En attendant Godot, en attendant Macron…

Dans la pièce de Samuel Beckett, on a attendu Godot et il n’est jamais venu.

Depuis des mois on nous fait languir avec un discours important que le président de la République s’apprêterait à prononcer sur l’islam, le communautarisme et la radicalisation. De jour en jour on nous l’annonce et pour l’instant il est demeuré virtuel. On sait seulement qu’Emmanuel Macron préfère le terme « séparatisme » à « communautarisme ».

Pourquoi pas ?

Il semble qu’on réfléchisse intensément et qu’un déjeuner récent a même réuni à l’Elysée intellectuels, sociologues et responsables associatifs et deux ministres pour fournir des pistes et des orientations au président qui les trouveraient « trop faibles » (Le Parisien).

On a cru comprendre que, « pour rétablir l’ordre républicain », celui-ci chercherait à redonner une place importante au Conseil français du culte musulman (CFCM) dont le président vient de changer (Le Figaro). L’idée n’est pas mauvaise si cet organisme se montre plus offensif contre les dévoiements de l’islam, meurtriers ou non.

Pourquoi pas ?

Tout est bon à prendre dans cette quête interminable du bon moment et du verbe présidentiel adéquat. D’autant plus qu’au lieu de prévoir un traitement particulier pour chacun de ces thèmes – islam, « séparatisme » et radicalisation -, on a persuadé Emmanuel Macron de les appréhender de manière unique.

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Derrière cette course de lenteur, il y a pourtant un butoir qui est le premier tour des élections municipales. Puisqu’il est essentiel pour le pouvoir de couper l’argumentation sous l’esprit des oppositions, spécialement LR et le RN. Ce qui pourra advenir, si un jour l’intervention présidentielle se concrétise, sera dans tous les cas lesté d’une charge politique, voire partisane, qui en altérera le fond.

A force d’aviver notre attente, Emmanuel Macron ne pourra plus se permettre de nous diffuser un message – plus salmigondis vertueux pour n’effaroucher personne qu’énergie déterminée pour faire face aux dangers qui menacent la France et les citoyens dans leur quotidienneté et leur vivre-ensemble.

Islam, islamisme, radicalisation et terrorisme : un cycle infernal ?

Des voyous et des délinquants se refaisant une virginité en prison et sous l’influence salafiste prêts à perpétrer le pire.

Des cités où le séparatisme est poussé à son comble, avec une contrainte maximale sur les jeunes filles et les femmes obligatoirement voilées, et le trafic de stupéfiants comme moyen d’existence.

La pression constante exercée par un islam conquérant et développant à l’air libre, dans un climat pourtant républicain, intolérance, intimidation et menaces de mort.

L’ambiguïté à dissiper entre la liberté du choix, acceptable tant qu’il demeure exclusivement religieux, et les mille atteintes qui n’ont pour vocation que de grignoter notre terrain démocratique et notre socle non négociable de principes en testant notre capacité de résistance. Chaque particularisme imposé et maintenu étant une victoire, chaque brèche dans la mixité une avancée, chaque burkini une régression. L’islam fort et dominateur ne faisant qu’une bouchée de l’islam modéré dont on recherche désespérément une expression claire et nette.

La proclamation que le judaïsme et le christianisme sont des religions victimes et qu’il est inutile, pour se donner bonne conscience et respecter une égalité qui n’a pas lieu d’être, de les englober dans une réflexion générale sur l’islam, ses dérives et ses dissidences.

Le président n’a pas à « revoir sa stratégie ». Puisqu’on n’a rien vu encore.

On attend toujours. Puisque les « solutions trop faibles » sont à répudier, on attend les siennes.

On espère qu’enfin, si Godot, lui, n’est jamais venu, Macron surviendra et qu’il aura une parole et des propositions dignes, par compensation, du temps qu’il aura fait perdre à l’unité française.

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  1. « On espère qu’enfin, si Godot, lui, n’est jamais venu, Macron surviendra et qu’il aura une parole et des propositions dignes, par compensation, du temps qu’il aura fait perdre à l’unité française. »
    Jusqu’à présent, le principal reproche qui était fait à Emmanuel Macron était sa précipitation dans les réformes. Voilà maintenant que c’est sa lenteur.
    En ce qui concerne le communautarisme, ou le séparatisme, ne jouons pas sur les mots, le problème est encore plus complexe que la réforme des retraites.
    Là, pas de simulateur, pas de modélisation vu que le problème se situe à un autre niveau, l’irrationnel qui ne respecte pas les lois de notre monde temporel.
    La solution ne peut venir que par un rapprochement des responsables des trois religions monothéistes afin de trouver un consensus permettant aux trois communautés de vivre en bonne intelligence.
    Des tentatives ont bien déjà été faites, mais elles n’ont manifestement pas abouti et sincèrement, je ne vois pas très bien comment sortir de cette haine viscérale intercommunautaire vu l’ambiance délétère qui règne actuellement aussi bien en France qu’à l’étranger.
    Dans ce domaine sensible du religieux, mieux vaut ne pas confondre vitesse et précipitation et proposer un remède qui serait pire que le mal.

  2. Et ça y est on reparle du communautarisme.
    Phénomène pourtant normal et naturel, tous les expatriés pourraient notamment en témoigner.
    Ou les immigrés de l’intérieur se retrouvant à Paris entre personnes du même coin. Les Bretons, par exemple.
    Mais pour taper sur les Arabes tous les arguments sont bons !
    Y’a pas de problème: il y a des fils d’immigrés pauvres d’une part, des vieux trouillards de droite (pas que maintenant, d’ailleurs; de droite et de gauche, je rectifie, pardon) de l’autre. Et la masse indifférente à Valeurs actuelles ou aux cris d’orfraie de la blogosphère de droite.
    Et le traumatisme de l’Algérie française perdue aussi. OK, respect pour les exilés, mais une minorité n’a pas le droit de prendre en otage la communauté nationale de la sorte et aussi longtemps.
    Seul le temps règlera ces névroses françaises, pas la peine de perdre son temps à faire de grands discours !

  3. En attendant Godot, en attendant Macron.
    Je ne voudrais pas être rabat-joie mais j’ai l’impression que nous attendons la Saint-Glinglin !
    Quant aux religions, on devrait leur expliquer qu’elles doivent se cantonner à la sphère privée et ne pas se mêler de politique, particulièrement l’islam qui est plus politique que religieux.
    Nous avons la chance d’avoir la loi de 1905, pourquoi la remettre en cause comme veut le faire Macron. Attention, danger absolu !
    Nous devons, plus que jamais, réaffirmer la laïcité.
    Tous ces personnages qui veulent protéger les religions alors que nous n’avons jamais eu autant besoin de nous protéger d’elles…
    Beaucoup d’êtres humains ont besoin de croire. Peur de la vie et de ses souffrances. Peur de la mort. Besoin de se réconforter et besoin de croire qu’un être suprême et providentiel pourrait les secourir. Cela se respecte.
    Mais d’autres humains ont compris qu’il ne faut compter que sur soi.
    Les moines copistes, les petits malins, ont écrit : Aide-toi et le ciel t’aidera. La parade idéale pour répondre aux sceptiques…
    Il n’est pas nécessaire de chercher un sens à la vie.
    Toutes ces questions métaphysiques sont ennuyeuses à la fin.
    Il n’y a pas un sens à la vie mais deux. On y entre la tête la première et on en sort les pieds devant.
    En attendant, l’islam progresse. Ils ont compris le terme « progressisme » !
    « Entrisme islamiste : le fondateur du CCIF convoite la mairie de Garges-lès-Gonesse. »
    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/entrisme-islamiste-le-fondateur-du-ccif-convoite-la-mairie-de-garges-les-gonesse-115861

  4. Je ne comprends pas que l’on accepte de faire de l’Islam une religion particulière. Le CFCM ne représente pas les musulmans. Par qui ses membres ont-ils été élus ? Si pourtant c’est le cas, il y a du souci à se faire de suite, ses membres se revendiquent plus ou moins des Frères musulmans.
    Nous sommes en République. A-t-on déjà vu l’exécutif demander à s’entretenir avec les évêques ou avec les rabbins de France ? Les seuls représentants du peuple sont les députés.
    Il faut simplement être intransigeant sur l’application de la loi de 1905. Il n’y a qu’une loi, celle de la République, ceux qui ne l’acceptent pas sont des délinquants et doivent être jugés comme tels. Le discours éventuel du Président ne fera que nous enfoncer dans une spirale infernale. Pas de retour arrière possible. HÉLAS.

  5. Plutôt que de vaticiner sur cette épineuse question lisons Jérôme Fourquet à propos du sondage IPSOS datant de septembre 2019: « La proportion de Français musulmans déclarant participer à la prière du vendredi à la mosquée a plus que doublé, passant de 16 % en 1989 à 38 % aujourd’hui. Ce que ces résultats traduisent c’est que, dans cette population, la norme sociale est beaucoup plus religieuse aujourd’hui qu’il y a 30 ans(…) Au regard de ces résultats, on constate que l’évolution générale ne va pas dans le sens d’une sécularisation, mais d’une réaffirmation identitaire et religieuse se manifestant notamment dans les comportements quotidiens. (…)Quand on regarde dans le détail, on voit que les demandes concrètes d’adaptation de la laïcité sont soutenues et parfois très massivement. 82 % des sondés pensent ainsi qu’on devrait pouvoir manger halal dans les cantines scolaires et 68 % estiment qu’une jeune fille devrait avoir la possibilité de porter le voile à l’école. L’islam étant une religion assez injonctive dans la vie quotidienne, ces injonctions se heurtent au cadre laïc.(…) A ce propos, un différentiel assez important se dessine selon l’ancienneté de la présence en France. Parmi ceux qui sont Français de naissance, « seuls » 18 % estiment que la charia devrait s’imposer. Parmi ceux qui sont Français par acquisition, ils sont 26 % et parmi les étrangers, c’est 41 %. Cette revendication d’une suprématie de la charia est donc d’abord portée par les nouveaux arrivants qui viennent de pays où l’empreinte de l’islam est très forte. »
    http://www.crif.org/fr/revuedepresse/francereligion-jerome-fourquet-le-tchador-na-pas-encore-dit-son-dernier-mot
    Concrètement il serait donc sage de diminuer drastiquement les arrivées de nouveaux immigrés d’origine musulmane sur notre sol. Faut-il rappeler que l’enseignement coranique qu’ils ont reçu dans leurs pays d’origine ne les prédisposent pas à s’assimiler dans la société française ?
    Il convient d’être très ferme sur ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas en sanctionnant durement les atteintes à la liberté d’expression, à l’égalité homme-femme, à la liberté religieuse (le Coran punit de mort l’apostasie), etc.
    Expulser les imams sévissant dans des mosquées où il est notoire que notre pays et ses valeurs sont constamment attaqués
    Être intransigeant sur les pratiques quotidiennes installant le séparatisme communautaire
    Cela réclame un Etat fort et des élus « couillus », chose introuvable à l’heure actuelle !

  6. Marcel Patoulatchi

    @ JACMOR
    Ce que vous dites est juste. Mais, à vrai dire, ça ne choque (presque) personne non plus qu’on s’adresse à un Conseil représentatif des associations noires. Ainsi même le racisme est parfaitement admis en France aujourd’hui, pour peu qu’il soit une discrimination dite positive.
    ————————————————–
    @ Tomas
    Vous avez raison de vous rassurer en parlant de névrose. Après Charlie Hebdo (pas l’attaque terroriste elle-même : ce qui s’en est dit et s’en dit encore dans les endroits de France où l’Islam est ultramajoritaire), maintenant « Mila », tout ceci n’est pas inquiétant.

  7. On sait seulement qu’Emmanuel Macron préfère le terme « séparatisme » à « communautarisme ».
    Rappelons tout de même que l’article premier d’une certaine Constitution – dont M. Macron est supposé être le gardien – commence ainsi : « La France est une République indivisible »
    Nous n’allons pas porter de jugement de valeur sur ce texte, mais reconnaissons tout de même qu’il est plus que maltraité par les gens qui devraient être les premiers à le respecter…

  8. Qu’il se taise, ô qu’il se taise !
    Chaque mot qu’il prononcera sera un clou enfoncé dans le cercueil de notre société, de la France, et de notre civilisation.
    Il est super intelligent paraît-il. Il a tout compris sur tout, mais rien de rien de ce qui concerne l’Homme et ses motivations.
    L’humain échappe à son entendement.
    Lors de son voyage en Pologne. il a dit: « le gouvernement va corriger les choses pour que l’humanité retrouve l’efficacité. »
    Et si c’était plutôt à l’efficacité de retrouver de l’humanité ?
    Il vit dans sa bulle idéologique d’un monde qu’il veut reconstruire à sa façon.
    Je ne fais pas dans le détail, mais lui non plus hélas.
    Qu’il se taise, ô qu’il se taise !
    Des décisions, seulement des décisions, suivies d’actes simples.
    La suppression du droit du sol, remplacé par le droit du sang, modulé en fonction de l’origine européenne ou africaine.
    La suppression de la CMU pour tous les illégaux, et éventuellement pour d’autres également.
    La suppression des prestations sociales pour les familles aux enfants délinquants.
    La suppression de la double nationalité pour tous les fonctionnaires y compris et surtout pour les ministres qui seront tenus de porter des tenues folkloriques françaises et pas gabonaises ou ivoiriennes ou autres, et encore moins des pyjamas. Suivez mon regard.
    Et pour être positif, la remigration des illégaux et le rétablissement de la double peine.
    On peut rêver n’est-ce pas, même si au réveil on s’apercevra probablement que son discours n’était qu’un cauchemar.
    Qu’il se taise, ô qu’il se taise (Da capo).

  9. Denis Monod-Broca

    On ne sait pas qui est Godot, on l’attend et on attend beaucoup de lui, il est inconnaissable, il ne vient jamais… S’il n’est pas Dieu, comme Beckett l’a toujours affirmé, il lui ressemble drôlement ! Macron, lui, ne lui ressemble guère. Et pourquoi attendre une quelconque révélation de sa part ?
    S’il nous est si difficile de parler avec l’Islam c’est que nous croyons plus en aucun absolu. Que valent nos aspirations au confort et à la sécurité face à Dieu ou Allah ? À peu près rien. Retrouvons la foi, ne serait-ce que la foi en la vérité, en la parole, en nos principes, et nous pourrons à nouveau discuter avec les croyants. D’égal à égal.

  10. Vous attendez Macron et son discours sur l’Islam ?
    Moi pas, ce ne serait que du vent, des mensonges, des sottises !
    Enfin si vous attendez Macron c’est qu’il est toujours là et que nous n’avons pas pu l’éjecter, ne nous plaignons pas alors des dégâts qu’il cause à notre citoyenneté puisque la ripoublique c’est lui maintenant.
    Vive la pègre franc-maçonne.

  11. Xavier NEBOUT

    L’islam étant une religion normale ou « vraie religion », on n’y sépare pas la morale privée de la morale publique, et ses adeptes ne peuvent se soumettre qu’en faux-semblant à des lois pour eux immorales.
    Cette insurmontable difficulté ne peut se résoudre que par un communautarisme bien compris et reconnaissant un droit coutumier.
    Cela existe bel et bien en France dans certains territoires d’outre-mer.
    Cela pourrait même constituer un conservatoire de la civilisation au regard de la dégénérescence accélérée de la nôtre.

