L'unique avantage des émeutes – que Jean-Luc Mélenchon s'obstine à qualifier de révolte – est qu'elles grossissent une réalité que, dans sa déplorable quotidienneté, on ne sait plus voir. À laquelle on est tellement habitué qu'on la perçoit comme le rythme de croisière d'une France oscillant entre délits et crimes, entre insécurité et faiblesse judiciaire, entre voeux pieux et coups de menton, entre promesses de ne jamais céder et abandons multiples, entre une démocratie molle et un pouvoir au pire miséricordieux à contre-temps, au meilleur dépassé. En effet "le bilan très lourd de cinq jours d'émeutes…déjà très supérieur aux trois semaines d'émeutes de 2005" (Le Monde) a poussé au paroxysme, avec une intensité violente et folle, des agressions multiples, des destructions, des pillages, des attaques d'élus et une haine antipolicière en bande, commis notamment par des mineurs de plus en plus précoces, délaissés ou stimulés par des familles irresponsables. La frénésie d'après le 27 juin fait apparaître les jours d'avant comme une période relativement calme alors qu'y germaient en réduction tout ce qui va venir, avec le prétexte de la mort de Nahel, frapper notre pays de plein fouet, laissant les Français stupéfiés par des débordements à l'égard desquels les transgressions antérieures semblaient relever d'un mode mineur. Et pourtant !
Les élus, les maires étaient de plus en plus invectivés, frappés, molestés, parfois gravement, et on se demandait comment freiner cette course vers l'intolérable. Mais rien de commun avec l'émotion quasi unanime, l'indignation solidaire qui ont saisi la communauté nationale face à l'odieuse tentative d'assassinat en pleine nuit de l'épouse et des enfants du maire de L'Haÿ-les-Roses dans leur habitation après une attaque à la voiture-bélier. Comme si avant nous étions lassés de relever la multitude de ces atteintes contre lesquelles nous ne pouvions pas grand-chose, avec une justice trop clémente parfois quand elle était saisie. Elles faisaient partie de notre paysage républicain comme une sorte de repoussoir. Mais le crime contre la famille de l'édile nous a contraints à cibler, à concentrer notre indignation sur cet événement. J'espère que l'émoi d'aujourd'hui ne retombera pas et qu'il ne nous conduira pas à nous satisfaire de cette parenthèse de concorde courroucée. On comprendra pourquoi ces cinq jours d'émeutes qui ont mobilisé des forces de l'ordre comme jamais, des réunions interministérielles à répétition et des moyens sans compter, ne serviront pas d'excuse au pouvoir pour continuer à mal gérer la délinquance au quotidien. Le 27 juin et ses suites ne doivent pas avoir pour vocation de nous illusionner, nous faisant croire qu'avant c'était bien…
Alors que les émeutes n'ont été que la continuation du pire mais par d'autres moyens, sur un mode plus sauvage, avec un registre plus subversif.
« L’unique avantage des émeutes – que Jean-Luc Mélenchon s’obstine à qualifier de révolte – est qu’elles grossissent une réalité que, dans sa déplorable quotidienneté, on ne sait plus voir. » (PB)
À quelque chose malheur est bon. Ces cinq jours d’émeutes ont eu le mérite de discréditer définitivement J-L Mélenchon et certains de ses porte-flingue notamment Louis Boyard, Antoine Léaument, David Guiraud, qui ont refusé tout appel à l’apaisement au nom de ce qu’ils appellent « la Justice pour Nahel ».
La Justice pour Nahel elle va s’appliquer. Mais dans un pays démocratique, il faut d’abord faire une enquête, recueillir les témoignages et non pas se limiter à quelques images vidéo prises sur le vif et des conclusions hâtives.
On espère aussi que la Justice s’appliquera, sans faiblesse cette fois, pour les auteurs de pillages, dégradations de matériel public qui ont coûté des millions d’€ et aussi et surtout la tentative d’assassinat contre la famille du maire de de L’Haÿ-les-Roses.
Même Olivier Faure a réussi à ôter ses oeillères et déclare être en profond désaccord avec J-L Mélenchon qui se retrouve aujourd’hui bien seul.
Il était temps !
À mon humble avis il ne s’agit pas seulement de gérer la délinquance, mais de gérer la société, c’est à dire:
L’éducation, en particulier l’école.
La valeur Travail, ne jamais rien donner contre rien.
La notion de liberté, privée et collective.
La responsabilité des élus quels qu’ils soient.
Le partage raisonnable des richesses créées.
La démocratie, sur tous les grands sujets, obligation de référendum.
La justice, application de la loi.
Le chantier est vaste, obligatoire, inévitable, car le manque d’énergie fossile, le changement climatique, le rejet de CO² vont nous imposer des changements que nous n’avons jamais connus.
Des crises sociales extrêmement graves se profilent, si nous avons une organisation faible, ce sera la catastrophe.
Le plus écoeurant dans cette histoire du maire de L’Haÿ-les-Roses, c’est de le voir entouré à midi de tous les pires faux-culs des partis politiques qui ont tous sans exception oeuvré pour qu’on en arrive à ce chaos généralisé dont ils feignent tous d’être étonnés.
Les voir tous hypocritement au même rythme hocher la tête comme des boeufs qui regardent passer les trains lors du discours de ce maire et applaudir ensuite, m’a provoqué une nausée pire que celle des images des casseurs antifanazis gauchistes.
Dur à avouer mais ce maire martyr victime n’aurait-il pas lui aussi participé à cette descente aux enfers de la France ?
N’a-t-il pas lui aussi participé à la campagne anti-RN pour éviter un chaos fantasmé ?
Aujourd’hui, tous ces maires récoltent un chaos dont ils sont responsables par leurs soumission, lâcheté, couardise et collaboration immigrationniste macronienne.
Je ne plains que la mère qui a pu sauver ses enfants de l’incendie, c’est tout !
@ Patrice Charoulet
Vous comprendrez pourquoi les gens précautionneux et avertis se protègent en ne divulguant pas leurs données personnelles sur la toile, les blogs et les réseaux sociaux (nom, adresse e-mail, profession, n° téléphone, etc.). De nos jours, la curiosité malsaine à vouloir tout savoir sur tout le monde est négative et peut avoir de graves conséquences pour les personnes. Le numérique a ses défauts comme ses qualités. Vous saisissez ?
Dans ce monde de fous et de plus en plus dangereux, une seule devise : Pour vivre heureux, vivons cachés.
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/07/03/des-donnees-personnelles-de-magistrats-publiees-en-ligne-par-un-groupe-de-pirates-informatiques_6180354_4408996.html
@ Narcisses
« …si nous avons une organisation faible, ce sera la catastrophe. »
Juste un mini rectif que je pense refléter la réalité actuelle :
« Nous avons une organisation faible, c’EST la catastrophe ».
Le Grand Chaos promis par Macron.
« Vous avez remarqué qu’il n’y a pas de filles dans la question des banlieues ? Pas de filles dans les émeutes, pas de filles dans les revendications des discriminocrates qui plaident la cause en mode « ils sont victimes »… Les filles ont toujours été invisibles et invisibilisées. » Zora Bithan
C’est complètement faux. On a pu voir les femmes piller les supermarchés notamment. La racaillisation des banlieues touche également les femmes dont certaines sont d’ailleurs devenus des militantes du voile. Faut mettre à jour votre logiciel.
« Erdogan affirme que les émeutes en France sont les conséquences d’un racisme institutionnel issu de son passé colonial ; les immigrés y sont opprimés et parqués dans des banlieues et ghettos urbains »
Les Kurdes ne valident pas ces propos. Les islamistes voient du racisme partout.
« Cagnotte pour le policier qui a tué Nahel: « On a l’impression que c’est une forme de récompense », pour Thiaba Bruni (porte-parole du Conseil représentatif des associations noires de France) »
Bravo BFM TV. Continuez à inviter des racialistes et des communautaristes, votre contribution active pour les prochaines émeutes. Les recettes publicitaires vont exploser, bande de pyromanes.
Personne ne semble avoir perçu que dans une bande de jeunes, c’est à celui qui fait plus fort que les autres.
Couper des lampadaires, quelle rigolade. Envoyer une voiture incendiée dans une vitrine ou chez le maire, c’est quelque chose…
Sans avoir participé à ce genre d’expédition, il n’est pas besoin d’avoir beaucoup d’imagination pour saisir l’émulation et la course aux exploits.
Il suffit de se souvenir qu’on a été jeune.
Dans les années 60, de la fenêtre de l’atelier de l’école d’architecture à Bordeaux, à l’équivalent de quatre ou cinq étages, on s’amusait de temps en temps à envoyer des bombes (cube de papier dessin rempli d’eau ou mieux) près d’un passant non averti ou trop près. On voyait parfois celui-ci aller s’en plaindre au commissariat qui était à deux pas.
Il y a longtemps qu’aucun policier ne s’aventurait à venir, il aurait été trempé et rouge de mercurochrome avant d’arriver – car le mercurochrome coulait à flot dans le cadre d’un bizutage qui durait toute la première année – maillots à poids, etc. etc. Et je vous dis pas lorsque lors de la traditionnelle faluche, médecine venait à l’assaut. Là on préparait les bombes de pisse pendant quinze jours voire pire.
Nous étions des délinquants, mais que de rigolades…
Pour les jeunes hommes, faire les cons, c’est un besoin.
Vous avez oublié ?
Ces rassemblements d’écharpes tricolores, ces réunions interministérielles à répétition, ces émois télévisuels ad nauseam, ne sont pas la bonne réponse au défi lancé par quelques milliers de voyous, pour la plupart inconscients de la portée politique de leurs actes, mus par une haine collective de l’autorité plus que par la détestation de la France et de la République, deux notions dont ils sont incapables de saisir l’importance. Pour eux, la police n’est que la bande d’en face, qui cherche à conquérir « leur » territoire… S’en prendre aux « chefs » est une règle dans tout conflit de ce type. D’où le crime de L’Haÿ-les-Roses…
Face à eux, la seule riposte efficace est de « sauter sur Kolwesi ». Mais il faut du courage… Un carburant quasiment inconnu de nos gouvernants, y compris de Darmanin, qui, dans cette affaire, cultive surtout son image d’homme à poigne… Tout juste un copier-coller de Sarko…
Cette fois encore, l’autorité va l’emporter… Mais la facture est lourde, plus lourde que jamais elle ne l’a été. Il y aura une prochaine fois, un match retour dans l’esprit des émeutiers. Il est impossible d’être sûr d’une nouvelle victoire… Il serait prudent d’éviter un tel affrontement, probablement encore plus violent. La solution existe : entreprendre dès maintenant leur neutralisation musclée. Ce qui passe par une présence permanente et visible de policiers surarmés dans les « territoires perdus » – et certainement pas par le rétablissement de la gentille police de proximité -, par un durcissement du Code pénal et par la création à bref délai de lieux de détention, pas nécessairement équipés des éléments de confort dernier cri.
Mais… Mais il faut du courage pour entreprendre cela… Et -voir plus haut – nos autorités n’en disposent que de très peu…
P.-S.: L’Haÿ-les-Roses a été aux mains du PS et du PC durant plus de 80 ans (1927-2014)… Le résultat est là, exemplaire…
Aucune illusion sur la suite des événements, une fois l’émotion et la peur également passées, nos édiles et autres notables, nos « élites », nous chanteront le grand air du padamalgame, rejetteront le RN et Reconquête dans l’enfer de l’ «extrême droite », décideront un nouveau plan de banlieue qui pompera les maigres ressources au détriment de la France périphérique.
