Il faut revenir sur cet entretien du président avec des lecteurs du Parisien. Plus j’y songe, plus il appelle des remarques, des critiques, des réflexions qui ne peuvent pas être banalisées par des polémiques ordinaires. Il mérite mieux. Ou pire.
D’abord, aucune comparaison n’est possible entre la fameuse phrase de Georges Pompidou et la saillie d’Emmanuel Macron, à l’exception de l’usage du même infinitif. Le premier, pour défendre tous les Français, se révolte contre une administration tatillonne et omniprésente, le second s’en prend à une catégorie de citoyens, non-vaccinés et antivax. Le premier a uni, le second clive.
J’ai été surpris que personne n’ait réellement été indigné par la forme présidentielle – bien plus que « familière » selon l’appréciation d’Edouard Philippe – comme si l’on avait intégré la dégradation, en certaines circonstances et depuis longtemps, de la qualité du verbe élyséen et appris à tout craindre d’Emmanuel Macron sur ce plan.
Pourtant durant deux heures, sur TF1, il avait habilement joué d’une contrition pour certains de ses propos à l’emporte pièce qui avaient pu choquer ! Mais sa pente l’entraîne délicieusement vers ce qui pour le commun serait trop loin !
Serais-je le seul que je continuerais à regretter cette dérive, ce mauvais exemple donné au plus haut, parce qu’ils induisent qu’on ne se respecte plus et qu’on respecte encore moins ses concitoyens.
La grossièreté présidentielle – elle a été assumée puisque maintenue à la relecture – a eu pour conséquence de contraindre le Premier ministre et Gabriel Attal à une surenchère un peu ridicule dans la justification.
Elle a surtout tactiquement été une faute indéniable. Certes en première lecture le pass vaccinal a été adopté et malgré quelques remous parlementaires on n’en doutait pas. Mais l’incident présidentiel risque de dénaturer cette modification qui aurait pu être largement approuvée par une majorité de Français. En effet, ils auraient parfaitement compris une opposition ferme du président à cette minorité qu’il n’était pas choquant de qualifier « d’irresponsable » sans lui dénier toutefois la citoyenneté.
Cependant, à cause de la foucade d’Emmanuel Macron, ce qui aurait dû apparaître comme un consensus du bon sens et une aspiration à une concorde la plus large possible risque d’être perçu comme un combat singulier, quasiment une vengeance personnelle, un conflit mettant aux prises le président seul contre 5 à 6 millions de ses concitoyens.
Sans compter que si des mesures encore plus drastiques et contraignantes devaient être prises, la défiance déjà forte à l’égard d’un pouvoir sans cesse mis en cause en serait redoutablement augmentée.
Ainsi, alors qu’il avait absolument raison sur le fond, la forme conduira peut-être une majorité à lui donner tort puisque 53 % des Français – je ne surestime pas ces évaluations immédiates – désapprouveraient la vulgarité du terme présidentiel.
Au-delà de la « petite phrase, grosse polémique » (Le Parisien), on perçoit bien qu’une autre forme d’irritation a saisi une large part de la communauté nationale. Même ceux qui ont désapprouvé le laisser-aller présidentiel, sa provocation verbale, auraient souhaité que sur d’autres plans encore plus importants, notamment régaliens, il ait su parler aussi clairement, aussi brutalement à l’encontre de tous les délinquants, criminels, transgresseurs de toutes sortes, massacreurs de la tranquillité publique, potentats du trafic de drogue dans les cités…
Il faut bien admettre qu’en dehors de ses dénonciations gourmées, les partisans d’un Etat fort et efficace n’ont pas eu grand-chose à se mettre sous la démocratie !
Je ne l’ai jamais entendu dénoncer les absurdités de son garde des Sceaux, anciennes comme l’insécurité qui serait « un sentiment » quand sa réalité accable les Français, ou plus récentes : Eric Dupond-Moretti reprochant à Eric Zemmour d’avoir diffusé « une violence décomplexée dans la société » alors que cette dernière est chaque jour saccagée et meurtrie par une violence décomplexée indépendante de Zemmour et contre laquelle le pouvoir, malgré ses tweets, est relativement impuissant…
Ce qui navre la France, c’est la discrétion présidentielle face à tout ce qui la détruit et son refus d’user d’un langage sans équivoque contre les responsables de ce terrible affaiblissement. Faut-il s’excuser de mettre en évidence qu’un sondage IFOP-Vae Solis mentionne que 53 % de nos concitoyens considèrent que la France est « avant tout un peuple de race blanche et de culture chrétienne » et que pour 64 %, « l’islam est une menace pour l’identité de la France » ? Je devine comme ces réalités brutes, si directes, si immédiates, si vulgaires manquent totalement d’élégance pour notre président cultivé et chez qui le « en même temps » ne sert qu’à noyer un zeste de lucidité dans un océan de compréhension tellement explicative qu’elle en devient compassionnelle.
Le président avait raison de mettre en cause ceux qui refusent, au péril de leur vie et de celle des autres, de se faire vacciner. Il l’a fait en clivant et je ne suis pas persuadé que cela lui apportera un bénéfice politique.
On aurait rêvé – mais c’est un voeu pieux – d’un langage aussi implacable à l’encontre des coupables qui au quotidien mettent la France à mal qu’à l’égard de cette minorité non coupable mais butée, mal informée ou complotiste qu’il a ciblée.
Nous, les vrais citoyens républicains civiques respectueux de notre France, de ses valeurs, ses moeurs et coutumes, son histoire, ses racines chrétiennes, allons dorénavant subir les foudres de l’emmerdeur de l’Elysée.
Nous, migrants, immigrés, clandestins, racailles arabo-africaines, musulmans islamistes, sans vaccins, sans papiers, illégaux, pourrons sans jamais être emmerdés par l’Emmerdeur en chef de la France, venir emmerder tous les citoyens normaux de souche blanche cathos déjà bien emmerdés, en vous offrant une seconde couche d’emmerdes : délinquance, vols, viols, agressions, attaques physiques, blessures, crimes ; promis juré, on n’a pas fini de vous emmerder.
Seul Zemmour peut nous désemmerder de tous ces emmerdeurs mais il risque beaucoup d’emmerdes lui aussi.
Tous les non vaccinés migrants immigrés islamistes musulmans arabo-africains envahissent la France en toute liberté, sans être emmerdés, comme dans un moulin.
Macronéron l‘emmerdeur islamogauchiste immigrationniste esclavagiste n’emmerde que les Français blancs de souche cathos qu’il déteste.
Tout est minutieusement pesé dans les soupentes élyséennes, l’objectif étant de se maintenir au-delà du mois d’avril. Tant la modestie que l’outrance sont surjouées, le registre est adapté en permanence aux fluctuations de l’opinion. C’est du théâtre. Il y a un professeur de théâtre à l’Elysée.
Après Benalla et la gestion criminalisante du phénomène Gilet jaune, voici un autre exemple qui révèle le profond décalage entre Emmanuel Macron et le profil de petit génie cultivé que ses soutiens et détracteurs lui prêtent (les seconds, sans doute pour faire l’économie des réflexions sur la médiocrité de ses opposants).
Le président de la République a nié la qualité de citoyen à ceux qu’il estime irresponsables, lui-même pourtant qui, de droit, veille au respect de la Constitution. Il s’opposait au retrait de la nationalité pour des terroristes mais il le propose pour les irresponsables. C’est absolument incroyable et de tels propos ne devraient pas pouvoir être tenus sans conséquence.
Peu importe que ce soit une stratégie de communication, tout ceci sent la profonde bêtise – il permet de voir de manière évidente qu’il est foncièrement antidémocrate.
Car, oui, il est pertinent de « de mettre en cause ceux qui refusent, au péril de leur vie et de celle des autres, de se faire vacciner ». Mais il ne l’a pas fait que « en clivant » mais en déféquant (pour reprendre son champ sémantique) sur le fondement même de la démocratie, qui ne consiste pas à nier la qualité de citoyen des habitants du dème dont on réprouve moralement un choix pourtant légal.
Il a ainsi parlé comme il l’a fait avant en soutenant le Benalla manoeuvrant au mépris des citoyens, comme il l’a fait avant en refusant le dialogue social avec les Gilets jaunes tout en oeuvrant pour que les mouvances les plus absurdes s’emparent de ce mouvement d’expression de désarroi et colère citoyenne.
Un point semble avoir échappé à la sagacité de Philippe Bilger dans cette affaire, l’éclatement du groupe LR à l’Assemblée nationale lors du vote sur le passe vaccinal : pour 28, contre 24, abstentions 22.
Valérie Pécresse, avant même d’être élue, a ses fondeurs.
Bon courage !
Cher Philippe Bilger,
Rassurez-vous, vous n’êtes de loin pas le seul à vous être offusqué de la vulgarité du langage présidentiel, qualifié par Edouard Philippe de « familier » : incroyable et scandaleux euphémisme, qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes.
J’ai moi-même évoqué ici un langage de charretier, qui ne saurait, sauf excuses fort peu probables, qu’être préjudiciable à son auteur. Nombreux ont aussi été les journalistes et les hommes politiques qui ont réagi face à cet abaissement de la fonction présidentielle.
Les citoyens français, de leur côté, cultivent une dignité qui fait partie de leur art de vivre ; ils méprisent naturellement ce type d’abaissement qui, par ricochet, les abaisse aussi.
Mais au-delà du langage, ce qui choque le citoyen, c’est le calcul politicien évident à l’origine de cette langue de bistrot. Souder autour de soi une partie de l’opinion en la soulevant contre une autre est lamentable, mesquin, médiocre.
Rien que pour cela, cet ersatz de Président ne mérite pas d’être réélu.
Nous, vrais juifs comme vrais chrétiens, regrettons amèrement que notre président cède aux provocations des leaders irresponsables qui excitent les destructeurs de démocratie.
Il suffisait d’affirmer que les antivax restent à la maison, les LR n’en auraient pas été moins divisés, et le pays un peu moins.
Vous avez peur, président ?
Comme disait Aimé Jacquet à ses troupes en demi-finale du mondial de 1998, si vous avez peur, vous perdrez !
Allons, un peu de courage que diable, continuez à ne pas les siffler, rassemblez !
Il me semble que le plus grave n’est pas l’emploi de mots grossiers de la part de Macron mais plutôt la stigmatisation d' »irresponsables » qui ne méritent plus leur citoyenneté.
Comment un président peut-il proférer une telle énormité et qui est-il pour décréter qu’un non-vacciné devrait rendre sa carte d’identité ?
Encore une fois la culpabilisation de ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter les trois doses réglementaires est choquante. À cause de leur inconséquence, les services hospitaliers seraient en grave danger !
La faible rémunération des personnels soignants et notamment celles des infirmier(e)s et aides-soignant(e)s et la sur-administration dont ils sont victimes expliquent depuis longtemps déjà leur désarroi et leur découragement. En Suisse ou en Allemagne la rémunération est deux fois supérieure à celle de la France !
Donc culpabiliser ceux qui résistent au vaccin n’a pas de sens ; la logique déployée par Macron voudrait que les fumeurs hospitalisés pour cancers, bronchite obstructive, problèmes cardiaques, sans parler des gens qui mangent trop sucré ou trop gras devraient être déchus de leur citoyenneté ?
Cracher à la figure de ses compatriotes, est-ce du niveau du plus haut représentant de la Nation ?
Beaucoup n’oublieront pas cet outrage.
Tout cela ne vaut pas une ligne… l’emmerdeur c’est lui !
Au risque d’en choquer plus d’un et bien que restant foncièrement attachée à mes idées et à mes valeurs de droite, j’avoue ne pas avoir été choquée outre mesure par la réaction d’humeur d’Emmanuel Macron.
Pas de quoi en faire une pendule !
Il est loisible à tous ceux qui se sentent visés par l’emmerdeur en chef de l’Elysée de lui répondre en s’inspirant de la prose subtile et délicate de Sarkozy : « Casse-toi pauv’ con ».
« Who shall tell the concord of the discord ? », Shakespeare, Le songe d’une nuit d’été.
Qui dira l’accord du désaccord ?
La question est toujours aussi pertinente !
Quand on entend les imprécations des uns et des autres, se répondant les unes aux autres, qu’on en a le tournis, qu’on ne sait plus qui emmerde qui, entre les vaccinés, les non-vaccinés, maintenant le président lui-même… on se dit que Shakespeare avait tout compris…
« J’ai été surpris que personne n’ait réellement été indigné par la forme présidentielle » (PB)
Cher monsieur Bilger, j’avais pensé le faire, mais je ne voulais pas trop m’écarter du sujet.
Alors, puisque vous insistez, exposons les grandes lignes.
Comme pour divers sujets traités sur ce blog, il faut une fois de plus remonter sinon au Déluge du moins à 1789, période qui a vu notre pays être obligé par des gens pas très recommandables – euphémisme – de devoir remplacer la plupart de ses références au Bien par leur contraire.
Durant ce processus révolutionnaire – du latin revolvere, mettre sens dessus dessous – toutes les activités sociales et humaines ont été chamboulées, dont la politesse, cette forme de charité, qui était en vigueur non seulement dans l’aristocratie mais encore dans une grande partie de la population, comme en témoignent certaine écrits de cette époque, qui révèlent même chez des gens simples un aspect de la politesse française autrefois si renommée dans le monde.
La descente aux enfers s’est amorcée, avec l’obligation de jouer au citoyen en adoptant des manières attribuées de façon caricaturale à un peuple confondu avec sa fange, dont celles touchant à l’expression parlée supposée vulgaire.
Et avec de tels personnages ayant vécu comme ils parlaient, le pire était inévitable.
Bref, souvent pour rester en vie, les Français ont parfois été obligés de s’encanailler, en prenant comme modèles nombre de malfaisants sanguinaires qui, portés alors au pinacle, infestent encore de nos jours par leur représentation ou leur nom nos rues, nos monuments et nos livres et nos lois.
Combien de grands hommes contestables – sans généraliser – ont-ils été panthéonisés ?
Depuis, le mouvement n’a fait que se généraliser, dans un mouvement qui a de plus en plus tendu à affecter de prétendues élites qui, derrière un vernis d’éducation, ont trop souvent non seulement un langage mais encore un comportement de voyous, comme l’actualité en témoigne.
Comment pouvons-nous alors nous surprendre que nombre de Français qualifiés de populistes mais ayant reçu une éducation parfois exemplaire ne puissent faire confiance à ces gens-là ?