  12. « En attendant Godot, en attendant Macron… »
    Trop tard cher P. Bilger, sans doute trop tard, chaque jour qui passe le confirme.
    Trop tard, parce que ce que nous savons de Macron nous souffle qu’il ne traitera jamais sérieusement, je dis sérieusement, cet immense problème de la place de l’Islam en France. Partagé qu’il est, dans son cynisme, entre électoralisme à la Hollande, sa précieuse image mondialiste de tolérance bienveillante et son incapacité à comprendre l’extrême importance de l’unité de la nation.
    « Il semble qu’on réfléchisse intensément et qu’un déjeuner récent a même réuni à l’Elysée des intellectuels, sociologues et responsables associatifs et deux ministres, pour fournir de pistes et des orientations au Président qui les trouveraient trop faibles » selon le journal Le Parisien.
    Foutaises du Parisien ! Vous savez bien que ce journal (propriétaire famille Arnault) a son couvert à l’Elysée, que Brigitte est une amie de la famille Arnault, que Bernard Arnault est un des « grands bienfaiteurs de Macron » et que ce genre d’annonce est fait pour alimenter les cervelles des pensants et calmer l’impatience des Français.
    Pensez-vous vraiment que c’est à un dîner à l’Elysée avec intellectuels, sociologues, responsables associatifs, deux ministres que vont s’élaborer les solutions de cette hantise actuelle de la césure entre communautés ? On en rirait si ce problème n’était pas aussi sérieux.
    Me revient en mémoire, en vous lisant, la phrase de Donald Rumsfeld, « la vieille Europe ». Il aurait dit « la vieille France », c’eut été encore plus vrai. Une quasi-réalité que bien des élites et des pensants ne veulent pas voir.
    Notre France est à genoux. Notre peuple est épuisé. Il est exsangue, n’a plus de ressort. Après deux siècles terribles qui consacrent notre déclin ! Notre nation a été saignée à blanc : les guerres napoléoniennes, la guerre de 70, la guerre de 14, la guerre de 39, la guerre d’Indochine, la guerre d’Algérie, et maintenant une guerre avec un conquérant sur notre propre territoire.
    Notre peuple n’en peut plus, n’en veut plus. Il n’aspire plus qu’à la soumission et à confier son destin à un conquérant. En espérant conserver ses trente-cinq heures, son apéro, ses RTT, ses avantages sociaux et sa tranquillité sous une autorité ombrageuse. Nous aspirons collectivement à nous aplatir. Réitérant, quelques siècles plus tard, la conquête andalouse par l’Islam. Dans un autre style mais tout aussi efficace.
    L’unité française vole en éclat et la France s’achemine vers un autre destin autrement moins glorieux que quinze siècles d’Histoire passée. Sans sa nécessaire et implacable unité, ce pays retournera aux guerres civiles qui hantent son histoire.
    « Tout est bon à prendre » dites-vous. Non cher P. Bilger, tout n’est pas bon à prendre, s’il s’agit seulement d’un montage intello qui ravira par sa complexité et ses mots, les pensants ! Cette attitude porte un nom : soumission. Est-ce cela que vous voulez pour la France ?
    Je ne demande qu’à être démenti, mais, a priori, Macron ne fait pas le poids face au défi historique. Une fois de plus, il ne comprend pas ce qu’est la France. Et pourtant la tâche est immense.
    Il nous fallait une « âme forte » en ces temps sombres, mais qu’avons-nous à la Présidence ? Je ne sais trouver les mots.
    Cordialement.

  13. En attendant Godot…
    Pour démarrer l’année 2020 dans l’absurde :
    « Un rebelle islamiste syrien soupçonné de crimes de guerre arrêté en France
    Majdi Mustapha Nameh, titulaire d’un visa Erasmus, était membre du groupe Jaych Al-Islam. »
    Et le meilleur de l’affaire : « La barbe est plus fine. Et, sur les images qu’il poste sur les réseaux sociaux, il a troqué le treillis pour la toge universitaire. Il se présente comme « un chercheur en sécurité et terrorisme. Spécialisé sur la Syrie ».
    On vit une époque formidable !
    https://www.lemonde.fr/international/article/2020/02/03/un-rebelle-islamiste-syrien-soupconne-de-crimes-de-guerre-arrete-en-france_6028223_3210.html

  14. Michel Deluré

    @ Achille 09/20 08:44
    Qu’un rapprochement entre les responsables des trois religions monothéistes soit une condition nécessaire, nul n’en doute, mais cela ne saurait assurément constituer une condition suffisante.
    C’est se bercer d’illusion que de croire qu’un tel rapprochement résoudrait à lui seul le problème.
    De même que les discours et les débats qui se bornent à condamner les crimes terroristes et à témoigner de sa compassion à l’égard de leurs victimes ne suffisent pas.
    Il faut que l’on cesse de croire, et les musulmans sincères en premier, qu’il n’y a, comme l’on dit, aucun amalgame à faire entre islam et islamisme et donc terrorisme.
    On ne vaincra pas le djihadisme et son corollaire le terrorisme en prétextant que ceux qui s’en réclament ne sont que des illuminés, des déséquilibrés.
    Certains, qui sont les auteurs de ces actes lâches, abjects, ne connaissent peut-être point le Coran, mais il en est d’autres qui les ont endoctrinés, enrôlés, et qui eux l’ont bien lu et interprété à leur manière.
    Et ceux-là ne ménagent pas leurs efforts partout où ils sont et par tous les moyens modernes dont ils disposent pour répandre leur funeste doctrine.
    Au-delà des discours, ce sont donc des actes fermes qui sont nécessaires si nous voulons éradiquer le mal.
    Il ne suffit pas de se donner bonne conscience en combattant le djihadisme au Moyen-Orient ou en Afrique, il faut aussi s’en donner les moyens sur notre propre territoire et les discussions et querelles byzantines entre responsables et partis politiques ou organisations religieuses, pour nécessaires qu’elles soient, n’y suffiront pas.
    La liste des victimes du terrorisme est déjà suffisamment longue. N’attendons pas qu’elle s’allonge.

  15. @ Tipaza
    Oui qu’il se taise, et surtout qu’il ne fasse rien, on pourrait commencer par appliquer la loi sur la laïcité.
    S’il la réforme comme il réforme les retraites, il y aura des dégâts, même Achille a peur que le remède ne soit pire que le mal, c’est dire la confiance que lui inspire le chef de l’État. Bon, autant que je m’adresse directement à Achille, j’ai une question à lui poser.
    @ Achille
    « La solution ne peut venir que par un rapprochement des responsables des trois religions monothéistes afin de trouver un consensus permettant aux trois communautés de vivre en bonne intelligence ».
    Premièrement, ce n’est pas le Président qui peut faire vivre les adeptes des trois religions en bonne intelligence, et on ne voit pas comment rapprocher les responsables de ces religions y réussirait, d’autant qu’il n’y a pas de vrais responsables de la religion mahométane reconnus par la base.
    Deuxièmement, et surtout, vous faites comme si le problème était de faire cohabiter les trois religions. Ce n’est pas le cas, pas du tout. Elles ne sont pas interchangeables en ce qui concerne les points qu’énumère Philippe Bilger : islam, communautarisme, radicalisation, et terrorisme (« un cycle infernal ? »).
    Pourquoi voulez-vous convoquer le judaïsme et le christianisme en même temps ? En quoi posent-ils problème ? Excuse me, mais je vais finir par croire que vous embrouillez la question ; de la sorte, on ne risque pas de trouver la solution, n’est-ce pas ?

  16. La proclamation que le judaïsme et le christianisme sont des religions victimes et qu’il est inutile, pour se donner bonne conscience et respecter une égalité qui n’a pas lieu d’être, de les englober dans une réflexion générale sur l’islam, ses dérives et ses dissidences.
    Eh oui…
    Le président n’a pas à « revoir sa stratégie ». Puisqu’on n’a rien vu encore.
    Eh oui bis…

  17. Michelle D-LEROY

    Godot ou l’Arlésienne… sœur Anne ne vois-tu rien venir.
    La vérité c’est que dans cette affaire, Macron ne sait pas comment s’y prendre pour donner le change aux Français de plus en plus nombreux à constater et craindre l’ampleur du communautarisme.
    Le roi du « En même temps » voudrait à la fois calmer le jeu en vue des élections et ne pas déplaire à tous ses électeurs musulmans. Un grand dilemme, d’autant que lui-même se moque du séparatisme entre communautés, puisque son nouveau monde progressiste serait le mélange des peuples sans frontières.
    A mon avis il ne fera pas grand-chose, confiant cette tâche au CFCM pour s’en décharger. Autant dire que tout cela ne sera encore qu’un cautère sur une jambe de bois.
    Je n’attends rien d’un Président qui n’aime pas son pays ni son passé et préfère botter en touche sur les sujets difficiles.
    Seulement, après deux ans et demi, ce qui faisait illusion au début n’opère plus. Entêté il est, entêté il restera, voulant imposer à la vieille France gauloise son idée.

  18. Emmanuel Macron aurait dû s’attaquer, très vite, à l’islamisme qui ne cesse de gangrener notre pays et l’Europe. C’est là qu’il aurait dû aller vite et ne rien céder.
    Pendant que l’Etat français et ses services consulaires promettent d’assurer notre sécurité, on apprend une fois de plus que d’autres « défaillances », comme celles à la Préfecture de Police de Paris, ont été signalées grâce à Chris Doyle, directeur du Council for Arab British Understanding (Caabu) à Londres et qui relève que ce Syrien s’était vu refuser l’entrée d’une grande université britannique et s’étonne de l’absence en France des vérifications d’usage international.
    Comment a-t-il pu échapper à la vigilance des autorités françaises, se faire délivrer un visa et s’inscrire dans un institut universitaire qui relève du CNRS ? Combien y-a-t-il de bombes islamistes ambulantes sur notre sol et en Europe ? Les service de renseignement le savent-ils ?
    – Madji Mustafa Nema (ou Nameh), interpellé le 29 janvier dernier à Marseille, était entré en France grâce à un visa court séjour et dans le cadre du programme Erasmus. Il a été mis en examen depuis pour « actes de tortures et complicité », « crimes de guerre » et « complicité de disparitions forcées ».
    Que peut faire le CFCM ? rien ! L’islamisme radical est leur gagne-pain, leur idéologie militante et politique gangréneuse dans le but de créer une « communauté » mondiale, un califat signifiant un État islamique pour les croyants musulmans ! Le CFCM se contente de déposer plainte contre le racisme mais ne combat pas à nos côtés ces parasites mortels.
    Quand la gangrène a gagné au-dessus du genou, il faut amputer. Et c’est le cas à présent. Emmanuel Macron et son gouvernement doivent agir vite, ou c’est la sortie en 2022.

  19. En attendant Godot, Merkel et l’Europe favorisent la « submersion » migratoire décrite par Gérard Collomb (cela lui a coûté son poste de ne pas marcher droit en macronie…).
    L’immigration n’est plus choisie, elle est imposée et subie.
    Il faut marcher dans les clous, sinon gare… Démocrature, Macroncrature.
    « Vous parlez d’« immigration choisie qui n’est « ni le mur ni la passoire ». L’Europe est-elle l’un ou plutôt l’autre ?
    La fin des États nations et de leurs frontières oblige à constater qu’elle est une passoire : mais c’est l’État maastrichien qui le veut : c’est en effet bon pour abolir le code du travail, soumettre les travailleurs, ubériser la production, sous-payer les ouvriers, supprimer les temps de repos – le dimanche, les jours fériés, les vacances, le temps de retraite – au profit d’une surchauffe de la machine à produire, qui doit fonctionner sans arrêt avec des esclaves taillables et corvéables à merci. » Michel ONFRAY
    https://www.letelegramme.fr/france/michel-onfray-les-jacqueries-reprimees-donnent-lieu-a-une-revolution-08-02-2020-12498050.php
    Il ne s’agit pas de philanthropie, il est uniquement question de business. De plus, nous privons les pays en difficulté de leur jeunesse et donc de leurs forces vives. Je sens que dans les années futures, ils vont aussi nous le reprocher…

  20. @ caroff
    « Faut-il rappeler que l’enseignement coranique qu’ils ont reçu dans leurs pays d’origine ne les prédisposent pas à s’assimiler dans la société française ? »
    Pour ne pas évoquer l’enseignement scolaire qui conditionne les élèves à une haine revancharde de la France et des Français.
    Les politiques qui chez nous ignorent tous ces éléments ne pouvant que creuser davantage un fossé culturel pourtant déjà béant sont des irresponsables qui jouent avec le feu.
    —————————————————————-
    @ Achille
    « La solution ne peut venir que par un rapprochement des responsables des trois religions monothéistes afin de trouver un consensus permettant aux trois communautés de vivre en bonne intelligence. »
    Sauf que vous raisonnez là comme la plupart des ministres de l’Intérieur et des Cultes – pour ne pas parler d’autres Français – qui n’ont pas compris avec leurs classifications simplistes que l’Islam n’était pas à proprement parler une religion.
    Certes, le Beau Modèle a eu le génie d’introduire le prétexte religieux pour justifier le recours de sa part à un certain nombre de procédés qui pourraient paraître discutables, mais c’est oublier que l’Islam est avant tout un système totalitaire global régissant tous les aspects de la vie des hommes et des sociétés, de la religion – ou équivalent – à la politique et parfois à la guerre.
    Et l’adversaire de « l’Islam de France » c’est moins telle ou telle religion monothéiste que le républicanisme français mécréant…

  21. @ PR CALGUÈS
    Ben oui, qu’il l’ouvre et ne fasse que jeter de l’huile sur le feu. Ce type est une catastrophe.

  22. « Tout est bon à prendre dans cette quête interminable du bon moment et du verbe présidentiel adéquat » (PB)
     
    Quand même, vous et moi ne sommes pas des perdreaux de l’année et nous savons que chaque fois qu’il s’agit de séduire ses semblables ou de briguer des suffrages, l’hypocrisie devient plus qu’un procédé de rhétorique, une nécessité absolue.
    Les hommes au pouvoir agissent et parlent comme s’ils étaient persuadés d’avoir affaire à des enfants ou à des demeurés. Les électeurs semblent d’ailleurs leur donner raison puisqu’ils les élisent voire les réélisent.
    Tous les programmes prônent une société plus juste et plus humaine (« c’est notre projet ! » hurlait Manu – qui n’avait pris qu’un p’tit café ;)), on devrait donc aboutir à la formation d’un gouvernement d’union sacrée. Ben non, chacun tire à hue et à dia pour sa future start-up, pas forcément politique.
    Que dire de ceux qui se montrent sur les marchés ou dans les bistrots pendant les périodes électorales, tel Edouard Philippe, pour serrer les mains et faire croire que l’on peut aussi parler « peuple » en seconde langue.
    Les plus de soixante-cinq ans constituent une providence pour l’homme politique désireux de faire preuve de son sens social et de son bon cœur. Du reste Bibri est là pour le rappeler à Manu tous les matins.
    Homme politique est peut-être une profession nécessaire mais certainement pas un métier honnête.

  23. Ce qui est amusant dans tout cela, c’est que Macron veut la fin de la France et que la majorité des Français veut la fin de Macron.
    Cherchez l’erreur !

  24. @ Isabelle | 09 février 2020 à 09:52
    Une religion est un fait social, pas un organisme vivant doté d’un appareil auditif. Quant aux fidèles et aux responsables religieux, leurs droits sont ceux de tout le monde, ni plus, ni moins.
    ———————————————————–
    @ JACMOR | 09 février 2020 à 10:03
    La loi de 1905 n’interdit nullement aux élus et ministres de consulter qui bon leur semble, religieux, francs-maçons, militants ou responsables de partis, chauffeurs de taxis ;-)…, mais ils sont seuls responsables des décisions prises.
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000508749

  25. Je viens de faire le match de l’année, je suis sonné et dans les cordes, je vais être compté jusqu’à dix… Je résiste pour ne pas m’écrouler, le match est truqué depuis le début, comment faire ?
    Pourtant nous sommes tous au courant, tout le reste est miroir, une poignée tient dans ses griffes 67 000 000 d’individus, ils ont fait les règles, les font et les défont à leur guise.
    A un tel niveau c’est de la folie, comment s’en sortir ? Une vie faut-il attendre ? Attendre qui ? et pourtant on n’est pas dans le monde du Désert des Tartares :
    https://i.goopics.net/q9RL9.jpg
    En fait cette noblesse d’Etat nous crache dessus, est constituée de telle sorte que même les plus brillants de nos écoles ne peuvent y pénétrer.
    Les citoyens ne peuvent plus attendre, le pays non plus, la réalité qui écrase la fiction, tout y est les noms, les faits et même plus, à déguster et lire sans modération, attention protège-dents et coquille indispensables sous peine d’aller au tapis comme moi.

  26. Cessons d’attendre et de croire que Jupiter nous surprendra sur ce douloureux sujet.
    Cette référence à Godot est une blague, c’est une accroche pour intituler un billet, ça ne tient pas la route.
    La sempiternelle référence aux grands auteurs, Camus, Orwell ou Beckett pour asseoir une idée, signe un manque de culture. « Comme le disait l’immense Chateaubriand… » Et mon cul c’est du poulet ?
    Macron est un idiot, un puceau de la vie, un imbécile, un inculte, ce Jupiteux « finira en farce », comme l’avait prédit Sarkozy.