Cette France périphérique qui ressemble de plus en plus au « Camp des saints » de Jean Raspail, qui s’était montré visionnaire et prophète en la matière.
Tous les mauvais arguments conjoncturels, ceux de la pauvreté, de la ghettoïsation, et même celui du rejet (sic) par la population qui subit les exactions.
Il faudrait en plus aimer nos massacreurs de ville ? L’hypocrisie et la perfidie des immigrationnistes et déconstructeurs de notre civilisation n’ont pas de limites.
Aucun, sauf évidemment Éric Zemmour et quelques autres, n’a abordé le vrai problème structurel, celui de l’immigration cause de tous les débordements que nous vivons.
Immigration présente et passée, puisqu’il apparaît que même à la troisième génération, l’intégration ou l’assimilation ne se font plus.
Le plus amusant (au sens de curieux) c’est que ceux qui comme Zemmour pointent la responsabilité des immigrés dans les émeutes sont les pays musulmans, comme l’Algérie, la Turquie, l’Iran qui reconnaissent l’action des immigrés musulmans, en recommandant à la France la retenue à leur égard, justifiant leur révolte par des arguments fallacieux.
Retenue dont ils n’ont jamais preuve lorsqu’il y a eu des manifestations de foule chez eux.
Remarquons que certains historiens et sociologues s’évertuent à nous expliquer qu’il y a toujours eu des immigrés en France, ce qui est vrai.
Mais ils ne nous expliquent pas pourquoi les Polonais, mineurs de fond dans le Nord, les Italiens souvent dans le BTP, les Espagnols après la défaite des républicains, n’ont jamais provoqué d’émeutes identitaires, n’ont jamais cassé, pillé et incendié magasins, écoles, mairies et autres bâtiments publics ou privés.
La comparaison est faite sur les entrées de population, mais surtout pas sur ce qui en est résulté en termes de gain ou de perte pour le pays.
Il est vrai que cette comparaison pourrait être nuisible à leur idéologie qui se doit d’être première avant la réalité des choses.
Il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, et donc demain sera comme aujourd’hui, en pire, puisque chaque fois la situation est plus mauvaise que celle qui l’a précédée.
« Avant le 27 juin, c’était comment ? »
Eh bien pour prendre une image, ces émeutes ont ressemblé à ces brèves éruptions volcaniques spectaculaires, mais l’activité sismique ordinaire reste la même après qu’avant, invisible et imperceptible pour qui veut l’ignorer mais bien présente.
Il en va de même avec la liste longue comme le bras des « incivilités », crimes et délits remplissant, pour ceux qui sont déclarés, la rubrique quotidienne des faits divers sous la forme de quelques lignes censurées de façon indirecte pour des raisons politiquement conformes en changeant les prénoms, en omettant les noms ou bien en occultant les origines, mais tout lecteur pas trop bête muni de son décodeur personnel parvient à replacer l’événement dans le contexte global de la vie dans la France actuelle, qui n’a plus de rapport avec celle des années soixante.
On y retrouve à foison ces types d’adolescents qui sont déjà à leur âge des voyous confirmés membres de ce qu’il faut bien appeler la pègre, impliqués dans les vols, les trafics dont ceux des stupéfiants, les violences, l’utilisation illicite de véhicules, la possession et l’usage d’armes, etc.
C’est devenu tellement banal que plus personne ne semble devoir s’en offusquer ou chercher à y mettre un frein, à commencer par une police débordée ou bridée par une justice trop souvent déconnectée des malheurs subis par les Français de la part de gens qu’elle assimile trop souvent de façon non pertinente et décalée à des misérables au sens hugolien.
Bien entendu, à force de tirer sur la corde, elle se casse et ces petites racailles imbues de leur impunité rencontrent parfois brutalement un obstacle imprévu comme la vie en réserve qui met instantanément fin à une carrière qui s’annonçait prometteuse.
Mais hélas pour nous, il arrive que l’onde de choc ainsi produite ébranle aussi notre vie, alors que nous n’avons rien demandé, en nous obligeant à rencontrer et à subir les effets éruptifs d’un monde souterrain habité par le Mal, qui se rappelle à nos bons souvenirs quand nous cherchons à l’ignorer.
Il y en a un qui n’a pas encore compris, c’est le président de la République. Malgré sa réputation d’intelligence, non, non, et non, il ne comprend vraiment pas comment l’événement déclencheur a pu se produire. Il me fait penser au capitaine du Titan, le sous-marin pour touristes de l’extrême, dont tout le monde savait qu’il allait imploser. Il disait avec mépris « Safety is waste » (la sécurité c’est du gâchis), et encore : « Cessez de me dire que je vais finir par tuer des gens, ça me vexe ». Il dirigeait son engin avec un levier de console de jeux.
Non seulement notre président ne comprend pas, mais il n’excuse pas. Il n’excuse pas qui ? Il n’excuse pas le policier. Tous les autres sont excusés d’avance.
« Après des décennies d’immigration de peuplement, la France va devoir vivre à l’israélienne, sous la menace d’intifadas et de djihads déclenchés au moindre prétexte, au nom d’une légitime défense autorisée par le Coran. » Ivan Rioufol
Tout est dit !
Quant à ces chouineurs de la « diversité », il faudrait leur préciser que les jeunes de la France périphérique ont, eux aussi, d’énormes difficultés de logement vu les prix indécents dans certaines villes.
Qui peut encore vivre à Arcachon, au Cap Ferret (résidence secondaire de la célèbre Marion Cotillard), à Grimaud ou à Dinard etc.) ?
Ils nous emmer*ent à la longue avec leur victimisation permanente.
Qu’ils aillent en Tunisie, en Algérie, au Maroc, au Mali etc. pour y trouver des logements moins chers sauf que « là-bas » (Maroc), dixit Driss Ghali, tu vas en prison dès le premier méfait pour six mois minimum et ta mère doit payer un bakchich pour que tu puisses manger des oranges dans ta geôle !
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« Il y a 3 ans aujourd’hui, le 4 juillet 2020, Mélanie Lemée, jeune gendarme, est tuée à Port-Sainte-Marie (47), par Yassine El Azizi, qui avait refusé d’obtempérer et roulait sans permis…
La France ne s’était pas embrasée, les forces de l’ordre restées humbles.
RIP Mélanie »
https://twitter.com/__Verlaine__/status/1676120216017723392
« Dans l’affaire Nahel, La France Insoumise s’est inspirée des méthodes nazies : encourager des nervis, jeunes barbares sociopathes, à semer le chaos, pillages, incendies, tentatives de meurtre. Ne manquait pas même la dimension antisémite avec la profanation du Mémorial de la Shoah. » E. Naulleau
« Rennes veut mobiliser ses commerçants pour remplir les gourdes gratuitement »
Les pastèques pendant que le pays est à feu et à sang !
Un peu d’humour juif pour détendre l’atmosphère :
Netanyahou : « Mon cher Emmanuel, il n’y a qu’une solution à votre problème… deux États pour deux peuples ! ».
https://twitter.com/smoos_tweets/status/1675788785257201664
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« L’invitation permanente, sur RTL et d’autres médias, de personnes dont la seule activité est de traiter de raciste un pays qui a accueilli plus de 8 millions d’immigrés
est une insulte à tous les Français et une des causes des problèmes d’assimilation » P. Murer
« Le seul pays où on ne parle pas de la dimension raciale de ce qu’il se passe, c’est la France (…) La France est un pays structurellement raciste »
Rokhaya Diallo
Cette raciste anti-Blancs sévit encore sur Twitter, son compte n’est pas suspendu !
Etonnant !
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L’immigrationniste Borne essaie de tancer son idiot utile Mélenchon ! Pathétique.
Votre question, Monsieur Bilger, est pertinente tout comme votre conclusion : « Les émeutes n’ont été que la continuation du pire mais par d’autres moyens, sur un mode plus sauvage, avec un registre plus subversif. »
Mais il me semble qu’il faille constater quelques différences fondamentales.
D’abord, alors qu’auparavant les émeutes (hors période des débordements liés à la prise en main par l’extrême gauche des manifestations des Gilets jaunes où des bandes de pillards s’y joignaient par opportunité) se limitaient aux quartiers de résidence des émeutiers, à présent elles ne se sont plus cantonnées aux seuls « quartiers sensibles », pour utiliser un euphémisme parfaitement technocratique caractérisant la manière fausse de penser la problèmes par nos énarques.
Ensuite, tactiquement, les émeutiers s’organisent en de multiples bandes qui se répartissent dans des zones d’action multiples qui ont pour objet de chercher à faire disperser les forces de l’ordre et donc à tenter d’établir un meilleur rapport de force pour eux face aux policiers et gendarmes. Et pour cela, ils utilisent les fonctions cartographiques de certains réseaux prétendument sociaux. Quand il ne font pas usage de drones commerciaux pour évaluer les mouvements des forces de l’ordre.
En outre, les objectifs se situent à présent les centres des villes, là où se concentrent les commerces et ne se limitent plus à la seule confrontation sur leurs bases de départ. Bientôt ce seront les quartiers huppés où réside la « bonne société », type XVIe arrondissement ou les NAP, en s’y sentant protégée parce que non directement concernée par des événements lointains. A ces lieux s’ajoutent les commissariats, les gendarmeries, les casernes de sapeurs-pompiers et les domiciles des principaux responsables de la société, élus, magistrats, etc. Il s’agira d’y faire régner la peur par le désordre.
Enfin, actuellement sont constitués des stocks de munitions et d’armes par destination destinées à blesser ou tuer comme à incendier. Mais bientôt ce seront les armes de poing et d’épaule avec leurs munitions qui seront stockées en prévision de heurts sanglants avec les forces de l’ordre dont la « répression » ne manquera pas d’être fustigée à l’ONU et par les pays démocratiques comme l’Iran, la Turquie, l’Algérie ou la Russie qui ne manqueront de donner des leçons de démocratie à la France…
Ne s’agirait-il pas déjà d’une forme de guérilla urbaine ?
Donc ceux qui pilotent ces émeutes ont un réel projet de briser la résistance de la France et de lui faire payer son statut de pays occidental blanc, chrétien et ex-colonisateur. Surtout au moment où l’idéologie Woke, racialiste gangrène nos universités tandis que la jeunesse est enjointe à renoncer à son statut binaire au profit d’une identité multiple type LGBTQ+ qui a maintenant droit de cité même dans les écoles primaires ! En matière d’apprentissage de la résistance morale on ne saurait faire mieux !!
Au fait comment s’appelle une immigration à effectif encore minoritaire dont les meneurs, minorité elle-même très réduite mais agissante, visent à imposer leur mode de vie et leurs visions religieuses à la majorité des indigènes qui y résident préalablement à leur venue ?
Non pas avant mais après, chacun admettra-t-il de mesurer ses propres détestations, qui sont du même ordre que les jacqueries auxquelles nous assistons, d’autant plus dommageables qu’elles proviennent des plus éduqués, alors que leur éducation devrait les obliger à l’apaisement plutôt qu’à l’expression barbare des frustrations du ressentiment ?
Le fait que le centrisme soit au pouvoir est un symptôme dû à l’incapacité des partis dominants à avoir su assurer leur autorité.
Il est donc faux de faire du symptôme les causes de l’échec qui concerne chacun, l’heure est à l’indispensable conciliation.
https://www.tf1info.fr/politique/violences-urbaines-sur-lci-francois-bayrou-favorable-a-une-amende-immediate-pour-les-familles-des-mineurs-2262503.html
On verra qui est capable d’écouter le capbourrut sans céder à la même colère que nos petites racailles.
