Il ne suffit pas de savoir sans fard ni faux fuyants qui ensauvage la France (Mon billet du 11 août).
Il convient aussi de s’interroger sur le fait que des transgressions se multiplient qui semblent relever d’un autre registre qu’avant, avec des ressorts sans lien avec ceux de la délinquance ordinaire.
L’emploi de cet adjectif ne vise pas à sous-estimer la gravité des actes mais à les insérer dans une catégorie où peu ou prou une explication était possible, où les comportements, les violences et les malfaisances de toutes sortes pouvaient paraître inspirés par une cohérence, aussi perverse qu’elle soit, et ne pas surgir avec une totale imprévisibilité du for de certains.
Au risque de forcer le trait, je prends le risque de soutenir qu’il y a en effet une nouvelle délinquance dont les traits principaux sont la gratuité et l’imprévisibilité.
Même si, au fur et à mesure des infractions qui troublent la tranquillité publique en s’en prenant aux personnes et aux biens, des lignes de force peuvent être dégagées qui inscrivent cette délinquance nouvelle dans un schéma très lisible.
Le refus de toute autorité, la détestation de la moindre injonction même la plus bienveillante qui soit, l’inaptitude à toute relation civilisée, le recours immédiat et comme naturel à la violence, le triomphe dévastateur d’un individualisme se jugeant maître de tout, intolérant à n’importe quelle frustration, la décomposition de la société en mille petites unités au bord de l’explosion impulsive et y tombant sans une seconde de réflexion – parce qu’il faut bien accepter que le dénominateur commun à cette barbarie quotidienne soit la bêtise : ne jamais voir plus loin que son humeur vindicative et contrariée ! -, la recherche de prétextes pour libérer le pire porté en soi, la haine absolue de la contrainte étiquetée officielle avec le glissement irrésistible du haut du pouvoir vers le bas de la société, chacun se prenant pour le pouvoir suprême et aspirant à une table rase.
Ce n’est pas, pour prendre des exemples, le masque qui est incriminé mais celui qui ose l’exiger, la police ou la gendarmerie qui seraient blâmables mais le caractère insupportable de ces forces d’ordre et d’autorité qui se mêlent de nos débordements, les pompiers, qui ne font que du bien, sont dorénavant attaqués, on ne se contente plus de résister mais on prend les devants, on tend des guet-apens, on est passé d’une posture défensive à une conduite offensive : la France est livrée à des bandes ou à des individus dont la similitude, quels que soient les lieux de leurs méfaits, tient au mépris de qui prétendrait les contrôler, les régir, les gouverner, les appréhender.
Face à ce constat qui n’est pas récusable sauf à ne pas vouloir voir ce qui s’affiche et se développe, qu’on nous épargne de grâce les argumentations classiques.
Il y a moins de crimes et de délits que dans les anciens temps. Les amoureux de ces statistiques ne rassurent pas. Pour le citoyen d’aujourd’hui, ce qu’il endure n’est pas atténué par des considérations historiques et sociologiques : il est victime, c’est tout.
Ce sont les réseaux sociaux qui donnent l’impression que nous vivons dans l’insécurité. Je ne le crois pas une seconde. Ils ne créent pas les délits et les crimes : ils les diffusent, les exploitent peut-être, avec démagogie ou pertinence mais ils ne sont coupables de rien.
Lutter contre cette nouvelle délinquance impose un double rythme.
Celui profond d’une véritable révolution qui refondrait la société, les structures, les institutions, le savoir-vivre de fond en comble. À la longue, comme dirait Keynes, nous serons tous morts.
Celui immédiat, urgent et efficace, d’une politique digne de ce nom.
Du pain sur la planche d’une démocratie qui s’enorgueillirait de n’être pas une chiffe molle.
« Il y a moins de crimes et de délits que dans les anciens temps. Les amoureux de ces statistiques ne rassurent pas. »
@ Clovis : c’est mon côté Grincheux qui ressort dans ce qui suit.
Nouvelle délinquance, certes, mais l’avantage est que maintenant nous sommes au courant de ces crimes et délits, anciens comme nouveaux : combien, qui les commet et comment !
Il faut remettre en question les règles de notre société en fonction de cette évolution de l’information.
Il faut redéfinir la civilisation et aller déposer ceux qui ne l’acceptent pas là où ils peuvent vivre sans.
Vivre aux îles Kerguelen par exemple où ils auront l’opportunité de tabasser les manchots et nourrir les orques !
Nous voulons vivre dans une société laïque, société dans laquelle nous avons pourtant supprimé la peine de mort, admettons-le, sur la base des diktats d’une religion.
Réintégrons Dieu dans la constitution et gouvernons en son nom, sans oublier que Dieu n’a pas vraiment le coeur tendre, n’oublions pas ce qu’il a fait aux anges déchus dont Lucifer, le dieu des délinquants.
Oublions l’hypocrisie et les fonctionnaires, acceptons la réalité.
Prétendre que l’homme est basiquement bon est une triste illusion, il faut revenir un peu en arrière. Il faut aligner la peine sur le délit, en clair « oeil pour oeil… »
Nos écolos veulent revenir à la nature, revenons-y, mais totalement.
La nature est impitoyable, soyons impitoyables.
L’homme est un animal presque comme les autres, mais pas tout à fait, seulement plus cruel comme le prouve cette nouvelle délinquance !
Il doit être possible d’inventer des peines qui font mal, qui font peur, et surtout de les appliquer.
Ceux qui attaquent les pompiers, qu’on les utilise branches d’arbrisseaux à la main pour combattre les feux de forêts, chaînes aux pieds s’il le faut !
Ceux qui attaquent les chauffeurs de bus, utilisons-les pour déplacer et parquer les autobus au garage en les poussant à la main, ce qui économisera du fuel et réduira le émissions de CO2.
Le temps n’est plus où nous devons tendre l’autre joue !
PB toujours aussi onctueux et plein de langueurs et de rondeurs carrément ellipsoïde (oxymore justifié) pour ne pas froisser… qui… quelles minorités ou réseaux ?
Quelle phraséologie alambiquée qui arrive in fine a expliquer et démontrer une bonne justification presque rationnelle à des assassinats… des occupations de clusters (mot à la mode) et des trafics en tous genres par des envahisseurs qui ont table ouverte dans nos allocs et subventions en tout genre.
Ensauvagement… joli mot écologique à la Hulot… inventé au départ par le vieux schnock miraculé Jean-Pierre Chevènement de l’ère Jospin-Aubry… complètement détourné de sa bonne et belle destination… retour à la vie sauvage naturelle.
Nous sommes dans un contexte de pourrissement, d’envahissement et de conquête de notre pays par des envahisseurs sans pitié… merci Giscard-Chirac… Mythe-errant… Jospin… et même Sarkozy qui a privé la France de pouvoir virer dans leur pays d’origine les condamnés étrangers…
Et tout ça sous la vigilance d’un Erdogan qui a donné consigne aux fatmas turques de faire au moins trois enfants… avant un lâché de migrants aux portes de l’Europe.
Pour faciliter et promouvoir ce pourrissement, n’oublions pas le Conseil constitutionnel et ses vieux schnocks recasés hors sol… et aussi le Syndicat de la magistrature, cornaqué par la sémillante Emmanuelle Perreux du mur des cons qui veille à la douceur quand ce n’est pas à l’abandon des peines pour les pourrisseurs qui se font cueillir.
On attend avec impatience les gueulantes surtout les actes de EDM sur la pétaudière de la justice.
Seuls la smala Traoré et les rappeurs nègres qui vomissent sur la France et les femmes blanches de préférence ont un droit permanent à l’info, aux micros et caméras des médias complaisants et complices.
Pour l’instant le covid-19 semble leur avoir volé une partie de la vedette.
Il est impératif et urgent d’appeler un chat un chat et un Maghrébin ou un Noir criminel… un criminel d’origine maghrébine ou noire… ils méritent à juste titre leur identité racialiste qu’ils revendiquent sans complexe avec grand bruit et prosélytisme.
Les Gilets jaunes vont avoir du boulot s’ils ne se trompent pas de cible.
On pourra leur donner des idées de visites et travaux de nettoyage.
Le gamin en bras de chemise a-t-il conscience ou simplement connaissance de la situation ?
Marine Le Pen a un boulevard… surtout que la haute fonction publique inamovible se place déjà.
Il faudra bien gérer nos déficits, les allocs, les subventions et tenir les désespérés franchouillards en laisse.
Bonjour Monsieur Bilger
Dans votre post sur l’ensauvagement, le « qui » est très bien analysé.
Ce même « qui », quand il rentre au bled tous les ans pour les vacances, il est de notoriété publique que les choses se passent très bien avec les autorités locales, sous toutes leurs formes.
Je dirais donc qu’il n’y a pas, ici, de problème avec les autorités stricto sensu, mais tout simplement l’expression du racisme anti-blanc, anti-chrétien et anti-français, dont lesdites autorités sont pour « qui » les symboles et représentants visibles de la France.
Celui d’une révolution qui oserait porter le nom qu’on lui donne, et ne ferait plus du souci de la victime une radicalité pour mieux le paganiser, accédant à l’âge adulte de l’amour et du respect.
La vraie liberté s’appelle charité, laissons donc la vérole dévorer le bas-clergé, la vérité n’en restera pas moins la vérité.
Intéressante analyse, cher Philippe, qui s’efforce d’identifier la délinquance d’aujourd’hui, qui en décrit fort bien les symptômes mais qui reste très superficielle quant à l’analyse des causes : « parce qu’il faut bien accepter que le dénominateur commun à cette barbarie quotidienne soit la bêtise ». Attribuer à un phénomène nouveau, la délinquance moderne, une cause éternelle, la bêtise, me paraît un peu court.
Les causes sont évidemment multiples. Cette contestation systématique de l’autorité trouve son origine d’abord dans l’absence de repères. Il fut un temps où le christianisme d’un côté, le communisme de l’autre offraient une espérance, des valeurs, une morale, un cadre de discipline. L’affaiblissement de l’un, l’effondrement de l’autre ont laissé un vide abyssal que certains tentent de combler par le fanatisme.
À cela s’ajoute une cause plus prosaïque mais non moins essentielle selon moi : la persistance d’un chômage de masse, accompagné du développement de formes précaires du travail comme les contrats à durée déterminée, l’intérim, l’expansion du statut d’auto-entrepreneur (dévoyé de son intention initiale). Une partie importante de la population se trouve donc exclue du monde du travail ou reléguée dans la précarité. Or il n’est pas besoin d’avoir fait de longues études de sociologie pour comprendre que le travail avec l’éducation est la première forme d’intégration sociale.
À cela s’ajoutent des causes contingentes comme la Covid qui aggravent la situation de l’emploi et restreignent les libertés, sont génératrices d’angoisses et de tensions.
Voilà pourquoi je pense, cher Philippe, que le recours à davantage de non-tolérance aux « incivilités », davantage de répression ne résoudra pas à soi seul ces nouvelles formes de délinquance.
Vous soulignez à juste titre le caractère révolutionnaire de la délinquance immigrée. Il est fondamental. C’est pourquoi il est nécessaire de bien mesurer la profondeur de l’alliance entre la gauche, et cette délinquance.
La gauche, aussi, est révolutionnaire. La gauche est communiste ; c’est bien pourquoi j’emploie systématiquement ce terme, qui choque tant de gens ici sous ma plume. Le communisme est révolutionnaire. La révolution communiste marche la main dans la main avec la révolution immigrationniste, musulmane, « écologiste », « anti-raciste ».
Il est fondamental de comprendre le lien entre le communisme de grand-papa et ses avatars contemporains. Les Black Lives Matter, par exemple, sont un mouvement communiste. Le féminisme est communiste. Le politiquement correct, la « wokeness » sont communistes.
Les communistes d’aujourd’hui ne brandissent pas Le Capital et n’exigent pas la « propriété collective des moyens de production ». Ils ont des moyens plus efficaces.
À cet égard, je conseille la lecture de cet article de la revue libérale Quillette, expliquant le grand retour du marxisme au détriment du libéralisme et du conservatisme. Par marxisme, il faut entendre ce que j’appelle communisme. Par libéralisme, il faut entendre, en gros, le sens de ce mot en français (et non pas en anglais, où il signifie en général « de gauche »), bien que l’article décrive avant tout la réalité américaine. L’auteur prévient (à juste titre) que les tendances à l’œuvre aux États-Unis touchent l’ensemble de l’Occident.