  27. Dans la « start-up nation » telle qu’Emmanuel Macron la conçoit, il va de soi que le Président se doit d’être « disruptif ». Le terme est précis et impose que l’innovation ne soit pas le fruit de la réforme, mais la conséquence d’une vision nouvelle, iconoclaste s’il le faut, qui bouleverse, renverse même, les conventions établies, les habitudes consensuelles et, lorsqu’il s’agit de la loi, les fondements mêmes de notre modèle.
    Sans pour autant qu’ils puissent être taxés d’immobilisme, ceux qui ont un peu plus d’expérience que lui de la res publica, savent, eux, que certains textes, piliers de notre démocratie, ne peuvent être modifiés que d’une main tremblante. C’est bien sûr le cas de notre Constitution, mais aussi, par exemple, des lois de 1901 sur les associations, de 1905 sur la laïcité et de 1947 sur la distribution de la presse.
    Prenons ce dernier cas. La « loi Bichet » instaure une égalité de traitement entre tous les titres de presse – ce qui assure la présence des journaux de toutes opinions chez tous les diffuseurs – et organise leur distribution sous la responsabilité de coopératives qui, regroupant exclusivement des éditeurs, sont obligatoirement majoritaires dans le capital des sociétés de messageries (Presstalis – ex-NMPP -, MLP…).
    Au fil des ans, sous les ruades du Livre CGT et en raison du coût du traitement des invendus, ce modèle économique, construit pour assurer la diffusion de toutes les opinions, a rencontré des difficultés et a placé la principale messagerie au bord de la faillite.
    A l’automne dernier, en catimini, le gouvernement a rompu la loi Bichet en permettant l’entrée sur ce marché de messageries multiservices dont le capital pourra être détenu majoritairement par des actionnaires non éditeurs, en regroupant la tutelle de ce secteur avec celle de La Postes et des Télécommunications et, plus grave, en permettant aux diffuseurs de choisir les titres qu’ils mettront à la disposition de leurs clients. Certes, cette règle ne concerne pas la presse d’information politique et générale qui conserve, pour l’heure, un droit d’accès absolu au réseau de distribution… Mais, sous la pression des nouveaux acteurs économiques et de la montée en puissance des versions numériques, rien ne dit que ce faible rempart sera longtemps maintenu, La reprise des invendus n’aura alors plus lieu d’être… et la presse, miroir de la démocratie, sera devenue un produit comme un autre, tributaire des lois du marché… Bel exemple de « disruption » !
    Tout ceci pour dire que la loi de 1905, qui, comme ce fut le cas de la Bichet pendant 70 ans, fait la preuve de sa pertinence et de son efficacité depuis plus d’un siècle, n’a pas à être malmenée sous prétexte que la religion musulmane, qui conçoit son rapport au politique comme l’Eglise à l’époque de l’Ancien Régime, a aujourd’hui pignon sur rue en France. C’est à l’islam et à ses fidèles de s’adapter totalement aux règles de notre République et à celle-ci de leur appliquer avec rigueur les mêmes règles que celles que respectent les autres religions. Avec, en plus, pour l’instant, l’obligation de mettre fin sans aucun délai aux pratiques sanguinaires de ses adeptes radicalisés. Il n’est plus acceptable que les responsables musulmans – jusqu’au dernier imam – prétendent ne pas être responsables de leurs exactions.
    A défaut de quoi, l’Etat devra considérer que cette religion présente un danger pour notre société, entreprendre, sans faiblir, l’éradication des lieux de culte formant et abritant les « fous de Dieu » et punir ceux qui, par leur silence ou leurs trop faibles reproches, en sont les complices. Notre arsenal législatif est suffisant pour que de telles dispositions puissent être mises en œuvre et il n’est nul besoin du « verbe » présidentiel (*), si ce n’est le rappel ferme et sans nuance que toute tentative de « séparatisme » sera combattu sans la moindre concession et avec l’approbation de l’immense majorité des Français.
    Sur ce dossier majeur comme sur beaucoup d’autres, nous n’avons nul besoin d’un président « disruptif », mais simplement d’un chef d’Etat protecteur du peuple, qui fait le job. Sans discourir.
    (*) Ce terme porte une dimension divine – « Au commencement était le Verbe, « le Verbe s’est fait chair » (Evangile selon Saint Jean) et laisse supposer que notre Jupiter serait un nouveau Messie… Que Dieu nous en garde !

  28. Michelle D-LEROY

    D’ailleurs comment voudrait-on qu’Emmanuel Macron puisse dire quelque chose sur le plan du communautarisme et sur la place de la religion islamique en France, puisque tout récemment (27 janvier 2020) il a osé dire que la guerre d’Algérie et la Shoah étaient du même acabit et qu’il allait se préoccuper de la reconnaissance mémorielle concernant ce pan de notre Histoire.
    Il donne donc par avance les verges pour se faire battre et pour soumettre la France comme si on le devait bien.
    A force de dire tout et son contraire, de démontrer aux Français que la situation actuelle n’est qu’un retour de bâton, Emmanuel Macron n’est plus crédible et sa fausse agitation n’est que publicité préélectorale.

  29. Catherine JACOB

    « Le président n’a pas à « revoir sa stratégie ». Puisqu’on n’a rien vu encore.
    On attend toujours. Puisque les « solutions trop faibles » sont à répudier, on attend les siennes. »
    Il semblerait que tout le monde ne soit pas dans votre cas étant donné la stratégie des consignes dont nous avons récemment entendu parler au journal télévisé par l’élu LREM des Bouches-du-Rhône, François-Michel Lambert, qui a même dénoncé en ces termes la gestion de la majorité : « Entre Emmanuel Macron et les élus, il y a une sorte de cabinet noir d’une vingtaine de personnes technocrates qui décident de tout et qui nous donnent des fiches. ».
    F.-M. Lambert a pour sa part quitté LREM depuis un an tout comme 14 autres députés auxquels un tel manque de démocratie au sein du groupe était devenu intolérable ou, qui comme député de la 9ème circonscription des Français établis hors de France mis en examen pour violences volontaires, M’Jid El Guerrab , avait frappé un responsable socialiste à l’aide de son casque de moto, ont rejoint le groupe LT.
    Le groupe LREM qui est donc passé de 314 à 300 reste cependant majoritaire de 23 députés.
    Pour ma part, je suis restée « scotchée » en apprenant l’existence de telles fiches.
    A quand le prompteur lors des meetings qui fournira les réponses aux questions relatives par ex. à Benalla, passé de barbouze à prince des trolls sur Twitter.
    Certains semblent cependant pouvoir se passer de fiches en la matière comme par ex. la député Claire O’Petit élue LREM dans la 5e circonscription de l’Eure et qui, alors que déjà en 2012 elle déclarait : « Très franchement, quand je vois un barbu en djellaba qui traverse au feu rouge, j’ai envie d’accélérer, je vous le dis. », ne semble pas avoir été recadrée depuis par ce parti qui prône une parole décomplexée et sans tabous, dont le chef, qui n’en est cependant pas le secrétaire général, traite ses concitoyens de « Gaulois réfractaires », « Fainéants », « Cyniques », « Alcooliques », « Illettrés », « extrémistes » et « Gens de rien ».
    D’où comment s’étonner qu’une jeune fille de 16 ans à laquelle on n’a manifestement pas appris la différence entre une formule comme par ex. « je n’aime pas les haricots », formule policée qui permet de s’exprimer librement sur le sujet des haricots, et un vulgaire jugement énoncé à l’emporte-pièce comme: « les haricots c’est d’la m..de !»; alors que si effectivement il peut s’avérer nocif de le consommer cru, une fois cuit ce légume, encore surnommé « viande du pauvre », contribue à faire baisser le taux de mauvais cholestérol, se soit complètement lâchée au point de devoir être elle aussi objet d’une protection policière.
    N’est pas en effet Greta Thunberg qui veut, et la « grève de l’école pour le climat », n’a rien de « l’incitation à la haine » dans la plus totale ignorance de ce que la notion de laïcité est une notion fondée prioritairement sur le respect des croyances qui ne sont pas les nôtres, et aussi que la liberté d’expression s’arrête à la frontière du propos insultant et injurieux dans sa forme, ce que semblent également ignorer les médias qui, au nom d’une liberté d’expression également mal comprise, prennent son parti au lieu de condamner fermement et l’inconséquence de la jeunesse et la violence de la réaction qu’elle a suscitée et qu’on ne saurait laisser s’exprimer dans notre pays.
    Sinon, ne vous attendez pas à ce que Jupiter se manifeste par son foudre davantage que dans la pièce de théâtre de l’Irlandais Samuel Beckett, ne s’est manifesté un God dans l’accent chantant des Irlandais mâtiné peut-être bien de frenchie !!

  30. De Macron je n’attends rien de plus que la continuité de la politique et de la communication menée depuis 1962 par les gouvernements socialistes qui se sont succédé à la tête de la France.
    J’ai vite compris ce qui se passait quand j’ai appris qu’une secrétaire militaire française avait été condamné à trois ans de prison alors qu’elle n’avait fait qu’obéir aux ordres d’un général. La même année, une poseuse de bombe algérienne avait été reçue au Palais de l’Elysée avec les honneurs de la Garde républicaine.
    L’Algérie n’a jamais respecté les accords d’Evian. Ainsi la France est capable de s’abaisser bien bas alors que la paix n’est toujours pas signée.
    M. Macron n’a toujours pas fait la moindre déclaration sur le sol français à ce sujet. Par contre, à l’étranger, il a fait plusieurs déclarations qui vont à l’encontre de la vérité.
    M. Macron croit probablement que 1 750 000 Algériens ont été déportés ce qui est faux. Ce nombre contient surtout des réfugiés qui ont fui les atrocités commises par des bandes assoiffées de sang et armées par les pays situés dans le bloc de l’URSS. Ces bandes qui égorgeaient par surprise les hommes, éclataient le crâne des enfants contre les murs sous les yeux des mères qu’ils finissaient de massacrer après les avoir violées.
    M. Macron parle à l’étranger de ce qu’il ne connaît pas, de ce qu’il ne peut pas comprendre. En France, il n’a toujours pas fait de discours au sujet des crimes de masse commis par les musulmans à Paris et à Nice. La réalité dérange, la gauche se réfugie dans son idéologie et ses fantasmes.

  31. Sergio Carioca

    « La proclamation que le judaïsme et le christianisme sont des religions victimes »
    Vrai pour le judaïsme ? plutôt.
    Une épine tout de même, son utilisation comme justification de spoliation territoriale en dépit des décisions de l’ONU.
    C’est vrai pour le christianisme ?
    Peut-être parlez-vous du christianisme contemporain alors plutôt, oui.
    Parce que dans le passé on a largement tué au nom de ce pauvre Jésus dit de Nazareth.
    Jérémie l’avait bien dit : peuple fou qui a des yeux et ne voit pas, etc.
    Une autre épine cependant : les chrétiens américains qui se confondent avec les suprématistes blancs.
    « La pression constante exercée par un islam conquérant et développant à l’air libre, dans un climat pourtant républicain, intolérance, intimidation et menaces de mort. »
    La tournure « un islam » indique en bon français qu’il s’agit d’une des formes de l’islam seulement. Mais cela sera lu autrement par beaucoup.
    Si on pense à la même fraction de l’islam, je trouve que conquérant est un peu trop glorieux et que malfaisant, criminel et sanguinaire serait plus adapté.

  32. @ Exilé | 09 février 2020 à 17:07
    @ Lucile | 09 février 2020 à 14:32
    @ Michel Deluré | 09 février 2020 à 14:22
    Je vais vous faire une réponse globale qui je pense répondra à vos questions.
    Je pense effectivement comme beaucoup d’autres Français et même quelques ministres que l’Islam est une religion à part entière au même titre que les deux autres.
    Elle est pratiquée par des millions de musulmans qui ne sont en rien des terroristes et qui pratiquent leurs rites religieux sans faire d’histoires. Ils ne sont d’ailleurs pas épargnés par les attentats djihadistes (exemple, celui de Nice).
    Les islamistes qui dénaturent les textes du Coran ne sont qu’une minorité, et nous ne voyons qu’eux vu qu’ils sont les auteurs des attentats.
    C’est sur eux que les services de sécurité et de défense du territoire doivent se focaliser afin de les empêcher de nuire : rapatriement manu militari des étrangers radicalisés, internement pour fichés S qui sont nés sur notre territoire présentant un danger, accompagné d’une rééducation en bonne et due forme afin qu’ils ne présentent plus aucun danger quand ils retrouveront la liberté (car ils sortiront tôt ou tard de prison).
    Il faut ensuite faire la chasse aux imams salafistes et écoles coraniques qui font un prosélytisme déviant auprès de jeunes qui sont facilement influençables car sous leur emprise.
    Il faut enfin que les imams qui défendent un islam modéré (comme Tareq Oubrou, l’imam de Bordeaux, par exemple), les grands rabbins et les évêques se rencontrent régulièrement afin de s’entendre sur les moyens d’harmoniser la pensée spirituelle de leurs religions respectives. Des rencontres entre croyants des trois communautés, par exemple.
    Il fut une époque pas si lointaine où Juifs, Musulmans et Chrétiens vivaient en bonne intelligence. Il faut retrouver ce relationnel pacifique.
    Pour finir je dirai que la foi est un sentiment qui peut paraître incompréhensible pour les non-croyants, mais qui est un soutien spirituel et moral pour beaucoup de personnes, qu’elles soient musulmanes, juives ou chrétiennes.
    Les trois religions monothéistes adorent la même entité spirituelle, qu’elle s’appelle Dieu, Jéhovah où Allah. A partir de ce fondement, il convient de trouver un moyen de cohabiter.
    Cette solution pacifiste est encore la moins mauvaise car les méthodes coercitives proposées par la droite dure et le RN ne peuvent conduire qu’à une montée des conflits communautaires qui n’en finiront jamais.

  33. Pierre Blanchard

    https://www.lexpress.fr/actualite/politique/lrem/sibeth-ndiaye-annonce-un-plan-contre-le-separatisme-dans-la-republique_2117752.html
    Sibeth Ndiaye annonce un plan « contre le séparatisme dans la République »
    En français, on évoque les problèmes posés par le « communautarisme »… En langue « macronienne », il s’agit de traiter du « séparatisme » ; les Bretons, les Basques et les Corses vont s’engouffrer dans la brèche, non ?
    SÉPARATISME. (dictionnaire Académie française)
    tendance d’une partie d’un peuple, d’un État à la séparation.
    (bon pour communautarisme, « nos » académiciens ne connaissent pas ce mot, absent de leur dictionnaire… et de leur vie habituelle, il est vrai que ses membres ne sont guère confrontés aux problèmes posés par le communautarisme… étonnant, non ? Donc ils ont « zappé »)
    Communautarisme
    Tendance à privilégier la place des communautés dans l’organisation sociale.

  34. Robert Marchenoir

    Je ne crois pas à un pilotage de l’islam par les autorités, genre concordat avec les Juifs. Cela ne peut marcher qu’en pays musulman.
    Le chef de l’État doit lui-même être musulman, et agir au nom de l’islam, pour s’arroger le droit institutionnel de réprimer (nécessairement avec brutalité : rien de moins n’y fera) les velléités des musulmans fanatiques. C’est bien ce que l’on constate au sein du monde islamique.
    Quant aux pays non musulmans qui sont affligés d’une minorité musulmane indigène, leur exemple ne nous est guère applicable. La Chine communiste se livre carrément au génocide rampant de ses Ouïghours. L’URSS a déclenché sa chute en prétendant exercer sa tyrannie sur les musulmans afghans. La Russie contemporaine ne musèle ses musulmans qu’en consentant à un régime islamique, dictatorial et tortionnaire en Tchétchénie.
    L’esprit fonctionnariste français s’illusionne en pensant que ce qu’il a fait avec le judaïsme, il pourrait le faire avec l’islam. Tout simplement parce que les Juifs sont favorables à la société occidentale chrétienne, tandis que les musulmans lui sont hostiles. Excusez du détail.
    En sorte que la seule stratégie possible est une stratégie de ruse, de menace et de dissuasion. C’est évidemment de l’extérieur que l’État français doit contraindre l’islam, pour avoir les mains libres. Cette contrainte doit être impitoyable et malhonnête. Il ne s’agit évidemment pas de se faire bien voir des musulmans. Il s’agit, bien au contraire, de s’en faire mal voir.
    Qu’on leur passe la main dans le dos en même temps, c’est le jeu politique. Mais cette main doit tenir un poignard.
    Les musulmans doivent comprendre qu’ils ne sont pas les bienvenus en France. Ils doivent ramper sous le tapis. Ils doivent savoir qu’ils rencontreront des obstacles partout où ils iront. Qu’on leur opposera les prétextes les plus hypocrites et les plus dégradants.
    En somme, qu’on sera « raciste » à leur égard, de façon sournoise et non officielle. Exactement comme ils le sont de façon ouverte, dogmatique et délibérée à l’égard des autres religions, chez eux et chez nous.
    Croyez-moi, ça marche. C’est le seul langage qu’ils comprennent. Et celui-là, ils le comprennent très vite. Il ne sera nullement nécessaire de ressortir les chambres à gaz, contrairement à ce que nous suggèrent les tripoteurs de tout poil.
    Les seuls musulmans capables de supporter un tel traitement sans s’en aller sont les mauvais musulmans. C’est bien le but.
    ______
    @ Xavier NEBOUT | 09 février 2020 à 12:27
    Le plus simple serait que vous vous convertissiez à l’islam, si ce n’est déjà fait. Vous seriez logique avec vous-même. Cela pourrait même vous donner un statut social.
    Vous n’avez plus besoin d’être Roger Garaudy, de nos jours. Vous pouvez être
    Nicolas Blancho.

