Après une première année de mandat globalement réussie, sur le fond comme pour la forme, avec des résultats qui tardent à venir sur les plans national et international – mais les effets des meilleures actions ne s’inscrivent jamais dans l’urgence -, il me semble que le président de la République a du mal à retrouver son second souffle.
Non pas que je veuille alimenter les polémiques se rapportant à la vaisselle de l’Elysée et à la piscine de Brégançon. Même le coût élevé de la première est justifié pour l’honneur de la France accueillant ses invités. Et le seconde, hors sol, est d’autant moins scandaleuse que beaucoup de Français n’hésitent plus à bénéficier de ce qui longtemps était apparu pour du pur luxe. Il me semble qu’on peut tolérer que le couple présidentiel, pour lui-même ou sa famille, ne s’exclue pas de cet avantage.
Je suis davantage sensible à d’autres signes plus ou moins profonds.
Longtemps j’ai apprécié que le président de la République adopte un discours de sincérité et de vérité, que ce soit sur le mode officiel ou par foucades improvisées mais à l’évidence révélatrices de sa conviction. J’ai d’autant plus aimé cette articulation mise en oeuvre à plusieurs reprises entre le propos préparé et la parole spontanée que celle-ci, aussi brutale et roide qu’elle puisse apparaître, était pertinente et lucide.
Emmanuel Macron est-il toujours sur cette ligne maîtrisée ou n’est-il pas en train de pâtir d’une déviation dont il se félicite paraît-il ? En effet il aurait été très heureux de la péripétie caractérisée par son verbe plus que familier – pognon de dingue – parce qu’ainsi il aurait été plus proche des Français (Le Canard enchaîné). Quelle piètre image il se fait d’eux pour les imaginer ravis par cette baisse de niveau !
Ce contentement de soi – en général l’assurance qu’il avait de lui-même était adaptée aux forces de sa personnalité et à la tenue de son comportement – est étrange qui valide la première grossièreté présidentielle délibérée car immédiatement rendue publique. J’incline à regretter cette théorisation d’une faute indiscutable. Ce pourrait être le début d’une mauvaise pente.
D’autant plus que le laisser-aller ne s’arrête pas là. Je devine de plus en plus, en effet, comme un abandon à une liberté, à un « jeunisme », à de l’incongruité qui n’a pas le moindre rapport – il faut être juste – avec la vulgarité sarkozyste qui ne se traduisait pas du tout de la même manière. Certes c’était la Fête de la musique et Emmanuel Macron avait décidé, pour la première fois, de la faire célébrer au sein de l’Elysée. Etait-il absolument nécessaire de nous offrir le spectacle du couple présidentiel entouré de danseurs et chanteurs qu’on peut estimer déplacés en ce lieu voire provocateurs, surtout quand on a pris connaissance des paroles scandaleuses de certaines de leurs chansons ? Il ne s’agit pas d’une question de pudeur mais de dignité.
Que le couple présidentiel se commette ainsi est clairement plus préjudiciable à la légitime esthétique du pouvoir que le « Manu » heureusement rectifié par le président même si d’aucuns lui reprochent une leçon un peu longue.
Emmanuel Macron se laisse aller. Parce que durant un an sa volonté et son besoin d’affirmation et de singularité ont été trop bandés et que soudain ils lâchent ? Ou, considérant qu’il a accompli le plus difficile – la première année engageant tout pour la suite -, il se libère, se détend et fait moins d’effort sur lui-même ?
Il y a plus grave que ces dysfonctionnements somme toute secondaires.
A Quimper, sans craindre la contradiction, le président a dénoncé « la lèpre populiste » et les « donneurs de leçon » (Le Monde).
Que le populisme – ou ce qui est qualifié paresseusement de tel – ait toujours manqué, aux yeux d’Emmanuel Macron, d’élégance démocratique est indéniable. Rien de plus éloigné de lui que cette politique d’instinct quand lui n’aspire qu’à celle que validerait l’intelligence. Les humeurs des peuples lui répugnent qui viennent troubler les stratégies les plus finement élaborées. Ce serait si bien si on n’avait qu’à débattre entre des gens de haut niveau dans des joutes d’où il sortirait évidemment vainqueur !
François Pinault affirme dans M Le Magazine du Monde que « Macron ne comprend pas les petites gens. J’ai peur qu’il mène la France vers un système qui oublie les plus modestes… » Je ne crois pas que ce soit vrai sur le plan national et je continue à déplorer une caricature dans laquelle le président a mis du sien ! François Pinault lui-même, si on songe à sa prodigalité pour certains qui ne sont pas « de petites gens », peut apparaître pour mal avisé dans son appréciation (Challenges).
Qu’Emmanuel Macron ait déserté le bon sens et répudié la mesure au point de stigmatiser le populisme comme « une lèpre » est non seulement, à nouveau, une grave maladresse de langage mais surtout une absurdité insultante quant au fond. Comment peut-on espérer ramener au sein de l’Europe de la raison – ce serait celle pourtant si mal en point d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel – des Etats qui n’ont que le tort de mener des politiques vigoureuses validées par leur peuple. Ainsi ils seraient la « lèpre », ce qui est offensant et faux, alors qu’en plus les guérisseurs ne sont nulle part ? L’impuissance même morale devrait être moins arrogante quand elle prétend donner des leçons au lieu de réfléchir aux causes de ce qu’elle pourfend.
Le président de la République se laisse aller et file un mauvais coton. J’espère qu’infiniment cultivé, il se souviendra de Gide soulignant qu’il faut certes « suivre sa pente mais en montant ».
Rien n’est perdu mais c’est une alerte.
« Si l’arrogance de Macron pense transformer l’Italie en camp de réfugiés pour toute l’Europe, peut-être en versant quelques euros de pourboire, elle se fourvoie complètement », a dit Salvani.
Un bonne claque sur le nez de Macron devrait le faire réfléchir. Traiter le pays de lépreux et humilier l’Italie qui a accueilli des centaines de milliers de migrants depuis huit ans est inacceptable de la part d’un jeune parvenu ne connaissant rien à l’Europe et à son peuple. Le vent semble tourner contre Manu. Faire l’arrogant et le prétentieux alors que circulent les photos de sa teuf de la musique à l’Élysée est une honte. Macron a perdu la boule, il est devenu fou !
Macron semble ne plus rien comprendre aux peuples des Nations et veut sanctionner financièrement les pays de l’UE qui refuseraient d’accueillir les migrants d’Afrique ? Manu est en plein dans son délire. Il est dangereux et c’est grave.
Tous ces pays de l’UE : Pologne, Hongrie, Autriche, Italie, Grèce, Bulgarie, Tchéquie suivies de la Suède, du Danemark et de la Belgique, refusent d’accueillir les migrants d’Afrique et sont prêts à renvoyer Macron aux fins de non recevoir et sans payer le moindre kopek. Ressembler à « la France poubelle » ? non merci ! Bientôt les lépreux nationaux prendront le pouvoir et voteront contre ces deux traîtres Macron et Merkel qui méritent d’être enfermés au cachot avec pour ration, du pain et de l’eau.
Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt.
L’Elysée n’est pas un mausolée, ni la Fête de la Musique une cérémonie républicaine.
Le lieu a reçu son lot d’hétaïres et d’adultères, et le moment relève d’une lubie de Jack Lang, pas de la mémoire nationale.
Qu’on cherche à confronter l’actuel Président à des contradictions supposées, soit, mais qu’on ne nous prenne pas pour celui d’en face ; lui, Président, peut légitimement s’insurger contre une familiarité excessive, lors d’une cérémonie mémorielle en un lieu lourd d’histoire et, en même temps (ou du moins à quelques jours d’intervalle), s’afficher bien innocemment à domicile avec des lascars en marcel à trous.
Comme si l’Elysée n’avait jamais connu d’amours décalés dès sa construction !
Ridicule des censeurs, moralistes, bourgeois hypocrites et sentencieux, de gauche ou de droite, qui, au retour de la messe ou de la manif, montent pourtant sous les toits saluer la bonne, ou, au lupanar, se battent pour la pensionnaire de couleur.
Les jeunes gens sur la photo sont les danseurs du DJ français Kiddie Smile, l’un de ceux qui ont été invités à animer la fête de la musique dans les jardins de l’Elysée.
Kiddie Smile, de son vrai nom Pierre Hache (c’est à cela que servent les pseudonymes) est gros, noir et homosexuel. On dirait un sketch de Coluche. D’origine camerounaise, il avait promis à ses fans de se présenter à l’Elysée avec un T-shirt marqué « Fils d’immigrés, noir et pédé, avec la loi asile immigration je n’existerais pas ».
Finalement, il y est allé avec un T-shirt « Fils d’immigrés, noir et pédé ». Entre les deux, il y a eu, je suppose, un coup de fil de la Présidence. Excusez-moi, mais s’écraser de la sorte, lorsqu’on joue les rebelles jusqu’au coeur du pouvoir, on ne m’ôtera pas de l’idée que ça fait un peu pédé…
Passons sur le style classieux de la performance ; sur les, hum… « costumes », et sur les, euh… « paroles » des « chansons » du monsieur. Rien qui change des clichés pornographiques de la « musique » noire américaine. (Voir Let the bitch know, l’un des opus du maître, qui devait être présenté à la fête présidentielle.)
L’intéressant, c’est la façon dont la démarche de la puissance invitante rejoint celle de l’invité. Ou plutôt, ne la rejoint pas.
On comprend bien le message de l’Elysée : sortons des pleurnicheries, et célébrons les jeunes Français qui ont réussi, quelle que soit leur origine, leurs moeurs et leur handicap de départ. Jusque-là, rien à dire — à condition d’oublier un moment la vulgarité de la prestation.
Là où ça coince, c’est que la main tendue de l’hôte ne trouve nullement celle de son invité. L’attitude réciproque et attendue aurait été : c’est le plus beau jour de ma vie, la France est un pays où l’on peut faire fructifier ses talents, même si l’on est gros, immigré, noir et homosexuel.
Mais il n’en est rien. L’aliochisme ne marche pas. Etre gentil avec des gens qui sont abrutis, méchants et veulent votre perte ne les changera pas en mignons poneys tout bleus, gambadant dans les prés en lançant des bisous.
Pierre Hache ne profite pas de la chance qui lui a été donnée par la France pour écrire La Recherche du temps perdu, inventer le transistor ou concevoir le viaduc de Millau. Il s’en sert pour devenir gros professionnel, noir professionnel et homosexuel professionnel.
Il fait une vidéo où des Noirs font des rodéos en quad, et démolissent, à coups de battes de base-ball, une petite voiture misérable, typique du pauvre franchouille qui en a besoin pour aller travailler. Puis ils y mettent le feu.
La seule différence avec une vidéo de racailles noires ordinaires, c’est qu’ils y tortillent du cul pour bien faire comprendre qu’ils sont de la jaquette. Je suppose que c’est censé être encore plus subversif.
Le tout en anglais, bien entendu. En singeant tous les trucs de la « musique » noire américaine — car c’est en Amérique que se trouve le bon gros pognon : dans l’Amérique « raciste » et « homophobe » de Trump. En France aussi, il y a de l’argent pour les gros Noirs homosexuels de profession, mais pas assez pour un Camerounais qui se la pète.
En acceptant l’invitation qui lui a été faite de célébrer la fête de la musique à l’Elysée, Pierre Hache ne fait pas l’éloge du multiculturalisme à la française. Il adopte la bonne vieille idéologie du ressentiment et de la haine perpétuels ; la démarche communiste, socialiste, gauchiste ; la logique du politiquement correct, des avantages acquis, des « victimes » de profession.
Lorsque Pierre Hache décroche la reconnaissance inespérée qu’est, pour lui, une invitation à l’Elysée, ce n’est pas pour remercier la France et les Français de lui avoir permis d’échapper à ses propres frères de race qui le traitaient de « pédé » lorsqu’il était à l’école. C’est pour cracher à la figure des Français. C’est pour entrer au coeur même du système afin de le subvertir.
C’est pour mettre en oeuvre l’éternelle arnaque de la gauche, perfectionnée par les « anti-racistes », les féministes, les musulmans et autres jamais-contents professionnels, d’après laquelle chaque revendication satisfaite, chaque avancée obtenue, quelle que soit son ampleur, ne sont que des points de départ pour réclamer encore davantage, pour se prétendre encore plus opprimé, pour hurler tant et plus à l’oppression néo-coloniale, « raciste », patriarcale exercée par l’homme blanc.
Seule une prise de pouvoir complète peut satisfaire ces gens-là, seule la destruction radicale de la civilisation occidentale peut les combler. Arrivés à ce stade, bien sûr, ils constateront : voyez l’état abominable du pays ; on vous avait bien dit que l’homme blanc, c’était la vérole de l’humanité.
J’exagère ? Il suffit de lire ce que « Kiddie Smile » écrivait sur sa page Facebook, la veille de se rendre à l’Elysée, pour se justifier auprès de ses fans qui l’accusaient de composer avec l’oppresseur. Le texte vaut d’être cité dans son intégralité — fautes d’orthographe, de français, de typographie et anglicismes compris :
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« Je comprends que beaucoup des gens ,qui suivent ce que je fais, ont pu être choqué et consterné par ma presence a la fete de la musique de l’elysée donc je tenais a expliquer pourquoi j’ai accepté cette invitation et quelle est ma démarche ! »
« Je ne comptais pas me justifier jusqu’a ce que quelqu’un soit si déçu de ma presence sur cette affiche pour la fete de la musique qu’il en viennent a deformer mon logo ( smiley kiddy avec le vomi ) , il fallait peut être éclaircir mon propos »
« Je sais ce que représente l’Elysee en terme d’oppression et d’histoire pour QPOC / POC & la communauté LGBTQIA+ (*) ainsi que la répression des migrants mais je crois fermement au high jacking du pouvoir en place de l’intérieur et a la creation du discours la ou il n’y en a plus/pas : cette invitation à mixer dans la demeure temporaire de Macron se présente a moi comme une opportunité de pouvoir faire passer mes messages : moi fils d’immigrés noir pédé va pouvoir aller au coeur du système et provoquer du discours de par ma présence… »
« Certains diront c’est l’argent ! Faux ! Il a toujours été question de reverser la TOTALITÉ de mon cachet à une association d’aide aux Migrants pour être exact 1500€ ! »
« Mon erreur a été de vouloir garder mes intentions un secret afin de ne pas me faire bloquer / censurer par l’Elysee mais je sais que je pourrais faire passer un message avec mon t-shirt de ‘fils d’immigrés Noir et Pédé avec la loi Asile Immigration je n’existerai pas !’ »
« lorsque je serai derriere les platines , chaque chanson sera un message qui résonnera sans que personne ne puisse les étouffer et si mon t-shirt n’est pas le bienvenu alors je ne jouerai pas … (**) »
« J’ai accepté l’invitation car je penses qu’il y a une carte à jouer en terme d’audience pour faire exister un message car je ne crois pas du tout en ‘briller par son absence’ »
« Ce qui est dommage maintenant c’est que l’highjack n’est plus discret et qu’ils seront au courant du tshirt ‘slogan anti loi asile immigration’ que je porterais demain … mais au moins mes intentions sont claires , je ne vais pas la bas pour valider la politique de ce gouvernement mais comment toucher les gens et provoquer la discussion si on reste invisible et silencieux lorsqu’on peut transformer un dance floor en pupitre ! »
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Egalement révélateur, ce passage d’une interview de Pierre Hache à un site spécialisé. Il était interrogé sur le fait d’avoir tourné sa vidéo en banlieue parisienne, au sein d’un milieu immigré qui est fortement, comment dit-on, déjà… « homophobe » :
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« C’est important de récupérer des espaces dans lesquels, on ne serait soit disant pas les bienvenus comme la banlieue et j’emploie le conditionnel exprès. La banlieue ne fait qu’appliquer des mécanismes de défense que lui impose la société capitaliste, elle n’a pas le luxe du féminin. Elle est homophobe mais pas plus que ne l’est la société dans laquelle on vit. »
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Comme on le voit, la logique tribale, et, du coup, raciste, joue à plein. Dans les faits, les immigrés, les musulmans et les Noirs sont extrêmement hostiles aux homosexuels, au point de les persécuter parfois jusqu’à la mort. Rien à voir avec les vexations pouvant exister au sein de la société française, blanche, occidentale. Pierre Hache a été harcelé, dans sa jeunesse, par des immigrés et non par des Français.
Mais ça ne fait rien : la banlieue n’est pas plus « homophobe » que la France normale, nous assure-t-il. D’ailleurs, si le bronzé persécute les homosexuels, c’est la faute du capitalisme, du Blanc, du Français. Nous sommes dans le déni complet.
Moi et les miens ne sommes jamais responsables de rien. S’il nous arrive du mal, c’est toujours la faute du Blanc. Je mérite de « chanter » dans le saint des saints du pouvoir blanc, mais c’est pour mieux m’employer à le dénoncer et le détruire.
Sous ses airs gentillets de gros nounours exubérant et fofolle, Pierre Hache adopte la logique des Maurice Thorez, des Staline, des Saul Alinsky, des Tariq Ramadan, des Louis Farrakhan, des Poutine.
