Le remarquable et équilibré documentaire de Jalil Lespert « Chambre 2806: l’affaire DSK », nous a fait revenir au mois de mai 2011.
Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire International (il a été nommé en 2007), au faîte de ses espérances présidentielles pour la France, l’une des personnalités les plus puissantes et influentes dans le monde, est interpellé dans un avion alors qu’il s’apprêtait à quitter New York.
On peut éliminer tout de suite les prétendues manigances tenant à un complot sarkozyste qui aurait mis en place un piège à New York !
Nafissatou Diallo, femme de chambre au Sofitel, a porté plainte contre lui pour agression sexuelle dans la suite présidentielle qu’il occupait, selon des modalités ne laissant pas présumer un consentement.
L’arrestation de DSK, le processus policier et judiciaire, caractérisé notamment par sa marche humiliante, selon une pratique américaine constante, face à une multitude de journalistes, puis, plus tard, à des manifestantes féministes s’en prenant au « violeur », sa mise en détention suivie de sa libération et de son assignation à résidence très stricte, avec son épouse Anne Sinclair qui l’avait rejoint pour le soutenir et organiser cette nouvelle vie, sont dans toutes les mémoires.
Ces images, ces épreuves, cette procédure ont évidemment impressionné les Français, d’abord à cause de ce hiatus brutal entre un destin de privilégié promis à la gloire et la réalité d’une chute semblant mettre fin à tout et ayant des effets considérables bien au-delà du camp socialiste.
Le documentaire a décrit clairement, à l’aide de séquences déjà vues mais qui rassemblées avaient un impact incomparable, les étapes d’une décision ayant exclu toute poursuite de la part de l’accusateur américain – à cause, selon lui, du manque de crédibilité de la plaignante. La compensation octroyée plus tard à Nafissatou Diallo a atteint la somme d’1,5 million de dollars.
J’ai éprouvé un sentiment d’injustice face à cet abandon de la poursuite et, sans être original, je veux bien croire que la condition de femme noire socialement modeste de Nafissatou Diallo a été le ressort principal de refus du procès.
On est frappé par la persévérance, voire l’acharnement avec lesquels la justice américaine s’est seulement attachée à mettre en évidence les mensonges de la plaignante sur son passé et les motifs de sa venue aux USA, sans cibler ce qui aurait été l’essentiel pour nous : les faits s’étant déroulés dans la chambre 2806 ; avec les traces, indices, preuves et désordre susceptibles de créer ou non l’adhésion au récit de Nafissatou Diallo. L’aurait-on décidé que son sort en aurait été radicalement modifié.
Si Nafissatou Diallo avait été violée en France et si elle avait déposé plainte, une information aurait été obligatoirement ouverte et les charges établies, le mis en examen – DSK, pour poursuivre la comparaison – aurait été renvoyé devant la cour d’assises de Paris.
Lors des débats, il est vraisemblable qu’on aurait pu questionner le passé de la victime, les imprécisions de son discours, le vague de ses propos ou le flou de son récit mais cette vigilance nécessaire n’aurait pas forcément altéré toute sa crédibilité. La cour d’assises aurait dû apprécier si sa qualité de victime était atteinte ou non par certains de ses comportements antérieurs.
Et tout cela dans le cadre d’un procès.
Nafissatou Diallo n’aurait pas été soumise au décret presque arbitraire d’un procureur américain exagérant ses maladresses ou ses mensonges, en les analysant automatiquement comme la démonstration de sa mauvaise foi pour sa narration des agissements qu’elle disait avoir subis.
Nous sommes donc en France.
DSK est accusé et Nafissatou partie civile. Débat passionnant et contradictoire. Avec si possible une présidence de qualité et des jurés exemplaires. Le premier et la seconde questionnés sans complaisance. Et un arrêt rendu après un très long délibéré.
Cette justice-fiction nous aurait fait échapper à un triple malaise.
L’entretien ridicule et totalement dénué de spontanéité entre DSK et Claire Chazal sur TF1 avec seulement l’aveu d’une attitude « inappropriée ».
DSK nous annonce qu’il donnera sa version des faits dans un biopic qui sera diffusé dans le courant de l’année prochaine. Je parie qu’il sera question d’argent. Pourquoi si tard ? Ce n’est pas que l’impatience nous tenaille mais tout de même !
Enfin, cet homme intelligent déclare qu’il ne voit pas où serait le problème entre des responsabilités publiques et une vie de libertinage organisé (un euphémisme). Inquiétant sur sa perception des choses. Comme si la morale était divisible !
Nafissatou Diallo certes pleure beaucoup dans le documentaire mais je crois que la justice américaine, en ne la ménageant pas, lui en a donné l’occasion.
Si elle avait été en France, quel changement !
Nafissatou la pleureuse contre DSK le queutard: quel programme !!
Ni l’une, ni l’autre ne sortent grandis de ce documentaire fort bien réalisé. Je me suis souvent demandé ce qu’il serait advenu si DSK avait pu regagner la France, il était dans l’avion du retour quand les flics américains sont venus l’interpeller…
Il n’aurait sans doute pas remis les pieds aux USA et aurait été obligé de quitter son poste au FMI. Aurait-il fait l’objet de poursuites pénales en France ?
Si des juristes veulent bien éclairer ma lanterne ?
Ce qui rend la chose difficile à comprendre est qu’il faut se placer dans le cadre d’une situation commune aux USA : trouver une source importante de fonds, DSK dans ce cas mais, de même, toutes célébrités riches en particulier sportifs, basketteurs, boxeurs, footballeurs ou autre dans le sens inverse : elle blanche, lui noir. Lors d’une soirée une ravissante jeune femme s’intéresse à l’homme qui l’invite à venir écouter de la musique dans sa chambre d’hôtel tard dans la nuit après avoir fraternisé dans la boîte de nuit. Elle accepte et tôt le matin se précipite au poste de police le plus proche en hurlant qu’elle a été violée par le basketteur ou autre. Il veut et doit éviter la publicité alors la chose se règle entre avocats (son avocat prélève un tiers du règlement pour son service) par quelques millions de dollars.
D’où sans doute le questionnement de l’accusateur, rien de nouveau sous le ciel américain, le scénario est familier.
D’autant plus qu’il y a des retombées possibles : film, livre, série TV…
Il s’est transformé depuis, générant le #MeToo.
Dans un bar américain était exposée une petite affiche disant : « In God we Trust, all others cash ! » il s’applique aussi dans le cas de Nafissatou.
C’est une autre forme du rêve américain.
C’est une situation qu’on ne peut juger qu’à l’américaine !
La preuve en est qu’une jeune femme française, journaliste, a aussi accusé DSK d’abus sexuel, elle n’est pas devenue millionnaire comme Nafissatou !
En France ce genre de crime se règle par la justice, aux USA en dehors de la justice, réduite au rôle d’intermédiaire entre avocats, la sentence étant inscrite sur un chèque bancaire.
L’accusateur le savait et n’y pouvait rien faire, pourquoi laisser traîner le procès ?
Clip commercial mal maquillé de la « Lawyers & Prosecutors Show Incorporated » (LAPS Inc.) laquelle vend du pestacle de pu****erie justiciaro-policière.
C’était du DS-Kramer contre Nafissatou-Kramer. Tout bénéf à Wall St.
Un vrai patriote français tel un Gaulle non un Pétain (*) devrait détourner le regard quant à cette délétéritude (**) aux relents de perversitude (***).
(*) Pétain bénéficia de la cote d’amour à Vichy de l’amiral Loewy ambassadeur du Roosevelt.
(**) et (***) merci à Ségolène R. pour l’inspiration de ces néologismes.
@ Wil
« DSK est un taré pur et simple. »
En tout cas, sur le plan sexuel, il me paraît assez manifeste qu’il a un léger souci…
Vous l’avez vu passer, le coup du pot de crème ?
Maintenant, il est quand même passablement out, DSK, de la vie publique. Il ne me paraît pas utile de lui faire un sort pire qu’à un simple délinquant/criminel sexuel.
Je trouve que la justice française a été excessivement clémente dans l’affaire du Carlton. Ce point ne devrait pas être occulté par l’opprobre qu’on projette sur DSK. Car ce point est « peut-être » pire que les pratiques « non-consensuelles » de DSK lui-même.
L’affaire DSK, le retour, saison 9, épisode 3.
M. Bilger nous sommes en pleine fiction. Les langues n’en finissent plus de réécrire l’histoire sordide des démêlés judiciaires de Dominique et Nafissatou.
Je préfère m’en tenir aux faits sans les mettre en perspective avec la justice de mon pays.
Nafissatou aurait donc reçu 1 500 000 de dollars. Sachant qu’elle a fait 1 000 000 de travaux pour ouvrir un restaurant, qu’elle a dépensé le reste en divertissements onéreux sur les plages tropicales, il n’est rien resté pour réparer le restaurant quand il a brûlé.
L’assurance n’a pas payé parce que les échéances des primes n’avaient pas été honorées.
Permettez-moi de douter de la pertinence des peines en France quand je constate que la petite fille d’un policier tué dans l’exercice de ses fonctions en 2020 va passer Noël sans son papa. Alors que le chauffard toxicomane est libre et va faire la fête avec ses amis.
Quel juge d’instruction français, passé nécessairement par le Syndicat de la magistrature, aurait fait arrêter DSK à Roissy dans l’avion en partance pour New York sur la simple dénonciation d’une soubrette, fût-elle issue du camp Traoré ?
La fellation, consentie ou non, de l’homo politicus, est en France un brevet permettant d’accéder, braguette reboutonnée, aux plus hautes fonctions de l’Etat…
Et réjouit de surplus le bon peuple depuis Rabelais.
Où l’on voit, une fois de plus, à quel point le sexe peut porter en lui ou toute la beauté de la vie ou toutes ses obscurités.
J’avoue que cette affaire du Sofitel de New York m’a laissé perplexe.
Certes, j’avais eu vent de certaines anecdotes parues dans les médias, laissant entendre que DSK était un « chaud lapin », mais généralement il satisfaisait ses pulsions par l’entremise de son ami Dodo la Saumure qui le fournissait en call girls aux corps de rêve, ce qui, sans vouloir offenser Nafissatou Diallo, ne saurait être son cas.
Aussi, bien que n’étant généralement pas un partisan de la théorie du complot, je me suis demandé si, là, il ne s’agissait pas de cela. Le scénario semblait trop bien réglé. Mais ceux pour qui profitait le crime étaient assez nombreux et il était difficile de dire qui en était l’instigateur :
1- Vu que DSK, en mai 2011, caracolait en tête des sondages pour l’élection présidentielle de 2012, on pouvait se demander si ce guet-apens n’était pas l’œuvre d’un des candidats.
2- La France n’ayant jamais été en odeur de sainteté aux Etats-Unis, cela pouvait aussi être un coup des Américains. La CIA excelle dans ce genre de coup tordu.
3- Plus simplement le piège pouvait provenir de la femme de chambre elle-même qui a vu là l’occasion de se faire un max de dollars à bon compte.
Par contre l’hypothèse laissant entendre que DSK ait eu une pulsion sexuelle irrépressible face à Nafissatou Diallo, m’a toujours laissé sceptique.
Saurons-nous jamais la vérité dans cette affaire ? Je crains que chacun doive se contenter de la sienne.
Quelle photo ! Et encore la victime est habillée, vous l’imaginez dévêtue ?
La faute première de DSK est une faute de goût, et à ce niveau d’aberration on ne peut distinguer la vie privée de la vie politique.
C’est Voltaire qui a dit :
« Demandez à un crapaud ce que c’est que la beauté : il vous répondra que c’est sa crapaude avec deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête… Interrogez le diable il vous dira que le beau est une paire de cornes, quatre griffes et une queue. »
Heureusement que DSK n’a été que ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, vous l’imaginez ministre de la Culture, avec un pareil sens du beau ?
Quant à être président, hum, peut-être l’aurait-il prise comme porte-parole ?
Honni soit qui mal y pense !
Eh bien le procès serait toujours en cours, version un couvercle sur la marmite. Sur le fond, si certains souhaitaient flinguer DSK il ne s’y seraient pas pris autrement, il est assez facile de démolir un type qui dérange lorsqu’il a certains penchants. Je regrette l’absence de procès.
Certes cette affaire a fait couler beaucoup d’encre.
Toutefois on en oublie que DSK est le père spirituel des catastrophiques 35 heures avec Martine Aubry, le père de « la mutualisation de la dette », c’est à dire « vas-y que je t’embrouille, je ne paierai pas ». Les Français la paieront.
On oublie le suicide de Thierry Leyne qui s’est jeté du 25e étage d’un immeuble et qui était dirigeant associé de DSK. Un moment de lucidité, lorsqu’il a compris qu’à force d’entuber tout le monde, son tour était arrivé.