Le concours est ouvert !
Je pense que le gouvernement nous prépare à une censure renforcée des réseaux sociaux. D’après le président de la République, les réseaux sociaux favorisent la mise à sac des villes (on ne peut plus dire « les banlieues », puisque maintenant il y a aussi les centres-villes). Argument contestable, car il y a des réseaux sociaux dans d’autres pays, sans pour autant que ces pays soient vandalisés.
@ Narcisses | 04 juillet 2023 à 06:20
« le changement climatique, le rejet de CO² vont nous imposer des changements que nous n’avons jamais connus. »
Veuillez me permettre de me montrer réservé sur cette affirmation un peu péremptoire alors que la réalité est plus complexe. (*)
Ceci dit, si nous raisonnons en termes de gaspillage des ressources naturelles et de pollution atmosphérique, nous pouvons tout de même remarquer que tous les docteurs Philippulus du cataclysme climatique se sont tenus étrangement cois devant les agissements des nouveaux barbares, qui en plus des destructions évoquées ces jours-ci, ont libéré dans l’atmosphère des quantités énormes de fumées et de gaz hautement toxiques au mépris des bonnes pratiques actuellement imposées partout, alors que ces parangons de vertu écologique auraient dû être parmi les premiers à monter au créneau des protestations indignées.
(*) https://www.science-climat-energie.be/faq-5-lien-entre-temperature-et-co2/
Le constat en était fait depuis longtemps déjà mais la situation que nous venons de traverser a, entre autres, mis encore plus en exergue une profonde crise de l’autorité au sein de notre société, du plus bas au plus élevé de ses échelons, que cette autorité ne soit plus ou mal exercée ou qu’elle ne soit, de par justement son absence ou sa faiblesse, plus respectée.
Certes, cela n’explique pas tout, loin s’en faut, mais dans une société que valent les règles et les lois si aucune autorité, à quelque niveau que ce soit, n’enseigne et ne fait respecter celles-ci ? Vers quelle destination la combinaison « loi et liberté sans autorité » nous conduit-elle, sinon l’anarchie ou la dictature ?
Que cette séquence tragique ait au moins un côté positif en permettant de nous ouvrir enfin les yeux et de nous amener à en tirer les leçons pour l’avenir !
Xavier NEBOUT, dans la continuité de l’incohérence. Après avoir fait l’apologie de la Charia et de l’invasion moscovite, maintenant, nous explique qu’il est naturel pour un « jeune homme » d’attaquer des DAB à l’explosif, en nous racontant ses histoires idéalisées de post-adolescent boutonneux des années 1968, époque paraît-il où les CRS étaient tels des SS. Le Xavier NEBOUT maintenant défend les comportements de bandes criminelles qui hier était la justification de son appel à l’invasion de la France par des puissances étrangères.
La seule cohérence chez Xavier NEBOUT, c’est de toujours et encore vouloir soumettre la France à autrui.
C’est parfaitement vrai, avant le 27 juin les violences du Nord au Sud, les piratages informatiques, les incendies de voitures les soirs de fête, les insultes gratuites et autres faits de délinquances récurrents faisaient partie du quotidien. Mais comme ils restaient disséminés, cela les rendaient plus ou moins voyants, du moins pour l’ensemble des Français qui en avaient pris leur parti, sans être gênés dans leur vie quotidienne.
Depuis le 27 juin, ce sont les faits regroupés dans la France entière dans les villes, les banlieues et même dans les petites villes avec des méthodes de violences inouïes, des techniques incendiaires identiques qui font que les Français semblent découvrir l’ampleur du mal. Ils ont découvert, du moins pour ceux qui voulaient l’ignorer, une France coupée en deux et une jeunesse qui les détestent, eux mais aussi leur culture.
Jusque là c’était des alertes, là il a suffi d’une étincelle pour que ces alertes révèlent la réalité de notre société.
Mais déjà ce soir, l’émotion passée, les maires, les chefs de partis reçus à l’Elysée, le ministre de l’Intérieur à l’Assemblée, l’émotion, la peur sont retombées et chacun y va de sa petite phrase apaisante. Chassons le naturel, il revient au galop.
En effet, il n’est rien prévu de plus que de reconstruire rapidement. Les interpellés sur les scènes de guérilla sont déjà pour certains condamnés à un petit mois de travaux d’intérêt général, à porter un bracelet électronique pour d’autres et à un peu de prison avec sursis. Espérons au moins que les travaux « TIG » soient effectués rapidement pour déblayer leurs dégâts. Bien sûr il ne faut pas être trop sévères pour ces pauvres jeunes !
Pour le reste comme d’habitude, l’Etat va sortir le chéquier pour reconstruire les écoles, les mairies et tous les autres bâtiments détruits.
Et on entend déjà les politiques macroniens, soulagés par le calme revenu, reprendre leur communication destinée aux « pas de vagues ».
M. Darmanin insiste sur le fait que cela n’a rien à voir avec l’immigration. M. Béchu (*) s’étonne de voir les petites villes touchées par les violences et les dépradations. M. Macron, qui prépare son 14 juillet et ses discours habituels, veut reconstruire vite, JO obligent, pour passer à d’autres discours, etc, etc.
Il faut vite oublier le traumatisme, leur politique est la bonne, il faut continuer, comme si rien ne s’était passé, pas d’états d’âme. Les 100 jours arrivent à leur terme et j’imagine que tout est concluant. M. le Président nous le dira sérieusement le 14.
(*) la mixité tant prisée par nos élus a du bon puisqu’elle permet le multiculturalisme souhaité, et c’est ainsi que de petits immeubles HLM logeant essentiellement des familles immigrées, se sont implantées dans des zones pavillonnaires, un peu partout.
Et pour ma part, je connais des habitants de ces pavillons qui ont eu la frousse de leur vie en voyant brûler des voitures tout près de chez eux. Des jeunes arrêtaient des voitures le 28 juin au soir sur l’avenue principale, faisaient sortir les occupants de leurs véhicules et y mettaient le feu, à un croisement, près des habitations et des arbres. Les propriétaires des voitures brûlées complètement traumatisés et ceux des pavillons inquiets toute la nuit.
Prochaine étape, je suppose, pour suivre les directives de Mme Wargon-Stoléru, ce sera de supprimer les pavillons et mettre tout le monde en HLM ?
La libanisation du pays est en marche !
Avec des élus ou des politiques pareils on n’a pas besoin d’ennemis car la volonté de détruire les quartiers paisibles et de mettre les Français moyens au pas, est évidente. Contents ou pas, ces derniers sont tout juste bons à payer, ils vont voir augmenter taxes et assurances pour payer les réparations des dégâts commis par les petits anges.
Voilà… mais d’après les sondages, les Français, tous partis politiques confondus, ne sont pas complètement abrutis, et 93 % d’entre eux condamnent ces violences et soutiennent les policiers (89 %). Ces scènes de guerre sont un traumatisme évident.
« Avant le 27 juin, c’était comment ? » (PB)
Du sang et des larmes recouverts de fleurs, de bougies et de peluches.
Avant: vous n’aurez pas ma haine.
Aujourd’hui: vous avez ma haine et la taule ferme.
Stop au chaos et à la terreur. Enfin les juges ont compris.
@ Patrice Charoulet
@ Ellen 04/07/23 07:55
Les lâches ont toujours une bonne raison pour l’être.
Il ne me viendrait jamais à l’esprit de me cacher sous un pseudo ou un faux nom. J’aurais trop honte, et mes parents se retourneraient dans leur tombe.
De même que dans notre famille, on n’a jamais vu quelqu’un mentir quoi qu’il puisse en coûter.
Il y aura toujours les gens d’honneur et le bas peuple.
@ Xavier NEBOUT | 04 juillet 2023 à 09:01
Sacré boute-en-train ! Un rien vous amuse… Bombe à eau contre incendiaires…
On croyait que la justice n’était pas aux ordres du gouvernement !
Maintenant on tombe dans l’excès inverse: douze mois dont six ferme avec incarcération immédiate pour un feu de poubelle !
Alors dix ans pour un feu de voiture, vingt de magasin, et trente de commissariat.
Pourquoi pas, mais outre que la transition avec le rien de hier est un peu violente, pour le plus grave, il n’y a plus que la peine de mort…
@ Xavier NEBOUT | 04 juillet 2023 à 09:01
Je pourrais vous en raconter, ayant fait une année à Stan en 68 🙂 mais ce n’était pas du même genre quand même, c’était bon enfant et relevait plus du chahut. Et le professeur de maths était un ancien général de brigade ; ça calmait.
L’imam de mon petit village de Sumatra ou je vis m’a demande ce qu’il se passait en France… Je lui dis ce que je sais : jeune tue par un policier, c’est peut-etre accidentel ou volontaire, l’enquete le dira, des gens en colere, des gens qui cassent tout, des gens qui montrent leur colere de facon violente, des gens qui disent que l’Etat ne les aime pas, l’origine familiale du jeune disparu, les tensions avec l’islam… J’ai ete neutre dans mes propos a son egard…
Alors que le gouvernement semble vouloir enfin se zemmouriser, se lepeniser, la gauchisserie réclame le retour des Zilotiers pour ramener le calme dans les teucies.
Sarko avait bien fait de supprimer ces nounous à racailles, mais ces tordus de gauchisses veulent à nouveau fournir de la chair à canon à leurs racailles bien-aimées.
Souhaitons donc la bienvenue à une nouvelle race d’îlotiers kamikazes punching ball version Nupes !
Comment se passent les castings pour postuler à ce métier qui est devenu le plus dangereux au monde ?
Parmi les masos, les suicidaires, les dégoûtés de la vie ?
Les cailleuras tremblent déjà face à cette « nouvelle menace » (de rire bien entendu).
Mais rassurons nos dealers, nos frappeurs caillasseurs tabasseurs crâmeurs de keufs, ils sont des alliés de taille si d’aventure l’un de ces Robocop de teucies avaient l’impudence de froncer un sourcil en faisant une remontrance à ces caïds terrorisés, les SOS assos Sopoïstes CRAN MRAP HALDE LDH juges gauchistes SM mur des cons PS PCF EELV LFI NUPES sonneraient la charge pour leur venir en aide.
À part prendre une bonne assurance vie pour leurs familles, je ne vois pas quels conseils je pourrais leur prodiguer.
En attendant ils sont très occupés par leur déclaration de guerre contre la super cagnotte de Jean Messiha qu’ils veulent, de rage et de haine, faire annuler ; la leur en faveur de Nahel étant toute minuscule en comparaison ; bande de jaloux !
Socialauds, socialopitres, socialopes, paranocialos, schyzocialos, collabocialos, ils nous feront toujours rire ces guignols, charlots charlatans, pieds nickelés.
Dans un reportage vu à la télé, un petit boutiquier d’articles « tout à 10 € » affirme qu’il n’a eu à subir aucun vol, ni dégradation. Manifestement les pilleurs n’étaient intéressés que par les produits de grandes marques : Dior, Louis Vuitton, Hermès, Chanel, Nike, Adidas, YSL, Rolex, etc.
On peut être une racaille et savoir apprécier les choses de valeur.
En fait, c’était déjà comme ça avant le 27 juin, mais les événements qui se sont produits après cette date n’ont fait que le confirmer.
