A chaque fois l’imprévisible surgit et frappe.
A chaque fois le terrorisme armé d’un couteau ou d’un véhicule fait irruption dans notre quotidienneté, blesse, meurtrit, massacre pour mourir à son tour.
Dans la soirée du 12 mai, un Russe tchétchène de 20 ans naturalisé français en 2010, Khamzat Azimov, fiché S depuis 2016, entendu déjà par la police au mois d’avril 2017, a respecté à la lettre ce processus malfaisant et a fini comme évidemment il le souhaitait.
Un jeune homme de 29 ans est mort poignardé, et il y a eu plusieurs blessés. La police est intervenue 9 minutes après l’attaque, évitant l’aggravation de ce bilan déjà trop lourd. Le Premier ministre et le ministre de l’Intérieur lui ont naturellement rendu hommage.
Compassion exprimée par plusieurs communiqués officiels pour les victimes et leurs familles.
Le président de la République déplore « le prix du sang une nouvelle fois payé par la France » – ce qui est tragiquement vrai – mais ajoute « qu’elle ne cèdera pas un pouce aux ennemis de la liberté ». Je comprends mal cette dernière affirmation.
Il me semble que c’est faire beaucoup d’honneur aux terroristes islamistes que de les percevoir seulement comme des ennemis de notre « liberté ». Un pouce ? Malheureusement chaque crime est déjà une défaite. Faut-il considérer alors que notre résolution continuera à s’afficher telle quelle en espérant un avenir moins sanglant sur ce mode odieusement intermittent ?
Analyses médiatiques de plus en plus pauvres parce que condamnées à reprendre quasiment mot pour mot les considérations développées pour les précédents attentats. En ce sens le dialogue sur France Inter entre une « spécialiste » de la Tchétchénie et le journaliste a été surréaliste le 13 mai : le second s’obstinait à lui faire déclarer du nouveau quand lassée elle était incapable de sortir des sentiers déjà longuement battus.
Pour ne pas évoquer le bavardage profus et de pur remplissage sur BFMTV dans la soirée du 12 mai avec la mention qui aurait été comique en d’autres circonstances de « l’auteur présumé ». Un auteur qui n’était plus à présumer : ce criminel, heureux d’obtenir sa mort comme une récompense, ayant frappé et tué au vu de beaucoup !
Sur les plateaux de télévision et dans les émissions de radio on s’exprimera sentencieusement sur ce terrorisme renouvelé. Avec la même objectivité froide et prétendument savante d’après l’action.
Le parquet antiterroriste de Paris – remarquable et auquel heureusement on a renoncé à accoler un Parquet national sur le modèle du PNF dont les prestations ont été pour le moins contrastées – est saisi et nous avons eu droit encore à une exemplaire communication du procureur Molins, dont quelques-uns de ses collègues devraient s’inspirer.
Les parents, les familiers du tueur mort sont entendus, placés en garde à vue. Des perquisitions opérées. Pour mettre au jour des connexions ? Pour trouver des explications à cette ignominie qui résulte de desseins délirants et d’une appétence perverse pour un sacrifice digne de ce nom seulement si un massacre l’a précédé ?
Face à cette réalité à l’implacable et tragique redondance, la routine de l’horreur terroriste jamais programmable, artisanale même si elle est téléguidée, insaisissable, laisse au sens propre et figuré désarmés. Il n’est pas indifférent que même un Jean-Luc Mélenchon ait fait profil bas en déclarant : « Je n’ai pas l’intention de dire que le gouvernement aurait laissé faire, ça n’est pas vrai » (LCI) et, à rebours, il est absurde de la part de LR et du FN de dénoncer « l’inaction d’Emmanuel Macron ».
L’envie, face à ce tableau sombre et menaçant, gangrenant le présent et pourrissant le futur, est de se révolter, de refuser l’angoisse de l’inéluctable. Ce pessimisme serait désespérant qui interdirait même de concevoir d’autres modalités de lutte jamais encore expérimentées. Mais lesquelles ? La modestie m’oblige à admettre que je ne sais pas. Pourtant il faudrait.
Encore conviendrait-il de ne pas s’obstiner par dogmatisme à récuser des opportunités opératoires de nature à prévenir d’autres désastres.
J’admets qu’il ne suffirait pas d’une politique internationale atone et aphone ou d’orientations radicalement différentes pour s’attirer les bonnes grâces de nos adversaires fanatiques.
Il n’est même pas sûr qu’une démocratie encore plus musclée, à la supposer possible sans dénaturer profondément son esprit et permettant un quadrillage de tous les instants, serait décisive dans l’éradication du terrorisme organisé ou de l’instant. Il y aura toujours sur notre destin collectif et nos destinées individuelles son risque et, bien plus, malgré la fermeté républicaine, sa concrétisation. Aussi rare qu’on l’espère.
Cependant comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ? (Grand Jury RTL-Le Figaro- LCI)
Le porte-parole du gouvernement a eu beau répéter que la fiche S servait à la police et au renseignement et qu’elle leur avait permis de déjouer un certain nombre d’attentats, il n’est pas parvenu à convaincre qu’un changement de législation pour les nationaux – autorisant leur interpellation par exemple – et l’expulsion des étrangers ne seraient pas efficaces pour mieux combattre le danger terroriste et éviter son aléatoire survenue.
Dès lors que pratiquement tous les criminels islamistes ont relevé ou relèvent de cette catégorie trouble, le bon sens n’imposerait-il pas de se pencher sur elle pour une exploitation plus efficiente et enfin coercitive des données personnelles de chaque fiche ? Pourquoi cette étrange pusillanimité qui nous prive d’une chance de plus, d’une avancée probable, cette répugnance à transformer un outil en une arme ?
Stagnation d’autant plus regrettable que c’est sans doute sur ce seul plan que la mélancolie du « je ne sais pas » pourrait être effacée par le volontarisme concret du « il faudrait ».
Pourquoi tout le monde dit-il que le terroriste était tchétchène ? Il s’agissait, avant tout, d’un terroriste russe. La Tchétchénie est une « collectivité locale » (comme on dirait chez nous) de la Fédération de Russie.
Parler de terroriste tchétchène en France, c’est un peu comme si un Français commettait un attentat aux Etats-Unis, et que les médias américains le présentaient comme un terroriste auvergnat. Incidemment, la Tchétchénie, confetti constitutif du pays le plus étendu du monde, est plus petite que la Bretagne.
Evidemment, parler de terroriste tchétchène permet de préserver la fable des poutinistes français, selon laquelle « nous devrions nous allier à la Russie pour lutter contre le terrorisme islamique ». C’est un peu difficile, alors que la Russie est l’un des principaux producteurs et exportateurs de terrorisme islamique dans le monde. Par l’intermédiaire de la Tchétchénie, justement.
Ah ! mais nos poutinistes ont encore un truc dans leur manche : nous devrions à Vladimir Vladimirovitch l’éradication du terrorisme musulman en Tchétchénie, puisque tous les « médias du système » ont répercuté sa virile déclaration selon laquelle il allait « buter les terroristes jusque dans les chiottes ». (Curieusement, sur ce coup-là, les « médias du système » sont censés dire la vérité : si Poutine a annoncé qu’il allait les buter, c’est qu’il les a butés.)
Naturellement, il s’agit d’un mensonge, un de plus. Poutine n’a pas « buté les terroristes tchétchènes », il les a créés. Avant la première guerre de Tchétchénie, menée par son mentor Boris Eltsine, et surtout la seconde, celle que Poutine a déclenchée aux cris, justement, de « tous aux chiottes ! », cette poussière de l’empire russe n’avait rien d’islamique. Elle était musulmane, certes, mais d’un islam paisible et local.
Les Tchétchènes ont toujours été défiants vis-à-vis du pouvoir de Moscou, mais leur particularisme était surtout basé sur leur identité ethnique et sur leurs liens de clan. L’islam venait en plus.
Au moment de l’effondrement de l’URSS, les Tchétchènes réclamaient, avant tout, leur indépendance. Leur accorder une large autonomie leur aurait sans doute suffi — et nous n’aurions pas eu, alors, un jeune abruti poignardant des gens dans la rue, au hasard, dans le quartier de l’Opéra à Paris.
Mais P-p-p-poutine est un vrai chef d’Etat, lui, un homme viril avec des gros biscoteaux, pas comme toutes ces tarlouzes qui dirigent la « Gayropa » (insulte réellement employée par la propagande russe), en particulier un certain pays avec beaucoup de fromages, si vous voyez ce que je veux dire.
Par conséquent, il a déclenché contre les Tchétchènes une guerre civile d’une cruauté inouïe, avec massacres de civils, jets d’êtres humains du haut d’hélicoptères, tortures, viols — enfin, la routine.
Non seulement cela a réduit à l’état de loques humaines les soldats russes qui en sont revenus (pour ne pas parler de ceux qui y sont restés), mais cela a poussé les Tchétchènes à redécouvrir leur identité islamique, en se tournant vers l’Arabie Saoudite et son fanatisme wahhabite. Soit exactement le scénario afghan, qui n’a pas peu contribué à l’effondrement de l’URSS, mais quand on est stupide, c’est pour la vie — et dans ce rayon, le Poutinou en tient une couche.
Résultat : « l’immense joueur d’échecs Vladimir Poutine qui a toujours dix coups d’avance » a été contraint d’accorder, tout de même, à la Tchétchénie, une autonomie de fait, extra-légale, tellement étendue qu’elle est fort proche de l’indépendance.
Et en plus, il doit l’inonder de pognon fédéral : 80 % du budget tchétchène est assuré par les subventions de Moscou, et ce n’est pas comme si les islamistes au pouvoir se contentaient de cacahouètes. Les gratte-ciel les plus modernes poussent comme des champignons dans ce qui était, jadis, un trou perdu.
Mieux encore, le dictateur local auquel il a donné carte blanche lui fait des grands mamours par devant, et lui tire le tapis sous les pieds par derrière. Ramzan Kadyrov se livre, régulièrement, à un chantage d’une impudence ahurissante envers Poutine — qui fait mine de le tancer à demi-mot, mais qui cède à chaque fois. Le bon vieux chantage musulman, le bon vieux culot islamique éhonté, dont nous avons tant d’exemples dans notre beau pays de France.
Même le FSB est furieux contre Kadyrov, qui a promis de tirer sur ses troupes si elles mettaient le pied chez lui sans sa permission. Il ne faut pas, pour autant, se figurer que Poutine est une pauvre victime dans cette affaire : le satrape de Grozny met à sa disposition ses tueurs à gages pour liquider ses opposants politiques. Bonus ajouté : le Kremlin peut nier toute responsabilité.
Moyennant quoi, Ramzan Kadyrov fait régner « l’ordre » dans sa province, mais ça ne l’empêche pas de produire, et d’exporter, un nombre significatif de terroristes islamiques. Beaucoup d’entre eux sont allés rejoindre les rangs de l’Etat islamique en Syrie. D’autres ont préféré jouer de la cocotte-minute piégée au marathon de Boston, ou du couteau gigoteur du côté de l’Opéra.
Et si vous pensiez, par hasard, que Ramzan Kadyrov est, comme Poutine, un tyran cruel, certes, mais qui porte nos intérêts dans son coeur, il vous suffit de vous reporter aux vives condoléances et au message de soutien ému qu’il a adressé aux Français, suite à l’attentat de samedi : la France en porte l’entière responsabilité, a-t-il déclaré. Certes, l’assassin est né en Tchétchénie, mais son passeport russe n’est plus valable. Il a grandi en France, c’est là qu’il a formé sa personnalité, ses opinions et ses convictions. C’est la faute de la France s’il a choisi la voie de la « criminalité » (Kadyrov n’a pas parlé de terrorisme, et encore moins de terrorisme musulman).
On reconnaît là le bon vieux déni musulman, celui d’innombrables immigrés en Europe, qui se prétendent « modérés », mais dédouanent leurs coreligionnaires assassins en prétendant que c’est l’Occident qui les a corrompus.
Ramzan Kadyrov est un habitué de ce genre d’insolence : une semaine seulement après le massacre islamique de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, il organisait une grande manifestation « spontanée », dans son fief… contre Charlie Hebdo, coupable d’avoir caricaturé Mahomet.
Donc, le terrorisme musulman, Monsieur P-p-p-poutine aux gros biscoteaux, on s’en occupera nous-mêmes, merci bien. Avec nos alliés de l’OTAN, si ça ne vous dérange pas. Et si ça ne dérange pas trop les néo, crypto et vario-communistes franchouilles. Et leurs amis de toutes les nuances brunâtres.
Bonjour,
Pourquoi n’expulsons-nous pas les étrangers fichés S ?
Il va bien falloir se réveiller enfin pour sécuriser notre patrie.
Un texte de 1986 (Jacques Ellul, Le bluff technologique, p. 280-281)
« On pouvait être tranquille tant que le tiers monde n’avait pas d’idéologie mobilisatrice. Une révolte anticoloniale de tel ou tel pays, ce n’était pas très grave. Mais maintenant, le tiers monde est muni d’une idéologie puissante, mobilisatrice : l’islam. Celui-ci a toutes les chances de réussir, contrairement au communisme qui était encore importé d’Occident. Et c’est pourquoi le communisme échoue peu à peu dans les pays d’Amérique latine qui l’avaient adopté (sauf à Cuba et en ce moment au Nicaragua), et en Chine, où l’on a compris que si l’on voulait devenir le troisième grand, il fallait l’abandonner.
Au contraire, l’islam est du tiers monde. Il gagne à une vitesse extraordinaire toute l’Afrique noire, ii mord de plus en plus largement en Asie. Or, c’est une idéologie à la fois unificatrice, mobilisatrice, et combattante. A partir de ce moment, nous allons être engagés dans une véritable guerre menée par le tiers monde contre les pays développés. Une guerre qui s’exprimera de plus en plus par le terrorisme, et aussi par « l’invasion pacifique ».
Il est clair que le tiers monde, même en réunissant toutes ses forces, ne pourrait pas engager une guerre déclarée, frontale, sur un champ de bataille. Ni guerre des tranchées comme en 1914, ni guerre de mouvement comme en 1940, ni même guerre froide comme en 1947, ni, non plus, guerre économique. Il n’aura jamais une puissance militaire suffisante ni une domination économique (on l’a bien vu avec le pétrole). Il a deux armes fantastiques : le dévouement illimité de ses kamikazes, et la mauvaise conscience de l’opinion publique occidentale envers ce tiers monde.
Car il est remarquable que cette Europe, qui ne peut pas se résoudre à prendre les mesures drastiques raisonnables pour rendre enfin le monde vivable, subit une mauvaise conscience permanente. Dès lors, d’une part il y aura un terrorisme tiers-mondiste qui ne peut que s’accentuer et qui est imparable dans la mesure où ces « combattants » font d’avance sacrifice de leur vie. Quand notre monde sera devenu dangereux, nous finirons pas être à genoux sans avoir pu combattre. Et en même temps se produira inévitablement l’infiltration croissante des immigrés, travailleurs et autres, qui par leur misère même attirent la sympathie et créent chez les Occidentaux des noyaux forts de militants tiers mondistes. Les intellectuels, les Eglises, le P.C., pour des raisons diverses, seront les alliés des immigrés et chercheront à leur ouvrir les portes plus largement. Toute mesure prise par le pouvoir, soit pour les empêcher d’entrer soit pour les contrôler, rencontrera une opinion publique et des médias hostiles. Mais cette présence des immigrés, avec la diffusion de l’Islam en Europe, conduira sans aucun doute à l’effritement de la société occidentale entière. Par suite de la déraison manifestée depuis vingt ans par nous, l’Occident va se trouver, sur le plan mondial, d’ici vingt-cinq ans, dans l’exacte situation actuelle qui est celle de la minorité blanche d’Afrique du Sud, face à la majorité noire. »
Toujours aussi concis Monsieur Marchenoir (court pas vraiment !), mais le constat fait, qu’avez-vous donc à proposer de réaliste à l’interrogation de Monsieur Bilger ?
Je ne sais pas mais il faudrait !
Ce sont « vos solutions » qu’il serait utile de connaître et non un état des lieux.
« Dès lors que pratiquement tous les criminels islamistes ont relevé ou relèvent de cette catégorie trouble, le bon sens n’imposerait-il pas de se pencher sur elle pour une exploitation plus efficiente et enfin coercitive des données personnelles de chaque fiche ? »
Non, les criminels islamistes ne relèvent pas uniquement de cette catégorie trouble, sauf de façon marginale et finale.
Il relèvent avant tout d’un système politico-religieux global que nos ânes savants s’obstinent à qualifier uniquement de « religion » et qui est radicalement contraire dans presque tous ses aspects à notre mode de vie et à notre conception de la civilisation.
Et le fond du problème est qu’en une quarantaine d’années, du fait de l’irresponsabilité d’hommes politiques de tout poil aidés par des fonctionnaires qui ont parfois aussi poussé à la roue, notre pays a quasiment été envahi par des gens dont les motivations reposent certes sur la quête d’avantages matériels mais aussi sur l’esprit de conquête d’un territoire mécréant, se reporter au nombre de monuments « religieux » nommés La Conquête pour s’en convaincre.
Quant aux mesures à prendre, avant d’envisager les plus énergiques, ne devraient-elles pas tout simplement relever du simple bon sens ?
Par exemple, les auteurs d’attentats sont pour la plupart soit des fils d’étrangers, nés en France, soit des naturalisés français, soit des fils d’étrangers nés à l’étranger, comme c’est le cas pour le tueur tchétchène, issus de pays dont la culture n’a rien de compatible avec la nôtre.
Pour prendre une analogie, pratique-t-on une transfusion sanguine sans s’entourer d’un minimum de vérifications ?
Ne faudrait-il pas commencer par mettre un terme à cette folie migratoire née dans des cerveaux malades cherchant à semer le chaos en France à partir de « masses » de substitution aux « travailleurs » ayant déserté leurs chapelles rouges ou bien dans ceux de technocrates « brillants » pour lesquels un Français n’est qu’un numéro INSEE parfaitement interchangeable, quitte à en importer de l’autre bout de la planète pour compenser des déficits démographiques causés par leur propre folie, comme ceux causés par l’avortement de masse ?
De façon concrète, il conviendrait donc, au nom de l’application du principe de précaution et a minima, de mettre en place un moratoire gelant ces aberrantes naturalisations de masse non accompagnées d’une période probatoire, comme en Suisse par exemple.
Tant que les hommes politiques n’auront pas, comme Raymond Barre l’a fait en son temps, l’intelligence et l’humilité de reconnaître qu’ils ont fait fausse route, le même spectacle donné par les mêmes pleureuses grotesques après chaque crime du même genre sans se remettre personnellement en cause ne pourra que se reproduire, au prix de la mort de plus en plus de Français de France.
J’ose espérer que ce n’est pas ce que ces gens-là, dont bien peu aiment la France et les Français, espèrent secrètement.
« A chaque fois l’imprévisible surgit et frappe ».
Hélas, pas totalement imprévisible puisque, encore une nouvelle fois, l’auteur de cet acte lâche et abject était fiché, donc parfaitement identifié comme pouvant, n’importe quand et n’importe où, passer à l’acte.
Chaque fois, c’est le même triste scénario qui se répète : des innocents victimes de terroristes connus, fichés, suivis, mais contre lesquels nos principes nous ont interdit d’agir efficacement pour éviter ces drames. Et ainsi, la liste des victimes s’allonge inexorablement au fil du temps.
Alors, il y en a assez de ces condamnations unanimes, de ces paroles de compassion toujours identiques réitérées, telle une insupportable rengaine, lors de chaque événement de ce type.
Au nom de notre sécurité, de notre protection, les pouvoirs publics qui sont capables d’imposer à des millions d’automobilistes une limitation de vitesse sur certains axes routiers seraient-ils donc incapables d’imposer à quelques individus présentant pour la société une dangerosité importante, pour ne pas dire certaine, des mesures draconiennes permettant d’éviter, ou pour le moins limiter, tout passage à l’acte ?
« Je ne sais pas mais il faudrait ! »
Je suppose que c’est une demande indirecte d’idées, soit pour avoir un état de l’opinion, soit pour les faire appliquer. Ou les deux ?
Donc :
– Stopper l’immigration musulmane.
– Permettre aux Français de s’armer. Les agresseurs le sont, eux… Je ne sais si cela stopperait beaucoup d’agresseurs mais cela nous sortirait de notre mentalité de victime, de soumis. Point capital pour vaincre, d’abord, ne pas reculer… J’aurais un tas d’exemples à donner, mais crois l’avoir déjà fait, et ceci n’est pas une balade mais une liste.
– Si on ne rétablit pas la peine de mort, prison à vie pour les terroristes survivants, lourde peine pour les complices, déchéance de nationalité des traîtres, une mesure symbolique importante.
– Ceux qui ont fait le djihad à l’étranger sont abandonnés à ceux qui les capturent.
– Purification des mosquées de tout élément délétère. Moratoire à leur construction jusqu’à la victoire de la guerre contre l’islamisme.
– Service militaire pour les hommes et pour les femmes où les mobilisés soient en apport à la police, la gendarmerie et l’armée pour la sécurité de la nation.
– Resserrement de nos liens avec nos alliés.
Dans « Le Parisien » du 14 mai, p. 11, Les nouveaux mots du Robert.
« Rageux : Personne agressive, animée par la haine »,
Et le rédacteur d’ajouter « en action sur les réseaux sociaux ».
Nous n’avons pas ça, ici.
@ Pierre Blanchard | 14 mai 2018 à 09:00
« Toujours aussi concis Monsieur Marchenoir (court pas vraiment !), mais le constat fait, qu’avez-vous donc à proposer de réaliste à l’interrogation de Monsieur Bilger ? »
RM ne propose rien, si ce n’est peut-être l’autodéfense. Chaque citoyen devant disposer d’un arsenal à la Rambo chez lui afin de « neutraliser » tout individu qui présenterait des signes d’agressivité suspects.
Ses interventions sur ce blog consistent d’abord à démontrer que tous les maux de la France et même de la planète proviennent uniquement de la Russie en général et de Poutine en particulier.
Dans le cas présent, ce qu’il veut démontrer, c’est que le terroriste tchétchène, qui est de nationalité française puisqu’il a été naturalisé, est en fait un Russe, vu que la Tchétchénie est une république constitutive de la fédération de Russie.
Cela suffit à son bonheur. Le seul manifestement qui puisse vraiment le faire jouir.
Le mieux est encore de le laisser à ses enfantillages sinon il va nous faire un gros caprice !
Les parents, les familiers du tueur mort sont entendus, placés en garde à vue.
Mais qui a laissé ses parents s’installer en France ? Qui ?
Qui a établi les dossiers de naturalisation ? Qui ?
Des noms !
Ou bien alors, sommes-nous (mal) gouvernés par des irresponsables anonymes n’ayant de comptes à rendre à personne ?
Comme d’habitude votre analyse est pertinente. Nous sommes dans une impasse. Pour en sortir il faudrait employer des méthodes efficaces mais honnies de la démocratie, celle des mafieux par exemple, qui se servent de l’entourage. Mais d’ores et déjà on pourrait faire une chose à laquelle personne ne pense : obliger à lire le Coran. Il faut en effet d’abord connaître ce danger auquel nous sommes confrontés. Or moins d’un Français sur dix l’a lu et pourtant 100% des Français sont concernés.
Sortir de cet aveuglement éclaircirait bien des choses comme empêcher par exemple de dire que ses commandements sont pacifiques et ne prônent pas le meurtre et l’assassinat.
