J’aurais tellement voulu écrire sur Yann Moix mais je me suis retenu. Il y aurait eu trop à dire et d’abord pour ce que je perçois comme un scandaleux « deux poids deux mesures » dans les domaines intellectuel, politique, médiatique et culturel ! Il y a des indulgences et des rigueurs. Je le constate. (Le Monde)
Le thème de mon billet n’est guère moins sulfureux puisqu’il s’agit de la lutte contre l’homophobie dans les stades et des suspensions absurdes que des arbitres ont décidées au cours de ces derniers jours à la suite de propos, de cris et/ ou de banderoles réellement ou prétendument homophobes. Ils ont commencé et cela va continuer de plus belle : par précaution on finira par interdire les rencontres avant qu’elles aient lieu !
Je veux rester sérieux parce que le sujet de fond est grave. A-t-on le droit d’être profondément hostile à l’homophobie et à certaines insultes dérivées tout en contestant la manière de s’en prendre à ce phénomène dans les stades ?
Quelques observations.
Etait-il de la plus extrême urgence pour la ministre des Sports d’ajouter à ses missions fondamentales cette préoccupation durable pour ce qui relève, qu’on le veuille ou non, d’une périphérie et, en plus, composée d’une minorité obtuse et imbécile contre laquelle rien ne pourra jamais rien ?
Etait-il de la plus extrême urgence de se mobiliser à l’encontre d’un univers sportif qui ne relève pas du folklore mais qui a le droit dans tous les cas, avant même l’homophobie et le racisme, de tomber dans des encouragements, des critiques, des exclamations que je n’ai jamais proférés mais qui ne me semblent pas choquants ? Nous ne sommes pas dans un salon de thé urbain et entre l’inadmissible et le velouté il y a de la marge !
Etait-il de la plus extrême urgence de se livrer, pour se donner bonne conscience, à des suspensions laissant la responsabilité aux arbitres qui par contagion vont en faire des tonnes au lieu de la prévoir en amont, de la confier durant le match aux joueurs, enfin en aval aux instances de contrôle et de protection ?
Etait-il impossible de prévoir au début de chaque compétition une annonce publique pour prévenir les risques racistes et homophobes, en avertissant des conséquences et aussi de saisir les banderoles litigieuses ou indélicates à l’entrée des stades ?
Etait-il inconcevable, comme cela s’est produit à plusieurs reprises, de compter sur les joueurs quand des propos ouvertement racistes, odieux leur étaient adressés ? Je me souviens d’une triste période où un joueur noir, manquant une passe ou un but, était traité de singe mais applaudi à tout rompre quand il avait marqué !
Parce que comme toujours une mauvaise méthode de répression va au contraire multiplier les provocations et les transgressions et je gage qu’on aura demain des arrêts encore plus sots que pour des allusions à « la pédale » pour promouvoir un club cycliste.
Je relève également que plusieurs footballeurs, notamment de couleur, n’ont pas pris les derniers événements avec résignation mais en manifestant combien la stupidité méchante de quelques-uns ne devait pas préjudicier à une masse venue applaudir un match avec un comportement et des propos corrects.
Ces considérations ne sont pas centrales par rapport à celle-ci : le 5 septembre, la Ligue nationale de football va organiser une rencontre entre les associations de lutte contre l’homophobie et les associations de supporters. Enfin ! N’aurait-il pas fallu commencer par là au lieu de laisser les polémiques s’envenimer et le football être ciblé comme la malfaisance éthique prioritaire ? « Le casse-tête du football français » n’en aurait pas été un (Le Figaro). Assez français, dans tous les secteurs, que de tenter de faire advenir la solution en conséquence ultime et désespérée de la crise !
Cette manière de prétendre fustiger au nom d’une cause honorable mais qui a d’autres chats à fouetter et à vaincre, autrement graves et parfois tragiques, que ceux qui, dans ce champ somme toute restreint, explosent vulgairement en certaines circonstances. La médiatisation certes les diffuse mais ne va intéresser que les amoureux du football.
Que les associations militant contre tout ce qui se rapporte à un langage insultant se mobilisent à tout-va partout et sans hiérarchiser jamais, je le comprends. Il reste qu’il est totalement contre-productif de leur part de voir de l’homophobie là où elle renvoie, tristement mais seulement, à l’habitude déplorable, et difficile à éradiquer, de propos banalisés par le langage courant.
Je perçois parfaitement que chaque homosexuel peut se sentir offensé – ce qui n’est pas le cas de tous, d’autres discriminations les sollicitent – mais si cette lutte est menée de manière indistincte, non seulement elle échouera mais elle amplifiera le poison.
Parce que le pire est ailleurs, dans les actes, et que sur ce plan capital, on perd la partie. Au risque de choquer, cette lutte contre l’homophobie sportive est à mon sens une diversion parce qu’on fuit le front principal, qu’il est enfoncé par une gangrène active et brutale et qu’il est absurde de ne pas accepter une distinction fondamentale entre les mots et les actes, entre ce qui relève encore d’une liberté d’expression dévoyée dans les stades et de délits ou de crimes dans l’espace social et urbain.
Cette distinction est essentielle et j’ai lu avec plaisir Raoul Vaneigem, situationniste talentueux, revenu médiatiquement, auquel on doit cette analyse décisive, il y a déjà longtemps.
Qu’on ne me dise pas que cette « liberté dévoyée » de quelques-uns – à ne pas négliger mais à traiter autrement – est le socle infime à partir duquel la réalité transgressive va se développer : c’est établir un lien, une cohérence entre des citoyens radicalement différents ici de ceux qui vont frapper, blesser et tuer là.
Qu’on ne vienne pas non plus appréhender cette actualité avec l’humanisme bienséant de l’appel à l’éducation et à l’influence familiale. On ne peut pas se contenter de brasser du long terme et de faire croire qu’un jour l’acceptation de la différence sera tellement évidente, naturelle, intériorisée qu’elle ne se dégradera jamais en homophobie. C’est malheureusement faux, on le sait.
L’investissement contre l’homophobie sportive dans les stades et le football est légitime mais aujourd’hui il constitue une diversion. Il n’a pas à être prioritaire. Quand on perd sur l’essentiel, on dérive sur l’accessoire pour se faire pardonner.
Et le faire oublier.
Nous avons là un autre cas où une minorité impose sa volonté à la majorité, ce qui est devenu la règle en France.
Plus les médias en parlent, plus le phénomène grandira ! Il n’est point besoin d’être neuropsychiatre pour le comprendre !
La seule réponse est l’indifférence et l’ignorance car au bout du compte les imbéciles comprendront enfin qu’ils sont imbéciles.
D’autant plus que dans ce cas les supporters sont parfaitement capables de règler le problème seuls, ils sont là en majorité et ont payé pour suivre un match de foot, rien d’autre. Pénaliser tout le monde en réaction à ce genre d’excès en augmentant le prix des billets et le sort de ces crétins sera rapidement réglé par les vrais supporters.
D’autant plus que nous avons maintenant toutes les caméras de surveillance nécessaires pour les identifier et sanctionner.
On peut aussi argumenter, inversément, que permettre un défilé de Gay Pride sur nos avenues est une insulte à la majorité de résidents hétérosexuels du quartier !
Que laisser les Champs-Elysées se couvrir de drapeaux algériens est une insulte à la majorité des citoyens français ! Etc.
La liberté est à ce prix !
Nous sommes nombreux à souvent avoir écrit ici : quand on est c** on est c**.
Il faut enfin l’accepter, nous avons des c**s en France ! Et comprendre qu’ils sont aussi une minorité !
Il est grand temps de ranger les minorités dans la minorité médiatique et que les médias cessent enfin de leur faire une vaste publicité gratuite tout en nous faisant payer des abonnements TV !
Si les médias ne comprennent pas cela il convient : soit de les compter aussi parmi la dernière minorité que je viens de mentionner, soit de les accuser d’avoir une deuxième intention subliminale, ou leur dire que, comme les footballeurs savent augmenter leur niveau de jeu, les journalistes doivent apprendre à augmenter leur niveau d’intelligence, « en première intention » comme nous répètent les commentateurs des matchs qui eux semblent exclure toute deuxième intention chez les joueurs !
1°- La phobie est un pathologie médicale.
2°- Phobie – François PERRIER docteur en médecine, certificat de psychiatrie, psychanalyse.
3° – Phobia
4° – Anxiety disorder – Social anxiety disorder and specific phobias.
Brian Martis is an assistant professor of psychiatry with the University of Michigan Health System.
N’y a-t-il point un problème à vouloir faire d’une pathologie un délit, voire un crime ?
Va-t-on envoyer en prison les agoraphobes et les claustrophobes ?
N’y a-t-il point une imbécillité extrême à vouloir rendre phobique l’incitation à la haine, l’appel au meurtre, au génocide ?
La légèreté de l’emploi du mot ‘phobie’ intrigue.
Être homophobe signifierait que l’on a une peur irrationnelle d’avoir des rapports sexuels avec une personne semblable ; et non une haine de l’homosexualité.
Intervertir la phobie à la place de la haine, ne serait-il point vouloir minimiser l’affaire ?
Logiquement ne devrions-nous point dire homo-haine, homo-aversion, ou autre radical qui indiquerait la haine ?
De toute manière qu’attendre d’une bande de dégénérés supporters de millionnaires ; de types inutiles qui gagnent leur vie en courant après une baballe à leur mémère ?
Qu’attendre de supporters qui s’entretuent, se battent pour des millionnaires ?
A-t-on vu Zemmour vouloir casser la figure à Morandini parce qu’il supporte Françoise Bettencourt Meyers alors que lui ce serait Bernard Arnault ?
Ils se finiraient tous les deux à coups de barre à mine pour des milliardaires.
Robert Marchenoir et sa cohorte de racistes ce serait pour l’honneur du milliardaire français Mohed Altrad !
▬ « plusieurs footballeurs, notamment de couleur »
Cela sent bon la naphtaline, cette expression !
Parce qu’il y aurait des joueurs sans couleur ?!
Le blanc ne serait point une couleur ?!
Quoiqu’en physique ce soit l’addition de toutes les couleurs, la diffraction de la lumière ; alors que le noir serait l’absence de couleur.
« Je me souviens d’une triste période où un joueur noir, manquant une passe ou un but, était traité de singe mais applaudi à tout rompre quand il avait marqué ! »
Le racisme est un réflexe identitaire plus qu’une doctrine chez beaucoup. Je m’affirme en insultant, mais si un butteur m’affirme je me rallie à son panache blanc.
Outre le racisme, les gens ont différents problèmes :
– Pour le singe, les humains ne descendent pas du singe, mais sont une espèce de singe. D’ici à ce que ce soit intégré…
– Une identité fragile. Avoir besoin d’insulter prouve qu’elle est inquiète, vite, je m’affirme avant d’être infirmé ou d’avoir, de moi-même, une angoisse existentielle liée à mon groupe.
La culture prendra de plus en plus acte de l’Evolution, chacun doit prendre acte de l’identité de tous, d’abord parce que c’est faire preuve de réalisme, de justice, et de capacité à apaiser chacun.
Jamais des gens à l’identité fragilisée ne vont cesser d’être raciste ou homophobes, à savoir, se définir comme supérieur face aux autres. Des gens qui, autrefois, étaient faciles à soumettre, à savoir minoritaires et méprisés.
Il y a, dans le fait qu’on les défende, un scandale pour leur persécuteurs… On croit toujours que ce qui remonte à loin vous appartient, est juste, en un mot : une norme, si possible intangible.
Ce qui rassure pour le rapport de force et l’identité. Mais non… Les identités varient. Les Anciens, Grecs ou Romains, n’auraient jamais défini quelqu’un comme hétérosexuels ou homosexuels, par exemple. Les Romains trouvaient que le citoyen devait être pénétrant et non pénétré, le stigmate n’allait pas au « gay » mais au passif.
Il en est d’ailleurs resté quelque chose. Il faut toujours rabaisser des gens, la roue tourne, reste à savoir qui. Comme nous avons un autre malheur que cela, des traîtres, toujours, autrefois partisans du stalinisme ou du nazisme, aujourd’hui islamistes, il me semble que ce sont eux qu’il faudrait viser… Il y a d’une part des gens méprisables et dangereux pour la société, de l’autre un mépris toujours disponible dans la société, mais ils sont disjoints. On dirait le chaos originel de l’autre, tiens, quand le haut d’un homme et le bas d’un cheval, et tant de variations, se retrouvaient partout. De toute façon, le morale est folle, elle prescrit de pardonner les offenses, sans d’abord dire de ne pas offenser ceux qui ne vous ont rien fait, mais on me dira que ça va sans dire. Eh bien non, tant qu’on ne l’a pas dit, on rabaissait des groupes sans que leurs membres soient pires que d’autres… Jésus, paraît-il, n’a jamais repris de condamnation contre les homosexuels non plus d’ailleurs que l’interdiction de manger ceci ou de s’habiller comme cela, mais c’est à cela que nous en sommes rendus aujourd’hui.
Même avant le racisme, les Noirs étaient mal vus à cause de l’histoire de Noé, alcoolique qui n’avait pas le vin gai. Mais on l’excusera : après un Déluge, qui ne serait aigri ? D’ailleurs le fils moqueur et les frères pas solidaires envers le voyeur, quelle troupe… On ne s’étonnera pas de ce que nous sommes en voyant d’où on vient si on prend le conte au sérieux.
Bref, mais le racisme n’existait pas chez les Grecs et les Romains, et plus longtemps, on ne faisait nulle différence entre ceux qu’on appellerait par la suite les Jaunes et les Blancs.
Les symboles servent, entre autres, à condamner des gens ou des actes qui ne sont pas pires que les autres. Ils préparent le terrain à l’injustice… Les roux en savent encore quelque chose, et les gauchers autrefois. Le feu terrestre, autant dire diabolique, c’est mal, et la gauche, être à la gauche du Seigneur, aussi. Le nom n’est pas la chose, le symbole n’est pas la chose.
Les groupes sont davantage sous l’emprise des symboles que les individus. En groupe, surtout affrontés, tel les supporters, les préjugés agressifs ressortent comme les égouts en pleine lumière.
Éduquer les groupes quand on y parvient déjà mal avec les individus : par quel prodige ? Mais si les joueurs veulent essayer, qui sait ? Comme beaucoup de gens s’identifient aux demi-dieux du ballon, cela pourrait influencer les masses.
On ne peut pas toujours échapper aux « mauvaises fréquentations », en tout cas, si on va au foot, c’est fatal.
Cependant, les vrais responsables sont morts, à savoir les inventeurs des préjugés. Gens à préjugés ou victimes de préjugés, nous sommes leurs victimes… Il faut éviter d’en produire pour le futur, je dirais donc de ne pas inférioriser les clones quand il y en aura. Parce que leur émergence et leur mauvaise acceptation par certains ne me laisse guère de doute.
C’est comme aller dans une location déjà crade et essayer de nettoyer un peu sans resalir encore davantage. Plus intellectuel, certes, mais assez dégoûtant, aussi, dans son genre.
Les chasseurs-cueilleurs salissaient puis allaient ailleurs, les rois dans leurs châteaux et Hokusai aussi, on les comprend. Tant qu’on peut marcher ou changer de maison.
Ce n’est pas le cas de la plupart des sédentaires, tant qu’à laisser une société à préjugé et s’agréger à une meilleure…
Je perçois parfaitement que chaque homosexuel peut se sentir offensé – ce qui n’est pas le cas de tous, d’autres discriminations les sollicitent – mais si cette lutte est menée de manière indistincte, non seulement elle échouera mais elle amplifiera le poison.
« Parce que le pire est ailleurs, dans les actes, et que sur ce plan capital, on perd la partie. Au risque de choquer, cette lutte contre l’homophobie sportive est à mon sens une diversion parce qu’on fuit le front principal, qu’il est enfoncé par une gangrène active et brutale et qu’il est absurde de ne pas accepter une distinction fondamentale entre les mots et les actes, entre ce qui relève encore d’une liberté d’expression dévoyée dans les stades et de délits ou de crimes dans l’espace social et urbain. »
Rendre une société meilleure, ce n’est pas sacrifier une liberté, par exemple d’expression.
Ce n’est pas être incapable de hiérarchiser les problèmes. En effet, les actes tuent plus directement que les mots – si des homosexuels se tuent parce qu’ils en ont marre d’être considérés comme la lie de la terre.
Ceux qui se tuent échappent à un monde mauvais, ceux qui ne le font pas résistent et le rendent donc meilleur, en somme, c’est encore un exemple du fait que la vie de chacun peut, quoi qu’il en soit, aller dans le sens de la liberté, la sienne ou celle des autres.
Il faut être reconnaissant aux ancêtres pour le pain et le vin, l’écriture et les arts, la science et la philosophie.
Et tant d’autres choses ! Mais nous ne sommes pas obligés de ne pas résister à écraser certains frères parce que les ancêtres l’ont fait. N’oublions pas que nos ancêtres ont aboli l’esclavage. Je les en applaudis, et demande à tous les dieux la grâce que nous les imitions.
Il est à noter que les propos des supporters de certains clubs de football étaient surtout de nature raciste et à destination des joueurs de couleur. Ce n’est que récemment qu’ils ont pris une teneur homophobe et donc pas seulement destinés aux seuls joueurs sur le terrain, mais à une communauté tout entière.
La question que l’on peut se poser est d’où provient ce soudain intérêt pour l’homophobie sur les gradins des terrains de football ?
L’imbécillité des supporters n’explique pas tout, même si elle ne saurait être négligée.
Les chaînes d’info continue qui se repaissent en permanence du moindre petit incident pour l’exhiber aux téléspectateurs avec évidemment des invités triés sur le volet pour faire part de leur indignation, n’y sont pas étrangères.
Les réseaux sociaux embrayent aussitôt y ajoutant leur petite dose de fake news. Et bien sûr certains politiques qui ne veulent pas être en reste y rajoutent leur petite leçon de morale.
Bilan des courses, un phénomène au demeurant marginal devient une affaire d’État au point que des ministres se sentent obligés d’intervenir.
Il y a toujours eu des homosexuels dans notre société et ceci depuis des lustres : des rois, des artistes, des écrivains, des politiciens, des scientifiques tout comme de parfaits anonymes.
La nature en a décidé ainsi et dans la mesure où ces gens-là ne causent aucun préjudice à leur entourage, il faut les laisser vivre leur sexualité particulière quand bien même elle peut nous incommoder.
Il est clair que suspendre les matchs pour des propos et des banderoles homophobes est parfaitement inutile, voire contre-productif car cette mesure contribue à inciter les supporters à renchérir, le goût de l’interdit étant le plus fort.
Voir falloir trouver autre chose. Les solutions intelligentes ne manquent pas.
« L’HOMOPHOBIE DANS LES STADES
« C’est un débat, un vrai ! » Maxime Minot, député LR, sur LCI 13 h.
Ma perplexité est multidimensionnelle ! Qu’on m’aide ! » (Nathalie Delachaîssay le 29 août à 14 h 34)
Cher Maître,
Merci de répondre, longuement mais avec retard, à mon appel angoissé !
Si on voulait alimenter l’homophobie dans les stades (et dans le pays tout entier) on ne s’y prendrait pas autrement.
« La Ligue, on t’encule ! » : ce slogan est détestable, détestablement vulgaire, et je peine à l’écrire, mais j’aimerais qu’on m’explique ce qu’il a d’homophobe. « Ligue » n’est pas homophobe, au moins à ma connaissance. Quant à l’action d’« enculer », elle serait plutôt homophile, sauf erreur de ma part.
Qualifier d’homophobe un tel slogan est une provocation grossière. Dont le seul effet ne peut être que la multiplication de slogans semblables.
Pourquoi une telle provocation ?
Je ne vois qu’une raison : se rassurer. Désigner les méchants, n’est-ce pas là une bonne façon, la seule peut-être, de se sentir soi-même bon ?
Cette affaire n’est sans doute qu’une escarmouche dans cette terrible et délétère bataille qui oppose actuellement, de plus en plus durement, en notre drôle d’époque postmoderne, les « élites » et le « peuple ». De bonnes élites, homophiles évidemment, luttant héroïquement contre un méchant peuple, bien sûr majoritairement homophobe.
Mais où tout cela nous mène-t-il ?
À quand un slogan disant « phobiques de l’homophobie, on vous enc*** ! »
Dommage que nous soyons gouvernés par des déprimés maniaco-dépressifs, tous ces chants qu’ils soient racistes ou homophobes égayaient nos week-ends dans toutes les tribunes de France et faisaient partie intégrante du décor et des traditions séculaires sportives, un bon défouloir, de l’humour, de la joie de vivre, avant de réattaquer les semaines de labeur harassantes dès le lundi.
Les joueurs de couleur, il y en avait très peu, étaient affublés de plusieurs pseudos : « Blanchette », Blanche-Neige » ; l’arbitre était prié d’aller se faire enc… » etc.
Tout se passait très bien dans le meilleur des mondes et rebelote le week-end suivant.
Les gares SNCF étaient elles aussi le théâtre des chants des bidasses en folie permissionnaires dans leurs trains bondés : sur l’air de « Il était un petit navire » une chanson qui faisait fureur à l’intention du chef de gare sur le quai :
« Il est cocu le chef de gare
il est cocu le chef de gare
s’il est cocu c’est qu’il l’a bien voulu
s’il est cocu c’est qu’il l’a bien voulu
ohé ohé !
Devant tous les voyageurs sur les quais, le pôv’ cocu de service, rouge de honte, faisait signe à la police militaire, la PM, de venir calmer les soudards.
Cette PM, aux pouvoirs insignifiants, pourrait être considérée comme l’ancêtre de nos polices actuelles des bonnes moeurs : SOS Racisme, SOS homophobie et la pire, la Schiappa d’une efficacité redoutable.
« Quand on perd sur l’essentiel, on dérive sur l’accessoire, pour se faire pardonner ».
C’est la devise de Macron cher P. Bilger !
Pas un mot à retrancher de votre excellent billet. J’ajouterais que quelques « invectives » de supporters ou de spectateurs sont plus dans la « culture » (si je puis dire) de ce sport populaire que dans l’intention d’insulter qui que ce soit.
Dans l’émission de Morandini sur ce sujet, une courageuse jeune femme défendait cette opinion contre un Morandini qui s’étranglait d’horreur et des interlocuteurs excités comme des puces qu’une jeune femme puisse tenir ce raisonnement.
J’ai même cru un instant qu’ils allaient gifler cette courageuse !
LGBT est devenu tout-puissant. Il intrigue et s’impose partout : dans l’entourage de Macron, dans la haute administration, dans les médias, dans les obédiences maçonniques…
D’ailleurs tout ce petit monde s’affiche tranquillement dans la presse, voir le Figaro Magazine TV où Yann Barthès lâche ces phrases: « Je peux comprendre qu’on me reproche un côté bien-pensant. Mais je préfère ça que le contraire ». En d’autres termes « on fait ce qu’on veut et allez vous faire f..tre » !
Souvenez-vous de cet adage : les révolutions sont gagnées par des minorités agissantes et jamais par les majorités silencieuses.
Depuis début juillet, l’Elysée a remis de l’ordre dans les médias. Pas d’états d’âme ! Les médias d’infos seront macroniens ou ne seront pas. Et on ressort les vieux croûtons ou vielles croûtonnes (comme Michèle Cotta, 82 ans), et on recrute de jeunes pétasses tout en cheveux et sans neurones qui sont tellement agressives pour les non-macroniens qu’une promotion leur sera acquise promptement.
