« Oui nous sommes en danger, oui les noirs sont en danger, oui les arabes sont en danger, oui les personnes issues de l’immigration sont aussi en danger(…), meurent sous les violences et les coups de cette police… »
Pour faire bonne mesure, cette litanie intègre, avec le même registre, « les gens du voyage » et la « communauté asiatique ».
La police les tue tous.
Je n’invente pas. C’est Assa Traoré qui parle, il s’agit de la police et de la gendarmerie françaises, il s’agit de la France. Sur le site de Jeune Afrique, le vendredi 5 février.
Ce sont des délires mais personne ne bronche.
Le syndicalisme policier est muet.
On ne peut se satisfaire de la seule réplique acerbe de Mila : « les jeunes filles blanches non plus (et je sais de quoi je parle !) ».
On ne saurait non plus abandonner la partie face à la défense d’une cause douteuse, celle de son frère Adama, au passé très imparfait, mort après s’être soustrait à une interpellation dans des conditions faisant encore l’objet d’une information. Les magistrats en charge semblent d’ailleurs tétanisés à l’idée de clôturer le dossier en prenant une décision quelle qu’elle soit.
Ce sont des délires mais personne ne bronche.
Comme si Assa Traoré était protégée par ses propres énormités, à l’égard desquelles les outrances d’une Camélia Jordana sont quasiment des gracieusetés.
La violoniste Zhang Zhang, en tout cas, a répondu à Assa Traoré sur la communauté asiatique : « c’est gentil à elle de se soucier de la communauté asiatique en France… comme elle l’a dit elle ne se sent pas en sécurité à cause de la criminalité croissante qui la vise mais cette violence anti-asiatique ne vient pas de la police ».
Pourquoi seules des paroles singulières, courageuses, osent-elles s’exprimer ?
Pourquoi le pouvoir, lui, a-t-il peur ?
On a bien compris que Gérald Darmanin avait envie de changer de registre. Moins vigoureux, plus « centriste ».
Depuis longtemps – il le ressasse – on sait qu’il est un adversaire farouche du RN et tout récemment il s’en est pris à Génération identitaire qui il est vrai, aujourd’hui, représente un danger capital pour la République !!
On aboutit à cet amer paradoxe que la haine des forces de l’ordre et de la France est davantage acceptée que l’amour parfois transgressif de notre pays.
En réalité, Assa Traoré intimide une autorité de l’Etat pourtant fermement mobilisée pour des contraventions vénielles. Parce que, derrière elle, se trouvent des minorités décolonialistes, indigénistes, éprises de repentance (pour les autres), exécrant l’homme blanc, porteuses d’un féminisme vindicatif, violent et absurde décourageant toute lutte intelligente.
Une extrême faiblesse se cache derrière ces abstentions et il serait plus courageux de sanctionner et d’interdire ces haineuses dénonciations, cette globalité honteuse que d’évoquer sept péchés capitaux pour le Beauvau de la sécurité en oubliant le huitième : la lâcheté absolue de l’Etat.
Je devine ce qu’il y a de résignation, voire de réalisme condescendant à l’égard des délires d’Assa Traoré: on la connaît, elle disjoncte régulièrement, elle est lamentablement prévisible et au fond personne ne la suit, elle cultive jusqu’au paroxysme la folie française d’agonir d’injures la police, ça lui passera !
Cette attitude masque la réalité qui est de laisser à certains le droit d’humilier, de salir la France, de cracher, avec quelle acrimonie et virulence, sur un pays où ils vivent, manifestent. Ces ignominies contre la police, ce sont d’abord des ignominies contre notre nation dont les forces de l’ordre sont l’une des incarnations républicaines.
Se taire, ne rien faire de la part des ministres, ne pas s’émouvoir pour la Justice – le droit de la presse et de la communication est pourtant si inventif quand il s’agit d’Eric Zemmour ! – validera une offensive pas seulement verbale : elle a une traduction dans les mille affrontements d’une société de moins en moins civilisée, qu’on laisse décliner même pas avec mauvaise conscience.
Assa Traoré aurait bien tort de se gêner. Une démocratie authentique (que ses contempteurs aillent se livrer aux mêmes procès en Chine ou en Russie et ils verront !) qui ne sait plus se faire respecter n’est plus à la longue respectable.
« On ne peut se satisfaire de la seule réplique acerbe de Mila : « les jeunes filles blanches non plus (et je sais de quoi je parle !) ». […] La violoniste Zhang Zhang, en tout cas, a répondu à Assa Traoré sur la communauté asiatique : « c’est gentil à elle de se soucier de la communauté asiatique en France… comme elle l’a dit elle ne se sent pas en sécurité à cause de la criminalité croissante qui la vise mais cette violence anti-asiatique ne vient pas de la police ». » (PB)
Je crois qu’il est temps de soutenir des individualités comme Mila ou Zhang Zhang. Et de se rendre compte que des individus aussi portent des idées à soumettre au débat public. Ce n’est pas seulement lorsqu’on a un syndicat, un collectif, un groupe ou un mouvement social derrière soi, qu’une idée a vocation à rentrer dans le débat public. Des individualités telles que Mila ou Zhang Zhang ont aussi le droit de voir leur droit à contredire publiquement soutenu.
(Bon… je me demande où sont nos philosophes… mais je repasserai dans un an ou deux pour vérifier s’ils s’expriment pour contredire ces insanités non pas depuis la stratosphère mais en rentrant dans la réelle confrontation des idées: toute morgue à l’idée d’avoir à s’adresser à des gueux ne peut que conforter des Assa Traoré à en jouer.)
La défense des minorités importe bien évidemment (pour le gauchiste que je suis, tout du moins…). La complaisance vis-à-vis des minorités n’est toutefois pas compatible avec la défense des minorités. Le cas Mila en est exemplaire:
« Suite à la réaction de la jeune Mila […] des nouvelles menaces lui ont également été adressées. » — Tanguy Hamon, CNews.
« Une extrême faiblesse se cache derrière ces abstentions et il serait plus courageux de sanctionner et d’interdire ces haineuses dénonciations, cette globalité honteuse que d’évoquer sept péchés capitaux pour le Beauvau de la sécurité en oubliant le huitième : la lâcheté absolue de l’Etat. » (PB)
Cela devient surtout problématique que l’opposition sur les idées soit si faible. Sanctionner et interdire Assa Traoré ? Pour que l’on joue à chat noir chat blanc en symétrie avec Zemmour ? On ne va pas aller bien loin si on se livre à ce petit jeu-là. Il serait surtout temps d’arrêter la complaisance avec les délires dans l’opinion publique. Et donc de soutenir Mila.
Car de toutes manières, le problème ne peut pas se régler qu’en France, compte tenu que la caisse de résonance est internationale. Et qu’on ne pourra rien y changer, à cela.
« Les magistrats en charge semblent d’ailleurs tétanisés à l’idée de clôturer le dossier en prenant une décision quelle qu’elle soit. » (PB)
Mais où est l’indépendance de l’institution judiciaire avec du personnel aussi courageux ?
Et dire qu’Assa Traoré a eu les honneurs du Time magazine en décembre dernier qui l’a désignée «Guardians of the Year», aux côtés d’autres organisations et militants antiracistes.
Il est clair que la popularité de cette militante qui dénonce les violences policières bien plus qu’elle ne combat le racisme est entretenue, voire encouragée par certains mouvements venant des Etats-Unis qui, depuis toujours, ont pratiqué une ingérence sournoise dans les affaires des pays étrangers, en particulier la France.
Il est temps de mettre un terme à ce mouvement qui n’a rien d’antiraciste, mais de clairement séditieux, en décrétant sa dissolution, n’en déplaise aux associations humanitaires bidons qui vivent grassement de subventions de l’Etat et aussi sans doute du financements de pays qui n’ont d’autres desseins que de renverser le régime démocratique de notre pays.
Il est grand temps d’arrêter ce délire !
Tout ceci est évident. Mais c’est important de le dire et l’entendre.
« En réalité, Assa Traoré intimide une autorité de l’Etat pourtant fermement mobilisée pour des contraventions vénielles. Parce que, derrière elle, se trouvent des minorités décolonialistes, indigénistes, éprises de repentance (pour les autres), exécrant l’homme blanc, porteuses d’un féminisme vindicatif, violent et absurde décourageant toute lutte intelligente. » (PB)
Hum ! Derrière elle, la nouvelle gauche radicale LGBT issue de l’École Normale Supérieure qui ne se combat pas avec des flash-balls qui ne feraient que lui donner du grain à moudre, mais avec des personnalités fortes douées d’un verbe fort, et de l’autre la philosophie féministe afro-américaine issue de l’ancien Black Panther Party for Self-Defense qui, telle cette tempête de sable qui du Sahara venue colorer en orange, le week-end dernier le couloir rhodanien et l’Est de la France, exporte la problématique des Noirs-Américains.
Prise en tenailles entre les deux, mais elle ne le sait pas encore, la demi-sœur éplorée qui telle Antigone la sœur de Polynice, s’oppose aux Créon républicains en uniforme.
Vous dites : personne ne bronche, sachez cher Philippe que tout le monde se tamponne de cette tarée comme de leur première vidange ; interrogez autour de vous, dans la foule ordinaire normale citoyenne je parle, pas chez les sachants intellos bobos merdo islamo gauchos et les merdias agenouillés devant cette raciste indigéniste racialiste haineuse, faites donc un sondage, vous aurez des réponses étonnantes telles que : « c’est une chanteuse ? une comédienne ? une tenniswoman ? etc.
Un peu comme à l’époque du Che, beaucoup croyaient que c’était un chanteur latino, malgré tout le déchaînement de la presse à nous le présenter comme un sauveur de l’humanité, que de flops et fiascos dans le mondain bobo gaucho de Saint-Germain-des-Prés.
Mieux que ça, si d’aventure ces jemenfoutistes tombaient sur une apparition médiatique de cette harpie négroboïde et ses appels à la haine, ils vireraient illico RN, que du bonheur pour l’extrême drouâââte.
Merci cher Philippe de faire de la pub pour cette facho raciste, le RN n’en demandait pas tant, pas besoin d’aller écumer les marchés du dimanche matin, ces tribus indigénistes sont les meilleurs agents recruteurs du RN.
Depuis longtemps – il le ressasse – on sait qu’il est un adversaire farouche du RN et tout récemment il s’en est pris à Génération identitaire qui il est vrai, aujourd’hui, représente un danger capital pour la République !!
Ce n’est guère une fois de plus que l’application de la règle du deux poids deux mesures appliquée en France depuis une quarantaine d’années par des gouvernants faibles et de mauvaise foi contre des gens sans histoires pour donner l’impression qu’ils agissent quand ils sont incapables de mettre fin aux menées parfois criminelles des fauteurs de troubles supposés intouchables.
En quelque sorte, quand votre voisin Pierre se livre à du tapage nocturne, il faut plutôt aller sonner chez Paul qui n’ennuie personne pour le prier de respecter le silence.
Par manque de culture, ces personnes ne s’aperçoivent même pas que ce pays qu’ils haïssent est encore le pays de la liberté et c’est peut-être cette raison qu’ils cherchent à supprimer. Au fait, que nous proposent-ils que nous n’ayons pas encore essayé dans notre longue et tragique histoire ??
Le maestro et le transhumaniste partagent le solde des comptes à régler, le vieux loup solitaire a rendez-vous aux ronds-points avec un rêve de moitié, Assa Traoré bronche dans son coin ses délires qui légitimeraient la réciproque zemmourienne, mes gages, disait Sganarelle, ouvrant l’ère matérialiste du petit dieu, son maître, qui choisit la descente aux enfers de sa révolution personnelle d’un équilibre mental dévasté, il ne reste plus à la meute que l’émeute pour se réunir autour des profits du buzz, les gaullistes sociaux se joignent aux Robespierre d’occasion pour traiter Macron de dictateur, et les scientifiques de l’humiliation, bravaches, n’ont même pas peur.
Comment vas-tu, mon cœur ?
Te souviens-tu que nous étions passés pour être présents en notre futur qui, voilà, est venu, le temple de nos corps vieillis à présent, ce lieu de célébration si réel des enceintes protégées qui a su nous préserver, mon Ophélie ressuscitée aux renoncements de ma folie, celle qui aurait voulu contre ces « Ils » définir notre nous, nous enchaînant par la peur de la mort à l’infecte soumission ?
Voilà, mon ange, un délire à l’image des délires dénoncés, nous passons comme le Temps des œuvres fécondes, nourries de nos souffrances pour que pousse l’herbe non de l’oubli mais de la vie éternelle, cet inénarrable qu’il nous reste à raconter et dont les génies humains nous invitent à emprunter ce chemin d’incarnation de l’indicible:
« Je venais de comprendre pourquoi le duc de Guermantes, dont j’avais admiré, en le regardant assis sur une chaise, combien il avait peu vieilli bien qu’il eût tellement plus d’années que moi au-dessous de lui, dès qu’il s’était levé et avait voulu se tenir debout, avait vacillé sur des jambes flageolantes comme celles de ces vieux archevêques sur lesquels il n’y a de solide que leur croix métallique et vers lesquels s’empressent les jeunes séminaristes, et ne s’était avancé qu’en tremblant comme une feuille sur le sommet peu praticable de quatre-vingt-trois années, comme si les hommes étaient juchés sur de vivantes échasses grandissant sans cesse, parfois plus hautes que des clochers, finissant par leur rendre la marche difficile et périlleuse, et d’où tout d’un coup ils tombent. Je m’effrayais que les miennes fussent déjà si hautes sous mes pas, il ne me semblait pas que j’aurais encore la force de maintenir longtemps attaché à moi ce passé qui descendait déjà si loin, et que je portais si douloureusement en moi ! Si du moins il m’était laissé assez de temps pour accomplir mon œuvre, je ne manquerais pas de la marquer au sceau de ce Temps dont l’idée s’imposait à moi avec tant de force aujourd’hui, et j’y décrirais les hommes, cela dût-il les faire ressembler à des êtres monstrueux, comme occupant dans le Temps une place autrement considérable que celle si restreinte qui leur est réservée dans l’espace, une place, au contraire, prolongée sans mesure, puisqu’ils touchent simultanément, comme des géants, plongés dans les années, à des époques vécues par eux, si distantes — entre lesquelles tant de jours sont venus se placer — dans le Temps. »
https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Proust_-_Le_Temps_retrouv%C3%A9,_1927,_tome_2.djvu/231
Malheureusement, il ne s’agit pas d’un délire personnel d’Assa Traoré. Il s’agit du décalque pur et simple du politiquement correct américain, qui fait figure de norme dans les universités, les grandes entreprises et une bonne partie des médias aux États-Unis. Sans compter le monde politique, bien entendu.
Il faut faire très attention à ces déclarations, car Traoré n’emploie pas les mots au hasard. Il s’agit, comme aux États-Unis, d’imposer une idéologie en maltraitant le vocabulaire.
Prétendre que les Noirs sont « en danger » et « meurent sous les coups de la police », c’est tenter d’imposer l’idée, admise par beaucoup en Amérique, que la police est composée de meurtriers racistes qui arpentent les rues en s’amusant à faire des cartons sur les Noirs.
Règle n°1 : ne jamais croire un article d’un média américain, aussi prestigieux soit-il, qui relate un prétendu incident où un policier aurait tué, sans motif, un « Noir désarmé ». Dans la plupart des cas, il suffit de creuser l’affaire pour constater que c’est faux.
La gauche pleurnicharde veut vous faire croire qu’un « Noir désarmé » est un pauvre enfançon qui ne mérite en aucune manière de se faire tirer dessus, mais c’est faux. Un Noir désarmé est un personnage extraordinairement dangereux, en particulier, mais pas seulement, pour la police. Il est armé de ses pieds, de ses poings, et cela suffit amplement pour tuer quelqu’un.
Un nombre considérable de meurtres, aux États-Unis, sont le résultat d’attaques sauvages menées par des gens « désarmés », et ces bonnes habitudes ont atteint nos côtes depuis bien longtemps, apportées par les mêmes populations « désarmées » qui sèment la terreur aux États-Unis.
Mais la campagne politique d’Assa Traoré va beaucoup plus loin. Elle vise à imposer en France ce qui a déjà cours aux États-Unis, à savoir un vocabulaire communiste (*) qui fait régner la terreur longtemps avant que le moindre incident physique n’ait eu lieu.
Vocabulaire qui démolit la langue anglaise en même temps qu’il détruit la réalité.
Par exemple, les inspirateurs d’Assa Traoré ne parlent pas de Noirs. Ils parlent de « corps noirs » (« black bodies »), à chaque fois qu’il s’agit de chouiner sur de prétendues persécutions subies par cette classe ô combien protégée.
Il est du dernier chic, quand vous êtes un professeur ou un journaliste « anti-raciste », de parler de « corps noirs » au lieu de Noirs tout court. Le bon sens suggère qu’il est horriblement raciste de réduire les Noirs à de simples « corps » (il n’ont pas d’âme, ce sont de simples mécaniques, des morceaux de bidoche), mais justement : il s’agit d’insinuer que l’esclavage règne toujours, que la société traite les Noirs comme de simples marchandises.
Au moindre propos non-de-gauche (opposition à l’immigration, au transsexualisme…), les étudiants des universités américaines hurlent qu’on attente à leur sécurité. De simples mots les plongent dans des affres considérables. Ils ne se sentent pas « safe ».
C’est ridicule, bien sûr, mais il s’agit d’établir une équivalence entre les opinions et l’agression physique, voire le meurtre. Si de simples paroles non conformes équivalent à un meurtre, alors la légitime défense s’impose. Jusqu’aux coups. Jusqu’au meurtre.
Et c’est, justement, la position revendiquée des « antifas » américains : ils commencent par qualifier leurs adversaires de « nazis », et que faire avec des nazis, sinon les frapper ou les tuer ? Vous ne voudriez pas que le nazisme revienne, tout de même ?
Les gauchistes américains transforment les mots. Au lieu d’employer « hurt » comme le verbe qu’il est ordinairement, ils s’en servent de plus en plus comme un nom. Ils sont environnés d’horribles personnages qui leur infligent du « hurt », qui leur font du mal, qui les blessent.
Là encore, il s’agit toujours de propos ou d’écrits, mais la gauche joue sur l’ambiguïté du mot « hurt », qui désigne aussi bien la peine psychologique que la blessure physique.
Affirmer qu’il faut construire un beau, grand mur à la frontière avec le Mexique, parce que les immigrés illégaux sont des violeurs et des meurtriers (ce qui tombe sous le sens), c’est comme donner un coup de couteau dans le cœur saignant des chochottes gauchistes — et donc, cela justifie une réponse proportionnée, qui passe par la violence.
Ou par la menace de la violence, et nous retrouvons là le fonctionnement de toutes les sociétés totalitaires.
Assa Traoré n’est pas une foldingue. Elle sait ce qu’elle fait. Elle tente d’imposer chez nous la terreur politiquement correcte américaine, qui est infiniment « en avance » sur la nôtre.
______
(*) On ne rappellera jamais assez que les Black Lives Matter sont communistes.