Prêtez une attention toute particulière à la définition, par l’auteur, de l’essence du marxisme.
Le propos de l’article est simple : les libéraux se font constamment avoir par les marxistes, parce que le libéralisme produit le marxisme, par un mécanisme que je vous laisse découvrir. À l’heure actuelle, les libéraux, qui étaient maîtres du jeu il y a peu, sont refoulés dans l’opposition par les marxistes. La solution consiste à emprunter au conservatisme.
C’est la thèse que j’ai toujours soutenue : le libéralisme ne se conçoit que bien tempéré par le conservatisme. Cette combinaison s’oppose aussi bien au communisme (que l’auteur désigne sous le nom de marxisme), qu’au fascisme ou à leurs avatars : gaullisme revisité à la sauce contemporaine, boulangisme, gilet-jaunisme, populisme, complotisme…
Il faut mesurer à quel point le banditisme pur et simple fut important dans la révolution bolchevique. Aujourd’hui encore, nous souffrons, en France, de la délinquance soviétique. Les fameux « voleurs dans la loi », qui écument notre pays et l’Europe entière, sont issus, non pas de la Géorgie comme l’affirment les médias de façon réductrice, mais de l’URSS, du Goulag.
Les « voleurs dans la loi » témoignent de la profondeur de la culture délinquante en URSS, la culture de ceux qui ont fait de la prison pour des motifs de droit commun. La culture de ceux dont la prison est le signe de ralliement et le centre de leur vie. Culture anti-sociale que le poutinisme n’a pas fait disparaître, bien au contraire. La Russie en souffre encore, elle l’exporte dans notre direction, et cette mentalité délinquante se mêle à la mentalité délinquante des immigrés musulmans et africains.
Le poids des uns et des autres est sans commune mesure, mais ils contribuent au même résultat : une action corrosive, subversive et révolutionnaire.
« En France, une nouvelle délinquance ? »
Peut-on vraiment appeler ça une nouvelle délinquance dans la mesure où elle se manifeste régulièrement depuis des années sur les gradins des stades de football, ou encore sur les Champs-Elysées.
La victoire du PSG s’est traduite, encore une fois, par des débordements hystériques avec notamment l’attaque d’un fourgon de police de la part de ses supporters
Le football est le seul sport qui provoque un tel débordement de haine, allant à l’encontre de tous les principes de base de cette discipline. Désespérant !
Quelqu’un ici oserait dire que la Ceufran est une République ?
Quelqu’un oserait encore dire qu’il faut appliquer la loi ?
La République ne sert plus à rien, la République française est morte et enterrée.
Partout dans le pays se forment des minorités et communautés violentes qui font peur au pouvoir, toutes les lois chargées de maintenir un semblant d’ordre et de sécurité sont bafouées, la police est muselée, figée de trouille, la justice gauchiste relaxe et relâche en série tous les délinquants multirécidivistes qui peuplent les prisons à plus de 90 %, le reliquat, terroristes compris, court dans la nature.
Les élus, lâches pleutres soumis couchés collabos pensent à leur réélection et ne veulent prendre aucun risque.
Les associations gauchistes prennent fait et cause pour ces barbares impunis .
Les partis de gauche PS PCF LFI EELV ne disent mot, donc consentent à cette chienlit anarchique et se rendent complices de ces minorités dangereuses racistes anti-blancs racialistes indigénistes néofascistes ; en outre ils défilent sur les merdias pour nous accuser de racisme de faire le jeu du RHAINE.
L’extrême-gauchisme et l’islamisme gouvernent et dirigent le pays, le nier comme le font beaucoup d’intellos bobos de la gauche Booba Joffrin Zéribi, les journalopes orientés et tous ces élus gaugochons soumis collabos, c‘est participer à la destruction du pays et à la mort de la République.
Macron qui se débine devant ces bandes de racailles indigénistes racistes anti-blancs anti-France, va jouer les gros bras en Biélorussie, en Ukraine, au Proche-Orient, et aujourd’hui au Mali ; incapable de diriger son pays, il va faire le cador dans le monde entier.
Mais il faut reconnaître que c’est un sacré expert en islamogauchisme, il va faire venir des profs tunisiens pour enseigner la langue arabe, chapeau l’artiste !
Le Roi de la provoc, le Néron pyromane de la France. Bientôt sa Brigitte en burkini ?
« Celui profond d’une véritable révolution qui refondrait la société, les structures, les institutions, le savoir-vivre de fond en comble. À la longue, comme dirait Keynes, nous serons tous morts. » (PB)
Bonjour monsieur Philippe Bilger,
Il vous aura fallu du temps pour enfin reconnaître ce qui se passe mais pour dire qu’il nous faut une révolution qui refondrait la société.
Il y a peu de temps le mot révolution ou révolte était proscrit de votre blog… Aujourd’hui je peux écrire n’ayez pas peur révoltez-vous contre les zones de non droit, contre toutes les incivilités commises contre les policiers et pompiers, n’acceptez plus que vos parlementaires ne soient que des escrocs qui se moquent de la nation et réagissez contre ceux, Président et ministres, qui tiennent le pays entre leurs mains et le bradent, pourchassant les patriotes et relaxant les envahisseurs de leurs crimes et délits.
Stop aux envahisseurs, stop à notre disparition, vive la VIe République.
En France, une nouvelle délinquance ?
Encore un excellent billet de Philippe Bilger qui s’efforce de remonter aux racines du mal qui ronge notre pays.
Bien entendu, nous n’allons pas prétendre que les Français ont tous été dans les siècles précédents de petits saints, si François Villon a cru devoir composer sa Ballade des Pendus, c’est probablement qu’il aurait risqué de connaître ce sort, et si à une époque un bagne a été créé à Cayenne, c’est qu’il y avait des gens pas très recommandables qu’il aurait été imprudent de laisser côtoyer ceux qui ne transgressaient pas les lois.
Mais comment ne pas reconnaître que nous sommes actuellement exposés à une nouvelle forme de délinquance et même de criminalité dite « gratuite », par exemple quand il est possible de prendre un coup de couteau pour n’avoir pas voulu ou pu donner une cigarette à certains personnages ou « pour un mauvais regard » ?
Cela traduit simplement le fait qu’il y a des gens qui recherchent n’importe quel prétexte pour justifier un déchaînement de violence contre autrui, un peu comme le loup de la fable a reproché à l’agneau de boire un peu de l’eau coulant en aval du courant.
Ce genre de criminalité existait-il il y a seulement une cinquantaine d’années ?
Bien sûr que non, alors il faudrait tout de même cerner le profil des acteurs de cette criminalité-délinquance ainsi que leurs motivations.
Ce n’est pas, pour prendre des exemples, le masque qui est incriminé mais celui qui ose l’exiger, la police ou la gendarmerie qui seraient blâmables mais le caractère insupportable de ces forces d’ordre et d’autorité qui se mêlent de nos débordements, les pompiers, qui ne font que du bien, sont dorénavant attaqués…
En fait, il faut comprendre que, au-delà de la police et des pompiers, n’importe qui qui ose de nos jours faire une remarque, même sur un ton courtois, à certaines nouvelles catégories de la population est aussi susceptible de se faire agresser. Pensons par exemple à l’exemple récent d’une infirmière frappée dans un bus ou à un quidam demandant à des fumeurs de cesser leur pratique dans un transport en commun.
Mais pourrons-nous continuer longtemps de faire comme si les auteurs de ces violences n’étaient pas dans leur immense majorité des éléments d’origine étrangère qui haïssent la France à travers ceux qu’ils accusent de « faire leur Français » quand ces derniers se bornent à leur faire une remarque ?
Et s’ils ont tendance à se comporter en occupants ayant tous les droits en pays conquis, qui donc a bien pu leur ancrer cette idée dans le crâne ?
Révolution, oui ! mais révolution intellectuelle et spirituelle plus que révolution politique.
Redonnons aux mots leur sens !
Et d’abord à ceux qui constituent notre devise.
L’égalité est l’égalité, elle n’est pas l’égalité des chances. L’égalité des chances est une honteuse baliverne, une formule dénuée de sens, une arnaque de com’. Il ne saurait y avoir égalité des chances. Mais les hommes sont égaux car leur égalité a été solennellement déclarée en 1789.
La liberté est la liberté, elle n’est ni le libéralisme ni le libertinage qui ne sont, l’un comme l’autre, rien d’autre que des servitudes, rien d’autre que la licence laissée aux forts de dominer les faibles. La liberté est indissociable des lois, des règles, de leur respect, de la responsabilité.
Quant à la fraternité, elle est la fraternité, elle ne saurait se réduire ni à l’ingérence, ni à l’humanitaire.
Oui, c’est bien une révolution, ou une conversion plutôt, que nous devons entreprendre.
Que les mots, et d’abord ceux-ci, pris dans leur sens véritable, guident nos pas…
Depuis plus de vingt ans, nous avons tous observé le laxisme des parents.
Les enfants à qui on n’interdit rien : j’en ai vu, sous l’œil amusé de leur mère, se lancer des pommes dans un supermarché sans que personne ne dise rien, j’ai vu une gamine de quatre ans exiger de se mettre debout sur le comptoir d’une banque… sans que personne ne trouve à y redire….
À l’école, exit les leçons de morale qui étaient pourtant profitables… L’introduction des parents dans l’école a été une monstruosité totale, ils se sont mis à critiquer les enseignants devant leurs enfants. Ces derniers n’ont alors plus eu aucun respect pour leurs maîtres etc.
Voilà d’où vient tout le mal, et non d’une histoire d’immigration.
Vivement une école des parents OBLIGATOIRE, et vivement que ces derniers soient exclus de l’école.
Est ce que je vais voir et critiquer mon boulanger dans son fournil ?
Chacun à sa place et les vaches seront bien gardées.
@ Marc GHINSBERG
« À cela s’ajoute une cause plus prosaïque mais non moins essentielle selon moi : la persistance d’un chômage de masse… »
Et allez donc, c’est reparti, le chômage suffit à expliquer la délinquance et la criminalité…
Alors, veuillez nous expliquer pourquoi nombre de chômeurs n’ont sombré ni dans l’une ni dans l’autre ?
Pourquoi certains départements sont-ils plus criminogènes que d’autres pourtant plus économiquement défavorisés ?
Pourquoi des adolescents voire des pré-adolescents – qui n’ont donc pas l’âge de travailler ou d’être des chômeurs – sont-ils déjà entrés dans le cycle de la violence, alors qu’ils vivent généralement dans des familles assistées souvent comblées de biens de consommation ?
Et encore, je vous épargne la question de la violence dans les crèches, eh oui…
N’y a-t-il pas une autre raison que les prétendus sociologues refusent d’aborder ?
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@ Achille
« Peut-on vraiment appeler ça une nouvelle délinquance dans la mesure où elle se manifeste régulièrement depuis des années sur les gradins des stades de football, ou encore sur les Champs-Elysées. »
Eh bien, comme vous le remarquez vous-même, cette forme de délinquance cyclique liée aux rencontres footballistiques ponctuelles commence à dater et elle n’a pas beaucoup de rapport avec la délinquance-criminalité quotidienne d’origine étrangère du genre agressions gratuites anti-françaises, même si ces dernières peuvent aussi se retrouver à ces occasions « festives » à l’encontre des cibles habituelles (police, pompiers, Français lambda qui réagissent).
Bonjour Monsieur Bilger,
Espérant en avoir terminé avec mes problèmes d’informatique qui m’ont contraint au silence, je refais ici mon retour aux commentaires de votre billet du jour.
Vous faites un parfait constat de la situation dans votre sixième alinéa :
« Le refus de toute autorité, la détestation de la moindre injonction même la plus bienveillante qui soit, l’inaptitude à toute relation civilisée, le recours immédiat et comme naturel à la violence, le triomphe dévastateur d’un individualisme se jugeant maître de tout, intolérant à n’importe quelle frustration, la décomposition de la société en mille petites unités au bord de l’explosion impulsive et y tombant sans une seconde de réflexion – parce qu’il faut bien accepter que le dénominateur commun à cette barbarie quotidienne soit la bêtise : ne jamais voir plus loin que son humeur vindicative et contrariée ! -, la recherche de prétextes pour libérer le pire porté en soi, la haine absolue de la contrainte étiquetée officielle avec le glissement irrésistible du haut du pouvoir vers le bas de la société, chacun se prenant pour le pouvoir suprême et aspirant à une table rase. »
L’analyse me semble excellente et décrire parfaitement ce que tout observateur intellectuellement honnête constate avec vous. Mais vous vous limitez à la « bêtise » crasse qui caractérise en effet ce type de comportement.