Ainsi va le monde cher P. Bilger. Ce que vous présentez dans le monde du foot aujourd’hui, c’est exactement la même chose que dans votre billet précédent : diversion sur violences.
On accrédite l’idée que la violence de la société actuelle viendrait de toutes les couches de la population. C’est faux ! De certaines couches mais il ne faut pas le dire et… de l’immigration: voir le syndrome du couteau à Villeurbanne.
Cordialement.
« Par précaution on finira par interdire les rencontres avant qu’elles aient lieu ! »
Autant interdire l’eau afin qu’il n’y ait pas de noyés. On peut aussi « réfléchir aux moyens d’améliorer notablement les résultats de la formation à la nage dans les écoles primaires » ainsi que l’a formulé E. Philippe.
Metz-PSG, 3’ d’interruption ; Nice-Marseille, 12’ ; Auparavant encore : Nancy
Le stade de foot donne de la visibilité à l’expression de toutes les insatisfactions. Nancy et Metz, sont des aires de difficultés économiques frontalières de pays où le sort des habitants est économiquement plus enviable, et sans doute s’y cherche-t-on quelque part davantage de boucs émissaires qu’ailleurs.
À l’issue du “Clasico” entre le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille le 17 mars 2019, Roxana Maracineanu, la nageuse d’origine roumaine qui a succédé à Laura Flessel à la suite de nombreuses noyades d’enfants en juillet 2018, et qui louait depuis avril 2012, avec son mari, un logement social situé à Clamart dans les Hauts-de-Seine, a déploré les chants homophobes venus du virage des supporters et entend en effet pénaliser les clubs.
Pour le journal allemand Die Tageszeitung “C’est une bonne chose ” indique Courrier international “car de tels commentaires sont quotidiens dans les stades de football”.
Nonobstant, Nathalie Boy de la Tour élue en 2016 présidente de la LFP déclare quant à elle que les chants homophobes font partie du « folklore du football tout en précisant que cela ne veut pas dire qu’ils soient acceptables mais qu’ils font partie de l’expression d’une ferveur populaire qu’il faut prendre comme telle ».
Nathalie Boy de la Tour estime par ailleurs qu’il faut « sensibiliser avant de sanctionner » – Le Parisien du 26/03/2019 – et ça ce n’est pas une mauvaise idée.
Le pays des hooligans a-t-il sur ce dernier point la solution ?
Sur Le Parisien.fr on peut lire en effet :
« La saison dernière, 422 incidents, toutes discriminations confondues, ont été signalés en Angleterre via « Kick-it off ». Ce chiffre est en hausse de plus de 30 % par rapport à l’année d’avant.
La procédure est très simple : en quelques secondes, on peut même ajouter une photo ou un enregistrement sonore pour prouver que telle insulte a bien été proférée. Une fois avertis, des stadiers se rendent sur place et avertissent l’individu en question, voire l’excluent du stade si besoin. « Ça permet souvent de désamorcer la situation.[…] »
Je ne fréquente que les matchs de rugby qui ne donnent jamais lieu à des débordements idiots. Je pense que le football rend idiot ou bien que les idiots rendent le football indéfendable !
Cela étant, jeune adulte, il m’est arrivé d’aller au Parc et j’ai entendu ces fameuses allusions à l’homosexualité:
– de l’arbitre
– des joueurs adverses
– des supporters de l’autre camp
Le tout dans une atmosphère bon enfant. Mais à cette époque, il n’y avait pas quatre chaînes d’informations continues, un secrétariat d’Etat aux bonnes moeurs, à la bonne conduite et à la bienveillance…
Bref l’époque actuelle devient infréquentable : cf le post précédent et admirable de notre hôte sur la violence.
J’ai voulu intervenir mais il ne m’est venu que des réflexions paraphrasant celles de Philippe Bilger. Tout au plus j’ajouterais que, peut-être, le déclenchement du « giletjaunisme » provient de la décision de l’Etat de laisser gagner la partie aux « zadistes » de Notre-Dame-des-Landes.
Les Français ont alors compris que les plus violents pouvaient avoir gain de cause… (J’ajoute que j’étais absolument contre ce nouvel aéroport, mais que je suis respectueux de la légalité des procédures…)
Le peuple, lorsqu’il se sent libre, échappe au politiquement correct.
Le racisme et l’homophobie relèvent de la nature humaine, et ceux qui le nient sont des enc…..
Le nier anime la haine, raciale comme homophobe.
Ceux qui promeuvent une invasion africaine vouée à aboutir à un bain de sang, et l’homosexualité avec des enfants sans père et mère seront un jour considérés comme des criminels contre l’humanité.
Qu’ils craignent pour leur avenir, car ce jour viendra au plus tard dans quelques décennies.
Un petit mot en passant: vous démontrez, cher Monsieur, un sexisme désolant dont je ne peux m’empêcher de vous faire reproche, avec la dernière vigueur.
Vous écrivez, horresco referens: « Je perçois parfaitement que chaque homosexuel peut se sentir offensé ».
Où allons-nous, je vous le demande instamment, où allons-nous ? Percevez-vous l’exclusion ? Entendez-vous la négligente omission ? Il faudrait vous donner 400 lignes d’inclusion pour réparer.
Et ne me parlez pas de genre ni de neutre car, si pour engendrer il faut être deux, etiam in abstracto corporis, la neutralité s’accorde au solipsisme.
Scripta Irrideo sed cogitationem respicio
Concernant Yann Moix, quand bien même son talent serait-il reconnu par le milieu littéraire, je ne suis pas enclin à acheter ses livres, même pas son dernier bouquin « Orléans » qui fait polémique puisqu’il accuse ses parents de l’avoir maltraité, et qui est plutôt bien accueilli par la critique.
Mais ce sont surtout ses propos antisémites écrits quand il était jeune et insouciant qui font le buzz sur les réseaux sociaux. Il a changé affirme-t-il notamment dans l’émission ONPC où il s’est confondu en excuses.
Suite à cette expiation en public il a trouvé un soutien plutôt inattendu en la personne de BHL .
Quand un adversaire s’humilie de la sorte, il est vrai qu’il n’est pas nécessaire d’en rajouter…
Je fais mien le commentaire de Denis Monod-Broca | 01 septembre 2019 à 09:05.
De fait sur quoi semble reposer ce fameux délit d’homophobie dans les stades de football ? Simplement sur l’usage du terme « enc**é » (ou « er ») dans des slogans ou chants de spectateurs soutiens (souteneurs) d’équipes s’opposant à leurs adversaires « sportifs ». On peut chercher la notion de sportivité (en anglais « fairplay ») dans le football qui a une tendance naturelle à charrier la vulgarité de ses affidés. Mais cela dérange nos « élites ». Il me semble que la conséquence logique serait que le président de la République ne vienne plus en tribune du stade de France.
En revanche, ces mêmes élites sont peu regardantes sur le vocabulaire utilisé notamment par les rappeurs : les « Nique Ta Mère » (NTM nom d’un groupe) ou l’usage du verbe anglais fuck, qui n’est jamais que l’équivalent du mot français enc***, n’a pas pour elles la même connotation homophobe ! Et pourtant… Sans doute qu’ici la « mâlitude » se doit d’être conservée, mais interdite aux mâles blancs qui ne sont plus que des « femmes comme les autres ».
Donc il va maintenant falloir judiciariser tout le vocabulaire vulgaire et condamner pénalement tous ceux qui utilisent les mots vulgaires. A commencer par les féministes adeptes du mot « féminicide » qui devraient se souvenir de l’étymologie du mot « c*n » dont l’usage devrait être interdit aux hommes car insultant leur intimité. Et cette insulte lancée à un homme ne peut avoir qu’un caractère homophobe. Là aussi il convient urgemment de lutter contre l’homophobie généralisée !! Et donc de légiférer. De fait cela occupe parfaitement nos députés et ministres qui ne sont plus bons qu’à ce type de législation.
Homophobie, kekseksa ?
Il me paraît manifeste que dans les sports collectifs, l’équipe adverse est une bande de p… Par définition. Ou ai-je raté un truc ?
D’ailleurs, dans le foute féminin, dont nous fûmes récemment régalés, cela devient une vérité littérale. Les intéressées insistant pour nous le faire savoir. Mutatis mutandis, bien entendu.
Bonjour.
N’étant pas spectateur et très rarement téléspectateur de foot, j’aurais du mal à mesurer l’importance de ces manifestations à l’imbécillité crasse – euphémisme – in situ.
A en juger par l’écho médiatique de plus en plus fort qu’elles suscitent, la seule certitude que l’on puisse avoir est celle d’une dégradation croissante de l’image de ce sport, pas seulement en France puisque chants racistes ou actes d’ultraviolence émaillent également les compétitions en Italie, aux Pays-Bas ou dans certains pays d’Europe de l’Est.
Le fait que des ministres aient à réagir semble signifier l’impuissance voire l’amateurisme des instances sportives. Si les propos sont réels, il serait malheureux que la Présidente de la Ligue de football professionnel ait pu formuler que ces chants et banderoles ”font partie du folklore”.
Les politiques et fédérations ont-elles prise sur les hordes imbéciles ? Il est possible d’être sceptique quant au résultat de ces réunions entre supporters et fédération et de l’affichage de bonnes intentions qui suivra.
Les clubs anglais ont réglé le problème d’un hooliganisme extrêmement virulent en agissant principalement sur le prix des billets et sur la répartition des supporters dans le stade.
Donc l’argent a été la clef de la reprise en main des stades. Actuellement, la manne provient des sponsors et annonceurs publicitaires et assure l’essentiel des recettes autorisant les contrats faramineux liés aux droits télé.
A partir de quand se fatigueront-ils d’être associés à une image de plus en plus écornée ?
L’hypothèse que la focalisation actuelle sur les propos révoltants des supporters permettrait d’oblitérer les transgressions hors des stades est tentante mais il en est une autre où tout ce bruit permet aussi de passer sous silence, dans une forme de non-dit craintif, que le pouvoir est ailleurs et que le sport aurait beaucoup à perdre si les généreuses marques se détournaient d’un désordre ambiant et encombrant.
L’épidémie de barbe
Naturellement, les hommes sont barbus. Naturellement, les femmes ne sont pas barbues. J’imagine qu’il y a quelques millions d’années, la barbe était majoritaire. Mes connaissances historiques ne sont pas assez grandes pour dire quand les hommes ont commencé à se raser.
Les tableaux en tout cas nous apprennent que la barbe fut très à la mode à diverses époques de notre histoire. Au XVIe siècle, au XIXe siècle, la barbe fit fureur… En 1968, porter la barbe fut une façon d’exprimer sa révolte contre la société bourgeoise, contre l’ordre établi, la police… Combien de trotskistes, de mao-spontex, de héros des barricades prenaient le soin de se raser chaque matin ?
Ces temps-ci, la barbe redevient à la mode. Des animateurs télé sont barbus, des sportifs sont barbus, des policiers sont barbus, le Premier ministre est barbu, des dirigeants du RN sont barbus, Laurent Wauquiez (dont je vois la photo dans Le Parisien ce dimanche matin) est maintenant barbu…
Je me souviens d’une page de Victor Hugo où il fait l’éloge de la barbe. C’est assez plaisant à lire. Je résume : il conseille la barbe à toux ceux qui ne sont pas contents de leur tête sans barbe. En un sens, il n’a pas tort. Qui n’a pas assez de menton, qui n’a pas assez de ceci ou trop de cela se trouve en quelque sorte masqué, et ses laideurs en sont moins visibles. Soit !
Mais ceux qui ont une tête qui n’a pas besoin d’être masquée sont mieux sans barbe. Tel est mon avis.
Le terme « enculé » doit-il être considéré comme une insulte ? Ceux qui le profèrent ne le font pas dans le but d’être agréables à ceux à qui ils l’adressent, c’est clair. Pour autant ceux qui le reçoivent doivent-ils se considérer comme insultés ? Dès lors que l’on se dit anti-homophobe quel mal y a-t-il à se faire traiter de « PD » ? C’est au plus une erreur, en aucun cas une insulte. La prendre comme telle, c’est entrer dans le jeu de celui qui veut être désagréable et admettre qu’être homosexuel est la pire des infamies.
Mais les choses sont peut-être plus subtiles. Celui qui crie « enculé » vise moins l’homosexuel que le partenaire dit passif dans l’acte sexuel. Le pénétré versus le pénétrant pour parler crûment. Ainsi ce n’est pas l’homosexuel actif qui est méprisé, mais celui qui tient le rôle de la « gonzesse ». Ceci est confirmé par les supporters marseillais lorsque l’OM affronte le PSG et qu’ils entonnent un de leurs chants les plus raffinés : « Paris on t’encule ». En fait cette insulte « enculé » est d’abord misogyne, ce qui évidemment ne l’excuse pas.
Tout ceci ne nous dit pas comment lutter contre l’homophobie et son corollaire la misogynie. Si ce type de supporters de foot étaient accessibles à l’humour, je suggérerais qu’avant chaque match on diffuse cette chanson de Brassens :
http://www.brassens-cahierdechanson.fr/OEUVRES/CHANSONS/enculer.html
Cher Philippe,
Votre site est rassurant.
Il confirme que la con*erie, les propos hâtifs, le salmigondis neuronal, le racisme, l’homophobie (je ne sais plus quel crétin blogueur a suggéré dans l’un de vos précédents billets que si les homos en faisaient moins ils seraient moins sujets à la violence des bas du Front) ne sont pas l’apanage des stades de foot.
Et que dans la bassesse et la réflexion de primate l’intellectuel culturé autoproclamé n’a rien à envier au salaud de pauvre inculte.
C’est beau l’entre-soi. Des claques sur le pif qu’ils méritent vos con…. de blogueurs tant leur propos sont insultants.
C’est dimanche, soyons sérieux et posons-nous les vraies questions :
Un ministre qui est contre les homophobes est-il homophobephobe ?
Pourquoi la loi impose-t-elle la parité partout et pas dans les couples ?
Puisque certains ont fait leur coming out, je voudrais faire mon coming in.
Quand je dis chérie, c’est toujours avec un « e » et comme il est muet je l’accompagne de gestes tendres !
Le piège se referme petit à petit. Sur qui, ça dépend de nous.
Les élites gouvernantes ont pris peur devant la seule chose capable de les menacer, la libre circulation de l’information sur Internet. Susceptible – et plus que capable – de dévoiler leur mensonges, leur incohérences et leur malhonnêteté. Ainsi, pour la réguler et l’endiguer, il fallut inventer des concepts jusque-là inconnus ou utilisés seulement dans des cas extrêmes, tels langage de haine, suprémacisme blanc, racisme, islamophobie, patriarchie, homophobie, et j’en passe. Puis appliquer les pénalités, peu importe le degré individuel de dangerosité car on était dans l’urgence. Le populisme montait, MLP a fait un tiers des votes, il était temps de répliquer et siffler la fin de la recréation. La parole est contenue dorénavant, c’est pour quand le tour de la pensée seule ?
Quelqu’un a-t-il vu ici le film Minority Report ?
Mais comme il aurait sonné faux de ne limiter cette prise de contrôle qu’à Internet la bête à dompter, ils se retrouvent aujourd’hui pris à leur propre piège. Car maintenant, les minorités bien-pensantes, naïves et dans l’illusion que les élites agissent pour le bien de tous, font la course à la délation et réclament des suites. Un homme vous siffle dans la rue, c’est du harcèlement. Il vous sourit au bureau, c’est encore du harcèlement. Vous vient-il l’idée saugrenue de critiquer une personne de couleur, c’est du racisme. A chaud, une insulte vous échappe, c’est de la haine. Au stade, quelques insultes bien fleuries vous échappent, au feu de l’action et pour couvrir en intensité celles du camp adverse, vous êtes homophobe.
Voilà, l’Etat ne sait plus ou tourner sa tête, maintenant il faut tout surveiller, tout contrôler et, si besoin, punir. Dur, dur, de s’occuper des vrais problèmes, en même temps. Le piège se referme, et j’ai comme l’impression que tout le monde y perdra.
Le foot plus grand crachoir à ciel ouvert de la terre, quand on voit l’énergie policière que mobilisent la plupart de ces décérébrés supporteurs il y a de quoi le détester pour le restant de ses jours.
Un des derniers matchs de haut niveau pour lequel je me suis déplacé, est un Bègles/Stade toulousain au Sept-Deniers (Ernest-Wallon), pour une demi-finale (Beauxis qui loupe à la dernière seconde le coup franc de la gagne face aux poteaux à moins de 22m).
Eh bien ? nous avons dû marcher un bon kilomètre à pied, ambiance bon enfant, festive-folklorique, la buvette tout le long du stade sous les tribunes – ouverte avant le coup d’envoi -, pas un seul névrosé éthylique, pas un seul policier visible, des jeunes, les parents, les enfants, un beau soleil et une ambiance sympa, au milieu de Béglais venus se promener, et sans doute goûter à la fameuse saucisse de Toulouse et à ses violettes.
Saleté de foot ! Souvent des images de violences, hooligans et tout ce qui va avec… Et obligation de déplacer des cordons de policiers autour, digne de la plus détestable des dictatures… Aller au foot et vomir.
@ Patrice Charoulet 01 septembre 2019 12:25
« L’épidémie de barbe »
Victor Hugo et sa barbe ont fortement influencé le personnel masculin de l’Education nationale.
Je me souviens que lors de la vague rose des élections législatives de 1981, il se comptabilisait pas moins de 100 députés barbus ; pour la plupart issus de l’Education nationale.
Les futurs dhimmis anticipent ! On peut dire aussi, si on ose: « collabos » !
Cordialement.
Réaction saine et sympathique de ces jeunes supporters. On a criminalisé la liberté de penser que l’homosexualité, eh bien non, ce n’est pas tout à fait ce que la nature a prévu pour assurer le renouvellement des espèces vivantes. Et le « politiquement correct », le terrorisme intellectuel ambiant plutôt, a tétanisé la société pour qu’elle ne puisse plus réagir contre l’imposture consistant à mettre, soi-disant, sur un pied d’égalité l’hétéro et l’homosexualité. La réaction est venue, comme souvent dans un cas pareil, de là où on ne l’attendait pas. Et c’est bien ainsi.
Plus on entendra les cris d’orfraie de la caste politico-médiatico-culturo indignée à bon compte, plus ces jeunes vigoureux vont se faire entendre. Pas fini de rire.
Pas compliqué, Macron a eu peur qu’on s’adresse ainsi à lui.
Demain (sous Macron) on interdira « le zizi » de Pierre Perret.
Dans quelques années (sous Macron président européen) on interdira la Marseillaise.
Dans des décennies on interdira le « Je vous salue Marie ».
Mais toute cette bande, qui interdit tout, dira « Je suis Français ».
Après les brevets de judéophilie prisés de toutes parts et accordés par des journalistes « au-dessus », nous allons avoir les diplômes d’homophilie, décernés par ces mêmes journalistes.
@ Marc GHINSBERG | 01 septembre 2019 à 12:32
« Tout ceci ne nous dit pas comment lutter contre l’homophobie et son corollaire la misogynie. »
Lutter contre l’homophobie… Vous plaisantez j’espère ? Comment allez-vous vous y prendre ? Camp de redressement ? Je ne vois pas, de plus, ce qu’il y aurait de grave à être homophobe. On a bien le droit de penser ce que l’on pense, non ?
Lutter contre les propos homophobes, pourquoi pas, mais contre l’homophobie, ne pensez-vous pas que cela risquerait d’être contre-productif ?
Tout cela est très bien dit dans le billet de Philippe, lorsqu’il parle de liberté d’expression dévoyée. Ce n’est pas parce qu’on pense quelque chose que l’on doit absolument le crier. Ca s’appelle la politesse, et ça marche comme ceci: je déteste ce type mais je ne vais pas le lui dire, je déteste les noirs mais je ne le dis qu’en privé, les pédés sont des enc**és mais je me garde de le dire à la télé. C’est quand même pas compliqué !
Si vous voulez lutter contre l’homophobie, tenez, un exemple de ce qu’il faudrait faire: supprimer la Gay Pride.
Je peux vous garantir que ce type d’événement, célébré par la gauche, est une machine à créer de l’homophobie, en masse.
@ Patrice Charoulet | 01 septembre 2019 à 12:25
« Mais ceux qui ont une tête qui n’a pas besoin d’être masquée sont mieux sans barbe. Tel est mon avis. »
Enfin, le sujet qu’il me tardait de lire !!
Et comme toujours, votre avis est absurde.
Je m’en vais vous dire les raisons qui me permettent d’écrire fermement que vous avez encore tort.
L’éloge de la barbe, l’éloge du poil, de ce qui est capital, de ce qui distingue, de ce qui peut changer la face du monde autant qu’un nez, doit être considéré avec le plus grand sérieux, et vous M. Charoulet vous n’êtes pas sérieux, sans quoi dans votre liste se trouverait Homère, l’otage que vous devez connaître, l’aède dont le chant n’est pas sans force.
Ainsi, le poil vous indispose assez pour nous en faire part, et ceci est bon, car je peux dire que les sujets évoqués ces derniers temps n’ont pas pu me sortir de ma torpeur, tandis que vous m’avez réveillée.
Certaines laideurs par un usage foisonnant de poils, deviennent augustes et s’imposent avec une petite restriction pour Abraham Lincoln, tandis que ZZ Top, alors ??
https://www.youtube.com/watch?v=spJ-nQ1iiH0
@ Xavier NEBOUT | 01 septembre 2019 à 10:45
« Le racisme et l’homophobie relèvent de la nature humaine »
Ainsi la première chose que fait un nourrisson c’est de mettre deux doigts dans le derrière d’un autre nourrisson quand il en croise un.
De volontairement remplir sa couche quand la puéricultrice n’a pas la même couleur de peau que lui.
Mais alors pourquoi, comme vous, il tète n’importe quel sein quand il s’agit de se nourrir ?
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@ Valéry | 01 septembre 2019 à 13:32
« Quelqu’un a-t-il vu ici le film Minority Report ? »
C’est avant tout un livre de Philip K. Dick et si vous aviez de la culture vous le sauriez.
Et un type qui s’appelle Dick ne peut pas être contre l’Homo… erectus.
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@ Gréaudon | 01 septembre 2019 à 14:21
«…ce n’est pas tout à fait ce que la nature a prévu pour assurer le… »
Le type confond sexualité et procréation ?!
Certainement un puceau, surtout que dans le renouvellement des espèces vivantes, il y a des amibes et ce n’est pas un prénom arabe.
@ Gréaudon
« On a criminalisé la liberté de penser que l’homosexualité, eh bien non, ce n’est pas tout à fait ce que la nature a prévu pour assurer le renouvellement des espèces vivantes. »
S’en prendre à la liberté est une erreur.
Croire que la nature « prévoit » quelque chose aussi, elle marche par essais et erreurs, la nature.
Il y a d’autre part bien plus d’homosexualité, et avec des fonctions plus diverses qu’on ne le pensait dans la nature. On apprend des choses sur la question et la manière de mener les recherches au cours du temps, presque de l’histoire des sciences, dans ce livre :
https://www.decitre.fr/livres/animaux-homos-9782226324207.html
Moi je m’élève contre tous ces gens, hommes et femmes, ministres ou Gilets jaunes, qui utilisent le terme « pédé comme un phoque » ; car en réalité ce n’est pas l’animal qui est visé mais le foc, la petite voile triangulaire à l’avant du bateau (à voile et sans moteur), qui le fait avancer par propulsion du vent dans celle-ci, par l’arrière.