Expédions Assa Traoré, ses frères maliens et ses souteneurs chez Poutine. Il a des méthodes radicales: le Goulag ou la prison ferme.
J’ai lu qu’un journaliste de CNews, Thomas Lequertier, avait tweeté ce que pense la majorité des Français ayant deux sous de jugeote (il doit encore en rester à l’état résiduel):
« Elle déteste la France et tout ce qu’elle représente, c’est ça son très gros problème ».
Naturellement la volaille a caqueté, mais, sans se démonter, le journaliste a enfoncé le clou à l’antenne en disant « Je revendique le droit de pouvoir m’exprimer sans crainte du « qu’en-dira-t-on ». La dictature des bien-pensants ne m’intéresse pas. »
Peut-être que son intervention va donner des idées à ses confrères (consoeurs aussi !) pour que l’intimidation change de camp ?
Comment ne pas être profondément révolté par cette parole donnée systématiquement à des gens qui haïssent la France, leur pays.
Quand ce n’est pas Assa Traoré, c’est Camélia Jordana et quand ce ne sont pas ces infectes pimbêches c’est le groupuscule CRAN ou le CCIF (dissous mais pour combien de temps ?) qui distillent leur détestation de notre civilisation !
Car c’est bien de cela qu’il s’agit: prendre sa revanche sur des « blancs » qui ont inventé les machines et les techniques qui permettent à un ouvrier sénégalais de vivre de façon plus décente et plus longtemps qu’un manœuvre européen au XIXe siècle !
Rétablir constamment les faits sans agressivité, voilà le cheval de bataille que nos politiques, soutenus par les historiens, doivent enfourcher !
Faute de quoi, la France s’enfoncera davantage encore dans le communautarisme et le séparatisme…
L’article cité par F68.10 le souligne, c’est en France que se situe la résistance aux bourgeoisies communistes de tous bords, confondues dans leurs mutuelles similitudes de « Ils » qui ne sont pas nous. L’ancienne journaliste de Charlie Hebdo Zineb El Rhazoui figure sur la liste des personnalités sélectionnées pour le prix Nobel de la paix 2021, elle incarne magnifiquement l’universalisme républicain, la voix si fragile et pourtant toute-puissante de la vérité :
« L’universel, c’est ce qui est bon pour tout le monde. D’ailleurs, les droits humains traitent bien mieux les religions et les différences culturelles que les religions et les cultures ne le font elles-mêmes entre elles, car la liberté de conscience et de culte ainsi que les spécificités culturelles font partie intégrante des droits humains universels. Ce que d’aucuns appellent la « composante culturelle ou religieuse » des droits humains n’est bien souvent qu’une tentative d’obtenir une dérogation aux droits universels pour imposer certaines violations aux droits humains défendues par certaines religions ou traditions culturelles. Peut-on par exemple tolérer l’immolation des femmes sur le bûcher de leurs époux comme cela se pratiquait en Inde au nom du respect de la liberté de culte ou de la spécificité culturelle ? Aucune inégalité hommes-femmes, aucune privation de liberté individuelle ou répression de la liberté d’expression ne doit être tolérée au prétexte de croyances collectives. »
https://www.lepoint.fr/postillon/zineb-el-rhazoui-je-ressens-le-besoin-imperieux-de-deposer-les-armes-02-02-2021-2412188_3961.php
Allez la France !
« Pourquoi le pouvoir, lui, a-t-il peur ? » (PB)
Une très bonne question ! Qui en appelle une autre : « Mais de quel pouvoir parle-t-on ? » De celui issu des urnes ? Laissez-moi m’esclaffer ! Nos gouvernements européens sont sous la coupe d’entités obscures constituées de décideurs pas toujours connus, que personne n’a élus. Cela va de ces fichues ONG, toujours plus nombreuses, à des bidules comme l’ONU, l’U.E. les droidlom, Shamenesty International, en passant par des sociétés « secrètes » comme le Siècle, Bilderberg ou encore les banques, les grosses entreprises, les innombrables lobbies du Foutoir eurocratique, sans parler de ténébreuses officines intra-muros, comme la franc-maçonnerie, les associations contre le racisme mais toujours sélectif. Ou encore – c’est désormais établi – de la feuille de route, ou agenda oligarchique, qui attend chaque nouveau président de la République qui entre en fonction. Agenda souvent aux antipodes du programme électoral annoncé ; ce qui explique les revirements systématiques des ces traîtres.
Comment voulez-vous que nos élus, dont le critère le plus facultatif est le courage, puissent prendre les décisions idoines que commandent des situations données ? Si pour chaque dossier, ils doivent veiller avant tout aux intérêts ou aux susceptibilités de leurs donneurs d’ordres ? Il est loin le temps où gouverner pour l’intérêt général, c’est à dire du plus grand nombre, conférait honorabilité et estime au monde politique. Néanmoins, une partie toujours plus congrue de Français lambda zélés, disciplinés, civiques jusqu’au bout des ongles, continue d’élire cette camarilla de mercenaires estampillés républicains.
C’est qu’à l’école, on l’a bien formaté sur le devoir civique, le Français jobastre. Alors il vote ! Il élit ! En deux tours, c’est plié. Une nouveau quinquennat qui commence. Qui ressemble furieusement, sinon en pire, au précédent. Bah ! Il aura cinq ans pour pester, râler, manifester. Vive la démocratie ! Et aussi la liberté, si restreinte devient-elle…
À bien noter que la situation n’est guère plus enviable chez nos tout aussi jobastres et amis belges, confrontés à des impasses sociétales similaires. Eux, ils sont persuadés de jouir du droit de vote, gage incontestable de démocratie, qui donne-la-parole-au-peuple et gna gna gna. Et si vous leur rappelez qu’en fait de droit, ce serait plutôt une OBLIGATION (le vote y est obligatoire), ils écarquillent les yeux et rétorquent que leurs ascendants se sont âprement battus pour obtenir – ils n’en démordent pas – ce droit prestigieux…
Dans ces conditions, le ou la plus insignifiant(e) aliéné(e) mental(e) racisé(e) de surcroît, manipulée par Dieu sait qui, pourra en France comme ailleurs, influencer et tétaniser à sa guise n’importe quel gouvernement. Et ne comptez pas sur la sérénité, l’indépendance, le courage ni la neutralité des magistrats pour rattraper le coup…
N’oubliez pas d’aller veauter ! Votre radieux avenir en dépend !!
« Les magistrats en charge semblent d’ailleurs tétanisés à l’idée de clôturer le dossier en prenant une décision quelle qu’elle soit. » (PB)
Nous y voilà, la France des trouillards alors que ce sont ceux qui sont en tête et qui ont obligation de protéger notre pays qui sont les plus lâches.
Ils ont tous oublié les paroles de « la Marseillaise » ?
Tout cela explique pourquoi la France est si faible avec la racaille criminogène importée: les magistrats tétanisés, les politiques figés et entre les deux les identitaires français martyrisés parce qu’ils défendent notre pays contre les ennemis islamisés et menaçants.
Qui menace qui dans ce pays ?
Rappel des faits.
Que je sache, personne n’a tué dans des écoles des petits noirs ou arabes.
Par contre, Mohamed Merah a tué de jeunes enfants juifs dans les écoles.
Ilan Halimi a été torturé et tué par le gang des barbares mené par un certain Youssouf Fofana.
Sarah Halimi également torturée et défenestrée par un Kobili Traoré.
On peut continuer la liste, malheureusement.
Prière à cette Assa Traoré de se faire plus discrète (euphémisme). Décidément, cette femme haineuse devrait aller cracher sa bile ailleurs.
On en a plus qu’assez de voir ces visages disgracieux de haine et d’entendre leurs vociférations de racialistes indigénistes.
Il n’y a pas de race, bande de nazes. Il n’y a qu’une espèce, l’espèce humaine mais j’oubliais ce n’est pas à la mode d’étudier Darwin à l’école française.
Nous sommes en train de patauger dans l’obscurantisme et la bêtise crasse. Les médias mainstream bien-pensants laissent dire. Qui ne dit mot consent.
La gauche et l’extrême gauche bien-pensantes soutiennent ce genre de personnage, Assa Traoré. Aurélien Taché s’est mis à genoux. Ci-dessous une vidéo à déguster : Gaspard Proust qui répond à l’imbuvable Clémentine Autain.
Tout le monde est de droite. Il n’y a pas de gens de gauche. « Vous en connaissez des personnes qui, à la chute du mur de Berlin, se soient enfuies à l’Est ? ».
Aucune réponse de C. Autain.
https://www.youtube.com/watch?v=sjPu2BpZOIw
Mon Dieu ! Que c’est long ! Que c’est long !… Pour que les gens bien nés ou cultivés ouvrent les yeux… tel ce professeur de philosophie de Trappes que l’on voit sur les plateaux. Cheveux sur les épaules, enseignant depuis 20 ans dans cette ville, il jette l’éponge. Il a dû pendant toutes ces années professer le vivre-ensemble, mélanger huile et vinaigre, enseigner l’existence par lui-même de l’être, le cogito ergo sum à des individus dont l’existence n’existe qu’à travers leur communauté. Et le voilà ce matin chez Praud en appeler à l’armée.
Mais quel désastre ! Quel désastre ! Le sang va couler à cause de tous ces humanistes aux yeux recouverts de peau de saucisson.
Assa Traoré ? « La question elle est vite répondue »: 14 frères et soeurs, 4 mères. Détournement de subventions, un grand-père gouverneur d’une province malienne où se pratique encore l’esclavage.
La France tu l’aimes ou tu la quittes.
https://www.tvlibertes.com/actus/quand-le-grand-pere-dadama-traore-etait-gouverneur-dune-region-qui-pratique-toujours-lesclavage
@ caroff 8 février 11:36 (3ème paragraphe)
Très juste.
Il faudrait arrêter de donner une quelconque visibilité à ce genre de fanatique suintant la haine et le ressentiment et s’ingéniant à copier servilement Angela Davis pour se hausser du col. Ce qui dénote chez elle un manque de connaissance total de ce qu’était la situation aux USA dans les années soixante, et ce qu’elle est aujourd’hui, tant là-bas que chez nous en France.
En outre, elle semble oublier que la révolutionnaire AD, à l’époque de son combat pour l’égalité raciale, non seulement n’avait pas l’oreille du président des Etats-Unis, mais ne bénéficiait pas non plus de la complaisance et du soutien des médias majoritaires. Bien au contraire !
Ensuite, à l’inverse de Traoré auquel on déroule le tapis rouge quand elle vient faire son numéro de pasionaria vedette, Angela Davis, qui elle menait un combat contre une discrimination bien réelle, était fichée et traquée par le FBI comme anarcho-communiste, fut incarcérée à deux reprises, condamnée à la prison à perpétuité pour atteinte à la sûreté de l’Etat avant d’être acquittée, suite à d’importantes manifestations de protestation, tant internes que provenant de multiples pays… Pas sûr que la Traoré ait le cran de mener un tel combat, déjà qu’elle piaille avant d’avoir reçu la moindre semonce, le moindre rappel à l’ordre, le moindre coup de matraque de gendarmes ou policiers au demeurant bien patients avec pareille engeance…
Aïssa Traoré fait donc une triple erreur : en se trompant d’époque, en se trompant de pays, en se trompant sur elle-même, se prenant pour une révolutionnaire de pacotille « sans risque » et avec la bénédiction des médias.
En résumé, si elle n’aime pas la France personne ne la retient. Il y a tout plein de pays où elle pourrait exercer ses talents de grande gueule, évidemment à ses risques et périls !
Fuera la comediante !
Y a encore des gens pour écouter cette conn*sse ?
D’après Wikipédia :
« Assa Traoré naît en janvier 1985 dans le 9e arrondissement de Paris. Elle est issue d’une famille polygame, dont elle considérait les autres femmes de son père comme également ses mères, comptant dix-sept frères et sœurs.
Son père Mara-Siré, né au Mali, s’unit d’abord à la Picarde Elisabeth, puis à la Normande Françoise, desquelles naissent sept enfants, puis se marie au Mali avec Hatoumma, mère d’Assa, puis avec Oumou, mère d’Adama ; les deux épouses vivent ensemble à Beaumont-sur-Oise. Les Traoré grandissent dans le quartier de Boyenval. Leur père, est chef d’équipe sur des chantiers d’étanchéité. »
Il faut la comprendre, quatre mères, dix-sept frères et soeurs, elle a de quoi être confuse !
D’autant plus qu’elle doit regretter que son père travaillait dans l’étanchéité, sauf dans un cas, dans la région bas-ventre !
C’était sans doute lui qui chantait en travaillant : « Et tout ça, ça fait d’excellent Français, d’excellents truands, pardon, soldats… »
Elle a pourtant une solution simple !
Retourner au Mali d’où elle est issue, là-bas elle trouvera bien un djihadiste pour l’inclure dans son harem à la mode de son papa et assurer sa sécurité !
En plus il la satisfera ! Là-bas on tue des blancs en bonne santé en uniforme !
En attendant les médias pourraient peut-être nous éviter d’écouter et publier ses balivernes !
Bonjour M. Bilger,
Je suis votre blog régulièrement. Je partage parfois votre point de vue mais ici je suggère à cette personne de se tourner vers un pays plus clément où elle pourra déverser à loisir sa haine contre la France. Je précise que cette famille n’est pas un prix de vertu et que les forces de l’ordre et la justice ont une connaissance aiguë des frasques de la tribu.
Que nos pouvoirs publics stoppent ces digressions. Nous disposons de l’arsenal juridique pour faire cesser ces diatribes haineuses.
Cordialement
« Ce sont des délires mais personne ne bronche » (PB)
On peut s’en étouffer de rage… mais la seule question qui vaille d’être posée est : pourquoi ?… Parce que ce qui fait l’honneur d’une démocratie comme la nôtre, la liberté d’expression, interdit toute entrave à l’encontre d’opinions, soient-elles délirantes… et tous les discours, tous les écrits sont permis, hormis s’ils sont diffamatoires, négationnistes, ou s’ils incitent au racisme et à l’antisémitisme.
Loin d’être une peste sans cervelle, Assa Traoré, bien conseillée, ajuste l’expression de sa haine de la France au millimètre. Rien dans l’entretien publié par Jeune Afrique ne permet d’entreprendre une action en justice. Elle n’a dérapé qu’une seule fois, en juillet 2019, en citant les noms des gendarmes qu’elle met en cause dans la mort de son demi-frère. La plainte pour diffamation déposée par deux d’entre eux suit son cours…
« La police les tue tous »… La diffamation ne serait constituée que si elle avait dit : « La Gendarmerie nationale, la Police nationale les tuent tous ». La loi de 1881 est précise : « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation » (art.29). « La police » est un terme générique, pas un corps…
Bien sûr, cela n’interdit pas à Gérald Darmanin de défendre ses troupes. Et de le faire haut et fort. Bien sûr cela n’interdit pas à la justice d’enquêter sur les dégradations commises lors des manifestations organisées par le « comité Adama ». Bien sûr, cela n’interdit pas au pouvoir de clouer le bec de la donzelle en contrôlant étroitement le financement de ses activités militantes et de froncer les sourcils vis-à-vis de certains « mécènes »… Pourtant, rien ne bouge…
La question reste la même : pourquoi ? La vraie réponse est politique : Assa Traoré est « l’idiote utile » de Jupiter et, à quinze mois de la présidentielle, ses vomissures sont pain bénit. Ne pas y répondre, c’est ne pas froisser la gauche extrême qui la soutient, ne pas se mettre à dos l’autre gauche, toujours prête à protéger les « minorités discriminées » sous prétexte d’humanisme, et à « comprendre » les violences, sinon les excuser… Au premier tour de 2022, les voix de gauche ne seront pas à dédaigner…
Mais se taire, c’est surtout un excellent moyen de renforcer Marine Le Pen, de faire en sorte qu’elle soit qualifiée pour le second tour. Réélection assurée… Ecartelée entre l’aile « régalienne », qui réclame le retour à l’ordre, et l’aile « molle », qui joue la carte sociale, la direction actuelle de LR, qui, de plus, montre de réelles faiblesses de communication, est incapable de mettre le curseur à la bonne hauteur face au « cas Traoré », plus généralement face à l’immigration et aux violences des banlieues. Elle se tait elle aussi… mais pas par tactique. Même le contre-projet sur la lutte contre les séparatismes du groupe LR à l’Assemblée est passé quasiment inaperçu…
L’aile « régalienne » s’impatiente, se crispe… et ses électeurs sont de plus en plus nombreux à oser affirmer publiquement qu’ils regardent du côté du RN… Encore inconnu, le candidat LR, qui sera choisi dans un panel de candidats dont le seul point commun est le refus de toute alliance avec Marine, est déjà en train de perdre des voix… Place de troisième assurée… si Mélenchon s’écroule.
Son raid de 2017 a fait découvrir en Macron un vrai stratège en matière de captation des suffrages. L’objectif du concept « en même temps » était d’unir pour prendre le pouvoir. En 2022, il s’agira de le conserver en dynamitant les adversaires… sauf un, incapable, malgré son nom, de rassembler.
La partie est entamée… Mais Assa Traoré n’est pas la première pièce jouée, avec cette même volonté de favoriser l’accès du RN au second tour. Présentée comme une tentative de rapprochement avec le régime algérien, dont l’avenir est compté, l’initiative du Président visant à gommer les différences entre le récit FLN et le nôtre de la guerre d’Algérie apparaît aussi comme un bon moyen de jeter dans les bras de Marine nombre d’électeurs de droite qui n’apprécieraient pas une histoire moins « française »… que la droite « molle » pourrait accepter.
Ras le bol de Traoré et de son histoire à rebondissements incessants.
S’il n’y a pas de démenti ni de riposte, c’est probablement pour ne pas élever Assa au rang d’interlocutrice valable et ne pas lui donner une importance qu’elle ne mérite pas.
Alors elle continue à cracher impunément son venin et à répandre ses mensonges.
On pourrait lui rétorquer que si France lui paraît invivable, on ne la retient pas.
De fait, elle pourrait s’épanouir en Chine, en Russie, en Corée du Nord et dans certains pays d’Afrique. Dans l’heure qui suit ses critiques à l’égard du pouvoir, elle serait en prison ou dans un camp.
Mais, comme vous le dites, il faudrait pourtant réagir: elle salit la France, la police… Effectivement, les syndicats de police devraient lui rabattre un peu son caquet.
Mila doit se sentir un peu seule, elle a eu le courage de recadrer Assa. Décidément, Mila n’a pas froid aux yeux.
Faut-il que la famille Traoré (famille triple) et ses semblables soit masochistes pour continuer à vivre en France, où ils sont discriminés, maltraités, en danger !
La France est trop bonne fille.
Car à force de ne pas broncher, ce sont les Français d’origine qui sont maltraités intellectuellement parlant, rabaissés et juste bons à payer des impôts et des cotisations pour aider les semblables de Madame Traoré dont beaucoup nous détestent.