Le problème de fond est bien l’absence d’éducation qui caractérise toute cette société, notamment sa jeunesse, en perte totale des références qui doivent guider la relation à l’autre dans une société civilisée.
La France actuelle, et vous en démontrez l’état, n’est effectivement plus civilisée, mais un ensemble ensauvagé comme vous l’avez très bien exprimé dans un billet précédent.
C’est donc l’absence de modèles offerts à la jeunesse, dont ont aussi été privés depuis des décennies nombre de nos concitoyens devenus adultes et théoriquement en charge de responsabilités dans la société, qui porte à présent ses fruits amers.
Outre la perte du sens de l’autorité, s’ajoute celle du sens de la responsabilité individuelle censée caractériser le citoyen. Dans cette société, collection d’individus autocentrés sur leurs petites personnes réclamant le respect pour elles-mêmes mais rejetant celui dû aux autres, ne règne plus qu’un système simplement anarchique qui ne connaît que la loi du commerce, les individus n’étant plus que des acheteurs potentiels.
De fait, les nations ayant été jetées aux orties sur l’autel de l’Europe et toute notion de patriotisme avec elles, les principes de l’Union européenne sont clairs : « l’Union offre à ses citoyens un espace de liberté, de sécurité et de justice sans frontières intérieures, et un marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée ». Il n’existe donc pas dans ce système la référence aux dispositions fondamentales de notre Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui eux sont le fondement d’une société réelle reposant sur un ensemble, non seulement de droits, mais surtout de devoirs.
Alors, Monsieur Bilger, nous en revenons à la nécessité d’une « révolution culturelle » qui impose d’autres références comme l’avait si bien réussi la III° République dans les années 1880 avec ses Hussards noirs de la République. Et ce n’est pas le système actuel de l’Éducation nationale qui sera capable de changer les choses puisque nos enfants connaissent le règne de « vacances apprenantes »…
Comment un ministre dit de l’Éducation nationale digne de ce nom peut-il utiliser une telle expression qui en réalité signifie en bon français que ce sont les vacances qui apprennent et non les élèves ? Tout comme nos technos de la santé qui osent généraliser l’expression « distanciation sociale », faisant un contresens total sur la signification de cette expression.
Qu’attendre de dirigeants qui sont dans une telle approximation intellectuelle ?
On ne peut donc qu’être pessimiste sur la capacité de redressement portée par nos fameuses « élites prétendument progressistes », dont notre président de la République est le représentant le plus emblématique !
Déjà, tout est dit, alors pleure, ô pays bien-aimé, peuplé de criminels contre l’humanité, barbelé de séraphins africains qui viennent nous faire entendre les sons mélodieux de l’invocation musulmane et les gestes onctueux des objecteurs d’inconscience.
Lire le livre de Loïc Finaz, vice-amiral qui, par des mots vides de sens pour une grande partie de la nation, courage, solidarité, sévérité, indulgence, et amour, fait le lien entre l’équipage d’un bâtiment de guerre et l’entreprise. Je ne sais pas si je vais l’offrir à mon petit-fils, étudiant, j’ai peur qu’il n’éclate de rire, ou n’ait une moue apitoyée.
Ce livre est titré « La liberté du commandement. »
« En France, une nouvelle délinquance ? »
Je ne sais si la délinquance est nouvelle mais à regarder les images de « liesse » hier après un match de foot (!) je dirais plutôt que ce n’est pas la délinquance qui est nouvelle mais ceux qui s’y adonnent…
Quand je pense que les quelques-uns ou unes qui oublient de mettre le masque imposé sur tirage au sort sont passibles d’une amende de 135 euros, je me dis que la tonte des moutons a dû être recommandée par un comité scientifique…
« …chacun se prenant pour le pouvoir suprême et aspirant à une table rase. »
C’est la faute des mouvements révolutionnaires. Ils ont voulu être calife à la place du calife, étendant la table rase comme le sable recouvre et érode les pierres de sorte que tout s’effrite et tombe dans la désolation de la poussière.
Ils ont prétendu amener un nouveau printemps, un monde paradisiaque et n’ont produit que médiocrité et enfer.
Ils se sont discrédités… Mais ils ont habitué les gens à cette sottise : attendre que la politique soit le bien commun et non le moindre mal commun. D’accord, on a toujours dit « le bien commun » mais il impliquait le possible et non l’impossible.
À présent, les gens attendent la perfection sans se donner le mal de la penser ou d’en préparer l’avènement.
Et comme le pouvoir n’est jamais parfait, toute représentation du pouvoir subit des petits coups de table rase alors qu’avant il y avait de grands mouvements pour quelque grands desseins de table rase.
Les grandes tables rases ont charrié des flots de sang et diminué les libertés, qu’on songe aux totalitarismes.
Elles n’ont rien fondé…
Les ajustements, ce qui ne prétend pas tout mettre à bas, ont au contraire fondé un monde nouveau au lieu de laisser des gravats.
Libérer femmes et esclaves n’est pas détruire notre civilisation mais accomplir sa vocation de liberté.
À présent, tout ce qui se met au niveau de l’Occident est en principe terre de liberté… Je dis en principe car si l’Occident a connu des régressions comme les camps, à plus forte raison, ce qui est à sa traîne, comme la Chine, peut produire de telles involutions. Néanmoins, il semble que le mouvement aille dans cette direction…
Il est bas de vouloir copier des disciples imparfaits par lassitude de la vertu ou démagogie face à une puissance montante comme les Chinois après avoir commis cette faute avec les Russes et encore plus bas de prendre en compte les musulmans tant qu’ils sont arriérés… Affreux ! Mais il est opportun de copier le meilleur des meilleurs du Japon et autres Corée du Sud.
Copier le meilleur de ses ancêtres, de ses voisins, donner à copier de soi le meilleur si on se trouve en position de modèle, copiant ou copié, chaque civilisation, peuple, religion, individu, doit perpétuellement être dans ce mouvement, toujours sans bassesse et sans arrogance.
« les pompiers, qui ne font que du bien, sont dorénavant attaqués »
Les nihilistes révolutionnaires ont détruit l’idée de bien. En disant qu’ils édifieraient un bien qui n’est pas venu, et en condamnant tout de notre monde, ils ont donné à penser que le monde était entièrement mauvais.
Il se peut donc que les casseurs de pompiers ne voient pas le bien pour cette raison.
Il peut y en avoir une autre à côté ou en plus selon les groupes ou individus…. Enfin, enfin, chez les gens qui ont des idées, partout, beaucoup de gens ne font qu’imiter sans se poser la moindre question.
Quelle est donc cette autre cause ? Eh bien, quand on vit en bande, la question du bien et du mal ne se pose pas, voir « La guerre des boutons » « Sa majesté des mouches » « West side story » et plus près de nous « Game of Thrones », presque personne ne songe au bien, tout le monde au pouvoir.
Parmi les destructeurs, plus pervers que les autres mais plus raffinés, il se pourrait que certains haïssent le bien, la plupart du temps par jalousie.
Il y a aussi la fascination du feu… Je pense qu’on n’aura jamais trop de feux d’artifice mais qu’il conviendrait aussi de faire des cérémonies du feu. On m’objectera le nazisme ? En vérité, je vous le dis, il est temps d’arracher le feu à l’enfer.
J’ai eu l’occasion de visiter le bagne de Saint-Laurent-du-Maroni en Guyane, fermé en 1946.
Les habitations des bagnards sont en encore en bon état et le travail ne manque pas aux alentours: pourquoi ne pas exporter les délinquants qui nous empoisonnent l’existence ?
Déjà, Claude Luçon (02h18) a suggéré que nous soyons « impitoyables » !
Chiche !
Exister parce qu’on n’est pas…
L’existence du non être se manifeste par le mal.
On parlait jadis de Satan ou du Diable pour mettre le sujet à la portée du bon peuple.
L’évêque disant à Maurice Biraud dans le merveilleux film « le Mécréant » qu’il n’avait qu’à dire au Mécréant que « Dieu existe parce qu’il est l’essence qui précède l’existence », aurait su, lui, ce qu’il fallait faire.
Pauvres Français qui se veulent athées parce qu’à la fois incapables de comprendre, et trop orgueilleux pour admettre avoir été roulés dans la farine par les escrocs intellectuels, vous l’avez reniée et détruite, notre Eglise.
Alors maintenant, allez chercher des aborigènes ou des Amérindiens non encore « civilisés » pour relancer la machine spirituelle en partant du début.
Un autre type de délinquance : les allocations diverses et variées perçues de manière illégale grâce au laxisme ambiant. Servez-vous braves gens du monde entier. L’Etat ne voit rien, n’entend rien… Au finish, ce sont ces abrutis de Français qui paieront toutes les notes salées.
Terminées les allocations de rentrée scolaire pour acheter un écran plat flambant neuf !
https://www.valeursactuelles.com/societe/allocation-de-rentree-scolaire-un-depute-lr-propose-la-fin-du-versement-direct-sur-les-comptes-bancaires-122745
J’ai de nombreuses connaissances qui peuvent attester que cette allocation de rentrée scolaire sert à tout excepté à acheter des fournitures scolaires pour ces chers bambins. Un peu comme le garage qui sert à tout sauf à y mettre sa voiture…
En France, une nouvelle délinquance ?
Voilà, avec ce billet, cher P. Bilger, un grand pas de franchi dans l’analyse factuelle du climat français de violence.
Il était attendu depuis un moment. La réalité est souvent dure à accepter. Mais enfin vous y êtes presque.
Encore un effort cher P. Bilger : qui sont ces « on », qui sont ces « individus », qui sont ces « bandes » ? Ne restez pas dans l’ellipse !
Vous êtes trop engagé maintenant pour rester au milieu du gué ! Et ce n’est pas un « torchon » publié contre vous sur un blog abrité par Mediapart à la suite de votre billet « Qui ensauvage la France ? » qui va vous arrêter.
Cordialement.
Complément à mon commentaire de 09:21
Supporters du PSG, mais aussi de l’OM, casseurs avec ou sans Gilets Jaunes des samedis soirs et maintenant les irresponsables qui refusent de porter un masque lors des manifestations de groupe, dans les transports en commun ou les magasins, alors que les cas de Covid-19 repartent à la hausse.
Ce sont les mêmes irresponsables qui défient l’autorité, opposent un refus à toutes consignes de sécurité prescrites dans l’intérêt de tous et agressent les citoyens qui leur demandent de mettre leur masque.
Ce n’est pas une question d’appartenance à une quelconque communauté, c’est un refus de principe des lois de la République. Un ensauvagement de la jeunesse qui a perdu tout repère idéologique, culturel et moral.
Le phénomène est bien pire qu’en Mai 68.
Les menaces de Darmanin font rire les sauvages.
https://www.bvoltaire.fr/les-menaces-de-darmanin-font-rire-les-sauvages/
@ Robert Marchenoir
Pour jouer les terreurs, il faut connaître les bases: le libéralisme est le contraire du socialisme en ce qu’il prône la responsabilité individuelle alors que le socialisme prône la responsabilité collective.
Je suis assez d’accord avec Marc GHINSBERG. La précarisation entraîne l’instabilité et le refus de l’autorité.
J’ajouterai comme cause l’individualisme et la pression consumériste.
Et dans les manifestations de ce nouvel état d’esprit, la fraude généralisée (aux prestations sociales, aux impôts, aux assurances…), les petites combines, rarement réprimées et donc, de fait, encouragées.
Tout le monde le fait, pourquoi pas moi !!
Bonjour Philippe,
Votre invité, François Sureau, analyse très bien ce qui se passe.
Nous avons des gouvernants de peu de qualité.
Ils laissent se dégrader depuis longtemps la situation.
