À Poissy, dans le quartier Beauregard, une trentaine de voyous ont agressé avec des tirs de mortiers, en criant : « Tuez-les, tuez-les ! », des policiers qui intervenaient légitimement.
C’est à Poissy, c’est en France et nous sommes en République (Le Figaro).
On ne pourra pas dire, pour se consoler, que le maire de Poissy, Karl Olive, a de l’humanisme écologique à revendre et que sa faiblesse serait responsable de la chienlit. C’est le contraire. Il n’est pas naïf sur le plan de l’ordre et de la sécurité et il tente de faire tout ce qu’il peut dans le cadre municipal actuel pour favoriser dans sa ville la tranquillité publique.
Pourtant c’est dans sa commune que la police a ainsi été attaquée.
Les voyous ne réagissaient même pas à une action des forces de l’ordre. Ils les attendaient et en quelque sorte d’initiative, sans l’ombre d’une crainte, ils s’en sont pris à elles en hurlant leurs menaces de mort.
Qui s’indigne véritablement face à ces séquences odieuses qui font douter de notre démocratie, de sa vigueur, de son courage ?
Sans vouloir abuser de la dérision, il est surréaliste de voir Gérald Darmanin et Marlène Schiappa s’intéresser ostensiblement au sort d’une jeune femme agressée par un voisin, qui n’a pas pu déposer plainte sur rendez-vous (Le Figaro).
Il est rétrospectivement amer d’avoir entendu le ministre de l’Intérieur traiter avec une forme de condescendance la présidente du RN qui sonnait un tocsin pas si absurde, ne lui en déplaise, ainsi que son prédécesseur Christophe Castaner (Le Parisien) ou le garde des Sceaux (Grand Jury).
Parce que le scandale de cette agression collective s’est déroulé à Poissy, en France, et que pourtant, apparemment, nous avons un gouvernement.
Certes ce dernier ne peut pas tout faire mais d’abord il pourrait faire plus en apportant d’emblée son soutien à la police victime de ces violences qui n’éprouvent même plus le besoin de se dissimuler.
L’arrogance des agresseurs, avec la certitude guère démentie de leur impunité, est révélatrice d’un climat où l’Etat ne fait plus peur, où l’autorité et l’omnipotence en l’occurrence dévoyées sont passées de l’autre côté de la société. La police est à la fois abandonnée et stigmatisée parce qu’elle se serait abstenue, ou qu’elle aurait réagi trop tard, ou en manquant d’urbanité face à des voyous.
Ces derniers sont d’autant plus sûrs d’eux qu’ils sont protégés par leur masse, qui rend quasiment impossible la démonstration de toute responsabilité individuelle. Et par cette certitude navrante que la police est trop souvent impuissante puisque, face aux menaces, aux jets divers et aux atteintes physiques, elle n’a pratiquement pas le droit d’user de ce que la loi l’autorise à mettre en oeuvre.
Cette configuration d’échec est d’autant plus préoccupante qu’elle crée un grave déséquilibre, sur le plan judiciaire, entre les pires voyous qui sont sans cesse exonérés, et les quelques policiers soupçonnés de violences illégitimes qui font l’objet – et c’est heureux – d’enquête, d’information puis de renvoi devant une juridiction.
Si on examine dans le détail les cinq situations qui permettent l’usage des armes à feu depuis la loi du 28 février 2017 commune à la police et à la gendarmerie, on constate qu’elles ne sont guère éloignées de la notion ancienne de légitime défense mais que surtout elles sont rarement concrétisées dans la pratique.
On pourrait s’en féliciter si des polémiques ne naissaient pas à chaque fois que légitimement la police les applique. Et pourtant on sent que la police est tétanisée, à cause d’une constante suspicion politique, sociale et médiatique, à la perspective de devoir faire usage de ses armes ; et donc elle ose rarement se défendre ou défendre autrui malgré la permission de la loi.
Les voyous sont alors tout-puissants, avec l’illimité de leur haine violente. Et la police se limite parce qu’elle sait qu’une présomption de culpabilité pèserait sur elle malgré le fait justificatif prévu par la loi de 2017.
Pourtant ce qui a été perpétré s’est passé à Poissy, en France et paraît-il dans un état de droit. Mais il est vrai que sa conception et sa définition en font la propriété exclusive des transgresseurs – le comble : la Défenseur des droits veut des zones sans contrôle policier ! – et ne sauraient supporter le réarmement de notre pays face au pire qui quotidiennement sévit.
Si j’avais approuvé le principe initial du Beauvau de la sécurité, ce n’était pas pour qu’il s’enlise dans des débats vains. Le réel, le vrai, l’éprouvant, la terrifiante et effective hostilité à l’encontre de la police n’ont pas été invités.
Pendant les tables rondes, il y a eu Poissy, en France, en République.
Zones sans contrôle d’identité ! Mazette, Voilà la dernière trouvaille du défenseur des droits, Claire Hédon. Au fait, par qui cette dame a-t-elle été élue ? Je n’ai pas souvenir de son élection à ce poste si ronflant. Donc, au nom de qui le défenseur des droits s’exprime-t-il ? Visiblement pas au nom des Français dont pourtant il devrait tirer sa légitimité.
Par ailleurs, cette proposition qui verrait une inégalité de fait s’installer en France entre zones avec et sans contrôle d’identité est-elle conforme avec l’idée de communauté nationale mais aussi avec l’esprit de la Constitution ?
Les propos de cette personne au titre ronflant ne mènent-ils pas au séparatisme ? Instaurer des zones sans contrôle d’identité n’est-ce pas favoriser des zones de non-droit dans lesquelles s’engouffreront toutes les revendications communautaires ?
On retrouve le fumeux « en même temps » de la macronie qui dit vouloir lutter contre le séparatisme mais qui à cause de cette proposition dangereuse du défenseur des droits annonce en fait la capitulation en rase campagne de ce gouvernement.
Je manipule l’opinion avec le Beauvau de la sécurité et en même temps je concède au recul de la France sur son propre territoire face aux revendications séparatistes et communautaires.
Comme l’expliquait David le Bars ce matin, la France va abandonner la protection de 95 % de la population de certains quartiers pour favoriser l’impunité de 5 % de délinquants qui pourrissent la vie des autres.
Il faudrait raison garder. Avec cette République en Marche, nous marchons de plus en plus sur la tête.
Là, cher hôte, vous frôlez la banalité, mais on en devine bien la raison: comme beaucoup vous en restez tétanisé, autrefois, on aurait dit, stupide.
Ces attitudes populacières n’ont rien de commun avec le peuple, elles ne concernent donc pas les politiques jusqu’au jour où ce type d’agissement mettra en danger directement un groupe social en principe non impliqué dans l’affrontement gendarmes/voleurs.
En tant que vieux citoyen, j’ai des souvenirs d’examen de mes papiers de véhicule par un gendarme avec des manières de nazillon ou de Stasi qui faisaient frémir ; aboiements, mépris, même en ayant vu ma carte professionnelle, approfondissement du contrôle sur ordinateur, et restitution brutale de mes papiers. Bien, il s’agissait sans doute d’un imbécile, gendarme en Corse par mauvaise fortune mais cette attitude peut faire comprendre une révolte permanente lorsque le régime politique en place n’est pas ferme sur ses bases.
Or, notre régime tiraillé entre un humanisme mondialiste difficile à interpréter et un corps social national très clivant sur des questions d’identité, est pris dans ses propres rets. On retrouve d’ailleurs notre modèle dans nombre de pays d’Europe. On confond volontiers la marche de l’évolution avec le progrès, dans son acception moderniste. L’amélioration du fonctionnement d’une chaudière est un progrès, la définition des choix sociaux est une marche de l’évolution, pas forcément un progrès, l’Histoire en est témoin.
Hier soir, France 4 présentait « Apocalypse – La paix impossible » après 1918, où les hauts dirigeants impliqués ainsi que leurs subrécargues Sc.Po. ou fonctionnaires de haut niveau ont jeté le monde dans 70 années de troubles majeurs en se vantant d’avoir créé un monde nouveau, alors qu’ils n’avaient que fait des progrès dans l’art de la contrainte militaro-industrielle et certains l’ont reconnu. La fonction célébrée, on pense à Clemenceau, n’est pas un gage de compétence.
Donc, ces jeunes hurlant leur haine, outre leurs motivations soi-disant religieuses, ne sont à redouter que s’ils ont un nombre suffisant de divisions à aligner, comme l’évoquait Staline. Quant au citoyen agressé, au policier malmené, il est comme l’arapède à son rocher: il a fait un choix électoral, professionnel, catégoriel. Quelque remise en cause qui intervienne, il aura toujours besoin d’un rocher pour survivre. La planète ne risque rien, mais l’humain, oui, comme jadis les monstres du Crétacé.
« Police : les tables rondes ne servent à rien ! »
Ben si, à prédire l’avenir, façon madame Irma 😀
Votre constat, Monsieur Bilger, est difficilement contestable et je retiens ce passage de votre billet :
« L’arrogance des agresseurs, avec la certitude guère démentie de leur impunité, est révélatrice d’un climat où l’Etat ne fait plus peur, où l’autorité et l’omnipotence en l’occurrence dévoyées sont passées de l’autre côté de la société. La police est à la fois abandonnée et stigmatisée parce qu’elle se serait abstenue, ou qu’elle aurait réagi trop tard, ou en manquant d’urbanité face à des voyous.
Ces derniers sont d’autant plus sûrs d’eux qu’ils sont protégés par leur masse, qui rend quasiment impossible la démonstration de toute responsabilité individuelle. Et par cette certitude navrante que la police est trop souvent impuissante puisque, face aux menaces, aux jets divers et aux atteintes physiques, elle n’a pratiquement pas le droit d’user de ce que la loi l’autorise à mettre en oeuvre. »
Votre dernière phrase m’a conduit à faire une rapide recherche sur Internet.
On tombe directement sur le site de Légifrance ici :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000025503132/LEGISCTA000034107968/
où l’on relève notamment : « Article L435-1 Création LOI n°2017-258 du 28 février 2017 – art. 1
Dans l’exercice de leurs fonctions et revêtus de leur uniforme ou des insignes extérieurs et apparents de leur qualité, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnés à l’article L. 211-9, faire usage de leurs armes en cas d’absolue nécessité et de manière strictement proportionnée :
1° Lorsque des atteintes à la vie ou à l’intégrité physique sont portées contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d’autrui »
Effectivement, lorsque l’on observe la manière dont policiers et gendarmes sont pris à partie par les délinquants de tout poil, tant dans leurs interventions quotidiennes qu’à l’occasion du maintien de l’ordre public (il suffit de se rappeler les méthodes d’agression dont ils ont été l’objet en novembre 2018 par exemple), les atteintes à leur intégrité physique restent bien l’objectif des agresseurs. Cela seul suffirait semble-t-il à justifier l’usage de leurs armes, ce qui n’a jamais été le cas jusqu’à présent.
Mais ces textes restent ambigus dans la mesure où les marges d’interprétation, et donc d’incertitudes pour les policiers et gendarmes sont trop grandes.
En effet, on peut s’interroger sur cette partie du texte de la loi : « …ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d’autrui ». S’agit-il d’armes par destination, par exemple les cocktails Molotov ou les mortiers d’artifice, de couteaux ou d’armes de type Kalachnikov ? Interrogation que vous traduisez ainsi : « Les voyous sont tout-puissants avec l’illimité de leur haine violente et la police se limite parce qu’elle sait qu’une présomption de culpabilité pèserait sur elle malgré le fait justificatif prévu par la loi de 2017. »
Le fond du problème reste que dans les actions de groupe des agresseurs, la Justice exige toujours de définir individuellement pour chaque personne interpellée le détail de ce qu’elle a pu commettre, les preuves de ses actes pour pouvoir condamner en individualisant les peines !
C’est donc bien ici que l’action de la justice en termes de répression pénale est totalement inefficace et contraint policiers et gendarmes à ne jamais faire usage de leurs armes létales même quand les conditions légales sont réunies par la seule crainte de courir eux-mêmes le risque d’être poursuivis par la Justice pour les blessures qu’ils auraient provoquées chez les délinquants du fait de l’usage de leurs armes… Donc que le droit se retourne systématiquement contre eux. Situation ubuesque par définition !
Vous avez donc raison de considérer que l’actuel Beauvau de la sécurité revient à discuter du sexe de anges pendant que la situation d’insécurité dans le pays devient alarmante au point de risquer de submerger la société française jusque dans nos campagnes parce que l’autorité de l’État n’existe plus.
Sans vouloir abuser de la dérision, il est surréaliste de voir Gérald Darmanin et Marlène Schiappa s’intéresser ostensiblement au sort d’une jeune femme agressée par un voisin, qui n’a pas pu déposer plainte sur rendez-vous
Je ne puis me prononcer sur cette affaire, mais il faut savoir qu’il existe en France un vrai problème voire un vrai scandale en ce qui concerne les dépôts de plainte.
La police fait le plus souvent tout pour refuser de prendre les plaintes en considération, sous le prétexte que cela « ne servirait à rien ».
Les plaignants se voient le plus souvent proposer un enregistrement de leur déclaration sur une main courante, qui n’a aucune valeur juridique et qui finira à la poubelle.
Ceux qui insistent pour faire respecter leurs droits font alors l’objet de diverses manœuvres tendant à les dégoûter, dont celle consistant à les faire patienter pendant des heures, sans toujours pouvoir arriver à leurs fins.
Si la police refuse de faire ce à quoi elle est normalement tenue, il reste la solution de s’adresser directement au Procureur de la République, à supposer que lui aussi ne se mette pas à créer une entrave à cette demande légitime.
Sommes-nous vraiment en démocratie et sous un état de droit ?
« Quand je veux enterrer une affaire, je crée une commission », disait Clemenceau.
Idem pour les tables rondes, groupes de travail, de réflexion, autant de façons de se donner bonne conscience et de s’abstraire du réel en restant toujours dans la parlote, des simulacres de projets totalement hors sol et qui ne déboucheront jamais sur rien d’autre que de nouvelles déconvenues.
Tout se passe comme si l’on avait oublié que policiers et gendarmes sont avant tout des hommes d’action, représentant l’autorité républicaine, formés pour faire appliquer la loi et maintenir l’ordre.
Alors qu’ils sont bridés de partout afin de les empêcher d’agir en flagrant délit, quitte à les accuser ensuite d’avoir mal fait leur métier ou pour quelques-uns d’avoir pété les plombs (montant en épingle le moindre incident).
Se rend-on compte que ces hommes et ces femmes, trop souvent lâchés par le pouvoir et lynchés par l’opinion publique, n’en peuvent plus de jouer tantôt les éboueurs, tantôt les têtes de turc de la société ? Sans parler de leurs familles (enfants en premier lieu) contraintes de se cacher afin d’éviter d’être de plus en plus prises à partie, insultées plus bas que terre, voire parfois menacées et obligées de déménager ou de changer leurs enfants d’école par crainte de représailles.
Mais dans quel pays vit-on où c’est la racaille et les médias couchés qui ont pris l’ascendant et dictent les lois ?
« Police : les tables rondes ne servent à rien… »
Ben oui !
Plusieurs, sur ce blog, vous avaient déjà dit que cette « com » ne servirait à rien.
Cela n’enlève rien à la qualité de votre billet mais cette constatation amène, une fois de plus, le nécessaire réalisme en matière d’interprétation des initiatives macroniennes.
Il m’a été reproché il y a quelque temps de pointer une certaine naïveté de la part de notre hôte sur la vision angélique qu’il donnait des avis et déclarations du président de la République.
En fait, je crains un mélange constant entre communication et information qui expliquerait une sorte d’angélisme qui ne discernerait pas l’une de l’autre.
Ainsi dans le JDD du week-end, un article consacré à la « com » de Macron parlant de la « croisade » engagée par le Président pour une vaccination générale du monde.
Au premier abord : sympathique bien sûr !
Mais en réfléchissant, la France est au 34e rang pour la vaccination et Macron se lance dans une campagne de vaccination mondialisée…
À ce jour, dans ma préfecture bretonne, à mon âge canonique et avec mes problèmes de santé nombreux, je ne serai pas vacciné avant avril au mieux. Malgré des heures au téléphone et sur ordinateur ! Pas de vaccins et tout est embouteillé.
L’information du jour : le variant brésilien du virus est arrivée en Bretagne dans deux écoles !
Et en même temps, Macron rêve et certains vont croire qu’il va mener la croisade de la vaccination du monde.
Il y a des moments…
Cordialement.
Quand la Défenseure des droits est à ce point naïve et inconséquente, on peut légitimement se demander à quoi elle sert.
Sa maladresse jette un trouble sur l’ensemble de sa fonction.
La dérive qui pourrait résulter de sa proposition fantaisiste: pour éviter toute réprimande, la police ne contrôlerait plus que les faciès blancs.
Budget 28 millions d’euros et 250 collaborateurs.
Tout cela est à réaffecter de manière plus utile.
Et les causes honorables ne manquent pas dans la période actuelle: les étudiants désargentés notamment.
@ Exilé
« La police fait le plus souvent tout pour refuser de prendre les plaintes en considération, sous le prétexte que cela « ne servirait à rien ». »
Exact. Je n’ai jamais réussi à déposer une seule plainte de toute ma vie auprès de la police.
Jamais.
