Et la promesse de salut sert à détruire la liberté.
Je ne saurais dire s’il y a un dieu et s’il a vraiment un paradis après l’enfer qu’il nous fait subir, mais les paradis sur terre n’ont pas tenu leurs promesses, et toutes les lois liberticides faites pour aider les victimes n’ont servi à rien.
Preuve, des juifs fuient la France, pas les Etats-Unis.
Alors battons-nous pour la liberté.
1 Le rat attaqué par une meute de rats étrangers ne se défend même pas, sachant que ce serait vain… Le rat se défend contre le chat, contre l’humain, pas face à une meute de rats. La force de la meute, du groupe, est irrésistible aussi bien dans notre espèce que dans les autres.
2 Et d’autant qu’on va construire des appareils pour voir ce que les gens pensent… Ce pourrait être utile pour des gens ne pouvant communiquer autrement et autres applications du même type, mais avec les fanatiques et les obsédés de l’ordre, je prévois l’enfer.
Pouvez-vous nous rappeler ce que ce serait le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) ?
Un groupe de pression, sans aucune légitimité législative, élective, issu d’aucune démocratie, ne représentant certainement pas les Français juifs.
Docteur Esther Benbassa, à l’époque où elle était chercheur universitaire, Paris 1 Panthéon Sorbonne et l’EHESS, avant de devenir sénatrice.
https://www.liberation.fr/societe/2010/02/17/le-crif-vrai-lobby-et-faux-pouvoir_610434
« En répétant pour éradiquer, on installe et on renforce le pire. C’est un paradoxe sombre dont je n’ai pas seulement relevé l’existence dans ce domaine capital de notre savoir-vivre républicain. »
Il est clair que pénaliser les propos antisionistes sera aussi efficace qu’un emplâtre sur une jambe de bois. Les contrevenants auront droit à quelques mois de prison avec sursis et une amende salée qu’un avocat moyennement doué parviendra sans difficulté à réduire, voire à supprimer au nom de la sacro-sainte liberté d’expression et d’opinion.
Il est difficile dans une démocratie comme la nôtre de vouloir introduire le délit d’opinion en invoquant le côté insultant des propos sans risquer de basculer dans un régime totalitaire où la moindre contestation serait immédiatement sanctionnée.
Oui, mais alors qu’est-ce qu’il faut faire ?
Sans vouloir apporter une vision manichéenne de la situation de notre société, je constate que celle-ci se divise de plus en plus en îlots identitaires.
Musulmans radicalisés contre Juifs un peu trop sûrs de leur supériorité, Noirs traumatisés par leur passé d’esclave contre Blancs adeptes de l’apartheid, laïcards bouffeurs de curés contre cathos réacs, Gilets jaunes neuneus contre les élites arrogantes, féministes échevelées contre gros machos vicelards.
Bref nous vivons dans un monde paranoïaque où chacun se méfie de celui qui ne pense pas comme lui.
Peut-être que finalement les « Grands débats » peuvent servir de thérapie de groupe. Il faut que les gens d’origine sociale, ethnique, religieuse différente se parlent, sinon aucun espoir de vivre ensemble.
Pour une bonne gouvernance, plus judicieux serait de faire une loi contre ceux qui n’aiment pas les arabes.
Il ne suffit pas de déféquer des pendules sur 30km pour prouver que, comme on se prend pour Dieu, on projette sa propre fantasmagorie de juge pour mieux plaire à la marivaudienne comtesse, et se faisant imposer son idéologie de père fouettard au nom des fautes de l’église, sans se rendre compte que la tyrannie se réclame toujours de la plus grande liberté, après tout, si j’ai envie de discriminer, qui pourrait donc m’en empêcher ?
Vous tournez en rond, Noblejoué, entraîné par la gravitation irrésistible de votre nombril, et n’admettant pas de mourir, comme Elusen, vous vous mettez en rivalité avec le créateur, celui que nous ne connaissons pas, et que vous n’avez de cesse de décrire comme votre bourreau, mimant l’erreur des religions que vous dénoncez, sans jamais entendre ce qui serait votre libération, ce chemin du pardon que vous refusez obstinément d’emprunter au nom de votre autonomie illusoire, alors que ce refus vous enchaîne.
Oui, la vie est souffrance et peine, car elle est incarnation, prôner la désincarnation en est le refus d’accueillir l’esprit, qui est possibilité d’acceptation des souffrances en recevant ce merveilleux cadeau, mais il vous est possible de ne la voir que comme le choix entre le diable et la mort, alors qu’il suffirait d’un peu d’oubli de soi et d’ouverture à l’autre pour entrevoir la possibilité de l’envisager pour ce qu’elle est : la vie.
@ Philippe Dubois
« Pour lutter contre l’antisémitisme islamo-gauchiste, Macron va dissoudre « Bastion social » qui aide les Français pauvres.
Logique. »
Oui, logique en effet de la part de gens qui, pour faire semblant d’agir, se trompent délibérément de cible en tapant sur Pierre, un gringalet qui n’a rien fait, pour des violences causées par Paul, le gros malabar qu’ils tremblent d’affronter.
Et en ce qui concerne « Bastion social », quel rapport avec l’antisémitisme ?
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/02/21/01016-20190221ARTFIG00207-antisemitismequi-sont-les-trois-groupes-d-extreme-droite-menaces-de-dissolution.php
@ Nicolasbruno
« Merci à Robert Marchenoir pour sa pédagogie. »
Mouais. C’est en effet très « pédagogique » d’accuser tous les autres d’antisémitisme alors qu’ils focalisent sur la politique extérieure et intérieure de l’Etat hébreu, alors que soi-même on ne s’épargne aucun luxe de revenir à la charge, et de façon obsessionnelle, sur les atrocités supposées ou inventées de l’Etat russe, comme en attestent les quelque 1001 diatribes dans ce sens du sieur Marchenoir. L’hôpital qui se moque de la charité, en somme.
Il a évidemment pris la mesure de la montée absolument sans précédent de l’antisémitisme. La progression sensible chaque année de ce fléau intellectuel et civique a été indéniable mais la terrifiante accélération de ce mal en 2018 a représenté un signal d’alerte inédit, une menace dont Emmanuel Macron a souligné à juste titre le caractère exceptionnel.
Après toutes ces indignations sélectives et surjouées des Tartuffe schizophrènes de service, refusant obstinément de voir l’origine du mal là où elle se trouve, il faudra tout de même que l’on nous explique si par exemple les propos suivants relèvent oui ou non d’un antisémitisme appelant à la haine et au meurtre :
Livre El-Bokhari 56, Chap.94, tome 2, p. 322. « L’heure du jugement n’arrivera pas tant que vous n’aurez pas combattu les Juifs et à tel point que la pierre, derrière laquelle s’abritera un Juif, dira : Musulman ! voilà un Juif derrière moi, tue-le !».
http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/liste-des-versets-et-hadiths-antijuifs-et-antichretiens-dans-le-coran.pdf
Il faudrait peut-être que tous ces grands donneurs de leçons commencent par remettre de l’ordre et de la cohérence dans leur pensée avant de se lancer dans des harangues décalées.
Entreprise difficile qui ne pourrait que les mettre face à leur propres responsabilités dans la progression d’un mal qu’ils ont eux-mêmes inoculé en France.
M. Bilger,
Si la peste monte en allant se faire ovationner par le CRIF, c’est qu’en allant se faire ovationner par le CRIF, on veut faire monter la peste.
Simple et imparable !
Vous avez en commun avec E. Macron de n’écouter personne. A ce sujet, même pas Alain Finkielkraut qui a dit et redit qu’il ne fallait pas trop en faire.
Et là, Macron et vous, en remettez plus qu’une couche.
Le CRIF est, ainsi que le rappelle Esther Benbassa, le lobby de soutien à B. Netanyahou dans sa politique à l’égard des Palestiniens, qui nous vaut l’antisionisme des musulmans, et pour partie leur antisémitisme.
Alors, que cherchent Macron et vous-même ?
Vous trouvez qu’il n’y a pas encore assez de dégâts ?
Vous me direz peut-être que vous rendez au contraire hommage à Macron de ne pas avoir cédé à la tentation de légiférer. Autrement dit, on dit que l’assimilation de l’antisionisme à l’antisémitisme est légitime, mais que le nier n’est pas illégal.
Allez demander à Platon, ou dans les banlieues ce qu’ils y comprennent.
@ Achille
« Musulmans radicalisés contre Juifs un peu trop sûrs de leur supériorité, Noirs traumatisés par leur passé d’esclave contre Blancs adeptes de l’apartheid, laïcards bouffeurs de curés contre cathos réacs, Gilets jaunes neuneus contre les élites arrogantes, féministes échevelées contre gros machos vicelards. »
Mais si rien n’est parfait en ce bas monde et en France en particulier, il y avait tout de même une époque pas si lointaine ou tout ce que vous évoquez ne se manifestait pas avec autant de virulence.
Alors, qu’est-ce qui a changé depuis ?
Et qui sont les irresponsables et /ou les fous furieux qui ont semé le chaos, hum ?
@ Nicolasbruno 21 février 2019 21:09
Marchenoir et sa pédagogie.
Tiens, voilà du nouveau !
J’ai donc lu la prose de Robert Marchenoir.
Nicolasbruno, je crains, au moment d’écrire ce billet, que votre souris ait eu un hoquet au moment d’écrire ce mot ; pensant elle, en intelligence artificielle que le terme adéquat était démagogie.
Pédagogie ? Démagogie ?
Allez donc savoir !
Cordialement.
@ Breizmabro, 21 février 19 h 15
Kenvroadez ker,
C’était hier marée de 115 ; j’espère que vous avez été comme moi aux palourdes au lieu de vous endormir devant les logorrhées des Marchenoir, Noblejoué et autres amerdourien qui rendent de plus en plus le blog torr-revr
a wir galon
@ Achille | 22 février 2019 à 07:26
« Peut-être que finalement les « Grands débats » peuvent servir de thérapie de groupe. »
J’ai personnellement de gros doutes, car il ne s’agit pas du tout de débats.
Car si « débattre » c’est agiter, battre, chicaner, contester, controverser, creuser, délibérer, démêler, discuter, disputer, échanger des points de vue, élaborer, examiner, marchander, négocier, parlementer, parler, traiter… ce n’est pas une fin en soi, si au final aucun point même minime de consensus n’est trouvé.
« Il faut que les gens d’origine sociale, ethnique, religieuse différente se parlent, sinon aucun espoir de vivre ensemble. »
Yakafaukon ! Ce n’est pas demain la veille.
Certes, il faudrait. Mais comment s’y prendre quand on sait les montagnes à gravir pour y parvenir. L’Histoire nous à démontré et nous démontre encore les énormes freins qui nourrissent cette impossibilité majeure. Tout au plus, pour ne parler que de ce qui nous est proche Éducation+Instruction+Responsabilisation sont très vraisemblablement les passages obligés pour y parvenir. Mais qui ne le veut pas ?
Nota : «Ce n’est pas en se taisant sur les revendications communautaristes que la République finira par gagner.»
Sur le site dudit « le Grand Débat National », avec plus de 54 000 contributions pour le thème « Démocratie et Citoyenneté », le mot communautarisme n’est cité que 28 fois, c’est dire le chemin à parcourir.
@ Zonzon | 22 février 2019 à 08:53
« Pour une bonne gouvernance, plus judicieux serait de faire une loi contre ceux qui n’aiment pas les arabes. »
Toujours votre second ou troisième degré !
Il y eut une Arabie heureuse, il y a fort longtemps ; quoique à l’échelle du temps, c’était hier. Plutôt que des lois contre, je plaide pour des lois « POUR ». Par exemple POUR une communauté soudée, donc débarrassée des mots qui fâchent, fracturent et ou séparent et éloignent du collectif.
Ils(?) ont supprimé hier le mot « race », pourquoi pas demain « impie », « mécréant », « kafir » et autres de la même veine.
Mais puisque supprimer des mots est trop facile, il va falloir trouver d’autres alternatives. Pas difficile, il suffit de regarder le monde.
@ Exilé | 22 février 2019 à 11:22
« Alors, qu’est-ce qui a changé depuis ?
Et qui sont les irresponsables et /ou les fous furieux qui ont semé le chaos, hum ? »
Sans doute ce que l’on appelle la mondialisation, l’exportation des conflits mondiaux jusque sur notre sol. Ajoutons à cela les réseaux sociaux qui apportent leur lot de fake news (« infox » en français). Je dois bien oublier encore deux ou trois trucs. Je vous laisse les deviner…
Arrêtez avec le sionisme, les pour et les anti, les juifs qui n’en sont pas et les cons qui le sont, passez de grâce à autre chose. Suivez l’actu !
Aujourd’hui la page est grande ouverte sur le Sénat : avait-il ou non le droit de gronder Manu parce qu’il a fait n’importe quoi dans le recrutement son entourage « proche » ?
D’accord tout le monde sait que Manu est meilleur en théâtralisation de ses oeuvres et en organisation d’événementiels qu’en DRH de start-up nationale. Nobody’s perfect non plus…
Du coup Manu a poussé dans le dos le Edouard sur le perron de l’Elysée avant qu’il ait pu reboutonner sa veste, pour qu’il dise à la presse, après avoir descendu trois marches et reboutonné sa veste, « je suis déçu… déçu… déçu… »
Pov’ Edouard, en le voyant j’ai eu un peu pitié, je me suis remémoré Chirac disant, en parlant de Sarko, « j’ordonne il exécute ».
Le vieux monde on vous dit…
Quant à Manu, en ce moment c’est plutôt
https://www.youtube.com/watch?v=2rEksiFbQGE
Adéo 😉 ce week-end je vais voir s’il y a du homard bleu du côté d’Ouessant (ça va faire plaisir à Achille que je m’occupe, enfin, de crustacés).
Bon sens féminin :
Florence | 21 février 2019 à 10:52
« Pour commencer, on pourrait déjà stopper l’importation d’antisémites par dizaines de milliers par an. »
Eh oui. Si vous importez des musulmans par wagons, vous aurez l’islam chez vous. Avec les légers inconvénients qui l’accompagnent. Si vous importez l’Afrique par bateaux entiers, vous aurez l’Afrique chez vous. Avec tous les charmes du mode de vie africain. Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre.
La religion ou les mœurs ne sont pas dans les livres : elles sont dans la tête des hommes qui les pratiquent. Vérité connue de toutes les époques, sauf de l’Occident contemporain, où un intellectualisme outrancier a remplacé la sagesse.
C’est bien d’aller brasser de l’air au CRIF (ce qui nous vaudra sans doute un grignotage supplémentaire de la liberté d’expression sur Internet), mais le mode de pensée du vendeur de téléphones, là, on sait très exactement d’où il vient. Donc après la petite visite au CRIF, il conviendrait de se rendre dans la salle des machines et de fermer le robinet. Sinon, toutes ces belles déclarations demeureront des paroles verbales.
Et ceci aussi :
« On pourrait aussi interdire la diffusion sur notre sol des chaînes de TV satellitaires qui injectent leur poison antisémite. »
En effet. Il y a fort longtemps, le gouvernement français a tout de même fini par interdire l’une de ces chaînes, parmi les plus virulentes. Mais combien en reste-t-il ? Quel est l’état des lieux ? Jamais personne ne parle de cette question.
Pourtant, le vieux proverbe de nos campagnes est plus que jamais d’actualité : parabole au balcon, musulman au salon. (Et maintenant : box au salon, musulman au salon.)
Vous avez peur de vous salir les mains en brutalisant quelques énergumènes arabes ou africains en direction de la frontière, Messieurs du gouvernement ? Vous avez peur que ça fasse pas mignon et pas gentil sur les reportages télévisés ?
Vous pourriez commencer par cliquer sur quelques cases à l’écran d’un ordinateur quelconque, dans les bureaux du centre de commande approprié. C’est silencieux, propre, invisible, et vous n’aurez pas de vilaines photos sur les réseaux sociaux.
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@ Lucile | 21 février 2019 à 11:28
Très intéressant.
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@ Exilé | 21 février 2019 à 13:39
« Jean-Pierre Mignard, l’avocat socialiste de l’émir du Qatar » [En 2015, poursuivant pour diffamation Florian Philippot, du FN à l’époque.]
Tiens donc. Le même Jean-Pierre Mignard qui a commenté ainsi l’agression d’Alain Finkielkraut :
« On s’émeut sur les plateaux, bon, d’accord, mais Alain Finkielkraut n’a pas été, et heureusement, frappé, ce qui aurait tout changé. Là, il doit être content. Il le cherchait. Alain Finkielkraut adore provoquer. Il jubile. Et il le fait avec courage, d’ailleurs. Bref, ce n’est pas un philosophe de consensus , c’est un apologue du conflit. »
Votre blog est intéressant. Mohamed Louizi, franco-marocain, électricien, ex-Frère musulman repenti, luttant désormais contre les Frères musulmans, musulman modéré prônant une réforme de l’islam.
A prendre avec des pincettes, comme tous les musulmans dits repentis (sauf, peut-être, ceux convertis au christianisme, ce qui n’est pas son cas), mais à suivre.
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@ stephane | 21 février 2019 à 14:53
« N’oublions pas que la bande de Gaza est le plus grand ‘camp de concentration de la population au monde, en densité’, après… Monaco. »
Pur slogan de propagande islamiste. La bande de Gaza est ce morceau de son territoire qu’Israël a donné aux « Palestiniens », sans contrepartie aucune, dans l’une de ces concessions qu’on lui réclame sans cesse et qui ne suffisent jamais.
Les « Palestiniens » se sont empressés d’en faire l’enfer que devient n’importe quel territoire aux mains des musulmans. Et, bien sûr, une base militaire pour lancer sans cesse des roquettes en direction de leur ennemi juré, en s’abritant derrière des écoles, des hôpitaux… Maintenant, bien sûr, c’est la faute d’Israël. C’est toujours la faute d’Israël. Et des Juifs.