Du reste il est aussi dit, pour employer une autre expression marine dévoyée par les terriens, que certains.es seraient « à voile et à vapeur », pour parler des bisexuels, ce qui ne voudrait rien dire évidemment si cette citation mettait en cause ce mammifère carnivore protégé par Brigitte Bardot qui comme son nom ne l’indique pas n’est pas idiote puisqu’elle a su faire très vite la différence entre un foc et un phoque contrairement à d’autres.
Alors maintenant, que certains/certaines aient une définition plus terrienne de la chose ne me choque pas, c’est moins poétique sans doute mais plus… communicatif.
Bien sûr je plaisante mais surtout je pense, comme Denis Monod-Broca (01 septembre 2019 à 09:05), que si on voulait alimenter l’homophobie dans les stades et ailleurs, on ne s’y prendrait pas autrement.
J’imagine que les clubs fourniront dorénavant aux joueurs une cellule psychologique après chaque match afin de canaliser leur stress dû à des chants plus bêtes que méchants de quelques-uns qui participent aussi à leur salaire de pov’ petits bichons trop mal aimés avec, pour certains, plus de 30 millions par an (sans les primes) !
Adéo
@ Patrice Charoulet | 01 septembre 2019 à 12:25
Ne seriez-vous pas un peu pogonophobe ?
La pogonophobie en effet se traduit par une peur irraisonnée des barbes ou de tout poil situé sur le menton et sur les joues. Ce trouble psychologique se révèle par un comportement atypique de la personne qui en souffre face à une barbe.
https://www.youtube.com/watch?v=0rBSz-bE_kM
Un bon moyen de lutter contre l’homophobie ne consisterait-il pas à ce que l’homophobie commence elle-même par s’afficher avec peut-être un peu moins d’insistance et d’éclat ?
Quel média ne braque pas régulièrement ses projecteurs sur cette population, quelle que soit la manière de traiter de ce sujet ?
Existe-t-il une série télévisée dont l’intrigue n’intègre pas dans ses ingrédients, à un moment ou à un autre, l’homosexualité ?
Echappons-nous une seule fois au spectacle dépravant de la Gay Pride que nos médias nous servent avec délectation, comme s’il s’agissait d’un événement exceptionnel, alors qu’ils passent sous silence combien d’autres sujets beaucoup plus importants ?
Quel média ne nous relate pas dans le détail la vie privée, les problèmes sentimentaux, les états d’âme de cette population ?
Dans ma vie professionnelle, j’ai travaillé avec des homosexuels. Leur discrétion a fait qu’ils ont toujours été parfaitement intégrés dans leurs équipes et qu’ils n’ont jamais eu à souffrir de leur situation.
D’autres personnalités, dotée tout de même de notoriété (Jean-Claude Brialy, Catherine Lara par exemple), actant de leurs différences et ne s’en cachant pas mais adoptant eux aussi le comportement de la discrétion, condamnaient d’ailleurs cette mise en lumière qu’ils considéraient comme néfaste et ne pouvant que nuire à la cause de la population homosexuelle.
@ breizmabro | 01 septembre 2019 à 16:47
«…si on voulait alimenter l’homophobie dans les stades et ailleurs, on ne s’y prendrait pas autrement. »
Si on voulait alimenter les changements climatiques sur la planète, et ailleurs, on ne s’y prendrait pas autrement.
En somme, lutter contre le meurtre, c’est l’encourager.
Lutter contre la pédophilie, c’est l’alimenter.
Ouais ben, vous n’êtes pas très gourmet pour manger n’importe quoi vous ?!
Essayez « pédé comme un trois-mâts » cela ira mieux !
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@ Michel Deluré | 01 septembre 2019 à 17:15
« Echappons-nous une seule fois au spectacle dépravant de la Gay Pride…»
Moulin Rouge ?!
Lido ?!
La messe de minuit ?!
Le jour du Seigneur ?!
Les journées mondiales de la jeunesse ?!
Crazy Horse ?!
Miss France ?!
@ Marc GHINSBERG | 01 septembre 2019 à 12:32
Objection Ghinsberg, le rôle de la « gonzesse » n’est pas de se faire sodomiser. D’autant qu’une majorité de femmes de tous âges (65 %) reconnaissent ne jamais avoir consenti à une sexualité anale et que pour celle qui l’ont acceptée (pour complaire aux fantasmes de leur homme et non par désir) ce fut toujours dans la douleur. Sans parler du dégoût et de la honte !
L’Etat s’occupe de tout, surtout de la superficialité. Un moyen bien commode de faire diversion aux réformes polémiques, aux vrais problèmes jamais évoqués ou au traitement de ces mêmes problèmes remis aux calendes grecques parce que trop dérangeants.
Cette affaire de vulgarité dans les stades n’est pas nouvelle et je pense personnellement, pour connaître des fans de foot, que cette insulte n’est pas homophobe… un peu comme celui qui jure « Bon Dieu » par exemple n’est pas obligatoirement athée.
Lors d’un match, il y a un contexte de détestation soft de l’équipe adverse et celui qui n’est jamais allé dans un stade ne peut comprendre l’ambiance communicative des pro et des contre, c’est un jeu, un défouloir. Une fois le match terminé, ceux qui chantaient des vulgarités peuvent être des plus courtois dès qu’ils sont sortis de l’enceinte du stade. De vrais racistes ou homophobes il n’y en a pas plus que dans la vie courante.
Le grand problème c’est qu’aujourd’hui toute parole paraît suspecte de racisme et d’homophobie. Cela occupe le gouvernement qui n’a apparemment pas d’autres sujets de travail pour améliorer la vie des Français.
Pas besoin des stades pour transformer momentanément un individu poli et respectueux d’autrui. Celui-ci peut se transformer en vulgaire personnage et en macho au volant de sa voiture. J’en ai été témoin avec des proches à plusieurs reprises, il suffit d’un refus de priorité ou d’une queue de poisson pour que ce conducteur sorte des noms d’oiseau dont celui qui fait polémique sur les stades, même si le fautif adverse est une femme. Comme quoi tout cela ne signifie pas grand-chose mais soulage visiblement le chauffeur.
Après la chasse aux fake news, le supposé racisme des réseaux sociaux, voilà un autre domaine qui va devenir le sujet phare de Mme Schiappa et de son homologue secrétaire d’Etat à la Santé : les féminicides et surtout la maltraitance des enfants… deux sujets qui vont souvent de pair.
Hier soir, chez ONPC ce ministre inconnu nous en a fait part après l’interview de Yann Moix.
Son livre polémique tombe à pic.
Pour ne parler que de cet aspect du livre, on peut ou non croire ce qui est décrit. S’il dit vrai et que les maltraitances évoquées étaient réelles, cela va au-delà de la simple mais déjà terrible maltraitance, c’était du sadisme de la part de ses parents. Mais je me garderai bien d’accuser ou non l’une ou l’autre des parties.
Par contre j’ai pu constater que le ministère de la Santé, apparemment aussi en manque de sujets d’occupation, va lancer une campagne contre les maltraitances d’enfants.
Si là encore il est normal d’intervenir dans certains cas de réelles maltraitances, ce qui est déjà le cas via les services sociaux, j’ai grand peur qu’on assiste à des débordements et des ingérences liés à l’éducation plus ou moins stricte des familles et que l’Etat dépasse ses prérogatives en intervenant dans la vie privée des gens, comme s’il voulait unifier l’éducation parentale pour que tout le monde se comporte et pense pareil… ou plutôt comme eux. On avait déjà vu une ancienne ministre sous François Hollande dire que les enfants appartenaient à l’Etat.
Leur but inavoué : effacer tout ce qui fait la diversité des personnalités et des lignes de pensée ?
Il me paraît étonnant que ces procureurs favorables à la PMA pour toutes ne s’inquiètent pas des souffrances psychiques et morales futures d’enfants nés sans père.
Le lobby gay est visiblement inattaquable.
Cela va sans dire que la simple gifle ou la fessée (déjà interdite) pourra conduire le parent dévoyé devant les tribunaux.
Quant aux féminicides de plus en plus nombreux, c’est comme les attaques au couteau, ces belles âmes pleurent sur les effets dont elles chérissent les causes.
Ce qui apparaît c’est que pour ne pas incriminer certaines couches sociales, certaines populations, on laisse couler et on empoisonne la vie de tous.
Un monde aseptisé nous attend. Il se prépare. Quel ennui !
Si au cours des matchs de foot féminin on a les mêmes slogans que pour les matchs masculins, que prévoient les bien-pensants comme interprétation ?
Schiappa anticipe-t-elle ces dérives ?
Au festival d’Avignon, il y a quelques années, en 2004, au Cloître des Célestins s’il vous plaît, dialogue alexandrin bien sûr, dans une adaptation contemporaine: Andromak de Luk Perceval. Voici qu’Oreste articule « Pyrrhus, vous êtes un enc… »
Aucun frémissement d’horreur, ce n’était que la ixième provocation d’acteurs en hakama, mais aujourd’hui que ce souvenir remonte, je m’interroge sur la faculté de déduction de nos chevaliers blancs dans leur dernière philipique fustigeante et horrifiée.
A ma connaissance, Pyrrhus n’était pas un enc…, il était plutôt un fameux baroudeur. Donc, Oreste s’avance beaucoup et Pyrrhus ne réagit pas comme à une insulte, seulement une saillie si on peut dire, malvenue, il n’assente pas mais ne bondit pas non plus.
Ergo, traiter quelqu’un d’enc… ne vaut que si celui-ci l’est vraiment mais alors ce n’est plus une insulte, c’est un renseignement ; l’offre de prouver la vérité étant parfaitement recevable.
Qu’en est-il sur un terrain de football ? Si on écarte le côté racaille de ce sport, les salaires ahurissants, l’influence de la finance pour plaire à des journalistes aux aguets, il reste que ces gens-là sont des sportifs dressés à la comédie primaire (au-delà c’est plus compliqué), glissades à genoux, hurlements de joie délirante, embrassades collectives de rigueur, rouspétances programmées, dépits amers et âneries de tout poil, fourniment du spectacle, comme le divertimento d’un opéra bouffe. La bronca fait aussi partie du spectacle.
S’il y a quelqu’un d’enc… c’est le public. Mais ça lui va comme un doigt au c.., pardon, dans un gant.
Tremblez hérauts de la bienséance, porte-drapeaux de l’égalité, du respect, de la courtoisie permanente, agneaux des larmes de crocodile, votre monde devient emm…… ce qui est le propre des en……
En pareille occurrence on devra désormais dire « Oh, le vilain méchant ! »
Je pense que Guiseppe ne pourra qu’être d’accord avec moi:
https://www.youtube.com/watch?v=m33H0YF7dJs
A queste d’ilh de pute ! 🙂
Bonsoir Monsieur Bilger
Pour paraphraser Fernand Naudin, les associations de lutte contre l’homophobie commencent à me les briser menu, de même que toutes les assoces (de nuisibles) de lutte contre telle ou telle déviance de la pensée et qui cherchent à criminaliser n’importe quel propos voire n’importe quelle pensée qui aurait le malheur de leur déplaire.
Hélas, ces assoces ont porte ouverte dans les cabinets ministériels et aussi chez les juges.
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@ Jerome | 01 septembre 2019 à 12:47
Et bien oui : si le lobby LGBTAZERTY ne se comportait pas de façon aussi agressive, avec sa volonté de chasser les pensées incorrectes, d’imposer à autrui toutes ses lubies, et d’aller faire de la propagande dans les collèges pour déstabiliser des gamins en plein développement pubertaire, bref, s’il se comportait de manière normale et décente, il n’y aurait pas cette réaction de rejet non pas vis-à-vis des homosexuels, mais vis-à-vis des activistes de ces assoces.
L’homophobie véritable, c’est-à-dire le rejet des homosexuels, est en France plutôt caractéristique d’une certaine catégorie de population, d’importation récente.
Les Français n’ont cure de la sexualité de leur voisin, tant qu’elle reste dans le domaine privé.
@ petit Elusen 01 septembre 2019 à 17:42
« Essayez pédé comme un trois-mâts » et hissé haut ! 😀
Vous avez des problèmes gastriques petit Elusen, faites attention…
@ Patrice Charoulet | 01 septembre 2019 à 12:25
A quand votre dictionnaire des mots interdits ?
A propos, j’ai lu sur les murs du métro des graffitis (non signés) qui disaient : « toucher le cul d’un PD porte bonheur » et après cela on dira que nous sommes (tous) homophobes. Pourtant les filles touchent bien les pompons rouges des marins et ça leur porte bonheur.
Avez-vous remarqué que Minc en parlant de Pinocchio disait « il est charmant » ?
https://www.francetvinfo.fr/politique/video-quand-alain-minc-conseillait-a-rothschild-d-embaucher-emmanuel-macron_1949309.html
@ stephane | 01 septembre 2019 à 18:09
« bien-pensants »
Vous seriez donc un mal-pensant, fatalement vous vous posez comme étant le contraire.
Et c’est supposé être quoi, d’ailleurs, un mal-pensant ; un individu qui à la manière de Thierry Meyssan pense que la pédophilie, c’est de la sexualité normale au point de promouvoir sa légalisation ?
Faire la promotion du charisme de Ben Laden à la manière de Dieudonné M’Bala M’Bala ?
Affirmer comme Marc-Édouard Nabe que les 11 septembre 2001 aux USA, c’est un coup des extraterrestres ?
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@ Michelle D-LEROY | 01 septembre 2019 à 18:08
▬ « Il me paraît étonnant que ces procureurs favorables à la PMA pour toutes ne s’inquiètent pas des souffrances psychiques et morales futures d’enfants nés sans père. »
Rien que ça ?!
Passer d’injures dans les stades pour beaufs à ça, il ne vous reste plus qu’à parler du couscous boulettes.
▬ « Toutes ne s’inquiètent pas des souffrances psychiques et morales futures d’enfants nés sans père. »
Il y a des millions d’enfants de par le monde qui naissent sans père !
Il y en a même sans mère, voire sans les deux, ils sont même adoptés.
Auriez-vous des preuves d’une souffrance, des études, des enquêtes ?
Confondre la fonction sociale père avec géniteur, pas étonnant que vous nous en parliez sur un fil concernant l’injure dans les stades de beaufs.
Avec un effort, vous allez bien finir par parler de la nouvelle maladie virale chez l’écureuil, parce que tout est lié.
Monsieur Bilger,
Trêve de plaisanterie sur l’homophobie, des nouvelles nous parviennent sur le crime de Villeurbanne.
Source 20 minutes.fr :
Vingt-quatre heures après l’attaque de Villeurbanne au cours de laquelle un jeune homme de 19 ans est décédé et 8 autres personnes ont été blessées, la thèse de l’acte terroriste semble s’éloigner.
La personnalité de l’assaillant intrigue. L’homme, de nationalité afghane, est connu sous deux identités différentes avec trois dates de naissance déclarées. « Il serait âgé de 33, 31 ou 27 ans », indique le procureur de la République, précisant qu’il avait déjà séjourné une première fois en France en 2009.
Sans antécédent judiciaire et « inconnu des services spécialisés au titre de la radicalisation », le suspect, qui bénéficiait d’une carte de séjour temporaire valable jusqu’à janvier 2020 sur le sol français, a « partiellement » reconnu les faits lors de sa première audition. « Il dit ne pas avoir de souvenirs précis sur le déroulement des faits en dehors des premières minutes de son périple meurtrier », expose Nicolas Jacquet.
L’homme, muni de deux couteaux (dont l’un caché sous une voiture) et d’une broche de barbecue, était venu dans un but précis : faire un massacre.
« Il a expliqué avoir entendu dans l’après-midi des voix insulter Dieu et lui donnant l’ordre de tuer »
https://www.20minutes.fr/societe/2594083-20190901-video-attaque-villeurbanne-suspect-declare-avoir-entendu-voix-donnant-ordre-tuer
Crime prémédité puisqu’il avait deux couteaux et une broche de barbecue sur lui, caractérisé puisque ce sont des voix qui lui ont dit de faire cela.
En deux mots : c’est un crime raciste, mais la presse française comme la justice, sur ordre de l’Elysée, ne doivent pas traduire ce fait divers comme un attentat islamique (on ne saura peut-être jamais s’il a été revendiqué et au nom de qui et pourquoi) car déjà on constate que l’Afghan est un déséquilibré (or tous les islamistes ne sont-ils pas des déséquilibrés ?).
Je me demande à quoi sert Macron, pourquoi il est notre Président car il ne fait rien pour notre patrie.
Je regrette un peu le billet sur l’affaire Moix, ou plutôt sur la farce Moix, c’est-à-dire sur la farce du crime d’antisémitisme, crime inexpiable par excellence, sur la farce du pilori médiatique-opération marketing, sur la farce de l’autocritique publique, façon rituel expiatoire ou révolution culturelle, sur la farce de l’absolution bhl-ienne. Quelle tempête microcosmique ! Quel beau billet et quels beaux commentaires cela aurait fait !
Mais non, c’est beaucoup mieux sans.
Ben dites donc les commentaires sont plutôt salés dans ce billet.
Pendant un moment j’ai cru que j’étais sur le blog de Jean-Marie Bigard !
@ hameau dans les nuages | 01 septembre 2019 à 18:34
Grand classique des conteurs locaux, les doryphores (Bordelais) valaient bien ces parigots, bien sûr moqués aussi par les autochtones.
Souvenirs d’une jeunesse quand le Parisien débarquait prendre les eaux dans les stations balnéaires et thermales locales, avec la Palombe bleue (ils se reconnaîtront peut-être).
Je me permets un lien, on ne sait jamais, s’ils nous lisent… Ils arrivaient au terminus chargés de tonnes de bagages, les descendants pourraient penser au volatile qui traverse les Pyrénées.
https://www.lemonde.fr/economie/article/2017/06/30/terminus-pour-la-palombe-bleue-le-train-de-nuit-paris-tarbes-hendaye_5153783_3234.html
Petite anecdote: à l’époque ce tourisme de la capitale permettait à certains d’entre nous de se faire un peu d’argent de poche en allant vendre les journaux de la maison de la presse autour des cafés et autres thermes fréquentés par cette clientèle estivale ; et aussi… mais ceci est une autre histoire.
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@ Marc GHINSBERG | 01 septembre 2019 à 12:32
En plus de banquier je découvre un philosophe, je ne savais pas que la banque et la philo étaient miscibles… Je taquine bien évidemment.
@ Michel Deluré | 01 septembre 2019 à 17:15
@ Michelle D-LEROY | 01 septembre 2019 à 18:08
Vous parlez d’expérience et nous sommes je pense un bon nombre à avoir connu ces situations qui n’avaient rien d’exceptionnel mais demeuraient dans la discrétion de la vie privée.
Mais notre société a changé sous l’effet d’une idéologie visant à détruire tout ce qui pouvait faire société dans « l’ancien monde », celle dont notre président de la République est un fervent soutien.
Dans le magazine Valeurs actuelles de cette semaine, Mathieu Bock-Côté a commis un excellent article sur les origines et les effets attendus ou espérés par ses thuriféraires. Il l’a intitulé : « Grandeurs et misères de la démocratie libérale ». Plutôt que de la paraphraser, un extrait de son document sera la meilleur manière d’exprimer sa pensée:
« Même si la référence peut sembler convenue, il faut encore ici revenir aux années 1960 et à la contre-culture pour retrouver l’origine de cette vague qui semble aujourd’hui engloutir l’ensemble de la civilisation occidentale — c’était peut-être inévitable dans la mesure où toutes les digues anthropologiques qu’elle intégrait se sont effondrées. Par ce processus, la démocratie libérale change de fondements culturels et philosophiques.
La liberté s’est ainsi repensée dans le paradigme de la libération. À travers elle, la tentation utopiste, fondamentalement régressive, qui est celle d’un homme nouveau, enfin délivré de la nature et de l’histoire et s’émancipant de toutes les contraintes existentielles qui, hier encore, le harnachaient, remonte à la surface de la vie sociale. C’est avec l’idée de limite que l’homme occidental veut rompre. Hypnotisé par la promesse à lui-même d’être son propre créateur, il se veut tout-puissant et se laisse séduire par la révolution des technosciences qui lui laisse croire à la possibilité de le délivrer du principe de filiation tout en lui laissant planer la promesse de l’immortalité.
L’idéal d’autonomie se radicalise et la modernité ne parvient plus à contenir sa tentation fondamentaliste — c’est-à-dire qu’elle ne se pense plus en tension avec les permanences humaines, mais cherche à déconstruire et même à annihiler tout ce qui est étranger à sa logique.
Tel est le propre du progressisme. L’homme ne deviendrait libre qu’au terme d’un arrachement complet aux catégories mentales de l’ancien monde, décrété raciste, patriarcal et hétérosexiste. La nature serait une illusion idéologique, et l’histoire, un fardeau dont on pourrait aisément se délivrer en se déchargeant de la vieille idée de tradition. L’homme n’entend plus aménager le monde, non plus que le réformer ou l’amender : il s’en veut désormais le créateur — et même, le démiurge.
Ne devant plus rien à l’histoire et n’étant plus limité par la nature, il entend ainsi le faire surgir du néant.
Pour le dire avec le langage de la sociologie, tout est un construit social. Autrement dit, tout peut être déconstruit et reconstruit. Tous les arrangements sociaux sont arbitraires et peuvent être abolis. C’est sur ce terrain que se déploient les réformes sociétales, au nom de la lutte contre les discriminations.
On rêve ainsi du “nouvel homme nouveau”, l’homme nu, sans préjugés, prêt à reprendre le monde à zéro et poussant jusqu’à son terme son droit à l’autodétermination, au point de se confondre avec un étrange fantasme d’auto-engendrement. »
Il me semble que cette description est fondamentalement exacte.
Cordialement
Chronique d’audience correctionnelle du Tribunal de Pau. Un agriculteur que j’assistais était très en colère (à juste titre, les faits et un jugement du tribunal administratif lui donneront raison) contre un responsable de la DDA (appelée maintenant DDTM) et l’avait traité entre autres amabilités d’enc… au téléphone.
Le procureur, très remonté, lui demande pourquoi il l’a traité ainsi en employant ce terme. Et notre paysan confus de répondre: « cela m’a fait le plus grand bien ». Sourires à la tribune…
Maintenant les temps changent, on n’est jamais trop aidé.
@ Y.S. | 01 septembre 2019 à 19:49
« Je me demande à quoi sert Macron, pourquoi il est notre Président car il ne fait rien pour notre patrie. »
Pourquoi, c’est supposément Emmanuel Macron qui devrait décider si vous êtes un déséquilibré ou non ?!
Bien sûr que c’est une diversion…
Ce pouvoir qui s’exaspère de quelques insultes dans les stades (pédés, enculés etc.), les assimilant à de l’homophobie, scandale suprême pour un gauchiste, s’accommode par ailleurs fort bien des mêmes injures adressées à longueur de temps à nos policiers et gendarmes. Plus ceux de pouffiasses, putes et autres grossièretés adressées aux dames exerçant ces métiers.
Mieux, à ceux et celles qui s’en plaignent et auquel viendrait l’idée saugrenue de porter plainte pour outrage, il est désormais recommandé instamment de s’abstenir, prendre cela pour de la simple provocation, ne pas répliquer et garder son sang-froid en toutes circonstances.
@ Elusen | 01 septembre 2019 à 17:42
Vous répondez à Michel Deluré qui écrivait : « Echappons-nous une seule fois au spectacle dépravant de la Gay Pride…»:
« Moulin Rouge ?!