Et nous avons porté aux nues DSK…
Pour parodier Fillon, « imagine-t-on le général de Gaulle élu Président avec un copain qui se jette du 25e étage ? »
Nafissatou nous a sauvés.
Nafissatou Diallo / Strauss-Kahn
Dans quel siècle était-ce cette affaire déjà ?
Dans un monde plus violent qu’il ne l’a jamais été et dans une vision totalement obscure de l’avenir, les entomologistes se penchent sur un vaudeville crapouilleux.
Les conséquences du confinement qui limitent les horizons ?
Pour voir la justice française face à une telle situation, il ne nous reste plus qu’à attendre la suite de l' »affaire » Darmanin qui, si j’en crois le milieu bien informé, est à nouveau entendu ce jour en qualité de témoin assisté à la suite de la plainte pour viol de Mme Patterson-Spatz.
Naturellement comme il n’y a aucune preuve de ce crime qui aurait été perpétré en 2009, il restera aux juges chargés de l’enquête de faire comme ceux du PNF dans l’affaire Sarko-Azibert-Herzog, condamner Darmanin sur l’INTENTION d’avoir voulu le faire, Mme Spatz (de son vrai nom Olga Patterson) soutenant quant à elle mais sans preuve, que la relation sexuelle était en échange d’une intervention de Monsieur Darmanin (à l’époque chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP) « pour tenter de faire annuler sa condamnation de 2004 pour chantage et appels malveillants contre un ex-compagnon ».
Alors que Monsieur Darmanin âgé de 27 ans à l’époque des faits, soutient que c’était une relation consentie après une soirée « coquine » avec Mme Spatz devenue Mme Patterson-Spatz.
Si M. Darmanin n’a pas violé Mme Spatz en a-t-il eu l’INTENTION ? Un peu comme Sarko et Herzog ont-ils eu l’INTENTION de corrompre Azibert en le pistonnant pour le poste désiré par lui, à Monaco ?
Affaires à suivre…
VIOL
On l’a échappé belle : DSK, partouzard, queutard frénétique, aurait pu être chef de l’Etat. Pendant cinq ans il s’en serait passé de belles tous les jours dans les palais nationaux.
Cela dit je m’interroge sur le viol. On me croira difficilement, mais je le déclare d’abord : de ma vie je n’en ai pas commis. Je ne sais pas si tout le monde ici est dans mon cas. Peut-être pas. Un viol, en France est un crime qui envoie aux assises, comme les crimes de sang. A la bonne heure ! Mais, en France comme aux Etats-Unis, je ne suis pas tout à fait d’accord sur ce qu’il faut entendre par « viol ». Si un homme déshabille une femme de force, et procède à une pénétration vaginale ou anale de force, et sans son consentement, c’est indéniablement un viol, donc un crime.
Mais on y ajoute, si je ne me trompe, le fait d’imposer une fellation à une dame. Or l’acte d’imposer me semble problématique et sujet à discussion. On peut imposer en menaçant d’un couteau ou d’un revolver. C’est bien un viol, donc un crime. Mais dans le cas de DSK, avait-il un revolver ou un couteau ? La femme de ménage était-elle en danger de mort en cas de refus ? A-t-elle reçu des coups ? Elle a été « invitée » à… Et elle a fait. Cela a demandé un certain temps. Je pense qu’elle aurait pu dire « No » et sortir de la chambre. À mon humble avis, il n’y a pas eu viol.
J’ajoute que cette fellation a été la fellation la plus lucrative de l’histoire mondiale. Elle n’en espérait pas tant. Ce fut le jackpot. Elle pleure, mais elle a dû bien rigoler… comme le grand gagnant du Loto.
DSK parle de faute morale, de relation inappropriée. Quelle mouche l’a donc piqué ? Pour l’heure, on n’a pas à rechercher la responsabilité de Nafissatou puisque Strauss-Kahn s’accuse lui-même.
Avec son fric, il pouvait se payer, en totale discrétion, toutes les escort girls les plus onéreuses. Mais non, à cet instant-là, Monsieur était pressé.
Nafissatou est privée d’un procès par le procureur au motif que certaines de ses déclarations sont sinueuses. C’est précisément un procès qui aurait permis de faire la lumière. DSK a lâché un peu de monnaie pour éteindre l’action civile. Point final.
Mais l’humiliation persiste. Humiliation accentuée par des commentaires imbéciles sur le physique de Nafissatou. Comme si elle aurait dû plaire à tout le monde pour que le scénario soit plus crédible.
Humiliation aussi pour la France. La perte d’une fonction prestigieuse au FMI.
Bonjour Philippe,
Je rejoins Wilfrid sur le constat. En France rien ne se serait passé. Il y a dans notre pays, et c’est heureux, une grande liberté sexuelle. Nous ne légiférons pas sur les actes entre adultes consentants, comme, par exemple, dans certains Etats aux USA. Inversement, et c’est dommage, il y a une grande tolérance aux brutalités de tous ordres faites aux femmes, et #MeToo n’y change absolument rien. D’ailleurs pas qu’aux femmes, il y a une tolérance à la pédophilie connue de tous qui tient de l’inexplicable. On ne peut pas donner des noms, que tout le monde connaît, et d’autres, moins souvent cités dans les dîners en ville mais que l’on connaît tout aussi bien, car la diffamation a bon dos, mais on peut supposer que les strates les plus hautes sont touchées et se protègent de toute enquête sur ces sujets tant il ne se passe rien.
Nafissatou Diallo a d’ailleurs eu le droit de la part de la cruche entrepreneuse et d’un financier abruti, de remarques de la pire espèce.
J’ai retrouvé les citations pour être exact:
« Tu veux que je sois politiquement totalement incorrecte ? […] Je me demande, c’est horrible à dire, si c’est pas ce qui lui est arrivé de mieux » (Sophie de Menthon, chef d’entreprise)
« Elle n’a rien pour elle, elle ne sait pas lire pas écrire, elle est moche comme un cul, et elle gagne 1,5 million, c’est quand même extraordinaire cette histoire » (Franck Tanguy, conseiller en investissement financier).
https://www.grazia.fr/news-et-societe/news/derapage-de-sophie-de-menthon-sur-nafissatou-diallo-528938
Voilà où en est la France sur ces histoires-là.
Pas mieux que les USA.
Nous sommes, je le redis c’est heureux, dans un pays assez libertin. On se moque un peu de savoir si l’on broute plusieurs pâturages et si une fois bardé, on ne fourre pas toujours le rôti dans le même four, mais la violence, la contrainte, l’appropriation des corps par abus d’autorité, de position dominante, les petits Français qui vont se taper des gamines dans des pays exotiques alors que ça leur vaudrait la prison en France (quoique) parce que celles-ci sont pauvres, en s’en dédouanant par avance en avançant que ce serait de l’humanitaire, double saloperie. Comment défendre ça ?
Non, en France, on aurait certainement dit : « Pas possible, il a de l’argent, il peut se taper autre chose ». Et l’affaire aurait été classée.
J’attends toujours de connaître le sort du conseiller de Raffarin qui se tapait une petite Roumaine dont on n’a jamais su l’âge exact. Elle a disparu cette petite ? morte ? renvoyée chez elle ?
Douce France, comme disait un gars qui aimait les très jeunes.
@ Tipaza
Et votre commentaire, le trouvez-vous de bon goût ?
DSK et ses problèmes de libido. Cette gôche comme cette droite nous laissent dans la déliquescence.
L’état déplorable de la France dans quelques petites années :
Une invasion migratoire islamiste massive grâce à Esther Benbassa qui veut interdire les tests osseux pour les soi-disant « mineurs isolés ».
https://www.valeursactuelles.com/politique/les-ecologistes-veulent-faire-interdire-les-tests-osseux-pour-les-mineurs-etrangers-126628
Un chauffage au charbon, éclairage à la bougie dans tous les foyers de France. « Germinal » de Zola revient.
Tous pauvres sauf les membres du parti de l’ordre écologique islamiste.
https://www.valeursactuelles.com/politique/nucleaire-le-oui-mais-de-macron-126621
Les ayatollahs verts avec les ayatollahs islamistes pour un temps seulement. Ensuite, les ayatollahs islamistes vont « virer » (euphémisme) les Verts qui pensent faire un bon calcul démagogique et clientéliste. Nous avons hâte de voir la Benbassa voilée de pied en cap.
Une histoire glauque de bout en bout ou semble-t-il tout le monde aurait menti !
DSK, l’on connaissait sa réputation de chaudard, de libertin invétéré. Ce n’est pas Dodo la Saumure ni sa douzaine de copains débauchés et franc-macs du Carlton Lille, amateurs de « parties fines » qui auraient démenti, sachant que chez les « frères » et les proxos on se serre les couill** et le reste !
Pour en revenir au Sofitel de NYC, dans sa suite DSK, 66 ans et déjà voûté, était seul et nu comme un ver, lorsque Nafissatou 32 ans et bien charpentée s’est pointée le plumeau à la main afin de remplir son office de femme de ménage…
Pour ceux qui connaissent ce genre d’établissement, il est tout de même étonnant que le valet de chambre qui l’avait précédée lui ait affirmé que la suite était libérée et qu’elle pouvait y pénétrer sans pass. Ou alors il était de mèche avec DSK, comme cela se voit parfois dans ce genre d’établissement huppé, voire peut-être ND.
On peut aussi s’étonner qu’une fois dans les lieux et confrontée à ce vieux gorille en rut, elle ne lui ait pas envoyé un solide coup de genou dans les parties pour le calmer et surtout n’ait pas crié* pour ameuter tout l’hôtel !
Etc. etc.
Bref !
Une histoire salace et un procès spectaculaire et bâclé, lequel s’est terminé (en queue de poisson ou plutôt de cochon !) par une remise de gros sous, mais qui va reprendre neuf ans plus tard, les deux belligérants étant prêts à donner leurs nouvelles versions. Ce qui nous promet feuilleton télé, romans inédits, film. De quoi occuper encore longtemps la scène médiatique et se faire un bon pactole de chaque côté !
—
En guise de conclusion :
Pour ND
* »Et je pousserai d’une telle raideur le grand cri nègre que les assises du monde en seront ébranlées » (Aimé Césaire)
Pour DSK :
Gare au gorille ! (Georges Brassens)
En France, depuis des mois, les plaignantes contre Tariq Ramadan sont persécutées par ses fans.
Et à chaque dépôt de plainte contre quelqu’un avec de la notoriété, les commentaires publics sous les articles mettent salement en cause les plaignantes.
Changeons d’air !
À midi sur Sud Radio, resplendissante, fabuleuse Marion Maréchal. Nous n’avons jamais entendu personne avoir sa faculté d’exposer des problèmes politiques, aussi complexes soient-ils, d’une manière aussi claire.
https://www.sudradio.fr/emissions/
Si MLP aime la France, qu’elle ne se présente pas aux présidentielles pour lui laisser la place.
Marion peut nous sauver, alors que MLP même élue, ne pourra rien faire.
Je trouve plutôt gonflés ici les qui dénigrent l’apparence de Nafissatou Diallo.
Pour être cynique, chaque poubelle a son couvercle.
Ce qui s’avère vrai dans la vie ordinaire, celle de tous les jours. Patrick Modiano ne devrait pas me démentir, ni ma leste coiffeuse.
Aux lisses Claudia Schiffer ou Estelle Lefébure et d’autres encore, Asia Argento c’est de la dynamite et d’autres encore.
Je trouve bien condescendants certains, la beauté n’a pas d’adresse, elle trouve toujours sa boîte aux lettres… Heureusement d’ailleurs pour le facteur qui pressera toujours le pas.
Ceux qui n’ont pas construit de grands ensembles de logements ne peuvent pas comprendre, l’amour est partout et pas seulement dans le pré.
@ breizmabro
« Pour voir la justice française face à une telle situation, il ne nous reste plus qu’à attendre la suite de l' »affaire » Darmanin qui, si j’en crois le milieu bien informé, est à nouveau entendu ce jour en qualité de témoin assisté à la suite de la plainte pour viol de Mme Patterson-Spatz. »
Vous n’avez pas l’impression qu’il y a quand même une différence à la fois qualitative et quantitative entre DSK et Darmanin ?
Une pipe à 1,5 million de dollars ce n’est pas à la portée de toutes les bourses !
La France a échappé de peu au pire. Si DSK n’avait pas été arrêté à New York pour viol et séquestration d’une femme de chambre à l’hôtel Sofitel, nous aurions eu un porc à l’Elysée avec des partouzes à tous les étages et un des plus gros bandits financiers, de même gabarit que Madoff.
DSK s’est servi de son statut de directeur général du FMI pour amadouer et tromper le monde de la finance, voler les investisseurs étrangers les plus riches en les aidant à planquer leur argent dans douze paradis fiscaux via sa holding LSK situé à Luxembourg dont il était Président du conseil d’administration. Il est beau le PS !!
