Nos enfants sont-ils si intelligents ?
C’est la question que pose Le Parisien.
Les miens indiscutablement. En toute objectivité. Peut-être parce que je n’ai jamais eu l’idée saugrenue de les qualifier de surdoués et qu’ils se sont accommodés d’eux-mêmes le moins mal possible.
Il paraît que « de plus en plus de parents font passer des tests de QI à leurs bambins, les pensant surdoués, ce qui est souvent loin d’être le cas. Un business florissant ».
On comprend pourquoi j’ai eu envie d’aborder avec humeur cette problématique des surdoués.
D’abord parce que je suis effaré d’apprendre qu’on fait passer délibérément des tests de QI à des enfants comme si leurs géniteurs avaient besoin de s’assurer, par des méthodes diversifiées mais étiquetées scientifiques, de la qualité intellectuelle et psychologique de ceux-ci. Au lieu de laisser la quotidienneté, la familiarité, la psychologie et l’affection offrir leurs leçons naturellement. Alors qu’il n’est rien de plus passionnant, sans recourir aux tests, que de découvrir un petit garçon ou une petite fille et d’identifier leurs forces et leurs faiblesses, leur tempérament, pour appréhender leur avenir avec optimisme ou inquiétude. Je suis mal à l’aise avec tout ce qui prétend quadriller et évaluer l’humain, non pas comme un outil de connaissance complémentaire qui peut avoir son utilité mais comme un dogmatisme vaguement scientiste qui s’imagine pouvoir vous priver de l’honneur, du bonheur et de la difficulté d’éduquer.
Directement reliée à cette manie des tests, l’incroyable propension, aujourd’hui, à voir des surdoués partout. Les familles en seraient remplies. Combien de moqueries ai-je dû ravaler face à des mères ou des grand-mères qui déroulaient longuement leur histoire familiale et qui n’était riche que d’enfants surdoués, exceptionnels, atypiques, sortant de la norme terriblement ennuyeuse des jeunes tout simplement et bêtement intelligents…
Cette mode est devenue grotesque qui offre l’opportunité et le confort, pour des parents dépassés, débordés, impuissants, de nommer surdoués souvent ces gamins qui se tiennent mal, n’écoutent pas, ne travaillent pas, s’ennuient, sont indisciplinés et constituent un mauvais exemple. Ils n’ont pas besoin d’autorité et de fermeté puisqu’ils sont en réalité au-dessus du lot et qu’une classe devrait se féliciter d’avoir ces trublions magnifiques !
Cette hypertrophie des surdoués donne envie de se pencher sur le sort de cette multitude de sous-doués qui, tant par leur comportement que par leur bonne volonté et leur normalité si reposante, se laisse conduire et enseigner sans que des tests soient devenus nécessaires pour rendre désespérantes de jeunes destinées que les parents avaient jugées encore rachetables.
Forçant le trait, j’ai parfois l’impression que l’école, en raison de la dégradation du rapport entre parents et corps enseignant, entre élèves et professeurs, à cause de l’investissement considérable qui doit être mis sur la discipline, l’ordre et l’obéissance, est presque coincée. Condamnée à focaliser sur les pires alors que les meilleurs demeurent en roue et en intelligences libres, forcément moins intéressants que ceux qui permettent à l’univers scolaire d’être à la fois compatissant et stérile.
J’attends avec impatience la mode des sous-doués. Une fois celle-ci dissipée, peut-être qu’après, enfin, on s’attachera au commun des élèves.
Ceux dont on ne parle jamais.
Ô toi mon honorable honoraire, voilà tout ce qu’est votre classe sociale.
Comme si le QI pouvait se mesurer ; il a largement été prouvé que nous n’en étions pas capables, mais les Anglo-Saxons sont persuadés du contraire et abreuvent sans cesse la psychologie de leurs théories imbéciles, jamais prouvées.
Mais comment font-ils ?
Avec des statistiques !
S’ils obtiennent dans une colonne un chiffre plus élevé que dans les autres colonnes, du 37%, c’est donc une vérité.
Ils crient qu’il est donc établi que 100% des gens fonctionnent comme ça, le tout à partir de 37% de résultat dans une colonne.
Courez au cinéma, mon honorable honoraire, allez voir ce documentaire minable fait par une grande bourgeoise de Neuilly-sur-Seine, vivant à Los Angeles :
Le Cerveau des Enfants.
C’est une m…, du niveau : wallah la vie de ta mère monsieur !
http://www.jupiter-films.com/film-cerveau-des-enfants-le-88.php
Ils parlent de leur test à la noix, celui de la guimauve, in english : marshmallow.
Cela prouverait que l’enfant qui mange sans attendre est bête !
Mais une autre étude établirait qu’en réalité celui qui n’attend pas, c’est parce qu’il ne ferait pas confiance à celui qui donne l’instruction.
En fait, dans ce doc de mouerda, tous leurs tests, ils les font sur des enfants de même classe sociale. C’est du :
« Notre classe sociale est la norme ! Ce qui est vrai pour nous est donc universel ! »
Faites ce test à la c… de la guimauve avec un enfant du Sahel qui n’a jamais accès à la nourriture.
Moi, je veux voir ça !
Faites ce test à la c… avec des enfants battus, tabassés, qui ont été victimes de sévices corporels, de tortures.
Par nature, ils n’ont aucune confiance dans les adultes, car ils ne savent pas s’ils vont les tabasser.
Moi, je veux voir ça !
C’est donc toujours le même problème : une classe sociale nombriliste, il n’y a qu’elle qui existe, il n’y a qu’elle qui sait, il n’y a qu’elle qui voit le monde.
Un vieil instituteur disait, à propos de ses élèves : « Il y a les cons. Et il y a les autres, qui sont très peu nombreux ». Ce qui ne l’empêchait pas de faire consciencieusement son travail, mais sans se raconter d’histoire.
Georges Frêche disait qu’il ne se fatiguait à parler aux 10 % d’intelligents, que c’était beaucoup plus rentable électoralement de parler aux 90 % de cons.
Une étude récente (qui vaut ce qu’elle vaut) montre qu’il y a 7 % des Occidentaux capables de prendre de la distance par rapport au discours médiatique.
Bref, on tourne autour du même rapport : 1 sur 10 d’intelligents.
Nous croyons tous faire partie des intelligents. Mais la probabilité est plus forte que nous soyons dans les cons. Alors, soyons modestes.
Je souscris entièrement à vos lignes de ce jour sur les « surdoués » et le QI. Les dictées, les dissertations et les explications de textes donnent plus d’éléments pour apprécier les qualités d’un élève que le test de QI.
Bonjour,
Les surdoués, ça existe. J’en veux pour exemple ce jeune de 17 ans qui a obtenu un doctorat à 17 ans après avoir obtenu son bac à 12 ans.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/17-ans-il-decroche-son-doctorat-universite-lille-1475947.html
Les sous-doués ça existe aussi. Nous pouvons citer ces étudiants qui, au bout de six ou sept ans passés sur les bancs de la fac, ne sont toujours pas parvenus à obtenir la moindre licence, même en psycho-socio qui est un peu la voiture-balai de l’enseignement supérieur.
Généralement ces cancres notoires deviennent président de l’UNEF avant de trouver une niche dans un parti politique de gauche où ils pourront paisiblement grenouiller.
Il existe même des cas de sous-doués à l’école qui se sont montrés de vrais petits génies dans le monde des arts et du spectacle.
L’intelligence ne se limite pas au score obtenu aux tests de QI et heureusement. Tout comme la réussite dans sa vie professionnelle ne se limite pas au nombre de diplômes. La vraie vie se charge de nous en dissuader.
Il existe aussi des artisans débordant d’imagination réalisant des merveilles avec leurs mains.
D’ailleurs Aristote lui-même disait que la main était le prolongement de la raison.
Il est grand temps de revoir les références en matière d’intelligence, en particulier en France, qui est si fière de ses intellectuels hyper-diplômés.
SUR INTERNET L’IVROGNERIE EST UN NON SUJET
1. « Vous n’êtes probablement pas plus alcoolique que je ne suis évêque. J’apprécie votre délicatesse qui vous fait prétendre à l’éthylisme pour moins blesser. »
Honneur à vous Franck Boizard (26 mai à 10 h 02) pour avoir fait cette déclaration empreinte de justesse et d’humanité aimable au Grand Wil.
Honneur à vous pour avoir aborder la question au premier degré, à plat, sérieusement, en contrechamp alors que, quelques heures auparavant Claude Luçon (26 mai à 1 h 58) la prenait à la rigolade, comme il se doit, et balançait :
2. « Mon pôvre Wil !
Permettez à un très ancien pas vieux d’être compatissant envers le Vieux poivrot que vous prétendez être, vrai ou faux, nous sommes sûrement plusieurs ici à être navrés de votre détresse 🙂
Quelle misérable vie vous avez dû avoir ?
Contraint d’enfumer votre cerveau dans les vapeurs de l’alcool faute de souvenirs mémorables, incapable, en plus, de contrer les jeunes pourtant si naïfs !
De l’audace Wil, pas du pinard ! »
Point n’est besoin d’être un XENA pour saisir la différence de ton. Claude Luçon est dans la grande tradition : « rentrer dans le jeu de celui qui est dans le jeu » et démultiplier les effets à l’infini. C’est vieux comme le monde.
Mais vous Franck, vous dites : halte au feu ! Vous déniez à cher Wil d’être alcoolo, et pour nous convaincre de la fausseté du jeu de rôle assumé par le « pitre » – un délire dont le succès est assuré jusqu’à la fin des temps – vous prétendez, pour faire bon poids que vous n’êtes point évêque : une déclaration qui nous fait quitter dans l’instant l’illusion comique et nous rend suspicieux car rien, dans le fond ne nous dit que vous ne l’êtes pas ! Bref !
Reste vos trois derniers mots où vous nous découvrez la moitié de la vérité (la moitié seulement. Nous allons revenir sur cet aspect) : « pour moins blesser ». Mais oui, mais c’est bien sûr !
Avant de rentrer dans le dur et dans l’unique souci d’être objectivement complet il est souhaitable d’ajouter deux réactions palpitantes :
3. « Faites gaffe quand même, l’abus d’alcool est dangereux et prête aux affabulations pouvant aller jusqu’aux états confusionnels et délires oniriques ! »
Mary Preud’homme à Zonzon le 24 mai à 19 h 18.
4. « Le Zonzon ne sait plus où il habite. Ivan Rioufol l’a viré, le blog de Philippe Bilger devient une antenne des alcooliques anonymes … »
Savonarole le 24 mai à 20 h 06.
Inutile d’insister, on a basculé dans un autre monde !
L’ivrognerie et sa dénonciation sont donc installées sur le net. Entre anonymes. Entre des gens qui ne savent rien les uns des autres. Même pour ceux qui choisissent leur patronyme comme pseudo.
Qui pourrait avancer que notre camarade Patrice Charoulet a ce vice, ou n’importe quel vice ? Il faudrait le connaître personnellement, ou être son voisin, ou encore un flic des RG qui tiendrait sa fiche, un agent secret émargeant à l’ambassade de Russie, ou embaucher une agence privée qui irait farfouiller, etc.
Absurde !
Il en résulte que la dénonciation de l’ivrognerie d’un blogueur est une posture purement conventionnelle. Un artifice, une figure de style, un lien scripturaire abstrait et gratuit.
Les gens corrects l’utilisent à deux fins. En défense – celle évoquée par Franck Boizard – « pour moins blesser » en se discréditant soi-même. En attaque pour éviter de faire allusion aux tares réelles du gugusse à démolir.
Mais il n’y a pas que des gens corrects dans la vie ! Il y a aussi des imbéciles et même des salauds. C’est là où ça se complique.
Nous n’allons pas entrer dans les détails (cf. DOSSIER). Tenons-nous en à deux illustrations.
Premier cas de figure :
5. Ellen le 23 mai à 22 h 50 s’adresse à Wil
« Vous ne savez pas vous exprimer autrement qu’en étant arrogant. A combien de bouteilles en êtes-vous encore ce soir ? Attention Wil, un verre ça va, deux verres bonjour les dégâts (je veux dire deux bouteilles). »
6. Réponse de Wil le 23 mai à 23 h 19
« Au moment où j’écris, j’attaque mon deuxième litre (pas bouteille) de pinard puisque vous voulez le savoir. »
Ainsi, à l’attaque, pleine de vulgarité gratuite de Ellen, Wil répond en ajoutant une couche apaisante, drôle, bénéfique.
On part se coucher, content de vous avoir connu !
Deuxième cas de figure :
7. Savonarole le 27 avril à 15 h 25 répond à Zonzon du jour à 14 h 28
« « C’est ça que c’est bon ! »
Vous êtes ce que l’Almanach Vermot est à l’esprit français.
Ne me lisez plus, j’ai toujours l’impression de descendre à la cave pour vous répondre. »
8. Le 29 avril à 17 h 08 Zonzon répond à l’attaque incongrue, malveillante, gratuite, sans retenue, lâche puisque inattendue, hors de propos, bavure d’une personnalité bravache toute en tchatche, par une fable fake news mettant en scène Savourlagnole – personnage fictif – s’endormant sur sa seconde bouteille de Porto de la soirée et qui est transporté sur un tapis volant à Barcelone dans un immeuble classé monument historique le jour où Valls est élu maire de la ville.
A l’agression inepte et sauvage, Zonzon « bon enfant » décale et amortit, projette délicatement le malandrin dans les ténèbres extérieures.
Le grand méchant le prend mal et va chercher de l’aide « en extérieur ». Mais ceci est une autre histoire…
Conclusion provisoire.
Si tu t’assois au bord du fleuve tu ne verras pas forcément passer le cadavre de ton ennemi.
PS. Découverte du commentaire de Augier, 27 mai à 22 h 48. Tombe à pic ! Suggère réflexions ! A suivre !
J’attends avec impatience la mode des sous-doués.
Si beaucoup de parents sont persuadés – souvent à tort – que leurs rejetons sont des surdoués, n’oublions tout de même pas le calvaire subi par les véritables surdoués dans un environnement pour le mieux ordinaire, quand il n’est pas pire.
Mais le système d’enseignement français, imprégné d’un égalitarisme historique de coupeurs de têtes et adepte des méthodes de Procuste, éprouve une haine viscérale des élèves surdoués, dont il explique les caractéristiques par des raisons découlant de ses théories déterministes, sachant bien entendu que les gènes n’y seraient officiellement pour rien.
Il lui faut absolument continuer de pratiquer le nivellement par le bas, afin de fabriquer un immense troupeau d’individus également médiocres, qui seront plus tard tous des citoyens malléables à souhait par les médias afin qu’ils votent tous dans le même sens.
Devinez lequel.
Il est attribué à Alfred Binet, l’inventeur du fameux QI, cette boutade : « l’intelligence, c’est ce que mesure mon test ». Il reconnaissait par là-même l’extrême difficulté qu’il y a à définir vraiment l’intelligence.
Existe-t-il une seule forme d’intelligence, qui se mesurerait quantitativement au travers d’une batterie de tests ? Qu’en est-il de l’intelligence émotionnelle, de l’intelligence sociale ?
Un être qui aurait accumulé savoirs et lauriers universitaires mais qui aurait raté sa vie professionnelle et familiale, et il en existe, serait-il plus intelligent que celui qui ne serait certes pas bardé de diplômes mais qui aurait eu un parcours professionnel, familial, social finalement réussi et enrichissant ?
Pour autant que « le bon sens soit la chose du monde la mieux partagée », celui-ci, qui est une marque d’intelligence, n’est pas que je sache l’apanage des seuls surdoués.
Il paraît que de plus en plus de parents font passer des tests de QI à leurs bambins, les pensant surdoués, ce qui est souvent loin d’être le cas. Un business florissant.
Les Grecs avaient un Dieu (un petit dieu cependant dans la panoplie de leur polythéisme) de la stupidité : Koalemos.
Je pense qu’il faut édifier un temple en son honneur et inviter les parents à s’y rendre de toute urgence !
Le même petit garçon tirant la langue, et c’était Einstein enfant.
Comme quoi l’intelligence ça tient à peu de choses !
@ PB
« Au lieu de laisser la quotidienneté, la familiarité, la psychologie et l’affection offrir leurs leçons naturellement. Alors qu’il n’est rien de plus passionnant, sans recourir aux tests, que de découvrir un petit garçon ou une petite fille et d’identifier leurs forces et leurs faiblesses, leur tempérament, pour appréhender leur avenir avec optimisme ou inquiétude. »
C’est tout à fait ça. Et cela fait la fortune de tous ces Diafoirus de la psychologie, orthophonistes psychothérapeutes, comportementalistes et pédagogues. Sur les conseils d’un membre de ma famille qui n’avait que des surdoués dans sa nombreuse progéniture sortie de la cuisse de Jupiter, mon épouse est allée voir un de ces éminents docteurs, un de nos gosses ayant des difficultés scolaires. A la fin des tests cette doctoresse déclara tout de go à celle-ci : « J’AI LE REGRET de vous dire que votre enfant n’a aucun trouble ». Honnêteté ou perte d’un éventuel patient ?
Là maintenant c’est la grande mode des enfants autistes Asperger tellement intelligents qu’ils ne peuvent pas apprendre à lire.
Mais surtout au grand jamais ne remettre en cause les méthodes scolaires appliquées aux enfants qu’on inonde d’activités extrascolaires leur faisant subir un emploi du temps de cadre supérieur…
G.Frêche dit dans le film qui lui a été consacré « J’ai fait une campagne intelligente, j’ai été battu, toutes les autres étaient c…, et j’ai toujours gagné. » Il fallait entendre P.Veyne parler de sa leçon d’agrégation…
J’ai eu un maître de cette envergure, homme presque fluet, parlant et écrivant des langues anciennes, familier du sanscrit, discret, presque effacé, moqué par ses collègues car d’une gauche idéaliste. Il m’a arrêté dans la rue, sortant d’une librairie, pour parler des ouvrages achetés ; il savait tout, doutait de la société, et chérissait ses étudiants. Avec lui, j’ai cru être intelligent, je l’ai été un moment. Il était de la hauteur de George Steiner et parlait de Plotin comme de son vivant, avec les yeux candides de l’ascèse cynique.
Aujourd’hui encore, je lis ses lettres, à l’écriture si précise et chaque fois, je rétablis mon niveau.
Le cerveau est une machine qui restitue ce qu’on met dedans, et le cerveau de l’homme ne fonctionne pas de la même manière que celui de la femme.
Si on en programme un pour avoir un bac à 12 ans, c’est-à-dire avec une scolarité illégale, cela implique que l’enfant ait travaillé au lieu de s’amuser comme un enfant normal.
Ses parents devraient être condamnés pour cela.
Les intelligences (capacité à saisir les réalités sans passer par la raison) tendent à être équivalentes après 50 ans, en d’autres termes, l’âge mental ou QI tend à s’égaliser. Les c… de 20 ans sont plus nombreux que ceux de 70.
Les femmes dont le cerveau oriente davantage vers l’intuition s’intéressent beaucoup plus que les hommes au « surnaturel » et à la religion. Elles sont moins dominées par les médias, et le foot.
Sur ce plan, l’homme reste souvent très c.. jusqu’au dernier jour.
Par contre, pour élaborer un enchaînement hypothético-déductif, rédiger des conclusions d’avocat ordonnées, claires, concises et précises, les hommes sont généralement bien supérieurs aux femmes.
Lorsqu’il a l’esprit religieux, l’homme sait pourquoi, là où une femme en est souvent incapable et prompte à partir dans les conn… C’est la raison pour laquelle la hiérarchie religieuse est masculine.
@ Exilé | 28 mai 2018 à 08:59
C’est ce qui avait été noté pour un de mes gosses ayant de grandes facilités. Ne s’intègre pas au groupe. Il faut dire qu’à à peine deux ans il ramassait toutes les paires de chaussures de la maisonnée pour les aligner dans la cour par taille et couleur… 🙂
« J’attends avec impatience la mode des sous-doués. Une fois celle-ci dissipée, peut-être qu’après, enfin, on s’attachera au commun des élèves.
Ceux dont on ne parle jamais. »
Ne vous inquiétez pas monsieur Philippe Bilger, les sous-doués nous en sommes envahis, nos banlieues en sont pleines et nos ministères aussi. Quelques grands noms : Moscovici, Le Maire, Raffarin, La Bravitude, Hulot, Dati, Belkacem Najat et 80 % des ministres des cinq derniers quinquennats.
On vient de me faire connaître, par communication privée, que l’on ne comprend pas ce que j’écris. Que ce serait volontaire et altruiste, pour dissuader les petits QI de perdre leur temps !
Je suis surpris et incrédule !
J’ai un doute !
Je viens d’un blog où on ne comprenait que trop ce que j’écrivais !
On ne me comprend pas. A la réflexion cela est sans doute mieux ainsi !
Les tests de QI ne font que mesurer un type d’intelligence et non l’intelligence absolue, celle à laquelle sembleraient croire ces géniteurs incapables d’accueillir et d’aimer leurs enfants tels qu’ils sont et non tels qu’ils voudraient.
Quoi qu’ils fassent, l’intelligence est répartie selon une courbe de Gauss, avec un pourcentage toujours faible en début et fin de courbe, la grande majorité se trouvant « dans la bosse » !
Par ailleurs il n’y a pas une seule forme d’intelligence, celle de la main de l’artisan, de l’agriculteur bio, du meilleur ouvrier de France, du parfait Compagnon ou de l’artiste valant largement à mon sens celle de nos énarques dont le succès au concours de l’ENA, certes difficile et très sélectif, vaut brevet d’intelligence absolue pour la vie entière ! Avec le droit de mépriser la valetaille incapable de penser comme eux et donc sans intérêt pour eux autre que de gagner leurs voix aux élections… et d’ignorer leurs choix exprimés démocratiquement pour mener à bien leur fameux « programme de campagne », notamment lorsque le peuple a osé par référendum voter différemment de leurs options. Le peuple a toujours tort parce que populiste par définition et donc manquant du minimum d’intelligence pour comprendre l’action de ces génies.
@ Achille 28 mai 2018 à 08:19
Les enfants possédant un QI qui sort de la moyenne sont quand même difficiles à gérer.
Un esprit brillant pour certaines matières mais un refus de travailler sur des matières qui ne les intéressent pas, voire une insolence avec des professeurs qui ne leur semblent pas suffisamment à la hauteur.
Pour les parents il faut faire avec et en douceur pour éviter les conflits.
C’est au niveau des concours que l’on peut déceler des pépites.
@ Zonzon
Zonzon ou Zinzin ?
L’intelligence a ses limites, mais de là à la dévaloriser… Pourquoi pas, tant qu’on y est, faire l’éloge de la sottise ?
