Face à la délinquance, la tentation de l’autodéfense (Le Figaro).
Devant ce constat – les ratés de la réponse pénale…lenteur des procédures, classements, peines non exécutées, difficultés de la police et de la gendarmerie pour interpeller et enquêter, dévoiement des surveillances et des expéditions punitives -, l’excellent Eric Delbecque, expert en sécurité intérieure, déclare « qu’on ne peut pas approuver cette sorte de nouveau Far West ».
Comme il n’appartient pas à la catégorie des sociologues compassionnels ou des analystes hémiplégiques – tout pour les transgresseurs, rien pour la société -, il doit être écouté.
Mais doit-il être entendu si son propos vise seulement à culpabiliser les citoyens qui en désespoir de cause pratiquent l’autodéfense ? Dans un monde idéal, dans une France où l’autorité régalienne, l’efficacité des forces de l’ordre, la rigueur et la cohérence judiciaires seraient à leur comble, le Far West – intrusion d’une justice expéditive dans l’État de droit – serait à rejeter absolument.
Mais dans notre pays aujourd’hui, nous sommes loin de cette excellence et depuis quelques années, l’autodéfense, ici ou là, apparaît comme une solution plausible face à l’incurie et à l’impuissance de nos organes officiels de protection et de répression. À l’exception de quelques justiciers compulsifs qui se font une joie d’intervenir là où ils devraient s’abstenir, la plupart des citoyens concernés se mêlent avec regret et même crainte de ce qui les regarde : leur sauvegarde, celle de leur famille, le respect de leur tranquillité et de notre vivre-ensemble républicain, la préservation de leurs biens.
On ne peut se contenter de considérer que l’autodéfense pallie de plus en plus les défaillances de l’État de droit, de le déplorer sans s’interroger plus avant. Eric Delbecque, si je l’interprète bien, le souligne avec pertinence : derrière cette multiplication des épisodes de « justice privée », il y a une opposition, une résistance au politiquement, au judiciairement et au médiatiquement corrects.
Les victimes ne sont pas les transgresseurs mais celles que les délits et les crimes ont offensées, meurtries ou tuées. La présomption d’innocence est un principe essentiel mais il ne saurait prévaloir, sur un mode totalement artificiel, voire ridicule, quand il n’y a pas le moindre doute sur l’imputabilité des infractions.
Il ne faut pas avoir peur de cibler notre État de droit et d’accepter qu’au-delà de la révérence obligatoire qu’on lui manifeste, sa force, sa vigueur, ses richesses mais aussi ses limites soient questionnées.
Pour résumer, quand l’insécurité augmente, que les crimes et les délits poursuivent leur course malfaisante, que leurs modalités deviennent de plus en plus sauvages et que police et gendarmerie non seulement ne sont plus craintes ni respectées mais qu’on s’en prend d’initiative à elles, lorsque notre système de preuves fondé sur l’individu pris sur le fait devient radicalement inadapté aux violences collectives où le groupe protège chacun et interdit toute poursuite fiable et opératoire, il ne suffit plus de proclamer « État de droit », il convient de se demander ce qui doit être changé en son sein pour qu’enfin il réponde à l’attente des citoyens.
S’il ne bouge pas quand tout démontre que son formalisme civilisé n’est plus acceptable dans son intégralité, c’est accepter que les choses empirent et que la réalité d’une France ensauvagée devienne encore davantage notre quotidien, et d’abord celui des plus faibles et des plus démunis d’entre nous.
On ne peut plus tolérer que police, gendarmerie et justice ne soient pas autorisées à distinguer, dans la masse des infractions et la multitude des auteurs, les responsabilités évidentes, immédiates et incontestables, avec la rapidité des procédures qu’elles devraient permettre, des affaires et des incriminations plus complexes. On ne peut plus laisser l’État de droit paradoxalement nuire à la Justice et étouffer le bon sens sous son byzantinisme.
Ce ne sont que des pistes qui devraient, concrétisées, rendre encore plus inexcusable la faillite régalienne du pouvoir qui confond l’invocation confortable de l’humanisme avec la fermeté d’une politique pénale digne de ce nom. Pour une telle révolution, quitter les cercles et les camarillas prétendument progressistes serait le premier impératif et le deuxième, ne pas mépriser par principe ce qui surgit du peuple en le qualifiant de populisme : autre manière de dénigrer ce que le pouvoir ne comprend pas ou ne veut pas entendre. (Voir mon billet du 23 août 2022 : « Changer l’État de droit pour protéger les Français… »)
Mais cette présomption d’innocence qu’on met à toutes les sauces, je la retiens et la réclame pour notre nation : les Français ne sont pas coupables…
« Mais dans notre pays aujourd’hui, nous sommes loin de cette excellence et depuis quelques années, l’autodéfense, ici ou là, apparaît comme une solution plausible face à l’incurie et à l’impuissance de nos organes officiels de protection et de répression. » (PB)
Eh bien voilà, nous y sommes. Comme c’est parti, nous allons bientôt introduire dans notre Constitution le deuxième amendement de la Constitution des États-Unis qui reconnaît « la possibilité pour le peuple américain de constituer une milice (« bien organisée ») pour contribuer « à la sécurité d’un État libre », et garantit en conséquence à tout citoyen américain le droit de détenir des armes. »
L’autodéfense est un droit sacré dans ce pays où l’on peut se procurer des armes sans permis dans n’importe quelle armurerie à deux pas de chez soi. Droit férocement défendu par le lobby des armes et qui se traduit chaque année par des règlements de comptes dignes de OK Corral et parfois aussi par des accidents regrettables.
On attend maintenant qu’une proposition de loi soit déposée à l’Assemblée nationale. Certes, elle aura peu de chance de passer, mais à partir de mai 2027, tout est possible.
Les Français sont coupables de laisser faire. Quand un président de la République représente tout au plus 20 millions de citoyens parce qu’ils ont la paresse d’aller aux urnes, il est de fait libre de mener une politique irresponsable et de se comporter en électron du même nom. Le citoyen s’en détourne comme il se détourne des valeurs et du pouvoir régalien, puisque abandonné. C’est d’une logique implacable et malheureusement une spirale vers l’obscur et la loi du talion. Le « quoi qu’il en coûte » et « qu’ils viennent me chercher » sont en quelque sorte l’assurance pour les Français de ce qui leur reste à faire.
Il me semble que plusieurs des derniers exemples en date de cette justice privée étaient le fait d’une cité transportée par une forme organisée de criminalité ou d’une communauté ethnico-religieuse musulmane. Il s’agit typiquement d’entités qui, de toute façon, ont d’autres codes et autorités, informels et secrets dans le premier cas, codifiés par la charia sinon.
À une échelle moindre, on a aussi vu les vidéos amusantes des bloqueurs d’autoroute dans le Val-de-Marne (ceux qui pensent que bloquer des véhicules en France a un impact sur l’environnement – qui ne vont pas pour autant s’opposer au flot de véhicules électriques produits et importés de Chine, pollution massive en production, transport et usage vu les conditions de la production électrique) se faire dégager manu militari par des locaux, sans que personne ne s’en offusque, ces derniers ayant une immunité d’apparence ethnique non blanche. Là, il ne s’agit pas de justice privée (pas d’enquête ni jugement) mais juste de maintien de l’ordre public privé de bon sens et je dois dire ne pas être choqué.
État de droit ? Les représentants de cet Etat sont élus par le peuple ; cela n’autorise pas ces élus à cracher ensuite sur ce même peuple. Le premier acte de respect serait bien de lui assurer une vraie sécurité. Les dérives progressistes actuelles reviennent à cracher sur ce peuple.
« Les Français ne sont pas coupables… »
Mais bien évidemment que si, les Français sont coupables de ce qui se passe.
Tout au moins cette partie des Français qui votent et revotent au fil des scrutins pour ces politiques qui les cocufient dès le résultat connu et officialisé.
L’éternelle histoire du poisson rouge et de son tour de bocal qui pour le coup dure cinq années.
J’ajoute que ces électeurs qui votent blanc ou ne vont même pas voter ont également cette même responsabilité. À un moment, il faut bien mettre ses actes et ses paroles en concordance. Se lamenter n’avance à rien.
« On ne peut plus laisser l’État de droit paradoxalement nuire à la Justice et étouffer le bon sens sous son byzantinisme. » (PB)
Un des exemples les plus parlants est le squat de son logement, situation qui peut arriver à n’importe qui au retour d’un séjour en vacances ou à l’hôpital et qui demande une réponse quasi immédiate, car que faire lorsque l’on se retrouve subitement à la rue, sans rien, sans accès à ses moyens de communication, à ses documents et justificatifs administratifs ou bancaires, sans oublier les multiples objets personnels indispensables au quotidien ?
Où se loger, comment pouvoir s’arranger pour vivre de façon décente en attendant que les machines administrative et judiciaire daignent se mettre en marche ?
Que dire de l’invocation d’un « droit au logement » dévoyé dans le sens d’une gratuité, car qui d’entre nous, ayant aussi ce droit, ne paye pas ce dernier d’une façon ou d’une autre ?
Et au nom de quoi le squatteur pourrait-il faire valoir ce droit au détriment de celui à qui il a volé son logement et qui se retrouve de fait à la rue ?
Nous avons ici une illustration d’un droit complètement inhumain et aberrant du fait de sa déconnexion totale des réalités de la vie alors que sa fonction serait normalement de permettre à cette dernière de se dérouler sans trop d’encombres et de façon cohérente.
De même que l’impôt tue l’impôt, de droit tue le droit.
Avec la complicité indifférente de ceux qui sont supposés le dire.
« Quand nous serons tous coupables, ce sera la démocratie » dit Camus.
En mettant la faute sur l’Etat, nous la mettons sur notre propre tête. Nous sommes responsables de la situation. Qui d’autre l’est ?
Certes notre République n’a plus grand-chose d’une démocratie. Elle s’apparente de plus en plus à une oligarchie ploutocratique.
À nous, individuellement et collectivement, de changer ça.
Mais qui y croit encore ?
Etat des lieux implacable.
Mais l’Etat pour le moment n’a qu’une réponse: inviter les citoyens à ramener à la Gendarmerie la plus proche le 12 de pépé qui est décédé et dont on a hérité.
https://www.la-croix.com/France/Fusils-pistolets-munitions-Francais-invites-rendre-armes-lEtat-2022-11-10-1201241542.
Je ne veux pas croire que ce genre de décision soit une erreur de l’administration pointilleuse…
Pendant ce temps, les sociétés de surveillance et d’installations de caméras font florès. Un pis-aller.
Cher Philippe Bilger,
Je me réjouis de lire sous votre plume ce que je répète ici à l’envi : c’est la pensée progressiste, catéchisme de bonnes intentions, qui pave le chemin de notre enfer.
Elle est mue par une forme d’énergie cinétique : elle se nourrit d’elle-même pour toujours produire de nouveaux droits, recours, appels, protections ; elle crée en permanence de nouveaux opprimés, victimes, ostracisés.
Nous sommes devenus prisonniers de cette situation, qui bénéficie essentiellement à tous les filous, voyous, criminels, assassins, et emm… de tout poil.
Je ne donnerai qu’un exemple concret, qui vous paraîtra ridicule, mais qui nous pourrit la vie au quotidien : l’incapacité de la police à éradiquer les deux-roues urbains bruyants équipés de pots d’échappement de compétition, et qui représentent 80 % des deux-roues urbains à moteur.
Qui ne peut pas le moins pourra difficilement le plus.
J’ajoute – on peut rêver – quelques pistes pour (commencer à) renverser la vapeur :
1) La délinquance étant essentiellement affaire de sanction, qui sème le vent récolte la tempête. Celui qui s’affranchit de la ligne jaune doit s’attendre à voir le ciel lui tomber sur la tête : la sanction marteau-pilon doit devenir la règle.
2) Qui se met gravement hors la loi (refus d’obtempérer par exemple) ne peut plus s’en prévaloir le temps que dure cette situation : il n’est plus protégé par la loi et assumera pleinement les conséquences de ses actes… quelles qu’elles soient.
3) Participer à un délit en réunion entraîne de facto une responsabilité collective : la sanction maximale et unique s’appliquera à tous, quel que soit le niveau individuel de responsabilité.