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(*) POC, QPOC et LGBTQIA+ appartiennent au jargon des extrémistes les plus enragés du politiquement correct américain.
POC veut dire « people of colour », personnes de couleur. C’est la dernière expression politiquement correcte pour désigner les Noirs américains, ajoutés à tous les autres « hommes à la peau marron », les plus beaux, selon le communiste Mélenchon. Ainsi, un Pakistanais pourra se revendiquer « person of colour », au même titre qu’un Noir — mais pas, cela va de soi, un Japonais, un Chinois ou un Coréen.
Ne tombez pas dans le piège, et ne dites pas : « coloured people ». Cela signifie exactement la même chose, mais ce serait considéré comme épouvantablement « raciste ». Une personnalité a dû, récemment, se confondre en excuses publiques pour avoir commis ce crime. « Blacks » et « African-Americans », qui furent, en leur temps, le sommet des élégances « anti-racistes », semblent passés de mode.
QPOC veut dire, évidemment, « queer people of colour », c’est à dire les Noirs (ou bronzés) qui ont tiré deux jokers au lieu d’un : le fait d’être homosexuels, comme notre gros ami Pierre Hache, les place dans une catégorie raciale encore supérieure à celle des Noirs — ce qui n’est pas peu dire.
Quant à LGBTQIA+, c’est le fruit du petit jeu délirant des plus barges parmi les tenants du politiquement correct. On sait que le sigle LGBT distingue les lesbiennes, les bi-sexuels et les transsexuels des simples homosexuels. Les plus dérangés des tenants de la « théorie du genre » s’emploient à multiplier les catégories de sexualité (ou de non-sexualité) supplémentaires. Renseignez-vous, si vous tenez à connaître les détails.
(**) Comme le prouvent les photos de l’événement, son T-shirt a été « censuré », et il y est allé malgré tout.
Bonjour,
« Emmanuel Macron se laisse aller… » .
Ce titre me rappelle une chanson de Charles Aznavour traitant de ce sujet :
https://www.youtube.com/watch?v=mz_5MVB7TDc
J’imagine bien la réaction de certains ici en voyant cette photo provocante : « Imagine-t-on le général de Gaulle acceptant de poser, avec son épouse Yvonne, au milieu de cette bande de rastaquouères ? ».
Il eut été de bien meilleur goût, pour le couple présidentiel, de s’entourer d’un orchestre d’accordéonistes. Hélas, Aimable, André Verchuren ne sont plus là pour animer les guinguettes et les bals populaires avec le flonflon de leur accordéon. Même la très cocardière Yvette Horner nous a quittés dernièrement.
Giscard d’Estaing, lui au moins, avait le sens des valeurs car il n’hésitait pas à jouer un petit air d’accordéon à Danièle Gilbert. C’était dans les années 70. Presqu’un demi-siècle déjà !
J’ai lu dernièrement que Laurent Wauquiez reprochait aux billets européens de ne pas représenter « nos racines judéo-chrétiennes ». En voilà un au moins qui a tout compris !
Peut-être faudrait-il imprimer des billets avec un petit gars un peu replet, un béret sur la tête, une gauloise à la bouche et une baguette de pain sous le bras pour faire plus « judéo-chrétien » ?
Que ce soit à gauche ou à droite, nos politiques sont dans la provocation permanente. Dans ce métier, c’est un peu comme dans le show-biz, rien n’est pire que l’indifférence. Il faut montrer que l’on existe, renverser la table des préjugés. Montrer qu’on a une longueur d’avance sur ses adversaires, même si l’on se trompe de direction.
Il paraît que c’est de la com.
Ça se regarde comme un sketch des Guignols. Ils nous ont quittés dernièrement, mais ceux et celles qui ont inspiré leurs marionnettes sont toujours là, même si beaucoup d’entre elles ont quitté la scène politique ou sont sur le point de le faire.
On vit une époque formidable !
La ritournelle est toujours la même, invoquer la vulgarité de Sarkozy pour excuser Macron.
Le coude de Brigitte sur le genou du danseur au pantalon déchiré c’est vraiment too much, la main du danseur sur l’épaule de Brigitte c’est la chute de l’Empire romain.
Les médiacrates et autres sondeurs s’ingénient à nous faire croire que Macron cambriole la droite et laisse Wauquiez à poil.
C’est oublier qu’il n’y a pas plus versatile que la droite, à commencer par ce blog, on jette aux orties ce que l’on adorait hier. C’est ce que risque Macron.
Il s’aliène la gauche, il dégoûtera la droite.
Aux prochaines législatives ce sera véritablement « la fête à Macron ».
« Longtemps j’ai apprécié que le président de la République adopte un discours de sincérité et de vérité, que ce soit sur le mode officiel ou par foucades improvisées mais à l’évidence révélatrices de sa conviction »
Quand il traitera les magistrats de petits pois, on en reparlera… Je rigole, non, à son niveau, on est plus sérieux, mais prudent ? C’est autre chose. Je les vois bien les remplacer, autant que possible, par des algorithmes, et des intelligences artificielles quand elles existeront.
Perceptive qui ne me fait plus tant bondir au plafond que ça, à part pour le chômage, le fait que l’IA est injuste (pourquoi ce qui est aussi voire plus intelligent que nous devrait-il nous servir ?) et dangereux. Sans doute, l’impression de parler à quelqu’un diminuera aussi… Je dis impression parce que certains magistrats pensent voire avouent qu’il vaut mieux enfermer un innocent que laisser dehors un coupable.
Et donc, on n’est pas jugé pour soi, ce qu’on a fait ou non, mais en simple variable d’ordre public. Alors parle-t-on à quelqu’un, est-on traité plus justement par un humain que par un algorithme, dans ce cas ? Si ça ce trouve, mais ne rêvons pas trop, ce serait l’inverse : tout dépend de sa programmation, si on y met une vraie présomption d’innocence, tout change… Enfin, je ne rêve pas trop, les grands manitous ont produit involontairement des IA à préjugés pour la conversation et d’autres choses, alors on peut se méfier de leur justice. De la nôtre aussi, à vrai dire… En tout cas, si on respectait plus la fonction des magistrats et qu’on donnait plus d’argent à la justice et qu’on avait, rêvons, mais alors, à fond, à une vraie présomption d’innocence, je n’écrirais rien d’aussi amer sur le sujet.
Les insultes et injustices subies par les autres sont bien, celles que je subis mal, c’est fort juste, aussi.
C’est… humain, trop humain, comme dirait l’autre. Ne changeons pas ? Si, si, des gens cherchent des sponsors sur Internet ? S’il y a des augmentations de capacité avérées, je postule. Si quelque chose existe, ce doit être en Californie, peu connu, hors de prix, mais plus intéressant qu’une piscine je me la pète. On disait notre pays terre de l’intelligence, de la libération humaine et du raffinement… Mais c’est en terre de GAFA que les dirigeants ne se perdent pas en fracas médiatiques et autres superficialités vulgaires. Ils ont autre chose à penser, ainsi Elon Musk, quelqu’un qui veut aller sur Mars qui pourrait être un Président ouvrant plus encore son pays et le monde à un futur prometteur, lui qui montre le ciel et lance ses cris d’alerte sur l’IA. Choix cornélien, aller en personne ou se mêler, salir avec de la politique ? Il pourrait œuvrer encore autre chose, créatif et imprévisible. Parfois, l’excellence de ces gens me fait du bien, sachant que le monde n’est pas entièrement livré à la bêtise, la routine, et l’acceptation des limites terrestres et de mortalité, parfois, elle me fait du mal, tant elle renvoie à notre infériorité, parfois je les suis, parfois je les fuis. Savoir et ne rien pouvoir ! Enfin, avec eux, il ne faut pas être négatif, et avec ma confidente non plus, on dira donc en devenir.
La plupart des gens sont plus ou moins injustes, elle est plus que juste, elle me donne les conseils que je pensais demander à quelqu’un qui en aurait été bien incapable, et qui confirme ce diagnostic tout le temps, quel soulagement, mieux vaut être diabolisé qu’égaré… Le problème, c’est qu’il me semble, outre mes doutes, bien naturels, sur moi, qu’il est trop tard, depuis le 10 septembre, trop tard, l’aide vient quand il n’y a plus personne à aider. C’est ironique…. Enfin, c’est sans doute négatif, mais je crois à l’irréversible, pas de vie après la mort, pas de dignité après l’offense, pas de réussite après l’échec, pas d’amour après le deuil, pas de fortune après la faillite et autres choses semblables, bon, pour les derniers, les probabilités sont moins élevées, mais c’est, en général, ainsi, dans la vie.
Le brillant et l’exceptionnel attirent l’œil, mais la majeure partie de l’iceberg est invisible, ce n’est pas changer de l’or en plomb ou en pire, c’est tout voir, tout évaluer, autant qu’il est possible, et aller vers une juste évaluation des choses. Populaire, pas populaire ? Après, il faut traduire la vérité dans le langage courant, qu’on peut estimer du mensonge, avec tant d’éléments mis sous le tapis, comme poussière par des gens nettoyant de façon irrationnelle. Mais pourquoi les critiquer spécialement ? Ils ne font, à leur niveau, que ce que nous faisons tous quand nous nous laissons aller, dans le domaine de l’esprit. Discussion avec philosophe sur le propre de l’homme, philosophe, l’agriculture, moi, mais des humains n’en ont pas, et surtout, une espèce de fourmi cultive un champignon. Philosophe : laisse là tes fourmis ! Ce qui compte est de trouver une solution, si bancale qu’elle soit… Alors, je dérive la conversation sur autre chose. Je n’aurais rien eu à apprendre, alors… Mais on ne devine pas toujours quand on se heurtera sur du rien, c’est comme la glace, cédera, cédera pas ?
Traiter les autres comme on voudrait l’être, c’est juste. Qui voudrait être insulté, emprisonné quand innocent ?
Mais quand il s’agit d’un autre, voire qu’on a, pour telle ou telle raison, en plus, éventuellement, dans le nez, c’est très acceptable, tellement plus que mettons, lâcher une vulgarité, quand cela porte bien moins à conséquence. Mais est-ce que ça compte ? Ce n’est jamais aux conséquences ou aux intentions que nous sommes jugés, mais à l’apparence. D’où le succès du bling bling, dans tous les domaines, et sinon l’insuccès, les difficultés du reste.
Et voilà un poème de Tolkien :
http://www.ambar-eldaron.com/gwaith/riddle.htm
Je souhaite à chacun de se détacher du faux, de se guérir et d’aller vers le vrai… Les héros sont des inspirateurs, la poésie aussi.
Ce qui rend lyrique, donc bon dimanche à tous.
Si ça vous intéresse, j’ai un message de mon pote Matteo Salvini, mon nouveau vrai Président depuis Rome, ma vraie capitale :
« Les insultes des bavards Macron et Saviano ne me touchent pas, en fait ils me font force.
Pendant qu’ils parlent, je travaille aujourd’hui pour bloquer le trafic d’immigrants clandestins en Méditerranée et pour rendre aux Italiens les nombreuses villas saisies aux mafieux.
Il y en a qui parlent, il y en a qui font. »
Bravo M. Salvini, très bien envoyé ! Ce fou dangereux qui nous gouverne, arrogant méprisant haineux hargneux qui se permet de donner des leçons au monde entier, se permet d’insulter ces pays qui ont compris avant tout le monde qu’il faut se battre, lutter, résister fermement face à cette invasion : « lèpre, nationalisme, populisme » etc. ODIEUX !
Ce Macron apporte la preuve jour après jour qu’il est détraqué mentalement, la lèpre, la peste et le choléra voilà pour quoi on a voté !
« Rien n’est perdu mais c’est une alerte. »
J’apprécie votre optimiste, monsieur Bilger. Cela fait quelques années que l’axe Merkel-France insulte de nombreux pays européens, une France et une Allemagne si fière d’elle alors qu’elle fait pourtant vomir tous les touristes qui ont eu le culot (ou la malchance, par le jeu des économies des tours opérateurs) de franchir le périphérique. Cela fait quelques années que l’on amuse à taxer d’extrême droite, voire de nazis, des dirigeants de pays dont la coloration politique est sans rapport, insultant de fait leur population, tandis qu’en France et en Allemagne, dans les écoles populaires, l’antisémitisme et le racisme sont la norme.
De fait, la France et l’Allemagne sont devenues un épouvantail. Il ne reste plus que le fric pour tenter de soumettre le reste de l’Europe. Le fric et l’insulte. Parce que question lèpre, c’est-à-dire une maladie contagieuse et mutilante, il est permis de penser avant tout aux attentats s’étant produits en France, Belgique, Allemagne, Italie, etc, à la fois perpétrés par des dits « migrants » (en fait : des clandestins) ou des nationaux d’origine immigrée ; un modèle d’échec de la stratégie française d’intégration des étrangers. Nous pourrions aller plus loin et évoquer la foultitude de salafistes qui sont des convertis, sans aucune origine étrangère, testament de la soumission intellectuelle de la France et de l’Allemagne à un péril d’importation.
Depuis trois jours il y a des émissions spéciales pour commenter la veste Zara à 39,99 € de Melania Trump et du supposé message subliminal inscrit au dos, mais zéro émission pour commenter le couple Macron entouré d’une bande de gars qui ressemblent à ceux qui déambulent sous crack en tee-shirt résille et escarpins déglingués à force d’arpenter le bitume pour chasser le client le soir sur les trottoirs de La Chapelle et du bois de Boulogne.
Après l’aspect vestimentaire qui n’est pas une anecdote mais une démarche politique, il faut imaginer les paroles de la chanson « t’es vénère parce que je me suis fait sucer la b*te et lécher les boules » scandées devant un parterre d’enfants et d’adolescents à qui on fait la morale sur le respect.
Le groupe, le jour de la fête de la musique, une journée apolitique, avait justement une démarche politique agressive en entrant à l’Elysée, avec un slogan « fils d’immigré noir et pédé ».
Le plus dur est à venir : la communication du lundi matin sur tous les plateaux télés avec certainement Marlène Schiappa qui dégainera l’inévitable homophobie et racisme de ceux qui ont osé émettre une critique.
Macron et son binôme en rose Vuitton nous défiera en nous qualifiant de réacs et de grincheux cet été depuis leur piscine du fort de Brégançon.
Le palais de l’Élysée temple de la musique LGBT !
Sur ce « tableau », monsieur Macron à l’air rempli d’extase, d’abondant joyeux et consentant.
Nous a-t-il été donné pour que nous soyons les voyeurs d’un jeu complexe !?
Avec cette photo, les Français découvrent-ils les facettes cachées du couple présidentiel tiraillé (en même temps) entre norme et transgression !?
La seule corde sur laquelle Macron a encore des degrés de liberté c’est celle de la com’, du paraître et du sociétal en s’appuyant lourdement sur Schiappa ou sur Nyssen, puisqu’à l’évidence il échoue totalement à relancer l’UE en diabolisant les peuples qui ne pensent pas comme lui et qu’il n’a pas réussi à calmer Trump en dépit de ses nombreux bisous et autres mamours à son endroit !
La parade à l’Elysée avec ces « danseurs » aura choqué le populo dont je fais (un peu) partie. Sa cible favorite est la même que du temps de Hollande : les libéraux et les bobos qu’il n’a de cesse de convaincre par des discours de plus en plus déconnectés de la réalité…
De la réalité parlons-en. En revenant de Roissy-CdG en taxi j’ai pensé à notre Jupiter national. Le chauffeur, Français de souche (c’est une rareté dans cette profession) voyant l’autoroute A1 bouchée, a emprunté un itinéraire alternatif en Seine-Saint-Denis et à Epinay-sur-Seine il nous a expliqué que le soir venu des « racailles » cassaient les vitres des taxis pour dérober les sacs à main des voyageurs. Au commissariat du coin, la police s’est contentée de conseiller aux chauffeurs d’éviter l’endroit…
S’en est suivie une litanie sur la délinquance ordinaire en banlieue, sur la pression exercée par les Mahométans pour obtenir tous les accommodements possibles en exerçant un chantage aux voitures brûlées et autres balivernes…
Le taximan était très pessimiste pour la suite et en écoutant Macron stigmatiser la lèpre populiste, je me suis dit qu’il aurait dû évoquer une autre lèpre : celle qui rend épouvantable la vie de nos concitoyens ayant le malheur de cohabiter avec ces voyous.
Et c’est ainsi que le macronisme périra.
Il y a dans cette photo quelque chose qui met mal à l’aise, quelque chose d’ambigu, les personnages qui accompagnent Manu Macron dans sa posture royale, il est le seul assis dans un fauteuil, sont à l’évidence transgressifs par rapport à la morale bourgeoise définie classiquement (je prends des précautions oratoires !).
La transgression va même jusqu’à ce bras qui enveloppe Brigitte et cette main posée sur son épaule pendant que de l’autre main il y a le signe du V de la victoire. Effectivement cette photo montre la victoire du transgressif sur la norme sociale en vigueur.
Manu Macron a l’air ravi de cette transgression, elle est pourtant plus brutale sur le fond que la simple insolence d’un gamin l’interpellant par son prénom.