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@ Valery | 22 février 2019 à 10:13
« C’est en effet très ‘pédagogique’ d’accuser tous les autres d’antisémitisme alors qu’ils focalisent sur la politique extérieure et intérieure de l’État hébreu, alors que soi-même on ne s’épargne aucun luxe de revenir à la charge, et de façon obsessionnelle, sur les atrocités supposées ou inventées de l’État russe, comme en attestent les quelque 1001 diatribes dans ce sens du sieur Marchenoir. »
Bien sûr. Il n’y a, et il n’y a eu, aucune atrocité de l’État russe. Ni envers les Juifs, ni envers les Russes. Ni, d’ailleurs, envers les Ukrainiens, les Kazakhs, les Polonais… enfin, envers tous les peuples de Russie, et même des alentours. La Russie est une sorte de Suisse, en plus grand.
Revenons une minute sur ce fameux bobard de « la politique étrangère d’Israël qui serait la cause de l’antisémitisme en France ». Variante : « la politique du gouvernement d’extrême droite israélien ».
Bien sûr, lorsque le gouvernement israélien était de gauche, il n’y avait ab-so-lu-ment aucun antisémitisme arabe en France. De même, les « Palestiniens » embrassaient les Israéliens sur la bouche, il y avait la paix et les petits oiseaux.
D’ailleurs, avant la création de l’État d’Israël, les Arabes et les musulmans n’était pas du tout antisémites. Ils n’avaient rien contre les Juifs.
Les gros malins qui font semblant de croire que si l’État d’Israël disparaissait, alors les musulmans s’en contenteraient, et rangeraient leurs bombes et leurs couteaux, ceux-là oublient commodément que les musulmans ont passé 1 400 ans à persécuter, chasser et exterminer les Juifs hors du Moyen-Orient et du Maghreb. Israël est le minuscule timbre-poste qui reste de la vaste implantation juive antérieure dans cette région.
Inutile de dire que les Juifs n’ont jamais été indemnisés par les musulmans pour le vol de leurs biens au cours des siècles et les massacres qu’ils ont subis — en fait, c’est le contraire : c’est eux qui devaient payer l’impôt des incroyants. Quant à des excuses et à une repentance quelconque de ces messieurs les Arabes, je pense qu’on peut les attendre longtemps.
Mais pour certains, cela est encore insuffisant. Tout le Moyen-Orient doit appartenir aux musulmans.
Quant à ceux qui s’imaginent qu’une fois Israël effacé de la carte, les Français juifs, les Français-français et les Français-n’importe quoi d’autre seraient à l’abri des exactions musulmanes, il leur suffit de regarder une certaine vidéo montrant les mœurs des vendeurs de téléphones alsaciens — mais pas d’amalgame avec les Alsacos, je tiens à conserver mes fournisseurs de riesling, moi.
« L’antisémitisme est toujours un prélude à l’effondrement d’une nation » (Delphine Horvilleur)
Comme toute forme de racisme qui s’opère en meute sous l’impulsion de gourous fanatisés et livre pieds et poings liés des hommes et femmes frustrés, manipulés, craintifs et le plus souvent masqués, à leurs plus bas instincts.
@ Robert Marchenoir
Il est temps de vous resservir de votre soupe.
Bien sûr, les Gazaouis sont libres dans leur territoire, les Israéliens ne limitent pas leurs zones de pêche, et leurs navires de guerre sont là pour aider les plaisanciers.
Bien sûr, les Israéliens ne pompent pas l’eau pour que les Palestiniens n’en aient plus pour leurs cultures.
Bien sûr, les Israéliens de bonne volonté qui dénoncent les colonisations aussi ignobles qu’hypocrites en Cisjordanie alors qu’on pourrait le faire dans le Néguev, n’existent pas.
Bien sûr, les Israéliens cherchent à faire le bonheur des Palestiniens pour atténuer leur rancune d’avoir été chassés de chez eux.
Et puis une bien bonne : bien sûr que l’ânonnement devant le mur des Lamentations est une méthode mystique radicale qui vaut bien mieux que de rechercher l’amour de ses ennemis.
@ Claggart | 22 février 2019 à 13:11
torr-revr le blog depuis quelque temps ? ya hanter re !!
Adeo
a wir galon.
@ Florence
« On pourrait aussi interdire la diffusion sur notre sol des chaînes de TV satellitaires qui injectent leur poison antisémite. »
Le problème ne vient pas de ces chaînes, qui ne s’adressent qu’à un public arabophone qui est déjà largement atteint par le virus.
Non, le poison est véhiculé depuis longtemps par nos médias généralistes.
Comme par exemple la chaîne franco-allemande Arte, qui a censuré un reportage qu’elle avait elle-même commandé, quand il s’est avéré que le résultat ne répondait pas aux attentes du producteur.
Comme la même Arte diffusant un reportage de 18 minutes sur Gaza sans un mot sur le Hamas.
Comme le quotidien Libération recadrant des photos pour alimenter son message anti-israélien.
La liste est infinie…
Quel drôle de pays !
Crise des Gilets jaunes : le « mea culpa » de Macron, « C’est nous qui devrions avoir honte »
https://www.sudouest.fr/2019/02/22/crise-des-gilets-jaunes-le-mea-culpa-de-macron-c-est-nous-qui-devrions-avoir-honte-5843392-7527.php
@ Mary Preud’homme
Lorsque j’ai dit que l’Histoire des trois grandes religions monothéistes prenait ses sources en Israël, j’aurais dû préciser qu’au moins elle (l’Histoire) gravite dans cette région de la Palestine et d’Israël pour toutes.
D’accord avec vous pour dire que la religion musulmane prend sa source à Médine et plus tard avec Mahomet. Je ne suis pas suffisamment calée en religion musulmane pour vous démentir, mais on note quand même que le patriarche commun aux trois religions, Abraham, vivait dans cette région, que le Mont des Oliviers est commun aux trois et que les musulmans croient que c’est de l’Esplanade des Moquées que Mahomet est parti vers le ciel.
Ma réflexion était donc de dire que tous ces croyants revendiquent cette région où il s’est passé tout de même quelque chose de fort, un peu le berceau de l’humanité.
Bien cordialement
@ breizmabro
« Hier 20 février j’annonçais à 18h19, en réponse à un/une commentateur/trice :
« Demain ce sera le décryptage du mêêêrveilleux discours de Manu devant le CRIF » »
Sans vouloir vous vexer, tout le monde aurait pu en faire autant.
Le tour de force consisterait plutôt à annoncer quand EM va enfin se taire et cesser de monopoliser les médias pour que nous puissions avoir la paix.
@ Achille 22/19 07:26
«Il faut que les gens se parlent… sinon aucun espoir de vivre ensemble ».
Je doute personnellement que l’échange soit de nature à ramener à la raison ceux qui se montrent capables de proférer des propos ou d’accomplir des actes aussi répugnants que ceux qui prennent pour cible des êtres au seul motif de leur appartenance à une communauté spécifique.
Pour ces cas désespérés, il est à craindre malheureusement que la parole n’y suffise pas !
L’esprit borné, la cervelle formatée, enfermés dans leur idéologie, ils sont imperméables à tout discours faisant appel à l’intelligence, à la raison, au bon sens.
A la limite, c’est de la psychiatrie que relève le cas de l’olibrius qui vociférait ses insultes à l’encontre d’AF.
Bien sûr qu’il convient que les gens se parlent mais pour que ce dialogue existe, qu’il porte ses fruits, pour que cette parole permette de se comprendre, faut-il encore que cet échange se fasse dans le respect de certaines règles.
Oui certes à la liberté d’expression mais pas de n’importe quelle expression. Et c’est là où l’action doit entrer en jeu pour suppléer la parole lorsque celle-ci est en danger.
@ fugace 22 février à 13 h 12
« Toujours votre second ou troisième degré »
Ah ! Cher fugace, quoi vous dire de réconfortant.
Au premier degré la concurrence est forte, je suis pour la concision et l’efficacité relativement au blog. Pourquoi relater quand d’autres le font mieux que moi !
Et vous préciser que les degrés soi-disant supérieurs dissimulent souvent l’amertume, la déception, l’horreur, la peur de nous voir disparaître ! L’angoisse du néant en devenir pour notre civilisation !
Mieux vaut rire, surtout quand les dents grincent !
Il y a de la pudeur là-dedans ; ne croyez-vous pas ?
En tout cas merci de de ne pas voir chez moi que des sarcasmes enrobés de fausse sollicitude ! C’est déjà ça !
Bonne soirée
@ Robert Marchenoir | 22 février 2019 à 13:38
Calmez-vous Robert, je n’ai pourtant fait allusion ni à la Russie, ni à Poutine.
Je vous ai connu plus inspiré mais reconnaît avec satisfaction que vous avez fait court… peut-être un peu trop.
A titre personnel, le fait que des milliers de Palestiniens soient entassés sur une bande telle que celle de Gaza pose un réel problème de traitement humain, que cela plaise ou non à lire, il en est ainsi.
« Pur slogan de propagande islamiste. La bande de Gaza est ce morceau de son territoire qu’Israël a donné aux Palestiniens, sans contrepartie aucune, dans l’une de ces concessions qu’on lui réclame sans cesse et qui ne suffisent jamais. »
Au fond vous avez raison, ils auraient pu en faire la principauté de Gaza !! Et cela leur aurait suffi. Un paradis fiscal…
Je suis obligé de rire à votre propos, quant à dire qu’Israël l’a redonnée aux Palestiniens, je vous invite à lire ou relire la fable d’Esope, « L’enfant qui vomit ses tripes ».
@ Exilé | 22 février 2019 à 16:17
« Sans vouloir vous vexer… »
Pas d’inquiétude à vous faire à ce sujet.
« Tout le monde aurait pu en faire autant »
Sans doute MAIS tout le monde ne l’a pas fait, faisant des heueueueueueures littéraires sur plus Juif que moi tu meurs, ou sur la revisitation des guerres de religion depuis la mort d’un dénommé Jésus qui, lui, aurait multiplié les pains pour nourrir les Gilets jaunes 😀
En même temps il n’avait pas inventé Bercy non plus 😉
Adéo Exilé
@ Exilé | 22 février 2019 à 10:20 et à 09:37
Merci Exilé pour vos deux liens au demeurant très intéressants à connaître.
Or, nos politiques les connaissent-ils pour mieux en prendre conscience ?
http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/liste-des-versets-et-hadiths-antijuifs-et-antichretiens-dans-le-coran.pdf
Les commentaires des internautes attachés à ce lien sont bien plus lucides que nos politiques.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/02/21/01016-20190221ARTFIG00207-antisemitismequi-sont-les-trois-groupes-d-extreme-droite-menaces-de-dissolution.php
@ Xavier NEBOUT 22 février 2019 13:04
Au cours d’un voyage très récent en Israël et en Jordanie, j’ai pu, de visu, constater ce que vous dites.
Les différents gouvernements d’Israël ont complètement empêché le développement de la Jordanie en récupérant, plus ou moins légalement, la presque totalité de l’eau du Jourdain. Résultat : certaines régions d’Israël sont des vergers magnifiques et en face les Jordaniens meurent de faim dans leur désert !
Même chose pour l’envahissement des terrains palestiniens. Véritable scandale. Scandale qui me fait souvenir la phrase du Général de Gaulle dans sa conférence du 27 novembre 1967 :
« …On pouvait se demander si l’implantation de cette communauté sur des terres qui avaient été acquises dans des conditions plus ou moins justifiables… »
A l’évidence, le « plus ou moins justiciable » continue de nos jours sans problème !
Quant à l’accueil en Israël, il a incroyablement changé en une quinzaine d’années : nous n’étions les bienvenus nulle part, que des agacements sécuritaires ou formalistes, aussi bien il faut le dire dans les parties juives ou arabes et même orthodoxes !
Jamais Jérusalem n’a tant justifié le mot « poudrière ».
La solution n’est pas pour demain. A entendre les uns et les autres, la haine entre les communautés monte régulièrement. Nous avons été témoins et victimes de scènes hallucinantes. Nous avons même eu peur à certains moments et pourtant, à notre âge, nous en avons vu d’autres !
Et c’est en ce sens que j’ai dit dans un autre billet que le CRIF et autres organisations juives, qui importent régulièrement les polémiques sur le conflit israélo-palestinien, jouent contre la sérénité en France et favorisent hélas, la montée de l’antisémitisme de la part de certains membres de la communauté arabo-musulmane…
Cordialement.
@ Aliocha
« …comme on se prend pour Dieu »
Je ne me prends jamais pour une hypothèse, dieu tout-puissant créateur donc méchant de nous avoir fait pour souffrir et mourir, dieu pas tout-puissant et peut-être bon, méchant, tout dépend de son comportement, des dieux, pas de dieu, réincarnation, pas de réincarnation…
Je dis si telle chose est, il est juste d’avoir tel comportement… Ce sont les croyants qui disent leur dieu tout-puissant et bon à la fois, une contradiction, je n’y peux rien si vous ne faites pas partie de ceux qui la voient, certains, si, mais peu m’importe.
Quel que soit l’état du ciel, je me protège de la foudre avec un paratonnerre, qu’il y ait dieu ou pas, et autres hypothèses, je dis de se secouer de l’acceptation de la mort.
Ou d’ailleurs d’une vie qu’on estimerait invivable… J’appelle à la liberté, ce que des gens comme vous trouvent si intolérable qu’ils s’imaginent qu’on se prend pour dieu. Je n’y ai même pas réfléchi, le poste soit n’existe pas, soit est imprenable, et de toute manière je ne crois pas à l’homme providentiel qui arrangerait tout ce qui ne va pas dans la création au cas où nous vivions dans une création, bien des gens pensent le monde éternel.
Bon, j’ai sauté du blabla particulièrement inintéressant et j’extrais ça :
« La tyrannie se réclame toujours de la plus grande liberté, après tout, si j’ai envie de discriminer, qui pourrait donc m’en empêcher ? »
Pour moi, les gens sont libres de penser et de dire ce qu’ils veulent… Lors des manifestations contre le mariage pour tous que j’approuve, je n’ai pas réclamé qu’on durcisse les lois contre l’homophobie, au contraire.
Incroyable, non ? Je suis pour la liberté d’expression, le mariage pour tous, les Juifs. Je ne sacrifie pas une liberté à une autre, et pour le cas des juifs, dit qu’on les protégerait mieux en faisant que tous les lieux soient sous le règne de la loi et qu’ils ne soient pas menacés physiquement que de traquer les internautes ou d’aller étendre l’antisémitisme à l’antisionisme. Si ça continue, quand je dirai que le monothéisme, c’est mal, ça oblige trois religions à se disputer le même dieu, on me dira antisémite.
Logique, on crée des délits d’opinion, type être antisémite, donc certains disent un mot pour l’autre, on examine ce mot, il serait bien naturel qu’on en sonde d’autres, encore et encore.
Quand on donne dans une logique inquisitoriale, on n’arrête jamais, d’abord car les gens se cachent, c’est voleurs et policiers, et puis parce que l’appétit vient en mangeant, on veut toujours plus contrôler ce que pensent les gens.
Moi, non, je veux libérer les gens, détruire le délit d’opinion. Les gens doivent exprimer ce qu’ils pensent.
Je n’y peux rien s’ils pensent de travers, j’essaie de faire avec, non de leur interdire de progresser en les condamnant à l’hypocrisie et à la surenchère.
Il était bien bon de ma part de vous répondre sur la discrimination comme si je devais me défendre.
Je ne suis coupable de rien, ni antisémite, ni contre la liberté d’expression… Tandis que les croyants, pardon ! Mais ce sont bien eux qui ont créé le juif peuple déicide, qui discriminent encore les femmes et les homosexuels. Faites donc le ménage chez vous plutôt que d’interdire aux gens de parler, on ne prêche bien que par l’exemple.
« Oui, la vie est souffrance et peine, car elle est incarnation, prôner la désincarnation en est le refus d’accueillir l’esprit, qui est possibilité d’acceptation des souffrances en recevant ce merveilleux cadeau »
Souffrance et peine, torture donc, quel cadeau ! Normalement, on peut rendre les cadeaux, mais il est très difficile de se tuer, normalement, le donateur ne vous reprend pas votre cadeau, « donner c’est donner, reprendre, c’est voler ».
Quel cadeau ! Il faut être mystique, ce que je ne suis pas, heureusement, pour trouver merveilleux de se retrouver dans un piège.
N’étant donc pas mystique, j’examine le terrain pour voir ce qu’il serait possible d’y changer pour transformer, comment dire ? du plomb en or.
Vous prêchez en me croyant marivauder, l’esprit de pesanteur croit voir les autres trop légers, des paranoïaques pensent que je complote ou manipule, et autant de coups d’épée dans l’eau.
Sauf quand certains m’ont indignement attaqué, je ne me bats pas contre tel ou tel, ce qui compte pour moi est de contribuer à libérer le monde de ses fatalités.
Je ne peux pas conclure sur aussi grave même si c’est vrai, j’aurais l’impression de prêcher !
Il est vrai que quand j’écris, je m’amuse, et pourquoi pas, avec d’autres commentateurs ? On se défend du monde de mille manières, et le jeu n’est pas le moins pertinent, qui le réinvente et facilite la rencontre.
@ Michelle D-LEROY | 22 février 2019 à 15:39
Abraham prophète de l’Ancien Testament (vers 1850 ans avant Jésus-Christ) récupéré plus de 2500 ans plus tard (soit vers 620 de notre ère en compagnie des plus prestigieuses figures bibliques du Premier et Second Testament (dont Jésus) pour asseoir la suprématie d’un Mahomet et ses acolytes pilleurs et voleurs d’héritage, qui n’ont depuis cessé de se prévaloir de ce vol, ce viol et ce dol pour asseoir leurs conquêtes – leur Mahomet ne rêvant que de guerres et de rapines -, revendiquer la ville sainte de Jérusalem qui bien sûr, historiquement parlant ne revient qu’aux juifs et accessoirement aux chrétiens sachant que JC y a prêché, vécu et surtout y est mort juif. De même que Marie, Joseph et toute leur ascendance réelle ou présumée.
Amen !
Cher Philippe,
Macron a laissé et laisse pourrir la situation.
Nous allons vivre un énième samedi jaune avec les traditionnels casseurs, les insultes, les dégradations, les fermetures de transports et de commerces et ça continue encore et encore.
Mais jusqu’où ?
Jusqu’à quand ?
La notion d’ordre public aurait donc disparu.
Macron veut donner des aides financières aux géants du net pour qu’ils remettent un peu de civilité dans les échanges.