Ce qui permet de pondre des lois liberticides qui n’améliorent en rien cette délinquance quotidienne mais permettent de museler petit à petit l’honnête contestataire.
Il exprime très bien l’idée selon laquelle il n’y a pas de droit de, mais la liberté de, à partir du moment ou cette liberté s’arrêtera où…
Pour le reste j’aimerais pouvoir dire à un incivil d’arrêter « d’inciviliser ».
À mon âge certain, je prends un risque, mais il ne m’effraie pas.
Par contre si l’importun se montre agressif, j’aimerais pouvoir tartiner, au risque de me faire moi-même tartiner, sans que la justice m’emm*rde.
Et ça…
On vit dans un monde de dirigeants apparatchiks qui font tout ce qu’ils peuvent pour auto-protéger leur pouvoir, l’un de ces leviers étant de laisser dégénérer la situation actuelle angoissante.
Ça favorise entre autres la montée du RN que tout bon politique voit comme un repoussoir.
Attention, sans aller voter pour eux, bon nombre de mes connaissances ne se laissent plus attraper et ne se déplacent plus.
Bref, nous avons un vrai problème de délinquance, les politiques s’en moquent, ils jouent, pourvu qu’un jour ce soit eux qui payent.
Marshall McLuhan, intellectuel canadien, avait déterminé que l’avènement des médias modernes nous avait fracturés en trois catégories. Ceux qui s’intéressent à la “planète globale” (je veux savoir ce qui se passe en Chine, Trump, Mali, Liban, etc.), ceux qui penchent pour le “village global” (France, Espagne, Belgique, Allemagne, Europe en somme, mais pas plus) et enfin, la “Planète Gutenberg”, ceux qui ne s’intéressent qu’à ce qui se passe à 25 kilomètres de chez eux…
Ouest-France en est un exemple, je l’ai lu pendant dix ans lorsque j’habitais la Bretagne de Breizmabro. Une enfilade de chiens écrasés, articles interminables sur la compétition de pétanque de Ploubalay-les-Rognons, ou la course cycliste d’Erquy à Ploubalay-les-Rognons. Bref, à se tirer une balle.
Il semblerait qu’ici, on ne sorte pas du timbre-poste qu’est la France sur une mappemonde.
D’où l’accumulation de hors-sujet…
Tous les communautaires qui s’installent et profitent de la France ont leurs pays d’origine pour un retour tranquille.
Algériens, l’Algérie
Tunisiens, la Tunisie
Marocains, le Maroc
Turcs, la Turquie
Sénégalais, le Sénégal
et tous les autres aussi,
Y a bon la France qui fait tuer ses soldats pour nous au lieu de protéger les Français de base.
Comme l’écrit kacendre, les Gilets jaunes vont avoir du boulot car ils sont bien les seuls à représenter notre France profonde.
Incroyable mais tellement vrai.
Mais pour la France profonde qui ne fait plus d’enfants, quand toutes ces communautés contrôleront par leur démographie prolifique et super bien financée par nos CAF où iront les Français de souche puisqu’ils ne peuvent plus rien dire ni faire pour se protéger des agresseurs jamais désignés et mis hors d’état de nuire.
Que nos gauchards bien à l’abri social et financier nous apportent des réponses précises !
Peut-être et sûrement un renvoi manu militari des inassimilables sera la seule solution.
C’est ce que font les pays qui veulent garder leur identité.
L’Algérie nous a montré le chemin et la bonne méthode.
Comme l’écrit kacendre, les Gilets jaunes vont avoir du boulot car ils sont bien les seuls à représenter notre France profonde.
On va nommer François Bayrou Commissaire au Plan.
C’est dire qu’on trouve aisément des postes à responsabilité pour des personnes que l’on souhaite promouvoir.
Monsieur Bilger vous avez tout à fait raison de vous inquiéter à propos de l’ensauvagement de la France et des nouveaux types de violence, parfois totalement gratuite.
Aux côtés de Darmanin ou de Castex, nous devrions avoir un Haut Commissaire à la Sécurité. Non pas simplement pour récompenser un pote, mais pour agir fermement en coordonnant toutes les actions.
Nous ne devons pas capituler.
« En France, une nouvelle délinquance ? » (PB)
Cette délinquance date des années 1998, amplifiée en 2005. Depuis elle s’est généralisée sur tout le territoire, devenue de plus en plus criminelle. Aucun de nos politiques n’a été capable de l’enrayer.
Le pire est devant nous.
« Lutter contre cette nouvelle délinquance impose un double rythme. » (PB)
Faisons vite alors !
Et puis celle-ci plus subtile, c’est fou les amis qu’on peut avoir dans l’entourage de contrats à signer.
Des cadeaux d’amis, rien que pour les beaux yeux de la princesse, sans contrepartie, parce que nous sommes amis… Il suffit de le croire dirait le Palmipède, en plus ils ont bon goût les amis, juste ce qui peut faire plaisir, la vraie amitié.
Et demain, cela aurait été quoi ? En toute amitié bien sûr.
AFP, publié le mercredi 19 août 2020 à 19h32
« Le domicile du ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt a été perquisitionné mardi dans le cadre de l’enquête du parquet national financier (PNF) sur deux lithographies qui lui ont été offertes par une entreprise en 2017 alors qu’il était député-maire, a-t-on appris mercredi de source concordantes. »
« À la longue, comme dirait Keynes, nous serons tous morts. » (PB)
Mais nous le sommes déjà en fait.
On n’entend plus parler des beaux tableaux du Cardinal… Les donneurs ont vraiment cette belle amitié en bandoulière qui fait honneur à notre grande générosité.
Edouard Philippe en mettant en place « en même temps » une taxation folle des carburants et une limitation de vitesse absurde, a mis dans la rue des milliers de gens et a coûté des milliards en coûts directs et en pansements fiscaux divers.
Pour déconsidérer le mouvement, Macron et consorts ont laissé libre cours aux black blocs qui ont cassé sans compter…. Ceci a fait école, et maintenant on feint de découvrir une « nouvelle délinquance » ? Eh bien non, il y a le sentiment qu’il est possible de s’affranchir de la loi et tout simplement une nouvelle strate est venue s’ajouter aux strates existantes bien décrites par ailleurs. J’en viens à penser que tout cela est voulu.
L’Allemagne comme la France nous font vivre l’enfer.
Un Irakien, islamiste terroriste, la trentaine, fonce avec son camion sur l’autoroute, à Berlin, sur des véhicules, faisant de graves blessés.
https://www.france24.com/fr/20200819-une-s%C3%A9rie-d-accidents-de-la-route-qualifi%C3%A9e-d-attaque-islamiste-en-allemagne
C’est cette Europe Unie que les technocrates stupides de Bruxelles nous ont construite ?
@ Xavier NEBOUT | 19 août 2020 à 15:05
« Pour jouer les terreurs… »
Vous parlez de qui, là ?
« Il faut connaître les bases. »
J’adore les gens sur Internet qui se vantent de vous apprendre les bases. Je sens que le champ du savoir va brusquement s’ouvrir sur des horizons nouveaux.
« Le libéralisme est le contraire du socialisme en ce qu’il prône la responsabilité individuelle alors que le socialisme prône la responsabilité collective. »
Alors là… alors là… comment dire ? Vous m’en bouchez un coin. Je suis sur les fesses. J’aurais jamais cru un truc pareil.
Visiblement, vous n’avez pas lu l’article de Yoram Hazony (*). Vous n’avez pas compris le début du quart de la moitié de ce que j’essayais d’expliquer. Mais ça ne vous empêche pas de jouer, non pas les terreurs, mais les générateurs automatiques de slogans péremptoires.
______
(*) Excusez-moi. Un Juif.
« Face à ce constat qui n’est pas récusable sauf à ne pas vouloir voir ce qui s’affiche et se développe, qu’on nous épargne de grâce les argumentations classiques. » (PB)
Ça fait 50 ans que les clowns aux manettes n’ont pas voulu voir la réalité. Pourquoi voulez-vous que ça change avec Pinocchio et sa bande de bras cassés ?
@ PAUL
« Edouard Philippe en mettant en place « en même temps » une taxation folle des carburants et une limitation de vitesse absurde, a mis dans la rue des milliers de gens et a coûté des milliards en coûts directs et en pansements fiscaux divers. »
Très heureux que les sous qui sont débloqués à la suite de la pandémie aillent bénéficier au rail. Un peu moins heureux que la Seuneuceufeu soit dans la boucle, mais bon…
Non, sérieusement: il importe effectivement de taxer les carburants. Je sais, c’est désagréable, surtout dans les campagnes, mais il faut les taxer davantage. C’est inique, je sais, surtout dans le contexte actuel. Mais le pétrole, ce n’est pas fait pour promener sa voiture… Cela dit, il faudrait peut-être commencer par là avant de bourrer le mou aux gens.
« Pour déconsidérer le mouvement, Macron et consorts ont laissé libre cours aux black blocs qui ont cassé sans compter…. »
Autant je peux imaginer des formes de complaisance de ce style pour casser des mouvements, autant je doute que vous ayez de quoi étayer votre thèse.
« Ceci a fait école, et maintenant on feint de découvrir une « nouvelle délinquance » ? Eh bien non, il y a le sentiment qu’il est possible de s’affranchir de la loi et tout simplement une nouvelle strate est venue s’ajouter aux strates existantes bien décrites par ailleurs. J’en viens à penser que tout cela est voulu. »
Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est voulu ? Il y a simplement des gens pour qui la loi ou simplement la courtoisie ne signifient pas la même chose qu’à d’autres. Cela dit, je trouve ce billet de Monsieur Bilger excessif: je ne vois pas plus de refus obstiné de l’autorité qu’avant, de manière générale, en France (si on parle des banlieues taquines, c’est là un autre sujet). Le délire administratif et autoritaire est en effet toujours aussi présent en France, et les gens y répondent généralement par l’indifférence et le mépris. La fatigue, même.
Le jour où les Français seront moins pris pour des enfants, ils se comporteront moins comme des enfants. La preuve ? Le langage qu’on leur sert: la « pédagogie ».
Allez. Petit exercice comparatif. La « pédagogie » dans les actus suisses et les actus françaises. Y’a pas photo. Allez, comparaisons avec les actus canadiennes et les actus belges. Encore une fois: y’a pas photo.
Claude L. dit Grincheux (Clovis dixit) écrit :
« Il faut remettre en question les règles de notre société en fonction de cette évolution de l’information. »
et
« L’homme est un animal presque comme les autres, mais pas tout à fait, seulement plus cruel comme le prouve cette nouvelle délinquance ! »
puis
« Il doit être possible d’inventer des peines qui font mal, qui font peur, et surtout de les appliquer. »
En espérant qu’il ne semblera pas anormal le fait de commenter mon propre commentaire !
Concernant l’évolution de l’information nous venons de vivre un exemple typique de ce qui, à ce titre, pourrit notre société :
Le smartphone, un engin d’émission audio et visuel, permet à n’importe quel individu de lancer dans l’Ethernet un appel aux fans d’un club de foot de se rassembler en un lieu et de célébrer la victoire de leur équipe bien-aimée et de procéder à quelques destructions alentour pour cette célébration !
TV aidant, on notera au passage que la proportion de visages de souches étrangères parmi les fans est égale à celle des joueurs étrangers au sein de ladite équipe bien-aimée !
Bien ! Mais qui lance cet appel peut être connu facilement, il ne reste donc plus alors au Conseil Supérieur de l’Audiovisuel qu’à envoyer une facture au lanceur de cet appel pour qu’il paye les droits, licences, taxes… qui régissent sûrement la diffusion d’information en France !
Pas besoin d’amendes, des documents légaux tout bêtement !
Encore que, en y bien pensant, le CSA serait sans doute plutôt prêt à subventionner qu’à sanctionner !
Par ailleurs Homo sapiens étant un animal de la lignée des singes, plus proche du babouin que du bonobo au sujet de la méchanceté, les bonobos ont une méthode plus plaisante de régler leurs différends, la France étant en passe de devenir, non pas un vaste Club Méditerranée comme le croient les touristes étrangers, mais un vaste parc zoologique hexagonal, pourquoi ne pas dire aux gardiens de ce gigantesque zoo, pardon nos policiers, d’utiliser les fléchettes servant à endormir les autres animaux sauvages, hyènes en particulier, mais aussi lions, guépards… pour neutraliser ceux des Homo sapiens dangereux qui doivent être soignés en prison pour les vacciner contre la violence !