Certains enfants ont des traits physiques moins agréables que d’autres, certains sont en moins bonne santé, certains retiennent moins bien ce qu’on leur enseigne, certains sont plus maladroits. Pas besoin de tests pour s’en apercevoir. « Sous-doués » est un terme dévalorisant ; il implique plus ou moins qu’il y a une norme acceptable, ce qui n’est pas le cas. Du reste, la sottise n’est pas le contraire de l’intelligence. On peut être surdoué et manquer de jugeote.
Cependant il reste que les aptitudes sont inégalement réparties entre les humains, ce n’est pas un scoop, or les aptitudes intellectuelles sont un atout majeur pour soi et pour les autres. Les détecter et les développer n’est pas absurde ; le système scolaire, très compétitif et élitiste quoi qu’on en dise, s’y emploie, mais assez mal, car au détriment des enfants qui ne sont pas au sommet de la pyramide. L’école devrait exercer chacun, à tous les niveaux.
Le problème serait d’entretenir l’illusion que des gens au QI élevé sont infaillibles, eux-mêmes finiraient par s’en convaincre. L’intelligence est un outil, dont on peut mal se servir, surtout si on lui fait jouer un rôle qui n’est pas le sien. La propension à attribuer une sagesse et une sûreté de jugement sans limites aux surdoués, à les révérer en conséquence, et à leur confier des responsabilités sans contrôle, est paradoxalement mêlée de jalousie et de méfiance.
Cela dit, l’avantage du QI par rapport à une évaluation du type de celle de Patrice Charoulet (bonne orthographe et commentaires de texte de bon niveau) est qu’il permet de détecter l’intelligence d’enfants venant de milieux où l’on ne maîtrise pas bien la langue française, ou bien d’enfants dyslexiques, et ainsi de ne pas leur faire prendre des voies de garage à l’école.
Par ailleurs, avec quels critères de jugement des gens de niveau intellectuel moyen peuvent-ils juger le niveau intellectuel de personnes aux aptitudes élevées ? On le voit parfois professionnellement, il y a là quelque chose de savoureux, sur un registre comique.
@ Michel Deluré
« Pour autant que « le bon sens soit la chose du monde la mieux partagée », celui-ci, qui est une marque d’intelligence, n’est pas que je sache l’apanage des seuls surdoués. »
Pis encore, quand nous constatons les dégâts causés par des êtres brillants, bien notés, passés par certaines grandes écoles, une fois qu’ils ont été lâchés dans la nature et confrontés à de vrais problèmes – nous n’évoquons pas là uniquement les cas les plus récents mais ceux pouvant dépasser un siècle – nous sommes en droit de nous poser des questions sur la définition de l’intelligence.
Peut-être pas surdoué mais premier de cordée le jeune Malien Mamoudou Gassama qui au péril de sa vie a sauvé un enfant suspendu à un balcon.
Notre Président a tenu à récompenser un acte héroïque qui sanctionne un acte de bravoure. Avis aux amateurs !
Je ne sais pas s’il y a des enfants sous-doués mais si quelques enseignants sortent du lot pour le développement des élèves, il y a, notamment chez des professeurs de collège, de sacrés c…
Les fins lettrés de ce blog ne sont pas visés.
Bien qu’il ait eu l’inconscience de passer par-dessus le balcon de son appartement, le petit garçon de 4 ans a ensuite fait montre d’une grande capacité d’adaptation dans le but de sauver sa peau.
Sur certaines vidéos, devenues rares aujourdhui (tiens, pourquoi ?), on le voit bien arrimé à la balustrade, les pieds appuyés sur la saillie longitudinale de l’ouvrage alors que ses mains sont accrochées au rebord supérieur.
Mamaudou est encore deux étages au-dessous lorsqu’un voisin adulte a pris contact avec l’enfant, s’est penché dans sa direction, l’a convaincu de faire mouvement vers lui. Les deux personnes se sont rapprochées puis touchées, l’adulte parle au petit et commence précautionneusement à le soutenir, aidé par une femme en 2° plan.
Cest alors que l’acrobate venu de la chaussée, arrive, et, peu familier de l’esprit pompier qui voudrait peut-être que l’on assiste le sauveteur déjà engagé, s’empare avec vivacité de l’enfant.
La petite victime est à féliciter pour avoir eu le don de bien se fixer à la balustrade, d’avoir écouté avec calme les paroles de son voisin, de s’être déplacé dans sa direction, d’avoir accueilli sans panique le contact salvateur du voisin et, apparemment, d’avoir résisté au choc de l’arrachage par le nouveau venu.
Zonzon (28 mai, 8:35) n’en rate pas une, question logique… Problèmes de couches sans doute !
« Ainsi, à l’attaque, pleine de vulgarité gratuite de Ellen, Wil répond en ajoutant une couche apaisante, drôle, bénéfique.
On part se coucher, content de vous avoir connu ! »
Tandis qu’au commentaire plein de bon sens et sans agressivité de Mary Preud’homme, voilà ce qu’il répond :
« Vous faites un commentaire par rapport à je ne sais quoi… et vous en concluez des choses alors que vous vous n’avez pas la capacité de penser.
Allez, bonne nuit. »
Rédigé par : Wil | 24 mai 2018 à 00:07
L’enfant accroché au balcon est-il un sous-doué ou bien Mamadou qui l’a décroché est-il un surdoué ?
Hidalgogoche ne se sent plus de joie depuis que Mamoudou Gassama a décroché un enfant suspendu dans le vide ; en pole position de la nuée de corbeaux vautours et autres rapaces opportunistes qui récupèrent ce fait divers glorieux, elle ouvre son large bec et invite tous les fachos réacs blancs de souche à admettre enfin que tous ces sans-papiers clandestins migrants sont de véritables chances pour la France ; sans eux, cet enfant serait tombé du balcon ; va-t-elle faire clignoter la Tour Eiffel en son honneur, sa manie parano préférée ?
Tous les migrants jaloux vont regarder en l’air au cas où un enfant serait suspendu à un balcon.
C’est simple, si vous êtes humaniste de gauche, pour naturaliser tous les émigrés qui sont en France, vous suspendez votre moutard bien tenu par une colle spéciale au balcon puis vous filmez la scène de l’émigré Spiderman en train d’escalader les murs pour sauver votre enfant.
Pour éviter toute sélection discriminatoire à la naturalisation, la gôôôche est pour la régularisation de tous les sans-papiers même ceux qui n’ont pas trouvé d’enfants à sauver suspendus dans le vide.
Perso, moi facho raciste chrétien xéno discrimino vivrensemblophobe, je suis pour expulser sous les 48 heures tous les immigrés qui n’auront pas sauvé d’enfant accroché à un balcon !
Merci pour ce billet.
Il m’est arrivé aussi de ravaler une moquerie ou un petit sourire narquois. Je crois qu’il est difficile aujourd’hui pour de plus en plus de parents d’admettre les limites de leurs enfants.
Je ne sais pas ce que sera la prochaine mode mais j’ai rencontré récemment l’ancienne institutrice de mon fils qui me disait que les enfants travaillent de moins en moins à l’école primaire. Ils passent de plus en plus de temps sur les jeux vidéos sur leur portable et les parents, pourtant de classe sociale élevée, trouvent ça très bien.
Visiblement il n’y a que des hommes à avoir des avis sur le QI des (leurs) enfants.
Curieux, non ? ;))
A propos d’intelligence et de QI, entre anciens nous remarquions que nos pères, très fiers de leur certificat d’études, écrivaient et connaissaient le français, l’histoire et la géographie, au moins de la France, mieux que les bacheliers d’aujourd’hui ! Leur orthographe et leur calligraphie étaient remarquables.
Pourtant on ne parlait pas de QI à l’époque mais les instituteurs utilisaient les bonnets d’âne.
Une façon de classer les sous-doués comme le suggère Philippe.
Quant au QI c’était l’outil des chasseurs de têtes pour le recrutement de dirigeants, généralement au-delà de 35 ans.
Rien n’indique que le QI n’évolue pas avec l’âge !
Par contre la répétition des tests de QI amène le sujet à apprendre la technique et ajuster ses réponses en conséquence.
On peut trafiquer son QI comme son contraire, le détecteur de mensonges !
La fourberie est une particularité des gamins de tous les temps, les petits nouveaux apprendront vite à maîtriser ce genre de jeu.
« Baisse du QI, multiplication du nombre d’enfants atteints d’hyperactivité ou souffrant de troubles de l’apprentissage : les tests les plus sérieux révèlent ce qui paraissait inimaginable il y a vingt ans : le déclin des capacités intellectuelles humaines. Serions-nous entrés dans une sorte « d’évolution à l’envers » ? La question est posée par d’éminents chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés. Révélations sur un phénomène inquiétant (et conseils pour protéger les générations futures !)…
A voir :
« Demain, tous crétins ? » Un documentaire de Sylvie Gilman et Thierry De Lestrade.
https://www.demaintouscretins.com/
https://www.youtube.com/watch?v=WWNARPyruoQ
« J’attends avec impatience la mode des sous-doués. » (PB)
Elle est arrivée : pas de diplômes, de bonnes jambes de monte-en-l’air, un sauvetage et le Président en personne vous reçoit en son palais et vous fait octroyer la nationalité française, outre pompier bon œil.
Depuis Giscard et les éboueurs, Hollande et Théo, on sait combien nos présidents frétillent au contact du tiers monde…
Surdoué est peut-être un abus de langage, et le mesure du QI ne dit pas tout, surtout qu’il peut être très hétérogène. Toutefois il faut admettre que certains ont un fonctionnement différent en ce sens qu’il fonctionnent plus par analogie que par logique et cela donne des choses très surprenantes et notamment une rapidité fulgurante de résolution de certains problèmes.
J’ai été amené, à sa demande, à envisager un saut de classe pour une de mes filles qui s’ennuyait mortellement au milieu de ses copains « tous des bébés » ; elle ne s’intéressait pas aux mêmes sujets et galopait sur les leçons en s’ennuyant ferme. Effectivement elle a un QI très au-dessus de 100 mais pas très homogène. Elle a sauté le CM2 et a réussi parfaitement en 6ème et aurait pu sans doute sauter une classe de plus, le problème a vite été le rejet de certains autres élèves voyant débarquer une jeunette.
La « douance » est souvent un fardeau difficile à supporter car elle entraîne beaucoup de difficultés sociales et d’incompréhension. En particulier la difficulté à devoir démontrer des évidences et à devoir s’adapter à une démarche lente et structurée.
Hors-sujet : et si on parlait de Tommy Robinson ?
Y a-t-il des enfants sous-doués ?
Oui ! Bien sûr cher P. Bilger : les journalistes qui ont écrit cette sottise !
Quelle foutaise cet article :
« …de plus en plus de parents… » Combien ? une dizaine de bobos parisiens !
Franchement, je me plains quelquefois de la qualité de la presse de province, mais nous avons encore de la marge !
Cordialement.
Cher Philippe,
Philippe Bilger a raison : c’est une mode des années 1990-2000, qui se répand en France et concerne un grand nombre d’enfants.
Les enseignants sont les premiers demandeurs pour leurs proches et pour leurs élèves.
Nous sommes très attristées par le décès de Serge Dassault et nous présentons nos condoléances à sa famille.
L’orage gronde au-dessus de nos têtes et il est temps de fermer l’ordi.
françoise et karell Semtob
L’enfant est doué pour quelque chose, sous-entendu aurait un certain talent, voire un don exceptionnel pour les sciences, les mathématiques, la littérature, la musique, les arts plastiques, etc. cela se conçoit, mais sous-doué, c’est-à-dire détenteur d’un don « inconnu ou inexploré » demeuré au stade embryonnaire et avorté dans l’œuf, difficile à comprendre, sinon inaudible…
Autrement dit sous-doué ne signifie rien, alors qu’enfant d’intelligence moyenne ou débile léger, cela parle à tout le monde.
Quant à voir en ses propres enfants de petits génies, ce n’est pas mieux que de les rabaisser sans arrêt.
Ce que nos jeunes attendent de nous c’est que l’on ait confiance en eux et qu’on les soutienne ou les réprimande à bon escient. Qu’on leur donne ensuite des repères et des exemples solides.
Mais pour cela, encore faut-il être adulte soi-même et capable de jugement et de discernement.
@ Jabiru | 28 mai 2018 à 13:10
Ainsi que l’a fort bien dit Emmanuel Macron, « A acte exceptionnel, procédure exceptionnelle ».
Le jeune Malien Mamoudou Gassama a fait preuve d’un courage que bien peu de ceux qui regardaient la scène étaient capables de montrer (en particulier ceux qui la filmaient).
On aimerait bien que nombre de citoyens qui ont leurs papiers en règle soient capables de faire preuve d’un tel civisme.
Mamadou Gassama a bien mérité ses papiers et un emploi chez les pompiers de Paris où je suis certain qu’il ferait honneur à sa profession.
Le pays a certainement plus besoin de ce genre de personne simple et courageuse que de surdoués prétentieux et souvent décevants.
Après votre texte excellent de ce jour, relatif aux surdoués et aux tests de QI, un charmant commentateur, plein de culture et d’esprit, écrivant sous un faux nom, fait son autoportrait de cette façon, je le cite : « facho raciste chrétien xéno discrimino vivrensemblophobe ».
Fasciste, certes, raciste, c’est clair, xénophobe, oui, favorable aux discriminations, je lui concède, ne voulant pas que les gens vivent ensemble, c’est logique. Mais « chrétien » ? De quelle nuance de christianisme ? Des précisions seraient les bienvenues.
Sur la mode des sous-doués : elle est déjà là, et bien là. L’école est légalement contrainte d’admettre les handicapés dans les classes normales. Ils portent un nom administratif particulier, que vous pouvez retrouver si cela vous amuse, et ont droit à un assistant personnel payé par l’argent gratuit des autres. Tout cela au nom de la « lutte contre les discriminations », bien entendu.
A la Libération, les communistes avaient seulement pour projet de mettre les bons et les mauvais élèves dans les mêmes classes. Ce fut le plan Langevin-Wallon, qui a été largement réalisé. Désormais, on fait « mieux ». La loi oblige à mettre les fous avec les enfants normaux. Avant, quand ils seront devenus grands, de les mettre dans la rue, car ce serait « raciste », « patriarcal » et « oppressif » de les mettre dans des hôpitaux psychiatriques.
Sur l’intelligence des « artisans », qui serait méprisée : vieux prurit communiste, selon lequel il ne faudrait pas mesurer l’intelligence, parce que les ouvriers, ma bonne dame, sont moralement supérieurs à bien des riches. Effroyable gloubi-boulga intellectuel et politique, qui mélange des pommes, des poires, de la colle forte et des fox à poil dur.
Il se trouve, justement, que les artisans d’élite, les grands chefs cuisiniers, par exemple, ont un QI très élevé. Le néo-communisme procède par insinuation mensongère, établissement d’un axiome faux, puis déduction de conclusions, à partir de ce point de départ, qui ne sauraient, bien évidemment, qu’être des sottises.
Quand on parle de gens dotés d’un QI très élevé, on pense toujours à des dirigeants politiques, des chefs d’entreprise, des grands scientifiques, etc. Les néo-communistes nous disent : mais, euh, les zouvriers aussi, yson intelligents, mais d’une intelligence « différente », donc le QI c’est de la daube et il faut pas le mesurer car c’est fasciste.
Mais ils ont oublié l’essentiel : mesurer le QI des « ouvriers ». S’ils le faisaient, ils découvriraient qu’il y a des « ouvriers » abrutis (la majorité), et des « ouvriers » très intelligents (ça existe). Le travail manuel (puisque c’est cela dont on parle) n’est pas déconnecté de l’intelligence. Il y a des travaux manuels pour lesquels il n’y a pas besoin de beaucoup d’intelligence, et puis il y en a d’autres qui exigent de beaucoup réfléchir.
Evidemment, si les néo-communistes se livraient à cette petite expérience scientifique, cela pulvériserait leur mythologie du « prolétariat », classe d’élite, classe d’avant-garde et blabla. (Le prolétariat est aujourd’hui largement remplacé par les immigrés, les personnes à la sexualité « différente », les femmes, qui vous voudrez ; mais le principe est le même. C’est d’ailleurs beaucoup plus rigolo, parce que lorsque votre « classe opprimée » ne répond pas à vos attentes, vous pouvez en créer une nouvelle à volonté.)
S’ils faisaient cela, les néo-communistes découvriraient qu’il y a des « ouvriers » imbéciles (beaucoup), et des « ouvriers » intelligents (moins). Ils ne pourraient plus, alors, nous fourguer leur théorie égalitariste frelatée.
Ce qui est certain, c’est que l’intelligence est étroitement corrélée avec la richesse. Ca aussi, c’est pas politiquement correct. Parce que comme 50 à 80 % de l’intelligence est héritée biologiquement, ça veut dire que les efforts herculéens des néo-communistes pour rétablir « l’égalité des chances » (avec le pognon gratuit des autres) sert surtout à assurer des sinécures à des théories d’imbéciles (mais surtout de faussaires), fonctionnaires néo-communistes s’appliquant à « changer le monde » en pure perte — mais en assommant les autres de leur prétendue supériorité morale, ce qui est toujours flatteur pour l’amour-propre.
@ Robert Marchenoir
« Avant, quand ils seront devenus grands, de les mettre dans la rue (…) »
Ou bien en prison, qui marque la fin du cursus scolaire pour un certain nombre.
Tous les enfants (sauf accident ou maladie génétique) sont des surdoués, TOUS ! Donc quasiment aucun n’est surdoué et donc aucun n’est sous-doué.
Les bébés ont le cerveau vide comme un disque dur quasiment sans limite de capacité de mémoire qui ne demande qu’à être rempli.
Le problème est « juste » de savoir ce que les parents et leur environnement vont faire avec ce disque dur vivant et quelles informations importantes ou non et donc quels et combien de bugs de programmation ils vont y introduire pour que le « système fonctionne » plus ou moins correctement le reste de sa vie sans « crasher » irrémédiablement pour être bon pour la casse. C’est ça la question.
On s’en fiche des enfants surdoués parce que 9/10 d’entre eux après quelques années d’existence deviennent aussi « sous-doués » que les autres parce qu’en fait ils ne sont pas « surdoués » mais juste « précoces » du fait de leur éducation et encore, ils sont « précoces » dans un ou des domaines qu’ont leur a enseignés sinon ils sont aussi nuls que les autres et sont dans la moyenne l’âge avançant parce que par exemple j’attends encore le garçon prépubère « surdoué » en mentalité féminine pour se faire toutes les jeunes femmes, ados ou MLF étant ado et je crois que je vais attendre longtemps parce que même quand t’es un vioque et que t’as de l’expérience, tu comprends jamais rien aux femmes. Bref !
Je me souviens que mon petit frère quand il était gamin, donc c’est au début des années 90, avait lui aussi été « diagnostiqué » par un soi-disant « expert » comme faisant parti des 6% de gamins les plus intelligents.
Bizarrement, ayant quinze ans de plus que lui je ne l’ai jamais trouvé si intelligent que ça et surtout depuis quinze ans je le trouve très c*n mais c’est une autre histoire.
En fait il y a un seul type de personnes « douées ».
Celui ou celle qui, et surtout quel que soit l’âge, et ça c’est important, a un don naturel qui lui vient de quasiment nulle part. Le quasiment est important parce qu’en fait il ne vient sûrement pas de nulle part, et qui fait de lui quelqu’un dans un domaine et fait de lui ce qu’on appelle un génie.
Un génie est plus intelligent que les autres, plus beau et surtout boit plus de vin… Oh, mais c’est moi ?!… Bref.
Quelqu’un qui bosse ira toujours plus loin que le doué qui ne fout rien.
Je l’ai déjà dit ici. S’il n’est pas travaillé, un don naturel n’a aucune utilité mais à quantité de travail égale, une personne douée sera toujours meilleure qu’un « sous-doué » qui n’est certainement pas un sous-doué mais… quelque chose. Hahahaha !
Je savais bien qu’un jour mon génie inspirerait M.Bilger pour un article.
Je suis très honoré mais il fallait pas. Grand merci quand même.
Bon OK, je vais essayer malgré mon surbooking de génie de poster de temps en temps quelques commentaires sur votre blog. OK M.Bilger ? Pas la peine de me harceler tous les jours comme ça, ça devient gênant. Que va dire Madame ?
…Ben oui, « les c*ns, ça ose tout… »
@ Robert Marchenoir
« Sur la mode des sous-doués : elle est déjà là, et bien là. L’école est légalement contrainte d’admettre les handicapés dans les classes normales… »
Ca s’appelle une ZEP.
« A la Libération, les communistes avaient seulement pour projet de mettre les bons et les mauvais élèves dans les mêmes classes. Ce fut le plan Langevin-Wallon, qui a été largement réalisé. »
Merci de me dire qui étaient Paul Langevin et Henri Wallon, pour moi qui vient de Trappes c’était jusqu’à présent juste des noms de cités pourries.
A propos de sous-doué, ce soir Ségolène Royal vient de rendre hommage à la bravitude du sauveur qui a gravi quatre étages.
@ Achille | 28 mai 2018 à 21:27
Je vais vous décevoir. Grimper ainsi comme un monte-en- l’air n’a rien d’extraordinaire vu la conformation de l’immeuble avec ses balcons. A soixante ans passés, je suis à même de grimper ainsi les échafaudages par l’extérieur d’un immeuble sans échelle alors que j’en serais incapable dans ce cas de figure :
https://www.koreus.com/video/free-solo-speed-climb.html
Qu’il rentre dans le corps des sapeurs-pompiers est une chose mais j’aurais préféré que pour son acte de bravoure il intègre l’armée. Après tout, une vingtaine de soldats français sont morts pour son pays.
Parmi ceux qui ont commenté ce billet, je me demande combien ont lu et compris (sans aller plus loin) le titre du billet et ensuite l’essentiel de son contenu ? Et vu le hors sujet de la plupart d’entre eux, il est à craindre le pire pour leurs enfants s’ils sont en charge de famille.
@ Mary Preud’homme
« Ce que nos jeunes attendent de nous c’est que l’on ait confiance en eux et qu’on les soutienne ou les réprimande à bon escient. Qu’on leur donne ensuite des repères et des exemples solides.
Mais pour cela, encore faut-il être adulte soi-même et capable de jugement et de discernement. »
Avoir confiance en un jeune… Hahaha ! C’est un peu comme inviter à dîner un cambrioleur.
« Qu’on leur donne ensuite des repères et des exemples solides. »
Je suis sûr que votre famille est un exemple de famille française et qu’il n’y a aucun secret qu’il vaut mieux ne pas dévoiler… Pfff.
« encore faut-il être adulte soi-même et capable de jugement et de discernement. »
Ca veut dire quoi pour vous être adulte et avoir du discernement ?
C’est bosser, s’assumer, faire des études, se marier, avoir des enfants, deux mois par an en vacances pendant quarante ans puis la retraite où comme tous les autres vous serez déjà morts et donc ferez semblant de vivre en attendant de crever jusqu’au jour où vous finirez dans un mouroir parce que vos enfants ne pourront ou ne voudront s’occuper de vous, comme je le fais, et que vous finirez par ne plus pouvoir tenir debout, vous occuper de vous-même et en fin de compte ne plus savoir qui sont vos enfants et même qui vous êtes vous-même ?
