On peut le dire de manière brutale comme Nicolas Sarkozy : « On est en guerre, une guerre totale…ce sera eux ou nous » (Le Parisien).
Je préfère appréhender autrement ce qui, depuis la terreur islamiste préparée et perpétrée à Nice, mobilise la conscience publique – les angoisses des citoyens comme les constats et engagements des politiques.
Car la dévastation mortelle de Nice a sensiblement modifié le regard des Français sur le terrorisme, l’aptitude de ce gouvernement à le combattre et les moyens à mettre en oeuvre. Probablement parce que l’horreur n’a pas fait de tri : elle a frappé, notamment et aussi, des enfants et des musulmans, des mécréants et ceux qui ne l’étaient pas selon les délires islamistes.
Selon un sondage de l’Ifop pour Le Figaro, 67% des personnes interrogées le 15 juillet affirment « ne pas avoir confiance en François Hollande et son gouvernement pour lutter contre le terrorisme ». Un discrédit qui durant une année s’était maintenu au niveau déjà important de 50%.
Un autre enseignement capital, parce qu’il révèle un changement de fond des Français par rapport à ce qui les menace, tient à l’exigence d’une plus grande fermeté avec surtout l’attente d’une politique qui saurait affronter « une situation exceptionnelle, avec des réponses exceptionnelles ».
Cela fait longtemps que je récuse, à mon niveau modeste, ce débat dilatoire entre « le besoin de sécurité et le respect des libertés individuelles ». Il est clair que les Français, dans ce sondage, l’ont évacué et pris parti, pour sauvegarder la sécurité de tous contre l’islamisme meurtrier, en faveur, s’il le faut, d’une diminution de la liberté de chacun. C’est une adhésion massive à la fois au bon sens et à l’efficacité pénale et sociale.
Le pouvoir, sauf à mépriser cette conviction majoritaire, ne peut plus se réfugier derrière des arguties qui accordent la réalité d’un combat à l’obligation de limites prétendues. Il ne s’agit en aucun cas de soutenir qu’une éradication totale de de la malfaisance terroriste est possible mais de placer les gouvernants d’aujourd’hui face à leurs responsabilités : laisser croire qu’on fait tout quand on se complaît à n’évoquer que les freins ou qu’on en invente !
A ce titre on ne peut que dénoncer le caractère démobilisateur d’un propos présidentiel qui est trop ressassé pour ne pas constituer une conviction forte de François Hollande. Celui qui se rapporte à l’union nationale et à son souci de la cohésion sociale (Le Parisien).
D’une part, derrière l’affichage proclamé, ses quatre années de présidence ont terriblement, profondément clivé notre nation sur beaucoup de registres et il est indécent, pour le créateur du mal, de se présenter comme le médecin.
D’autre part, la cohésion, qui est en effet une aspiration légitime, n’a jamais résulté d’incantations répétées et seulement verbales mais n’aurait pu être engendrée que par une lutte déterminée et perceptible par tous contre les maux de notre société, aisément identifiables. L’unité ne peut être que la conséquence d’une action et non une revendication de principe, en l’occurrence démentie par la réalité.
Il n’y aurait pas forcément de la mauvaise foi dans une telle approche, seulement une illusion pour se donner bonne conscience, si un conseiller de l’Elysée, bien sûr anonyme, ne révélait pas la stratégie purement électoraliste d’un affrontement prétendu idéologique entre, pour aller vite, les humanistes du pouvoir et la multitude des citoyens.
Que déclare cet éclaireur du président de la République ?
L’opposition non seulement « n’aurait pas respecté la dignité qu’on doit aux victimes » – ce qui est déjà un reproche scandaleux – mais, pire, elle serait porteuse d’un programme anti-républicain.
« …Leur solution n’est pas de mettre plus de forces sur le terrain, c’est au fond d’en terminer avec la présence des immigrés et des musulmans. Ils veulent en finir avec le droit…Ils diront : »On ne veut plus de voile, plus d’imams, plus d’étrangers » Et nous, nous défendrons les lois de la République…Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’Etat de droit que perdre la vie…Nous, c’est pour la vie en commun, pour la vie tout court, vive l’Etat de droit » (JDD).
Une telle caricature est une honte.
Elle brosse à gros traits délibérés un contraste éclatant entre le Bien d’un côté et le Mal de l’autre en imputant aux adversaires du pouvoir des dénonciations sommaires, globales et des envies d’exclusions radicales. Tout cela est proféré en pleine conscience de l’absurdité du procès qui, lui, franchement à cause de son outrance inepte n’a rien de républicain.
Cette charge grossière est cependant symptomatique de la conception que l’Elysée se fait de l’Etat de droit. L’alternative ne serait qu’entre lui, sa pureté mais sa faiblesse et une répression sauvage et imbécile. Cette représentation manifeste à quel point le pouvoir est enfermé dans des schémas anciens qu’il se sent incapable d’ajuster aux configurations atroces d’aujourd’hui. Ainsi nous n’aurions pas droit à une démocratie à la fois respectable et vigoureuse, sans complaisance aucune pour le terrorisme et la délinquance ordinaire. Liés l’un à l’autre.
Dans cette lamentable pochade élyséenne, le comble du cynisme est atteint par le fait que les tragédies trop réelles et la sauvegarde des Français ne sont exploitées que sous l’angle politicien, dans des perspectives seulement électoralistes et partisanes.
Proposer contre l’islamisme meurtrier et sans cesse menaçant non pas ce qui serait juste et nécessaire – on est loin du compte ! – mais une argumentation et une éthique de la compréhension et de la miséricorde seulement destinées à montrer comme la contradiction lucide et opératoire de l’adversaire n’est pas digne ! La dignité formelle au risque de faire sombrer le pays dans le gouffre ?
Ce n’est pas faire preuve d’irrespect que de considérer, au regard de ce sondage, de cette cohésion réclamée mais éclatée et de cette tactique politicienne, que l’Elysée « joue » contre les Français.
Définition du mot folie de l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert : « S’écarter de la raison, sans le savoir, parce qu’on est privé d’idées, c’est être imbécile ; s’écarter de la raison le sachant, mais à regret, parce qu’on est esclave d’une passion violente, c’est être faible ; mais s’en écarter avec confiance et dans la persuasion qu’on la suit, voilà ce me semble, ce qu’on appelle être fou. Tels sont du moins ces malheureux qu’on enferme, et qui peut-être ne diffèrent du reste des hommes que parce que leurs folies sont d’une espèce moins commune, et qu’elles n’entrent pas dans l’ordre de la société. »
« …s’en écarter avec confiance et dans la persuasion qu’on la suit, voilà ce me semble, ce qu’on appelle être fou » : n’est-ce pas exactement le cas du meurtrier de Nice ? L’habillage djihadiste de son action lui avait donné la conviction qu’il agissait avec raison.
Nous ne vaincrons pas la folie par des lois. Il n’y a aucune recette magique contre la folie. Etre lucide et raisonnable soi-même serait cependant un bon début…
L’éternelle propension du Français à se regarder le nombril et ne pas voir l’origine de ces attentats… Tout ne serait donc qu’un problème interne, trop d’immigrés, pas assez de police, manque d’intégration, faillite du renseignement, le sondage oublie à dessein de poser les vraies questions, quid de notre politique étrangère vis-à-vis des pays du Moyen-Orient, de notre intervention en Syrie, en Libye, au Liban, en Tunisie, de nos ventes d’armes par Qataris et Saoudiens interposés, de notre mollesse à détruire Daech, ISIS, EI ou que sais-je, de notre acharnement à détruire Bachar el-Assad… Bref il faut toujours remonter à la source du problème si on veut le régler, mais ça c’est hors de question, droit dans leurs bottes, aussi bien PS, LR et bientôt FN ne le remettront en cause, allégeance totale à l’oncle Sam et son commanditaire Israël.
On amusera le bon peuple en querelles politiciennes en stigmatisant l’antirépublicain, le diviseur de l’union sacrée contre le terrorisme ; le pire terroriste est à l’Elysée en ce moment.
Cher Philippe,
J’ai salué votre dernier billet empreint de dignité, écartant tout esprit polémique. Et voilà qu’immédiatement après, à votre tour vous entrez dans le débat politicien, vous commettez une charge partisane contre François Hollande.
« Dans cette lamentable pochade élyséenne, le comble du cynisme est atteint par le fait que les tragédies trop réelles et la sauvegarde des Français ne sont exploitées que sous l’angle politicien, dans des perspectives seulement électoralistes et partisanes » dites-vous à partir d’une déclaration d’un conseiller anonyme.
Le Président et les ministres s’expriment suffisamment pour qu’on s’en tienne à leurs propos.
Au demeurant je trouve votre billet contradictoire. Vous reprochez à FH, faisant état d’un sondage réalisé au lendemain des attentats, dans un même mouvement de ne pas tenir compte de l’opinion d’une très large majorité des Français et d’être électoraliste. Même procédé que celui qui consiste à l’accuser de démagogie alors qu’il a augmenté massivement les impôts, décidé du pacte de responsabilité et de la loi Travail contre une partie de son électorat.
On peut parfaitement désapprouver la politique de François Hollande sans qu’il soit nécessaire de lui intenter à tout propos des procès d’intention infondés.
Puisque vous évoquez les réactions de « l’entourage de l’Elysée », comment ne pas parler de celles de l’opposition. La plupart de ses leaders ont réagi dans la précipitation, oubliant toute dignité.
Alain Juppé soupçonné de faiblesse en matière de sécurité en a trop fait en affirmant que cet attentat aurait pu être évité, Nicolas Sarkozy n’a pas laissé passer l’occasion de le tacler en disant que ce propos n’était pas sérieux. Juppé pas sérieux, le comble ! Dans la course à la première place du concours Lépine de ce qu’il aurait fallu faire, Henri Guaino arrive bon premier avec son lance-roquette, se ridiculisant définitivement. Nicolas Sarkozy a au moins eu la pudeur d’attendre quelques jours pour s’exprimer, malmené par Audrey Crespo-Mara lors de son interview sur TFI, on aurait aimé un peu plus de modestie de celui qui a diminué drastiquement les forces de l’ordre et a eu à gérer l’affaire Merah.
Dans ce triste paysage Bruno Le Maire s’est comporté comme il convenait pour quelqu’un qui postule à la plus haute fonction de l’Etat.
Les islamistes peuvent se réjouir. Leur propagande a provoqué le passage à l’acte d’un psychopathe. La classe politique se déchire, les Français se divisent. Carton plein !
Une telle caricature est une honte
Vous parlez de caricature sûrement parce que, contrairement peut-être à ce conseiller de l’Elysée, vous ne lisez pas les commentaires des beaufs de votre blog. Mais pourquoi alors les publier, alors que la plupart sont des incitations à la haine, et si vous êtes d’accord pour affirmer que ces gens-là font partie des problèmes de la France et sûrement pas de leur solution ?
Je le répète, c’est au niveau du citoyen que l’état de droit doit être remis en cause. C’est dans une totale désolidarisation de la nation française d’avec la beaufitude ambiante qui détruit cette même nation qu’il faut agir.
Je ne suis pas marxiste. Parce que je ne suis pas marxiste, je sais qu’il existe une différence entre le politique et l’économique, que tout n’est donc pas économique. Mais je sais aussi que la politique au niveau citoyen ne se limite pas à mettre régulièrement un bulletin de vote dans une urne.
Concrètement, cela veut dire quoi ? Qu’aller chercher son pain tous les jours, cela relève du domaine de l’économie. Mais ne plus mettre les pieds dans une boulangerie parce que l’on a entendu la patronne reprendre la boue verbale qui sert de quotidien aux commentaires de votre blog, c’est faire de la politique. De la vraie politique, de celle qui manque cruellement aujourd’hui à la France, c’est reprendre le destin de la nation entre ses propres mains.
L’Etat appelle chacun de nous à être vigilant sur les sacs ou valises abandonnés et à agir en conséquence. Il a raison. J’appelle en plus chacun à être vigilant sur ce qu’il entend autour de lui et à agir en conséquence. J’appelle à la citoyenneté pratique parce que la citoyenneté formelle, celle qui vous fait mettre des badges « Touche pas à mon pote » et vous fait défiler dans la rue est vaine. J’appelle tous ceux qui pensent que la France doit se débarrasser de la beaufitude ambiante, qui cherche de nouveau à l’assassiner, à mettre leur pensée en pratique citoyenne par la désolidarisation.
Marre d’entendre Valls et Sarkozy répéter en boucle que le risque zéro n’existe pas… il n’y a que ceux de leur engeance, de leur envergure mdrrrrr qui osent dire et répéter une telle idiotie… ni l’un ni l’autre ne se sont jamais donné la peine de lire le concept original de ce risque zéro. Ils sont des perroquets qui à tour de rôle jouent à l’homme providentiel.
Marre d’entendre ce Le Guen dire que les services publics français seraient admirables, rien de plus affligeant pour une personne que recevoir des compliments d’un bas de plafond à la Le Guen. Ceux et celles qui composent les services publics sont individuellement des gens ordinaires de bonne volonté, c’est le collectif qui dysfonctionne depuis des décennies… parce qu’il est géré par des incapables, des incompétents à la Le Guen et ses amis de gauche et de droite.
@Denis Monod-Broca 19/7/16 – 9:13
Excellent rappel à la raison… mais, hélas, je doute que votre com plein de bon sens soit de nature à réduire les tartines d’analyse personnelle de la revue de presse quotidienne de certains, ou les insultes et autres invectives pour le cas où certains/certaines auraient l’outrecuidance de penser différemment.
Probablement parce que l’horreur n’a pas fait de tri : elle a frappé, notamment et aussi, des enfants et des musulmans, des mécréants et ceux qui ne l’étaient pas selon les délires islamistes.
Certes, mais ne tombons pas dans le piège.
Je crois savoir que certaines chaînes – comme les chaînes pour esclaves – de télévision se sont évertuées à interroger en majorité des victimes ou des témoins qui sont supposés être musulmans, pour introduire le message subliminal selon lequel il ne s’agirait pas d’un attentat lié spécifiquement à l’islamisme.
Mais nous avons l’habitude de ces procédés malhonnêtes.
Si l’attentat au camion est bien lié à l’islamisme, il est évident que la cible du tueur était la foule des mécréants encore majoritaires dans certaines villes en France (plus pour très longtemps).
Le tueur s’attendait probablement à rencontrer sur sa route quelques-uns de ses frères en religion, mais il connaissait d’avance la réponse faite à ce cas de conscience : les musulmans qu’il pourrait tuer iraient directement au paradis d’Allah, comme lui.
Pas de problème, donc.
Ce n’est pas faire preuve d’irrespect que de considérer, au regard de ce sondage, de cette cohésion réclamée mais éclatée et de cette tactique politicienne, que l’Elysée « joue » contre les Français.
Hélas, s’il n’y avait que l’Élysée, nous pourrions prendre notre mal en patience.
Mais c’est l’ensemble de la classe politique dite de gouvernement qui, responsable de la situation actuelle par bêtise ou par clientélisme, joue contre les Français.
Sarkozy, pour ne citer que lui mais d’autres comme Juppé ne sont pas très clairs non plus, prend des postures martiales alors qu’il n’y a pas si longtemps encore, pour des événements moins dramatiques comme en 2005 mais révélateurs de l’état réel de la France, il faisait profil bas bien qu’en tant que ministre de l’Intérieur il ait disposé quasiment de tous les pouvoirs pour intervenir fermement.
Nous savons qu’il s’est contenté de pratiquer lui aussi la politique du chien crevé au fil de l’eau.
Et si la neutralisation de Merah a été laborieusement réalisée après une mise en scène digne du grand Guignol, il n’empêche que l’évolution de ce personnage n’a pas été détectée par sa police.
Enfin, nous ne le répéterons jamais assez, il faudra que notre classe politique clarifie son discours et surtout sa position : il ne lui est plus possible d’un côté de s’indigner des effets du terrorisme et de l’autre de cultiver avec soin le terreau sur lequel pourront pousser sous son regard attendri et bienveillant ces fleurs vénéneuses qui tôt ou tard ne pourront que répandre la terreur, par la force des choses.
Jusqu’à l’année dernière, nous pouvions encore à la rigueur faire preuve d’indulgence envers la classe politique de gouvernement pour ses sympathies islamistes en les attribuant à la bêtise.
Désormais, nous ne pourrons les placer que sur le compte de la trahison.
@Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 09:13
Nous ne vaincrons pas la folie par des lois. Il n’y a aucune recette magique contre la folie. Etre lucide et raisonnable soi-même serait cependant un bon début…
Voilà le raisonnement type du syndrome « Toto et sa brosse à dents ». Le directeur de l’asile jouant le jeu du fou, Toto, promenant sa brosse à dents au bout d’une ficelle : Alors Toto ! On promène Médor ? Mais monsieur ce n’est pas un chien ! C’est une brosse à dents ! Bien Toto ! Bravo ! vous allez pouvoir quitter l’asile !…Tu as vu, Médor, on l’a bien eu le directeur…
Inversion des valeurs et culpabilisation. Être lucide de son impuissance.
@Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 09:13
J’apprécie sincèrement vos interventions « humanistes », dont le grand Montaigne, qui vivait en des époques autrement troublées, était coutumier, mais nous n’en sommes plus à l’âge de la raison, de la mesure, de l’humanisme grec ou de celui de la Renaissance.
Les gens de « vieille culture », des humanités classiques, de l’idéal de Thélème, ont été remplacés (et la Première Guerre mondiale et ce qui s’ensuivit est le moment de la dé-civilisation de l’Occident) par des violents, des zélateurs de la mort, puis par des « managers », des optimisateurs de haut niveau (selon la doctrine du « planisme » qui fut la base de la collaboration et constitue le corpus doctrinal quasi universel, sous la forme oxymorale d’un « planisme – ultralibéral »).
Dans cette perspective, l’état de guerre (ce n’est pas moi qui lance ce slogan) commande nécessairement le manichéisme (car « l’action, surtout politique, est manichéenne » A. Malraux).
Les nids de frelons, les « épines irritatives » du terrorisme violent spectaculaire, ou soft entriste, sont d’abord extérieurs : ils ont pour nom Koweït, Arabie saoudite, Qatar… les nids « secondaires » sont en Syrie et en Irak, mais aussi en Afghanistan et au Pakistan (demandez aux Indiens ce qu’ils en pensent).
La conclusion est claire : si vous ne voulez pas de frelons chez vous, commencez par détruire les gros nids.
Le nom des frelons, que ça plaise ou non, est « mahométans ».
A ce titre, évidement, la Turquie et l’Iran (issus, surtout pour ce dernier, de grandes civilisations) doivent être mis sous surveillance vigilante et armée…
Quant à l’entrisme… il n’ y a plus d’autre choix que de montrer « qui est le Maître ».
Désolé, au revoir pour l’instant (et pour combien de temps hélas) à Montaigne, La Boétie, d’Alembert et tous les autres…
Un petit clin d’oeil à Eschyle (« les Perses »)
« Les Athéniens ne sont esclaves ni sujets de personne »
L’Elysée ? un cas particulier d’une oligarchie collaboratrice, qui semble chercher des solutions « optimales » planifiées censées leur procurer je ne sais quel salut ?
Ou retour sur le fondamental : « tout ce qui n’est pas de gauche est facho » (de Gaulle lui-même l’était). Bientôt droit à la « nécessité de changer de peuple » ? A moins d’ici là que le changement ait lieu à la roche tarpéienne.
@Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 09:13
« Nous ne vaincrons pas la folie par des lois »
En effet. Cette folie-là se vainc par les armes.
Pfff ! Même « guerre » il ignore ce que cela signifie…
La terreur Monsieur Sarkozy : La Terreur ! vous saisissez la nuance ?
P’têt pas… parce qu’en Libye de quoi s’agissait-il ?
Sinon, pour le titre : et réciproquement.