@ Robert Marchenoir
« Donc, le terrorisme musulman, Monsieur P-p-p-poutine aux gros biscoteaux, on s’en occupera nous-mêmes, merci bien. Avec nos alliés de l’OTAN, si ça ne vous dérange pas. Et si ça ne dérange pas trop les néo, crypto et vario-communistes franchouilles. Et leurs amis de toutes les nuances brunâtres. »
Depuis cette lecture je suis on ne peut plus rassurée ! Il suffisait de presque rien, de quelques mots de notre expert et enfin la paix intérieure est retrouvée…
Bon, je vous l’accorde, Marchenoir ne fait pas dans le détail, mais au fond les détails, c’est assez peu de chose.
Ainsi, donc, besoin de personne, et personne c’est Poutine qui a lui aussi la métis pour alliée, enfin nous l’espérons.
Personne vacant à ses obligations, les hommes aux nuances brunâtres (je présume que Marchenoir fait allusion aux Grecs, mais ce n’est pas certain…) étant retournés d’où ils viennent, en Grèce, nous allons pouvoir réfléchir à la conduite du monde selon Marchenoir !
Le bonheur frappe à la porte, je me demande à quoi pensaient les dirigeants ?? Vive Marchenoir, quel grand poète, quel esthète, quel Machiavel, il est sans nul doute de l’étoffe des héros, Nestor est un âne comparé à Marchenoir !
NB : Ne mettez pas Marchenoir au soleil (SGDG) !
« Le président de la République déplore « le prix du sang une nouvelle fois payé par la France » – ce qui est tragiquement vrai – mais ajoute « qu’elle ne cèdera pas un pouce aux ennemis de la liberté ». Je comprends mal cette dernière affirmation. »
Je n’ai pas non plus compris cette déclaration et le décalage entre la réalité que nous vivons avec nos morts répétitifs et cette déclaration « bateau », d’une banalité à pleurer est clairement perceptible. Encore un surdoué de la superficialité notre président ? On peut s’interroger tant ses analyses à brûle-pourpoint peuvent être suffisantes et insuffisantes.
Pour nous montrer son haut niveau de réflexion il aurait pu se poser à haute voix des questions de fond comme : pourquoi la France a-t-elle donné l’asile à des exilés d’un pays « ami » comme la Russie ? Pourquoi accueille-t-elle, loge-t-elle, nourrit-elle depuis des décennies les opposants politiques de pays avec qui elle a des relations commerciales ? Pourquoi vend-elle des armes à ceux qui pourraient les retourner contre elles ? Pourquoi sommes-nous gouvernés par des imbéciles comme l’avait écrit André Santini ?
Ce n’est pas seulement au-dessus de ses moyens financiers que la France vit mais également au-dessus de ses moyens intellectuels. L’ENA est au pouvoir disait récemment Raphaël Glucksmann. Le résultat n’est pas brillant.
Quand les arrivistes égotistes et les imbéciles prétentieux boivent, qui trinque ? Nous qui sommes désormais à la merci d’ennemis dont nous n’avions pas connaissance de l’existence sur notre sol.
Selon de récentes statistiques il y aurait environ 20 000 fichés S dont la moitié sont des islamistes. Comme on ne peut pas les enfermer tous il y a bien des moyens d’empêcher de nuire les plus dangereux d’entre eux et de procéder à leur expulsion sauf à accepter longtemps encore que la liberté de quelques-uns ait plus d’importance que la sécurité de tous.
« Sur les plateaux de télévision et dans les émissions de radio on s’exprimera sentencieusement sur ce terrorisme renouvelé. Avec la même objectivité froide et prétendument savante d’après l’action. »
Vous avez tout à fait raison Monsieur Bilger de relever cela. C’est comme un rituel, vous voyez les mêmes têtes à la télévision qui viennent répéter la même chose pour la ixième fois. Effet délétère, mortifère et révélant une faiblesse inquiétante devant un réel danger.
Le monde est plein d’histoires folles comme les religions qui sont toutes utilisées à des fins politiques ; l’athéisme est lui aussi un support idéologique. Prenons en exemple le parti socialiste français et penchons-nous sur certains de ses brillants adhérents : Fabius, DSK, Hollande, Mitterrand, Ayrault et bien d’autres ; ces gens-là sont tous des riches qui ont utilisé un parti dérivant du marxisme pour réaliser leur fortune et leur promotion sociale.
Mais laissons ce passé pouilleux et honteux et regardons le présent où des oppositions se déchaînent en manipulant les croyances pour apeurer et dominer les populations. Des diablotins comme Mélenchon se nourrissent grassement des attributions qui leur sont conférées par des nigauds qu’ils incitent à la révolte sous la forme d’une indignation manipulée, contre ceux-là même qui travaillent pour que les assistés mélenchonistes puissent vivre honorablement par le biais des aides sociales multiples et généreuses que l’on ne retrouve dans aucun pays africain.
Voilà ce qu’est actuellement notre France, avec une cerise sur ce gâteau empoisonné : Macron qui utilise les mêmes méthodes que ses prédécesseurs qui étaient tous des opportunistes malhonnêtes.
Macron fait ce qu’il pense avoir dit, ce qui n’était pas une promesse, et il « assume » avec ses ministres toutes les erreurs qu’ils commettent en interdisant au peuple de les sanctionner.
Monsieur Bilger nous dit : « Le président de la République déplore « le prix du sang une nouvelle fois payé par la France » mais ajoute « qu’elle ne cédera pas un pouce aux ennemis de la liberté ». Je comprends mal cette dernière
affirmation. »
C’est pourtant simple : il répète « vous n’aurez pas ma haine na, na, na » ; n’oubliez pas que Brijou lui permet de jouer encore à l’enfant modèle.
L’avenir continuera-t-il à n’appartenir qu’à la voyoucratie des très riches ou des très pauvres ? Ou, enfin, va-t-il se passer quelque chose ici-bas ?
@ Robert Marchenoir | 14 mai 2018 à 02:05
Comparaison n’est pas raison. On ne parle pas de terrorisme auvergnat sauf à faire dans la dentelle du Puy mais bien corse, breton ou basque. Là on parle de terroriste tchétchène.
Il y a surtout pourquoi accepte-t-on des réfugiés tchétchènes sur notre territoire sachant qu’ils ne fuient pas un impayé de loyer ou de contraventions pour mauvais stationnement. Quel est le but du jeu ?
9 minutes, un record dans le quartier de l’Opéra ?
Record battu :
https://www.facebook.com/plugins/video.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fcarlos.thecapitalist%2Fvideos%2F10104157207410075%2F
Je vous rejoins sur la législation sur les armes, seul moyen pour que l’apprenti ou professionnel terroriste ne soit plus comme un poisson dans l’eau. Il faut que la peur le gagne.
Finalement, ce Tchétchène calme et sans histoire, fiché S, réussirait à faire prendre conscience à nos dirigeants qu’il y a des choses qui ne vont pas. Suspect…
En soi, l’événement n’a rien d’exceptionnel si ce n’est que derrière se profile le dieu à la triste figure, pas drôle du tout, préoccupé de la façon dont on doit s’essuyer les fesses (lisez le catéchisme musulman) et un brin de mauvais poil dès qu’on parle d’autre chose que de lui. Ce n’est pas le propre de ce dieu, il draine aussi le dieu jaloux des chrétiens, aux accents tonitruants, pour en arriver au Christ qui, de Palestinien pouilleux est devenu un esthétique athlète flave aux yeux bleus.
Dans ce milieu, il est difficile de se faire une raison, mais nos gouvernants, c’est-à-dire l’ENA, paraissent particulièrement imperméables aux faits culturels qui accompagnent le développement de cette religion et dont on s’épargnera l’énumération.
On ne vit pas mal avec le burkini, le halal, le confinement des barbus aux quartiers de toutes les façons infréquentables de nos grandes villes, les pauvres filles planquées sous leur bâche, les donneurs de leçon domestique : après tout, ça ne concerne pas le bon Français.
Mais, d’un autre côté, verdoie la contre-culture anglo-saxonne qui phagocyte notre langue française, et cancérise notre réflexion artistique par une exploitation effrénée de l’art.
Enfin, la mauvaise gestion de notre pays, administré par de hauts fonctionnaires gravement acculturés, nous place dans une position précaire en Europe.
Notre président, autoproclamé guide suprême de l’Europe, se fait regarder avec méfiance par nos partenaires qui n’ont aucune envie de toucher aux délices de l’administration à la française et de ses conséquences fiscales pour le moins torturées.
La France, pays charmant, mais complètement noix, même si nous avons quelques chefs d’entreprise de grande qualité.
Un magnifique exemple de l’inconséquence de ces administrateurs-là : la réorientation de l’épargne vers les secteurs d’investissement productif et au détriment de la fortune immobilière. Et ces technocrates s’imaginent que les Français enthousiastes vont apporter leur manne aux financiers, après que, pendant cinquante ans, ils ont hurlé à la mort contre les riches financiers, qu’un des leurs a taxé d’adversaires, qu’ils ferraillent sans succès contre les GAFA (indifférents, par ailleurs), qu’ils chargent les entreprises de collecter les impôts, sans doute pour leur simplifier la vie et abaisser leur niveau de charges.
Mais les Français sont logiques, ils ne voient pas pourquoi, au lieu d’acquérir tranquillement un bien fonds, sécurisant pour leur famille, ils iraient tout risquer dans des entreprises dont le gouvernement depuis des décennies, fait sa cible favorite, et comme cela, d’un coup, d’un claquement de doigt macronien, dont le premier souci est de créer ou d’augmenter taxes et surtaxes. Bien sûr, il serait bon d’avoir une population dynamique, mais pas en créant une égalité fictive par le rabotage fiscal qui décourage. Sans doute, l’idée de M.Macron tranche heureusement avec les fadaises chiraquiennes et hollandiennes, mais, colportant avec lui le cancer administratif il le rend contagieux.
L’ensemble des ces malaises rend la pénétration de cultures étrangères et de ses conséquences troubles, plus aisée. Nous n’avons rien à défendre si ce n’est le souvenir du génie culturel français que le président ne reconnaît pas, le souvenir de nos conquêtes que le président criminalise alors que l’islam le célèbre, que l’Amérique le défend et que la Russie l’entretient avec amour.
Il nous reste un titre de gloire : le succès de la politique de redistribution. Maigre dans le monde de l’affrontement financier et économique.
Dans ces conditions, le clairon de la sécurité intérieure résonne dans une cour vide, où on a oublié de monter les couleurs et où des bidasses sans uniforme tirent sur leur clope.
Le Tchétchène mérite des louanges : fiché, renseigné, connu, il a mené son petit djihad bien pépère, de façon assez rentable, en coûtant au pays, en le ridiculisant à travers les déclarations comiques du président.
Encore un fait divers.
@ Michel Deluré
« Au nom de notre sécurité, de notre protection, les pouvoirs publics qui sont capables d’imposer à des millions d’automobilistes une limitation de vitesse sur certains axes routiers seraient-ils donc incapables d’imposer à quelques individus présentant pour la société une dangerosité importante, pour ne pas dire certaine, des mesures draconiennes permettant d’éviter, ou pour le moins limiter, tout passage à l’acte ? »
Principalement pour la raison que les associations de défense des automobilistes n’ont pratiquement aucun poids, contrairement à ces associations stipendiées pour nous nuire qui, dévoyant les grands principes moraux et s’abritant sous des « droits » également détournés de leur finalité, protègent les ennemis des Français quand elles ne leur facilitent pas la tâche, au détriment de ceux qui sont en principe leurs compatriotes.
Ce qui dégage un remugle de trahison.
@ Achille
« R. Marchenoir ne propose rien… »
Très juste !
« Si ce n’est peut-être l’autodéfense. Chaque citoyen devant disposer d’un arsenal à la Rambo chez lui afin de « neutraliser » tout individu qui présenterait des signes d’agressivité suspects. » (Achille bis)
En premier lieu les brunâtres et autres mal blanchis comme il ne cesse de le ressasser sur tous les blogs et forums où il peut encore s’incruster !
« Ses interventions sur ce blog consistent d’abord à démontrer que tous les maux de la France et même de la planète proviennent uniquement de la Russie en général et de Poutine en particulier. » (Achille ter)
Poutine, un « mâle » qui répand la terrrreur, « mâle » que le ciel en sa fureur inventa pour punir les crimes de la terrrre… etc.
Puisque Marchenoir l’a dit, prouvé, et ne cesse de le marteler. Avant Poutine tout marchait comme sur des roulettes et après…
La Fontaine toujours d’actualité !
@ Guzet | 14 mai 2018 à 08:45
Jacques Ellul avait presque tout prévu concernant la technique envahissante, l’écologie aujourd’hui récupérée par les politiciens gauchistes, l’émergence de conflits liés aux migrations incontrôlées et bien sûr le réveil d’un islamisme conquérant.
Hélas ses œuvres majeures sont très peu connues en France où il a toujours été considéré par l’intelligentsia de son propre pays comme un anarcho-libertaire, tantôt marginal, tantôt illuminé, mais certainement pas comme le visionnaire qu’il fut en réalité sur bien des sujets de société.
Alors qu’il est bien plus connu aux Etats-Unis et au Canada où ses livres traitant notamment de sociologie et de théologie font partie de longue date des programmes universitaires.
Comme quoi nul n’est prophète en son pays. Ce qui est bien regrettable s’agissant d’un intellectuel de cette indépendance d’esprit, de cette clairvoyance et de cette hauteur de vue.
@ Guzet | 14 mai 2018 à 08:45
« Un texte de 1986 (Jacques Ellul, Le bluff technologique, p. 280-281) »
Je fais suivre à mes amis et connaissances (avec prière de forwarder).
Merci pour la communication.
@ genau
« Ce n’est pas le propre de ce dieu, il draine aussi le dieu jaloux des chrétiens, aux accents tonitruants, pour en arriver au Christ qui, de Palestinien pouilleux est devenu un esthétique athlète flave aux yeux bleus. »
C’est-à-dire que pour faire florès cette secte a suivi les recommandations de sieur Marchenoir, et puis vous savez bien que d’un point de vue strictement publicitaire, le style pouilleux de Palestine n’est pas en vogue…
Dieu, qui sait ce qu’il fait, en tout cas autant que Marchenoir sait ce qu’il dit, a tout prévu, notamment que ceux qui lui désobéiront s’en repentiront, qu’ils soient élus ou traîne-savates…
En matière de gestion de l’Etat des peuples de plus de quarante tribus, je n’ai pas saisi toutes les subtilités divines mais je me pencherai dès que possible sur cette difficulté, que je suis tentée, je l’avoue, de confier à un blond au teint de rose très en vue ces derniers temps, il ne s’agit pas de Ménélas.
Pour ceux qui aiment Fauré et Rouget de l’Isle, pour ceux que le brunâtre n’effraie pas : des roses d’Ispahan ! Kathleen Battle est un rêve !
https://www.youtube.com/watch?v=6ledwIwGG-k
« R. Marchenoir ne propose rien… »
Il fait déjà beaucoup d’efforts pour que les tarés tentent de réaliser ce qui se passe. Quant à proposer quelque chose cela est déjà fait et réclamé par plusieurs partis politiques et citoyens de ce pays, mais malheureusement il est trop tard !
La bêtise et la lâcheté auront vaincu mille années d’histoire et d’efforts. Alors préparez-vous à manger du couscous et à faire la prière à genoux avec vos harems cloîtrés et ne dites pas non car Allah y veillera !
Ce n’est pas possible d’être bêtes à ce point-là !
Cette chanteuse-là est Maori :
« …reviens, ô nuit mystérieuse »
https://www.youtube.com/watch?v=Oq4iEhRpAcY
Ce n’est qu’une impression qui vaut ce qu’elle vaut, il me semble qu’on s’habitue, le terrorisme est entré dans sa phase de normalité. Les attentats seront bientôt traités comme des faits divers. Les morts et les blessés passent par pertes et profits, le prix à payer pour continuer à croire que ça va mieux en France. La ligne rouge n’a pas encore été franchie, elle recule, d’ailleurs pour l’instant il n’y a pas de ligne rouge.
@ Robert Marchenoir | 14 mai 2018 à 02:05
Pour une fois et je tiens à le souligner, je suis totalement d’accord avec vous sur la genèse et l’évolution du conflit tchétchène. Sa dérive dans le terrorisme islamique inspiré du wahhabisme saoudien doit tout aux politiques irresponsables d’Eltsine et de Poutine ; ce dernier reprit en pire celle de son prédécesseur, et avant tout pour une finalité électoraliste.
@ Aliocha
Dites donc Aliocha, ne craignez-vous pas de semer du vent, le doute veux-je dire ?
The Doomsday’s coming ! Il faut de toute urgence s’armer jusqu’aux dents, cette solution a fait ses preuves au pays de Cocagne, où rien de grave ne se passe…
Enfin, je crois, d’après Marchenoir tout est merveilleux là-bas, rien n’est comme ici, là-bas tout est différent…
J’ai pensé à adresser une spéciale dédicace à Marchenoir, cet air de Haendel – Semele – O ecstasy of happiness !
https://www.youtube.com/watch?v=-6jSYJQcvDY
Myself I shall adore,
If I persist in gazing.
No object sure before
Was ever half so pleasing.
Moi aussi, je m’adore !
Encore une fois un attentat que certains appellent low cost puisque commis avec un simple couteau de cuisine par un fiché « S » radicalisé, un fanatique qui déteste notre mode vie occidental.
Un jeune homme est mort et quatre autres au moins ont été blessés plus ou moins gravement. Cela aurait pu être le sort d’un de nos enfants ou de n’importe lequel d’entre nous.
Si nous entendons banalités sur banalités, c’est parce que nos politiques et nos journalistes pratiquent le « en même temps ».
En même temps humanistes et ouverts à l’autre et à ses croyances, capables de nous expliquer que les prêches salafistes radicaux sont comme les messes en latin d’antan ou que le niqab c’est la même chose que le voile catholique (?), bref, ils n’ont peur de rien pour excuser l’obscurantisme et en profiter pour taper sur la chrétienté parce qu’il leur reste encore un vieux fond du communiste anticlérical de base.
Et, en même temps, ils voudraient éradiquer ce nouveau danger encombrant pour le nouveau monde, qui crée un climat inquiétant et inacceptable pour la sécurité de tous.
Inacceptable comme le répètent à chaque attentat nos ministres de l’Intérieur successifs. J’ai envie de dire : c’est tout ? Car après, le choc passé et la presque banalisation, il ne se passe plus rien.
Le président de la République est pris d’une frénésie de réformes tous azimuts, mais quelles sont donc les réformes propres à freiner l’islamisme ? à reléguer la religion musulmane dans la sphère privée ?
Car on ne peut en même temps laisser entrer des milliers de musulmans sur notre sol au prétexte (faux en grande majorité) qu’ils sont des réfugiés et même des intellectuels utiles à la France, leur accorder la nationalité française comme on distribue des flyers, laisser rentrer des jeunes combattants (nos ennemis) de Syrie ou d’Afghanistan sans s’inquiéter de leur devenir, laisser des imams tenir des discours guerriers dans les mosquées, vanter la multiculturalité enrichissante, s’esbaudir devant les tenues ostentatoires des musulmans au sein même de nos universités comme s’il s’agissait de la simple liberté de chacune de choisir ses vêtements et d’un autre côté s’apitoyer sur le sort inacceptable des victimes d’attentat ou même sur le simple prosélytisme dans les banlieues.
M. Macron devra bien durcir ses positions sur les flux migratoires et sur les retours de bâton que cela constitue. Il ne suffira pas aux politiques bien-pensants de faire comme si le problème était le simple racisme d’une certaine droite, comme si nos lois sur la nationalité étaient intangibles, il faudra bien, un jour, avec nos voisins européens, prendre des mesures fermes et courageuses pour préserver ce qui peut encore l’être de notre civilisation.
Il ne suffira pas non plus aux médias gauchisants de sourire des déboires de Robert Ménard ou d’Eric Zemmour parce qu’ils seraient xénophobes et infréquentables, de fustiger l’attitude vis-à-vis des flux migratoires des pays d’Europe de l’Est et de faire croire que la France peut indéfiniment accepter toute la misère du monde, qui plus est musulmane et en partie radicalisée.
Ces attitudes hautaines et suffisantes ne sont plus acceptables et il faut bien constater qu’il est plus facile pour le président de la République de s’attaquer aux cheminots qu’aux obscurantistes, à l’économie qu’au communautarisme. Le pire étant sans doute devant nous, comme le dit Thibault de Montbrial dans lefigaro.fr :
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/05/13/31003-20180513ARTFIG00184-une-periode-de-8220faux-calme8221-avant-le-retour-d-actions-de-grande-ampleur.php
@ Trekker | 14 mai 2018 à 16:48
Ainsi donc il suffit qu’un seul Tchéchène, naturalisé français en 2010, commette un attentat qui a fait un mort et quatre blessés à Paris, pour qu’aussitôt il faille imputer le terrorisme islamiste d’Al Qaïda et de Daech à Poutine.
Exit le Qatar, l’Arabie Saoudite et autres émirats du Moyen-Orient qui financent allègrement les groupuscules terroristes. On rêve !
Pendant ce temps, dans la bande de Gaza, aujourd’hui, il y a eu 37 morts palestiniens simplement parce que Trump a eu l’idée lumineuse d’installer son ambassade américaine à Jérusalem.
Qui va déclencher le prochain conflit mondial : Trump ou Poutine ? Les paris sont lancés !
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@ patriote | 14 mai 2018 à 16:17
Faut pas vous mettre dans cet état mon petit gars, vous allez finir par nous faire un AVC.
Je crains que vous n’ayez un peu trop abusé des films spaghetti de Sergio Leone du genre Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et le Bon, la Brute et le Truand.
Faut pas jouer les Clint Eastwood. Dans la vraie vie ça ne marche pas. C’est même l’effet contraire qui se produit. J’en veux pour preuve les massacres dans les écoles qui se produisent régulièrement aux Etats-Unis.
A noter que Trump pense comme vous d’ailleurs, ce qui ne saurait constituer une référence. Il l’a bien montré dernièrement avec sa solution concernant le Bataclan qui a fait l’unanimité contre lui en France, tous partis politiques confondus.
@ Lucile, 14 mai 2018 à 16h48
C’est exactement le sentiment que j’ai eu après l’annonce de cet attentat.
J’en suis même arrivé à penser que ce genre d’événement commis pendant les mois de vacances de juillet et août va finir par passer derrière le bulletin météo.
Et puis franchement, les commentaires des journalistes et des politiques au pouvoir sont tellement prévisibles. La seule variable dans ces attentats se résume finalement et simplement au nombre de victimes.
@ Aliocha
Cher Aliocha, grand merci de nous civiliser un peu avec Gabriel Fauré, après nous avoir fait sourire (et réfléchir) avec une chanson, voilà peu, donnant la parole aux… « durs » et aux « tatoués », que nous entendons, il est vrai ici, plus souvent que nous le souhaiterions.
« Il est absurde de la part de LR et du FN de dénoncer « l’inaction d’Emmanuel Macron »[…]Cependant comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ? »
Donc M.Bilger, qu’a fait Macron contre le terrorisme en France depuis qu’il est au pouvoir par rapport à ses prédécesseurs ?… RIEN, que dalle, peau de balle, nada, niente, nothing, squat, zip, ZERO !
@ Achille | 14 mai 2018 à 17:59
Pourquoi déverser tant de stupidités malodorantes sur le pauvre patriote qui n’a rien à voir avec Trump et la télé ? Vous étiez socialiste chez Hollande et maintenant vous marchez chez Macron, cela vous regarde, alors évitons-nous ! Sans cela je ferai comme vous !