@ Marcel P | 04 juillet 2023 à 17:40
Sa cohérence, c’est d’être soumis au Père, dieu et paterfamilias, et de soumettre les peuples à une autorité royale ou dictatoriale comme Poutine, et aux prêtres, autre déclinaison de son allégeance inconditionnelle au pouvoir paternel.
De son côté, il a bien sûr le droit de gouverner ses enfants, et sous le roi, le tyran et le prêtre ou imam, ses concitoyens.
La femme est là pour être dominée par son mari, il est légitime de la battre de même que de la faire de ses enfants ou de ses sujets.
Bref, c’est l’idolâtrie du père, caricature du monothéisme utile comme piqûre de rappel de ce qu’est vraiment la chose sous des publicités mensongères d’amour et d’amour de la vérité.
Pour l’amour de la vérité, j’ai souri en lisant quelqu’un coincé quand je disais que le dieu tout-puissant et créateur était notre assassin puisqu’ayant prémédité de nous faire souffrir et mourir se réfugier dans l’illusion… Après agression d’usage, il y a eu que c’était illusoire. C’est cela, monothéiste, cours te réfugier dans le bouddhisme !
Ah, les monothéistes, ils peuvent éventuellement condamner la culture de l’excuse, mais ils les inventent toutes pour leur cause. J’attends, moi, qu’un transgresseur dise que tuer et torturer n’est pas un mal, ou bien que la mort et la souffrance n’existent pas, et qu’on ne saurait donc lui imputer ses actes.
Idolâtrie du père, soif de fin du monde, déni de la réalité mais aussi du rêve en s’en prenant à la fiction, ils ont vraiment tout intérêt à défendre leur idée que d’un mal peut sortir un bien vu tout le mal qu’ils font au monde.
Je me dois de mettre les points sur les i, car ce sont quand même de telles aberrations qui justifient les exactions d’un Poutine et tant d’autres abus, sans parler du fait que ce sont de véritables insultes à l’intelligence.
Désolé pour les bons monothéistes, Lucile, les jésuites, gens dénigrés par les leurs alors qu’ils en sont une élite, et ceux qui par leur horreur de l’enfer ont un peu fait reculer le dogme néanmoins inaboli.
Sans compter qui se sont détachés, qui de Rome, qui de Moscou, par amour de la liberté.
Une minorité, toutefois.
Ce n’est pas l’arbre qui cache la forêt, mais qui dérobe le désert à nos yeux.
À cause de tous ces excès, idolâtrie du père, dieu unique bien évidemment en principe tyrannique comme tout pouvoir sans contre-pouvoir…
À cause de cela, il y a une réaction, idolâtrie de la mère, déesse unique, même malfaisance, le nouveau culte de Gaïa provoque l’expulsion des indigènes de leurs terres ancestrales pour faire des parcs naturels sans humains, purs, nouvelle terre sacrée, nouveau temple.
La cohérence de Xavier NEBOUT illustre idéalement que celle de l’unique est d’être une matrice d’abus, qui accable le monde de désastres.
Espérons que du mal sorte un bien, comme on le dit chez eux, parce que c’est vraiment une matière inépuisable qu’ils nous fournissent là.
Ainsi donc la cagnotte ouverte par Jean Messiha pour le policier qui a tué Nahel a été clôturée avec un montant de 1 636 240 € issus de 85 107 donateurs.
Celle destinée à la famille de Nahel ne serait que de 243 200 € à ce jour, provenant de 12 170 donateurs.
Un don significatif de la part de Kylian Mbappé et d’Omar Sy serait le bienvenu…
Au-delà de l’énorme différence du montant recueilli par les deux cagnottes, c’est le nombre de donateurs qui interpelle. Près de sept fois plus pour le policier.
Reste maintenant à savoir si la famille du policier va pouvoir bénéficier de cette somme car les avocats de la famille de Nahel ont porté plainte contre Jean Messiha pour « escroquerie en bande organisée, détournement de traitement de données à caractère personnel et recel de ces délits ».
Voilà qui va pouvoir alimenter les chaînes d’info continue pendant quelques semaines.
On attend les échanges entre Pascal Praud et Gérard Leclerc avec impatience . 🙂
Xavier NEBOUT, après avoir associé les émeutes à du bizutage estudiantin, maintenant trouve désormais le code pénal français trop répressif et les magistrats trop rigoureux dans l’application de la loi. Mais demain il reviendra à la charge demander l’invasion de la France pour y rétablir l’ordre trop laxiste à son goût.
À ce stade, c’est du niveau d’un employé de ferme de troll moscovite : aucun souci de cohérence et de vérité sinon la déstabilisation de la France.
Il se confirme que ce Xavier NEBOUT est tout autant un ennemi de la France que ces émeutiers.
L’Ukraine se bat pour être libre, et Lodi s’offre à la monomanie de ses détestations.
Pour entendre que le discours évangélique contredit toute définition d’un père à son image, il faudrait qu’il sorte de l’orbite de son nombril intégriste qui, n’étant pas équipé des armures du pardon, ne sait reproduire façon Nebout que le mal qu’il définit comme source de toutes ses croyances erronées, rejoignant la cohorte soumise au désir totalitaire, dont nous savons avec certitude qu’il n’est que mensonge meurtrier.
@ Michelle D-LEROY | 04 juillet 2023 à 20:16
« Pour le reste comme d’habitude, l’Etat va sortir le chéquier pour reconstruire les écoles, les mairies et tous les autres bâtiments détruits. »
L’État, c’est-à-dire en pratique le contribuable, va devoir encore continuer de payer, payer, payer ad nauseam ce qui partira bientôt de nouveau en fumée, comme si la France n’avait pas d’autres priorités et comme si l’argent poussait sur les arbres.
De même, les surfaces repeintes seront vite recouvertes de ces horribles graffiti et autres tags, des signes de possession de territoire, qui nous rappellent chaque jour que la loi qui s’y applique est celle de la pègre locale.
Et l’État, soumis aux nouveaux maîtres au profit desquels il a abdiqué son autorité, prendra des postures de Matamore pour la singer en fustigeant et en persécutant tout ce qui pourra être assimilé à une extrême droite fantasmée.
Hilarante déclaration de guerre des racailles gauchiasses contre Messiha et sa cagnotte sublime en faveur de la famille du policier ! Un succès foudroyant qui a mis KO toute la gauchisserie.
Ce qui les rend malades surtout c’est que leur pathétique cagnognotte pour le délinquant Nahel fait figure de tirelire, d’argent de poche par rapport à celle de Messiha, quelques barres de shits pas plus, LOL !
Une claque magistrale, une belle fessée, une gifle cinglante ! Que du bonheur ! Messiha ne me démentira pas.
Leur fiasco, leur bide total, leur flop absolu les fait enrager ; de haine recuite et de jalousie nauséabonde leur seule issue de secours c’est cette plainte revancharde contre Messiha qui est un véritable aveu d’échec.
La cagnotte de Messiha est beaucoup plus qu’un don, c’est un véritable référendum contre toutes les racailles, les fachos antifanazis extrêmes gauchistes, la gauche et sa haine contre les vrais républicains et les FDO, contre cette fange nauséabonde de gauche : EELV LFI NUPES alliés idiots utiles collabos de la macronie antiFrance antirépublicains antipolice.
Un grand bravo à Messiha, le Zemmour bis !
@ Achille | 05 juillet 2023 à 08:33
Votre place d’arrière de 15 n’est pas usurpée, vous avez les crochets fulgurants de Jack Cantoni, un joueur oublié de la grande époque biterroise, sauf des puristes.
Quant à Mbappé et les autres, au lieu de parler pour ânonner des âneries ils doivent avoir des oursins dans les poches, ils feraient mieux de les mettre sur leur langue.
Titre explicite de la Une de Charlie de ce matin signée SALCH, rappelant quelques vérités, de celles qui font mal en quelques coups de crayon. Et surprise vous y trouverez notre multimillionnaire du ballon rond, dans un contexte pas très honorable, qu’il mérite sans doute un peu.
Un retour de bâton, pas un retour de ballon mérité quand même.
Qu’il tape donc dans un ballon c’est ce qu’il sait le mieux faire, pour le reste… rien de bien cadré, pas du très reluisant.
Hier soir j’ai écouté le maire de Béziers, discours vérité sur sa ville, il a remis, au moins pour ce qu’il vit tous les jours, les mots à l’endroit.
Il a distribué quelques coups de tatanes bien appuyés à l' »idéologue de plateau TV », et répété que les quartiers populaires n’étaient pas abandonnés, il a été félicité même par Cohn-Bendit.
Non ce n’est pas pas vrai qu’il n’a rien été fait pour ces quartiers, il a expliqué la méthode biterroise, il a injecté des dizaines et des dizaines de millions d’euros… Il n’avait pas de solutions miracles, en toute humilité il a avoué…
Il a cassé des barres, il a construit la plus belle école bilingue de France, il a été élu avec 70 % de voix et pourtant ils ne sont pas ce pourcentage d’extrême droite dans sa ville.
Appelant un chat un chat, et fustigeant une partie de ses collègues hypocrites et traitant de « salopards » ou parlant « d’immigration » et pas de population déplacée, ce qui devait l’être…
Bon, je suis en cannes et je vais me coltiner 40 minutes de 41X23, transpirer pour le plaisir.
@ Giuseppe | 05 juillet 2023 à 09:51
« Bon, je suis en cannes et je vais me coltiner 40 minutes de 41X23, transpirer pour le plaisir. »
En remontant aujourd’hui la vallée d’Ossau devant votre écran plat avec une 8X6 ? 🙂
Nous on attend que le troupeau peloton monte dans les estives après leur repos à Laruns pour pouvoir aller à Oloron. 🙂
Aliocha dit que « Lodi s’offre à la monomanie de ses détestations.
Pour entendre que le discours évangélique contredit toute définition d’un père à son image. »
Phrase peu claire, le père est à l’image de qui, de celle que je dénonce ou de la personne que je serais ?
Pour la personne, on est loin du compte, quant au discours évangélique, pardon, mais dieu est bien un père qui promet l’enfer aux humains censés être ses enfants.
Donc dieu est un paterfamilias des plus tyranniques, et tout est doublement faux dans ce que dit mon contradicteur, comme d’habitude… Oui, tout faux.
Un dieu tout-puissant créateur est responsable de tout, cause toujours pour dire le contraire !
Qu’importe si Jésus prêche l’amour aux humains, quand son père, à savoir lui-même, selon l’idée de trinité, nous condamne à souffrir et à mourir ?
En plus, il y a l’enfer en prime.
Quelle… bonne nouvelle.
Quels… bons effets.
Que d’amour, que de justice !
Il n’est pas étonnant que de telles abominations, cachées hypocritement sous des discours bisnounours, provoque des abus non accidentels mais systémiques… En vérité, l’étonnant est plutôt qu’il y ait des chrétiens pour se battre pour la liberté.
Voire des musulmans dans le Printemps arabe.
Mais tout s’explique, chez nous, l’héritage païen plus la concurrence entre chrétiens et ceux qu’ils ont déçus a provoqué une énorme concurrence, laquelle a pu par exception incliner au meilleur.
Je dis par exception et dissidence, car l’origine est la grosse firme monopolistique abusive, type Rome pour l’Occident, Moscou pour l’Orient, le catholicisme sans rien de libre, désolé pour lui, ni protestantisme où on étudie la Bible, ni minoritaires Ukrainiens se détachant de Moscou.
