Flash-back sur une dissolution désinvolte…

Charles de Gaulle avait sauvé la France, son honneur, et lui avait donné une nouvelle République toute neuve. Emmanuel Macron l’a « désauvée » par sa dissolution et nous la rend en donnant à Mélenchon l’opportunité de nous construire sa VIe République. Macron fait du Charles de Gaulle à l’envers !
On en revient au : génie ou insensé ? Pour l’insensé on peut maintenant en être sûr ! Pour le génie il nous faut attendre le 7 juillet…

Un président transgressif !
Il y a longtemps que tous ceux qui s’intéressent à la politique s’en étaient aperçus, Jean-Pierre Winter ne fait qu’enfoncer une porte ouverte depuis le premier jour de l’élection d’Emmanuel Macron.
Un psy italien avait fait un diagnostic plus sévère, parlant de pervers, qui continue à tourner en boucle.
L’un comme l’autre n’ayant pas eu ledit président comme patient, je ne jugerai pas de la validité de leurs diagnostics respectifs.
Restons sur le transgressif qui est le plus simple et le plus direct, privé ou public. Je n’ai pas lu l’article cité.
Privé ou public, un comportement transgressif est un raccourci du parcours de vie pour atteindre plus rapidement un objectif que l’on pourrait plus difficilement atteindre, ou même pas du tout, en suivant le chemin traditionnel imposé par les règles de la société.
Et c’est là que la transgression macroniste atteint ses limites.
La stratégie, infantile disons-le, du « en même temps », ne permet pas la définition claire d’un but.
Gouverner c’est choisir, choisir c’est éliminer.
Or la transgression n’élimine pas, elle contourne l’obstacle, comme le fait un raccourci.
Le chemin qui n’est pas parcouru se rappelle immanquablement au transgresseur parce que l’obstacle non affronté, le chemin laissé derrière soi, doivent être parcourus ou vaincus, symboliquement et pratiquement, pour être dominés.
Le « en même temps » est une stratégie du temps court de la gestion instantanée, qui évidemment ne peut qu’échouer dans le temps long.
Et c’est ce qui apparaît au bout d’un septennat de pouvoir où la confusion des objectifs rend les projets invisibles, si tant est qu’ils existent hors la dissolution du pays dans une UE fédérale.
L’incapacité de choix et l’élimination par contournement des impedimenta, dans la stratégie du transgresseur du « en même temps », sont les écueils qui finiront par le faire échouer.
Le principe de réalité finit toujours par triompher, pour parler comme un psy.

« François Hollande reproche à Emmanuel Macron de « n’avoir pas tenu sa place » » (PB)
C’est le sort inexorable des présidents de la République que d’être critiqués en permanence au cours de leur mandat. Que ce soit par leurs adversaires, ce qui est normal, par une population influencée par les médias toujours à la recherche du buzz (taux d’audience oblige !) et par les réseaux sociaux, terriblement pernicieux.
Population influençable, toujours prête à jeter au feu ceux qu’elle avait adulés.
Même François Hollande qui a occupé la fonction, quitte à ne pas se représenter, vu les sondages désastreux qu’il avait obtenus en fin de mandat, y va de sa petite perfidie. Mais qu’à cela ne tienne. Il compte bien revenir sur le devant de la scène politique quitte pour cela faire un pacte avec le diable.
Nous n’allons pas tarder à voir ce dont sont capables ceux qui prétendent apporter au peuple la paix, le bonheur et un pouvoir d’achat à hauteur de leurs espérances.
À en croire les sondages, les Français sont prêts à tenter l’expérience. L’avenir nous dira s’ils avaient raison, Mais, personnellement, je crains qu’ils n’aillent au-devant d’une grande déception.

« Flash-back sur une dissolution désinvolte… » (PB)
C’est fait, c’est fait ! On ne va pas pleurnicher dessus. Au fond le Président en devançant bouscule le débat, fait tomber les masques provisoirement, et puis on verra comment cela se termine. Les JO au milieu c’est pas fait pour éclairer la vie des citoyens au milieu de tout ce chamboulement.
L’Obèse était bien fébrile hier, il dénonce Macron et sa légèreté, promettant que LR aura un programme à proposer… Quel programme, quel LR qui n’existe plus, et lui sans doute responsable en grande partie, il craint pour sa cantine ce prélat.
Allez, tout se surmonte !
Au fait Jordy n’est qu’un récitant, sorti de son engagement mécanique on sent bien son manque de flexibilité, aucune répartie opportune, laborieux sorti des chemins battus. Attal le hurdler et Faure malgré des positions difficiles à tenir l’un et l’autre, le mettent à chaque fois, d’une façon opportune, en difficulté, ils ont bien compris la méthode : « Précisez ! ».
Jordy Reculsurtout est sans doute porté par une vague inexorable, mais il va apprendre qu’il est loin d’être majoritaire.

J’apprends que Marine Le Pen aurait serré la main de Poutine et que toutes les smalas macroniennes islamogauchistes s’en seraient offusquées ?
Diantre fichtre sacrebleu godverdam ! Auraient-ils signé un accord secret ? Sommes-nous à la veille d’une grande déflagration nucléaire ? Le FN/ RN aurait-il besoin de sous pour sa campagne ?
Déjà qu’elle avait été invitée au « bal des nazis » à Vienne, souvenez-vous, ça avait secoué tout le gratin gauchiste de l’époque, un immense scandale bien organisé contre le FN : nazi, facho, le retour du Reich, les camps, les rafles, les heures sombres, etc. etc. !
Houlala cette poignée de mains poutino-lepeniste sent le soufre, encore une traîtrise trahison du RN, cette fois c’est clair !
Le RN qui sera au pouvoir dispensera de péage sur l’autoroute de l’est pour les blindés russes à destination de la porte de La Chapelle, caramba ! ça va encore aggraver le trou du déficit et de Félicie aussi.
Désolé les gauchisses anti-Le Pen, serrer la main de Poutine est bien plus honorable que se salir avec celles de Macron, pleines du sang des victimes de son épuration ethnique, des mains palucheuses qui sautent sur tout ce qui bouge et qui tripotent tout ce qui passe à ses côtés ; de préférence dans des endroits où jamais le soleil ne luit.