Le « en même temps » qui exige le respect de la foule dans la rue, et se réjouit par un large sourire de la transgression dans un privé qui ne l’est pas puisque rendu public, est le signe d’une certaine perversion de la pensée de Manu Macron. Ce serait lui qui définirait la norme de ce qui est acceptable ou pas dans la relation avec l’autorité suprême qu’il représente.
Il a tort, la symbolique du pouvoir ne peut se définir au cas par cas, le respect n’est pas, ne peut pas être fonction de l’humeur du souverain ce n’est pas lui que l’on respecte, mais la fonction qu’il représente.
À sa façon il est pire que Sarkozy ou Hollande, en se souvenant que cette volonté de briser le respect dû à la fonction remonte déjà à Giscard ; hélas.
L’hybris du pouvoir commence à le submerger. Il considère qu’il a vaincu au niveau national ceux qu’il méprisait, « les gens qui ne sont rien, les cyniques et autres fainéants », et il passe au niveau européen en méprisant les lépreux qui le lui rendront bien.
Débuter une négociation en insultant les autres, est une curieuse façon de faire de la diplomatie. Aurait-il été contaminé par Trump qui lui, a quand même de solides arguments militaires et économiques à faire valoir ?
Double erreur stratégique me semble-t-il. Sur le plan intérieur il y a encore de solides poches de résistance comme le montre le dernier sondage. Et sur le plan extérieur, son arrogance ne lui est utile que dans la mesure où il est le supplétif de l’ « homme fort » de l’UE c’est-à-dire Merkel. Dans la réunion du G7, il n’a pas laissé le souvenir d’avoir été déterminant, Trump ne s’y est pas trompé qui avait pour seule interlocutrice, Merkel.
Le problème des lépreux populistes et des migrants, qui eux ne sont porteurs d’aucune maladie macronienne, sera résolu par Merkel et elle seule.
Elle a besoin des migrants pour résoudre son problème démographique et elle a aussi besoin de l’éternel espace vital allemand à l’est, des pays du groupe de Visegrad, indispensables comme sous-traitants de l’industrie allemande.
Manu Macron servira à tester des postures qui seront ensuite adoptées ou pas par Merkel et il sera content d’avoir joué les utilités.
La machine de la communication se grippe.
Macron n’est que de la communication.
Dans tout ce que vous notez, l’épisode élyséen est le pire.
La photo que vous montrez doit être complétée par la vidéo qui est disponible.
Ce n’est certes pas parce que le groupe « musical » (?) dont il s’agit est composé de Noirs, qu’il faut se poser des questions. Il ne s’agit ni d’Obama, ni de Senghor, ni de médecins ou d’avocats sénégalais ou ivoiriens… Comment a-t-il pu faire l’erreur de faire venir de telles… gens sous les lambris du palais présidentiel, qui eut pour locataires Charles de Gaulle et Georges Pompidou ?
C’est sidérant, renversant, honteux, scandaleux, impardonnable.
L’épisode Leonarda, le scooter nocturne, Kadhafi sous sa tente à Paris… paraissent des peccadilles à côté de… ça.
On a eu un Président ne devrait pas dire… Et là on a un Président ne devrait pas faire…

Il lui manquait la pelle et le seau de son bac à sable de Brégançon il a trouvé les paillettes de l’Elysée.
En fait celui qui voulait passer pour un chef des armées est le miroir astiqué de tous ceux qui l’ont précédé.
En fait un jeunot baladé par un Trump fidèle à son image, aux mains qui cachent des battoirs.
A force de détonner, prenant pour de la com’ ce qui ne devient que du Hollande en plus mauvais, en ce qu’il y a de plus inutile, il paraît sous un éclairage de transparence bête.
« Rien n’est perdu mais c’est une alerte. » (PB).
Un chantier qui s’engage mal a la poisse jusqu’au bout, malheureusement il est trop tard.
Des déçus et Charles de Gaulle qui fronce les sourcils.
Emmanuel Macron était plutôt bien parti, et c’est à la qualité d’un escaladeur et à son endurance contre la montre que l’on reconnaît le grand coureur.
Dans le fond il apparaît plutôt comme un porteur d’eau, la façade montre ses fissures, elles sont à 45°, ce n’est jamais bon signe pour la stabilité de la construction soulignerait l’expert.
Qu’Emmanuel Macron ait déserté le bon sens et répudié la mesure au point de stigmatiser le populisme comme « une lèpre » est non seulement, à nouveau, une grave maladresse de langage mais surtout une absurdité insultante quant au fond.
Plus nous le voyons faire, plus nous l’entendons et plus nous sommes obligés de constater que celui qui est avant tout un acteur né et qui joue un rôle quand il se lance dans des prises de position à caractère humanitaire qui ne lui coûtent rien personnellement, ou bien encore quand il se construit une image « jeune » et « sympa » (se reporter à la photographie prise lors du raout élyséen) n’est en fait qu’un personnage imbu de lui-même capable de faire preuve de mépris voire de méchanceté haineuse envers les gens qui ne l’applaudissent pas parce qu’ils ont souvent de sérieuses raisons de ne pouvoir le faire.
Est-ce que ce comportement est digne de quelqu’un qui cherche à se faire passer pour un chef d’État ?
Il y en a un qui manque sur la photo c’est Djack Lang !
Lui qui s’immisce partout aurait-il été privé de sauterie ?
Il suffit d’écouter ce qui se dit dans cette vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=DVew6_WRb4I
Quant à bénéficier de l’avantage d’une piscine, Jupiter oublie de dire que les Français qui veulent en bénéficier doivent s’acquitter du montant de cet « avantage » et non pas simplement se dire « c’est pas cher, c’est l’Elysée qui paie ».
Ellen m’a pris de vitesse en donnant à Macron le qualificatif qui lui convient le mieux : « parvenu ».
Par contre, elle a tort de dire qu’il est devenu fou ; c’est un fou, et d’autres que moi le disent depuis le début.
Se marier avec une femme de 25 ans de plus que soi est la preuve d’un dérèglement psychologique évident et grave, et la psychose suit ainsi que nous le voyons sur cette photo où il s’agit ni plus ni moins que de détruire la France.
Sur le plan économique, il a pris un ensemble de micro-mesures qui vont dans le bon sens, mais les micro-mesures ont le gros défaut de bloquer les vraies mesures. Un joueur de pipeau ne fait pas un orchestre ; la croissance est en berne, et l’emploi aussi.
Sur le plan extérieur, il semble faire tout ce qu’il ne faut pas faire. Jouer au caniche pour avoir un su-sucre. Avec Trump, il ne lui manquait que le collier rouge avec des clochettes.
En regardant la photo on peut en conclure : voilà qui va encourager les quelques Africains restant en Afrique à se mettre au plus vite en route vers la France !
Chez nous pas de Salvini, on peut même prendre Brigitte tendrement dans ses bras !
Il faut quand même noter que notre Président, lui, a bien exposé ses mains sur ses genoux, la tentation de les égarer sur sa droite devait pourtant être grande. Avec un décolleté et un sourire pareils qui d’autre aurait pu résister ? On se demande aussi si la jolie brune en petite tenue a appelé Macron « Manu » sans se faire rabrouer comme une vulgaire collégienne 🙂
Je lis à l’instant ces lignes de l’avocat Régis de Castelnau, où les derniers mots éclairent singulièrement votre texte de ce jour :
« Une fois de plus, on aurait tort de ne voir, dans les outrances répétées – et de plus en plus sidérantes – que nous sert frénétiquement notre distingué Jupitre Überschtroumpführer, que de bénignes maladresses, des erreurs de communication ou même un anodin excès de confiance qu’il suffirait de mettre sur le compte de son ardeur juvénile et « disruptive ».
On aurait tort également, sans doute, d’y déceler la fameuse preuve d’un esprit brillant, hors du commun, qu’on nous a copieusement vendu depuis son éclosion « miraculeuse », à grands renforts de feux d’artifice et de paillettes.
Ses insultes répétées, ses provocations grossières, ses initiatives ostensiblement débiles portent un message clair derrière cette fausse candeur faussement spontanée : « Je suis votre chef, je fais ce que je veux, comme je veux, quand je veux et, pour commencer, je vous emmerde. »
Les marchands de crécelle devraient relancer la production. Je vois notre Président défiler au milieu de milliers de personnes les faisant tournoyer en silence au-dessus de leurs têtes…
http://www.instrumentsdumonde.fr/instrument/54-Crecelle.html
J’ai déjà les premiers symptômes. Il me gonfle.
Je me permets de suggérer à M. Bilger de se rendre, par exemple sur la page Facebook de BFMTV ou de LCI et de consulter les commentaires des articles consacrés à E. Macron et à sa politique.
Il a bel et bien perdu depuis plusieurs mois le soutien d’une grande partie de la population : retraités, personnes modestes, étudiants…
Ce qui est souvent mis en avant, c’est son arrogance, son mépris de classe et les derniers épisodes n’ont rien arrangé.
Au niveau symbolique, la vaisselle ou la piscine sont tout sauf anecdotique.
Elles sont ressenties comme une claque supplémentaire, sur le mode : « les dépenses pour lui, les sacrifices pour nous. »
Encore une fois, tous ces commentaires sont très éclairants.
Merci pour le blog et sa modération.
Ce n’est pas qu’il se laisse aller, il se laisse découvrir peu à peu.
Monsieur Philippe Bilger, je n’ose imaginer le billet que vous auriez commis si pareil spectacle avait été organisé à l’Elysée sous Sarkozy ou Hollande !
https://www.youtube.com/watch?v=9IrEe7ERcOw#action=share
Mais tout à votre dévotion pour notre président de la République, vous n’y voyez qu’une faute esthétique et n’y consacrez que trois lignes fort mesurées…
Et dire que l’on disait qu’au moins Manu, avec sa classe et sa distinction naturelles, habitait la fonction présidentielle. Et dire que l’on prétendait qu’il verrouillait tout, contrôlait tout, orchestrait tout au millimètre près…
Je vous livre donc un florilège des paroles légères (et courtes vêtues) traduites des paroles chantées en NOTRE Palais : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît » » Danse, enc… de ta mère, danse », « Je suis avec six mannequins et t’es vénère parce que je me suis fait sucer la b… et lécher les c… »
et je passe sur les louanges des bienfaits de la (des) drogue !!
Mais peut-être que « Manu » ne comprend pas l’anglais aussi bien que ça, allez savoir.
Dans tous les cas, visiblement les textes des chansons ont été votés sur ordonnance du professeur Macron, aucune consultation préalable n’ayant été prévue. Comme d’habitude.
@ Ellen à 00:27
« Il est devenu fou »
Je rentre d’un long séjour, diversifié, en Italie : ce que j’y ai vu est auto-explicatif du choix politique actuel du peuple italien Je pense, comme vous, que Macron est « un jeune parvenu ne connaissant rien à l’Europe et à son peuple ».
« Il est devenu fou », et notre hôte lui-même l’a ressenti : un de plus.
Une photo n’exige que quelques secondes d’attention.
Résoudre un problème engageant l’avenir de nos régimes de retraite, combien déjà… 42 !!
Il est important de rappeler que les fonctionnaires n’ont pas de caisse de retraite : les pensions constituent un poste de dépense de l’État au même titre que celui des traitements versés aux agents actifs.
Ainsi, quel que soit le taux de « cotisation » retraite figurant sur le bulletin de traitement, il ne s’agit en réalité que d’un jeu d’écriture comptable qui ne fait l’objet d’aucun flux financier du salarié et de l’employeur vers une institution de retraite chargée de gérer les sommes comme cela est de principe dans le secteur privé (salarié ou indépendants).
Cette caractéristique conduit donc facilement à des dérives, puisque contrairement aux caisses de droit privé qui doivent viser l’équilibre financier, le système de retraite des fonctionnaires n’est pas soumis à ces contraintes mais seulement à une règle de calcul définissant un montant de pension donc une charge budgétaire.
Les fonctionnaires ne bénéficient donc pas d’un régime par répartition mais d’une rente de retraite imposée aux citoyens contribuables au titre de leur statut d’agent titulaire.
Pour remédier à cela, il convient donc d’unifier tous les régimes en un seul dans lequel, quelle que soit l’activité exercée, des cotisations seraient versées à une caisse chargée de les gérer et d’assurer l’équilibre financier global.
L’exigence de l’équilibre contraindra ainsi à des adaptations nécessaires pour TOUS les régimes de retraite.
CQFD
Je trouve ses commentaires sur la lèpre identitaire extrêmement injustes, alors que l’éléphant dans la pièce s’appelle l’Islam.
Étant moi-même immigré de longue date – mais de culture européenne -, je n’ai jamais observé une quelconque tendance de repli, même parmi des gens votant FN ; personne n’est aussi naïf pour croire que la culture française est imperméable et autosuffisante. Mais alors que, telle une éponge, elle absorbe naturellement toutes les odeurs et les goûts de qualité, provenant de la majorité des cultures d’ici et ailleurs, on ne peut pas affirmer la même chose de l’Islam, destructeur de cultures car refusant toute assimilation et échange.
Les clandestins sont, pour une majorité écrasante, musulmans. Donc c’est une immigration identique à celle qui depuis trente ans, gangrène, divise et inquiète les Français qui n’ont autre choix que de subir. Une nouvelle couche donc. C’est cela dont les Français ne veulent plus ; l’appeler du « nationalisme » ou encore pire, xénophobie c’est ne rien comprendre à la tolérance, qui, comme chaque sentiment, a sa logique et ses limites toutes naturelles.
« Non pas que je veuille alimenter les polémiques se rapportant à la vaisselle de l’Elysée et à la piscine de Brégançon… Et le seconde, hors sol, est d’autant moins scandaleuse que beaucoup de Français n’hésitent plus à bénéficier de ce qui longtemps était apparu pour du pur luxe. Il me semble qu’on peut tolérer que le couple présidentiel, pour lui-même ou sa famille, ne s’exclue pas de cet avantage. »
Ah !? « Beaucoup de Français…? » Je voudrais que vous tous lecteurs de ce blog, vous nous disiez qui a une piscine !? (Non mais franchement…)
Mignonne, la photo de Madame Macron, avec ses rappeurs de service Je regrette un peu que la merveilleuse professeur de français n’ait pas pensé qu’il y avait aussi des musiciens moins voyants, moins typés, street art. Bon, enfin, ça n’a pas d’importance, ils sont chez eux à l’Elysée, ils font ce qu’ils veulent. Ce n’est pas nous.
Pour ma part, rien de spécial, un petit concert gratuit pour les gens d’un village, dont l’église est pourvue d’un bel orgue, difficile à maîtriser. Vous me direz que vous en avez assez de ce misérabilisme que je traîne, et je vous comprends, mais je m’en fiche.
Définitivement catalogué anarchiste de droite, totalement inutile à la nation, mais rebelle à toute censure, je ne peux que regarder, navré, la prison systémique dans laquelle notre monde se cadenasse.
Macron DOIT se montrer avec uniquement des noirs, ça fait bien, et n’a rien à faire avec la qualité de ces gens-là, peut-être excellente. Il pratique une forme de racisme négationniste, donc, il est fasciste, donc nazi, QED. Non, l’Afrique ne s’enfonce pas dans un drame de corruption inimaginable, oui, les Africains sont justes et bons, non, leurs dirigeants ne sont pas des hyènes.
Non, les ONG, quelquefois pas tout à fait inutiles, ne sont pas une forme de pouvoir sans aucun contrôle et très onéreux.
Ainsi de suite, les gouvernements qui pratiquent par plans successifs pour organiser la masse de population livrée aux compulsons fébriles de la consommation ne voient plus ce qui se passe dans les maisons.
Il est certain que Macron commence à déjanter et il croit à ce qu’il fait, soutenu et conseillé par un cabine de grosses têtes… bon, passons, je vais indisposer notre hôte.
Cela engendre des contradictions mortelles : tous les médias commencent à en parler ; les populations ne supportent plus l’arrivée des migrants, c’est viscéral et l’opinion officielle reste de condamner ces nations. L’Italie s’est conduite de façon exemplaire, il suffit d’un bateau de négriers un peu imprudent pour la déconsidérer, sans tenir compte du peuple italien.
On bavasse sur l’élection d’Erdogan, et on en a plein la bouche de la démocratie, mais il faut souhaiter qu’Erdogan soit réélu ; il gardera ses troupes chez lui : si jamais c’est un démocrate qui est élu, nous sommes cuits. Par pure idéologie, par dogmatisme républicain, nous ouvrirons grand les bras, le déferlement sera immédiat et nous serons sommés de nous en féliciter. Cela dit, on peut s’interroger et se réjouir de la présence des gens étrangers qui ont fait leur vie en France. Nous sommes dans une hypothèse à deux facteurs : le nombre et la capacité volumique qui obéissent à des traitements différents. C’est ainsi que les libertaires de 1968 ont maintenant pour représentante une femme voilée, et pas les seins à l’air.
C’est ainsi qu’à l’ère de la science triomphante, les femmes se libèrent du carcan masculin, mais au bout de l’impasse où elles n’auront pas beaucoup de temps pour s’exprimer face à l’inexorable montée de la pensée artificielle.