Pour les musulmans, encore moins respectueux de leurs ancêtres païens que nous, et où il est toujours mortellement dangereux de quitter leur religion, que peut-il bien y avoir pour en décider certains à la liberté ?
Eh bien, c’est évidemment l’Occident, si vilipendé, tout simplement, la vue qu’un autre monde est possible.
Ils ont bien de la chance, l’Occident, lui, n’a pas eu d’exemple vivant pour se réformer, rien de libre dans le monothéisme, et seuls quelques textes anciens pour maintenir la flamme. Au lieu d’imiter comme l’ont fait les Japonais, et comme nous devrions imiter les Japonais, par parenthèse, ils ne font jamais que nous parasiter, savoir profiter de notre acquis dans la très faible mesure de leur capacité, et nous nuire de tout leur cœur.
Pas tous ?
Et alors, nous ne sommes pas préposés au pesage des âmes ou à l’éducation des musulmans étrangers, mais là pour défendre notre liberté, et l’accroître. Il est certes du devoir de chacun de perfectionner ce qu’il a reçu des ancêtres, pour soi et pour ses enfants, mais pas d’aider ceux à qui nous ne devons rien, bien au contraire.
Et qui ont tendance à rendre le mal pour le bien, ce qui signe leur indignité fondamentale.
Bien sûr, chacun peut faire le bien pour acheter son présumé paradis ou par pure générosité.
Sauf qu’il faut s’en abstenir quand on met les autres en danger. Il y a pire que de balancer ses poubelles dans le passage, jeter ses nuisibles aux voisins : cessons donc de favoriser l’immigration musulmane.
Il y a, me semble-t-il, du grotesque, de l’indécence, dans ce combat entre deux clans par cagnottes interposées. Afficher une telle information comme si l’on annonçait un quelconque résultat sportif ordinaire a quelque chose de choquant, pour ne pas dire de répugnant, en regard de la gravité des événements que nous venons de vivre.
Ce qui est étonnant, c’est que l’on parle beaucoup moins des cagnottes ouvertes pour aider, ici ou là, certaines entrepreneurs ou commerçants dont les moyens de production ont été soit détruits, soit vandalisés, soit pillés et qui doivent parfois repartir de zéro. Ces cagnottes atteignent hélas des niveaux beaucoup plus modestes et le trop-plein des deux premières citées plus haut leur serait tellement d’un grand secours.
Les choses simples sont les plus inaccessibles aux imbéciles.
Aba, abu, papa, c’est d’un bout à l’autre de la planète et depuis l’origine de l’humanité, les premiers mots de l’homme.
Là est l’essence de la prétendue tyrannie du père.
Dieu, combien de fois faut-il le dire, c’est Di lumière, et eus ci -eux, ici au pluriel. Et la lumière, c’est le passage vers l’extase.
Si on veut comprendre quelque chose aux religions, il faut commencer par le rig Veda, et il faut longtemps pour l’assimiler. Ceci fait, Lodi et Aliocha, vous pourrez mettre tout ce que vous croyez savoir à la poubelle pour admettre que Jésus a ramené le Diospitar là où il avait disparu.
Quant à Marcel, qu’il continue à jouer aux boules.
@ Giuseppe | 05 juillet 2023 à 09:51
J’aime bien Kylian Mbappé. C’est sans doute notre meilleur joueur de foot français du moment. Nous l’avons vu au cours du dernier Mondial.
Jusqu’à présent il ne s’était pas lancé dans le petit commentaire communautariste, ce qui lui valait la sympathie de tous les Français, quelle que soit leur opinion politique
Qu’il défende les petits gars de banlieue dont il est issu, on peut le comprendre, mais la qualification « petit ange » concernant ce petit délinquant était pour le moins inappropriée vu ses états de service à seulement 17 ans.
Heureusement Mbappé a rattrapé le coup en lançant, avec les Bleus, un appel à l’apaisement. Mais je crains que sa cote de popularité n’ait été sérieusement entamée.
« Quand ce que l’on a à dire vaut moins que le silence, on se tait » (Proverbe chinois)
@ hameau dans les nuages | 05 juillet 2023 à 10:18
Je viens de terminer en plus de tailler une partie de ma haie de lauriers, et ça ce n’est pas non plus de la rigolade.
Pour celui qui a vu le reportage qui vient de passer sur l’histoire du Tour de France on y rappelle pourquoi les paysans ont voué un culte au vélo, à découvrir…
J’ai diminué fortement la superficie de mon jardin potager, je ne voulais pas acheter un motoculteur, alors je me contente de quelques pieds de tomates emblème du retiré des banches metalliques B8000 qui faisaient notre fierté.
Moi qui ai utilisé le théodolite je me suis fais reprocher gentilment leur alignement… On n’est jamais parfait… Foi de pointeur-tireur appelé, spécialiste de la distribution et du moteur Tjet à ses heures et des capteurs associés.
@ Xavier NEBOUT | 05 juillet 2023 à 12:02
Un être tout-puissant qui vous condamne alors que vous n’avez rien fait de mal est un tyran, ne vous en déplaise.
Vous êtes comme Aliocha, lui ramène les Évangiles, vous les Védas… Il vous faut grandir un peu, ce n’est pas parce qu’une chose est vue à la télé… ou lue dans un texte, qu’elle est vraie.
Ce qui est vrai est la règle d’or de ne pas faire aux autres ce qu’on n’aimerait pas qu’il vous fasse. Et donc, ainsi, on est sans partialité, peu importe que quelqu’un soit homme ou femme, mère ou père, créateur ou créature, il faut accomplir ce qui est juste, et rien d’autre.
Merci de confirmer que les textes sacrés ne font en général que servir de mots d’excuse aux gens commettant des injustices.
Merci, vraiment… J’espère que les croyants vous comprennent bien, ainsi qu’Aliocha, et que se regardant dans un miroir, soit ils abandonnent leurs croyances, soit ils les réforment.
Moi, évidemment, je ne lèverais pas le petit doigt… Tout le monde dit en avoir marre de payer pour les casseurs ?
Moi, je trouve inacceptable de devoir le faire pour vos semblables. Certains cassent des boutiques, les autres, le monde.
@ Achille | 05 juillet 2023 à 12:51
Il me semble que vous pardonnez souvent, c’est pourquoi le numéro 15 vous correspond, il rassure l’équipe, il capte les ballons chauds en l’air, alors que toute la défense est battue. Et vous êtes capable de battre Agen en demi-finale à Toulouse devant des tribunes pleines à craquer…
Pour la saison prochaine nous vous attendrons à la buvette, c’est esprit d’équipe, la larme à l’oeil et le match refait sous toutes ses coutures.
Rétablissons la justice des deux cagnottes légitimes. Je suis pour les aider.
Ce sont les gauchistes qui me choquent… Ils veulent priver son épouse et son enfant d’aide financière comme s’ils étaient responsables de quoi que ce soit.
Rien d’étonnant. L’extrême gauche nostalgique de l’époque stalinienne, proteste et demande à G. Darmanin et à E. Borne de fermer le compte et de saisir la cagnotte alors qu’elle est exclusivement destinée à la famille du policier pendant son incarcération.
Réponse du gouvernement: « c’est pas à nous de le faire ».
La rage au ventre, Arthur Delaporte, le socialiste du Calvados, malade que cet argent n’aille pas à son parti, monte au créneau et a déposé une plainte au tribunal pour demander à la justice de fermer le compte et saisir la totalité de la cagnotte du policier, sachant que cet argent est strictement et directement réservé à l’épouse du policier pour lui permettre d’élever leur enfant.
Le policier en question, privé de salaire, alors qu’il est père d’un jeune enfant et a une épouse à sa charge, non responsables du drame et dont il doit subvenir aux besoins pendant toute la durée de son absence de la maison (très longue…), il est donc aisément compréhensible que sa cagnotte de 1.637.000 euros aujourd’hui soit entièrement reversée à son épouse. Celle de la mère de jeune défunt Nahel s’élève aujourd’hui à 440.000 euros. Sachant qu’elle est divorcée, célibataire, salariée et sans charge familiale, elle a aussi de quoi se retourner confortablement. Je ne vois rien d’immoral là-dedans.
Par contre une chose est strictement interdite, c’est d’utiliser l’argent de la cagnotte pour payer les frais de justice, avocats, amendes diverses: loi de 1881, art. 40 du code de procédure pénale. L’argent de la cagnotte doit directement être reversé en totalité par la plateforme américaine « GoFundMe » à l’épouse du policier et à la mère du fils défunt Nahel. L’inspection des finances, enfant du numérique, a le nez fin et l’oeil de lynx sur les mouvements de comptes bancaires.
Obligation et respect de la loi. Au cas où il serait découvert que cet argent aurait été utilisé en partie ou en totalité à des fins sus-citées, la personne bénéficiaire de la cagnotte peut être poursuivie et traduite en correctionnelle avec une amende très salée.
Bref, ça va aider les deux femmes, qui ne sont responsables de rien, à surmonter une double peine, celle du coeur et celle de la misère financière.
« On comprendra pourquoi ces cinq jours d’émeutes qui ont mobilisé des forces de l’ordre comme jamais, des réunions interministérielles à répétition et des moyens sans compter, ne serviront pas d’excuse au pouvoir pour continuer à mal gérer la délinquance au quotidien. » (PB)
Nous pouvons toujours rêver mais l’expérience nous enseigne que ce pouvoir (?) appliquera en la matière comme les précédents la maxime due à Henri Queuille :
« Il n’est pas un problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout ».
—
Et maintenant qu’un calme plus ou moins précaire semble s’installer, que faisons-nous (ce nous englobe aussi les gens qui prétendent gouverner la France) ?
Continuons-nous de reprendre à la petite semaine toutes ces fausses solutions du genre injections massives de milliards qui depuis une quarantaine d’années n’ont fait que se traduire par une suite d’échecs et aggraver la situation ou bien essayons-nous de réfléchir afin de bien comprendre les origines du problème avant de changer de logiciel mental ?
Écoutons par exemple ce que nous dit Driss Ghali, auteur de «Français, ouvrez les yeux ! – une radiographie de la France par un immigré» (L’Artilleur)
https://www.youtube.com/watch?v=qADRwYNM9tY
Avant le 27 juin, les Caisses d’Allocations Familiales n’étaient pas attaquées, après le 27 juin, pas de destructions non plus d’édifices de gestion des aides en tous genre. Tout le monde reçoit gentiment ses virements, sans rechigner, refuser ou anéantir ne serait-ce que l’idée d’être assisté financièrement.
@ Xavier NEBOUT
« Quant à Marcel, qu’il continue à jouer aux boules. »
Qu’il continue de s’intéresser au sujet de l’article du jour et à la France de 2023, plutôt qu’à vos élucubrations ésotériques par nature indémontrables de théologien improvisé qui se prend pour Dieu le père, qui n’ont qu’une seule finalité apparente, nous détourner du fait que vos intoxications permanentes tendent toutes à déstabiliser l’ordre en France.
Sur le sujet du jour, on retiendra que vous vous plaignez de la répression des émeutiers, comme le premier militant NPA/NUPES venu.
@ Exilé
Hélas vous avez raison, mais pour faire bonne mesure l’Etat français très endetté et devant sortir de quoi réparer les bâtiments partis en fumée, fera des économies par ailleurs… sur les contribuables habituels.