Assez de commentaires. Regardez plutôt cette vidéo, elle glace le sang.
https://www.youtube.com/watch?v=kRv-r2Paqhw
@ Xavier NEBOUT | 15 décembre 2020 à 14:01
C’est vrai que Marion Maréchal a de très grandes qualités et est très brillante, mais elle est si jeune, 31 ans et en plus une femme, je doute que les vieux loups en politique la laissent passer, même par une porte entrouverte.
@ Ex abrupto | 15 décembre 2020 à 14:57
« ..1,5 million de dollars ce n’est pas à la portée de toutes les bourses ! »
C’est un jeu de mots ? Vous oubliez les frais des deux avocats de la victime. Aux USA, les bons avocats internationaux coûtent une fortune. Et dans le cas de DSK, connu mondialement, les prix s’affolent.
La France est aussi le pays des grands journalistes et des philosophes « lumineux ». Je pense à un autre Kahn, prénommé Jean-François, celui-là, et qui avait résumé l’agression de la femme de chambre, noire, imputée à son homonyme, de (je cite) simple « troussage de domestique ». À ma connaissance, ce vaurien n’a pas été trop inquiété pour ses propos. Aujourd’hui en France « progressiste »il est plus grave et criminel de qualifier quelqu’un de Noir que de minimiser le viol d’une personne.
Voilà où le fait d’écouter ces philosophes autoproclamés, philosophes de chez LIDL, peut mener un pays. On est en plein dedans. À quand la criminalisation des idées subversives que diffusent tous ces salopards ?
@ Giuseppe | 15 décembre 2020 à 14:13
« Je trouve plutôt gonflés ici les qui dénigrent l’apparence de Nafissatou Diallo. »
Pour une relation durable je suis d’accord avec vous que le physique n’est pas la qualité la plus importante chez une femme. Ces dames disposent de bien d’autres charmes pour séduire les hommes (délicatesse, finesse intellectuelle, si possible bonne cuisinière…).
Mais pour une relation purement sexuelle qui dure cinq minutes douche comprise, comme disait le regretté Jacques Chirac, le physique a quand même son importance. 🙂
@ Louis 15 décembre 09:22
« Je regrette l’absence de procès »
Moi aussi je regrette l’absence de procès, j’aurais beaucoup aimé voir Dodo la Saumure appelé en défense en qualité de témoin de moralité.
Malheureusement ni Benjamin Brafman ni William Taylor n’ont fait ce choix pour défendre leur client. Dommage.
—————————————
@ Ellen 15 décembre 15:39
« dans le cas de DSK, connu mondialement, les prix s’affolent »
Vous voulez sans doute dire « dans le cas de DSK époux d’Anne-Elise Schwartz, plus connue sous le nom d’Anne Sinclair, petite-fille du célèbre marchand d’art Paul Rosenberg un des plus éminents galeristes du XXe siècle dont elle possède une partie de la collection de tableaux pour une valeur estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars » ?
La suite on l’a bien compris ; le procès n’est devenu qu’une question de dollars pour la remise en liberté de DSK, la fin de son procès ET la perception des honoraires de Benjamin Brafman et William Taylor.
Comme dit la chanson « tout est négociable ».
@ Tipaza | 15 décembre 2020 à 09:09
« …vous l’imaginez ministre de la Culture, avec un pareil sens du beau ? »
Oui mais aujourd’hui avec un bon masque (en somme une culotte de tête vis-à-vis d’une fente et deux petits trous) ça va mieux ! Un peu comme vous si masqué sous « sic-Tipaza » : ce serait l’illusion d’être un auteur, non ? Toutefois merci pour la citation de Voltaire qui s’applique bien aux crapauds, mais à vous ?
Ensuite la culture ne se réduit pas au « sens du beau », c’est comme la justice – manquerait plus qu’elle se réduise au sens du vrai… comment mangeraient les marchands que sont les avocats ??
Et puis le beau ne se réduit pas à l’esthétique « pompier » des stars popus de la téloche des années 60-70 notamment quand vous étiez jeune !
Non mais Diallo quoi !
D’ailleurs à propos d’art pompier, Monsieur Dominique S…-K. espérait probablement une prestation pompière de la bouche à la lance, la vue imprenable sur une chevelure dé-crépue suffisait bien !
En somme Monsieur supposé-Tipaza-si-pseudo, alias peut-être Auto-masque n°tant (votre INSEE), vous confondez bien des choses :
– la culture n’est pas la beauté grecque ou pompière ou péplum etc.
– la beauté n’est pas indispensable pour ce que Brassens appelait « le déduit »
– une passade érotique avec relaxation génitale partielle n’est pas nécessairement de la bio-sexualité au sens de « genre F et genre M » (d’où les schémas homo-érotiques homophiles), et encore moins de la romance amoureuse intime au sens de vos lectures de gares probables
– enfin au titre de l’excitation érotique « canaille », une pauvre fille avec visage disgracieux peut faciliter la levée d’inhibitions car le sentiment d’outrager un joli minois délicat peut provoquer un « fiasco » (comme disent nos amis Italiens : un flasque…).
« Quant à être président, hum […] »
Eh bien sa fonction érectile au Palais de Elysée, avec les précédents en matière de « frasquitudes » des antécédents Giscard le dé-coucheur, Mitterrand le bigame, Chirac l’expéditif qui faisait galoper (dixit dame C.) aurait pu servir de « Viagra promotionnel » à une nouvelle forme de tourisme « érotico-cultuel » gonflant la Bourse de Paris…
Explications :
– la France galante alors présidée par un Champion de l’Amour digne du Moulin Rouge, des Folies Bergère, de Toulouse-Lautrec, des sleepings à madones, de la place Blanche, de Pigalle, du Bois, bref : the right male-symbol in the very-gai-Paris-forever !!
– dès son érection électorale, Président-Priape aurait fait entrer Félix Faure, le président à « la connaissance sortie par-derrière » au Panthéon, dans une salle dédiée à la relation torride définitive entre pouvoir français, déshabillage public du monarque, et culte sans-culotte (*) en République … the world « olympia » for « pantlessness »…
– un pont aérien tournant en continu aurait été mis en place par Air-Transe, filiale hot-move de Air France pour faire circuler en processions bien conditionnées les masses asiatiques perturbées par la quête de religiosité cul-tuelle : notamment tous les clients de Viagra (Reg. TM) eurent été ciblés par la Com’ de la Cul-ture où enfin ce ministère aurait donné ouvertement la pleine mesure de son talent dans le domaine des parties plus ou moins fines, et des allusives parties tout court.
– du merchandising de produits dérivés aurait évidemment allongé davantage cette nouvelle pénétration parisienne sur les plates-bandes (!) de la Thaïlande et de tous les paradis mercantiles de l’Eros-pour-tous … Paris serait devenue le complément de genre et de moeurs de Lourdes : « anti-Lourdes mâle où le soufre tient lieu d’encens »… à Bernadette la Vierge du Ciel halluciné, à Dominique-nique-nique le Cupidon allumé du Septième en l’air !
– et rétrospectivement : DSK sur la question Q, pas de la gnognotte gnangnan comparé au trémousseur d’épaulette poly-divorçat puis au scoutériste sortant son baise-en-ville avec casque et sans masque…
(*) les révolutionnaires d’abord constitutionnels puis républicains ont été évidemment étiquetés sans-culottes avec un humour gaulois caractérisé qui jouait d’une polysémie évidente, le port du « pantaléon » d’origine italienne ayant été répandu bien avant les événements post-1789. En outre un monument géométriquement sans ambiguïté (phallique) et gargantuesque aurait pu faire la connexion sémantique entre pan-Théon et Pant’aléon… en anglo-saxuel ‘pants’ signifie le sous-vêtement culotte en général, ces incultes linguistiques ignorent presque tous l’origine italienne puis magnifiée par la France (ce qui se voit dans les villages Saint-Pantaléon en France comme un près de Brive et un autre près de… Montcuq !!… authentique et facile à vérifier !).
@ Mary Preud’homme 13:28
Bien vu !
Sa réputation était déjà solidement établie au PS.
Sa drague « open-bar » aux journées d’été des socialistes était une attraction !!
À ceux qui s’étonnent du physique ingrat de Nafissatou Diallo qui n’empêcha point DSK de fauter, je ferais remarquer que l’on est en présence d’un accro au sexe comparable, dans son addiction, au poivrot qui va se jeter sur des fonds de verre à la fin d’une soirée !!
Pardon pour le manque de délicatesse de ma comparaison !
« Cela dit je ne m’interroge sur le viol. On me croira difficilement, mais je le déclare d’abord : de ma vie je n’en ai pas commis. »
Rédigé par : Patrice Charoulet | 15 décembre 2020 à 12:13
Moi je vous crois… facilement.
Trop facilement…
Si facilement !
Peu de connaissances en la matière, donc, allons-y doucement. La vie sexuelle des hommes politiques est souvent à la mesure du désordre de leurs ambitions. Mais le contraire est aussi vrai, des hommes rigides et vertueux sont souvent attirés par le vide du désordre alors que des libertins avérés se montrent d’une implacable rigueur dans leur sphère publique.
DSK n’a jamais fait illusion qu’aux naïfs, tout le monde savait qu’il était souvent pris en charge, avec une épouse, à la sortie d’établissements où on échangeait les partenaires, mais ce n’était pas des salons de bridge.
DSK, grand financier ? À condition de lui retirer toutes ses casseroles par le biais d’une investigation approfondie sur sa situation.
Grillé à jamais en politique, pas par la vertu ambiante, mais par le risque qu’il porte avec lui, il a bénéficié d’une femme sans doute informée mais très intelligente qui a dû peser au milligramme près l’attitude à tenir. Rien à voir avec Sainte Monique qui tannait son Saint Augustin de fils et en faisait tellement voir aux Romains de Carthage qu’ils ont fini par la balancer d’une falaise enfermée dans une amphore. Puis, elle était un peu pocharde, enfin, juste un peu.
Le milieu de ces gens-là est tellement éloigné de la plèbe que tout ce qui est dit sur leur compte, notamment par moi, est ridiculement inexact. En revanche, c’est la réaction d’@Isabelle qui est saine: la colère. Sauf que ça ne sert à rien, juste à se sentir droit dans ses bottes.
DSK traîne derrière lui une femme déshonorée, même et surtout si elle a profité d’un stupre un rien brutal, si elle a forcé la note car ce qu’elle a fait n’était pas en service commandé, ce n’était pas une espionne russe. La honte de cette histoire est qu’elle est devenue un paradigme de perversité, i.e. une façon de voir les choses à travers ce pauvre visage à qui tout le monde a appris à pleurer sur commande, à colorier tout en gris et peut-être aussi à se satisfaire de la conclusion financièrement avantageuse. « Le vent qui vient à travers la montagne l’a rendue folle, » et conforme à son agresseur.
Tout le monde ne peut pas être Sainte Monique.
En repensant à cette affaire, les égarements de DSK sont tombés à pic pour éviter d’avoir DSK comme Président.
Non pas un accro du sexe, ça on s’en moque tant que les partenaires sont consentantes, mais un Macron XXL.
Il représentait l’argent dans tout qu’il a de malsain, les bobos hors sol, le nomadisme des affaires internationales juteuses.
Rien à attendre de ce genre de personnage pour la France et les Français.
Un socialiste (?) qui se moquait des petites gens dont les femmes, une étiquette qui lui servait juste de tremplin pour se faire élire.
On l’a échappé belle. Merci qui ? Merci Nafissatou.
@ boureau
Comme l’écrivait boureau, c’est une histoire du passé mais pour l’actualiser ce qui suit :
Corps aux nanas virus.
Déconfinement : la distance de sécurité de 1,5 mètres autour de DSK est maintenue sine die !
« Nafissatou Diallo : et si elle avait été en France ? » (PB)
Si DSK avait été déclaré coupable de viol, Nafissatou Dialo n’aurait touché pas plus de 5 000 euros et DSK appelé à se tenir correctement. Une fois l’avocat rémunéré par la victime, il ne lui resterait que zéro kopeck dans sa poche, sans parler que la même affaire en France aurait duré vingt ans (première instance, puis appel, puis Cour de cassation, puis Cour européenne des droits de l’homme…), sans fin, quoi ! La victime n’a plus de sous pour continuer à payer son avocat et finit par abandonner.
Curieusement, pour beaucoup d’affaires de viol, la défense avancera au tribunal qu’elle était consentante. Plus le mensonge est gros et plus il passe.
Nouveau braquage en pleine journée, les voleurs raflent 250 000 euros de bijoux près de l’Arc de Triomphe : Paris, la plus belle ville du monde est devenue la plus belle ville de la razzia des racailles !