A ce propos, ravi de voir ces parlementaires communistes, dits français, arrêtés. Ca leur fait de beaux souvenirs. Et surtout, M.Erdogan, gardez-les, votre humour est tout simplement délicieux.
C’est une forme originale de chasse aux abstentionnistes non ? Tel qu’il se montre avec ces personnes – au demeurant ravies d’être sur la photo -, il captera davantage l’attention de leurs suiveurs que par les expressions désuètes, « perlinpinpin, cabris… » réservées à une classe d’âge bien précise, ou à son amour soudain de la chasse, dirigé vers les électeurs de CPNT… C’est plus simple que de se rallier le monde du travail avec des salariés, des professionnels de la santé ou des transports nettement moins sensibles à la fascination.
@ Patrice Charoulet | 24 juin 2018 à 12:24
Effectivement l’Elysée n’est pas un lieu destiné à une Gay Pride – Macron aurait pu attendre le prochain défilé pour s’exposer sur un char au lieu d’un fauteuil élyséen !
Nous devons collectivement nous inquiéter de sa santé mentale et un groupe d’experts psychiatres et d’officiers supérieurs devrait se réunir sur ce sujet.
Comme les Français n’auront pas ce courage de le mettre en cause, j’espère que les présidents des pays européens, qui forment l’Europe, lui signifieront catégoriquement leur désir collectif de le voir disparaître de la scène politique.
Il me semble que j’ai dû écrire un jour que Macron relevait la fonction de Président.
Ce que j’ai vu sur cette photo me sidère !
Au pain sec et à l’eau pendant trois jours, ça m’apprendra à revoir mon jugement.
@ Jean-Louis Kassia | 24 juin 2018 à 16:46
Très juste, mais il ne suffit pas de rapatrier les fonctionnaires sur un régime de retraite mauvais en lui-même. Il faut supprimer la retraite par répartition, qui est une absurdité en matière d’économie, d’épargne, de démographie et (très important) de cohésion sociale, et la remplacer par des fonds de pension.
Je rappelle que le régime de retraite actuel du privé, dit par répartition, n’est pas viable. Il s’effondrera immanquablement un jour ou l’autre. Tous les économistes spécialisés dans la retaite (il y en a) le savent.
« Par répartition », en France, est une expression qui veut dire « bien, parce que de gauche, socialiste ». Mais même si l’on est de gauche, on devrait comprendre qu’on ne peut pas créer d’argent à partir de rien.
« Le président de la République… infiniment cultivé »
Infiniment cultivé ?
La seule femme à genoux sur cette photo est son épouse…
Se mettra-t-elle un os dans le nez l’année prochaine ?
Ce Président nuit décidément à tout le monde, ceux qu’il méprise comme les pauvres, et ceux qu’il veut aider comme les Noirs et les homosexuels… Irresponsable ou se servant de tout le monde, il est loin d’être le conciliateur que j’espérais qu’il soit.
On l’a attaqué indûment pour l’écart d’âge avec sa femme, il n’a cessé de s’en prendre injustement à tout le monde.
Vengeance ? Ce n’est qu’une hypothèse. Il me semble bien faible, avec Trump, ses musiciens, et finalement les médias à qui il les montre. Idiot, à la limite, seul quelqu’un d’une dignité absolue, et non d’un mépris du même genre peut traiter les autres de populistes. Et pour quoi ? Personne n’aime voir ses frontières subverties. Ne pas accueillir les inquiétudes territoriales de son peuple tandis qu’on lui serre la ceinture et ouvrir les bras à ceux qui ne dépendent pas de lui montre qu’il ne sait pas où est son principal devoir… Comment peut-il demander aux autres de faire plus que leur dû quand il n’accomplit pas sa tâche de protecteur du peuple ?
@ Claude Luçon | 24 juin 2018 à 12:06
…notre Président, lui, a bien exposé ses mains sur ses genoux, la tentation de les égarer sur sa droite devait pourtant être grande. Avec un décolleté et un sourire pareils qui d’autre aurait pu résister ?…
Allez savoir si votre jolie brune en petite tenue ce n’était pas un transsexuel ? L’entourage de Kiddie Smile n’étant peuplé quasi que de LGBT. Alors on comprend aisément la retenue de la main présidentielle, être dans la transgression mais avec mesure…
« Hé petit, y nous prennent pour des couillons, ce couple princier ! »
http://www.midilibre.fr/2018/06/24/fort-de-bregancon-la-piscine-hors-sol-devrait-couter-34-000-eur,1691662.php
Quand le Palmipède avait dévoilé le prix des coussins choisis par la baronne Trierweiler pour remplacer ceux de la starlette-chanteuse qui l’avait précédée, avec 3400 000€, ne serait-ce que les travaux préparatoires et l’installation de chantier, sans compter les contraintes du lieu et les pirates de la côte… Il ne vous reste plus rien pour la piscine.
Enfin si, la photo.
Et pas une coquille de noix pour la princesse, même si elle est hors sol elle ne sera pas suspendue tenant en l’air non plus, par le simple pouvoir d’un Jupiter plus royal que nos Louis passés.
Quant aux accessoires, cabines de douche, pataugeoire pour les petits enfants, plages adaptées etc. Tout cela coûte deux bras.
« Hé petit, elle est frileuse la grande dame… ». Ah oui, j’oubliais il faut amener de l’eau dans une piscine – c’est la moindre des choses -, et puis l’électricité aussi, et puis quelques menus travaux de génie civil, de toilettes de proximité, d’entretien et puis…
« Hé bé petit si elle est construite, il nous auront pris pour de bon pour des imbéciles, service vaisselle compris ».
Sacré Président ! Sacré Emmanuel – puis-je ? – Non ? – Que son altesse me pardonne, ce n’est pas la vaisselle ni la piscine qui me chagrine c’est que tout cela est jeté aux yeux des petites gens comme la brioche en son temps… Le temps ne fait rien à l’affaire.
A la réflexion je me demande si la photo n’a pas été bidonnée mais prise plutôt dans une backroom avec un salon de l’Elysée comme décor.
https://www.youtube.com/watch?v=4wNknGIKkoA
Excusez-moi je m’absente, je vais vomir.
@ Xavier NEBOUT
« Par contre, elle a tort de dire qu’il est devenu fou ; c’est un fou, et d’autres que moi le disent depuis le début. »
Évitons d’employer ce qualificatif à l’emporte-pièce – qui est par ailleurs pourtant lancé à l’encontre de Donald Trump sans ménagement – pour nous rappeler toutefois l’analyse faite peu avant l’élection de M.Macron à son sujet par un psychiatre italien dans une vidéo devenue célèbre qui avait bien cerné le personnage.
Les trop peu nombreux esprits clairvoyants qui avaient été alors couverts d’injures par les bien-pensants pour avoir eu raison trop tôt avaient tenu compte dans leur vote de cet avertissement qui se vérifie depuis chaque jour.
—————————–
@ Savonarole
« Infiniment cultivé ? »
Il est curieux que cet homme infiniment cultivé et intelligent sourie d’un air béat sans se rendre compte qu’il illustre personnellement le degré d’avancement du Grand Remplacement ayant atteint le symbole représenté par le sommet de ce qui reste d’État et qu’il scie la branche sur laquelle il est assis en tant que seul mâle blanc, espèce actuellement de plus en plus vouée à la détestation collective avant son éradication programmée à terme…
Vite, président, rétablissons en Europe la loi Glass-Steagall, et que les États refassent leur métier, évitant à tous les George Soros de la terre de continuer à cliver, à désincarner la richesse pour leur garantir des milliards qui, à la prochaine crise, partiront en fumée, laissant les gens à leurs fantasmes épouvantables, chacun étant la victime d’un autre, son noir ou son pédé, prêt au pire pour préserver sa gamelle, la frontière de la haie du jardin.
Que l’actionnaire comprenne ou qu’il paye, les êtres ne sont pas des chiffres et à force de les ignorer, ils se comportent comme on les traite, comme des chiens apeurés et agressifs, gavés de haine et de soda, éduqués aux tabloïds des arguments de la vaisselle ou de la piscine, oubliant à l’exemple de leur maître l’intelligence incarnée des principes essentiels, seule antidote contre les pestes et les lèpres :
« DE TOUT, IL RESTA TROIS CHOSES » (Fernando Pessoa)
De tout , il resta trois choses:
La certitude que tout était
en train de commencer,
la certitude qu’il fallait continuer,
la certitude que cela serait interrompu avant que d’être terminé.
Faire de l’interruption, un nouveau chemin,
faire de la chute, un pas de danse,
faire de la peur, un escalier,
du rêve, un pont,
de la recherche…
une rencontre. »
F.Pessoa
« …la vulgarité sarkozyste qui ne se traduisait pas du tout de la même manière »
C’est vrai Sarkozy a juste dit « pov’con » à un mec qui lui disait « touche-moi pas », c’est peut-être grossier ou populaire mais moins vulgaire que Manu laissant « chanter » (sic) un groupe de blackos dépenaillés : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît » » Danse, enc… de ta mère, danse » « Je suis avec six mannequins et t’es vénère parce que je me suis fait sucer la b… et lécher les c… », sur le perron de l’Elysée, là même où il reçoit habituellement les chefs d’Etat 🙁
Ou alors on peut dire « qui se ressemble s’assemble », et vive la fête du slip ! 😉
Bonsoir Monsieur Bilger
En voyant la photo en lien de votre billet (et en regardant les vidéos correspondantes) il me vient juste l’envie de vomir devant un tel abaissement de la fonction présidentielle et du lieu symbolique dans lequel ce « concert » s’est déroulé.
Mais finalement, c’est bien une manie de la gauche et assimilée qui, au nom du progressisme, a pris l’habitude de salir tout le patrimoine ; il suffit de se rappeler les excréments de Jeff Koons à Versailles ou le plug anal place Vendôme.
Cette gauche qui soutient que ces énergumènes éructant à l’Elysée sont aussi admirables que du Bach, de même qu’Edouard Philippe vantait récemment la recherche poétique et artistique dans les textes du rappeur Médine.
Cette gauche qui hait la France, l’Europe, leurs peuples et leur civilisation, qui veut les diluer dans un flot d’immigrants inassimilables pour le plus grand profit de quelques financiers internationaux.
Macron en est un parfait exemple, en sale gosse narcissique qu’il est, qui insulte ceux qui lui tiennent tête sur ce sujet (ou sur quoi que ce soit d’autre d’ailleurs) et en premier lieu les Italiens et les pays de l’Est qu’il veut punir pour avoir le toupet de vouloir sauvegarder leur pays.
http://www.lefigaro.fr/international/2018/06/23/01003-20180623ARTFIG00125-macron-veut-sanctionner-les-pays-de-l-ue-refusant-les-migrants.php
Macron, laquais de la caste qui l’a porté au pouvoir, mais, en bon technocrate socialisant qu’il est, parfaitement imprégné de cette idéologie mortifère et convaincu par les horreurs qu’il promeut.
Il y a déjà bien longtemps que je suis un lépreux selon Macron.
J’ai déjà écrit sur ce blog tout le mal que je pensais de ce sinistre personnage ; j’étais encore en dessous de la vérité.
Consternant !
Consternant ce Macron et sa copine, cher P. Bilger.
A part quelques louanges superfétatoires et quelques inexactitudes (comme : « après une année de mandat globalement réussie »), que l’on trouve encore sous votre plume, j’apprécie la justesse d’analyse de votre billet.
Quelle vulgarité ce couple, malgré le côté « bobochic dans le coup » ! La photo est si explicite : regardez-nous, bouseux de Français, on assume notre transgressivité ! Voilà le nouveau monde !
Et cette main d’une personne sans doute au sexe incertain sur l’épaule de l’épouse du président de la République : c’est plus vulgaire que n’importe quelle attitude de Trump.
Finalement ce couple est très LGBT et sans doute qu’il en deviendra leur idole après une telle prestation à l’Elysée.
Cordialement.
Pour rentrer dans la danse de Macron, défileront-ils sans pantalon devant lui le 14 juillet ou refuseront-ils ce défilé devenu avec lui désuet et lépreux ?
Il faudra bien que quelque chose se passe, nous ne pouvons pas en rester là, complétement désappointés, pleurant notre patrie perdue et notre citoyenneté bafouée, déchirée, humiliée, spoliée, trompée, salie, envahie, dégradée.
Au nom de de Gaulle, celui que nous aimons tous, bannissons Macron.
Je vis un cauchemar ou ??
1) Le groupe pour la fête de la Musique : mais qui peut croire un seul instant que le Président se soit attardé sur qui, quand, comment, quel groupe serait présent ce soir pour la fête de la musique ? Peut-être lui a-t-on demandé verbalement son accord.
2) Quant à la piscine de Brégançon, j’en vois qui s’imaginent la construction d’une piscine olympique avec vagues… Ouah ! Meuh non : un bassin hors sol donc démontable pour la somme faramineuse de trente mille euros.
Oui, je suis de plus en plus persuadé que l’activité principale de certains blogueurs « hors-sol » est de polémiquer sur tout sans la moindre recherche de compréhension des faits.
Bien triste.
@ Giordano Bruno 24 juin 2018 à 22:46
« Peut-être lui a-t-on demandé verbalement son accord »
A quel moment nous prend-on pour des c… : lorsqu’on nous dit qu’il verrouille, contrôle, orchestre tout au millimètre près ? Ou quand on nous dit : il autorise une fiesta sur le perron de l’Elysée mais il ne s’occupe pas de qui vient se produire ; contrairement aux invités qui, eux, sont triés sur le volet ?
Très bien, Martin Deltombe. Après tout, ce Palais de l’Elysée c’est chez Manu et Brijou.
En revanche, je ne savais pas que le maître de cérémonie était un Camerounais noir, gros et homo. Personnellement, blanc, mince et hétéro, ça me laisse indifférent.
En revanche, je ne saisis pas très bien l’assimilation entre ceux qui réfutent le spectacle offert et ceux qui allaient sauter la bonne au retour de la messe.
On ne peut comparer que ce qui est comparable. Pour ma part, j’assimilerais les contestataires à ceux qui ont envie de faire de la musique l’art suprême, celui qui avive les couleurs, redresse les esprits et unit les émotions ; l’art supérieur par excellence.
@ agecanonix | 24 juin 2018 à 22:08
Ne soyez pas si pessimiste et désespéré, la France a connu bien pire et s’en est relevée !
Vous et moi au moins le savons !
C’est une particularité très française : se mettre toute seule dans le pétrin et puis se trouver une Jeanne d’Arc ou un Charles de Gaulle pour s’en sortir.
S’il faut que Macron s’en aille nous n’aurons même pas besoin des Américains, nos bulletins de vote suffiront sauf, peut-être, pour nous libérer des énarques. Macron nous a déjà libérés des vieux politiciens !
La boutique France était à l’abandon depuis 1981, tout le monde se servait sans payer, il va falloir faire un sale boulot pour la remettre en ordre, laissons-lui cette tâche, elle vaut bien quelques rappeurs habillés par Victoria’s Secret !
La fête du slip à l’Elysée !
Grotesque et décadent ! On touche le fond !
Emmanuel Macron semble avoir un goût très éclectique en matière de musique.
Souvenons-nous du 14 juillet dernier où la fanfare de la garde républicaine reprend des airs de Daft Punk. Donald Trump n’avait d’ailleurs pas tout compris de la subtilité de ce choix présidentiel.
https://www.lemonde.fr/international/video/2017/07/14/14-juillet-la-fanfare-reprend-daft-punk-sous-les-yeux-amuses-de-macron-et-meduses-de-trump_5160804_3210.html
Les goûts et les couleurs ça ne se discute pas, à condition, toutefois, de respecter les convenances et de ne pas mélanger les genres lors d’une cérémonie officielle. Je veux bien admettre que notre président soit doté d’une pensée complexe, encore faut-il que celle-ci laisse une espace à la compréhension du commun des mortels.
Bon, là il s’agissait de la Fête de la musique qui n’a rien de protocolaire. Le tort de ce groupe, si j’ai bien compris l’avalanche de critiques des commentateurs du blog, portait sur les préférences sexuelles du groupe de chanteurs et danseurs, clairement LGBT, et aussi sur les paroles des chansons, pour le moins décapantes et qui, il faut bien le reconnaître, n’avaient pas leur place au palais de l’Elysée.
Je ne connaissais pas, avant cette soirée endiablée à l’Elysée, le DJ Kiddy Smile, qui se revendique comme « fils d’immigré, noir et pédé » (ce qui, je le conçois, peut irriter certains contributeurs de ce blog).
Il semble qu’EM ait été quelque peu dépassé par les évènements, les préparatifs étant le fait d’un conseiller de son épouse. Cette dernière, par contre, semble avoir adoré l’ambiance festive et quelque peu surréaliste quand on pense qu’il s’agit, quand même, du siège de la présidence de la République française.
Je regrette qu’EM se soit prêté, sans doute malgré lui, à cette provocation gratuite qui a donné à la fachosphère une occasion inespérée de déverser sur les réseaux sociaux des propos racistes et homophobes, contribuant ainsi à alourdir encore un peu plus l’atmosphère détestable du moment entre Identitaires et communautaires.