@ Exilé | 14 mai 2018 à 10:35
« Mais qui a laissé ses parents s’installer en France ? Qui ?
Qui a établi les dossiers de naturalisation ? Qui ?
Des noms !
Ou bien alors, sommes-nous (mal) gouvernés par des irresponsables anonymes n’ayant de comptes à rendre à personne ? »
Allons, ne faites pas semblant de ne pas savoir…
En 2010, c’était sous Sarkozy-Fillon-Hortefeux.
Pour les détails, demandez à Patrice Charoulet ou Claude Luçon.
@ GLW | 14 mai 2018 à 18:11
Eh bien il n’y a plus qu’à écouter de la musique comme le préconisent certains.
Ça me rappelle un épisode du Titanic !
@ Exilé 14/05 13:28
Il y a surtout une volonté de ne pas déroger dans ce cas de figure très spécifique qu’est le terrorisme à ce que l’on a érigé en grands principes :
– France, traditionnelle terre d’accueil, qui amène les pouvoirs publics à ne pas être toujours très regardants sur les nouveaux arrivants sur notre territoire,
– France, pays des libertés, où, même si un faisceau d’indices concordants et les enseignements du passé attestent que la probabilité que vous commettiez un acte terroriste est grande, on ne peut rien contre vous aussi longtemps que l’on n’est pas en possession de preuves tangibles, matérielles ou autres, que vous allez passer à l’acte.
Et tous les terroristes en puissance le savent parfaitement et profitent donc de ces largesses.
Certes, le risque zéro, chacun le sait fort bien, n’existe pas mais en ce domaine particulier, il me semble qu’une beaucoup plus grande rigueur serait plus que justifiée.
Quant aux faits, je retiendrai de votre billet, Monsieur Bilger, ces quelques alinéas :
« Dans la soirée du 12 mai, un Russe tchétchène de 20 ans naturalisé français en 2010, Khamzat Azimov, fiché S depuis 2016, entendu déjà par la police au mois d’avril 2017, a respecté à la lettre ce processus malfaisant et a fini comme évidemment il le souhaitait.
[…] Sur les plateaux de télévision et dans les émissions de radio on s’exprimera sentencieusement sur ce terrorisme renouvelé. Avec la même objectivité froide et prétendument savante d’après l’action.
[…] Face à cette réalité à l’implacable et tragique redondance, la routine de l’horreur terroriste jamais programmable, artisanale même si elle est téléguidée, insaisissable, laisse au sens propre et figuré désarmés. »
Ici tout est dit. On pourra reprendre à peu près les mêmes mots pour le prochain attentat.
Quant aux réactions officielles, vous citez les propos tenus par le président de la République et le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, et écrivez :
« Le président de la République déplore « le prix du sang une nouvelle fois payé par la France » – ce qui est tragiquement vrai – mais ajoute « qu’elle ne cèdera pas un pouce aux ennemis de la liberté ». Je comprends mal cette dernière affirmation.
[…]comment ne pas s’étonner alors de l’entêtement avec lequel le pouvoir, encore par la voix de Benjamin Griveaux pourtant bien gêné aux entournures et ressassant une leçon désaccordée avec le réel, maintient sa position sur les fichés S français et étrangers ? »
Il manque à ce rappel les propos du ministre de l’Intérieur qui ne risquent pas d’effaroucher qui que ce soit !
En réalité nos responsables continuent de nous servir la même soupe, avec toujours les mêmes mots qui signent leur impuissance à se colleter à la réalité et à décider de mesures efficaces.
Par exemple la lutte contre l’islamisme. Il est certes bien que le président Macron l’ait clairement désigné comme notre « ennemi ». Encore faudrait-il que des mesures aptes à s’opposer à cet ennemi qui donc nous fait une guerre asymétrique, par exemple le qualifiant a minima comme secte avec interdiction en France.
A ce sujet, il suffit de rappeler la visite le 7 mai à Trappes de madame Schiappa, secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, rapportée par la Canard enchaîné du mercredi 9 mai : « …au cours d’une déambulation dans les rues de la cité, elle a voulu s’arrêter dans un café tenu par des musulmans, où les femmes ne sont pas les bienvenues. Il a fallu que le préfet des Yvelines l’invite prestement à poursuivre son chemin, afin d’éviter un incident. A son arrivée sur la place du marché, un »ouah ! elle est bonne la meuf ! » a fusé. »
Trouverez-vous l’attitude de la secrétaire d’État responsable ou courageuse ?
Elle prouve simplement qu’au-delà des mots et des lois, l’action pratique n’existe pas pour lutter contre l’islamisation rampante. Il y manque tout bonnement la volonté de lutter, quels que soient les hommes et femmes au pouvoir.
Quant à des mesures, on peut en citer un certain nombre, dont au moins une initiée par monsieur Hollande et lâchement abandonnée. Par exemple :
– supprimer le droit du sol et refuser d’accorder la nationalité française à tout nouveau résident non européen, régulier ou irrégulier, pendant au minimum un délai de carence de cinq années ;
– procéder à la déchéance de nationalité pour tout étranger naturalisé ou de nationalité française issu de parents étrangers coupable de crime ou de délits graves et répétés, avec extradition à l’issue de la détention ;
– supprimer le regroupement familial ;
– ne pas attribuer aux étrangers, notamment irréguliers, le droit aux prestations sociales réservées aux nationaux et limiter les soins médicaux au strict minimum sanitaire.
Peut-on penser un instant que ce type de mesures serait simplement envisagé ? Non, parce qu’on trouvera toujours une opposition du Conseil d’État, du Conseil constitutionnel, d’une instance de Justice ou des droits de l’Homme européenne, voire des conditions morales pour l’empêcher…
En réalité, seul le principe de souveraineté permettrait de décider. Mais la souveraineté a été abandonnée par européisme béat et la France n’est plus en mesure de décider elle-même et elle seule !
@ Lucile
Il y a meilleur usage de la musique que le Titanic, et mieux que notre hélas hymne national, digne d’un pays de non mélomanes – ce que j’avoue être. Il y a à s’inspirer de l’affirmation de soi sans ressentiment des Irlandais, de leur poésie :
http://www.greenroom.fr/101355-comment-une-chanson-sur-la-grande-famine-est-devenue-lhymne-de-ces-fous-dirlandais/
Lutter contre le crime n’est pas chose facile, surtout quand il est pratiqué par des individus qui manient le couteau ou la kalachnikov au nom d’un Grand Allah et qui souhaitent mourir le plus vite possible – tralallah – pour rejoindre en son paradis les 72 vierges promises.
Avant que l’archi-extra Badinter ne paralyse la Justice française en supprimant d’un coup la peine de mort, le bagne, la vraie perpétuité et donne la possibilité à un condamné à vingt ans de n’en faire que dix, messieurs les assassins certes, assassinaient, mais moins confortablement. Les Landru, les Petiot se donnaient du mal, respectaient une méthode, se faisaient à la fois discrets et une petite pelote. Mais au moins, jugés et exécutés au nom du peuple français, ledit peuple était sûr qu’ils ne recommenceraient plus jamais, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
Depuis plus de trente ans, au nom d’une idéologie fumeuse à la fois marxisante, mondialiste, christo-humaniste laïque et obligatoire, on a laissé entrer des millions de gens qui, sans aucune contrepartie, reçoivent des droits. Des droits-à. A être logés, nourris, protégés, enseignés, subventionnés et soignés souvent mieux que le résident français de longue date qui a cotisé pendant des décennies. Et tout cela sans la moindre possibilité de contrôle de l’âge, de la nationalité, de l’identité et de la parenté des entrants qui peuvent raconter n’importe quelle histoire bien émouvante de leur fuite vers la France. On les appelle des migrants, mais pour mieux attendrir le pays d’accueil on préfère dire réfugiés.
Il est évident que parmi ces millions de gens dont une majorité est digne d’attention, des milliers se sont glissés qui sont des crapules, des faussaires, des trafiquants, des violeurs, des tueurs, des malades mentaux, des fanatiques d’une religion agressive qui recommande de tuer tous les mécréants. Bien entendu, la France généreuse n’a pas prévu un tel déferlement et les instances et règlements bruxellois interdisent toute initiative qui pourrait restreindre la liberté de ces très chers migrants.
Il y aurait donc 20 000 fichés S, drôles de zigotos au statut indéfinissable qui seraient des délinquants dangereux en puissance mais contre lesquels on ne peut rien puisqu’on ne peut punir l’intention (sauf quand il s’agit de Zemmour, condamné pour des sous-entendus !). Ce chiffre de 20 000 n’est donc qu’une petite partie visible de la réalité. On ne peut (on ne veut ?) ni emprisonner faute de place, ni expulser (ça ne sert à rien, « ils » reviennent clandestinement). Quand un Etat est entravé faute de moyens, bloqué par ses propres lois et paralysé par les instances internationales, il ne peut plus se défendre ni assurer la sécurité élémentaire de ses concitoyens. Un début de solution est dans l’élimination très discrète des éléments les plus dangereux. Dans certains milieux, on sait très bien faire ça sans bruit et sans frais. Oui, je sais, c’est parfaitement illégal, honteux, indigne d’un pays civilisé et contraire aux drouaaats de l’homme, je connais mon catéchisme et le catalogue des avocats-prêcheurs spécialistes de l’indignation orchestrée.
En revanche, je peux être certain que l’effet de surprise puis de panique chez l’adversaire est garanti. La France actuelle est une chiffe molle dans laquelle nos ennemis peuvent taper sans retenue et sans crainte de représailles, et ils ne s’en privent pas. Si, dans un sursaut discret mais efficace, elle montre qu’elle peut rendre coup pour coup et même avec un peu de zèle préventif, elle sera plus respectée. Cela ne veut évidemment pas dire que les attentats cesseront comme par enchantement mais on aura fait au moins quelque chose pour en éviter certains et c’est toujours des victimes en moins.
Ne nous cachons pas derrière les hauts cris des obsédés de l’anti-poutinisme ou des clameurs droidlhommées des badinterrisés jouant les pères nobles, outrés que l’on puisse penser à de si épouvantables choses. On est très indulgent pour les guillotineurs de la Révolution, les Robespierre et autres Marat, pour les tortionnaires de la Vendée qui ont sabré au nom de la Convention. On n’a rien reproché à de Gaulle quand il a ordonné à ses barbouzes de lutter contre l’OAS « par tous les moyens, j’ai dit par tous les moyens ».
J’apprécierais qu’en haut lieu on s’aperçoive que la France est en danger.
Pour l’instant, le haut lieu en question me fait plutôt penser à l’opérette d’Offenbach :
‘’…le roi barbu qui s’avance, bu qui s’avance…
« …je suis l’époux de la reine, poux de la reine… »
Oh, pardon.
Je ferai juste remarquer que le terroriste de 20 ans qui a été abattu après avoir tué une personne et blessé quatre autres est arrivé en France avec ses parents alors qu’il avait trois ans. Il a fait toute sa scolarité en France avec des camarades d’école français et a même obtenu un bac ES. Il a été naturalisé en 2010 alors qu’il avait 13 ans.
Il a donc été endoctriné en France et non en Tchétchénie. Tout ça pour dire que les réseaux islamistes sont sur place et profitent de la situation précaire de certains réfugiés pour les transformer en soldats d’Allah prêts à mourir et surtout à tuer des innocents pour un idéal qui les dépasse.
Le problème est endémique depuis longtemps.
@ Achille | 14 mai 2018 à 17:59
« A noter que Trump pense comme vous d’ailleurs, ce qui ne saurait constituer une référence. Il l’a bien montré dernièrement avec sa solution concernant le Bataclan qui a fait l’unanimité contre lui en France, tous partis politiques confondus. »
L’unanimité contre lui en France ??
Je vous assure, il faut sortir de la ceinture parisienne (je suis magnanime). Pas par avion entendons-nous bien.
On est mal, mes enfants on est mal…
@ Achille à 19:39.
C’est plus compliqué que ça. Selon les informations du Monde, cette famille n’a pas été protégée par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), qui a rejeté sa demande. Elle a obtenu son statut de réfugié dans un second temps en faisant appel de cette décision devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/05/13/qui-est-khamzat-azimov-l-auteur-de-l-attentat-au-couteau-qui-a-fait-un-mort-a-paris_5298293_1653578.html#yvCUgv2b3xFc8WWQ.99
Ce n’était pas des enfants de choeur.
Situation politique confuse, gouvernement impuissant et campant sur des positions indéfendables, président à côté de ce problème majeur.
Des propositions ont été faites par des membres de l’opposition sur ce sujet du terrorisme islamiste. Elles ont – semble-t-il – l’approbation de la majorité des Français : expulsion des fichés S étrangers, mise en rétention préventive des fichés les plus dangereux, retour de l’état d’urgence, modifications de certaines lois dans ce moment d’exception, etc.
La majorité, mal à l’aise, rejette avec condescendance et mépris ces propositions sur une situation dont les vrais spécialistes disent qu’elle va empirer grandement dans les deux ans à venir avec le retour des Français islamistes de Syrie et d’Irak et la libération des internés de retour de Syrie.
Mais, hélas, Macron est plus préoccupé à faire la roue devant les caméras du monde entier.
Vous avez, me semble-t-il, quelque approximation ou interprétation hasardeuse dans votre billet comme par exemple :
« …la police est intervenue 9 minutes après l’attaque, évitant… »
La police n’avait pas une volonté d’intervention puisque la rencontre avec l’individu concerné a été le fait du hasard – d’après les informations.
« Le profil bas » de Mélenchon n’est qu’une attitude politique qui est un des éléments de sa stratégie qui consiste, avec l’approbation et l’encouragement de Macron, à se poser en seul opposant responsable face au chef de l’Etat.
Mélenchon y gagne un statut politique plus crédible en rassemblant petit à petit une bonne partie de la gauche pour le futur et aussi pour la prochaine élection de la mairie de Marseille et Macron y conforte sa stratégie d’élimination de la droite traditionnelle. Gagnant/Gagnant.
Business as usual cher P. Bilger, dans cette situation qui risque de devenir rapidement tragique.
Cordialement.
Comme le suggèrent policiers et gendarmes, « il faudrait » peut-être commencer par changer l’attelage Gérard Collomb/Jacqueline Gouraud visiblement dépassé par les événements.
Un papy pleurnichard de 71 piges et une mémère criarde de 68 balais qui se contentent de faire du surplace quand ils ne reculent pas, habitués qu’ils sont au train de sénateur, c’est une aubaine pour la racaille et les terroristes. Alors qu’à ce poste et compte tenu de la situation, il faudrait des guerriers et des fonceurs.
Idem au ministère de la Justice et à la Défense.
@ Achille 14 mai 2018 à 19:39
« …les réseaux islamistes sont sur place et profitent de la situation précaire de certains réfugiés pour les transformer en soldats d’Allah prêts à mourir et surtout à tuer des innocents pour un idéal qui les dépasse. »
Attention à ne pas s’autoflageller outre mesure, car une lecture rapide laisse à supposer que la précarité est seule cause du désastre actuel. Et qui dit précarité des migrants dit responsabilité du pays d’accueil et de ses habitants, moi et vous !!
Or la précarité est consubstantielle à la notion d’immigré/d’immigrant/d’immigration… ce n’est pas pour autant que les vagues d’immigrations précédentes ont entraîné ce fanatisme destructeur de vies qui est lui RELIGIEUX, basé sur un refus de notre régime démocratique et de TOUT ce qu’il représente.
Si seulement, peut-être, éventuellement, après réflexion… se posait la question qui semble évidente de la régulation de ce que vous appelez « les réseaux islamistes » quitte pour cela, à vexer l’Algérie, l’Arabie Saoudite et nombre de pays musulmans en interdisant la venue et en expulsant nombre de leurs ressortissants imams autoproclamés…
Voir la citation d’un texte d’Ellul, Le bluff technologique, p. 280-281, faite par Guzet | 14 mai 2018 à 08:45
@ Noblejoué
La Marseillaise ressemble beaucoup à un concerto pour piano de Mozart. Je viens de vérifier, c’est le premier mouvement du N° 25. Elle a aussi des accents beethoveniens. Bien jouée, c’est une musique crâne, énergique et pleine d’élan.
Le problème ce n’est pas la musique, c’est l’apathie résignée à l’égard du terrorisme, cette habitude que l’on prend de subir, en espérant que la prochaine fois ce ne sera ni soi ni un des siens, et en sachant de façon certaine que la prochaine victime respire encore en ce moment, mais pas pour très longtemps. Ce billet traite du terrorisme. Mais il faut rester calme… Notre gouvernement s’occupe de tout et nous demande de nous tenir tranquilles. Je vais de ce pas chercher une berceuse sur Internet.
Sur les plateaux de télévision et dans les émissions de radio on s’exprimera sentencieusement sur ce terrorisme renouvelé. Avec la même objectivité froide et prétendument savante d’après l’action.
A force de voir la même mauvaise pièce jouée et rejouée par les mêmes acteurs pitoyables, à quoi bon prêter plus de 5 minutes d’attention à cette dernière tragédie, tellement nous commençons à être blasés, en attendant la suivante dont nous connaissons déjà toutes les répliques par cœur ?
J’ai tout de même appris par ouï-dire que le slogan Padamalgam® avait été complété par la dernière trouvaille des gens qui font semblant de gouverner et par leurs courtisans médiatiques : « Le risque zéro n’existe pas ! ».
Ah, comme c’est commode, pour évacuer ses propres responsabilités et sa propre passivité !
Comme si justement ce n’étaient pas ces mêmes personnages qui nous ont fait passer en quarante ans d’une situation où le risque « terroriste » était quand même proche de zéro à la situation actuelle où nous atteignons un risque à la puissance grand N confinant à une probabilité élevée d’être directement concernés par un attentat monté par leurs petits protégés intouchables…
La parade : prendre une demi-heure avant chaque attentat et une demi-heure après une gélule de RISKZERØ® 250mg.
Ne pas dépasser la dose prescrite…
« Il n’est même pas sûr qu’une démocratie encore plus musclée, à la supposer possible sans dénaturer profondément son esprit et permettant un quadrillage de tous les instants, serait décisive dans l’éradication du terrorisme organisé ou de l’instant. »
Tout ceux qui pensent qu’on peut faire des omelettes sans casser d’oeufs sont des… (remplissez l’espace avec l’insulte de votre choix).
Non, c’est vrai M.Bilger ce n’est pas sûr mais vous actez que la situation actuelle n’est pas satisfaisante.
D’abord, il n’est pas question de « démocratie encore plus musclée » ce qui ne veut rien dire par rapport au terrorisme mais de « République plus musclée » peut-être, il est d’abord question de faire appliquer les lois de la République française sans moraline bobo parisienne et/ou de bas instincts politiques électoralistes et de voir les résultats.
Ensuite, si les résultats ne sont pas à la hauteur, de voir s’il faut cette « République plus musclée » et de quelle façon.
C’est facile pour la médiacratie bobo parisienne individualiste de se pauser en gardienne des soi-disant « valeurs républicaines » du haut de son piédestal moral à deux balles (OH MON DIEU ! Surtout ne faisons rien, nous ferions le jeu du FN !…) vu qu’elle se fiche que son voisin se fasse égorger du moment que ce n’est pas elle ou son chiard à la sortie de sa boîte à bac, mais la réalité est que des gens meurent et que l’Etat français est tout simplement impuissant alors que c’est le premier devoir de cet Etat de garantir la sécurité de ses citoyens sinon tout explose.
Pendant que tous ces guignols inconséquents parisiens se drapent dans de grands principes et des concepts élaborés qui au bref moment où la vie et la mort sont dans la balance, ne sont plus que des mots vides de sens auxquels il ne faut surtout pas penser pour avoir une chance de survie, des gens meurent et meurent encore.
Combien de morts faudra-t-il pour que l’Etat français fasse ce qu’il faut M.Bilger ? 1000, 5000, 10 000 ? Combien ?
Puisque, paraît-il, la croyance des djihadistes est qu’ils ne gagneront le paradis que si leur corps est enterré en direction de La Mecque, pourquoi ne pas imposer leur crémation avec dispersion des cendres dans un fleuve ? Si cela peut en dissuader ne fût-ce que quelques-uns, pourquoi pas ?
A chaque fois le prévisible surgit et frappe.
Gaza : 52 morts et 2 400 blessés en 24 heures.
« Dès lors que pratiquement tous les criminels islamistes ont relevé ou relèvent de cette catégorie trouble, le bon sens n’imposerait-il pas de se pencher sur elle pour une exploitation plus efficiente et enfin coercitive des données personnelles de chaque fiche ? » écrivez-vous, M Bilger.
Oui mais vous faites là un raccourci qui scientifiquement ne tient pas.
Il faudrait modérer ce bon sens.
Il y a un dénominateur.
Il peut être de 20 000 fichés S ou de 4 000 à plus haut risque.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fiche_S
On a environ 17 fichés S impliqués dans des attentats
17/20 000 moins de 1/1000 moins de 0,1%
17/4000 moins de 5 /1000 moins de 0,5%
L’immense majorité des fichés S à ce jour n’a pas commis d’attentat.
Ce type de raisonnement par le petit (le bon) bout de la lorgnette conduirait à l’extrême à dire que puisqu’une grande proportion, 30-40% des prisonniers en France seraient musulmans, iceulx musulmans auraient une propension au délit un crime anormalement élevée, ce qui serait un raisonnement idiot.
Or vous n’êtes pas idiot.
Mais le syllogisme est bancal comme souvent le sont les syllogismes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syllogisme
Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme donc Socrate est mortel : vrai , les prémisses sont incontestables.
Tous les criminels sont musulmans, or cet homme est musulman donc cet homme est criminel ?
Tous les terroristes sont fichés S, or cet homme est fiché S donc cet homme est terroriste ?
Vous n’y souscrivez pas sauf le cas Socrate qui d’ailleurs est mort selon les milieux autorisés.
Comment donc suggérez-vous que l’on se penche sur le cas des fichés S ?
@ Achille | 14 mai 2018 à 17:59
« ll suffit qu’un seul Tchéchène, naturalisé français en 2010, commette un attentat qui a fait un mort et quatre blessés à Paris, pour qu’aussitôt il faille imputer le terrorisme islamiste d’Al-Qaïda et de Daech à Poutine. Exit le Qatar, l’Arabie Saoudite et autres émirats du Moyen-Orient qui financent allègrement les groupuscules terroristes. On rêve… »
Désolé mais je n’ai jamais écrit qu’Al-Qaïda et Daech étaient le fruit de Poutine. Je faisais juste remarquer que la politique sanglante en Tchétchénie menée par Eltsine, on l’oublie facilement celui-ci, et Poutine, avait contribué fortement à l’émergence puis à la croissance du terrorisme islamiste dans cette région de l’ex-URSS.
Quant à l’Arabie Saoudite, au Qatar et autres pétromonarchies qui en sont la matrice originelle et encore récemment les bailleurs de fonds, je n’ai eu de cesse depuis au moins trois ans de dénoncer ici leur rôle criminel.
Ce serait à mourir de rire si ce n’était pas aussi grave, d’assister à la bénédiction de l’alliance d’Israël et de l’Arabie Saoudite par Trump comme rempart contre le terrorisme ! Al-Qaïda et Daech sont bien évidemment le fruit de l’Iran, et non du wahhabisme saoudien !