On le savait, mais une preuve éclatante en a été donnée mardi avec la décision de la cour d’appel de Mons (Belgique) de ne pas donner suite au mandat européen délivré par la justice française à l’encontre de l’imam de Lourches : la notion d’Etat de droit est différente d’une démocratie européenne à l’autre, pourtant toutes aussi respectables l’une que l’autre.
Laissons de côté ce que l’on peut déduire de ce camouflet de nos amis belges quant à la réalité de l’union proclamée des Etats membres de l’Union européenne. Ce n’est pas le sujet du jour. Intéressons-nous à la seule notion d’Etat de droit. S’il n’est pas identique d’un Etat à l’autre, il n’y a donc aucune raison pour qu’il ne puisse pas être modifié. D’abord pour que, en l’unifiant, les Etats européens se rapprochent l’un de l’autre et, ensemble, empêchent un indésirable de profiter de « trous dans la raquette » pour défier les autorités. Ensuite parce que la société, ses mœurs, les méfaits de certains de ses membres et les techniques de prévention et de répression évoluant, il convient de l’actualiser.
Notre hôte a mille fois raison en s’insurgeant contre cette disposition de notre droit qui permet aux délinquants agissant en meute d’échapper à une sanction sous le prétexte que la peine ne serait pas individualisée. Il convient de modifier urgemment cette règle, pour protéger nos forces de l’ordre, mais aussi pour tenter d’éradiquer la violence dans les « territoires perdus ». Bien sûr, il ne saurait être question de faire payer le prix fort au lampiste arrêté alors que le meneur, lui, a réussi à fuir, mais les techniques modernes (vidéos, smartphones, drones, écoutes, ADN…) permettent un tri suffisant pour éviter au juge de commettre une bavure indécente.
Il faudrait aussi, probablement, s’intéresser de près aux raisons pour lesquelles les deux instances judiciaires européennes (CEDH et CJUE), dont nombre de décisions sont empreintes d’une volonté, disons progressiste, n’ont aucun respect pour les opinions publiques majoritaires. Comment ont-elles pu forger un corpus de droits dont certains s’opposent on ne peut plus clairement à ceux élaborés par des Etats qui, eux aussi, ont pour socle de leur législation la Déclaration des Droits de l’Homme ? Peut-être faudrait-il examiner – et modifier – les processus de désignation et/ou d’élection des membres de ces deux institutions, qui, pour l’heure, sont aux mains des politiques au pouvoir au moment de leurs candidatures…
Quant à l’autodéfense, dont notre hôte aborde avec prudence les contours, on ne peut l’approuver que si elle se maintient dans la stricte « autodéfense passive ». Pas d’armes, surtout pas d’armes ! Et, pour ma part, je vais même plus loin : plus une seule arme à feu dans un domicile privé. D’abord, parce que l’assaillant peut la trouver et l’utiliser contre sa victime, mais aussi parce, trop souvent, elle aggrave jusqu’au meurtre les violences intrafamiliales. La chasse ? Oui, mais les armes sont conservées sous la responsabilité de la Gendarmerie, dans un local bouclé à double tour, dont elles ne sortent, pour la seule durée de la battue, qu’après un contrôle de leurs propriétaires, taux d’alcoolémie compris…
À mes yeux, l’autodéfense doit se maintenir dans les limites de la prévention. Prévention personnelle – portes renforcées et fermées à clé, volets, radars lumière extérieurs, grilles de protection, systèmes d’alarme… – et prévention collective, par exemple organisation de groupes de surveillance d’un quartier… mais, encore une fois, sans armes.
Il faut défendre bec et ongles le principe intangible que la violence n’est légitime que si elle est exercée par les forces de l’ordre. Aucune exception n’est tolérable. En revanche, celles-ci doivent bénéficier sans réserve d’une présomption d’innocence « consolidée », qui interdirait la procédure actuelle de mise en examen quasi systématique et le lynchage médiatique. Quitte à ce qu’au cours de l’enquête, au vu du résultat des investigations, le juge se montre extrêmement sévère avec un policier, disons à la gâchette facile.
Rien, aucun bien, aucune insulte, ne vaut sa vie, ni celle de quiconque, même s’il est le pire des salauds. Et la vengeance, qui, nécessairement, induit la préméditation, doit être une circonstance aggravante.
Enfin, pour éviter la dérive vers l’autodéfense, y compris armée, qui devient très inquiétante, l’Etat doit se montrer moins distancié de ses citoyens, qui subissent une hausse angoissante de la délinquance, à la fois en quantité et en sauvagerie. Il doit se donner les moyens d’être partout présent… et à tout instant. Un exemple, un seul : en Charente-Maritime, la sécurité nocturne d’un territoire rural de 600 km2 (30 km x 20 km) est assurée par une patrouille de quatre gendarmes ! Un accident de la circulation… et les malfrats s’en donnent à cœur joie sans craindre les menottes…
Il faut aussi que l’Etat se décide à appeler un chat un chat… et que l’on cesse d’affubler du terme « présumé » le statut judiciaire et médiatique d’un délinquant ou d’un criminel pris en flagrant délit ou ayant avoué, preuves à l’appui. Cela peut paraître un détail, mais on ne me fera pas croire qu’il n’a pas son importance dans le regard de plus en plus négatif porté sur la justice par l’opinion publique.
@ Achille | 17 novembre 2022 à 06:42
« L’autodéfense est un droit sacré dans ce pays où l’on peut se procurer des armes sans permis dans n’importe quelle armurerie à deux pas de chez soi. »
Dans certaines villes des États-Unis, c’est même le shérif local qui exige parfois des habitants qu’ils possèdent au moins d’une arme par foyer, ce qu’il vérifie à l’occasion.
Même si ce n’est pas la panacée, cela a au moins le mérite de faire comprendre aux malfrats potentiels qu’ils encourent certains risques s’ils formulent de mauvaises intentions à l’encontre des citoyens paisibles.
Et cela facilite le règne de l’ordre.
Que demander de plus ?
La Revue de l’enrichissement diversitaire.
Et hop, quatre étranglements pour le prix d’un !
Un homme agresse quatre passants à Villeurbanne : une femme dans le coma.
Après une altercation dans une station-service, un individu d’une vingtaine d’années a tenté d’étrangler quatre personnes en pleine rue, ce mercredi 16 novembre.
https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2022/11/17/un-homme-agresse-quatre-passants-a-villeurbanne-une-femme-dans-le-coma
Que doivent faire les Français, se laisser faire ?!
« …l’excellent Eric Delbecque, expert en sécurité intérieure, déclare « qu’on ne peut pas approuver cette sorte de nouveau Far West » » (PB)
LOL, j’ai l’impression de lire du Achille.
Excellent ? vous vous moquez de nous, expert en INsécurité intérieure plutôt, il est sûrement sourd et aveugle pour refuser de voir ce qu’est devenue cette société, un Far West islamiste grâce à ce gouvernement islamogauchiste immigrationniste, importateur de milliers de criminels arabo-africains impunis, des policiers spécialistes des replis stratégiques face aux bandes et meutes racailles, des juges favorables et complices de ces assassins, des macroniens qui soutiennent ce crime d’Etat organisé, alliés aux Nupes extrêmes gauchistes, tous en faveur de ce trafic esclavagiste de migrants organisé par la grande mafia UE ONG passeurs.
Si ça, ce n’est pas un Far West, comment va-t-on appeler ce coupe-gorge sanguinaire qu’est devenue la France de Macron ? Il va falloir d’urgence déboucher les neurones de nos experts en sécurité.
Les français SONT COUPABLES ! Coupables d’avoir voté et revoté pour ces fous dangereux machiavéliques diaboliques qui ont mis le pays à feu et à sang.
@ Marcel P | 17 novembre 2022 à 08:01
« (…) et je dois dire ne pas être choqué. »
Tout au contraire, ces images m’ont profondément choqué. Non parce que ces écervelés ont risqué leur vie. Non parce que la circulation a été entravée, ce qui en soi est un délit, mais, somme toutes, sans réel dommage. Non parce que des automobilistes – dont, pour ma part, je n’ai pas remarqué l’ethnicité – ont traîné ces crétins comme des paquets de linge sale. Mais parce que les forces de l’ordre ont été surprises. Comment ce mouvement écolo radical a-t-il pu organiser ces « sit in » sans être repéré par les services chargés de le surveiller, lui et quelques autres ? À moins que la bonne question soit : les forces de l’ordre surveillaient-elles cette organisation ayant déjà commis de nombreux délits sous prétexte d’idéal « vert » ?
Comment les patrouilles de police ont-elles pu mettre autant de temps pour investir les lieux, alors que ceux-ci, eu égard à leur importance en matière de fluidité de la circulation et donc de sécurité routière, doivent être surveillés continuellement par des caméras ? La chaîne de commandement est-elle à la hauteur de tels défis qu’il faut étouffer dans l’œuf ?
Bref, les autorités n’ont-elles pas relâché leur vigilance, bien que les menaces contre l’Etat et ses concitoyens restent majeures ? N’ont-elles pas perdu quelque peu – et même beaucoup – de la réactivité dont elles ont été louées en 2015 ?
Les coups de menton devant les caméras n’ont jamais remplacé les coups de gueule face à ses troupes… Le Pont de Sèvres n’est pas le Stade de France… mais ça y ressemble…
Il est certes regrettable d’en arriver à une telle situation mais à force d’être lassé dans ses attentes par les promesses non tenues et l’incurie du pouvoir dans les domaines aussi sensibles pour lui que le sont la sécurité et la justice, il ne faut pas s’étonner que certains citoyens, excédés, finissent par vouloir accomplir eux-mêmes les missions que l’Etat défaillant ne remplit que de manière insatisfaisante.
C’est là un engrenage inquiétant, porteur à terme de danger, et la responsabilité du pouvoir serait lourde s’il persévérait à rester sourd aux attentes des Français sur ces sujets.
Est-il acceptable que le citoyen qui supporte une pression fiscale aussi lourde que celle que subissent les Français ne puisse pas en retour compter sur l’action efficace, exemplaire, du pouvoir dans les domaines aussi vitaux pour lui au quotidien que sont la sécurité et la justice ?
Ce billet, Monsieur Bilger, dresse un constat implacable de la réalité de la situation de notre « État de droit » dévoyé jusqu’à l’absurde. Je me permets donc de reprendre quelques-unes de vos phrases pour les reclasser dans un cadre différent.
« Il ne suffit plus de proclamer « État de droit », il convient de se demander ce qui doit être changé en son sein pour qu’enfin il réponde à l’attente des citoyens. […] On ne peut plus laisser l’État de droit paradoxalement nuire à la Justice et étouffer le bon sens sous son byzantinisme. »
Tout le problème est qu’actuellement le citoyen, en dehors de la mise de son bulletin de vote dans une urne, ne bénéficie plus de la moindre considération des décideurs.
Quant au byzantinisme, la Palmipède d’hier, dans son article « Justice à perpète », évoque le cas du dossier de corruption concernant Charles Ceccaldi-Raynaud et deux co-auteurs ou complices qui traîne depuis vingt ans. Le principal auteur est décédé et « l’instruction » (pas moins de sept juges d’instruction se sont succédé sur ce dossier) poursuit encore deux personnes âgées de 100 et 84 ans sans avoir statué… Et la Cour de cassation affirme tranquillement que « le dépassement du délai raisonnable est sans incidence sur la validité de la procédure » ! Incurie des juges et par là-même de la Justice ?
Un aspect plus politique de votre billet :
« …rendre encore plus inexcusable la faillite régalienne du pouvoir qui confond l’invocation confortable de l’humanisme avec la fermeté d’une politique pénale digne de ce nom. Pour une telle révolution, quitter les cercles et les camarillas prétendument progressistes serait le premier impératif et le deuxième, ne pas mépriser par principe ce qui surgit du peuple en le qualifiant de populisme : autre manière de dénigrer ce que le pouvoir ne comprend pas ou ne veut pas entendre. »
Nos dirigeants, qui sont dans le seul domaine de la communication s’adressant à un peuple de béotiens sans intérêt, ne savent que « dire » en estimant avoir agi. C’est la plus grande preuve du mépris du peuple, singulièrement des « petites gens ». Seule la classe dirigeante sait et peut parler, voire décider (le plus souvent au profit des lobbyistes), le reste de la population n’a qu’à se taire !