De ce point de vue-là, je suis contraint de le constater: les policiers ne servent absolument à rien.
Faudrait que les gens filment les refus de dépôt de plainte dans les postes de police en caméra caché. En appliquant la mode du « testing ».
Bon. Il y a plein d’autres endroits qu’il faudrait filmer en caméra caché, hein…
Ma femme
J’ai rencontré ma femme par hasard. Je me suis marié trois mois plus tard. Elle a transformé ma vie. Certains se marient sept ou huit fois dans leur vie. Je n’aurais pas eu cette idée. J’ai eu bien de la chance de la connaître. J’ai vécu avec elle dans quatre pays d’Afrique, où j’enseignais le français, puis à La Réunion, puis dans ma ville natale, en Normandie. C’était la femme de ma vie. Elle n’est plus. Je ne l’oublierai jamais. Elle n’est pas remplaçable et ne sera pas remplacée.
Effectivement ! Dans cet État de « droit », qu’il me plaît fort d’abondamment moquer, il semblerait qu’aucun politicien d’opposition n’éprouvât le besoin de faire observer que la vermine craint moins la répression prévue par les institutions, que la police, celle de sa hiérarchie.
Attendez-vous à du concret, après cela !
Est-il envisageable, qu’un jour, excédés par le bridage constant de leur autorité, de leurs prérogatives, fût-ce dans des circonstances de légitime défense avérée, quelques policiers ou gendarmes décident eux aussi de… « péter une durite » ? Pétage de durite qui se solderait par un quarteron de racailles éparses, gisant de manière irréversible, au sol ?
Cela pourrait être un point de départ vers une ère nouvelle, où la peur changerait radicalement de camp. Oh, il y aurait bien de-ci de-là l’un ou l’autre tollé issu de l’indécrottable bien-pensance, quelques manifestations d’indignation, autant que de poncifs éculés, scandés dans des cortèges que l’on imagine clairsemées. Mais… au bout du dixième « pétage policier », comme dans tout autre domaine, la banalisation ferait son nid. Le désintérêt général grandissant s’ensuivrait. La résignation populaire aussi.
Un tel scénario radical, passage obligé vers un véritable rétablissement d’un ordre républicain en totale perdition, aurait été d’autant plus concevable, si, hélas, nos forces de l’ordre, n’avaient d’abord réservé leur férocité commanditée à des citoyens infiniment moins nuisibles et dangereux, pour la vie de nos pandores, que les hordes barbares, qui aujourd’hui les provoquent gratuitement, cherchant visiblement à en découdre pour le plaisir ou par défi. C’est une tache indélébile, qui ternira et pour longtemps, le prestige des soudards à la botte de Castaner.
Et bien entendu, aucune voix ne s’élève pour réclamer, sans la moindre ambiguïté, un semblant de retour à l’ordre et à la loi. Quel qu’en fut le prix pour la pègre !
C’est donc une France en perdition qui continue de s’enfoncer, lestée d’un « droitdelhommisme » sélectif, contagieux et délirant, soutenu par un conglomérat de traîtres et d’invertis, qu’un tribunal populaire devra bien, un jour, citer à comparaître, en place publique et à l’ombre de potences préalablement dressées, aux fins d’exécution immédiate et sans appel, dès les jugements rendus.
Et le plus tôt serait le mieux…
Rappelez-moi la définition de la « légitime défense » ?
« Tuez-les… Tuez-les… »
L’intention est clairement exprimée et la destination des « instruments » engagés l’est tout autant !
« Sans vouloir abuser de la dérision, il est surréaliste de voir Gérald Darmanin et Marlène Schiappa s’intéresser ostensiblement au sort d’une jeune femme agressée par un voisin, qui n’a pas pu déposer plainte sur rendez-vous »
1- Le cas de cette femme avec son bébé agressé par un voisin irascible ne saurait être minimisé car ce genre d’incivilité est de plus en plus courant et ne concerne pas seulement les racailles de banlieue. Ceci d’autant que le problème des femmes battues (même si dans le cas présent il ne s’agit pas de la sienne) est un fléau tout aussi préoccupant que celui de la délinquance, si l’on en juge par le nombre de femmes battues chaque année, avec trop souvent une issue mortelle.
Il était donc normal que Gérald Darmanin et Marlène Schiappa s’en émeuvent.
2- Ce sinistre fait divers ne doit certes pas occulter l’attaque de policiers par des racailles hystériques. Comportement parfaitement intolérable d’une jeunesse qui ne respecte plus rien car totalement livrée à elle-même. Les parents ont une large part de responsabilité dans ce genre de comportement. Il n’appartient pas à « la société » de faire ce travail éducatif à leur place. L’assistanat a ses limites.
Gérald Darmanin s’est exprimé à ce sujet en condamnant fermement les faits. Il convient maintenant que les agresseurs soient rapidement interpellés et punis avec la rigueur qui convient et non relâchés après quelques heures de garde à vue, avec un simple rappel à l’ordre, comme c’est trop souvent le cas (et ceci ne date pas seulement du mandat Macron).
3- Jacques Toubon n’était déjà pas une fusée, mais l’actuelle Défenseure des droits est vraiment irresponsable de proposer des zones sans contrôles, favorisant ainsi la délinquance, le trafic de drogue et l’insécurité des citoyens qui sont amenés à fréquenter cesdites zones.
D’ailleurs on se demande bien l’intérêt du Défenseur des droits dans la mesure où les lois sont là pour garantir les droits des citoyens et la Justice pour les faire respecter. Encore un comité Théodule destiné à caser des politicards en fin de course que l’on pourrait supprimer, d’autant qu’en la circonstance le droit à la sécurité des citoyens est carrément bafoué.
4- Que Gérald Darmanin ait traité avec « une forme de condescendance » la présidente du RN n’est jamais qu’un renvoi du berger à la bergère, car cette dernière ne manque jamais d’utiliser la même forme de langage, tout aussi condescendant, quand il s’agit de critiquer ce que fait le gouvernement.
À toutes fins utiles je vous ferai juste remarquer qu’aucun gouvernement, en 40 ans, n’a fait autant que celui-ci pour lutter contre la délinquance et le séparatisme. D’ailleurs il y a seulement un an ce terme n’existait même pas.
Tout ça pour dire que votre billet, essentiellement à charge, manque furieusement de recul. Je préférais le Bilger d’avant l’époque où vous fréquentiez Sud-Radio et la bande à Pascal Praud de CNews. Il y avait moins d’états d’âme et plus de hauteur de vue.
Là on sent que le libre penseur a un peu trop tendance à se relâcher pour piquer les idées des autres.
Il ne faudrait pas que ce blog devienne une pâle copie de celui d’Ivan Rioufol, ce serait dommage !
@ Achille
« Encore un comité Théodule destiné à caser des politicards en fin de course que l’on pourrait supprimer »
Oui, on pourrait le supprimer, non elle n’est pas politicarde à la retraite, mais journaliste à France Inter, la lie de la profession !
« À toutes fins utiles je vous ferai juste remarquer qu’aucun gouvernement, en 40 ans, n’a fait autant que celui-ci pour lutter contre la délinquance et le séparatisme. D’ailleurs il y a seulement un an ce terme n’existait même pas. »
Vous êtes fâché avec les chiffres, la délinquance est en hausse continue ; si le gouvernement veut lutter contre, il ferait mieux de changer de méthode.
Quant à la lutte contre le « séparatisme », vous plaisantez, non seulement le gouvernement n’est même pas capable de désigner le mal par son nom – l’islamisme – mais Macron qui s’y était essayé a eu peur de sa propre ombre et on en est maintenant à « conforter les principes républicains ».
Le meilleur des mondes, jusqu’au tremblement de terre final !
Il existe des zones discriminées qui ne subissent jamais aucun contrôle policier : les EHPAD !
Je dirais même que c’est du racisme puisqu’il n’y a que des Blancs dans ces hospices avec des noms bien gaulois et trop âgés, puisque tout le monde sait que notre police est raciste, elle ne contrôle que les djeuns colorés aux noms orientaux, des « Suédois » quoi !
Heureusement pour elles, ces racailles ont l’appui de l’impuissance publique : tweets flops fiascos grotesques du coquelet Darmarien et de la justice gauchiste complice des délinquants, sans parler des associations antiracistes gauchislamistes.
À noter en lettres d’or sur le pire bêtisier de l’histoire de France, la prestation de la défenseure des droits… des racailles, qui a fait rire le monde entier ; elle doit être écolo celle-là, y a que chez eux que l’on trouve de tels abrutis.
@ Patrice Charoulet | 15 février 2021 à 22:35
« C’était la femme de ma vie. Elle n’est plus. Je ne l’oublierai jamais. Elle n’est pas remplaçable et ne sera pas remplacée. »
Je vous présente mes condoléances pour cette perte irremplaçable.
@ Exilé | 15 février 2021 à 19:55
« Il existe en France un vrai problème voire un vrai scandale en ce qui concerne les dépôts de plainte. »
En effet. Et c’est le cas dans l’affaire évoquée par Philippe Bilger. Certes, il est ridicule de voir deux ministres s’occuper de voies de fait consécutives à un conflit de voisinage, mais s’ils ont dû le faire, c’est bien parce que l’attitude de la police a été scandaleuse dans cette affaire. Comme d’habitude, faut-il le préciser.
Selon Le Figaro : « Elle a tenté, dès le lendemain, de prendre rendez-vous au commissariat ‘pour ne pas attendre pendant quatre heures, avec ma fille, trop fragile pour le supporter’, ce qui lui est refusé. ‘La police refuse de me donner un rendez-vous et me dit que je dois me présenter et attendre comme tout le monde’, a-t-elle expliqué. […] Les agents de police auraient plutôt conseillé à son compagnon de ‘trouver une entente entre voisins’. »
Bien sûr ! Trouver une entente avec quelqu’un qui vient de vous casser la figure ! Heureusement qu’on a 5 millions de fonctionnaires pour nous donner d’aussi bons conseils !
En plus, comme la femme agressée se revendique du communisme et du racisme anti-blanc (« Un voisin, homme âgé, blanc, propriétaire, riche, n’a pas supporté que je laisse la voiture cinq minutes devant la porte de l’immeuble pour rentrer mon bébé en poussette… »), le conseil des policiers revient, en pratique, à demander à son compagnon, prénommé Hamza, d’aller casser la figure au responsable. Selon les bonnes habitudes de certaines populations.
On retrouve, dans ces déclarations, le fameux « faites comme tout le monde » des fonctionnaires communistes français, qui, eux, ont le droit de ne pas faire comme tout le monde, et par exemple de ne pas prendre les plaintes, de ne pas accepter de rendez-vous (ce qui tombe pourtant sous le sens), et surtout d’en faire le moins possible.
Il ferait beau voir que des citoyens puissent se présenter dans un commissariat en apportant du travail à faire à des fonctionnaires. Quel culot !
Je suis curieux : y a-t-il un autre pays, dans le monde, où les policiers font tout pour vous décourager de porter plainte ? Je veux dire, en dehors du Négrina-Fasso et du Bouboulistan inférieur ?
@ Robert Marchenoir !h32
« Il ferait beau voir que des citoyens puissent se présenter dans un commissariat en apportant du travail à faire à des fonctionnaires. Quel culot ! »
Anecdotes personnelles :
Au commissariat d’une ville balnéaire bien connue où je me suis rendu pour porter plainte contre un automobiliste ayant tenté de renverser mon fils qui, à vélo, l’empêchait d’accélérer, j’explique avoir la plaque d’immatriculation et le témoignage d’un facteur qui a vu la voiture foncer sur mon fils.
Réponse: on n’a pas le temps et ce sera parole contre parole…
Dans la même pièce une jeune Britannique me confie qu’elle attend depuis plus d’une heure de déclarer le vol à l’arraché dont elle a été victime (I want to report !). Réponse du préposé : on est débordé et sa plainte ne sert à rien.
Dans un autre commissariat d’une grande ville, je viens pour déposer une main courante signalant les menaces adressées à une jeune femme terrorisée par son voisin de palier qui l’empêchait de rentrer chez elle. L’inspecteur qui me reçoit au bout de deux heures d’attente me dit que j’ai du temps à perdre… Je l’ai finalement convaincu en lui demandant ce qu’il aurait fait si sa fille avait subi cette attaque…
Je me doute que le nombre de plaintes utilisé comme indicateur de l’insécurité doit à tout prix rester le plus bas possible…
@ revnonausujai | 16 février 2021 à 07:33
« Vous êtes fâché avec les chiffres, la délinquance est en hausse continue ; si le gouvernement veut lutter contre, il ferait mieux de changer de méthode. »
Emmanuel Macron a récupéré une situation qui était déjà désespérée. La faute à ses prédécesseurs qui, l’œil rivé sur les sondages, n’avaient d’autres préoccupations que leur réélection, le tout sur fond de clientélisme.
Le séparatisme qu’il soit indigéniste ou islamique avait déjà atteint le seuil critique.
Indigénisme sur fond de colonialisme qui aujourd’hui se traduit par le déboulonnage de statues de personnalités qui ont leur part d’ombre mais dont l’Histoire a surtout retenu leurs faits d’arme les plus glorieux.
Islamisme radical qui impose une vision politique de leur religion en détournant les textes du Coran pour imposer la charia.
Sans oublier quelques minorités « visibles » de notre société : féministes, homosexuels, transsexuels qui, se sentant opprimées depuis toujours, entrent elles aussi dans la danse.
A noter que ce type de conflits communautaires n’est pas spécifique à la France puisqu’on le trouve également en Grande-Bretagne, aux USA et dans d’autres pays de la Communauté européenne.
Le Beauvau de la sécurité, du blabla autour de tables rondes. Lyon : un Sénégalais sans-papier et condamné plusieurs fois refuse les tests PCR pour empêcher son expulsion.
Les immigrés clandestins ou non rentrent en France comme dans un moulin et ils refusent ensuite de repartir même s’ils sont condamnés à plusieurs reprises et expulsables. Pendant ce temps-là, G. Darmanin joue les gros bras avec Génération Identitaire qui veut stopper l’invasion migratoire non maîtrisée, ce que souhaite une majorité de Français. Faut-il dissoudre une majorité de Français ?
C’est à Poissy, c’est en France et nous sommes en République.
J’ai l’impression que Philippe Bilger n’est pas au courant du fait que Poissy et des centaines d’autres lieux comme Trappes et bien d’autres ne sont plus vraiment en France…
Et au fait, la France est-elle encore la France ?
Je trouve que les gens vont vite en besogne et sautent les pieds joints dans ce qui pourrait être un piège. Et si on attendait la version du voisin, pour mieux comprendre les faits ?
Je suis allé sur le compte Facebook de cette « blogueuse », on peut y lire « Zemmour me donne la nausée », « J’ai envie de me casser de cette France fasciste », « les gilets jaunes livrent des migrants à la police, la honte », « le RN c’est un nid de fachos », etc.
Ce ne serait pas la première fois que des militants d’extrême gauche inventent ou provoquent des faits pour valider leur combat. Attendons les deux versions.
@ Achille | 16 février 2021 à 01:41
« Là on sent que le libre penseur a un peu trop tendance à se relâcher pour piquer les idées des autres ».
Hahaha ! Ça va bien la tête Achille?
Par pitié Philippe Bilger, n’écoutez pas Achille, si jamais l’idée vous en avait traversé la tête. Continuez s’il vous plaît, à écrire tous ces billets qui réussissent jour après jour à nous faire phosphorer, échanger des informations, fulminer, nous épancher et débattre.
Achille, peu importe où l’on trouve son inspiration, c’est ce qu’on en fait qui compte. Les idées sont faites pour circuler, on ne les « pique » pas aux autres, sauf quand on se contente de les répéter sans analyse, sans style, sans caractère. Chacun fait son miel en butinant, c’est ainsi. La matière première de nos idées se trouve toujours chez les autres.
Accuser de plagiat l’auteur d’un blog aussi plein de personnalité, il faut le faire. J’ai failli m’étouffer de rire.
@ Achille | 16 février 2021 à 01:41
« À toutes fins utiles je vous ferai juste remarquer qu’aucun gouvernement, en 40 ans, n’a fait autant que celui-ci pour lutter contre la délinquance et le séparatisme. D’ailleurs il y a seulement un an ce terme n’existait même pas. »
C’est beau la candeur ! Que ce gouvernement ait « fait autant » en intentions ou en « nouveaux termes », la chose n’est pas contestable. Souvenez-vous, n’avait-il pas rêvé l’exercice de son son mandat, à l’aune d’une « équipe exemplaire » ? On a vu et revu depuis, comment le petit freluquet arrogant s’est ramassé. Et pas qu’une fois… Mais soyez tranquille ! Il est tellement déconnecté des réalités que ça ne doit pas l’empêcher de dormir.
Il a beaucoup fait, en effet. Comme d’insulter, de mépriser son peuple à diverses reprises. Il s’est même permis de bombarder, d’initiative personnelle, un Etat souverain, qui ne lui a rien fait, sous la seule influence de pays tiers, qui doivent encore en rire. Et comme, selon Audiard, les cons, ça ose tout, il s’est même rendu coupable de mutiler ses sujets. Le tout, sans avoir RIEN réglé ! Et certainement pas la violence, qui devient endémique, en France particulièrement. Ah il n’y a pas à dire, c’est un cador !