Le président de la République et ses conseillers peuvent espérer faire croire qu’ils incarnent le bien et que leurs opposants politiques incarnent le mal, j’aurais dit avant l’attentat de Nice que ça ferait rigoler tout le monde. Mais maintenant, l’heure n’est plus à la rigolade. Ils devraient cesser de jouer avec ce genre d’arguments, parce qu’ils décrédibilisent ainsi tous les jours un peu plus la classe politique. Valls est froissé dans son amour-propre de Premier ministre d’avoir été hué, ça devrait pourtant lui indiquer de façon claire ce que pensent les Français, et pas seulement de droite (la majorité des Niçois ne vote pas FN). Il ferait mieux de se demander si les discours de Hollande nous serinant que « ça va mieux » ne sont pas autant d’insultes grossières aux citoyens. Il doit tout de même savoir qu’il applique aux Français une politique dont la plupart ne veulent pas.
Alors que le gouvernement est incapable de maintenir l’ordre de façon générale, et en plein état d’urgence en particulier, alors qu’il laisse pendant un mois des manifestations violentes se déployer tous les jours, et ferme les yeux sur les milliers d’illégaux, il veut encore nous faire la leçon et nous accabler de reproches. Ces illégaux ont été éduqués pour la plupart dans des pays où l’Islam et la loi, c’est la même chose. Ils l’apportent avec eux, lui et sa propension au radicalisme. C’est ce qui nous inquiète, et que nous refusons de plus en plus ouvertement, au fur et à mesure que nous voyons la France écoper des problèmes inextricables du Moyen-Orient.
Le problème que les Français voient avec l’Islam radical, c’est qu’il s’oppose à notre constitution et veut prendre sa place. Il veut nous imposer contre notre gré et par le fait accompli (et par le nombre) une culture qui n’est pas la nôtre, et qui, partout où elle prévaut, amène injustices, régression et guerre. La branche radicale de l’Islam s’attaque ouvertement à la loi sous couvert d’idéologie religieuse et culturelle. La complaisance électoraliste de nos gouvernements par rapport à cette religion et à ses prêcheurs de haine désunit profondément les Français. Ce qui les écœure, d’où qu’ils viennent, c’est la tolérance inouïe de l’exécutif face à des situations de non-droit. Les « ghettos » n’ont de ghettos que l’affranchissement qui y règne par rapport à la loi. Les trafics d’armes, et de drogue, le banditisme, sont du ressort de la police et de la justice. S’ils prospèrent de façon éhontée, jusque dans les prisons, c’est bien la responsabilité de l’État.
Nous ne voulons pas d’une religion qui se pose en rivale par rapport à l’État et dont une frange préconise l’élimination brutale de ses adversaires. Nous voulons que le droit s’applique partout en France, et nous ne voulons pas être violentés par nos « invités » s’ils veulent rester chez nous.
Si c’est cela appartenir au camp du mal aux yeux de notre gouvernement, cela montre à quel point ce gouvernement a perdu le moindre sens commun, et à quel point il oublie de défendre les intérêts fondamentaux du pays et de sa population, dont une partie de musulmans modérés qui assignent à leur religion la sphère privée et mettent la loi française au-dessus de leurs traditions ; ceux-là, sur lesquels nous devrions nous appuyer, sont mis en échec depuis des années par toutes les formes de complicité avec l’Islam radical.
Parlons justice !
En 2012, dans le Calvados, un trafiquant de drogue, consommateur, a droit à une perquisition. Mais n’est pas poursuivi alors que c’était fructueux. Pourquoi ? De plus, c’est lui qui a la garde provisoire de l’enfant alors qu’il vient en 2016 une fois de plus de se faire prendre pour vente et consommation de drogue (certainement toujours et encore sans poursuites !)
Pour la garde de l’enfant, au premier jugement, la juge aux affaires familiales n’a rien demandé en ce qui le concernait (lui) alors que ce n’est pas le cas pour la jeune femme. Pourquoi ? Simplement parce que le père de ce type est le chef de la caserne des pompiers du bled et sa mère au conseil municipal. On vole l’enfant d’une jeune maman et on laisse l’enfant à un trafiquant de drogue et drogué.
Si vous demandez quoi que ce soit on vous répond désolé on ne peut rien vous dire il y a enquête et hop, on efface tout. C’est scandaleux.
Et après ça, je dois dire « vive la France » ? Non, désolé, que la corruption s’arrête, et, après on verra. L’enfant va avoir deux ans et sa maman ne la voit que trois heures tous les quinze jours et ça donne envie de vomir.
Bonjour,
Le problème dans une démocratie laïque et républicaine comme la nôtre est de trouver le juste milieu entre la liberté et la sécurité.
Liberté d’expression, de culte, d’orientation sexuelle, de choix politique, tenue vestimentaire, etc. Dès que l’on attaque l’une de ces libertés aussitôt nous assistons à un flot de protestations de la part de gens qui crient à la dictature.
La sécurité totale n’existe pas. Elle se heurte aux différences culturelles de chacun.
Que le peuple éprouve une réelle inquiétude face aux attentats que la France subit depuis début 2015 est compréhensible. D’autant que tout laisse à penser que d’autres tueries sont à craindre dans l’avenir.
Mais venant de politiques qui ont largement fait la preuve de leur incurie lorsqu’ils étaient aux « affaires », cela frise l’indécence.
Alain Juppé qui affirme que si des mesures avaient été prises, le carnage de la promenade des Anglais n’aurait pas eu lieu, c’est un peu facile et plutôt maladroit de sa part.
J-F Copé qui comprend la colère des Français montre bien le côté perfide de sa personnalité.
Mais Nicolas Sarkozy qui a réduit le nombre de fonctionnaires de police, a supprimé la double peine et qui se permet de critiquer les propos d’Alain Juppé, cela pourrait prêter à rire si la situation n’était pas aussi dramatique.
On va en entendre des anaphores du genre « Moi, président de la République, je… » lors de la prochaine campagne électorale. Je crains même qu’en la circonstance François Hollande ne soit largement battu dans l’envolée lyrique.
Cette « lamentable pochade élyséenne », la conception que l’Elysée se fait de l’état de droit, n’est que le prolongement d’une erreur stratégique commise par Monsieur Mitterrand il y a plus de trente ans. Celui-ci voulait une société multiculturelle et le nécessaire a été fait pour mettre en oeuvre cette chimère socialiste en même temps qu’on s’acharnait sur les fondements de la société française. Régularisations massives de clandestins, droitsdel’hommisme, laxisme judiciaire, renoncements divers ont conduit à la situation actuelle de désarmement institutionnel. Sans que les Français aient été expressément consultés. Et, malheureusement, sans qu’ils réagissent.
Il s’ensuit qu’on ne peut imaginer que les socialistes d’aujourd’hui, qui ont tété les mamelles de vieilles lunes socialistes d’hier, réagissent autrement qu’ils le font. Contester leur action, c’est contester la République. Leur République puisqu’à leurs yeux, il n’y en a pas d’autre. Et que ceux qui ne sont pas d’accord sont, au mieux des mauvais citoyens qui manquent de dignité et, en tout état de cause, des extrémistes, des fascistes, des suppôts du FN, etc.
L’idée qu’on puisse trouver un équilibre en les libertés individuelles et la raison d’Etat ne les effleure même pas. Pourtant, on ne fera pas l’économie d’une réflexion fondamentale. Voulons-nous vraiment de cette société multiculturelle? Ça ne marche nulle part. Il faut virer le socialisme de Papa (ou de Tonton).
Bonjour,
Un retournement de veste et un copier-coller de F. Hollande et de sa troupe après la tuerie du 14 juillet à Nice appelant enfin les Français à la réserve opérationnelle.
Joli projet repris point par point et avec un copié-coller du maire de Béziers, Robert Ménard, que l’Etat et la Justice lui ont interdit lorsque celui-ci a voulu créer en janvier dernier une garde biterroise avec d’anciens policiers, gendarmes, pompiers, tous volontaires pour patrouiller dans les rues des Béziers pour assurer la sécurisation de la ville. C’était pourtant une bonne idée quand on sait que la police et la gendarmerie, épuisées à l’extrême, ne peuvent tout assurer 24h/24 et 7j/7.
Lutte vigoureuse de l’État contre le salafisme :
Le 1er juillet, l’État français a donné tort à Estrosi qui refusait l’ouverture d’une mosquée de 800 places financée par l’État saoudien. La préfecture demande simplement à l’État saoudien s’il veut bien faire don des murs à l’association qui la gère et de ne pas rester propriétaire. Elle recommande aussi à l’association la prudence dans le choix des prédicateurs !
Estrosi : « Nous refusons de faire courir à la ville des risques d’ordre public, que ce soit sur les idées ou les propos véhiculés au sein de cet établissement dont le propriétaire, nous le rappelons, prône la charia ».
Réponse du préfet Adolphe Colrat : Ouverture de la mosquée. Le préfet demande une donation par le propriétaire saoudien des lieux, sans contrepartie, en faveur de l’association. Une telle donation « permettrait en effet de répondre d’une manière convaincante aux inquiétudes relatives aux risques d’ingérence étrangère dans l’islam de France et au financement de ce lieu de culte ». « Je vous demande, dit-il, la plus grande prudence à l’égard des prédicateurs ou de conférenciers extérieurs à votre association ». Demandes qualifiées d’appuyées, mais de non obligatoires…
C’était il y a quinze jours. Et Valls s’étonne d’être hué !!
http://www.lepoint.fr/societe/mosquee-a-nice-le-prefet-donne-tort-a-estrosi-01-07-2016-2051137_23.php
@Marc Ghinsberg
Les islamistes peuvent se réjouir. Leur propagande a provoqué le passage à l’acte d’un psychopathe.
Quels sont les éléments objectifs et scientifiques vous permettant de mettre uniquement en avant le caractère psychopathe du tueur, en gommant tout aspect à caractère islamiste, même si les premiers éléments qui nous sont parvenus laissent entendre qu’il était sujet à quelques troubles d’ordre psychiques ?
Êtes-vous un médecin psychiatre ?
Mais en généralisant et en reprenant cette thèse à la mode issue de la culture de l’excuse que tous les attentats de ces dernières années – y compris de multiples agressions du même type que l’on a trop souvent tendance à occulter – ne seraient que l’œuvre de psychopathes, veuillez nous expliquer pourquoi ils s’arrangent généralement tous pour hurler Allahou akbar ! quand ils accomplissent leur forfait ?
Pour suivre cette logique, cela impliquerait donc, au nom du principe de précaution, que nous prenions dans un souci de santé publique des mesures prophylactiques comme celles prises contre l’usage de l’alcool ou bien de stupéfiants, tant dans le domaine sanitaire que dans le domaine sécuritaire, en dénonçant voire en interdisant la source commune de ces troubles.
Qui osera prendre cette mesure de salut public ?
Mais peu importe la manière selon laquelle nous pourrons tordre les faits dans tous les sens, il se produit actuellement des choses plus qu’inacceptables, inconnues et même inconcevables il y a encore quelques dizaines d’années, chez nous et en Europe.
Tout cela parfois bien avant que l’État Islamique n’ait vu le jour, mais pour les mêmes raisons.
Et si nous essayions enfin de regarder les choses en face en cessant de vouloir nous bercer d’illusions ?
@Robert Marchenoir
Les nids de frelons, les « épines irritatives » du terrorisme violent spectaculaire, ou soft entriste, sont d’abord extérieurs : ils ont pour nom Koweït, Arabie saoudite, Qatar… les nids « secondaires » sont en Syrie et en Irak, mais aussi en Afghanistan et au Pakistan (demandez aux Indiens ce qu’ils en pensent).
Vous oubliez le Belgikistan.
Mais à l’intérieur du Frankistan, nous avons aussi de beaux élevages de frelons pas piqués des hannetons…
Notre ami Garry Gaspary | 19 juillet 2016 à 09:42
fait maintenant de « l’intifada » après avoir aspergé ce blog d’insultes envers la Chrétienté… et cela ne lui suffit pas car il nous a déjà dit que nous pouvions « foutre le camp » de France pour évidemment lui laisser la place !
Notre ami G.G. s’est radicalisé après s’être ridiculisé, c’est en quelque sorte un musulman normal… alors je crois que le temps est venu que notre police s’intéresse à son cas comme à beaucoup d’autres et qu’il retourne d’où venaient ses ancêtres pour pouvoir comparer ce qu’est une culture judéo-chrétienne et une culture musulmane !
@ Robert Marchenoir
Vous aussi vous êtes convaincu d’être guidé par la raison. N’est-ce pas ?
@ protagoras
C’est justement dans ces moments-là que la « vieille culture » – et le sang-froid – sont utiles.
Et puis c’est toujours une mauvaise idée de comparer des hommes à des animaux. Pourquoi frelons d’ailleurs, c’est mieux que porcs d’accord, mais c’est à nous Occidentaux et à nos drones assassins que la comparaison conviendrait bien…
@ hameau dans les nuages
Éclairez-moi, vous vous donnez le rôle de Toto ou le rôle du directeur de l’asile ?
Hé ho chers beaufs, on tient une perle !
« Nous ne vaincrons pas la folie par des lois. Il n’y a aucune recette magique contre la folie. Etre lucide et raisonnable soi-même serait cependant un bon début…
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 09:13 »
Ah oui quand même ! Vous confirmez ce que je disais hier encore : ce sont bien des gens comme vous et toute cette gauchislamisterie qui ont transformé la France en Ceufran pour tous les arrivages de parasites islamistes du monde entier, avec vos délires hallucinants, slogans prémâchés de gros beaufs gauchistes soumis à leurs nouveaux bourreaux.
En somme, vous auriez arrêté le camion avec des colliers de fleurs. Mouais, j’avoue que je n’y avais pas pensé, étant trop inculte par rapport au puits de science gauchiste que vous êtes.
Vous avez réussi à surpasser le beauf islamiste GG, qui rétrograde à la seconde place ; allez GG, du nerf ! un petit coup de clarinette antichrétien et tout va se remettre dans l’ordre !
» « …Leur solution n’est pas de mettre plus de forces sur le terrain, c’est au fond d’en terminer avec la présence des immigrés et des musulmans. Ils veulent en finir avec le droit… Ils diront : »On ne veut plus de voile, plus d’imams, plus d’étrangers ». Et nous, nous défendrons les lois de la République…Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’Etat de droit que perdre la vie…Nous, c’est pour la vie en commun, pour la vie tout court, vive l’Etat de droit » (JDD). »
La gauche caricature la droite, la droite la gauche… Ah, si nous avions un gouvernement fantôme et autres traditions du même genre, nous ne serions pas aussi bas !
Unité nationale, on peut rêver… Quand chacun diabolise l’autre, impossible, car qui veut se commettre avec des démons ?
Incanter l’unité nationale face aux tragédies est bien, y travailler en aval et avec constance est mieux.
Il va falloir tôt ou tard que l’on explique aux Français pourquoi leur pays est si généreux envers ceux qui le détestent.
Je constate amèrement que quelle que soit la catastrophe, le discours reste le même. Il s’agit de se questionner sur cette société et ses dirigeants… Certains pensent faussement que l’ennemi est celui-ci ou celui-là, qu’en dirigeant contre celui-ci ou celui-là leurs actions ils règleront définitivement le problème, or il se trouve que ni les philosophes d’antan ni ceux d’aujourd’hui n’ont conçu la mondialisation… et encore moins les conséquences sur le vulgum pecus ! Tout un chacun s’imagine digne de porter sa parole sur la place publique et tel Zarathoustra entend que tous les entendent et lui obéissent. Trop d’images, trop de bruit, trop d’avortons de pensées, trop de mot d’ordre, trop de petits chefs… Et finalement la vacuité… Le mal est grand, la haine est grande et l’homme est petit quand il oublie ce qu’il a fallu de morts pour que lui existe… Il en redemande car tout ce sang le l’a pas encore désaltéré. Tout bien considéré l’espoir est bien dans sa boîte !
Pour résumer : lorsque l’on a pour « alliés » des pays tels que le Qatar et l’Arabie Saoudite, il devient évident que les meurtres de masse en France ne deviennent que des variables d’ajustement de ce que nos gouvernants appellent « la paix ».
L’Élysée pense que.
À l’Élysée on dit que.
Et l’Élysée mène une « stratégie politicienne » qui « joue » contre les Français.
Rien dans le billet de Cécile Amar dans le JDD qui puisse justifier cette charge.
Des citations dont on ne sait pas trop à qui les attribuer, et un « proche de Hollande » qui « analyse ».
Si ça c’est du journalisme sérieux, je devrais réviser ma perception.
D’ailleurs le procédé du conseiller qui sous couvert d’anonymat rapporte des propos tenus lors d’un conseil, on nous l’a fait des centaines de fois.
Le journal est dispensé de prouver que ce qu’il dit est vrai.
Je trouve que c’est se moquer du monde.
Ce qui choque le plus, c’est de laisser entendre que le pouvoir tout entier mobilisé dans sa « stratégie politicienne » ne fait pas ce qu’il faut.
D’ailleurs, un sondage le révèlerait. Ah les sondages.
Vous faites un sondage sur la sécurité routière le lendemain d’un accident qui aura causé une douzaine de morts, il en ressortira fatalement une diminution forte de la confiance dans le gouvernement pour traiter le sujet.
Le sondage ne demande pas aux gens de réfléchir, mais de livrer un sentiment, à l’aune d’un événement douloureux.
Quelles questions ont été posées – le 15 juillet, avec un rien d’esprit de suite – aux personnes sondées ? On ne le sait pas.
La ritournelle sur « le Bien » dont la gauche se réclamerait, pour renvoyer la droite au « Mal », tant de fois utilisée, relève du procès d’intention grossier. C’est le procédé de dérision par excellence, qui a fait la fortune d’une certaine droite intellectuelle, au même titre que la fameuse « bien-pensance ».
Le problème, c’est que cette rhétorique, seuls les hippies pourraient en relever.
Si tel ou tel souligne un risque pour la société qui pourrait résulter de l’application de telles ou telles mesures, il ne se positionne pas dans un combat du Bien contre le Mal.
Cela s’appelle le débat.
Et la nécessité du « débat libre et argumenté » ne peut pas valoir que pour un jour, ni pour seulement les autres.
Vous vous défendez, Monsieur Bilger, de faire preuve d’irrespect à l’égard du président. À bon droit.
C’est de l’insulte caractérisée.
Je suis las.
Las des sondages qu’on nous sort du chapeau le lendemain d’un événement traumatisant, faisant passer cela pour vérité révélée.
Las de ces hommes politiques qui nous pondent des lois à chaque événement marquant, terroriste ou non.
Las de ces hommes politiques qui prétendent tout savoir sur comment éviter les attentats ; j’attribue la palme à Henri Guaino et son lance-roquette.
Las des articles qui nous expliquent que c’est en multipliant les mesures politiciennes qu’on lutte efficacement contre le terrorisme.
Lorsque une personne résignée souhaite mourir en emportant un maximum de gens avec elle, il est extrêmement difficile de pouvoir l’en empêcher comme l’a montré le cas Lubitz.
Si l’on peut et même l’on doit pointer les failles dans chaque dispositif de sécurité, ce type d’événement est malheureusement appelé à devenir la Corée du Nord.
Ce contexte morbide ne doit pas pour autant nous dispenser de la réflexion tant sur la meilleure manière de contrarier ces fous furieux que sur la protection et la diffusion des valeurs de la République qui apparaît se déliter un peu plus chaque jour devant la surenchère prétendument sécuritaire dont on nous rebat les oreilles chaque lendemain d’attentat.
@Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 14:01
La « vieille culture » ?
Malheureusement, ce ne sera bientôt plus possible, et à mon avis ça ne l’est déjà plus (et quand bien même, pensez-vous que des dirigeants corrompus et/ ou séduits, qui sait, en soient encore dotés ?) : l’état de guerre c’est précisément ça, c’est mental d’abord, et ne survient que lorsque la coupe est pleine… et elle commence à l’être (des voyages en Ethiopie et en Inde m’ont montré à l’évidence que le problème mahométan n’est certes pas qu’occidental).
Vais-je dire à un destructeur « micron apo tou helios metasteti » ou vais-je lui tirer une balle si j’en ai le loisir ?
Et là, quitte à vous étonner, je suis plutôt du côté Marchenoir… (pour y avoir été confronté ; il y a décidément des miracles qui vous font regretter de ne pas être croyant, par Zeus).