Lido ?!
La messe de minuit ?!
Le jour du Seigneur ?!
Les journées mondiales de la jeunesse ?!
Crazy Horse ?!
Miss France ?! »
Vous avez vu tout ce monde défiler dans les rues de la capitale comme la Gay Pride ?!
Les filles du Moulin Rouge, du Lido, du Crazy Horse et les candidates de Miss France défilant sur les Champs-Elysées ? M…ince, j’ai loupé cela !
Pire, j’ai payé pour aller les voir !
Je ne parlerai ici que de la sodomie hétéro. On a oublié que pendant les siècles qui ont précédé l’avènement de la pilule, la sodomie était le seul moyen contraceptif efficace. Mais l’Eglise qui dirigeait encore les consciences catholiques y était fermement opposée. Sodomie et onanisme étaient les super-hyper-péchés mortels et occupaient une place considérable dans les nombreux « guides du confesseur » (en partie en latin) chichement édités et interdits au public.
C’était le drame de conscience de beaucoup de couples catho qui étaient réduits à la pratiquer et s’en confesser régulièrement. Les prêtres étaient prévenus et utilisaient toutes les ressources de la langue française pour parler ‘’de la chose’’ et, selon les diocèses, ne lésinaient pas sur les absolutions.
Dans le jargon ecclésiastique on ne disait pas baiser mais se connaître charnellement, mais aussi :
– « le seuil de la très longue peine » mettant en garde le sodomite contre les supplices de l’enfer
– le vase illégitime ou le vase maudit. L’huis noir. Le chenal de Satan. Le couloir de la malédiction. L’entrée des artistes. Pour les lettrés, il y avait aussi « le petit goulot de Ganymède », allusion au rapt mythique par Zeus, du berger Ganymède célèbre pour sa beauté.
– prendre l’itinéraire bis, brancher le circuit auxiliaire. Proust disait ‘’se faire casser le pot’’.
Le vocabulaire sexuel est d’une grande richesse en métaphores diverses.
@ Claude Luçon | 02 septembre 2019 à 01:36
▬ « Vous avez vu tout ce monde défiler dans les rues de la capitale comme la Gay Pride?! »
Les cloches des églises sont subies !
Les processions dans les rues sont subies !
Vous voulez des droits que vous refusez aux autres.
▬ «Echappons-nous une seule fois au spectacle dépravant de la Gay Pride…» selon Michel Deluré.
« Spectacle dépravant », je ne lis point : rue, ni Champs-Élysées !
Mais je lis ça de vous :
Un dépravé en somme qui va reluquer des femmes nues dont le but est de faire gazouiller le piaf d’un prof d’université grâce à son voyeurisme.
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@ Mary Preud’homme | 01 septembre 2019 à 23:52
C’est vrai que dans les stades l’on entend : vaginale, espèce d’hétéro ?!
▬ «…mêmes injures adressées à longueur de temps à nos policiers et gendarmes. »
C’est vrai que dans les stades les injures fusent vers la police et la gendarmerie, voire contre les boulangeries.
▬ « Plus ceux de pouffiasses, putes et autres grossièretés adressées aux dames exerçant ces métiers »
Pouffiasse, c’est un métier ?!
Pute aussi ?! Il y a des formations professionnelles ?! Une carrière ?! Des bourses ?!
Pute et bourses, cela va de pair !
Un délit serait un métier, tel qu’assassin, tueur en série, tueur de masse, islamiste, djihadiste, et surtout traductrice de notice électrique.
« Pourquoi, c’est supposément Emmanuel Macron qui devrait décider si vous êtes un déséquilibré ou non ?! »
Rédigé par : Elusen | 01 septembre 2019 à 23:29
Qu’a-t-il décidé pour vous cher Moloche ? Nous on sait, heureusement que vous êtes adepte des positions à quatre pattes et pas que sur la place Clichy, ça aide pour tenir en équilibre et pour bien d’autres choses ; un dessin ?
MDR ! kss kss nonosse ?
Ce qu’il y a « d’irritant » dans cette histoire de bâton de police qu’on insère négligemment c’est qu’on ne sait jamais si on va faire plaisir ou non !
Ceci est une autre saillie de ce jour à l’intention des dames qui en ont vu des dures… et qui s’en rappellent !
« Assassinat de Villeurbanne »
Pendant tout le week-end, assaut véhément de tous les médias macroniens pour persuader le bon peuple que ce n’était pas du terrorisme mais une forme de paranoïa.
Pourquoi tant d’insistance sinon pour faire diversion !
Nous avons eu droit, presque tout de suite, à de multiples interviews de Français arabes, avec noms bien affichés sur l’écran, alors qu’habituellement les visages sont cachés et pas de noms !
Les médias ont même parlé, en boucle, de « héros » pour les personnes qui auraient désarmé l’assassin. Et je suis bien d’accord pour souligner le courage de ces personnes.
Par contre, et c’est l’objet de mon intervention, pas un mot quasiment, pas une photo, du jeune Français assassiné. Sa photo tourne pourtant en boucle sur les réseaux sociaux: un blanc blondinet avenant ! Mais rien dans les grands médias.
Démonstration, s’il en était besoin, qu’il faut absolument définir, en République macronienne, tout événement de notre société en termes de discrimination positive: effacement de l’homme blanc victime, glorification du héros non blanc.
Le manque d’empathie pour ce jeune Français blanc et sa famille de la part des médias, des journalistes et des politiciens était révoltante et en dit long !
Erreur stupide de la doxa gouvernementale et des élites qui consiste, une fois de plus, à considérer les Français comme des imbéciles. Mais ont-ils vraiment tort ?
Cordialement.
@ Y.S
« …car déjà on constate que l’Afghan est un déséquilibré »
Cette appellation « déséquilibré » ne correspond à rien pour les psychiatres.
Très souvent, les crimes de ce genre, qui pour nous sortent du domaine rationnel, sont attribués à des « déséquilibrés » par la police puis par les médias avant même tout examen médical des mis en cause.
Au fait pourquoi tous les « déséquilibrés » de la Terre semblent-ils s’être donné rendez-vous en France ?
Mais en réalité, pour le monde politique, il s’agit par ce bais du « déséquilibre » d’évacuer les fondements idéologiques réels de ces crimes à répétition ainsi que les motivations de leurs auteurs, qui se considèrent avant tout comme des combattants, car la multiplication de ce genre de faits risque de miner un peu plus la théorie du merveilleux « vivre-ensemble » et faire douter des supposés bienfaits de l’immigration vantés par la propagande, pour les gens qui y croiraient encore.
@ Robert 01/09 21:07
Je relève dans l’article auquel vous faites référence les termes suivants : « …un homme nouveau délivré de la nature et de l’histoire et s’émancipant de toutes les contraintes existentielles… ».
Cette aspiration de l’homme, consistant entre autres à s’affranchir petit à petit des normes et valeurs communes à la société à laquelle il appartient, est aussi utopique que dangereuse.
Elle ne reflète pas la conception que je me fais du progressisme qui ne consiste nullement à bousculer et à remettre en cause tout ce qui constitue les fondements de notre société mais au contraire à transformer celle-ci de façon maîtrisée, réfléchie, dans le respect de sa nature, avec pour objectif premier d’être utile à l’accomplissement de ce pourquoi nous sommes sur terre, à savoir nos vies.
@ Claude Luçon 02/09 01:36
A bien y réfléchir, je préfère encore payer pour assister à un spectacle du Moulin Rouge ou du Crazy Horse plutôt que d’assister même gratuitement à une parade de la Gay Pride !
« Ce pouvoir qui s’exaspère de quelques insultes dans les stades (pédés, enculés etc.), les assimilant à de l’homophobie, scandale suprême pour un gauchiste, s’accommode par ailleurs fort bien des mêmes injures adressées à longueur de temps à nos policiers et gendarmes. Plus ceux de pouffiasses, putes et autres grossièretés adressées aux dames exerçant ces métiers. »
Rédigé par : Mary Preud’homme | 01 septembre 2019 à 23:52
Merci Mary P. de rappeler ces différences d’appréciation, marques d’un manque total de renversement des valeurs.
On crée une atmosphère anti anti-homosexuels pour stigmatiser une population contre une autre. Celui qui ne sera pas pro-GPA sera anti-homosexueĺ ; pourra-t-on encore dire de quelqu’un que c’est un c*n, si ce dernier est homosexuel ?
Ce pouvoir macronien voit des anti-homosexuels partout. Tripoter des noirs luisants devant la caméra est-il un acte homosexuel ? le relever, est-ce être anti-homosexuel ou raciste ?
Bref la propagande antisupporters tend à nous faire comprendre que si on n’est pas dans le camp LGB (les T ne sont pas concernés), c’est qu’on est anti-homosexuel.
Ainsi ces manoeuvres sont comme un tube de vaseline et ont aussi comme but de nous fourguer la GPA sans que ce soit trop douloureux.
@ Mary Preud’homme, 1er septembre 23h52
J’ai été devancé par sbriglia, mais tant pis. Grand merci, chère Mary, de rappeler que les policiers et les gendarmes sont, honteusement, la cible d’insultes.
Ayant fréquenté les prétoires, j’ai certes vu des prévenus à qui l’on reprochait d’avoir insulté des policiers. Par exemple, un samedi soir, après une course-poursuite d’un ivrogne. Et le président ne dit pas au prévenu : « Monsieur, vous avez insulté… », il précise : « Vous avez dit : « Pédé, enc*lé, je nique ta mère, etc. » On ne peut guère parler d’indifférence des parquets, et encore moins des gouvernements successifs. Le prévenu est sanctionné. Ce dont je me réjouis.
Mais quid pour les détestables foules de manifestants, à commencer par les Gilets jaunes ? Il y a eu un million d’insultes en neuf mois. Impunies. Et cela me désole.
Les incendies volontaires, les jets de pavés, les pillages ne m’ont pas réjoui davantage. Que le président français s’appelle Truc ou Machin.
Arrêtons l’hypocrisie, le mot « enculé » doit sortir de sa connotation vulgaire, et passer dans le langage courant.
Pourquoi en effet se faire qualifié d’enc… serait-il une insulte puisque c’est l’acte sexuel par excellence des homosexuels, et que l’homosexualité est normale.
Si être homosexuel est normal, être un enc… est tout aussi normal, et c’est même ce qui fait passer de l’homophilie à l’homosexualité.
On nous dira que l’acte n’est pas ragoûtant, mais alors il faudrait savoir ce que l’on veut. Si ce n’est pas ragoûtant, l’homosexualité non plus, et on vient bien au coeur de problème.
On admet l’homosexualité comme égale à la sexualité naturelle, à condition de ne pas parler d’enc*lés.
Vive Macron !
@ Nathalie Delachaîssay | 02 septembre 2019 à 08:20
« Ceci est une autre saillie de ce jour à l’intention des dames qui en ont vu des dures… et qui s’en rappellent ! »
Monsieur Nathalie Delalalalère, que vous soyez ennuyeux, passe encore… mais vous êtes mou, flasque, éventé, venteux, médiocre, grossier et finalement indigeste MAIS, MAIS vous êtes content de vous !!! C’est cocasse.
Bon, j’ai hésité un long moment, je n’aime pas ces jeux de mots grossiers ou vulgaires et j’aime encore moins la manipulation qui en est faite par la Macronie.
Il est clair qu’il s’agit d’une opération de contrôle de la parole non conforme.
Parce que s’il s’agit vraiment d’interdire le mot enculé des stades, pour des raisons de bienséance, alors pourquoi laisser le mot « enfoiré » être un titre de gloire ou à tout le moins un symbole de ralliement de ceux qui se veulent branchés ou in comme on voudra.
Je rappelle qu’enfoiré est un synonyme d’enculé, et c’est Wiktionnaire qui le dit, voici le lien :
https://fr.wiktionary.org/wiki/enfoir%C3%A9
Ou alors, ce qui est admis dans les télés parce que cela fait vendre de la pub aux opérateurs et à France Télévisions est interdit dans les stades, parce que le public est différent et que ça rapporte moins à l’État et aux amis de la Macronie ?
@ Nathalie Delachaîssay | 02 septembre 2019 à 08:20
ou : l’égrillard incontinent.
HENRI PENA-RUIZ
Il se trouve que j’ai lu plusieurs livres de ce professeur de philosophie enseignant en khâgne.
C’est un des penseurs qui ont expliqué très lumineusement les immenses mérites de la laïcité.
Ce qu’il dit depuis des lustres n’avait pas été lu par les gens qui lui cherchent noise. Ils devraient lire plus.
Je partage complètement l’opinion de ce philosophe français. Nous avons parfaitement le droit, dans notre pays en tout cas, d’aimer ou ne pas aimer telle ou telle religion. Venir parler de « racisme » est hors de saison. Ne pas croire à une religion n’est pas une « phobie ». C’est un droit. On a aussi le droit d’être agnostique ou athée. Dans certains pays, je le rappelle, on peut être tué en ayant fait ce dernier choix. Je n’irai pas dans ces pays-là et resterai en France. On peut y croire à ce que l’on veut, même aux licornes. Ou n’y rien croire. Et on peut le dire.
@ Xavier NEBOUT
« Pourquoi en effet se faire qualifié d’enc… serait-il une insulte puisque c’est l’acte sexuel par excellence des homosexuels, et que l’homosexualité est normale.
Si être homosexuel est normal, être un enc… est tout aussi normal, et c’est même ce qui fait passer de l’homophilie à l’homosexualité. »
C’est une insulte car dit seulement contre une catégorie.
Si on disait, enconnée, pour la femme pénétrée, enconneur, pour la personne la pénétrant, enculeur et enculé, on serait dans la vulgarité, certes, mais tout le monde serait traité de la même manière.
« On nous dira que l’acte n’est pas ragoûtant, mais alors il faudrait savoir ce que l’on veut. Si ce n’est pas ragoûtant, l’homosexualité non plus, et on vient bien au coeur de problème. »
Ce qui est ragoûtant en sexe est lié à la société et à chaque personne. Comme dit Mitsahne | 02 septembre 2019 à 02:11, à un moment les hétérosexuels devaient en passer par la pénétration anale faute d’un autre moyen de contraception, ce qui était diabolisé. Ou le coitus interruptus ou donner le sein longtemps à l’enfant, ou…
De plus, il n’y a pas que l’acte, il y a les personnes et la manière dont il est exécuté.
Comme pour tout, en somme.
Ce billet commence par une allusion à l’affaire Yann Moix. Celui-ci, à ONPC, s’est longuement expliqué. Il a notamment indiqué qu’il avait rompu avec le sulfureux Marc-Édouard Nabe par un SMS ainsi rédigé : « Va te faire enc*** ».
Si j’étais moins paresseux, je ferais une étude sur les rapports entre antisémitisme, homophobie et misogynie.
« Monsieur Nathalie Delalalalère, que vous soyez ennuyeux, passe encore… mais vous êtes mou, flasque, éventé, venteux, médiocre, grossier et finalement indigeste MAIS, MAIS vous êtes content de vous !!! C’est cocasse. »
Rédigé par : duvent | 02 septembre 2019 à 12:10
Chère duvent : il faut, dans la vie comme sur ce blog, de telles quilles indiquant les abysses du naufrage…
Les anciens de ce blog se souviennent que de temps à autres s’introduisent ici, avec leurs semelles crottées et leurs éperons en fer blanc, des commentateurs de peu d’esprit ou d’importunes petites marquises qui parlent, qui parlent jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose à dire : sur cette piètre Nathalie-Zonzon, qui méconnaît de façon grossière et sotte tous les usages, tirons la chasse et renvoyons-là à ses pitoyables remugles.
Si je ne suis pas dans un stade de foot et je dis que l’Afghan (il n’a aucun nom) de Villeurbanne est un vrai enc**lé, suis-je homophobe ?
En même temps cet Afghan sans nom ne devrait pas être condamné pour ses actes puisque, comme l’autre, « il n’avait les codes ». En effet quel est le Français qui agresse ses voisins avec une fourchette à barbecue ? Personne statistiquement (je demande à petit Elusen de vérifier, c’est visiblement son job sur ce blog).
Donc l’Afghan, sans nom et sans âge déterminé, se munit d’une fourchette à barbecue et, par précaution, prend également deux couteaux à découper, au cazou. Pas totalement idiot il sait qu’il en a un de trop car il n’a que deux mains donc il en planque un sous une voiture des fois que le premier resterait planté entre deux côtelettes.
Après « on » nous dit « ouuui mais il avait trop fumé de double zéro libanais ça l’a déstabilisé, c’est une erreur qu’il ne recommencera plus la prochaine fois il se démontera la tête avec de la plante marocaine c’est moins fort ; et circulez ya rien à ajouter à ce que je dis ».
Du coup on comprend que l’Afghan-sans-nom, non seulement n’avait pas les codes pour l’usage des outils typiquement réservés à des barbecues français, mais que, en plus (ou de surcroît…) il était enfumé par du libanais…
Mon sang ne fait qu’un tour (sur lui-même) et je plaide « le pauvre homme madame/monsieur le Président (qui normalement acquiescera de la tête en entendant ma colère), errant de pays en pays sans même connaître sa date de naissance puisqu’il n’a ni papa et ni maman, genre GPA, ayant comme seules amies des voix pour l’encourager. Comme Jeanne d’Arc, madame/ monsieur le président ».
Après cette magnifique plaidoirie l’Afghan devrait retrouver une liberté méritée, sous la surveillance d’animateurs socio-culturels qui lui apprendront les bons usages des outils nécessaires à la réalisation d’un parfait barbecue français.
En même temps, à mes consoeurs/confrères en plaidoiries vaseuses, je dirai, en aparté, « mon client c’est quand même un bel enc**lé », mais ouf je ne serai pas dans un stade de foot.
@ sylvain | 02 septembre 2019 à 08:11
« Qu’a-t-il décidé pour vous cher Moloche ? Nous on sait, heureusement que vous êtes adepte des positions à quatre pattes et pas que sur la place Clichy, ça aide pour tenir en équilibre et pour bien d’autres choses ; un dessin ?
MDR ! kss kss nonosse ? »
Ce sylvain, c’est de la haute voltige de bas étage !
Il est à ce point bip ! bip ! bip, que lui répondre c’est se dégrader, mais enfin, par jeu et par ennui, on arrive quelquefois à descendre excessivement bas, et c’est ce qui m’arrive à l’instant, je descends au niveau du cloaque, par curiosité, c’est normal, les femelles sont curieuses et assez c**nes.
Habituellement, je me tamponne mortellement le coquillard de la sexualité des autres, et inhabituellement aussi, mais enfin, les hommes d’ici tournent autour du pot, autour du puits, autour du trou, autour du truc, dont je ne connaissais que deux versions le « Big hole » qui se trouve en Afrique, et le « Black hole » qui se trouve là où l’a indiqué Albert.
Donc, et si nous revenonausujé, il ressort que Pyrrhus comme Tartarin sont des mâles embouchés, mais beaucoup moins que sylvain, qui est seulement un c* parmi tant d’autres…
Cependant, et si j’étais un homme comme Albert, il est évident que je m’intéresserais au Black hole !
@ boureau
un blanc blondinet
Il faut savoir que le fait d’être à la fois blanc et blond peut être perçu comme le summum de la provocation.
Ainsi, il y a quelques années un adolescent polonais aux cheveux blonds comme les blés, en vacances dans un camping du sud de la France, s’est fait poignarder devant ses parents par des « jeunes ».
@ Elusen | 01 septembre 2019 à 23:29
Vous êtes un anormal est heureux de l’être, vous devez aimer le genre de crime qui vient de se commettre à Villeurbanne.
Macron et ses fonctionnaires de police et de justice semblent disposés à recevoir en France tous les déséquilibrés du monde entier, sachant que lui sera à vie protégé par une armée de gardes du corps.
Pour que nous vivions en paix, il faudrait que Macron distribue à tous les Africains qui veulent devenir Français, ou plutôt macroniens, nos aides familiales françaises à la seule condition, qu’ils restent chez eux (ça nous coûterait moins cher), pour les peuplades du Proche et Moyen-Orient que notre chef pratique la même méthode.
L’euro n’arrête pas de chuter par rapport au dollar, c’est très bien qu’il continue sans cesse et ainsi nous pourrons exaucer le rêve de Macron : un seul pays, un seul Président (selon la méthode décrite ci-dessus).
@ Elusen | 02 septembre 2019 à 07:37
L’esthétique, la beauté, l’art, Elusen, pas le voyeurisme dont je n’avais pas besoin ayant été en couple toute ma vie d’adulte avec une très jolie femme laquelle d’ailleurs lors de ces spectacles était avec moi et quelques autres couples en goguette à Paris (américains, italiens et même nigérians).
J’ai aussi payé pour voir la Vénus de Milo au Louvre, celle de Botticelli, les nues de Rubens et même, bien qu’elle soit gratuite et pas nue, la Pieta à Saint Pierre, c’est d’ailleurs elle qui m’a le plus ému.
J’ai aussi vu des jeunes femmes bantoues mi-nues et bien réelles au naturel en Afrique de l’Est où la nudité est une chose normale pour celles qui n’ont pas été christianisées ou islamisées !
Avouez qu’une jolie jeune femme nue est plus agréable à regarder qu’un homo paradant en jouant à la demoiselle bien qu’habillé en clown ?!
Michel Deluré a parfaitement raison, de même que Mary Preud’homme !
Il va falloir que les hétérosexuels, civils et policiers, réellement mâles et femelles, aient droit aussi à leur Hétéro Pride pour rétablir les droits entre les citoyens de tout genre.
Il n’y a pas que les cloches en bronze et les processions verbales que nous subissons, celles en Elusen aussi !
sbriglia@duvent | 02 septembre 2019 à 13:47
En vous lisant je pense à : « apparent rari nantes in gurgite vasto. » Virgile – l’Enéide livre I vers 118
Mais, tout de même il faut de la vertu pour vivre parmi les hommes, et quelquefois les flots tumultueux sont moins effrayants…
« Si j’étais moins paresseux, je ferais une étude sur les rapports entre antisémitisme, homophobie et misogynie. »
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 02 septembre 2019 à 13:40
On accordera à Moix le bénéfice de la concision !
Il nous change agréablement de Proust: « Trois cents pages pour nous faire comprendre que Tutur encule Tatave c’est trop » comme disait Céline…
Tentez plutôt de disserter sur : De « La porte étroite » au « SMS », ou comment les nouvelles technologies ont libéré la sodomie de ses pesanteurs.
@ Mister Bean | 02 septembre 2019 à 08:11
« …un dessin ? »
Oui !
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@ boureau | 02 septembre 2019 à 08:21
▬ « Pendant tout le week-end, assaut véhément de tous les médias macroniens …»
Vous les avez tous, sans exception, regardés, c’est très crédible !
▬ «…tant d’insistance sinon pour faire diversion ! »
C’est un complot ourdi par des extraterrestres convertis au taoïsme ; l’on dit même qu’il y aurait des rabbins circoncis par des francs-maçons.
▬ «…pas un mot quasiment, pas une photo, du jeune Français assassiné »
La famille a parfaitement le droit de s’opposer à la diffusion d’informations le concernant afin d’empêcher que des pourritures de nécrophage volent la mémoire d’un des leurs.
Apparemment cela vous excite, les cadavres.
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@ Patrice Charoulet | 02 septembre 2019 à 10:37
«…les policiers et les gendarmes sont, honteusement, la cible d’insultes. »
L’enseignant et ses hors-sujet ?!