Le sort, ne laissant aucun répit à votre idole, elle fut ensuite confrontée à une terrible situation sanitaire – mais faut-il s’en étonner ? – qui dépasse outrageusement ses « compétences »
Pourtant il a pris toutes les mesures qu’il estimait adéquates, jusqu’au sabordage du pays. Si ce n’est pas admirable…
Si votre président bien-aimé lit ce blog, ça va lui réchauffer les entrailles, de compter malgré tout son passif, d’irréductibles admirateurs, se pâmant devant ce que la majorité des Français considèrent comme un désastre. L’optimisme béat à tout crin a, quoi qu’on en pense, ses limites. Celles qu’impose la décence élémentaire. Le summum serait que le peuple que l’on sait ô combien ingrat, réclame que votre petit prodige soit jugé…
@ caroff
« Je me doute que le nombre de plaintes utilisé comme indicateur de l’insécurité doit à tout prix rester le plus bas possible… »
Exactement.
Nous pouvons probablement y voir là une conséquence perverse de la « culture du résultat » voulue par M. Sarközy, pas forcément mauvaise en soi mais dévoyée dans sa mise en application.
@ Achille
« Emmanuel Macron a récupéré une situation qui était déjà désespérée. La faute à ses prédécesseurs qui, l’œil rivé sur les sondages, n’avaient d’autres préoccupations que leur réélection, le tout sur fond de clientélisme. »
Merci pour ce moment de franche rigolade !
Entre œil rivé sur les sondages, tout pour la réélection et le clientélisme, ce n’est même plus la paille et la poutre, mais carrément le maître-bau.
Encore une députée LREM dont la place devrait être au fond d’une poubelle: celle-là propose l’anonymat des lycées pour Parcours sup ! Prime aux lycées de me*de au détriment des établissements sérieux et des élèves méritants et, in fine, encore un abaissement du niveau des étudiants.
Si le paltoquet était un vrai chef, il ne se complairait pas à choisir des bons à rien comme séides.
Coïncidences : le Défenseur des droits demande la création de zones sans contrôles policiers administratifs, des adolescents de banlieue réclament la mort de policiers, le gouvernement fait des lois redondantes et de la communication creuse.
Espoirs : qu’un référendum purge la Constitution de rajouts jamais votés directement par le peuple comme le poste de Défenseur des droits, le Conseil constitutionnel hypertrophié ; qu’aucune loi ne soit plus votée pendant quelque temps (un an au moins ?) et que le gouvernement gouverne en faisant appliquer celles votées et en dirigeant ses fonctionnaires ; que la police guérisse du syndrome Malik Oussekine et applique avec fermeté une doctrine du maintien de l’ordre comme le suggère depuis longtemps Thibault de Montbrial.
Ces débordements cesseront quand la France sera devenue complètement islamiste c’est à dire très prochainement puisque l’ère des bisounours sera terminée et la charia appliquée. Comme on le sait on y coupe la main des voleurs et sans doute aussi celle de ceux qui s’y opposent. Mélenchon et consort se feront alors très discrets.
« Et pourtant on sent que la police est tétanisée, à cause d’une constante suspicion politique, sociale et médiatique, par l’obligation de faire usage des armes » (PB)
Savez-vous par quoi la police est véritablement tétanisée ??
Pas par les racailles dealers et Cie, non non, ils sont tétanisés paralysés par leur hiérarchie, des cadres de la police arrivistes padevaguistes padamalgamistes paix sociale sur ordre du pouvoir LREM qui a abandonné la République aux bandes et cartels islamogauchistes.
Tous ces gradés qui veulent de l’avancement et trahissent leurs hommes désarmés, démunis, seuls face aux barbares et toute la smala racialiste indigéniste droit de l’hommiste, défenseure des droits des racailles, justice gauchiste, qui pratiquent une véritable Inquisition contre ces flics chargés de faire régner l’ordre et appliquer la loi.
Malheureusement Macron et tous ses sbires, élus et alliés corrompus ont trahi la République en se soumettant aux islamistes, caïds, dealers et en préférant taper sur le baudet de la fable : la police.
« Il ne faudrait pas que ce blog devienne une pâle copie de celui d’Ivan Rioufol, ce serait dommage ! »
Rédigé par : Achille | 16 février 2021 à 01:41
Exact Achille, mais c’est trop tard.
@ Achille
« Islamisme radical qui impose une vision politique de leur religion en détournant les textes du Coran pour imposer la charia. »
Il s’agit là de la vulgate répandue par des islamistes passés maîtres dans l’art de la taqîya ainsi que par leurs collaborateurs félons à l’usage des benêts pour les tromper (en islam, il est légitime de recourir au mensonge et à la ruse pour circonvenir un adversaire que l’on ne peut pas encore asservir par les armes).
Quitte à rabâcher, rappelons que l’islam abusivement qualifié de radical est contenu dans le Coran, dans ses sourates « violentes » non abrogées (celles qui sont en vigueur) ainsi que dans divers textes dont les hadith.
Les tables rondes ne servent à rien !
Alors, pourquoi s’obstine-t-on à ne pas les faire carrées ou rectangulaires ? ; -))
@ caroff | 16 février 2021 à 09:50
Dites donc elle remonte à plus de 25 ans votre histoire d’inspecteur… (voir la réforme des corps de la PN en 1995)
Quant à porter plainte on peut le faire de plusieurs manières suivant les cas :
. main courante
. plainte simple
. avec constitution de partie civile
. citation directe
. pré-plainte en ligne
. plainte directe auprès du Procureur de la République par LR.
En cas de refus par les policiers ou gendarmes de prendre une plainte, il convient d’exercer un recours auprès du Défenseur des droits ou de signaler les manquements constatés à la déontologie à l’IGPN (police nationale) ou l’IGGN (gendarmerie) qui va diligenter une enquête.
Avec le risque pour certains plaignants compulsifs* de se voir déboutés voire parfois poursuivis pour diffamation ou faux témoignage. Ce qui n’est pas étonnant quand on constate y compris sur ce blog la hargne, l’ignorance crasse et la mauvaise foi concernant le travail de la police en général et le dur, ingrat et harassant métier de policier en particulier.
*de même qu’il y a des hypocondriaques qui vont voir leur médecin pour un oui pour un non on a le même genre de paroissiens habitués des commissariats qui viennent régulièrement faire leur petite visite, geindre pour des broutilles ou faire de la délation.
@ Achille 01h41
« Il ne faudrait pas que ce blog devienne une pâle copie de celui d’Ivan Rioufol, ce serait dommage ! »
Décidément, vous avez choisi de délivrer les bons et les mauvais points et même proposé récemment de faire le ménage à la place de Pascale Bilger !
Que n’ouvrez-vous un blog pour y distiller votre pensée profonde et avoir, qui plus est, le plaisir de saquer ceux qui vous indisposent ?
Parfois je lis ici des choses qui me hérissent le poil… je détourne les yeux et n’interviens que lorsque des inepties sont de sortie: ce qui est le cas pour vous.
@ Mary Preud’homme 14h14
« Dites donc elle remonte à plus de 25 ans votre histoire d’inspecteur… (voir la réforme des corps de la PN en 1995) »
Chère Madame, je sens chez vous comme une sensibilité à fleur de peau dès qu’un contributeur évoque la police dans ses (petits) travers.
Et bien voyez-vous ces anecdotes datent pour l’une de 2005 et pour la deuxième de 2019.
En plus c’est une banalité de dire, comme je l’ai fait, que les flics sont débordés et ne s’occupent désormais que des cas graves!!
Et encore n’ai-je pas signalé que dans la métropole où j’habite, les patrouilles évitent soigneusement les endroits bien connus où zonent les clandestins (mineurs non accompagnés, ou majeurs mal accompagnés!)….
Je n’ai pas d’animosité contre leur incapacité à rétablir l’ordre mais je déplore celle de leurs supérieurs qui les obligent à choisir des cibles plus faciles!
@ Mary Preud’homme 14h14
« Dites donc elle remonte à plus de 25 ans votre histoire d’inspecteur… (voir la réforme des corps de la PN en 1995) »
Chère Madame, je sens chez vous comme une sensibilité à fleur de peau dès qu’un contributeur évoque la police dans ses (petits) travers.
Eh bien voyez-vous ces anecdotes datent pour l’une de 2005 et pour la deuxième de 2019.
En plus c’est une banalité de dire, comme je l’ai fait, que les flics sont débordés et ne s’occupent désormais que des cas graves !
Et encore n’ai-je pas signalé que dans la métropole où j’habite, les patrouilles évitent soigneusement les endroits bien connus où zonent les clandestins (mineurs non accompagnés, ou majeurs mal accompagnés !)…
Je n’ai pas d’animosité contre leur incapacité à rétablir l’ordre mais je déplore celle de leurs supérieurs qui les obligent à choisir des cibles plus faciles !
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@ Exilé 13h30
« Quitte à rabâcher, rappelons que l’islam abusivement qualifié de radical est contenu dans le Coran, dans ses sourates « violentes » non abrogées (celles qui sont en vigueur) ainsi que dans divers textes dont les hadiths. »
Vous avez raison, mais il est tellement plus facile de répéter pour se rassurer les formules toutes faites: « l’islam c’est pas ça » !!
Je préconise pour tous les députés et les membres du gouvernement d’assister à un cours accéléré sur le contenu du Coran et ses déclinaisons !
@ Exilé | 16 février 2021 à 13:30
« Quitte à rabâcher, rappelons que l’islam abusivement qualifié de radical est contenu dans le Coran, dans ses sourates « violentes » non abrogées (celles qui sont en vigueur) ainsi que dans divers textes dont les hadith. »
Je vous invite à écouter les propos de l’Imam Chalghoumi qui était l’invité de Morandini ce matin.
Manifestement il existe un islam compatible avec les valeurs de la République. Encore faut-il que celui-ci prenne l’ascendant sur celui des imams autoproclamés qui viennent du Maroc ou des Emirats arabes.
@ Savonarole | 16 février 2021 à 12:58
« Exact Achille, mais c’est trop tard. »
Hélas Savonarole, je le crains fort !
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@ caroff | 16 février 2021 à 14:52
« Décidément, vous avez choisi de délivrer les bons et les mauvais points et même proposé récemment de faire le ménage à la place de Pascale Bilger ! »
Ainsi que je l’ai expliqué à Serge HIREL, il s’agissait d’une boutade qui manifestement n’a pas été comprise, surtout par les intervenants qui prennent tout au premier degré, ce qui n’est pas rare chez les gens de droite tendance Eric Ciotti ou Jean Messiha, dont vous faites manifestement partie.
Je ne donne pas plus de bons points que d’autres ne le font ici en traitant ceux qui ne sont pas d’accord avec leurs convictions de tous les noms d’oiseaux.
Quant à me prendre la tête à créer un blog, très peu pour moi. C’est beaucoup trop de travail. Pascale Bilger pourra vous le confirmer. Et puis n’étant pas une personnalité connue du grand public comme notre hôte, je risque de n’avoir aucun commentaire à mes billets.
Si jamais je venais à ne plus m’y sentir à ma place, rassurez-vous, je me retirerais en toute discrétion.
Mais pour l’instant ce blog me convient bien. Même si je ne lis plus nombre d’intervenants trop longs ou trop amphigouriques, j’y trouve quelques commentaires intéressants auxquels il m’arrive même de répondre…
@ caroff (@ Achille)
« Décidément, vous avez choisi de délivrer le bons et les mauvais points et même proposé récemment de faire le ménage à la place de Pascale Bilger ! »
C’est son droit de délivrer bons et mauvais points. D’autres ne s’en privent pas. Alors pourquoi pas Achille ?
Quant à faire le ménage sur ce blog, que proposeriez-vous ? Rien ? Madame Bilger laisse une large liberté d’expression. Si nos hôtes décident de la restreindre, c’est aussi leur droit. Et comme toute chose, cela se juge largement sur les conséquences.
« Parfois je lis ici des choses qui me hérissent le poil… je détourne les yeux et n’interviens que lorsque des inepties sont de sortie: ce qui est le cas pour vous. »
Moi aussi, nombre de choses que je lis me hérissent le poil. Mais si nous ne lisons que ce qui nous plaît, il y a peu de chance que ce que nous lisons nous permette de changer d’avis… Tout comme il y a aussi peu de chances que des inepties nous fassent changer d’avis…
Mais l’avantage des inepties, c’est qu’il faut réfléchir un peu pour les démonter. Contrairement aux propos qui nous plaisent et qui, à moins d’être particulièrement intelligents, suscitent souvent l’économie de notre pensée.
Sinon, la vidéo sur ce qui s’est passé à Poissy est assez édifiante. Soit ces personnes ont d’excellentes excuses qui justifient tirs de mortiers, jets de pierre et propos respectueux de la police. Soit ils n’en ont pas, et je pense qu’à un moment, il convient tout de même de rentrer dans le tas.
Le maire de la ville, Karl Olive, semble « appeler au calme ». Je ne comprends pas. Pour moi, ce genre d’événements justifie caméras, infiltration, drones, et plus généralement méthodes implacables qu’on réserverait aux mafias. Pas un « appel au calme ». Au contraire.
Karl Olive affirme aussi que « cette vidéo n’aurait pas dû atterrir sur les réseaux sociaux »… au contraire, au contraire… qu’on cesse de dissimuler la réalité, Karl… Merci à TV78, « la chaîne des Yvelines » de mettre cela sur YouTube.
Bon, cela dit, Karl Olive n’affirme pas que des idioties, loin de là. Mais je ne comprends pas qu’on appelle au calme dans ces circonstances ou qu’on affirme que ces faits n’auraient pas dû être portés à la connaissance du public. Je ne comprends absolument pas qu’on puisse affirmer cela.
« Les tables rondes ne servent à rien !
Alors, pourquoi s’obstine-t-on à ne pas les faire carrées ou rectangulaires ? ; -)) »
Rédigé par : Exilé | 16 février 2021 à 14:13
Ce n’est pas faux et même historique…
Le malheureux Richard Nixon avait initié votre suggestion.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Diplomatie_du_ping-pong
Le constat selon lequel « les tables rondes ne servent à rien » n’est hélas pas nouveau, pas plus en matière de police qu’en tout autre domaine d’ailleurs, et l’on se demande bien pourquoi dans ces conditions ces pratiques persistent alors qu’en termes de résultats, la taille de la souris est en règle générale inversement proportionnelle à celle de la montagne qui en a accouché !
Ces grands, souvent trop grands, débats ne sont que des écrans de fumée dressés à la hâte lorsqu’un problème survient pour finalement mieux le masquer, pour temporiser en apaisant les esprits et en montrant que l’on se saisit bien du sujet.
Mais au bout du compte, on met ainsi en branle une lourde machine, peu maniable, qui s’embourbe fréquemment dans la masse des doléances et propositions émanant d’horizons divers et dont il sera toujours difficile de faire jaillir une synthèse parfaite, repoussant qui plus est toute décision finale aux calendes grecques là où l’urgence pourtant se manifeste.
Sous couvert de démocratie, le pouvoir se défausse en fait de ses responsabilités sur un sujet où les attentes des Français sont connues, où les données du problème sont identifiées mais où, par manque de courage, de volonté, pour afficher des valeurs humanistes qui servent en fait nos adversaires alors qu’elles devraient être au service de l’immense majorité des citoyens, ce pouvoir se refuse à trancher.
Ce dont le pays a surtout et enfin besoin, c’est de moins de bavardages mais de plus d’efficacité !
@ Achille
« Je vous invite à écouter les propos de l’Imam Chalghoumi… »
Je connais de réputation le « gentil » imam Chalghouni, qui nous a été souvent montré en exemple par Ivan Rioufol.
Mais je crains que cet imam soit volens nolens au mieux un idiot utile du véritable islam, celui qui a été revendiqué sans aucune ambiguïté par le Beau Modèle en personne comme un islam de conquête et de soumission totale, ce qui suffit à trancher la question une fois pour toutes.
Les exemples sanglants à l’appui depuis plus d’un millénaire sont là pour le prouver.
@ caroff | 16 février 2021 à 15:07
Ne serait-ce pas plutôt vous qui venez de manifester un certain agacement du fait de votre ignorance concernant les fonctions et les grades dans la police nationale depuis 1995 ? Ignorant en outre que l’on pouvait porter plainte de diverses manières comme je l’ai rappelé, qu’il existait en outre des recours et qu’en cas de refus justifié* de prendre une plainte, le policier ou le gendarme était fautif et devrait en répondre devant les instances disciplinaires de son institution (IGPN ou IGGN).
*Je fais allusion aux plaignants compulsifs et paranoïaques qui viennent se plaindre pour un oui pour un non, voient des complots imaginaires partout et font de la délation. M’est avis qu’il y en a quelques-uns sur ce blog et fort heureusement la police ne tient pas compte des délires de ce genre de malades…
@ Achille 16 février 2021 à 16:01
Eh bien non ! Naïf que je suis, j’ai cru un instant que votre commentaire du 16 février à 01:41 était à prendre de A à Z au second degré de l’humour, comme celui dans lequel – pour rire, avez-vous rectifié a posteriori – vous éjectiez notre médiatrice de ses responsabilités. Eh bien non ! Votre « credo in unum deum patrem omnipotentem » est tout à fait sérieux. Avez-vous pensé à l’écrire agenouillé devant une sainte photo de Jupiter auréolé ?