À l’instant, le Figaro publie un article sur les soins palliatifs, où il est dit que l’on favorisera le placement des malades en fin de vie chez eux plutôt qu’à l’hôpital. Mais, comme on le sait, de plus en plus de Français vivent seuls. Ces malades isolés resteront-ils chez eux avec une infirmière qui passerait deux fois par jour en coup de vent car débordée ? À moins que l’Etat ne compte sur une loi « fin de vie » qui allégerait les comptes de la sécu.
Juste un exemple d’économie sur ceux qui paient des cotisations pour mieux se préoccuper de ceux qui ne paient rien. Le socialo-communisme grandeur nature !
Il faut approuver les émeutiers, racailles ou pas. Ils ont démontré qu’ils donnaient aux catastrophismes liés au CO2.
Sinon, ils n’auraient pas brûlé aussi allégrement équipements, meubles et immeubles.
Mais la question se pose tout de même en deux vecteurs:
– Que recherchent nos dirigeants, en dehors de leur confort personnel ?
– Que postule la poursuite de la production anthropique de CO2 ? Pour aboutir à quoi ?
Car il y a une convergence entre la contre-vérité évidente et surtout la supercherie outre la condamnation de l’activité humaine: la finalité.
La raison bascule, car, en cas de confirmation de l’une ou l’autre hypothèse, il n’y a pas de solution, sauf celle, intermédiaire, d’une dictature des comportements par pétition de principe et avant l’inéluctable, où que se situe la vérité.
Des indices abondamment diffusés annoncent catastrophe après catastrophe. Or, tout le monde est d’accord: le climat ??? se réchauffe mais après la péremptoire zéro carbone, personne ne propose la moindre solution, sauf si le carbone est soluble dans le blabla.
Dans ces conditions, parler de notre avenir relève de la mystification, voire du crime organisé.
@ Achille | 05 juillet 2023 à 12:51
Le petit ange n’était pas le fruit d’un miracle. Le père Nahel est bien une ordure.
Il vient de sortir du bois pour pleurer à chaudes larmes son fils qu’il n’avait pu voir à sa naissance car il était à ce moment là en mauvaise Santé. 4ans et demi ferme pour trafic de drogue.
Décidemment le sort s’acharne sur eux. Comme ils disent: « ālḥaẓẓi alssiʾ, lā yajʿaluka shakhṣun si » Ce que l’on peut traduire par: Un manque de chance ne fait pas de toi un mauvais garçon.
Hamdoulilah ! la cagnotte va lui permettre de se refaire une santé.La vraie.
Aux dernières nouvelles, il semblerait que les émeutes ont cessé suite à la demande des dealers car elles perturbaient leur petit commerce.
Manifestement ça a marché !
D’un autre côté, on ne va pas s’en plaindre car le pays était au bord de l’insurrection.
Mais enfin ce n’est pas vraiment très rassurant si c’est la pègre qui fait régner l’ordre…
Les croyances au dieu vengeur que se partagent intégristes et athées se disqualifient d’elles-mêmes de la seule solution envisageable, la réconciliation, condition nécessaire et suffisante pour accéder à la paix quand chaque entité, dans la mesure où elle renonce aux invectives de ses désirs dominants, est invitée à son élaboration.
À l’endroit du péril, apparaît ce qui sauve avec exactitude, chacun est bienvenu à cette contemplation.
@ Achille | 05 juillet 2023 à 22:11
« Mais enfin ce n’est pas vraiment très rassurant si c’est la pègre qui fait régner l’ordre… »
En fait et en simplifiant, il existe une forme d’alliance objective non dite entre la pègre d’en bas et celle d’en haut (ou du moins certaines personnalités politiques discutables si l’on préfère).
Les premiers à avoir reconnu l’effet bénéfique selon eux du trafic de stupéfiants sur le traitement économico-social du chômage et sur l’économie de certains quartiers ont été les gouvernements socialistes.
Il faut aussi savoir que les profits de l’économie souterraine ont été intégrés au calcul du PIB.
Donc, nous pouvons logiquement en déduire que la France actuelle, dans laquelle l’État tire des ressources financières du trafic de substances illicites voire du proxénétisme, est un État de type mafieux…
@ genau | 05 juillet 2023 à 19:03
« …catastrophismes liés au CO2. »
Nous attendons toujours l’avis de mademoiselle Thunberg (Greta pour les intimes) sur les émeutes anti-climatiques et accessoirement anti-françaises récentes.
Nous la verrons peut-être assigner en justice la France de M. Macron après la Suède pour inaction climatique.
Pauvre M. Macron, qui avait pourtant repris le rôle d’un nouveau Don Quichotte chargeant sur Rossinante les moulins à vents du réchauffisme et qui va peut-être encore se faire houspiller en dépit de ses efforts…
@ Exilé | 06 juillet 2023 à 13:28
« En fait et en simplifiant, il existe une forme d’alliance objective non dite entre la pègre d’en bas et celle d’en haut (ou du moins certaines personnalités politiques discutables si l’on préfère). »
Je me suis laissé dire que la mafia avait collaboré avec la Résistance au cours de la dernière guerre. C’est quand même mieux que la collaboration des pétainistes avec l’occupant, que certains encore aujourd’hui, et même sur ce blog, considèrent comme de bons patriotes…
Pour répondre à la question du billet, avant le 27 juin, si on n’y regardait pas de trop près, on pouvait penser que l’État jouait à peu près son rôle. Maintenant il va falloir sérieusement s’auto-hypnotiser pour lui accorder le bénéfice du doute, malgré le besoin qu’on a d’y croire.
Emmanuel Macron a confirmé son image d’un dirigeant sur qui on ne peut pas compter pour que le pays fonctionne normalement, et qui joue dangereusement avec les limites quand il ouvre la bouche. Contre cette image détériorée qu’on a maintenant de lui ici et à l’étranger, la com et McKinsey ne peuvent plus rien. Les mots qu’Emmanuel Macron nous adressera ne seront plus jamais compris que comme des fanfaronnades dérisoires, ou des fourberies pour nous cacher la gravité de la situation. Et la censure dont le gouvernement nous menace ne règlera rien. Pas de vrai changement sur ce point : comme d’habitude on fera payer les dégâts à qui les subissent, non à ceux qui les causent.
Quant à l’image de la police, je pense qu’elle est encore plus ambiguë qu’avant. La police est sans conteste plus populaire que les voyous, surtout ces jours-ci, parce que « de deux mots choisissons le moindre ». Mais on se pose des questions sur son professionnalisme tout en reconnaissant que les policiers font un travail aussi nécessaire qu’ingrat, et cela dans des conditions défavorables.
@ Achille | 07 juillet 2023 à 08:46
« Je me suis laissé dire que la mafia avait collaboré avec la Résistance au cours de la dernière guerre. »
Euh, vous ne devriez pas vous laisser dire des calembredaines !
Au hasard Bony, Lafont, Danos, la carlingue…
La seule mafia qui ait collaboré en tant que telle avec les Alliés en territoire occupé par les schleuhs est la mafia sicilienne avec les US par l’intermédiaire de leurs « cousins » établis outre-Atlantique, et encore, après d’âpres négociations commerciales.
@ Lucile
« Mais on se pose des questions sur son professionnalisme… »
Voilà un point de vue attribué à « on », pronom indéfini qui mériterait d’être développé pour ne pas induire en erreur le pékin moyen qui prend le policier pour un abruti !
Ce « on » serait en effet bien inspiré de nous rappeler à quel niveau les policiers des différents corps (gardiens, officiers et commissaires)* sont recrutés, à la suite de quels concours externes ou internes, les chances de réussite de ces derniers, la durée de la formation en ENP ou ENSP, celle de la période probatoire où le policier est stagiaire et commence à travailler sur le terrain.
Mais encore faudrait-il que ce « on » se donne la peine de se renseigner un minimum, plutôt que colporter des idées fausses en répétant comme un perroquet : la police manque de formation, les policiers ne sont pas professionnels et gnagnagna !
* Hormis les ADS qui ne sont que des auxiliaires de police en CDD
@ Achille | 07 juillet 2023 à 08:46
« Je me suis laissé dire que la mafia avait collaboré avec la Résistance au cours de la dernière guerre. C’est quand même mieux que la collaboration des pétainistes avec l’occupant… »
Vous avez raison, Achille, le Maréchal de France Philippe Pétain, chef de l’Etat français, vainqueur de Verdun, était un mafieux de la pire espèce. D’ailleurs, comme les « parrains », n’a-t-il pas défendu la famille et honoré les mères ?
Vous êtes un bien mauvais Gavroche… « Je suis tombé par terre/ C’est la faute à Voltaire/ Le nez dans le ruisseau/ C’est la faute à Rousseau »…
Question : je me suis laissé dire que les dealers ne sont pas pour rien dans le retour soudain à la maison des casseurs. Macron et son sbire de Beauvau ont-ils pris langue avec eux et négocié une alliance objective, voire une collaboration ? Personnellement, je ne le crois pas une seule seconde… tout simplement parce qu’il y a belle lurette que, dans les « territoires perdus », les dealers font la loi sans plus se préoccuper de celle de la République.
@ Serge HIREL | 08 juillet 2023 à 00:03
« Vous avez raison, Achille, le Maréchal de France Philippe Pétain, chef de l’Etat français, vainqueur de Verdun, était un mafieux de la pire espèce. D’ailleurs, comme les « parrains », n’a-t-il pas défendu la famille et honoré les mères ? »
Où avez-vous vu que j’assimilais le Maréchal à un mafieux ?
Malgré ses faits glorieux passés, il n’a pas été capable de prendre les bonnes décisions quand il a été aux commandes de la France.
Le Général a eu la meilleure explication le concernant : « La vieillesse est un naufrage ». Que dire de plus ?
@ Axelle D | 07 juillet 2023 à 19:55
Voyons, si Lucile n’explicite pas ce « on », ce ne peut être que du fait de sa discrétion bien connue.
Sa manière de poser des questions sans enflammer l’esprit polémique de certains… En fait, je m’étonne même qu’elle se soit aventurée sur le terrain minée de la police.
Mais je ne devrais pas : sous ses allures équilibrées et discrètes, elle ne manque pas de courage.
Mais puisque vous êtes là, expliquez-nous en quoi les pratiques de la police seraient optimales et/ou en quoi les perfectionner.
Nous sommes tout ouïe.
@ Achille
À part des cocardiers arriérés qui en sont restés à l’Almanach Vermot concernant l’Histoire de France, il y a beau temps que plus personne de sérieux et d’un minimum informé ne croit à cette légende d’un Pétain vainqueur de Verdun.
J’ajoute que c’est même faire offense aux valeureux Poilus que continuer à rabâcher ce genre de bobard à longueur de temps !
https://www.historia.fr/p%C3%A9tain-limposteur-de-verdun#:~:text=Non%2C%20P%C3%A9tain%20n'est%20pas,25%20f%C3%A9vrier%201916%20%C3%A0%20minuit.
@ Lodi qui a perdu une belle occasion de se taire.
C’est à l’accusateur d’énoncer et démontrer la ou les preuves de ce qu’il avance.
J’ajoute que les faits imputés ou allégués sans preuve ressortent de la diffamation pure et simple.
@ Axelle D | 08 juillet 2023 à 16:04
https://www.historia.fr/p%C3%A9tain-limposteur-de-verdun#:~:text=Non%2C%20P%C3%A9tain%20n'est%20pas,25%20f%C3%A9vrier%201916%20%C3%A0%20minuit.
Espérons que les quelques pétainistes de ce blog liront cet article d’Historia (revue éminemment sérieuse). Reste maintenant à ce qu’ils l’acceptent et ça c’est une autre histoire !