Justement, ce matin au bureau de la Poste principale de ma ville, j’ai pu constater que tous les Africains présents, et ils étaient en majorité, adressaient colis et mandats à leur familles restées au pays. Et j’imagine aisément que le 15 du mois, leurs salaires ou allocations épuisées, les mêmes font la queue à la mairie pour obtenir des aides supplémentaires. La France paie deux fois.
De même, avec la généreuse idée de la discrimination positive, nous voyons entrer dans nos grandes écoles des jeunes de la diversité sans qu’ils passent les concours d’entrée, toujours en vigueur pour les jeunes Français d’origine.
Ainsi, ces jeunes de la diversité auront toutes leurs chances tandis que les enfants de Français moyens, même de familles plutôt aisées mais sans réseaux, auront les pires difficultés à pouvoir y rentrer.
Non seulement personne ne bronche mais au contraire c’est à qui en fera le plus pour satisfaire ces pauvres victimes de Français colonisateurs et racistes. Quand ce n’est pas le Président qui, pour leur complaire, promet de débaptiser certaines de nos rues pour les rebaptiser de leurs héros à eux ou abonde dans leur sens en parlant du délit de faciès ou encore rappelle le colonialisme à tout bout de champ. Ce sont ces PDG de grandes entreprises qui changent leurs logos et leurs vieux slogans ou ne présentent plus que des mannequins noirs, ou encore comme L’Oréal, suppriment les mots blancs et clairs de leurs produits.
Ce qui est inquiétant pour le « bien vivre ensemble », c’est de laisser proliférer des propos d’Assa Traoré et de ses semblables sans broncher, car qui ne dit mot consent. Tous les gens de bon sens s’en rendent compte.
Ce matin chez Pascal Praud, un professeur de philosophie a décrit la situation à Trappes où il est enseignant depuis de nombreuses années.
Il alerte sur la dégradation qui s’accélère dans cette ville et sur l’intimidation envers ceux qui résistent. Une culture contre une autre culture, comme une guerre civile qui s’annonce.
Aujourd’hui il est déjà bien tard, demain il sera trop tard.
Madame Traoré ne fait que reprendre les délires des « Black Lives Matter » et des minorités indigénistes américaines. Des minorités actives, violentes et pourtant soutenues par une gauche hors sol là-bas et chez nous.
Personne ne bronche, ni dans les médias principaux, ni parmi les politiques, ni même parmi des syndicats de policiers directement incriminés et c’est justement ce silence qui donne toute latitude à Madame Traoré et ses suiveurs et suiveuses de légitimer ses propos.
@ Serge HIREL
Même si j’adhère entièrement à votre analyse politique de la campagne électorale qui vient, je trouve le jeu du Président extrêmement dangereux pour la France. Comment revenir après-coup sur ce qui n’est rien d’autre qu’une soumission politique même si elle est fictive.
Peu à peu nous serons à genoux.
Très bonne émission ce soir sur CNews, Face à l’info, qui complète l’article de M. Bilger sur Traoré la raciste indigéniste anti-blancs anti-France et ce nazislamisme criminel haineux violent qui se répand dans tout le pays avec la complicité du pouvoir collabo macronien traître à la France.
Evidemment, Zeribi le souteneur islamiste va encore accuser Zemmour de véhiculer des idées racistes, ben voyons !
LGBT, théorie du genre, éradication de l’homme blanc hétéro catho, intégrisme féministe… le nouveau monde dégénéré est en marche.
@ Michelle D-LEROY
La discrimination positive est surtout très stigmatisante pour les populations ciblées. Dès lors qu’elle consiste non seulement à leur reconnaître une infériorité congénitale liée à leurs origines culturelles ou ethniques ou à leur milieu sociologique, mais en outre accrédite l’idée chez nombre de personnes mal informées ou sectaires que « tous les jeunes » d’origine modeste, issus des minorités ou de l’immigration, ayant réussi brillamment diplômes et concours sans bénéficier d’aucun passe-droit, ne devraient « en réalité » leur réussite qu’à une prétendue discrimination positive et non pas à leur seul travail et mérite sans aucune aide particulière.
Inutile de vous dire que je suis par conséquent, comme beaucoup de personnes lucides et éprises de justice, farouchement opposée à la discrimination positive, qui est en fait une nouvelle forme de racisme parmi les plus insidieuses et perverses qui soit.
« Plus le singe monte à l’arbre, plus il montre son derrière »
Un billet d’une ligne aurait suffi.
@ Aliocha
« L’article cité par F68.10 le souligne, c’est en France que se situe la résistance aux bourgeoisies communistes de tous bords… »
L’article du Figaro ne montre pas que nous serions un village d’Astérix résistant farouchement au discours sur le racisme qui fleurissent dans le monde depuis longtemps et qui s’agrègent avec Internet. Il montre surtout que notre logiciel idéologique est condamné à se faire submerger. Surtout si on reste sur universalisme naïf.
« L’ancienne journaliste de Charlie Hebdo Zineb El Rhazoui figure sur la liste des personnalités sélectionnées pour le prix Nobel de la paix 2021, elle incarne magnifiquement l’universalisme républicain, la voix si fragile et pourtant toute-puissante de la vérité. »
L’universalisme républicain ne tiendra pas le choc. Une de ses faiblesses structurelles en est que la gauche laïque et athée qui a imposé une liberté de religion face au catholicisme n’est en fait pas véritablement un mouvement qui prône la liberté de conscience.
Nulle part est-ce plus évident que dans l’alliance de la carpe et du lapin au sein de la Miviludes entre catholiques conservateurs et athées franc-maçons ou apparentés.
Ils se partagent le marché de la croyance, verrouillent l’entrée aux nouveaux venus, et, au final sont d’accord pour limiter la liberté de conscience et in fine d’expression sur les thématiques « spirituelles » ou plus généralement morales, avec une focalisation particulière (et presque légitime) sur le milieu de la médecine depuis le passage de Serge Blisko à sa tête.
L’idée de la liberté de conscience, c’est aussi et surtout l’idée qu’au sein d’un groupe culturel (musulmans, catholiques juifs ou même athées) on ait le droit d’avoir des convictions morales qui divergent de ce groupe. Les catholiques et les laïcards sont en fait d’accord pour ne pas soutenir ce droit, ou plutôt, d’accord pour faire semblant de le soutenir. La liberté de conscience, en matière islamique française, c’est donc le soutien aux apostats musulmans français. Et là… silence radio. D’ailleurs un des chevaux de bataille de Zineb…
Sauf que la tolérance des minorités n’est pas compatible avec la complaisance ; et que la non-complaisance, c’est bien de garantir la liberté de conscience au sein de minorités, et notamment celle de rejoindre les majorités sur une base individuelle. Tant que cela ne sera pas ancré, les communautés gardent un verrou mental sur leur cheptel. Ce qui ne déplaît pas complètement aux catholiques.
L’antidote, c’est la liberté de conscience et le devoir moral de libérer l’expression sur les matières morales et religieuses. Mais cela fait flipper tout le monde dans un pays qui n’a toujours pas digéré ses guerres puis guéguerres de religion. Il n’y a en effet toujours pas de débat moral sur les fondamentaux: ayant chassé les protestants, nous avons raté cette occasion d’apprendre à débattre. Et au final les catholiques parlent aux catholiques ; les athées (trotskistes) parlent aux athées (trotskistes) ; les juifs parlent aux juifs ; les musulmans parlent aux musulmans…
Diagnostic: assimilationnisme sur un plan officiel, mais communautarisme dans les esprits. Car nous n’avons pas ou plus de réelle tradition de débat d’idées sur ces thèmes, que nous voulons expulser, à tort, de la sphère publique.
« L’universel, c’est ce qui est bon pour tout le monde. D’ailleurs, les droits humains traitent bien mieux les religions et les différences culturelles que les religions et les cultures ne le font elles-mêmes entre elles, car la liberté de conscience et de culte ainsi que les spécificités culturelles font partie intégrante des droits humains universels. » — Zineb El Rhazoui
C’est trop dogmatique comme position. L' »universel » ne fera pas le poids contre les particularismes à l’heure d’Internet, et la liberté de conscience en est une belle façade… une coquille vide qu’on nie dès qu’il s’agit d’uniformiser la société, grande obsession française. Obsession qui n’est pas d’esprit très libéral, dirons-nous…
« Ce que d’aucuns appellent la « composante culturelle ou religieuse » des droits humains n’est bien souvent qu’une tentative d’obtenir une dérogation aux droits universels pour imposer certaines violations aux droits humains défendues par certaines religions ou traditions culturelles. » — Zineb El Rhazoui
Oui et non. En France, il importe effectivement de ne pas tolérer ces violations, comme les mariages forcés ou arrangés à l’étranger. Par exemple. Mais quand Zineb parle de l’étranger… cela coince un peu aussi:
« Peut-on par exemple tolérer l’immolation des femmes sur le bûcher de leurs époux comme cela se pratiquait en Inde au nom du respect de la liberté de culte ou de la spécificité culturelle ? » — Zineb El Rhazoui
En France, non. Mais même en Inde, ils y mettent progressivement un terme. (Avec 1948 condamnations en 2008, tout de même…) Maintenant, il est assez factuel que ce genre de discours sert aussi à condamner des pratiques sans que nous n’y comprenions grand-chose. Les suicides politiques de moines bouddhistes ou les suicides rituels par le jeûne dans le jaïnisme ont des bases éthiques défendables sur le papier. Quand ils ne l’appliquent pas à des enfants… Et notre traitement de la fin de vie et de la médicalisation à outrance des petits vieux n’est pas nécessairement à notre honneur, comparativement.
L’universalisme ne doit pas être un prétexte à rejeter trop facilement les débats philosophiques ou moraux avec d’autres religions ou cultures. Ce qu’il est trop souvent. L’assimilation du bouddhisme avec la psychose dans le cadre de la psychanalyse en est un exemple qui rentre bien, justement, dans le cadre d’analyse de la Miviludes… et qui, au-delà des dérives des années 1970, rentre bien dans le cadre d’une « xénophobie » « spirituelle » institutionnalisée via des discours proprement hallucinants qui ne sont rien d’autre que de pathétiques resucées de la querelle du panthéisme du XIXe. C’est un sketch perpétuel…
L’universalisme, c’est bien. Quand on a les fesses propres.
« Allez la France ! »
Mouais. Paris n’est pas le centre du monde. En 2050, le monde ressemblera à cela. Il est temps de s’y préparer mentalement un petit peu…
@ Mary Preud’homme
« …discrimination positive, qui est en fait une nouvelle forme de racisme parmi les plus insidieuses et perverses qui soit. »
Et qui est aussi pour commencer tout simplement une discrimination négative à l’encontre des personnes méritantes qui ont été évincées.
Y aurait pas une place pour Traoré dans la caravane à Leonarda ?
Et si c’est être raciste que de ne pas la retenir en France parce qu’elle serait mieux ailleurs, alors je suis raciste.
Benzema la défendra.
@ Ninive | 08 février 2021 à 14:24
Pour faire bonne mesure, n’omettez pas que nous avons laissé les ouvriers du bâtiments travailler sans protection dans un environnement amianté, dont certains sont décédés, comme Mara Siré, le père des dix-sept enfants Traoré.
Mais, ce qui est également le cas des personnels de l’Etat dont, comme à Jussieu, c’était le lieu de travail où l’amiante avait été « floquée » sur toute l’infrastructure en métal du site lors de sa construction, entre 1964 et 1972.
Des dizaines de bâtisseurs et d’employés de Jussieu ont en effet été intoxiqués. (Vingt ans de désamiantage: https://www.ladepeche.fr/article/2016/09/29/2429207-universite-jussieu-refait-enfin-peau-neuve-apres-20-ans-travaux.html)
@ F68.10
C’est vrai qu’en France, les Eglises – mais c’est normal – et les laïcs – ça l’est moins – ne défendent pas la liberté mais s’en prennent aux religions concurrentes pas encore assez fortes pour être considérées comme respectables.
https://www.lalibre.be/international/discrimines-les-temoins-de-jehovah-la-france-jugee-51b8c50ee4b0de6db9bdb27b
Pour moi, si des adultes ne veulent pas de transfusion sanguine et qu’ils en meurent, c’est leur affaire. On ne rend pas le vaccin obligatoire pour les adultes, et la transfusion, si ? Folie, si un Témoin meurt faute de sang, il ne transmet pas sa carence au voisin, tandis que dans le cas de non vaccination, si…
C’est souvent n’importe quoi, les interdits. Symbolique certes, mais l’ombre du symbole fait trop souvent perdre la proie de la réalité. Un poète, lui, accroche les deux de sa flèche comme Apollon, « le tireur infaillible ». Qui sait aussi pour cette raison ? On peut rêver.
Bref, avec les masses il faut être comme tout le monde, et si on est soigné, à la disposition du personnel médical… Enfin, au mieux, les gens voient leur liberté, pas celle des autres : je doute que les Témoins permettent aux gens l’usage de drogue illégale, il faut bien un plus opprimable que soi à casser, dans le monde, ça ne coûte rien, ça soulage et crée du lien social.
Formidable !
Les Témoins ne nous nuisent pas, on leur nuit : révélateur de notre injustice et propension à chercher à soumettre dans l’impunité.
Et le plus drôle, les Témoins finiront bien par être reconnus, et quand ils commettront des abus, se draperont dans les nôtres pour se dérober aux enquêtes et aux critiques. Certain : sinon, cette religion élèverait ses fidèles, et ce serait bien la première fois.
Bref, défendre les victimes est bien, mais partout, les grosses boîtes type Eglise, et les grosses brutes tels que les musulmans dont trop d’ingrats nous rendent le mal pour le bien, ne devraient pas être moins surveillées pour leurs dérives que les « sectes ».
On dirait ces professeurs qui n’osant réprimander les élèves insolents s’en prennent à l’enfant rêveur peut-être coupable d’un regard laissant transparaître ce qu’il pense du prof et de la faune quand il considère le spectacle et non ses pensées.
On me dira qu’on a toujours tort de sortir de soi, mais pour apprendre, comment l’éviter ? On me dira qu’il faut apprendre à mieux feindre, mais on ne peut pas tout apprendre en même temps et de toute manière, les gens s’accrochant à un regard sont si arbitraires qu’ils en inventerait vite un. Tout cela est bien pitoyable.
Mais après tout, si un enseignant devrait être juste, est-il fait pour avoir de l’autorité ? Ce ne sont pas les parents qui doivent élever leurs marmots ?
Cependant nos politiciens et autres élites font pareil : aucune autorité pour ceux qui les remettent en cause comme fonction, et chercher des poux dans la tête à qui ne croit pas en eux comme personne.
Voir surtout les musulmans qui trop souvent nous nuisent et qu’on ne sanctionne guère et dont on autorise des coreligionnaires à continuer à immigrer tandis qu’on critique de critiquer l’Islam sous le terme d’islamophobie ou en disant que remarquer leur ingratitude inédite serait du racisme.
Bref, le problème des sectes est révélateur, comme celui des écoles, tout fonctionne pareil : on s’en prend à l’original, un jour, ceux qui refuseront le téléphone portable pour tracer tout le monde, et non au saboteur.
Je préconise l’inverse, on s’en doute. Ne pas nuire à l’innocent, ne pas épargner le coupable.
Sans être Apollon, nous pourrions être moins faillibles, peut-être avec sa grâce, sûrement avec de l’entraînement.
Après une série d’expertises sur les causes de la mort du délinquant Adama Traoré, les dernières conclusions font état d’un trépas dû à un coup de chaleur. Aggravé toutefois par l’intervention des policiers, ces « ignares » qui n’avaient pas prévu de système de ventilation pour ce genre d’intervention musclée. On croit rêver, n’est-ce pas ? Non, non ! C’est tout ce qu’il y a de plus plausible, de plus sérieux, parole d’experts.
Si ces conclusions sont définitivement retenues, va-t-on désormais adjoindre aux patrouilles appelées à intervenir dans des circonstances analogues, un « agent ventilateur » chargé de soulager la souffrance de l’interpellé, à l’aide d’un éventail qu’il agite frénétiquement près de sa face, tandis que d’autres le menottent énergiquement, non sans avoir préalablement dégagé sa poitrine ? Le summum de la délicatesse voudrait qu’un telle opération soit assortie d’excuses.
Quoi qu’il en soit, voilà une porte de sortie intéressante, pour les juges qui auront à trancher définitivement ce dossier. La police étant responsable, mais pas entièrement, de l’issue de l’opération, puisque si le défunt n’avait pas été aussi sensible aux chaleurs que provoque la montée d’adrénaline, il serait toujours en vie. Une manière, pour la justice, de ménager les deux parties, tout en se dépêtrant de ce sac de nœuds communautariste. Une manière également, pour les magistrats, de remettre sine die la démonstration tant attendue d’une once de… courage…
Ah, que ferait la justice sans les experts ?
@ F68.10
Au-delà du fait que l’article est en accès payant, je n’ai pas voulu trop citer ce que Zineb raconte, au vu de vos allergies, je n’aurais pas voulu vous provoquer un œdème de Quincke:
« Mais les religieux que vous ciblez régulièrement expliquent, eux aussi, qu’ils œuvrent pour la paix…
Amen ! Qu’ils la fassent donc, sans attendre ! Qu’ils nous montrent l’exemple en étant capables de cette reddition sans conditions à la paix. Faire la paix, ce n’est pas seulement la clamer, c’est d’abord la faire avec soi-même. Faire la paix, ce n’est pas dire : « Je suis en paix, sauf si l’on me provoque en dessinant mon prophète. » Non. Faire la paix, c’est d’abord s’interroger sur soi, sur son incapacité à puiser en soi la paix véritable et les ressorts du pardon, justement lorsque l’autre dessine mon prophète. Les religieux qui se présentent comme les dépositaires du message divin devront reconnaître que, si message il y a, c’est un message qui s’adresse à tous. Libre donc à chacun d’y répondre de la façon qui lui convient, fût-ce par le refus, le rejet ou l’ironie. L’écueil majeur auquel se heurtent ces religieux qui prétendent faire régner la paix par la coercition, c’est qu’ils ont oublié que la spiritualité est universelle, bien que la religion qu’ils représentent puisse en être une voie. La spiritualité comme la paix ont toujours été des valeurs laïques. »
https://www.lepoint.fr/postillon/zineb-el-rhazoui-je-ressens-le-besoin-imperieux-de-deposer-les-armes-02-02-2021-2412188_3961.php
« Le problème se décline donc au-delà, ou en deçà, d’un débat philosophique et moral, où toute loi, si elle ne tient pas compte du fait que les systèmes anciens fondent l’établissement de la paix sur un mensonge, occultant la réalité que la paix est établie, ou rétablie, par le sacrifice d’un innocent, est vouée à ne pas fonctionner tant que nous ne tiendrons pas compte de cette réalité désormais observable, permettant de dégager une loi d’ordre physique comme les lois de gravitation dont les systèmes juridiques doivent tenir compte, évitant de répéter sans relâche l’établissement d’un ordre mensonger, voué alors à l’inopérance, rétablissant sans cesse des systèmes d’oppression sectaires et idolâtres, dans la tentative vaine et répétée de nier cette réalité partagée, tous les « ils » accusant tous les « nous », et réciproquement, de ce vice qui pourtant les rassemble.