Cette alliance opportuniste est une énormité, et dans quelques années Netanyahou et Trump risqueront fort de la regretter. Elle relève du même genre que le soutien aux fondamentalistes musulmans, dont le « jeune » Ben Laden, pour contrer les Soviétiques lors de la guerre en Afghanistan.
Un bon article sur le jeu de Ramzan Kadyrov au Moyen-Orient, publié deux jours avant l’attentat :
https://orientxxi.info/magazine/l-implication-surprenante-de-la-tchetchenie-en-syrie,2445
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@ Pierre Blanchard | 14 mai 2018 à 09:00
« Le constat fait, qu’avez-vous donc à proposer de réaliste à l’interrogation de Monsieur Bilger ? Ce sont ‘vos solutions’ qu’il serait utile de connaître. »
Je l’ai expliqué à d’innombrables reprises sur ce blog. Et vous, qu’avez-vous à proposer ?
Je ne suis pas, ici, chargé de « proposer des solutions ». Je ne suis pas le président de la République. Je ne suis pas chargé de vous apporter le petit déjeuner au lit.
Il est quand même ahurissant de voir à quel point ce pays est vérolé de socialisme jusqu’au trognon. N’importe quel va-nu-pieds, issu de nulle part, se sent en droit de vous réclamer « des solutions ». Je veux je veux je veux. Donne-moi donne-moi donne-moi. Sortez-vous les mains des poches, Monsieur Blanchard !
Votre surprenante interpellation, bien sûr, ne s’explique qu’indirectement. Comme d’habitude, en France, nous avons ici deux ou trois olibrius qui s’étranglent d’indignation parce que l’on a osé toucher à l’une de leurs vaches sacrées. Ici, c’est Poutine, mais cela aurait pu être n’importe qui d’autre.
Ces gens sont naturellement incapables de dire pourquoi il ne faudrait pas dire du mal de Poutine, Duchmurtz ou Bidule, mais ils sont fort capables de détourner la conversation en feignant de s’indigner de… n’importe quoi.
Contrairement à ce qui s’était passé lors de précédents attentats islamistes, l’attaque de samedi n’a pas suscité le moindre mot de condoléances de la part de l’ambassade de Russie à Paris.
Cette fois-ci, c’est un natif de Russie qui est le coupable, et ce n’est pas le genre de ces messieurs de s’excuser. N’importe quel pays avec un poil de sens de l’honneur se serait fait un devoir, en pareil cas, de condamner fermement l’attaque, et de manifester sa sympathie au pays hôte… Les Russes, non.
Il faut donc comprendre deux choses :
1. La réaction officielle de la Russie est celle de Ramzan Kadyrov, qui insulte les victimes et rejette la faute sur la France.
2. Les condoléances que le ministère des Affaires étrangères a pu adresser à la France, lors de précédents attentats, n’étaient nullement motivées, ni par la simple décence, ni par le souci de démontrer l’amitié que la Russie tiendrait à cultiver avec nous.
C’est la façon qu’a Moscou de nous narguer, et de nous dire : si vous ne levez pas les sanctions, voyez ce qui vous attend avec tous les immigrés illégaux que nous vous envoyons, grâce à nos bombardements systématiques des hôpitaux syriens…
Mais à part ça, la Russie est un pays ami qui ne veut que notre bien. La conception de « l’amitié entre les peuples » qu’a le Kremlin, c’est la même qui avait cours sous l’URSS : moi je suis le maître, et toi, tu obéis.
@ Lucile
« La Marseillaise ressemble beaucoup à un concerto pour piano de Mozart. Je viens de vérifier, c’est le premier mouvement du N° 25. Elle a aussi des accents beethoveniens. Bien jouée, c’est une musique crâne, énergique et pleine d’élan. »
Je n’y ai jamais discerné tant de choses, merci…
« Le problème ce n’est pas la musique, c’est l’apathie résignée à l’égard du terrorisme, cette habitude que l’on prend de subir »
Je sais, mais comme vous parliez de musique… Et puis, je pense qu’il faut se réarmer de courage, et que cela ne tombe pas du ciel comme une apparition mais que le courage s’ancre par différents moyens :
– Porter une arme, l’instrument de défense, fait passer de cheptel qui attend les coups à humain doté de l’outil de l’humain fait pour se battre. C’est un instrument de redignification.
– Avoir un chant national d’un certain niveau fait que quand on le chante ou l’entend, on a une chance de communier avec les autres citoyens à ce niveau…. Il paraît que la Marseillaise l’a. Soit les gens la braillent ou la chantent apathiques comme à la messe, soit je ne suis vraiment pas mélomane… Ou bien les deux ?
– Il y a le reste de mes propositions, je vais faire un copier coller :
Donc :
« – Stopper l’immigration musulmane.
– Permettre aux Français de s’armer. Les agresseurs le sont, eux… Je ne sais si cela stopperait beaucoup d’agresseurs mais cela nous sortirait de notre mentalité de victime, de soumis. Point capital pour vaincre, d’abord, ne pas reculer… J’aurais un tas d’exemples à donner, mais crois l’avoir déjà fait, et ceci n’est pas une balade mais une liste.
– Si on ne rétablit pas la peine de mort, prison à vie pour les terroristes survivants, lourde peine pour les complices, déchéance de nationalité des traîtres, une mesure symbolique importante.
– Ceux qui ont fait le djihad à l’étranger sont abandonnés à ceux qui les capturent.
– Purification des mosquées de tout élément délétère. Moratoire à leur construction jusqu’à la victoire de la guerre contre l’islamisme.
– Service militaire pour les hommes et pour les femmes où les mobilisés soient en apport à la police, la gendarmerie et l’armée pour la sécurité de la nation.
– Resserrement de nos liens avec nos alliés. »
Il y a ça, aussi :
« Puisque, paraît-il, la croyance des djihadistes est qu’ils ne gagneront le paradis que si leur corps est enterré en direction de La Mecque, pourquoi ne pas imposer leur crémation avec dispersion des cendres dans un fleuve ? Si cela peut en dissuader ne fût-ce que quelques-uns, pourquoi pas ? » (Rédigé par : kesaco)
On prendra gare à ne pas faire ressembler cette chose à une cérémonie, surtout d’une religion existante.
Par contre, pour les fichés S, à mon avis on ne peut rien faire d’autre que les surveiller un peu mieux*, étant donné qu’ils ne sont pas passés à l’acte, on ne peut que les surveiller, sauf si on veut s’amuser à traiter des gens innocents comme des coupables.
Ça m’ennuie profondément vu que j’aurais détesté subir cela, mais en y réfléchissant, vu que trop de gens sont conformistes, qu’il leur faut rites et ordres… A l’école, uniforme scolaire, moderne, élégant, pour identification des élèves à l’uniforme. Salut au drapeau, s’inspirer des Etats-Unis.
A ce propos, avoir des Tables de la Loi fixe les idées, il faudrait une Constitution la plus américaine possible, je veux dire avec équilibre des pouvoirs et liberté d’expression vraiment garantie. En donner l’idée la plus sérieuse possible aux enfants… Education physique orientée vers le futur service militaire. Relever le niveau scolaire. Cérémonie civique à la majorité, serment de fidélité au pays juste avant le service militaire où on le fait en travaux pratique. Comme nous sommes en France, indulgence, culture, chèque cadeau culturel, j’achète livres, cinéma, concerts, enfin, travail-plaisir pratique culturel.
* Muscler les services qui les fichent avec des gens compétents, requis pour un futur service militaire ?
Soit pour ce qui est le moins sensible, soit en sachant sélectionner des gens sûrs, ou bien un mélange des deux.
@ Achille
« Il a fait toute sa scolarité en France avec des camarades d’école français et a même obtenu un bac ES. Il a été naturalisé en 2010 alors qu’il avait 13 ans. »
Eh bien, cela prouve que le système scolaire français – pour ne parler que de lui – est incapable d’éduquer ceux que les parents sont obligés de lui confier.
Vous évoquez par ailleurs la « situation précaire de certains réfugiés », comme si ce refrain forgé par les partisans de la « culture de l’excuse » suffisait à tout expliquer.
Peut-être faudrait-il encore une fois regarder plutôt sur le côté des « cultures », non miscibles, avec d’un côté des gens sortis du septième siècle, pour lesquels la vie des hommes et de la société est placée sous le regard de Dieu – ou du moins de l’image que les musulmans s’en font – et de l’autre un système faisant exprès d’exclure Dieu et de le remplacer par un ersatz de religion républicaniste à la pharmacien Homais, en imposant de force aux gens un cadre froid et désespérant qu’ils ne peuvent que rejeter quand ils sont épris d’idéal, même si ce dernier est dévoyé.
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@Trekker
« Sa dérive dans le terrorisme islamique inspiré du wahhabisme saoudien (…) »
Cher Trekker, j’ai remarqué que vous aviez souvent tendance à vous polariser sur le rôle du seul wahhabisme, que personne ne nie, mais qui n’est guère qu’un épiphénomène ponctuel et récent dans l’histoire plus que millénaire de l’Islam.
Le wahhabisme s’est accompagné d’un réveil de l’islam, mais le problème, ce n’est pas le réveil, c’est l’islam, de la même manière que lorsqu’un volcan donne lieu à quelques signes de réveil, le problème c’est le volcan.
Faisons attention à ne pas nous engluer dans l’actualité en oubliant son explication par le temps long.
Alors que nos contemporains, intoxiqués par l’actualité médiatique, ont une mémoire de colibri pour ce qui remonte seulement à avant-hier, nous avons en face de nous des gens qui se souviennent de la perte de l’Andalousie, du courage des chevaliers francs, de la défaite de Lépante etc. et qui ne cherchent qu’à compenser ce qu’ils considèrent comme des humiliations.
Des volumes entiers ne suffiraient pas à énumérer toutes les actions violentes – « terroristes » ou pas – imputables à l’islam depuis plusieurs siècles.
Quand il a fait plusieurs dizaines de millions de morts sur le continent indien, ce n’était tout de même pas le wahhabisme qui était derrière…
Idem pour tous les affrontements avec la chrétienté (la vraie et puis le monde occidental qui en dérive), jusqu’à nos jours dans de nombreux pays.
Enfin, nous oublions les différences de mentalités : alors que l’Occident (pour simplifier) est en évolution, en expansion en quelque sorte et tourné vers l’avenir, dans divers domaines, l’islam s’enfonce au contraire dans une attitude d’involution, une forme de compression du temps dans un retour vers le passé, dont le centre est le VIIe siècle.
Il s’agit là d’un des nombreux points séparant ces deux formes de civilisation de façon irrémédiable.
@ Sergio Carioca le 15/05/2018 à 00h00
Bon sang mais c’est bien sûr ! Tout n’est qu’une question de pourcentage…
Alors pourquoi on nous les brise menu avec des limitations de vitesse qui ne concerne que 3 600 morts par an, ce qui en pourcentage ne représente pas grand-chose par rapport au nombre de personnes qui conduisent avec ou sans permis ?
Pourquoi on nous casse les pieds avec une loi anti-harcèlement de rue qui ne concerne qu’un faible nombre de personnes susceptibles d’en être victimes ?
Au final, pourquoi établir des fiches « S » qui viennent s’empiler les unes sur les autres ?
En 1940, il me semble que l’ensemble de la population française était contre l’envahisseur germanique, en 42, c’était déjà beaucoup moins sûr.
Alors il faut considérer que tous ces fichés « S » sont une réserve potentielle de personnes qui peuvent du jour au lendemain passer à l’action.
Et d’ailleurs qui vous dit que tous ces autres « modérés » habitant nos territoires perdus ne vont pas aller rejoindre les rangs de nos islamistes fichés S quand ils vont comprendre que finalement leur victoire est fort possible au vu du manque de fermeté de nos dirigeants ?
Pour conclure, je vous souhaite ainsi qu’à votre famille de ne pas être la malheureuse victime de l’un des ces « pourcentage pas d’bol » qui pourrait croiser votre chemin et passer à l’acte.
La berceuse n’endort plus bébé, maman ne sait où donner de la tête, et papa préfère se faire tromper par les oracles menteurs, bergers naïfs déguisés qui entretiennent l’illusion du confort petit-bourgeois et de la domination du Titanic blanc, ce frêle esquif à dieux grecs en déshérence en partance pour Cythère, l’épouse enlevée ayant la charge de sacrifier cent génisses blanches pour mieux ramener l’ordre amnésique, fondant son pouvoir sur le sable de l’oubli du temple dont parlait Jésus, qui laisse le roi plénipotentiaire, le peuple souverain en démocratie, nous donc, vous, moi, nu et cocu !
Musique, musique, musique, célébrons encore Vénus et le gai savoir, la toute-puissance de l’éternel retour des philosophies du marteau :
Quelle tenue pour un augure !
https://www.youtube.com/watch?v=7trldSOwvoA
Pars pour Cythère, pars pour Cythère, pars pour Cythère, pars, pars, pars !
Lalaïtou, lalalala !
@ Trekker | 15 mai 2018 à 00:18
Pour ma part je pense que si Saddam Hussein n’avait pas été renversé à partir d’un petit tube d’anthrax agité par Colin Powell au conseil de sécurité de l’ONU et si Kadhafi n’avait pas subi le même sort pour des raisons particulièrement troubles, Daech n’existerait pas, tout comme le groupe terroriste Boko Haram, qui se sont développés suite à la disparition des deux dictateurs. Ces derniers imposaient certes leur volonté en Irak et en Libye, mais avaient le mérite de faire régner, à défaut de paix, une stabilité salutaire pour toutes les populations de cette région sensible.
Il ne faudrait pas que les méthodes utilisées en Irak et en Libye, pour de sombres intérêts purement mercantiles, soient à nouveau utilisées avec la Syrie. Car alors c’est tout le Moyen-Orient qui s’enflammerait avec pour résultat un chaos indescriptible et des conséquences irréversibles.
En considérant l’opinion valable de chacun, tout en étant parfaitement honnête, sans offenser quiconque qui pense différemment de mon point de vue et de mon humble avis, comme de bien entendu, mais aussi en examinant cette question dans une perspective différente, en essayant de les objectiver sans condamner les opinions de tout un chacun, je crois honnêtement qu’avant d’oublier complètement ce que j’allais dire, il est plus facile d’avouer que je ne sais pas et que je ne connais pas une solution approchée qu’il convient de trouver pour résoudre une fois pour toute l’occurrence de ces actes terribles de ce qui constitue un réel problème.
A Gaza, nous en sommes à plus de cent morts.
On avait entendu parler des quatorze premiers, puis silence jusqu’au cinquante-troisième, et là, les médias regardent un peu. Pas pour longtemps à mon avis car ce serait faire le jeu des… etc. etc. (si je suis plus explicite, je serai censuré).
A Gaza, on manque de nourriture, d’eau, d’électricité. On est enfermé dans ses frontières, bafoué et humilié.
Le comportement d’Israël à l’égard des Palestiniens relève ni plus ni moins du crime contre l’humanité, alors qu’il suffirait pour eux non pas de quitter Israël, mais de dédommager autant que faire se peut, de compatir, de demander pardon.
On n’osera pas penser que cela ne soit possible car contraire à la religion juive.
Là aussi, si je vais plus loin, M. Bilger devra me censurer pour ne pas être accusé d’héberger des révisionnistes car depuis peu, lorsqu’on s’intéresse au judaïsme de façon critique, c’est qu’on est révisionniste !
Il est évident que notre couardise et notre complicité de fait n’influent en rien sur la haine que nous voue une partie des musulmans et sur le dédain de tous.
Il est évident que cela n’influera en rien sur les prochains morts chez nous.
Ne voyez rien, n’entendez rien, bons Français bien politiquement corrects.
Ceci dit, prendre parti pour les victimes contre leur bourreau ne signifie pas qu’on adopte leur religion, mais qu’on applique les principes de la sienne, étant entendu que le corps du Christ est par transsubstantiation, fait de connaissance et de vérité, symbolisées par le pain et le vin.
Et pourquoi a-t-il été crucifié, le Christ ? Oh là, pas de polémique…
@ Sergio Carioca | 15 mai 2018 à 00:00
« On a environ 17 fichés S impliqués dans des attentats
17/20 000 moins de 1/1000 moins de 0,1%
17/4000 moins de 5 /1000 moins de 0,5% »
Bravo !
Enfin un peu d’arithmétique et de statistiques !
Ce sont des disciplines ignorées des écoles de droit et de journalisme, les creusets de nos bavards.
L’information en France est un système d’amplification possédant un volume surpuissant.
Une Leonarda devient un phénomène universel !
Quelques dizaines de crétins mal lavés bloquent deux universités et l’Education nationale s’écroule en France !
Une poignée de zadistes s’oppose à la volonté de milliers de gens ayant voté pour la réalisation de NDDL où le oui l’a emporté avec près de 270 000 voix, soit 50 000 voix de plus que le non et on écoute les zadistes.
Entre 12,5 et 25 % de grévistes à la SNCF deviennent une majorité !
Quelques pilotes ne se trouvent pas assez riches et 72% des mal payés d’Air France approuvent.
Comme disait récemment un chansonnier peu sportif, confondant football et basketball, voulant se justifier en expliquant qu’au foot il y avait 11 joueurs d’après la CGT mais seulement 5 d’après la police.
Quelques restes de Vichy sans doute, genre Jean Hérold-Paquis, une légère tendance à l’exagération !
Le buzz ne se fait plus de bouche à oreille, mais de bouche à microphone.
Avec une amplification adéquate, 1 devient 1000.
C’est cela la France des médias !
Concernant les fichiers S, je vous invite à écouter l’édito de ce jour de Thomas Legrand qui a tout dit.
https://www.franceinter.fr/emissions/l-edito-politique/l-edito-politique-15-mai-2018
@ Claude Luçon
Que les médias cachent les égorgements et tout ira bien !
Que les égorgés se fassent un peu discrets, non mais !
…nous avons eu droit encore à une exemplaire communication du procureur Molins, dont quelques-uns de ses collègues devraient s’inspirer.
N’ayant pas reçu cette communication, je m’en remets au jugement de Philippe Bilger en la matière.
Ceci dit, quelque chose me met mal à l’aise dans ces flots de communication qui servent à noyer le manque évident de réaction et d’action face à ce qui n’est plus seulement une menace mais une suite caractérisée d’agressions criminelles déjà incrustée dans certains esprits comme si elle était inéluctablement inévitable et comme si elle ne relevait pas de manquements graves – voire pire encore – de la part des gens qui représentent en principe l’État (ou ce qu’il en reste) depuis une quarantaine d’années.
Ce procureur, qui communique si bien, ne représente-t-il pas aussi, par certains côtés, l’État protecteur face au crime ?
Ne pourrait-il pas, du fait de sa position et sans enfreindre son devoir de réserve, interpeller les gens qui ne font pas leur travail en matière de protection des Français, sans oublier ses collègues de la même boutique que lui qui ont parfois une fâcheuse propension à prendre fait et cause pour les éléments les plus dangereux, dont l’expulsion relèverait normalement d’une simple mesure de salut public ?
La France est non seulement le paillasson où tous les parasites sociaux profiteurs opportunistes de l’humanité peuvent venir piller et se décrotter tout en lui crachant dessus, elle est aussi la poupée gonflable de tous les niqueurs du monde entier, consommée sans modération, prise dans tous les sens, battue, humiliée, fouettée, salie, avilie, insultée, de véritables séances de sado-masochislamisme qu’elle doit de gré ou de force supporter avec l’aval et la complicité du gouvernement soumis couché et ses complices collabos de gauche et droite molle.
Ces traîtres au pouvoir doivent impérativement et radicalement être fichés S et arrêtés d’urgence avant l’hécatombe inévitable qui nous attend.
@ Sergio Carioca | 15 mai 2018 à 00:00
« On a environ 17 fichés S impliqués dans des attentats
17/20 000 moins de 1/1000 moins de 0,1%
17/4000 moins de 5 /1000 moins de 0,5% »
Vu de façon biaisée et rapporté aux différents fichés S ou autres suivis pour radicalisation (FSPRT, FPR, FIJAIT), vos chiffres semblent en effet dérisoires.
Mais c’est outre se moquer des 250 victimes du terrorisme islamiste, oublier ensuite deux choses.
Primo : les services de police ne communiquent jamais leurs chiffres qui ne sont connus que des années après les faits. Mais il est clair que des attentats qui ont fait en deux ans des centaines de victimes devaient impliquer beaucoup de monde. Sans compter les 20 attentats déjoués l’année dernière, consécutivement à la surveillance de fichés S… radicalisés (qui ne sont pas 20 000 mais un peu plus de 10 000) et ont manifestement épargné des centaines, voire des milliers de vie.
Secundo : vous oubliez aussi les 255 majeurs et les 68 mineurs partis faire le djihad en territoire syro-irakien et rentrés en France. En somme des bombes à retardement contre lesquelles on ne pourrait rien, en attendant qu’elles explosent.
Alors pour la bonne logique vous repasserez !
« La mélancolie du « je ne sais pas » pourrait être effacée par le volontarisme concret du « il faudrait ». »(PB)
La guerre qui nous est imposée diffère des guerres classiques dans la mesure où l’ennemi est déjà dans la place.
Le droit de l’hommisme, la bien-pensance et disons-le la charité chrétienne telle que la voudrait ce pape suicidaire ou complice comme on voudra, sont le cheval de Troie, si je puis dire, qui nous perdra comme cette ruse a perdu Troie qui résistait victorieusement au siège des Grecs.
Il faut changer les règles du combat en comprenant bien que ce nous subissons n’est pas du « simple » terrorisme, c’est une guerre de conquête avec une volonté de changer plus que la société, il y a là une volonté de changer de civilisation, l’islam étant le corpus idéologique qui sert de fondement à cette action.
Traiter le problème en termes simplement de terrorisme islamique revient à traiter la fièvre d’une maladie mortelle sans traiter la maladie elle-même.
Toutes les conventions internationales sur le respect des personnes ont été établies dans le cadre des guerres conventionnelles, nous ne sommes plus dans ce cadre-là, il faut le dire et en tirer les conséquences.
À nouvelle guerre, nouvelles lois de la guerre, dont la première devrait être la volonté de la survie de la nation sans état d’âme à l’égard de l’ennemi.
Je rappelle que dans une guerre conventionnelle, les soldats qui ne portent pas l’uniforme légal de leur armée n’ont pas le statut de combattants mais d’espions et qu’ils ne sont protégés par aucune règle humanitaire.
Les cellules cancéreuses ne se ménagent pas dans un traitement anticancéreux, elles sont éliminées.
Il faudrait peut-être prendre exemple sur d’autres pays, au hasard Israël, qui a une façon expéditive, au sens propre, de traiter les migrants qui veulent s’imposer et qui rêvent du grand remplacement en parlant de retour au pays qu’ils n’ont pas connu.
Je ne supporte pas d’entendre que tel ou tel terroriste est français, non il ne l’est pas dans le cadre de la nation actuelle, il le sera peut-être, hélas, dans un cadre futur où cette France d’aujourd’hui aura disparu pour devenir une colonie islamique.
PS : Je le trouve bien mignon et bien propret sur lui Benjamin Griveaux. Il est emblématique de ce qu’est le pouvoir, décalé par rapport à la réalité. Ce n’est pas avec des individus de cette trempe qu’on gagnera la guerre qui nous est menée. Il nous faudrait des hommes, des vrais, trempés comme de l’acier de Damas au tranchant le plus fin et le plus dur !
@ Achille | 14 mai 2018 à 19:39
Oui mais si on prend par exemple le cas du tueur d’enfants de Toulouse qui a un parcours similaire – élevé dans ses familles paternelle et maternelle dans la haine de la France et des chrétiens – l’école n’y pouvait rien.