Plutôt que crever des yeux ou amputer des mains avec des fusils, nos CRS pourraient être équipés de sarbacanes et de fléchettes, ce qui serait plus humain mais aussi plus économique.
Encore que, là aussi, avec la Covid-19, il faudrait être sûr que les fléchettes soient conservées dans une fiole de solution hydroalcoolique ! Bien sûr il serait tentant de leur refiler le coronavirus, mais restons dans la légalité avec un simple mais efficace somnifère !
On en arrive à envier le Mali où l’armée peut se permettre de remettre de l’ordre dans la gouvernance du pays, ou, au moins, essayer !
Cher Philippe,
Nous avons des décideurs étonnants, « bétonnants », bidonnants. Et en face une réaction détonnante.
Et c’est à n’y plus rien comprendre.
On entend par exemple que la SNCF a un déficit de plusieurs milliards d’euros et qui sait que la SNCF et ses filiales sont propriétaires d’un vaste patrimoine immobilier en propriété foncière et exploitent plus de 100 000 logements sociaux, construisent des tours futuristes dans de grandes villes plus ou moins bien intégrées à l’environnement.
Ces projets exproprient des personnes de leur lieu de vie, augmentent le territoire de la SNCF, construit ce qu’il faudra démolir et créer sans souci des zones de non-droit. La personne qui souhaite construire comme Laurent Gerra une cabane au fond du jardin va être taxée tandis qu’un projet peut remblayer des zones humides, construire à volonté sur la parcelle où les enfants aiment jouer au foot, artificialiser les sols de telle façon que l’économie se trouvera plus bloquée qu’avec l’épidémie de covid.
Un orage à 50 km de Paris se transforme en torrent dans les escaliers du métro parisien en quelques minutes, mais rien n’est grave, il faut continuer de bétonner, d’arracher les arbres. Les villes très urbanisées bénéficient de deux degrés de plus, ce qui est en période de canicule un sacré plus.
La A6 se transforme en lac, des rues en rivières, des gymnases en centres de refuge, mais les médias s’inquiètent du destin des ours à juste titre sans penser aux sinistrés qui jouent au sable avec leur pelle pour retirer la boue de leur souvenir.
Après une vie de travail et ses difficultés, ils se retrouvent dépossédés de leur bien, pendant que quelques urbanistes programment le destin de shadoks de nos pompiers et les dédales et pièges de nos gendarmes.
Et pour mieux illustrer les décisions des politiques, nous proposons la lecture attentive du chant de la misère des ghettos où la distraction sur bitume devient le rodéo sans roue des véhicules empruntés, le lancer de chaussures très street art en vente pour renouveler le décor, le tag le plus impressionnant, le plus trash pour évoquer la mort d’une personne de bande rivale, un lieu de crack à valoriser et à défendre. Les arbres sont recherchés pour accrocher les godasses et se marrer.
https://www.youtube.com/watch?v=itseiV0oU9s « Rap de Paris spécial Grigny 91 ».
Dans un pays aussi responsable de la prévention des risques, aussi informé des attentes de ses habitants qui rêvent de tranquillité, des plus beaux villages de France, il est de bon ton de désertifier les villages pour densifier les villes au maximum, de reproduire les mêmes erreurs en connaissant la suite.
Tiens, un train a déraillé avec des produits très peu nocifs, alors pourquoi s’inquiéter et en perdre les sens puisqu’il faut bien construire pour démolir un jour. À quand les tours de 15 mètres dans les jardins de l’Elysée, des éoliennes et une méthanerie au Touquet ?
Le banlieues peuvent tout supporter, le bruit, la montée des eaux, les déchets, les remblais toxiques, les risques sanitaires, les trams sans places assises, les pinces à vélo au bureau, la location de chambres d’hôtel pour le télétravail, la surdité de leurs élus qui sont soumis au même délire de construire n’importe où, n’importe quoi en zone inondable.
Chantons tous en chœur sur l’air de Paroles de Dalida « Pas de tram, Pas de tram, Pas de tram… » ou encore « Il roule, il roule le tramway » dans l’embouteillage « il est passé par ici, il repassera par là ».
Inventons le parcours de golf sur voie de tram, le concours de yodel pour couvrir les 80 décibels des clochettes et des crissements pour animer la modernité mal pensée qui détruit tout.
françoise et karell Semtob
@ Myrto | 19 août 2020 à 11:22
« À l’école, exit les leçons de morale qui étaient pourtant profitables… L’introduction des parents dans l’école a été une monstruosité totale, ils se sont mis à critiquer les enseignants devant leurs enfants. Ces derniers n’ont alors plus eu aucun respect pour leurs maîtres etc.»
En fait les choses ont bien évolué depuis le confinement …
Petite digression.
Je suis saoulé d’entendre à l’envi – sans parfois pouvoir y échapper – parler de cette victoire française du PSG, alors qu’il suffit d’y mettre le pognon cher à Nanard pour s’acheter une vitrine.
Le seul exploit national est de trouver l’investisseur qui fera le chèque, tout le reste est littérature, une entreprise multinationale comme une autre, implantée sur notre territoire, rien de plus.
Cher Philippe,
Pas beaucoup d’Français chez les Péd*s Sur Gazon.
Pas grand-chose à voir avec le billet.
Come on Liverpool.
Ça r’prend quand à c’propos le ru’by ?
Le Mali veut-il prendre son destin en main ?! Affaire à suivre.
La France devrait peut-être s’en inspirer… Elle qui est toujours si prompte à donner des leçons à la terre entière. Le terrorisme, l’extrémisme, la délinquance : grands diseux, petits faiseux en France.
https://www.bvoltaire.fr/mali-la-declaration-choc-du-porte-parole-des-putschistes/
@ Giuseppe | 20 août 2020 à 10:35
Philippe Bilger étant grand amateur de football, il n’est pas impossible que dimanche soir il se fende d’un billet sur le match d’anthologie que tous les supporters du PSG ne manqueront pas de regarder.
En ce qui me concerne, je ne placerai certainement pas mes élans patriotiques sur une victoire du PSG. D’autant que comme vous le signalez fort justement, ce club est financé par de l’argent en provenance des émirats arabes, nombre de ses joueurs-stars sont des mercenaires qui se vendent au plus offrant et, last but not least, les supporters de ce club sont d’une arrogance tout simplement insupportable et je ne m’étendrai pas sur le comportement hystérique de certains d’entre eux dont nous avons eu une démonstration avant-hier.
Alors victoire au pas du PSG dimanche soir, cela ne m’empêchera pas de prendre deux fois du dessert.
@ Myrto 19 août 2020 11: 22
« Vivement une école des parents OBLIGATOIRE, et vivement que ces derniers soient exclus de l’école. Est-ce que je vais voir et critiquer mon boulanger dans son fournil ? »
À la différence près que, si vous êtes mécontent du pain de votre boulanger, vous pouvez en changer… Ce qui n’est pas le cas en matière d’enseignement. Tous les membres de l’Education nationale ne sont pas égaux, loin de là, en matière de professionnalisme, de dévouement et de pédagogie… Et la qualité de leurs prestations n’a aucune réelle incidence sur le déroulement de leur carrière.
Jusqu’à maintenant, les parents dignes de ce nom considèrent avec raison qu’ils sont les seuls responsables de la bonne éducation de leurs enfants. Ce sont eux qui préparent leur avenir. À travers leurs impôts, ils paient les enseignants pour faire une partie de la besogne. Ils sont donc tout à fait habilités à donner leur avis sur leur comportement. Tout juste peut-on admettre que cela se passe hors la présence de leurs enfants.
…les pompiers, qui ne font que du bien, sont dorénavant attaqués…
J’aime bien les pompiers, je les respecte et j’ai même été de ceux qui ont lancé l’alerte il y a plusieurs dizaines d’années de cela quand la presse occultait ou minimisait les premières agressions qu’ils ont eu à subir.
Ceci dit, que l’on me permette de trouver insipide voire parfois horripilant le discours que les chefs de corps des brigades victimes d’agressions se croient obligés de nous servir suite à ces dernières, sur un modèle stéréotypé.
En substance :
– Les pompiers ont pour mission de protéger la population.
– Les violences qu’ils subissent sont le fait de toutes les couches de ladite population sans distinction de fréquence ou de degré.
Alors là, qu’il nous soit permis de tiquer devant cet amalgame réducteur bien-pensant cherchant à masquer le fait que dans l’immense majorité des cas seule une frange de ladite population est coutumière de ces violences, dont elle a quasiment le monopole après en avoir développé les techniques originales, poussées parfois à un degré élevé de stratégie que nombre d’autres catégories n’auraient pas l’idée de mettre en œuvre.
Oui, cet amalgame visant à mettre sur le même plan ce qu’il faut bien appeler les racailles et les braves gens finit à force de répétition par devenir odieux.
Certes, nous pouvons penser que ce genre de langue de bois ridicule est basé sur un canevas standard établi en haut lieu, mais rien n’oblige les pompiers à réciter leur leçon comme des perroquets à partir d’un discours qui équivaut à prendre les Français pour des imbéciles.
Messieurs les pompiers, vous avez la chance de jouir d’un capital de sympathie énorme, veillez à ne pas le dilapider en vous faisant les complices d’hommes politiques indignes quand ils ne sont pas carrément traîtres à la France.
@ Achille | 20 août 2020 à 12:02
Que voulez-vous on ne se refait pas, mais le sport amateur a un parler vrai un parler frais. Extrait de l’élite amateur.
https://i.goopics.net/WoAE3.png
Tout le reste est sans intérêt, on ne transpire plus pour un maillot mais pour le chèque qu’il y a au bout. Mercenaires, au fond ils ne servent que les frappadingues de ces équipes qui pour un zéro de plus changent de camp comme on change de culotte.
Rien à voir avec lui et… son frère, l’amour du maillot et la l’honneur de servir pour ce qu’ils pensaient être le meilleur pour le pays.
https://i.goopics.net/wq8b3.png
J’ai rencontré le frère il était exceptionnel.
À ces sujets (déclin de la civilité, croissance des individualités), il convient d’observer l’influence de la société de consommation au travers de ses attendus et de ses modes de propagation.
L’avènement de cette période s’accompagne de 30 ans de publicité, d’influenceurs, s’apparentant à la diffusion d’une simili-doctrine visant à la possession comme finalité première mais pas que.
En effet, pour atteindre ce nouveau nirvana, les méthodes d’influence se substituent progressivement aux formes éducatives antérieures. Ces méthodes d’influence sont établies avec une densité de probabilité d’atteindre le but : que le consommateur achète. Ce sont les neurosciences. Si toutes les pédagogies recherchent l’efficacité, seules les finalités sont discutables au fond.
Or pour être un consommateur addictif, il apparaît nécessaire de dézinguer tout ce qui ferait barrière à l’établissement de l’addiction dont le jugement, le libre arbitre. D’où une éducation très spécifique par la publicité : infantilisante, primauté du moi, de l’accaparement, de la ringardise de toute forme d’équilibre, y compris dans la monstration des relations : rappeurs débiles, misogynes, défense de supposés territoires, éloge de l’inutile (fringues de marque, joaillerie de parvenu etc.).
L’adjonction d’une composante moins connotée débile comme le développement durable est intéressante en cela qu’elle admet la finitude de la société de consommation sans le dire.
Cette éducation en intraveineuse distillée pendant des années produit maintenant ses effets sociétaux décrits par l’hôte de ces lieux.
On peut se poser la question de savoir pourquoi le législatif ne met pas le holà ? pour deux raisons : la première en est qu’à ce business model sont adossées des familles très comme il faut, la seconde est que dans les premiers temps, cette anesthésie des citoyens procure une forme de contrôle social consenti.
« Débordements » (euphémisme) après le match du PSG, attaque en règle des forces de police qui se laissent faire, timorées et coincées dans leur camionnette .
« Pour une adjointe écolo d’Hidalgo, la police doit faire de la prévention face aux racailles. »
Chargée de la santé publique, Anne Souyris est revenue sur les violences survenues à Paris après une victoire du PSG, mercredi 19 août.
https://www.valeursactuelles.com/politique/video-pour-une-adjointe-ecolo-dhidalgo-la-police-doit-faire-de-la-prevention-face-aux-racailles-122777
La bêtise à ce niveau-là dépasse l’entendement. C’est la faute à la police, le nouvel argument massue des écolos : le manque de « prévention » de la police.