« Cette volonté permanente de surprendre est facilement vérifiable et a conduit Emmanuel Macron d’une part à fuir l’ordinaire au bénéfice de l’inattendu, jusqu’à l’incongru, et d’autre part à considérer que ce qui surgit de son esprit et de ses desseins les plus secrets est forcément frappé du sceau de l’exceptionnel. » (PB)
Exactement.
Mais si seulement cet exceptionnel allait dans le sens d’un bien voire d’un mieux pour la France et les Français, pourquoi pas, mais c’est tout le contraire, il prend ses décisions y compris les plus lourdes de conséquence et bricolées par une nuit sans lune dans son coin sans prévenir personne puis il place ensuite tout le monde devant le fait accompli de ce qu’il faut bien appeler au final des bêtises.
Pensons à la signature du pacte de Marrakech, pas si anodin qu’on voudrait nous le faire croire ou bien au parti pris aussi soudain qu’irréfléchi pour l’Ukraine, qui n’est pourtant en rien notre alliée, dans une affaire complexe qui aurait au contraire dû mettre en avant la politique étrangère de la France afin de proposer une mission traditionnelle de bons offices entre les belligérants.
Pour l’instant, avec ses provocations, il n’a réussi qu’à nous fâcher avec la Russie, comme si nous avions besoin de cela.

@ Robert Marchenoir, 28 juin 12:15
« Cependant, la psychanalyse elle-même est une escroquerie, quand elle se pratique en cabinet par des professionnels, auprès de patients qui la sollicitent. Alors, à distance, en public, par des amateurs, dans le but de nuire à l’intéressé et non de l’aider… n’en parlons pas. »
C’est pourtant ce que vous faites à longueur de commentaires « à distance » et dans l’anonymat pour clouer au pilori, discréditer et assigner à résidence (décrétée arbitrairement par vous) les contributeurs de ce blog qui n’adhèrent pas à vos points de vue et ont l’outrecuidance de vous contredire…

« Le psychanalyste Jean-Pierre Winter nous fournit une autre clé de ce comportement » (PB)
Ce psy est nul, il aurait dû écouter le psy italien !
« Ces dispositions psychologiques et cette légèreté constitutionnelle sont l’une des explications du climat actuel. »
Ah bon, vous croyez ? Et le reste est passé par pertes et profits ?
– Benalla
– les Antilles
– les fêtes de la musique
– ses erreurs diplomatiques dans tous les pays où il a mis les pieds
– son ambassadeur des LGBTQ monsieur Berthon extradé d’Afrique
– les 1 200 milliards de dettes supplémentaires que monsieur nous coûte depuis 2017
– la signature du pacte de Marrakech qui aura accentué l’invasion
– sa haine du peuple français et de la nation française
– la vente des fleurons industriels français
– « le traître et le néant »
Il n’y a aucune limite à la folie d’un psychopathe pervers narcissique !
Sortons de ce moment ridicule, élisez vos députés qui ne serviront à rien et faute de pouvoir supprimer le Sénat et de diminuer le nombre de députés à un seul par département… tentons de survivre comme le font un grand nombre d’entre nous.

« Flash-back sur une dissolution désinvolte », je dirais simplement : Flash-back sur une classe politique désinvolte… Supprimons Sciences Po et restreignons les prérogatives des énarques comme les pantouflages.

D’évidence, par son choix, monsieur Macron a joué avec le feu. Dans ses récentes interventions, il jette même de l’huile sur le feu qu’il lui-même allumé. Ce qui fait dire à Alain Bauer face à Apolline de Malherbe qu’il a déjà connu des pompiers pyromanes, mais que c’est la première fois qu’il voit « un pyromane pyromane » (https://rmc.bfmtv.com/replay-emissions/apolline-matin/l-invite-du-jour-alain-bauer-25-06_EN-202406250201.html ).
Quant aux recours sur le décret de dissolution, vous écrivez monsieur Bilger : « Le Conseil constitutionnel a été saisi d’un recours visant cette entorse à l’article 12 de la Constitution. Il a considéré qu’il n’avait pas compétence pour l’apprécier. »
Pour une information plus complète sur le fond juridique, il convient de lire sur le site Liberté, Libertés chéries l’article qui y est consacré (https://libertescheries.blogspot.com/2024/06/les-contentieux-de-la-dissolution.html).
Quant à l’article du psychanalyste Jean-Pierre Winter que l’on peut trouver en libre accès sur Causeur, il me semble ne pas apporter un éclairage décisif, mais quelques pistes de réflexion.
En tout état de cause, ce samedi, les électeurs seront appelés à réfléchir sur le bulletin qu’il mettront dimanche dans l’urne. Leur mobilisation sera très forte et donc permettra de connaître les vrais rapports de force entre les diverses tendances. Il paraît certain que le parti présidentiel devrait perdre environ la moitié de ses députés.
Quant à monsieur Macron, son pari reste, une fois le second tour passé, de tenter de constituer une majorité de gouvernement avec les députés de gauche, espérant qu’ils se désolidariseront de LFI, de son propre parti et les « bonnes volontés » de LR anti-Ciotti. Ce que seule une majorité relative point trop confortable du RN autoriserait.
Il reste cependant à savoir ce qu’il ferait en cas de majorité absolue du RN puisque, pour ne pas apparaître dans l’Histoire comme le premier président de la République française ayant mis « l’extrême droite » au pouvoir, donc d’endosser l’uniforme du maréchal von Hindenburg face à Hitler, il avait semblé exclure de désigner un Premier ministre dans ses rangs :
– l’y désigner lui permettrait de l’empêcher de gouverner, en lui refusant tout recours au référendum, en s’appuyant sur le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel pour défaire tous ses projets de lois ou les lois votées par cette majorité ; donc lui opposer une cohabitation si conflictuelle qu’il serait dévalorisé pour les prochaines échéances électorales ;
– ne pas l’y désigner supposerait qu’il compte sur des émeutes d’une telle ampleur (ce fameux risque de guerre civile qu’il a évoqué) qu’il se sentirait conduit à gouverner sous l’empire de l’article 16 de la Constitution et pour constituer un gouvernement prétendument technique…
Il ne nous reste donc qu’à observer les choix démocratiquement faits par le peuple français dans les isoloirs.