Mais qu’attendre d’autre d’un système reposant sur des fondements pour le moins discutables ?
Quel dommage qu’un homme aussi intelligent soit aussi mal élevé !
Pcc : Talleyrand
Peux pas faire plus court !
« …un conflit mettant aux prises le président seul contre 5 à 6 millions de ses concitoyens. » (PB)
Il faut se garder de répercuter béatement les chiffres communiqués par les autorités, dans un contexte mensonger aussi compact. 5 à 6 millions de non-vaccinés, cela signifie-t-il que ce sont des « zérodosé(e)s » ? Faut-il y ajouter ou en soustraire les personnes qui après la deuxième dose, qui succéda aux désillusions engendrées par la première, ont trouvé la lucidité de comprendre que si elles acceptaient la troisième, cela ne s’arrêterait pas de sitôt ? Tout comme les contaminations et autres variants, d’ailleurs…
Auquel cas, il y a lieu de craindre que le nombre de « refuzniks » grandira à mesure des doses imposées par Big Pharma, avec le concours dévoué de l’Emmerdeur. Ce qui devrait inéluctablement inverser la balance. Parlera-ton un jour de seulement 5 à 6 millions de vaccinés à jour ?
Je corresponds régulièrement avec un Belge, ancien collègue. Triple vacciné et disposé à tendre le bras autant de fois qu’il le faudra, pourvu qu’on le laisse voyager (ce que rien ne le lui garantit pourtant) Pour me culpabiliser de mes prudentes réticences anti-thérapigéniques, il m’envoie régulièrement des photos de centres belges de vaccination. Trop heureux de montrer leurs parkings bondés. En contrepartie, je lui envoie le tableau quotidien officiel, publié sur le site Sciensano, dont le graphique de la population totalement vaccinée, STAGNE lamentablement entre 70 et 76 %, depuis… les vacances 2021. Mazette ! Pour un pays de seulement 11 millions d’habitants. Avec en commentaire ironique : « Es-tu sûr qu’il ne s’agit pas de lieux de… partouzes ? ». Pourtant ce tableau est mis à jour quotidiennement, sauf les week-ends. Alors, quid ?
Il est également à noter que malgré qu’un quart de la population belge persiste à ne pas céder aux sirènes pharmacologiques, les mesures prétendument sanitaires, ont été relâchées, contrairement à la France.
2 700 000 Belges non-vaccinés ou réticents à l’empoisonnement, cela fait proportionnellement plus que la France. Mais il faut rester prudent, face à des autorités qui ont érigé l’usage du mensonge et de la tromperie au rang de normes décomplexées. Pourtant, en Belgique, les autorités vaccinolâtres ont mis le paquet pour inséminer les cobayes. Dans les maisons de repos, les seniors ont été soumis à un véritable harcèlement moral. Jusqu’à ce qu’ils cèdent. Eux, on les a « emmerdés » sans le leur dire…
Les performances de ces méthodes n’ont hélas pu être confirmées, tant le taux de mortalité a bondi. Une campagne non avouée d’euthanasie ?? Allons, je m’égare n’est-ce pas ? L’Office National des Pensions y trouverait pourtant son compte…
Pour les seniors vivant à domicile, des appels téléphoniques en cascade, des propositions d’envoyer un chauffeur bénévole, des petits goûters avec musique, thé et parts de tartes (même pas des gâteaux) ont été organisés ça et là. Que de touchantes attentions envers ces belges ancêtres, afin de préserver leur bien le plus précieux : la santé. Ce qui n’empêche pas que dans leurs EHPAD à eux, aucun résident n’a le droit d’appeler librement son médecin, pour une consultation même bénigne, sans l’approbation préalable de la direction de l’établissement.
On vit décidément dans une société qui tout en se voulant rassurante et protectrice, ne cesse de précipiter les plus faibles (lire : crédules) vers le désespoir.
Heureusement, il y a un Dieu ! Enfin, peut-être.
« Le premier a uni, le second clive. »
Meilleure phrase du billet. L’opposition entre la phrase de Pompidou et celle de Macron résume, avec une densité extraordinaire, la distance entre les deux époques. Cela devrait faire l’objet d’analyses en profondeur.
Oserai-je écrire que cela m’a réjoui ?
Qu’au pays de Rabelais on se formalise de l’emploi d’un verbe qui n’est certes pas le plus grossier des verbes, banalisé à l’excès depuis Cambronne, même employé par le Président, me désole sur l’hypocrisie des chaisières de petite vertu…
Il a eu mille fois raison : le jour où Pécresse s’écrira en public « Macron, je m’en tamponne mollement le coquillard », elle gagnera quelques points dans les sondages…
N’oublions pas Chirac et ses c… sur un plateau offertes à Thatcher.
Une campagne électorale ce n’est pas la lecture de la princesse de Clèves…
« J’ai été surpris que personne n’ait réellement été indigné par la forme présidentielle – bien plus que « familière ». » (PB)
J’avoue que je fais partie des 53 % de citoyens qui ont été choqués par le mot utilisé par le président pour qualifier les non-vaccinés. J’aurais préféré un terme moins trivial qui pouvait être tout aussi percutant.
Ceci étant, je suis davantage choqué par le comportement de l’opposition qui nous joue son grand numéro de Tartuffe. Enfin sauf Éric Zemmour qui a bien vu le piège et n’a pas voulu aboyer avec les chiens.
Car ceux qui « emmerdent » les Français, ce sont bien les non-vaccinés indécrottables qui empêchent les commerçants de travailler et provoquent une surcharge de travail dans les hôpitaux.
Claude Malhuret, médecin lui-même a su, comme a son habitude, parfaitement exprimer le comportement de ces gens-là.
Tout est dit, et bien dit !
Deux passages de ce billet, Monsieur Bilger, ont appelé mon attention.
Tout d’abord celui-ci : « Sans compter que si des mesures encore plus drastiques et contraignantes devaient être prises, la défiance déjà forte à l’égard d’un pouvoir sans cesse mis en cause en serait redoutablement augmentée.
Ainsi, alors qu’il avait absolument raison sur le fond, la forme conduira peut-être une majorité à lui donner tort puisque 53 % des Français – je ne surestime pas ces évaluations immédiates – désapprouveraient la vulgarité du terme présidentiel. »
Le risque pris d’accentuer la défiance d’une majorité de Français à l’égard de monsieur Macron est effectivement grand. Car, s’il pense en tirer bénéfice pendant les cent prochains jours, en réalité personne ne sait quelle tournure prendra réellement la campagne électorale.
Quant à estimer « qu’il avait absolument raison sur le fond », je resterais plus circonspect sur ce point. En effet, tous les spécialistes nous avaient assurés que le vaccin à ARN messager protègerait les vaccinés et éviterait la diffusion du virus, que l’immunisation globale serait assurée si 80 % de la population adulte était vaccinée.
Que constate-t-on ? 90 % des adultes sont vaccinés, donc l’immunisation collective devrait être assurée : or, monsieur Macron et son gouvernement (Premier ministre et ministre de la Santé notamment) veulent à tout prix vacciner 100 % de la population, non seulement les 10 % d’adultes non encore vaccinés, mais aussi les enfants de plus de six ans. Pourquoi ? Parce que ce vaccin n’empêche pas les vaccinés d’être porteurs du virus muté et d’être contaminateurs, alors que la fonction essentielle d’un vaccin est d’assurer chez celui qui en a bénéficié, en cas de contamination, une protection contre une infection et surtout contre sa dissémination.
À présent monsieur Macron et son gouvernement s’acharnent à faire retomber la responsabilité de l’engorgement des lits de réanimation aux 10 % de non vaccinés. Cependant, aucun de nos dirigeants ne remet en cause la politique de santé publique, singulièrement dans les hôpitaux publics, pourtant décidée par eux dans le droit de leurs prédécesseurs… Et l’immunisation collective recule à mesure que les décideurs imposent une troisième injection, d’abord six mois après la deuxième injection, puis délai réduit à cinq mois, puis à trois mois. À quand une injection tous les mois ?
La question est alors : leur parole publique est-elle encore crédible ?
Le second point que je retiens est le suivant : « Ce qui navre la France, c’est la discrétion présidentielle face à tout ce qui la détruit et son refus d’user d’un langage sans équivoque contre les responsables de ce terrible affaiblissement. Faut-il s’excuser de mettre en évidence qu’un sondage IFOP-Vae Solis mentionne que 53 % de nos concitoyens considèrent que la France est « avant tout un peuple de race blanche et de culture chrétienne » et que pour 64 %, « l’islam est une menace pour l’identité de la France. »»
D’évidence, une majorité de Français, la plupart hors des métropoles, n’accepte toujours pas la doxa actuelle du multiculturalisme et de « l’intégration inclusive » que, depuis monsieur Ayrault, nos gouvernants, malgré leurs rodomontades, imposent de manière subreptice au peuple français, notamment en facilitant la diffusion progressisme, idéologie revendiquée de monsieur Macron, à la mode du wokisme, du racialisme et autres fariboles venues des Etats-Unis, singulièrement de l’extrême gauche du parti démocrate.
En filigrane, on comprend bien que monsieur Macron, malgré ses discours péremptoires qu’il déclame en comédien accompli, continue de jouer le jeu dangereux de la destruction de ce qui a fait le cadre de pensée et de vie de la majorité des Français, destruction qu’en un temps il avait revendiquée au nom du fédéralisme européen.
En troisième point, je voudrais simplement fournir trois liens qui donnent une autre approche sur ces propos présidentiels orduriers, exprimés non en privés mais dans l’exercice de sa parole publique, qui témoignent de sa seule volonté consciente de provocation qu’on rencontre généralement à l’adolescence. Monsieur Macron ne serait-il alors qu’un adulescent parvenu au sommet du pouvoir ?
https://maximetandonnet.wordpress.com/2022/01/05/jai-tres-envie-demmerder-les-non-vaccines/
https://www.mezetulle.fr/un-irresponsable-nest-plus-un-citoyen-vraiment/
Avec pour conséquence ? https://www.vududroit.com/2022/01/presidentielle-2022-tout-sauf-macron/
C’est vrai ce que vous dites, pourquoi la parole présidentielle devrait-elle peser si peu ?
Inutile, à son sujet, de parler de forme et de fond, ni d’évoquer la dévalorisation d’une fonction, choses entendues mille fois à propos d’hommes qui exerçaient la même charge.
On serait presque plus dans le cuit et le cru d’un discours à déchiffrer avec les outils de la science ethnographique.
Une langue crue, typique des gentils métrosexuels de son acabit, des mots cuits et recuits à l’unilatérale chez McFly & Carlito (Carcopino étant déjà pris par d’autres prétendants à la magistrature dont il s’efforce à supprimer l’aura, comme un Preminger de Netflix).
M. Macron jette à bas les restes de la langue barrière, ouvre les fenêtres du small talk une heure toutes les dix minutes.
L’esprit d’avril 1974 règne en maître, des petits cristaux des corticoïdes de M. Pompidou, il s’est fait des boulettes orales qu’il envoie dans l’air depuis un Bic creux.
Ses anciennes maîtresses d’école se précipitent dans le vide depuis le dernier étage de l’Élysée, lui vole, sa faible masse jovienne et le délicieux état gazeux de son état moral s’avérant d’excellents parachutes mordorés.
Il met peut-être ainsi ses paroles en conformité avec ses actes.
Comprenne qui pourra s’en vacciner.
Quelqu’un un jour écrira une anthologie de ses poèmes élyséens.
@ Marc Ghinsberg | 06 janvier 2022 à 13:36
Si Pécresse est élue présidente de la République, je vous parie que Philippe Bilger écrira un billet où il se lamentera de son choix. C’est un TOC chez lui. Faut qu’il arrête de jouer au PMU.
Ces soi-disant emmerdeurs payent leurs impôts, règlent leurs emprunts pour leur voiture et leur logement, font la queue à la poste et amènent leurs enfants à l’école. Et pourtant, bien que vacciné je peux transmettre le virus. « On » nous avait dit qu’avec 80 % de vaccinés, l’immunité collective serait atteinte. Nous y sommes puisque sur 67 millions de Français il n’y en a que 5 millions qui ne sont pas vaccinés ! Nous aurait-on menti ?
Au cas où les choses tourneraient mal dans les hôpitaux face à la nouvelle vague qui s’annonce, ce ne serait pas la faute de Macron et ses sbires mais la faute de ces irréductibles non-vaccinés. La ficelle est grosse mais plus c’est gros mieux ça passe. Le dégoût de la politique se nourrit de ce genre de manœuvres, mais peut-être est-ce ce que cherche Macron, faire encore baisser le taux de participation pour favoriser sa candidature ?
Quels sont les Français qui ne sont pas fatigués par cette épidémie après pratiquement deux ans, à longueur d’informations parlant matin, midi et soir du virus et de ses variants ?
Alors, dans cette situation anxiogène, les dresser les uns contre les autres ne me semble pas le meilleur moyen de rassembler un pays déjà bien assez divisé.
Je suis vaccinée trois fois, ma famille aussi.
J’ai toujours, sans rechigner, été vaccinée et j’ai fait vacciner mes enfants. Choléra et fièvre jaune en plus pour pouvoir voyager. En 2009, ce fut le vaccin H1N1 (le vaccin de Mme Bachelot décrié par les mêmes qui aujourd’hui sont des vaccinophiles enragés) et la grippe depuis plusieurs années une fois par an. Des vaccins à l’effet durable, dix ans pour certains, à vie pour d’autres et un an au pire.
Personne ne peut donc dire que je suis antivax. Mais aujourd’hui, même vaccinée, comment avoir confiance dans un vaccin aussi éphémère ?
À peine vaccinée de la troisième dose, M. Castex, sur le ton des politiciens de la IIIe République, nous parle déjà de la quatrième dose. Pas de quoi convaincre en tout cas.
On a beau être pour la vaccination en général, dans le cas du Covid, cela pose question. Je connais personnellement des antivax, jeunes, pas du tout complotistes, pas du tout irrespectueux de leurs semblables mais qui ne croient pas en ces vaccins-là, fabriqués dans la hâte même si on nous explique que l’ARN messager est une méthode testée de longue date.
Si on ajoute à cela plusieurs scandales avec des médicaments dont on n’avait pas perçu rapidement le côté néfaste et dangereux et qui ont fait l’objet de procès retentissants dont le dernier en date, le Mediator, pas étonnant que les gens doutent.