De plus en plus affligeant.
Il n’y a plus qu’une chose à faire, mépriser tout ce petit monde et regarder le chaos s’installer définitivement. Certains ne votent plus, d’autres voteront à nouveau Macron. Alors, basta !
Que chacun assume ses choix et ses responsabilités.
COMMENT REUSSIR « LA NOUVELLE DELINQUANCE »
Prenez d’abord une absurdité chère à Cohn-Bendit (C*n-Bandit) et à ses coreligionnaires soixante-huitards : « Il est interdit d’interdire ». Attention, ne réfléchissez pas ! Sinon, vous allez vous apercevoir que, s’il est interdit d’interdire, il est interdit d’interdire d’interdire… Donc, traduisons : tout est permis… y compris le pire.
Ajoutez une bonne dose d’individus, la plupart exogènes, qui, dans leur inné social, ont un rapport avec la vie, la mort, les autres, le bien, le mal, la propriété et l’autorité à des années-lumière des dogmes très policés de notre civilisation. Dans la bande, vous avez aussi quelques faux endogènes qui, bien que nés chez nous, faute de fermeté de notre part (Education nationale regardant ailleurs, juges laxistes, élus aveugles ou complices, médiateurs plus « grands frères » que « vigiles »,…), n’ont eu aucune obligation de les apprendre, à coups de trique s’il l’avait fallu, et de s’y soumettre.
Le milieu familial aurait dû combler ces manques, dites-vous… Que nenni : même s’ils avaient fait leurs nos mœurs et voulu les leur inculquer, leurs parents avaient peu de chance d’y parvenir. Déracinés, connaissant mal le français, en difficulté avec le moindre dossier administratif, leur progéniture, dès le début de sa scolarité, était le lien naturel et unique avec notre monde. Imaginez que vous soyez obligé de confier la rédaction de votre déclaration d’impôt à votre collégien de fils… Vous resterait-il une once d’autorité parentale ?
Il faut aussi vous procurer de la drogue. C’est l’ingrédient indispensable qui permet l’explosion des pulsions des susdits individus. Un ingrédient qui, en France, autrefois, ne figurait quasiment jamais au niveau des banales associations de malfaiteurs. Cela était réservé à « l’élite », aux mafiosos, déjà considérés comme sans foi ni loi. Le truand, alors, avait de l’honneur. Certes, il tuait, il volait, il faisait le coup de feu contre les « flics », mais dans les règles… Et il n’était pas rare qu’un policier salue « le travail de professionnel » du gangster qu’il venait de serrer. Aucun des voyous de nos banlieues ne mérite un tel coup de chapeau. Des minables comparés à ceux qui ne sauraient être considérés comme leurs pères…
Je le dis tout net : sans drogue, pas de nouvelle délinquance. Attention, ne pas l’ingurgiter. Ce n’est qu’un produit commercial, destiné à une clientèle qui en a les moyens ou à maintenir dans la soumission les jeunes écervelés qui y touchent sans pouvoir payer leurs doses. Elle apporte sans fatigue ce dont les anciens s’emparaient au péril de leur vie : l’argent, l’oseille, la thune… Et donc les fringues de marque, le smartphone dernière génération, les sorties en boîtes de luxe, les meufs – sans burqa – et, bien sûr, la décapotable allemande… Qui plus est, le simple guetteur se fait en une soirée plus de blé qu’un pote qui travaille pendant un mois…
N’omettez pas les épices : les insipides fictions TV dits « suspense » où pleuvent les rodéos, les meurtres et les viols. Ainsi relevé, votre plat ravira les instincts belliqueux des adeptes décérébrés de la nouvelle délinquance, toujours prêts à nourrir leurs neurones de méga-bastons et d’embrouilles sanglantes.
Depuis la découverte du numérique, les plus accrocs ont aussi à leur disposition – en vente libre… – des jeux vidéo qui rivalisent de scènes abjectes. On y tue comme on respire, on y détruit pour le plaisir, on y explose par réflexe celui qu’on croit être l’ennemi. Niveau zéro de la dignité humaine.
Voilà pour les ingrédients. Reste à choisir un fond de sauce qui servira de liant et apportera le fumet indispensable pour que le nouveau délinquant se sente investi d’une mission quasi divine – imposer sa loi – et habilité à refuser la moindre parcelle de respect de l’autre. La religion fera l’affaire. Surtout celle qui entend confondre spiritualité et pouvoir politique. Celle dont l’objectif premier de son texte sacré commande la guerre sainte contre les mécréants.
Bien sûr, installée chez eux, avec le consentement de leurs dirigeants, elle n’affiche pas publiquement sa haine, se contentant de la prêcher plus ou moins violemment dans le secret des salles de prière. Elle laisse le soin de la vomir aux radicaux des Califats et autre Etat Islamique, se contentant d’omettre de condamner fermement leurs exactions.
Que bon nombre de nouveaux délinquants, baignés dès l’enfance dans cette tradition religieuse, justifient les leurs en prétendant en être des adeptes, ne la dérange pas plus. Qu’ils transgressent ses règles en s’alcoolisant, en forniquant, en jouissant d’un luxe ostensible contraire à l’enseignement des écritures, la belle affaire ! Ils sont, sans s’en rendre compte, les « soldats de Dieu » et reconquièrent la terre du Royaume, perdue à Poitiers, en 732…
Un dernier conseil : choisissez soigneusement le lieu où vous allez cuisiner. Il n’est pas sûr que cela soit déterminant, mais la réussite de votre plat sera plus certaine. Installez-vous là où le chômage est endémique, où l’emploi est le plus rare. Vous y trouverez des grappes d’individus ne disposant pas des repères sociaux qu’offre le travail, oisifs et peu enclins à faire autre chose que se la couler douce… quitte à quelque peu – même beaucoup – enfreindre la loi. Après tout, casser du flic, castagner, tabasser, ça occupe… On ne voit pas le temps passer et on s’amuse entre « cailleras »… N’est-ce pas un motif suffisant ?…
@ Robert Marchenoir
Vous avez en effet tendance à terroriser vos contradicteurs en noyant vos arguments sous les moyens, et par là même un défaut de visibilité des principes et idées qui les animent.
@ Claude Luçon | 20 août 2020 à 01:19
« On en arrive à envier le Mali où l’armée peut se permettre de remettre de l’ordre dans la gouvernance du pays, ou, au moins, essayer ! »
Cher Claude,
Je vous croyais perdu pour la France, quel retour… soyez à nouveau notre vénérable historien.
@ Serge HIREL
« Jusqu’à maintenant, les parents dignes de ce nom considèrent avec raison qu’ils sont les seuls responsables de la bonne éducation de leurs enfants. »
Ça, c’est la vision de l’éducation telle qu’elle était pratiquée dans l’ancien monde.
Mais du fait de l’évolution démographique de la société, elle est de plus en plus supplantée par l’éducation collective tribale, selon laquelle les enfants ne sont pas élevés par leurs seuls parents biologiques mais aussi et surtout par le village ou par la tribu, selon des schémas ancestraux basés sur la force et sur la loi du plus fort qui n’ont aucun rapport avec nos canons en la matière, cette éducation étant sanctionnée à l’origine par des épreuves initiatiques marquant le passage à l’âge adulte.
Bien entendu, même si chez nous les jeunes gens ne sont plus enduits de miel et recouverts de fourmis rouges pour prouver leur courage, l’esprit subsiste à travers d’autres rites plus représentatifs de la société actuelle, où la violence a souvent sa place, surtout dans un environnement du type bande.
@ Ellen
« Allemagne : un individu provoque plusieurs accidents sur une autoroute au cri d’“#Allah Akbar”
« Pas un traître mot sur la radio active de sevice public qui trahit son obligation de pluralisme et d’honnêteté. Le gauchisme cathodique en terrain conquis . » G-W Goldnadel
Eh oui, Ellen, c’est une fois de plus : Circulez, y a rien à voir. Des blessés graves sont, malheureusement, à déplorer.
@ Xavier NEBOUT | 20 août 2020 à 14:44
« Vous avez en effet tendance à terroriser vos contradicteurs en noyant vos arguments sous les moyens, et par là même un défaut de visibilité des principes et idées qui les animent. »
Pauvre bichon. Vous me semblez terrorisé, en effet… Avez-vous besoin d’une cellule d’assistance psychologique ? Voulez-vous que je vous fasse livrer un « safe space » portable à domicile, afin de vous protéger des « micro-agressions » ?
Vous êtes trop paresseux pour simplement lire l’article que je désigne à l’attention de la compagnie, et vous avez le culot de me dire que c’est ma faute.
Vous prétendez débattre sur des arguments et des idées, mais vous vous livrez derechef à une attaque personnelle dépourvue de la moindre pertinence, tout en gardant le silence sur les arguments et les idées qui faisaient la substance de mon intervention.
Laquelle vous faites semblant de critiquer. Il y a la nouvelle délinquance, et puis il y a le banditisme intellectuel, qui est de tous les temps. Reconnaissons que vous êtes en bonne compagnie, ici.
Un de mes frères, grand golfeur depuis trente ans, se désintéresse du foot.
Comme moi, mais pas par amour du golf. Je l’ai accompagné une seule fois sur son terrain de golf : il a dû me conduire à la pharmacie pour rhume des foins.
Le foot ne m’intéresse pas. Et, je l’ai dit ad nauseam : je ne supporte pas les supporteurs de foot.
Le bouquet, c’est tout de même le Qatar Club ! Voilà une équipe achetée à prix d’or par le Qatar. Les télés viennent de nous montrer quelques centaines de jeunes gens de vingt à trente ans, hurlant de joie, brandissant le mot « Paris », qui avaient l’air de tout sauf de Parisiens. Moi qui ne suis que provincial, quand je pense aux habitants de Paris, je ne me les représentais pas comme ça !
J’observe pour finir que plusieurs de ces singuliers supporteurs n’ont pas manqué de venir casser les vitres de fourgons de police façon Gilets jaunes. Ben voyons ! C’est la fête. Et la bière, j’imagine, a dû couler à flots.
@ Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 10:49
Euh, la bière, c’est halal ou c’est haram ?
@ Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 10:49
Justement pas plus tard que tout de suite, je m’interrogeais à propos du sport favori de votre frère.
Il est vrai que j’ignorais ce détail qui est de la plus haute importance : vous avez un frère…
Bon, me voilà prête à lire votre prose, comment dire ?
Disons, une prose…
Donc, il joue au golf, moi aussi !
Vous êtes semble-t-il sujet à l’allergie, pas moi !
J’ai vu vos listes, dont je me tamponne le coquillard, et je suis maintenant éclairée par l’homme le plus ceci du monde, et le moins cela du monde…
Comme vous êtes passionnément creux !
Je vais, moi aussi, dresser des listes, que je viendrai déposer ici, le lieu le plus ouvert du monde…
Nota Bene : ces listes confidentielles ne seront déposées que si les commentateurs de céans les réclament avec force et sincérité… Pour leur plus grand bonheur, et je rase gratis !!
@ Exilé 20 août 2020 à 17:59
« L’évolution démographique »…
Vous êtes sérieux ? D’année en année, le nombre d’enfants par couple diminue et les familles nombreuses (4 enfants et plus) se font de plus en plus rares, y compris au sein des familles immigrées. Cette évolution de l’éducation que vous percevez dans le « nouveau monde » est en partie due au fait qu’aujourd’hui, par nécessité ou par choix, la mère de famille occupe un emploi extérieur et que le couple est moins présent auprès de sa progéniture. Ce qui explique aussi, pour une part, la glissade du nombre d’enfants par couple.
« L’éducation collective tribale »… Le « nouveau monde » serait-il le retour au monde d’avant l’« ancien monde », dans lequel les enfants étaient placés sous la responsabilité, la protection et l’autorité, en premier lieu de leurs parents, mais aussi de la famille élargie et de tous les adultes du village ? Ceci était vrai dans les sociétés tribales – la colonisation a modifié largement ces mœurs… et ce n’est pas ce qu’elle a fait de mieux -, mais aussi chez nous… Il n’y a pas si longtemps, dans nos campagnes, il ne faisait pas bon être aperçu faisant une bêtise. Au retour à la maison, père et mère le savaient déjà et avaient parfois la main leste… pour éduquer. La fessée est maintenant interdite. Le monde va-t-il mieux ?