@ stephane | 28 juin 2024 à 15:30
Cela me paraît frappé au coin du bon sens ce que vous écrivez. Et celle du Perchoir elle en a gros sur la patate, surtout pour le bien-être mobilier et immobilier de ce poste doré sur tranche, pension de retraite, appartement et cuisine de haute intensité dirait un gradé, un peu comme Gégé au fond, ce sont des postes royaux dans la dynastie de notre pays.
Elle était amère, en l’écoutant, elle glissait qu’elle perdait un poste où elle avait bien travaillé pensait-elle…
Des bobos de gauche, pâtes aux truffes chères à DSK, ils adorent le caviar aussi, Barto le discret, humble, qui a travaillé lui aussi comme Braun-Pivet à qui on a enlevé la becquée au mauvais moment… La pauvre, et 12 000 000 de pauvres contemplent ces miséreux qui leur reprocheraient presque de mal voter.
« Claude Bartolone est un des socialistes qui se sont opposés le plus vivement à l’obligation de publication du patrimoine pour les ministres et les élus, instaurée en catastrophe par le gouvernement Ayrault, après l’affaire Cahuzac. Aucun rapport, certainement, entre cette position politique de Bartolone et l’obligation imposée à l’architecte de faire pauvre pour la façade.
Entre l’hypocrisie d’un Bartolone et l’obscénité d’un Cahuzac, quel comportement est le plus acceptable ? Dans une récente interview, et toujours dans le sillage de l’affaire Cahuzac, Emmanuel Todd lançait une de ses fracassantes todderies : « La notion d’austérité est véhiculée par des pourris ». Il établissait ainsi un lien entre convictions politiques et morale personnelle. On trouvait qu’il exagérait, qu’il avait fracassé la limite de la todderie. On dirait que chaque jour qui passe s’ingénie à lui donner raison. »
Allez, suivez le guide ! Les postes en or de notre République, et l’on s’étonne où l’on en est aujourd’hui avec Jordy Enmêmetemps:
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-le-915-darret-sur-images/20130517.RUE6311/patrimoine-sur-la-sublime-terrasse-de-claude-bartolone.html

Nous n’avons jamais eu autant de faqueniousistes que dans ce gouvernement.
J’ai entendu avec grand plaisir un spécialiste du Macron expliquer qu’il était un clone de Trump. Faqueniouzes, complots, reductio at moaoulechienlissme, c’est pas moi l’fautif, c’est les o’tes qui font rien qu’à vouloir piquer ma place…
Il fait pour lui, pas pour le pays. Pour son ego. Il aime l’extrême droite ce petit menteur, il copine depuis longtemps avec elle, « intellectuellement », en reprend les propos, les symboles, les mots d’excommunication.
L’extrême droite va se ramasser, ils ont beau essayer de se lisser, l’approche d’un impossible pouvoir, ils s’y voient déjà mais vont devoir s’acheter une paire de jumelles, fort heureusement, les débride. Le crétin et son affiche sur les enfants blancs, un abruti mononeuronal soutenu par des abrutis mononeuronaux. La parole devient ségrégationniste.
Les pseudos-raisonnables révèlent leur vrai visage.
Et ce n’est pas Kadyrov qui les a empêchés par ses merveilleux résultats de monter. Ou je n’ai pas bien suivi.

Match entaché par la présence d’un pétitioniste anti-RN qu’il faudra dissoudre.

@ Axelle D | 28 juin 2024 à 13:14 (@ Robert Marchenoir, 28 juin 12:15)
« Cependant, la psychanalyse elle-même est une escroquerie, quand elle se pratique en cabinet par des professionnels, auprès de patients qui la sollicitent. Alors, à distance, en public, par des amateurs, dans le but de nuire à l’intéressé et non de l’aider… n’en parlons pas. » (RM)
« C’est pourtant ce que vous faites à longueur de commentaires ‘à distance’ et dans l’anonymat pour clouer au pilori, discréditer et assigner à résidence (décrétée arbitrairement par vous) les contributeurs de ce blog qui n’adhèrent pas à vos points de vue et ont l’outrecuidance de vous contredire… » (Axelle D)
Encore une tentative d’intimidation idiote, et vouée à l’échec, du chien de garde gaullo-communiste de ce blog. Si je suivais votre injonction, il me serait interdit d’exprimer mon désaccord face à des commentaires que vous approuvez.
Ça se passe peut-être comme ça dans votre paradis fasciste rêvé, mais dans la vraie vie, vous êtes impuissante. Pourquoi insistez-vous, aboiement après aboiement, pour manifester votre incurie ?
Serait-ce dû au fait que je viens de torpiller, une fois de plus, votre idole le général de Gaulle ?
Je n’invoque jamais la psychanalyse à l’encontre de mes adversaires. J’invoque la politique. Vous n’êtes pas capable de percevoir la différence ?
Si j’invoquais la psychanalyse, j’aurais parlé à Patrice Charoulet de son « complexe de castration », je l’aurais accusé de vouloir coucher avec sa mère, et autres idioties promues par les charlatans qui caractérisent cette discipline.
Je parle d’assistanat, de dépense publique, de liberté. Ça n’a rien à voir.
D’autre part, analyser les caractères, faire de la psychologie, remarquer, par exemple, que les soi-disant « anti-racistes » les plus agressifs et les plus haineux sur ce blog ont des liens familiaux avec des races allogènes, ce n’est pas avoir recours à la psychanalyse ; c’est faire des remarques de bon sens relatives à la nature humaine.
Les psychanalystes, eux, ceux par exemple qui sont interrogés par Le Point pour partager leur prétendue expertise sur la personnalité du Président, ils ont leur petit business à promouvoir. Avoir son nom dans le journal est un puissant moyen de publicité.
Suite à quoi, les gogos disent : oooh ! le monsieur il est un expert ! quand il dit que Macron est un c…, il a raison !
Vous noterez qu’à ce jour, les gogos en question n’ont toujours pas appris le nom de leur gourou : il reste, pour toujours, l’anonyme « psychiatre italien ». Non seulement ils sont incapables de se souvenir de son nom, mais ils sont incapables de se renseigner sur lui, et de remarquer qu’il s’agit, en fait, d’un psychiatre communiste italien. Léger détail.
Comme si « les psychiatres », ou « les psychanalystes », avaient tous le même avis. Si vous aviez lu un peu les différents articles consacrés par Le Point à ce sujet, vous auriez relevé qu’au moins l’un d’entre eux récuse la prétendue explication psychanalytique reproduite jusqu’à l’écoeurement par tous les cuistres de blog. Le psychiatre Patrick Lemoine affirme : « Pour ce qui est d’Emmanuel Macron, je ne crois pas beaucoup à l’idée d’un passage à l’acte mû par une blessure narcissique. »
Pour préciser ma pensée, je ne considère pas que Philippe Bilger fasse de la psychanalyse aux dépens de ses sujets d’étude. Il fait de l’analyse de caractères, de la psychologie. Une pratique littéraire et une discipline scientifique qui sont toutes deux légitimes, contrairement à la psychanalyse qui est une escroquerie.
Jean-Pierre Winter, lui, le psychanalyste interrogé dans l’article indiqué par notre hôte, partage des traits de génie tels que : « [Quand Macron dit ‘dissolution’], le psychanalyste que je suis entend ‘dix solutions’. »
Du mauvais almanach Vermot à cent euros de l’heure pendant dix ans. Moi aussi, je veux être psychanalyste quand je serai grand.