J’avoue que, devant une telle accumulation de faux arguments et de vraie mauvaise foi, je n’ai aucune envie de tenter de développer une réponse, encore moins circonstanciée. Sauf sur un point : il me paraît particulièrement malotru de brocarder Philippe alors que vous utilisez son blog pour transmettre vos louanges au Seigneur Votre Dieu de l’Elysée.
Une telle piété mérite récompense de la part de celui-ci. Il en dispose de quelques-unes, fort alléchantes, dont il a amélioré la qualité depuis son élection. Que diriez-vous d’un séjour d’une semaine de vacances tous frais payés dans l’une des destinations paradisiaques suivantes: la cité Beauregard à Poissy, la cité des Musiciens aux Mureaux, Trappes ou le quartier des Peintres au Val Fourré à Mantes-la-Jolie ? Compris dans le forfait : incendie de votre voiture – et remboursement de celle-ci -, initiation à la consommation de drogue – la première dose est gratuite -, bagarres dans les halls d’entrée, concours de tags, visites de mosquées salafistes, vociférations anti-françaises, rodéos à toute heure et guet-apens anti-flics. Si vous avez de la chance, vous pourrez même assister à un règlement de comptes à la kalachnikov…
Mieux, bien mieux que le Club Med n’est-ce pas ? Le GO du Château offre même les soins hospitaliers si, d’aventure, un tir de mortier vous atteignait ou si l’un des autochtones, repérant votre appareil photo, appelle à la rescousse deux ou trois indigènes pour vous faire passer l’envie d’oser mettre les pieds dans un territoire perdu de la République.
Je ne doute pas qu’après une telle découverte de la réalité des banlieues, vous n’adressiez des remerciements enflammés à votre Dieu.
Par ailleurs, merci de ne plus tenter à l’avenir d’identifier mes préférences politiques, en tout cas de faire part de vos déductions urbi et orbi. Ai-je écrit un jour que vous étiez macroniste ? Vous idolâtrez Jupiter et Sainte-Brigitte, rien de plus…
Les faits divers se suivent et se ressemblent. Après Trappes, Poissy. Ceci m’a rappelé une histoire de ces territoires dits perdus de la République. Une jeune collègue qui habitait Paris la semaine, rentrait chaque week-end chez ses parents qui habitaient au Val Fourré à Mantes-la-Jolie. Dès le vendredi matin, elle s’en tracassait, le lundi elle nous racontait déjà ce qu’on entend maintenant. Nous étions en 1978/1979. C’est dire si tout cela n’est pas récent.
Toutes – ou presque – nos banlieues sont inflammables. Le problème c’est que depuis quelque temps tout s’accélère. Nos dirigeants politiques ont fermé les yeux pendant des décennies et se satisfaisaient de repeindre les cages d’escaliers et d’injecter des millions. Cela ne suffit plus.
Emmanuel Macron, lui, a compris le danger dont il avait hérité. Il a changé de méthode, il a utilisé la câlinothérapie par exemple en Algérie en s’excusant des crimes de la France, en prenant fait et cause contre la colonisation, ce qui est pire car cela nous rend coupables de tout et donc redevables de tout.
Rien ne marche car c’est trop tard. Pire, nous continuons à absorber des milliers de migrants qui arrivent sans que personne ne dise jamais parmi nos politiques que nous ne pouvons plus les absorber, d’autant que nous savons que la très grande majorité est musulmane. C’est un fait évident.
Voilà la loi sur le séparatisme adoptée en première lecture pour donner le change car nous savons que déjà cette loi est vide de toute substance permettant à tous les Français anciens ou nouveaux de vivre avec les mêmes valeurs.
Tout le monde le sait et juste ceux qui se veulent plus intelligents disent que cela va changer les choses.
Gérald Darmanin a voulu prouver sa bonne volonté en affrontant le CCIF, sauf qu’à peine dissoute, l’association islamique s’est reconstituée à Bruxelles sous le nom de CCIF Europe.
Ces gens sont plus forts que nos dirigeants parce qu’ils bénéficient de complicités auprès d’associations, d’avocats et de puissants internationaux.
D’ailleurs de son côté Emmanuel Macron a nommé Mme Hédon au poste de Défenseur des droits, non pas parce qu’elle avait une solide expérience en matière juridique ou administrative mais parce qu’elle avait travaillé au sein d’une ONG. Et nous savons la puissance de ces ONG dans beaucoup de domaines. L’islamo-gauchisme au pouvoir pour clairement ne défendre qu’à sens unique… et donc pour avoir la paix en donnant des gages.
A quoi bon former des grands commis de l’Etat à l’ENA, à l’ENM, à l’école des Impôts, à l’IUFM, etc. à quoi bon des fonctionnaires ayant acquis une solide expérience dans un domaine précis pour ensuite nommer consul des amis écrivains, préfète (dans le Loiret) une ingénieur des eaux, ou une obscure et jeune journaliste comme Défenseur des droits ?
Emmanuel Macron a la volonté de tout balayer du passé et cela lui revient en boomerang. Le problème des banlieues ne pourra se régler qu’avec des petites phrases ou des colmatages au jour le jour selon les faits divers de plus en plus graves.
A un moment il lui faudra bien parler vrai même si cela dérange sa gauche car tous ces faits divers qui paraissent sans importance en disent beaucoup sur l’état de la société.
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@ Patrice Charoulet
Bel hommage à votre épouse.
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@ Achille
Heureusement qu’il y a des commentaires intéressants et variés qui vont à rebours des platitudes enamourées envers le Président, c’est tout l’intérêt de ce blog.
@ Mary Preud’homme
« Je fais allusion aux plaignants compulsifs et paranoïaques qui viennent se plaindre pour un oui pour un non, voient des complots imaginaires partout et font de la délation. M’est avis qu’il y en a quelques-uns sur ce blog et fort heureusement la police ne tient pas compte des délires de ce genre de malades… »
Auriez-vous l’obligeance de me regarder dans les yeux pour que je puisse arriver à suivre votre regard ?
@ Michelle D-LEROY | 16 février 2021 à 20:31
« Ces gens sont plus forts que nos dirigeants parce qu’ils bénéficient de complicités auprès d’associations, d’avocats et de puissants internationaux. »
C’est plus simple et donc plus compliqué.
Ils appliquent le vieil adage attribué successivement à Einstein, Churchill, Lénine ou Luther, à tous ceux qui savaient ce qu’ils voulaient :
« Là où il y a une volonté, il y a un chemin ».
Il n’y a pas de volonté chez nos dirigeants et depuis longtemps, à la fois par idéologie bien-pensante ou mondialiste, par intérêt économique à court terme, par lâcheté.
Tous ces ingrédients qui évitent d’affronter la réalité et la vérité d’une situation qui commence à être désespérée.
Hélas, je ne crois pas qu’on puisse faire l’économie d’une confrontation brutale, sauf à abdiquer.
Et encore !
@ Michelle D-LEROY 20h31
« A quoi bon former des grands commis de l’Etat à l’ENA, à l’ENM, à l’école des Impôts, à l’IUFM, etc. à quoi bon des fonctionnaires ayant acquis une solide expérience dans un domaine précis pour ensuite nommer consul des amis écrivains, préfète (dans le Loiret) une ingénieur des eaux, ou une obscure et jeune journaliste comme Défenseur des droits »
C’est la fameuse ouverture à la société civile qui est en effet, souvent, un habillage pour caser ou recaser des proches.
Cela étant, il n’est pas toujours mauvais de recruter des personnalités dont l’itinéraire est de nature à éclairer d’un autre jour les décisions parfois déconnectées des réalités. Ce n’est malheureusement pas à l’ENA que le bons sens et la perception des réalités sociales sont enseignés !
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@ Mary Preud’homme 18h10
« Ne serait-ce pas plutôt vous qui venez de manifester un certain agacement du fait de votre ignorance concernant les fonctions et les grades dans la police nationale depuis 1995 ? »
Parce que pour parler des grandeurs et servitudes de la police il faudrait en connaître les grades ??
Vous déraillez complètement chère Madame !
@ Serge HIREL | 16 février 2021 à 20:14
« J’avoue que, devant une telle accumulation de faux arguments et de vraie mauvaise foi, je n’ai aucune envie de tenter de développer une réponse, encore moins circonstanciée. Sauf sur un point : il me paraît particulièrement malotru de brocarder Philippe alors que vous utilisez son blog pour transmettre vos louanges au Seigneur Votre Dieu de l’Elysée. »
Eh bien dites donc heureusement que vous n’aviez pas l’intention de développer une réponse ! 🙂
Brocarder Philippe Bilger quand il tient des propos directement inspirés de ceux de Rioufol, de Zemmour et de la bande de Pascal Praud fait partie des règles de ce blog dans lequel il est permis de donner son opinion, même quand elle est peu flatteuse, envers l’auteur. Je ne pense pas avoir été discourtois.
Venir sur ce blog simplement pour dire que l’on est d’accord avec le contenu du billet ne présente pas vraiment d’intérêt et je ne pense pas que c’est ce qu’attend Philippe Bilger. Je doute qu’il apprécie les zélateurs obséquieux. Rien de plus stimulant que d’avoir quelques contradicteurs.
Si vous prenez la peine de lire mes commentaires vous remarquerez que je suis souvent d’accord avec lui. Y compris dans celui de 1 h 41, notamment pour les points 1, 2 et 3. Ce n’est guère que sur le point 4 que je ne partage pas sa position. Je pense que j’étais en droit de le lui faire savoir d’autant qu’habituellement il ne montre jamais une grande sympathie pour MLP.
Quant à mon adoration pour « mon dieu » Macron, ainsi que vous vous plaisez à appeler ce qui n’est rien d’autre qu’un soutien, je vous rappellerai simplement que je n’ai pas voté pour lui au premier tour de l’élection de 2017.
Ce n’est que quelques mois après son élection que j’ai pris le parti de défendre sa politique, tout en condamnant ses maladresses. Bref pas vraiment de l’ « adoration ».
Ce n’est guère que la médiocrité des leaders de l’opposition de droite, mais aussi (et surtout) de gauche, rassurez-vous qui me pousse à le soutenir.
D’autant que, dans le contexte actuel, la situation du pays n’est pas aussi catastrophique que ses principaux détracteurs veulent bien le dire. D’autres pays de la CE sont bien plus mal lotis. Et même l’Allemagne n’est pas vraiment dans une posture bien meilleure que la nôtre.
Ce qui est un peu regrettable sur ce blog, c’est le côté vindicatif, limite haineux, dès que l’on a le malheur de critiquer la droite dure et le RN.
On se croirait revenus au temps des ratonnades. C’est assez pitoyable.
@ Lucile | 16 février 2021 à 11:24
« Accuser de plagiat l’auteur d’un blog aussi plein de personnalité, il faut le faire. J’ai failli m’étouffer de rire. »
Je ne nie pas la personnalité originale de Philippe Bilger qui a su, tout au long de sa carrière et même après, se distinguer par son franc-parler et son indépendance d’esprit. Ce qui lui a valu d’ailleurs quelques petits problèmes avec sa hiérarchie à une certaine époque.
Je regrette que depuis quelque temps nous ne puissions plus profiter de ses positions souvent décalées, parfois contradictoires, rejoignant ainsi le camp d’une opposition en mal d’inspiration dont les propos insipides se bornent à contester par principe, sans proposer de solutions pertinentes en retour.
Rassurez-vous, je doute que ce commentaire un peu acide le fasse changer d’avis. C’est toutefois dommage car j’ai connu une époque où il était plus percutant.
Ceci étant, faites attention quand vous lisez mes commentaires. Ils peuvent parfois surprendre.
Détendez-vous, respirez un bon coup. Je ne voudrais surtout pas qu’ils provoquent chez vous un étouffement qui vous serait fatal.
Vous nous manqueriez ! 🙂
@ Achille | 17 février 2021 à 01:04
« Ce qui est un peu regrettable sur ce blog, c’est le côté vindicatif, limite haineux, dès que l’on a le malheur de critiquer la droite dure et le RN. On se croirait revenus au temps des ratonnades. C’est assez pitoyable. »
J’adore ce morceau sauf qu’il peut être interprété différemment :
À vindicatif, pour mon cas perso je prifeure « jouissif » car on ne critique que ce qu’on envie et je suis fier d’être qualifié de facho réac catho homophobe islamophobe RN… ce sont des qualités indéniables à l’époque pourrie par l’islamogauchisme collabo macronien que nous vivons.
Identitaire, j’ai failli oublier cette Légion d’honneur patriote, blanc de souche chrétien antimigrants, scuse, c’est très à la (Allah) mode en ce moment, identitaire !
Je soutiens à donf ces jeunes patriotes blancs GI résistants aux envahisseurs islamistes complices des racailles gauchistes de tous les partis de gauche et assoçs droits de l’hommistes défenseure des droits des racailles.
Comme pour Charlie je crie haut et fort : « JE SUIS GI ».
Ratonnades ? mais quel bonheur nostalgique vintage !
Sauf que ceux qui sont ratonnés aujourd’hui, ce ne sont plus ceux qui étaient ratonnés à l’époque bénie des colonies.
Les ratonnés c’est nous, les blancs de souche vrais Français qui se font ratonner par les ratonneurs maghrébins musulmans islamistes de banlieues zones à risque défendues par la défonseuse des droits des racailles qui participe idéologiquement à la pire des ratonnades envers un peuple envahi colonisé détruit islamisé par tous ces envahisseurs nazislamistes accueillis à bras ouverts par la clique traître collabo macronienne.
Les temps changent, les nazis d’aujourd’hui sont noirs marrons gris de gauche islamistes genrés homos trans de préférence.
Les ratonneurs de jadis, Gaulois de souche, sont remplacés efficacement par les ratonneurs islamogauchistes, en plus grand nombre et protégés par notre constitution collabo soumise.
Merci cher Achille de m’avoir inspiré ce matin, je ramais et j’ai sauté sur vous, vous êtes ma muse.
Reste à savoir si ça va plaire à notre hôte et surtout à Pharos à qui j’envoie mon doigt d’honneur préféré, mais c’est pas grave, ce que je dis là est souvent entendu dans les « cafés du commerce » tant dénigrés par les intellos bobos gauchos précieuses ridicules plumes au c*l de la macronnerie, le plus important c’est le bouche à oreille, à très grande vitesse de propagation, très efficace et impossible à censurer.
Les Français sont champions en bien des domaines, temps de travail, fiscalité, nombre de fonctionnaires etc., et de l’indignation.
Du moins sélective : sur Russie, oui ; sur la Chine, non.
Mais qui ose dire qu’il faudrait ouvrir des camps de rééducation musclés type USA de Trump pour les « jeunes », et des bagnes type USA de Trump aussi pour bien d’autres ?
C’est pourtant la seule solution. Le reste, c’est du pipeau avec ici P. Bilger comme chef d’orchestre.
@ caroff | 16 février 2021 à 23:46
Je vous avais simplement fait remarquer (malicieusement) qu’il n’y avait plus d’inspecteurs dans le second corps de la police nationale depuis 1995 et que votre anecdote devait beaucoup dater. De même avais-je pris la peine de vous énumérer les différentes façons de porter plainte et recours en cas d’obstruction.
Pas la peine de grimper sur vos ergots et venir m’insulter pour autant !
Et pourtant on sent que la police est tétanisée, à cause d’une constante suspicion politique, sociale et médiatique, à la perspective de devoir faire usage de ses armes ; et donc elle ose rarement se défendre ou défendre autrui malgré la permission de la loi.
Mais cher monsieur Bilger, vous êtes bien placé pour savoir qu’il y a la loi d’un côté et l’interprétation que les magistrats pourront en faire, ce qui s’apparente souvent à une loterie.
C’est déjà un problème en matière de liberté d’expression (par exemple comment définir ou quantifier un degré de « haine » supposée ?) mais cela l’est aussi et surtout en matière de légitime défense où le recours aux armes doit être instinctif en quelques centaines de millisecondes, donc sans pouvoir récapituler la jurisprudence en la matière.
@ sylvain | 17 février 2021 à 09:12
Sacré sylvain. Vous êtes la parfaite illustration du franchouillard tel que se l’imaginent les étrangers, notamment les Anglo-Saxons. Je suis sûr que Lucile ne me démentira pas.
Vos propos ne passeraient sur aucun blog, même pas celui de Rioufol, sauf peut-être celui de Génération Identitaire (s’il existe).
Ainsi que vous l’avouez vous-même il n‘y a guère qu’ici que vous pouvez donner libre cours à vos élucubrations.
Ceci étant je doute que vos délires servent vraiment la cause que vous voulez défendre. Serge HIREL a sans doute son avis sur le sujet vu qu’il a un avis sur tout.
Au fait vous avez vu la porte-parole de Génération Identitaire ce matin dans l’Heure des pros ? Elle est canon la bougresse ! Pas étonnant que l’avocat Gilles-William Goldnadel ait décidé de défendre la cause de ce mouvement d’extrême droite…
Bon je rigole, mais sur ce coup-là, il me déçoit un peu.
@ Michelle D-LEROY | 16 février 2021 à 20:31
Il y a en plus de ce que vous dénoncez la politique suivie depuis plus de quinze ans dite de « l’externalisation » : le privé étant censé faire mieux et moins cher que le public, on a supprimé de nombreuses compétences dans la plupart des ministères. Et, au ministère de la Défense ou de l’Intérieur, cela s’est doublé de la « civilianisation », c’est-à-dire le remplacement des fonctionnaires avec leurs statuts et leur indemnités diverses par des « civils » sous contrats simples, donc moins chers.