  35. @ Michelle D-LEROY 09 février à 15:36
    « …après deux ans et demi, ce qui faisait illusion au début n’opère plus. Entêté il est, entêté il restera (…) »
    « À y regarder de plus près, la victoire-surprise d’un jeune banquier ambitieux, sans expérience électorale et sans parti, ne doit rien au hasard : le soutien sans faille que le monde de la finance, des médias, des multinationales lui apporta, ce qui s’apparente à un coup d’État d’un milieu que seul Macron pouvait pleinement servir, mais il est des promesses sur lesquelles le président Macron ne transigera jamais : celles qu’il a faites il y a plus d’un an à ses puissants bailleurs de fonds qui l’ont soutenu sans jamais faillir et qui investissent rarement sans espoir de retour ! » (Olivier Piacentini : OPA sur l’Elysée)
    Comme je l’ai écrit il n’y a pas si longtemps, dans ce milieu (mafia) on dit « je te donne, tu me dois ».
    Aujourd’hui il est au pied du mur. Si faire des courbettes aux islamistes peut plaire à ses bailleurs de fonds qui font du business avec ces Etats, il le fera, n’ayez aucun doute. Du reste il n’a plus le choix.

  36. Denis Monod-Broca

    Notre drame est que, par nos principes, notre morale, notre héritage… nous sommes bel et bien « judéo-chrétiens » mais que pourtant, de toutes les façons possibles, nous le nions ; il est que nous voyons dans ce « judéo-christianisme » le mal alors qu’il est le remède, que nous ne voyons en lui que superstition alors qu’il est source de raison.
    « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse ».
    Préférer la force c’est nous condamner au pire. C’est dur à admettre sans doute mais c’est ainsi.

  37. @ breizmabro 9 février à 21 h 47
    Oui… mais nous nous avons encore le choix… quelques instants encore !

  38. Comment faire pour se débarrasser d’un ennemi qui nous gouverne, qui a tous les pouvoirs et les forces policières et militaires à sa disposition ?

  39. @ Robert Marchenoir
    « En somme, qu’on sera « raciste » à leur égard, de façon sournoise et non officielle. Exactement comme ils le sont de façon ouverte, dogmatique et délibérée à l’égard des autres religions, chez eux et chez nous.
    Les seuls musulmans capables de supporter un tel traitement sans s’en aller sont les mauvais musulmans. C’est bien le but. »
    Excellente analyse de votre part. Vous êtes souvent grincheux mais vos réflexions méritent le détour, même si nous ne sommes pas d’accord sur tous les sujets.
    En résumé, il s’agirait enfin d’être futés et non plus benêts comme Macron et son gouvernement.
    Concernant l’affaire Mila, le silence assourdissant d’E. Macron donne quitus à l’islam pur et dur.

  40. @ Shadok | 10 février 2020 à 09:17
    « Comment faire pour se débarrasser d’un ennemi qui nous gouverne, qui a tous les pouvoirs et les forces policières et militaires à sa disposition ? »
    Difficile de donner une réponse intelligente à une question aussi stupide. 🙂

  41. @ Robert Marchenoir 9 février à 21 h 18
    « Les seuls musulmans capables de supporter un tel traitement sans s’en aller sont les mauvais musulmans. »
    D’après vous, il y en aurait de bons ?
    ———————————————-
    @ breizmabro 9 février 18 h 16
    « Homme politique… une profession nécessaire… »
    Où avez-vous trouvé cela petite ?
    ————————————————
    @ Sergio Carioca 9 février à 20 h 31
    « Parce que dans le passé on a largement tué au nom de ce pauvre Jésus dit de Nazareth. »
    Oui mais là il faudrait peut-être arrêter ce truc. On ne vous a pas distribué dans le bon rôle !
    ———————————————–
    @ Michelle D-LEROY à 20 h 14
    « Il a osé dire que la guerre d’Algérie et la Shoah étaient du même acabit et qu’il allait se préoccuper de la reconnaissance mémorielle concernant ce pan de notre histoire »
    N’ayez crainte, il va en entendre parler de sa giclette dès qu’on aura 5 minutes pour y réfléchir, ce paon de l’histoire !
    ———————————————-
    @ Serge HIREL 9 février à 20 h 28
    « Disruptif » !
    Merci camarade de m’apprendre ce beau mot.
    Sachez que vous avez en moi un ami qui est le symbole même de l’antidisruptif !
    ————————————————
    @ Savonarole 9 février à 19 h 50
    « Macron est un idiot, un puceau de la vie, un imbécile, un inculte… »
    C’est un peu court jeune homme… et vous auriez pu dire bien des choses en somme…
    On vous embrasse quand même !
    —————————————————-
    @ Nic 9 février à 18 h 05
    « Ce type est une catastrophe »
    Pas pour tout le monde. Il est une bénédiction pour tous ceux qui souhaitent la disparition de l’Espace Civilisationnel Européen. Il a été poussé/élu pour ça !

    Quoi d’autre ?
    À suivre

  42. L’islam fort et dominateur ne faisant qu’une bouchée de l’islam modéré dont on recherche désespérément une expression claire et nette.
    Tout simplement parce qu’il n’y a pas plus d’islam modéré que de nazisme modéré ou de marxisme-léninisme modéré.
    Que l’on me permette de citer M. Erdogan qui en tant que musulman soutenu par des dizaines de millions de musulmans sait de quoi il parle :
    « L’expression ‘islam modéré’ est laide et offensante,  il n’y a pas d’islam modéré. L’Islam est l’Islam. »
    A ce sujet :
    « L’islam modéré est un islam qui attend seulement sa chance de prendre le pouvoir. Nous nous souvenons tous de l’attitude d’Erdogan quand il avait besoin du soutien de l’Occident. Depuis, il a montré son vrai visage ».
    (Hamed Abdel Samad)
    Voir aussi :
    https://www.lepoint.fr/societe/hamed-abdel-samad-l-islamisme-est-present-dans-la-naissance-meme-de-l-islam-04-08-2016-2059021_23.php

  43. Xavier NEBOUT

    @ Robert Marchenoir
    @ Pierre Blanchard
    Vous devriez vous pencher sur votre propension aux attaques personnelles au lieu de vous en tenir aux arguments.
    D’autant qu’étant franchement assorties de méchanceté, elles relèvent de la haine.
    Elles ne sont pas de nature à m’atteindre, mais qu’en serait-il si comme le suggère l’un, je n’étais pas aimé de mes proches, ou l’autre, si j’étais en état de détresse sociale ?
    Vos attitudes révèlent une éducation de milieu peu favorisé, mais il ne faut pas en tirer gloire ni vengeance.

  44. « Le maire de Pau, mis en examen pour complicité de détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants d’eurodéputés du MoDem, exclut de démissionner de son mandat.
    Stanislas Guerini a assuré qu’une mise en examen ne remettait en aucun cas en cause les alliances entre les deux partis en vue des municipales (Le Figaro)
    https://www.lefigaro.fr/politique/francois-bayrou-entendu-par-les-juges-20191206
    Conclusion : c’est plus facile de « faire démissionner » un Président de Fédération française de sports (instance indépendante) sans qu’il y ait eu le début d’une enquête à son égard sur les faits qui lui sont reprochés et, par définition, non mis en examen, qu’un maire d’une grande ville, ami de Manu, mis, lui, en examen.
    Elle est pas belle la vie en Macronie ?

  45. Xavier NEBOUT

    Concernant l’affaire Mila.
    Il est étonnant de voir combien toute contestation de la version quasi officielle de la Shoah est interprétée comme un blasphème et sujette à condamnations, et à l’inverse comme on trouve normal de commettre les pires à l’encontre de l’islam ou du christianisme.
    Là où cela deviendrait amusant, c’est si je disais ici que les parents des uns et des autres sont inévitablement des en… et des put**ns au vu de leurs arguments.
    C’est pourtant ce à quoi se rapportent les propos de l’adorable Mila.
    L’injure est condamnable parce qu’une atteinte au mystère de l’être, et le blasphème est de même nature.
    Et nous nous y trompons pas, il s’agit de faire mal en se réclamant de l’impunité, c’est-à-dire le comportement le plus méprisable qui soit.
    La petite chérie des valeurs de la ripoublique ne me fera pas pleurer.

  46. @ Shadok | 10 février 2020 à 09:17
    Vous ne connaissez pas la philosophie déjantée des Shadoks ?
    « On n’est jamais aussi bien battu que par soi-même »… Aux urnes !

  47. @ Exilé
    « L’islam modéré est un islam qui attend seulement sa chance de prendre le pouvoir. Nous nous souvenons tous de l’attitude d’Erdogan quand il avait besoin du soutien de l’Occident. Depuis, il a montré son vrai visage ».
    (Hamed Abdel Samad).
    Entièrement d’accord avec vous, Exilé.
    ———————————————-
    @ breizmabro
    Merci pour ce rappel très important :
    « À y regarder de plus près, la victoire-surprise d’un jeune banquier ambitieux, sans expérience électorale et sans parti, ne doit rien au hasard : le soutien sans faille que le monde de la finance, des médias, des multinationales lui apporta, ce qui s’apparente à un coup d’État d’un milieu que seul Macron pouvait pleinement servir, mais il est des promesses sur lesquelles le président Macron ne transigera jamais : celles qu’il a faites il y a plus d’un an à ses puissants bailleurs de fonds qui l’ont soutenu sans jamais faillir et qui investissent rarement sans espoir de retour ! » (Olivier Piacentini : OPA sur l’Elysée)

  48. @ Zonzon 10 février 10:33
    « Où avez-vous trouvé cela petite ? »
    Pourquoi petite ? je fais 1 m 62 au garrot 😀
    La citation exacte, mon grand, est : « Homme politique est PEUT-ETRE une profession nécessaire » sous-entendu « je n’en suis pas certaine ».

  49. @ Robert Marchenoir 09 février 2020 21:18
    Tout à fait en accord avec votre analyse.
    Ceux qui ont travaillé (et j’en fus) dans, et avec le monde arabo-musulman et ceux qui y ont vécu ne peuvent qu’être d’accord avec ce que vous écrivez.
    La contrainte et la dureté. Sans rien lâcher. Une main de fer dans un gant… de fer.
    Ma voisine qui vient de s’éteindre à cent ans et qui avait passé toute sa vie en Algérie jusqu’en 1965 (première génération arrivée en 1845) nous a toujours répété à propos du relationnel avec les arabo-musulmans: « Vous leur donnez le bout du petit doigt, ils vous prennent le bras. En attendant de prendre le reste… »
    Cordialement.
    ———–
    @ Achille 09 février 2020 20:40
    Je vous sais naïf. Mais vous battez tous les records !
    Je crois qu’avec Denis Monod-Broca, vous serez les premiers « soumis ».
    Bonne chance.
    Cordialement.

  50. Catherine JACOB

    @ Pierre Blanchard | 09 février 2020 à 20:56
    C’est quoi ce plan contre les « séparatismes » ?? C’est un plan contre les identités culturelles régionales au profit d’une notion galvaudée de citoyenneté dont beaucoup ignorent que ça comporte aussi des devoirs ?
    Ils vont supprimer les langues régionales des options bac ? supprimer les options latin et grec et renforcer les options dites ‘méditerranéennes’ qui incluent principalement l’autre côté de la Méditerranée ??
    Les élèves paraissent inquiets qui l’expriment de cette manière.

  51. Qui ne dit mot, consent.
    Pourquoi attendre encore et encore.
    Qui est E. Macron, c’est simple :
    « L’histoire de Mila met sous nos yeux une faillite morale et politique collective. Ce président qui abandonne une enfant au profit d’une stratégie électorale qui s’appuie sur les ennemis de son propre peuple, est disqualifié pour nous demander de faire barrage au RN. Il est en train de nous prouver qu’il ne vaut pas mieux et qu’entre un de nos enfants et les menaces au nom de l’islam, il a choisi son camp. Si ce n’est pas le cas, qu’il parle.
    Car le message que son silence envoie a le goût de la trahison. » Céline PINA
    https://www.causeur.fr/mila-qui-na-dit-mot-consent-172384

  52. J’ai pris une volée de bois vert par les RNistes et militaristes de ce blog. Et je constate que certains islamophobes patentés tombent dans la névrose obsessionnelle, je ne citerai pas de noms, ils se reconnaîtront.

  53. @ Achille
    « Il faut enfin que les imams qui défendent un islam modéré (comme Tareq Oubrou, l’imam de Bordeaux, par exemple), les grands rabbins et les évêques se rencontrent »
    Ah ! Tareq Oubrou, dans l’orbite des Frères musulmans, une organisation classée comme terroriste par plusieurs pays serait selon vous un « modéré »…
    Il se trouve que cette confrérie a pour objectif, dès ses origines, la conquête du monde entier par l’islam, ce qui implique donc une prise du pouvoir politique dans chaque pays, par le biais des deux méthodes conseillées depuis les origines de l’islam que sont, selon les circonstances, la guerre ou la dissimulation (taqqiya).
    Les Frères musulmans, qui ne rechignent pas parfois à recourir à la violence, préfèrent conquérir l’Europe par le mensonge, sachant que cette voie leur est facilitée par des médias complaisants qui leur déroulent le tapis rouge.
    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/le-dessein-conquerant-des-freres-musulmans-en-europe-20191220
    « Les islamistes qui dénaturent les textes du Coran ne sont qu’une minorité, et nous ne voyons qu’eux vu qu’ils sont les auteurs des attentats. »
    Ce mantra est justement un de ceux qui sont diffusés par les Frères, en faisant croire par exemple que les textes « pacifiques » du Coran sont toujours valides alors qu’ils ont été abrogés et remplacés par ceux de Médine, justifiant la violence…
    http://verite-valeurs-democratie.over-blog.com/pages/Le_mensonge_islamique-1495365.html
    Nous retrouvons ici la stratégie du « mauvais flic et du bon flic », les salafistes servant de repoussoir avec leurs méthodes violentes et les Frères se faisant passer pour présentables et « sympas », cf. Tariq Ramadan, pour mieux nous berner alors que leurs objectifs sont identiques, à savoir l’imposition de la Charia.
    Quant aux évêques qui dialoguent imprudemment avec l’islam sans le connaître, ils me font penser à ces catholiques qui, dans les années cinquante, ont été manipulés par le mouvement Pax, téléguidé par l’URSS, pour les persuader que les objectifs de défense des prolétaires étaient identiques au message évangélique sur l’amour des pauvres, avec le résultat qu’ils ont cessé d’être catholiques et qu’ils sont devenus des propagandistes marxistes…

  54. @ boureau | 10 février 2020 à 13:08
    « Je vous sais naïf. Mais vous battez tous les records ! »
    On me le dit souvent… surtout sur ce blog ! 🙂
    Bonne journée !

  55. « La pression constante exercée par un islam conquérant et développant […] intolérance, intimidation et menaces de mort ».
    Permettez-moi un petit calcul, trop simple pour n’être pas spécieux, mais qui peut donner matière à réflexion.
    En 380, avec l’édit de Théodose exigeant l’adoption du christianisme par toute la population de l’Empire, le Christianisme devient, dans les faits et en droit, intolérant.
    Pour l’Islam, une date équivalente pourrait être fixée à 636 avec la conquête de la Perse et la mise en place du statut de dhimmi.
    D’autre part, du côté chrétien, le dernier exemple de fanatisme connu, si on s’en tient à la fille aînée de l’Eglise, est la loi sur le sacrilège de 1825, qui prévoit la peine de mort pour les profanateurs d’hosties.
    Dans le cas où l’évolution des deux religions obéirait au même calendrier, on peut donc prévoir l’avènement d’un Islam tolérant aux environs de l’an de grâce 2081. Evidemment, le contexte actuel étant propice au doute, il faudra peut-être attendre encore un peu. Mais le second avènement du Christ et l’arrivée de Godot sur la scène seront, à coup sûr, beaucoup plus tardifs…
    En somme, comme disait un déiste illustre né à Jarnac, il faut laisser le temps au temps.

  56. @ Patrice Charoulet 10 février 2020 12:11
    Yvon Quiniou est de ces enseignants crypto-communistes que l’Université secrète encore malgré que nous soyons au XXIe siècle.
    J’ai écouté votre lien. Sans surprise particulière ; c’est ce que j’appelle l’enseignement à la tranche de saucisson : on va chercher une phrase chez une sommité reconnue, on la détache du texte et on extrapole ses propres fantasmes.
    A la fin de son intervention on a envie de lui demander : « Et alors ? »
    Alors rien ! Fermez le micro !
    Une vache sacrée de plus ! On en crève, agrégé ou pas !
    Cordialement.