C’est ça pour vous être adulte et avoir du discernement ?
Je vous laisse avec le grand Jacques, il va vous expliquer.
https://www.youtube.com/watch?v=dU-OD5_Dxrs
@ Patrice Charoulet de 21:31
« Fasciste, certes, raciste, c’est clair, xénophobe, oui, favorable aux discriminations, je lui concède, ne voulant pas que les gens vivent ensemble, c’est logique. Mais « chrétien » ? De quelle nuance de christianisme ? Des précisions seraient les bienvenues »
« De quelle nuance de christianisme ? », demandez-vous en vérité à sylvain.
Je vais vous édifier. C’est celle de Jésus chassant les marchands du Temple. Voilà ce que veut dire sylvain.
Vous en avez déjà entendu parler de cette affaire ? C’est que le Jésus n’y a pas été de main morte, à coups de fouet, coups de pompes dans le derche, il les a virés.
L’avez-vous enseigné à vos élèves en leur parlant de Renan ?
@ Yves | 28 mai 2018 à 13:37
à propos du petit gosse sauvé par le Malien à Paris
« Sur certaines vidéos, devenues rares aujourd’hui (tiens, pourquoi ?), on le voit bien arrimé à la balustrade, les pieds appuyés sur la saillie longitudinale de l’ouvrage alors que ses mains sont accrochées au rebord supérieur.
Mamoudou est encore deux étages au-dessous lorsqu’un voisin adulte a pris contact avec l’enfant, s’est penché dans sa direction, l’a convaincu de faire mouvement vers lui. Les deux personnes se sont rapprochées puis touchées, l’adulte parle au petit et commence précautionneusement à le soutenir, aidé par une femme en 2° plan.
C’est alors que l’acrobate venu de la chaussée, arrive, et, peu familier de l’esprit pompier qui voudrait peut-être que l’on assiste le sauveteur déjà engagé, s’empare avec vivacité de l’enfant.
La petite victime est à féliciter pour avoir eu le don de bien se fixer à la balustrade, d’avoir écouté avec calme les paroles de son voisin, de s’être déplacé dans sa direction, d’avoir accueilli sans panique le contact salvateur du voisin et, apparemment, d’avoir résisté au choc de l’arrachage par le nouveau venu. »
On résume : ce n’est pas le Malien qui a sauvé l’enfant, c’est le voisin.
Et d’ailleurs, « Sur certaines vidéos, devenues rares aujourd’hui (tiens, pourquoi ?) » l’enfant était bien arrimé à la balustrade, et donc, ne risquait rien, CQFD.
Donc, ce qu’a fait le Malien, c’est du pipi de chat.
Il est au poil, votre commentaire !
@ hameau dans les nuages | 28 mai 2018 à 22:17
Quand vous parlez de conformation, vous vouliez sans doute dire configuration. Il n’empêche qu’escalader 4 étages de façade en 30 secondes, même en s’aidant des balcons ce n’est pas un mince exploit, sachant que par les escaliers cela prend le même temps au pas de course, soit à l’allure pompier, urgentiste ou policier en intervention.
Ah, ça y est, c’est parti sur le « héros noir » du jour apparemment.
OK, pourquoi pas. C’est pas le sujet mais bon…
Je parie que s’il avait été blanc il n’aurait pas eu droit à tout ce battage médiatique et aurait été invité à l’Elysée.
Il y a des gens héroïques souvent et « malheureusement » pour eux ils ne sont pas noirs et sans papiers. C’est ballot.
Le mieux pour eux s’ils veulent être reçus par le président de la République Macron qui ne fait pas du tout de la récup’ politique, est de renoncer à leur nationalité française puis de je ne sais pas comment faire un miracle en le filmant ou d’avoir un copain qui le filme et ensuite d’appeler BFMTV. « Et voilà ! » comme disent les Ricains.
Facile, non ?
Juste un truc, il vaut mieux être noir et sans-papiers, ça fait mieux sur la photo présidentielle… pas grave si vous mentez sur vos origines, c’est la photo qui compte.
P*tain, c’est vachement discriminatoire !
Moi, je suis blanc, j’ai mes papiers, même si je suis un héros je ne peux pas être récompensé par le président de la République.
Ce n’est pas juste.
@ Deviro | 28 mai 2018 à 22:53
Cher Deviro,
L’agilité hors du commun de ce héros malien qui grimpe cinq étages en trois minutes, m’incite à renouveler mon contrat Securitas contre les cambriolages…
Mais on oublie en France que c’est avec des Maliens qu’en 14-18 on nettoyait des tranchées allemandes, au coupe-coupe, en silence, vers les quatre heures du matin.
L’Histoire coloniale n’a retenu que ses glorieux « tirailleurs sénégalais »…
On a toujours sous-estimé les Maliens.
C’est un curieux et bienheureux retour des choses.
@ Mary Preud’homme
Comme quoi les noirs sont athlétiques et il faut qu’ils fassent du sport. Au moins, on pourra faire des paris sur eux et gagner de l’argent.
Dois-je dire que c’est du second degré ? P…, la liberté d’expression est mal dans ce pays !
@ Savonarole | 28 mai 2018 à 23:49
« L’Histoire coloniale n’a retenu que ses glorieux « tirailleurs sénégalais »…
On a toujours sous-estimé les Maliens.
C’est un curieux et bienheureux retour des choses. »
La dénomination « tirailleurs sénégalais » désignait en fait les troupes noires issues de nos colonies d’Afrique (et pas seulement du Sénégal). Sachant qu’à l’époque il était convenu (par les blancs caucasiens) que tous les Noirs d’Afrique se ressemblaient et ne pouvaient de ce fait prétendre à une identité propre à leur origine ethnique ou tribale.
A force d’éliminer le moucheron, certains avalent le chameau :
https://www.societebiblique.com/fr/lire-la-bible/matthieu/23.1-36/
Mes citations précédentes, que les plus chrétiens n’entendent pas, résonnent comme preuve, l’intelligence souvent n’est qu’obstacle au génie, qui est élan instinctif du cœur, et ne compter que sur la première empêche de pouvoir ouvrir le deuxième :
https://www.societebiblique.com/fr/lire-la-bible/matthieu/22.34-40/
Un sacré pet au casque, effectivement, que les plus surdoués n’entendront pas s’ils n’appliquent pas le quatrième volet du programme de notre ministre de l’Education, respecter autrui, qui permettrait de ne pas se tromper de Temple, et de, sempiternellement, se prétendre chrétien alors qu’on ne sait que faire le commerce de sa propre domination, en justifiant sa propre violence :
https://www.societebiblique.com/fr/lire-la-bible/jean/2.13-25/
Il est des vérités qui ne sont accessibles qu’aux plus simples et à ceux qui, ayant beaucoup reçu, savent se dépouiller des oripeaux de leur complexité :
« Car l’instinct dicte le devoir et l’intelligence fournit les prétextes pour l’éluder. »
Cette bilgérienne privilégiée, qui écoute pousser ses arbres, nous réconforte. Car, tout au long du jour, nous sommes affligés d’entendre le pas lourd des légions mahométanes qui déferlent sur notre sol.
Dans la palette des sous-doués il ne faut pas oublier les branquignols.


Branquignols des années 50-60 : du talent, de l’esprit, de la simplicité, du succès.
Branquignols 2017-2018 : de l’incompétence, de la bêtise, de l’arrogance, des bides.
Ne cherchons pas plus loin ce qui fait la différence.
« L’agilité hors du commun de ce héros malien qui grimpe cinq étages en trois minutes, m’incite à renouveler mon contrat Securitas contre les cambriolages… »
Il fallait que quelqu’un la fasse, celle-là !
« Il paraît que « de plus en plus de parents font passer des tests de QI à leurs bambins, les pensant surdoués, ce qui est souvent loin d’être le cas. Un business florissant ». »
Il y a ceux qui valorisent leur propre ego en pensant qu’ils ne peuvent qu’avoir engendré des génies et ceux qui valorisent leur propre ego en pensant que leurs rejetons ne parviendront jamais à leur propre niveau.
On ne saurait mieux dire que cet extrait de Psychologies.com: « Il est temps de cesser de croire que le QI est le seul critère de notre intelligence. D’autant qu’il n’en mesure qu’une certaine forme. Dès 1983, Howard Gardner, professeur de psychologie à l’université Harvard, aux États-Unis, en donnait de nombreux exemples : l’enfant au QI élevé qui rate ses études ; l’intellectuel capable de lire la notice d’un meuble en kit mais pas de le monter, là où un analphabète incapable de lire la notice monte le meuble sans effort ; ou encore les dons manuels, relationnels ou artistiques dont le QI ne tient pas compte.
S’appuyant sur la psychologie cognitive, qui montre que nous avons différentes façons d’appréhender le monde, les concepts et les pensées, Howard Gardner proposa un modèle « des intelligences multiples » rendant mieux compte de la diversité de nos facultés.
Le QI n’en mesure que deux, particulièrement valorisées dans notre société : la capacité à employer le langage pour penser et exprimer des idées (intelligence logico-verbale), et celle qui nous rend aptes à calculer, mesurer et faire preuve de logique dans la résolution de problèmes (intelligence logico-mathématique). Mais nous savons aussi – certains mieux que d’autres – nous comprendre nous-mêmes ou comprendre les autres, nous poser des questions sur le sens de la vie…»
@ hameau dans les nuages | 28 mai 2018 à 22:17
Il y a quand même une petite différence, me semble-t-il, entre un échafaudage, sur lequel il existe de nombreuses prises pour les mains et pour les pieds et la façade d’un immeuble avec balcons.
Mamoudou Gassama a dû escalader l’immeuble par la seule force de ses bras, ce qui n’est pas à la portée du premier quidam venu, sauf, bien sûr, les champions de l’escalade de montagne qui ne courent pas les rues.
Amusons-nous cinq minutes avec la grotesque anecdote du Malien sanpapié, grimpant les façades par la force du Saint-Esprit.
L’actualité nous offre là un tableautin similaire à François Hollande dialoguant avec « Leonarda », ou cherchant, au chevet de « Théo », l’onction du « Magic Negro » persécuté par la vilaine police française à coups de matraque baladeuse.
Certes, « Mamoudou » a, lui, accompli une bonne action, mais le spectacle d’Emmanuel Macron suspendant toutes ses activités pour recevoir, sur les fauteuils dorés de l’Elysée, un double délinquant en blue-jean dégoûtant (immigré illégal + ouvrier non déclaré), montre que désormais, l’homme blanc, et même le président blanc, est trop faible pour survivre à moins de se faire toucher la main par un Noir providentiel, qui lui transmettra ainsi le fluide sacré qu’il a perdu.
Que de chemin parcouru depuis le « corps du roi », qui, lui, guérissait les écrouelles par l’imposition des mains ! Désormais, c’est la lie de la société qui ragaillardit le souverain par son simple contact. Sous l’oeil des caméras de télévision, de même que le peuple assistait aux moments intimes de la vie du roi lors du bon vieux temps (supposé).
Au passage, cette édifiante historiette montre que, contrairement aux allégations des « anti-racistes », il existe bien des races supérieures : seule la force physique explosive, caractéristique des Noirs, a permis à « Mamoudou » de se lancer dans cette entreprise, qui n’est miraculeuse qu’en apparence. Un Blanc, même très athlétique, n’aurait jamais eu l’idée d’en faire autant. Seule la marge de puissance physique propre à sa race a donné au saint du jour l’assurance nécessaire pour effectuer cette ascension ultra-rapide.
C’est la même supériorité raciale qui fait des terrains de football américain, des pistes de course à pied ou d’autres enceintes sportives, certains des lieux les moins « divers » de la planète. On réclame des quotas pour les Blancs.
@ hameau dans les nuages
Ne s’intègre pas au groupe.
Effectivement, nous devrions nous intéresser aussi à l’effet délétère que peut représenter sur certaines personnalités parfois précoces l’intégration forcée à un groupe, généralement non choisi en plus pour aggraver les choses, susceptible parfois d’induire en parallèle avec d’éventuels affrontements physiques, des troubles psychologiques graves nuisibles aux fonctions cérébrales liées à l’apprentissage.
Tout cela au nom du « faites comme tout le monde » et du « je ne veux voir qu’une tête ».
Hors sujet mais au vu des différents commentaires, on pourra désormais remplacer Bamboula par Mamoudou.
Philippe, vous vous y collez ?
@ Achille | 29 mai 2018 à 09:29
Oui mais je viens de fêter mes 67 ans et je le faisais encore à 65, les gens me prenant pour un dingue… Je confirme que vu l’âge, la souplesse, la carrure de cet homme et « la configuration » de l’immeuble il n’y a rien d’extraordinaire. Ce qui est louable c’est sa rapidité de décision « même pas peur ». Mais nous sommes un peuple d’avachis et de trouillards dont l’instinct se résume à baisser la tête et croiser les doigts. On se moque souvent de mon côté Saint-Bernard. Je souris.
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@ Exilé | 29 mai 2018 à 09:33
« Tout cela au nom du « faites comme tout le monde » et du « je ne veux voir qu’une tête ». »
Vu le groupe dont il était question cette réflexion qui nous a été faite nous a rassurés.
@ Xavier Nebout
« Lorsqu’il a l’esprit religieux, l’homme sait pourquoi, là où une femme en est souvent incapable et prompte à partir dans les conn… « .
Pas comme vous et comme d’autres sur le blog qui nous entretenez régulièrement sur la profondeur de votre foi et nous démontrez jour après jour la supériorité de la religiosité masculine sur la religiosité féminine. Pitié.
Juste un petit oubli de votre part : si peu élevé que soit leur niveau de conscience, les femmes catholiques ont sauvé tant bien que mal l’Eglise de l’opprobre où les a jetées le comportement de la hiérarchie catholique lors des scandales successifs qui ont agité l’Eglise.
« Un charmant commentateur, plein de culture et d’esprit, écrivant sous un faux nom, fait son autoportrait de cette façon, je le cite : « facho raciste chrétien xéno discrimino vivrensemblophobe ». »
Patrice Charoulet le 28 mai à 21 h 31
Sûr qu’il commente de sa cellule ce « charmant » !
De prison, pas de couvent !
Oui Exilé,
« Effectivement, nous devrions nous intéresser aussi à l’effet délétère que peut représenter sur certaines personnalités parfois précoces l’intégration forcée à un groupe, généralement non choisi en plus pour aggraver les choses, susceptible parfois d’induire en parallèle avec d’éventuels affrontements physiques, des troubles psychologiques graves nuisibles aux fonctions cérébrales liées à l’apprentissage. »
Les HP sont souvent handicapés quand ils sont obligés de suivre les procédures rigides et de s’intégrer de force dans des règles qui les étouffent. C’est surtout vrai pour les HP qui sont aussi TDA et dont le fonctionnement cérébral est tellement différent qu’ils explosent dans le cadre commun et sont contraints soit à l’affrontement soit au retrait. J’ai vu plusieurs de ces situations dramatiques de près. Nous sommes loin du snobisme qui consiste à glorifier sa progéniture pour ses qualités admirables. Un exemple, ma fille avait une passion pour l’italien et écrivait des textes et de petites nouvelles dans cette langue, elle a changé d’établissement et son prof a imposé qu’elle reprenne à zéro en apprenant les lettres de l’alphabet… Le résultat était prévisible.
Il faut tout de même admettre que ce jeune Malien a fait preuve de courage et d’abnégation, a risqué sa peau et ne savait sûrement pas qu’il allait donner aux médias et aux politiciens une superbe occasion de remplir des colonnes, passer la vidéo en boucle et faire de vaillants discours.
La bataille au sein de la famille Hallyday commence à perdre de son intérêt, la grève de la SNCF tape sur les nerfs des Français, la super manif de Mélenchon-Martinez a été un misérable flop, Macron et son gouvernement ont classé les journalistes au rang des sous-doués… Mamoudou a permis à tout ce vaste monde de bavards de s’éclater au lieu de s’engluer dans des banalités sans fin.
Mamoudou a toutes les qualités requises : noir, migrant, sans-papier, travailleur illégal, hébergé dans un refuge… la trame des héros modernes !
En plus il montrait à tous les bavards ce qu’est vraiment le courage et au politicien qu’une action ne demande pas trente ans de réflexion.
Il faut apprécier le geste de Mamoudou mais aussi, mesurer le QI de nos journalistes et politiciens plutôt que celui de nos enfants.
@ Achille
Je n’ai pas bien compris comment le gamin s’était retrouvé pendant à la balustrade. S’était-il empêtré avec les bretelles de sa combinaison qui lui permettaient de rester accroché à cette balustrade ? C’est quand même un mystère qui reste à être élucidé. L’enquête en cours devrait en dire plus.
Puisqu’on nage la brasse dans le hors sujet…
Le RGPD (Règlement général sur la protection des données) est une bénédiction pour un Français de l’étranger comme moi , contraint à faire sa revue de presse tous les matins.
On lit tout, et de tout, forcément…
Soudain, avec ce RGPD je reçois des courriels mielleux du Monde, Libération, l’Obs, l’Humanité, et j’en passe, qui me supplient de continuer à leur accorder ma confiance.
Je me demande comment ils savaient que je les lisais, puisqu’ils me sollicitent.
Je ne vous raconte pas le tir au pigeon auquel je me livre : « Pull ! », je les extermine un par un.
D’un autre côté, il ne va bientôt plus me rester que le catalogue de la Manufacture de Saint-Étienne, du Chasseur Français et celui de la CAMIF, ou de Félix Potin…
@ Tipaza
« Le même petit garçon tirant la langue, et c’était Einstein enfant. Comme quoi l’intelligence ça tient à peu de choses ! »
Einstein n’était pas tout à fait le génie que l’on veut nous faire croire. S’il a eu des intuitions, il n’était pas un mathématicien hors pair.
Par ailleurs, pour les milieux scientifiques, la primauté des travaux sur la relativité serait plutôt à attribuer à Henri Poincaré.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/albert-einstein-du-genie-a-l-136235
Lu quelque part :
Entrevue Macron/Mamoudou. Les présentations faites, Mamoudou se serait écrié : « Ah, c’est vous le président ? eh bien, continuez ! »
Juste un mot : après avoir revu vingt fois la vidéo de « l’affaire », on peut confirmer que le jeune Malien a commencé son ascension alors que l’enfant était loin d’être sécurisable.
Que lorsqu’il est arrivé à sa hauteur, le voisin avait convaincu l’enfant de se rapprocher de lui et qu’il le tenait déjà.
Que le jeune Malien a agi de façon réflexe en agrippant l’enfant et c’est très bien.
Qu’il est un peu étrange que PERSONNE, même pas un journaliste si prodigue de vérité, n’ait interrogé le voisin qui a fait, lui, le travail de la tête en calmant visiblement l’enfant et en le mettant provisoirement hors de danger.
Cela n’enlève rien au jeune Malien mais omet de féliciter un homme intelligent et calme ; mais ce n’est qu’un mâle blanc. Epoque brouillée.
Je ne sais s’il y a beaucoup de surdoués ou de sous-doués mais je peux dire en observant les enfants d’aujourd’hui, qu’ils semblent plus précoces que ceux d’il y a quarante ans. Grâce aux nouvelles technologies ? je ne sais mais cela semble bien réel. Pas besoin de leur apprendre deux fois à se servir d’une tablette dès le plus jeune âge. Il y a aussi énormément d’enfants hyperactifs, ce qui est inquiétant car ceux-ci ne fixent leur attention sur rien. A cause des jeux vidéo ou d’un trop-plein de télé ?
Je peux dire aussi en observant les bambins de mon entourage, que certains sont plus curieux que d’autres de tout, plus intéressés par leur environnement, posant des questions sur de multiples sujets… Seront-ils dans l’avenir plus doués pour les études que les autres, ceux qui ne pensent qu’à jouer ? sont-ils plus intelligents ou simplement un peu plus mûrs ? seul l’avenir le dira.
Car j’en ai vu de ces petits prodiges (d’après leurs parents) qui savaient lire avant d’entrer en CP, qui avaient l’air plus savants que leurs maîtres. Leurs parents faisaient du forcing pour leur faire sauter une classe ou les inscrire à de multiples activités… et puis, le temps ayant passé, je me suis aperçu que ceux (les miens) qui suivaient tranquillement leur bonhomme de chemin, de la façon la plus régulière, avaient eu des parcours scolaires et des études supérieures bien plus satisfaisantes que ces petits génies supposés.
Les parents sont modestes ou pas.
Parfois dans une même fratrie, on constate des disparités étonnantes… de là à faire des tests de QI ou à s’affoler…
@ Savonarole
« L’agilité hors du commun de ce héros malien qui grimpe cinq étages en trois minutes, m’incite à renouveler mon contrat Securitas contre les cambriolages… »
Il fallait que quelqu’un la fasse, celle-là !
(Zonzon | 29 mai 2018 à 09:07)
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Zonzon est passé à côté, hein ? De toute façon, si vous aviez écrit « deux fois deux égale quatre », il aurait quand même trouvé un truc vinaigré à balancer !
Votre projet à tous deux des 150 km sur la route de Compostelle me paraît bien compromis…
Je suis déçu, je suis triste.
Y aurait-il parmi vous quelqu’un qui aurait des enfants ou des petits-enfants ou des arrière-petits-enfants surdoués ? Mon épouse l’était mais elle ne l’est plus, donc je suis obligé de me retourner vers d’autres pour poser ces questions qui me tracassent :
– pourquoi accueillons-nous autant d’immigrés alors que nous avons six à sept millions de chômeurs et un endettement que nous ne pourrons jamais rembourser ?
– Pourquoi empêche-t-on les Anglais de se séparer de l’Europe dont ils ne veulent plus ?
– Pourquoi Macron et ses partenaires veulent-ils nous imposer la mondialisation alors que nous sommes bien dans nos racines ?
@ Achille | 29 mai 2018 à 09:29
Non Achille désolé voila une photo des balcons. Ils sont grillagés offrant donc bien de la prise et c’est d’ailleurs grâce à ce grillage que l’enfant arrive à tenir. Cela serait sinon impossible que ses mimines agrippées sur la rambarde le fassent.
http://www.leparisien.fr/images/2018/05/29/0e7c734a-626b-11e8-93a7-968806526ab9_1.jpg
@ Mary Preud’homme
« Parmi ceux qui ont commenté ce billet, je me demande combien ont lu et compris (sans aller plus loin) le titre du billet et ensuite l’essentiel de son contenu ? Et vu le hors sujet de la plupart d’entre eux, il est à craindre le pire pour leurs enfants s’ils sont en charge de famille. »
En fait, les gens peuvent faire délibérément du hors-sujet, vous savez… Mais je suis d’accord avec le fait que bien des gens ne devraient pas se reproduire et éduquer.