Macron a annoncé le décret de dissolution et avancé plusieurs arguments dont celui du maître du temps.
Qu’est-ce qui est plus intemporel que le temps ? Une réponse plausible est que le changement est la seule chose qui ne change pas au cours du temps. Il y aura toujours un petit malin, plus jeune, plus frais, pour modifier les méthodes, habitudes, mesures. Cette règle ne changera jamais.
Désinvolte en apparence ; cerveau en ébullition en profondeur pour révolutionner en permanence.

Achille me fait penser à une chose avec sa grève des fonctionnaires.
Beaucoup soutenaient les anciennes, soit pensant qu’elles défendaient le service public, soit se disant que chacun a le droit de faire grève pour défendre ses intérêts. Mais aller contre un éventuel vote des Français pourrait ne pas passer.
Un gouvernement habile pourrait en profiter pour ne pas remplacer certains départs et confier certaines missions au privé, pourvu de garantir une qualité au moins égale, et un coût moindre que précédemment.
Soit c’est impossible, et le gouvernement verra que l’on ne peut se passer des fonctionnaires, soit c’est possible, et les fonctionnaires verront qu’on peut se passer de certains d’entre eux.
Même un échec, vite pallié et reconnu, du gouvernement contre-attaquant serait sans doute pardonné par le peuple, qui ne méconnaît à personne le droit de légitime défense.
Je pense, pour ma part, qu’il faut éviter les conflits autant que possible. Mais toute personne ou groupe peut tenter de prendre un ascendant qu’il n’aurait jamais eu en se servant des actions illégitimes de son opposant.
Si les syndicats sont si sûrs d’eux, enfin plutôt que le futur gouvernement commettra des abus, il n’a pas à le clamer, les gens n’aiment pas le triomphal on vous l’avait bien dit.
Mais à réfléchir aux moyens de les dénoncer au peuple, ultime arbitre. Là, il ne prennent pas vraiment la posture de lanceurs d’alerte, mais après le quatrième pouvoir des médias, jouent au cinquième pouvoir des syndicats. Je pense que tout cela vise à :
– Prouver sa supériorité morale et intellectuelle
– Défier – au risque de pousser, précisément, un nouveau gouvernement tout ébloui par son tout nouveau pouvoir, au défi, à la « faute » s’il s’agit véritablement d’abus
– Se rassurer… mais le faire doit-il jeter dans les périls énoncés plus haut ?

Le RN veut des restrictions à l’emploi de binationaux à des postes stratégiques et beaucoup ne sont pas d’accord.
Cela ne peut que conduire certains étudiants à travailler de plus en plus durement pour obtenir ce à quoi ils n’auront pas de droit d’accès. Un peu comme Sarkozy courant après Cécilia.
En tant que binational, il me semble censé qu’on ne puisse pas être capitaine d’un porte-avion ou d’un sous-marin nucléaire, ni même travailler dans un même sous-marin.
Dans les années 76, Raymond H. Lévy devait prendre la tête d’Elf Aquitaine. Ce ne fut pas possible en raison des liens avec l’Iran. Donc rien de nouveau.
Il existe toutefois des psychopathes partout, il n’y a qu’à voir Mélenchon, pour ce dernier il y a le barrage des élections. Il y a aussi des postes stratégiques confiés à des nationaux qui ne devraient pas être nommés. Thierry Breton a ainsi pu fourguer légalement ses actions Atos à 79 euros alors qu’elles valent actuellement 80 centimes.
Apprendre l’arabe dès le cours préparatoire. Merci à ce député RN de l’avoir rappelé. À moins que ce ne soit pour que les jeunes Français puissent dès leur plus jeune âge se convertir à l’islam, leur donner le choix, les responsabilités dès leur plus jeune âge.
Aux entretiens d’embauche on pourrait leur demander « Alors vous parlez deux langues étrangères ? » « Oui, l’anglais et l’arabe » « Eh bien allez apprendre le français, ça vous fera trois langues ».
Je soupçonne toutefois qu’il y a la présence volontaire de provocateurs au RN permettant à Marine Le Pen d’éteindre l’incendie si elle juge qu’il part faire des dégâts et de passer pour une sauveteuse et des valeurs et du parti.
Une stratégie du RN doublée d’une tactique sans faille. Ce serait du Didier Deschamps qu’on trouverait cela admirable. Belle performance depuis le débat de 2017. Si elle a donné une espérance au peuple, c’est que chacun est récupérable et qu’assez souvent (mais c’est connu depuis longtemps), les premiers seront les derniers et les derniers les premiers.