Comme les gamins qu’on attrape faisant des bêtises et qui balancent : « ben lui quand il a fait ça t’as rien dit. »
Ou le tueur qui après une condamnation se scandalise : « oui, mais ce violeur a été moins condamné que moi. »
Et vous avez été enseignant ?!
Mais à qui avons-nous confié des enfants ?!
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@ Y.S. | 02 septembre 2019 à 14:09
« Vous êtes un anormal …»
Pour un néonazi, un Résistant est toujours anormal !
Pour un pédophile, une personne qui a des rapports avec des adultes est toujours un anormal !
@ Noblejoué
Vous avez raison, il serait en effet temps que le vocabulaire de nos enfants soit enrichi, et cela dès le CM2: on dit en effet « déconné », mais pas « enconné ».
Ceci fait, il n’y aura effectivement plus d’insulte à dire qu’un homo est un enc*lé.
Ceci dit, quelque chose m’interpelle: dès lors que « connasse » est une urbanité comme dirait notre hôte, il appert que le terme « enc*lé » est utilisé à mauvais escient. L’urbanité équivalente pour un homo devrait être « culasse » – terme d’ailleurs bien connu dans l’armée.
Il conviendrait que Madame Bilger communique cet échange à l’Académie.
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@ Y.S.
Vous allez vous poiler. L’Afghan, ce n’est pas un criminel, c’est un malade.
Il va juste nous coûter quelques mois d’hôpital psychiatrique pour l’hiver où il sera bien mieux chauffé et nourri que d’où il vient. Et ensuite, on verra à lui procurer un emploi pour le réinsérer, ou plutôt « l »insérer ».
Les uns et les autres, lisez bien.
Des citoyens ayant interpellé des migrants clandestins vers Menton pour les remettre à la police, ont été condamnés à six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amende.
Motif que n’avait pas trouvé le procureur dans un premier temps: leur attitude a prêté à confusion avec les forces de l’ordre – direct d’en haut…
Macron et sa bande, je les confierais bien à un camp de rééducation à la Boudarel.
C’était quelqu’un de bien Boudarel, son temps passé au service des communistes du Nord-Vietnam pour rééduquer les prisonniers français lui avait valu une promotion de professeur d’université, comptée pour sa retraite !
Alors, ils y seraient bien les LREM et autres gauchos de droite. J’en mettrais bien un bon millier – et encore, je me retiens.
@ Exilé | 02 septembre 2019 à 14:01
« Il faut savoir que le fait d’être à la fois blanc et blond peut être perçu comme le summum de la provocation. »
Je vous ferais juste remarquer que le fait d’être blond et blanc de peau n’est pas une garantie en matière de sécurité de la population.
L’auteur des tueries d’Oslo et de l’île d’Utoeya, qui n’était pas un immigré des pays de l’Est ou d’Afrique noire, mais un Scandinave pure souche, a quand même mis à mort de sang-froid 77 personnes le 22 juillet 2011 en Norvège.
On peut également faire référence à ces Américains, bon teint eux aussi puisqu’ils sont blancs, et qui vont vider leur kalachnikov acheté au drugstore en face de chez eux, dans les universités américaines. Combien de cas depuis le début de l’année ?
Il ne faudrait donc pas sombrer dans la vision simpliste qui consiste à dire que les tueurs fous sont essentiellement des immigrés. Tous les pays ont leur lot de déséquilibrés et la France ne fait pas exception.
Mais il est vrai que pour le RN c’était une belle opportunité pour justifier leur politique de rejet systématique des immigrés d’où qu’ils viennent.
@ Achille
« L’auteur des tueries d’Oslo et de l’île d’Utoeya, qui n’était pas un immigré des pays de l’Est ou d’Afrique noire, mais un Scandinave pure souche »
Au cas où vous ne le sauriez pas, je puis vous révéler que des habitantes blondes du pays en question sont parfois obligées de se teindre les cheveux en brun pour des raisons de sécurité…
Quelle peut donc bien en être la raison, à votre avis ?
Rédigé par : duvent | 02 septembre 2019 à 14:44
C’est ce que je disais pas plus tard qu’hier au restaurateur qui me servit des petits pois dans une sauce trop claire : « rari nantes in gurgite vasto ! »
Il a cru que je le félicitais…
EDITORIALISTES
A la télé, maintes fois, j’ai été surpris de voir à côté du nom d’un invité la profession « éditorialiste ». Je n’aurai pas le front de rappeler le sens de ce mot. J’avance que ce terme est loin de convenir à beaucoup d’invités.
Un de ces invités avait droit à ce qualificatif depuis pas mal de temps : Gérard Miller. Ecoutant, assez distraitement, un débat sur LCI après 17h, je note avec une certaine satisfaction que l’on n’écrit plus « éditorialiste »à côté de son nom mais autre chose. C’est mieux, même s’il y a encore un éloge de trop. On a écrit « journaliste et écrivain ». Cherchez l’erreur.
@ Xavier NEBOUT | 02 septembre 2019 à 16:08
L’Académie reprend ce qu’elle estime bien dans les évolutions du langage, je doute qu’elle nous lise.
Il y a le peuple en général, et parfois certains livres pour faire évoluer la langue. Par exemple, goupil devint renard.
En vérité, on ne doit pas enseigner aux enfants ni d’ailleurs à d’autres comment insulter.
Je montre juste que certaines insultes sont discriminantes.
Mais je pense que le vocabulaire va évoluer, soit dans le sens que j’ai dit, soit en maintenant le seul enculé mais de sorte qu’il ait perdu sauf pour les amateurs de sens premier, plutôt rares, sa signification originelle.
Un peu comme il n’y a presque plus personne pour ramener crétin à chrétien.
Connaissez-vous le sketch « Carton rose » de Jean-Loup Dabadie interprété par Guy Bedos ?
https://m.ina.fr/video/I05006920/guy-bedos-carton-rose-video.html
@ sbriglia
« …s’introduisent ici, avec leurs semelles crottées et leurs éperons en fer blanc, des commentateurs de peu d’esprit ou d’importunes petites marquises qui parlent, qui parlent jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose à dire »
Ça, vous ne me ferez jamais croire, Monsieur-Dame, que dans un blog de cette qualité de tels gens puissent s’introduire !
En particulier une « …qui méconnaît de façon grossière et sotte tous les usages… » ne ferait pas long feu dans une maison où il n’est même pas permis d’écrire correctement certains mots d’usage courant, et même des mots de notre histoire nationale… !
Et « tirons la chasse et renvoyons-là (où ça ??) à ses pitoyables remugles. » Des mots cela, rien que des mots… des mots d’avocats… d’un « cabinet » bien mal famé !
« Nathalie-Zonzon » : C’est quoi ça, Monsieur-Dame ? C’est nouveau, ça vient de sortir, c’est de l’androgyne (consulter Dame pour une explication littérale !). Personne ici, que je sache, ne sait ce que c’est cette bizarrerie, nos homosexuels titulaires nous suffisent !
Sans même parler des anticléricaux de légende ! Parce que là, nom de nom on est fourni !
Bavard, allez donc bavez ailleurs !
@ Lucile la Politique le 2 septembre à 13 h 02
« égrillard incontinent » Whouah !
Il semblerait, chère, qu’en raison de votre féminité incontestable, il vous échappe que ces deux « qualités » soient quelque peu discordantes, voire inconciliables.
Encore que ! Bon !
Mais on ne peut pas vous en vouloir ! Vous êtes brève et quasiment polie. C’est quand même suffisamment rare pour ne pas être noté !
P.-S.: Je vous dois des excuses. Une faute d’orthographe ; le personnage cité est Jia le politique et non Gia ! Vous aviez rectifié de vous-même !
Vous êtes toujours attendue à Nogent-le-Rotrou !
Je ne crois pas que la lutte contre l’homopobie dans les stades soit une diversion. Ce serait trop beau, car au moins cette « lutte » aurait un sens. Non, c’est l’aboutissement logique et kafkaïen des idées à la mode érigées en dogmes d’État. Le gouvernement ne recule devant aucune aberration ; il est pire qu’hystérique : cinglé. Ou alors c’est moi.
Pas d’accord avec ce billet de P. Bilger, rien d’anormal à cela. Par contre « …et je gage qu’on aura demain des arrêts encore plus sots que pour des allusions à « la pédale » pour promouvoir un club cycliste » écrit PB. Il n’a pas pu s’empêcher de la faire celle-là. Elle est vieille comme le monde et surtout… parfaitement répugnante. Il n’y a que moi que cela choque ?
« rari nantes in gurgite vasto ! »
Pour les non-latinistes, la traduction et l’explication:
https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article14001
Petite digression, ou plutôt rebond d’un ballon ovale qui va maintenant s’inspirer de la communication du ballon rond : l’équipe de France de rugby sera communiquée sur TF1 sans son sélectionneur, une simple vidéo paraît-il pour une conférence de presse a posteriori.
Ce qui est sans doute détestable, pour ceux qui aiment les rebonds capricieux et s’en saisir dans l’instant, est que cela cache une misère latente, une fuite d’explications, un embarras pas très rassurant… Copier la communication du foot… en espérant qu’au moins les intéressés aient été prévenus à l’avance, et n’apprennent pas par la bande leur éviction.
On pourrait en douter, il suffit de se remémorer l’éviction de Guy Novès, le tandem à la tête de ce sport de contact direct par excellence, serait-il suffisamment pleutre et refuser vouloir affronter un public comme cela se faisait toujours avant et pas après.
Quand on veut gagner il faut aller au carton, les longs travers de balles c’est pour le foot. La confiance s’acquiert dès le coup d’envoi, l’hémisphère Sud va se charger de rappeler des fondamentaux de jeu et de communication, du plus bizarre des ballons ou des balles.
Merci à Robert 02/09 à 18h46.
J’aime bien aussi cette réplique d’un client de restaurant : au chef qui lui demandait comment il avait trouvé le bifteck, le client répondit :
– En déplaçant une rondelle de pomme de terre !
sbriglia@duvent | 02 septembre 2019 à 17:34
Vis comica ! Je savais…
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Robert | 02 septembre 2019 à 18:46
Mea culpa, mea maxima culpa !
@ Achille | 02 septembre 2019 à 16:13
Vous auriez pu aussi mentionner le fait que les grands blonds à la peau blanche, les Aryens d’Adolf, ont aussi commis « quelques atrocités » chez eux et ailleurs pendant une décade.
Le Führer se proposait même de remplacer toute la population de la planète par ses blonds aryens !
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@ Exilé | 02 septembre 2019 à 17:16
Anecdotes :
En Hollande, à Groningen auprès de Shell, en 52/53 pour y apprendre un rien de géophysique, je faisais remarquer à un Hollandais que leurs filles ne devaient pas aimer les Français.
Il m’a répondu : mais si, bien au contraire ! Mais pour elles un French Lover se doit d’être petit, trapu, brun et avoir des yeux noisettes, pas être grand, mince, blond aux yeux bleu/vert comme toi, tu ressembles à n’importe quel autre jeune Hollandais, aucun intérêt !
Trente ans plus tard, de blondes Suédoises et Allemandes venaient au Sénégal pour des vacances très particulières !
Les temps changent !
La raison ? Il y a eu une révolution sexuelle en 68/70 aux USA et en Europe, les Africains et musulmans le savent et pensent sans doute que les Européennes sont en manque !
@ Achille
« …un Scandinave pure souche, a quand même mis à mort de sang-froid 77 personnes le 22 juillet 2011 en Norvège. »
Ce genre de comparaison n’a aucun sens, car là on peut rétorquer que « le 11 septembre, 3 000 Américains ont été vaporisés par des immigrés », « au Bataclan 130 furent tués par des immigrés » etc. etc., vous voyez à ce jeu-là on sait tous compter et vous aurez encore une fois l’air d’un amateur. Petit jeu…
Ce qui aurait un sens ce serait de comparer le nombre d’immigrés européens qui se mettent à trucider des « souchiens » dans les pays qui les accueillent. Et c’est là qu’on réalise que les cultures ne sont pas « relativement » les mêmes, les individus n’ayant pas la même sensibilité, ni les mêmes buts ou valeurs. Il faut vraiment haïr avec force son pays et les siens, pour venir encore et encore avec ce genre d’arguments – comme quoi nous aussi on a nos tueurs. Oui, on les a mais comparez ce qui est comparable. Comme par exemple:
A-t-on vu en Occident une ville entière, de nos jours, hommes, femmes et enfants, lyncher, piétiner et brûler une femme au seul motif qu’elle aurait abîmé un Coran ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Meurtre_de_Farkhunda
Voilà l’Afghanistan d’aujourd’hui et son joyeux people. Car c’est bien un peuple, pas « un » déséquilibré.
C’est pourquoi chaque individu provenant de tels enfers doit être contrôlé et testé AVANT qu’il mette un seul pied sur le sol français.
@ duvent le 2 septembre à 13 h 02
« Je descends au niveau du cloaque… »
Je descends… vous êtes sûre ?
« …les femelles sont curieuses et assez c**nnes. »
Si c’est vous qui le dites ! Pour une fois on ne va pas vous détromper !
Curieuses, on savait mais pour le reste, là je suis baba ! Redites-le-me-le !
Et à part ça quoi de neuf dans la Ville ?
@ duvent | 02 septembre 2019 à 19:31
Recevez mon absolution. « Ite, missa est » !
Une des grandes qualités de ce blog est sans doute la large liberté d’expression. Seuls les mots un peu crus sont modérés.
Encore que pour le présent billet le terme « enc*lé » (je laisse à notre sympathique modératrice le soin de mettre les * au bon endroit) a été abondamment utilisé, commenté et décortiqué sous toutes les coutures. Mais il est vrai que le contexte s’y prêtait.
Le seul inconvénient de cette liberté accordée aux intervenants est qu’elle ne fait pas le tri du bon grain et de l’ivraie, donnant ainsi la possibilité à des individus en crise de mal-être de venir semer la perturbation dans les échanges.
Nous avons ici un individu qui tape l’incruste, tient des propos qui n’apportent rien au débat, et n’a d’autre but que de nous infliger ses petites crises narcissiques.
C’est pénible mais c’est aussi ça la liberté d’expression.
@ Claude Luçon | 02 septembre 2019 à 19:36
Vu la montée en force de l’extrême droite en Allemagne lors des dernières élections, il semble que le mythe de la race aryenne ait de nouveau le vent en poupe…
« Il n’a pas pu s’empêcher de la faire celle-là. Elle est vieille comme le monde et surtout… parfaitement répugnante. Il n’y a que moi que cela choque ? »
Rédigé par : HOPE | 02 septembre 2019 à 18:39
Allons, allons Hope !
Lorsque je faisais l‘Épervier et la Marmotte sur mon Colnago mes amis m’appelaient le Roi de la pédale…
…alors que seule la selle me faisait mal au fondement…
Je prenais cela pour un compliment.
Giuseppe me comprend.
Appel à tous les féminicideurs de France et de Navarin (d’agneau) !
Arrêtez de féminicider en boucle toutes les meufs qui vous tombent sous la main, ça devient inquiétant pour nous les mecs hétéros amoureux de la gent féminine, espèce qu’il faut protéger et préserver afin d’éviter sa disparition ; pourquoi pas l’Unescocu, le matrimoine de la féminitude ?
A ce rythme, on va se retrouver entre mâles fort dépourvus quand le rut du brame masculin sera venu ; je ne me vois pas copuler avec un gay trans bi équipé du même engin perforant et performant que le mien, ni dans une Gay Pride, tortillant du popotin, string et plumes au c*l.
Schiappa, la reine des quotas raciaux sexuels devrait en instaurer aussi en faveur des zesgonses, l’homminicidisme : pour une mektonne tuée, un mec trucidé ; la parité, vous connaissez ?
@ Achille | 02 septembre 2019 à 21:05
« Vu la montée en force de l’extrême droite en Allemagne lors des dernières élections, il semble que le mythe de la race aryenne ait de nouveau le vent en poupe… »
Ouais je pense et j’espère que ça va continuer !
Plutôt des bons Aryens que des bons à rien !
@ Xavier NEBOUT | 02 septembre 2019 à 16:08


▬ « Il va juste nous coûter quelques mois d’hôpital psychiatrique…»
Et vous savez tout cela sans jamais avoir eu accès au dossier, c’est ti pas génial un beauf ?!
▬ « Macron et sa bande, je les confierais bien à un camp de rééducation à la Boudarel. »
Le même Nebout qui à longueur de posts chiale sa mère sur la liberté d’expression, la liberté d’opinion, allant jusqu’à affirmer être persécuté et qu’il n’y aurait qu’une pensée unique pour aussitôt vociférer : « ou vous êtes d’accord avec moi ou je vous tue ! ».
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@ Achille | 02 septembre 2019 à 16:13
Le dictionnaire étymologique et historique du galloroman (français et dialectes d’oïl, francoprovençal, occitan, gascon) – dit le : FEW.
Enculer mot apparut en 1416, rien à voir avec le coït anal, se placer en arrière.
En rapport avec l’équitation.
Cela vient de cūlus.
« Va te faire enc*ler » veut dire « va te faire foutre » problème du mot foutre qui signifie semence.
Que dire en ce cas de « fouteur de trouble » ?
Est-ce une boîte à partouze ?
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@ Claude Luçon | 02 septembre 2019 à 19:36
« les Aryens d’Adolf »
Le problème, c’est que les Aryens n’ont jamais été blonds à peau blanche, il semble qu’ils viennent de l’actuelle Iran (Perse – Sanskrit).
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@ Valéry | 02 septembre 2019 à 19:43
« le 11 septembre… Bataclan… immigrés… »
N’oubliez pas que vous aussi vous en êtes un ; petit Ukrainien à tendance polonaise.
Le statut d’immigré pour les deux crimes, cela reste à voir !
@ Robert | 02 septembre 2019 à 20:59
Avec plaisir !
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Nathalie Delachaîssay | 02 septembre 2019 à 20:33 @ duvent le 2 septembre à 13 h 02
« Je descends au niveau du cloaque… »
Je descends… vous êtes sûre ?
« …les femelles sont curieuses et assez c**nnes. »
Si c’est vous qui le dites ! Pour une fois on ne va pas vous détromper !
Curieuses, on savait mais pour le reste, là je suis baba ! Redites-le-me-le !
Et à part ça quoi de neuf dans la Ville ?
—-
Monsieur Nathalie Delalalalère, êtes-vous bien certain de vouloir m’offenser ?
Si votre réponse est : oui, alors vous vous y prenez mal.
Voulez-vous que je vous explique ce qui pourrait m’offenser ?
Si votre réponse est : non, alors vous vous y prenez bien…
Donc, quand on imagine comme vous l’imaginez, que l’on peut se satisfaire sans satisfaire les autres, c’est que l’on est un mufle, et c’est ainsi, que lorsque vous vous croyez spirituel vous n’êtes que d’un ennui mortel.
Vous pourriez si vous n’étiez pas ce que nous avons vu plus haut, vous rendre plaisant et nous distraire en nous racontant des âneries originales, ou en rampant comme vous vous y êtes essayé assez furtivement, ou encore partager les recettes de Don Juan de votre grand-mère.
Mais non, ce qui vous rend heureux est un ramassis de joyeusetés du bon marché, et vous nous les présentez plusieurs fois par jour, avec l’air d’un fat qui aurait découvert… quoi ? Je vous le donne en mille !
La prochaine fois, je vous en prie faites un effort, et ne cherchez pas dans mes écrits ce qui devrait d’après vous, servir votre cause, imbécile.
Bien, après ce petit compliment, je ne m’en irai pas sans vous déposer une petite contrepèterie de bon aloi : Un petit calcul, et on s’en va !
Pour en finir avec ce débat assommant, et sans changer de sujet, une petite dernière de Martial pour faire plaisir à duvent :
« Mentula cum doleat puero, tibi, Naevole, culus,
Non sum divinus, sed scio quid facias »
@ Achille | 02 septembre 2019 à 21:05
« Vu la montée en force de l’extrême droite en Allemagne lors des dernières élections, il semble que le mythe de la race aryenne ait de nouveau le vent en poupe… »
Coucou fais-moi peur ! Brrrr!
Vous savez qu’il y a une solution pour remédier à cette fièvre ? Régler les problèmes… Etre à l’écoute…
Et ce ne sont pas les propos de Michel Taube « éditeur engagé » déclarant sur BFM que la faute est à la société qui n’a pas pris assez en charge cet Afghan (3 dates de naissance, 2 identités) qui vont arranger les choses…
@ Achille | 02 septembre 2019 à 21:01
Eh bien oui Marchenoir dans ses œuvres de contradictions massives et démonstrations totalement innovantes de ce que seraient selon lui les communistes de droite, alors que le communisme est moribond dans notre pays.
Il fallait la trouver celle-là !
De même que ce guignolo vient de se faire le champion de toutes les racailles des futals baissés, bien larges pour cacher la came et autres joujous interdits, comme a fini par l’avouer son protégé Théo, reconnaissant au final avoir laissé glisser son pantalon dans l’escarmouche, après avoir dans un premier temps odieusement menti et accusé le policier de le lui avoir volontairement baissé avant de l’agresser et le violer sciemment avec sa matraque télescopique !
Alors que ce malheureux policier s’est sans doute borné à faire ce qu’on lui avait appris dans les écoles de police, à savoir frapper sur l’arrière-train et les membres, en évitant les parties vitales et sensibles et par conséquent sans la moindre volonté sadique qu’on lui a prêtée !
@ Elusen | 02 septembre 2019 à 23:08
C’est la deuxième fois que votre argument contre Valéry consiste à le traiter d’immigré. Cela au moment où l’on parle d’un crime répugnant commis par un demandeur d’asile Afghan, rien à voir donc. Vous réunissez les mots « 11 septembre… Bataclan… immigrés… », pour dire aussitôt à Valéry « vous en êtes un ». Ce montage est infect.
Et je ne vois pas ce que l’adjectif « petit » vient faire dans votre phrase (« petit Ukrainien à tendance polonaise »). Elusen, vous avez une sale mentalité. Vous êtes malhonnête, mesquin, malintentionné.
@ Lucile | 03 septembre 2019 à 00:47
▬ « à le traiter d’immigré »
Traiter ?!
« Immigré » serait donc une injure pour une délirante raciste, ou alors une maladie à soigner.
D’autant plus loufoque de la part d’une personne qui veut flanquer à la porte tout ce qui n’est pas blanc et qu’elle pense immigré.
▬ « un demandeur d’asile Afghan »
Quel est le rapport avec l’homophobie et les injures dans le sport de beauf, je ne le sais toujours pas, à moins que vous ne vouliez l’enculer cet Afghan, vu votre hauteur.
▬ « Vous réunissez les mots « 11 septembre… Bataclan… immigrés… » »
Non, c’est de lui pas de moi, mais comme à l’imbécilité vous êtes tenue, alors …
▬ « Vous êtes malhonnête, mesquin, malintentionné. »
Venant d’une personne sans honneur, intégrité, probité, c’est comme être injurié par Salah Abdeslam.
@ Lucile | 03 septembre 2019 à 00:47
Elusen est le fou du roi Bilger, qui aime voir maltraités verbalement ses commentateurs.
@ Lucile | 02 septembre 2019 à 18:35
Non vous ne perdez pas la raison mais nous vivons effectivement un univers kafkaïen, observez que dans le conditionnement psychique de l’humanité française, ils veulent pratiquement supprimer l’enseignement de l’histoire ! C’est la méthode employée par Pol Pot pour que nous perdions la mémoire de nos origines.