DKS braquait les petites culottes à « l’insu de leur plein gré », à chacun son domaine.
Quand les « élites » montrent l’exemple, on voit où cela mène. Il n’y a plus de limites.
Ce billet sent une odeur bizarre.
C’est inhabituel !
@ Achille | 15 décembre 2020 à 16:42
« Ces dames disposent de bien d’autres charmes pour séduire les hommes (délicatesse, finesse intellectuelle, si possible bonne cuisinière…). »
Vous parlez de temps révolus, si jamais ils ont existé. Pourquoi pas bonne couturière pour repriser les chaussettes, tant que vous y êtes.
N-i, ni c’est fini ce temps.
Maintenant nous avons, enfin ils ont (les jeunes hommes), des sportives, jogueuses, karatéka, battantes, dynamiques.
Quant à la finesse intellectuelle, elle consiste maintenant à contredire leur époux en public, l’horreur absolue comme dirait Xavier NEBOUT.
Croyez-moi, n’épousez pas une femme de trente ans.
Trop vieille pour le siècle de Balzac, trop jeune pour le nôtre.
Remarquez je dis ça, mais ma femme a toujours vingt ans… pour moi 😉
@ Patrice Charoulet | 15 décembre 2020 à 12:13
Concernant le viol je ne sais plus qui a dit que le viol était impossible !
Il argumentait qu’une femme court plus vite avec sa jupe relevée qu’un homme avec son pantalon sur les chevilles.
Nafissatou pleurait, mais c’était de joie !
Le rêve américain contre une fellation, voilà qui mérite de figurer au Guinness des records !
Chez nous, le président de la République serait venu lui porter des fleurs même si elle mentait, et le procureur aurait été sommé de se comporter conformément à l’indignation portée dans les médias.
Aux USA, la plaignante renonce à ses accusations contre 1,5 million de dollars, c’est à dire qu’elle a avoué avoir menti ou plus probablement, laissé entendre qu’elle l’avait fait pour que la comédie puisse être remise en cause si le pognon n’est pas versé.
À tout prendre, le système américain est beaucoup mieux.
Quant au système idéal, c’est celui du juge qui voit les auras, mais dans ce monde, DSK aurait eu un statut d’esclave depuis longtemps.
Les auras ? Tout un chacun peut commencer à voir la sienne en regardant sa main. Quelques millimètres incolore autour des doigts, puis un faisceau entre les bouts de doigts écartés plus ou moins colorés, et ainsi de suite jusqu’à voir les couloirs qui se dégagent du corps selon les fréquences de champs magnétiques.
Et les couleurs reflètent les états d’âme. Dorée pour le saint, et autres pour les pourris… Comme on les voit dans les vitraux de nos églises.
Saint Louis se mettait contre un chêne là où il émet au violet pour mieux les voir …
C’est ainsi qu’on rendait la justice dans les civilisations archaïques, et dans ce qu’il en subsiste de nos jours.
Il me semble en avoir déjà parlé, mais un petit rappel ne fera pas de mal.
@ Tipaza
En fait, c’est DSK qui s’est conduit comme un salaud
mais vous préférez dénigrer Nafissatou.
@ Achille | 15 décembre 2020 à 16:42
J’approuve votre propos tout en le relativisant dès lors qu’il est valable dans les deux sens. Demandez plutôt aux femmes figurant parmi vos proches et que je suppose équilibrées, de bonne moralité et pas coincées pour un sou, laquelle se résoudrait, même sous la menace, à faire une fellation à un vieux tromblon libidineux rencontré d’aventure. Alors que la plupart d’entre elles et de nous-mêmes (septuagénaires et restées néanmoins très aimantes et amantes), y répugnent !
On aura beau soutenir mordicus qu’il n’y aurait pas là-dessous un marché de dupe et une colossale entourloupe, il n’empêche qu’à la lumière des faits révélés et de la conclusion de cette affaire graveleuse, on garde de gros doutes…
@ Achille 15 décembre 07:48
Un membre de ma famille qui était gouvernante générale dans un palace il y a près de 20 ans m’a toujours expliqué que c’était un coup monté. Ne manquant pas d’arguments et notamment vestimentaires. Ses femmes de chambre étaient parfois taquinées par des personnes très connues, mais il ressortait que ces personnes étaient toujours en peignoir. De plus les femmes de chambre accédaient à la chambre à deux, avec maintes précautions. Ou alors il y avait consentement et donc pas d’histoires.
Depuis DSK on a eu Daval, alors ce qui se passe dans la tête de fous furieux…
Deux personnes connaissent la vérité.
————————————————————
@ Patrice Charoulet
Belle prose.
@ breizmabro | 15 décembre 2020 à 16:48
« Comme dit la chanson « tout est négociable ». »
Ne peuvent négocier que ceux qui peuvent mettre des millions de dollars sur la table pour éviter le retour au bagne.
Mais quel mensonge de dire que l’argent ne fait pas le bonheur !
Ah ! M. Bilger défend la morale:
« Enfin, cet homme intelligent déclare qu’il ne voit pas où serait le problème entre des responsabilités publiques et une vie de libertinage organisé (un euphémisme). Inquiétant sur sa perception des choses. Comme si la morale était divisible ! »
Et Darmanin alors ? Sa morale à lui elle-elle divisible ?
Dans un tel procès, c’est la parole de l’un contre celle de l’autre. On ne peut rien prouver, et si l’accusée a déjà menti plusieurs fois sous serment, sa crédibilité équivaut à un zéro pointé. L’accusation sera immanquablement mise en pièces par la défense, à juste titre, et les jurés ne croiront pas le témoignage de la plaignante. Enfin, il faut l’espérer.
Si le procès n’a aucune chance d’aboutir, autrement dit s’il ne peut apporter aucune certitude au vu des pièces apportées par l’accusation, on ne va pas s’amuser à en faire un, juste pour l’intérêt de la chose. Ce n’est ni une pièce de théâtre ni une partie de poker. La tenue d’un procès coûte cher au contribuable, elle mobilise beaucoup de monde, et pour l’accusation, c’est un échec d’intenter un procès avec un dossier qui ne permet pas de faire la lumière sur ce qui s’est vraiment passé.
À supposer que le procureur ait donné le feu vert pour un procès, et que les jurés se soient entendus malgré le doute sur un verdict de culpabilité – on ne sait jamais ce qui peut leur passer par la tête -, l’enjeu était énorme pour l’accusé, il risquait de passer une bonne partie du restant de ses jours derrière les barreaux, le risque d’erreur du jury étant de 50 %. Ce n’était pas sérieux de lui faire courir ce risque avec un dossier aussi incertain.
Ce n’est pas que j’aie spécialement envie de défendre DSK, mais il faut défendre l’esprit de justice, même si ça coûte.
« L’entretien ridicule et totalement dénué de spontanéité entre DSK et Claire Chazal sur TF1 avec seulement l’aveu d’une attitude « inappropriée ». » (PB)
Plus qu’inappropriée. DSK avec ses feuilles à la main brandissant devant la caméra de TF1 sous le nez de Claire Chazal : « j’ai avec moi un rapport qui m’innocente », l’a encore mieux enfoncé avec son scénario ubuesque méticuleusement préparé à l’avance avec la journaliste CC pour nous faire avaler des couleuvres. Plus ridicule, ça n’existe pas.
Certains intervenants lucides remercient Nafissatou Diallo de nous avoir épargné un président lubrique au-delà de toutes convenances, si on admet qu’il peut y avoir des lubricités convenables !
La farce fut édifiante.
D’autant plus que pour un président il ne saurait y avoir de frontières étanches entre vie privée et vie publique.
Le danger dans ce genre de comportement est qu’un président peut être l’objet d’un chantage qui l’empêche d’exercer ses fonctions comme il devrait, sans parler des secrets d’État qui cesseraient d’être secrets. Il y a de nombreux exemples dans presque tous les pays y compris les plus puritains.
Cela concerne le passé, qui je l’avoue m’a quand même bien fait rigoler.
Considérons l’avenir, car avenir il semble y avoir.
Voilà ce que dit le billet :
« DSK nous annonce qu’il donnera sa version des faits dans un biopic qui sera diffusé dans le courant de l’année prochaine. Je parie qu’il sera question d’argent. » (PB)
Ayant l’esprit un peu aventureux, lorsqu’il s’agit de la pensée d’autrui, je ne suis pas certain qu’il s’agisse d’argent.
Pourquoi diable DSK revient sur cette affaire ?
Certainement pas pour restaurer son honneur.
Ses frasques libidineuses ont été étalées et de belles façons. Sur ce point l’homme n’a plus rien à dire, et l’épisode en lui-même n’intéresse plus personne sauf peut-être les revues people ou les télés d’info continue.
Et si DSK cherchait à se justifier, à faire repentance, c’est à la mode, pour occuper la case vide d’une gauche sans candidat, pour la prochaine élection présidentielle ?
Intellectuellement il est probablement intact, je veux dire qu’il est au-dessus des misérables candidats potentiels qu’une gauche exsangue peut présenter.
Mélenchon occupe un créneau extrême dont il a du mal à définir lui-même les limites.
On me dira que je fantasme. Je l’admets à moitié.
Il existe pourtant une fièvre du pouvoir comme il existe une fièvre de l’or, qui conduit les hommes supposés être les plus raisonnables aux pires excès.
Une fois atteints par cette fièvre, certains hommes n’arrivent plus à s’en débarrasser.
Nous en avons des exemples proches :
Sarkozy qui a eu la folle impudence ou indécence de participer à la primaire de la droite et s’est fait virer sèchement. Il continue à essayer d’exister dans son parti et à faire des manoeuvres d’approche auprès de Macron pour montrer son importance.
Hollande qui est de plus en plus bavard et ne manque pas une occasion pour donner son avis et même, ironie suprême, des conseils.
Édouard Philippe, le fidèle de Macron, comme Macron était le fidèle de Hollande, semble attendre sans y paraître son heure, qui sonnera peut-être en 2022.
Et Valls qui s’est essayé à Barcelone, et qui revient penaud, mais toujours prêt à faire le don de sa personne peut-être pas comme président mais comme Premier ministre, ou simple ministre ou secrétaire d’État, enfin un poste de pouvoir si mini soit-il !
Il en est touchant et ferait un bon second rôle dans une comédie du pouvoir.
Et Giscard qui après avoir mal vécu son échec, voulait revenir au sommet en repassant par la case départ, comme conseiller régional !
Et la liste serait longue des ex-Parrains et des seconds couteaux prêts à tout pour revenir se réchauffer aux feux de la rampe du pouvoir.
Bon, voilà une idée saugrenue, mais pas tellement, qui m’est venue.
Wait and see, comme disent les British.
@ Patrice Charoulet 15/12 à 12h13
Vous avez écrit : « …Cela dit, je ne m’interroge sur le viol. On me croira difficilement, mais je déclare d’abord : de ma vie, je n’en ai pas commis. Je ne sais pas si tout le monde ici est dans mon cas. Peut-être pas. »
Vous auriez pu écrire « peut-être » mais vous avez choisi « peut-être pas », ce qui en dit long sur la considération que vous avez de « tout le monde ici ».
Patrice Charoulet n’écrit pas, il s’infiltre. Il soupçonne, il subodore. Il se proclame vierge de tout péché alors que personne ici n’aurait pensé qu’il pût trouver de l’érotisme dans le simple geste de tremper une mouillette dans son œuf à la coque.
Dans son commentaire de 18 lignes, il répète sept fois le mot viol, se régale trois fois de la fellation et insiste pour nous expliquer qu’un viol est une pénétration vaginale ou anale. Ah bon ?
« Tout le monde ici » se pose une grave question : parmi toutes les habitudes qui sont les vôtres et dont vous nous tenez informés régulièrement, lesquelles seraient à l’origine de vos rêves coquins-secrets ? Est-ce de faire cuire votre merlan à l’eau ou de voter pour François Fillon ?
Cher Philippe,
Tout le monde connaissait les pulsions de DSK et les stagiaires étaient mises en garde de ne pas rester seules en sa présence. La même histoire a été préparée à l’attention d’un directeur de Sciences Po et là, ce fut encore plus terrible puisqu’il est décédé, après des éclats de voix, nu et ligoté sur un lit d’hôtel et son ordinateur a de façon inexpliquée chuté sur une verrière.
Cet homme, apprécié de ses étudiants, vivait une double vie, époux d’une femme assez âgée pour l’officiel et multipliant les aventures avec de jeunes gens. À qui faisait-il de l’ombre ? À son relationnel ? À Hollande, à Macron, à la réputation d’une école ? N’est-ce pas la fraise des bois qui a organisé un piège à filles, un piège tabou ? Et les téléphones roses sodomisées de force à Lille, c’était l’idée de qui ? Philippe, s’il vous plaît, observez avec plus de minutie les faits et la morale de « Allez-y, bourrez les urnes », messages enregistrés qui n’ont jamais intéressé les médias.
françoise et karell Semtob
DSK et ses parties de jambes en l’air.