À la dissolution à l’emporte-pièce, répondons « Stop », c’est simple.
Le roitelet nous balade depuis sept ans au gré de toutes ses lubies et de tous ses caprices.
Selon le spécialiste de l’immigration espagnole, Ruben Pulido, le Maroc va envoyer en Europe des milliers de détenus. L’année dernière, le Maroc a gracié plus de 6 700 prisonniers et 27 000 ces cinq dernières années.
« Ils vident les prisons et les mettent dans des bateaux. »
Invasion migratoire de délinquants et de barbares, STOP ou encore !

@ Achille 28/06/24 23:15
« Et dire que tout serait bien plus simple si GA était maintenu à son poste. »
Mais voilà, c’était sans compter avec le fait du prince qui, lui, avec sa personnalité, son caractère, sa conception du pouvoir, ne voyait pas les choses sous cet angle ! Rien pourtant ne l’obligeait à prendre une telle décision, hâtive et solitaire, aussi lourde de conséquences pour le pays, et encore moins les circonstances politiques et géopolitiques actuelles mais aussi le moment choisi et les conditions de sa mise en œuvre précipitée.

@ Robert Marchenoir 29 juin 00:46
Insulter et calomnier les personnes qui ont eu la franchise de pointer vos erreurs ou vos contradictions n’est certes pas un signe d’intelligence et encore moins de grandeur d’âme.
Quant à votre remarque sur les races allogènes, même Moreau de Saint-Méry, historiographe de l’aberration dans les années 1780, n’avait pas pensé à utiliser cette combinaison stupide. En outre complètement impropre dans mon cas, puisque c’est moi qui étais visée.
On se demande par ailleurs combien vous paie le parti communiste, à en juger par votre zèle incessant à faire sa promotion et lui inventer des adeptes dans les sphères les plus éloignées du marxisme-léninisme, tant sur le plan de la pensée, des idées, que des engagements et actions multiples.
Quant à votre haine recuite du général de Gaulle, non seulement vos flèches empoisonnées ne sauraient porter préjudice à son mérite et à sa gloire, mais elles ne font que vous rabaisser plus bas que terre tout en le rehaussant, lui, encore davantage. D’où votre rage impuissante !
Allons, dites-nous plutôt combien vous touchez pour dénaturer, contrer et caricaturer systématiquement les propos des contributeurs de droite de ce blog, à moins que votre statut de franc-maçon embusqué, sinon de troll honteux, vous interdise de vous découvrir afin de mieux tromper les commentateurs intègres et de bonne foi qui viennent ici se livrer sans fard et en toute liberté.

Mais de quoi se plaint Emmanuel Macron ? C’est bien lui tout seul qui a jeté la grenade dégoupillée pour savoir comment ils vont s’en sortir ? Après avoir dissous l’AN et en mettant tous les partis au pas de course pour organiser les législatives en trois semaines ? Le gros malin Macron, toujours à vouloir écraser et à humilier les Français, ne se doutait pas que Marine Le Pen, Jordan Bardella et Éric Ciotti finiraient par le coincer.
Le cinéma est terminé. Emmanuel Macron pourra retourner au Louvre et faire sa parade en solo, cette fois en marche arrière, sous les lampions éteints…

@ Achille | 29 juin 2024 à 11:31
Vous ne pouvez vous en prendre qu’à votre chouchou Macron d’avoir dégoupillé la grenade qui n’a fait qu’un aller-retour pour se prendre un coup dans les jambes. Les Français décideront de l’avenir, si « Renaissance » ne doit pas retourner dans sa couveuse.

@ Axelle D | 29 juin 2024 à 11:51
Il se confirme que vous êtes complètement folle.
Je vous confirme que je suis payé un million de dollars par jour par le parti communiste pour dire du mal du communisme, et que je suis grand maître de la grande loge de machin-chose trucmuche.
Taisez-vous donc cinq minutes, et laissez parler les grandes personnes si tout ce que dont vous êtes capable est d’insulter tout le monde pour saboter des discussions sérieuses qui vous échappent.
Et allez voir un psychiatre, aussi. Pas un psychanalyste. À défaut, essayez l’alcool. Ça peut aider.

« Le psychanalyste Jean-Pierre Winter nous fournit une autre clé de ce comportement, qui relève de la seule personnalité et responsabilité du président de la République. » (PB)
Il est manifeste que le comportement pour le moins imprévisible et déroutant de M. Macron en a déconcerté plus d’un, que ce soit en France ou dans les chancelleries étrangères.
Les intervenants les plus anciens se souviennent qu’avant même l’élection de 2017 une vidéo virale due à un psychiatre italien avait évoqué la dangerosité selon lui du caractère de M. Macron, mais à chacun d’en juger. S’il faut reconnaître que ce genre de diagnostic public à distance pose quelques problèmes d’éthique quand il s’agit de personnes privées, peut-il vraiment en aller de même dans le cas de chefs d’État ou autres décideurs chargés de lourdes responsabilités ? Pensons par exemple au vieillissement cérébral de l’actuel président des États-Unis qui inquiète ses propre partisans.
Donc, ne devrions-nous pas envisager, à l’instar de la candidature à d’autres fonctions chargées de responsabilités comme celle de pilote de ligne, de soumettre les postulants à des fonctions politiques à des tests psychiatriques et médicaux avant de les déclarer éligibles ou susceptibles de pouvoir être nommés à un poste ?
Cependant, il existe un obstacle de taille à cela : au vu de la longue liste de personnages discutables qui se sont succédé en haut lieu de 1789 à nos jours en dépit de quelques exceptions, la République risquerait de manquer de cadres irréprochables sur ce plan…

Marche des fiertés que je qualifie personnellement «  marches de la honte » : plusieurs dizaines de milliers de personnes attendues ce samedi à Paris.
La Pride qui se tient cette année dans le contexte de menace de l’extrême droite aux législatives, aura pour mot d’ordre la lutte contre la transphobie. Ben voyons !
Petit rappel : une manifestation anti-RN et ses dizaines de millions d’électeurs est une atteinte à la convention des Droits de l’Homme.
Article 19 :
« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
La convention des LGBT, celle des « doigts dans l’homme », a dû être écrite dans le noir depuis un endroit où jamais le soleil ne luit et où aucun poil jamais ne repousse pour cause de surfréquentation.