Mais Angela Merkel a adopté une autre attitude, il y a un peu plus d’un an.
La justice distribue des amendes plus que dissuasives allant jusqu’à 50 millions d’euros pour les hébergeurs qui déversent de la haine. Et à ce prix-là, les hébergeurs vérifient attentivement les contenus pédophiles, racistes et antisémites.
De nombreux sites ne comportent pas la possibilité de signaler un contenu présumé condamnable. Ceci devrait être obligatoire.
C’est à notre avis la meilleure solution pour ralentir le torrent de haine qui en se déversant sur la toile laisse à penser que des propos qui sont banalisés et réitérés constituent une norme acceptée.
Chacun sait que les prisons sont devenues des pouponnières à terroristes et que l’utilisation des outils d’internet qui devait se réguler d’elle-même donne en fait naissance à des zones de non droit.
La provocation de Macron devient une tradition dangereuse.
Quand on donne la main aux corps intermédiaires, encore faut-il que les cartes comportent quelques atouts.
L’histoire de bonus malus n’est rien d’autre que la carotte et le bâton et les entrepreneurs n’ont pas à être humiliés de la sorte.
Les réformes proposées ne peuvent se faire maintenant car elles supposent qu’un licenciement ne soit pas une exclusion sociale mais la possibilité de retrouver un employeur dans la semaine qui suit et à l’heure actuelle il y a un cruel manque d’emplois. Les méthodes de l’Angleterre et de l’Allemagne ne pourront se mettre en place que lorsque les entreprises françaises auront des difficultés à garder leurs salariés et devront augmenter les salariés pour éviter un trop grand turnover.
Pour faire redécoller les entreprises il faut inciter, inciter et inciter et montrer de la compréhension.
Une Cour de cassation vient de condamner les descendants d’un architecte à payer des indemnités aux clients de la génération précédente.
Et bien dans ce cas, autant se coucher sous les cocotiers !
Est-ce que les enfants de magistrats sont responsables des erreurs judiciaires de leurs parents ? Il ne semble pas.
Ce qu’il faut faire c’est de l’incitatif, de l’encouragement pour ramener de l’apaisement dans le pays pour ceux qui essayent de construire et de la fermeté à l’égard de ceux qui dégradent les relations.
françoise et karell Semtob
« Il n’est pas un président de la République qui ne se soit pas rendu à l’invitation du C.R.I.F. »
Depuis N. Sarkozy ?!
Une bien bonne ce soir sur RMC.
Les quelque 500 000 morts des pogroms commis par les populations des pays dominés par l’URSS à l’arrivée des troupes allemandes sont mis sur le dos des Einsatzgruppen. Evidemment, seul un révisionniste antisémite peut dénoncer la sinistre supercherie d’un classique de l’histoire servie par les Russes après la guerre.
…les relations.
@ françoise et karell Semtob 22 février 2019 à 18:33
…la rencontre.
@Noblejoué | 22 février 2019 à 18:33
On avance, on avance…
Bonsoir,
Ne serait-il pas plus simple-rapide-efficace d’aller au bout de cette utopie de la police du langage en prenant un décret interdisant des mots ?
Quel joli modèle bien technocratique, une police du langage totalitaire.
« Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots », une formule de l’ancien monde qui sied au pseudo-nouveau monde de Macron.
La France se soulève depuis des mois et le bloc élitaire réagit aux insultes d’un seul intello qui n’avait rien à faire sur le parcours des Gilets jaunes.
Si le même philosophe allait en banlieue, dans un RER ou dans une cité il entendrait mille fois cette insulte… Mais trois insultes de Gilets jaunes et là, c’est le branle-bas des courtisans.
Que de bruit, que de bruit, que de postures, que de postures.
La peste de la pensée unique, extrême centre, une seule solution sur chaque problème est celle de Macron.
Macron est un totalitaire sous un vernis de libéral, un évangéliste déguisé en politique. La peste de la bienveillance est la pire de toute, dans l’histoire.
Les actes antisémites sont moins nombreux qu’en 2014 d’après la statistique officielle… Le juif est une diversion, un coup de com’, pour détourner de l’indigence du big débat, si peu efficient.
La peste est la bêtise des commentateurs-experts-faiseurs d’opinion.
Le remède est le remplacement des élites en place par des élites modestes.
Puis recommencer le cycle dès que ce sommet volant entre en lévitation…
N’ayez pas peur de l’antisémite, ayez peur de ceux qui vous dictent vos peurs
J’ai peur de la peur, j’ai pas peur du juif-arabe-noir, mais très très très peur des moralisateurs de toutes couleurs-races-religions.
L’inquisition des mots, en marche, me pousse à préparer son expulsion du trône.
Cher Philippe,
La lecture de Charles de Gaulle ne se fait pas à la légère. ELLE SE VEUT PLUS FINE ET DIPLOMATIQUE que certains lecteurs distraits voudraient l’entendre.
Il faut aussi lire plusieurs phrases après les qualifications suivantes et ne pas les sortir de leur contexte délicat. Israël, « site de leur ancienne grandeur ».
Le texte a gardé une fraîcheur hallucinante.
Alors, les armes ont été fournies par la France à Israël oui ou non ?
Il semblerait que oui et de façon diplomatique.
Par contre Hollande s’est planté en finançant le terrorisme anti-Israël, il s’est planté aussi en ce qui concerne l’Afghanistan. Le choix de ses ambassadeurs en font un individu abject.
Il a transformé la France en futur Liban et ce ne sont pas que les Juifs qui tremblent aujourd’hui, mais les chrétiens qui connaîtront les mêmes atrocités que les chrétiens d’Orient, une pensée pour le cher père Hamel que les journalistes oublient déjà, les Musulmans laïcs et modérés, les non-croyants qui vivront les mêmes situations parce que les salafistes veulent s’imposer, en tant qu’être parfaits.
Les jeunes cherchent leurs racines, les générations précédentes n’ont pas transmis leur véritable culture et ce sont des prêcheurs qui assurent la transmission sur une population vulnérable.
françoise et karell Semtob
@ Philippe Dubois | 21 février 2019 à 21:26
«…islamo-gauchiste…»
À défaut de définir les autres par l’injure, donc sans preuve, juste une satisfaction libidinale, je vous propose pour vous définir les syntagmes suivants aux choix, au moins je vous laisse le choix :
– droito-pédophile,
– conservato-cannibale
– toucher-libéro-rectal.
Vous souhaitant bonne réception.
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@ Aliocha | 22 février 2019 à 08:59
« Vous tournez en rond, Noblejoué, entraîné par la gravitation irrésistible de votre nombril, et n’admettant pas de mourir…»
Dans votre inquisition vous allez, ainsi, jusqu’à souhaiter la mort de Noblejoué…
Votre Yahvé-Allah a tué lui-même 160 personnes, c’est un tueur en série et un tueur de masse, sur son ordre entre 2,8 à 25 millions de morts dans la Bible, sans compter les génocides entiers de l’humanité et ce qui fut fait en dehors de sa Bible et de son Coran.
All The People God Kills In The Bible : https://frama.link/WDbj2J3a
Vous êtes comme un petit franquiste commémorant sa mort.
Comme une de ces pauv’filles aux USA qui écrivent des lettres d’amour aux tueurs en série emprisonnés et qui finissent par les épouser.
Station aubert, en marche vers l’idole et grand retour aux castes, banlieues contre bloc élitaire, ma liberté, ma liberté de me soumettre aux manipulations.
On est effectivement libre de dire des insanités, il n’en demeure pas moins que ce sont des insanités, et le cycle en question est celui de la vengeance de ceux qui ne savent accéder au pardon, et qui ont peur, du prochain surtout, car c’est lui l’ennemi qui menace, nous, bien sûr, nous sommes de gentils petits chatons inconscients à jamais des modèles que nous imitons, révolutionnaires du grand remplacement d’Ancien Régime par l’Ancien Régime, incapables à jamais de savoir imaginer autre chose que de se vautrer dans les délires de la domination, appelant liberté la volonté de faire voler l’avion sans tenir compte des lois de la gravitation, et d’immanquablement alors aller au fossé des violences et du sang, la vraie frontière, c’est la frontière entre l’amour et le ressentiment.
Vous avez raison, durcir et compliquer encore l’arsenal répressif sera inutile et coûteux, comme chaque nouvelle loi. Combattons l’antisémitisme par l’éducation et il continuera de décroître avec ses hauts et ses bas si tout va bien pour le reste. Relevons juste qu’il semble assez général à toute la société française, et en augmentation aux Etats-Unis, ce qui doit inciter à la vigilance à ce sujet, sans verser dans l’hystérie médiatique qui a suivi l’agression contre Finkielkraut. Celle-ci était condamnable mais si on a trois jours consacrés à un fait divers de ce genre à la une de BFM ensuite, qu’est-ce que ce sera quand ce sera plus grave ?! Il faut savoir raison garder, avant toute chose.
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@ Xavier NEBOUT
Vous dites naturellement n’importe quoi, aveuglé que vous semblez être par votre antisémitisme primaire. Lisez « La destruction des Juifs d’Europe » de Raul Hilberg. Pour votre information juste, la plupart des Juifs polonais sauvés de la Shoah l’ont été parce qu’ils avaient pu se réfugier en URSS avant 1941. Le fait que les Russes soient globalement plutôt antisémites (200 000 morts dans les pogroms qui accompagnèrent la guerre civile de 1918-21) ne change rien à ce fait.
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@ Robert Marchenoir
Un homme d’une érudition comme la vôtre connaît sans doute Chaim Weizmann et ses propos de 1936 que je cite de mémoire: « Pour avoir notre pays, il faudra expulser des gens de leur terre ». Sauf à verser dans un impitoyable cynisme trumpien matière de relations internationales, et à se moquer comme une guigne de la sécurité des Européens et des Français (y compris des Juifs, d’ailleurs), la raison d’Etat commande de soutenir les revendications palestiniennes et l’établissement d’une solution viable à deux Etats. Et bien évidemment de maintenir avec Israël les relations à la hauteur de nos liens avec ce pays. Mais le Français périphérique que je suis en a plein le dos de ce conflit importé qu’il subit depuis trop longtemps.
@ semtob
« De nombreux sites ne comportent pas la possibilité de signaler un contenu présumé condamnable. Ceci devrait être obligatoire.
C’est à notre avis la meilleure solution pour ralentir le torrent de haine qui en se déversant sur la toile laisse à penser que des propos qui sont banalisés et réitérés constituent une norme acceptée. »
Le problème est que des individus malintentionnés pourraient faire appel à cette option pour interdire de publication n’importe quel commentaire anodin ne leur plaisant pas.
Et les hébergeurs, courageux mais pas téméraires, pas forcément tous experts en matière juridique et ayant d’autres chats à fouetter, bloqueraient tout ce que l’on leur demanderait de bloquer sans se poser plus de questions, au détriment de la liberté d’expression.
Et puis, qui est vraiment capable de nous dire si tel ou tel contenu est vraiment condamnable et à quel degré ?
Qui peut nous dire où commencerait la « haine » ?
Faudra-t-il faire appel à un système de filtrage en ligne par des cellules d’avocats voire de magistrats ?
@ Michel Deluré | 22 février 2019 à 16:58
C’est aux leaders qu’il convient de donner la marche à suivre. Les Gilets jaunes n’en ont pas. C’est un agglomérat de courants de pensée en provenance de l’extrême gauche et de l’extrême droite avec quelques individualités complètement mythomanes qui profitent de ce mouvement anarchique pour se construire une renommée au demeurant bien fugitive, vu que dans quelques mois, tout le monde les aura oubliés.
Tant que les Juifs ne parleront qu’aux Juifs, les musulmans aux musulmans, les intellos aux intellos et les imbéciles aux imbéciles, il n’y aura aucune issue et la haine de l’autre continuera à se répandre.
A ce sujet voir l’initiative intelligente du président de la communauté juive de Draguignan et du mufti du Var qui, lors d’une manif contre l’antisémitisme, ont échangé leurs signes extérieurs de croyants Là c’est vraiment aller dans le bon sens !
Un Nicolasbruno ose parler de l »arnaque palestinienne » en soutien de la « pédagogie » du néoconservateur Robert Marchenoir.
L’arnaque fondamentale du projet sioniste était la négation du peuple palestinien dès l’origine: « un peuple sans terre dans une terre sans peuple ».
Les thuriféraires de ce projet devenu la poursuite de la réalisation d’un grand Israël, visent aujourd’hui à jeter les Palestiniens au-delà du Jourdain et la politique de l’extrême droite israélienne au pouvoir depuis l’assassinat de Rabin est très claire en ce sens.
C’était d’ailleurs l’objectif de son assassin et des promoteurs de son assassinat.
M. Macron est un actif soutien de l’extrême droite israélienne et un digne continuateur de Hollande et Sarkozy dans leur politique au Proche-Orient, ce qui prive la France de toute crédibilité dans cette région.
Les Gilets jaunes, le CRIF et les juifs, deux tribunes d’Yves Mamou :
http://www.tribunejuive.info/societe/les-gilets-jaunes-et-les-juifs-par-yves-mamou
http://www.liguedefensejuive.com/a-quoi-sert-le-crif-2019-02-22.html
qu’on peut compléter par :
Anne Mansouret, via David Duquesne :
« Pour avoir très attentivement et très objectivement observé et analysé l’antisémitisme sur plus d’un demi-siècle, à Paris dans les milieux populaires et bourgeois (pendant 20 ans), en banlieue dans les « quartiers », en province dans les campagnes et les zones dites périphériques (où j’habite depuis 20 ans), je peux faire deux constats :
1/ Il n’y a pas d’antisémitisme aujourd’hui dans ce qu’il est convenu d’appeler les classes moyennes et moyennes inférieures, ni dans les catégories les plus modestes, où se trouve le cœur du mouvement des Gilets Jaunes…
Pour l’excellente raison qu’il n’y a pas de juifs dans leur environnement social et géographique. On perçoit encore quelques sous-entendus discrètement antisémites dans certaines catégories bourgeoises de province, mâtinées d’aristocratie « rurale ». Regrettable, bien sûr, mais pas vraiment préoccupant.
2/ L’antisionisme et l’antisémitisme sont extrêmement violents dans les « quartiers » même lorsqu’il n’y a pas le moindre embryon de communauté juive, comme c’est le cas à Évreux par exemple. Dans ces quartiers situés à la lisière des grandes villes (Bordeaux) et des villes moyennes du 92/93/95 la haine du « feuj » est viscérale. Elle émane des jeunes (d’origines principalement maghrébines) via la désinformation des fake news propagée par les médias, les réseaux sociaux et la rumeur islamique. La propagation de cette forme d’antisémitisme est récente ; elle n’a rien à voir avec l’antisémitisme du début du XXe siècle. Né à la fin des années 1990 et au début de notre siècle, au lendemain des conflits israélo-palestiniens au Moyen-Orient, cet antisémitisme a prospéré dans les quartiers depuis les attentats du 11 septembre et tout au long des années 2010.
Utiliser la recrudescence de l’antisémitisme à des fins politiciennes, manipuler cyniquement l’opinion publique en mettant de l’huile sur le feu pour aviver l’indignation dans les cénacles de l’intelligentsia médiatique parisienne qui a attrapé la jaunisse anti-ploucs…
C’est, à mes yeux, profondément INDIGNE. »
@ DAUMONT
Un bon résumé d’un autre néoconservateur : http://lepeuple.be/opinion-de-guy-milliere-israel-le-proche-orient-et-la-judee-samarie/19347
Pour le reste, vous ne faites qu’utiliser les usuels procédés gauchistes en prétendant que Netanyahou serait d’extrême droite (donc fasciste ?) voire complice du meurtre de Rabin. Quant à la complicité des derniers présidents français avec l’actuel pouvoir en place en Israël, je ne vois pas d’où vous tenez cela. Au contraire, si la politique française à cet égard se prétend équilibrée, elle penche souvent en faveur de l’autorité palestinienne. Par exemple en ce qui concerne le déplacement de l’ambassade américaine à Jérusalem.
@ Elusen
« @ Aliocha | 22 février 2019 à 08:59
« Vous tournez en rond, Noblejoué, entraîné par la gravitation irrésistible de votre nombril, et n’admettant pas de mourir…»
Dans votre inquisition vous allez, ainsi, jusqu’à souhaiter la mort de Noblejoué… »
————
Merci d’être contre l’inquisition et de me souhaiter de vivre autant que je le désire !
Pour cette bonne parole entre autres, vous êtes une des personnes à qui je le souhaite le plus sur le blog, merci du fond du cœur !
@ ch aubert | 22 février 2019 à 23:01
« La France se soulève depuis des mois et le bloc élitaire réagit aux insultes d’un seul intello qui n’avait rien à faire sur le parcours des Gilets jaunes. »
Seul le « bloc élitaire » n’est pas antisémite, en France. « Tout le monde hait la police », tout le monde est antisémite. D’ailleurs, faire partie des élites, c’est mal. Il est préférable d’être nul, pauvre et idiot.
C’est Finkielkraut qui a insulté des Gilets jaunes, pas l’inverse. La désinvolture grammaticale se fait le véhicule de l’inversion accusatoire : si les Juifs sont persécutés, c’est qu’ils le méritent. C’est Finkielkraut qui a commencé.
Finkielkraut n’avait rien à faire sur le parcours des Gilets jaunes. Lorsque les Dieux Jaunes défilent, lorsque les Rois des Imbéciles prennent possession des lieux, alors les philosophes doivent se carapater dans le décor et cesser d’insulter le « peuple » par leur simple présence. L’exhibition muette de leur sagesse et de leur science constitue une offense de premier ordre.
Léger détail, Finkielkraut habite là, il rentrait chez lui. Mais le gilétiste n’en a cure : le totalitarisme de la racaille ne tolère aucune dissension par rapport à sa haine, aussi symbolique fût-elle.
« Si le même philosophe allait en banlieue, dans un RER ou dans une cité il entendrait mille fois cette insulte… Mais trois insultes de Gilets jaunes et là, c’est le branle-bas des courtisans. »
Finkielkraut devrait s’estimer heureux, on l’a seulement un peu insulté. Il y a des gens qui sont plus pervers que ses agresseurs, des lieux où la malfaisance est plus compacte. En conséquence de quoi, on lui a fait une faveur. Il n’y a pas mort d’homme. On aurait pu le jeter par la fenêtre, lui tirer une balle de Colt 45 dans la tête, il ne va tout de même pas commencer à faire son intéressant. Mais apparemment…
« Macron est un totalitaire sous un vernis de libéral. »
Ce n’est pas l’auteur de ces lignes immondes qui est totalitaire, c’est le président de la République qui ose désapprouver l’agression du philosophe.