D’autres aussi veulent niquer… la France :
Au fait, notre cher Président veut nous proposer un référendum sur le climat.
Ou comment noyer le poisson.
Le cinéma « Les Judiciens » est en plein boom ! Après Daval, Sarkozy and Co, Fiona, voici qu’on redonne La Vologne … et même Sofitel NY !
Je me demande si ces programmes sont bien appropriés eu égard à l’épidémie.
Ces « spectacles » nous donnent-ils l’envie de continuer à vivre ?
C’est selon !
On l’a échappé belle ! J’ai cru un moment que vous nous faisiez un reportage sur la « Rockailla » Diallo, la prêtresse de la haine raciste islamogauchiste washingtonnienne, erreur, c’est donc celle de DSK le queutard, et côté queue il n’est pas raciste le DSKékette, un bon point !
Moi y a pas de risques, je me tape que des nanas de droite, cathos, les de gauche colorées je zappe, pas de temps à perdre !
Bientôt, les troquets vont rouvrir, avec mes potes racistes fachos extrêmes drouâaâtes, on a une idée géniale : comme les fioteux footeux, on va venir s’agenouiller devant le comptoir, le poing levé en repentance pour s’excuser d’avoir toutes ces années commandé et avalé tous les matins des « petits noirs », expression très raciste.
J’ai demandé pardon aussi à ma bouteille de rhum Negrita : « pu jamais ça ! ».
Banania, Uncle Ben’s, tremblez, votre heure est arrivée !
J’adore faire mon islamogauchiste de temps en temps, pas besoin d’attendre Carnaval.
Hors sujet : la mort hier de Coralie Delaume, essayiste et journaliste, à 44 ans.
Vous ne l’aviez pas « soumise à la question », M. Bilger, c’est dommage. C’était quelqu’un de bien. Les articles écrits sur elle depuis hier sont plus émouvants les uns que les autres. Voir sur le web.
Si l’on excepte le dernier, nombreux sont les présidents de la République qui ont été des chauds lapins.
Rappelons-nous:
* Félix Faure mourant suite à un rapport fatal, dont la « connaissance » était sortie par l’escalier de derrière.
* François Mitterrand et sa double vie, sans oublier toutes les actrices célèbres des années 80 qui sont passées par sa garçonnière.
* Giscard qui nous a quittés dernièrement, était réputé pour avoir la main leste même à un âge avancé. La meilleure preuve en est donnée par la plainte de cette journaliste qui accuse notre Giscard d’avoir, en décembre 2018, posé ses mains à trois reprises sur ses fesses.
Hélas sa plainte ne pourra pas être retenue car le présumé coupable est parti dans un monde dont on ne revient pas.
* Que dire de Jacques Chirac qui n’aimait pas seulement la tête de veau mais était accompagné au cours de ses déplacements d’un quarteron de demoiselles qui ne pouvaient rien lui refuser.
* Ne nous attardons pas trop sur François Hollande qui change de compagne tous les trois ou quatre ans, les prenant chaque fois toujours plus jeunes.
Alors si DSK avait été élu en 2012 il n’aurait vraiment pas dépareillé la galerie de ceux qui ont présidé au destin de la France.
@ Wilfrid Druais | 16 décembre 2020 à 00:50
« Si vous avez des suggestions… »
Puisque vous demandez des suggestions, en voici une de bonne foi.
Le poète du Bellay, qui n’avait pas gagné 200 millions à l’EuroMillions, s’était imprudemment expatrié.
Voici ce qu’il déclara à son retour :
« Heureux qui, comme Ulysse, à fait un beau voyage
Ou comme cestui là qui conquit la toison
Et puis est retourné, plein d’usage et raison
Vivre entre ses parents le reste de son âge… »
Par contre il n’a jamais précisé la nature de la toison, et donc je ne saurais dire si elle correspond à celles dont vous vantez les mérites.
@ Achille 16/12 09:53
Et vous limitez encore votre énumération Achille aux présidents de la République les plus récents dans notre Histoire.
Mais si vous aviez remonté le temps et aviez quitté le domaine de la République pour aborder celui de la Royauté, c’est le coup que vous en seriez encore à rédiger votre commentaire !
Et qu’en aurait-il été si, quittant les frontières de l’Hexagone, vous aviez élargi votre constat à notre vaste monde !
Et dire qu’un peu, un tout petit peu d’amour est à même de sauver tout cela :
Who is it ?
Is it my brother ?
https://www.youtube.com/watch?v=PfrV_6yWbEg
I Can’t Take It ‘Cause I’m Lonely
@ Isabelle | 16 décembre 2020 à 08:06
Si vous regardez bien la vidéo, le quinquagénaire est venu récupérer la moto de son fils avec une machette à la main, ce qui n’est pas la meilleure façon de négocier avec les voleurs.
On peut alors comprendre, même si bien sûr on ne l’approuve pas, la réaction des individus.
Concernant le référendum sur le climat, il faudrait savoir ce que veut l’opposition.
Elle réclame à cor et à cri des référendums sur tout et n’importe quoi et quand le président en propose un, c’est une récupération politique.
Un peu de cohérence serait souhaitable de la part de ceux qui nous la jouent « Tout sauf Macron » depuis plus de trois ans.
Tipaza fait observer que, pour un président, il ne saurait y avoir de frontière étanche entre vie privée et vie publique. Souvenons-nous que, dans le passé, les rois b*isaient devant une assistance nombreuse. Le médecin du roi tenait le compte des coups tirés.
Les simples mortels peuvent faire leurs affaires dans la discrétion. Parmi tous les commentateurs de ce blog, notamment ceux qui sourient ou qui s’indignent du comportement de DSK, il n’y en a bien sûr aucun qui se soit jamais risqué à une escapade coquine…
Vous avez dit Tartuffe ?
Si ND avait été en France : une fiction… heureusement !
Si ND avait été en France, DSK aurait eu peu de risque d’être réellement inquiété (souvenir de Tristane Banon et du courage qu’il lui a fallu pour faire (re)connaître les agressions subies par cet abject personnage)…
Si ND avait été en France, les délais (les longueurs) judiciaires n’auraient pas interdit à DSK d’être candidat à l’élection présidentielle de 2012.
Grâce au courage de ND, la France a échappé à DSK entrant à l’Elysée avec son cortège de violences, de déviances et d’addictions.
Vous imaginez les sommets internationaux avec ce malade nous représentant ?
Merci au destin d’avoir, successivement, épargné à la France un violeur en 2012… puis un voleur, menteur et exploiteur en 2017 avec Fillon.
C’était il y a un monde et c’est tant mieux !
La France tourne (lentement) la page de ses travers et du « vieux monde ».
Tous les Présidents qui ont succédé à Pompidou ont eu des casseroles pour leurs coucheries. De bien tristes personnages à l’égard des femmes.
Bye bye les grivoiseries, goujateries et autres gauloiseries misogynes et machistes…
Dans ce domaine également, bonjour le nouveau monde : l’élégance, la finesse et l’intelligence d’Emmanuel Macron.
Grâce à lui et à son courage, la France se relève progressivement.
Merci Denis Monod-Broca | 16 décembre 2020 à 09:45 de rappeler le souvenir de Coralie Delaume dont j’appréciais les écrits et les idées.
C’est la perte, dans ce monde faux, perdu dans ces égarements et qui rejette le principe même de l’humanisme et les Lumières, d’une vraie boussole.
@ Philippe Bilger
Euh… pardon… oui, peut-être… vous croyez ?… vous avez raison… vraiment…! quoique…! …OH…! BOF…
En fait cher monsieur Bilger, je n’ai aucun avis sur le sujet de votre blog. Ceci pour une raison simple: « je m’en tape le coquillard » comme l’exprime fort bien cette vieille façon de dire de notre belle langue française 🙂 Vous ne manquez pourtant pas de sujets à vous mettre sous le clavier (pas mal l’expression « à se mettre sous le clavier » hein !?). Mais je respecte évidemment les choix de chacun… Voilà voilà. En vous r’merciant bien sûr…
@ Romain GALY
« Dans ce domaine également, bonjour le nouveau monde : l’élégance, la finesse et l’intelligence d’Emmanuel Macron. »
En plus, il marche sur l’eau.
DSK est un imposteur, il s’est toujours accommodé du PS, il a su se cacher et profiter de tous les tiroirs.
Ses sociétés d’investissement se sont terminées en eau de boudin, rien, rien, rien, il n’a jamais apporté au pays… D’ailleurs il vit au chaud là où son imposture peut se réchauffer tendrement au soleil de tous les oiseaux de passage migrateurs:
https://www.contrepoints.org/2013/06/28/129310-dsk-limposteur
@ Michel Deluré | 16 décembre 2020 à 10:48
Exact. En fait la politique, le sexe, sans oublier l’argent, ont toujours fait ménage à trois et ceci depuis des lustres ! 🙂
@ Achille
Au lieu d’essayer bêtement de défendre toujours l’indéfendable, allez faire un tour sur le compte Twitter de Mohamed Louizi ou celui de G-W Goldnadel pour ouvrir enfin vos yeux clos. Votre idolâtrie pour la macronie finit par être plus que lassante.
Bien à vous
« Si elle (Nafissatou Diallo) avait été en France, quel changement ! »
Et si Patrick Dils, condamné pour l’homicide, en 1986, de deux enfants à Montigny-lès-Metz en Moselle, qui était âgé de seize ans au moment des faits, puis qui a été innocenté, qui enfin reconnu victime d’une erreur judiciaire a reçu alors de l’État un montant de 700 000 euros destiné à indemniser son préjudice personnel, et déclara alors : « J’aurais préféré ne pas toucher un centime et ne pas avoir vécu toutes ces galères. Ce n’est pas un pactole comme on en décroche au Loto. Ce que j’ai vécu ne se chiffre pas. » – il a en particulier été violé par des codétenus – ajoutant : « Je peux avoir des coups de blues, notamment quand je pense à toutes ces années que l’on m’a volées. J’ai été incarcéré entre 16 et 32 ans ; cette partie-là, on ne me la rendra jamais. On ne reconstitue pas une cigarette qui s’est consumée ». Si Patrick Dils donc, avait été jugé dans l’état de New York, qu’aurait-il pu se passer ?
DES GAMINS CAPRICIEUX
On pourrait remplacer « grands hommes » par hommes politiques dans la citation ci-dessous :
« En parlant des enfants, il nous arrive amusés de dire qu’ils tentent « typiquement d’attirer l’attention », qu’ils cherchent à « épater la galerie », ou encore que ce sont « des gamins très capricieux ». Ces traits de caractère, chez les adultes, sont ceux des grands hommes et ils ne nous font plus rire du tout » Iñaki Uriarte
Quand je critique nos dirigeants c’est parce qu’ils le méritent bien.
Comme dans la pub débile : « Parce que je le vaux bien » !
Ils nous font penser à des enfants qui tentent « d’attirer l’attention » sur leur très petite personne au vu de leurs actes et de leurs décisions. Ils cherchent à « épater la galerie » comme des gamins capricieux. Désolant !
DSK et ses frasques, un façon de passer le temps. Un peu comme Macron avec son référendum bidon sur le climat.
Pour élever le débat, passer de la libido de DSK à la soi-disant préoccupation de Macron à propos du climat. Allons voir du côté de notre Soleil :
« Le Soleil rouge enflera pour occuper autour de 250 fois son volume actuel, engloutissant au passage les planètes les plus proches de lui, dont la Terre. Tandis que l’hélium viendra à manquer à son tour, de même que d’autres éléments plus lourds, d’énormes vagues d’énergie propulseront les couches supérieures de l’étoile (dont l’ensemble des atomes d’une Terre à présent vaporisée) dans l’espace intersidéral pour former une nébuleuse planétaire, qui sera à son tour recyclée en de nouvelles étoiles. Les dernières braises, au cœur du Soleil, donneront une naine blanche, qui refroidira lentement, avant de disparaître dans le fond glacial de l’espace.
La Terre ne sera plus. Et la vie ? Si nous surmontons les défis actuels et devenons une espèce multiplanétaire, puis que nous parvenons à coloniser d’autres systèmes solaires, alors peut-être nos descendants – quelle que soit l’espèce à laquelle ils appartiendront – trouveront-ils un nouveau monde habitable autour d’une autre étoile, plus jeune, qui sera leur Soleil.