Macron est bien seul désormais mais nous l’avons bien aidé, nous tous, citoyens français, peuple français, à être seul.
Il a joué au roi sacré, et nous lui avons, très fidèlement, donné la réplique.
Oubliée la Constitution de la République, oubliée la monarchie de droit divin, oublié le sens des mots et des institutions, nous nous comportons comme une tribu primitive, renouant avec des émotions et des comportements venus du fond des âges.
Le destin d’un roi sacré est d’être sacrifié par la tribu unanime.
Le roi le sait, la tribu le sait, mais pas aussi clairement que cela bien sûr, dans une sorte de méconnaissance indispensable à la bonne marche des choses.
Le roi sacré est vénéré, il est tout-puissant, et puis, quand la crise survient, la foule se retourne contre lui, l’accuse du pire, et voit son salut dans l’élimination du coupable.
Nous en sommes là.
Il y a du suicidaire/sacrificiel dans cette dissolution consistant à appeler le peuple à voter contre son propre vote.
Retrouverons-nous nos esprits ?
Un gouvernement d’union nationale est-il envisageable ?

Alea jacta est !
Le sort en est jeté comme disait l’autre.
On aura peut-être, ce dimanche soir, la clé de l’énigme de cette dissolution imprévue.
Impressionnante pour les uns, incompréhensible pour les autres, coup de poker pour tous enfin.
Mais coup de poker sur lequel le joueur n’a rien risqué, il s’est contenté de risquer la vie des autres, carrière politique, vie professionnelle, vie brève de ceux qui lui avaient fait confiance en en profitant un peu, puisque vie privée et professionnelle s’entremêlent souvent.
Mais Lui, le grand Jupiter sur son Olympe élyséen, qu’a-t-il risqué de fondamental ?
Rien, il a bien précisé qu’il continuerait comme avant, à faire en sorte que ses volontés, qu’il appelle pompeusement les valeurs de la République, ne soient pas bousculées fondamentalement.
Dans un assaut contre une citadelle, il y a deux sortes de chefs :
Ceux qui disent : « En avant », ceux-là ne risquent pas grand-chose, protégés qu’ils sont par la cohorte des fantassins qui les précèdent.
Et ceux qui disent : « Suivez-moi »; ceux-là prennent des risques et sont conscients de ce qu’ils demandent à leurs troupes.
Le premier mouvement politique fondé par Emmanuel Macron s’appelait : « En marche ».
La formule a à peine changée, mais on aurait pu prévoir ce « en avant » avec lequel il a poussé ses troupes au désastre annoncé.
La vraie formule, la seule digne, aurait été de démissionner et « en même temps » de dissoudre l’Assemblée.
Pour une fois le « en même temps » aurait eu un sens.
Il aurait permis de faire un reset, comme on dit.
Élection du nouveau, ou pas, président, et de la nouvelle Assemblée en suivant.
Une vraie remise à zéro du système pour recommencer sur un nouveau projet associant volonté présidentielle et volonté populaire s’exprimant par la représentation nationale.

@ Michel Deluré | 29 juin 2024 à 11:16
« Rien pourtant ne l’obligeait à prendre une telle décision, hâtive et solitaire, aussi lourde de conséquences pour le pays, et encore moins les circonstances politiques et géopolitiques actuelles mais aussi le moment choisi et les conditions de sa mise en œuvre précipitée. »
Peut-être qu’Emmanuel Macron a fait une grosse bêtise. Peut-être aurait-il dû attendre que se déroulent les J.O. et même aussi (et surtout) le verdict du procès de Marine Le Pen pour soupçons de détournement de fonds européens qui doit se dérouler le 30 septembre prochain et qui peut changer bien des choses.
Mais le mal est fait. À noter que Jacques Chirac avait fait la même erreur en 1997, ce qui lui a coûté une cohabitation de cinq années avec Lionel Jospin. Encore que celle-ci s’était plutôt bien passée et la France n’a pas eu à en souffrir.
Mais la situation actuelle n’est pas du tout la même. On s’oriente véritablement vers un changement de société, avec une confrontation sans concessions entre l’extrême gauche et le Rassemblement National. Ça craint un max !
Emmanuel Macron est mal aimé, « peut-être comme aucun avant lui », nous dit notre hôte.
Pourtant si l’on en croit les arguments de la revue économique Challenges qui est plutôt sérieuse, « Au cours de sa présidence, Emmanuel Macron a déployé des efforts pour faire de la France une économie moderne et favorable aux entreprises. » (sic)
Un président n’est pas élu pour être aimé, mais pour diriger le pays et parfois prendre des décisions pas forcément populaires. C’est au vu des résultats obtenus que l’on juge s’il est un bon président ou non, certainement pas à partir des états d’âme de ses détracteurs…

NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON, NON ET NON, ne venez pas nous dire que si le lepénisme, pour la première fois, dans notre histoire, entre à Matignon, c’est de la faute du président Macron.
Les seuls responsables sont les électeurs français qui, dans un isoloir, sans que personne ne les force à le faire, vont glisser dans l’urne un bulletin RN. Quels que soient leurs raisons, leurs prétextes, leurs allégations, leurs illusions, leur ignorance, leur inconscience.
Ne les rejoignez pas !