Seulement voilà, nous sommes dans un monde robotisé, uniformisé, qui ne veut plus qu’on se pose des questions. On devrait prendre comme argent comptant ce que les sachants nous disent sinon toute question légitime conduit à être supposé complotiste. Ces complotistes qui doutent, ce sont ceux que notre Président a choisi d’emmerder.
Dommage, en effet, qu’il n’ait pas choisi d’emmerder d’autres catégories de voyous. Après le drapeau européen au-dessus du Soldat inconnu, cette phrase n’est pas passée inaperçue. Mais qui pourrait s’en étonner, puisque Monsieur Macron est un transgresseur, qui aime avant tout faire parler dans les chaumières de ces Français qu’ils n’aiment pas.
N’aurait-il plus que la provocation comme argument de campagne ?
En politique, le virus a au moins du bon, car il permet d’occulter et de cacher sous le tapis tout ce qui ne va pas en France, et particulièrement le bilan assez vide d’un quinquennat plus réussi dans les célébrations nécrophiles que dans des réformes plus que nécessaires.
Cher Philippe,
Nous avons suivi le débat parlementaire durant des heures et nous eussions préféré que vous soulevâtes les problèmes de droit liés à la loi liberticide votée dans un climat électrique exacerbé par une déclaration écumeuse présidentielle tueuse du bon déroulement du travail parlementaire.
Un président se doit d’analyser sa communication, de critiquer ses stratégies, d’anticiper des situations et non de brutaliser la population en attente de solution.
Nous espérons que le Conseil constitutionnel veillera à interdire le contrôle d’identité par des personnes non habilitées parce que la réécriture du mot « contrôle » par « vérification » ignorant la correspondance avec la personne qui présente les papiers et « si le soupçon existe » ressemble à une dérive que le pays n’a plus à connaître. Cette inquisition dans les échanges quotidiens est inacceptable et dangereuse par les dérives qu’elle peut banaliser.
françoise et karell Semtob
On va tenter de faire court:
L’emmerdant, c’est la dose, l’emmerdant !…
Avec un petit rappel pour ceux qui ont la mémoire courte. Celui qui en 2005 et 2006 était chargé de rentabiliser les lits d’hôpitaux s’appelait monsieur Castex.
Il voulait du sang pour sang d’occupation, il l’a eu. Il faut bien maintenant agiter la muleta devant les vaccinés pour détourner leur attention.
Pourquoi dites-vous que personne ne s’est indigné ? Il me semble au contraire que toute l’opposition s’est jetée sur l’occasion. « Un président ne devrait pas dire ça », etc. Ce qui est parfaitement exact.
Évidemment, c’est navrant. Emmanuel Macron avait la tâche d’autant plus facile que beaucoup de Français, justement, rêvent « d’emmerder les non-vaccinés ». C’est bien parce que l’opinion publique, les soignants des hôpitaux au premier chef, commence à en avoir plein le dos de cette minorité qui « emmerde » tout le monde, qu’il était aisé au Président d’adopter toutes les postures, sauf celle-là.
Il aurait pu lancer un appel de plus aux réfractaires, les incitant à prendre soin d’eux et faisant appel à leur altruisme.
Il aurait pu souligner une fois de plus l’inocuité des vaccins et leurs effets bénéfiques ; son entourage assure qu’il dévore les études scientifiques à ce sujet, et je le crois volontiers.
Il aurait pu citer en exemple tel ou tel opposant à la vaccination, qui a appelé tout le monde à ne pas commettre son erreur, de son lit d’hôpital, avant de mourir.
Il aurait pu souligner à quel point il est révoltant de mettre en jeu la vie de ceux qui ne disposent pas d’un vaccin contre le cancer, et qui risquent la mort parce que des écervelés prennent leur place à l’hôpital.
Tout, plutôt que de céder à cette passion française faisant qu’effectivement, indépendamment du Covid, tout le monde s’applique à « emmerder » tout le monde.
Ce n’est pas parce que la guerre de tous contre tous est le mode d’interaction sociale par défaut en France, que les politiciens doivent céder à la tentation.
Et ça vaut pour les critiques de Macron, bien entendu.
Sondage 1: 67 % des Français ne sont pas choqués par la présence du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe. Résultat pschitt.
Sondage 2 58 % des Français sont d’accord avec le président sur les non-vaccinés , même s’ils regrettent les termes utilisés dans l’article du Parisien. Re-pschitt.
En fait la forme, en politique, n’est pas un paramètre important. La trivialité des propos peut même s’avérer être un atout vu que les Français en ont plus qu’assez des éléments de langage ampoulés de nos énarques.
Donald Trump a montré le chemin, Éric Zemmour lui a emboîté le pas. En l’occurrence EM nous a fait du Zemmour et ça marche !
Les faits sont là, la cote de popularité d’Emmanuel Macron n’a pas été écornée. Il semble même qu’elle ait été consolidée. Bref, tout baigne pour le président.
P.-S.: ne vous bousculez pas trop pour donner votre avis, sinon je devrai vous répondre et cela risque de faire monter mon nombre de posts, que sbriglia enregistre scrupuleusement pour me ressortir ses statistiques six mois plus tard.
@ Ninive
« Cher ami
Comptons les jours qu’il reste à vivre à la Macronie. Pensons à ce jour béni où il quittera son bunker en laissant derrière lui des centaines de milliards de dettes et une rancœur citoyenne phénoménale ; en espérant qu’il disparaîtra de la scène politique et humaine définitivement pour se faire soigner. »
C’est gentil de m’appeler « cher ami » mais vous prenez des risques de devenir très impopulaire sur ce blog noyauté par des islamogauchistes haineux rageux anti liberté d’expression.
Mon opinion est faite, quel que soit le candidat élu, Macron ou pas, nous avons la preuve formelle que nous ne vivons plus en démocratie mais bel et bien en dictature.
Le scandale des parrainages nominatifs publics est le pire exemple de manœuvre diabolique pour écarter un candidat dangereux pour le pouvoir en place.
Zemmour en est la victime, il suffit de menacer de mort un maire qui lui accorderait sa voix pour que ce dernier se rétracte par peur pour lui-même et sa famille.
Les services secrets de Macron y travaillent sans doute avec succès, la peur a pris le dessus sur la liberté d’expression, cette manœuvre machiavélique fonctionne à merveille.
Il suffit ensuite aux médias collabos d’annoncer que Zemmour est impopulaire puisqu’il n’atteint pas ces parrainages souhaités et la boucle est bouclée.
On retrouve ces méthodes ignobles dans les dictatures bananières ; imaginons que les votes ne se fassent plus dans le secret des isoloirs mais à main levée, quel fou maso kamikaze oserait lever la main à l’annonce du nom de Zemmour sans risque d’être menacé, tabassé à la sortie du lieu de vote ?
Ça ne trompe plus personne mais pour leur petit confort moral, les électeurs veaux zombis revoteront pour leur bourreau et oublieront leur vrai devoir civique et moral, celui de voter pour la liberté.
Tout ça relève d’un cinéma destiné à occulter le pire.
Il y a longtemps que Didier Raoult entre autres, invite les journalistes à faire leur travail au sujet des conflits d’intérêts, conflits d’intérêts qui expliquent l’attitude générale du corps médical sur le prétendu vaccin.
Les grands laboratoires arrosent les hôpitaux via leurs chefs de service, et avec ce qu’engrangent les producteurs de « vaccin » et dont on n’entend évidemment jamais parler, ils peuvent doucher et faire baigner.
Luc Montagnier rappelait il n’y a pas longtemps que la vaccination généralisée était une folie pour générer les variants, et il est sur la même ligne que C. Perronne, D. Raoult et autres.
Philippe de Villiers déclarait « Google plus Big Pharma = Macron ».
En clair, la France est entre les mains d’une bande de gangsters, mais l’histoire nous apprend qu’elle aime ça depuis 1789.
L’agent immobilier expérimenté ajoute que le Français moyen aime les escrocs. Le « bon commercial » est celui qui ment, qui flatte le vendeur dans sa bêtise et son ignorance. Pour les difficultés, on préfère le « padproblem » à celui qui les soulève. Le commercial en immobilier parfait, c’est Macron. La com avant tout sans foi ni loi, le notaire couvrira pour le garder comme apporteur d’affaires, et les avocats de se régaler.
Ceux qui se régalent et se régaleront de la France sont les GAFAM et les Chinois, et elle n’a pas trop intérêt à la ramener avec ce qu’elle doit à l’Allemagne.
Alors les insoumis sont des emmerdeurs. Et les soumis supportent d’autant moins de passer pour des veaux qu’ils le sont.
Zemmour, c’est le mauvais, celui qui dit la vérité. L’insupportable vérité.
Votez Macron, comme allez porter votre maison à vendre dans la grande chaîne qui vous appâte comme des carpes avec la publicité que vous payerez dans l’addition.
Ô Macron Macron, roi de Bayonne. Ô Macron Macron, roi de Bayonne et des couillons ! https://www.youtube.com/watch?v=owqeqLSEVFk
@ Paul
« Nous y sommes puisque sur 67 millions de Français il n’y en a que 5 millions qui ne sont pas vaccinés ! Nous aurait-on menti ? »
Attention, il y a 67 millions d’habitants environ en France mais seulement environ 64 millions de citoyens français.
Nous pourrions aussi évoquer un certain nombre « d’invités » divers en assez grand nombre, mais manifestement ils passent sous les radars du Régime…
@ Xavier NEBOUT | 07 janvier 2022 à 10:34
Nous allons être les nouveaux « fichés S », S comme seringue.
Pendant ce temps d’hôpitaux encombrés, l’office de l’immigration se plaint des soins gratuits et très coûteux donnés aux étrangers qui eux sans doute n’occupent pas de lits d’hôpitaux.
Et ce n’est pas fini. En Grèce, avec courage, des habitants s’opposent à l’arrivée de matériel pour la construction de nouveaux camps de migrants.
https://www.youtube.com/watch?v=09e-UfEAhUY&t=79s&ab_channel=Politischios.gr
Joffrin (et d’autres), l’anti-France personnifié, le regard en biais derrière ses lunettes, pouffe. Ce sont ses nouveaux Khmers rouges.
Une remarque d’ordre général.
Je trouve lamentable et inquiétant que de nombreux Français – y compris sur ce blog chez des gens supposés intelligents – gobent sans aucun esprit critique et sans remettre les choses à leur juste place la propagande tonitruante actuelle de stigmatisation des non-vaccinés, désignés comme les uniques responsables de tous les maux, sinon ceux de la Terre du moins ceux du système hospitalier français.
Mais :
– Qui s’est gaussé des masques, qui ?
– Qui donc a supprimé des milliers de lits d’hôpitaux (avec l’environnement médicalisé correspondant) ces dernières années, qui ?
– Qui s’est contenté d’effets d’annonce à ce sujet au début de l’épidémie, sans rien faire, qui ?
– Qui a interdit depuis le début de l’épidémie à des milliers de Français de se faire soigner dès le début de leurs symptômes par des traitements précoces efficaces qui leur auraient permis d’éviter l’hospitalisation ou du moins leur éviter l’apparition de formes graves de la maladie, contrairement à la préconisation irresponsable de Doliprane (hélas toujours en vigueur) qui ne calme que la douleur sans empêcher le virus de se développer ? Qui ?
– Qui n’a tenu aucun compte des avertissements portant sur la possibilité de l’apparition d’une pandémie, qui ?
« La gestion de l’épidémie : erreurs, incompétences, fautes, mensonges (Alain Bauer) »
https://www.youtube.com/watch?v=TaezxvjUo7g
– Qui pourra nous expliquer pourquoi, alors que la France est vaccinée à une proportion très élevée, supérieure à celle qui nous avait été vendue comme devant nous permettre de bénéficier d’une immunité collective, le taux d’incidence soit encore aussi élevé (par pitié, que l’on ne vienne pas en accuser les non-vaccinés cloîtrés chez eux), qui ?
Mais derrière ces faits vérifiables, comment ne pas voir que toute cette affaire relève plus de la politique que de la médecine, instrumentalisée et dévoyée par des apparatchiks pour jouer les utilités et tenter de masquer leur incompétence quand il ne s’agit pas de servir leurs intérêts ?
Enfin et surtout, comment ne pas reconnaître que cette campagne de stigmatisation virulente de boucs émissaires en négation d’une fraternité clamée sur les toits à tout propos ne correspond pas exactement à ce qu’Orwell appelait le « quart d’heure de la haine » ?
@ Achille | 07 janvier 2022 à 07:25
« Sondage n°1 »… « Sondage n°2 »…
« …les Français en ont plus qu’assez des éléments de langage ampoulés de nos énarques. »
Merci d’indiquer les références de ce sondage n°3.
« …la cote de popularité d’Emmanuel Macron n’a pas été écornée. »
Merci d’indiquer les références de ce sondage n°4.
En période électorale, la diététique politique conseille de ne pas se gaver de sondages. Au moment où on les avale, on a la sensation d’être copieusement nourri et de pouvoir dormir tranquille. Mais leur effet est éphémère et disparaît totalement dès qu’un nouveau plat de % vous est présenté.
À trop s’en goinfrer, il arrive aussi que l’un d’eux vous reste sur l’estomac. L’indigestion vous guette alors, très douloureuse si, par-dessus le marché, vous avez consommé des résultats qui ne sont pas à vote goût.
Achille, il faut donc vous régaler aussi de quelques programmes, savourer les petites phrases, apprécier les stratégies. Bref, il faut que vous aimiez toute la cuisine électorale.
« En l’occurrence EM nous a fait du Zemmour et ça marche ! »
J’en conclus que vous admettez que Zemmour est le maître et EM l’élève… Un peu cancre, non ? « et ça marche »… Achille, je salue votre humour ! Peut-être involontaire ?
La science du sondage, c’est l’art de poser les questions.
Êtes-vous choqué par la présence du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe ?
Êtes-vous choqué par la présence du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe en remplacement du drapeau français ?
Êtes-vous choqué par la présence du drapeau européen sous l’Arc de Triomphe en remplacement du drapeau français alors que le protocole jusqu’ici était de ne tolérer sa présence qu’accompagné du drapeau français ?
« En fait la forme, en politique, n’est pas un paramètre important » nous dit Achille. Le fond serait donc détaché de la forme ? Lorsque le garant de la Constitution remet en cause les critères de reconnaissance de la citoyenneté au mépris du droit constitutionnel (https://lessurligneurs.eu/emmanuel-macron-un-irresponsable-nest-plus-citoyen/), ce ne serait pas un problème de fond ?
Finalement, Macron, ce n’est pas le en même temps, c’est le Vae Victis.