« La peste de la bienveillance est la pire de toute, dans l’histoire. »
La haine antisémite et la loi de la voyoucratie sont bien préférables. Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, Gengis Khan et bien d’autres étaient trop bienveillants, et c’est bien ce fléau qui nous menace.
« L’inquisition des mots, en marche, me pousse à préparer son expulsion du trône. »
La mythomanie onaniste de « ch aubert » va expulser Macron de son trône avec ses petits bras musclés. On est dans un jeu vidéo. Je veux je veux je veux, et hop ! ça va se faire.
@ semtob 23 février 2019 00:22
Les mots du Général de Gaulle sont suffisamment nets et précis pour que l’on puisse se dispenser de citer en amont et en aval.
Quand Charles de Gaulle parle de géographie à propos d’Israël, « du site de leur ancienne grandeur », il ne leur attribue pas des titres de propriété pour les deux mille ans qui suivent que je sache !
D’ailleurs, voici la totalité de la phrase :
« L’établissement entre les deux guerres mondiales, car il faut en remonter jusque-là, d’un foyer sioniste en Palestine, et puis après la Seconde Guerre mondiale l’établissement d’un Etat d’Israël, soulevaient à l’époque un certain nombre d’appréhensions.
On pouvait se demander en effet, et on se demandait même chez beaucoup de juifs, si l’implantation de cette communauté sur des terres qui avaient été acquises dans des conditions plus ou moins justifiables et au milieu des peuples arabes qui lui sont fondamentalement hostiles n’allait pas entraîner d’incessants, d’interminables frictions et conflits.
Et certains mêmes redoutaient que les juifs, jusqu’alors dispersés, mais qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est-à-dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, n’en viennent, lorsqu’ils seraient rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu’ils formaient depuis dix-neuf siècles : l’an prochain à Jérusalem ».
Formidable Général de Gaulle : un sens inouï de l’Histoire et de sa projection.
Cordialement.
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@ Ellen 22 février 2019 18:10
J’ai été sur le site du Figaro que vous indiquez. Intéressant. Mais ce qui est primordial c’est de connaître le nombre d’adhérents à ces groupuscules. Malheureusement, il n’y a aucun chiffre.
Ce n’est pas la même chose s’ils sont, par groupe, cinquante ou mille adhérents répertoriés.
S’ils sont cinquante, une fois de plus Macron a fait de la com’. Mais on a l’habitude.
S’ils sont mille, la dissolution, avec faits avérés, peut être nécessaire.
Merci pour le lien.
Cordialement.
@ Michelle D-LEROY | 22 février 2019 à 15:39
« Ma réflexion était donc de dire que tous ces croyants revendiquent cette région où il s’est passé tout de même quelque chose de fort, un peu le berceau de l’humanité. »
Le berceau de l’humanité ?
Quand ces trois religions ayant la même source (ce Dieu qui n’existe qu’à leur façon) ne se supportent pas, il faudrait plutôt parler de tombeau de l’humanité. Le berceau, je le suppute plutôt ici :
http://www.une-autre-histoire.org/lafrique-est-le-berceau-de-lhumanite/
Elusen continue ses projections salaces, compagnon de jeu des irréductibles réfractaires, je vous pardonne vos aberrations, mes amis, et vous laisse au bac à sable des petits dieux d’avant, les dieux méchants qui amenèrent pourtant à la vérité, celle qui renforce la violence, qui en retour ne peut rien contre elle.
« Arnaud Montebourg ne mâche pas ses mots sur Alexandre Benalla et s’interroge. Invité du Journal inattendu sur RTL depuis le salon de l’agriculture, l’ancien ministre a réagi sur l’affaire qui empoisonne le gouvernement et l’Élysée depuis plusieurs mois.
Arnaud Montebourg avait employé Alexandre Benalla comme chauffeur personnel avant de le licencier en juillet 2012. Interrogé sur le fait que Benalla a nié avoir été renvoyé par Arnaud Montebourg après un délit de fuite en voiture, l’ancien ministre a répondu : « La commission d’enquête (du Sénat NDLR) a retrouvé le document administratif du licenciement d’Alexandre Benalla, il y avait des raisons publiées dans le rapport. Les raisons sont accablantes », a-t-il précisé en faisant allusion aux motifs de son renvoi.
« Ce que je sais, c’est qu’il était arrivé le 21 juin et qu’il est parti le 1er août. Cela fait cinq semaines. Je me suis trompé de quatre semaines, mais lui, ne peut pas nier le problème de comportement qu’il a eu », a encore ajouté l’ancien ministre.
Et l’ancien ministre de commenter l’embauche ensuite d’Alexandre Benalla en tant que chargé de mission à l’Élysée, malgré ses frasques : « Ça ne me regarde pas, mais je pense que vous avez un personnage extrêmement sulfureux et dangereux. Je ne comprends pas comment quand quelqu’un est viré pour des motifs tout à fait établis, on le réembauche à un poste supérieur. C’est bizarre ce monde », a encore déclaré l’ancien ministre.
Dans un rapport explosif, la commission d’enquête du Sénat a pointé une série de « dysfonctionnements majeurs au sein des services de l’État » qui ont pu « affecter » la sécurité du président et « les intérêts » du pays, évoquant notamment des « pouvoirs excessifs laissés à un collaborateur inexpérimenté ». »
https://www.rtl.fr/actu/politique/benalla-montebourg-evoque-son-licenciement-pour-des-raisons-accablantes-7797034321
Et il en a fait un lieutenant-colonel, lui l’espion au service du roi du Maroc, ami intime de Macron. Voilà ce qu’est la Macronie, voilà ce qu’est Macron, un psychopathe dévoilé et on lui laisse la direction des armées. C’est un scandale. De plus il dilapide notre pognon !
Il faut être vraiment… pour soutenir Macron, il ne peut y avoir que les escrocs qui l’ont mis en place pour en être satisfaits.
@ Franck Boizard | 23 février 2019 à 10:33
Tout a fait d’accord avec vous.
Quant à Robert Marchenoir il racontait encore il y a plus d’un an qu’il était à la droite de l’extrême droite, qu’il était raciste etc. Aujourd’hui et depuis quelques mois, après avoir injurié systématiquement tous les commentateurs de ce blog (chacun son tour), il a retourné sa culotte à l’envers.
Il marche au pétrole brut, l’un des trois grands scribouillards de ce blog avec Aliocha et Noblejoué.
PS: Je n’ai jamais trouvé le moyen d’envoyer des commentaires sur votre blog.
@ Aliocha | 23 février 2019 à 14:27


« Je vous pardonne …»
Quel délire des grandeurs, c’est psychiatrique à ce stade-là, on se prend pour Dieu !
Moi, je ne vous pardonne pas le cannibalisme, ni la pédophilie.
Je ne pense pas plus que votre Dieu vous pardonnera votre vanité !
@ Gavroche | 23 février 2019 à 15:09
Pour qui connaît la France et les Français (précaution rhétorique que je prends, car, à lire certains commentateurs de l’actualité, j’ai l’impression qu’ils vivent sur la planète Mars), la question de la judéophobie en France en 2019 est limpide.
La vieille judéophobie française (parfois virulente mais jamais au point de donner du poids à un parti politique s’en réclamant) a été éradiquée par le choc du judéocide hitlérien (et peut-être aussi par l’insistance catholique sur nos frères juifs). Elle subsiste à l’état de traces (hélas renaissantes à force de laxisme et d’instrumentalisation) dans l’anticapitalisme.
A cela vient s’ajouter une nouvelle judéophobie, celle des musulmans (sur ce sujet comme sur bien d’autres, la distinction entre musulmans et islamistes est spécieuse).
On voit bien là l’hypocrisie de la « lutte contre l’antisémitisme » officielle : elle est promue par ceux-là mêmes qui font s’installer en France, tous les ans, des centaines de milliers d’étrangers à la culture et la religion violemment judéophobes (comme le rappelait récemment GW Goldnadel, tous les meurtriers de juifs en France de la dernière décennie sont musulmans).
Quant aux Gilets jaunes, c’est là aussi très clair : ils n’ont pas la sociologie urbaine des judéophobes, que ceux-ci soient anticapitalistes ou musulmans. Les juifs ne sont tout simplement pas une préoccupation de la France des ronds-points.
Bref, la « lutte contre l’antisémitisme » officielle n’est qu’un prétexte pour réprimer les Gilets jaunes, ce qu’applaudissent bien fort les victimes de la Grande Trouille Bourgeoise.
Les petits bourgeois à chienchien dans le jardinet, retirés des affures, macroniens comme on n’en peut mais, qui donnent des conseils aux Israéliens sur la manière dont ils doivent se conduire en Palestine, sont gonflés !
@ Gavroche | 23 février 2019 à 15:09
« Quant à Robert Marchenoir il racontait encore il y a plus d’un an qu’il était à la droite de l’extrême droite, qu’il était raciste etc. Aujourd’hui et depuis quelques mois, après avoir injurié systématiquement tous les commentateurs de ce blog (chacun son tour), il a retourné sa culotte à l’envers. »
Je n’ai rien retourné du tout, mais votre sectarisme et votre stupidité vous bouchent la vue. La preuve, en ce qui concerne cette dernière :
« Je n’ai jamais trouvé le moyen d’envoyer des commentaires sur votre blog. »
Il faut vraiment être un sous-doué…
Je n’ai jamais « raconté que j’étais raciste », pour la bonne raison que je récuse ce concept. Mais j’ai été abondamment accusé de l’être, oui… Quant à être à la droite de l’extrême droite, en effet, j’ai dit cela, dans un contexte très précis qui vous passe complètement au-dessus de la tête (et dans l’acception où je l’ai dit à l’époque, je le maintiens).
Mais j’ai dit aussi que j’étais un centriste mou, et visiblement les raisons pour lesquelles j’ai dit l’un et l’autre vous sont complètement inaccessibles. Vous n’essayez même pas de comprendre.
Enfin je n’ai injurié personne, et encore moins tous les contributeurs de ce blog. Mais vous avez visiblement du mal avec le vrai débat, le débat sans concession qui n’admet pas les poses d’imposteurs dans votre genre.
Entre ceux qui m’accusent d’être raciste et ceux qui me reprochent de ne pas l’être, je vais finir par trouver ma situation pittoresque.
Emmanuel Macron, comme tous les ans et comme tous les politiciens, est allé au dîner du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France). Mettons qu’il y ait passé 3 heures.
Trois jours plus tard, il se rend au Salon de l’agriculture. Comme tous les ans, et comme tous les politiciens. L’année dernière, il y avait passé 12 heures. A l’instar de ses prédécesseurs, qui se sont toujours fait un point d’honneur de s’éterniser en ces lieux. Ce matin, l’un de ses collaborateurs glissait : à ce rythme, on y est jusqu’à 23 heures.
Il y a 456 000 Juifs en France. Il y a 453 000 agriculteurs. Un calcul simple montre qu’Emmanuel Macron (comme tous les autres politiciens) consacre beaucoup plus de temps au lobby agricole qu’au lobby juif.
Alors que les deux représentent une population à peu près équivalente.
Pourtant, personne n’accuse le lobby maléfique des paysans de tirer les ficelles de la politique française. Tandis que la couverture médiatique du Salon de l’agriculture est infiniment plus fournie que celle du dîner du CRIF. Comme c’est étrange…
Notre grand théologien de la méchanceté divine un jour s’apercevra qu’il est possible à l’homme de pardonner, que c’est effectivement un pouvoir considérable d’échapper à la violence humaine, d’accéder à la liberté de ne pas devoir se soumettre à la perversité de ses semblables qui ne sait qu’exciter la sienne propre, ce qui permet aux aveugles de voir, aux sourds d’entendre, et aux paralytiques de marcher, mais peut-être n’y tient-il pas, préférant s’imaginer des inquisitions meurtrières lui donnant un statut de victime qui lui permet de ne surtout pas se mettre en marche vers l’horizon de son humanité, légitimant ses désirs de régression qu’il nomme alors son pouvoir.
L’amour ne saura jamais s’imposer, mais seulement proposer un chemin de consentement à la liberté, beaucoup, et c’est compréhensible, craignent de l’emprunter par peur d’être reconnus, ce qui est absurde car tout est déjà révélé.
Comme les tout-petits, ils pensent que, ne voyant pas, il ne peuvent être vus, et ne réclament que compassion dans la sévérité, car ils ne savent pas ce qu’ils font.
@ Franck Boizard | 23 février 2019 à 17:24
« judéophobie »
Mais qu’est-ce que vous avez tous avec le mot : phobie ?!
Vous le mettez à toutes les sauces, vous ne le maîtrisez même pas, vous ne savez même pas ce que cela veut dire.
Doit-on mettre en prison les agoraphobes, les arachnophobes, les claustrophobes ?!
La phobie est une peur et non une haine, elle relève d’un trouble de la raison ou d’un trouble mental, c’est une pathologie.
Si vous voulez vous la jouer, vous la raconter, mettez haine ou cide, judéocide, ou un autre mot d’une des 143 langues de France qui signifierait : haine, mort, meurtre ; nous ne sommes pas obligés de choisir le latin ou le grec.
Choisissez une langue maori, amérindienne d’Amazonie, kanak, après tout c’est la France.
CNRS, Musée de l’homme, Université d’Orsay : https://atlas.limsi.fr
Dictionnaire de l’ Académie nationale de Médecine :
http://dictionnaire.academie-medecine.fr/index.php?q=phobie
Je trouve que le truc de phobie, minimise dangereusement, pourquoi pas, pendant que nous y sommes : judéo-ganglion, musulmano-hémorroïde, christiano-ronaldo ?!
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@ Robert Marchenoir | 24 février 2019 à 02:23
« Il y a 456 000 Juifs en France »
Marchenoir au rapport !
Il va même jusqu’à les comptabiliser !
Problème, la Constitution française, ainsi que la loi, interdisent les statistiques racialistes et religieuses.
Il est ainsi illégal de la faire, les personnes risquent la prison.
Donc personne ne sait combien il y aurait de blancs, chrétiens, musulmans, noirs, juifs, jaunes, etc. En conséquence de quoi, donner des chiffres est une infox !
Et cela est interdit depuis 1791 au moins !
Constitution de 1791 :
Le mot indivisible est employé trois fois dans cette Constitution de 1791.
Depuis 1958 :
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Ainsi tout chiffre relève du fantasme, du mensonge, de multiples délits.
@ Exilé
« Faudra-t-il faire appel à un système de filtrage en ligne par des cellules d’avocats voire de magistrats ? »
Je pense que cela pourrait faire un débouché à des juristes type avocats sans guère de clients… Mais cela pourrait renchérir Internet, abonnement obligatoire payant pour beaucoup de sites, et sans doute assez chers, on profite de l’opportunité pour taxer le chaland.
Les sites où l’hôte ne comptait pas faire de profit pourront-ils suivre, engager des juristes pour faire éboueurs du net comme la profession existe, quelque peu déprimante.
Eh oui, voir sans filtre la nature humaine, en l’étudiant, voir ce qu’on laisse passer ou pas.
Il était donc juste et bon que notre hôte consacre un de ses papiers à faire l’éloge du rôle de madame Bilger en ces lieux.
Si je suis contre toute censure, je trouve que ce qu’elle fait quand ce n’est pas sa profession, n’est pas facile, or loin de le bâcler, elle veut bien arranger orthographe et présentation des commentaires, ce que tous peuvent apprécier pour la lecture, comme les par exemple distraits, les intervenants pour limiter le nombre de scories de leur écriture.
J’aimerais mieux qu’Internet soit un exemple de liberté essaimant, et le blog de notre hôte l’avant-garde d’une liberté dont j’estime qu’elle est aussi nécessaire que le feu et l’eau qu’on donne à ses hôtes, mais notre pays devient de plus en plus inquisitorial.
Le délit d’expression d’opinions de plus en plus nombreuses, puis la question de savoir quelle opinion se cache derrière un mot tandis qu’on accentue la pression sur Internet.
Et on prétend que les Français aiment la liberté ? La succession de nos régimes politiques et l’actualité prouvent le contraire.
Nous avons deux solutions d’ailleurs cumulables pour changer, chercher ce qui dans notre culture est favorable à l’indépendance d’esprit ou nous laisser porter par la culture anglo-saxonne tant qu’il en est encore temps… Est-ce que je pense que John Bull ou l’Oncle Sam déclinent ? Non, mais je vois la Chine monter, et de plus en plus de gens songer à l’imiter, ce qui nous ferait passer d’un état de démocratie fort imparfait, notre Constitution est ce qu’elle est, à jeter, mais démocratique, et de gens ayant droit à la protection de leur vie privée, à une inquisition générale des comportements de chacun.
Enfin ! Plein de petits chefs adoreraient ça !
Remarquez, je ne suis pas contre tous les petits chefs :
https://www.youtube.com/watch?v=Gb2waY9PtBQ
@ Robert Marchenoir | 24 février 2019 à 02:22 @ Gavroche | 23 février 2019 à 15:09
« Entre ceux qui m’accusent d’être raciste et ceux qui me reprochent de ne pas l’être, je vais finir par trouver ma situation pittoresque. »
Votre situation n’est pas pittoresque, elle est pathétique !
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@ Robert Marchenoir | 24 février 2019 à 02:23
« Il y a 456 000 Juifs en France. Il y a 453 000 agriculteurs. Un calcul simple montre qu’Emmanuel Macron (comme tous les autres politiciens) consacre beaucoup plus de temps au lobby agricole qu’au lobby juif.
Alors que les deux représentent une population à peu près équivalente. »
Je sais en tant que « bas bleu gauchiste », que vous êtes, en général, l’ennemi du genre humain.
Votre affirmation selon laquelle on peut déduire qu’il n’existe pas de juif exerçant une activité agricole est remarquable de sottise, mais enfin, on pourrait l’ignorer.