Paroles d’une rescapée du Bataclan (« rafistolée » au mieux possible en chirurgie plastique et réparatrice) : « vengeance ! »
Quant à la comparaison avec les frelons, c’est un vieux principe paysan tout à fait pratique.
@Marc Ghinsberg
« Les islamistes peuvent se réjouir. Leur propagande a provoqué le passage à l’acte d’un psychopathe. La classe politique se déchire, les Français se divisent. Carton plein ! »
Pas plus psychopathe que moi tromboniste, c’est un acte réfléchi, organisé, prémédité au nom de l’islam. Il suffit de piocher dans les textes dits « sacrés » disponibles en ligne pour constater que ce Tunisien n’est en fait qu’un musulman voulant se faire pardonner ses péchés (boire de l’alcool, coucher avec des femmes et des hommes de mauvaise vie) en accédant au paradis grâce à cet exploit niçois…
Par ailleurs que la classe politique se déchire, c’est plutôt un indicateur de bonne santé démocratique !
Se ranger sans barguigner sous la bannière de l’ancien président du conseil général de la Corrèze me paraîtrait en revanche particulièrement malsain !
Et puis que les Français soient d’opinions différentes, quelle surprise ! N’est-ce pas la preuve qu’ils continuent en dépit de la Propagandastaffel assénée jour et nuit, et un signe d’intelligence ?
Cela fait longtemps que je récuse, à mon niveau modeste, ce débat dilatoire entre « le besoin de sécurité et le respect des libertés individuelles ». Il est clair que les Français, dans ce sondage, l’ont évacué et pris parti, pour sauvegarder la sécurité de tous contre l’islamisme meurtrier, en faveur, s’il le faut, d’une diminution de la liberté de chacun. C’est une adhésion massive à la fois au bon sens et à l’efficacité pénale et sociale.
Si ces concessions en matière de liberté en échange de plus de sécurité – voire tout simplement d’une sécurité élémentaire – peuvent se comprendre, néanmoins sur la base des pratiques des Hommes du Régime constatées en d’autre occasions, nous sommes obligés de nous montrer plus que méfiants.
Un indice de méfiance parmi d’autres : n’est-il pas inquiétant d’entendre depuis quelque temps – alors que nous devons subir les attaques d’un ennemi qui les revendique lui-même – les gens qui se trouvent dans les arcanes de ce qui reste de pouvoir, dont la DGSI, agiter de façon surréaliste la menace que représenterait une mystérieuse ultra droite que personne n’a rencontrée et qui jusqu’à présent n’a causé de tort à personne ?
N’est-ce point pour réduire encore un peu plus la véritable opposition au silence sous un prétexte sécuritaire ?
Par ailleurs et de façon concrète, à quoi pourraient servir des fouilles renforcées par exemple dans les aéroports si les seules personnes à pouvoir en être exemptées sont comme par hasard les femmes – ou supposées telles – voilées des pieds à la tête, comme il a pu l’être constaté parfois ?
Avec nos tordus gauchis qui s’empressent de jouer le principe d’égalité poussé à son paroxysme d’absurdité, autant nous attendre à des perquisitions massives du GIGN dans les maisons de retraite si les individus recherchés sont âgés de vingt ans…
Si nous ne retrouvons pas un minimum de bon sens, tous ces faux efforts ne serviront pas à grand-chose, si ce n’est à donner l’illusion à ce qui reste de gens naïfs que « l’État » veille sur eux.
@sylvain
Vous vous répétez, vous vous ridiculisez, vos « arguments », si on peut appeler cela ainsi, n’ont aucun rapport avec ce que j’ai écrit.
On n’arrête pas un camion fou avec des fleurs, non, on ne l’arrête pas non plus avec une loi, ni avec un état d’urgence, ni avec des rodomontades, ni avec des bombes jetées à 5000 km de là…
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 14:01
@ hameau dans les nuages
Éclairez-moi, vous vous donnez le rôle de Toto ou le rôle du directeur de l’asile ?
Je suis simple spectateur de comportements surréalistes. Vous êtes directeur de l’asile mais à trop fréquenter les fous ils en arrivent à vous rouler dans la farine.
A Gap dans un village de vacances un Marocain dont la femme est voilée vient de poignarder trois enfants et leur mère car ils étaient en tenue légère…
Une précision clinique : pour des raisons à l’évidence politiques, donc mensongères, le tueur de Nice aurait agi pour des raisons « psychiatriques »…
N’en déplaise aux spécialistes de l' »excuse », la seule raison psychiatrique pouvant faire déclarer l’irresponsabilité pénale est la bouffée délirante, en général hallucinatoire, soit d’étiologie psychiatrique (au cours d’une poussée psychotique aiguë), soit organique (trouble métabolique aigu, intoxication aiguë à certains stupéfiants, tumeurs) : cas très rares en pratique criminelle, et qui n’est pas le cas en l’espèce.
Le « petit psychopathe », en admettant que ce soit le cas ici, agit en pleine responsabilité (comme en témoigne son approbation à chacune des phases de préparation de son coup : il suffit de dire « non » à l’une quelconque de ces étapes, et tout s’arrête…).
En gros, ce « petit psychopathe » n’est guère différent, et tout aussi responsable, d’un certain saltimbanque – pardon, chanteur – qui tua naguère son épouse, avec le même vedettariat, d’ailleurs, fût-il posthume dans le cas de Nice.
———————–
http://www.marianne.net/quand-les-islamistes-infiltrent-les-universites-100241054.html
Hélas, voilà ce qu’il est en train d’advenir de la « vieille culture » humaniste.
Remarque : dans cet article le paradoxe de la convergence entre les « ultralibéraux » et les « islamistes » n’est que pure apparence : il ne peut y avoir que convergence entre « culs-coincés », et business pour tout ce beau monde…
@ caroff | 19 juillet 2016 à 15:53
Oui mais pensez l’orgueil d’un homme est froissé et il faut faire retomber la faute ailleurs que là où elle se trouve !
Avoir les mains pleines de sang est désagréable et surtout que cela est répugnant !
Il y a des gens qui aiment donner des claques lorsqu’ils sont au pouvoir mais n’aiment pas la vérité… pauvres de nous… !
Je plains surtout les femmes qui sont les premières victimes de cette nouvelle mode induite par l’hypocrisie et la lâcheté !
Allez G.G. vous pouvez les exterminer vous avez l’aval du pouvoir en place !
http://www.marianne.net/quand-les-islamistes-infiltrent-les-universites-100241054.html
Hélas, voilà ce qu’il est en train d’advenir de la « vieille culture » humaniste.
Remarque : dans cet article le paradoxe de la convergence entre les « ultralibéraux » et les « islamistes » n’est que pure apparence : il ne peut y avoir que convergence entre « culs-coincés », et business pour tout ce beau monde…
… »ses quatre années de présidence ont terriblement, profondément clivé notre nation sur beaucoup de registres… »
On ne peut qu’acquiescer. Et pas seulement entre communautés, mais aussi entre Fonction publique et privé, entre jeunes et moins jeunes, entre cités et France profonde. En favorisant sans cesse les minorités soutenues par des associations revendicatrices, ce gouvernement a, pour avoir la paix, accordé des droits aux uns tout en méprisant les autres. Et la colère des français de Nice par exemple – et on ne me fera pas croire que ceux qui ont sifflé ou hué le Premier ministre et le Président deux jours plus tôt étaient tous des affreux populistes ou frontistes – ce sont des Français qui ont vu s’accumuler ces clivages jusqu’au drame épouvantable du 14 juillet. Des Français qui ont entendu les discours prometteurs non suivis d’actes ou constaté les reculs trop nombreux des promesses non tenues.
L’opposition non seulement « n’aurait pas respecté la dignité qu’on doit aux victimes » – ce qui est déjà un reproche scandaleux – mais, pire, elle serait porteuse d’un programme anti-républicain. »
Vraiment ce genre d’invectives ne marche plus, là encore les Français comprennent que le gouvernement mais aussi des politiques de tout bord, des journalistes et autres intellectuels, usent du déni, se drapant dans les sacro-saintes « valeurs républicaines » et autres billevesées pour rester dans leurs certitudes. Comme c’est aussi le cas chez d’autres dirigeants européens (ce matin en Allemagne encore).
Et même sans parler des attentats, il y a les incessants problèmes quotidiens, entre jeunes tués par balle dans nos grandes villes, voitures brûlées, commissariats caillassés ou écoles, églises, supermarchés incendiés ou dégradés. La petite délinquance qui écoeure et met le citoyen ordinaire de mauvaise humeur, car non seulement la répression est inexistante mais il sait ce citoyen-là que ce sont ses impôts qui serviront à réparer et à remplacer. Tandis que parallèlement, on lui demande de plus en plus de taxes et de contributions.
J’ai lu hier sur ce blog, avec beaucoup d’attention, le long commentaire de Francis Lenne et particulièrement, si j’ai bien tout compris, le fait que tous ces petits délinquants reconvertis en islamistes seraient la marionnette d’Etats qui les manipuleraient, tirant les ficelles du monde.
Sans vouloir y voir une théorie du complot, je pense qu’il a en partie raison et que nos dirigeants occidentaux, ayant grand besoin de ces Etats, de leurs matières premières et de leur argent, l’ont compris depuis longtemps mais qu’ils sont impuissants à lutter contre et donc adoptent une attitude de fausse naïveté pour masquer leur faiblesse.
Nous savons que tout cela est très complexe, que chaque Etat joue sa partition politique et économique, que l’U.E. est faible et inexistante et que le monde l’a compris depuis longtemps. Ces Etats islamiques sont en guerre entre eux, mais en réalité frères lorsqu’il s’agit d’imposer leur religion et donc leur suprématie en Occident, aidés en cela par des milliardaires (connus) sans état d’âme et également par des intellectuels du monde arabe dont l’action cherche à promouvoir leur vision théocratique du monde avec un grand pouvoir de nuisance, endoctrinant les esprits faibles et tourmentés.
Elites ou peuple, personne ne peut, de bonne foi, ignorer la montée de l’islamisme partout dans le monde, avec des groupes prêts à commettre les pires horreurs.
C’est donc bien aux dirigeants en place de prendre des mesures fortes, quitte à bousculer leurs prêteurs, pour protéger leurs peuples, et de proposer des lois nouvelles ou remettre certaines lois inusitées au goût du jour pour traiter les auteurs d’attentats et là je pense à condamner les auteurs, lorsqu’ils sont arrêtés, pour crime contre l’humanité. Si notre Président se montrait un peu plus ferme vis-à-vis de l’U.E. pour tous ces problèmes, nous le respecterions un peu plus et en même temps cela poserait des limites aux Etats étrangers inquisiteurs.
Ce que les Français reprochent après tant de victimes, ce sont à la fois les avancées et les reculs du gouvernement et son autosatisfaction permanente sur les attentats déjoués et les événements qui se sont déroulés sans problème. Qu’ils arrêtent de parader et qu’ils se mettent au boulot, c’est tout ce qu’on leur demande.
Vouloir déradicaliser un islamiste sunnite fanatique et sanguinaire, c’est comme chercher à soigner une maladie avec un antibiotique multirésistant.
« On est en guerre, une guerre totale… ce sera eux ou nous »
Laissons ces politiques s’étriper entre eux et essayons en attendant d’être très vigilants pour assurer notre propre survie. Comme on dit aide-toi, le ciel t’aidera. On ne peut pas compter sur les incompétents.
http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-france-est-devenue-principale-usine-occidentale-produire-terroristes-theorie-americaine-qui-derange-gilles-kepel-carnage-2766924.html
Un jeune Afghan de 17 ans blesse à la hache plusieurs personnes dans un train en Bavière, aujourd’hui, un chauffeur de VTC, arrêté avec des explosifs chez lui, une mère et ses filles agressées en vacances parce qu’elles auraient eu des tenues trop légères…
Cela commence à faire et démontre bien que la folie passagère n’est que le titre d’une émission. On ne peut plus se contenter de voir des déséquilibrés partout. Tout cela est bien orchestré pour semer la terreur, la peur ou la panique, pour frapper l’infidèle et pour obéir aux frères de l’E.I.
On peut voir des déséquilibrés partout et s’en contenter. On peut trouver toutes les excuses possibles, mais que demande le peuple ? Juste un gouvernement qui prenne la mesure des actes de plus en plus graves pour la sécurité du citoyen lambda, et qu’il agisse en conséquence, sans se voiler la face.
Que Juppé, Sarkozy et autres politiques critiquent, tant mieux, enfin ils font leur travail d’opposants. C’est de bonne guerre et à ceux qui trouvent que la décence pour les morts, etc., etc. souvenons-nous de l’affaire Merah, la décence ? le PS avait critiqué car c’était déjà la campagne présidentielle.
« Sans la liberté de blâmer, il n’est pas d’éloge flatteur » et j’ajouterai à cela que la critique fait avancer tout simplement.
Rien de nouveau sauf une situation qui commence à devenir très inquiétante et chacun d’entre nous pense à ses proches, ses enfants qui pourraient être les prochaines victimes.
Il y a un ministre de l’Intérieur (dont tout le monde connaît le nom) qui a dit « il faut terroriser les terroristes ».
Puis une espèce de mal embouché a dit il n’y a pas si longtemps, en parlant des terroristes tchétchènes, « nous les poursuivrons jusque dans les chiottes ».
Beurk ! Quel malpoli ! Comment ose-t-il ! ont crié en choeur tous nos costardés.
Depuis, les terroristes tchétchènes se tiennent à carreau.
Chez nous c’est plutôt « Sachez, bon peuple, que vous n’en avez pas fini avec ces musulmans radicalisés… »
Ce n’est tout de même pas pareil. Question vocabulaire, petites phrases et analyses, nous sommes, comment dire… imbattables.
(Du reste le mal embouché n’a même pas un coiffeur à dix mille boules, c’est dire le niveau…)
Restons soudés, fraternels, l’union sacré vaincra ces méchants jihadistes qui veulent nous faire changer notre mode de vie 🙁
En même temps si c’est le credo du gouvernement, des Nuit debout ou autres zadistes, comme dirait Valls « chacun prendra ses responsabilités » 😀
Jusqu’à présent, tous les attentats recensés en France ont été commis et revendiqués par la mouvance islamique. Imaginons quelques instants qu’un individu indiscutablement français mais du type Breivik, armé jusqu’aux dents, fasse un carton à la sortie d’une mosquée et revendique sa seule satisfaction personnelle d’avoir fait plus de cent cinquante morts et autant de blessés. Scénario tout à fait possible. Que croyez-vous qu’il arrivera ?
Ce sera le déclenchement de la guerre civile. Des dizaines de milliers de musulmans ou se prétendant tels, racailles comprises, sortiront de leurs banlieues et passeront au fil du couteau tout ce qui ressemblera à un « blanc-mécréant-bourgeois-colonisateur », dans la rue et jusque dans les maisons. Ce sera une Saint-Barthélémy à l’envers mais en mille fois plus grave. Bien sûr, une telle boucherie ne restera pas sans réponse et des représailles (qu’on appellera ratonnades) seront organisées ou spontanées et ainsi de suite. La police ne pourra pas faire grand-chose et se bornera à compter les cadavres. Une immense haine (elle couve déjà depuis longtemps) divisera les populations et la probabilité qu’un gouvernement dit de salut public s’empare du pouvoir est grande. De gauche ou de droite, il sera forcément contesté et on ira vers une purge à côté de laquelle les règlements de comptes de la Libération n’auraient été qu’une sauterie de potaches. Comme les prisons sont pleines à 135%, on imagine les mesures qui seront prises…
La veulerie et l’aveuglement de nos actuels dirigeants ajoutés à leur incompétence crasse sont propices à une telle situation. F.H. accumule les minutes de silence et les jours de deuil qui en fera le président-record du drapeau en berne. Et les bourdes de l’opposition (« y avait qu’à lui retirer son permis poids lourds » !) ne rassurent personne.
La sagesse voudrait que FH se décide à dissoudre l’Assemblée et provoque ainsi de nouvelles élections législatives qui verraient certainement l’arrivée massive de députés FN, une gauche très diminuée, et enfin des décisions de bon sens, seules capables de calmer les colères légitimes du peuple, lequel en a marre de ce gouvernement de farces et attrapes. Mais que peut-on attendre d’Hercule Fécond, l’homme qui ne nettoie plus les écuries d’Augias mais qui en rajoute ?
(J’ai choisi Hercule Fécond pour faciliter le travail des poètes toujours à la recherche de rimes riches)
@Exilé
Je ne suis pas psychiatre, mais si j’ai utilisé le terme de psychopathe à propos du terroriste de Nice c’est parce qu’il avait été traité pour des troubles psychiatriques. Je n’ai utilisé ce terme pour aucun autre terroriste. J’ai également entendu le procureur François Molins : « Des témoignages font état d’un individu très éloigné des considérations religieuses, ne pratiquant pas la religion musulmane, mangeant du porc, buvant de l’alcool, consommant de la drogue et ayant une vie sexuelle débridée. »
Je n’exonère pas les islamistes de leurs responsabilités pour autant puisque je dis que c’est leur propagande qui a provoqué le passage à l’acte.
Bien entendu libre à vous de penser différemment.
@ protagoras
Si vous êtes un rescapé du Bataclan, je comprends votre émotion. Mais qu’apporte la vengeance ?
A propos de la liberté d’expression, je conseille la lecture du livre d’Anastasia Colosimo « Les bûchers de la liberté ». Elle y décrit le retour du blasphème, et donc de la condamnation des blasphémateurs.
A force d’interdire certaines opinions (le négationnisme, l’apologie de la colonisation, etc.), et au contraire d’imposer des « vérités », s’il le faut par un vote du Parlement (le génocide arménien, la théorie du genre, et autres), on se retrouve avec en face de soi des gens qui veulent vous imposer leur façon à eux de voir les choses. Forcément !
Nous sommes engagés dans une guerre de religion. Car qu’est-ce qu’une religion sinon une vision du monde partagée par ses membres ? Cherchant à imposer au reste du monde notre vision du monde, en gros libérale-libertaire, nous sommes combattus par ceux qui ne la partagent pas. Ça nous apprendra (j’espère…) à respecter nos propres principes, liberté, égalité, et surtout fraternité, au lieu de continûment les fouler aux pieds…
Bonsoir Michelle D-LEROY | 19 juillet 2016 à 17:24
Je partage ce que vous venez d’écrire, mais il est inutile d’espérer quoi que ce soit de la part de nos gouvernants actuels y compris ceux qui les ont précédés depuis VGE.
Ces hommes sont absolument incapables de diriger une nation, c’est la machine qui fait fonctionner le système et ceux qui sont à la barre ne sont là que pour faire du vent et surtout profiter financièrement de la situation et des finances de notre pays – en un mot ce sont des escrocs et il ne faut rien attendre d’un escroc !
Philippe Bilger nous fait d’ailleurs un exposé magistral sur le sujet, dont j’extirpe une phrase :
« D’une part, derrière l’affichage proclamé, ses quatre années de présidence ont terriblement, profondément clivé notre nation sur beaucoup de registres et il est indécent, pour le créateur du mal, de se présenter comme le médecin. »
Alors vous proposez de nous prendre en main, je suis d’accord, donc il faut réclamer, il faut exiger, mais quoi ?
Pour faire simple, je réclame que l’on demande aux spécialistes d’Israël de venir diriger les opérations de sécurisation de la France, je demande que les Français puissent s’armer (comme les Américains, car les criminels le peuvent eux), que l’on puisse avoir des vigiles par quartiers, et une information permanente sur la veille que l’on doit avoir !
Quant au reste, nos politiciens auront peut-être moins de bakchichs de la part des lobbys du pétrole mais nous nous en moquons !
François Hollande et sa bande continuent et continueront à s’accrocher au pouvoir comme une moule à son rocher, en dépit de leur incapacité à faire face. Le pays s’enfonce mais ils n’en ont cure. Pour eux, seul compte mai 2017.
Pathétique.
Cher Philippe,
Ce n’est pas parce que nos mémoires sont écorchées par des événements monstrueux que la totalité de nos systèmes de réflexion et de réaction est inhibée.