Ils ont eu ce temps d’avance sur nous parce que la France, suffisante et prétentieuse, pense – un peu comme le Président – être la seule à avoir un cerveau politique.
@ Achille
« Concernant les fichiers S, je vous invite à écouter l’édito de ce jour de Thomas Legrand qui a tout dit. »
Thomas Legrand s’inscrit dans le conformisme ambiant, en stigmatisant au passage deux des partis d’opposition, LR et le FN, qui sont considérés à France Inter comme « non grata »…
What a surprise !!
@ GLW
« Et d’ailleurs qui vous dit que tous ces autres « modérés » habitant nos territoires perdus ne vont pas aller rejoindre les rangs de nos islamistes fichés S quand ils vont comprendre que finalement leur victoire est fort possible au vu du manque de fermeté de nos dirigeants ? »
C’est ce qui s’est passé en Irak du côté de Mossoul – pour ne prendre que cet exemple – où des musulmans qui vivaient jusque-là en bonne intelligence avec leurs voisins chrétiens, du moins il était possible de le supposer, s’en sont subitement pris à eux quand l’E.I a pris le dessus.
@ Claude Luçon | 15 mai 2018 à 10:11
« Le buzz ne se fait plus de bouche à oreille, mais de bouche à microphone.
Avec une amplification adéquate, 1 devient 1000.
C’est cela la France des médias ! »
Vous oubliez ou ignorez les 999 autres qui ne feront pas une ligne dans les médias nationaux et vite oubliés dans les régionaux.
L’incendie dans le foyer des migrants à Bayonne dernièrement vous en avez entendu parler ?
L’agression sexuelle d’une jeune femme par un migrant dans le Parc Beaumont à Pau vous en avez entendu parler ?
La mamie poignardée par un migrant à Oloron-Sainte-Marie, vous en avez entendu parler ?
Et nous sommes dans un lieu privilégié loin des courants migratoires excepté les palombes.
Il n’y aurait pas des sites relatant ces faits obligeant les médias à les reprendre, vous ne sauriez absolument rien. Encore faut-il vouloir s’informer.
@ Noblejoué | 15 mai 2018 à 06:26
En réentendant le premier mouvement du concerto en question, c’est seulement l’un de ses thèmes qui a été repris par la Marseillaise, intentionnellement ou pas, je ne sais pas.
Cela dit, si la France avait pu faire l’économie de sa révolution, de ses saccages et de ses massacres, et de Napoléon qui en profité, elle aurait peut-être pu se moderniser en douceur, et elle ne s’en porterait pas plus mal aujourd’hui. On nous a trop lavé le cerveau à l’école communale avec cette Révolution présentée comme indispensable et sacrée.
Comme vous j’espère un contrôle efficace de l’immigration. Pour les armes, je ne saurais pas m’en servir, sauf peut-être des couteaux de cuisine, mais je ne me vois pas tailler dans de la chair vivante, à moins de m’y être beaucoup exercée au préalable…
Si les djihadistes font allégeance à Daech par Internet, avec tous les systèmes de surveillance mis en place, n’y a-t-il pas moyen de déceler immédiatement la formule quand elle est prononcée au téléphone cellulaire, ou écrite, et par conséquent de repérer les auteurs grâce à des logiciels de reconnaissance ? Sans doute pas, dommage. Je dois dire une bêtise, mais une de plus une de moins…
@ Achille 15 mai 2018 10:51
« Concernant les fichiers S, je vous invite à écouter l’édito de Thomas Legrand (sur France Inter) qui a tout dit… »
Ce journaliste (sic) militant de gauche qui éditorialise sur France Inter a forcément – selon vous – « tout dit » !
Pas si sûr !
Quand une personne (journaliste ou autre) exprime une opinion dans un média, il faut toujours se poser la question « d’où vient-il ? ».
En ce qui concerne Thomas Legrand, c’est simple il vient de ‘Slate’ (viscéralement anti-droite), des ‘Inrockuptibles’ (viscéralement anti-droite), de ’28 minutes’ d’Elisabeth Quin (viscéralement anti-droite), de ‘Comme on nous parle’ de Pascale Clark (viscéralement anti-droite), du ‘Grand Journal’ de Canal Plus (viscéralement anti-droite)…
J’ai donc lu cet éditorial. A l’évidence Thomas Legrand s’écoute parler. Les propositions formulées par la droite, au lieu d’être tournées en dérision par ce journaliste (sic) gagneraient à être étudiées plus profondément. Le rôle d’un journaliste n’est-il pas d’étudier et de présenter les propositions sur ce sujet gravissime au lieu d’exprimer sa propre opinion (dont nous n’avons d’ailleurs que faire) ? La situation actuelle n’est plus tenable compte tenu de ce qui se prépare dans les années à venir.
Effectivement, pour certains, Thomas Legrand a raison : « Ne faisons rien, tout va très bien Madame la Marquise… ».
Cordialement.
@ hameau dans les nuages | 15 mai 2018 à 12:22
@ Florence | 15 mai 2018 à 11:13
Ayant connu une période continue de quatre années où 240 Français lambda, quelques copains inclus, dont souvent on ne retrouvait pas les restes sous le béton, mouraient chaque jour, sans psychologue je n’ai pu oublier !
Pardonnez-moi !
Pour cette période-ci, en 2 000 jours, nous en sommes à 240 pour Daech et 22 000 pour les accidents de la route.
Il y a des choses qui vous marquent dans la vie !
Surtout quand vous passez de la puberté à l’adolescence, que les bombes allemandes puis anglo-américaines faisaient plus de bruit que les kalachnikov, que vous n’avez connu que la guerre jusqu’à 32 ans et que quatre générations plus tard on vous sabre, sans couteau de cuisine, 1,7 % de revenus pour vous punir d’avoir reconstruit une France détruite qui souffre tant dans l’aisance !
Essayez ce qui suit, que je préfère entendre, et déduisez-en que je suis aussi dans les nuages, en attendant d’aller finir plus haut, avec quand même un bon souvenir des Américains, du vrai jazz, pas l’ersatz de Johnny.
https://www.youtube.com/watch?v=WBRAsphVw,
https://www.youtube.com/watch?v=YrLk4vdY28Q
@ Lucile
« En réentendant le premier mouvement du concerto en question, c’est seulement l’un de ses thèmes qui a été repris par la Marseillaise, intentionnellement ou pas, je ne sais pas. »
Moi encore moins. Mais vous me donnez envie de chercher un jour, alors que je ne suis pas trop mélomane, bravo !
« Cela dit, si la France avait pu faire l’économie de sa révolution, de ses saccages et de ses massacres, et de Napoléon qui en profité, elle aurait peut-être pu se moderniser en douceur, et elle ne s’en porterait pas plus mal aujourd’hui. On nous a trop lavé le cerveau à l’école communale avec cette Révolution présentée comme indispensable et sacrée. »
C’est vrai mais s’il n’y avait pas eu de roi absolu… Le manque d’évolution condamne aux révolutions, d’ailleurs, on réforme souvent comme ça, ici. Les gens se la rejouent Révolution/Ancien Régime.
Le mariage étendu aux homosexuels ? Fait par la droite outre-Manche. Le dialogue social ? L’Allemagne. L’équilibre des pouvoirs… Pas nous, le vainqueur à la présidentielle rafle tout, un pouvoir royal après une élection-révolution.
« Comme vous j’espère un contrôle efficace de l’immigration. »
Tant mieux.
« Pour les armes, je ne saurais pas m’en servir, sauf peut-être des couteaux de cuisine, mais je ne me vois pas tailler dans de la chair vivante, à moins de m’y être beaucoup exercée au préalable… »
Peut-être faudrait-il l’apprendre dans un futur service militaire, tant aux femmes qu’aux hommes. D’un autre côté, on est dissuadé d’avoir des armes en France par une législation fort restrictive. Par quoi commencer avant un éventuel et repensé service militaire, qui ne doit pas servir à ce que l’armée de métier casse de l’appelé ?
Il faut y réfléchir, cela est fait pour nous unir contre l’ennemi et nous redignifier, il ne s’agirait pas d’avoir une polémique qui nous divise et réjouisse ceux que nous devons vaincre. Je voudrais que l’on étudie ce qui se passe à l’étranger.
Je voudrais aussi qu’on ne se laisse pas étouffer par des débats annexes, par exemple, le suicide. Des opposants aux armes arguent le nombre de suicides évités… Je dis que toutes les libertés sont solidaires, si nous ne voulons pas de la liberté des nôtres et sommes prêts à rester désarmés contre les autres, cela prouve que nous préférons la servitude à la liberté, on a toujours une bonne raison, là, la vie, souvent c’est l’égalité.
Quand la liberté passe-t-elle en premier ? Même ici, certains sont contre les pseudos, prétendent régir le nombre de lignes d’un texte ou allez savoir !
Nos ennemis sont cohérents dans la servitude, soyons-le dans la liberté. Il faut être unis aux alliés, et à nous-mêmes. Autre avantage des armes, il est plus dur d’instituer une dictature face à des lions que face à des moutons… Alors le nombre de morts par accidents ou même meurtres ne me paraît pas le plus important.
Les gens sont prêts aux risques en prenant le volant, en traversant la rue… Mais il n’y a plus personne pour prendre un risque en faveur de la liberté de la nation ! Nous préférons être en libre service aux terroristes ou aux coups d’Etat.
« Si les djihadistes font allégeance à Daech par Internet, avec tous les systèmes de surveillance mis en place, n’y a-t-il pas moyen de déceler immédiatement la formule quand elle est prononcée au téléphone cellulaire, ou écrite, et par conséquent de repérer les auteurs grâce à des logiciels de reconnaissance ? Sans doute pas, dommage. Je dois dire une bêtise, mais une de plus une de moins… »
Vous ne dites rien de bête… Mais je suppose qu’en cas de, il ne faut pas laisser filtrer l’information, n’est-ce pas ? Rappelez-vous que quand Enigma fut décodée, on laissa volontairement l’ennemi attaquer certaines positions pour le lui laisser ignorer, et gagner les batailles décisives.
Si nous sommes bien en guerre, de faible intensité, mais en guerre, comme je le crois, après la volonté de vaincre, l’information et le secret sont des points essentiels.
J’ai bien peur de vous paraître un peu cynique, mais je ne vois pas comment faire autrement.
@ jlm
« Oui mais si on prend par exemple le cas du tueur d’enfants de Toulouse qui a un parcours similaire – élevé dans ses familles paternelle et maternelle dans la haine de la France et des chrétiens – l’école n’y pouvait rien. »
N’oublions pas éventuellement et surtout le communautarisme, tchétchène en l’occurrence dans le cas de Strasbourg, qui a probablement contribué à durcir davantage certaines positions et à augmenter quelques lignes de fracture par rapport au pays d’accueil, au contact de gens qui ont connu la guerre pour certains.
Le 8 mai sous l’Arc de Triomphe, E. Macron a invité un porte-drapeau qui lui demandait d’être ferme vis-à-vis de ces agitateurs délinquants, à le regarder: « Regardez-moi, je ne commenterai pas. »
Alors je regarde.
Et que vois-je?
Des étudiants empêchés de passer leurs examens, NDDL toujours occupée, les Black Blocs du 1er mai relâchés avec les excuses des magistrats et de la presse.
La Marseillaise est un chant patriotique magnifique qui donne le frisson et impose le respect.
N’en déplaise aux détracteurs compulsifs de notre hymne national qui n’en comprennent manifestement ni le sens, ni la portée hautement symbolique et sont incapables en outre d’en apprécier la grande qualité musicale, tant sur le plan du rythme que de l’harmonie.
@ Mary Preud’homme | 15 mai 2018 à 16:07
« La Marseillaise est un chant patriotique magnifique qui donne le frisson et impose le respect. »
MDR ! Pour un peuple fier et qui a de l’honneur, ce chant serait mérité mais pour le nôtre, pays de c… molles, coqs sur fumier, lâches trouillards, collabos, faibles, soumis, déchus, salis, avilis, humiliés, islamisés, y a comme qui dirait un gros blème, un décalage indécent ; va falloir revisiter ce chant à la sauce Vichy « Imaméchal nous voilà », ce serait plus honnête.
Tenez je vous offre le premier vers de cette Marseillaise revisitée sauce islamiste : « Allons enfants de l’islamiii-isme, infâmes traîtres et collabos »…
A vous de jouer !
@ Mary Preud’homme | 15 mai 2018 à 16:07

« La Marseillaise est un chant patriotique magnifique qui donne le frisson et impose le respect. »
Je ne sais si vous êtes ignorante en histoire ou si c’est l’histoire qui vous ignore.
1° ce n’est pas un chant révolutionnaire.
2° c’est un chant de guerre à la gloire d’un maréchal.
L’original, source Bibliothèque Nationale de France
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9067388h/f2.image
3° chant qui n’est pas écrit pour la Révolution française, mais pour aller faire la guerre à l’Autriche.
4° Cela ne devient hymne national qu’en 1879.
5° les paroles appellent à :
– arracher les seins des femmes
– envoyer les enfants faire la guerre. Des enfants !
– remplir les sillons des champs agricoles du sang des Autrichiens.
https://frama.link/9qThCx5x
Des seins arrachés, des enfants qui font la guerre, les Autrichiens égorgés comme des poulets sacrificiels pour abreuver les sillons agricoles de leur sang sur lequel nous allons faire pousser notre blé ….
Oh ben ouais, au moins frisson et respect !
Deux points importants :
@ Exilé | 15 mai 2018 à 08:28
« Vous avez souvent tendance à vous polariser sur le rôle du seul wahhabisme, que personne ne nie, mais qui n’est guère qu’un épiphénomène ponctuel et récent dans l’histoire plus que millénaire de l’Islam. Le wahhabisme s’est accompagné d’un réveil de l’islam, mais le problème, ce n’est pas le réveil, c’est l’islam. »
@ Tipaza | 15 mai 2018 à 11:32
« Il faut changer les règles du combat en comprenant bien que ce nous subissons n’est pas du ‘simple’ terrorisme, c’est une guerre de conquête avec une volonté de changer plus que la société, il y a là une volonté de changer de civilisation, l’islam étant le corpus idéologique qui sert de fondement à cette action. »
« Toutes les conventions internationales sur le respect des personnes ont été établies dans le cadre des guerres conventionnelles, nous ne sommes plus dans ce cadre-là, il faut le dire et en tirer les conséquences. »
J’ajoute qu’Israël donne l’exemple : quand l’ennemi tente d’envahir votre territoire, la seule réponse valable consiste à l’abattre. C’est ce que nous devrions faire à nos frontières. Ce n’est pas suffisant, mais c’est certainement nécessaire.
Le fait qu’à Gaza, l’ennemi soit suicidaire, et cherche délibérément à provoquer des morts dans ses rangs en attaquant les soldats munis essentiellement de frondes et de pierres, ne change rien au fait qu’il s’agit d’une tentative d’invasion délibérée.
La croyance musulmane dans le paradis successif au suicide devant l’ennemi, la perversité « palestinienne » consistant à fabriquer des images de « pauvres femmes et enfants désarmés massacrés par les sauvages soldats de Tsahal », sachant fort bien comment fonctionnent les médias et l’opinion occidentale, tout cela ne devrait pas faire obstacle à la lucidité nécessaire face à ce qui est une tentative délibérée, et proclamée, d’invasion. Exactement comme dans le cas de l’immigration en Europe.
Bien avant de pinailler sur le sort qu’on devrait réserver, ou non, aux fichés S, la fermeture des frontières est une priorité. Par la force militaire, et mortelle, si besoin.
Concernant le cas d’Israël, il faut remarquer que le prétendu « droit au retour » dont se prévalent les prétendus « Palestiniens » est un bobard de première grandeur. Quel « retour » peuvent réclamer ces milliers de bandits qui ont, visiblement, une vingtaine d’années, et dont les grands-parents eux-mêmes n’ont, par conséquent, jamais été « expulsés de Palestine » par Israël ?
Ils vont être « réfugiés » pendant combien de siècles, ceux-là ? Le « retour » qu’ils exigent est exactement le même auquel les musulmans prétendent avoir droit en Espagne… et en France, d’ailleurs. Les prétendus « réfugiés palestiniens » sont les seuls auxquels l’ONU accorde la qualité de réfugié de père en fils…
Ce qui permet aux « Palestiniens » de vivre à ne rien faire aux frais de la « communauté internationale » (qui paye les salaires des « fonctionnaires » palestiniens), mais aussi à une quantité considérable de fonctionnaires internationaux de l’ONU de vivre à ne rien faire, sinon à « gérer » les « réfugiés palestiniens » au sein de la gigantesque agence consacrée à leur sort.
De façon fort judicieuse, Donald Trump a commencé à écraser de son pied le tuyau d’argent gratuit des autres qui alimente cette officine frauduleuse, dont l’activité aboutit à alimenter l’antisémitisme, le terrorisme et les illusions des « Palestiniens » : Israël est là pour toujours, et il n’y a aucun « droit au retour ».
C’est aussi pour cela que le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem est une excellente chose : il permet de changer les perceptions. Le monde entier va être conduit à abandonner le jeu de miroirs des illusionnistes « palestiniens », et à accepter la réalité des faits. Et leur légitimité.
Ou alors, vous nous rendez (vous les musulmans, nous les juifs et les chrétiens), la totalité de l’Afrique du nord que vous avez envahie, et d’où vous nous avez expulsés (quand vous ne nous avez pas massacrés). Ca joue ? Ca me paraît plus qu’équitable.
Dans la même logique, je propose que la France exige un « droit au retour » aux Etats-Unis (ça nous permettrait d’occuper le tiers du pays : pas mal, pour la « puissance de la France » !), un « droit de retour » en Angleterre (un pays dont la devise est en français nous appartient, il n’y a pas de doute là-dessus) — et je vous laisse compléter la liste.
@ Robert Marchenoir 15 mai 2018 17:46
Tout à fait d’accord avec votre intervention.
Bien que je sache que même avec les touristes, les Israéliens ne sont pas tendres. Mon épouse, l’année dernière, en a fait l’expérience et elle a promis de ne jamais retourner dans ce pays de « fachos »…!
A noter la haine anti-Trump déversée ce jour dans l’émission « C dans l’air ». Notamment de la part de Nicole Bacharan qui a perdu toute mesure et qui ne devrait pas être invitée dans ce genre d’émissions : son jugement et ses appréciations étant trop sujets à caution.
Cordialement.
Dans la soirée du 12 mai, un Russe tchétchène de 20 ans naturalisé français en 2010, Khamzat Azimov, fiché S depuis 2016, entendu déjà par la police au mois d’avril 2017, a respecté à la lettre ce processus malfaisant et a fini comme évidemment il le souhaitait.
Un bon petit gars bien de chez nous, naturalisé, radicalisé, fiché S, et logé gratis avec nos impôts, en attendant de commettre son crime.
Cher Philippe,
Si ce n’était qu’une question de volonté…
Le terroriste suicidaire a depuis longtemps interrogé nos sociétés.
Les démocraties pourront toujours élaborer des lois, condamner des attitudes, essayer d’anticiper, celui qui a ouvert la porte de la mort est libre, immensément libre.
C’est peut-être l’émancipation ultime.
C’est dans l’air du temps : pourquoi vieillir se demandent certains, pourquoi subir la maladie, le handicap alors qu’il est si facile de se décharger de ce lourd fardeau qu’est la vie.
Pour vivre, il est utile de croire à ses illusions, d’aimer l’autre, un peu soi-même aussi, penser qu’une vie terrestre peut avoir un sens.
Le terroriste sait donner un sens à sa vie. Il devient l’égal de la puissance mortelle, il écrase les lois, les civilisations.
Il n’est pas ce léger insoumis qui rêve de briser un système en taguant quelques murs, en cassant des chaises et en mesurant sa force avec les forces de l’ordre et l’autorité.
Le terroriste se place bien au-dessus de cette indignation, il cherche la renommée divine, la trace éternelle. Il dessine le chemin de la martyrologie, des futurs saints d’une secte étatique et s’empare des consciences faibles, des vies des passants.
C’est le must de la préméditation, de la préparation avant, pendant et après le passage à l’acte.
La répétition de ces passages à l’acte implique une pré-science d’après la mort. C’est devenir un personnage historique vénéré par ses pairs, sortir de l’anonymat pendant des semaines, des siècles et des millénaires.
C’est partir en accord avec ses idées ou ses délires et ouvrir la porte de l’au-delà aux futurs disciples. C’est bien plus puissant qu’un bulletin de vote.
La mort en jouissance.
Alors que faire ?
Déjà en prendre conscience, ce qui n’est pas si facile.
Arrêter de considérer que c’est de l’anecdotique et de croire que la douceur pourra mettre un terme à ces organisations psychiques.
Arrêter de penser qu’un enfant qui est né dans le culte du martyr peut aimer des civilisations qui aiment la vie, qui la respectent.
Il y a trois quatre ans, le nombre de radicalisés était d’environ 3000.
En 2018, ce nombre s’approche de 20 000.
Que ferons-nous dans moins de dix ans, lorsque ce chiffre tournera autour de 200 000 ?
Aurons-nous toujours cette approche feutrée, voilée ?
Nous nous trouverons devant une situation incontrôlable.
Il y a des travaux à prévoir dans nos lieux de culture, dans nos écoles, dans nos habitations, dans nos commerces, nos usines et cela s’appelle des abris.
Nos actualités présenteront des enfants avec de faibles moyens de fortune, quelques cailloux, quelques cerf-volants enflammés qui voltigeront sur nos institutions, nos villages et nos centrales et nous pourrons mesurer ce que signifie une réponse proportionnée.
S’identifier à l’agresseur pour comprendre et apporter des réponses est un exercice délicat. S’identifier à l’agresseur et c’est ce que font l’Unesco, l’ONU, les casques blancs, c’est une sorte de suicide civilisationnel collectif et nous avons déjà dit que c’était dans l’air du temps.
françoise et karell Semtob
@ Elusen | 15 mai 2018 à 17:40
Contrairement à vous je suis patriote, musicienne, poète à mes heures et je sais interpréter un texte, notamment le quatrième couplet de notre hymne qui donne son véritable sens à l’allusion des sillons que vous interprétez faussement en mauvais esprit que vous êtes.
A chacun ses goûts, vous c’est « Maréchal nous voilà », moi c’est la Marseillaise ou le chant de la Victoire…
@ Robert Marchenoir
« Bien avant de pinailler sur le sort qu’on devrait réserver, ou non, aux fichés S, la fermeture des frontières est une priorité. Par la force militaire, et mortelle, si besoin. »
Pour l’instant c’est plutôt mal parti : ceux qui devraient surveiller ces frontières ne le font pas et pis encore ils poursuivent ceux qui dénoncent leurs carences !
Je crois pourtant savoir qu’en l’absence de représentants de l’ordre, tout citoyen témoin d’un délit est habilité à s’interposer voire à arrêter le délinquant avant de le livrer à la police.
Le contrôle du respect des frontières, par la surveillance visuelle ou l’édification d’obstacles, par des personnes hostiles à la circulation des migrants est susceptible de constituer une immixtion intentionnelle dans les fonctions des forces de l’ordre.
https://www.valeursactuelles.com/politique/le-ministere-de-la-justice-rappelle-quil-est-illegal-darreter-les-migrants-la-frontiere-95545
Il ne faut surtout pas s’opposer à la « circulation des migrants », même illégaux…
« Migrants » parmi lesquels peuvent s’infiltrer des tueurs, comme un certain mouvement islamiste le pratique de temps à autre.