@ Patrice Charoulet
Bravo, votre intervention est la voix du bon sens. Sinon, à quoi servirait le secret de l’isoloir ?

Vide d’un autre sens que l’exclusion, la belle Hélène sans arguments.
Comme son beau Jordan qui, on l’a remarqué, a repris les « Ben voyons » de celui qui est retourné au trou dont il n’aurait jamais dû sortir.
Ils ne savent vraiment pas ce qu’ils font…

@ Patrice Charoulet
SI SI SI. La liberté de voter nous appartient ! Emmanuel Macron est le responsable N° 1.
Ça va vous faire réfléchir. C’est unique. En l’écoutant vous n’allez pas vous ennuyer.
Agréable soirée !
https://www.youtube.com/watch?v=RjCgd8MmMP4

GÉNIE (lui) ? ou INSENSÉS (ses électeurs ) ?
C’est de notre grand séducteur dont il s’agit !
« Il se voit déjà … premier ministrreee… »
Priez mécréants de France !
Commençons par la fin :
(Avec l’aide de Wikipédia à laquelle je participe 25 € tous les ans)
Jordan Bardella naît le 13 septembre 1995 à Drancy, en Seine-Saint-Denis.
D’abord en couple avec Kelly Betesh (Une, vers 2015), il entretient en 2017-2018 une relation avec Kerridwen Chatillon, issue de l’univers du GUD et fille de Frédéric Chatillon (Deux). Il est en couple avec Nolwenn Olivier de 2020 à 2024. Elle est la fille de Marie-Caroline Le Pen, sœur aînée de Marine Le Pen, et de Philippe Olivier. (Trois) On lui reproche d’être favorisé au sein du Rassemblement national en raison de sa proximité avec la famille Le Pen.
On se demande pourquoi ?
Résumons-nous, à partir de 2015 trois filles de famille et pas n’importe lesquelles, en neuf ans, commençant à 20 ans et supposant qu’il « dormait » chez elles ! Droit au but : Le Pen !
C’était plus facile que des études supérieures !
Moi à sa place, dans le sillage de Macron, j’aurais visé directement Marine elle-même, qu’importe l’âge pourvu qu’on ait l’ivresse (…du pouvoir) !
Coté fidélité c’est plutôt perdu ! Comme chez les Le Pen d’ailleurs !
Enfant unique, il est le fils d’un patron de PME spécialisée dans les distributeurs automatiques de boissons, Olivier Bardella, né en 1968 à Montreuil en Seine-Saint-Denis, d’origine italienne et franco-algérienne, et d’une agente territoriale spécialisée des écoles maternelles (ATSEM), Luisa Bertelli-Mota, née en 1962 à Turin, d’origine italienne. Il a les trois quarts de ses racines en Italie.
Il grandit avec sa mère dans une cité HLM de sa ville natale, en garde alternée les week-ends et les mercredis chez son père dans un quartier favorisé de Montmorency. Le Monde souligne combien Jordan Bardella a mis en avant rétrospectivement ses origines dionysiennes et les difficultés financières de sa mère, alors qu’il a en réalité bénéficié d’une jeunesse privilégiée grâce à son père (voiture Smart offerte par ce dernier, mise à disposition d’un appartement à Montmorency, voyage à Miami, etc.)
Il grandit dans une HLM n’ayant qu’une Smart à conduire et ne pouvant aller en vacances qu’à Miami, une ville de vacances pour émigrés (de Cuba pas de Montmorency)
Bien sûr que nous devons le plaindre, son père aurait pu lui payer une Alfa Romeo ! Non ?
Par ailleurs seulement les trois quarts des racines de sa famille en Italie, c’est rageant quand on se veut être un Mussolini !
Jordan Bardella effectue ses études secondaires au lycée privé Jean-Baptiste-de-La-Salle, à Saint-Denis, donnant des cours de français à des migrants dans le cadre de l’association Alfaccueil. Il obtient un baccalauréat économique et social avec la mention très bien.
Il échoue au concours d’entrée de l’Institut d’études politiques de Paris et étudie alors la géographie à l’université Paris-IV Sorbonne. ll arrête rapidement ses études sans obtenir de diplôme et se consacre à la politique.
Bac économique et social avec mention très bien ! Très bien… à nouveau !
Juste ce dont nous avons besoin pensant à notre dette nationale et aux Gilets jaunes !
Sauf que le bac vers 2015/2020, côté niveau, porte à penser au vieux certificat d’études !
Mais où sont Le Canard enchaîné et Mediapart d’antan ? On en regrette les magistrats du temps de Fillon qui eux savaient stopper une carrière politique !
Et pourtant c’est ça qu’on nous offre, une caricature, un pantin, un arriviste… bientôt un parvenu !
On se doit d’en rire pour éviter d’en pleurer !
N’ayant jamais voté pour les législatives je suis fier de dire que je ne le ferai pas demain bien que je vive maintenant en France, en Beauce même !
Choisir entre Bardella et Mélenchon ?
Bon je suis c** comme tout le monde mais moins que les autres !
La solution était l’abstention, massive, rendant cette consultation idiote !

@ stephane | 30 juin 2024 à 00:56
Votre côté courtisan, hypocrite et obséquieux est vraiment insupportable !

Personne d’autre que moi ne s’interroge ici sur l’opportunité de confier le pays à un psychopathe avéré du seul fait d’être marié à une femme de 25 ans son aînée et qui nous met des homos à la tête du gouvernement.
Dites, vous êtes tous des homos ou quoi ?

Quel « crétin » le prof !! Les Français voteraient sans tenir compte des actes de ceux qui sollicitent leur vote. Macron a donc tout fait bien, respecté la démocratie, les Français… c’est donc pour ça qu’il est détesté.
Il faut être aveugle pour penser comme ça.

@ Jérôme | 30 juin 2024 à 11:04
« Quel « crétin » le prof !! »
Mais non, simple déterminisme social.
Les profs entrent à l’école en maternelle, en sortent à l’âge de la retraite et passent l’essentiel de leur vie active dans la bulle de la salle des profs.
Il faut un esprit supérieur et un caractère bien trempé pour surmonter ce handicap ; comme pour les poissons volants, ce n’est pas la majorité du genre.