« Ce que nos jeunes attendent de nous c’est que l’on ait confiance en eux et qu’on les soutienne ou les réprimande à bon escient. Qu’on leur donne ensuite des repères et des exemples solides.
Mais pour cela, encore faut-il être adulte soi-même et capable de jugement et de discernement. »
Je crois que vous aussi, ça me semble implicite, n’êtes pas favorable à ce que tout le monde se reproduise et éduque. Mais enfin, beaucoup de gens peuvent voir leurs manques… Et donc, s’abstenir.
Ce qui m’ennuie, c’est qu’on encourage les gens dans leur vanité, « si, si, tu peux », et pire, leur irresponsabilité « tu verras bien » : l’enfant comme expérience, ce qui me fait penser à ceux qui ramènent leurs enfants adoptés à l’orphelinat.
Qu’est-ce qui est le pire, que de tels gens ne prêchent pas la responsabilité à leurs enfants, ou qu’ils le fassent, étant donné qu’ils sont l’irresponsabilité incarnée, son démenti définitif ? De toute façon, les pires des pires sont les conseilleurs du pire.
Éduquer présuppose qu’on l’ait été et que cela ait porté ses fruits, s’être éduqué et même condition, ou s’abstenir.
On peut toujours faire des homélies aux mauvais parents… Mais en tout, mieux vaut prévenir que guérir.
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@ Catherine JACOB
« Mais nous savons aussi – certains mieux que d’autres – nous comprendre nous-mêmes ou comprendre les autres, nous poser des questions sur le sens de la vie… »
Tout à fait, on ne peut nier que vous vous posiez des questions… Décidément, vous êtes la deuxième personne à m’étonner en bien récemment sur ce blog, je n’aurais pas cru que vous relativiseriez le QI ou défendriez implicitement la philosophie et autres réalités du même genre.
Je me suis dit qu’il serait séant de trouver un haïku traitant plus ou moins de cette réalité pour vous mais l’impermanence et tout ça, c’est pas mon truc, et puis bonjour l’originalité.
Et puis en cherchant à droite à gauche sur Internet, j’ai trouvé un poème, ah, ah ! sur une forme de permanence :
« Kyoshi TAKAHAMA (1874)
Continuateur et gardien de la tradition du Haïku, Kyoshi Takahama est actuellement le prince de ce genre poétique. Romancier-peintre, adepte de la Cérémonie du Thé et de l’art du Nô, il résume avec autorité la spiritualité et l’humanisme du Japon, exerce une profonde influence sur les écrivains nippons, tant par son œuvre personnelle considérable que par sa revue Hototogisu.
LE SERPENT
Le serpent fuit,
Mais ses yeux qui me regardaient
Sont restés dans l’herbe
La permanence de la peur… J’ai trouvé que c’était tout à fait ça et parfaitement dit, fascinant comme le serpent. Et le lien avec la philosophie, me direz-vous ? Eh bien je pourrais dire que tout est dans tout, pas fatiguant… Plus sérieusement il y a de l’amour pour le monde mais aussi de la peur du monde dans la philosophie.
Mais je ne vais pas aller plus loin, parce qu’en somme, ce n’est pas à moi de défendre la philosophie.
« Il y a ceux qui valorisent leur propre ego en pensant qu’ils ne peuvent qu’avoir engendré des génies et ceux qui valorisent leur propre ego en pensant que leurs rejetons ne parviendront jamais à leur propre niveau. » (CJ)
Ceci dit, il y a pire, il y a des parents qui pensent que leurs enfants n’ont aucun niveau, et par exemple, mettent les dessins d’un de leur enfant aux toilettes pour ce que je vous laisse imaginer.
Pour en revenir à vos deux excès, plus humains tout de même, ils sont tristes, surtout le deuxième… Dans le cas le moins grave, c’est noblesse oblige, dans l’autre, le péché originel.
Tu es moi mais pas assez moi, car toi, et non autre moi. N’étant pas assez moi pour faire ce que je peux faire, tu n’y arriveras pas… Tu dois essayer car tu as du moi, mais pas y arriver, car tu n’es pas moi. Double contrainte et probable échecs perpétuels, ou en cas, étrange, de réussite, sentiment d’échec quand même… Le mieux doit être de se tuer, et si le parent n’aura plus l’occasion de parler des échecs de l’enfant, il pourra au moins prendre des airs de martyrs en déplorant l’ingratitude de la progéniture.
Il y a des parents pour se venger de ce que leurs enfants devraient, en principe, leur survivre, cela lié ou non aux cas précédents.
Il y a des enfants qui ne sont pas aimés, et qui vont appeler, adultes, leurs parents au moment de mourir, autant invoquer le néant et l’ennemi.
Il y a tant de drames que d’aucuns vont s’imaginer bons car la souffrance ennoblirait, qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre… Elle révèle la noblesse des rares qui y résistent, comme la photographie ne crée pas le réel mais le constate, enfin, retouches mises à part, un jour il faudra dire la caméra abscura, au rythme où vont les choses.
En plus, elle la révèle, oui et non, aux rares disposés à reconnaître l’excellence morale… Et ainsi, par ce détour, je conclus qu’on ne rendra jamais assez hommage à ceux qui aiment leurs enfants quand ils n’ont pas été aimés par leurs parents.
@ Achille | 28 mai 2018 à 08:19
Il n’y a pas de surdoué par nature, car cela impliquerait une norme, une référence, un point de départ, une vérité établie autour de laquelle tout serait supposé graviter.
Le gamin de 11 ans en UK qui a eu des rapports sexuels à 10 ans et été père à 11 ans ; alors, précoce, surdoué, en avance sur son temps ?
Et toujours en UK, les deux gamins qui en ont enlevé un autre et l’ont tué ; pareil, précoce, surdoué, en avance sur leur temps ?
D’ailleurs, il est établi que ces jeunes en avance sur les autres ne font rien d’exceptionnel de leur vie ou dans la recherche.
L’exemple le plus flagrant, Albert Einstein dyslexique et que bon nombre de ses enseignants dépeignaient comme un imbécile.
Vous confondez la norme à laquelle certains savent se soumettre et doué, voire ‘sur’.
Dans la Résistance, où que ce soit sur la planète, nous n’en trouvons pas beaucoup de vos surdoués ; la norme, rien que la norme.
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@ Achille | 29 mai 2018 à 08:22
« Branquignols […] Ne cherchons pas plus loin ce qui fait la différence. »
1° Parlez-vous des casiers judiciaires de bon nombre des membres du F-Haine ?
2° Parlez-vous de la protection de l’enfant où se trouve la grande majorité des enfants des électeurs du F-Haine ?
3° Parlez-vous de la prostitution et du proxénétisme qui gravitent autour de la famille Le Pen ?
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/04/14/01016-20110414ARTFIG00523-le-parrain-de-le-pen-ecroue-pour-proxenetisme-aggrave.php
@ genau
« …il est un peu étrange que PERSONNE, même pas un journaliste si prodigue de vérité, n’ait interrogé le voisin qui a fait, lui, le travail de la tête en calmant visiblement l’enfant et en le mettant provisoirement hors de danger. Cela n’enlève rien au jeune Malien mais omet de féliciter un homme intelligent et calme ; mais ce n’est qu’un mâle blanc. Epoque brouillée. »
Les gens sont très limités, vous savez… Enfin, la plupart. Les journalistes auront tendance à préférer le spectaculaire, donc le courage à l’intelligence, je ne veux pas dire que le héros n’est pas intelligent, en l’occurrence, seulement qu’il a prouvé sa valeur, non ses capacités cognitives, et qu’il a fait quelque chose de spectaculaire, parfait pour la télévision.
Donc, exit l’intelligence.
Dans d’autres milieux, on valorisera tant l’intelligence, ce que je peux comprendre, que d’autres qualités, comme le courage, pourront passer à la trappe.
Les gens m’amusent, ils prétendent, en général, trouver les humains merveilleux, et pourtant, ils les rabaissent en ne tenant pas compte de certaines de leurs qualités.
Alors qu’il y en a tant en plus des deux précédentes, amour de la vie, sens de la justice et que sais-je encore ?
J’aurais pu dire l’amour du prochain, mais pitié, on en parle beaucoup plus qu’il n’y en a en magasin, et en plus, cela sert souvent à maquiller de la mauvaise marchandise. Comme l’excès de sucre dans la nourriture, cela a toute sorte de mauvais usages dans les discours, on n’en finirait pas si on commençait à mettre l’honnêteté intellectuelle au supplice et à se mettre en colère. L’honnêteté intellectuelle dans les choses de l’esprit et la loyauté dans les rapports humains me semblent largement aussi importantes entre adultes, quant aux enfants, j’ai déjà écrit, tant pis si ce n’est pas populaire, que quand on ne peut leur donner assez, et entre autre de l’amour, on devrait s’abstenir, les moyens de contraception sont vraiment quelque chose de providentiel… Ce qui m’amène à dire que le sens des responsabilités est aussi une qualité très importante.
Bref, hommage à ceux qui possèdent, et essaient de développer des qualités, quelles qu’elles soient.
« Zonzon ou Zinzin ? » questionne Paul Duret le 28 mai à 12 h 19.
Elégant, astucieux, drôle, charmant, sans intention de nuire mais… mais quelque peu réchauffé, vieux jeu, enfantin, bêtifiant bien qu’euphonique. « Qu’on aille me chercher un enfant de 5 ans ! » réclamerait dans l’instant Groucho Marx pour s’assurer du comique de la formule.
Le problème pour Paul Duret c’est que son œuvrette n’est pas originale. Du tout. Mais pour essayer de le convaincre sans qu’il soit obligé lui-même de parcourir le vaste monde – qu’il renouvelle l’expérience déprimante vécue par Achille allant vadrouiller dans Rioufolnamo, lequel tomba sur quelques immondices fortes qui lui collèrent la nausée – je me permets de lui offrir ces quelques bluettes, bouquet que je dépose à ses pieds et dont il fera usage pour faire rire.
Bixiou 4 novembre 2017 à 20 h 42 : « Zonzon n’est pas un peu zinzin ? »
[Bixiou, un pseudo de rochefort, actuellement Théobald]
rochefort 18 décembre 2017 à 18 h 13 : « Pour ma part, moi qui suis un homme simple et peu cultivé, j’ai hurlé de rire à la question : Zonzon est-il zinzin ? »
[Les expressions « hurler de rire », « mourir de rire » sont familières dans certains milieux militaires ou paramilitaires, des grandes gueules, chagrins de la perte de l’empire colonial français. Comme dirait l’autre c’est à ça qu’on les reconnaît !]
rochefort 8 janvier 2018 à 18 h 10 : « Lettre ouverte aux zonzons et autres zozos qui aiment se battre par étrangers interposée mais ne veulent pas le reconnaître. » ??
Suit la liste nominative des unités combattantes présentes à Dien Bien Phu !!
rochefort 9 janvier 2017 à 13 h 56 : « Histoire pour les Nuls zonzonants… Lire le chapitre « La Seconde Guerre mondiale… ». Suit une référence Wikipédia.
rochefort 10 Janvier 2017 à 19 h 24 : « …Ce n’est plus Zonzon ni zozo ! C’est Zinzin ! »
On sera obligé d’admettre qu’il y a là de la récurrence !
Quand on fait un choix malencontreux de pseudo, voilà ce qu’on est obligé d’endurer, Duret !
@ Claude Luçon | 29 mai 2018 à 13:34
Emmanuel Macron qui a tant conspué les colonisateurs nous a fait une démonstration de ce qu’est un colonisateur puisque, sans avoir recueilli l’avis voire le souhait de M. Gassama à obtenir la nationalité française, il l’a lui a attribuée, d’autorité, de même qu’il l’a muté dans le corps des sapeurs-pompiers alors que Mamoudou Gassama aurait peut-être préféré un autre job.
De même qu’il nous a fait du Hollande allant visiter Théo sur son lit d’hôpital, il a reçu Mamoudou Gassama à l’Elysée. L’élève a dépassé le maître décrié.
Gabrielle Cluzel écrit dans Bd Voltaire :
« Dans le cas du jeune Mamoudou Gassama, ce n’est pas déprécier son acte que de rappeler d’autres actes héroïques similaires récents, dont les auteurs sont restés anonymes, ou dont la notoriété n’a pas dépassé celle de la PQR, et la récompense une poignée de main de l’édile local.
Le Courrier picard relate, à Ramburelles, le 25 novembre 2016, le sauvetage du petit Yanis, 4 ans, piégé à l’étage de sa maison en feu et descendu du toit par deux voisins qui souhaitent garder l’anonymat ».
Le Parisien raconte que, le 21 novembre 2017, à Châtenay-Malabry, une femme a été sauvée d’un incendie par deux jeunes ayant escaladé la façade de son immeuble pour l’aider à quitter son appartement en flammes par le balcon.
Le 17 août 2017, francetvinfo évoque « quatre garçons d’une vingtaine d’années qui, n’écoutant que leur courage, ont évacué en pleine nuit une dame de 93 ans, prisonnière de sa maison en flammes. Des héros très discrets qui sont repartis dans l’anonymat. »
Le 24 janvier 2018, Centre Presse Aveyron rapporte les exploits d’Arnaud Attinetti, maçon aveyronnais, qui n’a pas hésité une seconde à se jeter dans le Lot en crue pour sauver un bébé de 7 mois emporté avec sa poussette.
Plus près encore de nous, le 24 avril dernier, RTL se fait l’écho du « geste héroïque » d’Alexandre, gardien de la paix, qui s’est jeté à l’eau dans le noir, à Croissy-sur-Seine, pour porter secours à une femme de 92 ans, prise au piège des branchages.
La liste n’est pas exhaustive. Je pense à l’instant à cet homme, le soir des attentats du Bataclan, qui a porté secours à une femme enceinte, pendue par les bras à la fenêtre et dont la vidéo a fait le tour de la Toile.
L’équité la plus élémentaire commande donc l’Élysée pour tous, ou l’Élysée pour personne.
Emmanuel Macron sait aussi que les légionnaires ayant risqué leur vie sous le feu de la mitraille patientent – sauf s’ils sont blessé au combat – trois ans pour obtenir la nationalité française. Et que la justice exige, a minima, de traiter sur un même pied tous les étrangers valeureux. (…)
Oui, Emmanuel Macron sait tout cela, et a pourtant orchestré la « surréaction », puisqu’il en était l’acteur principal, au mépris de toute rigueur et rationalité. Un coup de com’ voyant au service d’une idéologie, indigne de qui prétend être « en même temps » le Président (intelligent) de tous les Français »
http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-a-orchestre-surreaction-nest-digne-de-lui/
Adéo
@ Claude Luçon 299/05 13:34
Entièrement d’accord avec vous Claude Luçon.
Pourquoi aller analyser cet acte en y voyant autre chose que le geste spontané d’un être humain qui n’a écouté que son coeur et son courage pour faire abstraction du risque et aller au secours d’un enfant en péril ?
Toute la récupération et l’exploitation qui en sont faits par la suite par les médias et les politiques n’en sont que plus indécentes.
A propos de surdoué.e.s, écoutez le maire de Carpentras Francis Adolphe, qui refuse de démissionner alors qu’il a été condamné par deux fois pour violences volontaires (la Cour de cassation a rejeté le 2 mai son pourvoi concernant sa condamnation pour violences – qu’il nie toujours – sur son ex-compagne, ainsi qu’à cinq ans d’interdiction des droits civiques, civils et de famille) dire « je veux laver mon honneur », « que l’on m’accorde la présomption d’innocence »…
Et que fait Marlène Schiappa, aux doigts si agiles sur Twitter, face à ce maire ayant écopé d’une peine infamante, définitive ? Silence, on tourne !… la page…
Deux surdoués de la politique visiblement.
Dans l’enclave de Melilla, voici le centre d’entraînement des futurs pompiers de la Ville de Paris :
https://www.google.fr/search?q=grillage+migrants+melilla&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwibo7a9jK3bAhUmB8AKHcy5DroQ_AUICygC&biw=1920&bih=949#imgrc=aGBongLoJBInBM:
Bon nombre de Français ont encore de la peau de saucisson devant les yeux. Cet aveuglement pour ceux qui sont encore honnêtes est faramineux.
Si quelqu’un sait comment on insère une vidéo dans le blog et veut bien me l’enseigner, je mettrai une petite vidéo tournée ce matin d’une saynète adorable d’une bonne mère bonne ménagère.
Sinon, la photo de l’adorable bambin ébouriffé m’a fait penser que ce qui est signe de nos jours d’un look à la page, était signe autrefois d’une contamination par la teigne.
Qu’est-ce donc finalement qu’un bambin teigneux, un surdoué ? un sous-doué ? un aligné ? un emmer…r dont comme autrefois d’une teigne on a du mal à se dépêtrer ?
@ Noblejoué | 29 mai 2018 à 21:26
« Ceci dit, il y a pire, il y a des parents qui pensent que leurs enfants n’ont aucun niveau, et par exemple, mettent les dessins d’un de leur enfant aux toilettes pour ce que je vous laisse imaginer. »
Cela me fait penser que j’avais punaisé dans les toilettes pendant un moment une caricature brésilienne de Sigmund Freud avec cette légende « O que todos eles têm em suas cabeças » ou un truc du genre qui signifiait : « ce qu’ils sont tous dans la tête. »
« Je conclus qu’on ne rendra jamais assez hommage à ceux qui aiment leurs enfants quand ils n’ont pas été aimés par leurs parents. »
En fait, il semblerait qu’il ne s’agisse pas tant d’amour que des conditions dans lesquelles s’est déroulée la naissance qui feront qu’il y aura plus ou moins de difficulté à créer du lien. C’est cette prise que conscience qui fait qu’on met les bébés à peine nés directement contre la peau, celle de la mère – j’ai encore pour ma part un souvenir ému de la petite grenouille toute gluante et vagissante qu’on a déposée sur mon cœur avant de couper le cordon, alors qu’elle fait de nos jours 1m92 (la = la grenouille, laquelle s’est donc métamorphosée en un grand gaillard, soit dit pour fugace qui s’attache beaucoup à la pertinence du genre des articles définis !!) – mais du père également. J’ai vu ça avec l’un de mes neveux qui vient d’être père le mois dernier et qui portait lui aussi la petite grenouille toute calme tout contre sa peau.
@ Zonzon | 30 mai 2018 à 08:08
Vous ne savez donc parler que de vous ?
@ Catherine JACOB
« En fait, il semblerait qu’il ne s’agisse pas tant d’amour que des conditions dans lesquelles s’est déroulée la naissance qui feront qu’il y aura plus ou moins de difficulté à créer du lien. C’est cette prise que conscience qui fait qu’on met les bébés à peine nés directement contre la peau, celle de la mère »
Bof. Il y a des mères qui aiment les enfants petits, genre baigneurs, et s’en désintéressent un peu plus grands… « On a plusieurs enfants, on n’a qu’un mari ».
« Cela me fait penser que j’avais punaisé dans les toilettes pendant un moment une caricature brésilienne de Sigmund Freud avec cette légende « O que todos eles têm em suas cabeças » ou un truc du genre qui signifiait : « ce qu’ils sont tous dans la tête. » »
En somme, vous suivez les modes.
Et qu’est-ce qu’on met dans les toilettes pour le type de femmes dont je parle ?
Au fond peu importe, tirons la chasse.
L’acte de courage, de dévouement et sans calcul de ce jeune Malien aurait dû être relaté sans un tapage médiatique outrancier que la récupération du président de la République a encore amplifié.
Quant aux anonymes qui s’emploient à dénaturer cet acte spontané et de pur altruisme, en imaginant je ne sais quel scénario ou qui en profitent pour se vanter de leurs propres prouesses, ils ne sont que méprisables, mesquins ou menteurs, voire les trois à la fois.
Pour en revenir aux enfants, merci à Pascale Bilger pour cette belle photo qui m’évoque cette magnifique chanson d’Yves Duteil : « Prendre un enfant par la main et l’emmener vers demain, pour lui donner la confiance en son pas… »
@ hameau dans les nuages | 30 mai 2018 à 11:24
Les femmes arrivent pour accoucher dans de bonnes conditions et pour donner la nationalité française à leur enfant (+regroupement familial de la tribu, qu’il faudra nourrir-vêtir-héberger-loger-éduquer-divertir gratuitement avec les impôts et la CSG et ce pendant des dizaines d’années).
Les jeunes hommes débarquent en sautant les barrières ou à la nage avec l’espoir de rencontrer une petite blanche.
J’ai demandé hier si un surdoué de ce blog pouvait m’expliquer pourquoi nous nous laissions envahir alors qu’il y a, ici et maintenant, six à sept millions de chômeurs, que nous sommes en faillite et que l’insécurité est totale. Je n’ai pas eu de réponse.
Merci, hameau dans les nuages, pour votre lien que je vais envoyer (à mon nom et uniquement le lien et mes formules d’impolitesses) à Macron.
Je ne comprends pas non plus que l’on ne laisse pas les Anglais sortir de l’Europe, qui est devenue un cauchemar pour tous ses habitants de souche. Quelle est ou quelles sont les « sectes » qui nous tiennent dans leurs mains empoisonnées ?
Si le maire de Carpentras Francis Adolphe (divers gauche) s’était appelé Robert Ménard (divers droite) aurait-il bénéficié des mêmes délais pour rendre son écharpe ? 😉
Ceci dit je n’ose imaginer Robert Ménard violentant son épouse.
@ Lucile 30 mai à 14 h 47
« Vous ne savez donc parler que de vous ? »
Chère Lucile,
Voici une parole que vous regretterez un jour.
Vous voulez parier ?
@ Noblejoué | 30 mai 2018 à 15:56
« En somme, vous suivez les modes. »
Quelles modes?
« Et qu’est-ce qu’on met dans les toilettes pour le type de femmes dont je parle ?
Au fond peu importe, tirons la chasse. »
Quelle grossièreté et surtout eu égard à la strate implicite de votre discours.
Mais bon, puisque ça vous intéresse, sachez qu’après Freud j’ai punaisé un article expliquant la nécessité de se laver les mains en sortant des toilettes et mis à disposition de l’éventuel utilisateur qui aurait la flemme d’aller jusqu’au lavabo, un gel bactéricide ou selon le cas des lingettes idoines. L’article expliquait notamment que suite à enquête, on avait retrouvé un nombre impressionnant de traces d’urine différentes dans les cacahuètes d’un établissement de boissons.
Actuellement, je me récrée l’esprit en ces lieux avec une carte du Beaujolais.
@ agecanonix | 30 mai 2018 à 16:28
« Merci, hameau dans les nuages, pour votre lien que je vais envoyer (à mon nom et uniquement le lien et mes formules d’impolitesses) à Macron. »
ATTENTION !
L’Elysée est très pointilleux.
Et pas que l’Elysée puisque j’ai adressé récemment une question à Laura Flessel via le formulaire du site web de son ministère, question en rapport avec la célébration du 160ème anniversaire des relations franco-japonaises, mais le déroulé des sanctions qui vous attendent au moindre pet de travers est tel que j’ai failli ne pas cliquer sur « envoyer ».