Quant à l’efficacité du travail des forces de l’ordre :
« …notre système de preuves fondé sur l’individu pris sur le fait devient radicalement inadapté aux violences collectives où le groupe protège chacun et interdit toute poursuite fiable et opératoire(…)
…police et gendarmerie non seulement ne sont plus craintes ni respectées mais on s’en prend d’initiative à elles(…)
…On ne peut plus tolérer que police, gendarmerie et justice ne soient pas autorisées à distinguer, dans la masse des infractions et la multitude des auteurs, les responsabilités évidentes, immédiates et incontestables, avec la rapidité des procédures qu’elles devraient permettre, des affaires et des incriminations plus complexes. »
Voilà un guide parfait pour la refonte du code pénal et du code de procédure pénale. Mais en rapprochant ces propositions de ce que vous avez écrit sur l’État de droit tel qu’il est conçu, on peut considérer que vos idées iconoclastes, trop pragmatiques pour la classe politique, ont peu de chances d’être entendues et encore moins d’être reprises ! Voyez-vous un instant l’actuel garde des Sceaux porter un tel projet devant le Parlement ?
@ glw | 17 novembre 2022 à 09:44
Contrairement à vos allégations, le vote blanc est un vote responsable.
Et s’il n’est pas pris en compte dans les suffrages exprimés, c’est uniquement pour éviter que ce vote, marquant en fait un rejet total des candidats du second tour restés en lice, ne puisse remettre en cause la sacro-sainte majorité absolue.
Autrement dit le vote soi-disant démocratique et secret est bel et bien instrumentalisé et mis aux voix pour guider le bon peuple là où il n’aurait jamais voulu aller et lui rappeler les limites de ses droits. En sorte que son choix ne pourra forcément se porter, en désespoir de cause, que sur des hommes ou femmes dont il ne partage en rien les idées et qui lui sont présentés et vantés comme de vulgaires produits de marketing !
Le Ku Klux Klan trouvait aussi que la justice ne faisait pas son boulot, en la trouvant trop molle et trop lente.
On s’en persuadera en regardant l’excellent documentaire diffusé sur RMC Story récemment.
https://www.rmcbfmplay.com/info-programme/rmc-story/ku-klux-klan-societe-secrete-de-la-terreur?contentId=Product::NEUF_NUM23_N23796389693527&universe=PROVIDER
Les Français ne sont pas coupables ?
Si. Ils sont coupables. Ils sont coupables d’avoir laissé leur justice partir à vau-l’eau, en la rendant incompréhensible, pointilleuse sur la forme et trop pauvre en activité jurisprudentielle de force législative, avec des délais horriblement longs, incapable de trancher des sujets qui doivent être tranchés rapidement, incapable de plus de saisir la complexité réelle des affaires dont elle est saisie. Une justice qui ne mérite pas la confiance qu’elle exige de nous. Une justice d’ailleurs incapable d’évoluer par elle-même, puisque le viol ne fut qu’un délit et non pas un crime jusque dans les années 1980.
Et non. Ce n’est pas la faute aux seuls droits de l’homme. Au contraire. Je cite:
« Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable… » — Article 6 de la convention européenne des droits de l’homme.
Ce ne sont pas à ma connaissance les droits de l’homme qui imposent une justice lente jusque dans son obséquiosité. Les droits de l’homme exigent une justice non pas expéditive mais qui ne soit pas lente. Sans même parler du reste, qui, oui, importe.
M’enfin… la justice et l’immigration… deux thèmes au sujet desquels il est probable que jamais les Français n’arriveront à délibérer posément. On ne fera que surfer sur la tectonique élective, abdiquant ainsi de nos responsabilités par pure apathie, dans un climat d’hystérie.
C’est une faute collective. Vraiment.
Enfin, bref. Commençons déjà par publier l’intégralité des décisions de justice en ligne.
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@ Achille
« Eh bien voilà, nous y sommes. Comme c’est parti, nous allons bientôt introduire dans notre Constitution le deuxième amendement de la Constitution des États-Unis qui reconnaît « la possibilité pour le peuple américain de constituer une milice (« bien organisée ») pour contribuer « à la sécurité d’un État libre », et garantit en conséquence à tout citoyen américain le droit de détenir des armes. » L’autodéfense est un droit sacré dans ce pays où l’on peut se procurer des armes sans permis dans n’importe quelle armurerie à deux pas de chez soi. Droit férocement défendu par le lobby des armes… »
Primo, ce fut aussi le cas, dans notre histoire, qu’on considéra qu’un pays libre est un pays défendu par sa propre population. Et, en Helvétie, il est clair que la notion d’armée de milice est constitutive de l’identité nationale (si elle existe) et que cela empêche tout coup d’État militaire vu que l’armée est déjà au pouvoir. Ce n’est pas complètement idiot, quand on y réfléchit bien.
Secundo, non, il n’y a pas que le lobby des armes qui défende le second amendement aux States. Des simples péquins aussi:
« Il n’est qu’à peine utile de le rappeler: si quiconque entre chez vous dans le but de vous faire du mal, vous ne pouvez raisonnablement vous attendre à ce que la police arrive à temps. Ce n’est pas la faute de la police, mais c’est seulement une conséquence des lois physiques de notre monde. Comme la plupart des propriétaires d’armes à feu, je comprends les implications éthiques du port d’armes et je ne peux honnêtement souhaiter un monde désarmé. Je soupçonne que cette prise de position choquera nombre de mes lecteurs. Une personne décente n’est-elle pas une personne qui souhaite un monde sans armes à feu ? À mon sens, seules les personnes qui ne comprennent pas la nature de la violence sont capables de souhaiter cela. Un monde sans armes à feu est un monde dans lequel les hommes les plus agressifs peuvent faire plus ou moins ce qui leur chante. C’est un monde où il est possible de violer et de tuer une femme avec un simple couteau en présence de témoins, sans que personne ne trouve le courage d’intervenir. Il y a de tels cas de meurtres par armes blanches dans les prisons, où les gardiens (généralement sans armes à feu) n’interviennent pas. […] Un monde sans armes à feu est un monde dans lequel aucune personne, même un membre de la Légion étrangère, ne peut raisonnablement prétendre sereinement l’emporter sur plus d’un agresseur déterminé à la fois. Un monde sans armes à feu, en conséquence, est un monde dans lequel les avantages de la jeunesse, de la taille, de la force, de l’agression, ainsi que ceux du nombre sont quasi-automatiquement les facteurs décisifs. Qui pourrait être nostalgique d’un tel monde ? » — S. H., l’énigme des armes à feu, 2013.
Et moi, j’ai moins peur d’un bonhomme avec un gun en face de moi que d’un médecin, entre nous…
Mais il y a trop de haines idéologiques, en France, pour nous permettre un second amendement sans prendre le risque de milices privées idéologiques qu’il faudra démonter par la force. Je doute aussi que le port d’armes résolve nos soucis d’insécurité. De plus, deux armes sur trois semblent, en France, être des armes au statut illégal. Il m’est inconcevable d’autoriser plus de port d’armes tant que cette proportion de deux tiers d’armes illégales n’est pas réduite significativement.
Mais quoi qu’il en soit, les pays où la possession d’armes à feu est autorisée sont généralement des pays plus libres que ceux où les armes à feu sont prohibées. Ce qui tombe un peu sous le sens, en fait.
@ Isabelle | 17 novembre 2022 à 13:47
« Que doivent faire les Français, se laisser faire ?! »
Non ! Simplement utiliser leur droit à la légitime défense.
En outre rien n’empêche quelques citoyens de se regrouper pour arrêter le délinquant. L’arrestation citoyenne fait aussi partie de nos droits !
Bien sûr il faut avoir un rien de courage pour utiliser ces deux droits.
Savoir choisir entre bisounours et citoyen !
@ Isabelle | 17 novembre 2022 à 13:47
« Que doivent faire les Français, se laisser faire ?! »
Je crois avoir déjà cité ici l’exemple de gens qui, ayant entendu un soir des individus tenter de forcer les volets de leur maison ont appelé la police qui leur a répondu : « Surtout ne résistez pas, laissez-vous faire ! » .
Se laisser faire ! Jusqu’où ?
Ainsi, il faut considérer que dans la France actuelle quiconque refuse de « se laisser faire » et tente de sauver sa vie ou de protéger ses proches est déjà considéré comme un suspect potentiel par la justice…
Ce qui explique beaucoup de choses dans tous les domaines.
Cher M. Bilger,
Jouez-vous les idiots à faire semblant d’ignorer que pour qu’il y ait une politique pénale, il faudrait pouvoir appliquer des peines ?
Or, il n’y a pas de places de prison libres, pas de peine de mort, et un policier n’a même pas le droit de filer une baffe.
En Arabie saoudite, on peut laisser les portes d’appartement ou de voiture ouvertes.
Les prisons sont quasiment inutiles car les rares voyous encore vivants n’ont plus de mains ou de pieds.
Là-bas on doit savoir compter. Que valent en effet les vies ou pieds et mains de quelques voyous au regard des innombrables victimes de la criminalité dans notre prétendue civilisation ?
La peur de l’erreur judiciaire ? Pipeau ! Il suffit d’une piqûre de scopolamine pour connaître la vérité.
Il est vrai que chez les gens véritablement civilisés, comme on voit tout dans les auras, personne ne ment ni ne triche.
Il doit y en avoir encore en Amazonie.
Et dans nos quelques monastères…
@ F68.10 | 17 novembre 2022 à 21:04
Tout à fait d’accord. L’arme est la colonne vertébrale du citoyen, face à l’ennemi, mais aussi dans l’agora.
Parce que là où elle n’existe pas, un peuple de moutons enragés ne songe qu’à diminuer encore un peu la liberté des autres. Ainsi en va-t-il du désir de prohiber les masques.
L’esclave est soit sans désir, réifié, soit avec le désir de liberté, soit de s’élever dans la hiérarchie en rabaissant les autres.
Le Français a tendance, quoique encore libre de voter, à cocher la troisième case. Ciel, une liberté ? Vite, il faut l’éradiquer, comme si elle était une vermine polluant quelque maison bourgeoise.
Tous sur le pont !
Eh bien, c’est aussi mon avis, mais en sens inverse, il faut défendre les pseudonymes avant qu’ils ne soient interdits, permettre les armes avant que les citoyens ne rampent encore plus devant les agresseurs qu’ils ne le font. Bref, à un moment, les gens se retrouvent esclaves, et les maintenir en servitude est très facile.
D’abord, en France, la culture y prédispose : la liberté pourquoi faire et c’est très relatif.
On a été tout faraud de le me dire ici, sur le mode, faut-il être ignorant, vulgaire voire carrément stupide pour l’ignorer ? Mais c’est le fin du fin que de cracher sur la liberté.
Moi je dis, si vous n’en voulez pas, n’en dégoûtez pas les autres, trouvez-vous quelque master, et basta.
Ensuite, pour la sécurité des gens, bien sûr, on peut leur retirer leurs armes, puis les pucer et mettre des caméras de surveillance chez eux. Pourquoi pas, ils veulent la sécurité, non, ils disent ne rien avoir à cacher, toujours en voulant interdire les pseudonymes et en mettant des caméras dans les rues plutôt que des forces de l’ordre dans les rues et les immigrés musulmans en mode renvoi à l’envoyeur ?
D’abord, on rend le monde moins sûr, ensuite, on interdit de se défendre, je veux dire vraiment, avec des armes, et ensuite, on peut « protéger » les gens, qu’on soit l’Etat ou la religion du coin, avec des groupes armés ou des systèmes de surveillance. Il n’y a pas de complot, c’est la dynamique de la situation.
Il faut saboter cette descente aux enfers en y plaçant des armes, rendre leur droit au citoyen de se défendre comme la liberté d’expression par le transfert du Premier amendement chez nous.
Et encore un éloge sur les armes, elles sont un moyen de se tuer, savoir la liberté de ceux qui n’en ont pas d’autre.
Les gens lisent les chiffres des suicides, et sont contents de voir que sans armes, il y en a moins. Alors, ils sont sauvés, les gens ? Je donnerais un autre son de cloche : le pauvre se voit avalé par la rue, le vieux par la maison de retraite, le malade sans traitement par la déchéance physique, enfin, nul n’échappe plus à son sort annoncé qu’un corps à proximité d’un trou noir à la dévoration.