Sbriglia, vous dites que vous aimeriez aussi entendre Pécresse s’écriéer en public « Macron, je m’en tamponne mollement le coquillard ». La parole d’une candidate n’a aucun rapport avec celle d’un président de la République, de la chose publique, en exercice, président de tous les Français.
Et se tamponner le coquillard de son opposant ne veut pas dire souhaiter être pénible délibérement avec une partie de la population qui n’a pas commis de faute légale.
Je déteste la grossièreté avec ou sans étoile pour la rendre moins crue. C’est l’arme des faibles qui veulent passer pour des forts, qui roulent des épaules pour faire croire qu’ils ont une carrure de chef. M. Macron a toute sa vie été un importun, il a éjecté le mari de sa professeur de français, il a réussi à prendre la place de Fillon et maintenant, il continue dans cette voie qu’il maîtrise. Qui se ressemble s’assemble, il a trouvé avec qui communiquer, les Français qui refusent les vaccins et les mesures imparfaites. Macron va les importuner au plus haut point.
Nombre de Français partagent la position d’EM s’agissant des non vaccinés.
Mais si ces Français peuvent s’exprimer sur ce sujet en utilisant le même langage que le Président sans que personne n’y trouve à redire, parce qu’ils ne sont pas, eux, Président, EM a le devoir, lui, de s’en dispenser, justement parce qu’il est Président. Là réside la différence. D’autant que les circonstances – interview dans un cadre feutré et non interpellation houleuse dans la rue – ne justifiait alors nullement un tel propos.
Un président de la République n’est pas élu pour emmerder quelque catégorie que ce soit de Français, il est là pour affronter les défis auxquels tous les Français sont confrontés et leur apporter des solutions. Heurter de front, cliver, discriminer, même si ces attitudes peuvent à un moment paraître parfaitement compréhensibles, ne sont pas forcément les meilleures solutions pour parvenir à cette fin.
Recourir à un tel langage, ce qui est assez coutumier chez lui, fait finalement « paraître l’homme (EM) au-dehors comme il devrait être au-dedans » (La Bruyère – Les Caractères).
Après votre billet, cher hôte, il ne semble pas qu’il y ait d’autre attitude que se taire en approuvant. Vous avez tout dit.
Je me permettrai une seule considération personnelle, donc sans intérêt. Vous avez heureusement rappelé les mots un peu lestes du Président Pompidou, protecteurs et bonhommes aussi. Ici, nous sommes devant un homme qui nous a déjà traités de criminels contre l’humanité, et qui, aujourd’hui, nous affirme qu’il dispose d’une réserve de matière fécale pour en tartiner certains d’entre nous, dont je ne fais, hélas, pas partie. Cet homme est un abcès. Ses affidés ont-ils perdu tout honneur ?
En tant que natif de ce pays, je me sens méprisé, humilié, jusqu’aux larmes de dépit.
Le 10 avril 2022, Emmanuel Macron, j’ai très envie de t’emmerder.
Il y a des mythes qui perdurent… jusqu’au jour où, miracle, les yeux se dessillent. Ce miracle vient de se produire et beaucoup de Français ont réalisé que leur président, qu’ils croyaient supérieurement intelligent – d’ailleurs lui-même en était persuadé – ne l’était pas plus que n’importe quel quidam.
Il ne faut pas confondre intelligence et tactique. Macron est un tacticien qui sait manipuler les gens et l’opinion. Il est comme ces seiches qui se protègent en envoyant un nuage d’encre pour se dissimuler.
Macron sait que le bilan de son quinquennat est des plus mince donc, pour éviter de se justifier, il envoie l’encre du Covid en flattant les bons citoyens (vaccinés) et vouant les anti aux gémonies, par le truchement d’un langage ordurier qui frappera l’opinion.
Gérard Larcher, qui n’a pas été dupé par Macron, déclare : « Je demande à EM de ne pas confisquer le débat de l’élection présidentielle par des provocations inutiles destinées (…) à masquer l’inconsistance de sa majorité et la faiblesse de son bilan. Son quinquennat est un échec, la campagne va le démontrer ».
Je crains néanmoins que Macron soit réélu faute d’adversaires valables. Seul Zemmour aurait été à la hauteur mais la macronie fera tout pour qu’il n’ait pas les 500 parrainages nécessaires.
Restent Mmes Le Pen et Pécresse. La première n’a pas voulu tirer les leçons de sa lamentable prestation de 2017 et n’a pas cédé les rênes de l’entreprise familiale à sa nièce, qui a le défaut rédhibitoire d’être bien mieux qu’elle.
Quant à la seconde, elle n’aurait jamais dû être désignée candidate des LR en fonction des liens préexistants entre son mari et le président dans l’affaire Alstom puis dans la fourniture d’éoliennes. D’ailleurs, pour beaucoup d’électeurs, entre Macresse et Pécron c’est bonnet blanc et blanc bonnet.
Décidément, aussi bien à gauche qu’à droite les primaires n’ont réussi qu’à choisir le mauvais cheval : les socialistes ont préféré Hidalgo à Stéphane Le Foll et les LR, Pécresse au lieu de Xavier Bertrand.
Quod erat demonstrandum : Macron réélu.
@ Serge HIREL | 07 janvier 2022 à 12:13
« Merci d’indiquer les références de ce sondage n°3.
« …les Français en ont plus qu’assez des éléments de langage ampoulés de nos énarques. »
En fait de sondage, il suffit de voir le taux d’abstention de la présidentielle de 2017
Il s’agit de la plus forte abstention pour un second tour depuis l’élection présidentielle de 1969.
Je pense que c’est la preuve que les Français souhaitent un autre discours que celui jusqu’alors entendu lors des campagnes électorales. Un langage plus fruste mais qui répond mieux à leurs attentes et à leur compréhension.
Ceci explique pourquoi les orateurs populistes du genre Éric Zemmour, J-L Mélenchon et dans une certaine mesure Marine Le Pen sont en tête dans les sondages, si l’on excepte bien sûr, Emmanuel Macron qui plane 10 points au-dessus d’eux.
« Merci d’indiquer les références de ce sondage n°4.
« …la cote de popularité d’Emmanuel Macron n’a pas été écornée. »
Ci-joint sondage 5-6 janvier donc après la parution de l’article du Parisien.
« J’en conclus que vous admettez que Zemmour est le maître et EM l’élève… Un peu cancre, non ? « et ça marche »… Achille, je salue votre humour ! Peut-être involontaire. »
Pour savoir qui de l’élève ou du maître est le meilleur, il faut attendre le 24 avril prochain à 20H…
@ Exilé
Je suis d’accord avec vous. En désignant les non-vaccinés à la vindicte populaire, Macron tente de détourner les flèches qui, sinon, lui seraient destinées pour sa mauvaise gestion de la crise.
Le désigner, lui, à la vindicte populaire, n’est d’ailleurs pas juste non plus. Même s’il l’a bien cherché…
Car il n’est jamais juste de faire porter le poids d’une catastrophe, naturelle ou non, telle que la présente épidémie sur un (des) bouc(s) émissaire(s), quelles que soient leurs fautes réelles ou supposées.
Si nous étions un tant soit peu sérieux, nous réfléchirions aux mesures à prendre pour qu’elle ne se reproduise pas.
« Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu’elle a tuées, croyez-vous qu’elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. »
Luc 13.4-5
Juste une remarque : les irresponsables sont tous ceux qui ont fléchi devant la pression incompréhensible pour se faire vacciner, uniquement pour aller boire un canon ou un café et pas par conviction sur l’utilité de ces pseudo-vaccins !
Il serait bien aussi de se poser la question : pourquoi l’hésitation ? Là, je risque de passer pour un complotiste, la mode aujourd’hui, comme du temps des collabos. Pour résumer et observer ce qui se passe dans ce monde devenu fou, demain il sera plus « responsable » et « citoyen » d’être un délinquant, même un tueur si vous êtes vacciné, qu’un pépé tranquille non vacciné. Car un délinquant vacciné sera soigné et payé par le chômage après avoir exécuté sa peine, réduite au maximum. Voilà l’ignoble de la pensée de tous ceux qui osent dire et mettre en pratique ces mesures discriminantes et criminelles. Ça m’étonne de votre part M. Bilger que vous n’ayez pas saisi cette nuance !
@ Achille | 07 janvier 2022 à 16:52
« Les Français en ont plus qu’assez des éléments de langage ampoulés de nos énarques. (…) il suffit de voir le taux d’abstention de la présidentielle de 2017 »
Achille, rappelez-nous qui était cet énarque encore jeune aux « éléments de langage ampoulés » présent au second tour… Apparemment, en cinq ans, son vocabulaire a beaucoup évolué… Peut-être cela va-t-il l’aider à être réélu…
« Emmanuel Macron qui plane 10 points au-dessus d’eux. »
Un planeur est un avion sans moteur, qui vogue au gré des vents… Un trou d’air et c’est le crash…
« Ci-joint sondage 5-6 janvier donc après la parution de l’article du Parisien. »
Je vais attendre quelques confirmations avant d’applaudir l’artiste, en particulier des sondages réalisés aujourd’hui ou au plus tôt hier, qui, eux, tiendront compte des effets du tsunami provoqué par la teneur et le ton des propos de EM. Pour ma part, deux zéros pointés… Mais je ne suis pas sondé… et je ne réponds jamais aux sondeurs.
@ Marius | 07 janvier 2022 à 20:11
Laissons le temps au temps.Tout est absolument bidonné et le Omicron déjoue tous les plans, se jouant des vaccinés qui plus est triple dose (j’ai déjà noté un cluster de… vaccinés).
Raoult dans sa dernière vidéo précise bien que les pays les plus vaccinés sont ceux où explosent les nouveau cas. Allez sur CovidTracker pour comparer. C’est hallucinant. Des pays dont on nous rabâchait la monstruosité des cas au point de nous mettre des vidéos de corps qui brûlaient sur des bûchers (eh oui en Inde c’est une tradition) pour nous affoler. Plus rien en Inde, sans presque vacciner. Idem en Afrique équatoriale. Madagascar aussi. La raison en est simple mais les douanes, autant que faire se peut, la bloquent.
On est dans une course de haie au milieu d’un troupeau de pintades de type européen. L’Autriche reporte ce soir la vaccination obligatoire au 1er avril. Israël explose malgré les trois doses.
Ce ne sont pas des vaccins. Macron n’a plus beaucoup de cartes à jouer, il lui reste le joker de la provocation pour exciter les deux camps dans un combat fratricide. Les black blocs vont peut-être reprendre du service.
Pour vous, Achille.
https://www.youtube.com/watch?v=bAPc3pPaEr8
De Gaulle n’aurait certes pas daigné réagir à la sortie grossière que vous évoquez, car il ignorait superbement les piques bien plus léchées que lui adressait François Mitterrand…
Mais s’il devait la commenter aujourd’hui, le Général, qui pouvait se mettre à sa guise dans la peau d’un écrivain classique, plagierait peut-être Boileau devant quelque Malraux ou quelque Peyrefitte :
« J’attends à la tribune un honnête orateur,
Qui, comme Cicéron face à son auditeur,
Plaît par la raison seule, et jamais ne la choque.
Mais pour l’emmerdement, de grossière équivoque,
Qui pour nous divertir n’a que la saleté,
Que son auteur s’en aille, sur C8 invité,
Amusant l’Hanouna de ses insultes fades,
Aux crétins assemblés jouer ses mascarades ».
« Emmanuel Macron ou comment avoir tort quand on a raison ! »
En fait, c’est toute la différence entre Emmanuel Macron et l’opposition qui elle s’évertue à faire l’inverse ! 😀
Combien voteraient encore pour Macron s’il révélait publiquement ce qui est fondamental en science politique : savoir que les Français étant majoritairement des veaux, c’est dans cette majorité qu’on doit puiser les élus. D’où les glorieux énarques comme Hollande et Royal qui n’ont jamais été socialistes que par opportunisme.
Probablement autant, car le veau suit la vache même à l’abattoir.
Autrement dit: donnez du lait et vous aurez le veau. Il se fiche bien de savoir si vous ne l’avez pas vendu d’avance pour le payer.
Les fonctionnaires diront qu’ils ne sont pas concernés pour être les salariés de l’abattoir, certes, mais pas leurs enfants.
Les électeurs de Macron sont ceux qui vendent leur descendance pour ne pas s’avouer être des… ou plutôt comme il dirait: des me*des.
Bonjour,
Cet homme assume en fait de mener une politique du pire, car il sait que 92 % de vaccinés sont pris au piège de leur choix vaccinal, choix guidé par la peur que le système fait jouer à plein. Du coup ils approuvent la désignation d’un bouc émissaire portant seul la responsabilité de l’échec vaccinal. Bientôt ce sera (ça l’est déjà en filigrane quand il ne réagit pas aux propos des infirmières) : à mort les non vaccinés !
Et il n’a pas de mots assez forts, empreints d’émotion et de solennité, pour faire l’éloge de la démocratie et de son amour des Français…
Ce qui se passe sous nos yeux est une abjection à laquelle personne ne sait vraiment s’opposer. Ils sont tous paralysés, envoûtés, fascinés peut-être …
Pour ma part, cet homme me fait mal.
Tout donne raison à Macron. Il transgresse ? il monte dans les sondages, et son socle aujourd’hui est suffisant pour être élu les doigts dans le nez. Il le sait.
Pécresse a trahi, elle fera comme Chirac, Z ne fait que le rappeler, et comme le dit le bon sens populaire, qui a trahi trahira.
P*, encore trois mois !
Bonjour Philippe,
Votre billet nous parle, il me semble de façon confuse, de politique et de vaccination.
Sur le fond dites-vous, Emmanuel « Kadyrov » Macron avait absolument raison, sur la forme, non.
Les tests de phase III de Pfizer ne sont toujours pas terminés.
Valneva, entreprise française, a terminé les tests de phase III, et n’est toujours pas là.
Les autres marques/produits sont considérés comme des « substitute » en cas de besoin.
Cherchez les conflits d’intérêts.
Les faiqueniouzes et autres mensonges du gouvernement sont nombreux.
Macron affirmant que le débat scientifique est clos. Un débat scientifique n’est jamais clos, et surtout pas parce qu’un énarque l’affirme.
Les non-vaccinés sont des sous-citoyens parce que dangereux. Je n’ai autour de moi que des vaccinés qui tombent comme des mouches.