Et cela va encore plus loin car on restreint l’enseignement des sciences de la vie et de la terre, pour nous rendre encore plus abrutis.
La Macronie est une vraie sal*perie, déjà commencée sous Mitterrand, poursuivie chez Chirac, améliorée chez Sarkozy, perfidement continuée sous le répugnant Hollande et l’apothéose se produit maintenant sous le psychopathe Macron.
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@ Xavier NEBOUT | 02 septembre 2019 à 16:08
Pour neutraliser les actions malveillantes de Macron et de son gouvernement à l’égard des patriotes qui veulent se substituer aux défaillances de la police et de la gendarmerie pour empêcher des entrées illégales sur notre sol, le moment est venu que des associations, des partis politiques, portent plainte contre l’Etat français pour non assistance à pays en danger.
Ces plaintes pourraient être portées devant une juridiction internationale, puisque les juridictions françaises se subordonnent volontairement à tous les désirs de Macron.
Pour mémoire :
Selon l’article 223-6 du code pénal, il y a deux « délits de non assistance à personne en danger ».
En réalité, le délit de non assistance à personne en danger se dédouble :
– le fait pour quiconque de s’abstenir volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.
– le fait pour quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire.
Le délit de non assistance à personne en danger est sanctionné par une peine maximale de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende, outre les peines complémentaires de l’article 223-16 du code pénal.
La sanction de la non assistance à personne à danger
Les peines applicables sont de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.
Des peines complémentaires sont également encourues : l’interdiction des droits civiques, civils et de famille (article 223-16 du code pénal)
« …alors que le communisme est moribond dans notre pays.
Il fallait la trouver celle-là !
De même que ce guignolo vient de se faire le champion de toutes les racailles des futals baissés, bien larges pour cacher la came et autres joujous interdits, comme a fini par l’avouer son protégé Théo, reconnaissant au final avoir laissé glisser son pantalon dans l’escarmouche, après avoir dans un premier temps odieusement menti et accusé le policier de le lui avoir volontairement baissé avant de l’agresser et le violer sciemment avec sa matraque. »
Rédigé par : Mary Preud’homme | 03 septembre 2019 à 00:28
Deux observation, Mary:
– Les idées communistes gangrènent largement encore nos différentes législations, et pas seulement le Code du Travail.
Elles gangrènent aussi les partis politiques de droite et de gauche, l’ensemble de la classe politique, tout ou partie des journalistes, la Fonction publique, les corps intermédiaires, etc. etc.
Le poison a fait son œuvre au point qu’habitués nous sommes devenus aveugles.
– Vous imaginez bien que je n’ai aucune tendresse pour le dénommé Théo.
Mais je pense qu’il convient d’attendre le procès à venir, en correctionnelle ou aux assises selon l’infirmité, qui résultera des coups de matraque assénés, pour trancher.
Ne recommencez pas l’histoire de Mamie Legay à Nice où vous vous étiez pris les pieds dans le tapis en réagissant ex abrupto… comme vous le faites trop souvent.
@ Mary Preud’homme | 03 septembre 2019 à 00:28
Pour ne rien vous cacher ce n’est pas exactement à Marchenoir que je pensais dans mon commentaire. Lui au moins ne se cache pas derrière des pseudos changeant au gré de son humeur, après avoir affirmé avec de grands trémolos qu’il quittait ce blog. Mais il est vrai que le côté narcissique du personnage pouvait prêter à confusion.
@ duvent 2 septembre à 12 h 10
« Monsieur Nathalie Delalalalère, que vous soyez ennuyeux, passe encore….mais vous êtes mou, flasque, éventé, venteux, médiocre, grossier et finalement indigeste… »
La justesse du ton, la force ressentie des mots, l’unité d’action, tout montre qu’il s’agit d’une expérience vécue.
Elle a dû racoler le bonhomme dans un rade autour de la place Clichy et l’emmener dans son minuscule 2 pièces des Batignolles.
Au petit matin le type rentra chez lui maugréant. À partir d’un certain âge mieux vaut ne pas aller visiter des ruines !
Depuis lors elle évite Montmartre. Elle a renoncé aux amours fugaces. Elle se venge en écrivant des pochades porno.
Dans la salle des profs ses collègues l’ont surnommée Paulina, une référence à Réage. Elle s’émotionne dans l’écriture.
Elle a oublié Delalalalère, sa dernière expérience en la matière. Comme quoi les pires déconvenues peuvent être profitables !
Parfois elle se dit que ce devait être un envoyé du Panthéon ! Elle n’a jamais été jeune mais elle a toujours été fantasque !
@ Lucile | 03 septembre 2019 à 00:47
« Elusen, vous avez une sale mentalité. Vous êtes malhonnête, mesquin, malintentionné. »
Mais non chère Lucile, il est mal dressé c’est tout, sinon c’est un bon chien chien ; un peu perturbé par une enfance spéciale, il mord les mollets des passants de ce blog et de celui de Roufiol ; c est son défouloir, son nonosse à ronger.
Pardonnez-lui car il ne sait pas ce qu’il fait, comme qui dirait le curé de son ancienne paroisse préférée.
Kss kss, papatte !
@ Achille 02/09 21:01
Il faut reconnaître que ce billet de notre hôte aura au moins offert à certains l’opportunité de se défouler et de nous offrir un beau florilège disons de dérapages, histoire de rester correct.
Et, à l’issue de votre tri entre le bon grain et l’ivraie, j’imagine que vous avez peut-être été surpris de l’importance que représentait celui de l’ivraie !
C’est notre modératrice qui, en revanche, a dû avoir beaucoup de mal à peser le pour et le contre !
@ sbriglia@Mary | 03 septembre 2019 à 06:52
« …l’infirmité, qui résultera des coups de matraque assénés, pour trancher. »
Les coups ayant été portés à l’arrière de l’individu, ils ne pouvaient trancher comme ils auraient pu le faire s’ils avaient été portés à l’avant !
Bon c’est juste parce que c’est la rentrée et que j’ai recommencé mes exercices mentaux du matin !
@ Valéry | 02 septembre 2019 à 19:43
« A-t-on vu en Occident une ville entière, de nos jours, hommes, femmes et enfants, lyncher, piétiner et brûler une femme au seul motif qu’elle aurait abîmé un Coran ? »
Ce n’est certainement pas une ville entière qui a lynché une femme au seul motif qu’elle aurait abîmé un Coran, mais une bande de fanatiques et les témoins de la scène n’ont pas osé réagir de peur de subir le même sort. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle des Afghans demandent l’asile politique en France.
C’est vous qui mélangez tout en confondant l’attaque du World Trade Center le 9/11, le Bataclan, et autres attentats clairement terroristes car commis par des commandos qui avaient minutieusement préparé leur coup, et les actes commis en solitaire par des déséquilibrés qui peuvent effectivement, dans leur délire, se réclamer de l’islamisme ou d’une tout autre idéologie et notamment nazie.
« duvent allongée nue sur un sofa », une peinture de Clovis Trouille exposée au Musée de Montmartre.
@ Noblejoué
Il faut que vous alliez chez votre concessionnaire, car si vous avez pris ma suggestion de communication à l’Académie au sérieux, il est à craindre que vous ayez un écrou un peu desserré quelque part.
Ceci dit, consolez-vous, il y en a un dont le vice de fabrication est tel qu’il est bon pour la casse.
@ Michel Deluré | 03 septembre 2019 à 09:04
« Et, à l’issue de votre tri entre le bon grain et l’ivraie, j’imagine que vous avez peut-être été surpris de l’importance que représentait celui de l’ivraie ! »
Je reconnais que le rôle de notre modératrice est particulièrement délicat. Il est vrai que le sujet était piégeux.
Difficile dans ce fatras d’échanges sur l’homophobie de faire le tri entre le graveleux un peu lourdingue et l’explication savante, référence à l’appui.
On sent que certains intervenants, habituellement très pondérés dans leur propos, se sont fait plaisir. Nous avons tous un peu de Jean-Marie Bigard qui sommeille en nous ! 🙂
Ce matin, Christian Jacob a rappelé que les dépenses publiques n’ont cessé d’augmenter depuis l’arrivée de Macron, et que le déficit de la balance commerciale est passé de 45 à 60 milliards.
Par ailleurs, Schiappa nous a brillamment expliqué en quoi « enc*lé » est une insulte homophobe.
Sauf qu’on peut se faire enc*ler sans l’avoir demandé, que ceux qui ont voté Macron en sont bien, et que ceux qui le suivent encore aiment ça.
Vive Macron !
@ Lucile la Politique
Chère,
On se plaint de tous côtés de Votre Moloche ! Le moment est peut-être venu de la piquer !
Vous ne voulez pas nous refaire le coup de Céline et de Bessy ?
Monsieur Bilger, vous me permettrez de citer Causeur pour la mésaventure commerciale qu’il vient de connaître du fait des algorithmes de Facebook. Chacun ne manquera pas de faire sourire, voire rigoler franchement, vos commentateurs(-trices) devant les capacités de l’intelligence dite cette fois à juste raison « artificielle »…
A voir ici : https://www.causeur.fr/causeur-censure-par-les-gafa-165212
A la vision de cette image interdite par Facebook, un seul mot m’est venu à l’esprit : homonculus (voir l’interprétation qu’en fait Wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Homunculus_(Fullmetal_Alchemist)) que, pour rester dans le ton de ce billet j’aurais été tenté d’écrire : homo(*n)culus !
Notre civilisation est tellement avancée qu’elle fait de nous de simples homoncules parfaitement décérébrés.
« « duvent allongée nue sur un sofa », une peinture de Clovis Trouille exposée au Musée de Montmartre. »
Rédigé par : Nathalie Delachaîssay | 03 septembre 2019 à 10:12
Notre chère modératrice a bien fait de laisser passer cette bassesse…
Pour deux raisons :
– la première est qu’un tel message révèle qu’il n’y a qu’un homme pour être aussi misérable à l’égard d’une femme…
– la deuxième que ce pauvre Zonzon, qui signe ainsi ses déjections, a de véritables troubles de la personnalité pour, sous couvert de pseudos féminins, lever la patte à tout-va.
Et que s’il a le même transformisme équivoque que Pierre Loti, il est loin d’en avoir le talent.
@ Achille
« Une des grandes qualités de ce blog est sans doute la large liberté d’expression. Seuls les mots un peu crus sont modérés. »
Je pense que c’est dans un souci d’élégance. Après tout, l’orthographe et diverses choses sont améliorées.
« Encore que pour le présent billet le terme « enc*lé » (je laisse à notre sympathique modératrice le soin de mettre les * au bon endroit) a été abondamment utilisé, commenté et décortiqué sous toutes les coutures. Mais il est vrai que le contexte s’y prêtait. »
Ca prouve que la modératrice est intelligente et cohérente… La modération par des machines ou des gens pas au niveau donne des résultats idiots.
Avant de partir entre autres parce qu’il y avait une incroyable censure, je me riais avec d’autres de la modération assez stupide. Par exemple, si l’hôte parle d’Israël, censurer le terme juif est malcommode et ridicule. On peut dire peuple « élu », ayant subi la Shoah ou autre mais c’est agaçant. Bref, incohérent et obligeant à beaucoup de déchets.
Il y avait sa manie intempestive de défendre un gouvernement mondial, le fait que je dise que s’il devenait tyrannique, on ne pourrait jamais le renverser, tout pouvoir dedans, pas de pouvoir dehors égale pérennité durant autant que l’espèce ne m’attirait pas que des amis, remarquez c’était le bon temps, ici on m’a traité d’abyssale mauvaise foi, quand j’ai eu de sacrés problèmes pour une bonne foi exceptionnelle, dans la vie, enfin, de rendre le mal pour le bien, comploter et j’en passe. Mais cette histoire de gouvernement mondial me stressait, et je pense qu’il faudrait discréditer cette idée une bonne fois pour toute si c’était possible quoiqu’il y ait beaucoup plus d’idées revenant encore et encore, comme des zombies, que de gentils fantômes dans les manoirs anglais. Les idées les plus folles, Dieu unique tout-puissant qui serait gentil malgré la souffrance et la mort, sainte Gaïa qui justifie de faire des réfugiés de la conservation…
Je prends les idées au sérieux, surtout les folies religieuses : elles mènent le monde. Le gouvernement mondial est une idée qui pue la religion à plein nez, truc unique comme le dieu unique, idée d’Attali que ce soit à Jérusalem, la bonne idée, pour que trois religions concurrentes se tapent dessus d’un côté, et que ça ne signifie rien pour les hindouistes et autres shintoïstes…
Enfin, qu’on aime ou qu’on n’aime pas, les billets étaient évidemment intéressants, je ne me vois pas commenter n’importe quoi, la greffe est un art.
Sinon, un bémol sur la modération, ici. Je comprends évidemment qu’on modère les grossièretés, mais il se peut qu’on ne les place pas tout à fait pour rien… Mais bon, on ne va pas chipoter. D’autant qu’il pourrait y avoir un effet d’entraînement et de seuil. Mais est-ce que les mots comptent plus que l’effet bouc émissaire qui fait que l’un ou l’autre peut se retrouver accablé sans être pire que son voisin ou plus méchant que d’habitude ?
Bref, la censure est une casuistique, on pourrait imaginer les cas de conscience de différents censeurs pas forcément en politique, car là, c’est un peu trop évident…
De nos jours on appelle modération la censure, et d’un certain point de vue, c’est bien. La honte tombe sur ce qui est liberticide, non sur l’expression de la liberté. Puisqu’on parle de ceux qui aiment leurs semblables ou qui préfèrent le revers à la face des médailles, ce qui veut dire qu’il y a des gens qui vont par la porte étroite comme diraient les religieux… Puisque c’est le sujet, de nos jours beaucoup d’homosexuels ne se cachent plus alors que c’était « l’amour qui n’ose pas dire son nom » tandis que la censure se déguise, elle se réincarne en modération, on l’applaudit bien fort.
Il faut noter que la censure est plus douce qu’à une époque, on ne dresse plus de bûcher, on n’envoie plus en camp, en Occident… Mais elle est omniprésente: moins de civilité, plus d’interdits légaux. Pas plus présente que sous l’Ancien Régime, mais quand on pense que tout un mouvement de pensée s’était élevé contre, quel ressac !
Juifs, femmes, Noirs, homosexuels, handicapés et je dois en oublier, sont protégés. Cela part d’une bonne intention, mais la liberté décline… Et puis, cela n’aide pas les victimes potentielles, cela les isole et les désigne, ce qui peut vite être retourné contre elles. Et puis, cela augmente la concurrence des victimes.
« Le seul inconvénient de cette liberté accordée aux intervenants est qu’elle ne fait pas le tri du bon grain et de l’ivraie, donnant ainsi la possibilité à des individus en crise de mal-être de venir semer la perturbation dans les échanges.
Nous avons ici un individu qui tape l’incruste, tient des propos qui n’apportent rien au débat, et n’a d’autre but que de nous infliger ses petites crises narcissiques.
C’est pénible mais c’est aussi ça la liberté d’expression. »
C’est comme le calcul de pénibilité, les avis divergent… Pour moi, le pire est qu’on ait osé me traiter de raciste, d’abyssale mauvaise foi ou, le blabla était diffus, mais de rendre le mal pour le bien et de faire je ne sais quel complot… Il est bien évident que je n’ai rien laissé passer, bien évident que je ne pardonne jamais rien non plus.
Chacun sa notion de contre-nature, en fait tout existe dans la nature, c’est comme l’Histoire, et que je te l’embrigade, la nature mais il y a de tout, dans la nature, sauf le prochain lapin crétin !
Les seules fois où j’ai pardonné à des gens, ils s’étaient excusés et m’avaient rendu des services après. En somme, je ne m’attendais pas à un revirement de leur part.
Ici non plus. Mais là, il est IMPOSSIBLE que cela arrive, parce qu’il n’y a jamais eu d’amitié au départ… Les gens sont moins taraudés par leur conscience que désireux de rétablir un lien, le sens de la justice de la plupart est très déficient.
Ils s’excitent sur le moindre petit délinquant mais excusent qu’on déloge les Indiens et veulent l’impunité pour Polanski, entre autres exemples. Cela veut dire que si la foudre tombe à côté d’eux, elle est un spectacle, s’ils risquent qu’on leur prenne leur portable, c’est un drame cosmique, mais que si des Indiens doivent partir parce qu’on exploite LEUR forêt ou que des Africains sont délogés parce qu’on montre LEURS animaux aux touristes, c’est hautement recommandable… Et les anti-racistes ne trouvent rien à redire, preuve qu’ils ne valent pas les activistes gay à qui il arrive de parler de ce qui se passe à l’international. On a vraiment les militants qu’on peut, les indigènes sont mal, très mal partis.
On pourra dire que ma popularité est mal partie sur ce blog, car cela a été étudié, les gens préfèrent encore les transgresseurs aux rancuniers. Pourquoi ? Mieux vaut une injustice qu’un désordre, qui rappelle ce que sont les gens : de méchants vauriens, n’est pas le bienvenu.
Mais je ne vais pas m’abaisser à ignorer mon bon droit. Ceux qui le font s’imaginent qu’ils vont gagner des points de vie, pardon, des mérites, pour aller au paradis. Ou alors ils veulent être populaires. Ou les deux… Et à partir de là, pourraient parfois oser se mêler de vous faire, eux, vos débiteurs en honneur, de la morale.
Tout ce que peut m’imputer, faux et qui sait, par hasard, vrai, quelqu’un qui est en tort avec moi est une offense s’ajoutant aux autres, tout ce que vous doit et se doit un agresseur est de s’excuser et de rendre service, pas de faire l’intéressant avec vous. Non, vous imaginez le voleur la ramener sur la lenteur de la justice ? Le violeur sur la puanteur du parfum de sa victime ? Donc, les gens feraient bien de savoir se tenir, plus ils débordent, plus je me sers d’eux pour montrer ce qu’est la nature humaine, et surtout la leur, loin de leurs bêtes noires personnelles.
Enfin, tout ça dans le cas improbable où les gens se reconnaissent… Si oui, s’ils sont capables de voir qu’ils sont en tort mais trop fiers pour s’excuser ça doit faire mal. Tant mieux ! Mais j’en doute, les gens sont ce qu’ils font, il ne faut pas leur supposer plus que leurs actes. .. Enfin, ce que j’écris peut servir à d’autres.
Alors je parle en vérité à tout le monde, mais je n’oublie pas qu’on a osé m’offenser, je sais, les gens s’en fichent, mais l’impunité ne passera pas par moi, l’oubli de l’honneur non plus.
Les gens qui pardonnent, je l’ai déjà dit, font la morale, mais sont, en vérité, intéressés. Je ne vois qu’une exception, les gens sans calcul. Exemple, parce qu’ils aiment, ou tout ce qui y ressemble, vraiment comme tant prétendent le faire, inconditionnellement. Face à des gens qui vous donnent ainsi, non par bassesse, mais par grandeur, il faut redoubler des précautions qu’on aurait pour les apeurés… Il faut être sincère s’ils risquent de deviner quand on ne l’est pas, d’un autre côté, ne pas les blesser avec son pessimisme… Il faut être, impossible, aussi suaves qu’eux… Les gens sans calcul parce qu’ils ont une autre plénitude, par exemple, imaginons, parce qu’ils ont réalisé leur rêve. Mais « curieusement », eux ne battent pas le tambour pour le pardon comme je l’ai souvent vu faire par des gens qui auraient bien besoin qu’on leur pardonne, à eux.
Ils prétendront que les autres aussi, si tu n’as pas offensé le voisin, alors Dieu, loi sur le blasphème, ou la société dont tu t’abstrais pour te droguer. Mais enfin, fais comme tout le monde, écrase des gens par surprise, rampe devant qui te l’auras fait à toi-même, dans un cas, on dira que tu défends une idée, l’ordre, ou allez savoir, et dans l’autre, que tu es humble ou que tu pardonnes, ce n’est pas bien sorcier.
Discuter avec tout le monde en vérité, d’accord, renier ses droits, non. Les salons bourgeois où les gens font semblant de rien quand ils ne s’aiment pas forcément beaucoup est un bon compromis.
Mais comme ici, beaucoup défendent l’impunité, il faut bien que j’aille contre. Je ne trouve pas séant de laisser des gens être ravalés injustement même s’ils ne pourront rien pour moi, jamais, et d’autant qu’ils subissent beaucoup, peuples chassés de chez eux, homosexuels et plus encore drogués persécutés pour se servir de leur corps à leur guise. Et je ne trouve pas digne, certes pour moins dramatique, de laisser des gens oser s’en prendre à moi injustement sans essayer de les vaincre comme ils devraient l’être si le dieu des armées était du côté du bon droit et l’affrontement passé, de laisser croire que j’excuse les calomnies. Et puis, j’avoue passer mes nerfs sur des gens dans leur tort comme eux l’ont fait sur des gens dans leur droit, ce qui est une position absolument inattaquable, moralement parlant.
@ Mary Preud’homme | 03 septembre 2019 à 00:28
Mary Preud’homme dans son tribalisme exacerbé, qui en appelle à Achille croyant que ce dernier s’en prenait à moi. Pour une fois, c’est un autre qui était visé : je ne suis pratiquement pas intervenu sur ce fil…
Si vous tenez tant à polémiquer façon cour de récréation, faites-le au moins sur la page où vous avez inauguré vos invectives idiotes, au lieu de défourailler au hasard.
Votre nouvelle intervention sur l’affaire Théo Luhaka montre que vous n’avez toujours pas dépassé le stade infantile et sectaire : Machin est-il avec ou contre moi ? est-il dans le bon ou le mauvais camp ? Notre société est déjà suffisamment farcie de petites filles écervelées, d’âge adulte et de tous sexes, pour qu’on n’aie pas à souffrir, en plus, des personnes âgées restées à ce stade.
Donc Théo, c’est votre ennemi, parce qu’il s’est opposé à la police, et que vous êtes l’amie de la police. Il s’ensuit que Théo a toujours tort, que ceux qui ne le couvrent pas complètement d’ordure sont eux-mêmes des ordures, et que la justice française devrait, dans cette affaire, suivre la sagesse toute en nuance qui est la vôtre.
Heureusement que vous êtes « anti-raciste ». Moi je trouve que vous êtes l’image toute crachée du raciste, non seulement parce que votre tête de Turc, en l’occurrence, est un Noir, mais surtout parce que votre jugement moral est exclusivement à base tribale. Si Machin fait partie de ma tribu, alors c’est un gentil à défendre à tout prix, s’il n’en fait pas partie, alors c’est un monstre et aucune avanie ne lui sera épargnée.
Vous, votre tribu, c’est la police, donc Théo qui a créé des ennuis à la police mérite de se promener jusqu’à la fin de sa vie avec une poche en plastique sur le ventre, au lieu d’aller aux toilettes comme tout le monde.
Dans votre rage partisane et idolâtre des hommes en bleu, vous soulevez tout de même une bonne question — mais vous n’y apportez aucune réponse, naturellement.
Vous prétendez que le policier qui a déchiré l’anus de Théo avec sa matraque ne faisait que suivre les instructions qu’on lui avait données lors de sa formation. Quelles instructions ? L’usage de la matraque en général, ou la frappe sur les fesses par la pointe ?