  57. Michel Deluré

    @ Achille 09/20 20:40
    Que la recherche d’une solution pacifiste soit préférable pour dénouer tout type de conflit, tout le monde y souscrit.
    Faut-il encore que les parties concernées soient non seulement prêtes à rechercher cette solution mais aussi à tout mettre en œuvre pour la réussite de celle-ci.
    S’agissant du sujet qui nous intéresse, plutôt que le dialogue nécessaire entre religions, ce qui est en cause et pose problème est bien plus la capacité de l’islam de France à faire lui-même et avant tout le ménage parmi les siens et à lutter en son propre sein pour l’éradication de ce qui, pour reprendre votre expression, dénature son image et complique justement toute cohabitation.
    C’est là un minimum et faute de cela, l’islam que vous qualifiez de modéré se rend alors complice des dérives dont certains qui s’en réclament se rendent coupables.
    Ne comptez pas sur le seul dialogue, sur le seul respect, sur la seule tolérance pour vaincre ceux dont le dogmatisme méconnaît ces valeurs, leur prescrit de punir, les conduit à l’intolérance.
    Notre démocratie ne saurait survivre qu’à la condition qu’elle ne soit pas faible.

  58. @ Achille
    Un monument de naïveté quand vous affirmez que Tareq Oubrou est un « modéré »… Alain Juppé, lui aussi, avait pactisé avec ce triste sire. Que ne ferait-on pas pour obtenir des voix supplémentaires.
    « Tareq Oubrou, l’escobar de l’islamisme » de Mohamed Louizi qui, lui, contrairement à vous, connaît parfaitement le sujet.
    http://mohamedlouizi.eu/2019/07/14/tareq-oubrou-lescobar-de-lislamisme/
    Bonne lecture, histoire de remettre les pendules à l’heure.

  59. Robert Marchenoir

    @ Serge HIREL | 09 février 2020 à 20:08
    Contrairement à ce que vous dites, défendre la loi Bichet en 2020, c’est bien un exemple éclatant de l’immobilisme français.
    Pour commencer, prétendre qu’elle assurait l’accès du public à toutes les opinions, c’est une escroquerie. Certes, sur le papier, elle faisait obligation aux diffuseurs de presse d’accepter tous les journaux qui leur étaient adressés.
    Mais dans la réalité, ça n’a aucune importance : c’est oublier que seules les opinions qui agréaient aux communistes pouvaient trouver leur voie dans la presse. La loi Bichet date de 1947. C’est à la même époque que la CGT a fait son hold-up sur les journaux français, en s’assurant le monopole de leur impression et de leur distribution.
    Les bandits communistes de la CGT ne se sont pas privés de faire grève à de multiples reprises, dans le but de démontrer leur pouvoir de nuisance. Ils avaient pouvoir de vie et de mort sur les journaux, et cela seul suffisait à empêcher la publication de certaines nouvelles ou opinions gênantes.
    Et je ne parle pas des menaces physiques envers les personnes, libéralement exercées. Quand il ne s’agissait pas de violences tout court.
    D’autre part, l’obligation faite aux marchands de journaux de distribuer tous les titres avait essentiellement, pour résultat, de les empêcher de refuser Petits soldats de plomb Magazine. Les titres politiques et d’information générale, dont la loi prétendait assurer l’égalité, étaient largement supplantés par la presse magazine et spécialisée. N’importe quel branquignol pouvait lancer le mensuel Poésie du Bourbouristan au XVe siècle, et obliger les kiosquiers à le vendre, sans se préoccuper de savoir s’il y avait un public pour l’acheter.
    Ajouté aux salaires délirants des camarades prolétaires de la CGT, imposés sous peine de non-parution des quotidiens (et de cassage de figure de leurs responsables), cela a achevé de ruiner la presse d’information, celle dont vous dites à juste titre qu’elle est nécessaire à la démocratie.
    Et puis il y a un petit détail : vous oubliez que les marchands de journaux ont disparu. Forcément, avec une telle politique…
    Et il y a un autre petit détail : la presse papier a aussi disparu. Tout le monde, désormais, s’informe sur Internet.
    Vos merveilleuses messageries de presse, issues du modèle social que le monde entier nous envie, sont désormais un couteau sans lame auquel il manque le manche.
    A force de traire la vache à lait à leur profit exclusif pendant un demi-siècle, les communistes ont fini par la tuer : les grands médias ont été privés de la capacité d’investissement nécessaire pour assurer la transition Internet. Comme cela est manifeste à quiconque lit les poubelles que sont les sites des médias « de référence ».
    Il est grotesque de prétendre, comme vous le faites, que la presse « n’est pas une marchandise comme les autres ». Tous les représentants de tous les lobbies, dans s’pays, prétendent que leur produit à eux « n’est pas une marchandise comme les autres ». Traduction : faites-nous de belles lois communistes qui interdisent la concurrence, et qui nous permettent de continuer à faire notre beurre sans avoir à produire quelque chose d’utile.
    L’histoire économique montre que ce genre de plaisanterie marche un certain temps, jusqu’à ce que ça ne marche plus, parce que la vache est morte.
    Vous avez deux guerres de retard. Aujourd’hui, la lutte pour la liberté de l’information ne se situe plus dans les kiosques, mais sur Internet. C’est la censure gauchiste exercée par les grandes plateformes du Web (Facebook, Google…), en collusion avec les gouvernements (loi Avia, etc.), qui constitue une menace mortelle pour la démocratie.
    ______
    @ Isabelle | 10 février 2020 à 09:25
    « Excellente analyse de votre part. Vous êtes souvent grincheux mais vos réflexions méritent le détour, même si nous ne sommes pas d’accord sur tous les sujets. »
    Mais je trouve que vous grinchez fort joliment de votre côté. Une admiratrice de Cioran qui se déclare incommodée par les grincheux, voilà qui est plaisant !
    ______
    @ Zonzon | 10 février 2020 à 10:33
    @ Robert Marchenoir 9 février à 21 h 18
    « Les seuls musulmans capables de supporter un tel traitement sans s’en aller sont les mauvais musulmans. »
    « D’après vous, il y en aurait de bons ? »
    Évidemment. C’est ce que je viens d’écrire : les bons musulmans sont ceux qui massacrent tout le monde chez Charlie Hebdo. Ne me dites pas que vous n’avez pas compris ?…
    ______
    @ Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 10:45
    « Vous devriez vous pencher sur votre propension aux attaques personnelles au lieu de vous en tenir aux arguments. »
    « D’autant qu’étant franchement assorties de méchanceté, elles relèvent de la haine. »
    « Elles ne sont pas de nature à m’atteindre, mais qu’en serait-il si comme le suggère l’un, je n’étais pas aimé de mes proches, ou l’autre, si j’étais en état de détresse sociale ? »
    « Vos attitudes révèlent une éducation de milieu peu favorisé, mais il ne faut pas en tirer gloire ni vengeance. »
    Pauvre chéri issu de l’aristocratie !… Je serais curieux que vous m’indiquiez où j’aurais procédé à des attaques personnelles à votre égard. Il est vrai que les antisémites dans votre genre considèrent comme une offense personnelle que les autres ne le soient pas. Alors, se voir reprocher de l’être, vous imaginez le scandale…
    Je trouve assez culotté que vous nous jouiez le pipeau de la créature fragile persécutée psychologiquement par ses contradicteurs, alors que vous passez votre temps, ici, à excuser les nazis, les islamistes, les violeurs…
    Vous n’avez pas l’air de vous être beaucoup préoccupé de la « détresse sociale » qui pourrait affecter leurs victimes, ou du degré « d’amour de leurs proches » dont elles bénéficient.
    Vous, bien sûr, c’est sans aucune méchanceté ni haine que vous nous promettez l’asservissement à la loi musulmane, pour nous punir de nos péchés. C’est pour notre bien.
    Très joli numéro de pleurnicheuse gauchiste exécuté par un néo-nazi. On aura tout vu…
    [Pour mettre les points sur les i, puisqu’il le faut, il est particulièrement malhonnête, de votre part, de dire que j’aurais suggéré que vous seriez « en état de détresse sociale ». J’ai écrit que vous souteniez ici des positions comparables à celles de Roger Garaudy (antisémite, négationniste et islamo-complaisant, jusqu’à en devenir musulman). Roger Garaudy avait un statut social que vous n’avez pas. Il vous est inaccessible, puisque le contexte politique a changé, mais celui de Nicolas Blancho serait parfaitement à votre portée. Suisse de souche, il est une petite célébrité dans son pays, grâce à ses fonctions de président de l’Association du conseil central islamique suisse.]
    ______
    @ boureau | 10 février 2020 à 13:08
    « Ceux qui ont travaillé (et j’en fus) dans, et avec le monde arabo-musulman et ceux qui y ont vécu ne peuvent qu’être d’accord avec ce que vous écrivez. »
    Merci de la confirmation. Voilà un cas où l’argument « touristique » est intéressant…

  60. On ne peut pas reprocher à la maçonnerie de démolir l’Espace Civilisationnel Européen puisque c’est fondamentalement leur but avoué !

  61. Débat Eric Zemmour – Marlène Schiappa hier. Ça a donné
    Zemmour sur la discrimination a raconté n’importe quoi, se vautrant dans le sophisme ridicule.
    Résultat :
    Schiappa : 1 Zemmour : 0

  62. Il est à souhaiter que Marchenoir se rende compte que sa danse tribale anti-musulman entraîne à sa suite nombre d’antisémites patentés. Il nous avait déjà avoué à propos du prépuce suédois que sa défense du judaïsme s’arrêtait quand il s’agit de contenir les désordres de l’Islam, oubliant que selon le grand-rabbin de France, antisémitisme et racisme sont terrorismes de même nature.
    Non seulement marcher sur les gravats d’un sophisme écroulé n’en fait pas une vérité, mais notre taureau furieux témoigne qu’il sombre alors dans l’océan de leur mensonge.
    Déblayez-moi tout ça, que la pierre du chemin apparaisse, seule à même de soutenir nos pieds, il y a longtemps déjà que Godot s’est exprimé, et si les imposteurs se taisent, peut-être entendrons-nous la douce musique de la réalité.
    Cela éviterait de faire du président un roi de carnaval et du peuple français ces sales gosses qui ne savent que désirer abattre leur majesté des mouches, oublieux de tout au point d’être prêts à se vendre aux pornographies totalitaires, plutôt que d’assumer leur destin.

  63. @ Isabelle | 10 février 2020 à 17:33
    Je me suis attelé à la lecture du (long) commentaire de l’essai de Tareq Oubrou par Mohammed Louizi.
    Passionnant, et même ceux qui prétendent connaître un peu la question découvriront l’étendue de tout ce qu’ils en ignorent encore.
    Cela change de la bouillie pour chats servie par les médias conformistes aux amateurs d’idées reçues…

  64. Xavier NEBOUT

    @ Robert Marchenoir
    Vous ne pouvez pas vous empêcher de répondre à toute contradiction par des attaques personnelles, notamment au moyen de qualificatifs qui plus est infondés, car me concernant, je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l’antisémitisme, l’islamisme, le gauchisme etc. etc.
    Par contre, il est facile et d’autant plus malhonnête de déformer mes dénonciations de diabolisation stérile ou d’incompréhension du fait religieux, comme d’une manière générale le « politiquement correct » qui me sort par les yeux.
    Enfin et pour vous rendre vos amabilités, et comme à bien me chercher on finit par me trouver, je vous dirai que vos analyses sont souvent inintéressantes, mais toujours limitées au ras des pâquerettes sur le plan intellectuel, et en dessous du zéro sur le plan spirituel.
    Votre grande gu… est du niveau d’un adjudant en retraite dont la raison d’être est d’occuper ce blog.

  65. @ Robert Marchenoir | 09 février 2020 à 21:18
    « Qu’on leur passe la main dans le dos en même temps, c’est le jeu politique. Mais cette main doit tenir un poignard. »
    Mais, ma parole, vous êtes machiavélique ! Obscurum per obscurius !
    Il faut dire qu’il est impossible de vous imaginer autrement que de la façon que vous préconisez…
    Politiquement, sans doute avez-vous déjà dirigé un grand pays imaginaire, et c’est pourquoi vous avez des connaissances.
    Mais il est aussi possible que vous n’ayez dirigé que votre petit commerce de lingerie, tout en ayant l’oreille des grands hommes….
    Oui, cela est fort possible, sans quoi comment expliquer votre si grand savoir, et cette compétence que l’on ne trouve qu’au Café du Commerce ?
    Je dois reconnaître, et toujours sur le plan de la stratégie politique, qu’il est excessivement fin d’affirmer comme vous le faites :
    « Ils doivent ramper sous le tapis. Ils doivent savoir qu’ils rencontreront des obstacles partout où ils iront. Qu’on leur opposera les prétextes les plus hypocrites et les plus dégradants. »
    Je me demande quelle tactique est la plus rusée ?
    « Faire ramper sous le tapis » est amusant, j’y ai joué lorsque j’étais enfant, et j’ai beaucoup aimé.
    Pour ce qui est « des prétextes les plus hypocrites et les plus dégradants », disons que le mot « prétexte » nous laisse déjà entrevoir combien de loyauté y réside mais vous avez ajouté « les plus dégradants », et à cette lecture j’ai pensé instantanément, là, il y a de la jouissance !
    Et quelle jouissance peut-on trouver à dégrader ?
    Je vous le demande, Marchenoir ?
    Oui, je vous le demande, car je suis, en vous lisant, à deux doigts de me prendre pour Sainte Thérèse, celle que vous savez…
    Je vous le dis, en vérité, j’exulte de plaisir !
    Pourtant, je n’ai pas pu jouir pleinement de votre pensée, car vous avez ajouté ingénument, ceci :
    « Il ne sera nullement nécessaire de ressortir les chambres à gaz, contrairement à ce que nous suggèrent les tripoteurs de tout poil. »
    Et, cet argument, que voulez-vous, je ne l’ai pas trouvé turgescent, non pas du tout, les « chambres à gaz », vraiment vous ne reculez devant rien, ni même ce qui vous dévoile…
    Et apparemment, derrière ce voile, un homoncule crapuleux et falsificateur, se fait tout seul grimper aux rideaux ! Quelle indécence !

  66. Patrice Charoulet

    @ boureau 10 fév. 15 h 50
    « Une vache sacrée » ? Un parfait inconnu.
    « Crypto-communiste » ? Communiste. Il le dit. Et moi ? Très anticommuniste.
    « Agrégé de philosophie » ? Ce n’est pas un crime.
    Il n’a aucun « fantasme ». Depuis des siècles deux monothéismes tentent de dominer le globe. Pour une fois, un conférencier indique en assez peu de temps des avis peu favorables aux religions. Les avis de Spinoza, Rousseau, Kant, Feuerbach, Nietzsche, Marx et Freud. C’est clair, net et instructif.
    Vous aurez remarqué qu’il ne lit pas de prompteur et qu’il ne lit aucun papier. Quand on nous bassine du matin au soir avec les questions religieuses, la conférence vise à ouvrir l’esprit. Vous connaissiez les idées de Feuerbach et vous aviez lu son livre essentiel ? Non ? Lisez-le. Vous le trouverez sur Gallica. C’est lumineux. BFM et TF1 ne vous en parleront pas. Ni aucun journal.

  67. À partir du moment où, sur de longues périodes, n’importe qui est entré dans le territoire de la République sans l’assentiment d’une large majorité d’autochtones, il devient logique que la « discrimination » s’installe dans tous les champs de la Nation.