Peut-être pourrions-nous nous entendre sur ce fait observé d’une fausse transcendance établie sur la violence des hommes, la violence étant intégrée au fondement de la symbolique humaine, nous n’avons aucun moyen direct de comprendre ce qui est entièrement sans violence, la vaine agitation de l’homme se repliant sur lui-même face à l’effondrement non violent d’une sphère de sens totalement imprégnée de violence.
Se dégagerait alors la possibilité d’ensemble prendre conscience qu’il est de notre devoir, moral ici, d’être à la hauteur de ce que la création nous propose, inversant le processus narratif de notre culture qui refuserait alors son établissement sur les mensonges du sacré, pour mettre en récit sur un fondement devenu véritable, l’histoire d’un futur viable:
« À quoi ressemblerait un monde dans lequel vos combats politiques l’auraient emporté ?
J’aime ces questions utopiques, car elles sont toujours une occasion de rappeler que l’utopie est un rêve possible. Dans un monde où mon combat l’aurait emporté, il n’y aurait plus de combat. Sans attendre ce jour, je suis arrivée à un moment de mon parcours où je ressens moi-même le besoin impérieux de sortir du combat, de déposer les armes et de me placer sur le terrain de la non-violence. Cela fait quelques mois que je me suis mise en retrait pour observer avec plus de distance le chemin parcouru jusqu’ici. En regardant à l’intérieur de moi, j’ai compris que la violence dans laquelle je vivais n’a jamais tué en moi le besoin d’aimer, même mes adversaires. J’ai réalisé que mon besoin de positivité signifiait qu’il fallait que je sois d’abord capable de l’insuffler aux autres. Et c’est au cours de ce cheminement spirituel que la nouvelle de ma nomination pour le prix Nobel de la paix est tombée, comme un signe qu’il fallait dorénavant continuer la lutte autrement : avec paix et amour. »
(Ibid)
L’indulgence coupable, qui n’est rien d’autre que faiblesse, lâcheté, dont bénéficie cette personne ne fait que l’encourager à poursuivre dans la voie qu’elle s’est tracée et la conforter dans le statut qu’elle rêve d’endosser d’égérie des opprimés d’un régime policier qu’elle nous fait l’affront de qualifier de sanguinaire et raciste !
Quel stratège n’exploiterait pas en fait l’opportunité ainsi offerte avec une telle bienveillance par un adversaire tétanisé et donc aussi passif ?
Gageons seulement qu’à force d’impuissance, de reculs, d’abandons, le réveil ne soit pas un jour trop douloureux !
@ Michelle D-LEROY 08 février 2021 à 19:58
Je partage totalement votre inquiétude sur l’après-2022. Mais rien n’est encore sûr. La présidentielle est loin d’être pliée. La stratégie électorale de Macron, qui joue avec les allumettes, ne suffira pas à lui assurer un second mandat. Il doit aussi sortir indemne de la crise sanitaire et de ses conséquences sociales et économiques qui sont encore à venir. Décidant de tout, il s’est mis en première ligne et paiera cash un éventuel fiasco, d’autant que, comparée à ce qu’étaient le PS et l’UMP, LREM n’a aucune puissance de feu.
D’ores et déjà, il est dans le dur. L’option économique qu’il a choisie en tentant d’éviter un troisième confinement est un pari risqué. Il s’imposait : bloquer à nouveau la production aurait été dévastateur : rendue possible par les vaccinations, toute relance avant l’été aurait été compromise.
Mais si la pandémie s’aggrave au point de submerger les hôpitaux et de rendre indispensable une nouvelle mise sous cloche, le pari sera doublement perdu et le raz de marée de mécontentement, amplifié par une hausse du chômage inédite, pourrait se prolonger jusqu’au printemps 2022.
Si, au contraire, le virus desserre son étreinte, il sera ovationné pour sa perspicacité… et l’on oubliera sa gestion chaotique en 2020, qui a conduit à une chute du PIB de 8,9 %. La réélection sera alors probable… si la droite ne parvient pas à retrouver ses esprits et à lui opposer, non seulement un candidat porté par l’ensemble de ses forces, mais surtout un projet de société radicalement différent du sien.
L’honnêteté intellectuelle oblige à reconnaître que, pour l’heure, ni l’homme – ou la femme -, ni le projet ne sont à l’horizon… Les chefs de la droite sont aujourd’hui face à une responsabilité historique : ou ils parviennent à présenter une alternative crédible et l’espoir est permis de reprendre l’Elysée, ou ils se querellent, désespèrent leur électorat et Macron, définitivement débarrassé du LR, poursuit sa route vers une France européanisée, multiculturelle et faible face au risque migratoire.
Pour l’heure, un coup d’arrêt à cette descente aux enfers paraît encore possible. Mais il n’y aura plus d’autre chance… En 2022, la droite dite « républicaine » jouera sa dernière carte. En refusant « l’union des droites », sera-t-elle à la hauteur de l’enjeu ?
@ Catherine JACOB
« …nous avons laissé les ouvriers du bâtiments travailler sans protection dans un environnement amianté… »
L’amiante, maintenant !
Il faudrait arrêter avec tous ces délires hygiénistes, qui servent parfois de prétexte à tout et n’importe quoi.
Il se trouve que j’ai été confronté dans ma jeunesse, de façon indirecte, à la question de l’amiante dont on a fait un épouvantail, même si bien entendu, à l’instar d’autres produits industriels, ce matériau méritait d’être manipulé avec certaines précautions.
Il faut savoir que les gens qui ont eu des problèmes de santé imputables à l’amiante étaient aussi souvent de gros fumeurs qui avaient déjà les poumons bien abîmés.
À titre indicatif, je connais quelqu’un, ex-travailleur dans une usine de production de matériaux de construction amiantés, qui a été exposé pendant des dizaines d’années à de fortes quantités de poussières d’amiante (ce qui n’était pas le cas à Jussieu) et qui va actuellement sur ses cent ans…
Cette attitude masque la réalité qui est de laisser à certains le droit d’humilier, de salir la France, de cracher, avec quelle acrimonie et virulence, sur un pays où ils vivent, manifestent. Ces ignominies contre la police, ce sont d’abord des ignominies contre notre nation
Nous pouvons rapprocher cette situation conjuguant outrances de minorités agissantes et lâcheté des divers représentants de l’État, avec le calvaire que doit subir Didier Lemaire, ce professeur de philosophie dans un lycée de Trappes, ville totalement aux mains de l’Islam salafiste avec l’aval bienveillant des « autorités » et qui vit sous protection policière, après avoir fait l’objet de menaces de mort de la part de gens qui « ne se sentent plus Français du tout » et qui pour certains se comportent comme « des ennemis »…
Lors de l’émission « l’Heure des pros » sur CNews du 08/02/2021, Didier Lemaire a donné des exemples, loin d’être uniques dans le domaine de l’enseignement, de règne du « pas d’amalgame » et du « surtout pas de vague » illustrant la passivité voire la lâcheté du corps enseignant et de la hiérarchie (donc également du pouvoir politique) face à des faits inacceptables en refusant de voir la réalité en face.
Eh oui, il est dur de reconnaître après des dizaines d’années de formatage idéologique que tout ce qui n’était qu’un empilement de billevesées s’effondre…
@ Serge HIREL | 08 février 2021 à 18:15
Parfaite analyse politique de la situation. Il ne sert à rien de disserter sur cette « idiote utile ». L’élection de 2022 est le seul objectif du gouvernement. Qu’importe où va le bateau France !
@ Wilfrid Druais 8 février 22h35
Du meilleur de ce qu’on peut lire ici.
Respect !
@ Mary Preud’homme
Entièrement d’accord, je suis farouchement contre la discrimination positive qui reste avant tout une discrimination, je préfère parler d’égalité des chances, ce qui doit prévaloir dans un monde humanisé mais responsable.
En fait, cette hostilité à la discrimination positive m’est venue lorsqu’une amie, qui était bénévole dans une association prestigieuse, courait de lycée en lycée, pas à Trifouillis-les-Oies, mais dans les lycées de banlieues de grandes villes pour repérer les élèves « brillants » parmi les élèves issus de la diversité. « Brillants parce qu’ils parlent bien » mais me disait-elle incapables de passer les concours d’entrée, en particulier, celui de Sciences Po, car si brillants soient-ils, ils n’ont pas de culture… parce qu’ils ne le peuvent pas.
Agacée je l’étais, parce que l’enfant de l’ouvrier qui vivait dans une petite ville de province n’avait pas sa chance même « brillant » aussi et ensuite, comment peut-on de nos jours être brillant et n’avoir aucune culture ? surtout avec Internet mais aussi avec les bibliothèques gratuites à disposition ? Un ado qui a soif de se cultiver, de nos jours, peut le faire, fût-il issu des banlieues.
Et admettons qu’ils soient brillants sans possibilités dues à leur contexte familial, pourquoi ne pas leur faire poursuivre un cursus scolaire dans de meilleurs lycées tout simplement pour qu’ils puissent intégrer fièrement les Grandes Ecoles avec la réussite aux concours, comme pour tous ?
Une idée de la gauche bobo venue de Sciences Po pour démontrer leur empathie envers la diversité, empathie qui, dans ce cas, est aussi une forme de mépris.
Car oui pour des jeunes, il y a aussi la fierté, celle d’avoir réussi par le travail, celui du travail bien fait, de l’excellence, de la niaque.
Certains ministres sont fiers de rappeler leurs origines modestes et pourtant à l’époque de leurs études, ils ont suivis sans discrimination positive leur études, alors laissons par exemple aux professeurs, aux chefs d’établissements de lycée le soin de repérer les meilleurs élèves, de les encourager eux et leurs familles, et de les préparer aux meilleures études sans discrimination.
On fait surtout sauter la valeur travail et tout esprit de pugnacité chez le jeune et c’est juste une injustice autant pour eux que pour les autres.
Cher Monsieur Philippe Bilger,
Vous connaissez bien le fonctionnement de la justice, et le mécanisme de la plainte posée par des associations déclarées en préfecture mais minoritaires.
Pourquoi une association ne peut-elle pas porter plainte contre cette furie pour propos diffamatoires, haineux et racistes ?
Merci de votre réponse !
Cordialement
« …si brillants soient-ils, ils n’ont pas de culture… parce qu’ils ne le peuvent pas. »
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 09 février 2021 à 15:14
Ils ne le peuvent pas car leur environnement familial ne leur offre ni livres, ni discussion enrichissante avec les parents, ni visite dominicale de musées, ni écoute possible de France Culture ou débats politiques sur les étranges lucarnes, bref tout ce substrat dans lequel la majorité d’entre nous, cuillère d’argent dans la bouche, a vécu.
Ils n’ont au surplus plus de professeurs motivés, sont incapables d’aligner deux phrases correctes : ayant corrigé les copies du CAPA il y a plus de vingt ans j’avais déjà été frappé à l’époque par l’indigence criante de futurs impétrants au barreau et l’amoncellement des fautes d’orthographe grossières dans leurs copies.
Je m’étais fait sermonner pour avoir mis des notes trop basses à des enfants de la bourgeoisie : alors, vous pensez, des ados issus de milieux défavorisés, il faudrait un miracle pour qu’ils puissent s’en sortir.
Sauf, et c’est ce qui arrive, à casser le thermomètre et à déprécier les diplômes.
Pour un Senghor combien de Traoré, pour un Jefferson combien de Trump ?
@ Aliocha
« Au-delà du fait que l’article est en accès payant, je n’ai pas voulu trop citer ce que Zineb raconte, au vu de vos allergies, je n’aurais pas voulu vous provoquer un œdème de Quincke »
Je n’ai aucun œdème de Quincke à lire les positions de Zineb ou les vôtres. Je pense que le débat avec les religieux est essentiel, et qu’il faut, enfin, entrer dans l’affrontement philosophique entre athées et croyants. Même et surtout si les uns égorgent les autres.
Je ne fuis donc pas le débat avec vous, et au contraire, j’apprécie, non pas vos positions, mais en débattre même au prix de la rudesse d’un tel débat. Il se trouve simplement que ce blog en a un peu trop bavé, de ce fameux « débat ».
Zineb, quant à elle, est une militante de la liberté de conscience et de la liberté politique face aux religions. Et je la soutiens entièrement dans cela. Ce n’est de plus pas à moi de lui dire comment mener ce combat. Si elle souhaite le mener avec « amouououour », libre à elle. Je n’arrive pas à savoir, toutefois, s’il s’agit là d’une capitulation de sa part. Cela me paraît ambigu.
Quant à moi, il n’est nulle question de capitulation ou d’amouououour. Parce que je ne me range pas dans la catégorie du simple militant de la liberté de conscience et de la liberté politique face au religieux. Bien que j’en partage les buts. Je me range dans la catégorie du rationaliste qui promeut la disparition des mauvaises idées par sélection intellectuelle. Comme d’autres parlent de sélection naturelle dans le contexte de la théorie de l’évolution.
C’est pour cela que je suis athée: j’ai éliminé la mauvaise idée que constitue la divinité. C’est pour cela que je suis pour la liberté d’expression: sans elle, pas de confrontation des idées, et pas de sélection intellectuelle possible. C’est pour cela que je conchie tous les fondamentalismes et toutes les idéologies: elles s’opposent à la sélection intellectuelle et empêchent les mauvaises idées de disparaître.
Les arguments de rejet de la violence ou celui de l’amour n’ont donc que très peu de prise sur moi: si c’est une mauvaise idée que d’aimer dans certains contextes, alors il convient d’éliminer cette mauvaise idée. Si c’est une mauvaise idée d’être non-violent dans certains contextes, alors il convient aussi d’éliminer cette mauvaise idée.
Zineb ne me semble pas avoir cette fibre rationaliste. Elle fait son bonhomme de chemin, et c’est une très bonne chose. Mais ce n’est pas parce que Zineb est Zineb qu’elle a raison. Je ne fonctionne pas sur un mode partisan.
Pour l’instant, elle semble surtout mettre en avant argumentativement l’hypocrisie des musulmans quand ils parlent de paix. Elle n’a donc pas entièrement laissé tomber ce combat. Mais cette hypocrisie est connue de longue date. Les Indiens moquent l’islam en parlant de la religion de la mise en pièces (par attentat suicide, bien évidemment…). Jeux de mot très efficace en anglais entre « religion of peace » et « religion of pieces » pour parodier l’expression de religion de paix. Et d’amour…
Ce qui est triste est qu’on n’en soit même pas là en France, et que Zineb semble contrainte de verser dans l’œcuménisme de la paix. Très peu pour moi. Je n’ai rien contre la paix. Mais pas au prix de devoir baisser mon froc.
« J’aime ces questions utopiques, car elles sont toujours une occasion de rappeler que l’utopie est un rêve possible. »
Vous aimez les questions utopiques ? Alors commencez déjà par éliminer les mauvaises idées avant de croire que vous en avez une tellement bonne qu’il convient de l’ériger en absolu. Parce qu’il s’agit probablement là d’une mauvaise idée. À éliminer. Sans pitié.
@ Catherine JACOB | 09 février 2021 à 07:44
« N’omettez pas que nous avons laissé les ouvriers du bâtiment travailler sans protection dans un environnement amianté. »
N’oubliez pas qu’en France, le scandale de l’amiante est directement dû à « l’État fort et stratège », à la « souveraineté économique », aux « Trente Glorieuses » et à « nos fleurons industriels que le monde entier nous envie ». Et, plus précisément, au général de Gaulle et aux communistes.
Si, comme vous le dénoncez à juste titre, l’amiante a continué à être utilisé de façon aussi massive, en France, longtemps après que sa nocivité a été établie, c’est en raison d’une collusion entre les industriels, l’État et les syndicats.
Le danger de l’amiante est soupçonné depuis… 1898. Dès 1945, il a été officiellement reconnu comme une cause de maladies professionnelles. En 1965, la science avait tout établi des risques de l’amiante. Il n’a été interdit en France, progressivement, qu’entre 1977 et 1997.
Pourquoi un siècle de déni ? Parce que l’amiante était extrait en France, produit en France par des entreprises françaises (Eternit, notamment), et vigoureusement promu par des organismes de lobbying comme l’Association française de l’amiante ou le Comité permanent amiante.
Ceux-ci réunissaient tous les acteurs du capitalisme de connivence : État, industriels et syndicats. Tous coalisés pour nier la vérité scientifique, et dissimuler les souffrances et les morts dus à l’amiante.
La Frônce s’est vigoureusement opposée à ces sal… d’Amerloques qui ont prétendu nous priver de notre précieuse substance, sous de futiles prétextes de santé publique :
« Quand, en 1986, les États-Unis envisagent (par le biais du BIT et de l’EPA) d’interdire l’usage de l’amiante, le représentant français intervient pour émettre un avis négatif, fondé sur un rapport du Comité permanent amiante. » (Wikipédia)
Et qui retrouve-t-on au sein du Comité permanent amiante ? La CGT, émanation directe du parti communiste. Et qui a joué un rôle crucial dans la création de ce comité ? Marcel Valtat, un communiste. Et pas n’importe lequel. Résistant communiste, journaliste à L’Humanité et membre du cabinet de Charles Tillon, ministre communiste de l’Air, puis de l’Armement dans le gouvernement Charles de Gaulle à la Libération.
Qui, en 1941, a proposé une alliance secrète à Staline, puis a livré la France aux communistes en 1945, en créant ce système de connivence entre l’État, le PCF, la CGT et le patronat, baptisé « modèle social français » ? Sous prétexte de « justice sociale », « d’indépendônce de la Frônce » et d’anti-américanisme ? Le très saint général de Gaulle, bien sûr.
Et qui, aujourd’hui, se réclame explicitement de ce système, d’un gaullisme qui aurait dû disparaître avec son promoteur, et de la personne même du général de Gaulle ?
Eh bien ! à peu près la totalité de la « droite », plus une bonne partie de la gauche, plus les soi-disant « anti-système », les prétendus « souverainistes », les Marine Le Pen, Michel Onfray, Éric Zemmour…
Sans oublier les assassins de masse Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan et François Asselineau (ce dernier mis en examen pour harcèlement et agressions sexuels à caractère homosexuel au sein de son parti…), lesquels viennent de s’allier pour minimiser l’épidémie de Covid, décourager le port du masque, nier l’efficacité des vaccins et promouvoir de faux médicaments. Dans l’espoir de gratter quelques voix.
Comme leurs prédécesseurs du Comité de l’amiante, ils s’emploient à nier la science et à provoquer un cortège de morts supplémentaires, dans le but (d’ailleurs illusoire) de promouvoir l’activité économique. Mais ils défendent le peuple, hein ! De Gaulle payait son électricité de sa poche, c’est bien le plus important !
Le communisme, déclaré ou dissimulé, c’est, toujours, partout, le mensonge et le mépris de la vie humaine.