@ F68.10 | 17 novembre 2022 à 21:04
« Mais quoi qu’il en soit, les pays où la possession d’armes à feu est autorisée sont généralement des pays plus libres que ceux où les armes à feu sont prohibées. Ce qui tombe un peu sous le sens, en fait. »
Pays plus libres mais pas forcément plus sûrs dans la mesure où tous les malfrats peuvent disposer d’une arme à feu qui constitue un peu leur » outil de travail ».
La meilleure sécurité est encore la prudence :
– Munir toutes les entrées de sa maison de serrures trois points (votre assurance en tient compte quand il s’agit de vous indemniser).
– Installer une centrale d’alarme reliée en permanence à un centre de télésurveillance. Généralement les voleurs les évitent.
– Éviter d’aller faire du jogging seule, surtout quand on est une femme encore désirable. Une bombe lacrymogène dans la poche de son minishort moulant ne suffit pas toujours.
Reste les entrées d’immeuble occupées par des petits loubards qui deviennent vite agressifs quand un occupant des lieux veut les déloger.
Seule la police peut intervenir dans ce cas. Simple question de sécurité et même de bon sens.
À l’époque où il y avait encore des îlotiers, ce problème ne se posait pas…
Les Français ne sont pas coupables. Le sujet est vaste, tellement étendu qu’il devient vague surtout aux frontières du domaine de son applicabilité.
Dans une société française où la notion de culpabilité est galvaudée, il devient difficile de déterminer qui est innocent et qui est coupable.
De plus, comment définir un Français en 2021 ? On va dire que la carte d’identité suffit, même si le nom est espagnol. Vamonos ne sonne pas très français mais c’est légal.
Le sujet semble avoir dérivé vers la notion de légitimité de la défense, j’y reviendrai plus tard. Mais l’essentiel de mon commentaire portera sur les coupables de faits répréhensibles et sur leurs victimes.
Les escrocs, les vendeurs de drogue, les voleurs sont connus, ils sont impunis et récidivent avec la candeur béate de celui qui sait qu’il ne risque rien. En face de leur nouvelle victime ils ont les yeux du jeune marié en face de sa promise, sauf qu’ils ne vont pas lui payer une bague et une robe blanche pour qu’elle puisse se déguiser en meringue. Les délinquants puisent dans le patrimoine de la victime et mettent le fruit du larcin dans leur poche, dans leur sac ou sur leur compte en banque.
En admettant qu’une plainte soit déposée, déclarée recevable, qu’une procédure soit ouverte et diligentée, que risque le délinquant ? Il va peut-être se retrouver en face d’un juge (ou plus probablement d’une juge) qui va lui demander s’il a été malheureux dans sa jeunesse et si on lui a fait du mal. L’avocat répondra oui. Alors le juge, dans sa grande mansuétude fera promettre que le délinquant ne recommencera pas. Tout cela semblera bien finir avec un sursis assorti de mise à l’épreuve. Et puis le lendemain, le délinquant reprendra ses petites combines malsaines.
La victime, la vraie, qui a perdu son bien, vit dans la crainte de rencontrer le délinquant ou même dans la hantise qu’il tente une nouvelle escroquerie ou agression. Dans une société où la jalousie, la méchanceté sont omniprésentes, l’honnêteté est sans cesse remise en cause. Les gens sont culpabilisés, les signes extérieurs de richesse sont espionnés, taxés, volés.
Dans une société française déboussolée, on a même des gens qui ne savent plus s’ils sont des hommes ou des femmes. Mais le pire est de faire passer les coupables pour des victimes !
Techniquement parlant, la légitimité défense est jugée a posteriori. L’auteur de la défensive a-t-il agi en fonction de l’agression ? Comment proportionner les actes de défense d’une personne seule en face d’une bande d’une demi-douzaine de voyous ? Un petit malin répondra qu’il suffit d’appeler une demi-douzaine d’amis à la rescousse. C’est cela oui, en pleine nuit, le sang aura coulé depuis bien longtemps avant que les coups de téléphone n’aient été passés.
Tout cela est sans espoir, il n’y a plus qu’à refaire sa vie à l’étranger.
Voilà donc les auras emmêlés qui rêvent du monastère où nous aurions encore le droit de torturer et de répéter ad nauseam l’erreur ancestrale, plutôt que de chercher à pratiquer cette vertu générale qui comprend l’amour de tous.
Charge aux honnêtes de chercher à connaître leur propre nature aux fins de se guérir de leurs préjugés, laissant à ceux qui refusent de voir ce qui leur est montré continuer à s’ignorer eux-mêmes, s’ôtant en conséquence les raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois.
@ Patrice Charoulet
« Le Ku Klux Klan trouvait aussi que la justice ne faisait pas son boulot, en la trouvant trop molle et trop lente. On s’en persuadera en regardant l’excellent documentaire diffusé sur RMC Story récemment. »
Pas besoin d’aller si loin rechercher des coupables blancs, euh non, noirs, pour faire diversion et masquer la criminalité des non-blancs.
Chez nous, des KKK nous en avons plein les rues, les villes et les campagnes, mêmes méthodes : tabassages agressions lynchages viols égorgements décapitations tortures crimes coups de couteau de cutter sans modération ; ils ne peuvent plus pendre leurs victimes aux arbres, soulever un corps, lancer la corde, l’accrocher et faire un noeud coulant, c’est trop fatigant et puis il y a de moins en moins d’arbres et ça dépasserait les trente-cinq heures ; faudrait pas déranger les prudhommes pour si peu.
Nos Kebabs Kouskous Kefir ne portent pas des cagoules blanches comme les célèbres Mississipiens et Missouriens, mais noires pour cacher leur couleur tout aussi non-blanche, pas de chasubles mais des joggings noirs de chez Decathlon, pas de rangers mais des Nike, pas de ces affreuses fourgonnettes Ford qui sillonnaient le Sud des Zunis mais des SUV cinquante soupapes, un turbo par cylindre, achetées avec leurs zécounoumies.
Seules différences avec les ex-KKK blancs, les nôtres sont non-blancs, ce sont des hordes, meutes et bandes de Vikings arabo-africains surgis de l’océan méditerranéen qui savent qu’ici la justice ne fait pas son boulot, qu’elle est trop molle et trop lente et qu’elle est de leur côté, que les keufs se débinent dès qu’ils arrivent, qu’ils sont protégés par la gauchisserie des macroniens, des Nupes, les droits de l’homme, le défenseur des droits, les juges rouges gauchistes SM mur des cons, les assoçs antiraços, l’UE, l’ONU, les Woke, bref par toutes les lies des fanges gauchistes de la terre entière.
On s’en persuadera en regardant les excellents documentaires des crimes de nos KKK bien à nous, tournés dans toutes les rues du pays devant nos yeux et diffusés en boucle sur toutes les chaînes infos.
« Il ne faut pas avoir peur de cibler notre État de droit et d’accepter qu’au-delà de la révérence obligatoire qu’on lui manifeste, sa force, sa vigueur, ses richesses mais aussi ses limites soient questionnées. » (PB)
Dans une situation normale, c’est à dire dans une société sereine, apaisée, je pourrais souscrire à cette déclaration naturelle.
Oui mais voilà, nous sommes dans une situation anormale d’une société en recherche de sérénité présente et d’un avenir suffisamment prévisible pour qu’on puisse se projeter avec ses descendants.
Dans ces conditions, ce ne sont pas seulement les limites de d’État de droit qui doivent être questionnées, mais aussi et surtout sa légitimité. C’est à dire son adéquation avec le fonctionnement naturel d’une société souhaitant pérenniser sa façon de vivre, tout en la faisant évoluer.
Nous n’en sommes pas là.
L’État de droit présent a pour volonté affichée de changer la nature même de la société, par le passage obligé d’un État-nation à celui d’un État où le principe de nation est remplacé par celui de l’appartenance à une mondialisation ouverte.
Mondialisation ouverte non seulement à une finalité économique mais aussi culturelle dans une volonté d’effacement d’une culture enracinée au profit d’une culture artificielle sans passé au nom d’un humanisme égalitaire.
Ce que l’État de droit réalise jour après jour par ses attendus, c’est la disparition de ce qu’ont été les nations occidentales, le phénomène mortifère est commun à toutes ces nations, au profit d’une société qui se voudrait parfaitement égalitaire mais qui ne serait qu’anarchique, par la remise en cause perpétuelle des principes d’ordre, de hiérarchie et de mérite, pour le plus grand profit des minorités agissantes.
Un tel État de droit ne peut revendiquer le principe d’autorité immanent sous la forme de « révérence obligatoire ».
Au-delà de la manipulation par les médias serviles, il suffit de constater que personne n’accorde de révérence obligatoire à cet État de droit.
Les uns le refusent, par l’abstention, d’autres en le contournant si possible et même ceux qui en profitent ne rêvent que de le détruire une fois qu’il aura réussi à pourrir la société de l’intérieur.
Les micro-mouvements d’autodéfense personnels ou faiblement collectifs que l’on observe ne sont que la manifestation du refus catégorique de la mort programmée de notre société par l’État de droit tel qu’il est appliqué.
@ Claude Luçon | 17 novembre 2022 à 21:17
« Simplement utiliser leur droit à la légitime défense.
En outre rien n’empêche quelques citoyens de se regrouper pour arrêter le délinquant. L’arrestation citoyenne fait aussi partie de nos droits ! »
Cher Claude, vous semblez oublier que nous ne vivons pas dans un pays démocratique normal, mais sous un régime empilant de façon caricaturale des lois généralement inapplicables (les Chinois appellent la France fà guó, le pays de la loi).
Entre les droits garantis sur le papier et ceux reconnus en pratique, il y a une énorme marge, qui ne tient trop souvent qu’à l’humeur d’un magistrat syndiqué d’un certain côté qui réécrit les textes législatifs comme ça lui chante.
Avec la conséquence que des braves gens n’ayant fait de mal à personne qui ont eu le tort de croire toutes les calembredaines citées en boucle à propos des droits constitutionnels ont été incarcérés pour s’être conduits comme vous le préconisez.
@ Xavier NEBOUT | 17 novembre 2022 à 23:08
« En Arabie saoudite, on peut laisser les portes d’appartement ou de voiture ouvertes. »
Dingue ! Ça ne vous brancherait pas de déménager chez eux ?
Avez-vous quelques compétences de chameliers ou autres formations, dans le genre maniement du fouet, tranchage de membres et autres activités ludiques ?
Vous avez une réflexion d’une stupidité qui aveugle, et le fait que vous manquiez massivement de raison est captivant !
Il me semble, et je ne me trompe jamais quand il s’agit de découvrir qui a besoin de repos, que vous devriez immédiatement visiter ce beau pays dont vous vantez les mérites, emmenez-y votre épouse ou votre maîtresse, si vous ne disposez ni de l’une ni de l’autre (ce qui ne serait que justice !), vous trouverez sur place un tas de petites esclaves nubiles, ravissantes comme les roses d’Ispahan…
Sinon, il existe un monastère à Zografou, il accueille comme son nom l’indique en queue, les fous, fous de la folie même… Activité hautement spirituelle, remplie du néant des âmes folles…
Vous seriez inspiré de vous taire, vos propos sont d’une puanteur asphyxiante, et comme votre mantra vous y invite, soyez charitable, cachez-vous en Arabie saoudite, et vous deviendrez le huitième pilier de la sagesse, sept, ce n’est pas assez !
« À l’exception de quelques justiciers compulsifs qui se font une joie d’intervenir là où ils devraient s’abstenir, la plupart des citoyens concernés se mêlent avec regret et même crainte de ce qui les regarde : leur sauvegarde, celle de leur famille, le respect de leur tranquillité et de notre vivre-ensemble républicain, la préservation de leurs biens. » (PB)
Exactement (*).
Et ces citoyens ne sont en rien des émules d’un quelconque Zorro mais des pères de famille inquiets de la montée de l’insécurité dans leur quartier, parfois même dans l’entrée de leur immeuble quand des trafiquants en font leur centre de négoce, sans réponse nette et définitive des « pouvoirs publics » (?).