C’est précisément la question que je vous avais posée il y a trois siècles, lorsque Philippe Bilger avait consacré un billet à cette affaire : visiblement, le policier en cause a frappé d’estoc sur les fesses de la victime avec sa matraque, et visiblement c’est une méthode délibérée pour amener les interpellés à résipiscence. Il ne l’a pas inventée.
Cette méthode est-elle enseignée dans les écoles de police ? Ou est-ce simplement un truc professionnel qu’on s’échange entre praticiens ?
Dans le premier cas, ce serait l’institution elle-même qui serait coupable. Sans que cela exonère le policier, bien entendu. Car dans tous les cas, ce dernier est gravement en faute. Vous ne nous avez toujours par expliqué par quel raisonnement tordu le fait de frapper violemment sur les fesses d’une personne qui se débat, avec la pointe d’une matraque métallique, dans le sens de la longueur, ne serait pas un geste à proscrire absolument car extraordinairement dangereux.
Il est tout à fait manifeste que le risque est grand de déraper, de frapper au mauvais endroit et de déchirer l’anus de la personne. C’est bien ce qui s’est passé, et vos misérables diversions sur le pantalon baissé ou pas ne changent rien à l’affaire. Théo se serait-il promené cul nu, que rien ne justifiait de lui piquer les fesses avec une matraque.
Vous qui vous vantez de tout connaître à la police, et qui prétendez interdire à autrui de s’exprimer sur le sujet, vous avez été bien incapable, à l’époque, de répondre à ma question, pourtant fondamentale pour l’issue judiciaire de cette affaire : le policier a-t-il eu ce geste parce qu’on le lui avait appris ?
Vous n’y répondez pas davantage aujourd’hui — pas plus qu’aucun média, à ma connaissance. Il est vrai que si la réponse était positive, cela mettrait en cause la responsabilité de la hiérarchie policière, que vous protégez encore plus jalousement que les agents de base, si c’était possible.
Au lieu de nous informer sur ce simple fait, si tant est que vous ayez la réponse, vous détournez la conversation au moyen d’un déluge d’attaques personnelles. Vieille méthode communiste, qui vous déshonore quel que soit votre bulletin de vote.
Avant d’avoir recours à cette ultime bassesse des débatteurs de mauvaise foi, vous avez déplacé la cage de buts à roulettes à plusieurs reprises, en tentant de changer le sujet sans y répondre. Car mon premier commentaire, celui qui a suscité votre ire, reprochait aux syndicats de policiers de ne pas révéler aux citoyens qui les emploient l’extraordinaire sur-représentation des immigrés dans la délinquance.
Absention qui contribue à pérenniser l’immigration de masse. Et à multiplier la présence de délinquants d’habitude, comme Théo et ses amis noirs. Délinquance à laquelle vous faites mine de vous opposer.
C’est à cet instant précis que vous avez commencé à me poursuivre en poussant de petits cris perçants.
Vous, « l’anti-raciste ». Démontrant une fois de plus que, comme l’expliquait le sociologue noir Jules Monnerot, l’objectif de « l’anti-racisme » est d’interdire toute opposition à l’immigration de masse. Et non de faire régner je ne sais quelle moralité publique.
Le miracle de l’écrit.
On pense duvent et on voit apparaître Jeanne Fusier-Gir !
@ Xavier NEBOUT
« Il faut que vous alliez chez votre concessionnaire, car si vous avez pris ma suggestion de communication à l’Académie au sérieux, il est à craindre que vous ayez un écrou un peu desserré quelque part.
Ceci dit, consolez-vous, il y en a un dont le vice de fabrication est tel qu’il est bon pour la casse. »
Je prends tout avec prudence : les gens ont des idées tellement saugrenues qu’il est difficile de déterminer ce qu’ils croient vraiment.
Le déni de réalité va loin : ne pas voir que dire « enc*lé » et pas autre chose signale que les homosexuels, enfin surtout ces pauvres passifs, sont discriminés, est déjà assez incroyable…
Déni de réalité pire… Certes, je n’aurais pas l’idée de déranger l’Académie, mais comme plein de gens croient aux complots divers et variés, juif, franc-maçon, et veulent contacter un tas de gens importants en croyant l’être, on ne sait jamais si on ne va pas tomber sur quelque personne de cette sorte dans une discussion.
Il ne faut préjuger de rien.
Rédigé par : sbriglia@Mary | 03 septembre 2019 à 06:52
Un peu d’honnêteté SVP :
Concernant « mamie Legay », je n’avais fait que reprendre les propos du procureur, lequel dans un premier temps avait mis hors de cause le policier.
Au sujet de Théo, je n’ai rien affirmé, contrairement à RM, me bornant à rappeler que cet homme a fini par reconnaître avoir menti lors de sa première audition, où il accusait le policier de lui avoir baissé son pantalon avant de le frapper. Pour le reste attendons le jugement avant de conclure à un viol, ce qui supposerait la préméditation, alors que la blessure accidentelle (dans le feu de l’action sachant que Théo se débattait comme un forcené) semble plus plausible.
« Un peu d’honnêteté SVP »
Rédigé par : Mary Preud’homme | 03 septembre 2019 à 13:55
Mary, vous aviez écrit à l’époque, de façon particulièrement virulente à l’égard d’un commentateur qui avait émis quelques réserves sur la thèse du Procureur :
« La charge des policiers ne visait pas cette dame et aucun policier ne l’a blessée ce qui a été confirmé par le procureur ; elle a tout simplement buté sur un obstacle en voulant s’enfuir, laquelle chute a occasionné ses blessures. Dommage pour cette dame mais avouez que porter plainte en pareil cas est pour le moins gonflé de la part de la famille ! ».
Je ne vois pas où est la « malhonnêteté » de vous reprocher de prendre pour argent comptant les déclarations de ce magistrat alors même que des doutes réels subsistaient à l’époque…
En la matière il faut ne jamais prendre pour parole d’évangile les déclarations partisanes de procureurs aux ordres.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/07/13/affaire-legay-le-procureur-de-nice-evince-du-dossier_5488943_3224.html
Ayez au moins l' »honnêteté » de dire que vous vous êtes laissée abuser… à seule fin de défendre des policiers qui peuvent aussi, parfois, faillir… comme nous tous…
@ sbriglia | 03 septembre 2019 à 11:25
Je suis de votre avis il fallait que ce commentaire de Nathalie Delalalalère nous soit distribué !
Je remercie vivement notre modératrice de ne pas édulcorer les commentaires qui sont destinés à la « pauvre, humble et sombre crétine que je suis ». En effet, de même que je suis contre le paracétamol, je suis contre la modération des textes dont je suis destinataire.
Oui, je les lis comme je lis Martial (Claggart l’a cité très à propos…), allongée sur un sofa, en me disant : tout de même tout ça est égal à Vanitas, vanitatum…
Et pour ceux qui ne connaissent pas Clovis Trouille :
https://www.youtube.com/watch?v=-t3EyeIauvU
@ yves albert | 03 septembre 2019 à 05:25
▬ «…à l’égard des patriotes qui veulent se substituer…»
Un coup d’État serait un acte patriote ?!
▬ « Pour mémoire : Selon l’article 223-6 du code pénal…»
La patrie serait une personne ?!
Cette partie du Code pénal serait opposable à une personne en charge de la présidence de la République ?!
Constitution française – article 67 :
L’incapacité de ce zozo est extraordinaire.
▬ « Ces plaintes pourraient être portées devant une juridiction internationale…»
Allez, crime de guerre et crime contre l’humanité, vous n’êtes plus à ça près.
À défaut d’en remettre une couche, vous devriez la porter !
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@ Xavier NEBOUT | 03 septembre 2019 à 10:34
«…ceux qui ont voté Macron en sont bien, et ceux qui le suivent encore aiment ça. »
À force de voir des enc*lés partout, vous travaillez dans l’industrie du porno, ce n’est pas possible autrement ?!
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@ Noblejoué | 03 septembre 2019 à 13:11
« Je prends tout avec prudence » dit-elle à Xavier NEBOUT.
Le conseil, c’est effectivement de le prendre avec prudence, ou au moins avec un stérilet !
Maintenant que les filles et Sbriglia sont à table peut-on dire quelques mots du quadrille LCI d’hier au soir drivé par Pujadas.
Autour de la table Goupil le dernier des 68, Bouzou l’homme qui parle plus vite que son ombre, la sympathique Julie Graziani qui sauva la soirée et la petite dernière, une star en devenir : Aurore Lalucq députée socialiste européenne qui ressemble furieusement à la chère Greta avec vingt ans de plus.
Avec ses immenses yeux bleus globuleux qui tournent à pleine vitesse, une ambition dévorante et un mépris certain pour celui qui la contredit elle a pétulé d’importance !
On a d’abord parlé de l’assassinat de Villeurbanne. Ce cénacle s’emportant donnait du dégoût à ceux qui pensaient à ce jeune garçon, à son destin interrompu, à sa famille dans l’affliction, aux raisons, aux ignobles responsables. Indécent !
Aurore provoqua notre indignation en répétant en boucle « qu’en Afghanistan un maboul pouvait être en danger de mort !!! ». Ah !
Elle suscita un vif intérêt dans le second sujet : l’égalité pour l’éducation, l’égalité pour l’héritage où elle mena le jeu !
Ces thèmes datent du Grandgourou Bourdieu lequel fut récompensé à cette occasion par l’octroi d’une chaire au Collège de France.
Résumons : il doit être fait en sorte que chacun dispose du même capital de savoir, c’est idiot mais peu importe !
Et ceux qui ne veulent pas apprendre alors !
Quant à l’égalité devant l’héritage on toucha au délire : chacun doit hériter de la même somme par la création, je suppose, d’un fonds de compensation ! Un de plus.
Incidemment on apprit qu’en moyenne un foyer laisse 100 000 € à ses descendants ! Le travail d’une famille de toute une vie !
C’est pas lerche !
Quoi qu’on dise tout ça c’est en contradiction avec l’individualité physique inscrite au tréfonds de la vie !
N’avons-nous plus le choix qu’entre le communisme absolu et l’islam ?
Sacrée Lalucq !
@ Achille
« Ce n’est certainement pas une ville entière qui a lynché une femme au seul motif qu’elle aurait abîmé un Coran, mais une bande de fanatiques »
C’est ce « certainement » qui montre votre ignorance. Mais bon, je n’y peux rien, j’avais posté deux photos en lien montrant une ville entière piétinant le corps calciné et démembré de la pauvre femme, on y voyait des enfants, des femmes et des hommes, par centaines, tous ordinaires, se réjouissant de l’atrocité qui venait d’être commise et s’acharnant sur cette pauvre dépouille.
La modératrice a pensé sans doute que le blog aurait des problèmes avec de telles images ou qu’elles étaient trop insoutenables et elle les a supprimées. Certaines vérités ne sont pas belles à voir, mais c’est pourquoi votre « certainement » sonne si faux.
@ duvent
« N’interromps jamais ton ennemi lorsqu’il commet une erreur ». (Napoléon).
Autant le laisser se griller tout seul.
@ Lucile la Politique
Il est très bien ce conseil que vous transmettez.
Je vous offre celui-ci en retour : Ne jamais provoquer les gens sans raison !
Bon repos
@ Lucile | 03 septembre 2019 à 18:10 @ duvent
« N’interromps jamais ton ennemi lorsqu’il commet une erreur » (Napoléon).
Autant le laisser se griller tout seul. »
Alors ça, c’est une erreur que je ne commets jamais, jamais…
D’ailleurs, je ne permets pas au premier venu d’être mon ennemi !
Les ennemis, c’est précieux, très précieux…
Ils doivent être passés au tamis très fin, excessivement fin, car il faut bien le reconnaître l’ennemi de qualité est celui qui vous révélera à vous-même, tandis que l’ami, ma foi est un autre soi-même, complaisant, aveugle, servile, cajoleur, affectionné, tendre, dévoué, soumis, capricieux et susceptible, voyez en politique tous ces amis délétères…
Alors qu’un ennemi de haut parage, qui ne pardonne rien, qui vous attend patiemment, qui fourbit ses armes durant la trêve, dont le cœur est rempli de venin, dont le regard torve promet des souffrances, dont la pensée est d’une folle énergie qui espère ruiner toutes vos espérances, celui-là, il vous rend le service immense et incomparable de faire contre vous tout ce qui hante les pires cauchemars de votre mère.
C’est pourquoi il faut apprendre à choisir ses ennemis, car les amis, le hasard, le soleil, la mer, ou le vent s’en chargera !
Ainsi, un véritable ennemi, digne de soi, produit Cicéron tandis qu’un ami de salon donnera Tartuffe ou Talleyrand.
@ Valéry | 03 septembre 2019 à 18:10
«…une ville entière piétinant le corps calciné et démembré de la pauvre femme…»
Non mais vous avez le sens de la mesure ?!
100 000 personnes en même temps ont piétiné un cadavre ?!
Une ville de combien d’habitants ?
Et y sont allés les bébés, les mômes prépubères, les trisomiques, les vieux en déambulateur, les cul-de-jatte, les aveugles, les manchots et les pingouins ?!
@ Mary Preud’homme | 03 septembre 2019 à 13:55
Je ne crois pas que Théo ait déclaré avoir menti, il a juste reconnu avoir pu se tromper et admis que sa culotte pouvait avoir glissé d’elle-même.
Quoi qu’il en soit, cette histoire de culotte baissée n’est qu’un détail, vous noyez le poisson. L’important est que ce policier a enfoncé sa matraque dans le derrière de Théo, et ça, c’est inadmissible.
Il est possible que ce geste soit involontaire, chacun peut se faire son opinion en regardant la vidéo, mais dans tous les cas, la légèreté de vos propos à l’égard de cet incident en dit long sur la mentalité des flics de France (vous êtes un peu de la famille n’est-ce pas ?), et par là-même, laisse penser que ce geste pourrait très bien avoir été exécuté volontairement.
Elusen 4 septembre 2019 00h18… en pleine crise…
« Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.
L’ombre était nuptiale, auguste et solennelle
Tout reposait dans Ur et dans Jérimadeth ; »
……………………………………………………………
Vous avez déjà vu des souffles flotter ?
Et une ombre nuptiale ? le type il a pris de l’ecstasy !
…Et Galgala…
Le type y nous cite une ville qui n’existe pas !
Y remet le couvert avec Jérimadeth !
Tu parles d’un géographe !
(On comprend pourquoi le nain ratiocineur s’est arrêté avant le brevet et nous commente ici depuis la division réservée à Sainte-Anne.)
M. Bilger, j’ai été saisi d’horreur et d’effroi quand je vous ai écouté ce matin chez Praud au sujet de Bertrand Cantat, jamais je n’aurais cru que vous seriez tombé si bas dans l’abjection ; vous vous êtes comporté comme une de ces salop… du SM extrême gauche et de ces ordures showbiziennes gauchistes qui continuaient à le défendre et salir la mémoire de Marie Trintignant.
Reprenez-vous cher Philippe, tout le monde a le droit de déraper mais à ce niveau, c’est intolérable ! Cette justice française est vraiment pourrie.
Vous faites du Elusen ? De grâce n’imitez pas ce fou parano depuis sa chambre capitonnée ; lui c’est son rôle : provocs buzz fakes, c’est le bouffon islamo-gauchiste du blog ; vous méritez mieux que tomber si bas dans la vilenie.
@ sbriglia | 04 septembre 2019 à 09:44
Excellente parodie.
Et j’ajoute :
« Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ? »
— Raciste ! Les races n’existent pas ! etc.
______
@ Herman kerhost | 04 septembre 2019 à 01:53
« La légèreté de vos propos à l’égard de cet incident en dit long sur la mentalité des flics de France (vous êtes un peu de la famille n’est-ce pas ?), et par là-même, laisse penser que ce geste pourrait très bien avoir été exécuté volontairement. »
Exactement. Bien que ma grande naïveté m’incite à croire à l’accident — mais comme je l’ai expliqué, même l’accident est fort incriminant, et pour le policier impliqué et pour l’institution qui l’emploie.
@ Herman kerhorst
« …lors d’une nouvelle audition, Théo a modifié son premier récit. Alors qu’il affirmait que les policiers lui avaient volontairement baissé son pantalon, le 3 mars(1), il déclare finalement au juge d’instruction : « si tu ne serres pas ton pantalon avec le cordon, logiquement il se descend tout seul. Et puis je prends mes pantalons en XL, ce n’est pas ma vraie taille. Mon pantalon n’était pas bien attaché, il tombait. Ils tiraient vers le bas quand même, mais je ne pense pas que c’était volontaire. Ils essayaient de me maîtriser ».
1) il a donc bel et bien menti lors de sa première audition…
Quant à la mentalité et au courage des policiers et gendarmes de France, il me semble que vous et quelques autres devriez en prendre de la graine. Plutôt que toujours baver sur des hommes et femmes pour la plupart d’engagement, de conviction et de sang-froid face à l’insulte, la haine et la diffamation dont vous et vos pareils, bien planqués derrière vos ordis, vous faites le relais persifleur, sarcastique et trompeur sans prendre le moindre risque.
Concernant le policier incriminé, il me semble qu’il a droit comme tout un chacun à un procès équitable basé sur des faits et non des suppositions malveillantes et surmédiatisées de langues de vipère dans votre genre.
A propos de mentalité familiale ou tribale, ainsi que je l’ai lu quelque part à mon sujet – ah ah ! si j’avais le temps j’en ferai un thème subliminal à mettre en musique pour trompette de bambou ! – commencez donc par vous intéresser à la vôtre et à balayer devant votre porte…
@ Mister Bean | 04 septembre 2019 à 11:11
« Marie Trintignant »
Il est pour l’extermination totale des personnes de gauche et voilà qu’il instrumentalise la mort d’une femme de gauche quand ça l’arrange.
Un nécrophage dévore n’importe quel cadavre tant que ça lui rapporte.
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@ Mary Preud’homme | 04 septembre 2019 à 13:09
Et encore une, enfin toujours la même, qui parle d’un dossier judiciaire qu’elle n’a jamais eu entre les mains. Témoin oculaire de tout, sans jamais être présente !
« Quoi qu’il en soit, cette histoire de culotte baissée n’est qu’un détail, vous noyez le poisson. »
Rédigé par : Herman kerhost | 04 septembre 2019 à 01:53
On ne dit plus noyer le poisson, Herman !
On écrit « vous déplacez la cage à roulettes ».
C’est not’ bon maître qui nous l’a enseigné…
Marchenoirophile un jour, Marchenoirophile toujours !
(On se calme, Achille !)
@ Mary Preud’homme | 04 septembre 2019 à 13:09
On s’en moque, que Théo Luhaka ait menti. C’est un détail de l’histoire de la brutalité de la police française. Vos tentatives de le salir, votre rhétorique militariste et vos attaques personnelles fielleuses renouvelées ne changeront rien aux faits : Luhaka ne s’est pas blessé en s’asseyant intempestivement sur une matraque posée pointe en l’air sur un banc public.
Par le plus grand des hasards, je viens de converser avec un policier américain de base. Sujet de la discussion : les rapports entre les citoyens et la police.
Je peux vous dire qu’il y a un monde entre votre arrogance et votre mépris, et la façon dont cet homme prenait la défense des citoyens par rapport aux dérives de sa propre institution. Discussion normale, paisible, entre êtres humains normaux et citoyens faisant partie de la même communauté (du moins, rien dans mes propos n’a pu lui laisser entendre que ce n’était pas le cas). Souci partagé de l’intérêt général. Absence de préjugés, de partisanerie et de sectarisme. Aucun esprit de guerre civile ou de milice. Politesse et civilité. Tout cela partagé par les personnes qui se sont jointes à la discussion.
Notez bien que cela se passait dans « l’Amérique ultra-violente » où « la police fait des cartons sur les Noirs parce que ça l’amuse ».
L’ultra-violence est en France, pas aux Etats-Unis. Votre perpétuel numéro de fliquette hargneuse et vindicative en est la parfaite illustration. Le comportement des forces de l’ordre également. De même que celui des Français entre eux.
C’est en France que règnent la haine de tous contre tous et le mensonge généralisé. On ne s’en rend pas compte, parce qu’on baigne dedans. Il suffit de sortir de l’étouffoir hexagonal pour prendre la mesure de l’anormalité de la chose. Et de l’exception que constitue cette mentalité, dont vous vous faites ici le promoteur.
« Un nécrophage dévore n’importe quel cadavre tant que ça lui rapporte. »
Rédigé par : Elusen | 04 septembre 2019 à 18:01
Un coprophage, pas un nécrophage, aïe aïe aïe, vous êtes en baisse cher Elusen, faut vous ressaisir ! Vous êtes zoophile ?
Robert Marchenoir | 04 septembre 2019 à 12:30 @ sbriglia | 04 septembre 2019 à 09:44
« Excellente parodie. »
Bob – je me permets -, là vous êtes tiède, c’était du Sakai Takayuki Grand Chef.
Ce brave Marchenoir en se vantant d’avoir conversé avec un policier américain de base (quel scoop mézamis !) qui l’a bel et bien berné, soit par ignorance, soit pour se rendre intéressant, a encore perdu une occasion de se taire, se livrant imprudemment à des jugements péremptoires sur notre propre police qualifiée par ailleurs de lavette.
Quant à la prétendue bienveillance et humanité des policiers américains par rapport à nos fonctionnaires et militaires traînés dans la boue par le même, les lecteurs et contributeurs apprécieront au vu de ces seules statistiques :
« Les policiers américains ont abattu près d’un millier de personnes en 2017, soit légèrement plus que l’année précédente. Ce qui rapporté aux statistiques de personnes abattues par les forces de police et de gendarmerie pour la même période en France (soit 18 personnes) et proportionnellement à la population de ces deux pays représente dix fois plus côté police américaine. »
@ sbriglia | 04 septembre 2019 à 20:41
« vous déplacez la cage à roulettes »
Sur le coup je croyais que c’était une contrepèterie. Mais non…
@ AD | 04 septembre 2019 à 23:03
Ah ! tiens, Mary Preud’homme, qui donne des leçons de courage à tout le monde, réapparaît sous l’un de ses pseudos multiples, après avoir prétendu claquer la porte de ce blog pour toujours parce que nous n’étions pas dignes d’elle… puis être revenue comme si de rien n’était.
« Ce brave Marchenoir en se vantant d’avoir conversé avec un policier américain de base (quel scoop mézamis !) qui l’a bel et bien berné, soit par ignorance, soit pour se rendre intéressant. »
On ne sait trop ce qu’il faut comprendre de cette sottise : que les policiers américains ne s’expriment jamais sur Internet, ou qu’ils disent toujours le contraire de ce qu’ils pensent. On voit mal ce que l’ignorance viendrait faire là-dedans — mais notre caporal-chef fantasmé ne s’est jamais beaucoup fatigué pour fabriquer ses calomnies.
A partir du moment où quelqu’un (à l’autre bout du monde) dit un truc qui ne se conforme pas aux préjugés de la mère Preud’homme, c’est forcément qu’il n’existe pas ou qu’il travestit sa pensée. Et bien sûr, Preud’femme était là, elle a suivi la conversation, elle a bien vu que tout le monde est comme elle, et raconte n’importe quoi « pour se rendre intéressant ». A ce niveau, cela relève de la psychiatrie.
« Quant à la prétendue bienveillance et humanité des policiers américains par rapport à nos fonctionnaires et militaires traînés dans la boue par le même… »
Pauvres bichons. On les « traîne dans la boue », sous prétexte qu’on exige la punition d’un type qui confond son métier avec celui du proctologue (lequel s’y prend plus délicatement, heureusement…).