Ainsi, vous ne craignez pas d’opposer les catégories professionnelles, comme s’il s’agissait de parler de deux peuples différents, vous êtes réellement dangereux !
Je pourrais de mon côté faire la supposition idiote d’admettre que 20% des paysans sont juifs, je sais ce taux est usuraire, mais possible si l’on se souvient que j’ai précisé qu’il s’agit d’une supposition idiote.
Dès lors, Marchenoir, vous serez d’accord avec moi, si j’affirme en tant qu’idiote à un imbécile, que seul les abrutis s’expriment avec une profusion débile, je ne me trompe pas vous concernant, et disant que vous nous abreuvez jusqu’à plus soif de votre pensée dégénérée.
Il demeure que vos théories douteuses sont présentées avec brio (vous valez bien ce petit compliment), elles attisent de façon délétères et malsaines les pires instincts.
J’ai déduit de vos assommantes interventions que vous n’êtes pas juif, pourquoi, me direz-vous, mais parce qu’il vous manque l’humour et la dérision, vous n’êtes que dépressif et sournois.
Par ailleurs, il est constant, que le sujet « Juifs », est comme les oreillons pour un homme adulte, stérilisant …
En effet, il ne peut dès lors que ce sujet est abordé exister, que des antisémites ou des philosémites, c’est extraordinaire, car cela n’arrive sur aucun autre sujet. Que doit-on en conclure ?
Que je suis juive ! Que Marchenoir est juif ! Que nous sommes tous juifs ! Ou que personne ne l’est !
@ Robert Marchenoir
« Il y a 456 000 Juifs en France. Il y a 453 000 agriculteurs. Un calcul simple montre qu’Emmanuel Macron (comme tous les autres politiciens) consacre beaucoup plus de temps au lobby agricole qu’au lobby juif. »
Certes mais l’agriculture représente 29 millions d’hectares, 6,1 milliard € d’excédent commercial en 2016…
Mais comme vous le suggérez, veaux, vaches et cochons font de belles images sans compter que l’évocation des mets savoureux et des breuvages délicats que notre génie gastronomique apporte au monde entier n’est pas déplaisante !
@ Robert Marchenoir
Il y a une grosse différence entre les 450 000 agriculteurs et les 450 000 juifs.
C’est que les premiers sont uniquement Français, alors que concernant les seconds, nous avons ceux qui comme Eric Zemmour sont Français avant tout et qui prônent même la soumission de leur religion au catholicisme parce que religion des racines de la France, mais nous avons aussi ceux qui sont Israéliens avant tout et même disposés à trahir la France si besoin en était, et tous ceux qui naviguent entre les deux.
Marchenoir n’est pas raciste quand il écrivait par exemple à l’adresse d’Alex paulista, propos relevés par J-D Reffait :
« Taubira n’est évidemment pas une Française… D’abord parce qu’elle est noire, donc africaine. Les Français sont blancs. La France n’est pas l’Afrique. »
Exit donc les millions de Français de l’Outremer et leurs familles métissées depuis plus de deux siècles.
Marchenoir n’est pas raciste non plus quand il parle avec mépris du QI des Noirs (selon lui) en moyenne 30 % inférieur à celui des Blancs.
Sans parler de ses basses attaques à mon égard quand il me prenait pour une « négresse » et me sommait (sans craindre le ridicule absolu) de faire mon coming-out. Le choc du lascar si à l’époque je lui avais envoyé ma photo !
Pathétique vraiment comme l’a écrit une contributrice !
@ Aliocha | 24 février 2019 à 07:56
V’la’ti pas que maintenant, il pense avoir le pouvoir de pardonner à son Dieu ?!
@ Xavier NEBOUT | 24 février 2019 à 11:33
«…au catholicisme parce que religion des racines de la France…»
Ni dans le catholicisme il n’y a la définition de la France, ni dans la France, il n’y a la définition du catholicisme ; pas plus dans la définition des racines, il n’y a France et catholicisme.
Non mais, l’absurdité du truc ?!
Le catholicisme serait à l’origine de la France ?!
Le révisionnisme à l’état pur !
Sans compter que les juifs étaient là avant le catholicisme !
L’an 06 de notre ère, il y avait déjà des juifs, dans ce que nous appelons aujourd’hui la France, mais pas de catholiques.
Archéologie du judaïsme en France et en Europe, laboratoire du CNRS : Inrap ; éditions La Découverte.
http://widget.editis.com/ladecouverte/9782707166944/#page/1/mode/1up
Comment faites-vous pour comptabiliser les juifs en France, vous leur demandez de pointer à la préfecture, de porter une étoile jaune ?!
@ Elusen | 24 février 2019 à 08:04
En l’occurrence, il me semble que « judéophobie » est le terme adapté, puisque (de mon point de vue en tout cas) le rejet des juifs n’est pas rationnel.
Mais, je suis d’accord avec vous, le terme n’est pas neutre. Je l’assume.
S’il y a un clair antisémitisme musulman et de la gauche, il ne faut pas sous-estimer le retour d’un antisémitisme de la droite jacobine. Par exemple l’interview trouvée sur Riposte laïque de ce jeune homme : https://youtu.be/-aKBEr_r0oQ. à écouter à la 18ème minute.
Les manipulations d’Israël et la finance internationale qui seraient à l’origine de tous les problèmes français. La société matérialiste, le capitalisme inhumain, Attali et BHL etc. Ce genre de discours conduit inévitablement à chercher l’influence des juifs plutôt que de regarder ses propres responsabilités. Gauche et droite antilibérales se retrouvent alors sur cet écoeurant prêt-à-penser.
Donc, quand je pardonne à mes contradicteurs leur aberrantes élucubrations, j’ai le pouvoir de pardonner à Dieu, et si j’ose observer leur refus de la mort, c’est que je la leur souhaite !
Les enfants-rois autocentrés jouent les victimes et s’inventent des persécutions, forme comme une autre, la victime étant sacrée, du désir de pouvoir : la peste, puisqu’il faut l’appeler par son nom.
@ Franck Boizard | 24 février 2019 à 20:30
La phobie est une pathologie médicale, comment faites-vous pour diagnostiquer la judéophobie et quel médicament, quel traitement, quelle posologie ?!
Y aurait-il des judéo-phobe-cologues ?
En quoi avoir peur des juifs serait-il un délit ou un crime ?
En quoi la peur doit-elle relever du Code pénal ?
En quoi l’incitation à la haine, l’appel à la ségrégation, l’appel au meurtre, seraient rationnels ?
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@ Aliocha | 25 février 2019 à 00:06
Chaque chose en son temps, vous allez finir par le rencontrer !
@ Aliocha
« si j’ose observer leur refus de la mort, c’est que je la leur souhaite ! »
Est-ce que vous ne vantez pas notre vie actuelle, souffrante et mourante, comme bonne ? Si oui, vous nous la souhaitez telle qu’elle est, y compris pour ceux qui s’y refusent… A moins que vous n’ayez dit, j’aime être une poussière retournant à la poussière, mais comme ça ne plaît pas à certains, j’aimerais qu’ils y échappent ?
Non, c’est ainsi, cela doit être ainsi, je le souhaite à tout le monde, tout compris : je souhaite ta mort.
Comme des prisonniers condamnés alors qu’ils n’ont rien fait, nous subissons, mais vous, le prisonnier modèle, vous me dites que la prison est ce qui pouvait m’arriver de mieux, la guillotine aussi, que je ne dois pas devancer la mort si la prison est trop insupportable, ou m’y refuser si je parviens à ne pas être dans la pire cellule.
Ce que vous me souhaitez, c’est donc non que j’échappe à mes maux, ce sont mes maux, sauf que je dois imaginer que le mal, c’est le bien. Mais très clairement, vous me souhaitez la mort et la souffrance que je subis, censées être formidable car incarnation, quelle expression !
Si un dieu est tout-puissant, il peut tout, pardon d’enfoncer des portes qui ne refusent de s’ouvrir que quand on est trop dévot pour regarder le monde en face.
S’il peut tout, il peut faire qu’avoir un corps soit autre chose qu’un chemin de croix, souffrance et mort.
S’il est tout-puissant et que nous souffrons, c’est qu’il nous fait subir de mauvais traitements immérités.
Il est classique de traiter les gens qui se soustraient aux avanies d’enfant gâtés, d’enfants roi et tout ce qu’on voudra.
Mieux vaudrait dire qu’un créateur qui peut tout et fait de nous des poussières souffrantes est un père pervers, enfin, s’il y a bien un dieu et qu’il soit créateur tout-puissant, rien de tout cela n’étant je ne dis pas prouvé, mais avec des indices ailleurs que dans les grimoires des théologiens.
Il est aussi d’un lecteur ayant mal digéré René Girard de critiquer qui relève cette hypothèse de croire au sacré archaïque où les dieux commettent des fautes justifiant l’exécution des boucs émissaires qu’ils sont en vérité.
René Girard lui-même distingue l’hypothèse en question de la question plutôt délicate de la nature de dieu : bon alors que se pose le problème qui l’hypothèque complètement de l’existence de l’enfer ? Il semble que vous n’ayez pas lu ou pas compris ce problème pour mélanger nature on dira est-il bon, est-il mauvais de Dieu, et la violence archaïque.
N’étant évidemment pas de nature religieuse mais ou donc ou à côté, ayant des yeux pour voir, je constate que notre vie actuelle est déjà infernale.
Toute personne non obsédée par un enfer éternel aussi abominable que ce qu’ont pu inventer les pires totalitarismes peut le voir, je n’ai aucun mérite en la matière.
Il se peut qu’il ne soit la faute de personne, mais résultat de la nature, ou je ne peux pas mieux faire d’un dieu qui n’est pas tout-puissant, ou qu’il soit dû à un dieu tout-puissant, comme proclamé par la plupart des croyants qui disent donc sans savoir ce qu’ils disent comme d’habitude, leur dieu méchant.
Ce n’est pas moi qui vais trancher, je n’en sais rien, et j’ai autre chose à faire qu’à prétendre savoir ce que j’ignore, mon but étant de contribuer à rendre la vie meilleure et la mort obsolète pour tous ceux qui préféreront une vie qui soit autre chose que l’antichambre endeuillée de la mort.
« La naissance est souffrance, la vieillesse est souffrance et la mort est souffrance. Etre séparé de ce qu’on aime est souffrance, ne pas obtenir ce que l’on désire est souffrance : en résumé, les cinq catégories d’attachements sont sources de souffrance… »
…dit le Bouddha, enfin, lui… Disons qu’on le dit et que c’est bouddhiste, les bouddhistes voient un peu plus le monde en face que d’autres.
Mais la voie transhumaniste n’est pas de vivre dans le détachement comme si nous étions morts, non plus que de croire en un dieu si gentil qu’il nous a mis là-dedans, ou de nous affronter avec d’autres pour savoir comment organiser la prison ce qui en d’autres termes signifie que la politique ou l’économie ne sont pas des solutions à des problèmes qui n’en relèvent pas et que nous ne nous gaspillons pas dans des impasses.
Notre voie, c’est de lutter contre la souffrance, le vieillissement, enfin tout ce qui est mauvais, et d’abolir la fatalité de la mort, lutte scientifique et culturelle. Tant de sens ont été supposés dans nos malheurs que tant de gens veulent y rester, ce qui les regarde, mais aussi empêcher les autres de s’en abstraire. Certes, cela ne les regarde en rien, mais comme certains trouvent les textes de certains trop longs ici, d’autres veulent rationner la vie sous couvert de son sens supposé, ou pour que l’humanité ne change pas, ou parce que nous serions trop nombreux mais on ne les entend pas contre avoir beaucoup d’enfants, ou parce que seuls certains seraient immortels, enfin, tous les prétextes possibles et imaginables. Bref, ils trouvent un sens à la mort et à la souffrance pour eux, le prêchent et la souhaitent aux autres, et la leur imposeront s’ils le peuvent si le temps du choix vient enfin tandis qu’aujourd’hui est le temps de l’imposition d’effritement, le mourir chaque jour un peu davantage par le processus de vieillissement.
Triste sort dont je désire m’abstraire ainsi qu’y échappent tous ceux qui le désirent. Jamais je ne souhaite à quiconque de subir ce qu’il se refuse à vivre, donc si quiconque veut se voir voûté, ridé, le pas hésitant et peut-être bientôt l’intelligence plus voilée que ses gestes, libre à lui, s’il veut malheureux continuer à subir, ou heureux bientôt nourrir, selon ses moyens ou ses goûts, bientôt les vers ou bien les flammes, libre à lui.
Je ne veux que le bien des gens, et le bien de chacun, c’est à chacun de le décider.
Actuellement, nous ne pouvons décider que du sens de notre vie, je souhaite que demain, nous puissions décider de notre vie elle-même, passant de l’ombre des choses aux choses elles-mêmes.
Si le monde nous impose tout, je souhaite en revanche que chacun ait ce qu’il veut avoir.
@ Mary Preud’homme | 24 février 2019 à 13:20
Avez-vous, depuis que vous aviez lu ici qu’en moyenne le QI des noirs était de 30% (en vérité c’est moins que ça, même si pour certains cela est vrai) inférieur à celui des blancs, essayé de vous informer sur ce sujet ?
Parce que ce n’est pas Marchenoir qui prétend cela comme vous dites, ce sont des études, qui ont été menées sur de longues périodes, par des scientifiques très sérieux.
Je vous demande cela, bien que je connaisse la réponse, car si vous aviez fait la moindre recherche sur le sujet vous ne remettriez pas ainsi sur la table quelque chose de si déplaisant pour vous.
Par pitié, ne me répondez pas sur ce point secondaire selon lequel je prétends que vous faites partie d’une tribu noire. Je plaisante là-dessus, mais je ne vois pas pourquoi ces informations vous défroissent à ce point si vous n’en faites pas partie. Parce que, en dehors des enjeux politiques et démographiques qui sont bien entendu cruciaux, qu’est-ce que ça peut bien faire que les noirs soient moins intelligents que les blancs ? Qui proteste lorsque les mêmes études montrent que certains asiatiques sont plus intelligents que les blancs ? Qui ?
Personne ne proteste, et beaucoup sont très heureux de les accueillir dans leur pays.
Ces études ne doivent pas être mises sous le tapis. Elles montrent aussi que la politique qui consiste à promouvoir une immigration sélective est une erreur, puisqu’elle prive ces pays sous-développés des peu de gens qualifiés dont ils disposent.
@ caroff | 24 février 2019 à 11:01
« @ Robert Marchenoir
» — Il y a 456 000 Juifs en France. Il y a 453 000 agriculteurs. Un calcul simple montre qu’Emmanuel Macron (comme tous les autres politiciens) consacre beaucoup plus de temps au lobby agricole qu’au lobby juif. »
» — Certes mais l’agriculture représente 29 millions d’hectares, 6,1 milliard € d’excédent commercial en 2016… »
Vous avez omis de mettre dans la balance la contribution des Juifs à l’économie nationale. A écouter les vitupérateurs du « dîner du CRIF », elle serait gigantesque, puisqu’ils tiendraient la finance, la banque et les médias, pour ne pas dire l’essentiel du pays.
Évidemment, pour le savoir, il faudrait demander leurs statistiques aux antisémites, lesquels ont la langue bien pendue, mais se trouvent soudain fort dépourvus lorsqu’on leur demande des chiffres.
Je remarque que d’un côté, la contribution des agriculteurs à l’économie est tenue pour une bonne chose (plus ils produisent et mieux c’est), tandis que dans le cas des Juifs, c’est le contraire (s’ils sont « riches », c’est bien qu’ils ont volé l’argent et qu’ils oppriment les Français).
En réalité, en l’absence d’informations plus précises, il convient de considérer que deux populations aux effectifs similaires contribuent de façon semblable à l’économie nationale.
Mais en fait, selon toute vraisemblance, la contribution des Juifs est supérieure, voire bien supérieure. Les agriculteurs exercent une activité massivement subventionnée, et un grand nombre d’entre eux ont des revenus très faibles (ils s’en plaignent assez). Tandis que les Juifs sont sur-représentés dans des professions lucratives (on le leur reproche assez).
On comprend que ces derniers ne soient pas enclins à pousser sur le devant de la scène des statistiques qui montreraient ce fait. Pour des raisons évidentes.
On en revient toujours à la même chose : l’antisémitisme est une pétition de principes, qui se prouve par la répétition des ses prémices.
Si j’ai tenu à produire ces chiffres, c’est parce qu’ils sont très instructifs. On ne cesse de parler des Juifs comme des « paysans », et pourtant, les uns comme les autres sont pratiquement inexistants. Ils constituent les uns comme les autres une part absolument micrométrique de la population nationale : 0,7 % d’un côté comme de l’autre.
Et d’ailleurs, il y a encore moins d’agriculteurs que de Juifs en France ; c’est vous dire…
L’un des points les plus frappants de la sociologie juive, c’est le niveau absolument dérisoire de l’effectif de ce peuple. Il y a 14,5 millions de Juifs à travers le monde. En tout et pour tout. Y compris Israël, dont la population (6,4 millions) est nettement inférieure à celle de la Suisse.
Lorsqu’on considère objectivement ces chiffres, on ne peut que considérer l’antisémitisme comme une maladie mentale : comment un peuple aussi minuscule pourrait-il exercer l’influence qu’on lui reproche ?
Évidemment, les Juifs eux-mêmes se gardent de souligner ces chiffres, car l’antisémite les retourne immédiatement : vous voyez bien, ils sont une poignée et pourtant ils contrôlent tout, cela prouve bien à quel point ils sont maléfiques.
Raisonnement circulaire, toujours. Vous ne pouvez pas discuter avec un antisémite.
Le rapprochement avec les agriculteurs est d’autant plus significatif, que, pour eux comme pour les Juifs, les opinions à leur égard sont essentiellement basées sur des fantasmes (côté juif, je parle naturellement des antisémites).
Et bien sûr, le « paysan », aux yeux de l’antisémite, est l’exacte antithèse du Juif : la terre ne ment pas, la patrie charnelle qui colle aux sabots, etc.