Quand nous débarrasserons-nous de cette infection gaullo-communiste qui ronge le pays, pour, enfin, entrer la tête haute dans le bienfaisant libéralisme — une invention française, au passage ? Lequel, seul, permet la souveraineté populaire ?
______
@ Exilé | 09 février 2021 à 10:53
« L’amiante, maintenant ! Il faudrait arrêter avec tous ces délires hygiénistes. je connais quelqu’un, ex-travailleur dans une usine de production de matériaux de construction amiantés, qui a été exposé pendant des dizaines d’années à de fortes quantités de poussières d’amiante […] et qui va actuellement sur ses cent ans… »
Stop. Arrêtez. C’est indécent.
Personne ne conteste, désormais, la forte nocivité de l’amiante. C’est une vérité établie par la science.
Ce n’est pas parce qu’une personne exposée à l’amiante a échappé à la maladie, que l’amiante ne provoque pas de graves maladies.
@ Michelle D-LEROY | 09 février 2021 à 15:14
Merci Michelle.
Dernier paragraphe lu et approuvé à cent pour cent.
Bien à vous.
@ sbriglia
« Ils ne le peuvent pas car leur environnement familial ne leur offre ni livres, ni discussion enrichissante avec les parents, ni visite dominicale de musées, ni écoute possible de France Culture ou débats politiques sur les étranges lucarnes, bref tout ce substrat dans lequel la majorité d’entre nous, cuillère d’argent dans la bouche, a vécu. »
Vous mettez le doigt sur le fait que ce déterminisme que des dinosaures du marxisme tiennent absolument à mettre sur le compte de facteurs économiques, est plutôt une conséquence d’un environnement communautarisé à l’extrême, centré autour d’une anti-culture qui équivaut à un enfermement volontaire et les empêche, avec la complicité des manipulateurs, de s’ouvrir sur le monde.
« Pourquoi un siècle de déni ? Parce que l’amiante était extrait en France, produit en France par des entreprises françaises (Eternit, notamment), et vigoureusement promu par des organismes de lobbying comme l’Association française de l’amiante ou le Comité permanent amiante. » (Robert Marchenoir)
Exact.
Le secrétaire général des industries de l’amiante ne cessait à l’époque, sur les plateaux de télévision, de vanter les mérites de l’amiante.
À la dissolution de ce comité il a monté son propre cabinet…
…de conseils aux industriels pour désamianter…
C’est mon cousin… on ne choisit pas sa famille.
D’autre part, et pour répondre à Exilé, je lui recommande d’assister aux derniers moments d’une victime d’asbestose…
Il n’y a que la maladie de Charcot pour être aussi épouvantable sur la fin.
@ Ninive
« Pierre-Antoine, sans attendre créez une assos avec des amis et portez plainte ! »
J’ai une association mais je n’ai pas les fonds nécessaires pour payer des avocats dans la durée de la procédure !
Si je reçois un don conséquent, je porte plainte dans l’heure avec constitution de partie civile !
Êtes-vous partenaire ?
Au fond, Monsieur Bilger, l’essentiel de votre billet se trouve à mon sens dans sa conclusion :
« Se taire, ne rien faire de la part des ministres, ne pas s’émouvoir pour la Justice – le droit de la presse et de la communication est pourtant si inventif quand il s’agit d’Eric Zemmour ! – validera une offensive pas seulement verbale : elle a une traduction dans les mille affrontements d’une société de moins en moins civilisée, qu’on laisse décliner même pas avec mauvaise conscience.
Assa Traoré aurait bien tort de se gêner. Une démocratie authentique qui ne sait plus se faire respecter n’est plus à la longue respectable. »
Il n’y a plus aucun courage intellectuel dans notre classe politique dont l’alpha et l’oméga ne sont nullement l’intérêt général de la France et de son peuple, mais bien les conditions de leurs réélections sur fond de sondages, donc reposant sur la démagogie la plus basse, pour ne pas dire la plus vile. Leur système politique ne saurait donc attirer la moindre sympathie, d’autant qu’il n’ont qu’une teinture juridique et méconnaissent les fondements de notre droit.
Quant aux commentaires, je n’ai guère envie de paraphraser les plus pertinents à mon sens. Je pense notamment à ceux de Claude Luçon | 08 février 2021 à 15:22, Serge HIREL | 08 février 2021 à 18:15 ou Michelle D-LEROY | 08 février 2021 à 18:30.
Seule la peur gouverne les décisions de nos dirigeants : peur d’imposer des règles strictes, car déjà ils se refusent à se les appliquer à eux-mêmes par refus d’être exemplaires dans leurs comportements, si ce n’est privés, au moins publics. Comment dans de telles conditions exiger de la rigueur de la part des citoyens qui ne sont plus que des consommateurs gavés de publicités et de sondages pour leur faire gober les « vérités officielles »…
@ sbriglia | 09 février 2021 à 18:37
Quand tant…
…se servent de leur famille pour se vanter par ricochet, quand tant font des sermons sur le dos des victimes, quand tant persécutent les masques, quand tant jettent le doute sur les vaccins qui sauvent tant et tant de vies…
…vous nous avouez une faute d’un des vôtres pour défendre la vérité et les victimes.
Mais sans exposer votre famille, de sorte que vous ne la condamnez pas à une mauvaise réputation, dévoilant exactement ce qui doit l’être dans le contexte d’une amiante enfin reconnue pour le danger qu’elle représente.
Je vous félicite.
@ Exilé | 09 février 2021 à 10:53
Oui c’est le duo amiante-tabac qui est infernal. Les risques de présenter un jour un cancer du poumon suite à une exposition à l’amiante sont cinquante fois plus importants si la personne est fumeuse.
Si le flocage est en bon état ainsi que les dalles plastifiées de sol par exemple, le risque de développer un cancer est infime.
Maintenant c’est le désamiantage qui offre de belles opportunités de revenus confortables.
J’ai posé une partie du toit de mon hangar moi-même en éverites ondulées. Ce n’est pas la matière agglomérée qui est dangereuse mais bien la poussière, or pour leur pose il faut tronçonner à la disqueuse les angles pour le recouvrement. D’où un beau nuage blanc.
Je suis en train de les refaire maintenant en les remplaçant pas des tôles galva noires. Il n’y a aucun risque de manier celles d’origine mais l’entreprise agréé demande 40 euros du m2 pour démonter le toit en en faisant tout un cirque: tenues de cosmonaute, masques, local de douche et le summum étant que vous en resterez propriétaire. L’entreprise les emporte entourées d’un film plastique mais en vous laissant un bordereau comportant le nombre de plaques. Ainsi dans un délai que vous ignorez vous pouvez même avoir à payer leur destruction à la torche à plasma.
N’ayant pas une telle somme à y consacrer, je vais non pas les brûler (cela brûle très bien et en pétaradant mais ce n’est pas très écologique :)) mais au titre de mes dispositions testamentaires les léguer à mes trois enfants en les incorporant dans le passif. Comme une blague post mortem.
@ Exilé 09 février 2021 à 10:53
@ Catherine JACOB 09 février 2021 à 07:44
L’utilisation de l’amiante a été autorisée durant des dizaines d’années alors qu’il était établi que son inhalation provoquait des cancers. Mais l’amiante, après-guerre, dans un monde en ruines, était un matériau indispensable au BTP et à d’autres industries. Des dizaines de milliers de mineurs sont morts de la silicose alors qu’on savait que cette maladie qu’il risquait tous de développer était provoquée par les poussières de silice et de charbon qu’ils respiraient. Mais l’extraction de celui-ci était la condition sine qua non de la puissance industrielle et du confort domestique.
Nos aînés ont choisi de préserver l’économie plus que la santé… Face à la pandémie de Covid-19, notre génération, elle, a fait l’inverse jusqu’à maintenant : elle a mis à mal l’appareil productif pour tenter de barrer la route au virus en le privant des foyers de contamination qu’auraient été bureaux, commerces et entreprises. La guerre sanitaire sera gagnée, mais les dégâts économiques sont considérables et certains irréversibles.
L’Etat a dépensé et dépense sans compter. La dette, déjà lourde, s’est creusée et se creuse, abyssale. Il faudra la rembourser en utilisant les ressources d’une économie affaiblie… Nous en transmettrons une partie à nos enfants… Avons-nous fait le bon choix en misant tout sur la santé et rien sur notre avenir économique ?… Nul, pour l’heure, ne le sait.
@ Wilfrid Druais | 08 février 2021 à 22:35
Au sommet de votre forme, l’oeil aiguisé du détective privé savourant son dernier verre avant de partir pour une nouvelle enquête.
Comme disait quelqu’un de ma connaissance :
« Une 16 pour moi et une Henri IV pour les autres ! », bon j’ai un peu paraphrasé car c’était plutôt, avec l’accent « Ouné Chivasss pour moi é cé qu’ils volé pour les autres ! ».
« …la réalité de l’histoire de Trappes des quarante dernières années, ce sera peut-être dans un autre commentaire si j’ai le courage mais il y en tellement à dire que rien que d’y penser j’ai envie d’une 16 de plus, en plus de ma crise de fainéantise aiguë. »
Nous voulons la suite, mais lequel dedans ? Charlie Parker, Sam Spade, Mike Hammer ?
@ Robert Marchenoir
« C’est une vérité établie par la science. »
Ah ! Le Dogme quasi religieux de la Vérité scientifique, nous pourrions en parler, surtout de nos jours avec tous les Thomas Diafoirus qui se bousculent dans les allées gouvernementales.
Ceci dit, je ne conteste pas certaines observations, dont l’importance passée sous silence du tabagisme dans l’aggravation de l’asbestose.
https://www.inrs.fr/risques/amiante/effets-sante.html
N’être rien en pareille circonstance facilite les choses. Rien, un individu qui remplit ses obligations, plus ou moins bien, à qui sa banque fait les gros yeux s’il oublie de contresigner un paragraphe, qui se fait rappeler à l’ordre par sa caisse de retraite qui dit ne pas le connaître, lorsqu’elle vient de modifier, en baisse, le montant de sa petite pension. Un individu que le flic municipal regardera de haut, en roulant les épaules au motif que sa voiture est mal garée, à qui le gendarme ne laissera aucune chance de s’expliquer sur le fait que faire un changement de domicile représente un calvaire.
Alors, oui, Assa Traoré qui est loin d’être sotte, a très bien compris qu’à la surprise-partie de Little Big Horn c’était nous, les Indiens. Le mépris d’un général pour les veaux, les veaux qui méritent ce mépris, qui continuent de déposer dans des boîtes à malice des bouts de papier pour réponse à des promesses dont tout le monde sait qu’elles sont de la propagande.
Toute politique, de tout pays, est faite de ce qu’on peut nommer une vision générale, incontestée, accompagnée d’illusions intellectuelles.
Notre malheur, en France, est d’avoir une pensée non pas égalitariste, mais uniformisatrice pour contrebalancer l’individualisme forcené des Gaulois.
Sauf que ces Gaulois-ci n’ont plus rien à voir avec les Gaulois-là.
Notre littérature de masse se complaît dans des sucreries de kiosque de gare car, n’ayant plus de conquête à faire, c’est encore un moyen d’avoir l’air de quelqu’un, de quelque chose alors que c’est un Russe qui nous parle d’absolu.
Nous faisons cattleya avec tout ce qui menace parce que ceux qui nous gouvernent n’ont appris que les rouages de l’appareil, pas la raison de son fonctionnement. Ils n’ont à défendre qu’une mécanique. Rappelez-vous la parabole du lépreux rapportée chez S.Marc, tout le monde la connaît, la confiance et la discrétion.
Seulement, se dessinent à l’horizon une petite violoniste asiatique, un jeune auteur, un homme assassiné, un commissaire plus dur que l’acier, des ménages aux dents serrées qui comprennent que les batailles qu’on nous impose sont de celles qui nous asservissent soit au capital soit à l’administration et qu’il faudra bientôt accepter de mourir et là, Traoré ne pèsera pas bien lourd.
Pourquoi voulez-vous que la police syndiquée réagisse ? Elle n’a plus envie de remplir le Vél d’Hiv, et la gendarmerie doit faire son chiffre d’affaires de contraventions à 135 € ou traquer avec succès les milliards de la drogue.
Alors la France, c’est du passé, la culture, ça ne sert à rien et ça n’est servi par personne face aux autres nécessités. Craignons plutôt que ne ressortent des stocks de poudre et de balles ou qu’on n’emmanche les faux à l’envers.
@ F68.10
Rien ne vous empêche de vous rhabiller et de couvrir vos plaies à défaut de les soigner, personne n’exige un quelconque pantalon sur quelques souliers.
Ma crainte concernait plus le pardon que l’amour pour vos allergies, qui pourtant permettrait le génie, ce devoir dicté par l’instinct du cœur, l’intelligence ne donnant que les prétextes pour l’éluder.
Ou, allégorie coluchienne de Proust, il s’agirait de ne pas utiliser son intelligence à ses dépens.
Ça devrait plaire aux Traoré :
Excellente réponse du maire de Beaucaire aux inquisiteurs islamogauchistes :
« Je viens de croiser un porc.
Le porc salue le tribunal administratif de Nîmes et me demande de faire appel.
Il ne voudrait pas qu’en plein projet de loi sur le séparatisme la France puisse un jour devenir à cause de certaines décisions de tribunaux une République islamique. »
https://www.midilibre.fr/2021/02/09/arret-des-repas-de-substitution-a-la-cantine-la-municipalite-de-beaucaire-a-perdu-9363340.php
Je mets à l’honneur M. Sanchez le maire de Beaucaire régulièrement harcelé, stigmatisé et condamné par le tribunal administratislamiste gauchiste du Marseillistan.
@ Aliocha
Je n’aime pas jouer aux devinettes mais là :
« Le maestro et le transhumaniste partagent le solde des comptes à régler »
En tant que personne militant pour l’immortalité et l’augmentation des capacités humaines, je me demande à qui vous faites allusion. Les transhumanistes sont très, très rares, surtout en France.
Et pas très populaires, donc souvent, ce sont des gens qu’on n’aime pas qu’on dit être transhumanistes pour ranger les mal vus ensemble, rien à voir avec le fait de penser que la vie humaine n’a pas plus besoin d’être ponctuée par des enterrements que les époques par des épidémies !
Sinon, votre phrase dit que le maestro et le tranhumaniste partagent les comptes, quoi que cela puisse signifier pour vous.
Mais pour moi, cela évoque un partage du monde entre eux.
Le maître porte un art au plus haut tandis que le transhumaniste oeuvre à permettre à l’être humain qui le désire de transcender les limites de l’humanité.
Certains, par parenthèse, veulent aussi augmenter les capacités humaines en pensant que cela reste dans les limites de l’humanité et récusent le nom de transhumaniste pour eux… Peu importe, en vérité, on pouvait dire l’Amérique nouveau monde ou, considérant la Terre, dire qu’elle faisait partie de la même planète !
PRAUD DOMO
Tout commença par le rappel de cette magnifique parole de Pupponi, le célèbre maire de Sarcelles : « Cette ville, ces villes ne sont plus pour nous. » Il parlait de Trappes, pensant à celle dont il fut maire pendant 20 ans.
Et parce que nous avons l’esprit chagrin nous traduisîmes in petto : « La France n’est plus pour nous ».
Ensuite, et jusqu’à la fin, nous devisâmes gaiement avec le sieur Ali Rabeh qui nous expliqua que : « le prof va mal… qu’il va pas bien… qu’il est fou ».
Sur le plateau les réactions furent vives : Un procédé de rupture… des méthodes fascistes… il se met en scène…
Rioufol s’exalta, devint frénétique : On ne voit pas ce que l’on voit… on n’entend pas ce que l’on ne veut pas entendre !
Et le patron, dans son costard rayé de flanelle des années 20 eut le dernier mot : « À Trappes, il y a une partie de la population qui n’a pas les mêmes mœurs que la majorité ! »
On termina par :
La démission de Frédéric Mion.
L’interview d’une adorable sœur de 117 ans qui frappa par sa lucidité, qualité inhabituelle dans cette émission.
« Le Siècle » où 200 hommes bavassent sans femmes.
« Le Grand Orient » qui serait ou non interdit à nos chères compagnes.
Et un échange ironique : Vous êtes franc-maçon ?… Oh non !… Vous ne le diriez pas !… Rires.
@ Exilé | 09 février 2021 à 21:02
« Ah ! Le Dogme quasi religieux de la Vérité scientifique, nous pourrions en parler. »
Eh bien ! parlez-en, au lieu de nous faire un sketch à la Pierre Dac. Qui vous en empêche ? La direction des relations extérieures de ce blog ? Le Système ? Les Chouifs ?
C’est vous qui dénigrez la science au profit de votre dogme — et vous êtes tellement paresseux que votre dogme est quasi liquide, indéfini. Il se borne, en réalité, à nier la réalité au profit de la dénégation elle-même.
Vous êtes le protoype du gros malin, de l’abruti qui se croit d’autant plus intelligent que les autres qu’il est, en réalité, ignorant. Plus exactement : il insiste pour être encore plus sot qu’il ne l’est, pour refuser le savoir qui s’offre à lui, pour désapprendre ce qu’il pourrait connaître.
Le type qui croit que mettre des majuscules là où il n’en faut pas le rend profond et sage.
« Je ne conteste pas certaines observations, dont l’importance passée sous silence du tabagisme dans l’aggravation de l’asbestose. »
Hahaha, le faux-cul intégral : il commence par mimer une concession, avant de redoubler dans la sottise aussi épaisse que lui.
Bien sûr, tout le monde passe sous silence le rôle du tabac dans l’aggravation de l’asbestose. Personne n’est au courant, il n’y a pas des milliers de pages sur le sujet. Monsieur Exilé du Blog de Philippe Bilger, vieille noblesse, vient de faire cette découverte sensationnelle au bout de quarante ans de recherches dans sa chambrette. Le Nobel lui pend au nez.
D’ailleurs, il a trouvé ça sur le site d’un truc nommé INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles), ce qui est bien la preuve qu’on nous cache tout et qu’on nous dit rien.
L’INRS est une officine ultra-secrète aux mains des mondialistes, et personne jusqu’à présent n’a réussi à pénétrer les arcanes de ses conclaves. Sauf le futur Nobel Exilé, de chez Bilger.
On reconnaît dans votre propos le vieux tripotage des escrocs complotistes en tout genre : le Covid n’existe pas, les gens meurent avec le Covid, mais pas du Covid ; ils meurent parce qu’ils sont vieux, gros ou noirs. Bien fait pour eux.
L’amiante n’est pas dangereux, c’est la cigarette qui l’est. Ceux qui prétendent le contraire sont des hygiénistes ou des adorateurs de la vérité. (Vous êtes donc, vous, un fanatique du mensonge ? c’est bien ça ?)
Allez-y, faites nous rire : vous qui savez tout, contrairement aux millions de scientifiques fanatisés qui grouillent un peu partout, expliquez-nous en quoi l’amiante n’est pas dangereux. On n’a pas tellement d’occasions de rigoler, en ce moment.