Le soleil est âgé d’environ 4,65 milliards d’années. Il a donc atteint la moitié de sa vie. Tandis qu’il brûle ses réserves de combustible nucléaire, son hydrogène, il s’échauffe peu à peu. Dans quelques centaines de millions d’années, sa chaleur fera s’évaporer les océans terrestres. »
Jim BELL « le beau livre de l’astronomie »
Et si le réchauffement climatique était dû en grande partie au soleil qui s’échauffe peu à peu… Même si l’impact de l’homme n’est pas négligeable…
Les « climato-fanatiques » et les soi-disant « élites » n’ont pas compris que, quoi que nous fassions, la survie de l’espèce humaine est plus qu’improbable. Nous essayons seulement de retarder un peu l’échéance.
Quant à aller se promener dans un autre système solaire, vu le niveau intellectuel ambiant (émissions débiles, suprématie de religions superstitieuses, Darwin au secours…), l’être humain est pour le moment cloué devant les âneries de son poste de télévision.
En ce moment, vous pouvez observer, si le cœur vous en dit, des étoiles filantes : les Géminides.
@ Romain GALY
Il y a au moins deux moyens de nuire à quelqu’un : le ridiculiser en le calomniant, ou le louanger outrancièrement. Vous avez choisi la seconde manière en écrivant le 16/12 à12h01 :
« Bonjour le nouveau monde : l’élégance, la finesse et l’intelligence d’Emmanuel Macron. Grâce à lui et à son courage, la France se relève progressivement. »
Vous battez certainement tous les records d’énormités en aussi peu de lignes à tel point que j’ai cru à une bonne blague. Hélas, vous semblez croire ce que vous écrivez, vous avez sans doute une vocation de futur martyr.
L’intelligence d’EM a été prise en défaut dès le début : il a confondu le « en même temps » avec « on m’aime tant » qu’il a cru entendre après sa piteuse élection.
Dans l’euphorie, il s’est entouré de personnages aussi douteux qu’un DSK mais beaucoup moins compétents. L’Elysée est devenu une énorme caserne de bras cassés à telle échelle qu’on le nomme « l’ossuaire » du 55. Un seul homme semblait sortir du lot de paralytiques, Doudou, qui s’est enfui pour redevenir maire du Havre. Las, son successeur fait tellement pitié que certains l’appellent Abélard…
Pour l’élégance, il n’a de celle-ci que ce que la prétention donne à la boursouflure.
Et pour la finesse, votre idole a tout juste atteint le niveau, celui des anciens aboyeurs municipaux que l’on appelait injustement gardes-champêtres.
Enfin, pour relever la France, le doute m’assaille : on n’a jamais vu un fossoyeur ressusciter un cadavre.
Votre fournisseur d’encens va bientôt faire faillite.
@ Xavier NEBOUT | 15 décembre 2020 à 14:01
Quelle nullité, cette Marion Maréchal ! Elle a la langue bien pendue, mais pour dire quoi ?
Côté diagnostic, rien qu’on ne sache déjà, et qui ne se lise sur le moindre blog.
Côté remèdes, de la démagogie à fond les ballons, même pas le courage de s’opposer à une de ses anciennes élèves qui fait assaut de complotisme sur la pandémie, le bavardage étatiste habituel sur la « relance », les Chantiers de l’Atlantique qui sont une « pépite » (ah bon ? alors pourquoi sont-ils à vendre ?), Alstom a été « bradé » aux Américains, enfin les salades gaullo-communistes qui constituent l’idéologie dominante.
Si quelqu’un voit la différence avec François Hollande, Nicolas Sarkozy ou n’importe quel autre politicien, qu’il me fasse signe.
Déjà, d’un soi-disant chef d’entreprise comme elle, on attendrait un bilan de sa fameuse école. On a bien compris qu’elle allait sauver la France avec, mais quels sont ses résultats à elle, pour le moment ?
Le moindre jeunot inconnu de tous qui passe à la radio quelques années après avoir lancé sa boîte, on lui demande de rendre des comptes, de présenter ses résultats, de faire des prévisions, etc.
Elle, non. Interrogée qu’elle est par l’insondable nullard André Bercoff, le type qui se lamente de la disparition du français à l’école mais qui n’est même pas capable d’aligner deux mots en français lui-même, elle se contente d’annoncer qu’elle va ajouter un sinquetanque à son école — si quelqu’un peut m’expliquer la différence, je suis preneur.
Le devenir des étudiants qui ont quitté son école ? Les professeurs éminents qu’elle aurait recrutés ? Que dalle. Elle travaille avec Saint-Pétersbourg, « en Russie », croit-elle utile de préciser. Oui ma chérie, on est au courant. Ça fait des décennies que tu fais le petit voyage à Saint-Pétersbourg, dont tu as ramené ce gentil professeur d’histoire qui a découpé sa maîtresse en morceaux.
Quelque chose de nouveau, depuis ?
Ah, pour être intelligente, ça, elle est intelligente. Elle est capable de nous faire le moulin à paroles sur n’importe quoi, à l’image de n’importe quel politicien standard.
Elle est contre l’immigration : quel exploit ! Ajouté au fait qu’elle est plus présentable que Nafissatou Diallo, ça suffit à certains pour atteindre l’extase.
Pour ma part, ses « voiaaalâ » de poissonnière commencent déjà à me porter sur les nerfs.
Et puis je découvre le jingle de Sud Radio, « Les Français parlent aux Français », style BBC pendant la guerre. Quelle indécence…
J’ai bondi de joie hier soir à l’annonce du gagnant de l’émission « La France a un incroyable talent », je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles !
Ce n’est pas un rappeur gauchiste islamiste de couleur homo transgenre qui a gagné comme le veut et l’exige la bien-pensance officielle, non non !!
C’est une famille catholique de Versailles, les Lebebvre, tous blancs de souche, qui gagne les 100 000€ de l’émission.
Qui l’eut crû ? Des blancs cathos chrétiens qui font la nique à la diversité de la haine anti-France anti-blancs anti-catho ? Quel bol d’air salutaire !
Une belle claque à tous les racialistes indigénistes traoristes et leurs soumis : PS PCF EELV LFI cette gauchisserie infecte qui pollue le climat social et envahit tous les merdias aux ordres, les pubs, les émissions, les jeux, tous islamisés, LGBTisés, colorisés, gauchisés.
Un chant de Noël qui est récompensé et qui fait hurler au scandale et à l’infamie les réseaux sociaux islamogauchistes ! TANT MIEUX, BRAVO !
La zemmourisation des esprits serait-elle au pied du sapin de Noël ?
Vive lui et vive Orban le cador hongrois qui s’est débarrassé de ses migrants et bientôt de ses LGBT, un pays propre clair et net, nettoyé de ses pervers détraqués sexuels et de ses envahisseurs, un autre bol d’air pur qui vient de l’Est et souffle sur cette fosse à purin qu’est devenu notre pays, qui l’eut cru ?
J’en piaffe encore de joie mais la haine va reprendre ses droits, le CSA va dénoncer des magouilles, M6 va être accusée de se lepeniser, se zemmouriser, c’en est trop, la chasse aux fachos est ouverte !
Je n’en perçois pas bien les causes immédiates, encore moins l’intérêt, voici donc DSK revenu sur le tapis… du Sofitel. Le 14 mars 2011…
Ce qui me vient d’abord à l’esprit, c’est que, ce jour-là, l’actualité nous a offert l’une des plus percutantes démonstrations de la pertinence de la théorie du « battement d’aile de papillon ».
Oublions l’hypothèse du complot extérieur, que jamais rien n’a prouvé. Oublions aussi le coup monté par la victime, lui aussi sans la moindre preuve. Si, dans des circonstances inconnues, mais très probablement contraires aux procédures strictes de tels établissements aux clientèles huppées, le responsable hiérarchique d’une des femmes de ménage de cet hôtel n’avait pas envoyé Nafissatou Diallo faire le ménage de la suite 2806 au beau milieu de la journée, François Hollande n’aurait pas été Président, pas plus qu’Emmanuel Macron. Sans juger le moins du monde l’apport de leurs actions, il est néanmoins sûr que DSK aurait apporté d’autres remèdes – peut-être plus efficaces ou encore plus nuisibles – aux maux de la France.
Oui, l’aile d’un papillon peut faire des ravages…
Bien sûr, par goût de la fiction, on peut imaginer que l’affaire soit française et que DSK soit mis en examen à Paris sur les mêmes chefs d’accusation qu’à New York. Mais se demande-t-on quel aurait été le sort de Fourniret s’il avait sévi aux Etats-Unis ? Même Obama ne l’aurait pas gracié… Dans cette affaire américaine, DSK a subi et profité aussi de l’organisation et des procédures de la justice US. Tout comme, plus récemment, Carlos Goshn a compris très rapidement qu’au Japon, les cols blancs étaient au même régime que tout autre justiciable et que l’instruction n’avait rien d’une promenade de santé.
Trois démocraties. Trois traditions. Trois systèmes judiciaires différents. Les Japonais craignent et aiment leur justice. Les Américains aussi… Peut-être les Français, depuis quelque temps, la craignent-ils un peu moins et la critiquent-ils beaucoup… sans pourtant souhaiter un grand chambardement…
Ghosn, « délinquant » à Tokyo, ne pouvait être jugé que là. Le sort de DSK, « délinquant » à New York, devait être décidé là… Lui faire une sorte de procès-fiction en France ? Allez, soit !… Mais rien n’est à imaginer ! On sait quel serait son résultat ! Dans l’affaire du Carlton de Lille, de mai à octobre 2012, le Parquet a instruit une plainte déposée par une partenaire du libertin qui l’accusait de lui avoir imposé une sodomie par la force alors qu’elle exprimait son refus et que l’une de ses amies, présente, confirmait qu’elle ne pratiquait pas cet acte sexuel. En octobre, sans plus d’explication, la dame retire sa plainte… et le Parquet s’empresse de classer sans suite. Sans plus d’explications…
Que la victime soit prostituée ou non, un viol avec acte de barbarie n’est-il pas suffisamment grave pour qu’on puisse ainsi l’écarter, pour ne plus s’intéresser qu’à une banale affaire de proxénétisme ? Même sur ce point, la justice n’a pas beaucoup insisté pour démolir les arguments pourtant fragiles de DSK et de ses complices. Au procès, le procureur s’est même désolidarisé de l’instruction… Et le nlibertin a été acquitté comme dix autres accusés sur douze.
Finalement, en s’appuyant aussi sur le parcours du combattant et l’échec de Tristane Banon, comment ne pas se demander si, en France, Nafissatou Diallo, au passé un peu sombre, avait osé déposer plainte contre le très probable prochain Président, celle-ci aurait franchi tous les obstacles jusqu’au procès public ?… Au mieux, dossier insuffisant, elle aurait été éconduite… Il est même possible de s’interroger sur l’ampleur qu’aurait prise l’affaire du Carlton, qui débute, le 11 mars 2011, par une dénonciation anonyme, si celle du Sofitel n’était brutalement survenue quatre mois plus tard. DSK n’aurait-il pas été adroitement exfiltré de ce dossier nauséabond ?
Mon interrogation première n’est pas anodine. Pourquoi ce retour du « Maudit » sous les feux de l’actualité ? Pourquoi l’annonce de révélations dans quelques mois ? Il est bien tard pour qu’il ne s’agisse que d’une tentative de laver son honneur… En fait, parce qu’il est intelligent, parce que, comme Mitterrand, il a la certitude du destin politique jamais perdu, à bas bruit, il reconstruit ses lignes, ses réseaux, son utilité. Avec d’autant plus de chances d’y parvenir que le terrain sur lequel il évoluait et ses abords sont devenus un désert. Face à la puissance et à la cohérence de ses convictions qui l’avaient conduit aux premiers rangs, que sont des Mélenchon, des Hamon, des Montebourg, des Jadot ?
Le 10 avril dernier, le blog du Club des Juristes publiait en avant-première un article destiné à la revue Politique Internationale. Longuement, clairement, DSK y donne son opinion sur la crise sanitaire, ses retombées économiques et les moyens qu’il préconise pour la relance. Parmi eux : une mutualisation budgétaire entre les Etats membres de l’UE.
https://www.leclubdesjuristes.com/blog-du-coronavirus/libres-propos/letre-lavoir-et-le-pouvoir-dans-la-crise/
Le 7 avril, les ministres des Finances avaient discuté pendant seize heures sans le moindre accord. Le 9, ils s’entendaient sur le principe d’un plan de 540 milliards dont le financement restait à trouver. Il faudra attendre le 21 juillet pour qu’apparaisse un emprunt mutualisé de 750 milliards d’euros… La voix du maître ?… Pas facile d’écarter d’un geste cette question. DSK n’est que l’ancien patron du FMI…
Reste que l’homme a aussi démontré qu’il sait dérailler… oublier toute réflexion. Le 14 juillet 2011, il se savait déjà soupçonné dans l’affaire du Carlton. Il sait aussi que, depuis six jours, il fait l’objet d’une enquête préliminaire, très vite ouverte après la plainte de Tristane Banon. Il sait enfin que, candidat préféré des Français, il sera épié à chaque instant… Une femme de ménage entre dans sa suite et le voilà qui…
Peut-on franchement lui faire confiance, pourrait-on élire un Président dont l’intelligence économique est inversement proportionnelle à la qualité de ses relations avec les femmes ?