Le fameux variant Omicron est, cherchez un peu, peu, vous trouverez vite, pour des gens sérieux et non estampillés antivax un probable mutant dû à la vaccination.
Le prion n’a révélé son action nocive pour certains que bien des années après. Nous reparlerons, je ne le souhaite pas, du spike d’ici plusieurs années si ça arrive.
Sur le fond et sur la forme, tout est biaisé.
J’ai lu que les Français s’abstiendraient car les politiques seraient trop fades, et donc, que les propos de Macron serviraient la démocratie.
Que de bêtises. Les Français attendent des gens probes, dévoués au bien-être de la nation.
@ Denis Monod-Broca
« Le désigner, lui, à la vindicte populaire, n’est d’ailleurs pas juste non plus. »
Vous oubliez qu’il existe une différence de taille entre de vrais boucs émissaires, qui ne sont responsables en rien de divers types d’événements et des gens qui ont accédé à des postes de responsabilité, parfois en ayant joué des coudes et en ayant accusé leurs opposants d’être incompétents sous des prétextes spécieux.
M. Macron a voulu nous faire croire qu’il était le meilleur et nous voyons les résultats, donc qu’il assume ses erreurs au lieu de chercher des excuses en se comportant comme certains dictateurs de l’histoire contemporaine.
Gouverner, c’est prévoir.
Or, dans le domaine de la pandémie, un rapport des services de renseignement avait déjà envisagé cette situation il y a une dizaine d’années. En a-t-il seulement pris connaissance ?
Il est exact que cette pandémie a surpris tout le monde par sa nouveauté, à commencer par les milieux scientifiques et médicaux. Mais alors, pourquoi s’abriter derrière un conseil dit scientifique qui n’en savait pas plus que nous, ou du moins que ceux qui essayaient de s’informer aux bonnes sources, pour imposer des mesures aussi iniques qu’absurdes au nom du principe d’autorité ?
Et pourquoi avoir ignoré avec mépris les solutions simples étudiées par des médecins généralistes qui ont repris avec succès des traitements valables pour des maladies d’un type voisin et pis encore en ayant fait poursuivre devant le Conseil de l’Ordre ceux qui les rendaient publics ?
Est-il normal que quelqu’un bénéficie des prérogatives multiples propres à un gouvernant en matière d’honneurs, de respect, de prébendes et d’avantages multiples pour ensuite se défiler si les choses tournent mal par sa faute ?
Les responsables de l’affaire du sang contaminé ont été poursuivis mais même si à part un lampiste ils s’en sont plutôt bien tirés, dans le principe il ont eu au moins à s’expliquer devant la justice.
Il ne s’agit pas de crier haro sur M. Macron, mais reconnaissez que nous n’allons tout de même pas le féliciter.
Le pire est qu’il sera peut-être réélu, en poursuivant sur la lancée consistant à faire croire n’importe quoi à des Français qui semblent avoir perdu toute jugeote, à grands coups de propagande médiatique.
Mais l’histoire jugera et l’on apprendra peut-être plus tard aux enfants des écoles ce qu’il en a coûté d’accorder quasiment les pleins pouvoirs à un aventurier.
@ Metsys
J’espère que vous n’aurez pas l’outrecuidance de ne pas être d’accord avec moi en faisant preuve d’autant de talent !
Ohé les coupains, ce n’est pas hors sujet car ça vaut son pesant de beurre de cacahouète !
J’ai une info de taille à vous annoncer !
Battu le Macron et ses emmerdes, enterrées les répressions féroces au Kazakhstan, les conflits en Ukraine, les tueries au Cambodge, y a mieux en stock !
C’est la très belle victoire des cancel culturistes woke à inscrire sur le marbre de la révolution cuculturelle progressiste : Uncle Ben’s c’est fini ! Eh oui ! Enfin ils ont eu sa peau (quelle couleur déjà ?) ! Sur les paquets de riz ne figurera plus le portrait de ce sympathique non Blanc aux cheveux non noirs.
Dans un premier temps, le portrait avait été supprimé mais il restait encore le patronyme en grosses lettres : Uncle Ben’s .
Dans un deuxième temps, le mot « Uncle » trop provocateur a été lui aussi supprimé.
Il ne reste que le mot « Ben’s », je pense comme le gérant du supermarché que je connais et qui éprouve de la pitié pour ces malheureux gauchistes et préfère en sourire, que le mot « Ben’s » risque d’être lui aussi éradiqué et effacé par crainte de créer chez certains clients fachos racistes une nostalgie de stigmatisation des non Blancs de l’époque du Klu Klux Klan, ces affreux Blancs qui pendaient des esclaves non blancs de retour des champs de coton.
Félicitons quand même ces révolutionnaires d’amphis de facs gauchistes qui passent leurs temps de loisirs dans les rayons des supermarchés pour y déceler de quelconques inscriptions racistes.
J’espère que ce n’est pas la statue de Colbert qui leur est tombée sur la tête.
Mon gérant en est encore mort de rire.
Au fait, au milieu de tout ce flot d’informations plus ou moins biaisées dont on nous abreuve, pouvons-nous au moins pour une fois donner la parole à un généraliste de terrain ?
« De grands principes auxquels les médecins étaient jusqu’ici attachés ont été bafoués ou ignorés par la corporation dans sa grande majorité. »
https://www.polemia.com/docteur-serbera-sur-le-covid-19-je-nai-aucune-explication-a-cette-folie/
Rien n’a changé, à part les « rézosocios » et leur train de frappadingues.
La vie est la même, je suis de ceux qui sont comme Cabriria – le final est extraordinaire -, qui a tout perdu mais qui garde le sourire, un final à la hauteur de toutes les espérances, le cinéma italien dans toute sa splendeur, celui de la vie de tous les jours, des misères, des pégreleux, de l’espoir indéfectible, de la bonté de vivre et de la joie. Nous vivons un monde de rabougris.
Je suis consterné par ceux qui se pensent en dictature en France, Christian Bréchot leur rappelle qu’ils sont « gâtés », qu’ils aillent donc voir chez Kim Jong-un, il va leur donner la recette du bonheur qui leur manque, l’Afghanistan sera leur Club Med sous le beau ciel qui les illumine aujourd’hui.
Macron a prononcé le mot qui fait réagir des pucelles effrayées ou des politicards qui voudraient s’en servir pour le laminer… En fait les citoyens ont vu tout ce qui touche Fellini, Satyricon et la plus belle galerie du monde, bibliothèque de chefs-d’oeuvre exposés pour laver les cerveaux, les rendre plus intelligents.
Macron connaît le cinéma italien, c’est sa force, il appuie quand il faut là où cela fait mal, Z a besoin de reconnaissance, il y appuie trop longtemps et ses premiers longs métrages sont des boulets.
Difficile de changer les esprits, c’est un tout, quand c’est dit c’est dit et reprendre c’est voler, le public n’est pas dupe, il sait apprécier l’obscène quand il est grandiose au service de la liberté et de la vie.
Aujourd’hui je cherche en vain un livre, un film, un discours à la hauteur de nos vies, pas un politique, encore moins quand ils sont énarques élevés au tout-aliment, pour nous faire vivre l’avenir.
Ils sont morts, ils sont pusillanimes, ils sont fétides, empêtrés dans des turpitudes d’abus de biens sociaux et autres joyeusetés, ils me dégoûtent, aimer Fellini, c’est aimer la beauté, la vie, et avec lui elle est toujours belle il suffit d’aller lire ses films.
Enarques de nos misères, être élus avec 30 % des inscrits est une erreur démocratique, une tumeur qui prospère, la résistance est ailleurs, ne plus aller voter, mais surtout aller revoir ce qui est de meilleur, du cinéma de nos vies, qui colle à la peau de la vérité.
Tout ce qui est publié aujourd’hui est factice, mièvre et poussiéreux.
Fellini le Victor Hugo du bonheur.
Ouf ! Je n’ai pas vu le temps passer, j’étais sur un contre la montre avec moi-même, mes ambitions sont modestes, mais pédaler pendant une heure sur un home-trainer, 50X18, permet de relativiser l’entourage.
@ Xavier NEBOUT
Le talent dont vous parlez est surtout celui de Boileau, qui vivait bien avant Rousseau, sans parler de Robespierre.
À vrai dire, je ne sais ce que le poète aurait écrit sur Macron. Mais pour Hidalgo et ce qu’elle a fait de Paris, il en aurait pensé comme vous, et peut-être pire. Comme vous le savez, la place de Grève jouxtait alors l’Hôtel de Ville…
Pour preuve, ce passage des Satires sur les embarras de Paris, écrit bien avant l’invention des pistes cyclables, Vélib’ et autres trottinettes :
« Là sur une charrette une poutre branlante
Vient menaçant de loin la foule qu’elle augmente ;
Six chevaux attelés à ce fardeau pesant
Ont peine à l’émouvoir sur le pavé glissant.
D’un carrosse en tournant il accroche une roue.
Et du choc le renverse en un grand tas de boue :
Quand un autre à l’instant s’efforçant de passer
Dans le même embarras se vient embarrasser.
Vingt carrosses bientôt arrivant à la file
Y sont en moins de rien suivis de plus de mille ;
Et, pour surcroît de maux, un sort malencontreux
Conduit en cet endroit un grand troupeau de bœufs ;
Chacun prétend passer ; l’un mugit, l’autre jure ;
Des mulets en sonnant augmentent le murmure.
Aussitôt cent chevaux dans la foule appelés
De l’embarras qui croît ferment les défilés,
Et partout, des passants enchaînant les brigades,
Au milieu de la paix font voir les barricades.
On n’entend que des cris poussés confusément :
Dieu pour s’y faire ouïr tonnerait vainement.
Moi donc, qui dois souvent en certain lieu me rendre,
Le jour déjà baissant, et qui suis las d’attendre,
Ne sachant plus tantôt à quel saint me vouer,
Je me mets au hasard de me faire rouer.
Je saute vingt ruisseaux, j’esquive, je me pousse ;
Guenaud sur son cheval en passant m’éclabousse :
Et, n’osant plus paroître en l’état où je suis,
Sans songer où je vais, je me sauve où je puis ».
@ Achille
Pour info :
https://www.huffingtonpost.fr/entry/emmerder-les-non-vaccines-macron-paie-cash-ses-propos-exclusif_fr_61d851a5e4b0d637aea0d585?utm_source=Sailthru&utm_medium=email&utm_campaign=NL%20Soir%2007/01&utm_term=fr-daily-brief
Attention, il ne s’agit pas d’un sondage électoral, mais d’un indice de popularité.
@ sylvain | 08 janvier 2022 à 11:59
Prochaine victime de la « cancel attitude » – je me refuse à employer le mot « culture » pour désigner cette bizarrerie : La Pastille du Mineur. En patois chti, le mineur est une « gueule noire »… Il y a aussi dans le Nord quelques statues à déboulonner… Elles sont à la gloire de ces pollueurs qui ont permis à la France entière de se chauffer aux frais de la planète. Honte à eux !
https://www.pinterest.fr/pin/547609635914988802/
« LE PIC »
Depuis quinze jours, j’entends à la télé comme à la radio, une vingtaine de perroquets nous seriner ceci : on estime qu’on atteindra un pic pour l’épidémie vers la mi-janvier. Sur quoi se fondent ces perroquets ? Ils ne nous le disent pas.
Je vois deux possibilités : 1. Il va y avoir un pic. 2. Il n’y aura pas un pic, mais nous allons aller dans tous les mois à venir de pic en pic, passant des Vosges à l’Everest.
Quand on ne sait rien, on ne dit rien.
Les emmerdes continuent, allo Macron ?
Marseille : un jeune homme de 25 ans poignardé au thorax dans le métro est mort, il se serait interposé lors d’un vol de portable…
La victime se trouvait avec sa compagne lorsqu’elle a été blessée au couteau au niveau des portiques de la station par un… Suédois, chuuut !
Allo les féministes ?
On rassure le tueur, pass sanitaire ou pas, pass vaccinal ou pas, il ne sera jamais emmerdé, ni par Macron, ni par le pape, ni par l’empereur de Chine.
@ Serge HIREL | 08 janvier 2022 à 14:21
« Attention, il ne s’agit pas d’un sondage électoral, mais d’un indice de popularité. »
Ouais, moi non plus je n’ai pas aimé les termes qu’a utilisés EM à l’encontre des non-vaccinés. Mais ceci ne saurait remettre en cause mon choix en avril prochain.
On n’élit pas un président parce qu’on l’aime mais parce qu’on pense qu’il est le meilleur pour diriger le pays.
En retour un sondage tout frais de ce matin et en plus la source est CNews que l’on ne peut pas soupçonner d’être pro-Macron.
Par contre votre Zemmour semble connaître un petit coup de fatigue. Pensez donc, 12 %, c’est mal barré pour le second tour. Mais non, je ne me moque pas ! 🙂
Il serait intéressant de savoir s’il existe encore des membres de la famille Cambronne et si les droits d’auteur sont toujours valables.
Comme Cambronne, Macron a utilisé le terme contre l’ennemi, c’est même du plagiat !
@ Patrice Charoulet
« de pic en pic »
Pic et pic et colegram (comptine chantée chaque matin par le Conseil scientifique pour en estimer l’occurrence)…
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@ Giuseppe
«…qu’ils aillent donc voir chez Kim Jong-un (…) »
Bien sûr que nous ne sommes pas encore en Corée du Nord, nous ne faisons que marcher dans sa direction, mais à force de ne pas en dévier d’un pouce nous allons finir par y arriver…
@ Exilé
Y a-t-il encore de « vrais boucs émissaires » ?
Autrement dit quand on est du côté des boucs émissaires ou qu’on est bouc émissaire soi-même on se croit lucide et objectif, à l’opposé quand on tient soi-même le bâton, on croit en ses propres accusations et on ne voit nul bouc émissaire à l’horizon.
Macron occupe la place typique du bouc émissaire. Nous ne nous privons pas de l’accuser, tous autant que nous sommes, de tout et de rien, parfois du pire. Il l’a bien cherché, c’est vrai. Il n’empêche. En régime démocratique le vote est là justement pour que n’ait pas lieu l’élimination violente du fautif désigné.
ERREUR DE CASTING
Un ancien cacique de l’agreg de philo a un compte Facebook. Il déclare lire Télérama (ce n’est pas mon cas). Il nous montre la dernière couverture de ce journal télé. On y voit Laetitia Casta sans vêtements, assise par terre, les genoux remontés devant elle, si bien qu’elle cache ce qu’il sied de cacher. Il s’exprime sur ce choix du journal et le regrette en rappelant que c’était ce genre de couverture qu’il voyait, quand il était plus jeune, dans « Lui » et dans « Playboy ».