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@ hameau dans les nuages | 09 février 2021 à 20:18
« Oui c’est le duo amiante-tabac qui est infernal. Les risques de présenter un jour un cancer du poumon suite à une exposition à l’amiante sont cinquante fois plus importants si la personne est fumeuse. »
Tout à fait. Et si vous vous tirez une balle dans la tête en même temps que vous vous exposez à l’amiante, vous augmentez considérablement les risques.
Heureusement que ce fil s’appelle « Délires d’Assa Traoré : personne ne bronche… ». On est passés à deux doigts du hors sujet.
@ Serge HIREL | 09 février 2021 à 20:25
« Avons-nous fait le bon choix en misant tout sur la santé et rien sur notre avenir économique ?… Nul, pour l’heure, ne le sait. »
Pour l’estimer, penchons-nous sur l’histoire des maladies. Par ex. celle de la tuberculose, cette maladie infectieuse « causée par la bactérie Mycobacterium tuberculosis, contagieuse, avec des signes cliniques variables. Elle arrive en tête des causes de mortalité d’origine infectieuse à l’échelle mondiale, devant le sida. » (Citation W.)
« Cependant, la cartographie mondiale de la répartition de la maladie nous apprend que sur les 203 pays : 197 États reconnus par l’Organisation des Nations unies (dont 193 sont membres de l’ONU et 4 observateurs), et les six pays reconnus comme États par au moins un membre de l’ON, U 20 pays regroupent 90 % des tuberculeux. » (Citation W.)
Voir ces deux cartes : Prévalence de la tuberculose en 2009 et
Planisphère selon la répartition par nombre d’habitants
« Le rapport 2015 de l’OMS rapporte également que la mortalité a baissé de 47 % depuis 1990 grâce en grande partie au développement des traitements ainsi que les modalités de dépistage et de prévention. Cela représente un bon indicateur du progrès réalisé par les systèmes de soins, diagnostiques et thérapeutiques.
Bien que la maladie soit curable, la forte prévalence dans les pays les plus pauvres s’explique par la conjonction d’un ensemble de facteurs : précarité, promiscuité, dénutrition, analphabétisme, infrastructure médicale insuffisante, et surtout épidémie d’infection par le VIH. La prévalence s’accroît en cas de guerre ou de famine. On constate également que l’accès au diagnostic et au traitement pose un problème dans les pays concernés. »
Ce qui nous ramène, pour ce qui nous concerne, plus de cent ans en arrière. En témoigne, cette affiche de prévention dénonçant la pauvreté, la promiscuité et l’alcoolisme, 1917
Cela étant précisé, étant donné que « L’efficacité de la vaccination par BCG se limite à la protection contre l’évolution mortelle de la tuberculose, particulièrement la méningite tuberculeuse et la maladie disséminée (miliaire). Le vaccin est plus efficace chez le nouveau-né et l’enfant que chez l’adulte (protection estimée entre 75 et 85 % des formes graves du nourrisson et du jeune enfant et entre 50 et 75 % des formes de l’adulte). »
Néanmoins, « il ne permet donc pas d’empêcher la transmission de la maladie et d’enrayer l’épidémie mondiale. L’avenir est dans la recherche des gènes de virulence du bacille. » (Citation W)
Et sans doute aussi dans une action sur les facteurs de contagion. C’est dans cet esprit que « en juillet 2007, la ministre française de la santé, Roselyne Bachelot, a annoncé la suspension de l’obligation de vacciner tous les enfants et les adolescents contre la tuberculose par le BCG, à l’occasion de la présentation du nouveau programme de lutte contre cette maladie » (Citation W)
Je suis assez sensible à cette idée étant donné que, bébé, je me suis trouvée entre la vie et la mort consécutivement au BCG duquel j’ai réchappé in extremis.
Cela dit, la tuberculose qui peut prétendre dans certains cas à une reconnaissance comme maladie professionnelle, n’est pas causée par un virus comme le coronavirus, mais par une bactérie, le bacille dit « de Koch » du nom de celui qui l’a identifié le premier, et qui est notamment alcoolorésistant mais qui se dissémine de façon importante par les voies aériennes comme le coronavirus.
Or, si le vaccin représente la meilleure protection contre les virus, il ne saurait être mieux aidé dans son action que par la lutte contre les facteurs de contagion, une fois ceux-ci identifiés, ce qui est le cas. À cet effet donc, le masque qui sert donc également de barrière contre d’autres contaminations, et le confinement, mais pas que.
L’éducation à la propreté et l’amélioration des conditions de sa mise en œuvre ne sont pas d’une aide négligeable même si nous avons un peu tendance à considérer le vaccin comme une protection d’ordre magique qui nous dispenserait de toute autre précaution comme le lavage des mains, etc.
Autre maladie attaquant en effet les poumons, la silicose qui est irréversible, le seul traitement curatif connu restant en effet la transplantation pulmonaire.
Elle a touché les porcelainiers, les prothésistes dentaires, les mineurs avant que l’on ne se soit attaqué à la neutralisation des poussières une fois, et c’est donc toujours la même chose depuis Socrate et Sun Tzu, ce facteur de risque identifié, selon le principe : « Connais ton ennemi et connais-toi toi-même. », principe qui vaut quelle que soit la guerre, sanitaire, économique etc. (Cf. l’Art de la guerre en vingt citations)
« Le pays le plus atteint par cette maladie, reste la Chine avec 24 000 décès annuels dans les années 1990 et 600 000 cas durant cette même période. L’incidence annuelle serait comprise entre 36 500 et 7 300 cas aux États-Unis avec près de 2 700 décès sur une décennie. Le nombre de patients atteints tend à se réduire, du moins dans les pays industrialisés, probablement du fait des précautions prises chez le travailleur exposé.» (Citation W)
Et donc, une heureuse conjugaison des nécessités sanitaires et économiques qui sont, au fond, liées, devrait nous permettre de nous en sortir sachant qu’il reste toujours, au besoin, l’annulation de la dette de l’État, ou encore la méthode qui, selon ARTE (Thema du 09/02/21) a permis à l’Allemagne exsangue, de se constituer un armement militaire, autrement dit une sorte d’arnaque à grande échelle qui dans son cas a réussi, le fait qu’elle ait réussi l’ayant quand même au final menée à la catastrophe.
@ Lodi
Le maestro se nomme Henri Gibaud, et vous vous êtes reconnu en l’obscénité transhumaniste, dont la justice mécanisée prône de stériliser les mères plutôt que de les éduquer, de mutiler les trans plutôt que de les aider à s’assumer, d’engrosser les lesbiennes plutôt que de leur apprendre à reconnaître leur désir hétéro, que le ventre des femmes n’est pas plus que les bras des ouvriers des objets à exploiter, bref, que régler ses comptes n’a jamais été le bon moyen de décrire la réalité, mais plutôt de reproduire ad libidum ce qui empêche de l’envisager, le fait d’être mortel n’enlevant rien à la grâce d’être vivant qui permet d’y accéder.
@ Aliocha
« Rien ne vous empêche de vous rhabiller et de couvrir vos plaies à défaut de les soigner, personne n’exige un quelconque pantalon sur quelques souliers. »
Vous êtes inlassablement allégoriquement opaque. Et nous sommes inlassablement contraints de rechercher le sens sous-jacent à vos bons mots.
Alors, non. Tant que des phares de la pensée comme JM0001, plutôt que de traiter les points qu’on lui adresse, par exemple sur l’interruption médicale de grossesse, préfèrent lancer l’attaque sur môman, eh bien la contre-attaque sera condamnée à être implacable et vicieuse. En toute proportionnalité, bien évidemment.
« Ma crainte concernait plus le pardon que l’amour pour vos allergies… »
Le pardon est un concept souvent largement creux. Quand un assassin tue l’enfant d’une mère, celle-ci a la possibilité de pardonner, quoi qu’on en pense. Mais l’enfant ? Non. À moins d’attendre la résurrection des corps, n’est-ce pas…
Il est des situations où le pardon est un concept véritablement creux. Surtout quand le déni social sur cette question qui m’importe est un abcès qui n’a pas encore été vidé.
À l’heure actuelle, le pardon n’est qu’un attrape-rêve que vous agitez sous mes yeux pour me faire dévier des objectifs que je me fixe en la matière. J’écarte donc la notion d’un grand revers de main, et je me permettrais même de vous faire remarquer que vous vous mêlez de ce qui ne vous regarde pas.
Le producteur de télévision Gérard Louvin et son mari Daniel Moyne.
Serait-ce de l’écriture inclusive ?
@ Catherine JACOB 10 février 2021 à 09:29
Beau pensum… mais qui présente deux défauts majeurs :
– Vous n’avez utilisé qu’une seule source, Wikipédia, alors qu’il en existe beaucoup d’autres, répertoriées également par n’importe quel moteur de recherche. Pour approcher de la « Vérité », mieux vaut utiliser des sources primaires et les confronter – des thèses de scientifiques en désaccord par exemple – qu’une source secondaire (qui cite le scientifique) ou tertiaire (qui cite l’article de presse qui cite le scientifique). Les fiches Wikipédia emploient abondamment ces deux dernières sources.
– Vous êtes hors sujet. En prenant pour éléments de comparaison deux autres cas de conflit entre la santé et l’économie – le charbon et la silicose, l’amiante et l’asbestose -, mon propos consistait à m’interroger sur le bien-fondé du choix actuel de nos dirigeants politiques en faveur du tout-santé, quitte à mettre en péril l’économie. Vous n’émettez pas l’ombre d’un avis sur cette question.
Quant à votre suggestion d’un effacement de la dette qui réparerait l’économie d’un coup de baguette magique, permettez-moi de vous dire qu’il faut, comme Mélenchon, ne rien connaître à la macro-économie pour ne serait-ce que penser à une telle aberration. Quand, par humanisme ou pour des raisons plus obscures, un pays efface la dette d’un Etat africain, il aide les citoyens de celui-ci, mais se prive des recettes qu’il utiliserait pour améliorer le sort des siens. Donc, à bien y regarder, cette dette effacée, ce sont les citoyens de l’Etat créancier qui la paient…
Le problème, cette fois, est qu’aucun pays, « pauvre » comme « riche », n’a été épargné par la pandémie. Hormis en partie les Etats-Unis jusqu’au 20 janvier dernier, ils ont tous succombé au même virus politique : la mise sous cloche de l’économie… et se sont tous endettés.
Aujourd’hui, aucun Etat de la zone occidentale n’a les moyens de faire une croix sur ces créances – a fortiori l’Union européenne – et de les reporter sur ses citoyens, qui aspirent au retour le plus rapide possible à leur situation ante. Régler la dette nationale sera déjà suffisamment contraignant…
Alors… Si, il existe une solution : un « plan Marshall », comme au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, qui remettrait à flot petits et grands pays d’Europe, mais qui, comme en 1945, y développerait aussi l’influence – voire la mainmise – de l’Etat « généreux ». Lequel, comme les Etats-Unis de Truman, en profiterait pour accroître sa puissance économique, déjà gigantesque.
Ce pays existe : la Chine populaire (traduire : communiste). Ce plan existe : La Nouvelle Route de la Soie. Il est déjà actif, y compris en France. En chinois, il s’appelle la « Grande Ceinture ». Une ceinture, ça soutient… mais ça peut aussi étrangler… Est-il acceptable que, pour notre confort, nous acceptions cette main salutaire, mais intéressée ? Pour ma part, il me semble préférable que, pendant quelque temps, nous nous serrions la ceinture, sans avoir recours à une autre…
@ genau | 10 février 2021 à 00:22
« …qu’on n’emmanche les faux à l’envers. »
Puisque vous en parlez je m’en vais vous dire que justement pas plus tard que tout de suite j’ai emmanché la faux à l’envers, par chance il n’y avait rien à faucher, et le fil n’était pas précisément une arête vive…
Cela me rappelle (ici nous avons un bond de félin qui n’échappera pas à votre sagacité…) la chatte que j’avais reçue pour un de mes anniversaires, je voulais l’appeler « la femme du boulanger », mais on m’a dit que c’était trop long et que « sal*pe » n’était pas joli…
Je décidai alors de l’appeler « Paulette », cette chatte tigrée était vraiment chouette, et de fait elle était chouette, mais aussi fumiste, ce qui me conduisit logiquement à l’appeler « Paulette la fumiste », mais on m’a dit que c’était trop long, je l’appelai donc « Paulet-miste », cela lui allait comme un gant, un gant de velours car comme chacun sait il faut être « fortiter in re, suaviter in modo » !
Vous allez me dire : quel est le rapport ? Et je vous répondrai illico que vous allez le découvrir, si vous acceptez de me lire plus avant…
Ma petite chatte tigrée Paulet-miste avait un sacré tempérament, elle jouait avec les mulots et les mésanges comme personne, elle savait les tenir en haleine longuement et de cela je lui en tenais rigueur…
M’occupant chaque jour de Paulet-miste, il était entré dans la tête des adultes qui m’observaient, pendant que je l’observais, que j’avais des qualités pour devenir vétérinaire car voyez-vous, il n’est pas nécessaire d’apprendre, ni de savoir, il faut simplement avoir l’habit et le moine viendra de lui-même, plaisant imposteur, aimable hâbleur, affable baratineur, hypnotiseur de foule profane…
C’est ainsi que « polémiste », qui est devenu sans que je m’en rende compte un métier honorable et lucratif, nous arrivons insensiblement à voir les amuseurs et charlatans de tout poil convoiter la plus haute fonction… N’est-ce pas que ce monde est amusant ?
Voulez-vous que je vous dise ce que Paulet-miste a fait de sa vie ? Demandez-le moi et je vous le dévoilerai…
@ Ninive 10 février 2021 à 10:06
Quel pessimisme ! La France, jusqu’à maintenant, s’est toujours sortie des mauvaises passes qui l’ont mise au bord du gouffre. Et souvent, grâce à un « homme providentiel » : Clemenceau, de Gaulle – deux fois -, Pinay et quelques autres, restés dans l’ombre de la haute fonction publique. Seule la crise de 1929, apparue tardivement en France, a débouché sur son affaiblissement durable, aggravé par le mépris du Front populaire pour l’économie. Nous n’en sommes pas là, bien que le choix paradoxal de Macron-le-banquier pour le tout-santé, la mette en danger lui aussi.
Quant à la crise sécuritaire, alimentée par une attitude trop longtemps laxiste du pouvoir vis-à-vis de l’islamisme et de la violence des bandes de voyous qui, aujourd’hui, pullulent, même si elle angoisse, il n’est besoin que d’un Président régalien et d’un ministre de l’Intérieur à poigne pour la maîtriser. Pas d’un « homme providentiel ». Tout juste un gouvernement qui adapte la loi à la situation – notamment celle sur l’âge de la majorité pénale et celle sur le racisme, en y incluant celui contre les Blancs – et la fait appliquer fermement.
N’exagérons rien : pour l’heure, même si Trappes est aux mains des salafistes, nous ne sommes pas au bord de la guerre civile. Mais mieux vaut ne pas aller plus loin…
Mon appel à l’« union des droites » semble vous avoir convaincu que je pensais Marine avide du pouvoir et bien décidée à le prendre. Je ne le crois pas. Elle reste dans la lignée de son père, lui-même enfant du poujadisme.
Marion, en revanche, est beaucoup plus tentée… Elle attend son heure, calmement, avec tout juste ce qu’il faut de présence médiatique et d’influence pour rester en selle.
Peut-être mon propos était-il un peu ambigu… Mon analyse est que Macron, si un cataclysme social ne lui interdit pas de se présenter, sera qualifié pour le second tour. Hormis Sarkozy, devancé d’1 ½ point par Hollande, tous les Présidents de la Ve République qui ont tenté leur réélection sont arrivés en tête du premier tour. Seule la place de challenger est disponible et Macron, bien sûr, emploie les grands moyens pour que Marine l’occupe. Un tel match retour est plié d’avance, même si le score serait plus serré qu’en 2017.
Pour l’instant, sur le papier, il y a toutes chances qu’il ait lieu. À gauche, Mélenchon sert de pare-feu à une candidature unique. Au sein de la droite dite « républicaine », rien n’est encore sûr. Mais il me semble que l’espoir d’affronter Macron, qui passe d’abord par une candidature unique capable de rassembler les « régaliens » et les « mous », ne peut devenir réalité que si ce candidat et son projet savent séduire, non pas Marion, décidée à rester au chaud en attendant 2027, mais ses partisans, ceux-là qui ne se contentent pas – ou plus – de montrer les dents et qui, peu à peu, abandonnent Marine.
Ce serait un premier pas vers l’union des droites, qui, les générations gaulliste, chiraquienne et lepéniste « canal historique » étant en voie de disparition, deviendrait réalité dans cinq ans. Le mieux serait bien sûr que cette vague attendue soit suffisamment puissante dès le printemps 2022 pour renvoyer Jupiter sur l’Olympe. Tout dépendra des « mous » : se boucheront-ils le nez dans l’isoloir en choisissant le même bulletin que ces « extrémistes » ou se laisseront-ils aller, tels E. Philippe, Castex, Darmanin, Le Maire, Bachelot… à servir Macron ?
@ Serge HIREL
« mon propos consistait à m’interroger sur le bien-fondé du choix actuel de nos dirigeants politiques en faveur du tout-santé, quitte à mettre en péril l’économie ».
Oui, c’est la question. Comme vous je m’interroge. Mais si l’on pose la question de façon de façon théorique sous la forme d’une alternative (tout-santé et tant pis pour l’économie versus tout-économie et tant pis pour la santé), on n’en sort pas. Poser l’économie contre la santé ne peut amener qu’une catastrophe, pour la santé ou pour l’économie ; or l’économie s’oppose à la dépense, non à la santé. À plus long terme, on sacrifie aussi la santé si on sacrifie l’économie.
En France, on n’a pas sauvé l’économie, c’est le moins qu’on puisse dire, mais on n’a pas vraiment sauvé la santé si l’on compare les résultats des soins à ceux de nos voisins allemands et suisses. (Pourquoi devrions-nous nous comparer aux plus mauvais ?)
Je prends comme critère le nombre de morts par rapport à la population.
La décision de maintenir des élections en pleine épidémie ou de laisser les frontières grandes ouvertes n’a rien ou presque à voir avec les dépenses de santé. Je n’énumérerai pas toutes les décisions politiques qui n’ont en rien été favorables à notre économie mais qui n’ont en rien permis de lutter efficacement contre la pandémie.
Une loi quand elle est décrétée doit avoir un rapport direct avec le résultat visé, même et encore plus si elle n’est pas examinée par les députés du fait de l’urgence. Pendant une épidémie, on ne peut pas multiplier des lois nécessairement contraignantes qui n’aient pas un impact certain sur la propagation virale, ni omettre d’en promulguer pour arrêter cette dernière.
On n’attend pas d’un gouvernement digne de ce nom qu’il trouve comme excuse à la catastrophe économique « oui mais c’était pour sauver la santé », quand des mesures essentielles qui auraient coûté la même chose peu ou prou n’ont pas été prises au départ. On ne paye pas leurs études à des énarques et on ne leur confie pas les clefs du pays pour qu’ils croient dur comme fer qu’on ne peut pas faire autrement que sacrifier massivement l’économie à la santé. Surtout s’il s’agit d’une maladie essentiellement dangereuse pour les retraités.