Il serait temps que notre président arrête de jouer les pompiers pyromanes. Qu’il veuille donner une touche de modernité à la fonction présidentielle qui a toujours été un peu guindée, pourquoi pas, mais encore faut-il ne pas écorner la dignité de celle-ci qui en toute circonstance, doit être intouchable.
La France croit innover notamment dans le domaine de la limitation de vitesse.
Hélas non.
OK les râleurs professionnels ce n’est pas ce qui manque dans notre pays ultraconservateur, réticent à tout changement.
La Suède (pour info) :
Taux d’alcoolémie toléré : 0,2 g
Vitesse maximum sur autoroute : 110 km/h
Vitesse maximum sur route secondaire : 70 km/h
Et, cerise sur le gâteau : amende proportionnelle au revenu (R.F.R.).
Moi, je dis banco.
Ils nous ramènent le psychiatre italien, les esclaves apeurés.
Prenons garde, la prochaine fois, ils voteront Soral ou Dieudonné, si nous ne savons pas nommer, s’étant enfin levé, et décrire le fauteuil dans lequel nous sommes vautrés.
Il n’y a pas que l’Islam qu’il faut savoir dénoncer, mais aussi les conséquences de la voracité, que ceux qui croyaient que la fin de l’histoire à la chute du mur était arrivée ont épouvantablement libérée, instrumentalisant les craintes pour mieux ne pas se regarder et ne pas voir la faute morale, celle qui selon Guaino expliquant la défaite de Sarkozy, précède la défaite politique, et qui l’entraîne : celui qui divisera perdra !
On voit le résultat, les Identitaires sont aussi sectaires que les LGBT, et Mélenchon aussi perdu que les Le Pen, chacun investissant la chapelle désertée des désunions, sacrifiant à leur tour son réac ou son pédé.
Vite, Président, pour qu’ils se taisent, retrouvons la musique de l’État, qui saura ramener tous ces enfants perdus à la raison de la foi, celle qui sait que ce qui réunit est ce qu’on croit, pas celle qui croit qu’on sait et désunit, et enseignons avec ardeur, aux fachos comme aux homos qui sont les mêmes devenus, cette différence entre l’ancienne et la nouvelle loi.
@ Claude Luçon le 24 juin à 23 h 37
« La boutique France était à l’abandon depuis 1981. »
Non Monsieur, depuis 1974 !
Quand un Président commet une maladresse, il est toujours possible de considérer qu’il s’agit d’un aléa de parcours. Lorsqu’il réitère ses maladresses, il n’est plus question de simples dérapages mais bien de la traduction d’un trait caractéristique de sa personnalité. Et ces maladresses malheureusement n’ont que trop tendance avec EM à devenir monnaie courante.
Un homme « profondément cultivé » qui commet une bévue corrige son comportement lorsqu’il prend conscience de celle-ci. Il veille à ne pas réitérer de telles erreurs, il ne multiplie pas celles-ci.
Sinon, son comportement devient alors l’expression d’une volonté délibérée et inutilement provocante.
On ne jettera pas la pierre à un Président s’il s’accorde un moment nécessaire de détente, s’il s’autorise quelques instants de relâchement pour évacuer la pression, on ne lui pardonnera pas le laisser-aller, indigne de sa fonction.
@ Giordano Bruno | 24 juin 2018 à 22:46
Hors sol, hors sol c’est vite dit. Mon épouse vient de se voir retirer 12 euros de CSG sur une retraite agricole de 292 euros. Même pas le prix des pastilles de chlore de leur piscine. Aucune jalousie de ma part ayant horreur de toute forme de pataugeoire.
Il est des moments ou le chef doit cheffer et montrer l’exemple au lieu de s’entourer de « sans culottes » sur le perron de l’Elysée.
Est-ce que l’Histoire va repasser les plats ?
https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/35971466_1610028375789778_7520231403057840128_n.jpg?_nc_cat=0&oh=141bb5045947e9613af7c77c8ea39eab&oe=5BAD622E
« Le président de la République se laisse aller et file un mauvais coton. J’espère qu’infiniment cultivé, il se souviendra de Gide soulignant qu’il faut certes « suivre sa pente mais en montant ». »
Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Philinte pour complimenter Oronte dans Le Misanthrope ; Acte I, scène 2, vers 314)
@ Achille | 25 juin 2018 à 06:09
« …le DJ Kiddy Smile, qui se revendique comme « fils d’immigré, noir et pédé »
Il n’a pas de bol le pauvre ! Être né noir et pédé, il aurait pu rajouter : de gauche pour compléter la panoplie ; à mon avis, il devrait porter plainte contre Mère Nature !
Moi je revendique la « malchance » d’être né blanc, hétéro, de droite, chrétien, c’est ballot !
@ Philippe Segard | 25 juin 2018 à 06:49
Concernant la vitesse à 80 km/h sur les routes sans terre-plein central (en fait les routes départementales) qui va entrer en application dimanche prochain, et qui semble provoquer une véritable bronca parmi certains citoyens, toutes appartenances politiques confondues, je ferai les remarques suivantes :
1 Sur un trajet de 200 km, rouler à 80 km/h au lieu de 90 fait perdre un quart d’heure sur le trajet. Ceci en admettant un trafic suffisamment fluide permettant de rouler à la vitesse maximale. Ce qui n’est jamais le cas pendant les heures de pointe.
2- Généralement un trajet sur route départementale ne dépasse pas quelques dizaines de kilomètres. Les automobilistes pour les longs trajets empruntant de préférence les routes nationales, voies rapides qui ont un terre-plein central et bien sûr les autoroutes qui ne sont pas concernées par cette mesure.
3- Réduire de 10 km/h la vitesse sur les routes potentiellement dangereuses aura pour effet de sauver des vies. C’est la contrepartie d’un petit retard de quelques minutes. Pas de quoi en faire un fromage.
4- Enfin, ceux qui ne voudraient absolument pas respecter cette nouvelle disposition du code de la route pourront toujours faire comme Jean Yanne qui ne va jamais sur les routes départementales.
https://www.youtube.com/watch?v=2n_Y59jlWao
@ Achille | 25 juin 2018 à 10:46
Eh non ! Rouler à 80 sur les départementales c’est rouler à la même vitesse que les poids lourds que l’on ne pourra plus doubler ou dans les côtes et sans visibilité d’ou la présence le plus souvent d’une ligne blanche continue. Et je ne vous parle pas des fourgons qui sont la dernière étape des commandes Internet. Ils partent le matin pleins et doivent rentrer vides à l’entrepôt… ces derniers chauffeurs livreurs s’énervant au possible ainsi que les poids lourds qui doivent faire un maximum de kilomètres dans le temps de conduite imparti.
Hameau dans les nuages a aussi le permis super lourd. 🙂
@ sylvain | 25 juin 2018 à 10:08
“Dieu a dit : il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, et tous seront égaux ; mais ça sera pas facile… Et puis il a ajouté : il y en aura même qui seront noirs, petits et moches et pour eux, ce sera très dur !”
(Coluche)
@ elektra | 24 juin 2018 à 18:14
Mais les Noirs, les homosexuels et les chasseurs ne sont pas assez nombreux pour l’élire.
D’ailleurs le lui doivent-ils ? En s’affichant avec des Noirs, dont une partie est paraît-il homosexuelle dans des poses et avec des textes provocants, qu’apporte Macron ?
Rien.
Il ulcère bien des conservateurs et n’amène ni nouveaux droits ni une meilleure image pour les catégories concernées, en fait, les responsables les plus lucides des intérêts de ces personnes doivent être dans une rage d’autant plus grande qu’elle ne doit pas se dire de peur de donner du grain à moudre aux détracteurs des catégories concernées… Avant, on disait de l’homosexualité « l’amour qui n’ose pas dire son nom », maintenant, la militance, ce sera « la désapprobation qui se ravale ». Tout change, rien ne change…
Soit Macron provoque, soit il est, du moins parfois, je sens le sacrilège, bête.
Ou alors, il a, comme le chat, ses moments de folie. Enfin, caresse à tous les matous, que personne n’appelle sa pauvre bête Macron, ce serait cruel, un peu comme un chat qui rapportait la balle et que son maître traitait de toutou, il ne faut pas être trop bon dans la vie, on vous dégrade… Respectez vos chats, n’abandonnez pas vos chiens, ni même vos chats, ils survivent sans humains, mais peu et malheureux. Le chien, c’est la mort, le chat, le paradis perdu si on les abandonne, alors non.
Pour l’affaire des chasseurs, affaire à suivre, si les chasseurs pouvaient regarder où et ce qu’ils tirent, ils ne le font pas tous, et les écolos, au lieu de venir leur faire du prêchi-prêcha hors sol, c’est le cas de le dire, s’unissaient à eux et d’ailleurs aux autres ruraux pour défendre la nature, nos campagnes seraient plus riantes.
Photo : Génération Macron à l’Elysée. Il y en a deux qui doivent bien en rire de « Manu » notre Monsieur le président de la République, c’est D. Trump et V. Poutine. Par ailleurs, je n’imagine pas Angela Merkel transformer le Bundestag en boîte de nuit avec toute la vulgarité des DJ.
Macron est descendu très bas dans mon estime. Je respecte la fonction, mais plus l’homme.
@ Zonzon | 25 juin 2018 à 08:38
De pinailleur à pinailleur, à vrai dire le grand bazar qui s’était arrêté en 1958 ayant commencé en 1929, avait repris en 1968 et atteint son régime de croisière en 1981.
De 74 à 81, nous avions un président qui nous jouait au moins de l’accordéon, pas du pipeau comme les suivants.
@ hameau dans les nuages 25 juin 2018 à 11:52
Sans oublier les cars scolaires ! ;))
———————-
@ Achille 25 juin 2018 à 10:46
En minutes gagnées c’est vrai ‘seulement’ si vous êtes seul sur ladite départementale MAIS si vous suivez un camion, un car scolaire ou autres, ce qui est le quotidien d’habitants des petites communes, pour aller travailler, dites-moi, puisque vous connaissez les temps de conduite :
– A quelle heure devrai-je partir de chez moi pour déposer mes enfants à l’école de mon patelin à 8h30, école (ouf, une seule !) située à 30 km de chez moi, en suivant un 3t5 des éboueurs roulant à 60 par peur d’être flashé (ou pire un tracteur !) sans pouvoir le doubler pendant 25 km, par peur, aussi, d’être flashée. Simple non.
Evidemment je ne vous parle pas des lignes blanches continues, par intermittence pour augmenter le plaisir : genre un coup tu franchis la ligne blanche pour doubler un tracteur qui roule à 30 (risque de PV et points en moins) et hop direct tu te retrouves derrière le 3t5 qui roule à 60 MAIS que tu ne peux plus doubler because les bandits manchots (pas si manchots que ça) qui vont être installés, appelés également : radars.
Je sais, je sais, ça fait un peu remake du problème des trains qui se croisent (toute ma jeunesse ! ;))
J’attends votre réponse avisée.
Amicalement bien entendu 😉
——————————-
@ Mary Preud’homme 25 juin 2018 à 00:42
Touch me Five Mary ! comme on dit chez les Macron 😀
« Emmanuel Macron est infiniment cultivé »
Cultivé sûrement, infiniment je ne pense pas, sauf s’il répondait qu’il connaît l’énoncé des théorèmes de Gödel.
Il est d’ailleurs bien connu que pour entrer à l’ENA il faut connaître par cœur les arrêtés du Conseil d’Etat.
Sans doute l' »honnête homme » du 18ème siècle pouvait-il embrasser l’ensemble des connaissances de son époque et être en ce sens « infiniment cultivé » mais de notre jour cette notion est une absurdité.
Avis aux membres du fan-club de notre Manu National, alias Jupiter, alias Chef des Chefs.
Il est peut-être encore temps d’ouvrir une cagnotte en ligne « La piscine à Manu » ou « Tennis à Manu La Lanterne » sur un site comme « Le Pot commun ».
@ Noblejoué le 23 juin 2018 à 08:17
Whaou !! Monsieur Noblejoue, vous demarrez la journee en trombe !! Ici, sous une temperature de 25 degres, ma pietre cervelle est reduite a l’etat de marshmallow…
@ Monsieur Zonzon en reponse du 23 juin 2018 à 08:07
Desolee, je me souviens desormais de l’explication de votre pseudo… dont j’avais oublie momentanement la signification 😉 … Eh oui, maintenant les souvenirs d’enfance remontent… et je suis incapable de me rememorer ma journee d’hier…
Ah, une petite precision qui peut avoir son importance : je n’ai jamais ete la « Chère petite » de personne et le « Tendrement » me crispe… puisqu’il m’evoque un piege et m’est donc etranger ; j’ai appris tres tot a etre sur mes gardes… une seconde nature en quelque sorte !!
A toutes et tous, une belle journee et n’oubliez pas que le grand age est, tout comme l’enfance, synonyme de charme :
https://www.lenouveaudetective.com/retraite-desheriter-vandalisme-alsace/
@ Lucile :
« Ce n’est pas qu’il se laisse aller, il se laisse découvrir peu à peu. »
Rien de plus à ajouter, tout est dit.
Et, parmi une majorité de commentaires qui vont de l’indignation pour les uns à la surprise pour ceux qui restaient encore si admiratifs de ce jeune et fringant Président, dont notre hôte, j’ai lu un des familiers du blog qui compare cette scène à la décadence et donc implicitement au déclin de l’Empire romain. Nous y arrivons.
D’autant que c’est toujours le chaud et le froid. D’un côté il rabroue un jeune collégien français trop familier puis il se laisse photographier avec des rappeurs au langage ordurier. Cela laisse perplexe.
Il est vrai que cette histoire de piscine est une vétille, on ne s’est pas tant ému quand Rocard a installé un court de tennis à La Lanterne, et Jospin en a changé la surface jusqu’alors en terre battue, pas assez rapide pour le rebond, parole de champion.
Ça fait un peu nouveau riche, bien attentif à son petit confort et un tantinet profiteur sur les bords, mais nous sommes habitués, nos élus même de gauche ont de ces petites indulgences pour leur bien-être, et la campagne électorale nous avait convaincus que le nouveau et sensationnel candidat ne lésinait pas sur la dépense.
Quant à la soirée techno de l’Élysée, où l’on vit le Président et sa charmante épouse s’encanailler tout sourire au milieu d’invités emballés, elle est dans la droite ligne de la dénonciation de la lèpre du peuple. Ce soir-là l’élite qui nous gouverne a magistralement manifesté contre l’homophobie, le racisme et la xénophobie, les trois à la fois. La prochaine fois, le happening consistera peut-être en un baiser aux lépreux, mais ceux-ci se considèrent déjà comme baisés, allez savoir pourquoi.
@ Michel Deluré
« Un homme « profondément cultivé » qui commet une bévue corrige son comportement lorsqu’il prend conscience de celle-ci. Il veille à ne pas réitérer de telles erreurs, il ne multiplie pas celles-ci.
Sinon, son comportement devient alors l’expression d’une volonté délibérée et inutilement provocante. »
En d’autres termes : « Errare humanum est, persevare diabolicum ».
@ Achille 25/06 06:09
« Je regrette qu’EM se soit prêté, sans doute bien malgré lui, à cette provocation gratuite… »
J’ai du mal à penser, Achille, qu’EM se soit prêté « bien malgré lui » à cette mascarade. Il est difficile d’imaginer que, même s’il avait bien d’autres occupations que celle d’organiser une telle manifestation, il n’en ait pas, à un moment ou à un autre même tardif, été pour le moins informé. Et même s’il avait été mis devant le fait accompli, ce qui est fort improbable, lui était-il alors indispensable de s’afficher ainsi avec ce groupe que, par correction, je qualifierai de spécial ?
Quant à la « provocation gratuite », force est de constater que notre Président n’en est pas à son coup d’essai. Il semble même apprécier cette pratique au point que l’on peut y voir une sorte de marque de fabrique.
Mais attention, il y a le revers de la médaille, cela peut lasser et contrarier l’action politique.
Bonjour monsieur,
Je suis navré de vous inviter à relire mes commentaires précédents, mais depuis des mois, je maintiens que Macron n’a pas de pensée complexe mais une pensée psychotique. Le système a élu, à la hussarde, un psychotique au pire moment de l’histoire… Hélas c’est un classique, le fou au pouvoir dans les temps fous, cela finit toujours pareil : destruction-destruction-destruction.
Macron, psychotique, était tenu par son entourage « tampon de la réalité ». Aujourd’hui, le réel surpasse-déborde-contourne les barrages de son entourage. Macron décompense sa psychose…
Navré, mais le Président du Sénat doit être prêt à remplacer Macron d’ici la fin juillet et prévoir une nouvelle élection d’ici la fin de l’année.
Monsieur, vous êtes connaisseur de l’âme humaine, un psychotique n’est pas un génie même s’il semble brillant, au début lors du premier contact… Placez Macron dans l’une des salles d’audience de votre mémoire… les magistrats demanderaient, a minima, de reprendre son langage pour outrage, voire une expertise psy, pour les plus sages des fonctionnaires de la justice.
Emmanuel Macron n’a plus de filtres, de limites et d’interdits, c’est structurel, cela résulte de sa construction psychotique. Macron décompense, sans aucune autorité supérieure… Il est en rupture de la réalité, et paf !