J’avais écrit un premier commentaire : « C’est mieux que la tête de Zemmour. »
Je viens d’écrire un deuxième commentaire : « Adam aimait la tenue d’Eve. Mais comme c’était, nous dit-on, en Afrique de l’Est, Casta est une erreur de casting. »
@ Serge HIREL
« …le mineur est une « gueule noire »…
BEN VOYONS !
Vous savez où vous pouvez en trouver aujourd’hui des gueules noires ? Ben dans les jardins et parcs publics du Krakistan d’Hidalgo, sous les bretelles de rocades et de périph de la porte de la mosquée et juste à côté sur les boulevards d’Omar est chaud.
Le nord de l’Afrique commence en Suède, c’est pour ça qu’on les appelle les « Suédois ». Because le froid, ils portent une djellaba molletonnée, des babouches après-ski, des moufles à un doigt seulement, ça suffit pour appuyer sur la gâchette, et un burnous en peau de phoque.
Ils sont mineurs, oui, mais non accompagnés.
À la place d’un piolet, ils utilisent avec finesse et talent, sans modération, cutters, couteaux et machettes ; mais à cause de leurs cagoules, il est pas fastoche de leur faire la chasse aux faciès.
Ils ont tous des permis multinationaux qui les dispensent d’être « emmerdés » et qui leur rapportent gros quand ils pénètrent dans nos généreux ghettos lupanars de cocagne d’aides et allocs : CAF SECU APL CMU RSA…
Ils vont pas se laisser emmerder, m’enfin !
Je vous laisse, je vais assister au tournage des prochaines séries qui vont envahir nos écrans jusqu’en avril : « Zemmour l’emmerdé » .
Fallait bien une suite à Macron l’emmerdeur .
BEN VOYONS !
N’ayant pas lu tout l’article du Parisien, je ne me prononcerai pas sur le fait qu’E. Macron ait tort ou raison, sinon par une généralité : on a parfois et même souvent tort d’être sûr d’avoir raison.
Mais si j’ai bien compris, EM a soutenu le propos d’une soignante qui déclarait en substance qu’elle voulait trier les malades entre ceux qu’elle trouvait juste de soigner et ceux qui ne le méritaient pas, en fonction du critère « vaccination ». Elle ne le disait pas avec regret mais avec colère, et au nom de la justice !! La jungle en quelque sorte, mais avec des justifications morales. Cette femme est dangereuse.
Sa position me paraît omnipotente et cynique, et je suis sidérée qu’Emmanuel Macron non seulement approuve ce raisonnement mais aille jusqu’à lui trouver des justifications douteuses du type « ils se sont mis en dehors de la citoyenneté », alors que les non vaccinés n’ont rien fait de contraire au droit, et qu’aucun tribunal ne pourrait les accuser d’un délit quelconque.
De même que Monsieur Macron n’a pas le pouvoir d’envoyer les gens en prison comme il semble implicitement le croire, même pour dire qu’il ne le fera pas, cette soignante n’a pas le droit de s’arroger le pouvoir de décider de la vie et de la mort des gens en fonction de critères flous et non démocratiquement définis. Si l’on devait en discuter, on en arriverait peut-être à la conclusion que cette alternative est boiteuse et a des chances de pouvoir se régler autrement que par le manque de soins.
Entre caresser l’idée d’envoyer les gens en prison et trouver normal de les laisser mourir sans soins, je ne sais pas ce qui est le pire. Je sais que le meilleur serait de chercher une solution pour répondre à l’afflux temporaire des malades, qui tous avec leur travail et leurs cotisations rémunèrent les médecins, les hôpitaux, les infirmières et toute la masse de bureaucrates payée pour faire fonctionner l’institution. Pour faire bonne mesure, EM insulte ces malades, pire que les chauffards qui prennent le volant sans assurance imbibés d’alcool ou de drogue.
Si EM veut faire de la non-vaccination un délit, qu’il le fasse, qu’il ait ce courage, mais il a trop peur du risque. Il préfère manipuler par la peur et l’intimidation. Je trouve cette mentalité incroyablement vicieuse. Elle est contraire au serment d’Hippocrate, elle est contraire au droit et à la justice.
Je croyais le droit à peu près protégé dans notre pays. Mes œillères tombent.
@ Xavier NEBOUT | 07 janvier 2022 à 10:34
Si vous avez un lien vers un site où Montagnier explicite son point de vue je suis preneur. Merci.
Flanby a rendu public les noms des maires qui donnent leur parrainage, ce qui a eu pour conséquence de tuer la démocratie et d’instaurer une loi de la jungle machiavélique contre les opposants les plus dangereux et des résultats ubuesques :
GAG ! : Hidalgo 2 % d’intention de vote, + de 3 000 parrainages, LOL !
RE-GAG : Zemmour, Mélenchon et d’autres n’y arrivent pas ! RE-LOL ! Mais c’est voulu et bien manigancé.
Quand on voit les menaces de mort contre les élus qui veulent les parrainer, c’est normal, bien joué et tout bénef pour Macron le diabolique.
@ Achille
« On n’élit pas un président parce qu’on l’aime mais parce qu’on pense qu’il est le meilleur…
Meilleur pour qui ? C’est en effet ainsi qu’on élit des canailles. On sait que c’est un voyou, mais c’est « le meilleur »…
Or, les voyous ne travaillent toujours que pour eux ou pour leur bande.
Votre meilleur est en tout état de cause un faible d’esprit – au sens d’intention sur soi, pour s’être marié avec une mère sans espoir de descendance. En d’autres termes, un pauvre type qui persiste dans une tocade pour ne pas s’avouer ce qu’il est.
Et les faibles d’esprit, ils le sont pour tout, notamment devant l’attrait des puissants dont il se complaît à être la marionnette dans le but d’en être.
Et il est peu probable que vous soyez vous-même d’une grande puissance d’esprit pour persister dans l’aveuglement.
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@ xc
https://www.sudradio.fr/societe/pr-luc-montagnier-il-y-a-des-gens-qui-meurent-des-effets-du-vaccin
@ Lucile | 08 janvier 2022 à 18:24
Merci chère Lucile, vous avez dit l’essentiel avec la mesure, le tact et néanmoins la fermeté qu’il était nécessaire d’employer en la circonstance.
@ JM33 | 08 janvier 2022 à 10:01
Ayez confiance.
J’ai repris ce matin le cours des manifestations du samedi. Le nombre de participants remonte malgré le mauvais temps. Toujours avec ce côté curieux, j’observe toujours les à-côtés avec ses personnages atypiques. Je pensais qu’il y aurait de nombreuses forces de l’ordre après les propos indignes de notre Grand Timonier afin de répondre à d’éventuels débordements ce qui aurait été logique.
Or, rien, personne, a contrario des autres manifestations aucun gendarme mobile en position devant la mairie et la préfecture, seules deux breaks de la police avec seulement deux policiers dans chacun. Une petite cerise quand même avec une voiture de monsieur-tout-le-monde « classique », en fait de la DGSI ex-RG.
Je pense qu’à mon avis eux aussi commencent à avoir la dose de trop. Ils ont eux aussi des enfants et petits-enfants.
Sinon, absolument aucun débordement. Et il faut souhaiter que cela continue ainsi.
@ Denis Monod-Broca
« Macron occupe la place typique du bouc émissaire. »
Je me contenterai de vous paraphraser, toutes choses étant égales par ailleurs et bien entendu sans impliquer une quelconque assimilation en ce qui concerne la gravité des comportements, en écrivant « Néron a occupé la place typique de bouc émissaire » pour tenter de vous faire comprendre que vous placez sur le même plan des victimes et celui qui les oppresse.
Quant au vote parfois abusivement dit démocratique, qui n’est en rien une punition puisque le vaincu est renvoyé à ses chères études chargé d’un tas d’or, il n’est malheureusement pas toujours une réponse adaptée face à certaines actions hautement nuisibles à la nation qui aura à en subir les conséquences pour toujours.
Nous pourrions citer en ce domaine quelques hommes politiques morts « de leur belle mort ».
@ Achille | 08 janvier 2022 à 15:34
« En retour un sondage tout frais de ce matin… »
Ce sondage présente le même défaut que celui que vous avez utilisé hier (7 janvier 2022 à 16:52) : il a été réalisé les 5 et 6 janvier, avant le tsunami d’indignations. De plus, il a été commandé par France Info et non par CNews.
Encore une fois, il faut que vous lisiez de près les documents que vous postez…
« Votre Zemmour »… Pourquoi employer ce possessif ? EZ n’appartient qu’à lui-même. C’est d’ailleurs cela qui fait son originalité parmi la ribambelle de candidats.
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@ Lucile | 08 janvier 2022 à 18:24
Vous prenez une affirmation de Macron pour argent comptant. C’est lui qui, hier, a déclaré qu’il répondait à deux soignantes qui, selon lui, en colère, ont déclaré souhaiter trier les malades entre vaccinés et non vaccinés et auraient plus ou moins dit que ces derniers les em*erdaient. Pour l’instant, aucune vérification de cette version des faits n’est disponible.
Quoi qu’il en soit, il est pitoyable qu’un président de la République justifie son vocabulaire de charretier en s’abritant derrière elles comme un gamin. « C’est pas moi, c’est elles qui ont commencé »… Pour plagier Camus, un Président doit savoir s’empêcher.
Si la scène est avérée, il est scandaleux que le président de la République ne leur ait pas rappelé sèchement leurs obligations professionnelles au lieu de tenir ce discours populiste et dégradant.
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@ Patrice Charoulet | 08 janvier 2022 à 18:03
Hors sujet, à moins de se souvenir que la comédienne est une ancienne Marianne et de légender ainsi la photo : « Casta reste le symbole de la France : nue et inconsciente d’être en danger ». Je crains que le très bien-pensant Télérama ne retienne pas cette proposition et lui préfère : « Casta, symbole d’une France prête à accueillir et à se donner »…
@ Xavier NEBOUT | 08 janvier 2022 à 18:42
« Et il est peu probable que vous soyez vous-même d’une grande puissance d’esprit pour persister dans l’aveuglement. »
Comme disait Talleyrand qui lui était une grande puissance d’esprit: « Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console ».
Dans ce billet, l’accent a été porté sur la grossièreté employée par M. Macron (qui a aussi choqué beaucoup de monde à l’étranger, mais qu’attendre d’autre de ces Français ?) en ayant oublié la nature de ses propos qui pour certains, relevant carrément d’un violent appel à la haine, auraient pu lui valoir d’être traduit en justice s’il avait été un citoyen lambda, certains ayant même été condamnés pour moins que cela.
Mais essayons de tirer des leçons de cette affaire, à la fois sans nous fixer sur son auteur et néanmoins sans oublier ce qu’il a fait et imaginons que dans un avenir plus ou moins proche un de ses successeurs adopte un comportement voisin du sien au sujet d’une situation quelconque impliquant diverses mesures venant mettre en veilleuse divers droits fondamentaux pourtant garantis par la Constitution et donc non négociables.
Pour forcer le trait, supposons que ledit successeur soit un homme catalogué à « l’extrême droite » même s’il ne revendique pas cette étiquette et imaginons simplement tout le bruit qu’une telle affaire pourrait faire dans le Landerneau politique, contrairement à la quasi-apathie que son modèle réel a rencontrée dernièrement.
Pour rester dans l’histoire-fiction, imaginons qu’un de ses successeurs, placé également devant une situation d’exception l’ayant conduit à pratiquer certaines entailles aux droits fondamentaux qui lui auraient été autorisés par des juges constitutionnels également complaisants, pourrait alors être aussi fondé à citer l’exemple de son prédécesseur pour justifier des mesures d’urgence (une urgence durant deux ans…) liberticides pour se permettre tout ce qu’il veut de façon quasi dictatoriale, en rejoignant ainsi au passage la notion de dictature au sens romain du terme, mais à l’époque seulement pour six mois.
Tout cela pour tenter de faire comprendre que c’est l’image de la démocratie (?) française qui se dégrade encore un peu plus, ainsi que la confiance qu’il serait possible d’accorder à ceux qui sont supposés la représenter ou en être les garants.
@ Exilé | 08 janvier 2022 à 12:16
Merci pour ce lien.
En effet la vaccination des enfants est une folie et une folie dangereuse !
@ Achille | 08 janvier 2022 à 09:42
Vous aviez lâché une balle avec un intervenant de ce blog (chez nous on dit balle parfois à la place de ballon, dans certaines circonstances, j’ai pratiqué le petit gant).
Là il faut le reconnaître vous avez « monté une belle chandelle, un up and under » digne des 15 de ma génération, il faut se montrer perspicace parfois, vous vous êtes rattrapé. Sinon vous preniez un « courant d’air », bien évaluer la trajectoire, nous le savons tous ici au pays de l’ovale, un grand troisième ligne était surnommé « Gaffatou », je ne traduirais pas à un supporteur de la balle aux faux rebonds.
Rassurez-vous, je ne juge pas, même les meilleurs se font écrouler, rappelez-vous la seule Coupe du monde qui était à portée de main, on la tenait, elle nous tendait les bras… Quand Benazzi se fait reprendre dans la boue à quelques centimètres de la ligne… On en rêve encore chez nous.
Je suis d’accord avec votre analyse, Macron bénéficie sans aucun doute de la prime Covid en plus, contrairement à ce que j’entends sur les plateaux et médias pour élites, le tiers état votera Emmanuel Macron car il a la sagesse de penser qu’après tous les mensonges passés des anciens présidents, au moins lui il a fait, peut-être en écopant, parfois électriquement, mais il a fait.
Je vais être cynique, bassement matériel, il a effacé pour les résidences principales, la TH, aucun autre ne l’avait engagé avant lui, bien sûr il faudra payer, mais avec tous ses prédécesseurs rien n’était gratuit non plus.
Et puis… Bon, j’essaie de respecter les consignes d’une nouvelle année, alors je retourne aux vestiaires, enfin au bord de la pelouse… mon fauteuil pour ce soir, il est ferme et souple à la fois, comme le terrain du match que je m’apprête à regarder, on m’appelle.
@ Serge HIREL | 08 janvier 2022 à 20:12
« Encore une fois, il faut que vous lisiez de près les documents que vous postez. »
Ah oui ? Pourtant la première ligne de l’article dit ceci : « Ses propos chocs sur les non-vaccinés n’ont, pour le moment, pas d’effet négatif sur les sondages », ce qui indique clairement qu’il a été écrit après les propos chocs et non avant.