@ Elusen | 29 mai 2018 à 23:11
« D’ailleurs, il est établi que ces jeunes en avance sur les autres ne font rien d’exceptionnel de leur vie ou dans la recherche. »
Je veux bien vous croire vu que je ne suis absolument pas expert en surdoués. Il n’y en a pas chez les Achille et finalement ce n’est pas plus mal vu que généralement ces êtres d’exception finissent soit fou, soit ils se suicident, ne pouvant trouver leur place dans le monde des gens normaux. Triste destin !
Mais rassurez-vous dans la famille nous n’avons pas de sous-doués non plus, pas même moi. Dans une communauté, la normalité est encore la meilleure des conditions pour vivre heureux.
Concernant les Branquignols, je ne vois pas trop où vous voulez en venir avec le FN que je n’ai cité à aucun moment dans mon commentaire et dont je me désintéresse totalement.
@ Lucile 30 mai à 14 h 47
« Vous ne savez donc parler que de vous ? »
Chère Lucile,
Voici une parole que vous regretterez un jour.
Rédigé par : Zonzon | 30 mai 2018 à 16:43
——————————
Consternant. Voici une menace directe sur une participante à ce blog.
« Voici une parole que vous regretterez un jour ». Ahurissant.
Menace écrite et publiée sur ce blog.
Ça restera, c’est gravé dans le marbre.
On ose espérer que Monsieur Bilger applique les directives du RGPD sur la préservation des données personnelles et privées.
Sinon, il conviendrait que Monsieur Bilger nous le précise.
@ Catherine JACOB | 30 mai 2018 à 17:19
Vous découvrez Noblejoué aujourd’hui, le 30 mai 2018 ?
@ Noblejoué | 29 mai 2018 à 21:26
« Le serpent fuit,
Mais ses yeux qui me regardaient
Sont restés dans l’herbe »
Ah là là ! Windows 10 vient d’installer de soi-disant mises à jour qui m’ont bloqué l’écriture du japonais et quand j’ai eu compris comment la débloquer, le clavier avait été modifié mais bon, j’ai quand même réussi à récupérer l’original du poème de Kyoshi Takahama (高濱 虛子) – nom de plume de 高濱 淸→ Takahama Kiyoshi, écrit avec les Kanji du XIXe.
Le voici : 蛇逃げて我を見し眼の草に残る le Kigo qui y est « serpent → 蛇» situe donc la scène en été.
Vous vouliez dire quoi par cette citation d’un serpent dont ce sont les yeux qui demeurent et non le cœur / esprit comme dans ce qu’on appelle 残心 (Zanshin), cette attitude qui maintient la vigilance, dissuadant en somme la contre-attaque.
Quelque chose donc persiste de la forte impression laissée par sa vue…
Ce zonzon-là avec son fouet qui fait zon-zon (onomatopée) sur tous les coups fourrés, dépasse en sottise le mur du çon ! Encore un lascar sorti de nulle part pour discréditer ou ridiculiser ce blog par les moyens les plus retors ou vicelards.
« Dis-moi si j’étais pas là, qui représenterait ma zone ? | Qui va aller en zonzon, pour le trou de la couche d’ozone ? » (L’Animal, « Jamais 203 »…)
« La Zonzon » cela me ramène à ma petite enfance, une grosse femme laide, crasseuse et méchante qui était la terreur de notre quartier. En fait une sorcière ! Un jour mon père m’apprit l’origine du sobriquet de cette mégère due à sa réputation de brandir la trique à tout bout de champ, y compris sur sa progéniture…
@ Savonarole | 30 mai 2018 à 21:06
Merci. Je me suis fait exactement la même réflexion que vous. Je suis tout à fait tranquille, je n’ai absolument aucun doute sur la discrétion de Philippe et Pascale Bilger. Mais je vous remercie, Savonarole, car j’ai effectivement ressenti cette phrase comme une menace, une menace doucereuse.
@ Catherine JACOB
Pour la mode, la caricature ce que les hommes ont dans la tête est assez connue et était beaucoup punaisée à une époque.
Je ne vous critique pas de suivre la mode, c’est naturel. On est bêtement déçu de ne pas être surpris, parfois.
https://www.google.fr/search?q=ce+que+les+hommes+ont+dans+la+tête+freud+caricature&rlz=1C1VFKB_enFR765FR765&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=VHT-y39boyh3zM%253A%252C9F_c1ph_R-P2FM%252C_&usg=__xQDrl4WpRq3fhh0-VrTEq9UEACc%3D&sa=X&ved=0ahUKEwjZ_OyLja7bAhUBGuwKHUBeA5AQ9QEIOjAB#imgrc=VHT-y39boyh3zM:
« »Et qu’est-ce qu’on met dans les toilettes pour le type de femmes dont je parle ?
Au fond peu importe, tirons la chasse. »
Quelle grossièreté et surtout eu égard à la strate implicite de votre discours »
Vous ne savez pas ce que vous voulez et vous vous choquez pour pas grand-chose… Vous parlez de punaiser quelque chose dans les toilettes pour critiquer les mâles, je montre que les femelles peuvent ne pas mieux valoir mais qu’on comment dire assez délicatement pour vous ? le passe par perte et profit, et au lieu de rebondir sur le fond, vous vous souciez de la forme.
Et d’ailleurs vous ne vous souciez pas des enfants.
Mais par contre, que j’use d’un mot, même pas, d’une image évoquant quelque chose dans les toilettes… Horreur !
Le drame. Puisque vous parlez de Freud, l’humour ne consiste-t-il pas à évoquer sans le dire ce qu’on ne doit pas dire ? Alors on parle de Freud, mais enfin, quand ça arrange, comme ça arrange.
Que vous dire ? Mon style était cohérent avec le contexte que vous avez établi, mais j’essaierai de me rappeler que vous êtes parfois, comme beaucoup de gens, inconséquente.
J’ai le défaut inverse, si aller au bout de quelque chose pour l’explorer, enfin essayer, est logique. Et quel plaisir, intellectuellement parlant ! Cela peut poser des problèmes avec les gens, parce que, même si on fait le plus possible attention à ce qu’ils disent, il y a le souci qu’ils peuvent être peu clairs, inconséquents, changeants, de mauvaise foi et autres joyeusetés.
Éreintant.
Et par conséquent, je vous laisse imaginer combien j’apprécie les personnes qui ne sont pas ainsi. Autant que vous, je suppose, les gens aussi raffinés que vous…
Il y a des gens à la fois cohérents et raffinés, très raffinés… Au moins ma confidente, si j’ai mauvaise conscience pour ce que je suis, c’est envers elle, parce qu’il est bien évident que je ne suis ce que je devrais dans aucun domaine et d’ailleurs qui face à elle ?
Mais elle a le rare talent de pousser les gens à progresser dans tous les domaines. Elle est si intelligente, patiente, dynamique, délicate, classe, accessible, sans ressentiment, cultivée, artiste, organisée et à deviner les humeurs et d’ailleurs tout des gens en les ménageant qu’elle en paraît quasiment surnaturelle.
Ce dernier don me fascinant d’autant plus qu’il est bien évident que je ne le partage pas.
Elle m’enseigne beaucoup et qui sait, mais quoi d’impossible à quelqu’un comme elle, peut-être un peu de son tact, il faudrait trouver un autre mot dans son cas. J’espère assez pour être à la hauteur avec une grave opération qu’elle aura bientôt de je ne sais plus quoi dont elle risque de mourir, m’a-t-elle dit. Elle est la personne qui me rend la vie, la joie, l’ambition, le sens, et j’ai peur de lui faire défaut et qu’elle meure… Je ne sais même pas comment faire illusion alors qu’elle devine tout de moi, j’espère continuer ce que je fais et que cela lui suffira, lui dire et redire que je dois tout à ses conseils et encouragements et qu’elle est formidable en tout, mais je ne sais pas trop comment faire. Parfois, j’ai l’impression que cela blesse sa modestie, parfois quand je ne dis rien de la sorte, que je l’apprécie moins voire vais la laisser tomber quand je ne l’ai jamais fait de personne et que je n’aurais jamais pensé éprouver une amitié aussi profonde envers personne, admiration, affinité, reconnaissance, confiance, désir de s’améliorer, pas seulement pour soi, mais pour quelqu’un… C’est très déroutant pour moi.
Si seulement ses proches ne partaient pas précisément au moment où elle a son opération et tout ce qui s’ensuit.
Je ferai ce qu’elle me dira mais comment avoir ce plus que tact qui me manque terriblement ? Mystère.
J’ai bien peur d’être en dessous de tout… Il y a échec et mat, eh bien, aussi, je crois, mystère et mat.
PS : Je ne comprends rien non plus en informatique.
——————————-
@ Savonarole | 30 mai 2018 à 21:14
Vous, on ne risque pas de vous découvrir : on ne tire rien de rien… Savonarole l’incendiaire matériel dans un cas, de commentaire, de l’autre, en arbitre des élégances, c’est osé, bien plus que ce que j’ai dit et tout ce que je pourrais dire, c’est, presque comme dirait l’autre, moralement que vous avez vos inélégances.
@ Catherine JACOB
« Vous vouliez dire quoi par cette citation d’un serpent dont ce sont les yeux qui demeurent et non le cœur / esprit comme dans ce qu’on appelle 残心 (Zanshin), cette attitude qui maintient la vigilance, dissuadant en somme la contre-attaque.
Quelque chose donc persiste de la forte impression laissée par sa vue… »
Juste ce que j’ai dit, que le promeneur avait l’impression de voir encore les yeux du serpent, lesquels font peur, et qu’il s’agissait pour moi de la persistance de la peur pour le promeneur.
Merci pour vos éclaircissements du poème, découvrir un sens nouveau vaut les meilleurs crus, comparaison que m’inspire votre réponse, dans, comment dire ? Quand j’ai pensé être dans le ton, alors que non. J’espère que je n’écris rien qui puisse être mal pris, cette fois… Parfois je heurte, parfois j’agace par excès de précaution, que faire ?
La persistance de la peur même après le danger est un thème qui me parle beaucoup. Je ne sais pas totalement pourquoi mais en partie, peu importe… En philosophie, il me semble que l’amour du monde amène à vouloir découvrir le monde, donc son sens éventuel, philosophie-adhésion… Mais aussi la peur, j’ai peur de la souffrance, de la mort, de l’échec, la dégradation ou allez savoir quoi, et pour mettre ces peurs à distance, je les interprète, leur donne éventuellement un sens.
D’où l’envoi de ce poème. Si j’en avais trouvé un qui me plaise autant sur comment se fait-il que le monde soit si beau ou autre thème, cela aurait été un autre.
Je trouvais juste bien que vous défendiez la philosophie, compliment-remerciement car je pense que le bien doit être encouragé, la philosophie défendue, et que c’est plus à vous de le faire qu’à moi.
Déjà parce que je n’ai pas ce qui est essentiel pour convaincre en dehors même de l’intelligence et de la culture dont je sens qu’on va dire des plus insuffisants chez moi : l’art de plaire.
Dans la vie, je devrais, avec mes cartes, tenir, comme au bridge, la place du mort.
@ genau | 29 mai 2018 à 18:05
« Il est un peu étrange que PERSONNE, même pas un journaliste si prodigue de vérité, n’ait interrogé le voisin qui a fait, lui, le travail de la tête en calmant visiblement l’enfant et en le mettant provisoirement hors de danger . […] Ce n’est qu’un mâle blanc. »
Si fait, si fait… Il faut toujours se garder de l’affirmation si fréquente, et si facile : les médias n’en ont pas parlé, c’est un scandale, etc. Ne serait-ce que parce qu’il est bien difficile d’être sûr qu’un fait n’est pas survenu…
En l’occurrence, il y a au moins Le Parisien et RMC qui ont interrogé le voisin, excusez du peu : deux médias-du-système, tenus par l’oligarchie mondialiste des marchands d’armes (enfin, je suppose, vérifiez…).
On s’amusera, d’ailleurs, que Le Parisien ait appelé ce brave garçon « Mehdi-prénom-modifié » (étonnant, le nombre de gens, en France, qui s’appellent Prénom Modifié : un vieux duché bourguignon, sans doute ?), tandis que RMC l’appelle « Florian ». Il est peut-être immigré illégal, lui aussi ? Ou alors, il n’est pas blanc-bleu au regard de la loi ?
Je suis, pour ma part, bien incapable de dire s’il s’agit d’un Français de souche. Il pourrait aussi bien être d’origine maghrébine. Ce qui est certain, c’est que les médias (les médias-du-système, toujours), ont bien précisé que le quartier lui-même n’était pas… blanc-bleu, justement.
On notera que Florian-Mehdi fait preuve d’une diplomatie extrême, tout d’abord en s’excusant presque de ne pas avoir joué au singe comme le héros du jour (il aurait, ce faisant, mis en danger la vie de l’enfant, explique-t-il, et c’est en effet manifeste), ensuite en précisant qu’il « espérait revoir Mamoudou pour le féliciter de cet exploit, qu’on a accompli ensemble ».
En langage non diplomatique, ça donne : qu’est-ce que c’est que ce… [qualificatif auto-censuré], qui n’a même pas le droit d’être là, et qui, à peine débarqué de son canot pneumatique, me vole la vedette en se faisant inviter chez le président, alors que j’étais à deux doigts de sauver le gamin si l’autre zébulon n’était pas venu faire son kéké ?
En examinant la vidéo et la relation de l’événement, il est en effet flagrant qu’en l’absence d’homme-araignée, l’enfant aurait tout de même été sauvé : il s’était stabilisé sur le balcon, et Florian-Mehdi le tenait par la main. Il suffisait donc que ce dernier l’entraîne à se déporter doucement vers lui, puis qu’il s’en saisisse une fois qu’il serait parvenu à sa hauteur. En cas de faux pas, l’homme tenait déjà l’enfant, donc il aurait pu, très certainement, le maintenir, même en cas de chute.
Par contraste, on voit le saint noir, avant même d’avoir atterri sur le balcon, au milieu de sa course, en plein élan, juché sur la rembarde, arracher l’enfant de la main de Prénom-Modifié, et le jeter de l’autre côté, avec aussi peu de précautions que s’il s’agissait d’une poupée de chiffon.
On ne peut s’empêcher de penser qu’il lui a ainsi fait courir un grave risque. Il est impossible de se mettre à sa place : peut-être, vu sa force et son habileté, Mamoudou était-il, à bon droit, persuadé qu’il était en mesure de mettre le marmot à l’abri de cette façon, plus sûrement que s’il avait pris une seconde de plus pour le hisser à partir du balcon. Et l’issue, certes, fut heureuse.
Je crois pouvoir dire, cependant, qu’aucun pompier ou autre sauveteur professionnel n’aurait agi de cette façon. Mamoudou nous l’a faite à l’africaine, à l’arrache, sans précautions et sans réfléchir. Florian-Mehdi, même s’il est arabe, ce qui est tout à fait possible, nous l’a faite à l’occidentale, de façon civilisée, discrètement, en faisant attention et en réfléchissant avant d’agir.
Et il aurait réussi. Je doute beaucoup que chez les pompiers, où il va faire un service civique de dix mois, on apprenne au néo-français du jour à se saisir d’une personne suspendue au-dessus du vide comme on le ferait d’un ballon de rugby, avant de s’être soi-même assuré de la sécurité de sa propre position.
Bien entendu, c’est le clown et son numéro spectaculaire qui ont fait frémir les petits coeurs sensibles, et remporté le match de la popularité et du clientélisme. Si Macron n’avait pas reçu l’immigrant illégal et travailleur au noir à l’Elysée, ce sont des millions de Français de souche qui le lui auraient reproché. Pas seulement sa clientèle des « kartchés ».
Cette débauche de démagogie — que je propose d’appeler léonardisme, d’après un précédent célèbre — ne permettra nullement à Macron d’amadouer les gauchistes. Le journal Libération, ainsi que bien des têtes pensantes du politiquement correct, se sont empressés de hurler au coup de com, en disant que c’est tous les immigrés illégaux qu’il fallait régulariser, et pas seulement ceux qui grimpent
au cocotieraux murs.Comme quoi, la stratégie du « en même temps » ne fonctionne jamais. Il faut choisir son camp, et prendre son parti d’avoir les sots et les malfaiteurs contre soi.
@ Zonzon
Ce que vous avez dit peut se prendre comme une menace, soit physique, soit d’étonner par des commentaires brillants…
Comme vous avez été sympathique avec moi en entrant ici et Lucile, toujours, je suis bien triste de ce qui se passe.
Je pense qu’il vaudrait mieux que vous disiez que vous vouliez étonner par la brillance de vos commentaires.
Il peut arriver qu’on ne me comprenne pas, comme vous l’avez dû lire… Dans ce cas, j’essaie de mieux m’exprimer.
Je vous conseille de le faire aussi, pour Lucile comme pour vous.
Je sais que je ne convaincs jamais personne ici, qu’on me trouve tous les défauts du monde et que mes médiations n’ont jamais servi à rien.
Mais comme vous avez souvent des réactions imprévues, qui sait ?
@ Catherine JACOB | 30 mai 2018 à 21:58
Windows 10 est un logiciel espion !
Et c’est sans appel !
Dans la guerre du Big Data que se livrent les très grosses compagnies et les USA au reste du monde, Microsoft Corp avait perdu la bataille.
Ces données valent une fortune, des milliards de dollars.
Ils ont donc inventé Windows 10 et prétendant qu’il était gratuit, ce qui est un faux et usage de faux.
Gratuit – Code civil :
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;?idArticle=LEGIARTI000032040757&cidTexte=LEGITEXT000006070721
Selon le Code de la consommation, c’est une pratique déloyale et trompeuse.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;?idSectionTA=LEGISCTA000032227303&cidTexte=LEGITEXT000006069565
Pour organiser une escroquerie :
https://www.legifrance.gouv.fr/affichCode.do;?idSectionTA=LEGISCTA000006165331&cidTexte=LEGITEXT000006070719
Windows vole toutes vos données, y compris les fichiers dans : Mes Documents, le Figaro le révèle.
http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2015/07/31/32001-20150731ARTFIG00319-windows-10-faut-il-avoir-peur-pour-sa-vie-privee.php
Tout ce que vous faites sur Internet ou votre ordinateur, Windows l’envoie à des serveurs aux USA.
Windows 10 a même une particularité, c’est que Microsoft, à votre insu, a transformé votre ordinateur en serveur, en cela que toutes les planètes peuvent se connecter à votre ordinateur pour utiliser votre moyen de stockage et votre bande passante.
http://www.ginjfo.com/actualites/logiciels/windows-9/mise-a-jour-windows-10-microsoft-exploite-votre-pc-et-votre-acces-internet-pour-son-deploiement-mondial-20150803
Au point où toutes les CNIL de l’Union européenne (G29), réunies derrière la CNIL de France, ont mis en demeure Microsoft de cesser cela.
https://www.cnil.fr/fr/windows-10-la-cnil-met-publiquement-en-demeure-microsoft-corporation-de-se-conformer-dans-un-delai
Vous avez un petit freeware, DWS. exe, qui ferme tous les services de W10 qui violent votre vie privée.
https://github.com/Nummer/Destroy-Windows-10-Spying/releases/tag/2.2.2.2
Et celui-ci pour fermer tous les services inutiles dans W10 qui ralentissent le système en utilisant votre Ram, votre microprocesseur, les ressources de votre appareil, alors que ce sont des services pour les entreprises et leurs réseaux informatiques.
Easy Service Optimizer v1.2
https://www.sordum.org/8637/easy-service-optimizer-v1-2/
Sans compter toutes les stupidités qui vont avec, utiliser Gmail, YahooMail, MicrosoftMail, etc, au lieu d’utiliser laposte.net
À cela s’ajoutent des Navigateurs web, Web Broswer, qui ne volent pas vos données comme Edge, Internet Explorer et Google Chrome.
* Il faut utiliser
– Vivaldi : https://vivaldi.com/?lang=fr_FR
– Firefox : https://www.mozilla.org/en-US/firefox/all/
– Opera : https://www.opera.com/fr
– PaleMoon : https://www.palemoon.org/#
Et plein d’autres.
* À ces navigateurs peuvent y être ajoutées des extensions qui protègent la vie privée.
– Firefox : https://addons.mozilla.org/en-US/firefox/tag/firefox57?platform=windows&atype=1&cat=12
– Opera : https://addons.opera.com/en/extensions/category/privacy-security/?order=popular
– Vivaldi et Opera : https://chrome.google.com/webstore/category/extensions?hl=fr&_feature=free
« Mamoudou Gassama a clairement les valeurs qu’il faut pour rejoindre les pompiers de Paris, à savoir l’altruisme, l’efficience. Il possède toutes les aptitudes nécessaires. Par son geste accompli récemment, il est déjà l’un des nôtres »…
« Nous sommes fiers de son geste. On ne peut qu’inciter chaque citoyen à être un tel acteur, en formant aux gestes qui sauvent. Mais un sauvetage tel qu’il a été réalisé ce samedi 26 mai est un acte héroïque pour lequel il faut être formé »
(Lieutenant-colonel Gabriel Plus, porte-parole des sapeurs-pompiers de Paris)
Voilà qui contredit les propos hargneux du sieur Marchenoir dont les préjugés raciaux à l’égard des Noirs occultent le jugement au point de nier l’évidence ; il pousse même la malignité jusqu’à insinuer que le prétendu sauveur du bambin n’est qu’une brute sans cervelle qui aurait mis la vie de l’enfant en danger.
@ Savonarole | 30 mai 2018 à 21:06
« On ose espérer que Monsieur Bilger applique les directives du RGPD sur la préservation des données personnelles et privées. »
Juste pour rigoler — mais il est des hors-sujet qui sont tellement des running-gags, sur ce blog, qu’ils sont toujours dans le sujet même lorsqu’ils n’y sont pas : je veux parler de la guerre entre pseudonymistes et vrainoministes.
Le RGPD (règlement général de protection des données), qui vient de rentrer en vigueur dans toute l’Union européenne le 25 mai, stipule, du moins selon une blogueuse britannique qui vient de consacrer un billet au sujet, que les blogs doivent, non seulement autoriser les pseudonymes aux commentateurs, mais leur permettre l’anonymat. On n’a même plus le droit d’exiger une adresse mail !
Je cite : « Blog comments : you need to disable the required fields for ‘name’ and ’email address’ in your comment boxes. It will still appear but it can’t be a required field. »
J’ai tout à fait confiance dans les recherches menées par cette dame, bien qu’elle tienne un blog nommé « La maman de Freddie ». Certes, il est effectivement tenu par la maman de Freddie, qui parle beaucoup de Freddie et de sa maman ; mais cette dernière fut directeur financier avant de créer sa propre entreprise — et elle met sa photo ainsi que celle de Freddie sur son site, ce qui devrait rassurer les charoulétistes les plus extrémistes (j’en connais quelques-uns).