  68. « Discrimination : Zemmour accuse Schiappa de “fabriquer des victimes éternelles” »
    Marlène Schiappa a montré son vrai visage… La cruche qui répète son prêchi-prêcha comme un perroquet en phase terminale.
    Le problème c’est qu’elle représente un vrai danger pour la France et les Français.
    https://www.valeursactuelles.com/societe/discrimination-zemmour-accuse-schiappa-de-fabriquer-des-victimes-eternelles-115905
    Pendant ce temps-là, qui provoque qui ? Le croissant musulman sur une église d’Albi… Qui commence et poursuit sans cesse les provocations ?
    https://www.bvoltaire.fr/le-croissant-musulman-sur-une-eglise-dalbi/

  69. Gauche, droite, vaste blague !
    Quand vont-ils arrêter de nous prendre pour des quiches ou des perdreaux de l’année ?
    « Les médias ont artificiellement instrumentalisé une opposition entre gauche et droite, mais qu’est-ce qui distingue Mitterrand après 1983 de Chirac ? Sarkozy de Hollande ? Tous se contentent d’effectuer des variations de style sur ce qu’il faut bien nommer… le giscardisme ! Macron compris. Mitterrand était marmoréen, Chirac jouisseur, Sarkozy énervé, Hollande apathique, Macron arrogant, mais ils défendent un même programme celui du Giscard suffisant, c’est celui de Maastricht. » (Michel Onfray)
    Michel Onfray : “Le bourrage de crâne est parvenu à un degré jamais atteint depuis qu’il y a des hommes” (Atlantico)

  70. Renaud Camus dont il a été question hier, maître à penser de la famille Le Pen, théoricien des races indoeuropéennes (les meilleures) et dont on lira avec profit la notice Wikiki, s’est avant tout distingué par un double apport sémantique.
    C’est à lui que l’on doit l’expression « grand remplacement » qui permet de faire l’impasse sur le terme « invasion migratoire », trop cru, sans nuance, que le petit peuple pourrait mal saisir et qui le mettrait mal à l’aise. Avec le risque de réactions violentes inappropriées !
    C’est encore lui à qui l’on doit le fameux vocable « remigration » ou « rémigration », celui-là franchement idiot !
    Imagine-t-on une personne qui remigre ? Elle migra un jour de A à B pour des raisons qui lui sont propres. Alors elle remigre de B à C ! Bon ! C’est son problème !
    Cette personne est très intéressante sans nul doute et son histoire nous passionnerait si on avait du temps à perdre.
    Et bien plus encore s’il s’agissait non d’une personne mais de millions de personnes car alors la répartition des populations terrestres en serait chamboulée !
    Bien !
    Mais qu’en est-il du côté des « récipiendaires », si je peux me permettre ? Les récipiendaires, c’est-à-dire les peuples de la vieille Europe, si usés, défraîchis, hors d’âge ! Et qui sont si nuls qu’ils se sont toujours contentés de s’acagnarder dans leur coin pourri sans la velléité, au grand jamais, de s’en barrer !
    Dame Logique leur répond immédiatement que ce mot ne leur appartient pas puisque, pour pouvoir remigrer il aurait fallu qu’ils migrent auparavant… bref !
    En revanche, à supposer que ces peuples européens fin de course qui verraient s’installer chez eux, « à l’insu de leur plein gré », des masses vibrionnantes dont ils souhaiteraient le départ, utiliseraient pour ce faire le terme « désimmigration »… sans nul doute !
    Dans le but quelque peu incertain de revenir à un état antérieur !
    Je désimmigre ; toi mon pote, tu te barres, tu rémigres quoi ! Bon vent !
    Finalement ce Renaud Camus il nous prend pour les autres ! La langue, c’est la meilleure et la pire des choses !

  71. revnonausujai

    @ Achille 11 février 08h33
    Nous n’avons pas dû regarder le même débat ou alors chacun y a trouvé ce qu’il en attendait.
    Moi, elle m’a paru aussi approximative et de mauvaise foi que d’habitude ; quand elle prétend ignorer la signification chrétienne de son propre prénom, elle place l’alternative entre une andouillerie carabinée ou une propension au mensonge digne de « Si bête » !
    Sur le fond, Zemmour a raison de souligner que la discrimination fait partie de la vie réelle et, qu’associée au mérite, elle conduit à une meilleure société. Egalité des chances et non égalitarisme des moyens.
    A chacun selon ses talents, saint Matthieu

  72. @ Achille | 11 février 2020 à 08:33
    « Schiappa : 1 Zemmour : 0 »
    Vous aurez remarqué la réserve émise par Zemmour au début du débat.
    Il a dit qu’il se posait la question de la sincérité du débat parce que « une épée de Damoclès planait au-dessus du débat » et donc que la parole n’était pas franchement libre.
    Effectivement sur la discrimination il n’a pas pu exprimer sa pensée, il aurait été sous le coup de la justice pour, précisément, paroles discriminantes !
    Je partage le point de vue de Wil | 11 février 2020 à 00:32, dans le billet suivant sur ce débat.
    Marlène Schiappa a vraiment donné l’impression d’avoir préparé le débat avec des coachs qui lui avaient rédigé des fiches (ou antisèches) sur certains sujets, et elle les récitait au fur et à mesure.
    Le plus comique a été quand elle a cité Nietzsche, Zemmour a été sidéré, moi aussi, mais moi j’ai éclaté de rire dans mon fauteuil.
    L’inintelligence dans une séance de démonstration à la télé, ce fut une belle séance de « Gai Savoir » !

  73. Robert Marchenoir

    @ Xavier NEBOUT | 11 février 2020 à 09:57
    « Vous ne pouvez pas vous empêcher de répondre à toute contradiction par des attaques personnelles… »
    Toujours aucun exemple d’attaque personnelle de ma part.
    « …notamment au moyen de qualificatifs qui plus est infondés, car me concernant, je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l’antisémitisme, l’islamisme, le gauchisme etc. etc. »
    Aaaah, d’accord ! Donc en fait, pour vous, dire de quelqu’un qu’il est néo-nazi ou négationniste, c’est une attaque personnelle… Heureusement que, d’après vous…
    « [Mes] analyses sont souvent inintéressantes, mais toujours limitées au ras des pâquerettes sur le plan intellectuel. »
    Vous m’avez l’air d’une vigie tout à fait éminente en matière intellectuelle. Déjà, vos déplorations que la radiesthésie ne soit pas reconnue à sa juste valeur… En parlant de limitations intellectuelles, que vient faire la conjonction de coordination « mais » dans votre phrase ?
    Donc, après les leçons d’électricité à hameau dans les nuages, petite leçon de philosophie à votre intention : une attaque personnelle, cela consiste, par exemple, à objecter, à quelqu’un qui dit (Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 11:10) :
    « Il est étonnant de voir combien toute contestation de la version quasi officielle de la Shoah est interprétée comme un blasphème et sujette à condamnations… »
    …Qu’il a tort de prétendre qu’il existe une version officielle de la Shoah, car il sent des pieds. Cela, ce serait une attaque personnelle.
    Ou bien, cela consiste à objecter, à quelqu’un qui dit (Robert Marchenoir | 09 février 2020 à 21:18) :
    « Le plus simple serait que vous vous convertissiez à l’islam, si ce n’est déjà fait. Vous seriez logique avec vous-même…. »
    …la sottise suivante :
    « Vos attitudes révèlent une éducation de milieu peu favorisé. » (Xavier NEBOUT | 10 février 2020 à 10:45)
    Cela, c’est une attaque personnelle.
    L’expression attaque personnelle est censée invalider l’argument du contradicteur. Pourquoi ? Pas pour des raisons morales (bien qu’il en existe aussi), mais pour des raisons logiques.
    Parce que Xavier Nebout aurait beau ne jamais se laver et dégager une horrible puanteur de ses extrémités inférieures, que cela n’aurait aucun rapport avec ses assertions historiques. Il se pourrait parfaitement (bien qu’il y ait peu d’exemples) qu’un type qui ne change jamais de chaussettes soit un dieu vivant en matière d’histoire de la Seconde Guerre mondiale.
    De même, il se pourrait parfaitement que Pierre Blanchard et moi-même venions d’un milieu pauvre, que nos parents nous aient mal éduqués, et que simultanément vous ayez fourni, dans ces colonnes, de multiples témoignages de votre complaisance pour l’islam (ce que vous avez fait).
    Il n’y a strictement aucun rapport entre votre allégation, qui porte sur les caractéristiques personnelles de Pierre Blanchard et les miennes, et votre défense politique et religieuse de l’islam, qui relève d’une argumentation générale, indépendante des personnes, et d’une préconisation de ce qui serait bon pour la France.
    Au demeurant, il est manifeste que vous ne pouvez pas connaître l’histoire personnelle de vos interlocuteurs s’ils ne l’ont pas révélée ici.
    Vous vous êtes donc bien livré à l’argument fallacieux et de mauvaise foi dit de l’attaque personnelle.
    Et pas moi.
    Quant à votre assertion selon laquelle…
    « Je vous mets au défi de trouver dans mes propos une adhésion au nazisme, à l’antisémitisme, l’islamisme, le gauchisme etc. etc. »
    …Elle relève… comment disiez-vous, déjà ? de « la grande gu… d’un adjudant en retraite dont la raison d’être est d’occuper ce blog ». (Ce qui ne va pas faire plaisir à certains officiers en retraite qui occupent ce blog et qui semblent beaucoup tenir à cette qualité, mais je vous laisse vous débrouiller avec eux.)
    Autrement dit : plus vous mentez, plus vous hurlez pour maquiller votre mensonge.
    J’ai déjà, surabondamment, relevé votre défi, et c’est bien ce qui vous gêne. De même que les antisémites dans votre genre s’obstinent à nier la Shoah, de même ils nient qu’ils soient antisémites.
    Vous venez de manifester votre négationnisme et votre antisémitisme ici même, il y a à peine quelques heures :
    « Il est étonnant de voir combien toute contestation de la version quasi officielle de la Shoah est interprétée comme un blasphème et sujette à condamnations, et à l’inverse comme on trouve normal de commettre les pires [mot manquant] à l’encontre de l’islam ou du christianisme. »
    Mais vous me mettez au défi de trouver la moindre adhésion au nazisme ou à l’antisémitisme dans vos propos. Alors qu’il suffit de se baisser pour en ramasser à la pelle (Xavier NEBOUT | 31 août 2017 à 16:04) :
    « L’expression de JMLP ‘détail de l’histoire’ ne portait pas sur la Shoah, mais sur le point de savoir si les pauvres gens qui étaient morts dans les camps l’avaient été du fait de chambres à gaz ou autrement. Alors pourquoi a-t-on tant besoin de déformer ses propos si l’accusation était honnête ? »
    Tout à fait. C’était une accusation honnête. On ne sait pas si les chambres à gaz ont existé. J’ai beau chercher, je ne trouve pas : aucune trace historique. Voyons encore ce petit chef-d’œuvre (Xavier NEBOUT | 21 février 2019 à 16:57) :
    « Pourquoi en somme, quelque 20% des Français ou plus sont-ils antisémites, ou antisionistes ? […] Ce qui anime et alimente l’antisémitisme, c’est la propension des juifs à dominer en étant certes souvent très bons en leurs domaines d’activité du fait d’un attachement moral à l’instruction beaucoup plus prononcé que dans la majorité de la population, mais aussi par solidarité religieuse, et c’est là que le bât blesse. […] »
    « Non ! Ce qui anime l’antisémitisme, c’est la mainmise des juifs sur l’information et l’enseignement populaire de l’histoire par la télévision, si ce n’est par leur présence directe, par le terrorisme intellectuel qu’ils génèrent. »
    « Non, les Français ne sont pas naturellement antisémites, et n’ont même pas pour leur très grande majorité, de raison de l’être, mais le lobby juif les incite à le devenir. »
    « Jean-Marie Le Pen n’a jamais été antisémite même si comme chez tous les Français de son époque, la blagounette sur les juifs était courante. »
    « Par contre, Jean-Marie Le Pen, comme moi d’ailleurs, ne se laisse pas berner par les falsifications de l’histoire tendant à ajouter des couches à la tragédie que fut le sort des juifs, pour que soit érigée toute critique historique en sacrilège. »
    « Bref, chers juifs que tout le monde aime bien lorsqu’ils s’appellent Raymond Aron, Yehudi Menuhin, ou Alain Finkielkraut etc., cessez de tanner les Français avec votre soutien aux infamies commises contre les Palestiniens, et à des agressifs comme BHL même s’il s’est calmé, ou encore en participant incognito à l’envahissement des coulisses du pouvoir par votre lobby. »
    « Chers juifs, donc, cherchez à vous faire aimer et non à vous faire détester. »
    J’ai précisément démontré en quoi ce texte prouvait votre antisémitisme — si toutefois il en était besoin (Robert Marchenoir | 22 février 2019 à 04:06).
    Vous êtes donc particulièrement de mauvaise foi de continuer sans cesse à me « mettre au défi » de trouver dans vos propos « une adhésion au nazisme ou à l’antisémitisme », de même qu’Aliocha pense convaincre son monde en prétendant mille fois qu’il a démontré ce qu’il n’a nullement démontré.
    Votre technique est celle de tous les falsificateurs : répéter inlassablement leur mensonge, en espérant finir par être cru. Et sans, jamais, répondre aux objections qui leur sont faites.
    Vous êtes un pipoteur de première, et ceci n’est pas une attaque personnelle : c’est une constatation appuyée sur des faits.
    Quant à vos vantardises consistant à vous prévaloir de je ne sais quelle primauté spirituelle sur ce blog, et à dénigrer vos contradicteurs sur ce motif…
    « Vos analyses […] en dessous du zéro sur le plan spirituel… »
    …On les jaugera à leur juste valeur, sur la base de commentaires aussi ridicules que celui-ci :
    « Ceci dit, la pleine lune qui a tant d’influence sur la poussée des ceps et des cèpes, n’en aurait-elle pas une sur le niveau vibratoire des humains et par là même leur aptitude à communiquer avec les âmes des morts ? » (Xavier NEBOUT | 21 octobre 2019 à 09:45)
    Vous êtes aussi navrant sur le plan scientifique que sur le plan spirituel.
    ______
    @ Aliocha | 11 février 2020 à 09:25
    « Il est à souhaiter que Marchenoir se rende compte que sa danse tribale anti-musulman entraîne à sa suite nombre d’antisémites patentés. Il nous avait déjà avoué à propos du prépuce suédois… »
    Le prépuce suédois ?…
    « …que sa défense du judaïsme s’arrêtait quand il s’agit de contenir les désordres de l’Islam, oubliant que selon le grand-rabbin de France, antisémitisme et racisme sont terrorismes de même nature. »
    Ah ! alors, si le grand rabbin de France a sorti une sottise grosse comme lui, il est évident qu’il a raison, n’est-ce pas ?
    Personnellement, je ne suis pas soumis à l’autorité du grand rabbin de France, (contrairement à vous, peut-être). S’il a dit « qu’antisémitisme et racisme sont des terrorismes de même nature » (et je me garderais bien de le tenir pour vrai sans l’avoir vérifié), eh bien c’est un gros imbécile plein de poils.
    En effet, ma défense des Juifs s’arrête lorsqu’ils deviennent indéfendables, car ils n’ont, pas plus que n’importe qui, le monopole de la raison et l’impunité quant à leurs positions.
    Je crois comprendre (mais votre ellipse à ce sujet, une fois de plus, en dit long sur votre malhonnêteté intellectuelle) que vous me reprochez d’avoir écrit, il y a un siècle environ, que les Juifs devraient, dans l’intérêt général, consentir à l’interdiction de certaines pratiques qu’ils ont en commun avec les musulmans : la circoncision et l’abattage rituel.
    Je le maintiens. J’avais expliqué pourquoi. Vous n’avez apporté aucun argument contraire. Vous vous contentez d’appliquer l’adage : « Est-ce bon pour les Juifs ? » Vous l’appliquez mal, d’ailleurs. L’abattage rituel est interdit en Suisse depuis plus d’un siècle. Pour les deux religions. Les Juifs ne s’en portent pas plus mal.
    A ma connaissance, il n’y a jamais eu d’attentats islamistes en Suisse. Et, en particulier, pas d’attaques islamistes visant des Juifs.