Au nom d’un monopole théorique de la force dévolu à une police de bonne volonté mais débordée, qui se contente d’enregistrer des litanies de mains courantes qui finiront à la poubelle, trop souvent les Français sont livrés pieds et mains liés à la racaille locale et d’importation sans seulement pouvoir se défendre alors qu’un minimum de sécurité n’est pas un luxe mais un dû.
Certains régimes prétendent avoir le monopole du commerce de nourriture, sauf que très souvent ils sont incapables de garantir un approvisionnement de la population.
Que peuvent donc alors faire les gens pour se nourrir et donc pour survivre, même s’ils ne cherchent pas à braver la loi, sinon être obligés de se débrouiller eux-mêmes, éventuellement de façon illégale ?
Il en va de même pour la sécurité. Si l’État est incapable de l’assurer pour diverses raisons, qu’il le dise et qu’il propose des solutions de concert avec les citoyens par un dialogue démocratique.
Ah, j’oubliais, ce régime n’aime pas beaucoup le peuple, ni la démocratie…
(*) Voici une réaction d’habitants de Lyon à partir de l’exemple du quartier de La Guillotière, ayant déjà fait l’objet d’un billet :
https://twitter.com/i/status/1584883647865315328
@ F68.10 | 17 novembre 2022 à 21:04
« Mais quoi qu’il en soit, les pays où la possession d’armes à feu est autorisée sont généralement des pays plus libres que ceux où les armes à feu sont prohibées. Ce qui tombe un peu sous le sens, en fait. »
Vous ne devez pas bien savoir ce que veut dire le mot « libre », sans quoi vous ne l’accoleriez pas avec autant de désinvolture à « possession d’armes à feu autorisée ».
Ce qui tombe sous le sens, c’est la complète, définitive, cécité des hommes.
Elle n’est pas feinte, ni passagère, ni psychologique, non elle est due à une profonde sottise, qui contrairement au QI, elle, est contagieuse.
Mais oui, la bêtise est contagieuse, l’intelligence pas tellement, ce constat me laisse rêveuse…
Donc, dans le monde armé jusqu’aux dents, monde composé essentiellement de conna*ds, j’aimerais beaucoup qu’un test de la vue soit effectué toutes les heures, afin que les épouses acariâtres, les amants inconséquents, ne soient pas victimes bêtement d’une erreur regrettable, et que le jardinier ne soit pas pris pour un sanglier, ni que l’écolière devienne, éclairée par un soleil trop vif, une biche.
En outre, dans ce meilleur des mondes, il serait bon que l’on mette une cible sur le dos des bandits, tueurs en séries, violeurs insatiables et autres ordures, car il va de soi que tous ces mauvais citoyens ou malotrus de tous les horizons ne doivent pas être confondus avec les voleurs en col blanc, les pédophiles patentés, les bourreaux domestiques, les incendiaires, les corrupteurs, profanateurs et autres criminels policés, qui pourraient succomber, en raison d’une vue basse, liée à une absence de cible. En effet, ce serait possiblement dangereux et peut-être même hors la loi !
P.-S. : un esprit dérangé qui rôde dans ma tête, me souffle qu’un éthylotest toutes les heures présenterait aussi quelque intérêt… Bof !
J’ai des inquiétudes également, relativement à toutes ces nouvelles maladies dégénératives et à ces comportements déviants découlant d’un choc post-traumatique… Je me demande si dans ce meilleur des mondes, je n’aurais pas la gâchette facile… Who knows ?
@ Exilé
@ Claude Luçon
Merci pour vos réponses.
Mais que faire dans le cas d’un logement squatté ?
Squatteurs, propriétaires, mêmes sanctions !
Actuellement, les squatteurs sont passibles d’un an de prison et de 15 000 € d’amende alors que les propriétaires risquent trois fois plus avec une amende de 45 000 € et 3 ans de prison.
Où est la justice ?!
Ce pays est de plus en plus déprimant.
Aucune lueur d’espoir.
La sécurité des Français est définitivement compromise !
Par-dessus le marché, ils n’ont pas le droit d’envisager de se défendre. Les moutons au piquet.
26 des 44 migrants mineurs pris en charge ont… fugué ! Ils viennent de prendre le large. Pied de nez à Darmanin.
Des centaines de fonctionnaires n’arrivent pas à surveiller 250 migrants tous au même endroit… Imaginez avec les dizaines de milliers de migrants dispersés sur tout le territoire… Ça en dit beaucoup sur la sécurité en France… Dormez tranquilles !
Quelle France ! Quand on pense que des fonctionnaires zélés contrôlaient nos attestations de sortie, pour ne pas dépasser la distance autorisée (1 km autour de son domicile), même pour faire sortir le chien avec un temps limité. De vrais « comiques » au pouvoir, pour ne pas dire autre chose ! À virer.
@ duvent | 18 novembre 2022 à 10:23
« Dingue ! Ça ne vous brancherait pas de déménager chez eux ?
Avez-vous quelques compétences de chameliers ou autres formations, dans le genre maniement du fouet, tranchage de membres et autres activités ludiques ?
Vous avez une réflexion d’une stupidité qui aveugle, et le fait que vous manquiez massivement de raison est captivant ! »
C’est là où je reconnais une spécialiste de la carburation et du moteur boxer. Ce matin nous sommes en train de changer des bougies NGK spéciales, les puits sont profonds mais nous avons les douilles longues qu’il faut.
L’escrime ne doit pas avoir non plus de secret pour vous. Pour ma part j’ai été chercher une rallonge. Les mécanos ritals sont très sophistiqués, on les adore.
Cher Philippe Bilger,
Dans ma contribution d’hier, je me suis réjoui de lire sous votre plume que la pensée progressiste nous empêchait de prendre en main notre destin. J’ajoutais que nous étions prisonniers de tous ces droits qui fleurissent en permanence.
La décision de la justice de remettre tous les clandestins* de l’Ocean Viking en liberté confirme que l’Etat a abandonné sa politique d’immigration aux juges et aux ONG immigrationnistes.
On découvre par ailleurs que ceux qui étaient à l’agonie en mer semblent avoir retrouvé la pleine forme pour jouer au foot et disparaître dans la nature.
Autre source de réjouissance, mais hors sujet, votre constat sur Twitter d’une droite qui disparaît une fois au pouvoir.
Au bout de 50 ans de ce phénomène immuable (avec Giscard, Chirac et Sarkozy), il est grand temps d’en tirer les leçons : en s’alliant au centre, la droite adopte inéluctablement la politique du centre.
Ce n’est que par une alliance à droite (ici le RN et R !) que la droite classique aura la force de résister à la conjugaison de notre surmoi progressiste, de notre générosité judéo-chrétienne, de la mainmise de la gauche sur les médias et la culture, du culte de la repentance, ainsi que de la politique immigrationniste et droit-de-l’hommiste de l’Europe.
Cette union à droite est la condition nécessaire, mais non suffisante, pour faire renaître l’espoir d’une victoire de la vraie droite, et partant du redressement d’un pays en voie de tiers-mondisation (lire l’excellent édito d’E. Lévy dans Causeur de novembre).
* Si l’on veut vraiment lutter contre l’immigration clandestine, il faut refuser le vocabulaire compassionnel de la gauche : un migrant n’est qu’un clandestin venu se servir à nos guichets d’aide sociale.
Pauvre Xavier Nebout !
Quelle raclée il vient de prendre ! Et administrée par une femme en plus !
De tout un peu cela me démangeait, les Français sont responsables.
La Une de Charlie sur Hanounanouilleslip vaut son pesant de pistaches, elle résume le dernier billet et commentaires de notre hôte, sur un cintré du bulbe qui engrange du pognon sur la bêtise.
Tant que Charlie publiera je me sentirai en sécurité.
Les Français sont des veaux, je ne sais pas à qui attribuer la phrase, rien n’est prouvé. Je viens de mettre en route ma chaudière gaz « Manille », elle est comme moi, elle a 40 ans et elle marche comme une montre suisse.
Du matos de l’époque, que du bonheur, elle consomme un peu plus, son rendement affiché et calculé par mes soins avoisine les 88 %, je garde comme tous ceux de ma génération l’amour du calcul et des faits vérifié par mes factures.
Certes les coquins d’aujourd’hui vous font valoir des rendements supérieurs à 100 % – c’est impossible ! – mais en bonnes canailles qu’ils sont, ils raisonnent sur le PCI pour nous faire avaler la récupération de calories sur les fumées à un prix de carbone pur.
Foi de pointeur-tireur appelé capable de démonter et remonter son canon.
Et de là j’ai envie de cracher sur ces saltimbanques de l’info que sont Brunet et Hammett. L’Ukraine crève de froid et ils ne font que relayer une info pusillanime sur le sort d’un missile en Pologne.
Par contre ils tronquent volontairement les déclarations des responsables US pour vendre souvent leur soupe rance.
Il faut lire dans le texte les vraies déclarations US, elles sont aux antipodes de la mayonnaise que touillent tous les soirs ces animateurs de variétés… Didier François comme modérateur… C’est le jeu, vendre, se vendre, lever les jupes mais les dessous sont peu ragoûtants.
Bon, bon… Ce que je dis n’apporte rien mais cela me fait plaisir de le dire et les Français sont des veaux et ces chroniqueurs de variétés se servent impunément du montage pour élever des montgolfières et au fond toujours d’actualité: « Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j’y trouverai de quoi le faire pendre. »
Si vous voulez être informés allez aux sources fiables pas au cirque, Hammett caquette, Brunet vend du fil à couper le beurre, il se dit aimer l’histoire il est digne des ouvrages de Pim Pam Poum, il est le Capitaine.
@ sylvain
« …ce sont des hordes, meutes et bandes de Vikings arabo-africains… »
Un peu de reggae viking ? Rien que pour vous ?
Hypothermiâââââ, cuba libre, midnight sun,
Summer fiesta at Ragnarök beach.
You were dancing, like a polar killer whale,
When your bloodthirsty eyes crossed with mine !
My Drakkar is ready won’t you get on board
While I proudly sail in the depths of your fjord.
When the storm is raging, and your booty is shaking
Hold my pole tight and you ain’t get no aching.
@ Exilé | 18 novembre 2022 à 09:52
Oui cher Exilé, j’en suis conscient !
Après 55 ans de vagabondage sur la Planète tout en faisant des visites régulières en France sans y résider, j’ai retrouvé mon pays changé, caractérisé par une expression que j’ignorais jusque-là, quand, au coeur du confinement, les gens se plaignaient de ne pouvoir :
« Faire la fête » !
Autrefois on disait « Faire SA fête ! »
Je pense ne pas avoir à vous en expliquer le sens.
C’était notre façon d’appliquer notre droit à la légitime défense.
Mais c’était l’époque de la Guerre des boutons !
Peut-être qu’avec la fin du service militaire, le pays ne nous demandant plus de nous battre pour lui, les citoyens en ont conclu qu’ils n’avaient plus besoin de se battre pour eux-mêmes ??
Pire, considérant qu’il appartenait maintenant au gouvernement d’assurer notre légitime défense !
Nous devrions remplacer l’ex-service militaire par le rugby obligatoire à l’école au moins de la 6e jusqu’au bac en en faisant une matière à coefficient 4 🙂
Si toutefois les coefficients existent toujours…
Depuis 1968, les sentiments (de gauche) semblent être le moyen de notation à l’école !
« Les Français ne sont pas coupables… » (PB)
Du moins pas tous.
Nous ne saurions en dire de même des hommes du Régime et de leurs satellites depuis quelques dizaines d’années.
Mais ceci est une autre histoire…
Je redis ici ce que j’ai déjà eu l’occasion d’écrire : aux États-Unis, il est très courant que des personnes ayant tué ou blessé un agresseur dans le cadre de la légitime défense ne soient même pas inquiétées. Pas de garde à vue, pas de mise en examen, rien.
La police arrive, fait ses constatations, enlève le cadavre, interroge les témoins (dont le tireur bien évidemment), reconnaît que la légitime défense était bien constituée, et dit à l’intéressé : bravo, bon travail, vous êtes libre d’aller et venir.
Contrairement à ce que suggère la déplorable expression française, cela ne signifie pas pour autant que ce soit « le Far West » (et si l’on pouvait cesser d’assimiler les films à la réalité, ce ne serait pas du luxe).