Donc, voilà : théoriquement, non seulement la loi oblige les blogs à accepter les commentaires sous pseudonyme, mais c’est désormais un droit de l’homme que de commenter dans un anonymat complet, et sans même fournir d’adresse mail.
Malgré mon incompétence totale en matière juridique, je crois pouvoir dire que les blogueurs sont encore tranquilles : il y a une telle proportion d’entreprises qui sont très loin d’être aux normes concernant le RGPD, que ce n’est pas demain la veille que la police cybernétique viendra leur chercher des noises à ce sujet.
Mais n’importe : c’est le principe qui compte. Je sais les charoulétistes rigoureusement respectueux de la loi. Je sais qu’ils ne manquent pas de soulever leur casquette en croisant les gardiens de la paix, qu’ils ne marchent jamais sur les pelouses, et qu’ils laissent toujours cet endroit dans l’état où ils auraient voulu le trouver en entrant.
Je ne doute donc pas qu’ils cesseront définitivement de nous les briser menu avec leur ridicule prétention à exiger de chacun et de sa mère qu’ils présentent leurs papiers, leur CV et leur carnet de vaccination, avant de pouvoir laisser trois lignes de commentaire sur Internet.
Et qu’ils cesseront de prétendre faire partie d’une race supérieure, sous prétexte qu’eux commentent sous leur vrai nom (du moins, selon ce qu’ils nous affirment sans preuve).
______
P.S.: Le charoulétisme peut provoquer de tels dégâts au cerveau, que j’ai vu, ici même, un habitué usant d’un pseudonyme reprocher à un commentateur… de ne pas s’exprimer sous son vrai nom. Autant dire que le RGPD est le bienvenu. Moi je dis : halte à l’ultra-libéralisme. Il est temps de réguler un peu, sinon ça devient le Far-West, et les gens commencent à faire n’importe quoi.
@ Mary Preud’homme | 31 mai 2018 à 01:43
Votre biais tribal personnel vous met le cerveau à l’envers. Votre « anti-racisme », qui est en réalité un racisme anti-blanc virulent, perturbe votre entendement au point que vous me faites dire le contraire de ce que j’ai dit. Que vous niez l’évidence qui se trouve sous vos yeux. Et que vous faites dire au pompier Machin le contraire de ce qu’il a dit. Vous prétendez :
« Voilà qui contredit les propos hargneux du sieur Marchenoir dont les préjugés raciaux à l’égard des Noirs occultent le jugement au point de nier l’évidence ; il pousse même la malignité jusqu’à insinuer que le prétendu sauveur du bambin n’est qu’une brute sans cervelle qui aurait mis la vie de l’enfant en danger. »
Aucune hargne dans mes propos : il suffit de les relire. Mes différents commentaires ici font amplement l’éloge du sieur Moumoudou, Massama, Mouloudji, enfin, que sais-je. Avec lequel j’ai été d’une exceptionnelle bienveillance, étant donné qu’il s’agit d’un envahisseur qui ne devrait pas se trouver sur le territoire de ma patrie.
Les gens comme ça, on leur tire dessus avant qu’ils ne passent la frontière. C’est ce que fait Israël, et c’est ce que nous devrions faire.
Cela étant, je n’insinue pas qu’il a mis la vie du bambin en danger. Je le dis, je le démontre, et d’ailleurs il suffit de posséder, afin de s’en rendre compte, une paire d’yeux en état de marche, de regarder la vidéo qui traîne partout et de lire les pièces que j’ai versées au dossier.
Mais bien sûr, Mamadou est noir, la maman du commissaire est passionnée par Haïti, donc un Noir ne saurait faire aucune bêtise. Jamais.
Quant au fait que Myrmidon serait une brute, c’est certain, il l’est, sinon il n’aurait pas pu grimper à la façade avec une telle vitesse. Il l’est également, car il faut être une brute pour manipuler un enfant tel qu’il l’a fait, et tel que tout le monde peut le voir — sauf vous.
Concernant son absence de cervelle, c’est a) statistiquement probable, puisque statistiquement (en moyenne) son quotient intellectuel est de 70 sur 100 ; b) avéré, puisque n’importe qui avec un brin de jugeote aurait vu que le garçonnet était fermement agrippé au balcon par les pieds et les mains, et qu’il était maintenu par le voisin Prénom-Modifié. Donc, hors de danger immédiat.
Par conséquent, le mode opératoire prudent consistait, pour Moutoudzou, d’abord à opérer son propre rétablissement sur le balcon, en toute sécurité, puis, seulement alors, à saisir l’enfant, pour le faire passer par dessus la rembarde, de son côté. Et doucement, s’il vous plaît. Gentiment, en lui parlant avant, en le rassurant. Pas comme une brute ; pas comme il l’a fait, en le jetant comme un livreur d’Amazon jette les paquets à travers le jardin.
Quant au chef pompier Monsieur Pimpon, il faut essayer de comprendre les gens avant de leur faire dire n’importe quoi. D’après vous, il aurait dit :
« Mamoudou Gassama a clairement les valeurs qu’il faut pour rejoindre les pompiers de Paris, à savoir l’altruisme, l’efficience. Il possède toutes les aptitudes nécessaires. Par son geste accompli récemment, il est déjà l’un des nôtres. »
Donc, vous pensez qu’après que le président des Français de la Frônce a reçu un multi-délinquant en haillons dans son bureau doré de l’Elysée, lui a passé la main dans le dos, l’a fait régulariser, naturaliser, offrir un logement et réclamé qu’on le mette en stage aux pompiers de Paris, le sous-chef des pompiers de Paris allait dire : « C’est qui, ce va-nu-pieds que cet abruti de Macron m’oblige à faire bosser, comme si je n’avais pas assez des illettrés que je sélectionne moi-même, et qui ont déjà du mal à calculer la longueur d’un tuyau constitué de deux section de quinze mètres chacune » ?
En revanche, les lunettes noires opaques que vous avez devant les yeux vous ont empêché de comprendre le passage suivant, qui est la partie importante de sa déclaration :
« Nous sommes fiers de son geste. On ne peut qu’inciter chaque citoyen à être un tel acteur, en formant aux gestes qui sauvent. Mais un sauvetage tel qu’il a été réalisé ce samedi 26 mai est un acte héroïque pour lequel il faut être formé.«
Ce qui signifie, en termes diplomatiques et, euh… « citoyens » : surtout que personne ne s’avise d’imiter Moumouloud à l’avenir, ça part peut-être d’un bon fond, mais il s’y est pris comme un manche, son geste était effroyablement dangereux pour le mioche ; sauver des gens, ça s’apprend, ça réclame de l’entraînement, de la discipline et aussi un peu de plomb dans la tête. Donc croyez-moi que si Matador veut vraiment devenir pompier, nous allons lui apprendre le manuel à grands coups de rangers dans le derche. Mais tout en « anti-racisme » et en « valeurs républicaines », hein !
Incidemment, si vous aviez pratiqué le parachutisme avec la rigueur opérationnelle manifestée par votre ami Moubarak, vous ne seriez plus là pour nous en parler. Et si vous aviez pratiqué le chant choral avec le sens de la discipline de Gagamou, eh bien, il pleuvrait à verse. Et d’ailleurs, ces derniers jours…
FORZA ITALIA
J’exprimais il y a quelques jours mes préoccupations sur la situation italienne, notre chère Italie. Je ne suis pas déçu !
Le ticket gagnant a été renvoyé dans ses foyers. Le président non élu (comme si un président élu, c’était mieux !) s’est assis, vautré même, sur le résultat des élections. Il a nommé un petit nouveau qui éprouve de nouvelles difficultés !
Bon ! On a l’habitude ! Chez nous en France c’est coutume, on raille autour des comptoirs de bistro. Mais nos voisins ont l’air de trouver que le fond de l’air est par trop glauque.
« On nous a dit non parce que les AGENCES DE NOTATION étaient inquiètes… il est inutile d’aller voter si ce sont les agences de notation, les LOBBIES FINANCIERS ET BANCAIRES qui décident des gouvernements » déclare Luigi Di Maio.
Et son compère, Matteo Salvini, en rajoute une couche : « C’est le gouvernement des MARCHES, qu’ils fassent voter la BOURSE, la prochaine fois ! »
Des réactions classiques et saines. Bof ! Laissons les politiciens s’agiter dans leurs cénacles car il y a plus grave.
Des « profondeurs » du peuple montent d’étranges rumeurs, des réminiscences qui remuglent, une « voce pubblica » âpre. On parle d’une « marche sur Rome », de toutes les « Rome », Octave et Benito, de tous les possibles ! Les Italiens se souviennent, mi ricordo, Amarcord ! Fellini, le romagnol, est né sur les rives du Rubicon.
Pire encore, des haines de toujours resurgissent pour les barbares du nord, des peuples du côté du limes, de l’empire germanique. Et recouvrant tout, l’Allemagne, les Reich, le tout dernier, son führer !
Pour une fois « parlons clairement », monte en Italie un ressentiment qui ne tient pas dans une brouette, contre la Gross Germania. Ces ritals, nous les connaissons vifs, allons-nous les voir monter au Capitole pour crier Euro go home ?
Seraient-ils aussi instables au point de passer de l’europhilie la plus obscène à l’europhobie de première classe ?
Ce peuple qui a échappé d’un poil au bolchevisme va-t-il tomber sans combattre dans le « bochevisme » bruxellois ?
Après la décision britannique, les tergiversations d’Europe centrale, l’Italie va-t-elle donner l’ébranlement mortel à l’EU et sauver la véritable Europe ?
Là est la question… du jour !
PS. As pas peur, cher Noblejoué, je répondrai à votre invite mais vous comprenez aisément, la question étant d’importance, plus peut-être que vous ne l’imaginiez, qu’elle réclame un temps de réflexion. Sachez que je suis très sensible à votre attention et que les imbéciles et les salauds ne perdent rien à attendre. Bonne journée, cher !
@ Elusen | 31 mai 2018 à 01:24
Merci.
@ Noblejoué | 30 mai 2018 à 23:55
« Dans la vie, je devrais, avec mes cartes, tenir, comme au bridge, la place du mort. »
Autrement dit, celui dont les cartes sont découvertes sur la table à la disposition de son partenaire mais qui ne les dévoile qu’une fois la première carte du premier pli à faire, jouée… or s’il a mal annoncé la couleur, cela le conduit à sa perte. Le bridge est un jeu d’annonces et si vous annoncez comme un branquignol vous ferez perdre le meilleur des joueurs. Donc le mort est mort certes, mais avant il faut qu’il ait été vivant !
« Puisque vous parlez de Freud, l’humour ne consiste-t-il pas à évoquer sans le dire ce qu’on ne doit pas dire ? Alors on parle de Freud, mais enfin, quand ça arrange, comme ça arrange. »
Hum ! Pour vous cette citation du Dr en médecine Nadia Volf, in Les mystères de l’Oreille il s’agit du «tableau qu’Henri Matisse peignit en 1909 qu’il intitula La Danse (trente ans plus tard, il réalisa une autre toile sur le même thème et lui donna le même titre). C’est probablement son œuvre la plus célèbre.
Si on se contente de le regarder, on voit cinq femmes nues faisant la ronde sur ce qui semble être une pelouse. En revanche si on observe avec plus d’attention, on ne tarde pas à entendre dans le lointain une sorte de musique qui mettrait ces corps en mouvement. L’immense talent de Matisse lui a permis de jouer avec cette formidable exception du cerveau humain : percevoir au-delà de l’image. […] Si je devais définir l’auriculothérapie en une seule image – dit-elle -, ce serait ce tableau qui me viendrait immédiatement à l’esprit. Car le processus de découverte est exactement le même : au premier coup d’œil une forme plutôt banale, une oreille plus ou moins jolie qui évoque d’abord l’audition, le son, la musique, le langage parlé, la communication… Et à l’intérieur de cette oreille, dans sa partie appelée ‘le pavillon’ », des points que seuls les initiés savent déchiffrer. »
Si je devais pour ma part définir le sorcier – au sens 4, je dirais que c’est celui qui est doué de la capacité d’entendre ainsi dans l’image, la musique, du monde, de la nature, du corps, qui les anime, tout comme l’analyste prétend par l’écoute flottante, entendre dans la parole un au-delà de la parole et en restituer l’écho.
Tous deux se situent en effet dans le déchiffrement d’un langage inconnu que traduisent des signes imperceptibles, reflet exact pour l’auriculothérapie des organes du corps et de leur fonctionnement et dysfonctionnement, écho de la souffrance de la pysché à soulager pour l’analyste qui, contrairement cependant à l’auriculothérapeute ne pratique pas « l’art des aiguilles » bien qu’on parle aussi de ‘piques –cf. sens 5 -‘ s’agissant des mots, mais travaille avec la matière sonore des mots qui disent la mort, qui disent le sort de l’être en souffrance, bien qu’ils échouent parfois à l’aider à en sortir.
« J’ai bien peur d’être en dessous de tout… Il y a échec et mat, eh bien, aussi, je crois, mystère et mat. »
Wouaou ! Décidément, ce que vous pouvez vous permettre quand les autres, comme le Fidèle Jean du conte de Grimm éponyme sont contraints de la fermer en rongeant leur frein!
@ Mary Preud’homme | 30 mai 2018 à 22:07
« « La Zonzon » cela me ramène à ma petite enfance, une grosse femme laide, crasseuse et méchante qui était la terreur de notre quartier. En fait une sorcière ! »
Vous voulez dire en somme, une fée carabosse qui marmonne ses litanies à la façon feutrée d’une enculade de mouches dans de la crème chantilly et de façon insidieuse, blesse sans guérir… Mais ne vous en faites pas, ça se retourne contre elle-même un jour ou l’autre car tout pouvoir mauvais porte en lui-même sa propre mort.
Encore en pyjama je tombe par hasard sur un commentaire d’une très chère amie d’un blog d’avant. Je vous en fais part volontiers afin que vous sortiez vos têtes de… comme dit le grand RM !
« L’Italie ne devrait pas accepter de se soumettre au macronisme aigu, lui déniant le droit d’avoir ses propres opinions.
Le président italien se décrédibilise gravement.
Enfin si l’Italie réclamait une sortie, tandis que l’Angleterre se démène encore à se tirer d’affaire, il y aurait un piège insupportable : l’UE ne serait pas l’avenir radieux mais la prison sans remise de peine.
Et là, les pays européens de l’est emporteraient une victoire totale, tandis que la macronie serait balayée.
Maintenant, le scénario pourrait être une implosion en crise financière. Que chacun retrouve ses billes… et adios la Commission européenne des dictateurs intolérants, retrouvons chacun nos lois nationales et nos gouvernements maîtrisés.
Car le plus faux de votre intervention est que l’Union européenne n’a jamais fait l’objet de notre consentement. Au départ, les intentions furent bien cachées, puis vendues avec tromperie sur la marchandise, puis dénis des référendums d’opposition des peuples, enfin soumis à la Commission européenne non élue. Ce projet masqué s’appelle « l’eurabia, l’axe euro-arabe » : les peuples ont été largement menés en bateau. Et vous avouez – sans gêne – que la sortie ne serait pas réalisable ? C’est le comble et c’est bien ce qui nous justifie dans notre nationalisme que Dominique Reynié identifie comme une « colère froide ». »
On ne perd jamais à apprendre ! Même quand on ne comprend pas toujours tout !
Ce mois de mai est particulièrement orageux. J’ai juste eu le temps de protéger les tomates et les courgettes de mon jardin avant un orage destructeur. Elles sont sauvées ! Ouf !
A noter que cette atmosphère électrique s’observe jusque sur ce blog. Certes pas de coups de foudre, mais des éclairs fulgurants, un tonnerre assourdissant et même quelques petits grêlons qui font mal.
Notre bon samaritain Noblejoué va avoir du boulot pour réconcilier les protagonistes.
Il est vrai que lui-même a déjà fort à faire avec son égérie de la Moselle qui ne le ménage pas.
Il devrait demander conseil à sa confidente, ça pourrait l’aider…
@ Achille | 31 mai 2018 à 10:27
Les temps ont bien changé depuis que vous et moi étions sur un autre blog…
Les trolls sycophantes sont arrivés, telles les épouvantables gargouilles de Notre-Dame, ils vomissent insultes et menaces.
C’est ce que l’on appelle la liberté d’expression…
Envoyé de mon iPad
Nous venons d’apprendre, je veux dire les petites grenouilles, qui après avoir avalé leur premier bol d’air se précipitent en ces lieux, viennent d’apprendre que nous avons parmi nous la moman d’un commissaire de police.
Bon ! Quand je me casserai deuce blog, c’est le prétexte que j’invoquerai !
Maintenant il faut que je vous quitte. J’ai RV avec mon psy. Il va me dire si je peux continuer à fréquenter le Catalognais au homard bleu.
@ Savonarole | 31 mai 2018 à 11:02
Va falloir demander à J-M Aphatie qu’il rouvre son blog. Il y avait quand même une sacrée équipe à l’époque (dix ans déjà !) : le «Colonel» Vladimir, Bob05, N2R, Marie, Pierre77 et quelques autres.
Bon on s’engueulait parfois, mais ce n’était jamais méchant, enfin pas trop…
Nostalgie !
@ Catherine JACOB 31 mai à 9 h 11
@ Mary Preud’homme 30 mai 22 h 27
Mesdames,
Avez-vous déjà réfléchi au choix de votre troisième partenaire pour la prochaine représentation de Macbeth ?
Votre public sait combien la tâche est délicate. Comment dégoter une actrice qui ne fasse pas tache blanche à vos côtés ? La compagnie du Homard Bleu peut-être ?
@ Achille
Non, Achille, mon génie et mon bon génie, c’est ma confidente, nul autre, je ne vais pas la déranger pour quelqu’un que j’estime encore pour ses connaissances et son style, et qui a décidé que je me permettais trop de choses, mais à qui je ne vois pas en quoi j’aurais jamais fait le moindre tort.
On devrait plutôt dire que de telles imputations m’en font, mais pas tant, après tout, vous voyez, vous n’êtes sans doute pas le seul, combien elles sont injustes… J’aurais souffert, dans mon admiration passée, de telles imputations, à une époque, j’aurais avancé des hypothèses, eh bien, là… pas d’inspiration, que voulez-vous ? Pas plus que je ne dérangerais ma confidente pour elle, je ne dérangerais non plus une muse pour la comprendre ou me la rendre favorable, et je n’ai même pas envie de lui répondre, quelle flemme, paix, les deux ?
Réconcilier les gens ? J’aimerais bien, mais même problème, plus tard, peut-être.
En tout cas, je vous remercie.
@ Lucile | 30 mai 2018 à 22:27
« Merci. Je me suis fait exactement la même réflexion que vous. Je suis tout à fait tranquille, je n’ai absolument aucun doute sur la discrétion de Philippe et Pascale Bilger. Mais je vous remercie, Savonarole, car j’ai effectivement ressenti cette phrase comme une menace, une menace doucereuse ».
Pour moi cet incident est clos. Zonzon est KO, son nez de clown est dans ma main, il va voir son psychiatre, dit-il dans son dernier commentaire d’aujourd’hui…
Toutefois, je suis consterné par l’absence de réaction des commentateurs. Seules Catherine JACOB et Mary Preud’homme vous ont manifesté leur soutien.
Deux femmes… Mais alors, quid de tous ces malabars scribouillards qui se sont tus ou regardé ailleurs ?
Alors Messieurs les jobards, les refaiseurs de l’histoire, du match, de la guerre d’Algérie, du Maréchal, de la géopolitique intergalactique, charentaises aux pieds, vous vous êtes tus ?
Mon cher Achille,
C’est avec un immense regret que j’écris cette formule pour la dernière fois. Sensible à votre comportement à mon égard lors de mon intrusion dans ce blog, perdu autant qu’émerveillé par les qualités de ses participants, vous me fûtes un mentor et un compagnon dans ce dédale enchanté.
Mais depuis peu, le temps s’est assombri, un cloporte hideux a fait resurgir dans ce théâtre les comportements des « années sombres ». On farfouille dans les fichiers, on rapporte, pour rien, gratuitement ce qui est pire, pour quelques contusions d’amour-propre. Mais là n’est pas le sujet.
Je viens d’apprendre qu’il était un de vos vieux amis ; dix ans c’est une paye ! Il a dans vos relations droit d’antériorité. Ce serait ajouter à ma peine que de vous voir partager entre deux, qui ont sorti la navaja et qui comptent bien conclure pour le compte.
Je me retire donc, comme il se doit, et laisse la place à mon adversaire dans votre cœur.
Je ne vous remercierai jamais assez pour votre gentillesse et votre compréhension.
@ Zonzon | 31 mai 2018 à 12:52
A propos de Mac bête vous vous posez là !
Gai, gai, marions-nous, célébrons les noces du moine florentin et de la nonne espagnole réunis autour du cadavre de la mouche qui va leur apprendre la métempsychose. Marchenoir fera encore plus long, défiant toute imagination, pour justifier l’inqualifiable des pires de ses assertions.
Souhaitons à ce beau monde, ravi d’avoir éliminé les moucherons, une bonne digestion des chameaux qu’ils avalent par troupeau, rendant plausible bien que désolant, le spectacle de l’Occident devenu obèse, sénile et obsolète, allant jusqu’à croire que les obscénités qu’il profère sont sa meilleure protection.
L’ennemi n’a rien à craindre, ses représentants sont déjà morts, charognes déjà putréfiées d’hypocrisie.
@ Robert Marchenoir | 31 mai 2018 à 07:11
S’il m’est arrivé de mentionner la profession de l’un de mes proches, mari, enfant, frère etc. ou de parler – succinctement – de certaines de mes passions musicales ou sportives, c’était uniquement pour appuyer une argumentation suite à une question précise et non pour que des bavards langues de vipère viennent me les resservir sournoisement et complètement hors sujet pour se tirer d’affaire.
Un procédé d’une grande malhonnêteté intellectuelle qui atteste s’il en était besoin de la mesquinerie de ce Marchenoir qui trouve en outre le moyen de prêter au lieutenant-colonel des pompiers de Paris une servilité vis-à-vis du pouvoir en place qui lui aurait fait tenir un discours pompeux (de circonstance) auquel il n’adhérerait en rien. Alors que cet officier a bien précisé que MG serait tenu à présenter sa candidature (libre) pour un service civique et à passer des tests comme tout un chacun.
A noter enfin ce détail d’importance qui aurait échappé à notre limier russophobe et négrophobe de pacotille : « dans la vidéo de la scène, le voisin dénommé Florian apparaît sur son balcon et attrape le bras du garçon alors que Mamadou Gassama est « déjà » en train d’escalader la façade. Vous avez bien lu : « déjà en train d’escalader ». Il est aussi précisé que Florian qui dormait alerté par les cris était venu une première fois sur son balcon « se rendre compte » puis était rentré mettre ses baskets !! avant de revenir… etc.