« L’éducation collective tribale »… Il est vrai qu’elle existe dans notre monde d’aujourd’hui, « l’ancien » comme « le nouveau ». Les enseignants n’y sont pour rien et même, parfois, pestent contre ses conséquences. Cette « éducation », c’est celle que diffusent sournoisement la télévision – fictions violentes, images dégradantes, attitudes dépravées, flics pourris, filles faciles, fric à portée de main… – et surtout la publicité, véritable poison indolore qui distille savamment les sentiments d’envie, de jalousie, d’orgueil, de gourmandise, autant de portes d’entrée vers la délinquance et, parfois, le crime.
Sur ce point, je partage totalement l’analyse d’elektra (20 août 2020 / 14:20). Les feutres, les baskets, les T-shirts et autres babioles, tous ces objets dits « de marque », que la pub met à longueur d’écrans sous les yeux de nos enfants, sont-ils nécessaires à la vie ? Les « pubards » – « créatifs » en jargon du milieu – et ceux qui sont censés contrôler leurs élucubrations pour, en particulier, protéger les jeunes, s’ils ne sont pas directement coupables de complicité dans les « sauvageries » actuelles, y ont une part de responsabilité. Sans oublier celle des annonceurs qui les applaudissent… satisfaits de voir s’élever la courbe de leur chiffre d’affaires. Celle de la délinquance ? Ils ne se sentent pas concernés…
« Des épreuves initiatiques »… Il est vrai que, dans toutes civilisations, c’est un passage obligé entre les divers âges de la vie. Le bac en est une, le départ en retraite aussi. L’un et l’autre conduisent à quitter ses habitudes, à organiser sa vie autrement, à entrer dans une autre couche de la société. Mais comment peut-on penser un seul instant que la violence serait en elle-même une épreuve initiatique ? Comment peut-on penser un seul instant que la violence démontre le courage quand il s’agit de tabasser en bande un conducteur d’autobus ou de massacrer une gendarme au volant d’une voiture ?
Dans l’« ancien monde », dans le domaine de la vie sociale, l’Eglise assurait deux de ces épreuves initiatiques – la confirmation et la communion solennelle – qui offraient aux enfants et préadolescents la vision d’un monde organisé, policé, où, attendus, ils devaient trouver leur place. Puis l’Etat assurait le passage à l’âge adulte, avec cette même préoccupation de cohésion sociale. C’était le service militaire. Il fallait y démontrer son courage – malheureusement jusqu’à la mort en temps de guerre -, mais, grâce à la rencontre d’autres jeunes, d’autres couches sociales, on y apprenait aussi le respect de l’autre et l’importance du lien social. C’est un grand mot, mais cela fondait la nation.
Qu’offre le « nouveau monde » en ce domaine ? Peut-on s’étonner dès lors que des communautés se forment, fondées sur un territoire, une origine, une couleur de peau, un parti pris politique ou autre ? Peut-on s’étonner qu’elles se jaugent, se détestent, se combattent, avec une violence d’autant plus grande que chacune l’estime fondée ? Peut-on s’étonner que l’on en soit à craindre l’explosion des séparatismes, la fin de la nation ?
Je vous le dis tout net : je préfère l’ « ancien monde » au « nouveau », la « bonne éducation » transmise par les parents à la « peste audiovisuelle », « seize mois d’armée » aux « embrouilles des bandes »… Tout en sachant qu’il sera bien difficile, voire impossible, de revenir en arrière… et donc de rétablir l’ordre ancien. Mais ce n’est pas sans essayer que l’on y parviendra.
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@ Patrice Charoulet 21 août 2020 à 10:49
« Je pense aux habitants de Paris, je ne me les représentais pas comme ça ! »
Et que dire des Saint-Germanois que vous oubliez, mais qui sont aussi ignorés par « leur » club, qui, pourtant, depuis sa création en 1970, fréquente assidument le Camp des Loges, son centre d’entraînement que le maire de l’époque, Michel Péricard, a mis à sa disposition et même quelque peu modernisé aux frais du contribuable ?…
Mais j’y pense… J’ai peut-être loupé un épisode… Peut-être a-t-on modifié la signification de l’acronyme PSG ? Cela voudrait-il dire désormais : Parisiens… Sans Garantie ? En tout cas, les images auxquelles vous faites référence le laissent supposer !
Ça y est, c’est la fin du monde : Patrice Charoulet vire raciste.
« Le bouquet, c’est tout de même le Qatar Club ! Voilà une équipe achetée à prix d’or par le Qatar. Les télés viennent de nous montrer quelques centaines de jeunes gens de vingt à trente ans, hurlant de joie, brandissant le mot ‘Paris’, qui avaient l’air de tout sauf de Parisiens. Moi qui ne suis que provincial, quand je pense aux habitants de Paris, je ne me les représentais pas comme ça ! » – Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 10:49
Je ne sais pas ce qu’il faut faire : mettre un cierge ? sacrifier des chatons ? voter François Bayrou ? Le soleil va s’éteindre et les fleuves vont remonter vers leur source. Le prophète Philippulus avait raison, finalement.
@ duvent
Chère golfeuse,
À la demande unanime de bibi, je « réclame avec force et sincérité ».
P.-S.: Les amateurs de Lettres classiques qui font du golf ne sont pas légion, ce me semble. Je présume que vous n’êtes pas syndiquée à la FSU. Et que vous ne faites pas grève. Tout me porte à le croire.
Au fait, n’oubliez pas de traduire vos phrases latines, si vous souhaitez être comprise par le commun des mortels.
« Coquillard » = oeil, comme vous le savez.
@ Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 15:12
« À la demande unanime de bibi, je « réclame avec force et sincérité ». »
Bibi est unanimement seul, cela n’est pas suffisant…
En outre, à ce que dit Marchenoir, bibi « vire raciste », alors que jusqu’ici, il était l’homme le plus ceci au monde, et l’homme le plus cela au monde…
Ma foi, je crois bien que finalement votre tête de raciste a enfin rencontré votre parole de raciste.
D’ailleurs, moi comme vous, j’ai des fictions dans ma caboche, qui font que j’imagine les racistes avec votre trogne, comme c’est drôle !! Qu’en pensez-vous ?
Quand vous aurez fini de vous moquer du monde, faites donc une chose importante pour moi, rappelez-moi donc de traduire le latin pour un professeur de français paresseux et rempli de fatuité.
Quant à cette phrase, « les amateurs de Lettres classiques qui font du golf ne sont pas légion, ce me semble. Je présume que vous n’êtes pas syndiquée à la FSU. Et que vous ne faites pas grève », elle est si pleine de sottises que c’en est tout simplement époustouflant, ce qui fait que je suis toute époustouflée, et par les temps qui courent je ne m’époustoufle pas tous les jours !
@ duvent
Vous appelez le lectorat d’ici à insister pour vous demander de bien vouloir, en suivant mon exemple, nous indiquer vos goûts et/ou vos dégoûts.
Je m’empresse de vous tendre une perche, très obligeamment. Au lieu de me remercier, vous m’envoyez promener et vous ajoutez que j’aurais une tête de raciste. Charmant ! Vous êtes allée voir ma tête sur Facebook, où vous vous trouvez sous votre vrai nom. Vous écrivez ici sous pseudo. Nul ne pourra voir votre figure. Vous aviez bien voulu dire que vous étiez laide. Dont acte. Mais votre comportement de ce jour ne révèle pas une nature très noble et très courageuse. Vous m’avez guéri définitivement de vouloir vous être aimable. Je plains vos amis, si vous en avez, en supposant que vous ne les avez pas tous perdus.
@ Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 17:46
C’est tout à fait incroyable cette quantité d’aplomb dont vous disposez, et qui vous a servi à vous glisser dans la peau d’une victime.
Si vous avez envie d’être la mienne, je n’y vois aucun inconvénient, à la condition sine qua non que cela ne repose pas sur une invention de votre part.
En tant qu’ancien professeur de français, vous avez dû entendre parler de l’ironie, du sarcasme, de la verve, de la malice, du persiflage ou d’autres procédés qui pourraient vous éclairer sur la nature et le sens de mes « pauvretés », ici tolérées…
Pourriez-vous cesser, disons quelques minutes dans votre vie illustre, de jeter à la tête des uns et des autres des avis qui ne sont plus un mystère concernant les utilisateurs de « pseudo » ?
Pourquoi vous le demander ? pour le plaisir !
Il va de soi que je n’ai pas l’intention de vous remercier, car j’ai en horreur les faux-semblants et vous en faites un usage que je qualifierais d’exagéré… Ce qui est le propre d’une fourbe pensée…
Patrice Charoulet, vous avez choisi de poster tout ce qui vous concerne et cela ne me regarde pas.
J’ai vu votre trogne, par la faute de quelqu’un d’ici, qui a fait connaître cette possibilité, et dont je ne me souviens plus, mais que je salue. Cela est tout à fait regrettable car maintenant je sais à quoi vous ressemblez, et cela ne m’amuse pas beaucoup. Dès lors, par bonté d’âme et pour vous épargner ce désagrément, vous ne saurez jamais à quoi je ressemble. Et pour cette raison sublime, vous devriez me porter au pinacle !
Pour ce qui est de la noblesse et du courage, je les ai déposés en entrant dans cette forêt obscure d’Internet, en me disant qu’il y aura bien un chevalier servant qui me prêtera en temps utile ce qui ne me sert à rien pour l’instant, et croyez-le ou non, chaque jour je me pose cette question épineuse, où donc ai-je rangé mon courage et ma noblesse ??
Je pense qu’ils ne sont pas loin de mes mules.
Enfin, car toutes les bonnes choses ont une fin, vous avez entièrement raison de plaindre mes amis, dont je n’ai toujours pas compris ce qu’ils me trouvent, ils doivent être d’une farine différente de la vôtre !
Nota bene : Si vous n’êtes plus aimable avec moi, je m’en plaindrai au maître de céans par pur amusement, car ici-bas, les raisons de se réjouir sont rares alors même que le rire est abondant…
LE PSEUDONYMAT SUR LA TOILE
Depuis trois ans, j’écris des commentaires sur divers blogs très influents et très connus. J’écris en signant de mon vrai prénom et de mon vrai nom. Il m’est arrivé de dire ma ville, ma profession, mon âge et mes opinions. Je m’exprime aussi maintenant sur Facebook où j’ai plus de 1 500 amis « virtuels », dont un très grand nombre de philosophes, de journalistes, de politiques, de politistes…
Comme presque tous les facebookiens, j’ai mis sur Facebook une photo.
J’ai quelques opinions qui reviennent assez régulièrement , notamment ma haine des pseudos (j’ai dit pourquoi), mon aversion pour les racismes (j’ai dit pourquoi).
Sur le blog de Philippe Bilger, que je recommande, une dame à pseudo, qui est allée voir sur Facebook, déclare que j’ai, je cite, « une tête de raciste » ! Sympa ! Et fastoche ! La dame n’a pas de nom, n’a pas de tête et s’exprime sur un blog en toute liberté. Elle n’a pas dit une obscénité, elle n’a pas utilisé les injures qu’emploient les alcooliques devant les policiers le samedi soir (pédé, enculé, fils de pute, je nique ta mère…) qui encourent en tribunal correctionnel une assez belle amende. Je ne suis pas fonctionnaire de police.
Une dame à pseudo peut me dire une insulte, que certains ne trouveront pas bien grave, voire amusante, lue par quelques centaines de personnes, dont quelques-unes sont des amis ou des personnes estimables que j’ai appris à connaître.
Sans conséquence, en toute quiétude. Et elle pourra récidiver joyeusement.
Voilà les effets du pseudonymat. C’est indéfendable, je le maintiens.