Si le tireur n’était pas en légitime défense, il risque alors de gros ennuis. Si vous êtes condamné pour meurtre, aux États-Unis, ce n’est pas un stage de poney avec permission de sortie. Ce sont des dizaines d’années de prison, voire la perpétuité réelle avec la mort derrière les barreaux.
Dans des agressions ou des cambriolages, la légitime défense peut être acquise ou non, selon les circonstances. Donc, porter légalement une arme à feu de défense n’est absolument pas une licence de faire n’importe quoi.
En fait, ceux qui font n’importe quoi, ce sont, le plus souvent, ceux qui détiennent des armes à feu illégalement. Qui sont bien souvent des délinquants d’habitude. Et, bien souvent, des Noirs.
@ Robert Marchenoir | 18 novembre 2022 à 17:22
La différence est que les Etats-Unis sont peuplés de citoyens fiers de l’être et le confirment en postant le drapeau national sur leurs pénates alors qu’en France l’Hexagone est peuplée de bisounours qui n’arrêtent pas de se plaindre d’être, peut-être, Français et sont un tantinet confus sur l’utilisation du drapeau national au point de vouloir mettre le drapeau LGBT comme brassard du capitaine de l’équipe nationale de football de France !
Il est vrai que lorsqu’on a des Mélenchon, Zemmour, Valls, Hidalgo, Martinez et autres comme leaders politiques, on a le droit de se poser des questions sur la nature de la nation !
Au train où vont les choses en France, l’emblème national va passer du coq tricolore au caméléon à couleurs variables !
Concernant la détention d’armes aux USA, stop à la désinformation et au bourrage de crâne tendant uniquement à tromper l’opinion et à véhiculer des préjugés sociaux ou raciaux qui sont démentis par les faits :
https://start.lesechos.fr/societe/engagement-societal/qui-sont-les-30-damericains-proprietaires-dune-arme-a-feu-1176340
@ Achille
« À l’époque où il y avait encore des îlotiers, ce problème ne se posait pas… »
Vous n’avez manifestement pas dû rencontrer beaucoup d’îlotiers dans votre bled où seule la gendarmerie était compétente ! Comme quoi l’ignorance des vrais problèmes et situations, en plus de la fréquentation de forums orientés et partisans, peut faire croire à beaucoup d’âneries… Ce en quoi on reconnaît le bon petit socialiste fidèle à ses sources : les îlotiers fraternisant avec la racaille des cités serait donc, selon vous, la solution ? Et l’accession des ADS et autres cadets sans diplôme l’avenir d’une police proche des délinquants de tout poil !
Au détriment des innombrables policiers ayant passé, eux, des concours difficiles et suivi des formations en écoles de police. S’étant fadés ensuite des milliers d’heures jour et nuit à faire un travail ingrat et de moins en moins reconnu. N’auraient-ils donc plus qu’à aller se faire voir et laisser la place à vos petits protégés, tellement plus en phase avec la caillera, ce qui se comprend ?
Mais qu’est-ce que c’est que ces nouvelles conner*** ?
@ Axelle D | 18 novembre 2022 à 19:37
« Vous n’avez manifestement pas dû rencontrer beaucoup d’îlotiers dans votre bled… »
Quoi mon bled ? Qu’est-ce qu’il a mon bled ? Ici tout le monde se connaît, se dit bonjour, quand on se retrouve à la boulangerie le matin ou quand on se croise dans la rue. C’est quand même autre chose que la vie parisienne où les gens ne connaissent même pas leur voisin de palier.
« Comme quoi l’ignorance des vrais problèmes et situations, en plus de la fréquentation de forums orientés et partisans, peut faire croire à beaucoup d’âneries… »
Le seul forum que je fréquente est celui-ci. En fait il s’agit plus exactement d’un blog, mais vu les innombrables digressions de ses contributeurs, il ressemble plus à un forum « orienté et partisan ». Je vous concède volontiers qu’on peut y lire beaucoup d’âneries. Les plus grosses étant surtout le fait de personnes qui prétendent tout savoir mieux que les autres, si vous voyez de qui je veux parler… 🙂
Dans le cadre des marronniers habituels, à quelques encablures de la Coupe du monde de foot, l’inévitable reportage des expatriés à Doha.
La pintade ciblée de service expliquait au reporter « qu’elle pouvait sortir le jour et la nuit en toute sécurité, pas comme en France… », c’est pas faux mais le reporter aurait pu lui rappeler les propos tenus ici:
« Avez-vous quelques compétences de chameliers ou autres formations, dans le genre maniement du fouet, tranchage de membres et autres activités ludiques ?
Vous avez une réflexion d’une stupidité qui aveugle, et le fait que vous manquiez massivement de raison est captivant ! » (duvent).
On peut se demander dans quel monde elle pouvait bien évoluer sur place, cette expatriée, elle ne devait pas croiser beaucoup de ses voisines de palier et boire un coup sans entrave avec elle, ou voyager seule avec cette dernière:
https://www.terrafemina.com/article/qatar-les-femmes-confinees-a-vie-au-pays-organisateur-de-la-coupe-du-monde_a357633/1
En voix off, le journaliste précisait qu’elle avait travaillé pour une grande entreprise de BTP… Au passage il aurait pu lui glisser qu’elle devait être au courant que les esclaves des chantiers étaient morts par milliers. Bon, là j’en fais un peu trop.
Le reportage sentait bon la guimauve, et la fleur d’oranger, la preuve ! même le boulanger expatrié estimait que ce pays avait appris de ses erreurs:
https://www.amnesty.org/fr/latest/press-release/2021/04/death-penalty-2020-middle-east-and-north-africa-dominates-list-of-worlds-top-executioners/
Ainsi tout va bien, le journaliste a bien fait son boulot, il dormira comme un bébé, la pelouse est souple, il y a sans doute tâté, la température idéale pour taper dans un ballon, applaudir, chanter, les rêves et les souvenirs seront merveilleux, il a toujours rêvé d’être footballeur.
@ Axelle D | 18 novembre 2022 à 18:31
« Concernant la détention d’armes aux USA, stop à la désinformation et au bourrage de crâne tendant uniquement à tromper l’opinion et à véhiculer des préjugés sociaux ou raciaux qui sont démentis par les faits : https://start.lesechos.fr/societe/engagement-societal/qui-sont-les-30-damericains-proprietaires-dune-arme-a-feu-1176340 »
La désinformation et le bourrage de crâne proviennent de votre côté. Rien, dans le sondage que vous indiquez, ne vient démentir ce que j’ai écrit et que je répète, puisque visiblement ça vous dérange : « Ceux qui font n’importe quoi, ce sont, le plus souvent, ceux qui détiennent des armes à feu illégalement. Qui sont bien souvent des délinquants d’habitude. Et, bien souvent, des Noirs. »
Si vous voulez tenter de me contredire avec les excellents travaux de Pew Research, il faudrait d’abord que vous appreniez à lire un sondage. Au passage, je vous conseille de vous référer à l’original : le journaliste des Échos qui a fait la traduction confond pistolet et revolver. Heureusement que vous êtes une spécialiste des armes…
@ Axelle D
« Concernant la détention d’armes aux USA, stop à la désinformation et au bourrage de crâne tendant uniquement à tromper l’opinion et à véhiculer des préjugés sociaux ou raciaux qui sont démentis par les faits… »
Mouais. Pas vraiment. Les propos de Robert Marchenoir au sujet de l’illégalité du port d’armes et du statut ethnique semblent être corroborés par les données disponibles:
« Par exemple, il existe des éléments probants à l’appui de l’affirmation selon laquelle les armes à feux illégalement obtenues pourraient être substantiellement plus prévalentes dans les homicides à victimes noires que dans les homicides à victimes blanches, en particulier en ce qui concerne les crimes dans les rues de zones urbaines. Le reporter Jill Leovy du Los Angeles Times, dans une étude méticuleuse des crimes de rue à Los Angeles, documenta que la plupart des homicides par arme à feu à victimes noires furent commis avec une arme à feu obtenue illégalement. Dans une étude similaire conduite à Chicago, Kamm rapporta que presque 98 pour cent des armes impliquées dans des meurtres, la plupart utilisées contre des Noirs, furent obtenues illégalement. Ces résultats corroborent de précédentes analyses de données traçant l’origine des armes à feu, qui indiquent que les homicides juvéniles à Boston furent commis presque exclusivement au moyen d’armes à feu obtenues illégalement. En conséquence de quoi, la plupart des lois sur les armes à feu sur lesquelles intervenir – lois qui régulent la vente légale des armes à feu – peuvent s’avérer non pertinentes si le but en est de réduire la proportion considérable d’homicides d’américains d’origine africaine. La sociologue Jennifer Carlson, de l’université de Toronto, affirme qu' »il est naïf et dangereux de s’imaginer que des politiques publiques de contrôle des armes à feu profitent nécessairement aux habitants de zones à haute criminalité et densément dotées d’armes à feu, comme Detroit, où les temps de réaction de la police sont excessivement longs et où la régulation des armes à feu peut, au final, si facilement être instrumentalisée afin de criminaliser encore davantage les minorités. » » — La régulation des armes à feu, un autre point d’achoppement de la question raciale, 20.06.2016, Michael Siegel, professeur en santé communautaire à l’université de Boston.
Bref. Si vous souhaitez que des personnes comme moi cessent d’enfoncer le clou pour soutenir Robert Marchenoir quand il affirme des choses vraies que vous ne contredisez, semble-t-il, que par principe, eh bien, essayez de le contredire en affirmant des choses vraies plutôt que des choses fausses.
Cela m’évitera de passer pour le gros méchant qui tient des propos racistes sous le vicieux prétexte de rétablir la vérité.
Car ce sont bien les armes illégales qui sont en jeu dans les zones où la criminalité ainsi que les victimes sont noires.
@ F68.10 | 19 novembre 2022 à 00:08
À force de vouloir venir au secours de votre mentor avec votre histoire d’armes illégales vous en devenez ridicule ! Parce qu’il serait plus acceptable selon vous de zigouiller quelqu’un avec une arme légale ?
On voit bien dans les commentaires à quelle dérive peut mener le désengagement de l’État, aboutissant évidemment à la conclusion simpliste des racialistes de service qui, toujours, aboutissent à la conclusion que leur idéologie fallacieuse impose à l’interprétation des statistiques, interprétation qui rajoute au désordre quand il n’y a plus que la transgression pour répondre à la transgression.
Le brouillard de la zone grise des temps risque de tourner à la nuit noire de la violence généralisée, et les nababs de la Silicon Valley rejoignent les mafieux russes pour imposer la brutalité de leur clan, les uns au nom de la liberté, les autres au nom d’un rétablissement d’une autorité tyrannique, complice chacun en leur volonté d’ôter le droit à l’État pour mieux exercer une domination sans partage qui assassine la démocratie.
Certaines statistiques mettent clairement en exergue la corrélation de la criminalité avec l’accès à l’éducation et donc la nécessité d’une protection sociale permettant l’édification des catégories défavorisées, il est donc indispensable de répéter qu’il n’y aura d’État équilibré dans l’expression de son pouvoir régalien, que par la prise de conscience généralisée de l’impérieuse nécessité d’une justice sociale qui ne concerne de loin pas que la sécurité, si nous ne voulons pas laisser à Poutine ou à Musk ou Thiel le soin de se réserver l’usage de la force, à Bolloré ou à Mélenchon le soin d’en détruire l’expression en envoyant au front des Boyard ou des Hanouna qui ne témoignent que de leur manque d’éducation, ceci à des fins archaïques de domination.
Il n’y a qu’une loi, celle qui fortifie la justice, combien de fois faudra-t-il le répéter face à ceux qui justifient la force, il est l’heure d’une protection sociale mondialisée si nous ne voulons pas retourner à la si divertissante et si pourvoyeuse d’audience tuerie de masse généralisée.
J’ai comme l’impression de me répéter:
Y’a di bolo, boco, boco d’bolo !
Les Français sont surtout coupables d’avoir voté et revoté pour un gouvernement dangereux qui bafoue allègrement l’Etat de droit en important ad nauseam des milliers de criminels migrants qui courent dans les rues en toute impunité. Leur dernier crime : celui de Lola, massacrée par une OQTF non exécutée. Avec une arrogance et un cynisme épouvantable, le pouvoir accuse le RN de vouloir laisser mourir les migrants illégaux clandestins, en omettant qu’eux mêmes ont laissé Lola, après d’autres milliers de citoyens, se faire torturer et assassiner.