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@ Xavier NEBOUT | 24 février 2019 à 11:33
« Il y a une grosse différence entre les 450 000 agriculteurs et les 450 000 juifs. C’est que les premiers sont uniquement Français, alors que concernant les seconds, nous avons ceux qui comme Éric Zemmour sont Français avant tout et qui prônent même la soumission de leur religion au catholicisme parce que religion des racines de la France, mais nous avons aussi ceux qui sont Israéliens avant tout et même disposés à trahir la France si besoin en était, et tous ceux qui naviguent entre les deux. »
Eh bien voilà. Les Juifs ont beau être là depuis mille ans et des brouettes, ils ne sont pas vraiment français. Ils passent leur temps à trahir. A part ça, seuls les musulmans sont antisémites.
Je passe sur les agriculteurs qui seraient tous français, alors qu’on sait qu’un certain nombre d’entre eux sont britanniques ou chinois (par exemple). C’est une profession réservée, paysan ? On est obligé d’être français, comme pour certains postes de fonctionnaires ?
Remarquez, 89 % des exploitations agricoles bénéficient de subventions. Donc pour ce qui est d’être fonctionnaires, c’est assez avancé, et depuis longtemps.
Notez que le « raisonnement » antisémite suppose aussi que 100 % des agriculteurs sont hostiles à Israël (l’inverse serait un crime, apparemment) ; ce dont personne évidemment ne sait rien, parce que ce n’est pas le genre de sondage qui se produit par wagons.
On est même à peu près sûrs que c’est faux : je doute fort que les propriétaires de Château Mouton-Rothschild soient des « antisionistes » forcenés…
Mais l’antisémite n’en a cure : il vit de fantasmes et de clichés. La réalité lui importe peu.
@ Hermann Kerhorst (13:24)
Ressasser en play-back les rodomontades d’un Marchenoir qui raisonne comme un code-barres n’est pas très glorieux ! Avec lui tout est numérisé, tamponné, catalogué, sectorisé, ostracisé. Impossible d’échapper à ses classifications étriquées de petit rond-de-cuir hargneux !
A titre de comparaison, comme s’il suffisait de connaître le solfège pour jouer d’un instrument. Alors que l’inverse est tout à fait possible et se rencontre parfois parmi de grands virtuoses. Eh bien l’intelligence c’est pareil, comme une musique intérieure qui ne se mesure pas, ne s’emprisonne pas.
Mais allez expliquer cela à des Gobineau en herbe qui se prennent pour le nombril du monde et ne s’abreuvent que de fiel !
« Il vit de fantasmes et de clichés. La réalité lui importe peu. »
Rédigé par : Robert Marchenoir | 25 février 2019 à 22:34
Alors là je dis bravo ! C’est tout à fait vous !
@ Mary Preud’homme | 26 février 2019 à 00:06
C’est bien ce que je pensais. En fait, vous êtes bête à manger du foin, d’où votre aversion pour ces histoires de QI.
Vous savez faire des phrases… et puis c’est tout.
Enfin, c’est tout… non, en fait, vous savez aussi jouer de la musique. Du moins c’est ce que vous prétendez.
@ Franck Boizard | 24 février 2019 à 20:30
Le hasard ferait-il bien les choses mon ami ?!
Que nous a fait Arte la chaîne germano-française, ben un documentaire sur la peur, sur la phobie ?! Imaginez les gens qui ont peur d’avoir peur : phobophobie.
Quand la peur rend malade – Anatomie d’une émotion
Disponible jusqu’au 23 mai 2019 : https://frama.link/nsAeG8Ng
Et avec Captvty vous pouvez l’enregistrer sur votre ordinateur pour la conserver.
https://captvty.fr
Donc judéophobie, christianophobie, musulmanophobie, xénophobie, agoraphobie, claustrophobie sont bien des pathologies et non des délits.
Doit-on envoyer en prison les gens qui ont peur de prendre l’avion ?
Avec une bonne loi la peur va s’arrêter ?!
Judéohaineux, judéocide, c’est plus porteur de sens.
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@ Herman kerhost | 25 février 2019 à 13:24
« Le QI des noirs était de 30% (en vérité c’est moins que ça, même si pour certains cela est vrai) inférieur à celui des blancs […] ce sont des études, qui ont été menées sur de longues périodes, par des scientifiques très sérieux. »
Faux et mensonger !
Comme si vous les aviez lues !
Où sont ses études ?
Moi, j’ai une étude qui dit que vous êtes 73% plus pédophile que le père Preynat !
Vous êtes touchant, Noblejoué, à déployer tant de sophismes pour tenter de plier la réalité à la tyrannie de votre désir, le moindre n’étant pas de penser que celui qui ose vous contredire souhaite votre mort.
Ce n’est pas le cas, quant à moi, ce qui ne signifie pas que je sois d’accord avec vous, car le refus transhumaniste du corps mortel, au-delà du fait qu’il ne résoudra jamais le mystère essentiel, le sens de la vie, m’apparaît comme la fin de l’humain.
A l’aide de Proust, j’avais déjà tenté de vous sensibiliser au fait que la vie en elle-même offre à l’homme, grâce à sa capacité de mémoire, la sensation de l’éternité et la possibilité d’échapper au temps :
« Mais qu’un bruit déjà entendu, qu’une odeur respirée jadis, le soient de nouveau, à la fois dans le présent et dans le passé, réels sans être actuels, idéaux sans être abstraits, aussitôt l’essence permanente et habituellement cachée des choses se trouve libérée et notre vrai moi qui, parfois depuis longtemps, semblait mort, mais ne l’était pas autrement, s’éveille, s’anime en recevant la céleste nourriture qui lui est apportée. Une minute affranchie de l’ordre du temps a recréé en nous pour la sentir l’homme affranchi de l’ordre du temps. Et celui-là on comprend qu’il soit confiant dans sa joie, même si le simple goût d’une madeleine ne semble pas contenir logiquement les raisons de cette joie, on comprend que le mot de « mort » n’ait pas de sens pour lui ; situé hors du temps, que pourrait-il craindre de l’avenir ? »
N’est-ce pas là, plus que la compensation de nos souffrances, mais véritable sens donné à la vie humaine de s’éveiller et de s’apercevoir, de dégager les lois de la réalité qu’ils nous est donné de savoir observer ? Puis, par la capacité de transmission de la mémoire partagée, si nous savons résoudre nos rivalités, de participer à l’éternité de la vie ?
Cela me semble don mirifique, et profonde absurdité que vous croyiez que la tentative de partager cela avec vous vous semble négation de vous-même, témoignage de l’enfermement en vous-même que vos théories fallacieuses entraînent, vous construisant tout seul cet enfer qui ne sait, pour le supporter, que prônez les accoutumances dangereuses des paradis artificiels.
Il n’y a là aucun jugement, et aucune injonction religieuse, ne me ramenez pas, je vous en prie, les éternelles fautes des institutions que je ne défends pas, mais désir réel, Girard ne peut prendre son sens que dans ce cadre mettant en perspective l’art et le religieux, désir réel, disais-je, de se donner le moyen de ne pas être victime de son hégémonie, moyen qui n’est autre que le partage de la relation apaisée que nous saurions entretenir.
@ Robert Marchenoir
En réalité, en 2018 il y avait 854 000 agriculteurs de profession (chefs d’exploitation, conjoints collaborateurs et salariés), le chiffre de 453 000 correspond au nombre d’exploitations agricoles. Pour cerner réellement le monde agricole il faut évidemment rajouter les agriculteurs retraités, les enfants scolarisés, les services générés par l’agriculture exclusivement, etc. On doit finalement largement dépasser le million.
Votre comparaison, originale pour le coup, est bancale quant aux chiffres.
« L’instinct dicte le devoir et l’intelligence fournit des prétextes pour l’éluder » (Marcel Proust)
Réduire l’humain à sa seule intelligence revient à le désincarner, et donc désirer sa fin, cela ne signifie pas qu’il faille exclure la capacité cognitive, mais l’inscrire dans le mouvement du cœur.
Bien à vous, chère Mary.
Nous n’abdiquerons jamais, les antisémites comme les racistes sont des terroristes :
https://www.dailymotion.com/video/x72by5w
@ Aliocha
« N’est-ce pas là, plus que la compensation de nos souffrances, mais véritable sens donné à la vie humaine de s’éveiller et de s’apercevoir, de dégager les lois de la réalité qu’ils nous est donné de savoir observer ? »
Non. C’est à mon avis prendre cela pour une compensation qui peut se comprendre comme un sophisme si je comprends bien le désir de se consoler.
De toute manière le mot « compensation » dit qu’un tort a été fait.
Si je violais quelqu’un et lui jetait quelque argent ce serait une compensation, mais comme la personne n’a rien choisi, on peut douter que cela suffise jamais.
Car nous n’avons jamais rien choisi.
Faire comme si nous étions libres quand nous subissons et la vie et la mort, éventuellement avec l’idée de nous juger plus tard est inacceptable.
Je sais bien que les gens sont si malheureux qu’ils se satisfont de n’importe quoi, et je ne leur jette pas la pierre, la détresse est la détresse.
Mais si j’aime et que la personne aimée est morte, ce n’est pas de me la rappeler au détour de ceci ou de cela qui me consolera de sa perte.
Un instant, ce n’est rien, je ne suis pas fétichiste ; c’est la personne elle-même, et non son souvenir ou des objets à elle que j’aime.
Et de moi je veux être souverain, ne pas subir ce que je ne veux pas subir de la vie, donc avoir courage, technique et objet pour me tuer en cas de besoin.
Je ne veux pas non plus subir de mort indésirée si la vie me convient.
Je vois les choses comme elles sont : nous subissons tout. Poétiser est agréable un moment, mais cela ne doit pas aller jusqu’à sombrer dans l’illusion, un souvenir, c’est comme voire mieux que la chose même.
Ou encore, l’idée étrange que nous allons vivre après la mort sera une compensation à la mort.
Pardon de ne pas quitter la proie pour l’ombre : je crois ce que je vois : souffrance et mort.
Le reste n’est jamais que de la foi, soi pour moi, on ne va pas prendre de gants après des accusations de sophisme, de la mauvaise foi.
Vous avez évidemment négligé le problème de l’enfer, la vie future encore moins ragoûtante que la présente pour un créateur aussi sadique que ses dévots si toutefois il est tout-puissant et abominable comme le disent les théologiens et l’espèrent les gens trop lâches pour s’en prendre à ceux qu’ils n’aiment pas tout en espérant qu’ils souffriront bien plus que ce qu’ils pourraient jamais leur faire.
Non, les religions, tout comme notre sort, tout est terriblement injuste, et il me semble vraiment sophistique de faire croire le contraire au prétexte de quelques moments heureux. Ils sont au contraire l’élan qui permet à certains de tirer le monde de l’ornière.
@ Mary Preud’homme
« Réduire l’humain à sa seule intelligence revient à le désincarner, et donc désirer sa fin, cela ne signifie pas qu’il faille exclure la capacité cognitive, mais l’inscrire dans le mouvement du cœur. »
Vouloir que les gens soient plus intelligents ne veut pas dire abolir leur cœur, bien au contraire, et puisqu’on parle de sentiment, comment peut-on en avoir et vouloir la souffrance et la mort de ceux que l’on aime ?
Cette vie est la nôtre ; un sort moins affreux ne nous déchoirait pas de tout ce qu’on nomme les humanités, que les moins malheureux ont déjà plus le loisir de cultiver que les autres, ou l’attachement aux autres, bien au contraire… Loin des douleurs et de la lutte pour la survie, de la mort, loin de voir ses proches comme ceux auxquels on sera bientôt arraché, on les verrait avec le bonheur sans mélange d’une éternelle harmonie.
La vie serait ce que les poètes n’ont jamais pu qu’entrevoir dans leurs moments les plus heureux.
La vie ne serait plus une cascade de deuils mais une aube partagée avec ceux qu’on aime et un monde aimé, un monde où chacun sans plus être dévoré par le temps et l’envie des êtres transitoires et souffrants se raccrochant à n’importe quoi pour survivre et oublier ses douleurs et la fosse, en viendrait à être aimé de tous et à aimer tous les êtres, cela sans désir de récompense ou peur de châtiment, toutes choses se faisant comme elle doivent l’être par une harmonie de chacun avec tous et avec soi.
https://www.youtube.com/watch?v=6zkL91LzCMc&list=PLQTAXw5ECeFIqAAzys4D3Uu51GBgOifDe
« Il paraît que vous êtes devenu raciste mon père » – Petit épisode d’une série loufoque des années 90 de la BBC appelée « Father Ted ».
Cela se passe sur Craggy Island, une petite île irlandaise. Le père Ted imite un Chinois en se mettant un abat-jour sur la tête, devant le père Dougal (gentil mais simplet). Il s’aperçoit soudain que trois Chinois le regardent par la fenêtre. « C’est la famille Y » le renseigne le père Dougal, « ils habitent la Chinatown de l’île ». « Si j’avais su ! » se lamente le père Ted, effaré. Inquiet à l’idée d’être pris pour un raciste, il sort précipitamment pour aller s’expliquer. Un fermier qui passe le salue et lui dit « Alors, il paraît que vous êtes devenu raciste mon père ? Tout le monde en parle… ». Le fermier continue avec le plus grand sérieux : « Je voudrais m’y intéresser, mais je n’ai pas le temps, avec le travail de la ferme. Quelle est, mon père, la position officielle de l’Église ? ». Le père Ted n’a pas le temps de répondre, interrompu par l’arrivée bruyante d’une brave dame qui le félicite avec un enthousiasme débordant : « Bravo, bravo, bravo, il était temps que quelqu’un monte au créneau, avec tous ces Grecs qui nous prennent nos femmes et nos jobs ». Le fermier l’interrompt : « Ce n’est pas aux Grecs que le père en veut, c’est après les Chinois qu’il en a ». Le père Ted veut protester qu’il n’en a après personne, mais la dame peste de plus belle contre les Grecs : « Ce sont eux qui ont inventé le gay-isme »…
A mon sens, Noblejoué, il n’y a pas de vie personnelle après la mort, je le regrette comme vous, mais penser après la fin retrouver les gens qu’on aime avec Beethoven et Mozart au piano sont des fables pour endormir les enfants. Par contre, la forme que l’être aimé disparu a laissé en nos êtres peut nous faire chérir la douleur de la perte, la vraie vie éternelle est la mémoire partagée.
Sans doute le terme compensation est-il inapte à décrire ce que je ressens, peut-être que celui de rétribution serait plus juste, permettant de consentir librement au contrat qui nous est proposé, la vie donc la mort, accédant à ce qui est infiniment plus que consolation, mais invitation à participer au festin de l’existence.
Quant à l’enfer, c’est votre choix, car il est ici et maintenant pour ceux qui le choisissent, et non dans une hypothétique vie future, mais bien dans le refus scandalisé de l’invitation à vivre qui nous est proposée.
Vous remarquerez qu’il n’y a aucune dévotion religieuse dans ce que je décris, aucune injonction, mais le témoignage fraternel qu’il est possible de consentir librement à la vie.
@ Herman kerhost | 26 février 2019 à 01:28
Fort heureusement vous relevez le niveau par vos productions toujours si délicates et bien tempérées comme une musique de Bach… Quelle classe !!
@ Aliocha
« …mais le témoignage fraternel qu’il est possible de consentir librement à la vie. »
On pourrait dire « consentir librement à l’esclavage ». Dans la mesure où nous ne décidons de presque rien.
Or plus on plie, moins on est libre… Il n’y a rien de libre à plier. Et je ne sais pas ce qu’il y a de fraternel à ne pas me souhaiter, au mieux, l’immortalité et des capacités augmentées, au pire, à me tuer pour éviter pire que la mort.
Pour moi, est fraternel celui qui, comme moi, souhaite à l’autre ce qu’il se souhaite à lui-même sans lui imposer ses vues.
Vous voulez une vie brève et sans suicide si votre vie est traversée de tous les maux possibles dont il ne peut se dépêtrer par le suicide ? Libre à vous. Je vous souhaite ce parcours.
Si quiconque respecte autant ma liberté que moi la sienne, il doit me souhaiter une vie immortelle, où la mort ne soit pas subie, ou à défaut, une vie non subie, savoir l’opportunité de m’en démettre avant que je ne risque de devenir ce que je me refuse à être.
Vos choix sont souverains, Noblejoué, ne les imputez ni à Dieu ni à personne, s’ils ne concernent que vous, ils sont parfaitement respectables, comme l’est le fait que je les regrette, ce qui ne fera jamais de moi votre bourreau ailleurs que dans votre imagination, la démocratie et la liberté devraient savoir supporter la contradiction, à défaut de quoi, les anathèmes des justifications ne démontrent que la faiblesse des convictions.
Je ne comprends strictement rien aux échanges entre Noblejoué et Aliocha. C’est grave docteur ? 🙂
@ Aliocha
« Vos choix sont souverains, Noblejoué, ne les imputez ni à Dieu ni à personne »
Je ne sais pas s’il y a un dieu et je ne cherche pas d’excuse, « imputer », ni me me dis coupable non plus.
Décomposons. On n’est pas coupable de ce qu’on est : déterminé comme on est déterminé à souffrir et à mourir. On n’est pas coupable devant un dieu créateur non plus : s’il nous a fait, il est responsable de nous.
Mais on est responsable devant les autres, qui dans la même situation que soi, n’ont pas à payer les conséquences de ce qui ne relève pas d’eux.
Illustrons : le pire tueur en série américain a dit, et c’est bien vrai, que dieu l’avait créé comme ça. Pas coupable face à Dieu… Intelligent par le mode opératoire et de dire ça, de plus, pas complaisant face au public.
Mais il n’est pas aussi intelligent et sans complaisance que moi, tant s’en faut, on n’a pas à faire passer le mal qu’on peut penser d’un dieu créateur tout-puissant qui nous nuit sur les autres humains, qui n’y sont pour rien. C’est de la complaisance envers soi-même et ignorer la douleur des autres en ne considérant pas la sienne.
J’ouvre une parenthèse : il n’y a rien de surhumain à être tueur en série, qu’on les étudie pour voir si on est libre ou non de brider ses perversions, pour la prévention et autres choses, d’accord.
En faire des héros est stupide. Des criminels qui ne sont pas pincés quand ils n’ont pas de mobile ? Normal, sans lien de causalité, le fil d’Ariane du monde, bon courage… En plus du reste, leur injustice phénoménale, je dis que ces tueurs sont prétentieux pour pas grand-chose, vraiment. Comme les tyrans en politique, qui fascinent aussi comme bijoux visiblement en toc et sans style à proportion de leur vulgarité même.