  74. @ revnonausujai | 11 février 2020 à 17:31
    @ Tipaza | 11 février 2020 à 19:10
    « L’inverse de la discrimination, c’est la non-discrimination, c’est faire respecter les valeurs de la République ». Qu’ajouter de plus ? Marlène Schiappa a parfaitement résumé en quelques mots ce qu’est la discrimination, alors qu’Eric Zemmour se lançait dans les démonstrations tarabiscotées dont il est coutumier comme notamment celle sur les prénoms qui est ridicule.
    Il en arrive même à se contredire en disant que la seule discrimination positive est le contrôle de compétence, ce que je partage, et ensuite reconnaît que le prénom peut s’avérer une source de discrimination. Si Mohamed est compétent en quoi devrait-il être discriminé ?
    Pourquoi serait-il obligatoire pour un étranger venu résider en France de donner un prénom français à ses enfants ?
    Combien de parents bien franco-français donnent aujourd’hui à leurs enfants des prénoms émanant de héros d’une série télévisée américaine, celui d’un sportif qui s’est distingué par ses exploits (généralement un footballeur), sans parler des prénoms spécifiques à sa région, comme la Bretagne, la Corse ou le Pays basque, régions où les habitants sont très attachés à leurs racines ?
    Zemmour oublie un peu vite que la discrimination repose sur des valeurs antirépublicaines, parfois sur la peur primale de tout ce qui sort de nos traditions. La couleur de peau, la religion, sont des critères subjectifs dont il est difficile de se débarrasser quand on a des préjugés.
    Lui qui est un parfait misogyne, et ne s’en cache même pas, a l’air d’oublier qu’en matière de discrimination, les femmes ont pendant longtemps été marginalisées.
    Elles sont devenues électrices et éligibles le 21 avril 1944 au même titre que les hommes et ce n’est qu’un an plus tard, le 29 avril 1945 qu’elles ont voté pour la première fois.
    Ce n’est que suite à la loi de 1965, que la porte à l’émancipation féminine a vraiment été ouverte. Avant, une femme ne pouvait pas travailler sans l’accord de son mari, ni ouvrir de compte en banque à son nom propre. On n’était pas loin de la Charia !
    A noter que cela ne fait guère plus d’un siècle que des femmes peuvent prétendre accéder aux professions à haute responsabilité comme médecin, ingénieur, juge, PDG de grandes sociétés, voire officier supérieur. Le rôle de la femme se limitait alors à s’occuper de son ménage, prendre soin des enfants et préparer les pantoufles de son mari quand il revenait du boulot, en étant préalablement passé par le bistrot, ou encore être affectées à des tâches subalternes en usine quand, en plus, elles devaient travailler.
    Ce n’est pas de la discrimination ça ? Et en plus Zemmour a le culot de dire que la féminisation de certaines professions est un fléau pour notre société car elle a conduit celle-ci à la situation de confusion où elle est actuellement.
    Difficile de faire plus réac !
    J’ai longtemps eu des réserves sur Marlène Schiappa qui, parfois, a tendance à en faire un peu trop sur la place des femmes dans notre société qui s’est nettement améliorée en un siècle. Reste toujours cependant le problème des femmes battues et harcelées. Mais elle a démontré face à Zemmour, qu’elle ne s’en laissait pas conter.
    Qu’elle ait été coachée avant cette émission par des conseillers en communication, c’est probable, mais elle s’est défendue comme une tigresse. Et je l’ai trouvée bien meilleure que son adversaire, monsieur « Je-sais-tout », qui nous ressort encore et toujours la même soupe réchauffée à chacune de ses interventions.

  75. Il suffit de demander :
    «Il faut dire que les antisémites et tous les racistes sont des terroristes, parce qu’ils cherchent de la même façon à détruire la société dans laquelle nous vivons»
    https://www.cnews.fr/videos/france/2019-02-13/haim-korsia-grand-rabbin-de-france-les-antisemites-et-tous-les-racistes
    Je suis d’accord comme sur le fait qu’il n’y ait impunité pour personne, juifs y compris, notamment s’ils sont racistes.
    Quel beau retour arrière notre furieux va-t-il inventer pour se dédouaner ?

  76. @ Isabelle 11 février à 14 h 06
    « « Les médias ont artificiellement instrumentalisé une opposition entre gauche et droite, mais qu’est-ce qui distingue Mitterrand après 1983 de Chirac ? Sarkozy de Hollande ? Tous se contentent d’effectuer des variations de style sur ce qu’il faut bien nommer… le giscardisme ! Macron compris. Mitterrand était marmoréen, Chirac jouisseur, Sarkozy énervé, Hollande apathique, Macron arrogant, mais ils défendent un même programme celui du Giscard suffisant, c’est celui de Maastricht. » (Michel Onfray) »
    Vous semblez tenir à cœur cet envoi meurtrier de Michel Onfray. Lequel évoque cette période historique, débutant en 74, au cours de laquelle les 6 princes de la dynastie des Souhmis ont ravagé notre pays.
    Merci Madame de me soutenir dans cette thèse qui m’est chère. Vous êtes la première ici !
    74 : début de l’immigration massive, de l’endettement budgétaire, de l’enlisement de la Nation dans l’UE !
    Ces 6 princes-là vont payer… même ceux qui sont morts ! Les Français envahis, hébétés, mourants, ne vont pas les oublier, jamais !
    J’ajouterais, en espérant ne point trop vous déplaire, qu’un septième personnage, dans la marge, pour avoir occupé le créneau du nationalisme de manière déshonorante, est tout aussi responsable que les 6 régnants !
    Que Dieu sauve la France !
    Quoi d’autre !

  77. Hier je me suis essayé à parler de la discrimination. Mal ! Je suis mal à l’aise. Parler des rapports avec des gens que l’on ne voudrait point connaître… !
    Je décide de ruser ! Je vais m’essayer à parler de « l’acrimination », qui en est le contraire, et qui est la manière dont j’envisage mes rapports avec tous ceux qui sont de chez moi, de ma région, de mon pays, de mon histoire, de ma culture, de mes goûts, de mes couleurs, de mes états d’âme, de mes impressions sensitives, de mes rêves, de mes espérances, de mes ravissements, de mes espoirs, et même de religion si besoin est !
    Subitement je stoppe ! Je ne sais plus ! Je ne sais par quoi commencer ! Puis je déconcerte ! Que leur dire à tous mes compatriotes, démunis, décontenancés, humiliés, envahis, malmenés, pressurés, insultés par le pouvoir, trompés par les politiciens, bousculés par les voyous, parfois trucidés par la racaille ?
    Alors je me ressaisis, resurgis, me reprends, je sais, je sais ce qu’il faut leur dire à mes vieux compatriotes, une chose, un mot, un seul mot : « Je vous aime ! »
    L’acrimination, c’est ça !

  78. Robert Marchenoir

    @ Aliocha | 12 février 2020 à 07:40
    « Quel beau retour arrière notre furieux va-t-il inventer pour se dédouaner ? »
    Vous voulez parler de votre grand rabbin à la noix ? Eh bien, j’avais raison : c’est un gros imbécile plein de poils. Il y en a, même chez les Juifs. Vous nous le confirmez.
    Incidemment, de nombreux Juifs partagent mon avis sur Haïm Korsia. Sans nul doute en raison de prises de position aussi stupides et nocives que celle-ci.
    Il faut ne pas avoir un cerveau en état de marche pour banaliser à ce point le mot de terrorisme. Après avoir traité tout le monde de nazis, les gauchos de service vont maintenant prétendre que ma boulangère est terroriste, parce qu’elle est malaimable quand je n’ai pas la monnaie ? Xavier Nebout est un terroriste, parce qu’il a les Juifs dans le nez depuis que, peut-être, l’un d’eux l’a arnaqué dans une transaction immobilière ? Mon voisin est un terroriste, parce qu’il dit qu’il « n’aime pas les nègres » depuis que l’un d’eux l’a agressé en bas de chez lui ?
    Il faut être totalement irresponsable, pour dire des choses pareilles lorsqu’on possède une telle influence médiatique.
    En ce qui vous concerne, vous êtes un vrai malade : vos contradicteurs doivent toujours chercher à « se dédouaner », ils ne disent pas ce qu’ils pensent, ils « avouent »… Vous avez été tortionnaire au KGB, dans une vie antérieure ?
    ______
    @ Achille | 12 février 2020 à 06:25
    Éric Zemmour a tout dit, dès le début de cette émission. D’ailleurs, Marlène Schiappa lui a immédiatement donné raison. Écoutons le Zemmour des grands jours :
    « La non-discrimination est une arme de guerre au service d’une idéologie qui est, non pas l’égalité, mais l’égalitarisme. L’égalitarisme, c’est une idéologie qui consiste à assimiler toute distinction à une inégalité, toute inégalité à une discrimination, toute discrimination à une malveillance, et à faire, du soi-disant discriminé, une victime à vie. Et, ainsi, un persécuté. »
    « Or, c’est faux. Toute distinction n’est pas une inégalité : [n’en sont pas,] toutes celles qui reposent sur le mérite. Toute inégalité n’est pas une discrimination : [n’en sont pas,] toutes celles qui reposent sur le talent. Et enfin, toute discrimination n’est pas une malveillance. »
    « Quand vos fonctionnaires sont engagés, dans votre ministère, sur la [en vertu de leur] citoyenneté française, c’est une discrimination, puisque les étrangers ne peuvent pas être embauchés. Mais c’est une discrimination légitime. »
    « Quand on réussit à un examen, ou qu’on échoue à un examen, c’est une discrimination. Mais elle est légitime. »

    Puis, l’estocade :
    « Imaginez : je vous fais des avances. Vous les refusez. C’est une discrimination. Mais elle est tout à fait légitime ! »
    Marlène Schiappa, feignant aimablement l’outrage :
    « Je ne suis pas un service public… »
    Zemmour, dans un grand sourire :
    « Heureusement ! Grâce à Dieu… »
    Voilà. Ils sont d’accord. Courtoisement d’accord, d’ailleurs. Rien de tel que de personnaliser le débat pour faire comprendre les problèmes… Marlène Schiappa a même réussi à être drôle, sur ce coup-là. Drôle, et juste. Peut-être plus qu’elle ne le pense… Je ne crois pas qu’une Ségolène Royal aurait eu autant d’esprit.

  79. revnonausujai

    Discriminer, c’est établir une distinction ou une différence entre des personnes ou entre des choses, c’est la définition des dictionnaires.
    Par exemple, on discrimine les Français et les étrangers en leur donnant ou non accès à certains emplois, les honnêtes gens et les voyous en envoyant (théoriquement) les seconds en prison, les gens sérieux et les casse-co*illes en embauchant plutôt les premiers que les seconds,…
    Quant au caractère « antirépublicain » des discriminations liées à des préjugés, notamment liés aux prénoms c’est du gloubiboulga pour dissimuler les réalités qui fâchent. Bizarrement, les « préjugés » ne touchent pas les Asiatiques par ce que chacun sait bien qu’ils ne traduisent en aucun cas un rejet de la France (et de la République, soit dit en passant !) et une manifestation d’hostilité envers le pays qui héberge, nourrit et instruit. Il est clair, même si le gourou tergiverse et camoufle ça en parlant de « séparatisme », que l’islam et ses manifestations visibles et moins visibles sont à l’origine d’un délitement de la cohésion sociale qui dépasse largement le cas de tel ou tel.
    En ce qui concerne les prénoms tirés de la sous-culture des séries télévisées hollywoodiennes, les intéressés ne sont pas responsables de la bêtise de leur parents, mais ça laisse quand même augurer d’un déficit de culture et d’éveil intellectuel et d’une bonne occurrence de fabrication de cassos héréditaires, d’autant plus qu’il est actuellement inutile de compter sur l' »Education nationale » pour tirer vers le haut un jeune défavorisé socialement mais méritant et capable.
    Réac ? au moins le réac a pour lui de réagir, même imparfaitement, aux dérives qu’il constate, c’est toujours mieux que la politique du chien crevé au fil de l’eau qui est l’alpha et l’omega du « progressiste » lambda.

  80. Mettre Marchenoir face aux béances de ses contradictions revient à être admis au KGB.
    Deux obsessions n’ont jamais fait une cohérence.

  81. Robert Marchenoir

    @ Aliocha | 12 février 2020 à 16:45
    « Mettre Marchenoir face aux béances de ses contradictions revient à être admis au KGB. Deux obsessions n’ont jamais fait une cohérence. »
    Non, moi, je suis parfaitement cohérent. Je ne joue pas les gentils et les pacifistes, tout en renvoyant dos à dos les agresseurs et les agressés.
    J’ai toujours, ici, défendu la liberté, et son pilier fondamental : la liberté d’expression. J’ai toujours défendu la distinction entre les paroles et les actes. Prétendre que l’antisémitisme ou le « racisme » sont du terrorisme, comme le fait le rabbin Haïm Korsia, c’est préparer la tyrannie et le totalitarisme.
    Le terrorisme consiste à massacrer des dizaines de personnes au hasard pour instiller la terreur, et imposer une tyrannie telle que le communisme ou l’islam. Nous avons trop connu cela sur notre sol, pour que j’aie même besoin de donner cette définition. Je le fais malgré tout, car le monde de fous dans lequel nous vivons nous oblige désormais à préciser que l’eau mouille, qu’un homme n’est pas une femme, et ainsi de suite.
    Le « racisme », en revanche, est une notion parfaitement élastique, qui peut désigner, selon qui l’emploie, et le moment où il l’emploie, le génocide d’un peuple entier, ou de simples pensées, non seulement légales, non seulement légitimes, mais émises par la quasi-totalité de la population, voire absolument nécessaires pour sa survie.
    Et cinquante autres nuances, intermédiaires entre ces deux extrêmes. En d’autres termes, le mot « racisme » ne veut rien dire : c’est lui qui est une arme de terreur intellectuelle et politique, brandie pour asservir la population.
    Quand le « racisme » est puni par la loi, et vaut interdiction professionnelle voire danger de mort, comme on vient de le voir, pour la millième fois, avec la persécution de cette pauvre adolescente prénommée Mila, mais qu’il ne veut rien dire, qu’il signifie littéralement ce que le locuteur qui emploie ce mot veut qu’il signifie, comme dans Alice au pays des merveilles, nous touchons à la perfection renouvelée du totalitarisme.
    Les communistes de papa avaient inventé les « ennemis du peuple », et cette simple expression a envoyé des millions d’innocents à la mort. Les crypto-communistes d’aujourd’hui ont inventé le « racisme », et, avec tous leurs amis (ce qui fait du monde), ils nous préparent une terreur renouvelée, qui a déjà fait des milliers de morts.
    Le mot antisémitisme est plus précis, mais il inclut la simple expression d’opinions, qui, bien entendu, doit être pleine et totale. Même Robert Faurisson doit être libre de déblatérer ses saletés.
    Il est manifeste, par conséquent, que quiconque qualifie de terrorisme le simple antisémitisme et le prétendu « racisme » est, au mieux, un imbécile dangereux, et, au pire, un tyran dans l’œuf.
    Qu’il soit juif ou non, rabbin ou allumeur de réverbères, n’a pas à rentrer en ligne de compte.
    Votre rabbin n’est pas le seul. A travers tout l’Occident, les gouvernements s’emploient de plus en plus à remplacer le mot racisme par le mot terrorisme. L’arnaque totalitaire du mot qui ne veut rien dire n’était pas encore assez complète avec le premier ; histoire de diaboliser encore un peu plus les adversaires politiques, on lui substitue un mot qui, dans l’esprit de tous, signifie barbarie et massacres.
    Et comme « racisme », « terrorisme » signifiera, de plus en plus : actions, propos ou même pensées de quiconque est mon adversaire politique. De multiples initiatives, tout à fait concrètes, ont été prises par différents gouvernements à cet égard. L’arnaque de « l’anti-racisme » a été éventée, mais qui osera s’opposer à la « lutte contre le terrorisme » ?
    A l’heure où des avocats entament des procédures pour « crime contre le climat », combien de temps faudra-t-il, par exemple, pour que les simples opposants à l’interdiction des voitures non électriques soient qualifiés de terroristes ? Je nous donne quelques mois, si ce n’est déjà fait.
    Une fois de plus, face à la résistance des peuples, les gauchistes déplacent la cage de buts à roulettes.
    Quant à vous, par votre dernier commentaire, vous faites la preuve, une fois de plus, que vous n’êtes qu’un agitateur lâche et sournois. Comme à l’accoutumée, après avoir lancé la discussion par la diffamation et l’attaque personnelle, vous vous carapatez en refusant le débat, en fuyant l’argument, et en concluant derechef par la diffamation et l’attaque personnelle.
    Attaque et diffamation dont vous savez fort bien qu’elle constitue, aujourd’hui, une menace de mort.
    Vous êtes bien pire qu’un troll. Un troll sème la zizanie pour s’amuser. Vous avez un objectif. Vous avez une stratégie.
    Vous passez beaucoup de temps, ici, à dénoncer le « racisme ». Mais on ne vous entend pas beaucoup dénoncer les crimes dus à l’immigration noire ou musulmane, le noyautage des institutions par les islamistes, la construction de mosquées salafistes à nos frais, les enfants qui se font systématiquement tabasser parce qu’ils sont blancs ou catholiques, les Français contraints de se soumettre aux contrôles d’identité de la mafia de la drogue, les viols commis par les « réfugiés », les attentats…
    Tous ces criminels de masse et d’habitude se revendiquent, à la moindre occasion, de « l’anti-racisme ». Combien d’attentats commis par ceux que vous accusez de « racisme » ? Combien de viols, combien de tentatives de meurtre, combien de sauts à pieds joints sur la tête de « mauvais regardeurs » jetés à terre ? Combien de voitures brûlées, combien de pompiers caillassés par des « racistes » ?
    De quelle race sont les uns, et de quelle race sont les autres ?