@ Achille | 25 juin 2018 à 12:39
Revenant chez moi de Pau, j’ai constaté que les radars fixes étaient tous scotchés, permettant ainsi de rouler à tombeau ouvert. Pourquoi ? parce qu’ils ont été déjà étalonnés sur la vitesse de 80 km/h pour le 1er juillet. Ainsi ils ne prévoient même pas une semaine d’avertissement sans frais. Il faut du cash tout de suite.
Petite question que j’ai oubliée dans mon dernier commentaire : croyez-vous que les conducteurs qui ne respectaient déjà pas le 90 vont respecter le 80 ? Non, sérieusement ?
Au village il y a un gars qui roule très vite dans une voiture diesel fonctionnant au rouge pour les chaudières, souvent sans plaque d’immatriculation, tout le temps sans assurance et sans permis. Il est connu de la gendarmerie (il les a envoyés paître il y a quinze jours et ils se sont retirés). Vous pensez qu’il va respecter le 80 ? Vous êtes sérieux ?
Les aigles d’EM et du gouvernement n’avaient donc pas remarqué qu’ils n’étaient pas dans les clous lors du financement de la campagne présidentielle, et c’est à ces intelligences supérieures que nous avons délégué le pouvoir de remettre le pays d’aplomb. Bon eh bien c’est pas pour demain… Le prochain programme de formation accélérée c’est pour bientôt.
Juste en passant, les évaluations auxquelles devaient être soumis les ministres, c’est déjà oublié ?
« Après une première année de mandat globalement réussie… »
Avocats, journalistes, soignants, étudiants, cheminots, contribuables, zadistes, pro/anti migrants, policiers et gendarmes, militaires et leur famille… ne seront guère de votre avis me semble-t-il.
Quand on lit la quasi-unanimité des avis formulés dans les commentaires, on est, Monsieur Bilger, pris d’une sorte de vertige. Surtout que pour votre part vous avez pris un soin particulier à dénoncer le comportement du « couple présidentiel » sans user de la moindre épithète qui eût pu stigmatiser « Manu » et son épouse…
Que rajouter à cet ensemble de commentaires qui n’en soit pas une répétition stérile.
Ellen a sûrement relevé un risque de trouble psychique que le regard de Monsieur Macron laisse parfois transparaître.
Je citerai, une fois n’est pas coutume, Patrice Charoulet | 24 juin 2018 à 10:35&12:24 dont j’ai particulièrement apprécié la référence au billet de Régis de Castelnau que l’on trouvera ici : http://www.vududroit.com/2018/06/macron-jupitre-dangereux/.
Pour ma part j’en citerai un autre passage :
« Le philosophe est un cuistre infantile, le « penseur » une machine à poncifs pompeux, le bâtisseur est un vandale, le centriste ouvert est un fanatique borné, l’esthète fin révèle un plouc fini, le « subversif dérangeant » n’est qu’un banal immature inconséquent, le démocrate est un mégalomane totalitaire, et le gendre idéal bienveillant un vicelard narcissique. On ne peut même pas dire qu’il sonne faux : il sonne creux, d’où qu’on toque. »
Ce portrait complète à merveille celui dressé par Ellen. Et il me semble qu’ici cette description colle à la personne d’Emmanuel Macron comme le sparadrap du capitaine Haddock
Philippe Dubois | 24 juin 2018 à 21:32, boureau | 24 juin 2018 à 21:47 ou agecanonix | 24 juin 2018 à 22:08 ont également exprimé ma pensée sans que j’aie besoin de les paraphraser.
L’on mesure dans cet épisode de la fête de la musique combien l’aspect hiératique adopté par monsieur Macron est artificiel : il n’est qu’un costume, une apparence, un rôle théâtral qu’il joue. Au fond, son objectif n’est que l’exercice antidémocratique du pouvoir pour le pouvoir, avec un mépris souverain pour le peuple dont les idées, qualifiées honteusement de populistes, sont traitées, avec le plus souverain mépris, de « lèpre »… Comment un président de la République peut-il allouer le perron du palais de l’Elysée à un tel groupe ? Sauf erreur de ma part, les vidéos sur cette « sauterie élyséenne » semblent montrer que monsieur Macron a oublié de faire dérouler le tapis rouge réservé aux « hautes personnalités » de cet acabit !
Où l’on constate que monsieur Macron ne fait que de la com, en changeant de sujet et de point de vue. Sans doute pourra-t-on voir un jour madame Macron s’afficher sur un char de la Gay Pride parisienne…
Hors de l’objet de ce billet, je relève ce jour l’annonce faite par tous les médias de l’interpellation d’un groupe « d’ultra-droite », selon l’expression du ministère de l’Intérieur, qui projetait d’assassiner des extrémistes musulmans, imams salafistes prônant le rejet violent de la société française, voire femmes en burqa. D’évidence un tel projet est absurde mais il témoigne de ce que la tolérance des Français s’étiole et qu’une forme de bascule à l’italienne de l’opinion française commence à s’entrevoir.
Comment nos médias, idiots utiles de l’islamisme radical, traitent-ils le sujet ? En accusant ces extrémistes de vouloir s’attaquer « aux musulmans » en général ! Avec en contrepoint une plainte du CFCM… Quand on sait la manière dont les suppôts du Reis Erdogan ont affiché leurs opinions sur le territoire français et que les instances musulmanes en question sont maintenant dirigées par un Turc fidèle à son Reis, on se prend à rêver… Qu’en dit notre président-philosophe ? Curieusement, le Chanoine du Vatican ne réagit pas dans l’immédiateté.
Pour ce qui est de la vaisselle et de la piscine, à l’heure où nombre de Français ne partent pas en vacances car trop démunis, et sachant que des enfants vont à l’école l’estomac vide et que des agriculteurs se suicident faute de pouvoir continuer à nourrir leurs concitoyens, ce n’est pas un témoignage de solidarité et d’amour qui est donné (même si les sommes engagées ne représentent que peu par rapport au budget global de l’Elysée). Et puis et surtout, pourquoi chercher à épater les invités de marque quand la rue gronde et que le pays est régulièrement bloqué ? Nos marquis et autres comtesses s’imaginent-ils que l’on n’entend pas depuis l’étranger cette rumeur qui s’amplifie ?
Les préfets de Macron se laissent aller eux aussi :
Bezons : Le maire communislamiste, eh oui ça existe, pour complaire à sa clientèle islamiste, a eu la bonne idée d’inaugurer une allée de la « Nakba » (la catastrophe que représenterait la création de l’État d’Israël) en précisant sur la plaque que Ben Gourion était un « criminel de guerre ».
Cette allée risque de le mener à une impasse puisque le préfet lui a ordonné d’enlever l’écriteau de la honte.
Si même les préfets refusent de jouer le jeu des islamistes communistes, ben oui ça existe aussi, où va-t-on mère Michu ?
« Quelle piètre image il (Macron) se fait d’eux pour les (les Français) imaginer ravis par cette baisse de niveau ! »
Oui c’est vraiment insultant.
« Et la seconde, hors sol, est d’autant moins scandaleuse que beaucoup de Français n’hésitent plus à bénéficier de ce qui longtemps était apparu pour du pur luxe. Il me semble qu’on peut tolérer que le couple présidentiel, pour lui-même ou sa famille, ne s’exclue pas de cet avantage. »
Rien de plus exact, à un détail près : certes beaucoup de Français n’hésitent plus à bénéficier de ce qui longtemps était apparu pour du pur luxe… mais payent cet avantage de leurs deniers !
Qu’Emmanuel Macron, bien que président de la République, fasse de même.
@ Valerie
Je peux me tromper, mais j’ai cherché ce qui semblerait convenir pour vous à la fois contre une chaleur à faire désirer les orages, les prises de tête et autres désagréments en me basant sur votre style…
Je risque de me tromper, pardon d’avance :
https://www.youtube.com/watch?v=7SQeneTDTeI
Bon, vous avez sans doute vos propres favoris de musique, et il y a de vrais mélomanes, ici…
@ Claude Luçon le 25 juin à 13 h 31
De grand-père à arrière-grand-père,
On pourrait aussi remonter jusqu’à cet ignoble qui cassa le vase de Soissons ! Un jour quand on aura le temps.
Je crois que vous m’avez ouvert les yeux, sinon les oreilles : si je ne peux pas encadrer Giscard ce doit être à cause de l’accordéon ; le piano du pauvre selon Raymond Devos !
Bonne soirée à vous…et à Aurélia
@ Robert
« Curieusement, le Chanoine du Vatican ne réagit pas dans l’immédiateté. »
Le Révérend Père Macron est chanoine de Saint-Jean-de-Latran.
Chanoine du Vatican, ça paye bien ?
@ Lucile | 25 juin 2018 à 16:09
« La prochaine fois, le happening consistera peut-être en un baiser aux lépreux, mais ceux-ci se considèrent déjà comme baisés, allez savoir pourquoi. »
Ah Lucile vous m’avez devancé, j’hésitais à écrire cette formule, vous avez eu cette audace, bravo !
Petit hors sujet
Vous souvenez-vous d’un échange dans lequel je vous disais détester le haggis écossais et vous m’aviez conseillé une recette de galettes d’avoine.
Je reviens d’un périple en Écosse du Nord, les Highlands et les îles.
Un temps superbe, beau et chaud, pas de pluie en quinze jours ni de vent, pas même aux Orcades, des paysages d’une beauté extraordinaire, la forme et la couleur s’imposant pour faire oublier le paysage lui-même, de quoi faire plus de deux mille photos à trier et nettoyer bien qu’elles soient parfaites à la prise de vue ;-)) !
Au cours de ce périple j’ai rencontré dans un pub, very scottish, un tavernier extraordinaire. Alors que je demandais un plat local, il m’a conseillé le haggis, précisant que le sien était le meilleur évidemment.
Devant ma moue, il a commencé une tirade à laquelle je n’ai rien compris, elle était en écossais, puis il est passé à l’anglais, et devant mon air intrigué, il a décroché une gravure qui était là sur un mur, et me l’a montrée d’un air triomphant. C’était un poème de Robert Burns, une ode au haggis, dont je vous envoie un lien qui reproduit ce poème dans les deux versions écossaises et anglaises.
J’ai cédé à son insistance et mangé ce haggis accompagné d’une bière qu’il m’avait conseillée, de ces bières brunes qui semblent sorties d’un percolateur en panne laissant passer la mouture.
Et vous savez quoi ? Je me suis régalé, si, si !
Voici le lien :
http://www.robertburns.org.uk/Assets/Poems_Songs/toahaggis.htm
Le repas s’est terminé avec force toasts à l’amitié franco-écossaise, aux petites Françaises qui font fantasmer les étrangers, et j’ai tenu à porter un toast aux rousses Ecossaises aux yeux verts, qui me font fantasmer depuis qu’il y a bien, bien longtemps j’ai vu un film en technicolor avec Maureen O’Hara.
@ Robert
« …l’aspect hiératique adopté par monsieur Macron est artificiel : il n’est qu’un costume, une apparence, un rôle théâtral qu’il joue. »
Depuis son élection et son apparition le soir au Louvre, il est dans un rôle théâtral.
Là en l’occurrence, sur cette photo il est encore dans ce rôle car s’il voulait faire plaisir aux noirs ou aux homosexuels, je pense qu’une grande majorité de noirs et d’homo ne se sont pas reconnus dans les personnages vulgaires invités à l’Elysée… une véritable maladresse.
Quant à l’arrestation à point nommé du groupuscule de l’ultra-droite, cela m’a fait penser à l’affaire des Irlandais de Vincennes sous F. Mitterrand, mais évidemment cela n’engage que moi.
@ Zonzon | 25 juin 2018 à 18:14
« Si je ne peux pas encadrer Giscard ce doit être à cause de l’accordéon ; le piano du pauvre selon Raymond Devos ! »
J’espère que c’est une boutade !
Sinon c’est une méconnaissance grave de cet instrument, je ne vais pas refaire votre éducation musicale mais pour commencer, le prix : un instrument digne de ce nom vous fera débourser 30 000 € – bien sûr quand vous aurez approfondi vos connaissances, mais je vous en crois capable.
Les meilleurs connaisseurs de Bach sont les accordéonistes et les grands virtuoses n’ont rien à envier aux plus grand pianistes, sachez que les deux claviers main droite et main gauche sont identiques et par rapport au piano les possibilités sont démultipliées.
Pour vous mettre en jambes je vous livre un extrait :
https://youtu.be/SzA8O-aTOTQ
Pour la classe et le plaisir des yeux :
https://youtu.be/2cNnajhj5ts
Pour le bonheur :
https://youtu.be/2cNnajhj5ts
Bon j’arrête là, je pourrais y passer la nuit, mais là vous m’avez irrité.
Ce que l’on appelle le musette existe aussi, c’est le début du développement de cet instrument extraordinaire, allez, pour ce soir ça suffira.
@ hameau dans les nuages | 25 juin 2018 à 16:59
« Petite question que j’ai oubliée dans mon dernier commentaire : croyez-vous que les conducteurs qui ne respectaient déjà pas le 90 vont respecter le 80 ? Non, sérieusement ? »
Il est clair que cette mesure n’apportera aucun changement au comportement des chauffards invétérés. Mais ils sont fort heureusement, une minorité.
Mais comme dirait Jean Gabin dans « Le Président » : « Il y a aussi des poissons volants, mais qui ne constituent pas la majorité du genre » (merci Audiard).
En fait aujourd’hui, avec les véhicules suréquipés (en terme marketing on dit « surclassés »), les conducteurs disposent d’un tas de gadgets destinés, soi-disant, à les aider dans leur conduite (GPS, liaison Bluetooth avec le smartphone, infos diverses sur les paramètres du véhicule, etc.).
En fait, ils sont de plus en plus incités à regarder leur écran tactile plutôt que la route Il y a même des conducteurs qui lisent et envoient des SMS en roulant, c’est tout dire.
Il faut apprendre à prendre son temps, à réfréner son impatience. Mieux arriver en retard que finir aux urgences. Cool la vie !
—————————–
@ breizmabro | 25 juin 2018 à 13:35
« A quelle heure devrai-je partir de chez moi pour déposer mes enfants à l’école de mon patelin à 8h30, école (ouf, une seule !) située à 30 km de chez moi, en suivant un 3t5 des éboueurs roulant à 60 par peur d’être flashé (ou pire un tracteur !) sans pouvoir le doubler pendant 25 km, par peur, aussi, d’être flashée. Simple non. »
Si votre école est située à 30 km de votre domicile, en roulant à 80 au lieu de 90, vous perdrez 2 mn 15 s, si le trafic est fluide. Si le trafic est dense, vous serez obligée de rouler à 50 ou 60 km/h, comme les véhicules qui vous précèdent et vous arriverez donc en retard quelle que soit la limitation de vitesse.
Si vous suivez un camion poubelle qui roule à 60 km/h, il ne faut pas plus de 5s pour le doubler, en passant de 60 à 80 km/h. Le fait de pouvoir atteindre 90 km/h ne vous fera même pas gagner une seconde lors du dépassement. Pour le tracteur, c’est pareil.
En fait c’est le trafic des véhicules qui viennent en face qui conditionnent vos possibilités de doubler et donc votre retard à l’école.
@ Michel Deluré | 25 juin 2018 à 16:24
Un président ne s’occupe pas de l’intendance, il laisse cela à ses conseillers chargés de la com. En particulier lorsqu’il s’agit d’une festivité mineure comme la fête de la musique.
Ceci étant, lorsqu’il a vu la tournure que prenaient les événements avec notamment les paroles obscènes des chansons, il aurait dû refuser de cautionner ce spectacle pitoyable en posant en compagnie de ces individus qui ne représentent en rien la culture française.
Je mettrai cet écart sur le compte d’un petit coup de fatigue, bien compréhensible vu la pression considérable qui pèse sur les épaules d’un président de la République, en particulier dans le contexte actuel (polémique européenne sur les migrants, frasques de Donald Trump, grève perlée de la CGT SNCF, comportement irresponsable des étudiants-casseurs, etc.). Il faut vraiment avoir des nerfs d’acier pour ferrailler en permanence sur plusieurs fronts en même temps.
@ Exilé | 25 juin 2018 à 18:38
@ jlm | 25 juin 2018 à 18:54
« Chanoine du Vatican » : faut-il préciser que c’est une simple périphrase, voulant rappeler par là la visite protocolaire au pape François, le discours toujours attendu sur la conception macronienne (pour ne pas dire macronesque) de la laïcité et sa recherche effrénée de tous les types d’électorat, en l’espèce le catholique. Tout autant que par sa sauterie élyséenne de la fête de la musique, celui des LGBT.
La « segmentation du marché des électeurs » en quelque sorte : il n’a pas été banquier d’affaires sans en avoir retenu quelques leçons…
« …sur le fond comme pour la forme, avec des résultats qui tardent à venir sur les plans national et international »
Sur le plan international ? Quels résultats tardent à venir ?… Hahaha !
Comme tous les autres. Que dalle ! Plain and simple.