Si monsieur Jospin s’était principalement attaqué au budget de la Défense en s’en servant de variable d’ajustement du budget de l’État, le premier à avoir initié ces transferts et suppressions de postes à grande échelle a été monsieur Sarkozy, suivi par monsieur Hollande jusqu’à l’attentat du Bataclan qui a montré les effets pervers de cette politique. Il suffit de se souvenir encore de la réduction du format des armées qui a suivi leur professionnalisation sous monsieur Chirac, là aussi initiée par monsieur Sarkozy et poursuivie par monsieur Hollande.
Jusque-là la fonction publique développait toutes ses compétences en interne. Et l’on en voit le résultat dans la gestion de la pandémie actuelle par le ministère de la Santé. Il a fait appel à de multiples cabinets de consultants, dont McKinsey. Le Palmipède de ce jour fait état du résultat de la communication desdits contrats demandée par la députée LR Véronique Louwagie. Alors qu’initialement le Canard avait estimé à 4 le nombre des cabinets, l’enquête de la députée débouche sur 7 cabinets. McKinsey bénéficie d’un premier contrat à 3,2 millions d’euros suivi d’une rallonge de 800 000 €. Dix autres contrats ont été signés.
On en est arrivé à s’apercevoir que l’organisme Santé publique France ne disposait même plus d’un logisticien et donc le ministère a fait appel à un agent extérieur pour assurer « la gestion des stocks, la planification et l’envoi des vaccins »…
Ainsi va la France gouvernée par des gestionnaires issus notamment de l’ENA, donc l’œil rivé sur des tableaux Excel où tout est traité en coûts à réduire de quelque manière que ce soit. Et surtout pas avec la moindre vision fonctionnelle et prospective. La fameuse gouvernance de l’État de droit !
Il fallait être bien naïf pour penser que de cette table ronde comme toujours opportunément décidée, quelque chose allait sortir.
Le problème est que la police française est sinistrée: mal formés, mal payés (sauf les officiers grâce à Sarkozy, mais la mesure est ancienne), totalement déconsidérés par la population, à part ceux qui n’ont jamais affaire à elle (avec quelques raisons, aurais-je tendance à penser), notre police est totalement inefficace.
La solution se trouve à la direction du Budget. Mais le président est pour l’Europe et ne veut pas trop s’éloigner des clous d’un pacte de stabilité que nous ne respections plus depuis belle lurette, alors il ne lâchera pas un kopeck pour renforcer la formation initiale et rendre un peu plus attractive la profession par de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail. Surtout qu’il faudra bien qu’il se soucie des hôpitaux, en attendant les profs, etc., etc. Bref, ça va être compliqué d’arranger les choses, et les voyous n’y aideront pas, c’est de bonne guerre.
Et puis s’il est politiquement habile d’avoir nommé Darmanin à l’Intérieur, ça n’est pas bon pour l’exemplarité de la police vu les casseroles qu’ils se traîne.
Ces derniers sont d’autant plus sûrs d’eux qu’ils sont protégés par leur masse, qui rend quasiment impossible la démonstration de toute responsabilité individuelle.
En temps de guerre, s’attache-t-on à individualiser l’adversaire en l’isolant d’un contexte général ?
Non, on tire sur tout ce qui bouge en face, sur l’ennemi.
Or les gens qui font semblant de gouverner feignent de ne pas voir que nous sommes actuellement face à un ennemi intérieur qui nous a déclaré la guerre.
Cela implique donc que nous mettions en place – nous y serons obligés tôt ou tard – un état de guerre.
@ Achille | 17 février 2021 à 10:50
Savez-vous que monsieur Herrou agriculteur et passeur de migrants fait le travail inverse de Génération Identitaire, à savoir voler les caméras posées par les forces de l’ordre dans les cols franco-italiens ? Fier de lui, il les expose dans son habitation.
Et là absolument rien dans les médias mainstream alors que GI ne fait que reprendre le principe de la frontière. Serait-ce criminel de vouloir défendre son pays ?
Je suis moi aussi au pied des Pyrénées et je vois ces gauchistes souvent issus de milieux bourgeois préparer des fourgons entiers de vêtements chauds pour participer à cette invasion au nom du sacro-saint principe d’humanité.
Cela va être un désastre.
Comment peut-on avoir la haine de ses coreligionnaires à ce point sans vouloir voir les conséquences de ses actes ?
Bien évidemment je ne parle pas de vous mais cet angélisme me stupéfie.
@ Robert
Vous avez parfaitement raison de rappeler tout cela. Souvent on se plaint de la fonction publique trop coûteuse, trop peu réactive, mais pourtant beaucoup de travaux sont effectivement externalisés, doublant ainsi le coût du travail. De quoi démoraliser les fonctionnaires aussi.
Quand on voit la campagne de vaccinations, avec des déprogrammations, des personnes très à risques en attente de vaccinations, des plus de 75 ans dont les rendez-vous ont été annulés et ce en région parisienne, pas au fin fond de la France profonde, on est en mesure de se demander à quoi servent ces grands cabinets aux facturations exorbitantes… souvent en plus dirigés par des copains de copains.
Nous nageons dans la désorganisation complète en même temps qu’en filigrane on voit une volonté de casser l’existant et de décourager les meilleures volontés.
Où cela va-t-il nous mener ?
Le Premier ministre, ce soir promet de faire des contrôles d’identité pour tous. Du travail en plus pour les policiers et surtout une suspicion envers tous pour donner raison à la Défenseur des droits en changeant la méthode qui dérange les petits voyous. Au lieu d’avancer on recule.
Conflans (Yvelines). Trappes (Yvelines). Poissy (Yvelines). Sans oublier Mantes et Les Mureaux… Est-ce un hasard si ce département concentre plus que d’autres les problèmes de violences, d’islamisme et d’immigration ? Si les voyous – je refuse d’employer le mot « jeunes » pour les identifier, parce qu’ils ne sont qu’une minorité de ceux-ci – y semblent plus à l’aise qu’ailleurs, plus actifs, plus sûrs d’eux ?
Comme ceux des autres « territoires perdus », ils sont bien sûr « victimes » de la France qui ne les aime pas, qui ne les assiste pas assez, qui pratique le contrôle au faciès… Ils ne font que se défendre, les pauvres, face à l’autre camp, celui des policiers, qui veulent reprendre ce qui leur appartient, leur quartier, et interrompre leur business, la drogue… Mais il semble défier les autorités encore plus hardiment que leurs semblables sévissant dans d’autres banlieues.
À cela, l’explication historique apporte une partie de la réponse ; toutes ces villes, au tournant des années 80, ont été aux mains de municipalités socialistes ou PC-PS, qui ont soigné leurs populations défavorisées, moins par humanisme que par calcul électoral. Les voyous étaient donc déjà chez eux dans les quartiers et profitaient du laxisme ambiant. « Il faut que jeunesse se passe » et « nous les comprenons » étaient les leitmotivs des élus d’alors…
Il faut se souvenir qu’en 1991, le maire PS de Mantes-la-Jolie est allé consoler la famille d’un voyou abattu lors d’un rodéo avant de s’incliner devant la dépouille de la jeune policière tuée par son complice…
Cette culture du « tout est permis » est restée… L’autre part de l’explication est encore plus inquiétante. La manipulation des jeunes issus de l’immigration par les radicaux islamistes est aujourd’hui considérée comme l’une des causes majeures de la délinquance dans les banlieues. Ce qui n’empêche pas certains élus yvelinois très influents dans le département d’entretenir des relations ambiguës avec des mosquées et des associations cultuelles musulmanes, plus ou moins aux mains des salafistes ou des Frères musulmans… Et pour les mêmes raisons que leurs prédécesseurs qui repeignaient les ascenseurs : le bulletin de vote.
Aux municipales de 2020, dans un bureau de vote de Mantes-la-Jolie où quasi 100 % des électeurs fréquentent une mosquée où plusieurs tendances se disputent, le maire sortant a obtenu 86 % des suffrages… Lors d’un scrutin précédent, Pierre Bédier, aujourd’hui président du Conseil départemental – très silencieux sur les affaires de Trappes et de Poissy – avait obtenu 99,4 %…
Pour comprendre le guet-apens de Poissy et la situation de médina de Trappes, on ne peut plus ignorer cela : certains élus ne sont pas droits dans leurs bottes.
Et il serait grand temps que les partis politiques de droite auxquels ils appartiennent fassent le ménage s’ils veulent conserver leur crédibilité quand ils dénoncent le peu de réelle réactivité du gouvernement actuel vis-à-vis des « chances pour la France ». Valérie Pécresse et Gérard Larcher sont des élus des Yvelines… Qu’attendent-ils ?
@ hameau dans les nuages
Ben justement, Cédric Herrou a été condamné par la justice. On ne peut pas le dissoudre, ce n’est pas une association.
Et puis l’assistance aux personnes en danger (une personne traversant un col en hiver est une personne en danger) ou l’assistance à son prochain (même sans papiers) ne sont pas des délits.
Se substituer aux forces de l’ordre, en revanche, en est un. L’Etat a le monopole de la violence légitime.
@ Serge HIREL
« Aux municipales de 2020, dans un bureau de vote de Mantes-la-Jolie où quasi 100 % des électeurs fréquentent une mosquée où plusieurs tendances se disputent, le maire sortant a obtenu 86 % des suffrages… »
Je n’ai pas pu vérifier cette information. En 2020, à Mantes-la-Jolie, c’est quand même la droite qui l’emporte avec 72 % des voix. Je ne vois pas en quoi le système électoral est défaillant sur ce point.
Ce que je ne comprends pas, surtout, c’est pourquoi des politiques actives, très actives, ne sont pas menées pour qu’on casse les concentrations ethniques. On ne peut pas continuer à concentrer les pauvres, les noirs et les arabes sans s’étonner des conséquences.
Gérald Darmanin a d’ailleurs l’air d’en être un minimum conscient:
« On ne peut pas reprocher aux policiers et aux gendarmes qui interviennent toujours dans des moments difficiles, de prendre sur eux tout ce que la société avant n’a pas su faire, ni les parents… Dans l’affaire Yuryi, c’est des gamins de 12, 13, 14 ans qui ont des barres de fer dans la rue… est-ce la faute des policiers ? non ! C’est plutôt de la faute, à mon avis, du manquement d’autorité parentale, du défaut d’intégration, de la politique de peuplement qui concentre les difficultés, et ce n’est pas la faute des policiers. » — Gerald Darmanin, 16 février 2021.
Maintenant, ce point de la « politique de peuplement » me paraît absolument essentiel et purulent. Apparemment, vous affirmez que le clientélisme électoral est la clé dans ce développement de concentration ethnique et religieuse. Il faut se rendre à l’évidence, qu’effectivement, le clientélisme, cela marche… Et pour le casser, un point parmi d’autres me semble être de casser la « politique de peuplement » actuelle.
Terminons sur une note d’espoir:
« Le clientélisme est compliqué à examiner en France, notamment à cause du manque de données. Il n’est pas dans l’intérêt de tous, au sein des universités, de fournir des coûts, des noms, des lieux. […] C’est pourquoi le travail de journalisme d’investigation est primordial pour analyser au mieux ces phénomènes. […] Le clientélisme se retrouve dans le contexte d’une économie développée au sein de laquelle domine le secteur public. […] Aujourd’hui, cela se traduit davantage par l’attribution de subventions publiques. […] De plus, le risque de ségrégation s’accroît dû à la pratique du clientélisme. » — Wikipedia
Avec 25 % de logements sociaux minimum imposés depuis 2013, c’est un petit élément qui permet de solidifier le clientélisme et qui empêche d’en dissocier la « politique de peuplement ». Je ne comprends pas la mentalité qui préside à de tels choix…
À moins que je ne me trompe dans mon analyse ?
@ Achille
Ça y est c’est officiel, En Marche fait sa jonction idéologique avec le FN:
« Le séparatisme qu’il soit indigéniste ou islamique avait déjà atteint le seuil critique.
Indigénisme sur fond de colonialisme qui aujourd’hui se traduit par le déboulonnage de statues de personnalités qui ont leur part d’ombre mais dont l’Histoire a surtout retenu leurs faits d’arme les plus glorieux.
Islamisme radical qui impose une vision politique de leur religion en détournant les textes du Coran pour imposer la charia.
Sans oublier quelques minorités « visibles » de notre société : féministes, homosexuels, transsexuels qui, se sentant opprimées depuis toujours, entrent elles aussi dans la danse. »
Il y a encore un an je disais à mes amis qui trouvaient un petit côté autoritaire, voire totalitaire chez Macron, qu’ils exagéraient quand même. Finalement quand je vois ce que disent ses aficionados je suis contraint de constater qu’ils n’avaient pas tort. Le lancement annoncé par la ministre Vidal d’une « enquête sur l’islamo-gauchisme dans les universités » a été pour moi la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.
Macron au second tour, fini. Je ne serai pas le seul dans ce cas je pense.
@ Tomas
« Ce que je ne comprends pas, surtout, c’est pourquoi des politiques actives, très actives, ne sont pas menées pour qu’on casse les concentrations ethniques. On ne peut pas continuer à concentrer les pauvres, les noirs et les arabes sans s’étonner des conséquences. »
Sacré Tomas. Quand j’ai affirmé que plus il y a de blancs autour, meilleure est la qualité de vie des noirs, vous avez crié au racisme. Pour maintenant dire la même chose, enrobé dans du politiquement correct.
« Casser les concentrations ethniques » veut tout simplement dire les diluer parmi les blancs pour qu’ils aillent mieux. Donc pas assez de blancs autour des noirs = misère et pauvreté, d’après vous. Merci.
@ Tomas | 17 février 2021 à 22:59
Ne me faites pas le coup des Kosovars franchissant les cols enneigés sur 50 m devant les caméras des télévisions occidentales ou fuyant la soldatesque serbe en tournant en rond pendant trois semaines en tracteur dans une région grande comme la Gironde.
Non il n’a pas été condamné pour des faits revendiqués par tweet et venant de se produire:
https://twitter.com/CedricHerrou/status/1359054327869018113
@ Tomas
« Ça y est c’est officiel, En Marche fait sa jonction idéologique avec le FN. »
Il n’y a aucune jonction idéologique avec le RN. Le RN, c’est une bande de mous !
@ Robert | 17 février 2021 à 12:12
Et donc ? Quelle est votre préconisation, à vous ? Parce que râler, ça vous savez faire. Mais lorsque j’essaie de lire entre les lignes de votre intervention, je crains d’y voir surtout l’éloge de l’étatisme et de la dépense publique.
« Ainsi va la France gouvernée par des gestionnaires issus notamment de l’ENA, donc l’œil rivé sur des tableaux Excel où tout est traité en coûts à réduire de quelque manière que ce soit. »
Encore heureux ! Êtes-vous en train de nous dire, comme les millions d’aimables branquignols qui nous ont conduits là où nous en sommes (dont ceux en provenance de l’ENA), qu’il faut augmenter les coûts le plus possible, qu’il ne faut surtout pas les diminuer, qu’ils n’ont aucune importance, que « l’intendance suivra », comme disait ce sombre abruti de de Gaulle, que la « logique comptable » c’est quelque chose de dégoûtant, que « nos vies valent plus que leurs profits », qu’il faut faire les calculs avec du papier et un crayon, ou, mieux, ne pas les faire du tout ?
Ce qui correspond exactement à ce que font tous les gouvernements depuis 45 ans, en sorte que je vois vraiment mal de quoi vous vous plaignez ?
Êtes-vous en train de nous dire que 56 % du PIB occupé par la dépense publique, quasi-record mondial, c’est une bonne chose ?
Seriez-vous en train de nous dire, par hasard, qu’il ne faut pas sauvagement couper dans les dépenses publiques, supprimer une grande partie des postes de fonctionnaires, et tailler impitoyablement dans les allocations socialistes et autres subventions de toute nature ?
Et sinon, pourquoi ?
En dehors de l’eau tiède fortement teinté de rouge communiste qui semble faire votre ordinaire, qu’est-ce que vous voulez, exactement ?
« Le privé étant censé faire mieux et moins cher que le public. »
Le privé, effectivement, fait mieux et pour moins cher que le public. Vous avez des sources qui montreraient le contraire ?
« Jusque-là la fonction publique développait toutes ses compétences en interne. »
En effet. Les balayeurs du ministère de l’Intérieur étaient fonctionnaires, et le sont peut-être encore. Les jardiniers du Sénat avaient, s’ils ne l’ont toujours, une planque en or. Pouvez-vous nous expliquer en quoi ce serait une bonne chose ?
Quand il s’est agi de nourrir les Français en plein confinement et fermeture de l’économie, qui l’a fait ? Le Grand Service Public Unifié de la Bouffe Nationale, ou les sales capitalistes du caca-rente, les Carrefour, Auchan et autres Édouard Leclerc ?
« Il a fait appel à de multiples cabinets de consultants, dont McKinsey. »
Demandez-vous pourquoi. La réponse est simple : parce que les fonctionnaires en place sont incapable de se tirer les mains des poches. S’ils faisaient le boulot, il n’y aurait pas besoin d’avoir recours à des cabinets privés.