Cette fois-ci il semble que ce soit vous qui ayez mal lu.
Prions avec le pape que les non-vaccinés soient encore vivants pour se rendre compte que l’ARN messager serait à la mesure de leur crainte, et justifie la chute présidentielle au fossé des libertés, puisque le souverain, ainsi nomme-t-on le peuple en cette fiction contredite par les faits que nous présente le tableau démocratique, s’y vautre avec délectation, et rêve d’autorité certaine et de sécurité complète qui garantirait l’unité de notre condition mortelle, unique certitude.
L’État garantit paix et unité, cela ne signifie pas qu’il serait responsable du travestissement d’un suicide en assassinat, même si les termes employés à tort par son premier représentant pourraient faire croire que les réfractaires seraient responsables plus que de leur choix personnel de la faillite d’un système de santé à la ramasse, comme de toutes les institutions.
Chacun d’entre nous pourra invoquer en son île des vins la poudre et les balles pour échapper aux sombres écueils, vaccinés ou non devront s’apercevoir quelle est leur similitude en cette différence et quel que soit leur choix, reconnaître qu’il entraîne un comportement adéquat, qu’il n’y a là, au-delà des erreurs de chacun, et le président ici ne représente que lui-même vis-à-vis de sa faute, que matière à définir une égalité dans la responsabilité démocratique que chacun doit assumer personnellement face à la contrainte « emmerdante » d’un virus loin d’être éradiqué.
Il semblerait que la majorité adhère au risque incertain de se faire vacciner, il est donc indispensable que ceux qui, légitimement, n’adhèrent pas à cette pratique, adaptent leur comportement au risque incertain de ne pas se faire vacciner, et assument leur minorité dans le respect de la majorité, respectant ceux qui ont la lourde charge de nous soigner et, en ce contexte contraignant, de nous diriger démocratiquement.
Sinon, les clowns ou les tyrans se chargeront de répéter ce que l’histoire sans l’Europe est au bord d’accomplir, incarner à nouveau le fantasme incohérent des représentations ridicules d’un dieu cruel et méchant, qui n’a jamais existé qu’au cœur des humains qui préfèrent son irréalité, plutôt qu’à affronter fraternellement la réalité de leur destin commun et incertain.
@ Lucile 08/22 18:24
« …les non vaccinés n’ont rien fait de contraire au droit… »
Parfaitement d’accord sur ce point mais il ne faudrait pas non plus oublier que dans la vie il n’y a pas, pour les citoyens que nous sommes, que le droit qui importe et qu’il existe aussi des devoirs !
Nous ne pouvons systématiquement justifier nos comportements en invoquant nos droits et en oubliant que ces droits, dès lors que nous vivons en collectivité, induisent des devoirs.
Certains citoyens considéreraient-ils que le droit qui émane du législateur prime sur le devoir qui est du ressort de la morale ?
Ceci étant dit, je n’en approuve pas pour autant, comme je l’ai écrit dans un commentaire plus haut, les propos d’EM.
La grande bourgeoise Hidalgo jette l’éponge d’une primaire. Elle ne veut pas comprendre, ou fait semblant, son électorat se résume aux inscrits de Paris et à quelques bordures. Le confort a ses limites, celles de son palais dont les Français en majorité se fichent.
Macron doit bien rigoler au fond. Il vise comme au billard bande avant, Pépère doit être enroué on ne l’entend plus, ainsi que Ségo « Retenez-moi où je me présente ! ». Macron en sourit encore.
https://youtu.be/SfTHxXELmvM
Elle a reçu en héritage un parti et une ville, le PS était dans une dynamique, maintenant au cours du jour et des viagers à venir il ne pèse plus rien.
Laissant de côté la misère si ce n’est qu’en parler, le pays compte 48 000 000 d’inscrits.
On ne gouverne pas qu’avec des mots, et puis il faut bien le reconnaître, à un contre-la-montre de la Tour Eiffel elle est une parfaite inconnue. Pour le Tour de France elle n’a pas les jarrets affûtés, même aujourd’hui elle aurait du mal, elle est comme les Six Jours de Paris, elle n’existe plus.
C’EST UN SCANDAALL
s’écriait en son temps Marchais Commun ! Comment s’exprimerait-il aujourd’hui, après presque cinquante années d’occupation de la boutique du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré par des malfrats haut de gamme, au cours desquelles on vit des puissants ridicules – Cheminade, Asselineau… – obtenir leur « droit à candidater, en constatant que Le Pen, Zemmour et Mélenchon (quasiment tout le spectre des idées politiques) pourraient bien se voir refuser le droit de rentrer dans l’arène ?
Il est clair qu’on arrive au bout du rouleau de l’imposture politique. Que l’élection 2022 va être une palinodie de trop. Qu’à une épidémie naturelle pourrait s’ajouter une chienlit institutionnelle. Que notre France s’affaisse en tête du peloton claudicant des Nations européennes !
Dans une telle situation, l’attente silencieuse s’impose… pour l’honneur et l’intelligence. Parler tandis que les puissances maléfiques – matérielles, intellectuelles et morales – organisent la réélection de leur petit bonhomme est déshonorant.
Se taire en attendant que l’affaire des candidatures soit réglée.
Quoi d’autre ?
@ Achille | 09 janvier 2022 à 01:08
Belle confirmation de votre habitude de lire à la va-vite : les deux premières lignes de l’article sont destinées à contextualiser le sondage. L’information, elle, figure dans le tableau des résultats de celui-ci que vous pouvez visionner plusieurs fois dans la vidéo. Les deux lignes en bas de l’image indiquent qu’il a été réalisé les 5 et 6 janvier, donc « avant le tsunami d’indignations » qu’a provoqué la saillie de Macron, comme je l’ai écrit dans le message que vous contestez. Apparemment, celui-là aussi, vous l’avez lu à la va-vite…
« »Ne fais pas ce que tu ne comprends pas », m’avait dit Francis Bouygues en guise de viatique quand il m’a confié les rênes de l’entreprise. Ce conseil de bon sens, qui m’avait paru simpliste quand je l’ai reçu, m’a en fait été précieux par la suite dans les grands choix stratégiques du groupe, en particulier lors des enchères UMTS dans les télécoms au début des années 2000. Ne comprenant pas pourquoi il fallait payer si cher ces fréquences et pour quel bénéfice pour le consommateur, j’ai décidé de ne pas concourir. Et bien nous en a pris. » (Martin Bouygues in « Dictionnaire amoureux de l’entreprise et des entrepreneurs »)
Quand je vois, je lis et j’entends tous ces ultracrépidarianistes, qui contestent EM dans ses choix, on voudrait les voir au pied du mur comme le maçon.
Depuis des décennies, sous prétexte du suffrage universel, les choix qui sont faits ne correspondent en rien aux attentes des Français qui leur avaient confié la gamatte et la truelle. Rarement les portes étaient placées au bon endroit, je ne ferais aucune confiance à Pécresse, son parcours témoigne d’un opportunisme de classe. Je pense bien connaître la nature humaine, son seul rêve c’est d’être élue et après on verra.
@ hameau dans les nuages
Merci de votre réponse.
Je ne peux participer à aucune manifestation mais vous encourage à distance et dans l’invisible.
Un dernier mot au sujet de M. Macron. Ce qui me heurte et me meurtrit, c’est qu’en se comportant ainsi, il sollicite et ravive les instincts les plus vils de la nature humaine.
De ce fait il fait grandir une insécurité existentielle que cette pandémie a autant révélée que provoquée, et dont les effets funestes se révèleront au fil du temps, surtout parmi les plus vulnérables, ce dont il semble n’avoir cure.
En criminalisant 8 % de non vaccinés auxquels il impute la responsabilité du marasme hospitalier, et dont au fond il n’attend aucun bulletin de vote en sa faveur, il choisit délibérément de concentrer et d’orienter le courroux de 92 % de vaccinés déconcertés vers une minorité qu’il a juste envie de punir.
C’est pourquoi, hors toute considération psychologique le concernant, je trouve cet homme navrant.
J’espère ne pas vous avoir ennuyé avec ce long commentaire-état d’âme.
Cordialement.
@ JM33 | 09 janvier 2022 à 13:56
92 % de vaccinés, encore un chiffre sorti de nulle part pour tromper les gogos !
La population française étant de 67 000 000 dont 16 000 000 de moins de dix-huit ans, ce dernier chiffre incluant 9 000 000 d’enfants de moins de douze ans, il conviendrait de ramener les statistiques à la réalité concernant la proportion de vaccinés et de non vaccinés en France, qu’ils le soient dans l’un ou l’autre cas par choix délibéré, convictions, obligation, chantage (pour garder leur emploi par exemple) ou pour toute autre raison…
Quant à vacciner les enfants en masse, c’est de la folie pure ! Un traitement barbare et lourd de conséquences s’ajoutant au confinement, au masque obligatoire et aux gestes barrières de toutes sortes qui briment gravement depuis plus de deux ans des bambins en grande demande de contacts tactiles et de communication avec tous leurs proches. Les priver de cette liberté de rire et chanter, de contacts et de rencontres spontanées et enrichissantes pour leur éducation, leur épanouissement et leur devenir et les réduire à être élevés « en batterie » comme de la vulgaire volaille est purement et simplement criminel.
@ Michel Deluré
« Nous ne pouvons systématiquement justifier nos comportements en invoquant nos droits et en oubliant que ces droits, dès lors que nous vivons en collectivité, induisent des devoirs. »
Et en quoi les non-vaccinés iraient-ils à l’encontre de ce principe en refusant de participer à une campagne qui tient plus de l’embrigadement politique de type soviétique que du bien commun, autour d’un produit expérimental abusivement qualifié de vaccin puisqu’il n’immunise ni l’injecté ni ceux qu’il côtoie ?
Rappelons également que des conventions internationales, en référence aux dérives des pratiques nazies, interdisent l’injection sur des êtres humains de substances en phase expérimentale sans leur libre consentement (donc sans chantage ni menaces contrairement à ce qui se passe en France).
Il y a d’ailleurs de quoi s’inquiéter à ce sujet car si les effets à long terme sont inconnus et pour cause, il semblerait qu’à travers le monde on enregistre plus d’effets indésirables avec ce produit qu’avec d’autres types de vaccins connus (problèmes cardiaques, thromboses etc.).
En consultant la presse internationale, nous pouvons aussi relever plusieurs cas de morts de jeunes sportifs peu de temps après avoir reçu leur injection.
Il y a aussi des craintes à formuler en ce qui concerne les retombées sur les anticorps naturels de l’organisme, qui sembleraient devenir moins efficaces de façon proportionnelle au nombre de doses reçues. Donc, dans le doute, la prudence voudrait que l’on s’abstienne au moins de pratiquer des injections à répétition.
Alors, au nom de quoi et pourquoi serait-il justifié d’imposer à des gens en bonne santé, pas plus dangereux que d’autres et qui observent d’eux-mêmes une distanciation sociale stricte, un produit non maîtrisé qui risque de les handicaper pour leur vie voire de les tuer ?
Enfin, puisque nous sommes toujours en phase d’essais cliniques, la méthodologie impose que l’on préserve un groupe témoin, permettant ensuite de faire des comparaisons, pour comparer par exemple l’incidence de cancers sur le groupe ayant reçu un traitement par rapport au groupe témoin, à moins que l’on ne souhaite pas vraiment bénéficier de cette possibilité qui pourrait se révéler gênante.
De toutes manière, la France – ou du moins la population française identifiée comme telle – étant injectée à plus de 90 %, il ne faut pas rêver, ce ne sont pas quelques pour cent de plus qui changeront les choses, surtout que nous commençons ici à entrer dans une zone grise de la population dont le statut légal est indéterminé et que les autorités ont déjà beaucoup de mal à contrôler.
Ne mélangeons pas médecine et politique, dans l’intérêt de tout le monde.
@ Exilé | 09 janvier 2022 à 17:16
« Enfin, puisque nous sommes toujours en phase d’essais cliniques, la méthodologie impose que l’on préserve un groupe témoin… ».
Bref, les non-vaccinés sont au service de la science… Je ne suis pas bien sûr que ni eux, ni les chercheurs, ni le corps médical en aient pleine conscience… Et, pour ma part, j’en doute totalement.
Mais vous avez parfaitement raison quand vous concluez : « Ne mélangeons pas médecine et politique, dans l’intérêt de tout le monde. »
IEL
Le Pen, Pécresse, Zemmour… deux doivent être éliminées !
@ Exilé 09/22 17:16
Une minorité a certes la liberté de ne pas accepter de se faire vacciner mais, lorsqu’elle entrave par cette attitude la liberté d’une immense majorité, elle doit alors tirer les conséquences de son propre comportement et accepter les contraintes que celui-ci lui impose.
Existe-t-il dans ce contexte si particulier et exceptionnel de crise sanitaire un soupçon de raison, d’humanisme, chez cette minorité voulant faire prévaloir sa liberté égoïste sur notre liberté collective ?
À crise exceptionnelle par sa gravité et son ampleur, mesures exceptionnelles et que l’on ne brandisse pas immédiatement le spectre de « l’embrigadement politique de type soviétique » ou pire les « dérives des pratiques nazies » et sachons garder une certaine mesure.
@ Xavier NEBOUT | 08 janvier 2022 à 18:42
Ce que dit Montagnier dans cette interview ne concerne pas l’effet supposé de vaccins en matière de génération de variants. Je n’ai rien trouvé de mon côté.
Bon, j’ai lu la charte du blog, je n’insiste pas, merci de m’avoir répondu.
J’aime bien ceux qui s’apprêtent à voter pour Macron ou Pécresse… ils sont dans la continuité !
@ Serge HIREL | 09 janvier 2022 à 12:41 (@ Achille) « Belle confirmation de votre habitude de lire à la va-vite(…)Les deux lignes en bas de l’image indiquent qu’il a été réalisé les 5 et 6 janvier, donc « avant le tsunami d’indignations » qu’a provoqué la saillie de Macron, comme je l’ai écrit dans le message que vous contestez. »
Belle confirmation de votre habitude de mépriser les propos d’Achille (entre autres, mais plus particulièrement quand même), vérifiez mieux votre information et vous constaterez que si le sondage a bien été réalisé comme vous le dites vous-même les 5 et 6 janvier c’est donc en plein cœur du « tsunami d’indignation », c’est en effet à partir du 5 janvier au matin que toutes les chaînes d’info et les réseaux sociaux se sont déchaînés. Caramba, encore raté.