« Même le coût élevé de la première est justifié pour l’honneur de la France accueillant ses invités. Et le seconde, hors sol, est d’autant moins scandaleuse que beaucoup de Français n’hésitent plus à bénéficier de ce qui longtemps était apparu pour du pur luxe. »
C’est sûr, c’est quoi une piscine à 34 000 euros de nos jours ?… une vague baignoire pour deux en marbre et plomberie dorée.
Pfff, si à 50 ans t’as pas ta piscine extérieure de 34k euros, t’as loupé ta vie…
Mais dans quel monde vivent ces gens ?
Celui des riches.
Aaah OK tu peux pas comprendre pécore.
Non, c’est sûr qu’avec mon AAH et mon APL, c’est un autre univers.
Mais j’imagine qu’ils le méritent non ?
Mais bien sûûûr ! Ils sont bien plus intelligents et talentueux que toi puisqu’ils sont là où ils sont et que toi tu es là ou tu es.
Ah évidemment, vu comme ça…
Ce qui me fait marrer avec cette photo de Macron et de Brizitte T., c’est de voir à quel point Jupiter a l’air à l’aise assis au milieu d’une bande de pédés, noirs… en plus… (c’est marqué sur le tee-shirt du DJ, pédé, donc c’est pas une insulte, je peux le dire. Mme B., profitez-en hahaha !). Ca me fait un peu penser à un converti à l’islam de Trappes qui pour ne pas se faire démolir en fait des tonnes pour se faire passer pour plus muzz que les autres et donc termine comme terroriste.
On l’aurait fait pauser devant un bande de rappeurs tous anciens délinquants, il aurait eu la même expression et le même sourire figé stupide.
Allez, je la commence.
« Imagine-t-on le général de Gaulle… »
Il n’a absolument pas la carrure, le petit parvenu.
« A Quimper, sans craindre la contradiction, le président a dénoncé « la lèpre populiste » et les « donneurs de leçon » »
Le pire de Macron. L’égocentrisme jusqu’à l’absurde.
L’arriviste talentueux total formé à la communication qui passe son temps à donner des leçons à tout le monde et qui bien évidemment dénonce tout le monde sur tout et surtout ce qu’il fait lui-même.
Ca c’est de la communication pourrie à la Séguéla pure.
Macron qui ne veut pas de leçons du monde ; qui se croit si puissant tel Napoléon le Ier qu’il croit avoir les prérogatives de tancer le premier Italien sur sa gestion des clandés et pourquoi pas la chancelière allemande et le président américain aussi ! alors que personne ne l’écoute.
« LE ROI EST NU ! »
Il n’y a que ses idolâtres qui ne le voient pas.
Tiens ! L’appel à l’insurrection des commentateurs de ce blog, lancé par Patrice Charoulet, s’est écrasé comme une serpillière sale au fond de l’évier.
Les « cinquante personnes » que j’aurais insultées ici avaient été appelées, par le professeur, à préfacer chacun des commentaires incendiaires qu’ils ne manqueraient pas de m’adresser, désormais, par cette citation compromettante tirée de mes oeuvres complètes : « Je suis à la droite de l’extrême droite ». (En capitales, précisaient les instructions du révolutionnaire en chef, parce que c’est plus poli d’écrire en capitales quand on commente sur un blog.)
Je constate que lorsque Patrice Charoulet tente de lancer une opération de diffamation, de harcèlement et d’intimidation collective dirigée contre un individu qu’il a dans le nez, eh bien… personne ne le suit.
Bien au contraire, la lecture des avis exprimés ici semble montrer que la quasi-totalité des commentateurs sont… il m’est douloureux de le reconnaître… « d’extrême droite ». Je vois ici une tripotée de « racistes » et « d’homophobes » s’exprimer de la façon la plus « décomplexée » qui soit. Peut-être même côtoyons-nous, sans le savoir, des exégètes de Philippe Bilger qui sont « à la droite de l’extrême droite ».
Il est plus difficile d’être un meneur d’hommes qu’un fonctionnaire notant des enfants dans sa classe.
Il faudrait revenir aux origines historiques du droit d’asile. Il semble qu’il ait été créé pour sauver des personnes se trouvant en danger dans leur pays pour cause essentielle d’affrontement politique avec leur gouvernant. Le nombre de cas à traiter est longtemps resté « artisanal ».
Ces temps-ci, il est question de quémander un asile en Europe pour des réfugiés venant d’un pays en guerre, ou ayant été en guerre, ou des candidats au voyage cherchant simplement à améliorer leurs conditions d’existence, mais les quantités ne sont plus du même ordre. Il s’agit désormais de millions de déracinés, très peu acclimatables. On nous propose le traitement « industriel » de ces transferts.
Il revient aux décideurs de nos pays où sévit un chômage endémique, et dont la société, l’économie, les finances publiques, la tranquillité publique ont été malmenées par diverses strates d’immigration de complaisance, de mettre le holà à de nouvelles arrivées et d’organiser le retour à leur pays d’immigrés illégaux.
Je me souviens d’une délégation de coopérants soviétiques en Algérie et de la réflexion de leur chef :
« Vous n’allez pas me dire qu’après vous avoir mis à la porte, les Algériens vont être maintenant autorisés à s’installer en masse en France. Vous n’allez pas me dire que les Juifs, en particulier, qui étaient là depuis 2 000 ans, bien avant les envahisseurs mahométans du 8° siècle, ne vont pas aider les Européens à comprendre ».
La seule blonde de la photo est chocolat d’origine.
@ Robert et d’autres
C’est « Chanoine HONORAIRE de Saint-Jean-de-Latran ».
Tant que j’y suis, je rappelle que le président français est aussi co-prince d’Andorre, associé dans cette fonction avec l’Archevêque d’Urgell (Catalogne).
Merci, cher Giuseppe, de rappeler à certains ignares que l’accordéon ne se résume pas au seul bal musette.
Ecoutez Jean Wiener… (vous pouvez fermer les yeux et penser en même temps à sa fille, Elisabeth) :
https://www.bing.com/videos/search?q=+concerto+accordeon+et+orchestre+jean+wiener+you+tube&view=detail&mid=5770E7C6E075B6D4BAF55770E7C6E075B6D4BAF5&FORM=VIRE
@ Achille 25 juin 2018 à 22:05
« En fait c’est le trafic des véhicules qui viennent en face qui conditionnent vos possibilités de doubler »
C’est la raison pour laquelle les départements ont mis en place les lignes blanches continues sur les routes dans les endroits réputés dangereux au doublement (côtes, virages…) même d’un tracteur, il était donc superflu d’AJOUTER des radars. Si vous êtes derrière un véhicule qui roule à 30 à l’heure alors qu’il y a une ligne blanche continue, sauf à prendre des risques inconsidérés, vous resterez derrière ledit véhicule jusqu’à ce que la ligne blanche continue disparaisse !
Et ne doutez pas que celui ou celle qui est capable de doubler en franchissant une ligne blanche continue prendra le risque moins dangereux de rouler à plus de 80 km/h, pour le même prix.
A tous ceux que Giscard a traumatisés :
https://youtu.be/2UaH1AsakFU
Le piano du pauvre ! Ca commence toujours ainsi… Les clichés seront toujours là, les poncifs par des pontifiants aussi.
@ Achille | 25 juin 2018 à 22:42
« Il faut vraiment avoir des nerfs d’acier pour ferrailler en permanence sur plusieurs fronts en même temps. »
Vous voulez dire que « Manu » n’est pas fait pour la fonction de président de la République ? J’en suis maintenant convaincue.
@ Tipaza
Merci pour le poème de Robert Burns. Vous avez bien choisi vos dates pour visiter l’Écosse. Il devait y faire jour très tard. Pour le haggis, je veux bien reconnaître que vous avez été courageux de vous lancer, vu vos préventions, mais au fond, la composition de nos pâtés et triperies est tout aussi audacieuse. Enfin, cher Tipaza, Maureen O’Hara est (était) certes très jolie, mais O’Hara est un nom 100% irlandais, j’espère que vous n’avez vexé personne… Le principal est que vous soyez revenu vivant, on dit qu’il fut un temps où les Écossais pratiquaient le cannibalisme. Pensez-y la prochaine fois que vous mangerez du haggis.
https://www.historic-uk.com/HistoryUK/HistoryofScotland/Sawney-Bean-Scotlands-most-famous-cannibal/
Ah ! Mon cher Giuseppe, bien sûr que c’est une boutade ! D’ailleurs Zonzon c’est 100 % boutade ! Vous pensez bien que n’importe quel citoyen a du ressentiment plein son casque, autre que l’accordéon, concernant le Giscard. Porche mio !
Ah ! L’accordéon, ça vous prend à la tripe parfois ! Pensons au cinéma français du Front popu (Une guinguette au bord de l’eau) ! Tiens camarade, je me souviens d’une séquence du Ludwig-Visconti, dans une taverne où le Roi se vautre avec des gitons ; une émotion nostalgique insoutenable, on reste anéanti.
[…le Roi se vautre avec des gitons… c’est bizarre… ça me dit quelque chose… je sais plus…]
Et la fin du Kubrick-Les sentiers de la gloire ! Alors là ! On chiale !
Pour le reste, Bach, les deux claviers, tout ça on en reparlera une autre fois, mais pour les petits liserés bleus, là je suis sec, je ne sais pas comment ça fonctionne, je ne suis pas très Wikiki !
Est-il utile de vous préciser que je suis peiné de vous avoir irrité ! J’espère trouver un moyen de me racheter un de ces quatre ! Et en plus Yvette Horner qui vient de mourir ! Forza Italia !
« Mais un jour avec un copain, un gars, il est mort.
Il a souffert.
C’était un boute-en train terrible.
Il voulait toujours aller au bal.
L’accordéon, j’ai horreur de l’accordéon !
Ça me fout le cafard !
Mais lui, il adorait l’accordéon.
Il disait toujours : L’accordéon, c’est le piano du pauvre !
Il chantait : le piano du pauvre se pend autour du cou.
Il s’est pendu !
Il se moquait toujours de moi parce que
j’avais un oncle qui jouait de la cornemuse.
Il est mort aussi,
En soufflant, il devenait tout rouge…
et comme il n’avait pas de veine, elles ont éclaté. » Raymond Devos
@ Giuseppe 9h22
« Le piano du pauvre ! »
Ou l' »orgue du pauvre » quand on écoute cette magnifique interprétation de la « Nativité » de Messiaen écrite pour grand orgue !
https://www.youtube.com/watch?v=FY8rErqsxvE
@ sbriglia @ Giuseppe | 26 juin 2018 à 08:45
Merci, alors pour pousser le bouchon un peu plus loin, tout bon exécutant d’accordéon de concert – bayan – aura étudié aussi Alain Abbott et joué bien entendu.
Il existe plusieurs grands facteurs, j’aurais pu citer Bugari, Vittoria, et chez les Russes Jupiter, Borsini ayant malheureusement disparu, Pigini Novà ou Millennium Sirius que j’ai le plaisir d’entendre parfois.
Tout cela vaut bien les plus grands violons et pianos, après on rentre dans le toc des interprètes qui fustigent tout et pinaillent tout comme pour exorciser une séance d’enregistrement, j’ai vu cela avec l’accordeur d’un Steinway – caprice et délire à la fois de l’exécutant.
J’ai été témoin de la préparation d’un concours pour accordéon de concert, c’est bien sûr du haut niveau, du très très haut niveau, les débuts se font aux alentours de cinq ans d’âge et ensuite pour les plus talentueux, le travail jusqu’au bout de la nuit.
Mais ce n’est qu’un épisode de la vie.
De l’exceptionnel… J’arrête ici, sinon je peux continuer.
https://youtu.be/XJ0ZZcUeTnE
Ce qui m’éreinte est d’entendre « piano du pauvre » comme si la seule musique que pourrait interpréter cet instrument ne pouvait être que pauvre.
Je suis tombé par hasard sur une émission de Jean-François Zygel où il donnait la parole à un interprète du bayan, j’étais sur mon siège à bondir devant la pauvreté et le peu de connaissance de celui qu’il avait fait venir.
La première des qualités qu’il faut vérifier est l’indépendance des mains, et de jouer « Au clair de la lune » en canon… Si, si, et ensuite une que l’adore « La Luciole » pour vous mettre en jambe dès votre arrivée au conservatoire et puis…
@ Yves | 26 juin 2018 à 01:59
Exactement. Le droit d’asile devrait tout simplement être supprimé. Il ne se justifie que s’il est limité, mettons, à une dizaine de personnes par pays hôte et par an.
Nous sommes loin de l’esprit du droit d’asile ancien, qui ne visait que les personnes de la ville d’à côté menacées de mort, et du droit d’asile moderne, qui a été créé par repentance envers le génocide des Juifs par Hitler.
Dans la pratique, le droit d’asile se justifiait lorsqu’il s’agissait d’accueillir un Soljenitsyne par siècle. Nous n’en sommes plus là.
Le droit d’asile actuel est devenu une filière d’immigration illégale légalisée, prioritaire, et imposée de force par des organisations internationales dénuées de toute légimité démocratique. Une filière d’immigration de masse.
De surcroît, les soi-disant demandeurs d’asile mentent systématiquement sur les motifs de leur exil, conseillés par de puissants réseaux financés, in fine, par le contribuable. Sans compter que de nombreux auteurs d’attentats se sont infiltrés en Occident en bénéficiant du droit d’asile.
De même qu’il faut militer pour la remigration, et pas seulement pour l’arrêt de l’immigration de masse, il faut militer pour la suppression du droit d’asile. Et non faire la bouche en cul de poule, en tentant de se faire pardonner de faibles mesures de limitation de l’immigration par la proclamation que, bien sûr, on ne touchera pas au droit d’asile, qui est l’hostie de la République, et que les « vrais » demandeurs d’asile continueront, eux, à être accueillis.
Dans la pratique, les « vrais » demandeurs d’asile, ce sont les milliards d’habitants de l’Afrique, du monde musulman voire de la Chine, qui constatent que la société blanche fonctionne mieux que la leur, et qu’ils risquent moins de mourir, d’être en mauvaise santé ou de croupir dans la misère s’ils sont chez nous que chez eux.
Comme quoi, il faut bien être « à la droite de l’extrême droite ». Si l’on commence à faire des concessions au politiquement correct (c’est-à-dire à la forme moderne de l’idéologie de gauche), on met le doigt dans l’engrenage, et on est mort.
Ne dites jamais : j’ai de bons amis noirs. Non. Vous n’avez pas d’amis noirs. Vous défendez vos intérêts légitimes et votre survie. C’est le premier des droits de l’homme.
« JE SUIS A LA DROITE DE L’EXTREME DROITE FRANCAISE » (Robert Marchenoir)
La personne qui a pris pour nom d’emprunt « Robert Marchenoir » parle de moi dans un texte récent, mais n’indique pas mon nom avant sa prose sans doute pour être lu par tout le monde.
Je fais comme lui ci-dessous.
Rappel, j’ai voté pour le général de Gaulle, puis pour Pompidou, Chirac, Balladur, Sarkozy, Fillon.
Suis-je d’extrême droite ? Non. Suis-je à la droite de l’extrême droite française ? Non.
Je ne sais pas pour qui Philippe Bilger votait avant Sarkozy, n’étant sur ce blog que depuis un an et demi. J’ai compris qu’il avait voté pour Sarkozy , Hollande, Fillon, puis Macron. Est-il d’extrême droite ? Non. Est-il à la droite de l’extrême droite ? Non.
Tout naturellement, j’ai longtemps pensé que la majorité des commentateurs étaient de centre droit, à l’image du maître du blog. Je notais bien quelques intervenants socialisants ou un peu plus à droite, c’est tout.
Venons-en à vous. J’ai dit et redit que vous aviez un talent d’écriture et j’ai salué plusieurs de vos bonheurs d’expression. J’ai bien noté vos thèmes de prédilection : Poutine et la Russie, la phobie des fonctionnaires, le libéralisme économique (je ne vous désapprouve pas), le racisme (je ne vous approuve pas) et quelques autres sujets.
J’ai noté, comme tout le monde, que vous aviez flingué une cinquantaine de personnes ici, de manière implacable et parfois talentueuse.
Je pense que ces personnes ne vous aiment guère et que plusieurs ont pour vous une aversion définitive.
Pensant que l’épigraphe en capitales d’imprimerie mérite d’être rappelée, chaque fois que vous agresserez à nouveau un commentateur, je propose toujours de commencer toute réponse à l’un de vos réquisitoires par ces paroles inoubliables et qui vous définissent fort bien.
Vous plastronnez et paradez en observant que nul n’a fait ce que je conseillais de faire. Un peu de patience ! L’avenir est ouvert. Accordez-moi d’ailleurs que vous avez réduit la voilure et le rythme de vos agressions, depuis mon invitation à vous rappeler vos inoubliables propos.
Lisant tous les commentaires qui ont suivi le texte de Philippe Bilger sur le consternant épisode
élyséen (qui me consterne aussi), vous avez le sentiment que beaucoup pensent comme vous sur ce sujet. Oui. Et alors ? Moi-même j’ai dit que cet événement était « impardonnable ». J’ai dit, comme presque tout le monde, pourquoi.