Monsieur Strauss-Kahn aurait-il pu faire un bon président français à supposer qu’il n’ait pas eu à traîner derrière lui les casseroles de ses frasques ?
Le fait qu’il ait pu déclarer au journal Le Monde le 19 septembre 2003 : « Je me lève chaque matin en me demandant comment je pourrais être utile à Israël » nous autorise tout de même à nous poser des questions à ce sujet sans pour autant en vouloir à ce petit pays sympathique mais qui subit parfois un climat un peu « maussade »…
Et par certains côtés, nous pouvons remercier madame Diallo de la résistance qu’elle a opposée à un représentant du pouvoir mondialiste.
@ Mitsahne
Quand je serai nonagénaire – je ne suis pas sûr d’arriver jusque-là – je souhaite écrire aussi bien que vous. Vous êtes parmi les dix meilleures plumes de ce blog. Vous avez l’esprit vif, la dent dure.
Je m’en réjouis pour vous.
Il y a quelque temps, vous aviez projeté de me flinguer. Plusieurs vous avaient loué. Plusieurs vous ont trouvé injuste.
Rebelote aujourd’hui. Pourquoi pas ? Vous avez une mémoire d’éléphant. Vous vous souvenez qu’avec Claude Luçon et Mary nous avions ardemment plaidé pour Fillon. Il n’y a pas de quoi se moquer de moi. Il m’est arrivé de parler aussi de mon alimentation frugale, ce qui me permet d’avoir des analyses sanguines impeccables chaque année. Faut-il en rire ? Je souhaite que vos chiffres soient aussi bons que les miens.
Dans les platitudes que je viens d’infliger au lectorat d’ici, il vous a plu de compter le nombre d’occurrences de tel ou tel mot. Quand j’aurai 91 ans, je ne perdrai pas mon temps à ça. L’idée que j’ai exprimée, je le redis – et dont vous ne soufflez mot – était celle-ci : « À mon humble avis, il n’y a pas eu viol. » Mon avis est très minoritaire. Tous mes autres mots ont servi à persuader de la justesse de cette idée. Mais je ne vous ai pas convaincu. Je vais survivre à ce petit malheur.
J’ai bien noté que vous êtes maintenant ici mon principal détracteur. Bon. Il en faut. Par chance, quelques autres n’ont pas votre sévérité à mon égard. Je resterai donc ici – dussé-je vous contrister.
@ Isabelle | 16 décembre 2020 à 13:37
Et bien moi je trouve que c’est vous qui êtes lassante à nous seriner constamment vos litanies sur les racailles de banlieue quel que soit le thème du billet.
Vous n’êtes par sur le blog de Rioufol, ici. Le mieux est encore qui vous y restiez, vous serez en bonne compagnie.
@ Robert Marchenoir 16 décembre 2020 à 16:32
La voilà habillée pour l’hiver, la Marion ! Même à Saint-Pétersbourg, elle ne risque pas d’avoir froid. Certes, le drap n’est pas très élégant et les coutures sont faites à la va-vite. Mais l’important n’est-il pas d’injurier d’abord, de ramener l’adversaire – l’ennemie ? – à sa petite condition féminine de « langue bien pendue », naturellement incapable de diriger une entreprise ? Pas de débat, pas d’argument. C’est inutile : la « poissonnière » ne mérite pas qu’on se fatigue un neurone. Pitoyable…
Tout aussi pitoyable la comparaison avec Nafissatou Diallo. Mais aussi dangereuse. Ne fréquentez pas de Peuhles ces temps-ci. Elles, elles n’ont pas la langue dans la poche et possèdent l’art de la main leste et lourde contre ceux qui ne les respectent pas. À moins qu’elles ne choisissent le coup de boule. Pas très féminin, mais efficace pour remettre les chenapans dans le droit chemin.
Quant à votre raillerie sur les Chantiers de l’Atlantique, en réfléchissant un tantinet, peut-être pourriez-vous imaginer que, s’ils intéressent l’italien Fincantieri, c’est justement parce qu’ils sont une pépite, et vous souvenir que celui qui les vend a déjà participé au premier rang aux bradages de deux autres fleurons, Alstom et Alcatel. Je vous laisse deviner son nom…
Retour sur Fiona
La maman se prend 20 ans. Le mec 18. Lui, c’est quand même l’exécuteur.
On se gardera de conjecturer sur la maison Justice.
D’autant qu’il va y avoir un cinquième procès !
@ Isabelle | 16 décembre 2020 à 13:37
Bravo Isabelle, continuez à gêner les islamogauchistes du blog qui n’en peuvent plus de s’en prendre plein la tête avec toutes ces vérités prouvées que vous assenez avec brio, on a besoin de vous, il y en a trop ici qui se conduisent en soumis collabos, vous rétablissez un bon équilibre salutaire face à ces tocards de gauche.
Pour connaitre LA vérité, j’écoute Zemmour, le seul qui haut et fort prouve, chiffre, tout ce qu’il dit sur l’immigration, l’insécurité organisée par Macron, les logements sociaux, la faillite morale du pays, la destruction des valeurs de la France… Tout ce qui gêne les gauchistes et le pouvoir qui, depuis un bon moment prépare en douce une censure contre ce héros résistant.
La loi contre les GAFA ne sera qu’un prétexte pour faire taire tous ceux qui seront désignés « haineux » par cette loi ; une haine à géométrie variable et à sens unique, bien entendu les islamogauchistes seront épargnés et pourront continuer à haïr, menacer, insulter, caricaturer sur tous les réseaux sociaux en toute complicité de ceux qui auront pondu cette loi ; la grande délation en toute bonne conscience.
@ Serge HIREL | 17 décembre 2020 à 01:08
Tiens, tiens, tiens… la prestigieuse « élite » franchouille qui n’a pas résisté à nous faire savoir qu’elle était porteuse d’une carte professionnelle tricolore au temps de sa splendeur, l’homme propre sur lui qui domine toutes les situations, l’homme qui justifie la rétention des informations par les journalistes au nom de l’intérêt général, cet homme-là pète les plombs et montre sa vraie nature, dès lors que l’on s’en prend à son idole politique Marion Maréchal le Pen…
Il me menace carrément de violences physiques…
Faisant preuve d’une double lâcheté, celle qui consiste à menacer de frapper un anonyme sur Internet, faute de pouvoir faire valoir le moindre argument, et celle qui consiste à le faire par l’intermédiaire d’un autre, qui, s’imagine-t-il, s’apprête à me régler mon compte…
Ah, c’est joli, la « vraie droite »… la vraie droite, que cela ne gêne pas de hurler à la destruction des « valeurs traditionnelles », mais qui emprunte au féminisme le plus crasse dès lors que cela sert ses intérêts rhétoriques…
C’est, bien sûr, parce que c’est une femme que je m’oppose à Marion Maréchal… ce ne peut être en aucun cas pour les mêmes raisons que je m’oppose aux hommes qui tiennent les mêmes discours d’abrutis gaullo-communistes : Onfray, Zemmour, Hollande, Sarkozy, Macron — en fait, l’ensemble de la classe politique française du sol au plafond…
Contrairement à vos mensonges, il n’y a nulle injure dans mon commentaire : j’ai précisément dit pourquoi Marion Maréchal est un imposteur qui menace le bien de la France, de même que vous, de même que la totalité de la racaille stato-gauchiste qui se pare des plumes de la droite.
Personne ne « brade » les entreprises françaises. Je l’ai expliqué ici il y a quelques jours, mais vous ne savez pas lire, apparemment.
D’abord, contrairement à vos fantasmes gaullo-communistes, le président de la République n’est pas propriétaire des entreprises françaises. Il n’a ni à les vendre, ni à les acheter.
Ensuite, si les entreprises sont obligées de se vendre à l’étranger, c’est qu’elles se portent mal. Et si elles se portent mal, c’est en raison des racailles idéologiques dans votre genre, qui insistent pour écraser les Français de taxes, sous prétexte d’État fort et stratège.
C’est parce que les capitalistes français n’ont pas les capitaux nécessaires pour les racheter, en raison de l’existence de la Sécurité sociale et des impôts délirants qui les accablent.
Ce n’est pas parce que ce seraient d’adorables petits bijoux que les méchants étrangers nous envieraient, et que le joailler en chef n’aurait pas suffisamment verrouillés dans son coffre-fort.
On aurait pu attendre, de Marion Maréchal, vu sa jeunesse, qu’elle sorte de cette mélasse étatique turbinée depuis des siècles par des vieux tromblons dans votre genre.
On aurait pu attendre qu’elle ait, à l’instar de milliers de jeunes femmes, françaises et autres, qui sont, elles, d’authentiques créateurs d’entreprises, une compréhension un peu plus saine des mécanismes de l’économie que les caciques de la politique et des médias qui nous ont amenés là où nous en sommes.
On aurait pu attendre qu’elle ait le courage de dire, à son ancienne étudiante : non, l’hydroxychloroquine n’est pas efficace contre le Covid, elle est même nocive, la liberté de prescription des médecins n’est qu’un slogan politicard qui n’a aucune pertinence en la matière ; oui, les mesures de confinement prises par le gouvernement sont bonnes et nécessaires, je vous encourage à les respecter, pour votre propre bien et le bien du peuple français.
Voilà à quoi elle aurait pu employer la crédibilité dont elle jouit. Voilà qui lui aurait permis d’œuvrer si peu que ce soit en faveur de l’intérêt commun, malgré sa résolution à ne pas se lancer dans l’arène électorale.
Au lieu de cela, elle nous sert la même soupe avariée que les mammouths de votre acabit, mais dans une assiette à la mode.
Vos menaces de représailles physiques montrent que j’ai touché juste.
Le banditisme n’est jamais bien loin dans les mœurs politiques françaises : entre le SAC gaulliste et les milices de la CGT, le peuple français ignore toujours ce que sont la liberté, la responsabilité et la démocratie.
Et ce n’est pas Marion Maréchal qui va le lui apprendre.
@ Robert Marchenoir 17 décembre 2020 à 10:05
Votre petit déjeuner a dû passer de travers… Deux jours de suite – hier, Marion Maréchal, ce matin, mon commentaire -, ça fait beaucoup !… Le vitriol était dans l’encrier… Tête basse, tel un taureau, vous avez foncé… sur moi, sur d’autres, sur tous… et vous avez réussi ! Vous avez pulvérisé votre record dans un domaine qui vous est cher : la haine de l’autre, de celui qui ose ne pas être d’accord, à la virgule près, avec votre pensée profonde, mutante et multiforme.
J’ai regardé hier soir Zemmour et Naulleau sur Paris Première. L’un des invités était un philosophe, Pierre-Henri Tavoillot, qui a récemment publié un essai intitulé : « Peut-on encore débattre ? ». Il constate – et le regrette – qu’aujourd’hui, de plus en plus, le débat d’idées disparaît et laisse place aux indignations et aux confrontations stériles. Y compris sur des blogs de qualité, qu’elles polluent. J’ai beaucoup pensé à vous…
En m’éloignant de vos chausse-trappes, de votre mauvaise foi et des trous noirs qui, dans vos propos, tiennent lieu d’arguments, je vais néanmoins tenter de vous faire percevoir deux erreurs d’appréciation de votre part :
– Mon message n’était en aucun cas une marque de soutien à Marion Maréchal, mais un haut-le-cœur contre votre agression à laquelle vous n’apportez aucune justification. Pour l’heure, contrairement aux idolâtres, protégés des réalités présentes et à venir par des œillères aimablement fournies par les différents dieux, comme des millions d’autres Français, mon choix pour 2022 n’est pas fait. Tout juste suis-je certain d’éviter tout bulletin étiqueté à gauche et celui du sortant.
– Dans mon propos sur les mœurs des Peuhles vis-à-vis de ceux qui ne goûtent pas leur beauté, il n’y avait aucune intention de menace, mais un simple conseil… que j’ai oublié d’ailleurs d’étendre à la corporation des poissonnières. Elles aussi ont la réputation d’avoir le verbe haut et de savoir humilier ceux qui les cherchent…
Pour le reste, le piètre niveau de votre discours ne permet pas d’envisager d’y répondre sur un ton raisonnable. Donc, Don Quichotte, je vous laisse à vos recherches d’autres moulins… Ne désespérez pas. Nous restons nombreux à vous en proposer…
@ Serge HIREL | 17 décembre 2020 à 13:20
Excellentes répliques !