  82. Robert Marchenoir

    Ne vous dérangez pas pour moi, je passais juste pour faire tourner le compteur d’un cran. Je ne voudrais pas que Monsieur et Madame Bilger aient des ennuis. Le nombre des commentaires est bloqué à 88, et j’ai remarqué que ça arrivait régulièrement sur ce blog.
    En plus, sur ce fil en particulier, c’est tout à fait fâcheux. Déjà que ça grouille de fachos, en temps normal, dans les commentaires…

  83. GRAMMAIRE FRANÇAISE : UNE MUNICIPALE, DES MUNICIPAUX !
    Le Rhône, voie royale des grandes invasions. Depuis toujours. Comme toutes les vallées. Il vit passer César et ses cohortes. La Province romaine rentra dans l’Empire. Elle n’en sortit véritablement qu’avec Louis XI.
    C’était le temps où les envahisseurs étaient des « civilisés » !
    Plus tard il y eut les Dragonnades et les villages cachés au pied des premiers contreforts des Alpes servirent de refuge aux protestants.
    Cette province-là, retirée au fond des vallées, douce et parfumée, pauvre mais paisible, vécut quiète jusqu’au jour où une nouvelle invasion, celle-là venue de la mer, remonta le cours du fleuve et se propagea au nord, au loin, toujours plus loin.
    De Marseille jusqu’à Lyon… la Bourgogne… l’Alsace… la Scandinavie, on suivait la progression comme un malade scrute la montée du thermomètre.
    Les maires ruraux – cette phalange des 36 000 fameux protecteurs de la Nation, toujours cités comme les meilleurs gestionnaires de la chose publique – profitèrent de cette « aubaine » pour aider à l’installation de nouveaux arrivants, jeunes et pétulants, une régénération des « pays » oubliés : des crédits, du commerce, des écoles… la gloire pour les édiles !
    Les anciens habitants de ces « zones rurales oubliées », réputées pour la douceur de vivre, ne partageaient pas cet enthousiasme, ils voyaient se dégrader, jour après jour, leur espace de vie et leurs descendants qui avaient migré dans les grandes villes constataient à chaque retour estival que la vie était devenue hasardeuse, autant qu’ailleurs, que « leur famille, âgée et isolée » n’avait plus qu’à disparaître promptement.
    Aujourd’hui cette région est une des plus insécures du pays.
    Les voyous municipaux vont-ils recevoir un nouveau mandat pour nuire à leurs administrés ?

  84. Ils sont, ceux-là, de la race humaine, dont vous faites partie, Marchenoir, à ne pas savoir nommer ce que vous représentez, et osez me dire à moi, que je diffame alors que je vous décris, ce que vous ne supportez pas et dès le commencement pour cela me traitez de nazi.
    Vous avez tout pour accéder à la vérité et le refusez, au moins assumez les impérities de votre imposture.

  85. @ Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 09:01
    Mais que dire de plus?
    Si EM souhaitait s’intéresser au problème de l’Islam et à son corollaire, l’immigration non contrôlée, il l’aurait déjà fait. Il faut dire qu’une résolution efficace de l’engrenage souligné par Philippe Bilger (« Islam, islamisme, radicalisation et terrorisme : un cycle infernal ? ») exige de la part des Autorités des prises de position fermes et nettes, dont on peut être sûr qu’elles ne seront ni comprises ni soutenues par une partie de l’opinion, comme le montre l’affaire Mila. C’est déjà bien qu’EM ait rappelé la liberté de critiquer une religion même si c’est la moindre des choses.
    Il lui reste à obtenir des pratiquants de l’Islam qu’ils s’engagent à respecter la loi française, rien que la loi, et toute la loi. Je doute comme vous que les militants islamistes se laissent persuader par de bonnes paroles. Il faudra donc les y contraindre, et c’est à cela qu’une bonne partie de l’opinion répugne, d’où sans doute la pusillanimité de l’exécutif, car il est difficile de soupçonner que ce soit par idéologie.

  86. « Vous passez beaucoup de temps, ici, à dénoncer le « racisme ». Mais on ne vous entend pas beaucoup dénoncer les crimes dus à l’immigration noire ou musulmane, le noyautage des institutions par les islamistes, la construction de mosquées salafistes à nos frais, les enfants qui se font systématiquement tabasser parce qu’ils sont blancs ou catholiques, les Français contraints de se soumettre aux contrôles d’identité de la mafia de la drogue, les viols commis par les « réfugiés », les attentats…
    De quelle race sont les uns, et de quelle race sont les autres ? »
    Rédigé par : Robert Marchenoir | 13 février 2020 à 08:57
    « Ils sont, ceux-là, de la race humaine, dont vous faites partie, Marchenoir, à ne pas savoir nommer ce que vous représentez… »
    Rédigé par : Aliocha | 13 février 2020 à 14:08
    C’est, typiquement, un dialogue de Beckett…
    Mais qui est Vladimir ? Qui est Estragon ?…
    Ou plutôt : qui est Pozzo ? Qui est Lucky ?…
    J’ai quelques idées…

  87. Et qui est Godot, sbriglia ?
    Engagez-vous donc dans le débat, M. Ponce Pilate, au lieu de distribuer les points en vous en lavant les mains, et remarquez que la cage à roulettes de la définition élastique de notre ami lui tombe sur la tête, tentant de reprendre un débat qui est clos et avec éclat, il pourra trépigner et se rouler par terre en hurlant tel le sale gosse qu’il est, il ne saura que s’auto-intoxiquer à déféquer toutes les pendules inconvenantes à l’endroit du grand rabbin, pris dans le filet des prisons de son incohérence.
    La haine, répétons-nous avec toute la douce patience de celui qui sait, est comme l’héroïne, il n’y a que le toxico qui puisse décider de s’en passer.
    Marchenoir, invariablement, choisit la piquouse, et sbriglia de se faire fouetter.
    Chacun ses accoutumances.

  88. On me dit que l’islam exige des Autorités d’un pays où cette idéologie s’organise pour l’éternité, des prises de position dont on peut être assuré qu’elles ne seront ni comprises ni soutenues par une partie de l’opinion !
    On me rappelle que c’est la moindre des choses d’avoir la liberté de critiquer une religion sans préciser de quelle religion il s’agit et en omettant d’indiquer si la religion « critiquable » est en mesure de faire appliquer strictement ses lois – lesquelles peuvent être rigides et sévères comme on le sait des religions de ce bas monde.
    Une proposition idiote, pouvant se révéler mortifère !
    On me dit encore qu’un chef d’Etat concerné par le « problème de l’islam » prendrait dès sa prise de fonction des mesures draconiennes à l’encontre de cette religion ; il est plus que probable que lors de la campagne précédant son élection il aurait alors développé, pour le peuple haletant qui attend de lui son salut, toutes ces actions salvatrices tant espérées !
    C’est tout aussi grotesque. On sait très bien que cela ne se passe jamais ainsi dans le monde réel !
    Et on m’ajoute enfin que le pouvoir devra contraindre, par tous moyens, tout religieux qui enfreindrait les lois du pays d’accueil, « rien que la loi et toute la loi » tout en sachant pertinemment combien cette action est chimérique et honnie par ailleurs par toute la partie de la population qui est déjà « à cheval », religieusement parlant !
    Autant dire qu’on touche au délire !
    Moi je dis que quand les choses sont simples il est folie de les compliquer. Comme ce personnage du « Pacha » commentant  : « Les flics d’un côté, les truands de l’autre… mais là, à partir d’un certain moment, on sait plus très bien ! »

  89. Robert Marchenoir

    @ Aliocha | 14 février 2020 à 08:27
    « La douce patience de celui qui sait. »
    Il ne se prend pas pour la poussière de ses semelles, l’Aliocha.
    « Tel le sale gosse qu’il est. »
    Voilà : la douce patience de celui qui sait. C’est la tournure que je cherchais.
    « Tentant de reprendre un débat qui est clos. »
    C’est moi qui décide. Je suis Napoléon.
    Comment se fait-il qu’il y ait autant de candidats à la psychiatrie lourde, sur ce blog ? Philippe Bilger m’a pourtant l’air d’un homme raisonnable… D’habitude, les blogueurs attirent les gens qui leur ressemblent… D’où vient ce mystère ? Quelle est cette malédiction ? Et comment se fait-il que le café, qui est si noir, attire le sucre, qui est si blanc ?

  90. sbriglia@Aliocha

    « Marchenoir, invariablement, choisit la piquouse, et sbriglia de se faire fouetter.
    Chacun ses accoutumances. »
    Rédigé par : Aliocha | 14 février 2020 à 08:27
    C’est parfaitement exact, Aliocha : j’aime être fouetté, parfois jusqu’au sang, pour ne pas m’endormir face aux sirènes de la bien-pensance, pour ne cesser de croire à mes fondamentaux : liberté, effort, primauté de l’individu, sens du travail et des valeurs transmises par mes ancêtres, défense intransigeante de mon espace judéo-chrétien, de ma culture, de mes choix de vie, le tout dans le respect de mon voisin.
    Pour éviter de sombrer dans le renoncement, l’abdication, la cinquième colonne, la forfaiture…
    Pour appeler un chat un chat et une crapule une crapule…
    Les « piquouzes », comme vous les appelez, de Robert Marchenoir sont toujours les bienvenues : elles vous réveillent de cet « à-quoi-bonisme » qui, se fondant sur notre paresse naturelle, nous force à nous coucher.
    Ai-je à me cacher, honteux, de l’apprécier ?
    Homme de droite je suis, homme de droite je demeure : je n’ai pas besoin des leçons aigres de fraternité déversées à torrent pour pratiquer le bien en toute discrétion.
    Voilà, vous savez l’essentiel.

  91. Nous donnerez-vous votre définition non élastique du racisme, Marchenoir ?
    Non, continuez-vous à persister, alors que vous l’exigiez de moi pour, prétendiez-vous, la clarté du débat.
    Le débat est donc clos, malgré Napoléon, malgré vos asiles en lesquels vous envoyez ceux qui osent vous contredire, preuve supplémentaire que l’anti-communiste ressemble au communiste, comme le raciste à l’anti-raciste, l’objet de la querelle disparaissant au profit de celle-ci, les bons bourgeois se lavant les mains de l’absence de définition, oui, oui, pour être dévot, on n’en est pas moins homme, à postuler la hiérarchie des races au nom du chrétien, recrucifiant à tour de bras en prétendant nous défendre, alors qu’on joue le jeu de l’ennemi ravi d’attiser les divisions, Occident malade de ses addictions, et qui ne trouve son réveil que dans l’abjection.

  92. @ Robert Marchenoir le 14 février 2020 à 13:38
    « …le café, qui est si noir, attire le sucre, qui est si blanc »
    Et le lait… il est caille !?!?
    Peu interessee, ni au fait, de la chose politique, j’apprecie neanmoins de lire Monsieur Marchenoir qui publie des commentaires argumentes magnifies par une ecriture impeccable.
    Bon week-end a toutes et tous.
    Je retourne, avec grand bonheur, a mon precieux et quasi-total anonymat… n’en deplaise a Monsieur le Professeur !! Mazette, tant d’ami(e)s virtuel(le)s…

  93. Robert Marchenoir

    @ Valerie | 14 février 2020 à 17:56
    Vous êtes bien aimable.
    ______
    @ sbriglia | 14 février 2020 à 14:51 (@ Aliocha)
    « Je n’ai pas besoin des leçons aigres de fraternité déversées à torrent pour pratiquer le bien en toute discrétion. »
    Voilà qui est bien dit, et devrait clore le débat. Ah non, zut, encore raté…
    ______
    @ Aliocha | 14 février 2020 à 15:41
    « Nous donnerez-vous votre définition non élastique du racisme, Marchenoir ? Non, continuez-vous à persister, alors que vous l’exigiez de moi pour, prétendiez-vous, la clarté du débat. Le débat est donc clos, blabla. »
    S’il est clos, pourquoi y revenez-vous sans cesse ? Gros malin…
    Je viens de vous la donner, ma définition. Pour la centième fois, ici même (13 février 2020 à 08:57). Mais vous faites partie de cette race de gauchistes qui fait semblant de ne jamais avoir rien entendu, sauf quand ça coïncide avec le dogme. Tant qu’on n’a pas donné la bonne réponse, ils reposent inlassablement la question.
    Vous la voulez en plus court ? Vous faites partie de ces illettrés qui sont incapables de comprendre le sens d’un texte simple de plus de 25 lignes ?
    Le « racisme » n’est qu’une méthode, pour les communistes (concept très large, que je n’expliciterai pas à nouveau ici), d’exercer leur terrorisme intellectuel sur leurs adversaires, et de leur infliger la mort sociale afin de prendre le pouvoir par des moyens anti-démocratiques.
    Voilà ma définition, Monsieur Aliocha. Vous pouvez l’encadrer et la mettre au mur : c’est ce que vous pratiquez ici du soir au matin. C’est vous le raciste.
    Si vous avez des arguments à opposer à cette définition (et à tous les développements que j’en ai fournis auparavant), donnez-les. Sinon, cessez de faire l’imbécile.

  94. Marchenoir nous redanse son cha-cha-cha transgressif, pris dans les filets de sa cage à roulettes d’imposteur, qu’il se prend régulièrement sur la figure.
    Tout est démontré, mon ami, et vous continuez à transgresser, sans jamais donner une définition du racisme qu’ici vous incarnez, entraînant les bataillons jaunes d’antisémites qui se précipitent à votre suite dans la brèche que vous continuez à ouvrir en la muraille de la loi, baissant notre garde et nous affaiblissant, ouvrant à l’ennemi que vous évoquez pour justifier votre impéritie, les voies de notre destruction.
    Continuez donc à persécuter en rond, à l’image de votre modèle-obstacle communiste, je continuerai à vous démontrer que votre haine et votre ressentiment sont faiblesse et aveuglement, votre non-définition mensonge sophiste qu’une simple pression du doigt suffit à renverser, et que les rodomontades éclatantes de votre style remarquable ne sont que le masque de votre lâcheté à entrevoir la vérité qui, je répète que c’est tout à fait lassant de devoir sans cesse vous le répéter, ne saura se reconnaître qu’en commençant par soi-même s’envisager.
    Mais je suis bon, et résisterai à vos infantiles provocations, en vous répétant, avec la douce patience de celui qui sait, je ne parle pas de moi mais de celui que j’imite, la définition que vous êtes incapable de nous donner car alors s’effondrent vos si fragiles constructions, qu’il est nécessaire d’éliminer définitivement si nous voulons être efficace face à l’ennemi trop satisfait que nous perdions du temps à ces inutiles diversions :
    Le racisme est une idéologie postulant une hiérarchie des races.

  95. Hier, je rencontrais un communiste qui, en langage crypté bien entendu, me disait que le communisme n’avait pas de définition, qu’il n’était qu’une invention de Marchenoir pour exercer son terrorisme intellectuel sur ses adversaires, et leur infliger la mort sociale afin de prendre le pouvoir par des moyens anti-démocratiques.
    J’ai bien essayé de défendre notre ami, mais quand les gens croient dur comme fer, même à des chimères, il est difficile de dissoudre ce qui est calcifié, et on ne peut que craindre l’effondrement de leurs structures erronées, et ils risquent alors de prendre le nom de leur maladie pour leur identité, un peu comme les nationalistes.
    Aussi, la patience est de mise, quand tout sera écroulé, on s’apercevra que les injuriés, ceux qui n’ont pas la faculté d’injurier en retour, avaient pourtant raison, et que leur capacité de rester calme sous l’opprobre, était capacité de juste perception. Rien de moral là-dedans, ce qui est juste est juste, faux est faux, laissons le bien et le mal à qui lui appartient, et les malades à leur pathologie.

  96. Robert Marchenoir

    @ Aliocha | 17 février 2020 à 09:05
    « Le racisme est une idéologie postulant une hiérarchie des races. »
    D’accord. Donc, un automobiliste qui se prend de bec avec un autre, et qui finit par le traiter de « sale nègre », n’est pas raciste. Je suis heureux que nous soyons enfin parvenus à nous entendre.

  97. Peut être suis-je un troll russe, mais sbriglia est sûrement une groupie.
    On a les modèles qu’on peut en « post-chrétienie ».

  98. @ Valerie 14/02 à 17h56
    Entièrement d’accord avec vous.
    Il y a chez Robert Marchenoir une sincérité du vrai anti-communiste qui fleure bon le temps où Suzanne Labin écrivait « Il est moins cinq » après les mémorables empoignades du procès Kravchenko.
    Même si on peut ne pas être d’accord avec son anti-poutinisme viscéral, ce qu’il écrit (bien) est toujours digne d’intérêt. Merci de l’avoir souligné.

  99. Robert Marchenoir

    @ Aliocha | 18 février 2020 à 16:52
    « Peut être suis-je un troll russe… »
    Euh… non. Vous êtes un troll, ça c’est sûr, mais pas un troll russe. Pour ça, il faut de la discipline, être prêt à bosser dur, écrire clairement et produire des résultats.
    « …mais sbriglia est sûrement une groupie. »
    Toujours la bassesse de ceux qui ne conçoivent pas qu’on puisse apprécier autrui et le dire, à moins d’être un esclave. Vous nous saoulez avec vos leçons de morale et votre faux christianisme, mais vous venez de dévoiler ici votre vraie nature. Elle n’est pas jolie à voir.

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