C’est bien pourquoi il convient de diminuer radicalement leur nombre, afin qu’enfin, ils se mettent à bosser.
« La fameuse gouvernance de l’État de droit ! »
Allez-y. Expliquez-nous en quoi le droit, c’est mal. Expliquez-nous en quoi l’État de droit, c’est mal. Vous voulez quoi, à la place ? Hitler ? Poutine ? Maduro ? C’est moi ou le chaos ? Le dictateur qui fait les règles lui-même sans rien demander à personne ?
Expliquez-nous quel type de gouvernance vous voulez. Prenez position. Ayez le courage de vos opinions. Je commence à en avoir plein le dos de ces bavards qui chouinent, sans jamais, en réalité, proposer quelque chose de différent.
Achille est déçu que Goldnadel ait accepté de défendre Génération Identitaire.
Observation surprenante quand on connaît les positions de cet avocat.
Pour ma part je pense que le jour où Goldnadel décidera d’assurer la défense de la cause des nationalistes palestiniens, on aura fait un grand pas dans la solution du dossier israélo-palestinien et donc la possibilité de la paix au Proche-Orient.
@ Tomas | 17 février 2021 à 23:21
« Le lancement annoncé par la ministre Vidal d’une « enquête sur l’islamo-gauchisme dans les universités » a été pour moi la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. »
Concernant l’écriture inclusive qui est clairement une absurdité, c’est le CNRS qui est visé, mais les universités, en particulier dans le domaine des sciences sociales, ne sont pas en reste.
Le problème avec les « intelligents » c’est qu’ils se croient immunisés contre la bêtise or ce sont souvent eux qui en sortent les plus grosses.
Pas besoin d’être « macronien » pour le comprendre…
@ Valéry
« Sacré Tomas. »
Euh… non. Vous vous êtes trompé d’interlocuteur. Ce sont mes propos que vous critiquez.
« Quand j’ai affirmé que plus il y a de blancs autour, meilleure est la qualité de vie des noirs, vous avez crié au racisme. Pour maintenant dire la même chose, enrobé dans du politiquement correct. »
Ouais, ben, non, c’est pas Tomas. C’est moi.
« Casser les concentrations ethniques » veut tout simplement dire les diluer parmi les blancs pour qu’ils aillent mieux. Donc pas assez de blancs autour des noirs = misère et pauvreté, d’après vous. Merci. »
Euh… non. Mon propos n’était pas axé sur la pauvreté. Il y a d’autres motifs pour vouloir casser cette concentration. Maintenant, honnêtement, pour faire très simple, il y a trois attitudes possibles: 1. Concentrer. 2. Déconcentrer. 3. Remigration.
J’opte pour l’option 2. L’option 3, quoi qu’on en pense, n’est de toutes façons pas parmi les options qui sont politiquement sur la table.
@ Mary Preud’homme 17 février 09:46
Comment faites-vous pour intervenir encore sur ce blog devenu un forum de règlements de comptes entre pseudo-intellos biliaires ridicules ? 😀
Adéo Mary
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@ hameau dans les nuages 19:55
Monsieur Herrou demande-t-il aux migrants à qui il fournit des couvertures (?) s’ils ont un test négatif au covid en entrant sur notre territoire ? je crains que non. Du coup ce que fait monsieur Herrou peut être qualifié de mise en danger de la vie d’autrui. Non ?
Mais monsieur Herrou ne sera pas inquiété puisqu’il est de gauche.
@ Michelle D-LEROY 16 février 2021 à 20:31
« Emmanuel Macron a nommé Mme Hédon au poste de Défenseur des droits (…) parce qu’elle avait travaillé au sein d’une ONG. »
Pourquoi ne pas indiquer laquelle ? Il s’agit d’ATD Quart Monde, très proche des milieux progressistes de l’Eglise catholique et, de ce fait, pas unanimement appréciée, même si elle a été présidée, pendant trente ans, par Geneviève de Gaulle, nièce du Général, panthéonisée en mai dernier. Présidence que les dirigeants actuels ne manquent pas une occasion de rappeler. La présidente 2015-2020, Claire Hédon, journaliste à France Inter, dont chacun connait la neutralité affichée… n’avait pas tout à fait la même pointure, en tout cas pas le même humanisme sans arrière-pensée.
À l’origine, en 1957, lorsque l’ONG a été créée dans le sillage de l’action de l’abbé Pierre, ATD signifiait : Aide à toute détresse. Aujourd’hui, le libellé complet est : Agir tous pour la dignité. Ce qui est un peu différent, en tout cas plus « politique ». L’ONG, qui utilise beaucoup le réseautage, est très influente au sein des milieux dirigeants, à tel point que Marie-Aleth Grard, membre du CESE, qui a remplacé Claire Hédon à la présidence d’ATD, est membre du Conseil scientifique Covid-19 (« Conseil Delfraissy »), nommé par Gérard Larcher…
Pour ma part, considérant que Claire Hédon a commis plus qu’un faux pas, il me semble qu’il conviendrait que le Président juge bon de lui offrir une autre sinécure où elle pourrait exercer ses talents sans risque d’alimenter la poudrière. Je crois que le poste d’ambassadrice au Pôle Sud est vacant… Maintenant, si elle préfère devenir correspondant de France Inter aux îles Kerguelen, il doit être possible de la satisfaire. Toubon n’avait pas toujours soigné l’image du Défenseur des droits. Elle, elle l’a massacrée.
@ breizmabro | 18 février 2021 à 14:59
C’est justement une question que l’on me pose et que je me pose de plus en plus souvent.
Sans doute pour ne pas laisser le dernier mot à la racaille et aux langues de « put*s » bouffeuses et tueuses de flics qui sévissent un peu partout, y compris sur ce blog…
Quand je relis le billet et considère sa tonalité positive et objective, je me dis que je n’ai pas tort, à voir ce que certains en ont retenu, n’y trouvant que prétexte pour déverser leurs rancoeurs et leur haine, leurs complexes, leurs frustrations et par-dessus tout leur ignorance totale d’un métier qu’à tous égards, ils seraient bien incapables d’exercer.
Je pense aussi aux orphelins de policiers et de gendarmes, à leurs parents éplorés, plus à ces milliers d’enfants parfois mis à l’index ou stigmatisés eu égard au métier de leur père ou mère et qui vivent de plus en plus dans l’angoisse d’un drame vu le déplorable climat actuel.
@ F68.10 | 18 février 2021 à 14:25
Vous croyez que ventiler à marche forcée va régler le problème ? Je ne le crois pas.
@ Achille
Je ne vois pas très bien le rapport entre l' »islamo-gauchisme » (un mythe, autant que le judéo-bolchevisme des années 30) et l’écriture inclusive.
« Le problème avec les « intelligents » c’est qu’ils se croient immunisés contre la bêtise or ce sont souvent eux qui en sortent les plus grosses. »
Et allez, on verse dans le poujadisme intellectuel, vous aggravez franchement votre cas. Ce n’est pas vous qui vous moquiez des Gilets jaunes ?
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@ F.68.10
Je n’avais pas vu, il faut dire qu’un débat entre une alcoolique et un complexé, bof. Elle a trop bu et va se gaufrer sur la dernière marche…
« Ce que je ne comprends pas, surtout, c’est pourquoi des politiques actives, très actives, ne sont pas menées pour qu’on casse les concentrations ethniques ».
Parce que Macron est libéral, il laisse donc les pauvres se concentrer dans les quartiers pourris, comme le veut la loi du marché.
Je me souviens que sous Hollande, on avait voulu installer un centre de migrants dans le XVIe. Les comportements des habitants dans la réunion publique avec la mairie faisaient peur, franchement.
Les riches se laissent pas facilement dépouiller de leurs privilèges durement acquis ou préservés, que voulez-vous.
@ F68.10
« 1. Concentrer. 2. Déconcentrer. 3. Remigration. »
Vous partez de l’idée que c’est l’Etat qui décide, alors que c’est le marché.
Ce n’est pas l’Etat français qui force les nouveaux arrivants à habiter où que ce soit, mais leur situation financière. J’en sais quelque chose car j’ai connu les mansardes sordides à mon arrivée en France, sans un sou en poche et aucun droit à des bourses ou allocations, situation que je considère normale.
Tout dépend de l’idéologie ambiante: croit-on à la responsabilité individuelle par-dessus tout ou on considère que prendre à l’un pour donner à un autre, sans contrepartie, c’est la meilleure chose à faire ? Moralement le deuxième choix c’est du vol pur et simple, du racket d’Etat. Déconcentrer reviendrait à obliger les uns à payer pour les autres.
Je suis bien conscient que les impôts sont aussi destinés à aider ceux dans le besoin, ou les catégories de gens dans l’impossibilité de subvenir à leur propres besoins, comme des étudiants, des invalides et des malades, des retraités infortunés, mais là on assiste à un dévoiement total du concept, des individus arrivent en France accompagnés de leur 7 épouses et 15 enfants puis se la coulent douce car on s’en charge.
Remigration, pourquoi pas ; sauf que les Français n’ont plus de colonne vertébrale, qui consisterait à croire que ce sont eux qui font l’honneur aux arrivants, et non pas le contraire. Garder ceux qui expriment leur reconnaissance, renvoyer illico ceux qui n’ont que la haine de la France à la bouche, cela fait aujourd’hui bien des millions.
Mais cela impliquerait une main de fer et un désintérêt électoral qui ne font plus partie des qualités des hommes politiques.
@ Achille 17 février 2021 à 01:04
Dévotion admirable… Mais ce n’est pas très convenable de soupçonner certains commentateurs de ce blog de souhaiter commettre des ratonnades. Après votre appréciation acerbe du billet de notre hôte, cela fait quelque peu idée fixe…
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@ Achille 17 février 2021 à 10:50
Je vous remercie de prendre mes « avis » en aussi haute considération. Un conseil toutefois ; la « bougresse canon » est peut-être aussi une « féministe ultra » qui n’apprécie pas qu’on la mate… Ses copains de GI pourraient lui porter secours. Fermez vos portes à double tour… ou partez en vacances dans l’un des lieux paradisiaques que je vous ai présentés le 16 février à 20:14. Avez-vous fait votre choix ?
@ Serge HIREL | 18 février 2021 à 22:36
« la « bougresse canon » est peut-être aussi une « féministe ultra » qui n’apprécie pas qu’on la mate. »
Mais non ce n’est certainement pas une « féministe ultra ». Ça n’existe pas chez les militantes d’extrême droite. On les trouve uniquement dans les mouvements LGBT de la gauche écolo – bobo – parano.
Je suis sûr qu’elle est ravie qu’on a mate, comme toutes les belles filles normalement constituées d’ailleurs.
PS : Je n’ai pas étudié les lieux de villégiature que vous me proposez, mais de toute façon avec le couvre-feu à 18H et les mesures sanitaires en cours, ce n’est pas vraiment le moment. Plus tard peut-être…
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@ Tomas | 18 février 2021 à 21:33
« Et allez, on verse dans le poujadisme intellectuel, vous aggravez franchement votre cas. Ce n’est pas vous qui vous moquiez des Gilets jaunes . »
Certes je me suis moqué des Gilets jaunes et je continue encore à le faire. Comment en serait-il autrement vu que ce mouvement n’a jamais été en mesure de se trouver un leader capable de les représenter.
Les seuls qui en avaient les moyens intellectuels ont été menacés et virés sans ménagement, avec pour tout porte-parole la triplette infernale : Eric Drouet, Maxime Nicolle et Jérôme Rodrigues au QI de bulot.
Comment voulez-vous que je prenne ces gens-là au sérieux ? 🙂
@ hameau dans les nuages
« Vous croyez que ventiler à marche forcée va régler le problème ? Je ne le crois pas. »
En tout cas, j’ai quand même discuté avec des blacks de banlieue du type dealers de shit, très sympathiques quand le contexte est urbain autour d’un café, qui m’expliquaient que, uniquement entre blacks et sans blancos, c’était quand même pénible, un tel sentiment de vivre dans un monde séparé. Je ne pense pas qu’on se rende un service en ségrégant, même passivement.
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@ Tomas
« Je n’avais pas vu, il faut dire qu’un débat entre une alcoolique et un complexé, bof. Elle a trop bu et va se gaufrer sur la dernière marche… »
Je n’ai rien contre les alcooliques et les complexés.
« Parce que Macron est libéral, il laisse donc les pauvres se concentrer dans les quartiers pourris, comme le veut la loi du marché. »
Cela, c’est votre interprétation du mot libéral. Bizarrement, ce n’est pas la mienne.
« Je me souviens que sous Hollande, on avait voulu installer un centre de migrants dans le XVIe. Les comportements des habitants dans la réunion publique avec la mairie faisaient peur, franchement. »
On a les mêmes problèmes en Suisse. C’est le rôle des communes aux alentours d’expliquer aux communes butées qu’elles ne sont pas seules sur Terre. Et de mettre en place des moyens de rétorsion contre les communes récalcitrantes.
« Les riches se laissent pas facilement dépouiller de leurs privilèges durement acquis ou préservés, que voulez-vous. »
Les syndicats, franchement, c’est pas mieux.
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@ Valéry
« Vous partez de l’idée que c’est l’Etat qui décide, alors que c’est le marché. »
Un marché, cela se régule. Il y a la méthode soviétique, qui consiste à casser le marché lui-même… Ou il y a la méthode de régulation à la mode ultra-libérale.
« Le colloque de Walter Lippmann définit alors le concept du néo-libéralisme comme impliquant « la primauté du mécanisme de mise à prix, la libre entreprise, une système catalysant la compétition, et un état fort et impartial« .
Être néolibéral signifiait promouvoir une politique économique moderne au moyen de l’intervention étatique. L’état néolibéral interventioniste induisit une confrontation avec le camp opposé du laissez-faire des libéraux classiques, tels que Ludwig von Mises. » — Wikipedia, citant Philip Mirowski et Dieter Plehwe.
J’dis pas que c’est facile, mais je préfère cela aux garanties de désastre que constitue le choix binaire entre « ne rien faire de différent » et « l’État décide ». D’autant plus qu’on arrive à faire le choix d’échouer en choisissant ces deux options en même temps… Franchement ? Peut mieux faire !
« J’en sais quelque chose car j’ai connu les mansardes sordides à mon arrivée en France, sans un sou en poche et aucun droit à des bourses ou allocations, situation que je considère normale. »
La question n’est pas que vous ayez bien vécu cette normalité ou pas. La question c’est ou on décide d’aller dans un contexte ou les lendemains qui chantent ne sont pas pour demain.
« Tout dépend de l’idéologie ambiante: croit-on à la responsabilité individuelle par-dessus tout ou on considère que prendre à l’un pour donner à un autre, sans contrepartie, c’est la meilleure chose à faire ? Moralement le deuxième choix c’est du vol pur et simple, du racket d’Etat. Déconcentrer reviendrait à obliger les uns à payer pour les autres. »
Ben non. cf. colloque Walter Lippmann.
« …là on assiste à un dévoiement total du concept, des individus arrivent en France accompagnés de leur 7 épouses et 15 enfants puis se la coulent douce car on s’en charge. »
Ce qui n’a rien à voir avec la question de la déconcentration. Il ne s’agit pas de « s’en charger » mais simplement de s’assurer, par divers mécanismes, que la diversité ne s’entasse pas sur la diversité.
« Remigration, pourquoi pas… »
Alors expliquez-moi concrètement en quoi consiste cette idée de la remigration, parce que les détails techniques me semblent un peu flous.
@ Tomas | 18 février 2021 à 21:33
Vous nous faites la lutte des classes versus migrants. On voit bien à travers votre réponse la politique du cheval de Troie en vous servant de ces pauvres hères.
Parce que vous croyez que dans les régions pauvres et isolées par rapport à votre XIVe arrondissement, les foyers de migrants sont bien acceptés ?
Vous croyez comme F68.10 que ventiler les shitoles sur tout le territoire va bien se passer ?
Au village nous avons parmi les habitants deux (ir)responsables d’associations pro-migrants avec une caractéristique commune malgré des oppositions politiques affirmées: ce sont deux bons gros bourgeois retraités bien assis financièrement.
Cela m’étonnerait que la plèbe accepte leur humanisme de chaisière d’église. Et je vous assure que si éventuellement ils voulaient mettre en marche leurs ventilateurs, je saurais, et je ne suis pas le seul, en diriger les pales vers leurs domiciles respectifs. Ayant traversé la mer, le migrant sera à même d’apprécier leurs piscines.
Après Duhamel Sciencesporcs, Sciencesporcel avec PPDA.
PRAUDton ton, neu neuTRON.
À 8h56 je laissais un commentaire à Tomas sur le problème des migrants et + si nécessaire.
Je suis revenu après être allé avec ma dulcinée faire des courses pour préparer l’arrivée de nos petits-enfants de Haute-Garonne.
Je rallume mon PC en veilleuse et là:
https://www.larepubliquedespyrenees.fr/2021/02/19/pau-un-homme-agresse-au-coup-de-couteau-a-isard-cos,2790844.php
@ Daisabysses | 19 février 2021 à 11:04
Tiens JM0001 est revenu avec ses « nouvelles plaques » toutes neuves 🙂
@ hameau dans les nuages
« Vous croyez comme F68.10 que ventiler les shitoles sur tout le territoire va bien se passer ? »
Je ne vois pas pourquoi vous caricaturez le concept de déconcentration. Une des buts d’une déconcentration en serait que les populations qui n’ont pas un référentiel culturel français au sens historique du terme ne soient pas assignées à résidence dans leur identité culturelle et religieuse.