Nous sommes même en voie de dépasser les Etats-Unis gangrenés par une criminalité noire de plus en plus violente envers les Blancs, tous les vrais rapports l’affirment et le prouvent : les USA sont devenus un pays de détraqués sexuels LGBT, avec le wokisme, dictature culturelle régnant en maître et imposant ses règles diaboliques.
En France, nous empruntons le même chemin, notre Constitution, nos lois et cet horrible État de droit, favorisent une criminalité d’État envers son peuple, de même que les Noirs en Amérique sont champions de crimes toutes catégories contre les Blancs, chez nous une autre espèce s’est arrogé un État de droit, celui de continuer à massacrer des citoyens français blancs de souche en toute impunité, encouragés par le pouvoir macronien aux ordres de cette mafia UE ONG passeurs trafiquants d’esclaves.
Mais notre peuple mérite son sort funeste, il l’a voulu, désiré, appelé de ses voeux.
En attendant, Darmanin continue son long chemin de croix d’humiliations, camouflets cinglants, baffes et fessées magistrales. Dernière représentation à Toulon, un théâtre-bouffe que les migrants eux-mêmes ont applaudi à tout rompre. Meloni doit bien rire en assistant à ce spectacle ubuesque ridicule. Ne parlons pas de Zemmour qui doit être aux anges ; et moi donc.
Une lueur d’espoir se profile à l’horizon : nous allons faire un moratoire concernant l’immigration ! Youpi ! Champagne pour tout le monde ! Quand on sait qu’un horizon a fâcheusement tendance à s’éloigner chaque fois qu’on s’approche de lui, la taille n’est pas belle.
De bonnes parties de rigolade en perspective, il faut garder Darmanul, c’est le meilleur comédien que la France aura connu.
@ Achille | 18 novembre 2022 à 18:46
« Je considère simplement que personne dans l’opposition n’est en mesure de le remplacer aujourd’hui. »
On a vu ce que sont devenus ceux qui prétendaient être « les seuls à pouvoir battre Macron ». Ils ont mordu la poussière d’une façon pitoyable.
Bravo Achille pour cette analyse niveau cabinet médical ! 🙂 mais je connais votre humour provoc, c’est un peu ma muse qui m’amuse quand je suis en panne d’idées.
En effet personne ni à gauche ni à droite n’est en mesure de faire pire que votre pote Macron : rabaisser la France à un niveau de tiers-monde coupe-gorge islamiste, asile psychiatrique à ciel ouvert, aux records et taux de criminalité jamais atteints dans l’histoire de notre pays envahi par toute la racaille du monde ; détruire toutes les institutions, police, justice, administrations, Education nationale, wokiser genrer LGBTiser le peuple par la force de la propagande, des menaces médiatiques et judiciaires, notre Hercule de foire Macronéron a réussi à faire de la France une vaste écurie d’Augias où tous les déchets sociaux et sociétaux du monde croupissent en toute liberté de nuisance criminelle. Bravo l’artiste !
Quant à ceux qui se prétendaient les seuls à pouvoir battre Macronescu, ce dernier et son armada hyperpuissante, UE mafia, wokisme, presse larbin toutou soumise aux ordres et cabinets noirs leur ont fait mordre la poussière avec brutalité, machiavélisme, sadisme et une violence médiatique propagandiste inouïe ; des opposants poids plumes insignifiants face aux inquisiteurs hypers lourds de la royauté totalitaire macronienne.
@ Axelle D
« À force de vouloir venir au secours de votre mentor avec votre histoire d’armes illégales vous en devenez ridicule ! Parce qu’il serait plus acceptable selon vous de zigouiller quelqu’un avec une arme légale ? »
Plus acceptable ? En tout cas, c’est quand même plus pratique, une arme à feu, pour zigouiller, vous ne croyez pas ? Ou même pour des prises d’otage, entre nous. Comme le dit George Clooney dans un de ses excellents films: « Règle n° 3: n’essayez jamais de jouer les filles de l’air parce que là-dedans j’ai six petites copines et elles courent toutes plus vite que vous. » Donc: plus pratique ? Oui, absolument. Plus acceptable ? Entre nous, bof bof…
Mais Monsieur Marchenoir n’est pas mon mentor. J’ai diverses références intellectuelles que je cite à l’occasion sur ce blog, comme Emmanuel Levinas (avec qui j’ai aussi nombre de substantiels désaccords) mais, non, je n’ai pas de mentor.
Les seules personnes que je pourrais considérer comme mes mentors, ce sont Yves Laszlo, ancien directeur des études de Polytechnique, qui me bluffa avec le lemme de Nakayama et son traitement schématique des anneaux locaux, ainsi que Zoé Chatzidakis, directrice de la recherche à Ulm, qui me bluffa avec la rationalité des séries de Poincaré et qui m’humilia sur mes erreurs en théorie de Galois appliquée à l’arithmétique de Presburger. Entre autres… D’autres personnes furent cruciales dans ma formation intellectuelle, et je leur en suis redevable, mais le terme de mentor ne serait pas exactement adapté.
Ces gens-là sont mes mentors. Pas Robert Marchenoir.
Le problème, Madame, c’est que si vous racontez des âneries sur les armes à feu, il convient bien, oui, de vous corriger. Ce que j’ai fait sur la bases d’éléments sourcés. Peu importe que cela vous chiffonne.
Maintenant, je vais vous résumer ma position sur les armes à feu: 1. une société armée, comme l’Helvétie, oui, défend sa liberté en étant armée 2. je suis pour une armée de milice obligatoire en France 3. je suis contre la libéralisation des armes à feu à la mode tchèque en France car le contexte ne s’y prête absolument pas 4. l’existence de 2/3 d’armes à feu illégales en France est un énorme problème. Et doit être traité.
Maintenant, la question de la morale du meurtre est essentiellement disjointe de celle de la légalité des armes à feu. Tuer Hitler avec une arme à feu légale ou illégale ? Entre nous, je m’en moque un peu.
Mais, oui, la légalité des armes à feu dans une société importe. Les armes à feu, si on les autorise, doivent absolument se placer dans un régime légal. Oui, Madame.
L’Helvétie a des lois parmi les plus souples en matière de port d’armes. Hormis quelques incidents regrettables, comme le carton plein que fit Friedrich Leibacher en dégommant 32 membres du parlement de Zoug en 2001, ou lorsque bobonne prend à l’occasion un pruneau pour impulsivement la punir de mœurs sexuelles trop libres, la Suisse est un pays paisible, où les armes légales ne sont pas responsables des problèmes d’insécurité. Vous feriez beaucoup mieux, en lieu en place d’ergoter sur les armes à feu, de commencer à vous soucier très sérieusement des propos de Laure Beccuau:
« L’infiltration de nos sociétés par les réseaux criminels dépasse toutes les fictions. » — Laure Beccuau
Et, face aux mafias, il convient de ne pas rester otages de réflexes moraux inadaptés à la situation qu’elles imposent. Les pudeurs de gazelles face à ces gens, y compris sur les armes à feu, sont déplacées. Et ce n’est pas le régime légal des armes à feu qui inhibe ces gens.
À lire les commentaires cher hôte, me revient systématiquement ce bon mot du cher Oscar Wilde :
« I think that God, in creating man, somewhat overestimated his ability. »
Le port d’armes en Suisse est dû à la situation particulière de l’armée de milice, le fait de posséder une arme est accompagné de l’interdiction de circuler avec, je ne conseille à personne de se faire attraper dans le civil avec une arme, à feu ou autre, même avec un poing américain, la sanction est sévère :
« Armes interdites par ex. arme à feu semi-automatique munie d’un magasin de grande capacité, arme à feu automatique, appareil à électrochocs, poignard, couteau à ouverture assistée, couteau papillon, coup de poing américain. »
https://www.ch.ch/fr/securite-et-droit/posseder-une-arme-en-suisse/#quelle-autorisation-pour-quelle-arme
Selon les circonstances, même une poêle à frire ou un rouleau à pâtisserie peuvent être considérés comme des objets dangereux, nom de bleu, vous vous croyez où, c’est la Suisse, ici, on est pas des Ricains !
« Au pays de l’emmental, il y aurait 3,4 millions d’armes à feu, ce qui signifie que presque 1 citoyen sur 2 possède une arme chez lui, cependant il lui est interdit de circuler avec.
La raison de cette proportion n’est pas un goût prononcé pour les armes, c’est parce que chaque citoyen peut être appelé pour défendre son pays car le pays ne possède pas d’armée à proprement parler, mais une milice. « L’écrasante majorité des personnes armées en Suisse sont des militaires actifs ou sont rattachées à l’armée, en dehors de ces deux catégories, c’est beaucoup plus rare. S’armer pour protéger sa famille est, par exemple, presque inexistant » précise le criminologue Martin Killias.
Le revers de la médaille de ce charmant pays civilisé et patriotique est qu’il possède le taux de suicides par arme à feu l’un des plus élevés d’Europe. »
https://www.readytogo.fr/blog/le-port-darmes-a-feu-dans-le-monde
@ Aliocha | 19 novembre 2022 à 14:1
« Le revers de la médaille de ce charmant pays civilisé et patriotique est qu’il possède le taux de suicides par arme à feu l’un des plus élevés d’Europe. »
https://www.readytogo.fr/blog/le-port-darmes-a-feu-dans-le-monde
Chez nous, pays plus du tout charmant, plus du tout civilisé, plus du tout patriote, nous possédons un taux de « suicideurs » arabo-africains impressionnant, le plus élevé d’Europe, les coups de couteau suffisent.
http// ? Pas besoin, y a qu’à regarder autour de nous, sur les chaînes infos et surtout écouter Zemmour.
@ sylvain
Eh oui, taux de suicide élevé et, à l’époque, premier taux d’héroïnomanes au monde, la Suisse n’est pas le paradis qu’on croit, la démocratie a des exigences qui ne devraient pas céder aux facilités dont vous nous démontrez ad nauseam en quelle impasse nous conduisent les populistes, qui est aussi une forme de suicide ou de toxicomanie.
À ne pas savoir ainsi vous-même vous gouverner, vous n’obtiendrez jamais meilleure gouvernance et creusez l’ornière en laquelle nous sommes tous enlisés.
« On ne peut plus laisser l’État de droit paradoxalement nuire à la Justice et étouffer le bon sens sous son byzantinisme. »
Cher Philippe Bilger,
Vous parlez d’or, et le naufrage judiciaire et administratif de l’Ocean Viking vient illustrer de façon éclatante ce constat.
Dans cette histoire, la France a été ridiculisée et c’est le Père Ubu qui a gagné par chaos total. Par ailleurs, quand on apprend par le Figaro que les clandestins ont droit à une réduction de 50 % sur le pass Navigo, on se dit que c’est bien le Père Ubu qui dirige ce pays.
Un mot encore pour saluer votre message Tiktok de ce samedi : comme le centre est passé à gauche, il est bien évident qu’il serait suicidaire pour la droite de s’y allier. Mais comme on ne gagne pas seul, avec qui LR doit-il alors s’allier pour espérer l’emporter ? Vous connaissez ma réponse : Zemmour l’a aussi rappelée ce samedi soir sur Cnews.
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/insecurite-une-association-depose-un-recours-aupres-du-ministere-de-l-interieur-pour-inaction-20221119
« L’article 111-1 du code de sécurité intérieure établit ainsi que «la sécurité est un droit fondamental et l’une des conditions de l’exercice des libertés individuelles et collectives. L’État a le devoir d’assurer la sécurité en veillant, sur l’ensemble du territoire de la République, à la défense des institutions et des intérêts nationaux, au respect des lois, au maintien de la paix et de l’ordre publics, à la protection des personnes et des biens». »
@ Florestan68 | 19 novembre 2022 à 23:40
« Vous parlez d’or, et le naufrage judiciaire et administratif de l’Ocean Viking vient illustrer de façon éclatante ce constat. »
Il ne s’agit pas de naufrage, mais tout simplement d’un problème de procédure.
Il y a des lois internationales sur les conditions d’expulsion des migrants et quand on est au pouvoir il faut les respecter.
Le problème est le même pour tous les pays où des migrants débarquent illégalement.