@ Axelle D | 08 juillet 2023 à 16:37
Débat-on de la vérité ou est-on dans un tribunal, la police est-elle si faible, si opprimée qu’on doive éluder toute interrogation à son égard ?
Étrange… La police n’est pas un groupe persécuté ou anciennement persécuté sans lien avec l’usage de la force pour maintenir la paix.
Non, je ne vois pas les policiers en réfugiés arméniens voire, plus récents, par exemple, ukrainiens.
Sans vouloir manquer du respect dû à quiconque, et particulièrement à des gens remplissant une mission de service public requérant du courage, il ne faut tout de même pas faire preuve d’un tact démesuré.
Interdisant toute interrogation, débat, soit ce qui peut renouer le dialogue avec les gens se méfiant de la police, sans parler d’inciter les forces de l’ordre à parfaire leurs pratiques.
Tout le monde a besoin d’un regard extérieur, vous savez. Les médecins par exemple, me semblent ne rien avoir perdu avec l’augmentation des droits des patients. Mais le plus important est tout de même que la situation des malades se soit améliorée.
Les forces de l’ordre sont là pour le public, le personnel médical pour les malades. C’est pourquoi la reconnaissance due pour leurs efforts et la vigilance contre leurs dérives ne font qu’un.
Parce que c’est ainsi que l’on fait preuve de justice et que le bien commun est le mieux assuré.
J’approuve votre loyauté envers la police mais elle s’égare quand vous oubliez ou semblez oublier le point que j’ai mentionné. Cependant, je ne doute pas que vous ayez beaucoup à nous apprendre au sujet de la police, si vous en avez, toutefois, le désir.
@ Achille | 07 juillet 2023 à 08:46
Votre choix, doublement odieux, de comparer l’attitude que vous prêtez à la Résistance vis-à-vis de la mafia (qui n’a aucune base historique) et celle, dite de « collaboration », de l’Etat français vis-à-vis du IIIe Reich vous fait écrire une méchante ineptie sur le Maréchal, que vous tentez, une fois de plus, de déshonorer. Par dérision, j’en ai conclu que vous préféreriez qu’il fût mafieux… Laissez-le en paix, lui et les Résistants. De tels propos sont tout juste à comparer avec ceux des feuilles de propagande qui, à l’époque, jonchaient les caniveaux.
@ Serge HIREL | 08 juillet 2023 à 20:03
« Votre choix, doublement odieux, de comparer l’attitude que vous prêtez à la Résistance vis-à-vis de la mafia (qui n’a aucune base historique) … »
Ci-joint un lien qui semble attester que certains mafiosi ont bien participé à la lutte contre l’ennemi en collaboration avec la Résistance.
Ce n’est donc pas une légende.
@ Lodi
Allez poser vos questions à Lucile puisqu’elle semble si bien informée sur la police nationale…
Quant à moi fichez-moi la paix. Ne m’étant pas adressé à vous sur le sujet, je ne vois vraiment pas pourquoi je perdrais mon temps à vous instruire…
D’autant que vu votre esprit de l’escalier c’est peine perdue !
@ Axelle D | 08 juillet 2023 à 22:54
Vous ne cessez de poser à l’autorité en matière de police, il est donc logique que je vous prie de faire partager vos connaissances, voire vos réflexions, si vous pouvez aller jusque-là.
Il n’est vraiment pas opportun de me renvoyer au motif d’esprit de l’escalier après avoir montré de l’agressivité envers Lucile. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre, il serait donc bien possible qu’en vous entêtant dans cette attitude, vos propos sur la police deviennent de plus en plus inaudibles.
Mais c’est peut-être le but, au fond, vous pouvez bien ne pas en savoir beaucoup et répondre ainsi pour masquer vos limites.
Quant à Lucile, je ne vais certes pas la déranger pour une préoccupation loin d’être prioritaire chez moi.
Enfin, primordiale ou non, je trouve toujours opportun d’alimenter sa réflexion à toutes sortes de sources, ainsi que de favoriser l’expression de tous.
Espérons que l’attitude des policiers ne ressemble pas à la vôtre.
@ Axelle D | 07 juillet 2023 à 19:55
« Et gnagnagna »
Voilà la police bien défendue par vos soins. On dirait une mère poule hors de ses gonds défendant une marmaille en déroute, alors que les policiers sont censés représenter l’autorité de l’État, et par conséquent se tenir en toute situation comme des adultes doués de rectitude et inspirant d’emblée une certaine autorité.
Que vous le vouliez ou non, le fait de circuler armé dans l’espace public donne des devoirs aux policiers, en particulier celui de ne pas tirer à moins d’avoir une raison irréfutable de tuer la personne en infraction à qui ils demandent ses papiers. Il est normal que la mort de Nahel puisse poser la question d’une bavure, et normal qu’une telle bavure ne renforce pas la confiance des citoyens ordinaires en la police. Nous aurons la réponse quand les résultats de l’enquête seront rendus publics.
Votre accusation de diffamation me paraît gonflée, et d’une mauvaise foi totale, ce qui ne rend pas service à la cause que vous prétendez défendre. Vous semblez savoir mieux que tout le monde de quoi il retourne au point de vouloir réprimer, et en quels termes, la moindre tentative d’analyse du problème. Je ne sais pas d’où vous tirez cette croyance en votre propre autorité. « Le pékin moyen », comme vous dites, est concerné à 100 % par la question qui nous occupe, du seul fait qu’il est soumis le cas échéant à l’autorité policière.
@ Lucile 17h28
« »Le pékin moyen », comme vous dites, est concerné à 100 % par la question qui nous occupe, du seul fait qu’il est soumis le cas échéant à l’autorité policière »
Et dans bien des cas, il est préférable de ne pas avoir affaire à eux tant leurs réactions sont imprévisibles.
De manière générale, les gens titulaires d’une parcelle de pouvoir ont une tendance à l’exercer face à ceux qui n’ont que leur bonne foi pour toute défense !
@ Lucile
Ce qui est gonflé Madame est d’accuser la personne qui vient justement de vous mettre en face de vos propres travers et de votre manque d’impartialité, de renverser les rôles et lui prêter vos propres excès et défauts d’objectivité élémentaire.
Une inversion accusatoire qui ne vous fait pas honneur Madame et montre la capacité de nuisance de ceux qui ne s’abreuvent qu’à la source des médias gauchistes racoleurs et bouffeurs de flics pour fonder leur opinion !
Et vous avez le culot de parler de bonne foi !
Je suis triste pour vous Madame devant une telle duplicité !
Avant le 27 juin, c’était pareil, bien sûr. Mais au-delà de l’indignation, que faire ? Je ne parle même pas de mesures concrètes. Je parle du profond changement de mentalité et d’attitude qui est nécessaire, avant d’en venir à des points de programme.
Pour commencer, il va falloir accepter de rechercher la vérité, même si elle est déplaisante. Le réalisme racial est un impératif à cet égard. Nous en sommes loin.
Il est atterrant de voir des gens encore s’employer à convaincre qu’ils ne sont pas « racistes ». Autant essayer de persuader les camarades du KGB que vous n’êtes pas un ennemi du peuple soviétique. Tant que l’on acceptera les concepts de l’adversaire, on n’arrivera à rien.
Beaucoup de gens n’ont pas encore compris que cette notion et bien d’autres sont destinées à détruire la vérité puis à enfermer les Blancs dans un piège d’où ils ne peuvent sortir : plus ils se débattent, plus les liens qui les asservissent se resserrent.
Il va aussi falloir reconnaître le droit des Blancs à être maîtres chez eux, et à choisir avec qui ils acceptent de cohabiter. La pusillanimité de ce qui passe pour l’extrême droite en France en dit long à cet égard — ne parlons pas du reste du spectre politique.
Qui, même à « l’ultra-droite », ne se défend d’être un « suprématiste blanc » ? C’est très bien, d’être un suprématiste blanc. Ce que les nahélistes, les traoristes et leurs idiots utiles de souche veulent dire, lorsqu’ils attribuent ce qualificatif infamant à tel ou tel, c’est que le coupable désire réduire les Noirs en esclavage, voire les massacrer (on aura compris que le mot Noir, ici, est la partie désignant le tout).
Or, si l’on examine les positions politiques des victimes de cette accusation aux États-Unis (le laboratoire par excellence), on s’aperçoit que c’est exactement l’inverse : les prétendus suprématistes blancs sont ceux qui veulent faire sécession. Ils sont prêts à céder une partie de leur territoire aux Noirs, à condition qu’on leur fiche la paix dans le reste du pays et qu’on les autorise à vivre entre eux.
Personne, absolument personne ne veut exercer de « suprématie » sur les Noirs, ni à domicile par je ne sais quel asservissement, ni à l’étranger par le biais de la colonisation.
C’est le contraire. Ce sont les Noirs qui, aux États-Unis par le biais des déplacements internes, en Occident en général par le biais de l’immigration, insistent pour venir habiter avec les Blancs. Ils ne peuvent pas se passer d’eux.
Telle Américaine noire, venant de s’installer dans une région blanche, faisait part récemment de son émerveillement : quelle prospérité ! quelle tranquillité ! quelle sécurité !
On ne le lui fait pas dire : ce ne sont pas les « barres d’immeubles » qui créent le chaos et la violence, ce sont les Noirs (la partie pour le tout, encore). Selon toute vraisemblance, les voisins qui ont vu débarquer cette dame et sa famille se sont dit : « ça y est, le quartier est foutu ». Réflexion « raciste » par excellence, selon les bonnes âmes aux États-Unis, à ceci près qu’elle est vraie. « Racisme » est synonyme de vérité.
Pour éviter la répétition du tralala nahélien, il va aussi falloir, on ne le dira jamais assez, rejeter le communisme.
Il ne suffira pas, pour cela, d’éviter de prendre sa carte au parti communiste, ou d’assurer qu’on est « contre » l’URSS. Il faudra activement récuser les principes mêmes du communisme. Autrement dit, il faudra, à chaque minute, défendre le libéralisme et le capitalisme.
Il faudra vomir ostensiblement à chaque fois que quelqu’un vous parlera de « répartition des richesses ». Il faudra hurler au meurtre à chaque fois que quelqu’un fera l’éloge de la « justice sociale ». Il faudra défiler dans la rue pour réclamer moins de services publics, partout : dans les banlieues, dans les villes et dans les campagnes.
Il faudra faire comme ce sénateur américain de Floride, qui vient de publier une vidéo rigolote où il dit : écoutez, si vous êtes socialiste, si vous êtes communiste, ne venez pas passer vos vacances en Floride, ne venez pas vous installer ici. Vous vous sentiriez mal à l’aise. Chez nous, on n’aime pas ça, on est libéraux et pro-capitalistes.
Aussitôt, la NAACP, vénérable association de défense des droits des Noirs, a hurlé au racisme. Le sénateur n’avait à aucun moment parlé de race.
Pour anticiper une objection évidente, le libéralisme n’est nullement incompatible avec le nationalisme. Défendre le droit de propriété, l’État modeste et l’initiative individuelle n’empêche pas de défendre la souveraineté nationale et la rigueur envers les délinquants. Bien au contraire.
Pour mettre fin à l’éruption régulière des émeutes ethniques, il faudra aussi discréditer définitivement le gaullisme. Car de quoi s’agit-il ? Le gaulliste est celui qui s’imagine simultanément que la France est un pays spécial qui a un « devoir de puissance dans le monde » (Éric Zemmour), et qu’elle est la victime perpétuelle du monde entier qui ne la reconnaît pas à sa juste valeur (le monde étant centré sur les États-Unis).