Christian Estrosi a écrit une lettre à Hollande la veille de la tragédie pour poursuivre la sécurité sur Nice, courrier ignoré par Hollande.
Ce même candide déclarait le matin même de la tragédie que l’état d’urgence pouvait cesser et qu’il était possible de diminuer le nombre des effectifs, se vantant de la réussite de la sécurité de l’Euro 2016 et que le pays allait mieux.
Un certain nombre de casernes ont été fermées par Hollande ainsi que des hôpitaux militaires : vrai ou faux.
Vrai alors que nous devons préparer le pays à une médecine de guerre.
Nous devrions examiner les déclarations du même fanfaron dans sa parade au Mali. Une réussite éclair, une intervention courte et regarder la situation d’actualité qui est tout à fait ignorée des médias de France.
Un gouvernement qui n’a aucune anticipation, qui ne prend pas les avis sincères des acteurs de la République, qui n’a pas de lecture du présent.
Les Etats-Unis et l’Espagne ont renforcé leurs mesures de sécurité (voir l’exemple de Barcelone et Madrid) alors que Hollande a fait le choix de baisser la garde un jour très symbolique.
L’attaque des symboles, une situation improbable ?
Et voilà les médias qui ne comprennent pas pourquoi un vaste élan d’unité ne se fait plus autour d’un président ?
Un président qui se promène de festival en commémoration, qui est en contradiction avec l’ensemble des Français, qui a perdu le sens symbolique de son exercice et qui n’est qu’un individu vide, robotique, insensible, perché sur son nuage ne devrait-il pas présenter ses excuses et sa démission ?
Songeons que le Président Obama a réagi plusieurs heures avant Hollande le soir de l’attentat de Nice.
Il n’a que par trop démontré son impuissance et son incompétence, sa superficialité et sa vacuité pour l’éternité.
françoise et karell Semtob
François Hollande et ses conseillers sont complètement déconnectés de la réalité, de la vie au jour le jour. Le lien avec les Français est complètement rompu.
FH fait la guerre contre un ennemi qu’il ne nomme pas avec des articles de loi inadaptés. L’état d’urgence est prolongé indéfiniment tandis que l’anarchie a pignon sur rue. Les casseurs jettent des cailloux contre les forces de l’ordre dont la hiérarchie donne des ordres laxistes. Les gens violents capturés sont relâchés rapidement.
Les Français n’ont plus confiance, les impôts augmentent et les charges aussi tandis que les salaires stagnent.
Hollande est dans son rêve, il ne comprend rien, il gouverne un pays à la dérive sous un régime d’état d’urgence en carton.
L’auteur de l’attentat de Nice appartenait à la génération Taubira, il n’était pas un islamiste radicalisé, aurait-on donc trouvé enfin un musulman modéré ?
http://www.europe1.fr/faits-divers/hautes-alpes-une-mere-et-ses-trois-filles-agressees-a-larme-blanche-2803036
Origine de l’auteur : pasdamalgame chuuuuuut…
Religion de l’auteur : pasdamalgame chuuuuuut…
@ Mitsahne | 19 juillet 2016 à 18:19
L’engrenage que vous décrivez dans votre deuxième paragraphe est celui des événements de Sétif le 8 mai 1945, réprimés très durement par l’armée française, ce qui n’a cependant procuré que neuf ans de paix et n’a pas empêché le lancement de la guerre d’Algérie le 1er novembre 1954… C’est aussi un rappel du déclenchement de la Saint-Barthélémy.
Effectivement, l’attitude des trois singes adoptée par notre personnel politique depuis plus de quarante ans ne peut que déboucher sur ce type d’action/réaction/contre-réaction, la violence appelant et nourrissant la violence extrême.
Quant à ce billet, Monsieur Bilger, je retiendrai cet alinéa : « La cohésion, qui est en effet une aspiration légitime, n’a jamais résulté d’incantations répétées et seulement verbales mais n’aurait pu être engendrée que par une lutte déterminée et perceptible par tous contre les maux de notre société, aisément identifiables. L’unité ne peut être que la conséquence d’une action et non une revendication de principe, en l’occurrence démentie par la réalité ».
Ceci concrétise ce que j’ai écrit, à savoir l’attitude des trois singes adoptée par notre personnel politique soucieux exclusivement de réélections et d’exercice du pouvoir local, régional ou national. Ce n’est que le discours plat servi par nos énarques qui, au fond, n’ont appris qu’à mépriser le peuple qui est à leur idée préconçue vil et inculte, incapable de concevoir ce qu’il faut pour son bonheur… En somme faire le bonheur du peuple contre son gré : voilà leur devise et leur politique ! C’est au fond ce que vous reprochez à M. Hollande en son palais présidentiel.
Je crois que les citoyens en ont assez de ce gouvernement… élu pour cinq longues années où la langue de l’essoufflement n’arrête pas de s’allonger.
Il faut faire avec, et là est l’esprit de la démocratie. Dire qu’il en est encore qui défendaient le septennat, comme on arrive à défendre le cumul des mandats.
Des gouvernants magnifiques dans leur quotidien, la vérité au bout du discours, « ça va mieux », jamais nous ne nous sommes sentis aussi bien, il fallait bien un exécutif d’opérette pour aller s’aventurer sur ce terrain. Comme tous les besogneux, ceux qui labourent sans cesse, il n’y a jamais de ça va mieux et c’est ce qui est rassurant, la seule vision qui compte c’est la longueur du sillon tracé à la fin de la journée.
A droite c’est d’une tristesse absolue aussi, pas de laboureur à l’horizon, des politiques, que des politiques, on les connaît… trop.
Alors que reste-t-il ? Le vide, et dire que tout continue, les mêmes oscillations, encore et encore. Triste avenir.
@ Denis Monod-Broca
Je me permets de m’immiscer parce que je sais que trop de gens qui ressentent la nécessité de la vengeance ne savent ou n’osent pas l’exprimer.
« Si vous êtes un rescapé du Bataclan, je comprends votre émotion. Mais qu’apporte la vengeance ? »
La vengeance est, comme le dit Homère pour Ulysse avec les prétendants, « douce comme le miel ». Elle permet de passer du statut de victime, d’agi par l’autre, à agissant l’autre, de bourreau, et permet, dans certains cas, celui d’Ulysse entre autres, de reprendre ce qui est à soi, la place de roi d’Ithaque.
Si pour vous, passer de pantin à agissant, de mendiant à roi dans son royaume, et en somme c’est ce que produit toute vengeance, revaloriser le vengé, si cela n’est rien, qu’est-ce qui peut bien être quelque chose ? De toutes vos interventions, il me semble ressortir que de croupir dans l’abjection de la soumission vous plaise, que vous attendez avec impatience le temps où le fardeau de la liberté, car c’en est un pour certaines gens, ne vous soit retiré.
Il en faut pour tous les goûts, mais allez vous soumettre, vous, et vous seul, n’entraînez pas les autres, je n’ai pas trop envie d’assister à Daech-sur-Seine.
Il est clair que si la société dissuade la vengeance entre citoyens, c’est pour ne pas sombrer dans la guerre civile ou la mafia. Mais face à une agression subversive il est au contraire un devoir social de se venger, et ne vous déplaise, justice et guerre sont des vengeances. Tu me frappes ? Je te frappe.
« A force d’interdire certaines opinions (le négationnisme, l’apologie de la colonisation, etc.), et au contraire d’imposer des « vérités », s’il le faut par un vote du Parlement (le génocide arménien, la théorie du genre, et autres), on se retrouve avec en face de soi des gens qui veulent vous imposer leur façon à eux de voir les choses. Forcément ! »
Mais les gens ne doivent le faire que par la loi en démocratie. Pas impossible : si Marine Le Pen arrive au pouvoir, je doute que les législations précitées tiennent. Il y a des règles, en démocratie, si des gens les transgressent, ce sont des ennemis auxquels, à part vous, peu de gens, et heureusement, veulent se soumettre.
Et dire que je l’affirme alors que favorable à la liberté d’expression ! Mais je n’ai pas envie d’obtenir certaines libertés par une soumission aux ennemis de la liberté. Si je suis, moi, pour une liberté d’expression accrue, je l’ai toujours dit, mais c’est par amour de la liberté, et aussi, vous parlez des arriérés, reportons-nous plutôt aux meilleurs, les Américains, qui prouvent tous les jours qu’on peut avoir une liberté d’expression des plus étendues.
J’ai honte pour vous que vous ne soyez pas touché par leur exemple. Vous vous souciez de vous abaisser jusqu’aux critères d’obscurantistes et non de vous élever au niveau de l’exigence de liberté des Américains, d’ailleurs point incompatible, dans leur cas, avec la religion au sens non que vous lui donnez mais de lien avec une divinité. Ils enracinent la liberté dans la religion. Les islamistes déracinent la liberté par la religion. Mais vous vous tournez vers les pires, dont nous devrions être les élèves, et non les meilleurs. Et quand on suit les pires, on devient quoi, à votre avis ?
Pour vous, en appeler à la religion sert-il l’obscurantisme et le dénigrement de la liberté, ou le dénigrement de la liberté et l’obscurantisme servent-ils la religion, à moins que les deux attitudes ne fassent qu’une seule ? Vous n’êtes ni le premier ni le dernier à prêcher dans un faux sublime, vraie pente vers le pire.
@ protagoras
Vous n’auriez pas dû dire avoir été confronté. L' »humaniste » Denis Monod-Broca vous a poussé vers l’émotion, et donc, lui, la raison. Quand il s’agit de ne pas voir les rapports de force dans la politique, il est là, quand il s’agit de les utiliser dans une discussion, aussi. Inconséquence, duplicité ? En tout cas, fort déplaisant, et ce n’est pas la première fois.
Je reviens sur cette confidence d’un proche de Hollande parlant de la réaction des Républicains, citée par Philippe Bilger :
« La question pour eux n’est pas le niveau de Vigipirate, le nombre de policiers, de gendarmes ou de militaires sur le terrain. Leur solution n’est pas de mettre plus de forces, c’est, au fond, d’en terminer avec la présence des immigrés et des musulmans. »
http://www.lejdd.fr/Politique/Apres-Nice-Hollande-face-a-deux-visions-de-la-democratie-797590
Si seulement ! Si seulement les Républicains disaient cela ! Mais non, cela, c’est seulement les Français qui le pensent. Evidemment que la question n’est pas « le niveau de Vigipirate », qui est au rouge vif depuis des années. Evidemment que la solution n’est pas « le nombre des policiers sur le terrain ». On ne peut pas mettre un policier derrière chaque musulman ou chaque immigré.
La solution, évidemment, est d’en terminer avec la présence des immigrés et des musulmans. Ca tombe sous le sens.
Mais l’inversion des valeurs de ce « proche de Hollande » montre bien à quel point cette classe politique travaille contre les intérêts fondamentaux du pays, contre la sûreté nationale de la France.
Ils veulent en finir avec le droit. Ils vont changer de sujet et demander ‘Qu’est-ce qu’on peut accepter dans une société?’ Ils diront : ‘On ne veut plus de voile, plus d’imams, plus d’étrangers.’ Et nous, nous défendrons les lois de la République. Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’État de droit plutôt que perdre la vie. » Nous, c’est « pour la vie en commun, pour la vie tout court, vive l’État de droit ».
Donc, pour ce traître non identifié, le « droit », c’est accepter l’invasion de la France par des hordes étrangères résolues à l’asservir. Les « lois de la République », c’est l’immigration de masse. « L’Etat de droit », c’est l’islamisation de la France.
Formidable aveu ! Voilà qui confirme ce que j’écrivais ici il y a peu : l’Etat de droit, c’est l’Etat de gauche. Et ce que je dis depuis longtemps : les prétendues « valeurs de la République », ce sont les valeurs de gauche. Les socialistes pervertissent tout ce qu’ils touchent, et les mots avant toute chose. C’est cela qui leur permet de subvertir, ensuite, la société : les mots ne voulant plus rien dire, ayant pris dans bien des cas le contraire de leur sens originel, on peut manipuler les gens à plaisir.
Un intime conclut : « Aujourd’hui, c’est la question de la démocratie qui est en cause. Quelle démocratie voulons-nous ? Trump ? Sûrement pas, nous sommes la France. »
Formidable mélange de bêtise et de mauvaise foi : l’Amérique, c’est aussi Obama, qui se trouve être au pouvoir. Et je serais curieux de connaître le nombre de Français qui aimeraient bien un Trump à l’Elysée…
Nous sommes la France ? Qui ça, nous ? Les socialistes ? La gauche ? Ecoutez-les : ces gens s’imaginent propriétaires du pays !
Que les élèves de l’Ecole Nationale d’Abrutissement (ou Entreprise Nationale d’Arnaqueurs) soient ce qu’ils sont, c’est-à-dire des êtres d’ego dont le seul désir est de commander, et non des êtres d’intellect soucieux de s’approcher de la vérité à défaut de la découvrir, ne fait aucun doute sauf dans l’esprit des simplets.
Que les simplets qui autrefois tous les sept ans et désormais tout les cinq votent pour eux pour aussitôt accabler l’objet de leur choix de toutes les tares ne fait aucun doute, sauf dans leur esprit de simplets.
Que les simplets n’aiment pas qu’on les qualifie ainsi alors qu’il ne s’agit que d’appeler les chats des chats ne fait aucun doute, ni dans leur esprit ni dans ceux qui les reconnaissent comme ce qu’ils sont.
Que les simplets roulés dans la farine depuis parfois des décennies soient prêts à se laisser de nouveau berner par un Juppé qui veut refaire le coup de « la force tranquille », le vieux sage au-dessus des querelles partisanes, rassembleur et non clivant, et autres considérations à varier, ou par l’enthousiasme du jeunot qui veut (et peut !) faire croire qu’il est l’homme de la situation puisqu’il véhicule des concepts du XIXe désormais caduques dans une tablette tactile censée faire prendre le vieux pour le neuf, ceci ne fait aucun doute. Juppé piège à niais, Macron piège à… Je ne cite que les noms pour lesquels j’ai trouvé une rime signifiante.
Que les simplets détestent ceux qui se trompent moins qu’eux est vieux comme le monde , et hélas inévitable.
Que quelqu’un fasse remarquer justement que les lois sont inefficaces face à la folie aurait tout au plus appelé à contester le terme de folie pour qualifier les croyants pour préférer celui de faiblesse existentielle, cette caractéristique de beaucoup d’humains qui sont tellement terrorisés par la perspective de leur mort qu’ils la nie en inventant l’immortalité que constitue une vie dans l’au-delà.
Que ceux qui sont incapables de comprendre la notion de pourcentage ne comprennent pas cela non plus était hélas prévisible, et après avoir affirmé qu’on faisait dire aux chiffres n’importe quoi, ils montrent qu’on ne peut pas échapper à sa nature : « Marre d’entendre Valls et Sarkozy répéter en boucle que le risque zéro n’existe pas… il n’y a que ceux de leur engeance, de leur envergure mdrrrrr qui osent dire et répéter une telle idiotie… ni l’un ni l’autre ne se sont jamais donné la peine de lire le concept original de ce risque zéro. »
Ptdr, lol, mdr, xd…
@Robert Marchenoir
« La solution, évidemment, est d’en terminer avec la présence des immigrés et des musulmans »
L’avantage avec vous c’est que vous êtes « cash » comme on dit aujourd’hui. Et quand je pense que certains tournent en dérision l’expression pas d’amalgame.
Marine Le Pen vous assimilerait à Bernard Cazeneuve, elle qui a récemment tweeté :
« En confondant les fondamentalistes islamistes que je combats et les musulmans, @BCazeneuve insulte les musulmans et se discrédite. »
Décidément on ne sait plus à qui se fier !
Désolé mais nombre de commentateurs de ce blog, ainsi que notre hôte habituellement plus pondéré et prudent, prennent pour vérité d’évangile les propos rapportés sous couvert de l’anonymat tenus lors de ce conseil des ministres restreint. Ce fait devrait conduire à une grande prudence sur leur véracité : propos bien réels et non tronqués habilement ? « morceaux choisis » sortis de leur contexte ? interprétation fort libre de ce qui a été réellement dit ? etc.
Hélas et pas que sous la présidence de Hollande, bien souvent ce type de confidences sous le sceau de l’anonymat relevait de règlement de comptes internes au gouvernement en place et pas obligatoirement d’un ministre en titre. Alors chacun y trouve ce qui conforte sa propre opinion, son hostilité voire sa haine du pouvoir en place.
Il est quand même utile de rappeler que sous la présidence Sarkozy et à un degré moindre sous celle de Chirac, des mesures fort contestables furent prises. Celles-ci ayant des incidences notables sur la lutte directe et indirecte contre le terrorisme : abolition de la double peine, peines de prison ferme ou < deux ans relevant quasi de l’exception, fusion hâtive de la DST et des RG qui aboutit à la disparition de ces derniers, complaisance vis-à-vis des menées les plus douteuses du Quatar, réduction des effectifs de la gendarmerie et de la police, diminution drastique de ceux de l’armée de terre ainsi que quasi démantèlement de ses régiments via les BDD, aventurisme militaire en Libye qui créa une sorte de « porte-avions » pour le salafisme le plus radical, cafouillages dans l’affaire Merah et présentation de ce dernier comme un loup solitaire, etc. Bien évidemment la médiocrité de Hollande est patente dans tous les domaines, et même dans la lutte contre le salafisme radical, matrice du terrorisme qui ensanglante notre pays. Mais taxer Hollande et Valls ainsi que Cazeneuve et Le Drian de tous les maux, il ne faut pas exagérer !… Depuis au moins une décennie tous nos politiques ayant été au pouvoir portent conjointement et à égalité la responsabilité dans notre situation actuelle concernant le terrorisme. Ainsi que déjà écrit, vu d’Australie le comportement démagogique et politicien de l’opposition est incompréhensible pour les politiques et les médias de ce pays. Pour une appréciation non partisane de la situation actuelle, je conseille vivement de lire un article de l’ex-colonel Goya, daté initialement du 16 juin mais qui est toujours hélas d’actualité. http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2016/06/le-gout-du-fer.html#links
L’immigration musulmane, ce n’est pas seulement l’assassinat de masse : c’est aussi le viol et la pédophilie.
Un Anglais de 35 ans a été arrêté par la police pour avoir tenté d’abuser d’une fille de 13 ans, après avoir échangé des messages avec elle sur Internet.
La « fille de 13 ans » était en réalité un agent de police. L’Anglais de 35 ans qui voulait jouer au docteur est… un vrai docteur, gastro-entérologue au NHS, le système de santé britannique 100 % communiste. Un fonctionnaire, donc.
Il s’appelle Khaled Zachariah. Regardez-moi cette belle tête de violeur pédophile.
Bienvenue dans « l’Etat de droit », la « démocratie » et les « valeurs républicaines »…
Ce n’est pas un « hasard ». Ce n’est pas une « minuscule minorité ». Les affaires de ce genre, en Angleterre, il y en a très régulièrement : agressions sexuelles de patientes par leur médecin, erreurs médicales grossières et fatales, malversations diverses…
Les médecins arrêtés et jugés sont très souvent musulmans, africains ou extra-européens.
En Angleterre, vous ne pouvez pas choisir votre médecin. C’est 100 % gratuit. En contrepartie, vous allez là où le parti communiste vous dit d’aller.
Par exemple, chez le « docteur » Khaled Zachariah.
Quelques autres exemples de l’incroyable enrichissement que nous devons à la médecine musulmane (et plus généralement non occidentale) :
Le docteur Anupama Ram Mohan.
Le docteur Adedayo Adedeji.
Le docteur Dhanuson Dharmasena.
Le docteur Emmanuel Edet.
Le docteur Nadeem Azeez.
Le docteur Sylvester Nyatsuro.
Le docteur Andong Ashu.
Enfin, celui-là n’est pas vraiment docteur… Le journal le qualifie de « scientifique ». En France, nous dirions « personnel de santé ». En gros, c’est un infirmier.