Il se trouve que les personnes chargées de traiter les dossiers des passagers de l’Ocean Viking n’ont pas disposé du temps nécessaire pour faire ce travail.
Il convient donc de revoir complètement les modalités de traitement des migrants au niveau international.
Il ne s’agit pas d’un problème franco-français ainsi que certains médias et politiciens de l’opposition veulent nous le faire accroire.
@ Exilé | 20 novembre 2022 à 10:16
Il se dit que l’Institut pour la Justice (IPJ), dont l’action fait l’objet de l’article du « Figaro », est proche d’Eric Zemmour. L’association ne le reconnaît pas, mais ne le dément pas… et nombre de ses « experts associés » sont classés plutôt à la droite de la droite. Zemmour, pour sa part, hier encore sur CNews, a dénoncé, pour le dire vite, « la République des juges ». Il n’est pas interdit de l’approuver quand, dans un entretien publié par « Le Monde » du 19 novembre, Didier-Roland Tabuteau, vice-président du Conseil d’Etat, déclare : « Le juge administratif devient le juge de la crédibilité de l’action publique et non plus seulement de sa réalité, pour vérifier si la trajectoire prévue est bien respectée et donc si les actions menées sont crédibles pour atteindre un objectif fixé dans le cadre d’une trajectoire ».
Et moi qui croyais que le contrôle de l’action du gouvernement était une mission des membres du Parlement, élus par les citoyens français. Eh bien non ! Une caste de hauts fonctionnaires nommés sur concours ou « au tour extérieur » – entendre : sur des critères politiques – leur dispute désormais ce contrôle politique, qui, pourtant, ne figure pas explicitement dans la mission du Conseil d’Etat. Une caste qui, chargée de protéger le citoyen face à l’administration, fait le choix de se substituer à ses représentants…
Ce propos de Didier-Roland Tabuteau a déjà été illustré en juillet 2021, lorsque le Conseil d’Etat a condamné le gouvernement pour « inaction climatique ». Ce qui se prépare cette fois est plus grave encore. Si le ministère de l’Intérieur ne donne pas suite au recours de l’IPJ qui exige que l’Etat remplisse ses obligations en matière de sécurité – ce qui est probable -, le Conseil d’Etat sera saisi par l’association et émettra donc un jugement sur un dossier, cette fois régalien ! Voilà de quoi réellement s’inquiéter…
En avril 2014, rompant avec sa tradition d’organiser des pétitions citoyennes, ce même IPJ avait déposé une requête au Conseil d’Etat contre la circulaire de politique pénale de Taubira. Sa demande avait été rejetée… Mais la déclaration ci-dessus du vice-président de cette institution montre que les temps ont changé…
Pour être complet, j’avoue que je comprends mal la décision de l’IPJ de lancer cette procédure qui risque de déboucher, certes sur une condamnation de l’Etat, mais aussi sur une renforcement de « la République des juges », pourtant combattue plus que fermement par ses amis politiques. Pour obtenir une victoire essentiellement morale, l’IPJ doit-il subsidiairement reconnaître le bien-fondé en droit de cette mission de contrôle de l’action gouvernementale dont s’est emparé le Conseil d’Etat ?
@ Achille | 20 novembre 2022 à 10:46
« Il y a des lois internationales… »
…que nous sommes quelques millions à appeler par leur vrai nom : les ukases de la CEDH. Inutile de se mettre à genoux devant elle pour la prier de bien vouloir les modifier : elle est déconnectée du monde réel.
La solution est franco-française : décider le retrait de la France de cette machine infernale gangrénée par l’humanitarisme ou, a minima, s’asseoir sur ceux de ses avis qui sont contraires aux intérêts primordiaux de notre nation. Éradiquer l’immigration clandestine et réduire et maîtriser l’immigration dite « légale » sont aujourd’hui au premier rang de ceux-ci.
Une consultation du peuple par référendum bousculerait le bel édifice échafaudé pour rendre difficile de quitter ce « machin ». Question posée aux électeurs : êtes-vous favorable ou opposé à une modification de la Constitution afin de soumettre toute application de normes internationales dans notre droit au vote préalable d’une loi nationale ? Dans ce cas, qui oserait prendre des sanctions contre la France ? À noter que depuis toujours, la Grande-Bretagne, qui, comme la France, est membre du Conseil de l’Europe, applique cette règle.
Quant à l’affaire Ocean Viking, vous avez raison, ce n’est pas un naufrage, c’est un incendie volontaire qui s’achève par la déconfiture du pyromane.
@ Serge HIREL | 21 novembre 2022 à 01:57
« ll y a des lois internationales(…)que nous sommes quelques millions à appeler par leur vrai nom : les ukases de la CEDH. Inutile de se mettre à genoux devant elle pour la prier de bien vouloir les modifier : elle est déconnectée du monde réel. »
Eh oui, nous sommes 67 millions de Français, mais il y a quand même huit milliards d’étrangers, ainsi que le faisait remarquer Coluche (chiffres réactualisés).
Et encore parmi les 67 millions, combien peuvent se targuer d’être Français d’origine contrôlée ? La moitié tout au plus, les autres, si l’on en croit leur nom, proviennent d’Italie, d’Espagne, du Portugal, de Pologne et, bien sûr aussi de nos anciennes colonies, surtout du Maghreb.
Notre problème provient sans doute du fait que nous serions le pays des droits de l’Homme et du citoyen , ce qui est faux car la conception des droits de l’homme en tant que tels serait contemporaine du Bill of right de 1689, qui parachève la révolution anglaise de 1688 en mettant fin à l’absolutisme royal.
« La Déclaration d’indépendance américaine, qui elle-même reprend une partie du Bill of rights de l’Etat de Virginie promulgué en 1776, est la première Déclaration des droits de l’homme (sic).
Mais qu’importe, dans le contexte actuel, il faut bien un responsable à ce déferlement de migrants venus de pays en guerre, ou de dictatures sanguinaires, sans oublier les migrants climatiques qui se pointent à l’horizon. Et bien sûr qui mieux que la France peut servir de bouc émissaire ? Ce pays arrogant qui ose donner des leçons d’humanité au monde entier…
Et ne me dites pas que cela date du temps où Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir. Ce serait trop facile !
@ Serge HIREL | 20 novembre 2022 à 17:24
« Pour obtenir une victoire essentiellement morale, l’IPJ doit-il subsidiairement reconnaître le bien-fondé en droit de cette mission de contrôle de l’action gouvernementale dont s’est emparé le Conseil d’État ? »
Je reconnais le bien-fondé de plusieurs points de votre argumentation, notamment en ce qui concerne le risque de tomber dans une « République des juges », mais puisque le Parlement ne fait pas son travail en matière de contrôle de l’action gouvernementale (d’ailleurs une fiction juridique puisque chacun sait que le gouvernement n’est en fait que le fantoche de M. Macron), que peuvent faire en pratique les citoyens refusant de faire appel à la violence de la rue pour tenter d’éviter à notre pays de tomber dans le chaos sinon de poser publiquement et directement les bonnes questions à qui de droit, du moins en théorie ?
Y a-t-il un ministre de la Justice en poste à ce jour ?
Je me pose la question puisque nous ne l’entendons plus.
@ Achille | 21 novembre 2022 à 11:29
« …ainsi que le faisait remarquer Coluche »
Bien sûr, si vous appelez Saint-Coluche PPN à votre rescousse, le débat est clos. Il ne reste plus qu’à tirer l’échelle… Toutefois, avant d’en arriver à cette extrémité, permettez-moi de vous faire remarquer que, si le problème de l’immigration n’est pas nouveau, le président actuel l’a particulièrement aggravé. N’a-t-il pas ces jours-ci réussi deux premières coup sur coup : l’accueil dans un port français du premier bateau dit « humanitaire », transportant exclusivement des migrants illégaux et leur disparition, elle, légale, à la barbe des forces de l’ordre et sous l’œil des caméras, donc du monde entier. Avec, en prime, des injures adressées à nos amis italiens… Chapeau l’artiste !
@ Serge HIREL | 22 novembre 2022 à 02:19
« N’a-t-il pas ces jours-ci réussi deux premières coup sur coup : l’accueil dans un port français du premier bateau dit « humanitaire », transportant exclusivement des migrants illégaux et leur disparition, elle, légale, à la barbe des forces de l’ordre et sous l’œil des caméras, donc du monde entier. Avec, en prime, des injures adressées à nos amis italiens… Chapeau l’artiste ! »
Il semblerait que ces migrants, mineurs et accompagnateurs, se soient dirigés vers l’Allemagne et la Suède pour rejoindre de la famille. Donc la France sera quitte de les héberger.
Souhaitons-leur bonne chance. Vu le pataquès de cette affaire de l’Ocean Viking, je pense que maintenant les migrants clandestins de tous les horizons auront compris que la France n’est plus une terre d’asile.
@ breizmabro | 21 novembre 2022 à 17:19
« Y a-t-il un ministre de la Justice en poste à ce jour ?
Je me pose la question puisque nous ne l’entendons plus. »
Depuis que je n’arrête pas de dire que ce sinistre EDM est le ministre des criminels et qu’il a du sang de Lola sur les mains, ce qui est vrai et non pas des insultes, il est rongé par le remords.
Mais il n’est pas seul, toute cette macronie n’est plus qu’un gang mafieux esclavagiste importateur de migrants criminels, ce qui est vrai aussi et non pas des insultes.
@ Achille | 22 novembre 2022 à 10:00
« Il semblerait que ces migrants, mineurs et accompagnateurs, se soient dirigés vers l’Allemagne et la Suède pour rejoindre de la famille. Donc la France sera quitte de les héberger. »
Belle mentalité ! Balançons dans le jardin du voisin l’ivraie qui envahit le nôtre… et continuons à nous admirer beaux et propres dans le miroir.
« Souhaitons-leur bonne chance. »
Pour quelle raison ? Par charité chrétienne ? Pour ma part, je souhaite aux Allemands et aux Suédois que leurs gouvernements soient plus habiles que le nôtre pour se débarrasser au plus vite du fardeau.
« Je pense que maintenant les migrants clandestins de tous les horizons auront compris que la France n’est plus une terre d’asile. »
C’est de l’humour au troisième degré ? Sinon, vous pensez mal… Pire, vous êtes aveugle… Ou aveuglé par l’étrange lumière noire venue du Château…
@ Serge HIREL | 22 novembre 2022 à 15:20
« Pour ma part, je souhaite aux Allemands et aux Suédois que leurs gouvernements soient plus habiles que le nôtre pour se débarrasser au plus vite du fardeau.»
Les Allemands ont accueilli un million de migrants en 2015. Ils ne sont donc pas à quelques dizaines de jeunes migrants près. Et manifestement ils savent quoi en faire. Que demander de plus ?
« C’est de l’humour au troisième degré ? »
Il m’arrive d’en faire de temps en temps. Vous avez dû remarquer…
Mais je pense que à l’avenir les clandestins vont avoir du fil à retordre. Gérald Darmanin n’a-t-il pas dit qu’il voulait leur pourrir la vie ?
Le Kärcher il va savoir le faire marcher lui !
@ Achille
Êtes-vous militant au GISTI pour persister à vouloir nous faire croire que l’affaire de l’Ocean Viking est une réussite, comme d’une manière générale l’immigration clandestine en France ou en Allemagne ?
« Il se trouve que les personnes chargées de traiter les dossiers des passagers de l’Ocean Viking n’ont pas disposé du temps nécessaire pour faire ce travail. »
Vous nous aviez assuré, ici même, que tout irait bien par l’action « des services compétents ».
« Il convient donc de revoir complètement les modalités de traitement des migrants au niveau international. »
Non, il convient de revoir complètement l’idéologie et la philosophie du traitement des clandestins – qui ne sont pas des migrants, même si tel un militant au GISTI vous entretenez une confusion suspecte – dans les pays comme la France et l’Allemagne, les pays qui prétendent dicter la bonne conduite aux autres, alors qu’ils sont la destination phare et où la criminalité liée est hors-contrôle.
« Mais je pense que à l’avenir les clandestins vont avoir du fil à retordre. Gérald Darmanin n’a-t-il pas dit qu’il voulait leur pourrir la vie ? Le Kärcher il va savoir le faire marcher lui ! »
Les « services compétents ». Arrêtez vos farces, le sujet mérite un peu de sérieux.