Nous marchons sur la tête…
Si ces gens-là déployaient autant d’énergie à donner la chasse aux « terroristes » certifiés ou potentiels qu’ils en mettent pour assouvir leurs fantasmes en s’en prenant à une « extrême droite » qui n’existe que dans leur imagination, il n’y aurait plus de problème.
Nos ancêtres les Gaulois terrifiaient leurs ennemis grâce à un instrument de musique assez spécial :
https://www.youtube.com/watch?v=lVFGT2NX-YQ
Les Gaulois ont été vaincus, entre autres, à cause de leurs divisions… Ne les surpassons pas en nous disputant sur un hymne qui devrait nous unir. Mais cette musique est inintéressante, elle diffère de la celte habituelle et me fait penser à la musique moderne.
D’aspect, l’instrument est étrange, aussi…
@ Robert Marchenoir | 15 mai 2018 à 17:46
« …et je vous laisse compléter la liste. »
Commençons par réclamer le retour de Byzance envahie, pillée et occupée depuis des siècles par des mahométans qui n’ont rien à y faire, qu’ils commencent à restituer la Basilique Sainte-Sophie, lieu saint au moins autant que l’esplanade des mosquées de Jérusalem.
Je peux continuer en demandant la restitution de Chypre dont la Turquie occupe la moitié indûment.
Et puisque j’en suis à la Turquie et que j’ai fait allusion au cheval de Troie, il faut se souvenir qu’avant Byzance, déjà sur la Troade, cette partie de la Turquie, était installée la ville de Troie, c’est dire si l’antériorité justifie le retour sur la terre de nos ancêtres pour certains d’entre nous, descendants directs des Troyens.
Par ailleurs ma réaction répulsive aux commentaires d’Achille me confirme, et j’en suis persuadé, que je suis le descendant du brillant et lumineux Hector, qu’Achille (le vrai), personnage retors, a misérablement assassiné. Certaines aversions ne se commandent pas, elles sont génétiques.
@ Mary Preud’homme (la Victoire en chantant…) | 15 mai 2018 à 20:30
Qu’est-ce que j’ai ri !
J’en redemande une autre !
Opposer quelqu’un qui dénonce le chant de guerre pour l’armée du Rhin dédié au Maréchal Luckner à ‘maréchal nous voilà’, c’est grandiose.
Ceux qui s’opposaient au chant de guerre pour l’armée du Rhin dédié au Maréchal Luckner, sous Pétain, finissaient emprisonnés ou déportés !
Et vous vous déclarez poète, musicienne et patriote, c’est plutôt à ceux qui vous observent de dire si vous êtes une poète et une patriote. Elle se lance des fleurs toute seule !
C’est poétique, patriotique que d’envoyer des enfants faire la guerre.
C’est poétique, patriotique que d’arracher le sein des femmes.
C’est poétique, patriotique que de faire du vaudou avec le sang des Autrichiens pour abreuver les sillons agricoles de leur sang pour mieux nous en nourrir, un côté vampire comme les chrétiens qui boivent le sang de leur Dieu.
@ boureau | 15 mai 2018 à 13:08
Un journaliste, même de gauche, ne raconte pas que des âneries. L’argumentation de Thomas Legrand est très bien étayée et j’y souscris pleinement.
@ Tipaza
« Par ailleurs ma réaction répulsive aux commentaires d’Achille me confirme, et j’en suis persuadé, que je suis le descendant du brillant et lumineux Hector, qu’Achille (le vrai), personnage retors, a misérablement assassiné. Certaines aversions ne se commandent pas, elles sont génétiques ».
Ce qui est certain c’est que vous ne savez pas de quoi vous parlez, je vous invite donc à lire la supplique de Priam (24e et dernier livre). Ne lisez que celui-là, ce qui vous épargnera la fatigue de lire ceux qui précèdent…
Il n’est pas convenable de souiller l’Iliade !
Je ne peux pas me résoudre à agir comme s’il y avait eux d’un côté et nous de l’autre. Pourtant j’ai une certaine expérience de l’affrontement.
Qui sommes-nous et qui sont-ils ? Il devient impossible de répondre à cette question, car l’identité des uns et des autres est diluée, modifiée, altérée.
Quand j’étais jeune, je pouvais me raccrocher à des invariants, le drapeau français, les dix commandements et le corps du Christ. Maintenant, je m’aperçois que la Marseillaise est critiquée, sifflée, honnie par une multitude. Il est même interdit de poser le drapeau sur sa fenêtre quand le voisinage réclame qu’il soit retiré. Des églises sont systématiquement abîmées, des lieux de culte profanés, les vitraux sont tous protégés par des grillages. Dans le même temps, le nombre de mosquées continue de croître, la présidente de l’UNEF porte le foulard musulman dans des lieux publics et les crèches sont interdites dans les mêmes lieux publics.
La justice a deux visages, un complaisant à l’égard des musulmans et un intransigeant envers ceux qui expliquent ce qui est écrit dans le livre fondateur de la religion musulmane telle que nous la connaissons. Un des concepts principaux de ce livre est la conquête. Or, quand M. Zemmour constate que la France vit une invasion il est condamné ! Je profite de ce billet pour rappeler qu’Eric Zemmour a été condamné par la cour d’appel de Paris à 5 000 euros d’amende pour provocation à la haine. Il lui a été reproché d’avoir émis l’opinion qu’il fallait donner aux musulmans le choix entre leur religion et la France. M. Zemmour connaît bien l’Histoire de France en général et celle de Napoléon 1er en particulier. En 1807, Napoléon a convoqué le Grand Sanhédrin, représentant légal des juifs en France. Il lui a demandé instamment de choisir entre les valeurs de la France et celles du judaïsme. Zemmour a fait la même démarche intellectuelle et il a été condamné.
Je ne sais pas, mais il faudrait !
Quand je retourne la phrase, elle contient encore plus de sémantique qui entraîne la mise en oeuvre de moyens coûteux et complexes.
Que faudrait-il donc faire, quand on ne sait pas ?
En ce qui me concerne, je ne tergiverse pas, je refuse les arguments d’Elusen et d’autres de ce blog ou d’ailleurs. Je les entends car ils font du bruit, je les écoute parfois par curiosité intellectuelle, je ne les approuve presque jamais.
Je suis toujours là, après tant d’années, je veux rester en vie et ne pas me soumettre à une idéologie mortifère. De base, mon drapeau est bleu, blanc et rouge et mon hymne est la Marseillaise. Confronté au terrorisme et à la mort dès mon plus jeune age, je peux en parler, mais je le fais rarement, l’indicible révulse, j’ai perdu beaucoup de relations à cause de ça.
Alors, je me prépare, je continue à faire du sport. Je m’entraîne régulièrement à désarmer un assaillant muni d’un couteau. Sans être un spécialiste, je connais quelques techniques utiles. Je ne vais plus dans certains quartiers, je sélectionne mes destinations et j’adapte mon attitude dans les transports ou dans la rue.
Tout cela n’est que de l’expérience personnelle.
@ Achille 16 mai 2018 08:31
Thomas Legrand France Inter.
J’ai relu l’intervention que vous proposiez.
Là où vous voyez « argumentation étayée » je n’observe que polémique et procès d’intention.
Chacun ses lunettes !
Et donc pour Thomas Legrand, comme pour vous, rien ne peut être fait de plus contre le terrorisme et comme je le disais précédemment : tout va très bien Madame la Marquise !
Cordialement.
@ vamonos | 16 mai 2018 à 10:39
« Or, quand M. Zemmour constate que la France vit une invasion il est condamné ! »
– En même temps, c’est un type issu de l’immigration maghrébine.
« Il y vient di l’Algérie » comme on dit par chez lui.
– Invasion, sa définition, selon le dictionnaire du CNRS, c’est :
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/invasion
– « d’y pénétrer par force » vu ce qu’il pense des femmes, qu’il est allé jusqu’à signer une tribune, une pétition pour légaliser la prostitution…
Ainsi, cela le rend tout de suite plus crédible, et vous avec.
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@ Exilé | 15 mai 2018 à 21:19
Dire autant de bêtises en étant Exilé, donc un migrant qui a nécessairement passé plusieurs frontières, c’est chouette et courageux !
@ duvent | 16 mai 2018 à 10:32
« Ce qui est certain c’est que vous ne savez pas de quoi vous parlez »
Aïe, je suis tombé sur une prof du secondaire, et l’ancien contentieux que j’ai contre ces personnes réapparaît, ce doit être mon karma.
D’abord, vous n’avez pas tout à fait tort, je n’ai pas lu l’Iliade en entier, mais qu’importe, je connais l’histoire de Troie, puisque :
« Je suis le vieux guetteur
Qui monte la garde sur les remparts,
J’ai dans les yeux, les aurores des temps anciens
Et dans la tête, la chanson des temps futurs. »
Vous êtes relativement neuve sur ce blog, je vous pardonne donc de ne pas savoir qu’il m’arrive, en plus d’être sérieux pour autant que je puisse l’être, d’être facétieux et de dire n’importe quoi, pour le simple plaisir de provoquer les graves et les sérieux comme vous.
Le monde serait bien triste s’il fallait s’en tenir à la vérité officielle, et d’abord qui vous dit qu’Homère a raconté la vraie histoire, et que ce que je raconte n’est pas plus vrai que ce qu’il a dit ? Quel historien garantit que les personnages mis en scène par lui sont plus authentiques psychologiquement que ceux que je pourrais mettre en scène moi-même, ou que ceux de Rabelais, il y a la même exagération, la même affabulation dans tous les cas.
Et j’en viens pour faire bref à votre remarque :
« Il n’est pas convenable de souiller l’Iliade ! »
J’espère qu’il s’agit de votre part d’une petite provocation pour me faire réagir, sinon je serais obligé de conclure qu’il s’agit d’une douce niaiserie.
Car enfin, lorsqu’un texte est publié, il cesse d’appartenir à son auteur, il appartient aux lecteurs qui ont toute latitude pour en faire ce que bon leur semble.
La pureté est dans le texte initial, ensuite vogue la galère des utilisateurs et des utilisations, et je ne parle pas des traductions qui conservent parfois le sens mais sûrement pas l’esprit. Qui sait comment parlait Homère dans la société de son époque, avec quel accent, quels sous-entendus, avec quelle volonté manipulatrice ?
Chaque lecteur est propriétaire de son interprétation la plus farfelue, il suffit simplement de pouvoir revenir au texte initial pour en apprécier l’interprétation.
Tenez, que pensez-vous de ces vers :
« Les sanglots longs
Des violons
De l’automne
Blessent mon coeur
D’une langueur
Monotone. »
Ils ont été utilisés comme code pour informer la Résistance du Débarquement allié en 1944 !
« Nous sommes en train de vivre la troisième invasion de l’islam en Occident, et l’inquiétude est grande parmi la population devant cette naissance sur notre territoire d’une nouvelle civilisation.
Pourtant, l’islam est souvent accueilli avec déférence par certains courants intellectuels, qui réinterprètent le Coran et la civilisation musulmane en les couvrant d’éloges. Ce faisant, ils se mettent en porte-à-faux avec des générations d’intellectuels arabisants qui avaient présenté, eux, l’islam comme une terreur et une menace.
Jacques Ellul pointe du doigt la méconnaissance crasse de notre propre religion, le christianisme. Cela permet de diffuser de fausses conceptions sur des points où islam et christianisme présentent effectivement des similitudes.
La première fausse conception est celle relative à Abraham. Comme souvent dans le Coran, des personnages judéo-chrétiens sont repris et adaptés à la sauce musulmane. A ceux qui disent qu’Abraham est notre patriarche commun, Alain Besançon rétorque que pour les musulmans, Abraham n’était ni juif ni chrétien. Dans le Coran, Ibrahim est celui qui a construit la Kaaba et a institué le pèlerinage de La Mecque. Tous les prophètes qui ont précédé Mahomet étaient musulmans, et ont tous délivré le même message au sujet d’Allah. S’il y a des coïncidences dans leur message, c’est bien naturel, puisque le même message a été adressé à tous les « envoyés », et s’il y a des divergences, c’est parce que les juifs et les chrétiens l’ont tronqué et faussé. En outre, les musulmans ne reconnaissent pas la valeur des documents de révélation antérieurs au leur. Allah déclare au prophète : « tu ne connaissais pas ce que sont les Ecritures et la foi antérieurement ».
La deuxième conception qui laisse accroire en Occident qu’islam et judéo-christianisme sont très proches, voire partagent le même Dieu, est celle relative au monothéisme. Pourtant, pour les musulmans, le christianisme n’est pas considéré comme une religion monothéiste. La Trinité y est en effet considérée comme un polythéisme. Jacques Ellul regrette d’ailleurs à ce sujet que l’on parle parfois de trois Personnes pour parler de Dieu, alors que ce sont en fait trois « manières d’être de Dieu ».
Quelle relation peut-il y avoir entre le Dieu biblique et Allah ? Il y a d’abord une rupture énorme du fait de l’Incarnation. Dieu sort de son ciel pour devenir homme. D’autre part, le Dieu de l’islam est si absolument transcendant qu’il ne peut en rien avoir une relation duelle avec l’homme. Allah est souverain et inaccessible. Il arbitre et juge les actions des hommes sans intervenir ; il n’aime pas, et ne couvre donc pas les péchés de l’homme. Il manque ici l’amour. Il manque la passion que Dieu a pour sa créature. Et il manque surtout la rédemption.
Le Jésus du Coran opère des miracles uniquement pour montrer sa puissance, tandis que les miracles du Jésus biblique sont des miracles d’amour. La plus grande preuve d’amour, c’est la crucifixion qu’accepte de subir Jésus, après un combat spirituel intense. Dans le Coran, il est impensable que celui dont on ne cherche à montrer que la puissance soit crucifié ! Donc, jamais Jésus n’a été crucifié (ce qui évite la question de la résurrection), mais c’est un autre qui a été crucifié à sa place !
La troisième conception erronée sur laquelle Jacques Ellul insiste est celle de « religions du Livre ».
Une première opposition radicale vient de leur origine. D’un côté, le Coran a été écrit par un seul homme. De l’autre, la rédaction de la Bible s’étale sur une dizaine de siècles et est l’oeuvre de dizaines d’auteurs.
Mais plus profondément, le Coran se dit « dicté » (lettre par lettre) par Dieu même à Mahomet, qui a été un simple récepteur (fidèle sûrement, mais en somme établi comme appareil enregistreur).
Dans la Bible, Dieu parle à un homme, qui reçoit ce message, qui le comprend (plus ou moins bien), qui l’interprète et qui l’écrit. Autrement dit, une fois de plus le Dieu biblique prend l’homme comme partenaire.
La seconde opposition est encore plus fondamentale. La Bible est avant tout une sorte de cheminement de Dieu avec l’homme. C’est-à-dire que ce Dieu se met, dès les origines, « à la hauteur » de l’homme. Il entre en dialogue avec l’homme et lui, le Transcendant se fait tel qu’il puisse être compris – d’où ses changements dans sa parole, dans ses décisions.
On ne comprend pas toujours certaines contradictions qui existent dans la Bible, mais elles tiennent au fait que Dieu s’est adapté à l’homme d’une certaine culture. Il s’adresse à l’homme en tenant compte de ce qu’il est, et non pas à l’Homme in abstracto.
Dans le Coran, où il n’est pas question d’amour, nous sommes en présence d’un devoir et d’une contrainte illimités, comme peine l’Enfer. Ainsi le livre judéo-chrétien est celui d’une promesse et d’une ouverture de liberté, le livre du Coran est celui de la contrainte et du définitif.
A noter la publication en fin d’ouvrage de la préface de Jacques Ellul du livre non-traduit en français de Bat Ye’or : « The Dhimmi : Jews and Christians under Islam. », publié en 1985.
A nouveau, le message de Jacques Ellul résonne comme une mise en garde solennelle sur ce qui nous attend. Si « dhimmi » veut dire « protégé », il faut se poser la question : « protégé de qui ? » Dans la mesure où ce régime équivalent à celui du servage féodal au Moyen Âge est en vigueur en terre d’islam, cela ne peut évidemment être que contre les musulmans eux-mêmes.
Aujourd’hui comme hier, pour l’islam conquérant, tous ceux qui ne se reconnaissent pas musulmans n’ont pas de droits humains reconnus en tant que tels. Il ne faut pas aujourd’hui rejeter ces témoignages considérables de tueries de juifs ou de chrétiens, dans tous les pays occupés par les Arabes et les Turcs, qui se reproduisaient fréquemment, et au cours desquelles les forces de l’ordre n’intervenaient pas. Le dhimmi avait peut-être des droits aux yeux des autorités, mais quand la haine populaire se déchaînait, ils étaient sans protection. C’était l’équivalent des pogroms.
Le monde islamique n’a pas évolué dans sa façon de considérer le non-musulman, et nous sommes avertis par là de la façon dont seraient traités ceux qui y seraient absorbés. C’est une lumière pour notre temps… »
(d’après Alain Besançon, in Préface de « Islam et Judéo-christianisme » de Jacques Ellul)
@ vamonos | 16 mai 2018 à 10:39
Excellent commentaire.
Une mention peut-être à ajouter au dernier paragraphe. Si un homme tel que vous vous décrivez (qui en a vu de toutes les couleurs) en est arrivé à se protéger et renoncer à sortir à certains endroits dans son propre pays, qu’en est-il alors d’une femme, réputée trois à quatre plus exposée, je sais de quoi je parle ?
Au fait, je viens d’apprendre l’évasion programmée d’un fiché S, classé radicalisé dangereux et détenu à la prison de Brest. Ceci ayant eu lieu durant un transfert au nez et à la barbe des surveillants et en plein jour…
Tonnerre de Brest !
@ Tipaza | 15 mai 2018 à 23:12
« Par ailleurs ma réaction répulsive aux commentaires d’Achille me confirme, et j’en suis persuadé, que je suis le descendant du brillant et lumineux Hector, qu’Achille (le vrai), personnage retors, a misérablement assassiné. Certaines aversions ne se commandent pas, elles sont génétiques. »
J’ai lu l’Iliade, voici fort longtemps, mais je me souviens encore très bien de la sacrée rouste qu’a filée le flamboyant Achille au brave Hector dans un combat à la loyale, bien que ce dernier bénéficiât de la protection de Jupiter (qui en l’occurrence a montré les limites de son pouvoir).
Par contre Achille a été tué lâchement d’une flèche au talon, son seul point faible, par Pâris (qui ne s’est jamais vraiment distingué par sa bravoure). Flèche qui, nous dit-on, était guidé par Apollon le bellâtre.
Les aversions sont peut-être génétiques, mais la force communiquée aux vainqueurs aussi…
@ Tipaza
Tout d’abord je dois vous préciser que je ne suis ni enseignante, ni fonctionnaire, et d’aucune façon, puis je dois ajouter que vous n’avez pas compris mon propos.
Je m’en vais donc vous éclairer sur ce dont il s’agit ici, en effet, vous avez évoqué pour prendre le dessus sur Achille (le commentateur), votre admiration d’Hector, cependant, vous avez aussi qualifié de retors et d’assassin le fils de Pélée, c’est ici que vous commettez une absurdité…
Par ailleurs, que vous pensiez que votre droit de lecteur d’une œuvre vous autorise à toutes sortes de libertés, ne m’émeut pas outre mesure. Dans l’hypothèse où vous auriez vous-même chanté dans les banquets que vous organisez entre amis votre version de l’Iliade, il suffisait de nous en faire part et alors, j’en aurais conclu que l’Achille, que vous mettez au-dessus d’Hector, est un personnage non plus d’Homère, mais celui de Tipaza, illustre inconnu mais grand comique devant l’Eternel.
Je vous invite de nouveau à lire la supplique de Priam, qui est une lecture des plus belles qui soient, et si la pureté vous affecte, mettez donc quelques aulx dans vos poches, afin de ne pas fondre à la lumière que déversera sur vous Homère.
Je vous y engage par charité, car ce qui est beau et pur doit être partagé, le génie de la création lorsqu’il atteint le sublime mérite l’admiration et je vous avoue que j’aime d’amour inconsidéré et considérable l’œuvre incomparable que nous avons l’honneur d’évoquer.
Mais quelquefois, « l’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches » !
PS : Vous me faites remarquer que je suis ici depuis peu, c’est possible, je ne tiens jamais les comptes, pour personne et pas davantage pour moi, dès lors, je peux si cela vous rend heureux ne plus apparaître et vous ennuyer sottement. Pour vous servir…
Ça n’a pas directement de rapport avec le billet mais ça n’est pas totalement hors sujet non plus. Je viens de découvrir ce personnage dont certains commentateurs apprécieront peut-être le parcours mieux que moi.
C’est un ancien braqueur de banques ayant soutenu une thèse de doctorat en philosophie et qui est (ou a été) étudié à l’université Sophia – Tokyo, Kanagawa, Osaka – où il a bénéficié d’articles en japonais rédigé par un certain Gabriel Mehrenberger, auteur d’un dictionnaire français-japonais / japonais-français qui semble récemment décédé, vu que j’ai aussi trouvé un article in memoriam le concernant.
La présentation de l’ex-braqueur philosophe dans philosophie Magazine sous l’intitulé : « La prison a été ma grande maîtresse » (28/09/2012).
@Tipaza
« Qui sait comment parlait Homère dans la société de son époque, avec quel accent, quels sous-entendus, avec quelle volonté manipulatrice ? »
Oh combien cela est vrai ! il serait intéressant par exemple de comparer le style de (des) Homère et celui d’Aristote. Si, sans être spécialiste, l’on a la chance de déchiffrer le grec ancien et de lire des traductions en face du texte original on peut réaliser la grande part d’interprétation que les traducteurs et traductrices y ajoutent, époque après époque. Les nouvelles traductions, comme celle des Oiseaux d’Aristophane avec restitution de l’argot d’origine, en témoignent. Malheureusement je manque de temps et je n’ai pas pu encore m’y consacrer mais j’avais découvert avec stupéfaction l’aridité d’Aristote (le Stagirite macédonien) en parcourant une édition bilingue de sa « Poétique », sécheresse et pauvreté lexicale que la traduction ne rendait pas (les personnes traduisant se devant de prouver que leur style propre est assez beau pour faire aimer le texte). Mais je donne crédit par avance à (aux) Homère d’une poésie foisonnante même avant la traduction en français.
@ duvent | 16 mai 2018 à 17:17
« Je peux si cela vous rend heureux ne plus apparaître et vous ennuyer sottement. »
Ni vous ne m’ennuyez, ni vous ne m’ennuyez pas, vous m’avez fait une remarque à votre façon, j’ai répondu à la mienne, voilà tout.
Pour le reste, votre présence ou votre absence ne me rendra ni plus ni moins heureux.
Vous êtes arrivée librement sur ce blog, vous pouvez en sortir ou rester tout aussi librement, cela ne me regarde pas.
J’avoue ne pas comprendre votre remarque célinienne : « l’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches », nous n’avons pas les mêmes valeurs, ni le même humour, peut-être parce que nous n’avons pas les mêmes lectures, ou la même façon d’en tirer plaisir.
@ Achille | 16 mai 2018 à 16:47
Nous sommes d’accord, et puis la génétique n’est plus cet invariant que l’on croyait encore il y a peu, depuis que l’on a inventé l’épigénétique !
@ Mary Preud’homme | 16 mai 2018 à 15:44

Jacques Ellul est décédé en 1994 ! soit depuis un quart de siècle !