Et encore, je me suis volontairement limité à la Grande-Bretagne… Pour revenir à l’atrocité musulmane du jour : le massacre commis par le « déséquilibré de Nice », rappelons le massacre commis par un autre « déséquilibré », qui, lui, était un véritable cumulard : « déséquilibré », musulman, terroriste, médecin, officier de l’armée américaine et… psychiatre !
Le docteur Nidal Hasan.
En général appelé le major Nidal Hassan, car tel était son grade dans l’armée américaine, où il a été amené, un jour… à faire une conférence d’initiation à l’islam devant des médecins militaires.
Pour bien faire comprendre à ses collègues en quoi consistait réellement l’islam, il a fini, en 2009, par tuer 13 de ses camarades d’armes et par en blesser 32 autres, sur la base militaire de Fort Hood, après avoir tiré 200 coups de pistolet, en criant « Allah akbar » – comme l’abruti d’hier sur une plage de Normandie.
Il a été condamné à mort.
En 2014, il a écrit à Abu Bakr al-Baghdadi pour demander à devenir citoyen de l’Etat islamique.
Et pour en revenir à notre discussion sur le droit au port d’arme pour les civils, si vous vous demandez comment il se fait que le major Nidal Hasan ait pu tuer 13 soldats et en blesser 32 autres, à lui tout seul, au beau milieu d’une base militaire américaine et à l’aide d’un unique pistolet, eh bien… c’est parce que les soldats, sur ces bases, n’ont pas le droit de porter des armes… pour des raisons de sécurité, bien sûr !
On voit à quel point l’idéologie est poussée à l’absurde dans cette histoire de port d’arme. Décérébrés par la propagande socialiste, des millions de gens finissent par nier le simple bon sens, tout en partant à la chasse d’hypothétiques « statistiques »… qu’ils s’empresseront de discréditer au nom de je ne sais quel prétexte, parce qu’elles ne vont pas dans leur sens.
Répétons l’évidence : si Alexandre Migues, Gwenaël Leriche, ou le conducteur héroïque du scooter dont nous ignorons le nom avaient eu le droit de porter ceci sur eux, comme cela aurait été le cas s’ils avaient été américains, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, au lieu de tuer 84 personnes, en aurait peut-être tué seulement 60, 40 ou 10, avant d’être abattu à son tour.
Pas besoin de lance-roquettes, Monsieur Guaino. Il est criminel de balayer cette évidence à l’aide de formules convenues, du type « Far-West » ou autres.
Je veux de la poudre et des balles.
Excusez-moi de repasser une couche, j’avais raté ça, c’est vraiment trop gros.
Donc, les propos d’un « proche de Hollande », interrogé par le JDD, qui se scandalise des critiques formulées par les Républicains au lendemain de l’attaque de Nice :
Ils veulent en finir avec le droit. Ils vont changer de sujet et demander « Qu’est-ce qu’on peut accepter dans une société ? » Ils diront : « On ne veut plus de voile, plus d’imams, plus d’étrangers. » Et nous, nous défendrons les lois de la République. Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’État de droit plutôt que perdre la vie. Nous, c’est « pour la vie en commun, pour la vie tout court, vive l’État de droit ».
http://www.lejdd.fr/Politique/Apres-Nice-Hollande-face-a-deux-visions-de-la-democratie-797590
C’est tellement énorme que ça m’avait échappé : « Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’Etat de droit plutôt que perdre la vie ».
Autrement dit, ce « proche de Hollande » reproche à l’opposition de vouloir préserver la vie des Français. Il dit, noir sur blanc, que lui, son parti et les hommes au pouvoir préfèrent voir mourir des Français plutôt que de voir porter atteinte à leur idéologie – qu’il appelle l’Etat de droit, mais chacun comprend bien que cela ne veut rien dire, que cela dissimule autre chose.
Si le prétendu « Etat de droit » est une idéologie qui justifie que des Français se laissent massacrer en masse sans réagir, alors il va de soi, pour n’importe qui n’a pas totalement perdu la raison, que « l’Etat de droit » est une abomination dont il faut se débarrasser au plus vite.
C’est n’est rien d’autre que la bonne vieille idéologie communiste, qui n’a jamais changé, malgré ses avatars successifs : on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs. Cent millions de morts hors victimes des guerres ? C’est le prix à payer pour l’avenir radieux du communisme.
Des millions de paysans ukrainiens délibérément tués par la famine organisée ? C’est une bonne chose, puisque cela hâte la venue du communisme.
Des centaines de Français torturés et massacrés par des terroristes musulmans, par des Merah, par des Fofana, par des criminels de droit commun issus de l’immigration ? C’est une bonne chose, puisque cela hâte la venue de la société métissée que nous appelons de nos voeux, la société multiculturelle, le monde sans frontières qui est devenu le nouveau nirvana de nos communistes – et qu’ils se nomment, eux-mêmes, socialistes, écologistes, anti-fascistes, voire Républicains n’a aucune importance, c’est toujours la même idéologie qui s’adapte aux circonstances.
Oui, c’est bien « L’Elysée contre les Français », mais cela va beaucoup plus loin. Ces gens-là veulent notre mort, tout simplement. Ils le disent. Nous serions fous de ne pas les entendre.
Si tous ceux et celles qui ont été aux Affaires comme ils disent, avaient une once de dignité, tous démissionneraient et Hollande de Lisbonne aurait dû dire ‘Parce que je suis le chef de l’Etat et que je suis incompétent, je démissionne… » mais aucun ne démissionnera, la soupe est trop bonne, aucun risque pour eux.
Ils ont tous échoué, nous embobinant de paroles souvent idiotes, comme ce Le Guen qui ose déclarer « nous n’accepterons aucune critique de nos forces publiques » (ou quelque chose dans le genre), mais aucun citoyen ne critique la police ou la gendarmerie – voire les militaires – ceux et celles qui sont au feu, au front dans les rues… les citoyens critiquent les ordres imbéciles donnés, le manque d’anticipation, la guerre des services, les citoyens critiquent les têtes qui croient penser alors qu’elles sont vides… Les Français sont las de tous ces pseudo-gouvernants et leur discours plein de vide et dont l’exécutif nous inonde jour après jour, exécutif qu’il soit de droite ou de gauche… juste des fonctionnaires de la politique qui n’ont plus aucune légitimité, aucune crédibilité… il est juste indigne !
Philippe, ce qui provoque colère et ressentiment ce ne sont même pas les propos de ce conseiller anonyme, mais le fait d’une part que ce conseiller n’ait pas la plus petite décence intellectuelle de dire qui il est, de l’autre l’idée qu’une rédaction comme celle du JDD persiste à citer des propos masqués.
La politicaillerie-médiacratie dans son ordinaire, médiocrité et lâcheté.
Je tiens pour rien les propos d’arrière-cuisine électoraliste de ce conseiller fantôme.
Je persiste à penser que ce qui devrait animer prioritairement les rédactions est le souci, l’obsession de comprendre comment un président de la République peut juger opportun de suspendre un état d’urgence à 11 heures du matin et le réactiver à toute allure, sous le poids de l’événement et la cruauté du réel, dans la nuit qui suit.
Il y a là le simple constat d’une carence de maîtrise de la situation au plus haut niveau de l’Etat.
Je persiste à pressentir que depuis des mois et des mois, seul l’horizon de l’Euro a mobilisé le pouvoir en place, que ce soit dans le domaine dit social – se rappeler les cadeaux éhontés faits à la SNCF à la veille de l’Euro -, comme dans celui de la sécurité publique.
La démocratie, la République, l’Etat de droit, etc., bref, toutes ces choses qui semblent si précieuses dans les arrière-cuisines du pouvoir et des médias commencent d’abord par une presse qui refuse de publier les propos masqués de ses informateurs et s’attache à exploser les écrans de fumée.
Pendant que « l’Elysée « joue » contre les Français », que les ministres de la Défense et de l’Intérieur recherchent des jeunes pour se faire trouer la peau, certains continuent leur petit commerce en faisant les 3 singes : http://www.liberation.fr/futurs/2015/12/09/qui-fournit-i-internet-par-satellite-a-l-etat-islamique_1419373
L’Elysée contre les Français ?
Oui, et c’est sciemment que les politiques détruisent la France en l’endettant ; le seul poste budgétaire qui ait diminué depuis trente ans est l’armée, pour les autres « ça ne coûte rien c’est l’Etat qui paye »…
Le peu d’armée opérationnelle est envoyé en Afrique sans aucun résultat comme on l’a vu en Afghanistan précédemment.
Il faut m’expliquer comment les AWACS n’ont pas vu pendant des années les colonnes de camions citernes de pétrole de l’EI qui les ont financés. Il faut aussi m’expliquer comment la France qui bombardait depuis plus d’un an en Syrie, a en une nuit après le Bataclan, trouvé des stocks d’armes et des centres d’entraînements à bombarder.
Hollande et Fabius ont armé al-Nosra en assurant qu’ils faisaient du bon boulot.
Hollande avait décidé de bombarder le régime syrien pour faire gagner al-Nosra, heureusement les USA ont laissé le crétin seul dans son délire (comment la France qui a laissé se développer sur son territoire des zones
gérées par les Kalach pourrait-elle régler le Mali ou la Syrie ?).
L’OTAN et les politiques ont salué les migrants en jurant que c’était les plus éduqués qui venaient, « tous docteurs »…
Une crise économique alors que la population mondiale n’a jamais été aussi nombreuse, un système économique qui ne finance plus l’économie depuis vingt ans, le but est bien de réduire la population avec une guerre civile.
Il ne reste donc, selon nos éclairés érudits, que la barbarie pour répondre à la barbarie.
D’un côté, éradiquer l’immigré musulman, passant outre que bien souvent ce musulman n’est plus immigré, mais bien français, et de l’autre éliminer tous ces beaufs chrétiens qui ne savent répondre à la violence qu’en tendant l’autre joue.
Et l’on ose nous parler de liberté, incapables d’imaginer autre chose que le fatum de la vengeance pour inspirer une défense impossible à mettre en œuvre, se soumettant à ce joug qui est le plus terrible, à cette chaîne éternelle des mouvements réciproques où le plus cultivé ressemble au plus inculte, où toutes les différences se fondent en un magma indifférencié ne permettant plus de définir aucune valeur, et où, preuve ultime, on définit la vengeance comme seul fondement de la justice, avouant enfin que ce qu’on appelle liberté n’est que soumission aux arcanes de la violence, mensonge ultime de celui qui ne souhaite en fait que dominer l’autre et lui imposer ce qu’il estime être le Droit.
Ils peuvent se disputer, nos politiques défaillants depuis trente ans car victimes, eux aussi, de la tyrannie de la division comme unique moyen d’accéder au pouvoir, ils ne feront pas l’économie de l’aveu de leur incapacité à protéger les peuples par l’établissement d’une réelle démocratie, où ce sont les individus qui, personnellement, doivent instaurer entre eux une relation saine et libérée des injonctions de la vengeance et des mensonges de la division, qu’il n’y a pas d’autres moyens pour accéder à la liberté et que si la conscience de ce joug terrible n’allume pas la lumière dans le cœur de chacun, il ne reste que le meurtre, et sa réplique réciproque déguisée en justice, ô nuit éternelle : le meurtre.
« Au nom de Dieu Tout-Puissant !
Le peuple et les cantons suisses,
conscients de leur responsabilité envers la Création,
résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,
déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l’autre et l’équité,
conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,
sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,
arrêtent la Constitution1 que voici :
… »
Ras-le-bol de tout ce bavardage…
Parce que quand je reprends les résultats du premier tour des élections de 2012, il me semble qu’il n’y a que 18 % des électeurs qui soient autorisés à se plaindre de la situation actuelle. Pour les autres, qu’ils continuent à organiser leurs marches blanches, les minutes de silence, les cellules psychologiques, les petites bougies, les hommages aux victimes, et surtout pour 2017, ne pas oublier de voter contre ses convictions profondes en glissant dans l’urne le bulletin « Barrage républicain ».
@ Lucile
Dans l’affaire de la mosquée de Nice, le Conseil d’Etat a estimé que le maire portait, je cite, « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte ».
C’est exactement ce que je vous expliquais tantôt : si vous étiez vraiment Française, si cela représentait pour vous un peu plus qu’un simple mot sur un morceau de papier plastifié, ce qui vous scandaliserait, c’est qu’un maire puisse en France attenter gravement et de façon manifestement illégale à la liberté d’une partie de ses administrés.
@ Noblejoué
La « guerre juste » a ses défenseurs. De nombreux livres ont été écrits par d’éminents penseurs sur le sujet.
Mais il n’y a pas de juste vengeance, non ! A moins d’oublier des siècles et des siècles de civilisation.
Et d’ailleurs comment se venger de terroristes ou de fous qui, en tuant, se tuent eux-mêmes ou se font délibérément tuer ?
Je ne crois pas être moins libre que vous, asservi que vous êtes à cette nécessité (supposée) de vengeance, de guerre, de violence…
@Véronique Raffeneau
« Je persiste à pressentir que depuis des mois et des mois, seul l’horizon de l’Euro a mobilisé le pouvoir en place »
Si votre intuition était juste, le gouvernement aurait retiré sa loi Travail.
@Marc Ghinsberg
Des témoignages font état d’un individu très éloigné des considérations religieuses, ne pratiquant pas la religion musulmane, mangeant du porc, buvant de l’alcool, (…)
Il y a beaucoup de musulmans qui ne pratiquent pas tous les préceptes de la religion musulmane, ils n’empêche qu’ils sont musulmans, par obligation par exemple quand ils sont nés de père musulman.
De plus, il ne faut pas oublier la pression exercée sur eux par leur environnement culturel.
Par exemple, quand on entend chaque jour des témoignages de mépris des mécréants, ça finit par laisser quelques traces dans l’esprit.
Ce type de comportement schizophrène se retrouve chez d’autres terroristes, comme par exemple chez Merah, qui d’un côté ont mené une vie de patachon et de l’autre ont cherché à s’en purifier, le martyre (au sens islamique) étant un des moyens pour y parvenir.
Je me dois de préciser que je ne suis pas un rescapé des attentats de Paris, mais, beaucoup plus prosaïquement, et des années auparavant, avoir été réellement « confronté » à ce que je pensais être de banales « petites racailles » (ce qu’elles étaient), dans une paisible station balnéaire française, devant une non moins paisible baraque à chichis (moins glorieux mais réel).
La « confrontation » a eu lieu lorsque des mots (pas les miens, le silence étant d’or dans ces circonstances) tels que « toi le koufar, le chrétien, ta femme, ton fils, ta fille la blonde, tu vas voir » et des gestes (coup de poing américain sorti d’une poche, et couteau d’une autre) survinrent.
Le « miracle »… banal mais efficace… deux policiers municipaux, et fuite des racailleux.
J’ajoute que jamais un tel « incident » ne m’est advenu en Egypte, pays que je visite fréquemment ; mais actuellement, selon les dires mêmes d’un vieil ami égyptien, les partisans des Frères musulmans se taisent, même au sein des familles, au sein desquelles la liberté de parole à table est désormais sous autocensure : on n’est jamais sûr que le petit cousin de vingt ans qui ne dit rien n’est pas un sympathisant.
La « miraculée » du Bataclan, et son cri « vengeance », c’est dans un autre contexte : allez donc expliquer à une jeune femme dont une partie du biceps et la majeure partie du sein ont été arrachées par des balles alors qu’elle était couchée à terre qu’il faut faire preuve de « raison » et de « pondération »… le stoïcisme a des limites, tout de même ; le miracle ici, c’est la maladresse du tireur.
@ Marc GHINSBERG | 20 juillet 2016 à 01:01
« Décidément on ne sait plus à qui se fier ! »
Sûrement pas à Hollande.
Après l’avoir jugé largement incompétent sur le bilan de sa première année de présidence, j’en suis arrivé à la conclusion que c’est un irresponsable narcissique, ce qui est bien plus grave et qui dans un pays normal relèverait de l’alise psychiatrique ou du Goulag version modernisée.
En tant qu’irresponsable narcissique il ne joue pas « contre les Français » pour reprendre le titre du billet, non, il joue pour lui, pour lui seul, le seul sujet qui l’intéresse, j’allais dire la seule « chose » car j’en viens à le considérer comme un objet.
L’objet de ma détestation, mais bon c’est l’été et par ces chaleurs caniculaires je suis indulgent.
Je ne comprends pas le soutien dévot que vous lui apportez en tout. À ce niveau ça relève de l’effet sectaire.
À moins que vous ne souteniez son narcissisme pour valoriser le vôtre.
Narcisse et Narcisse and Co !
La prochaine appellation de ce qui restera du PS ?
@jlm
Merci pour ce lien. C’est la question que je me pose depuis Charlie.
@Robert Marchenoir
Leur ligne, c’est mieux vaut perdre l’État de droit plutôt que perdre la vie.
Vous avez bien fait de citer cette vision caricaturale des choses imputée aux Français par les Hommes du Régime.
Au passage, rappelons aussi qu’avant son élection Hollande avait déclaré, en substance : « Nous ne sommes pas là pour protéger les Français », ce qui en dit long sur le personnage.
Les Français sont tout simplement d’une logique cartésienne face à l’absurdité de certaines constructions juridiques artificielles ne tenant pas compte des réalités.
Cette logique peut se résumer dans le cas présent de la façon suivante :
– Proposition N°1 : La fonction première d’un État légitime est de protéger ses ressortissants contre les agressions, qu’elles soient intérieures ou bien extérieures.
Proposition N°2 : Quand les impératifs résultant de la proposition N°1 viennent poser quelques difficultés de compatibilité avec les règles définissant l’État de droit, il convient d’adapter au mieux ces dernières afin qu’elles ne risquent en rien de porter atteinte à la survie de la nation.
Mais c’est peut-être trop compliqué à comprendre pour ces idéologues pervers…
Sans être devin, beaucoup de brillants « spécialistes » brillent par leur naïveté en pensant que les islamistes arrêteront leurs attentats-attaques sur le territoire national, avec l’arrêt des frappes françaises en Syrie.
A terme, les barbus veulent l’instauration de la loi islamiste pour la France et l’ensemble de sa population, et ils y parviendront, ce n’est qu’une question de temps, notre gouvernement et une énorme partie de la population (élus de gauche, médias aux ordres, associations, etc.) décervelée par la propagande socialiste y collabore avec zèle.
Faut-il voir dans l’attentat de Nice une sorte de punition du Ciel de notre propension à laisser complaisamment l’islam s’installer en utilisant contre nous les failles ou bien les absurdités de notre système juridique, la naïveté voire la bêtise administrative sans oublier les intentions troubles de certains collaborateurs de ce système global de conquête du monde ?
Le gouvernement sait que le local dans lequel est implanté ce lieu de culte est la propriété d’un ministre de l’Arabie Saoudite, plus précisément de celui des Cultes et de la propagation de la foi qui prône la charia dans un état religieux wahhabite proche du salafisme.
http://www.nicematin.com/vie-locale/mosquee-de-nice-4-points-pour-tout-comprendre-de-la-polemique-38222
Mais à quel jeu suicidaire jouent donc tous ces pyromanes, en plus du jeu de l’Élysée ?
Les partis contre les Français, et non pas seulement « l’Elysée »…
Belle analyse, mais qui omet deux détails cependant :
1 – Plutôt que d’évoquer « l’islamisme », ce mot creux qui ne désigne personne et particulier et une vague nébuleuse en général, il serait préférable de désigner clairement les ennemis (car c’est bien d’ennemis dont il s’agit) que sont les salafistes djihadistes et les États qui les soutiennent, voire qui les orientent dans leur stratégie destructrice. États mafieux, dictatures, avec lesquels pourtant nous commerçons pour des raisons à la fois cupides et stupides sous couvert manipulateur de « raison d’État »
2 – La démonstration de la bêtise des arguments du pouvoir politique en place à l’encontre de l’opposition majeure est parfaite, mais très incomplète ; la bêtise des propos que les caciques de cette opposition tiennent n’est pas moindre, comme l’est aussi la bêtise des propos tenus par tous les autres partis politiques.