Dès le début de la pandémie, des épidémiologistes disaient par exemple qu’il fallait payer cher du personnel soignant pour rester à demeure dans les EHPAD sans circuler d’un établissement à l’autre, afin de ne pas faire circuler le virus. Ça aurait coûté beaucoup moins cher au final que de le laisser circuler, et ça aurait épargné des vies. La moitié des morts au début venaient des EHPAD, et maintenant un tiers.
Autre exemple: il aurait coûté peut-être cher d’interdire à tout soignant contaminé d’exercer son métier, quitte à le payer pour rester à la maison, mais pas plus que de devoir imputer au moins 20 % des contaminations aux établissements de santé selon des statistiques anglaises.
Encore un exemple : si le vaccin est efficace, ce que nous dit le gouvernement, chaque jour de vaccination perdu coûte très cher (les malades ne pouvant aller travailler) ; or les négociateurs européens ont tellement marchandé en commandant les vaccins qu’ils seront servis les derniers, pour une économie de bout de chandelle. Là encore, ni l’économie ni la santé n’y trouvent leur compte.
Sur le papier, la question semble toute simple : économie ou santé ? À mon avis, c’est un faux problème, qui justifie un manque de prévision, du flou dans les objectifs, une incapacité à envisager les résultats globaux des décisions prises, et par-dessus tout de telles habitudes de dépense chez les politiques et les administratifs qu’ils sont devenus incapables d’optimiser leur gestion. Ce n’est pas parce que ça coûte plus cher que c’est forcément mieux. Plutôt que d’opposer les deux paramètres, il faut comprendre à quel point économie et santé dépendent l’une de l’autre, et ne peuvent en fait croître que simultanément.
@ F68.10
Me mêler, telle la buse sur son grand livre, de répondre aux provocations, me regarde, comme ce qu’en pense Jean-Marie zéro zéro one le regarde lui-même, et je réagissais au baissage de froc dont vous parliez, il n’y a là rien d’obscur. Quant au pardon, c’est une manière raisonnable de ne pas reproduire les traumatismes subis, ce dont l’humain ne sait se sortir, au point de culture où nous sommes, et dont genau vient de traiter avec la maîtrise sans pareille qui le caractérise, l’impasse de ce terrible constat qu’il en fait, qui est tout à fait apocalyptique :
« Le récit de l’Apocalypse est la manière hébraïque, à mon avis plus sensible que la manière grecque à base de propositions métaphysiques, de faire comprendre comment nous avons appris qu’il n’y a pas de violence en Dieu. Il montre également clairement l’effet dévastateur de cet apprentissage sur toute une série d’éléments de la culture humaine, pour lesquels le Temple de Jérusalem vu comme une prostituée de Babylone est un symbole, aussi bon que n’importe quel autre, de l’apparente merveille de la fausse transcendance.
Ce que je suggère alors, c’est que le Livre de l’Apocalypse nous rend sensibles à la façon dont la réalité culturelle humaine est, à chaque génération, cataclysmique : guerres et rumeurs de guerres, de révolutions, d’empereurs, de dieux. Et, à chaque génération, tout cela a été pris en charge par le sacrifice : le sens, l’appartenance, l’identité et ainsi de suite, le tout avec la mort comme garantie, l’assassinat travesti en sacrifice, dulce et decorum est pro patria mori. Il ne peut guère y avoir quelque chose de moins cataclysmique que l’arrivée lente et graduelle, dans le temps humain, de l’inverse de cela : le sacrifice montré comme un meurtre, la mort perdant son pouvoir en tant que garant ultime de la culture. Néanmoins, cette arrivée percute en son cœur même le fondement et la condition de possibilité de toute culture humaine. Et ce basculement est au cœur de ce que nous appelons la Résurrection : la résurrection de Jésus n’a pas été la fin heureuse d’une triste histoire. C’est la révélation réellement choquante du vrai début de l’histoire, avec une effervescence qui n’est plus celle de la mort au milieu d’une parodie futile et autodestructrice qui passait pour en être l’origine. Nous n’avons aucune forme de mise en récit pour vivre cette histoire vraie, autre que celle qui nous est offerte à partir de l’inversion de notre fondement narratif, vécue dans et depuis le pardon. La défaite de la mort relativise automatiquement, et de façon dévastatrice, toutes les histoires, tous les mythes, toutes les cultures, et initie le processus terrifiant de la « dé-catastrophisation » de l’expérience humaine. »
http://jamesalison.com/fr/girard-livre-de-lapocalypse/
Crucifixion, demandait Monty Python ?
@ JM0001 10 février 08:00
« « Le Siècle » où 200 hommes bavassent sans femmes.
« Le Grand Orient » qui serait ou non interdit à nos chères compagnes »
Drôôôle.
Perso j’ai été mariée avec un monsieur qui, pour de bonnes raisons, forcément, a été introduit (!) au sein du Rotary.
Naturellement, là aussi, les femmes, exit.
Judicieusement, pour se rattraper, ces bons messieurs rotariens ont fait l’honneur de créer le pendant de leur club pour leurs épouses qui n’avaient pas le droit d’assister aux dégustations de leurs plats préférés (?), en l’appelant Inner Wheel (« Inner Wheel est une organisation internationale de femmes pour créer l’amitié, le service et la compréhension », dixit Wiki).
Traduction : un club de « Mères Teresa » pour riches.
En même temps, comme dit machin, déjà rien que le nom… « roue intérieure », ça ne fait pas rêver.
@ Serge HIREL | 10 février 2021 à 13:23
« Quant à votre suggestion d’un effacement de la dette qui réparerait l’économie d’un coup de baguette magique, permettez-moi de vous dire qu’il faut, comme Mélenchon, ne rien connaître à la macro-économie pour ne serait-ce que penser à une telle aberration. »
Pour l’après-Covid, plus de 100 économistes demandent à la BCE d’annuler les dettes publiques
Évidemment, et on aurait pu le parier, Christine Lagarde, de formation juridique avant d’être économique, y est opposée ainsi que d’autres membres du directoire de cette banque qui possède 25 % de la dette des États européens.
L’argument avancé par notamment Jézabel Couppey-Soubeyran de l’Université Paris 1, Panthéon-Sorbonne où elle enseigne l’économie monétaire et financière (ARTE 28 minutes du 08/02/21) et qui est tout de même sur le plan économique d’une autre stature que Mélenchon, est que cela faciliterait la reconstruction sociale et écologique après la pandémie de Covid-19, argument au premier abord d’ordre plus philosophique que strictement économique et financier plan qui voudrait qu’on ne dévalorise pas la signature de la BCE vis-à-vis des prêteurs de la finance internationale.
Selon Ouest-France, « Les signataires affirment que l’annulation n’est pas explicitement interdite par les traités européens et que l’histoire nous a maintes fois montré que les difficultés juridiques s’effacent devant les accords politiques ».
La décision à prendre à cet égard dépend donc d’un choix de société dans une vision à long terme.
« Vous n’avez utilisé qu’une seule source, Wikipédia »
Vu qu’il s’agit de faits, chiffres etc. connus, Wikipédia ou une autre source, les faits sont les faits et les chiffres, les chiffres, mais si vous en connaissez qui infirment de façon significative les extraits cités ; par exemple des sources analysant des données postérieures à 2009, si possible, je vous remercie de me les faire connaître.
Sinon, ce que la Nouvelle route de la soie présente de différent par rapport aux anciennes, est que 1- elle est 100 % chinoise et que 2- elle oppose le tanker au chameau de Bactriane. Et ce faisant fait l’économie des transitions culturelles.
Si vous en voyez une autre, merci d’éclairer ma lanterne.
@ sbriglia
« Ils ne le peuvent pas car leur environnement familial ne leur offre ni livres, ni discussion enrichissante avec les parents, ni visite dominicale de musées, ni écoute possible de France Culture ou débats politiques sur les étranges lucarnes, bref tout ce substrat dans lequel la majorité d’entre nous, cuillère d’argent dans la bouche, a vécu. »
Si je compare à la période de mon enfance, j’ai connu des élèves issus de famille à la fois pauvres et pas du tout intellectuelles et qui excellaient à l’école. Je pense en particulier à une élève de ma classe, première en tout et particulièrement en mathématiques, elle puisait sa soif de connaissances en empruntant des livres au car « bibliobus »… une autre époque.
Admettons que ce soit un cas unique.
Mais en lisant votre réponse, cela me fait penser à ceux qui, dans un autre domaine, excusent tous les délinquants au prétexte qu’ils vivent dans des familles et des quartiers déshérités et que le gouvernement ne ferait rien pour eux.
Tous les jeunes, y compris les mineurs isolés, ont des portables dernier cri et peuvent se rencarder sur Internet, tous les jeunes peuvent se rendre dans les médiathèques gratuites et celles de leurs écoles… et donc s’ils sont brillants parce qu’ils ont de la « tchatche » et donc un certain brio, ils ont ou devraient avoir assez d’aplomb pour approfondir leurs connaissances.
Le Président, aujourd’hui même a décidé de maintenir l’ENA et d’y faire rentrer plus de jeunes défavorisés.
Sauf qu’en fait, si l’idée paraît juste pour donner une égalité des chances, c’est un leurre. Au nom de l’égalitarisme, on dévalorise tout, les examens, les concours, les examens universitaires et de fait les niveaux élitistes.
Mon beau-père était énarque et sa famille était plus que modeste, mais il avait travaillé pour atteindre son but.
Et je reste donc persuadée qu’au nom de l’égalitarisme, nos têtes pensantes agissent comme si elles voulaient se faire pardonner leur situation supérieure dans la société en offrant des places aux moins favorisés, surtout s’ils viennent des quartiers. Ils inventent des solutions qui abaissent, à chaque décision, les niveaux, à commencer par le bac.
Espérons juste que ces bonnes idées ne relègueront pas les classes moyennes, celles à 4 000 € selon M. Bayrou, trop françaises en plus.
@ Robert Marchenoir | 10 février 2021 à 08:06
Je n’ai pas mis de lien pour ne pas surcharger mon hors-sujet et bien évidemment vous sautez à pieds joints histoire d’essayer d’avoir à tout prix raison.
On parlerait recettes de cuisine, mécanique auto, architecture médiévale ou que sais-je encore qu’immanquablement vous y mettriez votre grain de sel juste pour contredire.
Jamais personne ne vous a recadré dans la vie ?
Vous étiez puce dans une vie antérieure, sautant sur tout ce qui bouge ?
Faites comme moi, videz-vous la tête ! Soyez humble ! Par exemple aujourd’hui je me suis attaqué à restaurer mon four à pain, pas de Marchenoir, personne, juste la sonnaille d’une jument dans le pré d’à côté, peinard…
@ Serge HIREL (@ Ninive)
« Quel pessimisme ! (…)
Quant à la crise sécuritaire, alimentée par une attitude trop longtemps laxiste du pouvoir vis-à-vis de l’islamisme et de la violence des bandes de voyous qui, aujourd’hui, pullulent, même si elle angoisse, il n’est besoin que d’un Président régalien et d’un ministre de l’Intérieur à poigne pour la maîtriser. Pas d’un « homme providentiel ». Tout juste un gouvernement qui adapte la loi à la situation – notamment celle sur l’âge de la majorité pénale et celle sur le racisme, en y incluant celui contre les Blancs – et la fait appliquer fermement. »
Etonnant que personne n’y ait pensé. Mais comment comptez-vous mettre en oeuvre un tel programme sans poigne, avec des prisons déjà saturées, le refus net d’en construire à hauteur de nécessité, les condamnations en pagaille de nos prisons existantes et saturées par des institutions extra-nationales et la ritournelle hilarante sur les bienfaits des mesures alternatives à l’enfermement pourtant appliquées à des récidivistes forcenés ?
Mis à part ça, je relève que la plupart des commentateurs sont d’un même avis sur le sujet du billet.
@ Aliocha
« Me mêler, telle la buse sur son grand livre, de répondre aux provocations, me regarde… »
Donc, si je vous comprends bien, vous vous sentez le droit moral de me pousser dans les orties pour que « je pardonne » ? Si oui, franchement, vous n’êtes vraiment pas bien dans votre tête… Il faudra repasser le contrôle technique.
« …comme ce qu’en pense Jean-Marie zéro zéro one le regarde lui-même, et je réagissais au baissage de froc dont vous parliez, il n’y a là rien d’obscur. »
Il était déjà obscur en soi que vous référenciez le baissage de froc. Alors soyons limpide: si avoir la paix implique de baisser son froc, et si vous en faites un devoir religieux d’avoir la paix en baissant son froc, vous mettez en place un système de domination, d’oppression et de chantage sur un plan moral et mental, du type « amour et pardon », en n’autorisant pas les gens que vous visez à ne pas baisser leur froc. Autrement dit en ne les autorisant pas à défendre leurs idées.
C’est bien, fondamentalement, une chose qu’on reproche aux religions depuis déjà bien longtemps, et il n’est pas question de céder sur ce type de chantage.
« Quant au pardon, c’est une manière raisonnable de ne pas reproduire les traumatismes subis… »
Primo: « ne pas reproduire les traumatisme subis », selon votre terminologie, n’est en aucune manière une justification sensée du concept de pardon. Secundo: votre affirmation est gratuite et il n’a jamais été prouvé (à ma connaissance) que le pardon, quoique cela signifie, permette réellement cela. Tertio: j’ai déjà fourni sur ce blog un lien qui atteste que le concept du pardon, dans les cas d’inceste en l’occurrence, ne peut pas avoir d’effets positifs sur la victime sur le plan psychiatrique s’il est extorqué. Ce qui devrait être une évidence… mais il faut bien se résigner à constater que les réflexes inquisitoriaux ont encore la vie dure…
Bref: les religieux sont vraiment chi*nts – veuillez excuser l’expression – à courir derrière les victimes pour leur dire de pardonner. À peu près aussi chi*nts que les psychanalystes qui courent après les mêmes victimes, en ayant recours de surcroît aux forces de police pour cela, pour convaincre les victimes qu’elles doivent absolument haïr leurs parents avant de se « reconstruire » (belle expression tarte à la crème). Entre ces deux sectes de cinglés, il serait sympathique qu’on laisse aux victimes la capacité de se faire librement leur opinion. Ce qui n’est actuellement pas le cas.
En gros: nous pensons ce que nous voulons au sujet des gens qui nous ont torturés, et nous n’avons aucun compte à vous rendre, ni à tolérer qu’on nous dise quoi penser, sur ce genre de sujets.
Fermez le ban.
@ Aliocha
« Le maestro se nomme Henri Gibaud, et vous vous êtes reconnu en l’obscénité transhumaniste »
Comme le texte de monsieur Bilger parlait d’une musicienne, je me demandais… Donc, vous parlez du blog. Ce n’est pas étonnant, vous aimez bien nous servir de la moraline.
Sinon le transhumanisme n’est pas une « obscénité »… C’est la souffrance, la mort et l’oppression l’intolérable.
Maintenant, ma position sur le reste est très secondaire pour moi et n’engage en rien les autres transhumanistes dont je ne suis pas l’ambassadeur, par manque de place, de « talent » et parce que trop atypique comme ma seule présence sur ce blog en atteste.
Quoi qu’il en soit, je tranche les problèmes à la racine, que ce soit pour l’IA à éviter, l’immigration des ingrats musulmans et les parents bourreaux d’enfants à prohiber.
Mieux vaut assumer l’impopularité que de me savoir complice des malheurs de demain, mieux vaut être la personne que nul ne remerciera que de me donner congé de l’estime que je pourrais conserver à mon égard.
Vous parliez de pédagogie ? Accrochez-vous, cancre.
« dont la justice mécanisée prône de stériliser les mères plutôt que de les éduquer »
« Les mères » : en fait, je dis les « parents », hommes ou femmes maltraitant leurs enfants. Dire les mères, c’est un truc pour déclencher un réflexe protecteur envers une femme censée éduquer ses enfants. Mais stériliser, homme ou femme, c’est comprendre que des bourreaux d’enfants ont toutes chances de continuer à l’être. Pourquoi interdire à des abuseurs d’enfants d’approcher d’enfants et pas à des bourreaux d’enfants : la prévention, l’interdiction, c’est à la tête du client et pas du tout pour protéger l’enfant, c’est évident, à voir les réactions du public.
En fait, on ne veut pas convenir que l’éducation ne peut pas tout… Parfois, c’est sous-entendu dans le cas des interdictions des abuseurs d’enfants, ou d’ailleurs gens qui ont fait des victimes, de les approcher… Parfois, on l’oublie, sélectivement, quand ça n’arrange pas !
Moi, je ne vois pas pourquoi parce qu’on a engendré un enfant, on est moins susceptible de recommencer ses méfaits que dans un autre cas, et je l’ai déjà dit, d’ailleurs, sans qu’on puisse me contredire. Parce que c’est faux, tout simplement.
Il faut voir la réalité en face pour avoir une chance d’aider les gens… Si quiconque m’avait présenté un programme d’éducation fonctionnel des parents, j’aurais reconsidéré ma position. La balle était dans votre camp mais vous avez préféré me diaboliser que d’apporter de vrais arguments.
« de mutiler les trans plutôt que de les aider à s’assumer, d’engrosser les lesbiennes plutôt que de leur apprendre à reconnaître leur désir hétéro »
Si tout un chacun peut manquer de lucidité, les trans et les lesbiennes savent autant ce qu’ils veulent que les autres.
Si quelqu’un se sent de l’autre sexe et veut concrétiser son identité, c’est son droit, si une femme veut être mère par la procréation médicalement assistée, c’est aussi son droit.
Le reste est tellement bas que je ne vais pas me donner la peine de le soulever. Je n’ai pas des points de pénibilité de pédagogue à gagner dans cette affaire !
@ Ninive
« Si un miracle le permettait ce serait pour utiliser le principe des vases communicants en pompant l’argent nécessaire à cet abandon dans les comptes bancaires des particuliers »
Dans quels types de comptes bancaires ? Les comptes courants pour freiner la consommation, d’épargne pour favoriser la consommation ?
Ou les deux ?
Sinon, pour la dette, la solution est évidente, ne pas sombrer dans la rigueur, ne pas sombrer non plus dans la facilité de la répudiation quand on a quelque chose à perdre… Les intérêts sont très bas : la France peut continuer à faire rouler.
Ne crions pas au feu pour rien ou alors, tout le monde fuira ! Essayons de favoriser la croissance sans laquelle rien n’est possible. Avec assez de croissance, tout est possible, même de se désendetter peu à peu comme un avion atterrit en douceur.
Ne nous détournons pas d’Hermès : pour édifier quelque chose, pour échanger, il faut de la confiance.
Il ne faut effrayer ni les pauvres ni les riches, il faut les amener à dépenser, investir, innover, échanger, je sais, avec un masque, on n’en a guère envie. On est en colère, on veut renverser la table, voir ce qu’on va voir, d’un côté ou de l’autre.