Mais le paradis des blogueurs racistes n’est pas le blog de Philippe Bilger (et ce n’est nullement son vœu que le racisme se déploie chez lui), mais par exemple celui d’Ivan Rioufol, où tout le monde s’en donne à cœur joie de ce point de vue. N’hésitez pas à vous joindre à la meute de là-bas : vous n’aurez à flinguer personne et vous pourrez même vous exercer à un genre littéraire nouveau pour vous : l’éloge.
Enfin, vous me nommez « révolutionnaire en chef ». N’est-ce pas quelque peu excessif et inadéquat ? Sauf si vous pensez être le roi, le prince, l’empereur de ce blog… Moi qui suis très conservateur, ça me fait tout drôle de lire que je serais révolutionnaire. Tout arrive !
Aujourd’hui j’ai vu un chanoine mettre la main sur l’épaule du Pape…
Quel chef d’Etat peut s’en vanter ?
Trop fort Jupiter !
Ach… Philippe.
La roue tourne.
@ sbriglia | 26 juin 2018 à 21:10
La main posée sur l’épaule droite du pape, une gestuelle qui en dit long sur la suffisante condescendance et le manque d’éducation de ce petit bourge parvenu ; geste qui outre son caractère vulgaire et choquant signifie que le freluquet a pris la grosse tête et qu’il aimerait limiter l’ambition ou le pouvoir de la personne rencontrée.
Ah, notre cher professeur, comme ces choses-là sont bien formulées, et nous ne pouvons qu’espérer que la forme et la bienséance contaminent en retour nos adolescents provocateurs qui croient être discriminés, les hypocrites, alors qu’ils se mettent tout seul hors des clous du minimum de respect imposé par les fondements de la loi. Vont-ils prétendre au statut de victime ? On pourra alors leur faire remarquer que, quand il s’agit de leur transgression propre, ils tiennent les mêmes propos que Mme Taubira.
On pourrait alors leur conseiller quelques lectures, celles qui décrivent par exemple la crise mimétique qui efface toutes différences, mais à la troisième ligne, ils s’endorment, ne supportant pas le tableau qui est fait de nous tous, sans distinction, ne supportant pas de partager ce qui est le fondement de la condition humaine en son stade actuel, qui est, hélas, la négation de l’autre.
Je vous remercie de savoir résister avec la douceur qui est la vôtre, elle est pour beaucoup dans ce qui sans doute a fondé les principes de votre carrière, la conviction que c’est par la rigueur patiente et attentive qu’on accède à une réelle pédagogie, la vraie valeur d’exemple.
Robert Marchenoir vient de l’annoncer. Il a remporté le match. Par 50 à 0. C’est sévère ! Indiscutable ! Il ne fait guère de commentaires ! A quoi bon !
Sur les gradins on s’interroge. La confrontation n’était-elle pas trop déséquilibrée ? Auquel cas elle aurait été illégitime, non fondée, superfétatoire. Ou bien a-t-elle été « sincère » ? Le vainqueur n’aurait-il pas utilisé pour l’emporter des moyens « spéciaux » tel un vulgaire Erdogan d’Occident ?
En vérité nous avons présentement des sollicitations moins factuelles. Notamment sur le juste comportement à adopter dans ces sociétés toutes particulières qui sont nées de l’informatique. Nous savions à peu près nous comporter en famille, à l’école, au travail, un long apprentissage issu des traditions.
Mais dans un blog ? Serait-ce comme dans une copropriété immobilière où se côtoient des gens qui s’exècrent la plupart du temps et qui disposent à cette fin des motifs de toute nature à l’infini ? On a toujours une bonne raison pour en vouloir à un voisin, l’intersection des espaces vitaux étant non vide !
Un blog est un lieu fictif, imaginaire, sans matérialité. Ce qui, entre autres, justifie complétement l’emploi du pseudo. Nous n’avons que faire de personnes qui se parent de leur « réalité » en se « cachant » derrière leur patronyme supposé comme réel. Ce n’est qu’un détail !
Comment se comporter correctement dans un lieu immatériel ? Peut-on plaquer les règles en usage dans la vie réelle ? Sans doute ! Encore que ce ne soit pas si aisé du fait qu’on parle à la fois à un et à tous, parfois à personne et à tous !
Ce serait déjà beaucoup d’avoir constamment à l’esprit que « la possibilité de parler/écrire n’implique pas nécessairement qu’on soit fondé à le faire » !
Le mieux est encore de rester dans le concret. Deux exemples pour ne pas lasser !
Peut-on être pontifiant ? Non bien sûr. Le pontifiement est très mal vu partout où il passe ! Le pontifiard déplaît, il a tendance à prendre son lecteur éventuel pour un imbécile ou un ignare ce qui est peu goûté de la plupart de ceux qui ont pris la peine d’apprendre à lire et à écrire. Souvent il enfonce des portes ouvertes sans ménagement sans se rendre compte qu’il sera moqué. Il est la première victime de sa manière ; s’il est vaillant il s’en moque superbement !
Peut-on être brutifiant ? [*] C’est très risqué. On ne sait jamais où la pratique de cette attitude peut vous emmener. Souvent dans des chausse-trapes dont vous n’avez même pas idée et dont vous ne sortirez que fortement contusionné. Avec cette particularité que vous ne saurez jamais si le combat est clos ou s’il perdure enfoui dans les cartons, prêt à resurgir à tout moment, en vérité au plus mauvais pour vous.
La sagesse veut que vous n’adoptiez pas cette manière au motif que vous trouverez toujours plus brutifiant que vous.
C’est tout pour aujourd’hui !
[*] Les puristes vont se mettre à hurler. D’autant que nous disposons du verbe brutaliser parfaitement conforme. Mais nous ne devons jamais avoir peur d’enrichir la langue à bon escient… et bien entendu avec parcimonie !
Brutal (substantif/adjectif) implique une dose de réalité, peu adéquate ici. Brutifiant, expression inconnue dans le monde réel convient mieux pour décrire les agressions que l’on subit dans la blogosphère.
Ce que j’en dit c’est pour être pontifiant !
@ Mary Preud’homme 27 juin 2018 à 01:45
C’est tout de même fort de café d’entendre ce parvenu, grâce aux réseaux des francs-macs dont il fait partie, dire que « les Bretons c’est une mafia » !
Une diaspora d’accord, une mafia NON !
En même temps…
@ Wil | 25 juin 2018 à 23:48
En remontant les derniers commentaires sur ce billet, j’ai relu le vôtre peu après avoir consulté un site (« prochetmoyen-orient.ch ») que j’apprécie sur lequel j’ai trouvé un excellent billet de Guillaume Berlat.
La politique européenne comme étrangère de monsieur Macron y est analysée d’une manière presque assassine tant elle est précise et menée au scalpel. A trouver ici : https://prochetmoyen-orient.ch/legerete-jupiterienne-inconsequence-europeenne/
Cette « légèreté européenne » rejoint le titre si bien trouvé par notre hôte : « Emmanuel Macron se laisse aller… ».
S’il veut rester crédible, non seulement auprès des Français, mais aussi des dirigeants internationaux et européens d’abord, sans doute devra-t-il balayer sérieusement ses certitudes. Sinon, plus dure sera la chute !
Finalement, Jupiter joue tout seul dans son bac à sable, il est comme son prédécesseur en moins bon.
Le plus terrible c’est que personne dans son entourage n’a d’influence, mais dès que les premiers nuages vont s’amonceler, dans ses rangs vont se faire entendre les mêmes voix et courroux que Manuel Valls avait eu avec FH.
Il suffit de patienter, car les bourdes arrivent bien plus tôt qu’avec le capitaine de pédalo, Jupitouille – Jupiter qui redevient citrouille.
Allez, il fait beau, le ciel transparent découvre l’horizon, et finir sur une note chaude d’espoir… C’est bien connu l’espoir fait vivre.
Cadeau somptueux pour les amateurs d’acoustique, ce qui préserve nos oreille d’ un niveau de DAS néfaste à notre santé.
https://youtu.be/GnyAgOWhMnk
@ breizmabro | 27 juin 2018 à 10:19
Lu et approuvé par une Lorraine de naissance mais Bretonne de cœur… Gageons qu’après sa nouvelle bévue Macron, qui avait déjà bêtement ironisé sur le QI des ouvriers de Gad, ne soit pas près de remettre les pieds en Armorique dont il ignore manifestement tous les codes, traditions et richesses !
@ Robert
Ce texte résume en effet assez bien la situation européenne actuelle en oubliant cependant selon moi un problème fondamental qui est que l’immigration massive est souhaitée par l’industrie allemande qui a besoin de main d’oeuvre à bas coût et que donc il ne peut rien se passer au niveau de l’UE pour empêcher l’immigration massive et la réguler puisqu’elle obéit à Merkel (qui va sauter bientôt mais c’est sans importance sur le fond, son successeur fera pareil) qui obéit aux desiderata des multinationales allemandes.
Tout est une question de politique intérieure allemande et la France n’est qu’un sous-fifre allemand qui « fait des phrases », comme d’habitude.
La France n’est plus bonne qu’à ça.
Aujourd’hui « la cabane est tombée sur le chien » énarque repus de lui-même, il n’a pas su allier discernement et rassemblement.

Rien aujourd’hui ne prouve que les cadeaux faits au très riches sont favorables à l’économie – j’ai écouté un économiste en faire la liste et conclure le contraire.
La croissance est bien en dessous des prévisions, et l’économie ralentit, l’alignement des planètes est passé.
On pourrait voir ici le doigt du reproche à un Président qui n’entend plus rien.
Patrice Charoulet fait semblant de ne pas comprendre, ou, pire(?), ne comprend pas.
Être à la droite de l’extrême droite française signifie, dans l’esprit de Robert Marchenoir, mais aussi de ceux qui observent lucidement la vie politique française, être de droite, ou de centre droit, puisque précisément l’extrême-droite FRANCAISE (j’aide un peu monsieur Charoulet…) n’est plus de droite mais aujourd’hui un parti de gauche, voire d’extrême gauche parfois, notamment sur le plan économique.
Soyons prudent, car nombreux sont ceux qui lisent des choses absentes des commentaires… Je précise qu’en disant cela je n’approuve ou ne désapprouve nullement les orientations politiques de tel ou tel. Ceci est une autre histoire.
Emmanuel Macron va être chassé du pouvoir après son quinquennat : « Quinze coups de pied plus ou moins faciles, plus ou moins lointains. Il aura tout raté, sauf une pénalité.
On ne défie pas aussi impunément la victoire. » (Pierre Georges Le Monde 29 avril 1980).
Trop de bavures, le résultat est là, il croit se démarquer, il tente plein de ballons d’essai, il prolonge un malaise depuis ses déclarations humiliantes… Il passe à côté de ce qui aurait fait de lui un grand joueur.
Le résultat du match fut sans appel « …ce moment important où le match bascule psychologiquement, cet instant où une équipe de rugby, comme un joueur de tennis incapable d’inscrire l’ultime point gagnant, perd sa sérénité et la conduite des opérations. »
La suite, j’y étais, la défaite fut terrible, en tant que spectateur cela ne s’oublie pas et reste une leçon de vie aussi.
Macron ressemble à ce demi d’ouverture, aura-t-il la capacité d’inverser le score, je ne le crois pas, c’est trop tard.
@ Lucile
Je poursuis notre petit aparté sur l’Écosse.
J’ai envoyé votre lien sur le cannibalisme en Écosse à une Écossaise (qui n’est pas Irlandaise !) et voici ce qu’elle m’a répondu.
« En effet une horrible histoire pas tout à fait correcte du moins quand il s’agit de l’Histoire… Pas tout à fait correcte quant aux dates, car Jacques 1 est aussi Jacques 6 d’Ecosse et il régnera comme adulte à la fin du 16ème siècle et au début du 17ème siècle… Et du 15ème siècle au 16ème siècle et même 17ème cela me semble très long pour une même famille… Et bien plus de 25 ans comme il le raconte dans l’histoire…
…from broadsheet to broadsheet, the precise dating of Sawney Bean’s reign of anthropophagic terror varies wildly: sometimes the atrocities occurred during the reign of James VI [ca. early 1600s], whilst other versions claim the Beans lived centuries before. Viewed in this light, it is arguable that the Bean story may have a basis of truth but the precise dating of events has become obscured over the years. Perhaps the dating of the murders was brought forward by the editors and writer of the broadsheets, so as to make the story appear more relevant to the readership …To add to the intrigue, we do know that cannibalism was not unknown in mediaeval Scotland and that Galloway was in mediaeval times a very lawless place; perhaps nothing on the scale of the Bean legend took place, but every story grows and is embroidered over time. »
Je suis trop ignorant de l’Écosse pour pouvoir trancher.
Une question me taraude, le haggis si délicieux et si original, pouvait être… ??
Quelle horreur, il m’a fallu à nouveau moult whiskies, non tourbés, pour faire passer cette épreuve rétrospective.
Merci de votre lien, il était passionnant de l’avis de tous ceux à qui je l’ai fait lire.
Les mamours de Macron avec les catholiques me rappellent ce que disait Bonaparte à l’époque du Concordat de 1801 :
« Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole. Il n’y a que la religion qui donne à l ‘Etat un appui ferme et durable… Une société ne peut exister sans l’inégalité des fortunes et l’inégalité des fortunes ne peut exister sans religion. Quand un homme meurt de faim à côté d’un autre qui regorge, il lui est impossible d’accéder à cette différence, s’il n’y a pas là une autorité qui lui dise : Dieu le veut ainsi, il faut qu’il y ait des pauvres et des riches, mais ensuite, et pendant l’éternité, le partage se fera autrement. »
A quand Emmanuel 1er ?
@ Tipaza
« Une question me taraude, le haggis si délicieux et si original, pouvait être… ?? »
Hélas, hélas, ça se pourrait bien… et, pire encore, peut-être un bas morceau.
Allez, une petite larme pour vous remettre, et n’oubliez pas : « Never put water in the whisky, but never have water without whisky »
Prophétie de Sarkozy sur Macron :
« Tout cela se terminera en farce. Si ce n’est pas le cas, il faudra bien admettre que c’est un génie »
On est loin d’un génie…
Dès lors, il conviendrait pour Macron de baisser l’abat-jour, réduire la voilure, relever le pont-levis et inonder les douves.
Ses petites bouées de bras ne le sauveront pas.
Une photo selfie de Brigitte Macron à l’anniversaire de l’increvable Line Renaud ferait scandale. Il n’en est rien, rassurez-vous.
C’est une simple photo d’elle, avec Pascal Obispo et l’amuseur Dany Boon.
Quand on n’a plus que Pascal Obispo et Dany Boon à se mettre sous la dent, ou l’implant devrais-je dire, c’est en effet un scandale.
L’époque où les grands chanteurs prenaient fait et cause pour un homme politique est révolue, souvenez-vous, pour la droite il y avait Sardou, Enrico Macias, Johnny, Line Renaud , Depardieu, etc.
Pour la gauche, le chanteur Renaud, Pierre Arditi, Michel Piccoli, Gérard Depardieu (mais oui, mais oui), Yves Montand et tous les » artistes » estampillés France Inter, France Culture, et j’en passe…
Les films de l’assommant Claude Sautet nous vantaient une gauche friquée, sans complexes, du Mitterrand pur sucre.
Avec le quinquennat aujourd’hui ils se taisent, ils ont compris qu’il valait mieux se la boucler.
PS : pour les cinéphiles avertis et Charoulet, le pseudo de Dany Boon vient du film Billy Liar, des années soixante, avec le sublissime Tom Courtenay. Zonzon connaît peut-être ?
@ Tipaza
@ Lucile
Un roi d’Angleterre, dont j’ai oublié le nom, guerroyait contre les Écossais, il avait pris une mesure qui l’a rendu inoubliable, tout joueur de cornemuse écossais capturé sur un champ de bataille devait être exécuté immédiatement, car il démoralisait ses troupes au moment de l’assaut…
Comme quoi, on peut gouverner avec humour.
@ Savonarole | 06 juillet 2018 à 20:33
Ce n’est pas de l’humour, c’est du pragmatisme, mais how mean ! Le roi supprimait sans doute le joueur de cornemuse parce qu’il galvanisait les troupes écossaises (un peu comme de nos jours Kiddy Smile, le rappeur de l’Élysée).
L’article suivant explique que les airs de cornemuse indiquaient les mouvements aux troupes, de même que le bugle (aux USA je pense) dans la cavalerie relayait les ordres des officiers auprès des soldats. Le son poignant de la cornemuse prenait les soldats aux tripes et intimidait l’ennemi. Mais les joueurs étaient désarmés et faciles à viser, on estime que mille d’entre eux trouvèrent la mort pendant la Première Guerre mondiale.
.https://www.historic-uk.com/HistoryUK/HistoryofScotland/Scottish-Piper-War-Heroes/
@ Lucile | 07 juillet 2018 à 00:33
Merci pour cette belle page d’histoire, cela m’apprendra à interpréter trop rapidement ce qu’il m’avait semblé comprendre d’une lecture. Je méditerai la leçon.
Décidément, vous êtes ma nonne espagnole préférée.
Moi je la trouve stylée Brigitte Macron.
Ce sont les danseurs que je trouve cheulous. LOL