@ Axelle D | 29 juin 2024 à 21:11 + 29 juin 2024 à 16:54
« Touché, coulé, anéanti ! Ce pauvre Marchenoir ne va pas s’en remettre et ne sait plus où donner de l’insulte et la grossièreté depuis qu’il s’est fait ‘loger’ par une dame perspicace du blog ! »
Ah, d’accord… Votre but était donc de me « toucher », de me « couler », de « m’anéantir » et de me « loger » (jargon de flic). Et moi qui croyais que vous cherchiez à établir la vérité, à participer à un débat démocratique rationnel, à défendre vos opinions politiques par des moyens loyaux et légitimes, à rechercher le bien commun dans un dialogue respectueux d’autrui…
Quelle n’est pas ma déception ! De quels sommets ne dégringolez-vous point, où mes illusions vous avaient placée !
Vous n’êtes certainement pas une « dame », malgré vos vaniteuses, récurrentes et ridicules tentatives de vous présenter comme telle.
Vous venez de reconnaître votre véritable nature de harpie, harengère, hommasse, querelleuse, hargneuse, méprisante, vindicative, vulgaire, agressive, sortie du ruisseau. Bref, un troll infantile, manifestant un comportement qui serait honteux pour un enfant de douze ans. Ne parlons pas d’une personne de votre âge.
À moins que par « dame », vous n’entendiez quelque chose de beaucoup moins flatteur.
Vous venez de reconnaître que votre véritable but, ici, c’est de mettre le f…oir en agressant les commentateurs, puis en les insultant lorsqu’ils répliquent.
Ainsi que vous le faites depuis des années, ainsi que je l’ai démontré à d’innombrables reprises, brisant l’image vertueuse que vous tentez de donner de vous-même. Ce que votre prodigieux nombrilisme ne peut supporter, mais qu’il excite malgré tout tant et plus, car il faut absolument que l’on parle de vous, plutôt que du sujet traité par Philippe Bilger.
« Ils sont incapables de se renseigner sur lui, et de remarquer qu’il s’agit, en fait, d’un psychiatre communiste italien. Léger détail. » (Moi)
« Alors qu’Adriano Segatori est connu et s’est toujours revendiqué sans complexe comme un homme d’extrême droite. Quand je vous disais plus avant que Marchenoir faisait l’article pour les cocos comme un vulgaire camelot ! » (Vous)
Adriano Segatori est bel et bien un communiste. Je l’ai amplement démontré par le passé, sources à l’appui. Je ne vais pas recommencer, juste parce que vous mentez de façon péremptoire une fois de plus.
Le fait qu’il fraye aussi à l’extrême droite n’y change rien. C’est justement ce que vous refusez d’admettre, de même que vous refusez d’admettre que votre pseudo-gaullisme n’est autre qu’un communisme mal dissimulé.
Ce qui compte, ce sont les opinions des gens, leurs valeurs, leur comportement. Ce n’est pas l’étiquette qu’ils revendiquent.
Vous vous réclamez bien, vous, de « l’anti-racisme », alors que vos interventions montrent de façon évidente que vous êtes une raciste anti-blanche.
Vous nous avez déjà indiqué que vous niiez l’existence même d’un mouvement politique rouge-brun, alors que d’innombrables travaux d’historiens l’ont identifié.
Ce n’est pas étonnant : vous êtes une rouge-brune vous-même, et votre comportement de voyou, sur ce blog, constant et revendiqué, est un signe de plus que vous appartenez à ce courant.
Même si Segatori n’était pas communiste, le fait que je lui reproche de l’être n’est pas une défense du communisme : c’est le contraire. Votre perpétuelle propension à l’agression et à l’inversion accusatoire n’a d’égale que votre insondable stupidité.
Faut-il être bête, pour ne pas comprendre que lorsque je vous réponds que « je suis payé un million de dollars par jour par le parti communiste pour dire du mal du communisme, et que je suis grand maître de la grande loge de machin-chose trucmuche », c’est de l’humour, et que vous n’avez « logé » rien du tout, sinon votre immense volonté de nuire et votre prodigieuse sottise ?
Rappelons simplement une chose : le torrent d’insultes et de mépris que vous avez, une fois de plus, déclenché dans ma direction a, de votre propre aveu, un motif et un seul : j’ai osé écrire une réponse à un article de Philippe Bilger où je critiquais le gaullisme.
Sans la moindre allusion à quelque commentateur que ce soit, surtout pas vous, grands dieux ! pourquoi me serais-je référé à une telle insignifiance ?
Incapable de défendre le gaullisme avec des faits et des arguments, vous avez recours à l’insulte et à l’intimidation, montrant par là même (mais vous êtes trop bête pour vous en apercevoir) la malfaisance de cette doctrine qui est la vôtre.
Vous procédez ainsi à un terrorisme intellectuel typique des communistes. Vous tentez d’interdire le dialogue harmonieux avec l’auteur qui est, me semble-t-il, l’une des raisons d’être de ce blog.
Dès lors qu’un avis est contraire à votre fanatisme idéologique, vous faites tout pour saboter l’échange intellectuel qui vient de s’instaurer avec un autre que vous. Vous tentez de vous imposer par l’intimidation et par la peur. Vous vous comportez comme une racaille noire ou maghrébine.
Depuis dix ans que vous procédez ainsi, vos méprisables tentatives n’ont jamais réussi, mais ça ne fait rien : comme le scorpion de la fable, vous continuez à piquer, c’est votre nature.
Vraiment, vous n’avez pas peur de vous étouffer ainsi sous votre propre venin ? À force de cracher ainsi des jets d’acide ininterrompus, vos organes doivent être complètement détruits de l’intérieur.
Je ne comprends même pas que des comportements comme le vôtre soient tolérés. Vous n’avez même pas conscience du caractère profondément insultant de votre attitude – et je ne parle pas de moi.