Comment peut-il avoir parlé d’aujourd’hui ?!
C’est vrai que le christianisme n’a jamais envahi les Celtes, les Vikings, les Corses, les Flamands, les Alamans, les Amériques, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, ils étaient chrétiens depuis la nuit des temps, car tous les Celtes, les Amérindiens, les Maoris, les Aborigènes, les Vikings étaient des Arabes qui venaient du Moyen-Orient.
Oh ben tiens, la Bible :
@ Elusen | 17 mai 2018 à 02:14
A propos de Saint Matthieu
Beaucoup de musulmans croient que Jésus lui-même a appelé à la guerre sainte (votre jihad) en s’appuyant sur le verset 10:34-36. En réalité Jésus avertissait ses disciples que son message créerait des divisions. Au lieu de réunir les gens, il les séparerait et même les membres d’une famille deviendraient des ennemis. Certains chrétiens seraient mis à mort par leurs frères, leurs parents ou leurs enfants : « Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant ; les enfants se soulèveront contre leurs parents et les feront mourir » Matthieu 10:21
En d’autres termes, Jésus déclarait qu’à cause de son message des gens sortiraient leur épée pour attaquer ceux qui désirent le suivre, ce qui est avéré y compris aujourd’hui lorsqu’un musulman se convertit au christianisme…
Par ailleurs, Mahomet a étendu le jihad à ceux qui ne le dérangeaient aucunement. Il a enjoint les gouverneurs des pays situés en dehors de l’Arabie à se soumettre à l’islam. Après sa mort, ses disciples ont poursuivi le jihad dans des pays qui n’avaient pas combattu l’Etat Islamique. L’Egypte par exemple n’a jamais attaqué de musulmans mais l’armée des disciples de Mahomet a tué des centaines de milliers d’Egyptiens au cours du Ier siècle de l’islam. Les musulmans ne se sont pas arrêtés en Egypte, ils sont partis en direction du sud pour conquérir le Soudan et à l’ouest pour s’emparer de l’Afrique du Nord. Qu’avaient donc fait les pays d’Afrique du Nord pour provoquer Mahomet et ses successeurs ? Rien.
Et quel danger représentaient l’Espagne, le Portugal et l’Europe du Sud pour les partisans de Mahomet ?
« Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de Fitnah (d’incrédulité et de polythéisme, c’est-à-dire d’autre culte hormis celui rendu à Allah) et que la religion (le culte) soit rendue à Allah seul dans le monde entier » Sourate 8:39
La seule manière d’échapper à l’épée de l’islam était de se soumettre…
Elusen hors de lui, hors sujet comme d’habitude croit avoir tout compris et donne des leçons à tout le monde.
Elusen est un bon rameur pour la cause musulmane, bien soumis à ses amis, il travaille pour faire avancer progressivement leur cause. Une occupation n’est pas forcément brutale et immédiate, elle peut s’avérer progressive et en douceur. Ainsi monte le lierre dans le chêne dans la forêt, pendant des années jusqu’à étouffer le plus noble des arbres sylvestres.
Elusen ne se rappelle pas de la bataille de Lépante. Les chercheurs s’accordent sur le nombre de 12 000 esclaves chrétiens libérés par les forces chrétiennes. Environ 12 000 rameurs ont recouvré la liberté, l’Histoire ne dit rien des malheureux qui se sont noyés, entraînés par leurs chaînes au fond des eaux du golfe de Lépante. Ce jour-là, les galères algériennes parvinrent à forcer le blocus. Les esclaves chrétiens qui les propulsaient restèrent sous domination musulmane, comme Elusen qui rame sans être payé ou si peu que cela ne vaut même pas la peine d’en parler.
Après la bataille de Lépante, il a fallu attendre 259 ans avant que le marché aux esclaves ne soit fermé à Alger.
@ Elusen
Puisque l’œuvre de Jacques Ellul vous est manifestement inconnue, ce qui ne vous empêche pas d’en nier le contenu et les sujets, commencez par lire cet article sur l’islam écrit par lui en 1989 :
« Lorsque les chrétiens agissaient par la violence et convertissaient par force, ils allaient à l’inverse de toute la Bible, et particulièrement des Evangiles. Ils faisaient le contraire des commandements de Jésus, alors que lorsque les musulmans conquièrent par la guerre des peuples qu’ils contraignent à l’Islam sous peine de mort, ils obéissent à l’ordre de Mahomet.
« Le djihad est la première obligation du croyant musulman. Et le monde entier doit entrer, par tous les moyens, dans la communauté islamique.
– Je sais que l’on objectera : « Mais ce ne sont que les ‘intégristes’ qui veulent cette guerre. »
« Malheureusement, au cours de l’histoire complexe de l’Islam, ce sont toujours les « intégristes », c’est-à-dire les fidèles à la lettre du Coran, qui l’ont emporté sur les courants musulmans modérés, sur les mystiques, etc.
« Déclarer sérieusement qu’en France l’adhésion de « certains musulmans » à l’intégrisme islamique est le résultat d’une crise d’identité est une désastreuse interprétation.
« L’intégrisme islamique en Iran, en Syrie, au Soudan, en Arabie Saoudite, maintenant en Algérie est-il une réaction à une crise d’identité ?
« Non, l’intégrisme islamique est seulement le réveil de la conscience religieuse musulmane chez des hommes qui sont musulmans mais devenus plus ou moins « tièdes ».
« Maintenant, le réveil farouche et orthodoxe de l’islam est un phénomène mondial. Il faut vivre dans la lune pour croire que l’on pourra « intégrer » des musulmans pacifiques et non conquérants. Il faut oublier ce qu’est la rémanence du sentiment religieux. Il faut oublier la référence obligée au Coran. Il faut oublier que jamais pour un musulman l’Etat ne peut être laïque et la société sécularisée : c’est impensable pour l’islam.
« Il faut enfin oublier comment s’est faite l’expansion de l’Islam du VIe au IXe siècle. Une étude des historiens arabes des VIIe et IXe siècles, que l’on commence à connaître, est très instructive : elle apprend que l’islam s’est répandu en trois étapes dans les pays chrétiens d’Afrique du Nord et de l’Empire byzantin.
« Dans une première étape, une infiltration pacifique de groupes arabes isolés, s’installant en paix.
Puis une sorte d’acclimatation religieuse : on faisait pacifiquement admettre la validité de la religion coranique. Et ce qui est ici particulièrement instructif, c’est que ce sont les chrétiens qui ouvraient les bras à la religion soeur, sur le fondement du monothéisme et de la religion du Livre, et enfin lorsque l’opinion publique était bien accoutumée, alors arrivait l’armée qui installait le pouvoir islamique — et qui aussitôt éliminait les Eglises chrétiennes en employant la violence pour convertir à l’islam.
« Nous commençons à assister à ce processus en France (les autres pays européens se défendent mieux). Mais c’est du rêve éveillé que de présenter un programme de fédération islamique en France, pour mieux intégrer les musulmans. Ce sera au contraire le début de l’intégration des Français dans l’islam.
« La seule mesure juridique valable, c’est de passer avec tous les immigrés un contrat comportant : la reconnaissance de la laïcité du pouvoir, la promesse de ne jamais recourir au djihad (en particulier sous forme individuelle — terrorisme, etc.), le renoncement à la diffusion de l’islam en France. Et si un immigré, beur ou pas, désobéit à ces trois principes, alors, qu’il soit immédiatement rapatrié dans son pays. »
Jacques Ellul (article paru dans l’hebdomadaire Réforme le 15 juillet 1989).
@ Mary Preud’homme | 17 mai 2018 à 11:14

Vous détournez l’attention !
Où serait-il écrit dans mon propos : colonisation ?
Il est écrit : envahi, chrétien, christianisme.
Confondre colonisation et christianisation !
Jacques Ellul est décédé en 1994, il y a un quart de siècle, il ne peut donc avoir parlé du terrorisme d’aujourd’hui !
Et ça, c’est toujours la Bible, comme mon autre copie dans l’autre post.
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@ vamonos | 17 mai 2018 à 09:30
« Après la bataille de Lépante… »
Quel est le rapport avec l’attention du 2e arrondissement de Paris et mon propos, je cherche encore !
L’esclavage, le viol, sont prônés dans la Bible, ils ne sont jamais condamnés, tout comme dans le Coran !
Le deutéronome, Bible traduite par l’École biblique et archéologique de Jérusalem:
Verset 15: code de l’esclave.
Verset 21 § 10 à 13: les femmes sont des prises de guerre dont l’homme a le droit d’user sexuellement.
§ 14: s’il arrive qu’elle cesse de te plaire, tu la laisseras partir à son gré, sans la vendre à prix d’argent : tu ne dois pas en tirer profit, puisque tu as usé d’elle.
La Bible est également un écrit musulmanisme, affirmé dans le Coran.

Donc kif-kif bourricot !
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@ caroff | 17 mai 2018 à 09:29
Surprenant, c’est un anti-monothéiste qui a lu ces abâtardissements de Bible et Coran, et ce sont des gens qui ne les ont jamais ouverts qui la ramènent.
1°- Le Terrorisme est inventé en France en 1793, sous le régime de la Terreur, ses partisans sont appelés : Terroristes.
De fait, le Terrorisme ne peut pas être prôné dans le Coran qui date de 632 de notre ère.
Soit 1 162 ans qui les séparent !
https://www.universalis.fr/encyclopedie/la-terreur/
2°- Le kamikaze ne peut pas être prôné dans le Coran, cela date de 1941 d’une attaque de l’armée japonaise à Pearl Harbour.
De fait, le kamikaze ne peut pas apparaître dans le Coran qui date toujours de 632 de notre ère.
Soit 1 309 ans qui les séparent !
Jésus est le seul prophète d’ordre divin dans le Coran, il est au-dessus de Muhammad
Jésus est cité 26 fois dans le Coran.
Marie est cité plus de 42 fois.
L’Evangile est cité 13 fois.
La Torah est citée 19 fois, avec pour l’Evangile et la Torah l’obligation de les respecter.
Coran ; Traduction Universitaire de Malek Chebel.
– Doctorat de recherche en psychopathologie et psychanalyse, en 1980, à l’université Paris-Diderot
– Doctorat d’ethnologie, anthropologie et science des religions, en 1982, à l’université de Jussieu Paris.
– Doctorat de sciences politiques, en 1984, à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris.
Sourate II, la vache – 253 :
Note de bas de page, *Esprit-Saint : Rûh al-qûdûsi.
@ Mary Preud’homme
Je réponds de façon « insérée ».
« @ Sergio Carioca | 15 mai 2018 à 00:00
« On a environ 17 fichés S impliqués dans des attentats
17/20 000 moins de 1/1000 moins de 0,1%
17/4000 moins de 5 /1000 moins de 0,5% »
Vu de façon biaisée et rapporté aux différents fichés S ou autres suivis pour radicalisation (FSPRT, FPR, FIJAIT), vos chiffres semblent en effet dérisoires.
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Semblent ? Non ils sont.
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Mais c’est outre se moquer des 250 victimes du terrorisme islamiste…
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Accusation gratuite, mesquine.
Et cela n’a rien à voir.
On parle de prendre des mesures pour l’instant illégales contre les fichés S, que par ailleurs je ne défends pas. Je souhaiterais des mesures efficaces et légales pour éviter un contrecoup-boomerang.
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Primo : les services de police ne communiquent jamais leurs chiffres qui ne sont connus que des années après les faits. Mais il est clair que des attentats qui ont fait en deux ans des centaines de victimes devaient impliquer beaucoup de monde.
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La police ment sur le nombre des fichés S ?
« Il est clair »… Péremptoiritude ne vaut pas vérité.
Vous faites un raisonnement curieux. Une logique apparente : nombreuses victimes donc nombreux impliqués.
Mais il n’y a aucun rapport obligatoire, il ne s’agit que d’un rapprochement une association d’idée, un peu de dialectique trotskiste pour embrouiller.
On regrette évidemment que quelques criminels aient étés si « efficaces » (ça me fait mal d’utiliser le mot hélas exact), en quoi le nombre des victimes d’un crime au fusil d’assaut en milieu fermé implique-t-il une foule de coupables ? Absurde.
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Sans compter les 20 attentats déjoués l’année dernière, consécutivement à la surveillance de fichés S… radicalisés (qui ne sont pas 20 000 mais un peu plus de 10 000) et ont manifestement épargné des centaines, voire des milliers de vie.
Secundo : vous oubliez aussi les 255 majeurs et les 68 mineurs partis faire le djihad en territoire syro-irakien et rentrés en France. En somme des bombes à retardement contre lesquelles on ne pourrait rien, en attendant qu’elles explosent.
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Vrai : il faut les ajouter. Les proportions indiquent toujours qu’une grande majorité des fichés S n’a rien (encore) fait. .
Pas sûr que les criminels partis en Syrie/Irak soient fichés S mais admettons :
400 grosso modo
400/20000 soit 2%
400/ 4000 vraiment dangereux 10%
Une grande majorité des fichés S n’a rien (encore) fait, pour être efficace il faut mieux cibler ou rendre des pratiques illégales afin d’avoir prise légale sur eux et les punir ou écarter du territoire / enfermer.
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Alors pour la bonne logique vous repasserez ! »
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Les nombres changent la minorité reste minoritaire
@ Xavier Nebout
« …étant entendu que le corps du Christ est par transsubstantiation, fait de connaissance et de vérité, symbolisées par le pain et le vin.
Et pourquoi a-t-il été crucifié, le Christ ? Oh là, pas de polémique… »
Entendu, mais de certains seulement.
Pour beaucoup, ce n’est pas entendu du tout.
L’enseignement porté par les Evangiles est une philosophie « globalement positive » comme aurait dit le mari de Liliane.
Mais utilisé à mauvais escient ou travesti il a servi de prétexte à des méfaits.
Après, les tours de magie et concepts fumeux et impénétrables comme le concept de trinité et de saint esprit, la transsubstantiation, c’est un peu dur à accepter.
D’autant que cela est intrinsèquement inutile à la foi et à l’essence de cette religion basée sur des faits rapportés non étayés par l’histoire.
La foi n’a pas besoin de cela.
Tout comme le voile et autres kippa, circoncisions, ablutions et autres rites des différentes religions apparaissent comme folklore non nécessaire pour aimer un dieu et vivre une vie de BIEN envers les autres voire d’obéissance et de crainte de Dieu Yahweh Allah, selon la vision que l’on a de lui.
Ce n’est pas ça l’important ?
Comment ? Ce dieu si puissant, si bienveillant (selon les cas) se préoccuperait des rites ostentatoires alors que le fondamental est l’action des hommes et femmes et ce qu’ils ont dans le « coeur ». Ce dieu s’il existe sait ce qu’il y a en nous et voit nos actions, les rites ce sont des fumigènes ou des signaux pour attirer l’attention mais un dieu puissant, omniscient, n’en a pas besoin, allons !
Quand on veut quitter un blog, le mieux est encore de le faire sur la pointe des pieds, comme l’ont fait par exemple J-D Reffait ou encore Laurent Dingli que l’on ne lit plus depuis des lustres. Ce qui est dommage car leurs commentaires étaient plutôt intéressants.
Ceci étant il est naturel d’avoir envie de quitter un blog parce que l’on est harcelé par un ou des intervenants particulièrement agaçants qui ne ratent aucune occasion pour vous provoquer, voire vous insulter copieusement.
Mais les billets de Philippe Bilger sont intéressants, n’en déplaise à ses détracteurs qui viennent ici uniquement pour le critiquer. Ils sont bien écrits, les sujets sont variés et traitent généralement des événements de l’actualité en cours.
La modératrice-correctrice est sympa et les commentateurs regroupent tout le panel des courants de pensée du moment. On y côtoie beaucoup de réactionnaires de droite, quelques sympathisants de l’extrême gauche un peu déjantés et deux ou trois macronistes égarés dans ce milieu hostile, qui veulent encore y croire vu que toutes les solutions présentées par les partis traditionnels des gouvernements précédents ont lamentablement échoué.
C’est le seul blog que je fréquente et je me demande bien sur quel blog je pourrais déverser me petites remarques perfides qui ont le don d’exaspérer quelques contributeurs, voire, chez certains, d’inspirer de la répulsion. Franchement je ne pensais pas être capable de faire un tel effet.
Bref, en ce qui me concerne, je tiens à rassurer tous les commentateurs de ce blog, je reste !
@ GLW
« Bon sang mais c’est bien sûr ! Tout n’est qu’une question de pourcentage… »
Non.
Il y a aussi les chiffres « absolus » en plus des chiffres relatifs que sont les pourcentages.
« Alors pourquoi on nous les brise menu avec des limitations de vitesse qui ne concerne que 3 600 morts par an, ce qui en pourcentage ne représente pas grand-chose par rapport au nombre de personnes qui conduisent avec ou sans permis ? »
La réponse est dans la question : 3 600 morts par an.
Beaucoup plus que le terrorisme. Si le terrorisme (qu’à Bouddah ne plaise !) « faisait » 360 morts par an, c’est 1 000 % de plus.
Beaucoup moins que le tabac ou l’alcool d’ailleurs déduction faite des accidents de la route…
« Pourquoi on nous casse les pieds avec une loi anti-harcèlement de rue qui ne concerne qu’un faible nombre de personnes susceptibles d’en être victimes ? »
Le problème est plutôt qu’elle est inapplicable.
Et en quoi ça vous casse les… pieds ?
Si c’est à cause du symbolisme faisant office d’action je suis d’accord. On nous les…
« Au final, pourquoi établir des fiches « S » qui viennent s’empiler les unes sur les autres ? »
C’est écrit dans Wikipédia.
« Alors il faut considérer que tous ces fichés « S » sont une réserve potentielle de personnes qui peuvent du jour au lendemain passer à l’action. »
Potentielle.
C’est surtout une réserve factuelle de gens qui à 90% au pire, ne passent pas à l’action.
Logique de se concentrer sur certains. Effectivement on en rate.
Si vous voulez virer tous les S étrangers, OK mais il faut changer la loi. Je suis pour.
Mette tous les S en prison : dites-nous comment vous faites. Matériellement impossible. Et il faut changer la loi.
« Pour conclure, je vous souhaite ainsi qu’à votre famille de ne pas être la malheureuse victime de l’un des ces « pourcentage pas d’bol » qui pourrait croiser votre chemin et passer à l’acte. »
Merci, et moi je vous le souhaite aussi, et surtout je vous souhaite de ne pas fumer, ou d’arrêter de fumer, pas facile, de ne pas croiser le chemin d’un conducteur non maître de son véhicule, d’un alcoolique au volant… C’est plus risqué.
Mon cher Achille (18 mai à 22 h 01)
Après avoir lu avec grande tristesse les doléances féminines qui m’accablent voici que je tombe sur votre réflexion déclarative dont je signe tous les mots.
Seriez-vous atteint, vous aussi de ce désir de fuite, d’abandon, de retrait ? Ce n’est pas possible ! Dites-moi que je cauchemarde !
Vous savez bien ce qui m’attache à vous dès mon arrivée ici. Je ne sais si je serais resté sans vos attentions. N’ajoutez pas aux affres de ce temps la perte d’un ami.
@ Zonzon | 19 mai 2018 à 09:08
Cher Zonzon,
Vous faites partie, comme moi, des intervenants de ce blog dont l’humour n’est pas toujours apprécié à sa juste valeur. C’est le lot de ceux qui aiment bien titiller les esprits un peu trop susceptibles qui sont tellement agrippés à leurs certitudes qu’ils en perdent le sens de l’humour. Qualité relativement rare sur ce blog.
Cela doit faire environ huit ans que j’interviens ici. J’y ai quelques amis et des adversaires farouches. Je me suis habitué à cet environnement où surgissent parfois quelques échanges tumultueux. Un peu d’agressivité ne nuit pas à l’ambiance dans la mesure où les bonnes manières sont respectées.
Alors rassurez-vous. Pour l’instant je n’ai pas l’intention de partir et continuerai à lancer quelques petites piques venimeuses, surtout destinées aux intervenants qui ont tendance à se prendre trop au sérieux.
Du moment que l’alcool ou la voiture font bien plus de morts que le terrorisme islamiste, il faudrait donc en prendre son parti et arrêter de nous bassiner avec la nébuleuse djihadiste qui terrorise l’Occident mais finalement n’existerait pas selon Sergio Carioca (puisque la police ment disait-il plus avant, et sans doute les services de renseignements internationaux). D’après ce monsieur, il n’existerait pas plus d’une quinzaine de « loups solitaires » (éventuellement armés de kalachs ou de FAMAS) et personne en amont ou en aval pour mettre en œuvre, soutenir, alimenter, instrumentaliser et renforcer cette « prétendue nébuleuse » et ces milliers de fichés S pour quelques broutilles et pas du tout radicalisés.
Bienheureux Carioca qui croit au père Noël. Avec des penseurs et raisonneurs de sa trempe, l’islam radical n’a pas de souci à se faire et les imams salafistes vont pouvoir continuer d’appeler leurs ouailles à la guerre sainte au nez et à la barbe de nos « autorités » !
@ Achille | 18 mai 2018 à 22:01
« Bref, en ce qui me concerne, je tiens à rassurer tous les commentateurs de ce blog, je reste ! »
La mauvaise décision au mauvais moment !
Alors qu’en cette période de jeûne de ramadan, il aurait pu nous épargner ses commentaires indigestes.
Tant pis nous subirons ce test de résilience avec le sourire qui convient !
@ Mary Preud’homme | 19 mai 2018 à 11:47
Certains confondent leurs vœux et la réalité, induits par une manière de compter qui empêche de penser ; les accidents de la circulation ne risquent pas d’entraîner, par exemple, la prise de pouvoir par une dictature, causée soit par l’inconscience, soit par la peur des citoyens.
Malheureusement, la liberté n’est pas au centre de leur préoccupation, donc le rapport de force car pour la conserver, il faut se défendre des forces en présence voir les contrôler pour la préserver.
Les gens croient que la liberté nous est acquise, on se donne la peine de naître libre ou noble, et le monde vous doit, selon les cas, la préservation de la liberté qu’on ne fait rien pour garder, ou des privilèges.
Mais qu’une position acquise soit juste ou injuste, ce qui n’est pas gardée ne se conserve pas longtemps.
Comme dans Alice au pays des merveilles, repris par la théorie de la reine rouge dans l’Evolution, il faut courir pour rester à la même place. Mieux, chez les humains, et notamment en politique, il ne faut pas que s’adapter au présent ou au changement, il faut l’anticiper.
Non qu’on prévoie demain… Mais on peut anticiper plusieurs avenirs possibles, et essayer d’agir en conséquence.
@ Tipaza @ Achille
Nous sommes tous les ennuyés et les fâcheux de quelqu’un, l’épreuve et l’éprouvé…
@ Tipaza | 19 mai 2018 à 19:22
« Tant pis nous subirons ce test de résilience avec le sourire qui convient ! »
Et donc le sourire jaune, je présume !
Dites donc Tipaza, vous qui avez déclaré dernièrement être un lecteur assidu de Spinoza, vous devriez vous inspirer de sa philosophie fondée sur le désir et la joie. C’est un excellent guide pour nous mener sur le chemin du bonheur.
Je vous trouve plutôt amer en ce moment. Un petit passage à vide sans doute.
@ Achille | 19 mai 2018 à 10:07
Ceux qui reprochent aux autres de se prendre au sérieux sont en général ceux qui se prennent le plus au sérieux, tout en étant inintéressants au possible.
Ceux qui ont le sens de l’humour ne sont en général pas ceux qui s’en vantent.