Autrement dit, le gaullisme est un poutinisme. On a vu les résultats.
Le gaulliste entretient, simultanément, un complexe de supériorité et un complexe d’infériorité. Ce qui le rend ignorant de tout ce qui survient au-delà des frontières de son pays.
Combien de fois n’a-t-on pas lu que le dernier accès d’enrichissement multiculturel infligé par les Français comme vouzémoi faisait de notre pays la « risée » du monde entier ? Il y a une sombre jouissance à se figurer la France traînée dans la boue.
Mais c’est de la sottise en barres. L’épisode de guerre raciale que nous venons de connaître se répète banalement dans tous les pays occidentaux affligés d’une immigration allogène massive. Ainsi qu’aux États-Unis, dotés de leur propre population à la fois allogène et autochtone (tout est relatif).
Il n’y a aucune chance de trouver le remède aux émeutes ethniques que nous subissons, si l’on ne procède pas à un diagnostic exact. Et il n’y a aucune chance de faire le bon diagnostic, si l’on ignore le fait que les nahéliades et les traoriades ne sont nullement dues à quelque vice spécifique et profond de la France (son passé colonial, « l’échec de l’intégration » et que sais-je encore), ni d’ailleurs à quelque vertu unique qui serait contestée par les pouilleux vindicatifs qui se pressent à nos portes.
C’est un phénomène massif et mondial, et il importe, pour y mettre fin, de discerner les points communs de toutes ces éruptions à travers le monde, comme les variations nationales qui, certes, font que la guerre raciale en France revêt des formes particulières, de même qu’elle le fait dans d’autres pays.
Enfin, il faudra prendre conscience du fait que tout cela ne se fera pas sans efforts. Il ne suffira pas d’élire « Mariiine », ou « Marion », ou « le Z ». Il faudra se résoudre à s’infliger des désagréments. Il faudra, pour commencer, accepter de travailler plus et de faire plus d’enfants.
Il n’échappe à personne que les « petits paysans » et les « gentils artisans » qui votent à l’extrême droite sont les premiers à embaucher des immigrés, illégaux à l’occasion. Pour une raison simple : les Blancs n’en fichent plus une rame, et d’ailleurs ils sont en voie de disparition.
Ambrose Evans-Pritchard, chroniqueur économique émérite au Telegraph de Londres, a mis en garde contre la tentation de dénigrer la France, à l’occasion des troubles que nous venons de connaître. Et il a aligné une série de faits et de chiffres pour montrer que la France était fort bien placée en Europe, y compris sur le plan militaire. En particulier face à l’Allemagne.
Parmi ces chiffres, le bon taux de fécondité de notre pays. Mais quel est ce taux ? 1,83. Largement inférieur, donc, à celui qui assurerait le simple renouvellement des générations.
Evans-Pritchard a eu l’élégance (ou le conformisme) de ne pas le préciser, mais la « bonne » performance de la France en matière de natalité est exclusivement due à l’immigration.
Pour mettre fin aux émeutes raciales, il faudra aussi accepter de bétonner la France. De saccager la planète. D’écrabouiller les grenouilles et les petits oiseaux. Non pas pour construire des logements socialistes destinés aux immigrés, mais pour construire des logements libéraux, capitalistes, pour les bons Français de France.
Comment, sinon, permettre aux Blancs de fonder des familles, de s’établir là où il y a du travail ?
Comment, sinon, construire les usines permettant de « réindustrialiser la France » ? Employant des Desouche, et non des Africains avides de découvrir les finesses du théâtre de Molière ?
Or, le « pas en face de chez moi » règne en maître, y compris chez ceux qui se plaignent le plus fort du manque de logements et d’industries. On a même vu des campagnards se coaliser… contre la création d’exploitations agricoles dans leur commune. Parce que ça créerait des « odeurs » et que ça ferait baisser le prix des maisons.
Pour « rejeter les immigrés à la mer » (ou l’équivalent en plus civilisé), il faudra aussi rétablir l’État de droit. Cela n’incombe pas tant à l’État qu’aux citoyens.
Par exemple, un pays où une bonne partie d’une corporation trouve normal d’infliger la peine de mort sans jugement afin d’empêcher une infraction future et hypothétique au Code de la route n’est pas un État de droit.
De même, un pays où les collègues des deux policiers impliqués dans cette application très particulière du Code de la route se font décerner trois semaines de congés maladie frauduleux et illégaux, dans le but de « revenir au travail en pleine forme », et ne s’en cachent même pas, ce pays n’est pas un État de droit.
Que ces messieurs-dames de la police et leurs zélateurs ne se formalisent pas : on pourrait en dire autant de toutes les corporations et de tous les groupes sociaux. C’est bien le problème.
Avant, le gratin de la race blanche en gilet jaune saccageait les centres-villes.
@ Aliocha | 11 juillet 2023 à 18:24
« Avant, le gratin de la race blanche en gilet jaune saccageait les centres-villes. »
C’est juste, mais quelles conclusions en tirez-vous ?
Vous remarquerez que je fais partie des rares commentateurs à défendre la race blanche tout en ayant constamment condamné les Gilets jaunes. Vous ne semblez pas percevoir la cohérence de cette démarche.
Une petite correction à votre propos, toutefois : on ne peut certes pas dire que les Gilets jaunes étaient composés du gratin de la race blanche. Il s’agissait des basses classes, et parmi elles, des plus abrutis et des plus prompts à la violence.
Qualifier des personnages tels qu’Éric Drouet ou Maxime Nicolle de gratin de la race blanche, c’est tout de même fort de café.
Vous oubliez, d’ailleurs, que nous avons dû également cette plaisanterie au « gratin » de la race noire, à savoir Priscillia Ludosky, l’un des tout premiers promoteurs du mouvement. Il faut être assez gratiné, en effet, pour lancer une protestation contre des mesures écologiques aboutissant à une augmentation de la fiscalité, puis la terminer en réclamant davantage de mesures écologiques… et davantage de fiscalité (mais pour les autres).
Ce qui fut la contribution personnelle et spécifique de la dame en question.
J’avais prévu de faire le parallèle entre les nahélistes et les Gilets jaunes, inspiré par la qualification qu’avait donnée Philippe Bilger, aux récentes émeutes, de mouvement révolutionnaire. Je ne l’ai pas fait pour ne pas être encore plus long.
Mais puisque vous faites le rapprochement, il est en effet justifié : dégradation de biens, violences contre la police, haine meurtrière envers les élus, désir authentique de renverser l’État légitime, absence de propositions politiques pour le remplacer et absence de stratégie pour s’emparer du pouvoir.
Mais quelles sont les différences ? Les Gilets jaunes ont été beaucoup plus modérés, dans leurs actions, que les émeutiers de la guerre anti-Blancs. Leur mouvement a été marqué par l’absence totale de revendications anti-immigration ou visant à la souveraineté ethnique (sauf contre les Juifs, ce en quoi ils manifestaient une solidarité tacite envers les immigrés, et non l’inverse).
Enfin, ils ont fait preuve d’une propension extrême à s’opposer les uns aux autres, jusqu’à agresser physiquement ceux d’entre eux qui tentaient de prendre des responsabilités pour donner une traduction politique au mouvement.
En revanche, le « gratin » des races noire, marron et autres, comme vous dites, a procédé lors des dernières émeutes comme il le fait toujours : en se liguant contre les Blancs. Les Arabes ont beau ne pas pouvoir encadrer les Noirs (pour ne donner que cet exemple des innombrables inimitiés raciales entre non-Blancs), lorsqu’il s’agit de tuer du Français blanc, surtout s’il est en bleu, tout le monde retrouve une solidarité implicite.
Voilà en quoi les émeutes raciales que nous venons de connaître, comme celles que nous avons connues par le passé et celles que nous connaîtrons à l’avenir, sont infiniment « supérieures », du point de vue des intérêts de leurs participants en tous cas, à la misérable tentative de révolution blanche à laquelle se livrèrent les Gilets jaunes.
D’où mon dernier conseil aux Français blancs de souche — puisque telle est la catégorie que vous défendez vous aussi, nous sommes bien d’accord ? — : si l’on veut éviter le retour d’émeutes raciales, il faut, aussi, mettre fin à cette détestable habitude de cogner sur son propre camp davantage que sur celui d’en face.
Avec votre réflexion, vous avez une fois de plus montré l’inanité de l’unique truc qui vous sert d’argument : le renvoi de tout le monde dos à dos, le relativisme moral et politique, le whataboutisme, le céçui kidi kiyé.
Le « gratin » coloré se ligue contre ceux qui les désignent à la vindicte, c’est effectivement la seule différence avec le gratin jaune.
Il est donc nécessaire, si l’on veut la paix, de cesser de tresser des arguments faux depuis la plante des pieds jusqu’à l’heure du dîner, et affirmer que l’exercice de la liberté et donc de son exigence, n’a rien à voir avec la couleur de peau, sauf pour ceux qui en sont encore à régler les vieux comptes coloniaux, entretiennent en conséquence les arguments de dénazification parce qu’ils n’ont toujours pas su régler ce qui les a sûrement traumatisés, pensent qu’être blanc de souche représenterait une quelconque supériorité, se confondent donc avec ceux qui estiment qu’avoir été discriminés donnerait droit à l’impunité.
Dos à dos, absolument, les violents et les invectiveurs, ils se disqualifient d’eux-mêmes, quant ils ne s’éliminent pas réciproquement aux violences qui les rendent semblables.
Place est faite désormais à ceux qui savent défendre avec détermination mais dans le respect d’autrui, leurs convictions, l’indispensable consensus est à ce prix.
Marchenoir et ses grandes qualités est évidemment invité, s’il cesse enfin son délire racialiste, à cette conciliation.
@ Aliocha | 12 juillet 2023 à 13:00
« Marchenoir et ses grandes qualités est évidemment invité, s’il cesse enfin son délire racialiste, à cette conciliation. »
Euh… non. Je ne sais pas pour qui vous vous prenez. Vous n’êtes ni qualifié pour « m’inviter » à quoi que ce soit, ni pour juger de mes éventuelles qualités.
Le jour où vous cesserez de vous prendre pour le bon Dieu, et où vous vous obligerez à opposer des arguments rationnels à un discours rationnel, on pourra en reparler.
D’ici là, votre prétention à vous prendre pour le maître du monde tout en débitant des salades aussi ennuyeuses qu’imbitables ne mérite que le mépris le plus complet.
@ Robert Marchenoir
C’est moi, mais ce n’est plus moi qui vous parle.
Je reconnais bien volontiers mes insuffisances, confirmées par vos incompréhensions qui n’en sont que le miroir :
« Le réel n’est pas rationnel mais religieux, c’est ce que nous disent les Évangiles : il réside au cœur des contradictions de l’histoire, dans les interactions que les hommes tissent entre eux, dans leurs relations toujours menacées par la réciprocité. Cette prise de conscience est plus que jamais requise, aujourd’hui que les institutions ne nous aident plus, que c’est à chacun de se transformer seul. En cela, nous en sommes revenus à la conversion de Paul, à cette parole qui vient soudain le transir : « Pourquoi me persécutes-tu ? » La radicalité paulinienne convient très bien à notre temps. C’est moins le héros qui « monte » vers la sainteté, que le persécuteur qui se retourne et tombe à terre. »
René GIRARD,
Achever Clausewitz. Entretiens avec Benoît Chantre.
Carnets nord, Paris, 2007