Conclusion : éradiquer la menace salafiste djihadiste exigera en priorité deux actions conjointes, d’une part désigner clairement, nominativement, ceux qui dirigent cette guerre contre nous et les mettre hors d’état de nuire en cessant tout commerce avec eux (ils sont connus), et d’autre part éliminer de nos institutions et de la direction de l’État les partis politiques, auxquels les privilèges qu’ils se sont attribués confèrent des pleins pouvoirs dont ils usent à leur seul profit et nous mobiliser sans eux pour reprendre en main notre destin.
@Denis Monod-Broca | 19 juillet 2016 à 18:40
Précisément.
L' »idéal libéral-libertaire » n’est que le descendant d’une longue lignée de penseurs occidentaux ; certains ont dénommé cela « le miracle grec ».
Il s’agit donc d’un mode de pensée, conceptuel, spéculatif, originaire d’une sphère culturelle, c’est-à-dire d’individus, bien particulière, et fondé, envers et contre tous les aléas historiques, sur la libre pensée et expression, donc la prééminence de l’individu, fût-il membre de la cité.
La dernière grande oeuvre antique qui en est issue pourrait être, mais ce n’est qu’un avis personnel, les « Pensées pour moi-même » de Marc Aurèle (quel gouvernant actuel aurait la classe et le courage d’écrire ainsi !), leçons de vie et plaidoyer pour l’égale liberté d’expression de tous.
D’ailleurs, tout le monde antique et post-antique a « mangé du grec », y compris les arabes (bien avant l’islam, puis chez les intellectuels musulmans jusqu’au 13e siècle environ, siècle où le sabre et le goupillon mettent fin à une relative liberté de recherche), les Perses, les juifs érudits (Philon, Flavius, Maïmonide, ancêtres des « intellectuels juifs »), les quelques érudits chrétiens formés « à la grecque » (Augustin, Tertullien, Thomas d’Aquin…).
Clairement, l’exportation « colonisatrice-civilisatrice » de ces concepts se heurta à des mentalités très différentes (à très gros grains : autant l’occidental classique est plutôt un atomiste géomètre, autant un confucéen est un holistique vitaliste, un mahométan un « hébreu très archaïque » avec, très très importante différence, un prééminence du guerrier commerçant tribal sur l’intellectuel issu de la prêtrise égyptienne ; je le répète, tout cela est à très très gros grains…).
Bien ; admettons que ce qui se passe actuellement puisse être regardé, selon une « métahistoire » (en supposant que cela existe) comme l’expression d’un refus de ces concepts occidentaux et une révolte vengeresse contre l’ancien et l’actuel colonisateur (merci les US et leur accumulation sans fin d’objets inutiles, et la consommation hystérique et triste desdits objets…), il n’en reste pas moins qu’il s’agit bien d’ennemis (d’ailleurs il est ridicule de dénigrer l’ennemi, sauf à des fins de propagande ; ennemi est un mot plein, à la différence d’ami qui est une notion fluctuante), et il est hors de question que ma petite personne se mette en cause pour épouser la « cause » d’un ennemi dont les motivations peuvent m’être parfaitement claires.
Je crains, Denis, que vous ne soyez en train de succomber à l’un des plus redoutables dangers qui guette chacun : l’identification à l’agresseur.
@Francis Lenne | 20 juillet 2016 à 12:11
Cela va de soi :
– accepter de prononcer le mot « ennemi »
– nommer explicitement les ennemis, commanditaires compris, évidemment
@Tipaza
« À moins que vous ne souteniez son narcissisme pour valoriser le vôtre »
Vous avez raison, je suis totalement narcissique. Je signe mes commentaires de mon nom et de mon prénom. Rendez-vous compte !
L’Élysée « joue » contre les Français
Si nous pouvons faire une synthèse de plusieurs commentaires argumentés, il se dégage que l’adversaire des Français n’est pas seulement le bernard-l’hermite caché au fond de l’Élysée, mais bien au-delà l’ensemble de tous ceux qui, de façon générale, prennent des positions ou appliquent des dispositions qui non seulement vont à l’encontre de leurs intérêts – ce qui est déjà grave – mais encore à l’encontre de leur propre sécurité vitale, ce qui n’est plus acceptable, quels que soient les prétextes invoqués.
Si le prétexte mis en avant est le respect des textes législatifs, cela veut tout simplement dire qu’ils contiennent un ou plusieurs vices, ou bien qu’ils n’ont pas tenu compte de la réalité ou de l’évolution du monde et qu’il faut les reprendre.
Nous pouvons citer, de façon globale, les adversaires – restons gentils – des Français que sont aussi la classe politique dite de gouvernement (sauf quelques exceptions, bien entendu), une grande partie de l’Administration préfectorale, les Tribunaux administratifs, le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel parfois, la Justice trop souvent, la presse politisée à sens unique, les associations stipendiées, trop de syndicats, les cercles de pouvoir parallèle, le monde de la fausse culture, certains agitateurs du monde de l’enseignement…
Bref, ce que nous pourrions appeler le Système.
Notre pays est atteint de ce que Louis Pauwels a appelé le sida mental, c’est-à-dire que les anticorps qui devraient le protéger ont été modifiés de façon à être les premiers à le ronger de façon suicidaire…
Après la mosquée de Lyon où Collomb a fait mettre en GAV des opposants, celle de Nice qui triomphe à son tour !
L’islamisme ressort toujours vainqueur !
Il est content notre troll islamiste Gaspary, il va pouvoir aller en pèlerinage à Nice faire son petit Compostelle le long de la promenade des Anglais et poser un cierge à la gloire de son héros chauffeur de camion islamiste à la (« Allah ») Mosquée de Nice.
Attention à tes babouches, Gaspounet, le goudron est tout frais !
Y aurait-il quelqu’un qui a l’oreille de notre Président ? Il pourrait lui souffler que nous en avons assez de son mandat, qu’une dissolution de l’Assemblée serait une bonne base pour repartir sans attendre le bout de l’échec.
J’ai lu aussi que le CICE était un gaspillage, qu’il avait baissé les charges de l’Elysée mais que son coiffeur coûtait une perruque de vrais cheveux, que tout ce qui était entrepris était mièvre et sans envergure, que rien n’allait, qu’il n’aimait pas les riches mais qu’il en était un, que nous avons été abusés par un discours du Bourget, que ses copains faisaient dans l’évasion fiscale, qu’il était mou, qu’il était Fraise des bois, qu’il avait été élu par défaut. L’homme normal, dont le Palmipède avait dit je crois qu’il ne ferait pas un bon client, en fait il est Le bon client par excellence.
On retiendra sans doute une République des copains, nul n’entre ici s’il n’est pas de Voltaire, la pire de toutes les mesquineries, tout sauf la République du mérite et du talent. Je reviens sur le livre de F. Fressoz (bien gentil par certains côtés) pour des stagiaires abonnés à faire des photocopies, sont-ils capables d’autre chose ? Je passe toutefois sur la croqueuse de frais de taxis recasée comme il se doit dans un palace élyséen, au nez et à la barbe de la vertu et du devoir républicain.
On avait eu les boîtes de cigares d’un certain Blanc que NS avait renvoyé fumer chez lui, que de l’important en somme pour un pays qui est livré sans vergogne à des gagne-petit, misère…
@protagoras
J’ajoute que jamais un tel « incident » ne m’est advenu en Egypte, pays que je visite fréquemment
Ayant eu il y a plusieurs années l’occasion de devoir me déplacer dans divers pays arabes, le paradoxe que j’ai alors rencontré était que je m’y suis souvent senti plus en sécurité, y compris dans ceux qui jouissaient à l’époque d’une très mauvaise réputation internationale et qui pouvaient même être parfois plutôt agités, que dans la banlieue parisienne où je devais me rendre de façon ordinaire, du fait du comportement de petits voyous cherchant la provocation comme ceux que vous décrivez…
@protagoras
Si penser que les hommes sont semblables, si penser qu’il sont tous semblablement attirés par la violence, c’est s’identifier à l’ennemi, alors oui, je m’identifie à l’ennemi, plus précisément je m’identifie autant à lui qu’à vous…
@ Denis Monod-Broca
« Mais il n’y a pas de juste vengeance, non ! A moins d’oublier des siècles et des siècles de civilisation »
Vous jouez sur les mots, malhonnête ! Un jour je vous ai balancé un texte trouvé sur le Net (je n’allais pas déranger ma bibliothèque pour vous…) montrant que la justice, selon René Girard, est une vengeance publique.
Eh bien la guerre, c’est aussi cela. On ne fait pas que répondre à l’agresseur coup pour coup, dans un duel ritualisé, on contre-attaque jusque chez lui, et on le soumet. Ainsi, pendant la Seconde Guerre mondiale, les Américains n’ont pas juste détruit la flotte nippone, ils ont occupé le pays.
Je ne me détourne en rien de la pratique d’un tas de siècles, je vais au bout d’un raisonnement. Etonnant non ?
Je ne m’interdis ni de penser ni d’agir.
Vous : « Je ne crois pas être moins libre que vous, asservi que vous êtes à cette nécessité (supposée) de vengeance, de guerre, de violence… »
Vous êtes juste en rivalité avec moi.
Et puis, comme un tas de faux idéalistes, vous êtes hors de l’Histoire. Supposons, j’en doute, que vous soyez libre… Pour moi, comme dit l’autre qui ne me salue pas comme si vous méritiez plus de respect que moi (alors que si taré que vous en veniez à vous identifier à la lie de la terre : il faut croire que la plus grande bassesse morale passera toujours mieux que la franchise antique) vous vous identifiez à l’agresseur.
C’est être libre ? Un esclave, c’est bien ça, quelqu’un qui s’identifie à son dominant, à son propriétaire, sachez-le. Bref, supposons, contre tout ce que nous savons, que vous soyez libre.
Et alors ? La France vaincue, vous ne ne seriez plus libre.
C’est avant d’être sous le joug qu’il faut se défendre. Une fois vaincu, défait, déchet, c’est trop tard. Et qu’on ne me sorte pas l’Occupation ! Ce n’est pas la France qui s’est libérée, mais les Alliés, et particulièrement les Américains, qui l’ont sauvée.
Attention ! Nous avons eu une chance insensée, une fois… Mais la prochaine, nous connaîtrons le sort des ilotes et autres déchets de l’Histoire, nous serons, et pour toujours, avilis.
C’est ça qui compte, pas nos vanités respectives, pas notre popularité sur le blog.
L’avenir de la liberté.
@Denis Monod-Broca
« L’identification à l’agresseur » est un concept clinique développé par le génial enfant terrible de la psychanalyse, Sandor Ferenczi.
Je livre ici un résumé de ce concept revisité en 2002 par Jay Frankel (c’est en anglais) ; je ne peux qu’en recommander une lecture attentive :
« When we feel overwhelmed by an inescapable threat, we “identify with the aggressor” (Ferenczi, 1933). Hoping to survive, we sense and “become” precisely what the attacker expects of us—in our behavior, perceptions, emotions, and thoughts. Identification with the aggressor is closely coordinated with other responses to trauma, including dissociation. Over the long run, it can become habitual and can lead to masochism, chronic hypervigilance, and other personality distortions.
But habitual identification with the aggressor also frequently occurs in people who have not suffered severe trauma, which raises the possibility that certain events not generally considered to constitute trauma are often experienced as traumatic. Following Ferenczi, I suggest that emotional abandonment or isolation, and being subject to a greater power, are such events. In addition, identification with the aggressor is a tactic typical of people in a weak position; as such, it plays an important role in social interaction in general ».
source :
https://manhattanpsychoanalysis.com/wp-content/uploads/TTC%202012-13%20Readings%20uploads/Frankel%20Readings%202013/_Frankel,_Exploring_Ferenczi's_Concept_of_Identification_with_the_Aggressor.pdf
Remarque : ce très important concept clinique (initialement découvert par Ferenczi lors du traitement d’enfants violés) a été vulgarisé et rendu évidemment vulgaire, sous la dénomination « syndrome de Stockholm ».
@Exilé
Je pense que nous avons partagé des expériences similaires.
Certains sont devenus fous !
Il y a des phrases qui frôlent la perversité narcissique ! « vous êtes en rivalité avec moi » ahahaha « la mesure de sa popularité* sur un blog » ahahaha !!
*NB. Quelle est la formule ? ?
Méfions-nous de Sarko et de ses formules choc du type Kärcher. Sarko a envenimé la situation et n’a rien résolu. Le clan Hollande perd aussi la confiance des Français.
La répétition des actes meurtriers laisse à penser que ce pouvoir n’est pas efficace. Cazeneuve était auréolé, maintenant on doute de la façon dont il fait son job. Idem pour Le Drian, double casquette de ministre des armées et de président fantôme de région.
@ Noblejoué
Vous faites un contresens. La justice se substitue à la vengeance, elle n’est pas vengeance elle-même.
Et je me demande bien qui est ici en rivalité avec qui…
@ eileen
Je ne faisais que me défendre. Puisque l’un préfère répondre à un fossoyeur de la liberté qu’à moi, et l’autre m’attaque en montrant qu’il est insensé qu’un fossoyeur de la liberté me dise qu’il est aussi libre que moi…
Je fais comme Pilate, du moins sur Elysée contre les Français, je me lave les mains de tout, et je sors.
Je montre la lune, on regarde le doigt… Dans notre pays on disserte de détails plutôt que de s’occuper de liberté, la dernière chose qui nous intéresse, vraiment.
Il ne faut pas s’étonner que nous l’ayons perdue plusieurs fois. Et moi, je perds mon temps à essayer de réveiller les inconscients. Pilate, il faut imiter Pilate, le plus sage des personnages du Nouveau Testament, assurément.
Dans le billet précédent Philippe Bilger exposait, en substance, que la lutte contre le terrorisme devait se mener dans la continuité de celle relevant du domaine pénal.
Nous ne pouvons que souscrire à cette affirmation qui repose sur des faits objectifs.
En regardant les choses avec du recul, toute cette chaîne conduisant de la petite délinquance à la grande criminalité puis au terrorisme repose sur une suite de manquements en matière éducative, tous ceux qui sont tombés dans ce terrible engrenage étant le plus souvent des gens à qui personne n’a osé dire « non » et ce depuis la petite enfance.
Nous pourrions évoquer la politique de l’enfant roi absolument catastrophique y compris chez les petits Gaulois, faisant que les enfants se croient tout permis.
Tous les parents responsables savent que passer ses caprices à un enfant est le pire service que l’on puisse lui rendre, car plus tard, ce sera la vie elle-même qui lui dira « non » de manière brutale.
Et quand dernièrement le Législateur, dans son infinie stupidité, a aboli la fessée, il n’a fait que favoriser la montée de la délinquance et de la criminalité, voire plus. Eh oui.
Une petite anecdote personnelle.
Quand à l’âge de six ans, mes parents m’ont appris que je devais entrer à la grande école (l’école communale) cela a été l’occasion pour moi d’une crise de rejet, mais j’ai dû obéir.
Je savais déjà à l’époque – j’étais avancé pour mon âge (cum grano salis) – que la République dont je devais fréquenter l’école était un régime pas très recommandable, ce que le temps n’a fait que confirmer, et je me suis mis, par esprit de résistance, à faire exprès de jouer à la forte tête dès le premier jour.
La maîtresse n’a rien dit mais elle a prévenu mes parents (je la suspecte encore d’avoir été une nostalgique de Joseph Vissarionovitch Djougachvili).
Le soir même, mon père, qui n’était pourtant pas un admirateur inconditionnel de Marat, m’a envoyé un formidable coup de pied aux fesses dont je me souviens encore qui a instantanément mis fin à une carrière de révolutionnaire qui s’annonçait pourtant prometteuse.
Je ne sais pas si les gens s’en rendent bien compte, mais il doivent la survivance du régime actuel à cette séance de tatanothérapie paternelle, au prix d’une vocation contrariée…
@Exilé
« Ayant eu il y a plusieurs années l’occasion de devoir me déplacer dans divers pays arabes, le paradoxe que j’ai alors rencontré était que je m’y suis souvent senti plus en sécurité, y compris dans ceux qui jouissaient à l’époque d’une très mauvaise réputation internationale et qui pouvaient même être parfois plutôt agités, que dans la banlieue parisienne où je devais me rendre de façon ordinaire, du fait du comportement de petits voyous cherchant la provocation comme ceux que vous décrivez… »
C’est également mon expérience…
Pour faire de la provocation, ne serait-ce pas que les « chances pour la France » sont devenus totalement Français ?
Après tout ce ne sont pas des hordes de maghrébins ou d’africains d’origine qui ont vandalisé les tombeaux de nos rois à Saint-Denis, ni incendié Paris pendant la Commune ?
Je pose une question à ceux qui ne sont pas des pseudo-socialistes d’opérette qui scribouillent dans ce blog.
L’islam est devenu le péril de notre pays, ne croyez-vous pas que pour s’en débarrasser il faudrait tout d’abord se débarrasser des traîtres c’est-à-dire de Hollande, de ses ministres et parlementaires ?
« L’Elysée contre les Français ? »
J’ai écouté aujourd’hui nos élus à l’Assemblée nationale de 15h à 16h et voici les propositions qui avaient été faites lors des derniers débats à nos politiques socialistes, toutes refusées. Et on vient encore nous dire que l’on doit apprendre à vivre avec le terrorisme car ça va être long et que d’autres attentats vont se produire !! Marre de ces fantoches !
Mercredi 20-07-2016 : la parole a été donnée au député Yves Nicolin qui demandait de :
1. Permettre le contrôle d’identité par les Policiers Municipaux – refusé
2. Permettre à la Police Municipale de disposer des mêmes armes que la Police Nationale – refusé
3. Mettre en place des centres de rétention pour les présumés fichés « S » – refusé
4. Expulser de notre territoire national les étrangers condamnés fichés « S » – refusé
5. Supprimer toutes prestations sociales aux terroristes et leur famille – refusé
6. Permettre la fouille des véhicules par la Police sans permission préalable – refusé
7. Interdire le financement des lieux de culte par les puissances étrangères : Qatar, Arabie Saoudite – refusé
8. Fermer les mosquées salafistes prêchant la haine – refusé
9. Reprendre et ajuster la loi sur la légitime défense des Policiers – refusé
10. Allonger la durée à l’assignation à résidence des fichés « S » – refusé
11. Interdire le retour sur le territoire national des jihadistes binationaux – refusé
12. Supprimer l’automaticité de la réduction de peine pour personnes condamnées pour terrorisme – refusé
13. Lutter avec la Russie contre l’Etat islamique – refusé
Aux armes citoyens, formez vos bataillons…
Mais comment un gouvernement qui a déclaré la guerre à Daech et au terrorisme – rien que ça – et qui n’est même pas capable (en période d’état d’urgence en plus) de faire en sorte que l’accès aux piscines puisse se faire dans le calme et la courtoisie les plus élémentaires peut-il encore être crédible ?
Question subsidiaire : quelle est la cause réelle de ces débordements ?
http://www.leparisien.fr/creteil-94000/creteil-apres-midi-de-tensions-a-la-piscine-a-vagues-19-07-2016-5980179.php#xtor=AD-1481423553
Bonsoir Ellen | 20 juillet 2016 à 18:04
En conclusion Hollande et sa bande sont du côté de nos ennemis !
Nous devons donc nous révolter.
Allons enfants de la Patrie
Le jour de gloire est arrivé
Contre nous de la tyrannie
L’étendard sanglant est levé
L’étendard sanglant est levé
Entendez vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger nos fils, nos compagnes
Aux armes citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons,
Qu’un sang impur abreuve nos sillons
Que veut cette horde d’esclaves
De traîtres, de Rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ?
Ces fers dès longtemps préparés ?
Français ! pour nous, ah ! quel outrage !
Quels transports il doit exciter !
C’est nous qu’on ose méditer
De rendre à l’antique esclavage !
Aux armes citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons,
Qu’un sang impur abreuve nos sillons
Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers ?
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers
Terrasseraient nos fiers guerriers
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient,
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées ?
Aux armes citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons,
Qu’un sang impur abreuve nos sillons
Tremblez, tyrans ! et vous, perfides,
L’opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix
Vont enfin recevoir leur prix
Tout est soldat pour vous combattre,
S’ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous tous prêts à se battre
Aux armes citoyens ! Formez vos bataillons !