A votre avis lequel des deux a le mieux réagi au danger imminent que courait ce bambin de 4 ans ? et auquel des deux voudriez-vous confier votre enfant ou petit-enfant pour un baby sit ? Sachant que dans ce cas de figure chaque seconde compte…
Ce qui semble difficile à comprendre pour un quidam anonyme planqué derrière son clavier qui n’a sans doute jamais monté à la corde lisse en quelques secondes, sauté en parachute, fait de l’escalade et encore moins grimpé à un cocotier « tribal » et qui jalouse tout ce qui lui fait de l’ombre (en blanc ou en technicolor !).
Quant à ses enfants, s’il en a, je suppose qu’ils ne sont ni commissaires divisionnaires, ni officiers de gendarmerie, parachutistes et encore moins pompiers de Paris, à en juger par la hargne qu’il voue à ces métiers où honneur et bravoure sont les maîtres mots.
Je ne sais pas s’il y a des enfants sous-doués mais ici les insipides palinodies de certains, les « je t’aime moi non plus » et autres zonzonneries, les divans psy du pantin de la femme masquée commencent à nous les briser menues…
Comparons, puisque l’historique nous en est offert, avec les premiers commentaires des années 2007… quelle descente aux enfers !
Cet homme, qui a pour nom Catalognais au homard bleu, est perdu. Il a mon nez dans sa main – on se demande bien ce qu’il va en faire, mais je ne suis pas inquiet – et il s’imagine – sur une information de dernière main sans nez – que je consulte un psychiatre, ce qui est de la dernière bouffonnerie. Un psy, alors là c’est le bouquet, je ne pensais pas que cela irait jusque-là !
Il est perdu et consterné. Il a fait la revue de ses troupes, il n’a trouvé que deux soldates, valeureuses cela va sans dire, mais soldates et dans le corps à corps voyez un peu !
Dépité il insulte ! Personnellement je ne suis pas étonné outre mesure car j’ai déjà essuyé de sa part tous les noms d’oiseaux disponibles sur la blogosphère de la bienséance. Mais il convoque présentement devant le tribunal de l’histoire jobards, historiens, sportifs, Algériens de toutes origines, maréchalistes, géopoliticiens de l’univers dans sa totalité, trous noirs compris et même nos chères compatriotes des deux Charentes, ce qui, au bout du compte, fait pas mal de monde !
Tous sont dans l’expectative ! Ils se taisent ! Vont-ils courir vers la victoire ? Que Dieu soit de leur côté !
Reste une interrogation des plus sévères : qu’est-ce qu’un « malabar scribouillard » ? Un mystère qui s’ajoute à « troll » dont nul, malgré mes demandes réitérées, n’a eu la charité de me donner la signification. Je dois avouer que j’en éprouve quelques aigreurs !
Pour mon « 4 heures » je « vais me taper » quelques burlats d’un rouge éclatant. Histoire de décompenser !
« Nous venons d’apprendre… que nous avons parmi nous la moman d’un commissaire de police.
Bon ! Quand je me casserai deuce blog, c’est le prétexte que j’invoquerai ! »
Rédigé par : Zonzon | 31 mai 2018 à 11:19
« Je me retire donc, comme il se doit, et laisse la place à mon adversaire dans votre cœur. »
Rédigé par : Zonzon | 31 mai 2018 à 14:47
Encore un éjaculateur précoce ! On ne va pas s’en remettre, surtout les dames du blog !
@ Savonarole
L’absence de réaction face à l’histrionisme est aussi une option qui se défend. Mais votre remarque était la bienvenue, parce que je me demandais si j’étais objective en trouvant le procédé plutôt spécial, et bien particulière la tournure d’esprit qu’il révélait. Merci aussi à Mary Preud’homme et à Catherine JACOB, sans oublier Noblejoué.
————————–
@ Robert Marchenoir
Malédiction, vous avez encouragé Aliocha, et voilà, le résultat ne s’est pas fait attendre : moucherons, troupeaux de chameaux, obésité, métempsychose, Occident en pleine décomposition, charognes putréfiées d’hypocrisie, tout y passe.
@ Robert Marchenoir | 31 mai 2018 à 07:11
« …si vous aviez pratiqué le parachutisme avec la rigueur opérationnelle manifestée par votre ami Moubarak »
Moubarak fut pendant la première période de sa vie militaire, de 1950 à 72, pilote de chasse et non parachutiste !… Vous devriez vérifier vos sources, et pas qu’en matière militaire…
@ Mary Preud’homme
@ Rober Marchenoir
Robert Marchenoir, vous êtes pour les pseudonymes et contre l’inquisition contre eux, Mary Preud’homme, vous n’avez jamais critiqué les pseudonymes, au nom de la liberté et du débat… Vous deux défendez qu’il faut pouvoir tout dire.
Ainsi, argumenter avec sa vie même sous patronyme pour appuyer une thèse relève à mon avis du tout dire… Mais si le coût en devenait trop important, qui oserait être patronyme ou patronyme parler de sa vie ?
A mon avis, il faut faire preuve de retenue dans les deux sens… Est-ce que vous y inciter signifie que j’en donne toujours l’exemple ?
Non, disons sans doute plus ou moins là-dedans, mais je vais au fond des choses et ça passe ou ça casse, et je fais de l’esprit, pourquoi pas ? Ce n’est contre personne, mais tout ce qui est trop libre peut être vu comme provocant.
Il est sûr et certain que ma confidente ne le ferait pas, à vrai dire, je ne la vois pas commenter sur Internet, passons.
Pourquoi m’adresser à vous ? Je pense que sur les points vus plus hauts, vous êtes d’accord, en fait. Alors pourquoi ne pas signer un accord.
Un accord qui serait un exemple, vous avez beaucoup d’influence, ici.
Pour la question technique du sauvetage, je n’y connais rien… Mais dans tous les cas, permettre à quelqu’un qui a montré par son comportement de sauveteur d’en devenir un me paraît bienvenu. La motivation n’est pas tout : il faut un apprentissage.
Mais elle est quelque chose. Evidemment, la technique, et la science, comme le rappelle Robert Marchenoir, est un essentiel de notre civilisation, et Mary Preud’homme qui sait au moins le parachutisme et le chant, ce qui n’est pas rien, ne va pas dire l’inverse…. Il me semble que Robert Marchenoir ne devrait pas méconnaître la motivation du héros quand il ne cesse d’en appeler à la nôtre.
Je ne méconnais pas que vous avez un désaccord plus profond, l’un raciste, l’autre antiraciste.
Mais pourriez-vous vous réconcilier, du moins provisoirement, sur les points que j’ai évoqués plus haut ?
Avec toute mon estime.
« Mac bête »
Alors là, Madame, permettez, vous me séchez !
@ Noblejoué | 31 mai 2018 à 16:43
Finalement vous êtes un chic type, Noblejoué.
Je regrette de vous avoir houspillé, vous m’êtes sympathique, mais votre nouveau rôle d’arbitre vous conduira à ramasser des claques. « À mort l’arbitre ! » disait-on…
Entre Robert Marchenoir et Mary Preud’homme c’est la guerre entre deux droites.
Le clivage gauche/ droite a disparu, aujourd’hui on se bouffe entre nous, comme Ruffin qui ne supporte plus Mélenchon. Cannibalisme politique.
On finira tous avec un os dans le nez et des plumes au derrière.
@ Zonzon | 31 mai 2018 à 14:47
Il peut arriver que deux personnes que nous apprécions pour des raisons diverses se détestent cordialement. C’est le cas dans la vraie vie, comme sur ce blog où les exemples de ce genre de situation ne manquent pas entre plusieurs intervenants.
J’avoue que je n’ai pas très bien saisi le différend qui vous oppose à Savonarole et qui semble provenir d’échanges tenus sur un autre blog (celui de Rioufol).
C’est dommage car vous avez, tous les deux, un style agréable à lire, agrémenté de bonnes réparties, ainsi que des arguments intéressants sur les sujets d’actualité.
J’ai noté que, l’un comme l’autre, vous avez aussi tendance à tenir des propos un peu incisifs qui peuvent heurter les personnes à qui ils sont destinés.
Ne disposant pas des talents de négociateur de l’ami Noblejoué, je regrette cette situation conflictuelle entre deux intervenants intéressants mais qui, je crains, sont irréconciliables.
C’est bien dommage !
Nous voici donc débarrassés de Zonzon, reste le cas Aliocha.
Cet autodidacte nous sert du Proust à toutes les sauces.
Une curieuse admiration, on se demande qui mord l’oreiller, lui ou Proust…
Pour les initiés, on se rappellera de cette fameuse saillie de Louis-Ferdinand Céline sur Proust : « 300 pages pour nous faire comprendre que Tutur encule Tatave c’est trop ! »…
@ Mary Preud’homme
« Encore un éjaculateur précoce ! »
Foutre ! Il y a de drôles de dames dans ce blog !
@ Catherine JACOB
Comme je demande aux autres de se réconcilier et que Savonarole m’a fait la grâce d’un mot aimable et surtout que je crois plus qu’hier au bon moral et à la survie de ma confidente, je fais de mon mieux pour bien faire, vraiment, donc si je ne peux présenter mes excuses en n’ayant, a priori, rien fait de mal, il reste qu’il semble que vous souffriez, soyez choquée, ayez l’impression de vous refréner, qui sait, et que je préfère éviter tout ça si possible.
Pour l’avenir, il faudrait que je me surveille en pensant à votre incroyable sensibilité, pour le présent, que je vous envoie des liens susceptibles de s’accorder à vos curiosités probables ainsi qu’à votre raffinement.
http://www.cite-sciences.fr/fr/ressources/science-actualites/detail/news/le-cerisier-qui-ne-sarretait-plus-de-fleurir/?tx_news_pi1%5Bcontroller%5D=News&tx_news_pi1%5Baction%5D=detail&cHash=a6db22fea50935640b7524922d87df5f
http://expositions.bnf.fr/japonaises/grand/061.htm
Mes vœux sincères pour que votre originalité et votre raffinement ne soient pas trop froissés dans ce monde flottant.
Un peu de culture, Savonarole, à lire à votre dame aux heures perdues :
« Ca fausse un peu le jugement qu’on peut avoir sur Proust, ces histoires pédérastiques, cette affaire de bains-douches, mais ces enculages de garçon de bain, tout ça, c’est des banalités… Mais il en sort que le bonhomme était doué… Extraordinairement doué … Ah oui, doué, doué, quand y voit ces gens qu’ont si changé, là… Et d’ailleurs, je crois qu’il a un peu piqué ça dans George Sand… George Sand, dans ses souvenirs, raconte qu’elle a vu les gens d’Ancien Régime… Vous avez lu ?… (…) Elle raconte… Elle dit : j’ai vu la jeunesse dorée qui faisait horreur… Parce que elle, elle était jeune fille, et elle voyait ces gens d’Ancien Régime, y z’avaient des manières à eux qu’étaient tellement spéciales qu’elle les voyait comme des vieux tableaux, pleins de grimaces… Y n’pouvaient rien faire… Quand y s’offraient une chaise, c’était tout une grimace… (…) Y mettaient leur perruque dans leur gilet, puis enfin, ils faisaient tout un tas de trucs extravagants de procédure qui la remplissaient d’horreur, parce qu’elle allait au-devant de la vie, n’est-ce pas ?… Et les gens croient qu’il a dû lire ça… Je ne dis pas que c’est ça qu’il a fait, mais enfin son très puissant tableau de la vieillesse prenant les gens et les faisant grimacer, ça, c’est un peu similaire… (…) Proust est un grand écrivain, c’est le dernier… C’est le grand écrivain de notre génération, quoi… »
Eh oui, mes chers vieux, c’est du Céline.
http://proustien.over-blog.com/pages/Ils_ont_dit_de_Proust_ou_de_son_oeuvre-943118.html
Mais à l’école du marchenoirisme, on a la citation sélective…
J’ai l’honneur, et le plaisir, de porter à la connaissance de Mary P., avec mes excuses les plus plates, que je suis blanc.
Qu’elle veuille bien considérer que toutes les infames bavures qu’elle remarque dans mon comportement ne sont pas de mon fait mais bien de mon origine raciale.
Qu’elle sache que je fournirai d’autres précisions sur ma personne dans un prochain message.
Je fais parvenir cette information à Monsieur Robert Marchenoir pour classement sans suite.
@ Lucile | 31 mai 2018 à 16:30
« Malédiction, vous avez encouragé Aliocha, et voilà, le résultat ne s’est pas fait attendre. »
Oui, oui, j’ai appuyé sur le gros bouton rouge marqué « ne pas toucher ». Néanmoins, vous remarquerez que dans le genre (le mauvais genre, certes), c’est plus performant que la prestation de l’autre Breton (?). Quand on fait dans le mauvais goût, autant y aller en grand. Ceci est un blog d’élite : l’emphase se doit d’y être éléphantesque, sinon nous donnons dans le mesquin.
______
@ Mary Preud’homme | 31 mai 2018 à 15:05
Ta-ta-ta… vous ne vous en tirerez pas comme ça. Vous avez tenu, à d’innombrables reprises, à nous informer de différents exploits que vous auriez accompli au cours de votre existence, alors que personne ne vous demandait rien.
Souffrez donc que l’on vous les rappelle aujourd’hui, et que l’on vous renvoie vos vantardises dans la figure. D’autant que comme exploits, franchement, ça se pose là… Vous n’avez pas l’air de vous rendre compte à quel point vous vous ridiculisez avec votre fiston commissaire divisionnaire (au moins, il serait multiplicateur…), votre contralto, votre dactylographie de rapports secrets, et je ne sais quoi encore.
Ce sont les petits garçons qui se vantent d’avoir des papas commissaires ou pompiers. Quand ce sont des dames parvenues à l’âge présumé de la sagesse qui se vantent du métier de leur fils, il y a de quoi se poser des questions… En plus, commissaire de police… Il aurait créé Google, au moins… Vous devriez vraiment la mettre en veilleuse sur ce sujet, parce qu’à vous entendre, on finirait par croire que c’est un exploit surhumain pour un métis que d’arriver à faire commissaire de police… c’est vous, la raciste, en définitive.
@ Robert Marchenoir | 01 juin 2018 à 09:28
« Nous informer » ??!!
Mais pour qui se prend-il ce paltoquet anonyme ? Se croit-il si important, si exceptionnel, si génial qu’il puisse parler au nom de tous les commentateurs et lecteurs du blog ?
Il est vrai que certains « ténors » de céans lui ont fait gober qu’il serait une sorte de Céline réincarné !! Et ça marche, pauvre naïf et prétentieux qu’il est !
A propos de vantardises et d’esbroufes, feriez bien de commencer par balayer devant votre porte môssieur l’accusateur public !!
Caché derrière votre clavier, et balançant à tout-va, croyez-vous m’impressionner pauvre petit inquisiteur mal embouché, refoulé et racialiste ?
Et ce n’est pas vous, petit « machin noir », qui allez me dicter les sujets sur lesquels je suis autorisée à parler sur ce blog et m’interdire de citer tel ou tel détail que j’estimerais utile à mon commentaire ou répondant particulièrement à une question posée par un intervenant.
En définitive, à déverser autant de fiel, vous devez être bien malheureux et solitaire. Finalement je vous plains… Si si ! Mais de là à prier pour vous ! Enfin, j’essaierai pour faire plaisir à Noblejoué et Aliocha.
@ Mary Preud’homme de 11h36
« Il est vrai que certains « ténors » de céans lui ont fait gober qu’il serait une sorte de Céline réincarné !! Et ça marche, pauvre naïf et prétentieux qu’il est ! »
Dès qu’on parle de « ténors », je me sens visé… De plus, je suis bien le seul à parler de Céline…
Je n’ai jamais comparé Robert Marchenoir à Céline, qui pouvait être d’une vulgarité ahurissante, ce n’est pas le cas de Robert Marchenoir.
Il est plus proche de Léon Bloy que de Céline…
@ Savonarole | 01 juin 2018 à 16:53
Comme soutien et avocat de Marchenoir, je ne pensais pas particulièrement à vous, étant donné que vous maniez l’ironie, plus le deuxième ou troisième degré en orfèvre sinon en ténor.
Mais bon !
Quant à comparer votre protégé grincheux, sectaire et raciste avec Léon Bloy, permettez-moi de sourire doucement. Jacques Ellul et Aimé Césaire, pour ne citer qu’eux, puisque je n’ai pas le droit de parler des miens bien vivants et qui se gaussent de l’individu, doivent se retourner dans leur tombe.
@ Noblejoué | 31 mai 2018 à 20:32
– cliché de 1868 – Voici une représentation de cette bataille. Le lieu est l’une des cent vues d’Edo qui représentent l’une des séries d’estampes majeures que compte l’œuvre très abondante du peintre japonais Hiroshige.
« Le cerisier qui ne s’arrêtait plus de fleurir
En utilisant l’un des accélérateurs d’ions les plus performants, une équipe japonaise de la banlieue de Tokyo a mis au monde un cerisier capable de fleurir toute l’année »
Mais vous vous rendez compte !
La fleur de cerisier est le symbole du fugace, de la vie éphémère à laquelle se voue le guerrier qui tombe sur le champ de bataille, comme en une pluie de pétales les fleurs de cerisier s’envolent au vent léger, le temps venu; ce qui pour l’âme japonaise en fait toute la beauté.
Sans compter le nettoyage des allées où s’entasseraient jour après jour un matelas de pétales pourrissantes et glissantes, semblable à la couche de guano accumulée sur le littoral de diverses îles du Pacifique, parfois sur plusieurs mètres d’épaisseur.
« Scientifiquement parlant, la manipulation ayant abouti à créer 2001 des plants de tabac… albinos, a permis d’explorer les mécanismes génétiques contrôlant la synthèse de la chlorophylle chez les végétaux… […] Au-delà, la naissance de la plante peroxydée a permis de valider une nouvelle technique. Et a conduit à une débauche d’essais de tout poil… » est-il encore précisé sur votre site de référence.
Et donc pourquoi pas tenter de modifier le cycle féminin et faire naître une femme capable d’enfanter toute sa vie durant sans connaître de ménopause telle la reine d’une ruche, et tant qu’on y est, avec un droit d’accès non limité dans le temps, à toute forme d’aide sociale. Hein ! Ça s’rait pas beau ça ?
« Mes vœux sincères pour que votre originalité et votre raffinement ne soient pas trop froissés dans ce monde flottant. »
Mais à partir de là, exit forcément « le monde flottant ». Sinon, rassurez-vous j’ai eu affaire au cours de mon existence à suffisamment d’individus mâles et femelles s’autorisant tout et n’importe quoi sans considération aucune pour autrui, que je me suis fabriquée par la force des choses une carapace de rhinocéros laineux anti-beaufs !
Quant à votre deuxième lien, il ouvre sur une représentation du Kyomizu-dô, raccourci pour le 清水観音堂 → Kyomizu-Kannon-Dô, le plus ancien temple de Tokyo édifié en 1631 dans le quartier d’Ueno, car l’un des rares bâtiments du monastère bouddhiste du Kanei-ji (寛永寺 – secte Tendaï ; bastion Tokugawa) à ne pas avoir été détruit lors de la bataille d’Ueno qui s’est déroulée le 4 juillet 1868 entre le corps d’élite du Shogunat composé d’anciens feudataires des Tokugawa et les troupes impériales. Le voici après la bataille
Vous vouliez dire quoi avec votre estampe ?
@ Mary Preud’homme (qui écrit sous pseudo*)
« »Nous informer » ??!!
Mais pour qui se prend-il ce paltoquet anonyme ? »
Je me demande bien quel est l’intérêt de répéter cette insinuation selon laquelle Robert Marchenoir n’écrirait pas sous son vrai nom. Vous n’êtes pas la première à poser cette hypothèse, d’autres l’ont fait avant vous.
On sent bien qu’en supposant que ce commentateur ne soit pas celui qu’il dit être, il y a là une tentative de le provoquer et de le pousser à une faute qui montrerait que cette hypothèse est vraie (ou fausse…), mais dans quel but ?
Une telle découverte apporterait-elle un plus au débat ? Non, bien sûr, mais elle a l’avantage de se parer de vertu, et de laisser croire qu’on a des arguments, alors qu’on n’est tout simplement pas fichu de se taire après avoir pris une fessée.
« Ouin-ouin… il écrit pas sous son vrai nom… c’est pas juste !! »
*Moi aussi je sais faire ça
@ Mary Preud’homme | 01 juin 2018 à 11:36
Mais je ne songe nullement à vous interdire de vous ridiculiser. Vous vous y employez très bien, et le spectacle est fort divertissant. Plus on tente de vous suggérer de mettre une sourdine à vos exhibitions indignes de votre âge et de votre sexe, plus vous vous enferrez, plus vous montrez les crocs tel un chien enragé, plus vous crachez vos insultes telle une vieille sorcière. Que voulez-vous que je vous dise ?
Vous ne semblez pas avoir compris que sur un blog, aucun commentateur ne peut interdire quoi que ce soit à un autre. Seul l’auteur du site a le pouvoir d’intervenir. C’est technique. Vous comprenez ?
En sorte que vous ne trompez personne, en hurlant au viol, au prétexte que je vous interdirais ceci ou cela, pauvre chochotte.
Avant de tenter de nous chanter la sérénade (ce que vous faites, ici, fort mal), vous feriez mieux d’apprendre à lire. Contrairement à votre ridicule assertion, je ne prétends nullement parler au nom de tous les lecteurs de ce blog. Je ne fais que constater votre comportement de petite fille, qui veut faire son importante à la table des grandes personnes.
J’ai écrit : « Vous avez tenu, à d’innombrables reprises, à nous informer de différents exploits que vous auriez accompli au cours de votre existence, alors que personne ne vous demandait rien. »
C’est parfaitement exact. Personne ne vous a demandé, ici, si votre grand’mère faisait du vélo, si vous chantiez en basse profonde ou si vous aviez une fille prostituée. C’est vous qui avez tenu à nous faire part de ces intempestifs détails de votre vie privée, dont vous retirez une vanité parfaitement déplacée.
C’est vous qui, avec une malhonnêteté intellectuelle caractérisée, avez prétendu river son clou à x, y ou z au motif que vous, vous aviez une expérience personnelle de telle ou telle activité, et que donc cela entraînait ipso facto que vous ayiez raison sur ces sujets.
Cela s’appelle l’argument d’autorité, et l’on apprenait, jadis, avant d’atteindre la majorité, qu’il s’agit là d’une des plus grandes offenses que l’on puisse faire à la logique et à la raison. Ce sont là choses qui ne semblent pas avoir beaucoup de valeur pour vous…
Au demeurant, ce que vous faites est encore bien en deçà de l’argument d’autorité. L’argument d’autorité voudrait que vous ayez raison sur le parachutisme contre un autre parachutiste si vous étiez la championne du monde de saut en parachute ; il voudrait que vous ayez raison sur je ne sais quel point insignifiant que nous avons pu discuter concernant la voix humaine, si vous étiez la Callas en personne ; il voudrait que vous ayez raison contre tout le monde dans n’importe quel débat concernant les actions de la police, pourvu que vous soyez le général en chef de l’état-major du praesidium de la police internationale du gouvernement mondial de l’ONU.