Je m’étais auparavant bien amusée en lisant les foucades de cet olibrius prétendant mordicus qu’il ne s’en prenait jamais à une femme en tant que telle… Je suis bien placée pour le savoir !!
Hélas mon alter ego (égale) Yoyotte de la Touffe, un brin trop fragile, s’en est étouffée de rire ou de rage. Depuis, elle est en réanimation ! Comme quoi Marchenoir serait tout aussi dangereux que la Covid-19. Fort heureusement, nous sommes ici quelques-un(e)s à être vacciné(e)s contre ce genre de poison harceleur pervers, si bien que le vitriol glisse sans plus nous atteindre…
Tiens, tiens, Ninive et Serge HIREL se réveillent enfin, il n’est pas trop tard, pourtant j’avais prévenu il y a deux ans.
Le pervers narcissique rétorque à l’infini, rien ne l’arrête, la seule solution est de ne jamais lui répondre, dès lors le silence le noie. Exhibitionniste par nature il se meurt de perdre son auditoire. Il s’étiole.
Quand on fait le compte de ses admirateurs, un test QI devient indispensable, de Quimper ou d’ailleurs, une désolation…
« C’est, bien sûr, parce que c’est une femme que je m’oppose à Marion Maréchal… ce ne peut être en aucun cas pour les mêmes raisons que je m’oppose aux hommes qui tiennent les mêmes discours d’abrutis gaullo-communistes : Onfray, Zemmour, Hollande, Sarkozy, Macron — en fait, l’ensemble de la classe politique française du sol au plafond… » (Robert Marchenoir)
Monsieur Marchenoir pourriez-vous, je vous prie, nous faire part des hommes politiques qui recueillent votre approbation ?
Depuis que vous intervenez sur ce blog ce n’est que pour exposer votre haine, diffuser votre fiel et répandre votre mépris de tous…
Faites un effort : qui ne détestez-vous pas ?
@ Serge HIREL | 17 décembre 2020 à 13:20
Il m’est très agréable de vous lire et de partager vos idées.
@ Serge HIREL | 17 décembre 2020 à 13:20
« La haine de l’autre. »
Hahaha, pauvre chochotte… ça se prétend de droite, et dès que c’est contrarié, ça se réfugie dans les poncifs gauchistes les plus éculés… comme quoi, je n’ai pas eu tort de vous traiter de gaullo-communiste.
Et maintenant, vous redoublez de mauvaise foi, comme à chaque fois qu’il vous prend le goût de troller. Vous avez aboyé dès que j’ai osé critiquer Marion Maréchal, mais ce n’est pas du tout parce que vous l’approuvez, c’est juste parce que vous êtes le service public de soutien aux politiciens injustement pris à partie.
Faux cul, va.
C’est marrant comme la droite a besoin d’idoles. Il y a quelque temps, c’est la critique de Vladimir Poutine qui provoquait ici ce genre de réactions outragées. Maintenant, les poutinistes se sont fatigués — tout comme leur maître, d’ailleurs.
Je pense que Marion Maréchal va nous faire encore pas mal d’usage. Je me réjouis d’avance de la mine offusquée de ces messieurs…
————————————————–
@ Ninive | 17 décembre 2020 à 14:33
« Injuriant le commun des mortels pour un oui, pour un non, pour un rien. »
Pas pour un rien : vous, vous êtes vraiment un abruti de compétition. Vous ne comprenez rien à rien. Vous ne savez même pas lire. Tenez, au hasard :
« De surcroît, maintenant, laissant Poutine en paix… »
Pas du tout. Je viens de m’essuyer les grolles sur sa figure il y a quelques heures à peine. Essayez de suivre, bon Dieu…
« …Vous affirmez être le serviteur du psychopathe pervers qui nous commande. »
Euh… non. Je viens de dire exactement le contraire : « Je m’oppose aux hommes qui tiennent les mêmes discours d’abrutis gaullo-communistes : Onfray, Zemmour, Hollande, Sarkozy, Macron. »
MACRON. M, a, c, r, o, n. Ça y est, ça percole, là-haut ?
@ Isabelle | 16 décembre 2020 à 13:37
Ne vous arrêtez pas en si bon chemin. La France a aussi besoin de personnes comme vous pour aider le pays à retrouver son identité et ses racines. Tout en ayant l’esprit ouvert vers le monde, ce n’est pas pour autant qu’il faut laisser la porte de son chez-soi ouverte à tout-va et à une population incontrôlable, profiteuse de toutes nos aides sociales, pour ensuite nous haïr et nous menacer.
Test QI pour Savonarole:
Savez-vous faire des phrases ? Oui !
Combien font 2+2 ? Euh… on m’avait pas dit qu’il y avait des maths !
@ Robert Marchenoir 17 décembre 2020 à 20 :53
Si nous étions en été, il me serait probablement venu à l’idée de vous comparer à ces champions de ball-trap qui se croient chasseurs de grands fauves parce qu’ils tirent en tous sens sur des cibles d’argile… En fin de partie, un trophée leur est remis… Non les bois d’un dix-cors royal comme dans les chasses à courre. Encore moins la peau d’un tigre blanc comme autrefois, lors des safaris en savane… Une vulgaire coupe de laiton doré, accompagnée d’une bouteille de mauvais pastis… Et l’imbécile les brandit, telle la preuve d’un combat farouche et courageux.
Mais, j’y songe, pour vous satisfaire, bien dans la ligne de cette année qui, déjà, a battu des records de malheurs, notre hôte pourrait-il organiser une compétition originale entre nous tous afin de désigner qui, au fil des mois, a été le meilleur au « ball-trap des commentaires » ? Seule règle : le moindre soupçon d’argumentation entraîne la nullité du coup. Récompense : une icône en forme de mitrailleuse qui, pour le vainqueur, signalerait chacun de ces messages… et en éloignerait ceux qui préfèrent débattre.
Nul doute que ce vainqueur 2020, ce serait vous !
L’idée serait certainement reprise par quelques autres blogs, réseaux sociaux et forums qui font de la « courtoisie 2.0 » leur principal atout… Vous pourriez postuler… avec une chance certaine de succès. Le risque est que, ces prochains mois, vous soyez obligé de vous surpasser pour conserver votre titre. Ici, pas de danger, le trophée vous serait acquis pour longtemps, la haine et l’invective y étant un carburant que très peu d’autres que vous emploient. De plus, notre précieuse modératrice y veille…
@ Wilfrid Druais
« Je me suis toujours demandé à quels crétins s’adressaient les tests de QI ? »
Réponse: 1. Aux parents qui souhaitent trouver un moyen de faire chanter l’Education nationale. 2. Aux parents qui souhaitent se faire des noeuds dans la tête au sujet de leurs gosses. 3. Aux scientifiques qui ont quand même développé un outil à peu près robuste. 4. Aux gens qui se posent des questions assez autocentrées.
« Tout ça pour dire que les tests de QI valent autant pour mesurer l’intelligence que l’avis des experts de santé pour mesurer la gravité d’une épidémie. »
Malheureusement, non. Je n’y accorde pas d’intérêt personnel, à ces tests, mais les tests cognitifs, QI inclus, peuvent avoir des choses intéressantes et importantes à dire. Qu’on calibre des politiques de recrutement dessus ou qu’on remplace les examens universitaires par des tests de QI ou des tests cognitifs, et je m’y opposerai farouchement. Mais qu’on prétende qu’ils ne mesurent rien, c’est faux et archi-faux.
Bref. Du Wil tout craché. Mais je commence à avoir un peu cerné le personnage.
@ sbriglia | 17 décembre 2020 à 18:41
« Monsieur Marchenoir pourriez-vous, je vous prie, nous faire part des hommes politiques qui recueillent votre approbation ? »
Aucun, je viens de vous le dire. Vous non plus, vous ne savez pas lire ?
Votre indignation est bien curieuse : il y a une loi, juridique, morale ou religieuse qui impose d’approuver certains hommes politiques ? Pourriez-vous nous la désigner, voire nous en expliquer les fondements ?
C’est un jeu de société, et l’on est censé prendre son ticket auprès de l’une des parties en présence, faute de quoi l’on se fait morigéner par d’anciens avocats ratés sur Internet ?
Vous prétendez, sur un autre fil, que je vous ai beaucoup déçu : voulez-vous que je vous rembourse votre abonnement ?
En ce qui vous concerne, je vous rassure, vous ne m’avez pas déçu : vous ne m’avez jamais beaucoup impressionné.
Je précise que mon appréciation des hommes politiques s’étend à la France. Savez-vous qu’il existe d’autres pays au-delà de nos frontières ?
« Depuis que vous intervenez sur ce blog ce n’est que pour exposer votre haine, diffuser votre fiel et répandre votre mépris de tous… »
Tout à fait. Cela est une belle et bonne chose, et d’ailleurs je suis ici en bonne compagnie. Je ne perdrai pas de temps à dresser l’interminable liste des commentateurs, qui, ici, en font autant. Ni à faire la liste de leurs détestations.
A commencer par vous.
Vous nous faites un gauchiste bien conformiste, à fustiger ainsi la haine, le fiel et le mépris. Il s’agit là de sentiments fort honorables. Le tout est de choisir sa cible, et d’ajuster le contenu de la munition.
Là est le discernement.
Vous seriez bien aimable de m’expliquer pourquoi, par exemple, je ne devrais pas exprimer mon mépris envers Marion Maréchal le Pen, comme je viens de le faire.
Pour ma part, j’ai exprimé mes raisons. Vous êtes libre de présenter les vôtres.
Évidemment, il est plus facile de jouer les moralisateurs de pacotille, et de crier au scandale parce que j’ai osé salir l’icône de sainte Marion.
Il est infiniment divertissant de voir la meute se mettre à aboyer en chœur, juste au moment où j’ai renvoyé Xavier Nebout dans ses cordes, avec son idolâtrie ridicule de la nouvelle Jeanne d’Arc.
Seulement malgré le grotesque, voire l’odieux de ses commentaires (c’est curieux, je ne me rappelle pas vous avoir lu lui reprocher sa haine, son fiel et son mépris ?), je me suis donné la peine d’écouter l’interview à laquelle il renvoyait. C’est édifiant.
Je suis absolument désolé de vous avoir privé, vous et vos camarades de meute, du dernier sauveur auquel vous pouviez vous raccrocher.
Déjà que j’ai insulté saint de Gaulle, ce qui permet de se mettre à dos à peu près 100 % de la population française, si en plus je me cogne sainte Marion, c’est la fin des haricots.
Nos pauvres choux n’ont plus personne à mettre sur l’iconostase. Ils vont devoir penser par eux-mêmes, diriger leur vie par eux-mêmes, se référer à leurs propres valeurs.
Vous exigez, avec une arrogance à couper le souffle, que je vous dise qui je ne déteste pas.
Je me demande bien ce qui vous autorise à me demander ainsi des comptes sur mes sentiments. Je ne vous ai pas entendu faire des sommations similaires à l’égard des multiples misanthropes et çavapétistes qui s’étalent dans ces colonnes. Sans doute leurs détestations étaient-elles davantage politiquement correctes ? Sans doute se fondaient-elles davantage dans le martèlement ininterrompu de clichés qui passe, ces temps-ci, pour de la sagesse ?
Je ne vous ai pas beaucoup entendu, non plus, vous élever contre les campagnes systématiques de haine, de fiel et de mépris entreprises ici par tel ou tel, que ce soit à l’égard de commentateurs, ici présents, ou d’hommes politiques visibles au travers des étranges lucarnes.
Il faut croire qu’il y a le bon fiel, et le mauvais.
Avec une hypocrisie spectaculaire, vous trouvez le moyen de fermer les yeux sur les centaines de personnes dont j’ai fait l’éloge, ici, au fil des années, qu’il s’agisse de collègues commentateurs, d’écrivains, de penseurs, d’artistes, d’ingénieurs, de chefs d’entreprise (mais ceux-là, il convient de les conchier, n’est-ce pas ?), de savants (mais ils ne sont pas nécessairement connus, et leur nom ne commence pas par Ra, ni ne se termine par oult), et même, figurez-vous, d’hommes politiques — mais il est vrai, crime abominable, qu’ils ont tendance à exercer leurs talents à l’étranger.
Peut-être pourriez-vous vous donner la peine, de temps à autre, de cliquer sur les « liens » que la brigade de l’ignorance et de la paresse aime tant à me reprocher ?
Peut-être pourriez-vous remédier à votre aveuglement sélectif, faire une cure de Sectaril, molécule révolutionnaire dont le journal The Lancet a récemment fait l’éloge, et abandonner le costume de vaporisateur de gentillesse obligatoire qui vous va aussi mal qu’à Vladimir Poutine, l’homme qui revendique une tentative d’assassinat abominable, à l’instant même où il exalte l’amour comme principe des relations entre les nations ?