Bref, je m’en prends aux causes, dieu créateur s’il y en a un et s’il a fait exprès de faire de nous les pauvres pantins que nous sommes, et tous ceux qui nuisent aux autres à un niveau bien moindre, de l’aviné qui bat sa femme à l’ordonnateur de génocide.
Mais tant qu’à savoir si mes choix sont souverains, c’est beaucoup dire… D’abord, me voilà, moi qui n’ai rien fait de mal, forcément, avant de naître, condamné à la souffrance et à la mort sans faute, en somme, prison dans les couloirs de la mort puis les vers.
J’estime que mes choix sont fort limités par un temps limité, pas plus de tant de temps, moins que bien des arbres, à qui je n’en veux pas, précisons, mais dont je dis que s’il était possible de nous conférer leurs gènes de longévité, je ne dirais pas non sous prétexte que mes gènes sont si merveilleux qu’il ne faut rien y toucher.
Non, la vie, l’intelligence, tout ce qui nous permet d’exister, et de comprendre et décider de notre existence, c’est cela qui est merveilleux.
D’autre part, mes choix sont fort limités si je veux mourir pour préserver ma dignité, la meilleure raison d’en finir, étant donné que l’instinct de survie, la peur de la souffrance, le poids de la société, si vous vous ratez, l’entourage peut croire qu’on est contre lui, l’hôpital vous garder, sortir handicapé par méthode insuffisamment efficace… On peut dire que plus accessible, le choix d’en finir avant son horloge biologique plutôt que de prolonger sa vie, est très difficilement accessible.
J’estime que quand on n’a pas le choix de la durée, le reste des choix est fort limité.
De plus, on voit s’effondrer les autres autour de soi comme les rochers sur les routes, deuils toujours dont on ne sait lequel justifierait qu’on en finisse car on n’a plus que les semblants de la vie, cependant, voir plus haut, si on se rate, les choses deviennent encore pires comme il y a différents cercles dans l’enfer.
Ainsi donc notre vie fait de nous des proies du temps, dévorés que nous sommes de l’intérieur comme nous voyons les autres mangés par Chronos.
On me dira que je ne vois que la mort, qui est quand même omniprésente, excusez du peu. Mais avoir des enfants, c’est leur donner la mort en même temps que la vie, tic-tac, tic-tac, leur mort, sans parler de leurs souffrances, est enclenchée.
« …comme l’est le fait que je les regrette, ce qui ne fera jamais de moi votre bourreau ailleurs que dans votre imagination »
Vous me lisez aussi mal que René Girard, je comprends mieux que nous le rendiez si neuneu… Je ne dis pas que vous soyez mon bourreau, que vous me tuez, je dis que vous souhaitez ma mort, comme la mort de tout le monde.
Vous dites qu’on est très bien comme ça, ce qui inclut que ce je dis. Vous essayez de me convaincre de cela. Vous n’êtes pas le lion qui me tuera mais le vautour qui se nourrira de ma mort comme de celle de tout le monde, content que le monde soit ce désastre.
Ceci dit, les gens comme vous font plus que de souhaiter la mort des autres et la leur, mais alors ça les regarde, ils font tout contre les recherches scientifiques qui pourraient nous permettre de nous en dégager.
Si tout le monde avait pris le monde comme il est et prêché la soumission au monde et tout fait contre les recherches, jamais nous n’aurions pu alléger un tant soit peu nos peines et comprendre le monde.
Je ne sais si on parviendra un jour à une vie immortelle et à plus d’intelligence.
Mais j’aurai fait ce que je peux contre le qui perd gagne donc la lucidité, et fait ce que je peux pour rendre à l’avenir ce que j’ai pris au passé : en un mot, tendu à rendre le monde meilleur comme l’ont fait nos ancêtres.
« La démocratie et la liberté devraient savoir supporter la contradiction, à défaut de quoi, les anathèmes des justifications ne démontrent que la faiblesse des convictions. »
J’imagine que me voilà sous le feu de quelque sermon conclusif mais je ne me reconnais pas dans le portrait si j’ai dit, ce que nul ne peut nier, que vous souhaitez ma mort, comme celle de tout le monde, et le dites avec des airs de qui aurait compris la vie.
Mais pour moi, la vie n’est pas relevée de sens par la mort, au contraire, souffrance et mort hypothèquent le sens de la vie.
Dire l’implicite d’un discours n’est pas contre la démocratie, c’est seulement logique.
Ressortir la démocratie quand le sujet est le sens de la vie, me paraît bien rapetisser les enjeux, essentiels, du sens, au niveau de l’organisation politique. D’autres s’obsèdent d’organisation économique.
Bref, sans doute mal à l’aise dans le « pourquoi », on se rabat dans le « comment ».
C’est très faible. Les croyants en général plébiscitent la mort, les sages aussi, enfin pas les Chinois, mais enfin, à quel prix ?
Comme ici, déplacer le sujet, bien souvent… Ou démontrer en quoi le mal, la souffrance, la mort, seraient bien, je veux dire sérieusement, ils disent que si on était immortels, on serait trop nombreux. Les malhonnêtes, quand tant se multiplient comme des lapins !
Ils ne voient pas le mal qui est là car ils y sont habitués, manque de logique, d’empathie, d’imagination, qu’est-ce qui paraît normal et ne l’est pas ? Et ils ne voient pas en quoi le monde pourrait être meilleur, ou alors ils croient par politique et économie, comme si organiser le désastre allait l’empêcher d’en être un.
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@ Achille
Aliocha pense que la souffrance et la mort donnent son prix à une vie qui d’ailleurs n’a pas d’après-vie selon ce qu’il en pense.
Je ne me prononce évidemment pas sur l’après-vie et l’existence de Dieu et le fait de savoir s’il est tout-puissant donc responsable de nos malheurs, ou pas. Et puis, ce n’est pas mon problème.
Pour moi, c’est la souffrance et la mort qui vident notre vie de son sens comme la blessure l’homme de son sang.
Aliocha souhaite la souffrance et la mort aux gens comme à lui-même, et moi d’en réchapper, ou plutôt, que ceux qui veulent souffrir et mourir meurent, et que les autres y réchappent, évidemment, dès que cela sera possible et en faisant tout pour que cela advienne.
Ou plutôt non, je souhaite que la souffrance et la mort aillent à ceux qui y sont attachés, je suis avant tout pour la liberté.
Ce qui explique que si j’appelle de mes vœux plus de vie et plus d’intelligence, je milite aussi pour ôter les obstacles au suicide afin que qui pense vivre pire que la mort en finisse.
Je suis pour la liberté.
Et c’est pourquoi, quand je souhaite quelque chose aux gens, si je sors des sentiers battus pour dire ce que je pense, je souhaite aux gens qu’il leur arrive ce qu’ils désirent. Puisqu’on en est au sujet, je vous le souhaite.
Très instructive. Un peu d’histoire et de culture ne font de mal à personne.
Cette vidéo est un résumé de l’histoire du peuple retraçant les grandes étapes à travers le monde depuis -750 ans avant Jésus-Christ. Trois religions se faisaient la guerre, juifs, musulmans et chrétiens à se partager les régions.
https://www.youtube.com/watch?v=aXvB_SJlsu8
@ Aliocha | 27 février 2019 à 07:35
«…ne les imputez ni à Dieu ni à personne…»
Évitez de parler au nom de Yahvé-Allah !
Vous n’avez aucune ordonnance judiciaire qui atteste qu’il serait un vieux sénile que vous auriez fait mettre sous votre tutelle.
Le bûcher, cela vous parle ?!
Enfin, c’est idiot ce que je vous demande, le Torah-Bible prône le cannibalisme, donc parler de barbecue avec une grenouille de bénitier, c’est comme parler de cocaïne avec Nicolas S.
@ Ellen | 27 février 2019 à 22:22
Dans l’ordre SVP, juifs, chrétiens et musulmans, ces derniers n’étant arrivés que 6 siècles après JC pour s’approprier l’Ancien et le Nouveau Testament desdits juifs et chrétiens et l’accommoder à la sauce bédouine d’un chamelier pédophile !
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@ Elusen | 27 février 2019 à 22:36
Votre Allah accolé à Yavhé dont il a usurpé l’héritage pour s’en faire des colifichets et partir à la conquête du monde judéo-chrétien commence à nous gonfler grave !
De même que vous qui ne cessez de vous en faire le porte-parole zélé et de vanter en bon marchand de tapis, les descendants des pilleurs et voleurs de notre héritage et de nos racines.
Allez ouste !
Quand Marchenoir et Julien W. avaient tenté de faire de moi un tueur de vieux, je les avais décrits comme un taureau furieux coiffé d’un poulpe.
Vous, Noblejoué, qui nous accablez de vos sophismes empilés, on pourrait vous décrire comme le poulpe coiffé par lui-même, sorte de bi-poulpe aveuglé par son propre désir, et qui ne sait parler qu’en termes de souhait, avec donc un impérieux besoin de se créer un ennemi, Dieu, moi ou la crémière, pour faire tenir la construction mentale de justification de son refus de vivre.
Ce neuneu de Girard nous indique précisément quel est le fondement de cet argument, sans bouc émissaire, l’idolâtrie de soi-même s’effondre et a donc un besoin vital de focaliser son hégémonie sur celui, Dieu, moi ou la crémière, qui ose le contredire.
Il en va de la démocratie comme de la vie, elle nécessite un consentement, et ceux qui le refusent sont les complices de leur échec, ne sachant jeter qu’anathèmes et préférer les chimères d’une hypothétique greffe transhumaniste plutôt que de construire une confiance dans la vie qui permet d’envisager de procréer.
Évidemment, celui qui ose contredire ce tyran adolescent se voit affublé des pires maux, le refus des technologies, la procréation comme une condamnation, le souhait de la mort des autres, bref, cet empilement de sophismes qui ne sont que les projections que le désir impose à ceux qui en sont esclaves, et ne savent, ainsi se révélant, envisager l’expérience humaine, non comme la tentative de la nature de savoir s’observer et choisir son chemin, mais comme le besoin de dénigrer l’autre pour justifier son errance égotique et totalitaire: moi, moi, moi, et moimoimoi comme unique argument, et toute opposition n’est que scandaleuse limitation de mon hégémonie illusoire, car, en rivalité avec le créateur, je tente d’imposer par tous les moyens l’expression de ma toute-puissance.
L’humain construit ses représentations mentales autour de l’axe d’une transcendance, on peut observer avec précision chez Noblejoué la dérive du refus de la représenter hors de soi-même, Dieu, et la fatalité qui alors l’entraîne à ses spirales cyclothymiques dont il nous accable, et qui ne trouve d’autre solution que l’idole, en l’autre ou en soi-même, ne sachant alors proposer comme solution que la violence, car il n’a pas d’autre issue, la destruction de l’autre ou de lui-même.
Soyons patients, Mary, Noblejoué comme Elusen sont pris à l’hameçon maïeutique, et leurs provocations ne font que les enferrer un peu plus à chaque agitation, révélant leur erreur fondamentale, leur démontrant que leur refus de la vie est identique au refus de la démocratie, qu’ils n’ont qu’un besoin, qui est d’être reconnu et aimé, et comme Garry Gaspary ils finiront, c’est une espérance, par reconnaître ce fondement que je sens que nous partageons, et qui n’est que l’amour du prochain prôné par notre Rabbi.
@ Noblejoué | 27 février 2019 à 14:07
Quand je vous lis tous les deux, je vois surtout une confrontation entre transhumanisme girardien et spiritualité mystique.
En ce qui me concerne je prends la vie comme elle vient, avec ses joies et ses peines, ses souffrances et ses exaltations.
Vivre une éternité n’a guère de sens car malgré tous les progrès de la science dans le domaine de la longévité de la vie, tout a une fin dans ce monde constitué de matière.
Comme a dit Woody Allen : « L’éternité, c’est long, surtout vers la fin ! »
@ Mary Preud’homme | 27 février 2019 à 23:29

«…nous gonfler grave ! »
Nous reine de France ?!
Tellement ignorante qu’elle ne sait pas que Yahvé c’est un prénom, celui d’un démon d’un volcan et que Allah n’est pas un prénom, mais un mot qui se traduit en français par : Dieu.
En clair, pour la personne limitée intellectuellement, faut dire que vous êtes femme au foyer, votre : Démon du volcan – de bougnoul de Dieu !
Donc, votre Yahvé-Allah l’hypocrite, tout comme ses ouailles, qui interdit la jalousie pour aussitôt dire : je suis un Dieu jaloux.
Et le pire, c’est que c’est tellement vous ça, pratiquant le pardon, la compassion, l’amour de son prochain.
————————————-
@ Aliocha | 28 février 2019 à 09:17
«…qui n’est que l’amour du prochain prôné par notre Rabbi. »
Votre onanisme n’a jamais été l’amour de son prochain, pas plus que la pédophilie que prône votre Yahvé-Allah !
Il n’y a pas de transhumanisme girardien ni de spiritualité mystique, Achille, il n’y a que le christianisme, où le tout homme homme-tout Dieu nous permet de transcrire anthropologiquement, en langage humain, la parole divine :
« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. 38C’est le premier et le plus grand commandement. 39Et voici le second, qui lui est semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 40De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »
https://saintebible.com/lsg/matthew/22.htm
@ Achille | 28 février 2019 à 09:36
Spiritualité mystique ou édulcoration et tambouille ? Je ne vois pas comment on peut dispenser des homélies chrétiennes et balayer dédaigneusement la résurrection (de la chair), sans laquelle il ne reste que des lambeaux de foi. Noblejoué, dans sa révolte, donne plus de consistance à Dieu.
@ Achille
@ Aliocha
J’extrais le plus intéressant et y réponds :
« Il n’y a pas de transhumanisme girardien ni de spiritualité mystique, Achille, il n’y a que le christianisme »
Il y a trois choses : christianisme, théorie girardienne et transhumanime. Ces trois choses peuvent ou non se rencontrer chez la même personne.
Pour ma part, je ne veux pas plus faire de victime qu’être victime de la mort et de la souffrance dont l’ennui fait assurément partie, mais un bon livre, un bon vin ou quoi que ce soit qui en vaille la peine, le chasse.
Je dis à Achille et tous ceux qui craignent l’ennui, apparemment plus que le reste, que je souhaite qu’ils y échappent !
———————————————
@ Lucile
Notre triste sort me révolte, s’il y a un dieu tout-puissant, ce n’est pas mon ami.
Ceci dit, si on veut bien regarder l’Evangile et supposer qu’il dise vrai et que le chrétien doit imiter Jésus, il ressuscite Lazare et il y a l’idée d’une résurrection finale. On ne dit pas de dire aux gens qu’ils doivent souffrir et mourir et ferme ta gue*le, mais qu’il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.
Il faut en déduire qu’il est licite de prolonger la vie, la redonner, la seule chose critiquée implicitement est de ne pas mourir, s’il le faut, pour ses amis ; et il n’est même pas dit que ce soit une absence d’amour mais un amour moins grand que le plus grand.
Ce qui me révolte est :
1- Notre triste sort.
2- S’il y en a un, le responsable de cela – je veux dire un dieu tout-puissant.
(Un dieu moins puissant qui fait ce qu’il peut est :
– soit un irresponsable
– soit le responsable le plus merveilleux qui soit, qui donne même sachant qu’on peut lui en vouloir car notre sort est dur, comme un parent qui n’avorterait pas pensant que le fœtus est un humain de plein droit et qui pense améliorer les choses comme il espère que l’enfant l’aidera aussi, dieu a besoin des hommes, comme on dit.
Comme il s’agit d’un être très supérieur, je penche pour le 2.)
3 Très accessoirement, le n’importe quoi. Le n’importe quoi général et traditionnel de dire dieu tout-puissant mais pas responsable et gentil tout plein avec ce qu’il nous inflige.
Le n’importe quoi sur le dos de René Girard ou l’amour qui sert de cache-misère à l’injustice et à des idées, si on peut appeler ça comme ça.
Les femmes reconnaissent le Christ, alors que le tombeau est vide, en la personne du jardinier : ce que vous ferez aux plus petits, c’est à moi que vous le ferez.
C’est sûr qu’un Dieu tyran a plus de consistance que l’Amour, et la violence que la paix, l’état du monde en témoigne, à l’image du cœur des hommes.
@ Aliocha | 01 mars 2019 à 08:22

Aber das ist ein großes problem.
C’est qu’il a créé l’homme à son image.
Genèse, chapitre 1 :
Miroir, mon bon miroir… mais de qui sommes-nous le reflet ?
Ça, c’est que l’on appelle de la réflexion !
Comme certains cachent l’inconsistance de leurs idées, à supposer qu’ils en aient, sous le nom d’amour ! Par contamination, ils font passer l’amour pour le filandreux de leur discours.
Mais sinon, dieu, gentil ou méchant, unique ou multiple, est, à la base inconsistant, un peu comme les complots auxquels les gens croient à proportion du manque de preuves.
Autre chose, plus nous sommes maltraités par le monde donc par dieu si créateur tout-puissant, plus les gens n’en supportant pas le constat vont dire que cela est mérité ou fait pour le bien des gens ainsi malmenés.
« Tu es méchant et ça me fait plus mal qu’à toi ». J’imagine que l’amour dont on parle à tout propos s’exprime ainsi…
Enfin, tout cela n’a qu’une importance extrêmement limitée, historique, psychologique, casuistique mais non existentielle : nous sommes dans un mouroir et la question est d’en sortir.
Oui, Elusen, le mimétisme, cette faculté d’imitation que nous avons, il s’agit exactement, si on consent à la vie, de ne pas se tromper de modèle.
Pacte, mon beau pacte, et vous voilà totalitaire.
Pourquoi me persécutes-tu ?
La conversion chrétienne c’est toujours cette question posée par le Christ lui-même. Du seul fait que nous vivons dans un monde structuré par des processus victimaires (Satan) dont nous profitons tous sans le savoir, nous sommes tous complices de la crucifixion.
La Résurrection fait appréhender à Pierre et à Paul, et derrière eux tous les croyants, que tout enfermement dans la violence sacrée est violence contre le Christ.