Marchons, marchons,
Qu’un sang impur abreuve nos sillons
@caroff
Après tout ce ne sont pas des hordes de maghrébins ou d’africains d’origine qui ont vandalisé les tombeaux de nos rois à Saint-Denis, ni incendié Paris pendant la Commune ?
C’est une excellente question, je vous remercie de me l’avoir posée (je devrais faire de la politique…)
En fait, la question que vous soulevez se ramène à celle du mauvais exemple donné, par les parents aux enfants en général mais aussi et souvent par les éducateurs (?), à ceux qui sont nos invités.
Comment voulez-vous exiger de gens qui viennent d’ailleurs des comportements irréprochables alors que trop souvent nous les endoctrinons avec une histoire qui regorge de faits criminels scandaleux qui sont portés au pinacle des valeurs de la République ?
J’ai dernièrement cité l’exemple concret de la pétroleuse Louise Michel, dont le nom est porté par nombre d’établissements d’enseignement.
Il y a une dizaine d’années, j’ai été stupéfait de relever dans la rubrique des faits divers de la PQR le nombre d’incendies criminels ayant éclaté dans les collèges affublés de ce nom par ce qu’il faut bien appeler des irresponsables. J’ai renoncé depuis à tous les relever.
Un exemple parmi d’autres :
Autre décor. Scénario identique. Le collège Louise-Michel, à Clichy-sous-Bois. 1200 élèves de 11 à 17 ans, issus de 31 nationalités et d’un milieu très défavorisé. «Ici, c’est une poudrière ! clame Alain Bailly-Salins, prof de maths aguerri pourtant par vingt ans de pratique dans ce bahut. Autrefois, la loi de la rue s’arrêtait à la limite du collège. Maintenant, c’est à la porte de ma classe. Les intercours sont l’occasion de chahuts et de bousculades effrayants, d’autant que certains malabars mesurent plus de 1,80 mètre.» Un beau matin, l’an dernier, les enseignants ont trouvé toutes les vitres du rez-de-chaussée brisées par des tirs de carabine. Sans oublier un début d’incendie volontaire.
http://www.lexpress.fr/informations/profs-les-cites-de-l-angoisse_600807.html
Cet exemple – qui au passage rejoint la question des bâtisseurs forcenés de mosquées – nous montre que notre pays est littéralement infesté dans les organismes publics de ce qu’il faut bien appeler des pompiers pyromanes, qui vont ensuite se plaindre de récolter la tempête après avoir semé le vent.
Mettez-vous à la place d’un sauvageon – comme le disait ce pince-sans-rire de Chevènement – à qui vous allez reprocher d’avoir mis le feu à son collège : il aura beau jeu de vous renvoyer aux bons auteurs. Il y a des leçons qu’ils savent retenir, allez donc savoir pourquoi.
Oui, ces irresponsables jouent contre les Français.
Et aussi contre eux-mêmes.
@Ellen
Fermer les mosquées salafistes prêchant la haine – refusé
Conclusion : ces gens-là avouent donc clairement qu’ils sont favorables à ce que les mosquées salafistes puissent continuer de prêcher la haine.
Nous nous en doutions déjà un peu.
Et après, ils vont encore venir se plaindre, en versant des larmes de crocodile, qu’un nouvel attentat monstrueux de plus se soit produit…
A ce stade, ce n’est plus de la bêtise, c’est de la trahison.
L’Elysée contre les Français, mais pour le Régé Color !
Évidemment, l’Élysée joue contre les Français. François Hollande joue même depuis un peu plus de quatre ans contre les Français. Il n’est pas seulement le président le plus impopulaire de la cinquième République, il est aussi le plus nocif. Cette gauche donneuse de leçons est pathétique. Elle reproche à la droite de ne pas être digne à l’occasion du troisième massacre de masse en France, le deuxième dirigé contre la population civile prise indistinctement.
Wauquiez a affirmé que le gouvernement se souciait plus de la liberté des terroristes que de la sécurité des Français. Il a provoqué une réplique haineuse de Manuel Valls à l’Assemblée.
Philippe Bilger dit : « Il est indécent pour le créateur du mal de se présenter comme le médecin… ». Il pourrait tout aussi bien prétendre : « Il est indécent pour le pyromane de se présenter comme le pompier… », etc.
Beaucoup ont affirmé ici que la France était devenue la cible numéro un de Daech à cause de la politique guerrière irresponsable de Hollande sur divers théâtres d’opérations extérieurs. C’est une évidence.
On ne pourra jamais prévenir les attentats de masse, en dépit de la plus sérieuse des politiques de sécurité. Les cibles des terroristes sont infinies : elles sont la France entière. Si pour un terroriste, lors de repérages, un attentat programmé se présente mal dans sa réalisation à un endroit donné… que fera-t-il ? Il choisira une autre cible moins bien protégée. C’est aussi simple que cela. S’il y avait eu des plots de béton empêchant la pénétration du camion fou sur la promenade des Anglais, que se serait-il passé ? Le terroriste aurait choisi un plan B : une autre cible.
Pour prévenir les massacres, il faut supprimer la cause des actes terroristes plutôt que de tenter de pallier les conséquences (prévention desdits actes par des mesures de sécurité). François Hollande est un autre Georges W. Bush. François Hollande est la source des malheurs actuels de la France (il n’est pas la seule cause, mais une cause majeure, à côté de : passé colonialiste nord-africain, intervention en Libye, etc.).
En mai 2017, la suppression de la cause Hollande ne nous mettra pas pour autant à l’abri du terrorisme. Mais elle atténuera un peu le risque.
L’autre versant de la suppression de la cause est l’élimination de l’organisation elle-même.
Trévidic dit que les trois attentats de masse que vient de subir la France depuis 18 mois ne sont qu’un apéritif à côté de ce qu’est en train de nous concocter Daech. Selon lui, ils veulent contre notre pays « un prix Goncourt » de l’acte terroriste, une sorte de réédition du 11 septembre 2001.
La politique de la France devrait être de lutter contre le terrorisme dans un concert de nations démocratiques, sans qu’elle s’affiche au premier plan – fer de lance des représailles – comme c’est le cas actuellement.
Noyée dans la masse des nations défenderesses des libertés, elle parviendra plus facilement à son objectif d’éliminer le mal absolu de la haine et de la destruction humaine. Sans qu’elle ait, en victime privilégiée et désignée, à souffrir pour les autres.
Enfin, une chose de bonne. Pendant toute la durée de l’état d’urgence, prolongé jusqu’en janvier 2017, les loubards dangereux n’auront qu’à bien se tenir – fini les zones de non-droit publiques ou privées. En plus des agents de douane, la police nationale et la gendarmerie sont autorisées à intercepter tout véhicule pour perquisition et fouilles des bagages et boîte à gants.
Il faut faire encore plus et avancer plus rapidement.
Que de salive usée, de temps perdu et de victimes sacrifiées pour pondre quelques lignes si évidentes en temps de guerre.
Gabriel | 20 juillet 2016 à 17:46
L’islam est devenu le péril de notre pays, ne croyez-vous pas que pour s’en débarrasser il faudrait tout d’abord se débarrasser des traîtres c’est-à-dire de Hollande, de ses ministres et parlementaires ?
J’élargirais votre définition des traîtres…
Je signale la très pertinente formule de Lewis Amselem, alias le blogueur DiploMad, ancien diplomate américain, qui consacre une partie de sa retraite à fulminer contre la politique étrangère de son pays : pour lui, l’idéologie la plus mortelle que le monde ait connue, et de loin, c’est l’idéologie de gauche.
Et le problème actuel, c’est l’alliance entre l’islam et le gauchisme, qu’il décrit comme le pacte Molotov-Ribbentrop des temps présents.
http://www.thediplomad.com/2016/07/obama-world-spinning-spinning-spinning.html
(Attention, faux ami : le terme de « liberalism », employé par Amselem et en usage aux Etats-Unis, ne signifie pas libéralisme ; il signifie gauchisme, soit exactement le contraire.)
Au passage, cette analogie entre l’islamo-gauchisme et le pacte soviéto-nazi remet à leur juste place les fantasmes (et les mensonges) sur « la Russie avec laquelle il faut nous allier, car elle va nous sauver du terrorisme ».
On a vu ce qu’a donné l’alliance de l’URSS avec Hitler. On a vu ce qu’a donné l’alliance de l’URSS avec… les Alliés, lors de la Seconde Guerre mondiale : des dizaines de millions de morts, l’arnaque de Yalta, la capture des pays d’Europe de l’Est, 45 ans d’oppression pour nos frères d’Europe centrale et du Nord, 45 ans de guerre subversive contre l’Occident (qui se poursuit aujourd’hui), une idéologie criminelle toujours vivace à travers le monde et en particulier chez nous…
On ne s’allie pas avec des bandits pour éradiquer le banditisme. Au demeurant, la Russie n’a toujours pas fait la preuve qu’elle avait la moindre intention de nous aider à lutter contre le terrorisme islamique. Ni qu’elle en avait la capacité.
Elle a, en revanche, fait la preuve qu’elle avait la capacité à créer le terrorisme : Oussama Ben Laden, qui est une création des Soviétiques (et non des Américains, comme le prétend la propagande communiste), Ramzan Kadyrov (le terroriste islamique que Poutine a mis à la tête de sa province de Thétchénie, qui maintenant s’est retourné contre lui, et qui déverse sa haine contre les victimes de l’attentat de Charlie Hebdo), les attentats sous faux drapeau commis par le Kremlin et attribués aux musulmans tchétchènes (explosions d’immeubles d’habitation à Moscou, Bouïnaksk et Volgodonsk, prise d’otages du théâtre Doubrovka)…
http://www.nybooks.com/articles/2012/11/22/finally-we-know-about-moscow-bombings/
https://en.wikipedia.org/wiki/Moscow_theater_hostage_crisis#Claims_of_FSB_involvement
Exilé | 20 juillet 2016 à 18:44
Petit jeu d’été. Dans cette liste, cherchez l’intrus :
– Musulman
– Piscine
Je vous fais grâce, pour une fois, des dizaines de liens que je pourrais fournir vers des articles de presse relatifs à ce petit jeu, dont un nombre impressionnant comportent le mot « viol » dans leur titre. Chacun pourra les retrouver aussi bien que moi…
@Exilé
« Et quand dernièrement le Législateur, dans son infinie stupidité, a aboli la fessée, il n’a fait que favoriser la montée de la délinquance et de la criminalité, voire plus. Eh oui. »
Eh non, c’est tout le contraire !
Des chercheurs de l’université de Tulane (Nouvelle-Orléans) ont publié une étude publiée en avril 2012 dans la revue Pediatrics, éditée par l’American Academy of Pediatrics, qui conclut que les enfants régulièrement fessés à l’âge de 3 ans sont plus agressifs dès l’âge de 5 ans. L’équipe a demandé à 2461 mères américaines à quelle fréquence elles administraient des fessées à leur enfant sur un mois : 45,6 n’avaient pas donné de fessée dans le mois, 27,9 en avaient administré une ou deux et enfin 26,5 en avaient donné plus de deux. Les mères ont été également interrogées sur le niveau d’agressivité de leur enfant entre 3 et 5 ans. Il ressort que ceux qui reçoivent plus régulièrement des fessées à 3 ans sont plus agressifs à 5 ans : ils crient plus que les autres, font preuve de plus de méchanceté à l’égard d’autrui, se battent et menacent davantage leur entourage. Les chercheurs ont pris également en compte d’autres facteurs favorisant l’agressivité (environnement familial , usage de drogue et d’alcool, niveau de stress des parents) et soulignent qu’ils ne remettent pas en cause le lien de causalité entre le nombre de fessées et l’agressivité de l’enfant.
La fessée apprend à l’enfant qu’il peut réagir par la violence lorsqu’autrui ne se conforme pas à sa volonté, tout comme ses parents l’ont fait à son encontre.
Mais la lecture complète de votre prose me laisse hélas penser que tout comme votre alter ego féminin qui ricane dès qu’elle ne comprend pas, c’est-à-dire souvent, les informations que j’ai mentionnées resteront lettre morte pour votre encéphale.
« Je savais déjà à l’époque – j’étais avancé pour mon âge (cum grano salis) – que la République dont je devais fréquenter l’école était un régime pas très recommandable »
Factuellement, vous êtes un authentique m’as-tu-vu. Comme ne le dit malheureusement pas le proverbe : rien ne sert de partir à temps, il faut savoir courir. A cinq ans, Einstein ne parlait toujours pas mais vous saviez déjà que la « République dont je devais… »
De deux choses l’une : soit vous êtes financièrement aisé, soit vous marchez pieds nus car avec de telles chevilles, il n’existe que des chaussures faites sur mesure…
« …et je me suis mis, par esprit de résistance, à faire exprès de jouer à la forte tête dès le premier jour. »
Vous appelez « esprit de résistance » ce qui n’est que de la puérilité, afin de faire sentir que vous êtes un esprit plus avisé (la faculté de comprendre) et un tempérament plus décidé (la faculté d’agir).
« Le soir même, mon père, qui n’était pourtant pas un admirateur inconditionnel de Marat, m’a envoyé un formidable coup de pied aux fesses dont je me souviens encore qui a instantanément mis fin à une carrière de révolutionnaire qui s’annonçait pourtant prometteuse. »
Si un simple coup de pied aux fesses vous a fait renoncer, c’est bien la preuve que vous n’êtes pas le dur à cuire intellectuellement précoce que vous prétendez être mais ce qu’on nomme un drôle.
Quant à votre comparaison sur la sécurité entre les pays arabes et la France, elle n’a un commencement de sens que si vous comparez la banlieue parisienne que vous citez avec la banlieue du Caire par exemple.
« Le Logos de l’amour laisse faire ; il se laisse toujours expulser par le Logos de la violence, mais son expulsion est de mieux en mieux révélée, révélant avec elle ce Logos de la violence comme celui qui n’existe qu’en expulsant le vrai Logos et d’une certaine façon en le parasitant. »
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/logos-heracliteen-et-logos-180698
Le problème c’est que les Européens ne sont pas capables de mettre une force militaire commune pour lutter contre le terrorisme.
Les normes sont européennes mais les forces militaires font du « chacun pour soi ».
Les Anglais ont eu bien raison de quitter ce « machin » (copyright de de Gaulle à propos d’un autre « machin » inutile mais coûteux 😉
@ Seraye yves | 20 juillet 2016 à 18:45
Vous êtes bien gentil avec votre Marseillaise mais moi je n’en peux plus de l’entendre, elle me gave, elle me saoule ! Si on n’a plus que ça à proposer aux terroristes, ceux-ci auraient tort de continuer à se gêner de nous rafaler et nous écraser sachant que les seules armes qui nous restent sont les chorales improvisées, les bougies, les fleurs, les poèmes et les débats interminables intellos bobos gauchos ; en outre notre gouvernement traître collabo leur laisse des boulevards pour perpétrer leurs forfaits et leurs crimes.
Cette Marseillaise est devenue un hymne à la honte !
@Ellen
« …les propositions qui avaient été faites lors des derniers débats à nos politiques socialistes, toutes refusées »
Des députés contre les Français !
Pourquoi, mais pourquoi choisissent-ils d’appliquer une politique qui entraîne tout le navire à chavirer ?
Mardi dernier, monsieur Le Drian affirmait : « Taper à Mossoul, taper en Irak, c’est aussi assurer notre sécurité en France, voire globalement en Europe ».
Depuis de nombreux mois, l’a-t-on constaté ?
Indécence de Valls face à l’ennemi héréditaire Wauquiez, qui dit mieux ? NKM remonte considérablement dans mon estime par contre-jour.
Merci à celles et ceux de nos députés-sénateurs qui tentent de remonter le niveau et que l’on ne voit pas.
@finch
L’ego démesuré de cette équipe de pieds-nickelés n’a pas d’égal et leur communication de « cadors » grandes gueules et petits bras fatigue autant les Français qu’elle excite les supporters du camp adverse.
Ceci dit il me semblait que le ministre Le Drian s’était contenté de reprendre la suite de ce qui se faisait déjà avant lui.
Il serait bon que les médias ne répercutent plus ces déclarations incendiaires des uns et des autres faisant preuve de la sagesse dont ne disposent pas/plus nos décideurs.
@NLR
Le problème c’est que les Européens ne sont pas capables de mettre une force militaire commune pour lutter contre le terrorisme.
Vous placez les aspects liés à l’intendance avant ceux liés à une volonté politique.
Et cette volonté politique doit reposer sur un socle de cohérence, que nous cherchons en vain partout.
Si la force militaire doit être calquée sur Frontex, ce machin absurde qui va chercher des réfugiés bidon à quelques encablures de leur port de départ pour les amener chez nous afin que nous les entretenions ad vitam aeternam et qu’ils augmentent encore les problèmes d’accueil de populations exogènes ne partageant aucune de nos valeurs, ce n’est pas la peine.
@azer
Quant à votre comparaison sur la sécurité entre les pays arabes et la France, elle n’a un commencement de sens que si vous comparez la banlieue parisienne que vous citez avec la banlieue du Caire par exemple.
J’ai traversé certaines banlieues qui a une époque ont fait les gros titres de la presse mondiale, peu de temps avant et après des faits.
(…) les enfants régulièrement fessés à l’âge de 3 ans sont plus agressifs dès l’âge de 5 ans.
Régulièrement et non ponctuellement.
Pour le reste, je vous abandonne à vos délires mêlant pédagogisme fumeux et considérations à prétentions psychanalytiques, donc reposant sur une imposture.
Si c’est tout ce bric-à-brac qui est mis en œuvre actuellement, nous voyons à quoi il mène.
La fessée, elle, a modestement contribué à bâtir une civilisation…
@Seraye Yves
Aux armes citoyens !
Vous savez bien que les despotes, les tyrans, les perfides, les traîtres, les complices de ces cohortes étrangères et autres phalanges mercenaires qui viennent égorger nos fils, nos compagnes ont pris soin de désarmer les citoyens, sous tous les aspects, pour accomplir leurs forfaits…
@jlm
Entièrement d’accord. Les médias ne devraient pas non plus relayer la propagande de Daech avec les dérapages morbides du début où une chaîne s’est autorisée à diffuser des images de la scène de massacre.
Car Daech – à l’instar des aliens et autres vampires qui se gorgent du sang de leurs victimes – vit de la propagande de l’horreur pour susciter des vocations d’assassins de masse au sein même des pays où ils lorgnent agir.
Passer au maximum sous silence les méfaits de l’organisation est le moyen le plus sûr de nuire à son expansion. C’est bien sûr théorique et impossible à réaliser en pratique car les médias sont obligés de réagir en relatant l’abomination. Le piège est mortel, imparable.
@Exilé
« Et quand dernièrement le Législateur, dans son infinie stupidité, a aboli la fessée, il n’a fait que favoriser la montée de la délinquance et de la criminalité, voire plus. Eh oui. »
Exilé a tout juste, je suis blanc de souche, hétéro, chrétien, droite forte, patriote, fier des valeurs de la France, la vraie, pas cette Ceufran socialiste gauchislamiste, j’ai des enfants normaux élevés à la fessée et aux bonnes beignes dans leur cheutron quand ils étaient indisciplinés et irrespecteux et aujourd’hui ils sont toujours normaux, civiques, respectueux des valeurs de morale, de travail, d’abnégation, ont fréquenté les écoles privées qui interdisaient toutes manifs et grèves ; ils n’ont jamais défilé dans les rues comme tous ces moutons zombis bobos parasites sociaux élevés dans les éprouvettes gauchistes où leur est enseigné le désordre, la désobéissance civique, la chienlit, l’irrespect, la dépravation des moeurs sexuelles, le culte des salles de shoot, des Conchita Wurst, le retour aux heures obscures primates et primaires de l’humanité, avec ses lois de la jungle, de la violence, où tout le monde sautait sur tout le monde.
La démission des autorités, culte soixante-huitard, a formé des générations de délinquants, d’enfants gavés et gâtés incontrôlables, troupeaux incultes ignares réservoirs gauchistes, la lie de la fange sociale et sociétale.
Les chercheurs de Tulane auraient besoin d’une bonne fessée, on en crève de ces saltimbanques de la recherche !