Il ne s’agit de dispatcher un black et un arabe dans chaque bled de campagne. L’agriculture se charge assez bien d’attirer les pauvres hères, de toutes façons…
Il s’agit de casser des concentrations comme à Poissy où on voit bien que cette identité fait obstacle à des relations sereines avec la police et à des repères élémentaires de rectitude morale, qui trouve alors un dérivatif dans la religiosité musulmane, entre autres.
Après, déconcentrer ne suffit absolument pas.
Mais déconcentrer me semble bel et bien une évidente nécessité…
Malheureusement, il semble qu’il faille plus compter sur les auditeurs Paul et Blérim, que mes liens référencent pour prendre la mesure politique du problème, que de compter pour vous pour cela. C’est pourquoi il est nécessaire que de tels gens originaires de banlieue se voient accorder une place dans le débat politique et dans les partis. Ils votent pour qui, Paul et Blérim ? À votre avis ?
@ F68.10 | 19 février 2021 à 15:55
Argent, éducateurs… blabla… toujours les mêmes poncifs depuis 40 ans. Tonneau des Danaïdes.
Votre raisonnement aurait été applicable si on avait fermé les robinets de l’immigration. Ce qui n’est pas le cas loin de là. L’agresseur toujours en attente de son statut de réfugié était déjà passé deux fois par la case prison pour agression.
Pour ce qui est de ce responsable assassiné dans le centre d’accueil de Pau, sa page Facebook est toujours visible. Brave homme vu ses publications et ses amis parmi lesquels je retrouve certaines personnes que je connais.
Toujours cet angélisme dégoulinant mêlant écologie, citoyenneté du monde et zanimaux de la ferme qu’il faut libérer.
Cela pourrait prêter à sourire si la conclusion n’était pas dramatique.
Et tous nos élus locaux de se fendre d’un tweet dont monsieur Dartigolles communiste se déclarant stupéfait alors qu’il y a quelques jours encore le quartier Saragosse à Pau qu’il connaît bien était l’objet d’affrontements entre jeunes cagoulés et police et pompiers.
Et toujours localement monsieur le Procureur de Saint-Gaudens chargé de la plainte contre Génération Identitaire de parler de « crime contre l’humanité » à propos de cette action symbolique…
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-office-specialise-saisi-pour-enqueter-sur-generation-identitaire-apres-l-action-dans-les-pyrenees-1613401698
Et vous voulez ventiler ? Alors qu’il faut expulser manu militari et en masse pour justement éviter l’amalgame.
@ hameau dans les nuages
Le pire, c’est que ce genre de nouvelles vous emplit d’une joie mauvaise, tellement que vous nous en faites profiter. Triste sire.
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@ F68.10
Au plan économique, le libéralisme se caractérise par un rôle aussi réduit que possible de l’Etat. Au plan politique aussi d’ailleurs, puisqu’il n’est pas censé intervenir dans les choix des citoyens, ou le moins possible.
Je n’ai rien contre les alcooliques ni les complexés, mais je souhaite pas être gouverné par eux.
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@ Achille
Vous vous moquez des Gilets jaunes au QI de bulot après avoir insulté l’intelligence des professeurs d’universités, il faudrait choisir votre camp. Celui-ci est je gage celui des retraités satisfaits à la conscience tranquille et au compte en banque plein. Je vous félicite.
@ hameau dans les nuages
« Argent, éducateurs… blabla… toujours les mêmes poncifs depuis 40 ans. Tonneau des Danaïdes. »
Parce que c’est ce que j’ai dit ? Non: je n’ai pas écrit cela. J’ai simplement mentionné « Paul et Bérim » en montrant que ces gens ne sont pas du tout dans l’angélisme, contrairement à ce que vous semblez prétendre.
« Votre raisonnement aurait été applicable si on avait fermé les robinets de l’immigration. »
Ouais, ben, en attendant, la réalité, c’est que la remigration n’est pas pour demain. Donc on commence à se retrousser les manches pour tenter de régler le problème. L’argent et les éducateurs ne sont peut-être pas les seules solutions envisageables, non ? Pourquoi prétendre que des politiques de déconcentration sont des politiques « d’argent et d’éducateurs » ? Ce n’est pas le cas.
« Et vous voulez ventiler ? Alors qu’il faut expulser manu militari et en masse pour justement éviter l’amalgame. »
Ouais. Je veux déconcentrer plus que ventiler. Parce que de toutes manières, l’expulsion manu militari, c’est dans vos rêves car la géopolitique existe ; et parce que l’amalgame existe de toutes façons déjà bel et bien. Et, au fond, l’amalgame, c’est le dernier de nos problèmes. Sauf quand on passe à la télévision.
Donc, oui, je veux la fin de la concentration comme à Poissy. Sinon, on se condamne à ne rien résoudre. Et ce avant même de parler d’expulsion manu militari ; car même si on expulse 50 %, il restera 50 % de gens qui se concentrent et qui continueront de se créer des sous-cultures qui n’arrangeront rien. Donc on arrête cette folie.
Un retour à la réalité s’impose: déconcentration, sans croire que cela va résoudre tous les problèmes. Si vous voulez des solutions magiques, je ne suis pas le bon magasin de farces et attrapes.
@ Achille 19 février 2021 à 00:17
« Je n’ai pas étudié les lieux de villégiature… »
J’ai omis un détail dans leur description : à la demande – aussitôt satisfaite – de la population autochtone, la règle nationale du couvre-feu n’y est pas appliquée. De toutes façons, elle n’avait pas lieu de l’être : n’oubliez pas qu’il s’agit de « territoires perdus de la République »…
@ Tomas | 20 février 2021 à 00:09
Avec des personnes comme vous il vaut mieux se taire. Vous en êtes la principale cause, allez faire silence quelques jours, jouer le coup de la sidération, rentrer dans votre tanière, vous faire oublier puis ressortir telle la marmotte… siffler et alerter sur les incongrus qui alertent. Cette piétaille exotique sert votre cause et dessert la cause de ceux qui se sont assimilés. Il faudra que vous en payez le prix.
https://www.youtube.com/watch?v=82klALTYpNs&t=32s&ab_channel=Deanmartin
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@ F68.10 | 20 février 2021 à 01:25
Rien de révolutionnaire. Supprimer les aides comme l’AME aux arrivants et plus si nécessaire, mettre fin au scandale des faux centenaires, mettre fin aux millions de cartes Vitale fantômes, vider les prisons de tous les étrangers et binationaux lourdement condamnés. Condamner très lourdement les passeurs ainsi que les employeurs de main-d’oeuvre illégale.
Je ne sais pas comment faire pour marteler qu’accepter cette migration se retourne contre ceux qui ici se sont assimilés. Il est CRIMINEL que dans un but « révolutionnaire et de lutte des classes » on se serve de ces gens-là. En cas de guerre civile, le délit de faciès primera et l’amalgame primera également mais des gars comme Tomas jouiront de cette situation en inversant les responsabilités. Il restera en retrait comptant les points.
Je connais des « petits blancs » comme lui se la jouant citoyens du monde. Je mettrais un point d’honneur à les mettre en première ligne afin qu’ils aillent jusqu’au bout de leurs idées.
@ Tomas | 20 février 2021 à 00:09
« Vous vous moquez des Gilets jaunes au QI de bulot après avoir insulté l’intelligence des professeurs d’universités, il faudrait choisir votre camp. Celui-ci est je gage celui des retraités satisfaits à la conscience tranquille et au compte en banque plein. Je vous félicite. »
Vous généralisez un peu vite sur ce coup-là. Je ne suis pas persuadé que les professeurs d’université sont tous des défenseurs de l’écriture inclusive, pas plus qu’ils ne sont islamo-gauchistes. Certes on ne peut pas exclure quelques illuminés qui ont réussi à devenir maîtres de conférence.
Ce sont surtout les syndicalistes étudiants, à commencer par l’UNEF dont la présidente Maryam Pougetoux se distingue régulièrement en venant voilée sur les plateaux TV et dont il est de notoriété publique qu’elle est en lien avec les Frères musulmans.
Il s’agit clairement d’un entrisme pernicieux de jeunes venant de pays étrangers, bénéficiant de toutes les commodités (bourses, subventions) que leur offre notre pays et qui viennent profiter de notre enseignement supérieur.
Certains d’entre eux d’ailleurs mettent parfois plus de dix ans pour décrocher un diplôme qui s’acquiert en cinq ans, ce qui laisse planer un sérieux doute sur leur assiduité quand ce n’est pas leur intelligence.
Je veux bien admettre que ces étudiants d’origine étrangère n’ont rien à voir avec l’écriture inclusive qui est plutôt le fait de mouvements féministes, mais ils profitent clairement du désordre provoqué par cette tentative de réforme parfaitement inepte pour s’introduire un peu plus dans la polémique pour mieux placer leurs propres revendications.
Pendant que M. Darmanin cherche absolument à accuser de tous les maux de la Terre Génération Identitaire qui se contente par des opérations de communication pacifique de pointer du doigt la carence de ses services et leur absence flagrante à nos frontières violées par des cohortes de migrants illégaux, un migrant faux demandeur d’asile a, selon un scénario tristement connu, tué un responsable d’un centre d’accueil à coups de couteau…
Que l’on ne vienne pas nous dire que nous tombons par cette dénonciation dans la rubrique des faits divers.
Si un crime isolé est un fait divers, la répétition de faits divers similaires est un phénomène de société devant nous interroger.
Qui pourrait nous expliquer pourquoi les « migrants » du monde entier se donnent rendez-vous en France pour larder de coups d’armes blanches les Français qu’ils croisent, y compris ceux qui s’efforcent – parfois à tort – de les accueillir et de les aider ?
Qui pourrait aussi nous dire pourquoi les services d’immigration et de justice n’ont pas encore admis qu’il y avait tout de même un problème quelque part ?
@ Achille 19 février 2021 à 00:17
Pour votre info… les Femen de droite existent.
http://www.slate.fr/sites/default/files/styles/1060×523/public/capture_decran_2021-02-18_a_19.33.53.jpg
Impossible de les mater, il est vrai : elles, elles se baladent en niqab sur l’esplanade du Trocadéro, dite « parvis des Droits de l’Homme ».
@ Serge HIREL | 20 février 2021 à 18:55
« Pour votre info… les Femen de droite existent. »
Bah dans 50 ans vous et moi ne nous intéresserons plus aux femmes.
Nous serons parmi les anges, mais il paraît qu’ils n’ont pas de sexe, alors…
Perso, je préfère les Femens de la place de la République. La place où se terminent toutes les manifestations.
Elles se sont pas « canon » mais elles ressemblent encore à des femmes.
@ hameau dans les nuages
Votre lamento raciste et vos lamentations sur la guerre civile qui vient cachent à peine votre souhait de voir ce monde disparaître dans les flammes avec les responsables réels ou supposés de vos malheurs au centre du bûcher: « Il faudra que vous en payez le prix », ça dit tout.
Le prix de quoi, et pourquoi serait-ce à moi de le payer, qu’importe, mais il vous faut vengeance. Ainsi est la « droite patriote », vieille, rabougrie et pleine de peurs et de rancoeur qu’elle infuse à sa jeunesse.
Qui ne trouve qu’une vidéo sans intérêt de marmottes pour étayer son propos. J’aime beaucoup les marmottes mais je ne vois pas bien le rapport.
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@ Achille
Ecoutez, je ne fais que reprendre vos propos, il faut les assumer, c’est trop facile de taper en touche. Vous avez traité les professeurs d’université de « sachants » tel un Gilet jaune de base, avant de taper sur ceux-ci. Ce sont vos propos, je n’invente rien.
Je vois sinon que vous reprenez mot pour mot l’antienne servie par Boulevard Voltaire, CNews, Valeurs actuelles, sur l’invasion étrangère. Sans avoir sans doute le moindre élément objectif d’information, tout ça parce qu’un syndicat étudiant en pleine déconfiture se donne une porte-parole voilée. Ah ils sont beaux les anciens socialistes et les nouveaux macroniens, y’a pas de doute…
J’espère que ma vieillesse à venir me préservera de ce naufrage !
@ hameau dans les nuages
« Rien de révolutionnaire. Supprimer les aides comme l’AME aux arrivants et plus si nécessaire, mettre fin au scandale des faux centenaires, mettre fin aux millions de cartes Vitale fantômes, vider les prisons de tous les étrangers et binationaux lourdement condamnés. Condamner très lourdement les passeurs ainsi que les employeurs de main-d’oeuvre illégale. »
Faites, faites comme bon vous semble. Je ne suis pas certain par contre que l’État appréciera de laisser des gens sans couverture médicale. Ce n’est pas son intérêt que les migrants soient des vecteurs de maladie, pas plus que ce n’est son intérêt que des gens qui bossent deviennent malades, pas plus que c’est son intérêt de ne pas pouvoir enfermer des migrants en psychiatrie au motif qu’ils ne peuvent pas payer leur enfermement.
Maintenant, les faux centenaires, je ne suis pas au courant. Les cartes Vitale, c’est l’incurie de l’administration tout court: même sans parler des migrants, je suis d’accord avec vous, mais je ne sais pas comment on réforme l’administration en France ; le savez-vous ? Quand vous parlez de vider les prisons, j’imagine que vous voulez les renvoyer. Pourquoi pas ? Quelques détails techniques à régler, toutefois…
Quant aux passeurs et à la main-d’œuvre illégale, je suis d’accord, mais vous connaissez bien les réflexes de nos petits employeurs: il va quand même falloir leur expliquer que c’est pô bien.
Mais je ne vois pas comment cela va juguler la migration, ce qui semble être votre problème prioritaire, ni comment cela va juguler le ghettoïsation des mentalités qui me semblent bien être un problème absolument prioritaire.
« Je ne sais pas comment faire pour marteler qu’accepter cette migration se retourne contre ceux qui ici se sont assimilés. »
Et bien peut-être que Paul et Blérim aurait une légitimité plus forte sur ce sujet que vous et moi ? On devrait quand même être capable d’en trouver, des noirs et des arabes, qui comprennent que le n’importe quoi ne leur profite pas ! Ils sont où dans les média et la représentation politique ? Messiha ? On devrait pouvoir en trouver chez LR et LRM, non ? Ah non, on peut pas ? Et pourquoi ?
« Il est CRIMINEL que dans un but « révolutionnaire et de lutte des classes » on se serve de ces gens-là. »
J’ai tendance à être d’accord. Mais plus profondément: il convient de décorréler l’indigénisme de la lutte des classes. S’il n’y avait pas cette confusion, les questions identitaires des minorités seraient beaucoup plus audibles. Là, c’est condamné à se terminer en affrontement.
« Je connais des « petits blancs » comme lui se la jouant citoyens du monde. Je mettrais un point d’honneur à les mettre en première ligne afin qu’ils aillent jusqu’au bout de leurs idées. »
Mouais. Cela n’arrangera rien non plus. Le principal problème est de casser les dénis sur cette situation. Mais comme on le voit avec le débat Darmanin – Le Pen, le RN est quand même coincé entre sa défense des religions et sa volonté de fermeté. Ce n’est pas possible d’espérer régler le problème en étant complaisant avec les religions organisées. Qu’il s’agisse de complaisance avec le catholicisme à la mode Le Pen ou de complaisance avec l’islam à la mode Tomas au motif de la protection des minorités. Le débat Darmanin – Le Pen est quand même pour moi un point de bascule à ce sujet.
Et puis, dans ma perspective de décentralisation forcenée, toute forme de ghettoïsation empêche de donner davantage de pouvoirs au niveau local. Si une commune est fortement islamisée ou peuplé de populations étrangères, cela va constituer un obstacle à l’idée de lui donner beaucoup plus de pouvoir. Il faut couper court à cela. Et on traîne toujours à se rendre compte de tous les problèmes que la ghettoïsation engendre.
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@ Tomas
« Au plan économique, le libéralisme se caractérise par un rôle aussi réduit que possible de l’Etat. »
Vous ne parlez là que du libéralisme économique.
Vous en faites une caricature. Le seul point non négociable est de ne pas casser les mécanismes de marché. L’État peut prendre nombre de mesures très coercitives pour garantir qu’un marché réponde à des besoins sociétaux, ce qui, au fond, est justement la justification des marchés.
Mais bon, libre à vous de caricaturer si vous tenez absolument à ne pas vous intéresser au sujet autrement que par un angle diffamant le libéralisme. Ce qui est un trait qui démarque très nettement la gauche à partir au moins de LFI comme intellectuellement malhonnête sur ce sujet.
Le libéralisme économique est effectivement coupable d’échecs au 19ème siècle qui ont ancré le socialisme dans les consciences collectives. Ce fut un échec véritable à résoudre la question sociale de l’époque. Mais j’espère bien qu’on cessera un jour de rejouer la Seconde Guerre mondiale tous les quatre matins.