Remballez donc votre mépris et lâchez les baskets d’Achille.
@ Michel Deluré
« Une minorité a certes la liberté de ne pas accepter de se faire vacciner mais, lorsqu’elle entrave par cette attitude la liberté d’une immense majorité, elle doit alors tirer les conséquences de son propre comportement et accepter les contraintes que celui-ci lui impose. »
Mais encore une fois, en quoi l’attitude des gens souvent respectables qui refusent de se faire injecter un vaccin qui n’en est pas vraiment un, qui non seulement ne limite pas l’expansion de l’épidémie mais encore qui la favorise (un comble !), qui de plus présente divers aspects dangereux et enfin qui n’est pour l’instant qu’une substance expérimentale, porteraient-ils atteinte à ceux qui suivent le mouvement sans se poser de questions au nom d’un argument d’autorité contestable, suite à un énorme matraquage médiatique ?
S’ils tiennent absolument à se faire empoisonner sans retour possible, c’est leur affaire mais qu’ils ne l’imposent pas à ceux qui cherchent à préserver leur capital santé voire pour certain celui de leur descendance.
Ne serait-il pas temps de cesser de foncer dans le mur dans une folle fuite en avant en refusant d’admettre de façon butée que cette histoire de « vaccin » ne fonctionne pas et pourrait même relever de l’escroquerie ?
Pour simplifier, une majorité a-t-elle le droit d’imposer des mesures criminelles à des millions de personnes ou même à une seule, en négation du respect dû à la personne humaine ?
Eh bien, c’est tout simplement ce que ce permettaient de faire les régimes transgressifs soviétiques et nazis et c’est quelqu’un qui n’aime pas abuser de l’argument de la reductio ad Hithlerum qui vous le dit.
Et par certains côtés, le régime que nous subissons en France se lance dans cette voie sans que personne n’accepte de s’en rendre compte.
Cantique, entonné par le triumvirat Macron-Véran-Attal
Oubliez vos peurs fictives, imaginaires et frelatées, générées par Zemmour et quelques fachos, des peurs qui entretiennent en vous un regrettable et funeste sentiment d’insécurité.
Préférez notre peur, fondée, étayée, avalisée, mondialisée, une peur garantie vierge de toute scorie, honnête et vertueuse, agréée par le plus grand nombre.
Je vous le re-redis, je suis Macron votre Père, faites confiance à ma peur, la seule qui vous veut du bien, la peur des peurs qui vous ouvre les portes de la Liberté !
Adoptez-la sans crainte …
Et tous ensemble, jeunes et vieux, tous unis en une ronde festive, vaccinons-nous sans compter ! Une aube déjà se lève.
(Pas le cœur à sourire, mais c’est cela qui s’est formé en moi ce matin.)
@ Exilé 10 janvier 12:06
« S’ils tiennent absolument à se faire empoisonner sans retour possible, c’est leur affaire mais qu’ils ne l’imposent pas à ceux qui cherchent à préserver leur capital santé voire pour certain celui de leur descendance. »
Là je vous rejoins. Bientôt on va en venir à vacciner les foetus !
Ras la dose !
@ Gavot | 10 janvier 2022 à 11:49
« …le sondage a bien été réalisé comme vous le dites vous-même les 5 et 6 janvier… ».
Vrai… et les propos de Macron ont bien été mis en ligne par Le Parisien le 4 à 21:27 et publié dans l’édition du 5.
« en plein cœur du tsunami d’indignations ».
Faux : la grossièreté du langage – « emmerder » – a été vite repérée, mais les rédactions ont mis plus de temps à mettre le doigt sur la vraie gravité du propos présidentiel : « j’ai envie » et « un non-vacciné est irresponsable, un irresponsable n’est plus un citoyen ». Le « tsunami » est monté en puissance à partir du lundi soir sur les chaînes info et le lendemain dans la presse écrite. Il a atteint son paroxysme en milieu de semaine. Ce sondage, achevé mardi dans la journée, ne reflète donc pas l’opinion « au cœur » du tsunami.
Depuis lors, tous les macronistes sont aux postes de combat, déversant l’huile bouillante sur les assaillants. Achille, qui, avec courage, défendait seul le Château sur ce blog, doit être heureux de recevoir votre aide…Dommage que vous n’employiez que la même arme que lui : la victimisation… Désolé, mais je ne « méprise » pas Achille, je combats ses convictions politiques, avec humour parfois, rien de plus.
On saura cette semaine si la hargne de la troupe au service du Roi a permis de relever le pont-levis, volontairement ouvert par un chef quelque peu inquiété par une adversaire qu’il n’avait pas prévu. La manœuvre était franchement risquée…
Conservez vos flèches. Vous en aurez encore besoin ! Et, pour améliorer votre efficacité, chaussez des godillots plutôt que des baskets…
J’attends avec une certaine curiosité de voir si quinze jours avant les élections, une bonne partie des restrictions ne sera pas pas levée ; je l’imagine accompagnée de cris de victoires, louanges et célébrations. Les gens, en liesse et reconnaissants, auront le droit de manger debout dans les trains, les enfants pourront laisser tomber le masque à l’école, les généralistes seront libres de prescrire de l’azithromycine sans éveiller les soupçons, et l’envie pressante de conchier les non-vaccinés sera peut-être plus ou moins passée au président de la République.
Les journaux anglais commencent à faire entendre une petite musique nouvelle : ça ne va pas être possible d’organiser des vaccinations pour toute la population quatre fois par an, ce sont des milliards de livres sterling à chaque fois. C’est impensable. Et inutile. Car certains spécialistes disent maintenant que les gens ont été suffisamment vaccinés comme ça, et que d’empêcher une immunité naturelle de se produire dans une population ne la protège pas à moyen et long terme, au contraire.
Pour résumer, ce serait donc bien si les gens cessaient d’espérer se faire vacciner tous les trois mois et retournaient travailler comme des braves. À quand la même musique chez nous ? Pas avant les élections, à mon avis.
@ Serge HIREL | 10 janvier 2022 à 14:21
Votre calendrier est tout à fait inexact, il suffit de se reporter aux « unes » des 5 et 6 janvier ainsi qu’aux échanges nourris sur les réseaux sociaux… ou les blogs comme celui-ci, tiens, qui dès le 5 janvier au matin commentait la saillie « emmerdatoire » sous un billet ad hoc de Philippe Bilger.
Vous avez donc tort mais je vois dans la suite de votre réponse que vous êtes en fait un militant et qu’avec la logique propre au militantisme vous m’accusez donc d’en être un (toujours avec ce mépris qui imprègne vos nombreux commentaires) au service de Macron. Mais vous ne me connaissez pas et, depuis la bonne douzaine d’années que je fréquente ce blog, je ne crois pas avoir dévoilé ici mes préférences politiques au cours de mes très rares interventions. Vous avez donc encore tort.
Quant à Achille, ce ne sont pas ses baskets ni ses godillots que je vous invite à lâcher, mais bien ses crampons, puisqu’il avait parfaitement raison sur ce point, gageons qu’il n’en prendra pas l’habitude.
@ Ninive
Et cela, vous le comprendriez, vous pourriez sortir de vos vapeurs du XIXe siècle et de vos fantasmes de reconquista, la note 13 est particulièrement intéressante pour votre superstition scientiste :
https://www.france-catholique.fr/LA-MODERNITE-UN-CENTENAIRE-OUBLIE.html
@ Gavot
@ Achille
@ Serge HIREL
Après le très médiatique tsunami des indignations, voilà Emmanuel Macron à 27 % au premier tour et à 58 % au second tour face à Marine Le Pen et 54 % face à Valérie Pécresse. Zemmour a l’air out.
Ce n’était pas naturel, ce tsunami !
https://www.lepoint.fr/politique/presidentielle-macron-loin-devant-le-pen-et-pecresse-selon-un-sondage-10-01-2022-2459874_20.php
@ Gavot | 10 janvier 2022 à 15:49
Merci Gavot de me donner raison. Ce n’est pas si souvent que cela m’arrive sur ce blog.
Serge HIREL et moi ne partageons pas les mêmes convictions, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais encore lui, ça va. Je peux dialoguer sans me faire insulter.
Ce que vous avez pris pour du mépris est en fait de l’ironie. Je ne peux guère lui en vouloir vu que moi aussi je pratique ce genre d’humour.
Serge HIREL a juste un petit défaut. Il veut toujours avoir raison. Tel un monsieur Culbuto il revient toujours à sa position initiale quand on lui apporte des preuves de ce qu’on affirme. En fait c’est nous qui n’avons rien compris, qui lisons de travers et qui racontons n’importe quoi.
Mais il n’est pas le seul dans ce cas sur ce blog. Donc pas de quoi vraiment se formaliser. C’est juste un peu agaçant, c’est tout.
Bonne soirée !
Pourquoi Ninive voudrait que j’aille convertir les musulmans ? Ils sont en France à leur place laïque, comme les scientistes superstitieux, à la différence que ceux-ci ne savent toujours pas qu’ils sont des religieux comme tout le monde, et voudraient imposer leur croyance.
@ Gavot | 10 janvier 2022 à 15:49
@ Achille
Je maintiens mot pour mot mon commentaire précédent : les sondages réalisés les 5 et 6 janvier ne prennent pas en compte l’impact des propos grossiers et, de plus, fort peu démocratiques de Macron. Pour en juger, il faut attendre la livraison suivante des mêmes sources, c’est-à-dire encore quelques heures. Le « rolling » Ifop-Fiducial pour LCI en est à sa première sortie et ne permet donc aucune comparaison.
Pour l’instant, un seul sondage apporte un éclairage certain, celui réalisé par OpinionWay pour Les Echos, qui indique que 57 % des sondés ont trouvé « choquants » les propos du président de la République. Ce qui ne veut pas dire que ce rejet ira jusqu’à faire baisser les intentions de vote en sa faveur. On voit, depuis quelques jours, que, sans prendre en compte le caractère inadmissible du retrait des droits civiques des non vaccinés qu’il propose, une partie des vaccinés approuve ce coup de force et va même jusqu’à préconiser qu’il les « e*merde » via le portefeuille ! Certains – un médecin, un avocat ! – vont même jusqu’à vouloir les traîner en justice…
Mon propos n’a rien de celui d’un militant prêt à tordre les faits pour justifier son point de vue, ce qui, de temps à autre, est le cas d’Achille. Dès les premiers pas de Zemmour sur la scène électorale, j’ai écrit qu’il n’avait peut-être pas pris la meilleure décision, son poids de polémiste lui permettant d’avoir sa place dans la bataille et d’imposer ses idées dans la campagne. Je le pense encore aujourd’hui, même s’il faut bien se rendre compte que Marine Le Pen, comme en 2017, n’est pas à la hauteur de la tâche.
Ma seule certitude pour l’instant est qu’au bureau de vote, ni le 10 avril, ni le 24 – s’il était encore en compétition -, je ne prendrai le bulletin Macron sur la table d’accueil. A fortiori aucun de ceux de la ribambelle des tocards de gauche.
En revanche, le ton de votre message ne peut que conduire à vous estampiller macronien et fier de l’être. Ce choix, si c’est bien le vôtre, n’a rien de répréhensible, l’erreur est humaine… C’est bien sûr votre droit de le nier et même de refuser de dévoiler le nom de votre favori (ou favorite). Après tout, le vote est secret.
Enfin, je ne vois pas en quoi votre ancienneté sur ce blog et la rareté de vos interventions vous apportent une sorte de sagesse qui vous permettrait de distribuer les bons et les mauvais points. À mon tour de vous donner un conseil : apparaissez plus souvent et venez avec des arguments… Ici, nous débattons, quelquefois âprement, nous ne réglons pas nos comptes… hormis quelques cas bien identifiés.
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@ bernard | 10 janvier 2022 à 20:31
Il est hasardeux de comparer ce sondage avec ceux qui l’ont précédé pour deux raisons : ce « rolling » en est à sa première édition et la méthode utilisée pour agglomérer les réponses est différente de celle des sondages hebdomadaires.
Il faudrait aussi pouvoir comparer le libellé exact des questions posées aux sondés, vérifier qu’elles sont strictement neutres et fermées.
Exemple : « Quel sera votre vote ? », « Quel sera votre vote après l’entretien accordé par EM aux lecteurs du Parisien ? »,« Quel sera votre vote après les propos grossiers du Président ? » et « Quel sera votre vote compte tenu de l’envie du Président de faire des non vaccinés des non citoyens » ne conduiront pas nécessairement à une même réponse…
@ Serge HIREL | 11 janvier 2022 à 19:26
« Le « rolling » Ifop-Fiducial pour LCI en est à sa première sortie et ne permet donc aucune comparaison. »
Ci-joint le sondage LCI du 11 janvier donc une semaine après les propos d’Emmanuel Macron sur les non-vaccinés.
Je pense que les Français ont maintenant suffisamment de recul pour réagir à cette provocation présidentielle.
Bref même si 57 % des Français n’ont pas apprécié ses propos (et j’en fais partie), les intentions de vote concernant Emmanuel Macron n’ont pas été impactés.
@ Achille | 11 janvier 2022 à 22:36
« Ci-joint le sondage LCI du 11 janvier (…) »
Comment vous le dire une nième fois ? Lisez attentivement les messages qui vous sont adressés avant d’y répondre. C’est précisément ce sondage qui fait l’objet de mon commentaire que vous citez en ouverture de votre texte…
@ Serge HIREL | 12 janvier 2022 à 02:06
« Comment vous le dire une nième fois ? Lisez attentivement les messages qui vous sont adressés avant d’y répondre. »
Oui bon, je crois que sur ce coup-là, il y a un point de blocage côté compréhension. On ne fonctionne pas pareil sur le plan du raisonnement, mais ce n’est pas grave, ça permet d’entretenir le débat.
Et puis comme le dit Bernard Werber :
Entre ce que je pense,
Ce que je veux dire,
Ce que je crois dire,
Ce que je dis,
Ce que vous avez envie d’entendre,
Ce que vous entendez,
Ce que vous comprenez…
il y a au moins dix possibilités qu’on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même… 🙂
Le tsunami des indignations et ses effets mesurés par deux sondages quotidiens dits rolling:
https://www.parismatch.com/La-presidentielle-en-temps-reel
https://www.opinion-way.com/fr/barometre-opinionway-kea-partners
Ça vaut ce que ça vaut, mais ça vaut bien les emballements des commentaires d’un blog.