@ Patrice Charoulet
« Voilà les effets du pseudonymat. C’est indéfendable, je le maintiens. »
Plus personne ne s’offusque réellement des insultes gratuites sur Internet. Tout le monde les prend avec distance et généralement indifférence. C’est très différent des réelles diffamations nominatives. Cracher sur les pseudonymes n’y changera rien: les rumeurs réellement dommageables sur un plan collectif n’ont cure de l’anonymat et même des personnes parfaitement identifiables s’en font l’écho. Qu’un responsable politique râle contre une insulte dont il fait l’objet, on s’en fiche. Que vous vous exposiez personnellement et fassiez les frais de l’inévitable mauvaise foi sur Internet, c’est un peu votre faute. Ce n’est en effet pas la suppression du pseudonymat qui empêchera les gens de s’insulter sur le net.
Et je trouve que vous n’avez pas la couenne bien dure.
Il fut un temps où existait la nétiquette. Un temps où les gens imaginaient Internet et cherchaient à mettre en place des règles communes de bon fonctionnement. Mais bon, à force de se moquer des geeks qui mangeaient des pizzas froides en recompilant leur noyau Linux en les qualifiant de « hackers » et de paranoïaques de la vie privée sur Internet, on en arrive là où nous en sommes: le sketch intégral et la foire d’empoigne.
Permettez-moi, en tant qu’ex-geek à temps partiel, de vous féliciter, tous, de votre belle réussite collective.
J’intervenais en mon nom personnel dans des listes de diffusion il y a une dizaine d’années. Je ne le fais plus, et je sais très bien pourquoi: si je parle de sujets politiques, il n’est pas question qu’un allumé vienne me pourrir la vie en mon nom personnel. Conclusion: pseudonyme. Seule garantie de pouvoir s’exprimer librement. Seule garantie, aussi, de pouvoir changer d’avis sur un sujet sans qu’on vous le reproche par la suite. Plus de temps à perdre, quand je n’y consens pas, avec les pisse-froid. Je vous conseille de faire de même: utilisez un pseudonyme.
@ Serge HIREL
« Depuis la découverte du numérique, les plus accrocs ont aussi à leur disposition – en vente libre… – des jeux vidéo qui rivalisent de scènes abjectes. On y tue comme on respire, on y détruit pour le plaisir, on y explose par réflexe celui qu’on croit être l’ennemi. Niveau zéro de la dignité humaine. »
Laissez-moi vous présenter « Hatred ».
RACISME ET INSULTES
Quelques définitions tout d’abord.
Ouvrons le Petit Robert :
« Racisme.n.m. Idéologie postulant une hiérarchie des races.
« Le racisme ne trouve dans la science aucun appui. »(Jean Rostand)
« Kampf est l’Evangile du national-nationalisme ou, plus exactement, du racisme. » (Jacques Bainville)…
« Bougnoule.n.m. (fam. Péj.) (injure raciste) …
« Négro. n.m. (péj) (injure raciste)…
Et Jean-Paul Colin, Dictionnaire de l’argot, éd. Larousse :
« Niacoué, niaquoué, niac. (Désignation raciste d’un Indochinois, d’un Vietnamien)…
À la lumière de ces définitions, si nous lisons sur la Toile les propos suivants, anonymes ou non : « des bougnoules, des négros et des niaquoués… », pouvons-nous dire : « Ces propos sont racistes » ? Oui. Insultons-nous l’internaute, en constatant cela ? Absolument pas.
En revanche, dans la vie ou sur Facebook (où des gens mettent leur photo), pouvons-nous dire : « Vous avez une tête de raciste » ? Non, car c’est une insulte et c’est porter un grave préjudice à celui dont on parle. Cela n’a d’ailleurs aucun sens. Cela signifie : ce nez, ces yeux, ce front, cette bouche indiquent que cet homme croit à l’inégalité des races.
Dernière chose, quel blogueur influent en France accepterait qu’un commentateur, à patronyme ou à pseudonyme, écrive sur son blog : « Monsieur, vous avez une tête de raciste » ?
@ Patrice Charoulet
Les patronymes ne se comportent pas mieux que les pseudonymes. Il y a vos attaques contre les pseudonymes. Il y a des gens qui attaquent le pseudonyme en face d’eux dès qu’ils perdent pied dans une discussion parce qu’il est un pseudonyme. Ils signent leur défaite : si on n’est pas capable d’apporter des arguments, on jette des suppositions dévalorisantes contre l’autre.
Le plus drôle me semble le cas de personnes jouant contre leur propre camp : quand une femme dit qu’un pseudo n’est jamais qu’une femme, elle marque un but contre elle-même et contre son groupe. Il est vrai que trop de femmes sont peu solidaires entre elles pour leurs droits et bien davantage contre certaines des leurs et essaient de tisser des alliances avec les hommes contre certains hommes. Quelle drôlerie : si quelqu’un ne leur semble pas bien, dire que cela décéle la femme revient à dire que le bien est masculin et le mal féminin… Il est reposant et pourvoyeur de spectacles comiques d’être dominant car les dominés s’enchaînent et se fouettent sans qu’on n’ait rien d’autre à faire que de superviser.
Dans ces conditions, il m’a toujours paru paradoxal que l’esclavage ait été aboli et la condition de la femme améliorée… La logique comme les livres d’Histoire montre que c’est parce que certains dominants ont lutté pour la libération de leurs subordonnés.
L’un des avantages les plus rafffinés d’être dans une situation prééminante est que la lutte pour la justice n’est a priori pas entachée par la recherche d’avantages personnels et donc moins susceptible de se retrouver faussée par le ressentiment au risque de sombrer dans l’injustice.
La justice veut qu’on lutte pour la justice quand elle ne vous est pas favorable mais aussi quand elle vous est favorable… Les dominés ont le gros travail à faire de s’extirper de leur passivité.
Pour moi, que les gens se battent en groupe, pour tel ou tel type de victime, ou en solo pour se venger, ils se battent toujours pour la justice. On prétend à tort que la lutte collective est plus juste, à mon avis… La Justice considérait autrefois qu’il n’y avait pas de viol entre époux. Elle était donc masssivement injuste. Une femme qui se serait vengée d’un viol aurait, elle, été juste.
Des groupes entiers de féministes pleines de ressentiment contre les hommes peuvent être moins justes qu’une femme essayant de percer malgré le handicap d’être une femme. Les hommes ayant commis beaucoup d’abus, personne ou presque ne trouve scandaleux que certaines femmes fassent des enfants dans le dos à certains hommes punis d’être mieux que la moyenne puisque choisis pour assumer une descendance aussi indésirable qu’indésirée.
Indésirable comme pour un viol confiance : quelle que soit l’éducation reçue, ce que doit retenir l’enfant d’essentiel n’est-il pas que le bien mal acquis lui profite ? Incidemment, la demande de tant d’enfants de connaître leur origine me semble devoir n’aboutir qu’à des constats aussi amers. Quand on a des bons parents adoptifs, chercher son origine problématique me semble revenir à arracher sa peau pour retrouver d’anciennes blessures, chez soi et chez ses ascendants. Dans le meilleur des cas, on fait une sorte d’enfant dans la dos rétroactif à un homme : je voulais bien être le géniteur pour suppléer aux carences de personnes voulant un enfant mais pas assumer quelque rôle que ce soit dans son éducation. On ne laisse décidément jamais le bien impuni.
Par contre, des gens ne cessent d’être attaqués sans l’avoir mérité en rien. Des pseudonymes, sans aller chercher plus loin. Eh bien, il s’agit, en somme d’une police d’assurance extorquée… Comme il est décidément imprudent de se montrer, mieux vaut que les injustes frappent sans cesse une armure que la tendre peau.
Cependant, il est de bonne justice que l’agresseur subisse les conséquences de ses actes.
@ Patrice Charoulet | 21 août 2020 à 21:48
« Sur le blog de Philippe Bilger, que je recommande, une dame à pseudo, qui est allée voir sur Facebook, déclare que j’ai, je cite, « une tête de raciste » ! Sympa ! Et fastoche ! La dame n’a pas de nom, n’a pas de tête et s’exprime sur un blog en toute liberté. Elle n’a pas dit une obscénité, elle n’a pas utilisé les injures qu’emploient les alcooliques devant les policiers le samedi soir (pédé, enculé, fils de pute, je nique ta mère…) qui encourent en tribunal correctionnel une assez belle amende. Je ne suis pas fonctionnaire de police. »
La dame à pseudo, qui n’a ni nom, ni tête, ni queue, se dit qu’elle vous doit une réponse.
Cette dame qui ne vous a pas empêché de déballer votre vie sur Internet, considère que vous lui devez la pareille, en conséquence de quoi cette dame mal embouchée ne doit pas être empêchée par vous de décider librement de ce qu’il lui plaît de dire ou de taire.
Cependant, elle note que votre cuir n’est pas épais, et suppose que par compensation, on pourrait vous accorder de faire une pétition, sur laquelle vous pourriez recueillir des soutiens pour une exclusion rapide et sans douleur de ladite dame, laquelle, par vices, manque de courage, et autres qualités de couards, n’emploie pas les mots qu’il faut pour insulter proprement les honnêtes gens…
Il serait alors possible pour vous, muni de ces soutiens multiples et variés, de vous tourner vers le Tribunal correctionnel, lequel d’une main qui ne tremble pas, jugerait, condamnerait, et enfin, le meilleur de monde se dévoilerait, telle Phryné…
Mon bon monsieur, vous devriez me présenter des excuses, pour user contre moi de moyens qui ne sont pas honorables, mais, magnanime, je vous en dispense avec joie, car il existe, dans la langue française, dont vous nous dites que vous l’aimez, un mot pour désigner ce que vous êtes et ce que vous faites, qui n’entre pas dans votre liste non exhaustive d’insultes d’alcooliques, mais qui est assez brutal pour conduire à la Bastille !
Oups ! On me dit que la Bastille a disparu, et donc que je n’aurai pas la tête coupée, mais que l’on me rognera les ongles jusqu’au sang !
Que ce monde est trépidant, que d’aventures en perspective, je me réjouis de vivre entourée d’homoncules dont l’héroïsme est à l’aune de mon éblouissement !
PS : Je vous rappelle les circonstances de cet échange, vous avez écrit que des têtes de Parisiens ne vous ont pas semblé conformes… à vos préjugés ?? Relisez Hugo !
Monsieur Bilger,
Vous auriez pu lâcher le gros mot : racisme anti-blanc…
Non qu’il embrasse tout le problème (de jeunes blancs répondent aussi à leurs mères-sans-mari) mais en l’occurrence, les racailles de banlieues cumulent les facteurs délétères.
Pour faire court, je pense que les policiers reçoivent les consignes de « laisser-faire » pour garder un fer au feu lors des élections en 2022 (contre Marine Le Pen) : Macron va encore nous faire le coup de la mobilisation anti-fasciste (ça peut marcher, si par exemple il surenchérit avec le « régionalisme du chasseur » – Bretagne, Poitou, Corse… territoires sanctuarisés, libres de racailles).
Très cordialement
Geoffrey, idéologue marxiste (et Belge)
@ poil à gratter
« Peut-être et sûrement un renvoi manu militari des inassimilables sera la seule solution. »
Euh, ce sera difficile, puisque la majorité des recrues de l’armée justement sont elles-mêmes d’origine africaine 🙂 Le « grand remplacement » y est même bien plus avancé que dans la population générale.
La meilleure solution serait donc, pour ceux qui refusent de s’assimiler à la France multiraciale, de la quitter…
Lamentable match et après-match…
Cette violence prend racine dans un discours distillé sciemment et de manière structurée par les « propagateurs » d’une idéologie non anti-occidentale ou anti-chrétienne, mais « pro-musulmane ». Qu’on le veuille ou non, l’Islam est une religion hégémonique.
N’oubliez pas que le racisme anti-blanc se sert de l’excuse du colonialisme, mais en définitive, c’est le « kouffar », le « mécréant », le non musulman qui est visé et tant mieux s’il est blanc et descendant de colon.
De plus en plus sur les réseaux sociaux on voit cette population investir les pages de Français de souche sur Facebook et propager ce genre de propos revendicatifs.
Si par malheur vous osez publier un article dans lequel on lit le prénom norvégien de l’auteur de la violence, pardon de l’incivilité, on se fait agresser direct et traiter de raciste. Votre publication est signalée aux modérateurs de Facebook, situés pour la grosse majorité au sud de la Méditerranée.
Pour ma part, je dis (avec regret mais lucidité) que l’abcès est tel que seule une amputation va (hélas) se révéler salutaire.