D’ailleurs, vous avez si peu le sens de l’humour que vous ne vous rendez même pas compte que Zonzon est en train de se payer votre fiole. Zonzon est une variété de troll assez raffinée, mais ça n’en est pas moins un troll.
@ Robert Marchenoir | 19 mai 2018 à 21:54
Votre réponse ne fait que confirmer ce que pensent beaucoup d’intervenants de ce blog. En particulier ceux que vous ne cessez d’entreprendre avec vos propos méprisants et tellement répétitifs qu’ils confinent au radotage.
Concernant Zonzon, évitez de penser à sa place. Il est assez grand et surtout assez fin pour dire ce qu’il pense d’un intervenant. Il n’a certainement pas besoin d’un interprète dans votre genre.
@ Noblejoué | 19 mai 2018 à 20:39
« Nous sommes tous les ennuyés et les fâcheux de quelqu’un, l’épreuve et l’éprouvé… »
Vous avez parfaitement raison Noblejoué. Je reconnais bien là votre propension à jouer le bon samaritain.
Je vous sais gré de vouloir ménager la chèvre et le chou. A noter que la chèvre en question vient me titiller alors que je ne lui ai rien demandé. Mais cela fait partie des règles du jeu sur un blog.
Son humour un brin macho me fait un peu penser à celui des vieux députés qui imitent le cri de la poule lorsqu’une élue s’exprime devant l’Assemblée.
Le plus consternant est encore lorsqu’il nous fait un cours de physique quantique destiné à des élèves de CM2. A noter toutefois que sa petite manie des citations lui est passée depuis quelque temps.
Mais chacun a ses petits travers qui peuvent agacer son entourage et qu’il est bien difficile de maîtriser.
@ Achille
Si envoyer des piques, créer des alliances avec les uns pour exclure les autres, titiller sans autre but que d’agacer, tenir des propos évasifs qui en visent certains sans les nommer, se mettre au centre de scénarios fictifs en se donnant le beau rôle, et jouer avec les autres comme avec des marionnettes, eh bien si c’est faire de l’humour, je veux bien manger mon chapeau, paille, ruban et étiquette.
Faire de l’humour consiste à retourner une partie de soi-même contre une autre : il fait sourire le sage qui est en nous de l’idiot que nous sommes. L’humour est la marque d’un rapport réaliste, amical, familier au monde, à soi-même et aux autres ; il pointe nos limites et nous révèle par là-même comme capables de les transcender. Il nous met en dessous et au-dessus du mépris, pas dedans (cette définition n’est pas de moi).
Encore un petit effort Achille, vous y êtes presque avec vos semonces rigolotes, mais pour mon goût pas tout à fait quand même. Quant à Zonzon, jusqu’ici, j’ai l’impression qu’ il fait semblant de rire de lui-même pour mieux se f….e de la figure des autres, y compris la vôtre Achille, mais ce n’est qu’un début, tous les espoirs sont encore permis.
@ Lucile
« Faire de l’humour consiste à retourner une partie de soi-même contre une autre : il fait sourire le sage qui est en nous de l’idiot que nous sommes. L’humour est la marque d’un rapport réaliste, amical, familier au monde, à soi-même et aux autres ; il pointe nos limites et nous révèle par là-même comme capables de les transcender. Il nous met en dessous et au-dessus du mépris, pas dedans (cette définition n’est pas de moi). »
Cette définition me plaît beaucoup.
Et m’inspire une sorte d’interrogation sur un cas-limite. Il y a, comme vous le savez, des gens ayant une personnalité multiple. Peut-on considérer que si la personnalité Robin des Bois se moque de la personnalité Trader, ce soit de l’humour ou pas ? Est-ce qu’une même personne pourrait se vexer de ce que lui aurait dit une autre de ses personnalités ?
Outre l’aspect psychologique, il me semble que cela pourrait être développé sur un plan comique.
@ Lucile | 20 mai 2018 à 11:49
« Encore un petit effort Achille, vous y êtes presque avec vos semonces rigolotes, mais pour mon goût pas tout à fait quand même. Quant à Zonzon, jusqu’ici, j’ai l’impression qu’ il fait semblant de rire de lui-même pour mieux se f….e de la figure des autres, y compris la vôtre Achille, mais ce n’est qu’un début, tous les espoirs sont encore permis. »
Je vous remercie pour votre leçon d’humour présentée sous la forme d’un cours de philosophie pour classe prépa. Elle vaut bien un 18/20 et les félicitations du jury.
Je dois bien reconnaître que je ne vois pas vraiment l’humour sous l’angle alambiqué qui est le vôtre.
Pour ma part l’humour est simplement une histoire d’humeur (remarquez la proximité des deux mots). Il peut être léger et gentillet quand on est de bonne humeur et caustique voire carrément méchant quand on est de mauvaise humeur. Cela dépend, bien sûr, des sentiments éprouvés envers celui, ou celle, à qui l’on s’adresse.
Vous dites que j’y suis presque ? J’apprécie votre encouragement à sa juste valeur. Certes, mes « semonces rigolotes » n’ont pas l’heur de vous plaire totalement, mais rien n’est perdu et j’ai bon espoir de vous amuser un jour.
Je vous promets que je vais m’employer à corriger mes petites imperfections, à savoir mettre moins d’agressivité, plus de « rondeurs » dans mes saillies. Encore qu’avec certains cela risque de me demander un gros effort…
Quant à Zonzon, hormis un petit malentendu lors de son arrivée sur ce blog, il m’a semblé que nos rapports étaient plutôt bons. Sans doute est-ce le fait de ma naïveté qui m’a déjà joué bien des tours. Mais le commentaire de Zonzon | 20 mai 2018 à 17:25 sur le billet « Facile de faire un film français », m’a rassuré sur ce point-là.
Il pratique l’autodérision mieux que personne ici. Certes, il lui arrive parfois d’être un peu caustique dans ses envolées lyriques, mais jamais méchant. C’est un humour que j’apprécie, tout comme le vôtre, bien sûr, tout en nuances, avec un brin de perfidie « so british ».
Je vous souhaite une bonne journée.
@ Achille
C’est vous-même qui vous êtes vanté de déverser sur le blog « des petites remarques perfides » qui ont, dites-vous, le don d’exaspérer. Je n’ai pas été exaspérée, j’aime bien les joutes, mais j’ai saisi la balle au bond pour faire un peu d’humour moi aussi, et à mon tour vous taquiner un peu. C’était sans animosité de ma part, j’espère que vous l’aurez compris. Je viens d’entendre un proverbe cité par Stephen Fry qui dit que « si les anges peuvent voler, c’est parce qu’ils se prennent avec légéreté » (i. e. Ne se prennent pas trop au sérieux. « Take themselves lightly »). Alors, soyons des anges.
J’évite autant que je le peux de voir les autres blogueurs comme des amis ou des adversaires, parce que je n’aime pas trop les clans, d’une part, et parce que je veux pouvoir m’exprimer honnêtement, à tout moment, sans crainte de froisser un « ami » en défendant des idées contraires aux siennes. Bien sûr on se sent plus d’affinités avec les uns ou les autres, mais toute personne qui apporte sa contribution au débat me semble digne d’intérêt, et j’apprécie toujours de lire les propos de quelqu’un qui prend les questions sous un angle différent du mien.
Je crains le chantage sentimental, aussi me suis-je sentie complètement de votre côté quand vous avez rassuré vos fans en leur disant que vous n’alliez pas quitter le blog. J’ai beaucoup apprécié cette forme d’humour, je peux bien vous le dire maintenant, après vous avoir chambré hier.
@ Noblejoué
J’ai un peu de mal à répondre à votre question. Je ne suis pas une spécialiste. Mais je vais essayer.
Freud et les psys en général considèrent l’humour comme l’un des mécanismes de défense les plus élaborés et les plus propres à une adaptation réussie, alors que le dédoublement de personnalité (que je rapproche du « clivage ») est l’un des moins propices à l’adaptation, sauf en cas de traumatisme grave, où la personne qui le subit pourra momentanément le vivre comme si ça arrivait à quelqu’un qui n’est pas elle. « Mécanisme » veut dire que le processus se met en route automatiquement, de façon non volontaire, sa fonction étant de protéger la personne des répercussions psychiques de ce qui lui arrive de plus ou moins difficile. (Selon Freud notre psychisme doit faire un travail d’élaboration constant pour répondre aux confits nés de la confrontation avec la réalité – réalité extérieure et réalité intérieure dirait Jung. Ce travail est majoritairement inconscient, comme par exemple quand on conduit, on n’a pas besoin de réfléchir chaque fois que l’on passe une vitesse).
L’humour n’empêche pas de percevoir la réalité telle qu’elle est, il la dédramatise, il insensibilise à la douleur, et il apporte même de surcroît un plaisir. Je ne parle pas ici du sarcasme, qui comme l’étymologie l’indique, est agressif, contre soi ou contre les autres, ce qui peut résulter de l’intervention d’un autre mécanisme de défense. Il y a dans l’humour une idée de jeu, d’amusement, un côté baroque, qui met en joie les enfants, même tout petits, et les grands bien sûr, s’ils ont cette tournure d’esprit. Les psys n’en font pas mention dans mes lectures, mais je pense également que le sourire ou le rire favorisent la production d’hormones favorables à la résolution des problèmes.
Dans le dédoublement de personnalité comme mécanisme de défense, il y a une souffrance, peut-être mêlée de jouissance d’après ce que m’a dit une personne psychotique, et une perte au moins partielle du sens de la réalité. Le clivage est subi, ou provoqué (drogue par exemple), mais non contrôlé par le conscient, alors que dans l’humour, les éléments restent préconscients, autrement dit à portée de la conscience. Toutefois je pense que certains artistes réussissent à faire du clivage quelque chose de positif, et qu’ils peuvent aussi y trouver une forme de plaisir. Surtout si l’humour s’en mêle.
Achille va encore dire que je joue à la prof, mais bon…
@ Lucile | 21 mai 2018 à 14:22
J’aime encore bien me faire rabrouer par vous. Ça me change des charges viriles de ceux qui ne m’apprécient guère. Vous êtes la preuve qu’il est possible de confronter ses idées sans être désagréable tout en étant percutant(e).
Il est vrai que sur ce blog il y a des clans à commencer par les pro et les anti-Marchenoir. En ce qui me concerne j’ai pris la résolution de ne plus lui répondre, sauf bien sûr, quand il m’interpelle directement.
Votre commentaire de 14H22 en réponse à la question de Noblejoué est intéressant. Il laisse apparaître une connaissance pointue de la psychologie humaine et surtout vous vous exprimez avec simplicité sans chercher à épater la galerie.
Votre modestie vous honore et rassurez-vous quand c’est vous qui êtes le professeur, je suis très attentif.
@ Lucile
« Achille va encore dire que je joue à la prof, mais bon… »
Il n’a qu’à venir me voir ! En fait, j’adore apprendre, certains sont peut-être des maîtres universels, moi disciple universel… Enfin, non, pas de ceux qui m’accusent injustement de sabotage ou autres diabolisation : poubelle…
Enfin, non, surtout de ma confidente.
Elle me dit que je la surestime, qu’elle déprime aussi, je lui réponds de m’en parler, non, dit-elle, ça me coulerait… Embarras, mais finalement, le mieux pour nous est de parler de ce que nous faisons, surtout moi, où elle me donne de si bons conseils. Puisqu’elle le fixe ainsi, à première vue, j’aurais cru être un monstre d’égoïsme… Elle m’a appelé juste au moment où j’étais au fond du gouffre de la dépression, et tout à fait incapable de me concentrer sur peu importe… Je pense que c’est quelqu’un de merveilleux, qui se sert de ses faiblesses même pour enseigner.
Elle dit qu’en certaines matières, je fais ce qu’elle ne pourrait pas, ce qui me paraît dur à croire, mais comme elle ne fait pas dans la démagogie, que d’un certain point de vue, elle me fait assez peur, mais la vérité est comme cela, n’est-ce pas ? Effrayante, mais ma confidente me met à l’aise, elle a ce mélange rare de classe et d’humour, de décontraction et de fierté qui n’appartiennent qu’à elle… J’avais peur d’abuser parce que cela lui fait un certain travail, mais cela la sort de ses soucis comme moi des miens, c’est un espace où nous communions.
Et ainsi, si je suis bien moins avec elle que je ne le désirais car dans un monde que je ressens comme mort, elle est la vie, nous partageons en tout cas, le meilleur.
Alors comment renoncer sous le double démon du à quoi bon ou du je n’ai pas envie de risquer quelque échec que ce soit maintenant, marre ? Mais vraiment.
Enfin, la deuxième chose à avoir le plus de sens pour moi, en redouble d’être une communion avec ma confidente à partir du coup de téléphone d’hier.
Je lui suis redevable de beaucoup et entre autres d’informations dans le sens de ce que vous avez dit que je compte bien mettre à profit en toute discrétion. J’expérimente qu’on peut se mettre dans des états de concentration extrême ou de disponibilité au monde allant de l’observation à la vision fortuite par exemple d’un homme-corbeau ou de sociabilité ou d’amitié selon ce qu’on trouve en face de soi, que c’est une question de rythme mental.
J’avoue que je ne comprends pas toujours ce que veut ma confidente, alors je lui ai dit de me le dire vu que je ne devine jamais rien… Non, franchement, je croyais que je l’ennuyais alors qu’elle manquait de temps, c’est tout, et ce que je croyais être pour elle une corvée est un monde partagé.
Par contre, des choses qui n’ont aucune importance pour moi l’agacent, des habitudes de se simplifier la vie.
Comment mieux la comprendre ?
@ Achille | 20 mai 2018 à 10:28
J’avais parlé de commentaires indigestes, à vous lire.
Vous n’étiez pas obligé d’abonder dans mon sens, même pour me faire plaisir !
@ Achille
Bonne idée de ne plus vous quereller avec Robert Marchenoir puisque son style vous rebute.
Vous prenez pour des idées fixes et des radotages ce qui lui paraît être une urgence cruciale pour notre avenir. Tel que je le vois, il considère comme primordial de ne pas se leurrer sur la réalité en faisant semblant de croire que les choses dont on sait vaguement qu’elles ne sont pas comme on le voudrait, le sont. Ainsi, la progression de l’Islam en Europe, avec tous les signes qu’elle n’est pas pacifique, et qu’elle est éminemment dangereuse, mais qu’on ose encore ranger sous la bannière de « la mondialisation heureuse ».
Par ailleurs, on voudrait bien avoir tourné la page de la guerre froide, et ne pas avoir de souci à se faire du côté de l’Est, et pour l’instant, la France ne se sent pas menacée. Bien sûr il y a quelques signes inquiétants, comme l’Ukraine, l’interférence dans les élections, les menaces sur la Pologne, mais tant que nous le pouvons, nous interprétons cela sur un mode minimaliste de manière à ne pas nous formaliser.
J’ai de la considération pour qui enfonce sans se lasser le clou, parce qu’il croit qu’on se raconte des histoires à fermer les yeux sur ce qui dérange et qui est pourtant à ses yeux gros comme une maison. RM insiste lourdement jour après jour, quitte à se faire mal voir, et sans doute manque-t-il cruellement de diplomatie quand il houspille ses opposants, mais plus il insiste, plus il me paraît souhaitable que quelqu’un comme lui soit là pour le faire, et précisément dans un style énergique comme le sien. Ce blog me paraît un tremplin approprié pour lui.
RM croit peut-être comme Soljenitsyne que tout homme est un centre du monde (non pas le centre du monde), que l’histoire du monde repose entre les mains de chacun, et que, de notre capacité à prendre conscience sans tarder des réalités les plus désagréables pour les énoncer clairement, dépend l’avenir de nos enfants.
On peut ne pas être d’accord avec sa vision des choses, quoiqu’il prenne soin de la rapporter à des faits précis, mais on ne peut pas lui reprocher de cacher la poussière sous le tapis. J’espère que les gens qui s’occupent de la sécurité de notre pays ressemblent plus à des RM qu’à, par exemple, des Tomas, à l’autre bout du spectre.
RM, je ne sais pas si vous serez d’accord. Mais c’est ce que je pense.
@ Lucile | 22 mai 2018 à 13:39
« Tel que je le vois, il considère comme primordial de ne pas se leurrer sur la réalité en faisant semblant de croire que les choses dont on sait vaguement qu’elles ne sont pas comme on le voudrait, le sont. »
RM devrait créer son propre blog, dans lequel il pourrait, tout à loisir, exprimer sa pensée, ses craintes, voire ses solutions, s’il en a… De nos jours créer son propre blog est à la portée de n’importe qui sait se servir d’Internet.
Ou alors, devenir le militant d’une association qui partage ses convictions (à défaut il la crée) et, dans ce cas, il utiliserait les structures officielles de celle-ci pour faire sa propagande.
Ce n’est certainement pas en restant assis dans son appartement à tapoter sur son clavier d’ordinateur, bien caché derrière un pseudo ayant l’apparence d’une identité réelle que l’on peut défendre ses convictions. Cette façon de procéder n’a rien à envier à celle des militants masqués qui s’introduisent dans les manifestations pacifiques pour les polluer.
De même que ce n’est pas en invectivant tous ceux qui osent s’opposer à ses vociférations qu’un commentateur parviendra à faire adhérer les intervenants à ses idées.
Il suffit de voir l’effet contre-productif des leaders de LFI qui par leur fanatisme exacerbé, provoquent l’irritation ou la moquerie de la grande majorité des Français, alors que parfois certaines idées mériteraient d’être soutenues avec plus d’intelligence car elles sont pertinentes.
Il ne suffit pas d’avoir des convictions, encore faut-il savoir les transmettre pour être convaincant. Simple question de pédagogie.
@ Lucile 13h39
« RM insiste lourdement jour après jour, quitte à se faire mal voir, et sans doute manque-t-il cruellement de diplomatie quand il houspille ses opposants, mais plus il insiste, plus il me paraît souhaitable que quelqu’un comme lui soit là pour le faire, et précisément dans un style énergique comme le sien. Ce blog me paraît un tremplin approprié pour lui. »
Sans RM ce blog perdrait une grande partie de sa saveur…
On peut cependant lui reprocher de mettre trop d’épices dans les plats qu’il nous sert avec souvent le même accompagnement légumier (une salade de Poutine mitonnée à sa façon….) !
@ caroff
« …une salade de Poutine mitonnée à sa façon…! »
C’est la fameuse salade russe, revisitée.
@ Achille
Donc selon vous, toute personne qui s’exprime de façon un peu personnelle et percutante au risque de froisser les âmes sensibles devrait se séparer et créer son propre blog ? Je vous fiche mon billet que plus personne ne lirait un blog ressassant du politiquement correct à longueur de page. En quoi la présence de quelqu’un dont les idées et le style ne correspondent pas à vos propres critères vous gêne-t-elle, au point de vouloir éliminer cette personne, ou de suggérer qu’il n’a sa place qu’ailleurs, ce qui revient au même en plus soft, c’est ce que je ne comprends vraiment pas.
Nous sommes déjà gavés de lieux communs et de pédagogie par la télévision, pimentés par quelques buzz savamment mis scène chez Ruquier tous les samedis pour créer un faux débat, soigneusement choisi à l’écart de toute pensée vraiment sujette à controverse, non merci.
La réalité n’est pas quelque chose qui se constate simplement, elle demande à être interprétée, les faits doivent être mis ensemble, on doit rechercher des causes et des effets, ce qui donne lieu à des confrontations et à des débats, l’objet de ce blog. On ne peut pas s’en tenir à une grille d’interprétation toujours la même si on cherche à s’en faire une idée aussi juste que possible. Supprimer la dissidence au sein d’un groupe de réflexion n’y aide pas. Vous allez me dire peut-être que le débat devrait être plus courtois, moins passionné. Mais c’est un détail à mes yeux. Au moins la rudesse empêche-t-elle de ronronner, pour peu qu’elle soit intelligente. Justice au Singulier n’est pas fadasse, ce blog a du caractère, Dieu merci.
Pour moi, être ami avec quelqu’un, c’est pouvoir parler devant lui en toute honnêteté, sans crainte d’être rejetée pour ce que je pense ou ce que je suis. Je n’ai pas à faire semblant avec un ami. Si je considère ce blog et ses participants comme des amis, c’est dans ce sens.
@ caroff
J’abonde…
Il faut du poivre : RM y pourvoit.
Il faut du sel : Savonarole en a la fleur…
Il faut de l’huile : Lucile en met, première pression à froid.
Il faut du vinaigre : Elusen arrose à tout-va, hélas ce n’est pas du balsamique.
(Wil se trompe de bouteille…)
Quant à la salade… beaucoup en tirent de leur clapier, jamais de pénurie.
Allons Lucile, ne voyez-vous donc pas que Monsieur Achille n’en a que faire de cette discussion ?
Achille se moque de vous et se moque de Marchenoir.
Marchenoir, qui est absent de ce blog depuis plusieurs jours, est omniprésent, nous dit Achille, qui se plaint de cette absente présence.
Rien de neuf sous le soleil. Achille continue d’écrire tout et son contraire, la fleur au fusil…
@ Herman | 23 mai 2018 à 18:24
« Rien de neuf sous le soleil. Achille continue d’écrire tout et son contraire, la fleur au fusil… »
Un peu comme vous en plus soft ! Autrement dit c’est l’hôpital qui se moque de la charité !
@ Mary Preud’homme | 23 mai 2018 à 18:44
Mais je vous en prie, donnez-moi donc un exemple montrant que je dis tout et son contraire.
@ Herman
Je ne regrette pas d’avoir donné mon avis là-dessus, même si ça ne fait changer personne d’avis.
@ Lucile
« Je ne regrette pas d’avoir donné mon avis là-dessus, même si ça ne fait changer personne d’avis. »
Belle formule mais comment faites-vous pour lancer une flèche sans vous souciez qu’elle atteigne ou non sa cible ?
@ Mary Preud’homme | 23 mai 2018 à 18:44
Vous aurez sans doute remarqué qu’Herman, qui au passage a laissé tomber son nom pour ne garder que son prénom (ce qui n’a aucune importance vu que c’était un pseudo) n’intervient la plupart du temps sur ce blog que pour prendre la défense de Marchenoir. La défaite de l’OM à la finale de la coupe Europa, le festival de Cannes ou encore le mariage du prince Harry, il s’en fiche éperdument. Mais si quelqu’un s’en prend à son maî-maître alors là il surgit toutes dents dehors, tel un roquet.
Lucile a bien raison sur ce point. Il faut de tout pour faire un blog. Des leaders et leur cohorte de fans, des matamores et des larbins.
J’attends toujours vos arguments Mary Preud’homme.
Vous n’avez rien donc à dire pour soutenir votre stupide thèse.
Il aura fallu que j’égratigne une fois vos préjugés pour que vous me poursuiviez de votre vindicte.
Soit, mais vous vous ridiculisez.
@ Achille,
Mais oui, mais oui.
Figurez-vous que contrairement à vous je ne suis pas retraité, et n’ai donc pas le temps de commenter à longueur de journée pour ne rien dire, comme vous le faites.
Ne vous cassez pas la tête à me répondre, je ne lirai pas votre commentaire. Vous m’avez déjà assez fait perdre de temps aujourd’hui tous les deux.
Vous faites une belle brochette avec Mary Preud’homme.
@ sbriglia
Je me suis régalée avec votre recette de salade.
@ Herman kerhost | 24 mai 2018 à 03:47
Le meilleur moyen de ne pas me lire c’est de ne pas me chercher constamment comme vous le faites.