L’homme n’est jamais la victime de Dieu, Noblejoué, Dieu est toujours la victime de l’homme.
@ Aliocha | 01 mars 2019 à 15:41
Il ne peut pas y avoir de mimétisme, c’est lui qui a créé, pas l’homme qui a copié !
Vous ne maîtrisez que peu de choses, juste un délire de votre foi ouvertement sectaire.
Le diable, le Satan, puisque ce n’est pas un nom, mais bel et bien un mot, qui aurait-il tué ?
Quel génocide serait à son actif ?
Que viol ?
Quelle pédophilie ?
Quel cannibalisme ?
Tout ça est le fait de votre Yahvé-Allah pas du diable, le Satan.
Votre Yahvé-Allah génocide l’humanité, mais c’est lui la victime ?!
Comme les prêtres pédophiles, ils ont été provoqués par les enfants !
Comme les types qui tabassent leurs femmes, ce sont elles qui les ont provoqués !
@ Aliocha
« L’homme n’est jamais la victime de Dieu, Noblejoué, Dieu est toujours la victime de l’homme. »
Si Dieu tout-puissant nous a créés pour SOUFFRIR et MOURIR, il est le bourreau, les humains, les victimes.
Ce qui nous conditionne à être, nous, les humains, bourreaux et victimes les uns des autres.
C’est le point fondamental de la question secondaire, à savoir, théologique. Car la vraie question est bien sûr non de nous complaire dans le soi-disant sens de nos malheurs mais d’en sortir.
Qui refuserait de se faire opérer d’une blessure par entêtement d’en inventer quelque signification ? Par contre, notre faille intérieure, notre effritement, souffrance et mort, on s’y accroche au nom d’histoires bibliques ou autres, quelle pitié !
Le sens au service du non-sens, et pas dans le genre Lewis Carroll, vraiment dommage.
Mais telle est la religion. Bien sûr que l’être humain est victime d’un dieu qui serait son créateur tout-puissant ! C’est celui qui est l’origine d’une chose qui est responsable de la chose, c’est celui qui est tout-puissant, qui ne peut se dédouaner par un je ne peux pas mieux faire.
Après quoi, je dis qu’il n’est pas nécessaire d’en rajouter et de nous nuire les uns aux autres.
Mais un dieu tout-puissant notre créateur qui nous laisse croupir dans nos conditions de vie n’a pas moralement le droit s’il peut évidemment tout se permettre, de nous critiquer pour tout ce que nous faisons.
C’est, mais en combien pire, comme si un magistrat me condamnait, sachant mon innocence, à la prison puis venait me critiquer de la manière dont j’ai pu, ensuite, m’y comporter.
Deux possibilités s’offrent à moi, dire amen par peur, soumission, bassesse, ou imaginons que je manque d’hypocrisie ou décider de ne jamais céder sur mes droits pour ne pas porter atteinte à ma dignité, ou dire que tout ce que j’ai pu faire de mal est sa faute, et de bien, si jamais j’en ai fait, grâce à moi ; libère-moi car je suis dans mon droit, excuse-toi car tu es dans ton tort.
Non, le magistrat qui aurait, mettons, mis seulement des innocents en prison et y viendrait sans qu’on le reconnaisse, prisonnier parmi les prisonniers, et finirait mal, serait victime, mais combien moins que ses victimes !
Car qui a injustement traité les prisonniers dans ma parabole, parlons religieux aux religieux, qui a choisi sa vie, venir en prison quand les prisonniers innocents n’ont jamais fait que subir ?
Si coupables que puissent être les humains, ils sont innocents, car crées par la nature ou un dieu, ils sont une conséquence, non une cause, des victimes de la vie avant de l’être des autres.
Un Dieu créateur tout-puissant est le contraire.
Evidemment, il se peut qu’un dieu ne soit pas très puissant, ou qu’il y en ait plusieurs.
Auquel cas, les causes ne sont pas plus coupables que les conséquences.
Mais ce qui compte, c’est, quelles que soient les raisons pour lesquelles nous sommes accablés de mille maux, nous guérir.
En cas d’épidémie, d’incendie ou autre, on cherche moins la cause du désastre qu’à le réparer.
Ainsi faut-il faire.
Commençons par préciser que mon commentaire précédent est, à part ce (Satan) clin d’œil à Elusen qui suffira à répondre à la répétition de son opprobre, et votre pseudonyme bien sûr, Noblejoué, du Girard dans le texte, un extrait du triomphe de la croix, dernier chapitre de « Je vois Satan tomber comme l’éclair ».
Ceci pour souligner que, comme avec moi, de Girard vous éludez ce qui ne vous arrange pas.
En refusant, par désir de pouvoir, le don de la vie, vous avez besoin de désigner Dieu comme coupable pour justifier votre refus, et refusez ainsi la rétribution d’adhérer à l’expression de son sens, imitant alors, et sans le savoir, le prince de ce monde.
Ce n’est pas votre refus qui est contaminé, car il est légitime, mais sa justification.
Aussi, vous dit le Fils : pourquoi me persécutes-tu ?
Vous avez aussi la possibilité de l’imiter Lui, et de vous attabler sans faire d’histoire à la table du festin de la vie, comme vous avez la possibilité de refuser cette invitation, c’est sophisme d’accuser celui qui invite d’être responsable de ce refus qui ne concerne que vous.
@ Aliocha
« En refusant, par désir de pouvoir, le don de la vie »
Un don émaillé de souffrance que l’autre reprend, quel beau cadeau ! Désir de pouvoir ? Tout ce qui est vivant fuit la souffrance et la mort, tout ce qui est digne ne veut pas être un pantin.
Dieu, Satan, tout cela ne vous réussit guère… Si les histoires, Ancien et Nouveau Testament, tragédies, Proust et compagnie, aident à voir le désir mimétique, par contre, elles aveuglent sur d’autres points.
Ce n’est pas parce qu’on prétend qu’il y a un dieu bon et tout-puissant que c’est vrai et que ce n’est pas contradictoire : soit Dieu est bon, soit tout-puissant.
Nous souffrons et nous mourrons.
Le reste n’est que mythologie.
Tristes, les nihilistes matérialistes voulant tuer la mort, éliminent la vie.
Triste de la mort, joyeux de la vie,
Triste de la souffrance, heureux de la gaieté,
« J’avance de l’ombre à la clarté »,
Le quêteur d’immortalité le dit,
Le vit,
De l’hiver à l’été, un pied dans la mort,
L’autre dans l’immortalité.
Que n’aura-t-il fallu pour que vous concédiez être accessible à la joie, Noblejoué, celle qui rend la vie possible :
« Ô la joie d’être pleinement aimé ! Ô le désir de s’ouvrir par le milieu comme un livre ! »
« Ah, je suis fait, je suis fait pour la joie, Comme l’abeille ivre comme une balle sale dans le cornet de la fleur fécondée ! »
Partage de Midi –
Paul Claudel
@ Aliocha
Je suis depuis toujours accessible à la joie et à la peine et vous n’y êtes pour rien, j’ai une quête et vous ne pouvez rien contre non plus.
Toute personne qui a une quête et non une pose peut être amenée à dire ses difficultés mais cela ne veut pas dire qu’elle ne connaît pas la joie. Toute quête est douleur, et d’autant plus qu’elle est difficile, mais toute quête est aventure et accomplissement de soi et découverte du monde donc joie.
On ne va pas d’un point à l’autre avec vous comme berger, je ne sais pas si vous l’avez remarqué ?
Ici, beaucoup de gens ont une quête, Robert Marchenoir et Elusen que vous pourriez vous passer de tancer, tout comme moi, par exemple, je n’aimerais pas trop les définir à leur place mais le sujet tombe dessus, disons que par-delà leur différences, ils veulent changer l’organisation sociale, ce que je perçois assez car relativement en dehors de ces questions.
Lucile aussi me semble-t-il, de plus elle est la personne apaisante du blog.
Catherine JACOB me paraît plus dans l’éclairage de réalités que je ne dirais pas « cachées depuis la fondation du monde », mais enfin assez singulières.
Quant à moi, je n’ai plus envie d’en parler ; je suis toujours les muses, je ne les force jamais.
A quelques-uns qui s’épanchent vraiment un peu trop, voire avec indécence sur leurs états d’âme, au détriment de la qualité et de l’intérêt de ce blog :
Commencez donc par relire le titre du billet et si possible son contenu avant de déverser sans pudeur et à jets continus votre spleen et mal de vivre dans un virtuel ou un imaginaire qui ne mènent nulle part !
Jamais je ne tance, Noblejoué, je témoigne et me fait insulter, aussi comme je peux, je réponds.
Je comprends qu’être mis face à ses contradictions puisse être déplaisant, mais quand cela permet de rétablir certaines vérités, notamment girardiennes comme j’ai pu ici le prouver, c’est une nécessité.
Je vous remercie de me permettre d’affûter mes arguments, aujourd’hui confirmant l’adage, à neuneu, neuneu et demi.
Soyez donc dans la joie, mon ami, vous finirez bien par consentir à la vie, cela vous permettrait de supporter la démocratie.
@ Aliocha | 02 mars 2019 à 12:49
Quand on a une dévotion pour un tueur en série et tueur de masse qui prône la pédophilie, l’esclavage, le cannibalisme, il faut éviter de l’ouvrir pour expliquer la vie, l’humanité, voire la décence !
@ Aliocha
« Soyez donc dans la joie, mon ami, vous finirez bien par consentir à la vie, cela vous permettrait de supporter la démocratie. »
Vous dites n’importe quoi. Votre définition de la vie comme mortelle est tout simplement fausse, du moins par destruction interne, certains vivants sont potentiellement immortels.
D’autre part, en serait-il autrement que rien ne nous interdirait de faire quelque chose d’inédit comme nous n’avons pas attendu de précédent pour nous rendre maître du feu.
Il n’y a aucun rapport entre la question de la mortalité, le lynchage et la démocratie. Ce n’est même pas surréaliste, c’est, si tu n’es pas d’accord pour finir en poussière, tu es pour les lynchages et une dictature.
Or non.
Si j’ai la possibilité d’être ce que je suis, je ne vais pas m’en priver pour donner des gages pour des choses qui n’ont rien à voir.
Si je n’ai aucune possibilité, je ne dirai pas non plus « ces raisins sont trop verts et bons pour des goujats »… La première honnêteté est l’honnêteté intellectuelle.
Que les croyants meurent pour prouver qu’ils ne disent pas croire en une vie future faute de pouvoir vivre aurait peut-être du sens, mais pour moi, mourir n’a de sens que pour échapper à quelque chose qui serait pire que la mort. A vrai dire, je ne mets personne au pied du mur et je suis même bien sympa avec des gens qui ne cessent de tendre à diminuer la liberté des autres, ou comme vous, à tout mélanger pour faire du chantage, renonce à quelque chose qui n’a rien à voir avec quelque chose pour prouver que tu es dans la ligne. Les croyants peuvent considérer que Dieu a fait la vie et les remèdes à la destruction, et qu’ils peuvent en user, surtout les chrétiens avec le précédent de la résurrection de Lazare.
Le coup du chantage est marrant, ça rappelle par exemple les homosexuels sommés d’arrêter leurs pratiques au nom de leur foi… Mais là, c’est pire, il est question de renoncer à vivre, et avec des capacités augmentées, quand médecine et résurrection ne sont pas interdites, au contraire, par l’exemple de Jésus, pour montrer qu’on ne veut pas faire de victimes ou qu’on est démocrate… Il faut être neuneu pour croire que faire passer votre tabou d’une vie meilleure par la confusion avec autre chose peut passer inaperçu, et encore plus neuneu pour le faire par réflexe sans même se rendre compte de ce qu’on fait.
Bien, Mary, c’est vous le chef, chef !
Mais, sauf votre respect, défendre l’Evangile est le meilleur moyen de lutter contre toutes les pestes.
Je compte d’ailleurs à ce sujet, malgré nos différends, sur votre indéfectible soutien et, comme j’ai déjà eu l’honneur de vous le stipuler, serait profondément déçu si ce n’était pas le cas.
La déception néanmoins n’effacera jamais le respect affectueux que votre vaillance m’inspire.
Chantage… D’un bout du doigt, la colonne fondée sur le sophisme s’écroule à grand fracas, et dire que l’éternité, qui ne se ressent que dans l’instant, serait à leur main, laissons-les à leur enfer totalitaire, champagne, maestro, et aux chères « dive assolute » le soin de conclure en beauté :
https://www.youtube.com/watch?v=U2vI6Jjeu8Q
Nous n’abdiquerons jamais.
@ Aliocha | 04 mars 2019 à 17:17
« Nous n’abdiquerons jamais. »
Alors nous vous soumettrons, vous les pédophiles, les cannibales, les génocidaires, les assassins !
Et en nous soumettant, cher Elusen, vous éluderez comme à l’habitude ce qui fit que nous fûmes les pédophiles, les cannibales, les génocidaires, les assassins, et deviendrez alors la nouvelle bourgeoisie pharisienne dominante, pédophile, cannibale, génocidaire et assassine :
« Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. 44Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond; car il est menteur et le père du mensonge. 45Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. 46Qui de vous me convaincra de péché? Si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous pas? 47Celui qui est de Dieu, écoute les paroles de Dieu; vous n’écoutez pas, parce que vous n’êtes pas de Dieu. »
https://saintebible.com/lsg/john/8.htm
Ne jugez pas, pour être libre, Elusen, vous ne serez pas jugé !
@ Aliocha | 06 mars 2019 à 11:48
Sauf si j’étais végétarien, alors en cas ce sont vos pissenlits que je mangerais et personnellement je ne fais point dans la gérontophilie quand bien même il paraîtrait que c’eut été dans les vieux pots que l’on fit les meilleures confitures, moi, je n’y mets jamais les doigts.
En même temps je n’ai rien d’un curé, je sais où je ne dois pas mettre les mains !
« Vous éluderez comme à l’habitude ce qui fit que nous fûmes les pédophiles, les cannibales, les génocidaires, les assassins »
Ben non, je n’élude point votre Torah-Bible et votre Coran, puisque c’est uniquement de là que je sais que vous êtes des génocidaires, cannibales, pédophiles, violeurs et assassins et surtout des handicapés mentaux : Heureux les simples d’esprit le royaume des cieux leur appartient.
Nous en revenons donc au fait que votre Yahvé-Allah interdise la connaissance sous peine de mort !
Ben si, vous éludez, Elusen, et me voilà encore obligé de rappeler à la lassante répétition de vos arguments fallacieux, l’arbre interdit est celui de la connaissance, de quoi, Elusen ?
Du bien et du mal, répétez-le donc, que j’entende, du bien et du mal !
Autant dire qu’il existe une loi, et que tout n’est pas permis, et que si les humains ont perverti cela pour exercer leur vice, cela ne signifie pas que le fondement de la loi n’existe pas, le fait que vous le niiez signifie par contre que vous désirez vous en exonérer pour exercer le vôtre.
C’est tout à fait limpide, et l’étalement de vos complexités ne cachera jamais cette toute simplicité.
@ Aliocha | 07 mars 2019 à 08:51
Ainsi les adeptes de Yahvé-Allah vous seriez les idiots utiles de votre Dieu, point de connaissance vous rendrait heureux et contemplatif de votre déchéance.
En somme vous vous laissez dévorer par la passion de votre Dieu… oh, encore du cannibalisme.
B.A.-BA
Répétez après moi, Elusen, l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Vous n’y arrivez pas ?
Mais si, un simple effort, cela devrait être possible.
Toute la forêt est à la disposition de votre connaissance, un nombre infini d’arbres, pourquoi justement choisir celui qui est interdit ?
Là est votre faiblesse d’esprit, votre infantilisme, choisir justement ce que l’interdit vous désigne, je suis sûr que vous aurez la capacité d’accéder à l’âge adulte, ayez confiance en vous comme je vous fais confiance, et tout se passera bien.
@ Aliocha | 08 mars 2019 à 17:12
Répétez après moi :
– je cesserai de manger des humains
– je cesserai de violer des enfants
– je cesserai les génocides
– je cesserai de croire
Remarquez pendant les Croisades vous avez continué à becqueter des humains en terre sainte ni touche.
Vous en êtes encore aux Croisades, Elusen, ainsi complice de tous les néo-conservatismes, une sorte d’évangéliste pentecôtiste inversé en somme, et chaque provocation vous enferre un peu plus à l’hameçon de la vérité, je vous remercie en ce sens d’être l’instrument de son expression.
J’adore le duo Elusen/Aliocha, ils en sont encore à délirer sur l’Ancien Testament ; deux petits vieux séniles dans un foyer-logement qui attendent la piqûre, c’est terrible ce naufrage en fin de vie.
@ sylvain 17h31
« J’adore le duo Elusen/Aliocha, ils en sont encore à délirer sur l’Ancien Testament ; deux petits vieux séniles dans un foyer-logement qui attendent la piqûre, c’est terrible ce naufrage en fin de vie. »
Pour la piqûre, je sens que vous allez vous dévouer et si vous souhaitez une assistance je serai là !!
@ Aliocha | 09 mars 2019 à 11:06
« néo-conservatismes »
Ça y est, c’est réparti : néo !
Néolithique, néo-dieu, néo-bible, néo-circoncision, néo-calotte…
Chantons ensemble le plaisir du cannibale :
– y a du vin et y a du saucisson…
– Y a même de la vieille carne, du sylvain et du caroff…
On comprend la résistance de certains à l’expression de la vérité :
Tu aimeras ton Sylvain comme toi-même !
@ Aliocha | 10 mars 2019 à 09:59
« Tu aimeras ton Sylvain comme toi-même ! »
Comme toi-même ?!
Cela va vite tourner au massacre si un psychopathe doit aimer les autres comme ils s’aiment !
Un pervers sadique cela laisse songeur s’il doit aimer comme lui-même.
Et alors je ne vous raconte pas celui qui a des tendances suicidaires …
Remarquez un sado-maso il fait la même chose avec les clous que le Jésus sur la croix !
@ sylvain
@ caroff
Un infirmier et un assistant, vous n’y pensez pas, ce sont le SAMU et les urgences de Sainte-Anne au complet qu’il va falloir mobiliser.
Voilà le chignon tenu par une seringue à présent, et Lucile tout échevelée me lit encore…