« Au plan politique aussi d’ailleurs, puisqu’il n’est pas censé intervenir dans les choix des citoyens, ou le moins possible. »
Vous n’avez manifestement jamais mis les pieds en Suisse… Ça y cartonne, quand même, là-bas, dans le domaine de la prune salée. Entre le flicage au contrôle des habitants, les obligations universelles d’assurance maladie et la législation contraignante sur les clauses d’assurance, non, non, non… la législation est draconienne. Il est juste absurde de prétendre que gonfler le code du travail soit nécessaire pour les autorités prennent leur investissement dans le champ sociétal au sérieux sans blaguer sur la loi et son application.
« Je n’ai rien contre les alcooliques ni les complexés, mais je souhaite pas être gouverné par eux. »
Mouais. Si un poulpe gouverne bien, je n’ai rien contre l’idée d’être gouverné par un poulpe. Valérie Garbani ou Yvan Perrin picolaient comme des trous, mais ce n’est un critère que je ne retiens en aucune manière contre eux. Yvan Perrin me faisait d’ailleurs un peu de la peine, quand je le croisais à l’occasion devant son verre. Mais cela n’impacte aucunement mon jugement sur son action politique. Au fond, plutôt content, même, que des alcooliques gouvernent.
@ F68.10 | 20 février 2021 à 21:32
Je ne vois pas comment vous allez éviter la ghettoïsation si en admettant que vous ventilez cette population jusqu’en Creuse, vous laissez la porte ouverte à de nouveaux arrivants, à part reculer le problème et créer des ghettos cette fois-ci de blancs ou d’indigènes.La partition de monsieur François Hollande ou l’affrontement de monsieur Gérard Collomb.
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@ Tomas
C’est vous le raciste. N’ayant pas le courage d’aller vivre chez ceux que vous adorez, y perdant sans doute beaucoup d’avantages, vous préférez les faire venir chez ceux que vous abhorrez, vos semblables (si je ne m’abuse).
Meste a case. Et c’est valable aussi chez l’oncle Tom (as).
@ hameau dans les nuages
Je n’abhorre pas mes semblables, au contraire, et n’éprouve aucune fascination particulière pour la civilisation arabo-musulmane. Mais je ne suis pas comme vous confit dans la haine et le ressentiment, et j’essaye d’avoir une attitude face à l’immigration et ses conséquences fondée sur une analyse aussi complète que possible du phénomène, et non comme vous sur des faits divers. J’essaye de penser avec mon cerveau et pas avec mes tripes, en fait.
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@ F68.10
Chantez-moi tout ce que vous voulez, mais un gouvernement libéral qui déciderait lui-même de la répartition de la population sur le territoire, ce ne serait plus un gouvernement libéral. Ça n’a rien à voir avec la sévérité avec laquelle s’appliquent les lois suisses.
Je n’ai pas de biais systématiquement antilibéral comme vous semblez le penser (lorsqu’on invective, c’est qu’on n’a pas d’arguments, au passage), j’estime juste que l’interventionnisme de l’Etat ou des collectivités locales dans la vie économique est un facteur de justice sociale, chose la plus importante à mes yeux après la justice tout court.
@ Tomas
« Chantez-moi tout ce que vous voulez, mais un gouvernement libéral qui déciderait lui-même de la répartition de la population sur le territoire, ce ne serait plus un gouvernement libéral. »
Un gouvernement libéral peut très bien favoriser la concentration des biens immobiliers au sein d’entreprises privées, en concurrence, qui seraient 1. bien avisées à ne pas laisser leur bien se dégrader en permettant une concentration ethnique 2. soumises à de telles obligations en agrégé par l’État le cas échéant. Résultat ? Déconcentration ethnique.
La vente des médicaments est réglementée, non ? Ben voilà, c’est pareil: c’est de la réglementation du marché. Zéro dépense publique autre que de faire veiller au respect des règles par les acteurs privés. Les mécanismes de marché fonctionnent toujours: rajouter une contrainte de type ethnique n’est pas casser les mécanismes de marché.
En gros, c’est néolibéral. Ce n’est pas du libéralisme économique à la mode laisser-faire. Petite distinction.
« Ça n’a rien à voir avec la sévérité avec laquelle s’appliquent les lois suisses. »
Cet exemple montre qu’on peut être libéral et poser des tonnes de contraintes aux gens.
« Je n’ai pas de biais systématiquement antilibéral comme vous semblez le penser (lorsqu’on invective, c’est qu’on n’a pas d’arguments, au passage) »
Ce n’est pas une invective. C’est un constat. Vous avez souvent ces positions caricaturales sur le libéralisme, je trouve.
« …j’estime juste que l’interventionnisme de l’Etat ou des collectivités locales dans la vie économique est un facteur de justice sociale, chose la plus importante à mes yeux après la justice tout court. »
Oui. Ben non. La justice sociale qui consiste à tapisser la France d’HLM et à pousser le pauvre dans une relation symbiotique avec l’État en lui faisant croire que sans l’État, c’est le Soudan, c’est quand même pousser le bouchon un peu loin. C’est du lavage de cerveau de pauvres.
Et puis, encore, rien n’empêche à l’État de reconnaître un besoin de financement, de l’éducation par exemple, par l’impôt. Ce besoin est évident. Il n’est simplement nul besoin d’assister à la consommation de cette dépense publique par des rectorats et des fonctionnaires. On pourrait très bien privatiser toutes les écoles, défonctionnariser tous les professeurs, qu’on aurait toujours une dépense publique financée par l’impôt avec des systèmes, par exemple, de vouchers et des référentiels éducatifs nationaux par le biais d’examens nationaux.
En gros, l’État pourrait se limiter à garantir le financement de l’éducation et à poser des référentiel éducatifs clairs sans avoir à rendre symbiotique cette relation entre l’État et l’écôôôôle laïïïïque et républicaiaiaiaine.
Les tours de passe-passe mentaux auprès des pauvres consistent en effet à faire croire que soit l’État s’occupe de tout, soit ils crèveront la bouche ouverte. Comme je vous l’explique, on peut garantir une dépense publique sans casser les mécanismes de marché. Mais c’est plus facile de prétendre qu’on veut « la casse des services publics ». Ils n’ont besoin de personne pour se casser tous seuls, les services publics.
En gros, la gauche est hypocrite sur ce point. Rassurez-vous, la droite aussi… pour d’autres raisons.
@ F68.10 17 février 2021 à 23:06
Voici tout d’abord les deux sources concernant le résultat des élections dans le 21e bureau de Mantes-la-Jolie aux municipales de 2020 et aux départementales de 2015:
https://www.marcjammet.fr/2020/03/election-municipale.mantes-la-jolie.les-resultats-ville-et-bureau-par-bureau.html
https://www.monde-diplomatique.fr/2017/02/GARCIA/57133 (source confirmée par un ami proche, ancien élu mantais).
Si vous avez quelques minutes, lisez ce reportage qui aurait pu être titré « Tout savoir sur le clientélisme »…
Infos complémentaires : le maire élu en 2020 est l’ancien attaché parlementaire de Bédier… En janvier, le lendemain de la mort au Maroc de son copain imam, Bédier s’est précipité à la mosquée pour annoncer que l’esplanade autour du bâtiment (qui remplace un centre social…) prendrait le nom du défunt…
Mais un grain de sable vient de s’introduire dans la belle machine : la cour d’appel de Versailles, après cinq ans de procédure, vient d’annuler son élection à la présidence de l’Opievoy, office HLM qui faisait la pluie et le beau temps dans les Yvelines. Motif : Bédier ne présente pas les garanties de moralité nécessaires… (allusion à la condamnation pour corruption du sieur lorsqu’il était maire de Mantes). Cet organisme avait été dissous avant cette décision… Comme par hasard.
Le maire de Poissy, Karl Olive, est un « pote » de Bédier (LR chiraquien grand teint), bien que fricotant aussi avec LREM, louchant parfois vers le RN… Objectif : un maroquin… Bédier a commencé son périple politique en 1983 dans cette ville, qu’il a quittée précipitamment pour s’installer à Mantes… Voilà où en sont les Yvelines…
La politique de peuplement, qui a laissé s’agglomérer les immigrés en un même lieu est à la base même du clientélisme, mais aussi, naturellement, du communautarisme et de ses conséquences. À l’étranger, n’y a-t-il pas des lieux où la communauté française se retrouve ? Il est vrai sans poser le moindre problème ressemblant à ceux de nos banlieues…
L’offre d’emplois exigeant peu d’expérience et le regroupement familial sont les deux principales causes de ce phénomène qui sera très difficile d’endiguer. Même si l’Etat se décide enfin à combattre fermement le clientélisme de certains élus qui achètent les voix de leurs immigrés français contre quelques subventions ciblées, plus ou moins permises…
Très difficile à endiguer d’abord parce que rien ne permet d’assigner un lieu de résidence à quiconque. Et l’envie communautaire subsistera longtemps encore, avec ses dérives culturelles, vestimentaires, comportementales, polygamie et autres mariages arrangés.
Ensuite, parce que, même si ce premier obstacle était résolu, l’éparpillement des immigrés sur l’ensemble du territoire national, qui, sur le papier, paraît « la » solution, exigerait aussi de revenir à un plan d’aménagement du territoire qui obligerait les entreprises susceptibles de leur fournir des emplois à s’installer « au fin fond du Cantal », au risque de leur compétitivité. Contrairement à une idée reçue, l’agriculture n’emploie plus qu’épisodiquement, lors des récoltes, du personnel non qualifié…
Enfin, parce que, même si elle est largement injustifiée, la défiance vis-à-vis de cette catégorie de population, qui rassemble immigrés – étrangers, essentiellement musulmans – et Français d’origine immigrée, est telle que de très nombreuses communes soumises à la loi SRU (obligation d’un parc de logements sociaux représentant 20 à 25 % de l’ensemble de l’offre) font des pieds et des mains pour ne pas la respecter.
Nous ne sommes plus à l’époque où les immigrés, qui tous ou presque avaient déjà un lien avec la France – la métropole pour beaucoup – avant de s’y installer, s’intégraient sans problème majeur à la population locale. Ils travaillaient à l’usine du coin, faisaient le tiercé… C’était « l’Arabe », le surnom, sans connotation péjorative, comme on dit « le Parigot »… Tout juste un peu de « chacun chez soi »…
Puis vinrent la guerre d’Algérie, les foyers pour travailleurs immigrés, les épouses voilées, les salles de prière, puis les mosquées, les premiers voyous, avec, en toile de fond, la fin du plein emploi et le chômage… Le regard a changé, d’autant plus qu’en même temps qu’une arrivée massive de nouveaux immigrés, favorisée par le pouvoir de gauche, sont apparus la religiosité revendiquée, le phénomène communautaire, les ghettos, la pratique publique de coutumes qui ne sont pas les nôtres… et la fin d’une coexistence conduisant lentement à l’assimilation.
Le terrorisme islamiste a confirmé la rupture…
Tout a changé… et nous ne reviendrons jamais en arrière. Le retour chez eux de ces millions de nouveaux habitants venus d’ailleurs est une utopie dangereuse, parce qu’elle alimente, d’une part, l’hostilité d’une partie de ceux-ci, d’autre part, la xénophobie d’une frange non négligeable de « Gaulois ».
Que faire ? Evidemment, d’abord stopper au maximum le flux migratoire et éloigner de leur communauté tous ceux qui prêchent le séparatisme par leurs actes ou leurs discours. Etouffer l’économie parallèle alimentée notamment par la drogue. Punir sans pitié les délinquants, même si ceci exige, pour certains délits, la fin de l’individualisation des peines… Mais aussi inquiéter les parents de ceux-ci et les prédélinquants qui les admirent… L’arrestation publique d’un caïd leur fait toujours forte impression…
Et, parallèlement à ce volet répressif, réformer de fond en comble l’offre d’éducation et de formation, qui passe par une remise à niveau des personnels de l’Education nationale et un contrôle strict des imams. Au début du XXe siècle, la laïcité a su remettre les clercs à leur place en quelques années… Réinstaller les services publics dans ces quartiers pour marquer l’attention que le pouvoir y porte, mais aussi y imposer sa présence… Le drapeau tricolore doit y flotter plus qu’ailleurs…
L’objectif doit être, non plus de détruire des tours à l’explosif, mais de les vider peu à peu en faisant en sorte que leurs habitants, ainsi repris en main, se sentent mal à l’aise dans leur statut d’immigrés, qu’ils aient la conviction qu’ils n’y sont plus chez eux et que, comme leurs ancêtres des années 50-60, ils se jugent capables de vivre ailleurs, d’être des Français à part entière, tout en conservant la culture de leur pays d’origine. Une stratégie de très longue haleine, mais qui semble bien la seule envisageable.
@ Tomas | 21 février 2021 à 08:57
« J’essaye de penser avec mon cerveau et pas avec mes tripes, en fait. »
Oui c’est ça, absolument. Sans doute lors d’apéritifs dînatoires où l’on refait le monde entre amis. Et vous et vos amis vous vous envolerez comme une volée de moineaux lorsqu’il faudra aller au charbon avec ses tripes. Pour revenir jouer les procureurs. Eternellement le bon rôle. A moins d’aller à Canossa.
@ Michelle D-LEROY 16 février 2021 à 20:31
« Une jeune collègue qui habitait Paris la semaine, rentrait chaque week-end chez ses parents qui habitaient au Val Fourré à Mantes-la-Jolie. Dès le vendredi matin, elle s’en tracassait, le lundi elle nous racontait déjà ce qu’on entend maintenant. Nous étions en 1978/1979. C’est dire si tout cela n’est pas récent. »
Votre commentaire m’avait échappé et le mien est donc un peu tardif… Dans ces années-là, j’étais quelque peu impliqué dans les Yvelines et, plus particulièrement, à Mantes-la-Jolie. Pendant quelque temps, j’ai même habité « la Cité radieuse », qui a ensuite pris le nom de Val Fourré, qui, par le passé, désignait le lieu-dit. J’y ai conservé de solides attaches…
Permettez-moi d’affirmer que la situation de la fin des années 70 était à cent lieues de celle d’aujourd’hui. Mais je vous accorde qu’elle n’était déjà plus… radieuse. Le Val Fourré, d’abord habité par des familles mantaises mal logées depuis la guerre, venait de perdre la classe moyenne, partie alentour, attirée par les « chalandonnettes ». Des travailleurs turcs, puis maghrébins, sous contrat de deux ou trois ans dans les usines automobiles, y étaient logés en foyers pour célibataires. Des rumeurs persistantes, absolument sans fondement, circulaient sur des décapitations – eh oui ! – qu’ils auraient commises. Premier accroc…
Puis vinrent les premières épouses, politique giscardienne du regroupement familial oblige. En 1977, la mairie, dirigée depuis 1947 par une droite qui n’avait pas peur de son ombre, est passée aux mains d’une liste PS-PC.
Le début de la mauvaise réputation…
Mais ce n’est qu’en 1991 que la situation a réellement dégénéré avec le décès d’un jeune voyou asthmatique au commissariat de police, le meurtre d’une jeune policière et la mort du complice de l’assassin abattu par la police. La crise a été plus que mal gérée au plan local… et tout a dérapé, malgré les millions mis par les sociétés HLM dans la rénovation des bâtiments. Les émeutes se sont multipliées, la vente de drogue s’est développée et les salafistes étaient installés, ayant obtenu, en 1979, le permis de construire d’une mosquée financée par l’Arabie Saoudite. La deuxième en France, après la Mosquée de Paris, en 1922.
Nouvelle étape en 1995 avec l’arrivée à la mairie de Pierre Bédier (RPR, puis ULP et LR), qui, misant sur le clientélisme, s’est vite accommodé de la situation.
Aujourd’hui, 80 % des 22 000 habitants du Val Fourré sont musulmans… « On n’attirera pas de blancs ici. Ou alors des blancs musulmans. » Déclaration de Bédier à Libération en 2015… Depuis lors, le Val Fourré est toujours resté dans le peloton de tête des « territoires perdus »… À des années-lumière de l’époque où votre amie craignait d’aller y embrasser ses parents, ne croyez-vous pas ?
@ Achille 20 février 2021 à 20:00
« Elles se sont pas « canon », mais elles ressemblent encore à des femmes »
Holà ! Seriez-vous de ceux qui osent encore proclamer que les femmes ne pensent pas ?… Parce que, pour ce qui est du discours sensé, vos « canons de la République » ont encore du chemin à faire. D’abord à apprendre le français… C’est pas gagné. Celles du Trocadéro, elles, sont comme vous : elles en sont à l’humour au deuxième degré. Moins « chair à canon », mais plus femmes libérées… et joyeuses !
@ Serge HIREL
Lu rien que le début. Beurk.
Il faut arrêter de tolérer cela. 100 %. On a beau parler des immigrés, ce genre de choses devrait, indépendamment de la question des immigrés, se terminer en taule. Fissa. Sans sursis. Faut arrêter la déc*nne.
@ Serge HIREL | 23 février 2021 à 10:23
« Celles du Trocadéro, elles, sont comme vous : elles en sont à l’humour au deuxième degré. Moins « chair à canon », mais plus femmes libérées… et joyeuses ! »
En fait vos dames tout en noir appartenaient au mouvement Génération Identitaire pour prévenir les filles des générations à venir de ce qui les attendent dans 50 ans si elles se laissent manipuler par les islamo-gauchistes, c’est ça ?
À noter qu’en Iran en moins de dix ans l’affaire était pliée…
Mais les jeunes Françaises n’accepteront jamais ce genre de soumission par les ayatollahs. Elles vont en faire du petit bois nos bougresses !