Je n’ai pas parlé de bienveillance ni d’humanité. J’ai simplement parlé de gens normaux. Différents de vous et de votre hystérie chauviniste, si vous préférez.
« Les policiers américains ont abattu près d’un millier de personnes en 2017, soit légèrement plus que l’année précédente. »
Aucune source fournie, on ne va tout de même pas s’ennuyer avec ça. On ne peut pas, à la fois, prôner un Etat policier et faire preuve de scrupule vis-à-vis des faits.
Mais admettons. Admettons que ce chiffre soit exact. C’est une excellente chose que les policiers américains aient abattu mille personnes en 2017. Ils ont agi en légitime défense, protégeant leur vie ou celle de tiers contre des criminels qui la menaçaient.
Des criminels noirs, le plus souvent. Vos petits chéris dont vous cherchez à interdire la critique par le biais de votre « anti-racisme » à la noix.
Tant qu’à aller chercher des statistiques, allez jusqu’au bout. Fournissez-nous donc les statistiques américaines montrant l’extraordinaire sur-représentation de vos amis noirs dans la criminalité violente, meurtres et viols, en particulier.
Vous n’avez jamais songé à demander l’asile politique en Russie ? Voilà un pays tenu par la police et l’armée, où les forces de sécurité ont tous les droits. Je pense que vous vous y sentiriez merveilleusement bien. Remarquez, ils n’aiment pas beaucoup les Noirs ; on ne peut pas tout avoir…
@ AD | 04 septembre 2019 à 23:03
« Les policiers américains ont abattu près d’un millier de personnes en 2017, soit légèrement plus que l’année précédente. Ce qui rapporté aux statistiques de personnes abattues par les forces de police et de gendarmerie pour la même période en France (soit 18 personnes) et proportionnellement à la population de ces deux pays représente dix fois plus côté police américaine. »
Félicitations aux policiers américains !
Appliquons les mêmes méthodes sur toutes ces raclures qui pourrissent la société, ça nous évitera le spectacle ignoble de cette justice extrême gauchiste du SM mur des cons complice du crime, qui a beaucoup plus de sang sur les mains que les Américains.
Un millier d’emm*rdeurs en moins contre 18 chez nous, on a encore du boulot avant de leur arriver à la cheville.
« Ce brave Marchenoir en se vantant d’avoir conversé avec un policier américain de base (quel scoop mézamis !) qui l’a bel et bien berné, soit par ignorance, soit pour se rendre intéressant, a encore perdu une occasion de se taire » (04 septembre 2019 à 23:03)…
Variante :
« Mon petit monsieur, vous êtes plutôt pathétique…
Vous êtes donc, hélas, disqualifié sur ce coup… Inutile donc d’y revenir Monsieur Paul, vous n’êtes pas crédible. »
Rédigé par : Mary Preud’homme | 27 mars 2019 à 19:12
Finalement on reconnaît Sarah et Mary assez rapidement…
Sarah Bernhardt, amputée d’une jambe en 1915, et qui jouait sur scène avec une jambe de bois…
Au poulailler, quand on entendait les trois coups, d’aucuns s’esclaffaient : « Tiens, voilà Sarah ! »
Ici c’est pareil : aux deux premières lignes, « ce brave, mon petit, se vante, pathétique… » on s’esclaffe :
« Tiens, voilà Mary ! »
Même si elle se déguise…
La différence est que la première résonnait sans son pied et que la seconde raisonne comme son pied…
Que la première sortait côté cour et que la seconde sort et rentre sans cesse côté jardin…
@ sbriglia | 04 septembre 2019 à 20:41
Ah, la cage à roulettes…
Vous avez raison, mais je ne voudrais pas avoir des ennuis de copyright !
@ sbriglia
Pour votre gouverne et mettre à jour vos petites fiches, ne pas confondre Sarah et Sandra. A croire que vous n’avez rien d’autre à faire dans votre vie. Comme je vous plains !
Quand je pense qu’il y a ici quelques « anonymes pleins d’eux-mêmes » qui ironisaient méchamment tout comme vous sur les petites manies de Patrice Charoulet, alors qu’ils sont beaucoup plus tordus et vicieux avec leurs archives (à charge et hors contexte) qu’ils nous ressortent à tout bout de champ !
Tous les moyens leur étant bons, y compris les plus vils, pour éluder une question gênante ou simplement admettre qu’ils n’ont pas la science infuse et que de « prétendus beaucoup moins intelligents et cultivés qu’eux », peuvent fort bien les prendre en flagrant délit de contradiction et d’erreurs (comme ici quand un Marchenoir nous vantait l’humanité remarquable des policiers américains par rapport à leurs homologues français et qu’on lui oppose des statistiques réelles).
Quand je vais raconter cela à mon beau-frère John, officier de police en retraite, qui a fait toute sa carrière à Chicago, il va se tordre de rire ! No kidding Mary !
@ Mister Bean | 05 septembre 2019 à 09:47
▬ « Un millier d’emm*rdeurs en moins contre 18 chez nous …»
On ne peut pas constamment appeler au meurtre sans en subir les conséquences ; si c’était vous celui que l’on tuait ?
▬ « Vous êtes zoophile ? »
Je n’ai aucune gêne à ce que l’on abatte les chiens et les nécrophages.
@ Herman kerhost | 05 septembre 2019 à 12:28
@ sbriglia@Robert Marchenoir | 05 septembre 2019 à 11:00
Concernant ma cage de buts à roulettes, je ne peux faire moins que de l’offrir à l’auguste assemblée en licence libre de droits, et même à la francophonie tout entière, voire aux galaxies environnantes.
(Rappel pour les amateurs d’étymologie et de dictionnaires : il s’agit d’une tentative de traduire l’expression anglaise « to move the goalposts », qui malheureusement n’a pas d’équivalent en français, malgré que le procédé soit omniprésent dans la rhétorique gauchiste hexagonale.)
« La différence est que la première résonnait sans son pied et que la seconde raisonne comme son pied… »
J’ai collaboré à un blog aujourd’hui défunt qui s’auto-désignait, de façon assez pétulante, comme « blog d’élite » (ce qui n’était pas totalement faux, même si la revendication était puérile). Celui-ci n’a pas besoin de telles étiquettes.
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@ AD | 05 septembre 2019 à 15:06
« Tous les moyens leur étant bons, y compris les plus vils, pour éluder une question gênante ou simplement admettre qu’ils n’ont pas la science infuse et que de ‘prétendus beaucoup moins intelligents et cultivés qu’eux’, peuvent fort bien les prendre en flagrant délit de contradiction et d’erreurs (comme ici quand un Marchenoir nous vantait l’humanité remarquable des policiers américains par rapport à leurs homologues français et qu’on lui oppose des statistiques réelles). »
Il n’y a aucune erreur ni contradiction dans mes propos, et je ne vous ai jamais accusée d’être beaucoup moins intelligente et cultivée que moi.
En revanche, vous, vous nous avez amplement informés de vos exploits dans d’innombrables domaines, allant de l’art lyrique au parachutisme administratif, en passant par la confection des crêpes bretonnes (il est possible que ma mémoire me trahisse sur ce dernier point).
En tous cas, nous sommes ravis que votre carnet d’adresses militaro-policier s’étende jusqu’aux Etats-Unis. C’est très impressionnant.
Donc « votre beau-frère John, qui est officier de police en retraite et qui a fait toute sa carrière à Chicago », il se vante d’être une brute sanguinaire qui, du temps de son activité, fumait un Noir par jour avant l’heure du déjeuner, pour motif de « walking while Black » ? C’est bien ça que vous vouliez nous dire ?
Ou bien pratiquait-il l’art bien français de l’examen coloscopique en milieu hostile, et sans anesthésie ?
Marchenoir qui se mélange les pinceaux et me confond avec ma belle-fille bac +10 et 30 ans de moins que moi ! ça craint !
« Je n’ai aucune gêne à ce que l’on abatte les chiens et les nécrophages. »
Rédigé par : Elusen | 05 septembre 2019 à 16:11
Et en plus vous êtes caninophobe et nécrophobe, eh ben dites donc vous êtes une vraie encyclopédophobie.
Avec vous je n’ai pas besoin de travailler mes abdos, je suis tellement mort de rire que j’ai un bide en béton. Continuez quand même, ne lâchez rien.
@ Mary Preud’homme | 04 septembre 2019 à 13:09
Cela demanderait beaucoup trop de temps de répondre point par point à votre commentaire fielleux.
Vous mentez, comme d’habitude. Je n’ai jamais remis en cause le courage des policiers. Je n’ai parlé que de leur mentalité, et encore une fois, ici, vous nous montrez que c’est une mentalité de menteur, de manipulateur, et de malpoli. Je n’ai aucun doute qu’une majorité de Français partage mon point de vue sur le sujet.
Sur l’affaire Théo.
Ce n’est pas parce que Théo avait, lors de sa première parution, dit qu’un policier avait fait glisser son pantalon, pour ensuite dire que celui-ci avait pu glisser tout seul, qu’il avait menti la première fois. Il peut très bien s’être honnêtement trompé. C’est vous qui interprétez cela comme un mensonge.
Quoi qu’il en soit, et une fois encore, on s’en fiche de cette histoire de pantalon baissé. C’est un détail. Il faut vous le dire dans quelle langue?
« Concernant le policier incriminé, il me semble qu’il a droit comme tout un chacun à un procès équitable basé sur des faits et non des suppositions malveillantes et surmédiatisées de langues de vipère dans votre genre. »
Inversion accusatoire. Je n’ai fait le procès de personne. Je n’ai parlé que de ce que nous savons déjà: la matraque dans le derrière.
C’est vous qui faites « des suppositions malveillantes », en prétendant que le policier n’a pas fait exprès, et en laissant entendre que de toute façon ce Théo n’a eu que ce qu’il méritait.
———————-
@ Robert Marchenoir | 04 septembre 2019 à 20:47
Je l’ai déjà dit, et votre commentaire va dans ce sens, la police américaine est bien plus respectable que la police française. Elle fait partie du peuple, et contrairement à la police française, elle protège les gens, elle ne les méprise pas.
Dès l’entrée sur le territoire américain, un autre monde s’offre à vous, et on vous le fait explicitement comprendre: « welcome back », my friend…
@ Mary P | 05 septembre 2019 à 17:06
« Marchenoir qui se mélange les pinceaux et me confond avec ma belle-fille bac +10 et 30 ans de moins que moi ! ça craint ! »
Je n’en crois pas un mot. Le style c’est l’homme, et ce n’est pas à un vieux singe comme moi que vous allez tenter de dissimuler vos tics d’expression. Ce sont des choses qu’on ne peut travestir. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à vous avoir reconnue depuis longtemps derrière vos pseudonymes transparents.
Au fait, votre ami « Gendarme à la retraite », il va bien ? Il est parti aussi vite qu’il est venu… dommage ! Avec un vrai gendarme, on aurait pu avoir des discussions intéressantes. Avec une groupie qui ne connaît les choses que par ouï-dire, c’est forcément plus convenu.
Vous n’avez d’ailleurs pas l’air de vous rendre compte du ridicule dans lequel vous vous mettez. Imaginons une dame d’âge mûr, habituée d’un blog mais incapable de faire valoir seule son point de vue par des moyens loyaux, qui rameute sa claque familiale pour faire nombre… Je serais vous, tant qu’à nous monter des bobards, j’en trouverais un qui fasse moins adolescente évaporée.
Et pour rentrer dans votre jeu, je conseillerai à votre « belle-fille bac + 10 » et à votre ami « gendarme à la retraite » de s’acheter une personnalité, et de cesser de singer maman dans toutes ses obsessions, ses haines recuites et jusque dans ses tournures de phrases.
@ Herman kerhost | 06 septembre 2019 à 00:54
Rappelons que l’instruction se poursuit pour une possibilité de viol.
Que la personne est handicapée à vie, elle porte une poche de stomie.
Que les policiers auront à s’expliquer sur le fait d’avoir frappé sur l’anus ou dans la zone, provoquant de fait une infirmité à vie.
Ils devront dire d’où ils tiennent une telle technique pour maîtriser une personne.
« Ils devront dire d’où ils tiennent une telle technique pour maîtriser une personne. »
Rédigé par : Elusen | 06 septembre 2019 à 06:55
Vous devriez la connaître cette technique, c’est la même employée dans certains « cercles religieux » ; allez, un peu de courage, expliquez-nous !
@ Elusen | 06 septembre 2019 à 06:55
« Les policiers devront dire d’où ils tiennent une telle technique pour maîtriser une personne. »
Pour une fois, Elusen a raison. Ceci est l’un des points les plus cruciaux de cette affaire, et curieusement, sauf erreur de ma part, les médias ont été d’un silence sépulcral là-dessus.
On rapprochera cette technique, qui vraisemblablement procède d’instructions ou même d’une formation, de la polémique sur l’usage des lanceurs de balles de défense pendant les manifestations des Gilets jaunes, qui ont fait tant d’éborgnés.
A l’époque, les canaux officiels nous ont dit et répété que l’usage de ces armes était réservé à la légitime défense, c’est-à-dire aux cas où la seule autre solution pour protéger la vie des policiers aurait été l’usage des armes à feu.
Mais lors d’un reportage manifestement destiné à faire la promotion des forces de l’ordre, où un journaliste du Figaro a été autorisé à suivre les CRS en opérations, l’un de leurs officiers lui a benoîtement déclaré que le LBD servait à faciliter les interpellations…
La désinvolture avec laquelle il a fait cet aveu exclut qu’il s’agisse d’une dérive personnelle. Ce responsable, à l’évidence, n’a fait que restituer des ordres reçus et connus de tous. Qui a donné ces ordres ? Quel est leur contenu ? Silence complet sur le sujet… Aucun journaliste ne semble même avoir posé la question.
Si, comme cela semble être le cas, la hiérarchie policière a permis l’usage du LBD pour des interpellations de confort, à distance, sans risque, il n’est pas étonnant que des dérives se soient produites, où furent visés des manifestants pacifiques, voire de simples passants.
De même, si on conseille aux policiers, en cas d’interpellation difficile, de frapper sur les fesses du suspect avec la pointe de la matraque, pour provoquer un mouvement réflexe où il se collerait au sol ou contre un mur, facilitant le menottage, il n’est pas étonnant qu’un tel accident se soit produit.
Comme le dit Herman, c’est bien une question de mentalité.
@ Mister Bean | 06 septembre 2019 à 08:35
« Vous devriez la connaître cette technique… »
L’abruti qui passe son temps à s’auto-injurier ?!
Il affirme connaître la technique tout en expliquant qu’il faut être un prêtre pédophile et fréquenter leur cercle pour la connaître.
@ Elusen | 06 septembre 2019 à 18:52
Elle est vesquée la Elusen ? Pourtant y a pas de mal à s’faire du bien, j’attends toujours la notice techeunique de la taquetiqueue.
Faites un dessin ça ira plus vite pour notre comprendrement, hahahaha !
@ Mister Bean | 06 septembre 2019 à 23:45
Le sens d’une injure ou d’une diffamation c’est d’atteindre l’autre pas soi-même, dire publiquement : « je suis pédophile, je connais donc la technique et j’exige d’Elusen qu’il me prouve qu’il la connaît », c’est en somme, l’art et la manière de se mettre dans la me*de tout seul.
Si nous arrivons à les attraper ailleurs qu’en Thaïlande, alors pourquoi pas :
► Internet Signalement Ministère de l’Intérieur ◄
► Internet Signalement ministère de l’Intérieur ◄
Rédigé par : Elusen | 07 septembre 2019 à 00:11
Aux dernières nouvelles, tout le personnel du ministère de l’Intérieur est plié en douze, de rire bien entendu, on essaie de les déplier, sans succès pour le moment.
Et vous, comment va votre « intérieur » ?
@ Herman kerhost
« La police américaine est bien plus respectable que la police française. Elle fait partie du peuple, et contrairement à la police française, elle protège les gens, elle ne les méprise pas. »
Bon, je suis conscient que dans un pays où une grand-mère peut cacher une mitraillette sous ses bas, où qui vit et qui meurt se décide en une fraction de seconde, il soit difficile d’agir avec sang-froid, mais quand même…
Il y a une chaîne YouTube dédiée à la police américaine:
Police Activity
A voir la majorité des vidéos (attention, c’est du cru, du vécu aux premières loges, et passionnant), tirer et tuer est leur solution à tout. Un nombre important des policiers étant au-delà de l’obésité morbide, courir après le suspect alors qu’une balle est plus rapide, semble du premier choix. Peu de choses me choquent, vu d’où je viens, mais un bon nombre de ces vidéos m’horrifient, tellement on ne peut qu’observer un manque d’entraînement et d’endurance ayant comme conséquence un professionnalisme inexistant, un manque de sang-froid et d’évaluation, tous ces lacunes menant le plus souvent à la mort du suspect.
Franchement, je préfère la France, et de loin.
@ Valéry | 09 septembre 2019 à 19:05
Je ne comprends pas votre commentaire. J’ai suivi votre lien mais je ne vois rien de ce que vous décrivez.
Lorsque je dis que la police américaine est préférable à la police française, je parle de son comportement envers la population en général, et je maintiens qu’il vaut mieux être innocent aux USA qu’en France…
@ Herman kerhost | 11 septembre 2019 à 01:44
«…je maintiens qu’il vaut mieux être innocent aux USA qu’en France…»
C’est bien beau de maintenir, mais sur quelle base ?
– Celle du plaider-coupable où des innocents avouent parce que c’est moins risqué pour eux ?
– Celle de la peine de mort ?
– Celle des juges et procureurs locaux, chef de police, élus et donc démagogues avec agenda politique à la clef ?
– Celle de services de sécurité privés et d’agents judiciaires privés rémunérés à la comptabilité, ainsi que les actionnaires ?
Question existentielle:
Des supporters démonstratifs qui crieraient « enc*lée » lors d’un match de foot féminin, est-ce de l’homophobie ou de l’égalité homme/femme ?
@ revnonausujai | 16 septembre 2019 à 07:48
Pour le savoir il faut attendre la troisième mi-temps libératrice 🙂
Patron ! un petit blanc !
https://www.youtube.com/watch?v=qNo41sQbIsI
« ….et je maintiens qu’il vaut mieux être innocent aux USA qu’en France… »
Rédigé par : Herman kerhost | 11 septembre 2019 à 01:44
D’accord à 10000000 % !
Inutile de faire la liste de ceux qui se sont défendus lors d’une agression de racailles impunies multirécidivistes et qui paient encore très cher leur audace.
Nous avons une justice ultrapolitisée extrême gauche SM mur des cons et ces gougnafiers n’aiment pas les gens qui prennent une autre route que… etc., selon la chanson.
@ Herman kerhost | 11 septembre 2019 à 01:44
Plutôt d’accord à une nuance près, aux USA, il faut pouvoir se payer un avocat qui tienne la route. Si on tombe sur un commis d’office paresseux, bête ou qui s’en fiche, on est très mal défendu, et alors c’est la galère. Le juge n’est pas là pour faire la part des choses. D’autre part, certains jurys au fin fond de la campagne au Texas par exemple peuvent avoir des idées bizarres malgré tout. En revanche, s’il n’y a pas de preuves matérielles, l’avantage penche nettement du côté américain parce que le procès a toutes les chances de ne pas avoir lieu.
J’ai lu que si on était coupable, on avait intérêt à être jugé en GB, il peut y avoir de bonnes surprises, et que, innocent ou coupable, c’est en Allemagne qu’on avait intérêt à être jugé. Mais je ne peux plus trouver la référence. Tout ce dont je me souviens, c’est que la France n’arrivait pas en tête du classement, en aucun cas. Elle consacre peu d’argent à la justice. Les scènes de crime sont souvent mal exploitées, quand elles ne sont pas rendues inanalysables par des enquêteurs trop pressés, ou à l’opinion déjà faite ; les jurés peuvent condamner au jugé (intime conviction), et la révision des procès est difficile. Le procès Omar en est l’illustration.
L’avantage pour les condamnés en France est quand même qu’il n’y pas de place dans les prisons !
Le taux d’élucidation chez nous n’est pas des meilleurs, ce qui est dommage car la France fut autrefois pionnière en police scientifique.
@ Elusen | 12 septembre 2019 à 02:20
Comme d’habitude, vous n’avez rien compris. Je parle de la police, pas de la justice.
Même si je ne prendrais pas de pari sur lequel des systèmes de justice français ou américain est le meilleur, je dirais simplement qu’ils excèdent l’un et l’autre dans des directions opposées…
@ Lucile | 16 septembre 2019 à 12:41
Vous avez raison, mais encore une fois je ne parlais pas de la Justice mais de la police.
Le comportement des policiers français est le premier responsable de la haine que leur voue la population en général. Il y a un monde entre la police française et celle américaine. Ici les gens aiment la police, et ils savent qu’ils peuvent compter sur elle le moment venu.
En France, on hésite à les appeler lorsqu’on en a besoin, de peur de passer du statut de victime à celui de coupable de je ne sais quel préjudice. On peut même se demander si parfois ils ne vous font pas payer le fait de les avoir dérangés.
Et je ne parle pas des policiers corrompus jusqu’à la moelle ! Quand ce ne sont pas les gendarmes:
https://www.liberation.fr/societe/1998/04/21/les-gendarmes-jouaient-aux-voleurs-vingt-trois-gendarmes-ripoux-et-un-receleur-comparaissent-devant-_233560
@ Herman Kerhost | 16 septembre 2019 à 14:39
Oui, je suis d’accord, les policiers sont mal vus en France. L’administration en général est perçue comme arrogante avec les administrés, peu obligeante, et source de complications. Bien des fois, elle ne fait pas grand-chose pour améliorer sa réputation, c’est le moins qu’on puisse dire.
@ Lucile
Entre la police des USA et la française qui tue dix fois plus pour la première, il n’y a effectivement pas photo. Et toutes les contorsions de ce Kerhorst pour prétendre le contraire, faisant passer nos policiers et gendarmes nationaux pour des brutes tortionnaires et leurs homologues américains du Nord pour des bisounours humanistes n’y changeront rien.
J’ajoute qu’ayant de la famille des deux côtés, je n’ai aucune raison d’avoir des a priori mais parle seulement en connaissance de cause, ayant vécu en outre tant aux USA qu’en France dans des quartiers à problèmes où la police n’était pas la bienvenue !
@ Mary Preud’homme | 16 septembre 2019 à 20:38
« Des brutes tortionnaires » ? Je ne sais pas où vous avez lu ça, Mary Preud’homme, sûrement pas dans mes commentaires.
Vous mentez, comme d’habitude. Et je ne doute pas que les lecteurs de ce blog s’en soient aperçus.
« Entre la police des USA et la française qui tue dix fois plus pour la première »
Vous devriez faire attention avec les statistiques, parce qu’il en existe de bien bonnes en matière de QI selon les races, ou de criminalité selon les mêmes critères…
Je ne sais pas si votre chiffre est exact, ça me paraît beaucoup, dix fois plus, et comme par ailleurs vous êtes une menteuse multirécidiviste, je me permets d’en douter.
Cependant, en admettant qu’il soit vrai, est-ce que pour autant cela constitue un scandale ?
Quand vous patrouillez dans des quartiers où tout le monde (noir en majorité) se tire dessus, et où « la police n’est pas la bienvenue », vous m’excuserez de penser que non.
Lorsqu’il y a trois chances sur dix que l’individu que vous voulez interpeller dégaine un pistolet, il ne faut pas s’étonner que les policiers aient la gâchette facile.