@sylvain
Ayant élevé ma progéniture sans coups ni humiliations, je n’ai pas constaté qu’on fabrique des voyous si on ne frappe pas les enfants.
Je crois me souvenir, mais c’est lointain, que Saint-Augustin dans ses Confessions raconte comment il ne comprenait pas que, la vie étant déjà si dure et si tragique, les éducateurs en rajoutaient en frappant les enfants. Le père de Montaigne était si tendre avec ses enfants qu’il leur faisait jouer de la musique pour les aider à se réveiller. On peut enseigner sans brutaliser, on peut se faire obéir autrement. Idem pour les maris. Dans certaines cultures, les hommes sont persuadés qu’il faut battre sa femme pour qu’elle se comporte en bonne épouse.
Entre « des beignes en pleine tronche » et l’enfant-roi, il y a peut-être un juste milieu.
@Lucile | 21 juillet 2016 à 13:10
« Entre « des beignes en pleine tronche » et l’enfant-roi, il y a peut-être un juste milieu. »
Non, il n’y a pas de juste milieu, les beignes dans la teutée découragent l’enfant de se proclamer roi de la turne.
Il est vrai que maintenant avec toutes vos générations de bobos bio gauchisés « plus belle la vie » incapables de dresser ses enfants, il vous faut des coachs, des grands frères, des super Nanny, des conseillers éducatifs, des assocs, des forums, des échanges d’expérience, etc. etc., vos cervelles mises en léthargie vous êtes devenus inertes dans les responsabilités à prendre concernant tous les domaines de la vie ; société de larves, de moutons tous justes bons à défiler dans les rues aux moindres contrariétés et difficultés.
Rassurez-vous, mes enfants n’écoutent jamais du Wagner ni ne font leur jogging au pas de l’oie.
@Lucile
Dans certaines cultures, les hommes sont persuadés qu’il faut battre sa femme pour qu’elle se comporte en bonne épouse.
Non ?! Incroyable !
Heureusement que cela ne se passe pas comme ça chez nous, les associations féministes seraient toutes à hurler dans la rue pour dénoncer une culture qui oserait conserver ce précepte inscrit dans son héritage et qui continuerait parfois à l’appliquer, n’est-ce pas ?
Et elles exigeraient l’expulsion immédiate d’éventuels adeptes étrangers de ce genre de coutume d’un autre temps, nous sommes bien d’accord.
Ça me rappelle effectivement un vieux proverbe sibérien ou japonais : « Bats ta femme tous les matins, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait ».
Nous avons encore la chance d’être très éloignés du Japon…
@Exilé
Michel Serres rappelait avec raison que la caractéristique des sots était de revenir invariablement à leurs opinions qu’ils prennent pour des connaissances, quelles que soient les informations qu’on met à leur disposition.
Il aurait pu ajouter l’absence de démonstration préalable aux conclusions auxquelles ils parviennent, les mots à caractère péjoratif étant privilégiés. Ainsi, « pédagogisme » et autres terminaisons en isme, ard, iste, expriment le désaccord sans en donner les raisons, et comme si l’on ne comprenait pas que le mot pédagogisme exprime l’idée de fumisterie, vous lui accolez celui de fumeux.
On ne saura pas non plus pourquoi la psychanalyse est une imposture, sauf peut-être par des citations d’Onfray qu’on ferait parfois mieux d’analyser plutôt que d’en faire une icône spirituelle. Car si les travaux des ethnologues ont montré que le complexe d’Oedipe n’est pas universel et que Freud a généralisé hâtivement les quelques cas qu’il a étudiés, on se demande bien par quel miracle tant de grands esprits ont pu accorder à ses propos autant de crédit sauf à envisager que dans l’intimité de leur conscience ils ont bien reconnu, par leurs rêves ou même leur activité éveillée et consciente, l’angoisse de perdre leur mâle attribut, de tuer leur père ou d’avoir des rapports sexuels avec leur mère, ou qu’ils ne désiraient en réalité pas faire ce qu’ils disaient. Mais puisqu’Onfray nous affirme que ce n’est pas son cas, alors il en conclut que Freud n’a dit que des sottises, faisant ce qu’il lui reproche : généraliser à partir de cas particuliers. Onfray qui n’hésite d’ailleurs pas à relever les lapsus de ses adversaires pour prétendre découvrir leur motivations réelles, ce qui ne relève bien sûr absolument pas de la doctrine du Viennois…
Mais pourquoi prendre la peine d’étayer ses affirmations quand on est courageux, travailleur et que dès six ans on avait déjà compris que la République, patati patata…
« Vous savez bien que les despotes, les tyrans, les perfides, les traîtres, les complices de ces cohortes étrangères et autres phalanges mercenaires qui viennent égorger nos fils, nos compagnes ont pris soin de désarmer les citoyens, sous tous les aspects, pour accomplir leurs forfaits… »
Ainsi Obama ne serait pas favorable à l’armement de la population américaine car il désirerait que celle-ci ne puisse pas se défendre et qu’on puisse entrer dans des boîtes de nuits gay pour tuer les homosexuels qui s’y trouvent !
En France, ceux qui ne sont pas favorables à l’armement de la population seraient motivés par le désir de voir les amateurs de rock ou de feux d’artifices être tués en nombre le plus grand possible !
Bien entendu, c’est moi qui délire et vous qui n’êtes absolument pas paranoïaque…
@sylvain
« Non, il n’y a pas de juste milieu, les beignes dans la teutée découragent l’enfant de se proclamer roi de la turne. »
Les enfants aiment imiter leurs parents, le fils le père, la fille la mère et ce n’est par une invention de Freud. Si vos enfant veulent se proclamer roi de la turne, c’est parce que vous montrez trop votre couronne, et si vous ne savez pas autrement que par la violence asseoir votre autorité, c’est que vous êtes sot. Il est de votre intérêt que vos enfants deviennent aussi sots que vous car dans le cas contraire ils découvriront que vous l’êtes et vous finirez votre vie dans une maison de retraite où ils se garderont bien de venir vous voir, et où dans votre sottise vous vous demanderez pourquoi…
L’autre hypothèse est qu’une fois arrivés à l’âge où le rapport de force s’inversera, ils vous rendront la monnaie bourre-pifesque de vos teutées.
La violence des propos de sylvain et de ses suiveurs au fil des jours, au fil des commentaires est devenue intolérable, insoutenable, vomitive, pleine de haine. Ces personnages en fait n’aiment personne, aucun respect pour l’autre, pas même pour eux-mêmes… Il se pourrait même que leurs enfants aussi prétendument « bien élevés » soient-ils, les détestent et les laissent pourrir dans leur vomi attendant leur fin pour enfin respirer. Sylvain attiseur de haine !
L’exemple vivant est MLP et aussi MMLP qui bien qu’héritières de leur père et grand-père, désavouent régulièrement ses dérapages, le conspuent et s’en éloignent peu à peu dans des discours modérés et donc plus efficaces !
Personne d’équilibré, d’éduqué et d’actif n’aurait envie de rencontrer/côtoyer un tel personnage qui a en lui tous les ingrédients du tortionnaire de base, d’exécuteur des basses oeuvres ! Il ressemble sans doute à ce personnage gras, sale, adipeux et puant créé par Antoine de Caunes, pas celui créé par Thierry Le Luron, bien trop propre sur lui.
Quand c’est trop c’est trop, sylvain, GOMER, pour vous calmer prenez du bromure !
@azer | 22 juillet 2016 à 03:02
Votre pronostic démontre bien que vous devez être un sacré gauchiste, sociologue ou prof syndiqué, vous récitez par cœur le catéchisme qu’on a fourré dans votre crâne malléable à souhait ; désolé vous avez tout faux, mes enfants et leurs petits-enfants, nous les appelons les « chicouf », terme très répandu aujourd’hui, ils nous téléphonent souvent et dès qu’ils ont un week-end libre ils viennent chez nous les affreux réacs fachos comme vous aimez vous gargariser en stigmatisant les gens qui ne veulent pas vous ressembler, vous les « de gauche » donneurs de leçons gauchistes ; pas de bol vous avez tout faux comme tous ces intellos bobos de gauche qui nous donnent en permanence des leçons de conduite.
Vous devez faire partie de cette fange sociale de familles décomposées recomposées conjuguées à l’imparfait du préservatif, multisexuelles polysexuelles avec des enfants qui doivent baigner dans le bonheur d’avoir des beaux-pères interchangeables, des mamans à barbe fleurie, bref tout ce qui fait le ciment des familles actuelles aux sexualités débridés, aux infidélités érigées en dogme, familles qui passent leur temps à trimbaler leurs mioches comme des paquets de lessive entre leurs parents divorcés.
Merci encore pour votre intervention. Permettez-moi de faire une dérogation à votre analyse : on va rejoindre nos enfants et petits-enfants pour une semaine à la mer : famille hétéro, chrétiens blancs de souche et vote à droite ; quel dommage que je n’eusse point été de gauche, de couleur, homo et soixante-huitard, enseignant prof syndiqué militant associatif, intello bobo bio bouffeur de sushis, moi qui suis plutôt apéro saucisson pinard. C’est ballot !
A l’instant, à France Inter, le sociologue Michel Wieviorka, mis à toutes les sauces médiatiques en ce moment, nous assène que la religion n’était pas le moteur du terroriste tunisien…
C’est terrifiant ces gens qui au lieu de dire qu’ils ne savent pas se croient obligés de répondre par des sornettes, c’est aussi terrifiant de constater que cette radio d’Etat veut à tout prix nous faire croire que le gouvernement gère un pays en proie au racisme. A ce propos personne n’a encore parlé du courage et de la résilience des Français face au terrorisme. Imaginons par exemple un chrétien intégriste (!!) écraser des gens au volant d’un camion à Alger ou au Caire : la réponse immédiate se caractériserait par un massacre de toute la communauté d’appartenance !!
Or s’il avait pris la peine de s’informer, cet « expert » aurait su que le père de Mohamed Lahouaiej Bouhlel était connu pour son extrémisme au sein du parti islamiste Ennahdha. Par conséquent son fils a baigné dans un milieu familial accoutumé à la violence et au sectarisme.
On apprend aussi que le djihadiste camionneur avait épousé sa cousine (ce n’est pas un interdit dans l’islam depuis ses origines) franco-tunisienne, bien entendu voilée.
Et à ceux qui soulignent qu’il menait une vie dissolue (alcool et sexe) on pourra répondre que la dissimulation (Taqiya) est encouragée par le Coran pour parvenir à ses fins, criminelles en l’occurrence.
@azer | 22 juillet 2016 à 03:02
« En France, ceux qui ne sont pas favorables à l’armement de la population seraient motivés par le désir de voir les amateurs de rock ou de feux d’artifices être tués en nombre le plus grand possible ! Bien entendu, c’est moi qui délire et vous qui n’êtes absolument pas paranoïaque… »
Il vous faudra m’expliquer alors pourquoi au-delà du statu quo, on renforce la législation sur les armes de chasse actuellement faisant du Simplex acheté chez Manufrance sur catalogue dans les années 70 et dormant dans le grenier une arme potentielle de terroriste…
Pourquoi le simple port d’une bombe lacrymogène est interdit. Arme bien connue des djihadistes.
Vous êtes désarmant dans l’esprit et la lettre. Grand bien vous fasse. Je ne vous souhaite pas de jouer les Blandine en face de deux racailles vous filant des taloches pour vous réclamer une cigarette ou un petit billet. Je pense que vous irez même au-delà de leur desiderata, prêt à acheter votre paix.
De deux choses l’une. Soit vous avez vocation à être martyr de la cause humaniste quitte à sacrifier vos proches, soit vous vivez dans un endroit bien protégé, clamant la bonne parole du haut de vos remparts.
Sans aller dans les excès de sylvain, vous êtes sans doute issu de la génération flowerpower de Woodstock et ne devez pas avoir reçu une petite tape sur vos couches culottes marquant les limites à ne pas franchir. Vous aviez vous aussi à deux ans un cognitif assez développé pour différencier le raisonnable de ce qui ne l’est pas. Des génies des quatre pattes.
Je mesure la chance en venant sur ce blog d’approcher des personnages tels que vous ou Diogène.
Cette faculté d’oubli sélectif doublée par l’effacement de bandes vidéo est assez admirable.
Mais par pitié, ne revenez pas dans quelques années nous faire le coup du « vieux fusil » contre les hordes barbares. On saura vous faire les flashbacks nécessaires. Je n’ai pas dit flashball, le port est lui aussi interdit et la détention réglementée.
Certaine presse étrangère rapporte que la France « reconnaît enfin sa présence en Libye »…
Certains Syriens vivant en France nous rapportent que les migrants qui arrivent « ne sont pas des tendres »…
L’Elysée demande de faire disparaître des preuves sur vidéo…
Et les pôvres petits maltraités par la République sont irresponsables, après leur mort, bien sûr !
Et dans tout ce fatras de traîtrises émerge E. Macron « gourou séduisant »…
Trente-huit ans, propre sur lui, méprisant envers ce qui ne lui ressemble pas mais « perfectible »…
Ici, nous attendons une bonne décharge pluvieuse qui n’arrêtera pas mon envie de vomir.
@azer
On ne saura pas non plus pourquoi la psychanalyse est une imposture
« La psychanalyse, cette imposture » par le professeur Pierre Debray-Ritzen, Albin Michel, 1991.
@caroff
Je suis d’accord. J’ai entendu cette interview par hasard, et je l’ai trouvée répugnante.
Depuis le changement de direction, France Inter est devenue Radio Propagande, pro-LGBT, pro-islamiste, visiblement dévolue à la propagande gouvernementale.
De même, hier soir, le Mag de l’été refait l’histoire, en éliminant ce qui ne lui convient pas, comme le dit l’auteur du documentaire sur l’Université de Vincennes, qui n’a pas donné la parole aux opposants à cette Université, parce qu’elle « n’en n’avait pas envie ».
Serge Moati invité semblait regretter d’être instrumentalisé par l’animatrice.
France Inter participe à la démobilisation.
@ hameau dans les nuages | 22 juillet 2016 à 10:32
Effectivement il y a des dingos partout même chez Bilger !
Mais pour l’heure inscrivez-vous dans un club de chasseurs ou de tir, cela peut servir !
En attendant que Trump soit élu aux USA ce qui changera la donne dans notre pays !
@caroff
On apprend aussi que le djihadiste camionneur avait épousé sa cousine (ce n’est pas un interdit dans l’islam depuis ses origines) (…)
Voir :
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/09/06/21204-mariages-consanguins-sont-risques-pour-descendants
@Exilé
Merci pour le lien sur la consanguinité.
En ce qui concerne le Maghreb d’où proviennent les deux tiers des plus de 200 000 immigrés (regroupement familial par exemple) nous faisant la joie de nous rejoindre chaque année, les statistiques sont terribles : plus de 38% des mariages inscrits à l’état civil en Algérie sont consanguins alors que le taux de consanguinité au Maroc atteint 22,7% et 39% en Tunisie ! C’est beaucoup moins qu’en Arabie Saoudite où le taux se monte à 67%…
A noter que la consanguinité des Marocains de Belgique tangente les 50% ce qui montre bien la prévalence des mariages entre cousins…
Enfin, je souligne que le retard mental des enfants issus de mariages consanguins constitue un problème auquel doivent faire face les pays de la rive sud de la Méditerranée et je ne parle pas de la partie est.
Par comparaison le taux de consanguinité en France est inférieur à 1% mais l’invasion migratoire que nous subissons pourrait le faire augmenter…
« Toute la transparence sera établie » a dit Papili !
Mais qui donc lui prépare ses discours ?
Je suis transparent
tu es transparent
il est transparent… ! quel programme.
@ agecanonix | 22 juillet 2016 à 14:45
Hélas! Vous pensez bien que toute personne s’inscrivant à un club de tir dans le contexte actuel est ipso facto marqué du sceau « exd » et l’arme que vous pouvez acquérir après une longue enquête et seulement détenir à votre domicile est réquisitionnable à tout moment.
Alors je joue la carte « petite maison dans la prairie » dans la future zone libre en bas à gauche de la carte. Il n’y a pas d’autre moyen pour rester dans la légalité républicaine sans risquer les colonnes infernales de nos humanistes. Il me reste encore des châlits en lattis de la guerre de 40, mes parents ayant hébergé dans leur maison réquisitionnée (déjà) des gens qui n’avaient eux non plus rien vu venir. Qu’ils aient été aussi Belges est un pur hasard.
@sylvain
Sont-ce les beignes que vous avez reçues qui ont obéré votre développement intellectuel ? Ou bien en preniez-vous car votre idiotie naturelle vous rendait insupportable à vos parents ?
Car de fait vous ne comprenez pas une phrase aussi simple que « Il est de votre intérêt que vos enfants deviennent aussi sots que vous car dans le cas contraire ils découvriront que vous l’êtes etc. etc. » puisque vous me répondez que vos enfants vous aiment. Si c’est le cas, c’est bien qu’ils sont devenus aussi sots que vous, à moins qu’ils ne reconnaissent que sans vos « beignes dans la teutée » ils seraient devenus délinquants, c’est-à-dire qu’ils reconnaissent qu’ils sont des natures qui ne comprennent que la contrainte par la violence plutôt que la persuasion par les idées.
Tout le reste de votre réponse relève de ce que j’appelle « la pensée si ça se trouve » qui consiste à prendre pour vraies les suppositions qu’on fait de quelqu’un, et qui me concernant sont fausses.
Pour ma part, j’ai supposé que vous éleviez vos enfants aux beignes dans la teutée mais j’ai attendu que vous l’avouiez pour y répondre.
Notons, comme fruit de l’excellente éducation que vous avez reçue, cette constance dans l’expression de vos désaccords par des mots à caractère sexuel et excrémentiel desquels point une homophobie patente. On se demande pourquoi vous détestez ceux dont c’est l’orientation sexuelle. Si vous avez été victime d’abus sexuel de la part d’un homme, consultez les professionnels dont c’est la vocation de vous aider. Sinon écoutez une chanson que Brassens a écrite en pensant aux braves gens qui n’aiment pas ceux qui ne suivent pas les chemins qui mènent à Rome bien qu’ils ne fassent de tort à personne.
Ca marche aussi avec Paris ou Pékin.
@Exilé
Je n’ai pas lu cet ouvrage et avant d’envisager de le lire pourriez-vous, vous qui l’avez lu, me dire rapidement ce que ce professeur entend par psychanalyse : la cure psychanalytique ou bien la thèse centrale de la psychanalyse, à savoir l’inconscient comme un des moteurs de nos actions ?
@ hameau dans les nuages
« »En France, ceux qui ne sont pas favorables à l’armement de la population seraient motivés par le désir de voir les amateurs de rock ou de feux d’artifices être tués en nombre le plus grand possible ! Bien entendu, c’est moi qui délire et vous qui n’êtes absolument pas paranoïaque… »
Il vous faudra m’expliquer alors pourquoi au-delà du statu quo, on renforce la législation sur les armes de chasse actuellement faisant du Simplex acheté chez Manufrance sur catalogue dans les années 70 et dormant dans le grenier une arme potentielle de terroriste… »
Parce qu’une arme est pontentiellement utilisable par un terroriste, et le plus souvent les armes de chasse ne le sont pas seulement par les gens bien qui ont pour loisir de tuer des animaux mais aussi par des braves gens qui décident un jour de massacrer leur famille, comme les faits divers nous le montrent régulièrement.
Une de mes connaissances a trouvé un fusil de chasse et un carnet où étaient notées les prises du chasseur, datant des années soixante, dans la maison de campagne qu’il a achetée. Le fusil et ses cartouches étaient en excellent état. Si ça m’arrivait et que j’aie l’intention de commettre un méfait quelconque nécessitant une arme à feu, je ne risquerais pas de me faire remarquer en recourant aux filières illégales ni légales, je me servirais de ce que j’ai et que personne ne sais que je possède.
Le reste de votre commentaire relève comme sylvain de la pensée « si ça se trouve » : c’est votre portrait que vous brossez en exprimant vos préjugés à mon égard, pas le mien.