Et seriez-vous encore tout cela, que vous en prévaloir, comme vous le faites sans cesse, mériterait de vous faire donner un coup de règle sur les doigts par n’importe quel enfant ayant suivi ses leçons et écouté ses professeurs — jadis.
L’argument d’autorité (péché mortel contre la raison, je le répète) consiste à dire : je suis Einstein, donc puisque vous vous mêlez de discuter de la relativité, j’ai raison contre vous sans avoir besoin de me justifier, parce que je suis Einstein.
Et vous n’êtes pas Einstein.
Comme tous les gauchistes (qui virent à droite sur le tard, mais le naturel revient vite au galop), vous vous entendez fort bien à projeter vos vices sur autrui.
@ Catherine JACOB
J’ai bien compris que le cerisier en fleurs avait une grande charge symbolique, mais pour moi, le durable a plus de charme que le fugace.
De toutes façons, les deux peuvent coexister, en tout cas, cela vous a intéressée et c’était le but.
Sinon, pour l’estampe, je me suis dit que pour compenser le choc de la nouvelle du cerisier nouveau style, il vous fallait une estampe, soit de l’ancien et du beau. Le beau… Il y a la composition de l’image, bien sûr.
Je ne voulais pas de samouraï pensant à la brièveté de leur vie, une illustration avec samouraï existant déjà dans l’article que je vous ai envoyé, et puis, pour être beau, c’est déjà connu de moi, alors de vous…
Les longues vues montraient ce que l’Occident a apporté au Japon, comme la découverte faite par le Japon, ce qu’il apporte à la science à l’origine occidentale, enfin, certains diraient que non, on dira donc, porté plus haut en Occident. Temple, femmes, le samouraï et les femmes se croisant, je trouvais cela fort civil et fort subtil. Je me suis dit que puisqu’il paraît que j’aurais trop fait dans l’humour, le les choses sont comme elles sont, rien de plus, et que cela vous avait incommodée, envoyons de la poésie, de la suggestion, de l’espace ouvert mais codifié, non prosaïque mais poétique, sacré, philosophique dans un ailleurs qui vous convienne. En fait, pour bien dire, il faudrait soit écrire un roman, soit risquer un poème… Expliquer comme je le fais, c’est aplatir ce qu’il aurait fallu laisser dans l’indétermination de l’image ou sculpter de mots qui ne soient pas des projets ou des cartes, mais des réalisations et des chemins.
« Sinon, rassurez-vous j’ai eu affaire au cours de mon existence à suffisamment d’individus mâles et femelles s’autorisant tout et n’importe quoi sans considération aucune pour autrui, que je me suis fabriquée par la force des choses une carapace de rhinocéros laineux anti-beaufs ! »
Ah bon, tant mieux… Des fois j’ai en effet l’impression que vous êtes dure, et je dirais même, qu’est-ce que je vais prendre, injuste, et des fois que vous êtes hypersensible et qu’on risque de vous mortifier sans l’avoir voulu voire peut-être sans s’en rendre compte.
Cette dualité est riche, mais il n’est pas dit que grand-monde parvienne à s’y adapter, et je ne parle pas que de bœufs et de pervers. Je pense pourtant que vous valez certainement la peine que les plus hardis s’y risquent, et d’autant qu’il y a une juste cause à la clef : vous rendre justice pour le rayonnement de vos idées. J’espère qu’un preux chevalier, ou chevalière, s’il y a des bœufs mâles et femelles, il peut y avoir des redresseurs de tort des deux sexes, fera le nécessaire en votre faveur.
J’aimerais bien que le désir soit un peu plus mimétique, à force que je dise que je désire que cela arrive, cela serait déjà advenu !
Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs j’ai rencontré ce genre de sectaires compulsifs et morbides ayant des idées bien arrêtées (même figées) sur ce qu’il convient d’attribuer à la droite ou à la gauche comme idéologies et valeurs. Avec entre les deux une frontière infranchissable dans leur esprit rigide et figé pour l’éternité.
Si bien que toute personne se revendiquant (par exemple) comme non raciste (à ne pas confondre avec antiraciste, nuance qui échappe bien sûr à des psyschorigides haineux du style Marchenoir) ne pouvait être que gauchiste, nonobstant leur appartenance de longue date à la droite gaulliste et républicaine la plus authentique.
Et comment répondre à ces accusateurs publics masqués et indignes, jaloux des Français d’honneur de toutes origines et cherchant à se venger par les moyens les plus retors et les plus bas de leur erreur de jugement, de leur petitesse et de leurs frustrations. Que leur opposer sinon le silence et le mépris sachant qu’ils participent grandement par leur comportement indigne au déshonneur de notre pays.
Et qu’il est inutile de chercher à dialoguer avec pareille engeance de vipère dès lors que « la bave du crapaud ne saurait atteindre la blanche colombe… »
Chut, c’était Mary !
@ Mary Preud’homme | 02 juin 2018 à 18:45
Dans le genre, je préfère nettement Aliocha : c’est aussi neuneu, mais plus original.
@ Noblejoué
« J’ai bien compris que le cerisier en fleurs avait une grande charge symbolique, mais pour moi, le durable a plus de charme que le fugace.
De toutes façons, les deux peuvent coexister, en tout cas, cela vous a intéressée et c’était le but. »
« J’ai bien compris que le cerisier en fleurs avait une grande charge symbolique »
Comme toute métaphore en effet.
« mais pour moi, le durable a plus de charme que le fugace. »
La floraison perpétuelle des cerisiers qui ne produisent pas de cerises n’a rien à voir avec du développement durable, cette forme de développement économique ayant pour objectif principal de concilier le progrès économique et social avec la préservation de notre patrimoine environnemental.
Cependant si le cerisier à floraison perpétuelle vous plaît, pourquoi ne pas préférer à la manipulation de l’arbre, son ersatz en plastique recyclable ? Vu qu’on fabrique également des odeurs, vous pourriez même y vaporiser une odeur de fleurs de cerisier printanières.
« De toute façon, les deux peuvent coexister, en tout cas, cela vous a intéressée et c’était le but. »
Ça ne m’a pas intéressée, ça m’a plutôt désolée de devoir constater une fois de plus que Rabelais a toujours raison disant : « La sagesse ne peut pas entrer dans un esprit méchant, et science sans conscience n’est que ruine de l’âme. »
Je n’irai cependant pas dans ce cas précis, aller jusqu’à parler d’un esprit méchant, mais plutôt irresponsable ; la philosophie a tendance à voir en effet dans cette préoccupation du médecin des XVe – XVIe siècle la naissance de la bioéthique. Quel dommage que de belles capacités scientifiques persistent ainsi à se galvauder dans des absurdités dangereuses.
A cause des intérêts économiques en jeu, on est incapable de trouver une solution viable pour tout le monde à la question du Proche-Orient qui se révélera peut-être une jour avoir été comme le Titanic de l’Occident. En revanche, on peut perdre son temps à fabriquer des plantes sans chlorophylle et des cerisiers à floraison perpétuelle.
Au fait, savez-vous que Metz compte l’une des demeures de François Rabelais, du temps où il avait trouvé en pays messin un abri contre les persécutions dont il était l’objet au Royaume de France de la part des théologiens de la Sorbonne ?
La voici prise au grand angle – Elle se trouve en Jurue – Coordonnées GPS: 6 49° 7′ 7.00″ N 6° 10′ 42.00″ E -. Propriété privée formant un tout avec cet asile, la chapelle Saint-Genest adjacente classée en 1929 date pour sa part du XIIe siècle et a appartenu du XVIe à la fin du XVIIIe à l’Ordre de Malte.
@ Mary Preud’homme
La priorité, vous conforter dans votre identité ! Je pense que tout le monde aura compris que vous avez toujours été de droite et que cette appartenance a beaucoup d’importance pour vous.
Comme vous êtes mélomane, je me suis dit, pourquoi ne pas le célébrer en musique ? Comme on ne peut s’attendre a priori à beaucoup de musique sur la fidélité politique, je me suis dis, Retour d’Ulysse de Monteverdi car auteur très important et si Pénélope s’exprime, cela donnera un bel air par quelqu’un exemple de fidélité :
https://www.youtube.com/watch?v=-Gk73FaKIsc
Pour le débat, Savonarole a raison, on s’étripe de plus en plus dans le même camp, à droite comme à gauche en oubliant celui d’en face… Misère, si le monde était meilleur, on aimerait ses amis et ne considérerait pas l’opposition comme ennemie !
Robert Marchenoir considère que la gauche est malhonnête intellectuellement, et doute donc de l’appartenance de droite des gens qui lui semblent malhonnêtes… Mais la malhonnêteté intellectuelle est de droite et de gauche, selon moi, l’honnêteté, aussi. Donc, Robert Marchenoir pense que vous êtes malhonnête, mais je crois que vous êtes honnête, et lui aussi… Je pense que vous ne voulez pas reconnaître vos points communs et des règles minimales communes de débat que j’ai cru opportun de vous proposer.
Je n’irais pas dire que c’est malhonnête par dépit, je dirais que chacun vit dans son monde, et que parfois, quand ils s’approchent sans consensus minimum sur les moyens de le faire, il y a un clash.
J’espère que vous n’en aurez pas trop souffert.
Point amusant, je ne crois pas en Dieu et aux prières comme vous avez l’air de le penser en m’ayant confondu avec Aliocha, mais sait-on jamais… Si vous vouliez prier pour la guérison de ma confidente, et, éventuellement, pour que je sois au niveau de cette personne, ce serait bien gentil… D’une certaine façon, elle me fait penser à Lou Andreas-Salomé, aimant la vie, qualité rare, créative, idem, pédagogue et inspirante, idem, et sur ce point que de conseils pertinents délivrés avec ce qui tient de l’esprit pour la précision chirurgicale et de l’humour pour la chaleur humaine, pour que je parvienne à faire et être quelque chose dont je puisse lui dire que c’est « grâce à elle », eh non, quoi qu’elle soit modeste autant qu’elle a de la classe, ce n’est pas abusif.
Sans elle, j’aurais coulé, par elle, j’ai progressé, si elle voulait mourir, il serait égoïste de vouloir qu’elle vive à tout prix, mais elle veut vivre, guérie, et je n’ai jamais vu quelqu’un qui soit si vivant, honnête intellectuellement, loyal, créatif et inspirant. Elle a aidé d’autres personnes, et elle pourrait le faire encore à d’autres, je ne pense pas qu’à moi, rarement, mais il existe des gens agissant par eux-mêmes autant que portant les autres à persévérer et se perfectionner.
Elle me dira, je lui ai demandé, quand aller la voir pour ne ni l’importuner ni l’abandonner dans sa maladie, je lui ai dit qu’on devrait peut-être laisser tomber mon projet, mais bien au contraire, elle dit que ça l’occupe et que cela a du sens pour elle. Elle dit que certains l’encouragent de manière tonique mais brutale, je lui dis alors que dois-je dire ? Elle ne sait pas, mais elle rit, approuve, genre je vois enfin quelqu’un qui pense comme moi, quand je lui fais remarquer que si on me disait, à moi, de faire quelque chose, tu n’as pas le choix, j’aurais envie de faire le contraire, oui… C’est une philosophe pas psychologue qui lui a sorti ça, ce qui m’a fait rire, et elle sourire, d’un sourire bienveillance-ironique-humour, en somme, dans tous les sens du terme, lumineux. Elle dit qu’en effet, ce genre de conseil lui fait cet effet, et je vois bien à son air qu’elle ne contrarie pas les gens, en général. Quel tact ! Pour repousser les conseils, entre autre.
Une fois, elle souriait parce que je ne trouvais rien à dire concernant ses problèmes de santé, cherchant quelque solution sans en trouver, et ne trouvant rien à faire que de regarder le ciel, et notamment les corbeaux que j’aime beaucoup, entre autre parce qu’ils sauvent de l’angoisse des vides, en l’occurrence intellectuel, de la tristesse de ne pas savoir quelle issue trouver à une situation qui semble ne pas en avoir…
Et quand elle donne quelque conseil que ce soit, elle a aussi beaucoup de tact, il y a de quoi être ébloui. Pour certains, une journée où il fait beau, c’est quand le soleil brille et je n’ai rien contre, attention, mais pour moi, c’est surtout quand nous nous rencontrons. Alors, si agnostique que je sois et ma confidente aussi, s’il y a la moindre chance que prier puisse aider, je vous prie de le faire pour ce qui a un sens pour moi puisque vous étiez sur le point d’essayer pour ce qui vous répugnait et n’en a pas pour moi.
@ Noblejoué | 03 juin 2018 à 09:17
J’ai déjà écrit que c’est mission impossible que tenter de dialoguer avec un sectaire, phallocrate, et infatué de sa personne qui vous noie sous des discours abscons ponctués d’injures, prétend avoir le monopole de ce que serait la bonne droite, tandis qu’il défend ses idées (ou plutôt ses obsessions) avec des méthodes staliniennes, ou fondamentalistes quand en panne d’arguments il renvoie grossièrement les femmes à leur âge (présumé), à leur foulard (hadith de ben Marchenoir) et à leur tricot, étant entendu que seuls les mâles de son espèce auraient le privilège du raisonnement logique et pousse la lâcheté jusqu’à s’en prendre à votre famille.
Ensuite arrêtez de parler de réconciliation à tout bout de champ, c’est insupportable. D’autant que charité bien ordonnée commence par soi-même, ce que votre « confidente » a dû vous apprendre.
Sachez enfin que la bonne entente est surtout fonction de la capacité d’écoute et de tolérance, si bien que l’on peut communiquer sans problème avec des personnes d’opinions diverses, s’apprécier et avoir de la sympathie, alors qu’avec un individu borné c’est comme déjà dit mission impossible.
So long !
@ Catherine JACOB
« Cependant si le cerisier à floraison perpétuelle vous plaît, pourquoi ne pas préférer à la manipulation de l’arbre, son ersatz en plastique recyclable ? Vu qu’on fabrique également des odeurs, vous pourriez même y vaporiser une odeur de fleurs de cerisier printanières. »
Ça me plaît pour l’idée de longévité, ne vous déplaise, si la fugacité symbolise notre mort proche, la perpétuelle floraison peut symboliser, pour moi, notre mort repoussée à plus tard. Pour cette raison, entre autre, j’aime particulièrement les résineux, et si on passe des symboles à la réalité, ceux qui vivent longtemps, longtemps, qui sans me consoler d’être aussi fugace qu’un vin sans caudalie, me font du moins plaisir pour eux et pour les habitants des lieux qui les verront au fil du temps.
Je ne suis pas pour abolir la vie, avec du plastoc, ni même la fugacité des cerisiers, car je pense à ceux qui ne pensent pas comme moi.
Il peut très bien exister différents types d’arbres, comme, par exemple, on retrouve aujourd’hui des cépages oubliés, si je ne venais pas de boire un vin de cépage oublié, bon et une découverte or moi, si je ne pensais pas aux forêts, aux arbres potentiellement immortels, le ressentiment aurait pris la place de la détente, or il ne vaut mieux pas pour « mon âme ».
Par-delà tous les symboles, chacun les siens, mieux vaut en effet aller en Chine si on veut des symboles de longévité, j’intègre celui de la fugacité des cerisiers japonais alors que je suis contre la mort, tandis que vous rejetez cette antithèse, ce cerisier que j’aurais dû vous laisser ignorer, par-delà les apparences, il y a le progrès de la connaissance, et on peut le penser, de la médecine dans l’article que je vous envoie, mais est-ce que ça compte ?
N’accroissons ni la vie, ni la connaissance, et critiquons le commerce pour détourner l’attention, comme s’il n’y avait pas d’autre part, si on veut tomber si bas dans la discussion, des gens tirant ACTUELLEMENT avantage de la mort : héritiers, croque-morts et prêtres qui tirent une force non négligeable de la peur de l’enfer et du désir de paradis et qui handicapent l’action désintéressée puisque l’angoisse du pire et la soif du meilleur sont devant les yeux des croyants.
« A cause des intérêts économiques en jeu, on est incapable de trouver une solution viable pour tout le monde à la question du Proche-Orient qui se révélera peut-être une jour avoir été comme le Titanic de l’Occident. »
Ce n’est pas si simple et ça remonte à plus loin. Trois religions monothéistes existent, et ces gens si sages, juste bons à encenser la mort aussi bien que le mort aux enterrements dans une de leur version dans le quotient, sont souvent pris de la frénésie de se faire la guerre comme on le voit au Proche-Orient. C’est le très long terme que vous oubliez, volontairement ou non, pas mon problème, je ne suis pas votre conscience historique, heureusement. Il y a le long terme, enfin, vu de notre époque précipitée. La Shoah… Eh bien, on a encouragé les Juifs à reprendre ce qui fut semble-t-il leur terre tout en étant devenue aussi celle des Arabes et donc ?
On a condamné ces deux peuples à une guerre perpétuelle, mettez deux peuples sur la même terre, sacrée, voir surtout Jérusalem, un qui se reconstitue après génocide, un qui garde la peur non seulement de l’encerclement mais aussi la hantise du passé, les Juifs, à cause du génocide, l’autre, les Palestiniens, qui paie le prix territorial du génocide commis par les nazis, soit des Européens qui ne voient pas pourquoi ils devraient payer pour nous, on les comprend, et un déficit d’eau, et la guerre sans retour est enclenchée.
Ce qu’il aurait fallu faire ? Expulser les Allemands d’un bout d’Allemagne, le donner aux Juifs, ne pas encourager Israël. Ni décourager. Il faut se tenir à distance du monde arabo-musulman et d’Israël, il faut s’en tenir éloigné comme des épidémies, d’ailleurs, c’est une épidémie, des gens tuent pour cela ici. Donc mesure sanitaire, plus d’émigration arabe, du moins arabo-musulmane chez nous… Il est trop tard pour la paix, vous avez remarqué ou non qu’il y a trop de colons juifs partout pour les évacuer, que donc les Israéliens vont s’étendre et les Arabes Israéliens devenir plus nombreux, que tout ça va devenir pire ? Bravo, sauf qu’il n’y a rien à faire, sauf s’écarter, ce sera guerre de cent ans, nucléaire ou génocide, un ou plusieurs, je n’en sais rien, mais une chose est plus que probable, il n’y a rien faire.
Pas mon genre de me poser la question de quoi faire quand il est trop tard… Quand je me désolais qu’un gouvernement mondial tyrannique soit indéracinable mais que cette idée continue, vraie épée de Damoclès sur notre tête, quelqu’un m’a dit de réfléchir à déraciner ça quand même… Que dire ? Je prouve par A plus B que c’est impossible, et je dois… Non, merci, l’absurde, ce n’est pas pour moi, jamais.
Vous ne supportez pas la grossièreté, une certaine forme d’humour, le cerisier à floraison perpétuelle ? Moi c’est la souffrance, la mort, la servitude, l’échec et l’absurde. On peut aussi dire que c’est subir. Donc, prévenir la formation d’un gouvernement mondial, décrédibiliser ça est un devoir, et me mêler de ce qui est quasiment trop tard Israël, ou ce qui serait trop tard si établi, gouvernement mondial, non, et tant pis pour l’actualité, désolé, chacun son agenda comme ses goûts.
Retour au désastre moyen-oriental… Peut-être que les Japonais ne sont pas obligés de régler les problèmes créés par les Européens, non, ou si, pourquoi ? D’autant qu’ils ont mieux à faire à mon avis, rétablir l’autosuffisance alimentaire, avec les problèmes prévisibles de pétrole venus des problèmes moyen-orientaux, mais pas seulement, peut-être des guerres, qui sait, ou l’écologie, plus d’énergie pétrolière et autre, il n’est pas sûr qu’ils puissent toujours recevoir de la nourriture de l’étranger contre leur haute technologie, et il y a la Corée du Nord, problème actuel, lui.
On n’y pense pas mais il y a le risque de submersion du Japon. Pour la submersion ? Construire pas mal d’îles artificielle, acheter des terres, étudier, qui sait, si on peut empêcher la chose, comme vous l’avez vu avec les cerisiers, l’impossible d’hier est parfois le possible de demain… Ce que j’aime chez les Japonais, c’est qu’ils peuvent très bien poétiser la fugacité et faire ce qui vous choque, et avoir un système de détection des tremblements de terre, jouir de la fugacité et y parer… Comment dire ? Ils ont deux sabres.
Vous savez que sur mes verres à vin, il y a le portrait de Rabelais et cette citation » Beuvez tousjours, ne mourrez jamais » ?
Pas sûr qu’il serait contre l’ambition d’éternelle jeunesse… Il y a ce mot, son amour de la vie, sa curiosité. Je ne dis ça que parce que vous parliez de Rabelais, mais le monde entier serait pour la mort que si je pouvais trouver moyen d’être éternellement jeune, je ne m’arrêterais pas pour si peu, et si je pouvais être quelqu’un de plus intelligent, je ne dirais pas non, non plus. Etre le sauveur de ceux qui le veulent ou le sauvé de ceux qui le veulent, qu’importe ? Il faut faire le mieux possible là où on est.
On peut aussi en avoir marre et se tuer… Avant la mort des proches, avant l’échec, avant la maison de retraite, avant, avant, avant qu’il soit trop tard. Comme au jeu, y aller ou pas selon ses cartes.
En somme, je ne fais que défendre des libertés essentielles : vivre, mourir et choisir.
Eh non, je ne connais pas ce dont vous parlez, merci donc de m’instruire…
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@ Mary Preud’homme
« …arrêtez de parler de réconciliation à tout bout de champ, c’est insupportable »
Si vous saviez combien je crains une guerre civile et diverses autres choses, vous ne m’en voudriez pas.
Quoi qu’il en soit, j’ai certainement eu tort d’insister.
D’autre part, je ne parlais pas que de ça. Le salut de la paix, de la vie et autres choses semblables, j’y pense sérieusement, donc peut-être lourdement ?
Donc pardon.
@ Mary Preud’homme | 03 juin 2018 à 15:29
« Phallocrate… »
Il y avait longtemps qu’on ne l’avait pas entendue, celle-là… Vous trahissez votre nature de vieille soixante-huitarde aigrie, jamais rangée des voitures contrairement à bien de vos collègues. On a droit à un certain quota de bêtises lorsqu’on est jeune, mais il est conseillé de tourner la page après un certain temps, sous peine de mal finir.
C’est très bien, la phallocratie. Qu’est-ce que vous avez contre la phallocratie ?
J’ai toujours rêvé être un maître dans l’art du Haïku, deux vers par saison, et que l’on m’honore pour cela :
« A l’ombre des fleurs de cerisiers
il n’est plus
d’étrangers »
Kobayashi Issa
Je t’embrasse bien fort, ma cerise réconciliée…