Mais il faut rester calme… Comment le dire, en chanson ?
https://www.youtube.com/watch?v=wugWGhItaQA
La dette n’est pas une culpabilité mais une imprudence : qui se meut dans une zone de danger doit redoubler de prudence.
Que le risque soit voulu ou subi, qu’il exalte l’audacieux ou donne mal au ventre à celui qui est amené à l’assumer, il faut redoubler de prudence dans l’imprudence. Comme quand on gravit une montagne !
Et pour le cas présent, je dirais que dans la vie, on peut réveiller le chat qui dort comme il nous réveille, charmant félin, c’est la dette qu’il ne faut jamais réveiller !
@ Lodi
« de mutiler les trans plutôt que de les aider à s’assumer, d’engrosser les lesbiennes plutôt que de leur apprendre à reconnaître leur désir hétéro » — Aliocha
Ah ouais… je ne l’avais pas vu passer celle-là. Ça va pas du tout.
@ Aliocha
La question des transsexuels est loin d’être une affaire comprise. Et il est tout à fait crédible qu’on aille trop loin à l’heure actuelle en ce qui concerne les transsexuels enfants… Mais que des transsexuels souhaitent et se satisfassent d’une transition de sexe à l’âge adulte, cela peut choquer ou dégoûter, mais c’est un fait: nombre en sont satisfaits, de cette transition de sexe.
En ce qui concerne les lesbiennes… il me semble que la question lesbienne est quelque peu différente de la question homosexuelle mâle. Mais au-delà de la question du caractère intrinsèque de l’homosexualité féminine (i.e. choix ou déterminisme) qui me paraît plus fluide que celle de l’homosexualité masculine, ce n’est aucunement le rôle de la société que d’intervenir dans cette orientation sexuelle et ce type de choix de vie. Les thérapies de conversion, c’est dans l’ensemble barbare. Thérapies qui se développent en France…
Les lesbiennes n’ont pas être « aidées » (i.e. contraintes par la société ; c’est cela que signifie le mot « aide » dès qu’on touche au psychiatrique: contrainte au nom d’une forme de salut, terrestre ou pas…) à « reconnaître leur désir hétéro ». Si elles veulent s’éclater avec des godes ceintures et des boules de geisha, c’est leur problème. Pas le nôtre.
Si les lesbiennes veulent de l’aide médicale en relation avec leur condition, alors leurs souhaits et désirs importent. L’homosexualité mâle est en effet corrélée avec des taux de suicide supérieurs à la moyenne, donc de l’aide peut être envisagée médicalement. Encore faut-il que les droits des patients soient respectés dans le domaine psychiatrique… Remarquons que les abus (ou la maltraitance) ont bien l’air de continuer comme si l’homosexualité était toujours officiellement considérée comme une maladie mentale. Ce qui ne me surprend nullement… Tiens ! en v’là un autre, d’abus…
Nous ne sommes toujours pas sortis de l’auberge: ce serait sympa que les gens s’occupent avant tout de leurs fesses avant de s’occuper de celles des autres…
@ Lucile | 10 février 2021 à 15:41
« Économie ou santé ? À mon avis, c’est un faux problème. »
Exactement. D’autant qu’il faudrait nous dire en quoi l’économie serait entravée, en ce moment. Les gens ont interdiction de sortir ? non. Ils ont interdiction de travailler ? pas davantage.
Un petit nombre de secteurs sont empêchés : restaurants, théâtres gauchistes, compagnies d’aviation, fabricants de jambes cassées à la montagne… Personnellement, je me félicite que les théâtreux en prennent un coup dans la cafetière.
Un truc très rigolo, c’est que ceux qui se tordent les mains, aujourd’hui, en déplorant qu’on sacrifie l’économie à la santé, et qui font bon marché de la vie des autres en prétendant que c’est normal de mourir, sont exactement les mêmes qui, hier, se plaignaient de « l’argent-roi », se scandalisaient que « l’économie passe avant tout », et hurlaient à la « défense de la vie » dès qu’un unique légume humain (pas 80 000 personnes conscientes) se faisait euthanasier.
L’énooorme problème des Français, c’est leur incohérence. Ils veulent une chose et son contraire, comme lors des Gilets jaunes.
De toute façon, je vais vous dire : il n’y avait pas moyen de faire autrement. Contrairement aux Asiatiques, nous n’avons pas connu les précédentes épidémies pulmonaires. Quand l’homme n’a pas été marqué dans sa chair, il ne se soucie pas du danger.
Ce n’est pas la faute des dirigeants : si ceux-ci, par miracle, avaient eu la prescience des Asiatiques, ce sont 67 millions de personnes qui se seraient dressées contre la « dictature sanitaire » qui aurait été nécessaire, à l’instar de celle qui a été appliquée en Asie (contrairement à ce qu’insinuent ce charlatan de Raoult, et les autres racailles de la même farine).
Et de toute façon, l’indiscipline du Français aurait empêché les mesures adéquates même six mois plus tard, la preuve : nous vivons sous un régime exceptionnellement coulant (avec subventions de partout), et la populace enragée se plaint tout de même de « dictature ».
D’autre part, même si nous avions des génies au gouvernement, les meilleures mesures feraient plouf, car elles seraient retardées et grignotées par le mammouth fonctionnarial français. Les Français le veulent, ce mammouth, ils le veulent et l’exigent, et lorsqu’on menace de les en priver, ils manquent de très peu d’envahir l’Élysée et de pendre Macron.
Donc ça, c’est une donnée. C’est immuable. Et d’ailleurs, il ne suffit pas d’un État « ultra-libéral » pour que tout se passe bien, la preuve : les États-Unis, qui ont royalement foiré l’épidémie.
Une fois de plus, on connaît (rétrospectivement, hélas), la formule gagnante : côté non pharmaceutique, des mesures ciblées sur les contaminés connus ou possibles, mais extrêmement contraignantes et prises extrêmement tôt. Ajoutées à des mesures contraignantes sur 100 % des gens (masques, gel, prise de température, distanciation, surveillance…).
Et côté pharmaceutique, vaccination précoce, massive et rapide.
Même en admettant la prescience et la disponibilité (masques, gel, gants…), ces mesures auraient été impossibles à appliquer, car les Français les auraient refusées.
Aujourd’hui encore, j’attends que l’un des mécontents affirme : oui, si je suis contaminé, je suis prêt à me soumettre à une quarantaine dans des centres gouvernementaux gardés par la police.
Oui, j’accepte (et je réclame) que l’on m’inflige deux ans de prison ferme si je viole les conditions de ma quarantaine.
Oui, j’accepte (et je réclame) que mes déplacements, mes contacts, mes paiements, mon image, mon visage, soient suivis électroniquement par les autorités.
Oui, j’accepte (et je réclame) que rentrant de vacances à l’étranger, je sois contraint à une quarantaine en centre fermé.
Oui, j’accepte (et je réclame) que quiconque diffuse de fausses informations sur l’épidémie soit condamné à 3 ans de prison ferme. Me faites pas rire, j’ai les lèvres gercées…
Oui, j’accepte (et je réclame) que la vaccination soit obligatoire. Même des médecins, qui alertent sur la présence de foyers d’infection parmi les soignants, n’osent pas préconiser ce qui va pourtant de soi : l’obligation pour ces derniers de se faire vacciner.
Alors que les sondages montrent que les aides-soignants, les infirmières et les employés de maisons de retraite sont particulièrement réticents à le faire, ce qui est, tout simplement, criminel. Mais personne n’ose le dire…
Même si le vaccin est un peu mieux accepté aujourd’hui, les Français sont l’un des peuples du monde les plus opposés aux vaccins.
Donc, voilà. Même si vous aviez saint de Gaulle ou le petit Jésus à l’Élysée, il n’aurait guère pu faire mieux que Macron. A moins que le petit Jésus n’ait été prêt à faire tirer dans la foule. Levez la main, ceux qui acceptent que les CRS tirent à balles réelles s’ils n’obéissent pas aux ordres de Véran.
I reste my caisse.
______
@ hameau dans les nuages | 10 février 2021 à 20:02
« Je n’ai pas mis de lien pour ne pas surcharger mon hors-sujet et bien évidemment vous sautez à pieds joints histoire d’essayer d’avoir à tout prix raison. »
Mais j’ai raison. Et je n’ai pas besoin d’essayer bien fort, avec vous, vu les efforts que vous faites pour avoir tort.
« Jamais personne ne vous a recadré dans la vie ? »
Hahaha… vos fantasmes de petit chef se voient vraiment beaucoup… quel frustré vous faites ! Allez-y, recadrez-moi, comme vous dites. Essayez donc, qu’on s’amuse un peu. Justifiez-nous donc vos insinuations sur l’inocuité de l’amiante !
Mais non, que de la gueule : vous sautez systématiquement à pieds joints sur n’importe quel sujet auquel vous ne connaissez rien, juste pour dire le contraire de la vérité, par provocation idiote, et vous faites mine de vous scandaliser lorsque vous êtes contredit.
Si vous n’aimez pas ça, dites moins de sottises, ou suivez votre propre conseil, et soyez humble, restez à votre niveau : réparez votre four à pain. Un blog est voué au débat intellectuel. Si vous n’avez pas les épaules pour ça, restez à l’écart.
« Faites comme moi, videz-vous la tête ! Soyez humble ! Par exemple aujourd’hui je me suis attaqué à restaurer mon four à pain, pas de Marchenoir, personne, juste la sonnaille d’une jument dans le pré d’à côté, peinard… »
Voilà : très bonne idée. Si seulement vous vous l’appliquiez à vous-même jusqu’au bout…
L’amiante est et restera un bon sujet pour ceux qui écrivent la tête dans le sable.
Si vous êtes à court d’idées nous suggérons le barrage de Malpasset ou le vol des bijoux de la Bégum.
Et le récurrent débat sur les trolls et les pseudos bien sûr !
Il est difficile de faire face à la réalité, je le conçois, et on peut facilement avoir l’impression qu’elle vous envoie dans les cordes. La fécondation physiologique est la rencontre d’un gamète mâle et d’un gamète femelle, il semblerait que cela soit le cas aussi pour les lesbiennes, le désir d’enfant est donc en ce sens un désir hétérosexuel.
Quant au trans, ma foi, si on n’a pas été témoin des pratiques médicales barbares auxquelles sont soumises ces personnes, on ne peut pas comprendre qu’il est alors facile, et que F68.10 ne le reconnaisse pas est une contradiction supplémentaire au vu de ses opinions sur la médecine, de comparer les virtuoses du bistouri aux exciseurs africains.
On pourra sans cesse me faire passer pour un inquisiteur à tenter d’extraire les lois religieuses, qui sont au sens où je les entends des constatations scientifiques d’ordre de l’éthologie, de les extraire des lois morales du cléricalisme, on ne saura que démontrer son incapacité à savoir les entendre pour justifier des comportements limites, reproduisant symétriquement à ce qui n’est qu’invitation au renversement narratif que permet le pardon, des injonctions de type totalitaires et cléricales qui refusent d’entendre et de voir que le sacrifice est un mensonge, que tant que les victimes, reconnues comme telle, n’accèderont pas à cette réalité objectivement observable, elles ne sauront que reproduire les bouffonneries du lynchage de la fausse transcendance, elles ne sauront que reproduire du sacrifice, du malheur et de la barbarie, ce à quoi nous assistons depuis deux mille ans, ne pouvant que constater avec le crucifié s’adressant à ce qui est :
« Père, pardonne-leur, ils ne savent toujours pas ce qu’ils font. »
@ Robert Marchenoir
« Levez la main, ceux qui acceptent que les CRS tirent à balles réelles s’ils n’obéissent pas aux ordres de Véran. »
Moi ! Moi ! Moi !
@ Robert Marchenoir | 11 février 2021 à 04:50
Madame Bilger ébéniste à ses heures a arrondi et chantourné mon commentaire ce qui ne vous a pas empêché de monter dans les tours. Je n’ai jamais eu la prétention d’être un intellectuel, titre dont vous vous affublez sans vergogne. À votre habitude vous ne manquez pas d’air. Si votre comportement ne s’appliquait qu’à ma petite personne cela ne serait pas grave et je le comprendrais. Vous êtes un fat et un malotru.
Ne quittez pas je vous appelle:
https://soundcloud.com/cnrs_officiel/marsoulas-shell-conch-sound/s-234KE5bFZO1
@ Aliocha
« La fécondation physiologique est la rencontre d’un gamète mâle et d’un gamète femelle, il semblerait que cela soit le cas aussi pour les lesbiennes, le désir d’enfant est donc en ce sens un désir hétérosexuel. »
Aligner des mots les uns à la suite des autres n’en fait pas une vérité. Oui, faire un gosse, dans la quasi-totalité des cas, c’est bien mettre un zizi dans une zézette… Cela ne fait pas des gouines des hétérosexuelles. Vous mélangez tout.
« Quant au trans, ma foi, si on n’a pas été témoin des pratiques médicales barbares auxquelles sont soumises ces personnes… »
Contrairement à vous, je me base sur des données factuelles pour former mes opinions. Les transitions des sexe ne sont pas de mon goût esthétique, mais des gens qui ont fait des transitions de sexe à l’âge adulte et qui en sont satisfaits, cela existe. Ce qui n’a rien à voir avec ce qu’on pratique sur des gosses intersexués. Un point essentiel et crucial justifiant cette distinction en est, entre autres, le point du consentement…
« …on ne peut pas comprendre qu’il est alors facile, et que F68.10 ne le reconnaisse pas est une contradiction supplémentaire au vu de ses opinions sur la médecine, de comparer les virtuoses du bistouri aux exciseurs africains. »
Comparez ce qui est « comparable »: les chirurgies pour gosses intersexués avec les exciseurs africains ; pas les transitions de sexe.
C’est marrant, mais personne ne semble en avoir rien à carrer de la question du consentement du patient en matière d’opérations chirurgicales et de soins médicaux. Un point qui me fait braire de manière répétée. Ah oui… sauf pour les vaccins… suis-je bête de ne pas y avoir pensé… là, le consentement, c’est important, hein… (Faux-cul puissance dix !)
Faire des distinctions argumentées entre une chirurgie qui sauve la vie d’un enfant ou qui améliore la vie d’un transsexuel et un SMpP, navré, mais c’est quand même la base de la base de la décence intellectuelle. Il ne s’agit pas là, selon vos termes, de « contradiction supplémentaire ». Nullement.
Il convient d’ailleurs et il importe (et je m’adresse là à Marchenoir) de refuser l’instrumentalisation de ce syndrome, notamment par l’école à Abelhauser, pour rejeter la science comme le font les psychanalystes en prétendant que la science (la leur) affirme que les victimes de ce syndrome rejettent eux-même la science. Odieux tour de passe-passe. Ni l’école à Abelhauser ni l’école à Girard ne me feront partir à la chasse de l’ombre en lieu et place du réel.
« On pourra sans cesse me faire passer pour un inquisiteur à tenter d’extraire les lois religieuses, qui sont au sens où je les entends des constatations scientifiques d’ordre de l’éthologie… »
La science implique de ne pas choisir les données qu’on accepte et celles qu’on rejette. On peut les critiquer et les hiérarchiser, et il y a des règles pour cela, mais on ne peut pas fermer les yeux sur lesdites données. Et encore une fois: nombre de transsexuels sont satisfaits de leur transition de sexe.
On peut ne pas être d’accord avec ces évolutions médicales, mais il convient de ne pas nier ce qui n’est pas niable.
@ F68.10 10 février 21h28
« En gros: nous pensons ce que nous voulons au sujet des gens qui nous ont torturés, et nous n’avons aucun compte à vous rendre, ni à tolérer qu’on nous dise quoi penser, sur ce genre de sujets. »
C’est ben vrai ça !
On ne voit plus très bien ce que vous pourriez ajouter.
Tout dit vous avez.
Et nous pareil à votre sujet.
De plus, de mirer des gens comme vous ça déglingue… surtout par les temps qui courent. Vous êtes une épidémie à vous tout seul.
« Fermez le ban. »
Houtez le camp !
@ Robert Marchenoir | 11 février 2021 à 04:50
« Levez la main, ceux qui acceptent que les CRS tirent à balles réelles s’ils n’obéissent pas aux ordres de Véran. »
M’enfin Marchenoir, vous n’y êtes pas du tout.
Jamais Véran ne donnera un tel ordre, avec lui nous sommes dans le médical.
Et pas n’importe lequel, le médical masqué et à distance, il ne cesse de nous le répéter.
Alors la dotation des CRS sera constituée de fusils hypodermiques avec fléchettes tranquillisantes.
Il nous faut bien ça, pour calmer le stress maximum que les ordres et contre-ordres successifs provoquent, en plus de la peur des vaccins.
Moi, je ne risque rien, côté fléchettes, j’ai été vacciné, un des premiers. Ce qui m’est apparu normal, j’ai toujours été un premier de la classe, aussi loin que remonte ma mémoire. Même quand je sautais en parachute, j’étais le premier à tester le pliage !
Par contre côté vaccin, je me demande toujours quand viendra le messager ARN porteur de nouvelles, que j’espère bonnes.
@ Robert Marchenoir | 11 février 2021 à 04:50
Oh, mais, il est revenu, il est là !!
Et je ne suis pas déçue…
Donc, très heureuse d’apprendre ceci :
« Oui, j’accepte (et je réclame) »
Quel vantard invétéré !
Ça donne envie, du coup de mon côté je réclame et j’accepte qu’on accepte ce que je réclame…
J’attends et j’espère que la chance passe, alors je l’attraperai par son unique cheveu !
« Levez la main, ceux qui acceptent que les CRS tirent à balles réelles s’ils n’obéissent pas aux ordres de Véran. »
Votre Poutine est paraît-il emballé par cette merveilleuse et si nouvelle idée, il nourrit la même amitié pour le vulgum pecus…
« I reste my caisse. »
Ainsi, vos conclusions sont dans votre caisse, alors, montez bien la garde, il se pourrait que les « aspirants » aux plus hautes charges viennent chercher du matériau, que dis-je de l’OR dans votre litière…
@ breizmabro 10 février à 16:49
« Le Siècle où 200 hommes bavassent sans femmes »
Faux. Les femmes y sont accueillies depuis 1983. Nicole Notat l’a présidé de 2011 à 2013 et Patricia Barbizet de 2017 à 2019. Le secrétaire général adjoint est Marianne Bérard-Quélin, fille du fondateur. Chaque repas réunit environ 300 personnes.
« Le Grand Orient qui serait ou non interdit à nos chères compagnes »
Faux. Les femmes y sont initiées depuis 2010.
« Naturellement, là aussi [Rotary], les femmes, exit. »
Faux. Les Rotary clubs qui refuseraient d’accueillir des femmes perdraient immédiatement leur charte les rattachant au Rotary International. La plupart des clubs organisent un repas mensuel où il est de bon ton d’être accompagné par son épouse, mari, compagne ou compagnon.
« Ces bons messieurs rotariens ont fait l’honneur de créer le pendant de leur club pour leurs épouses (…) en l’appelant InnerWheel »
Faux. Ce club féminin a été conçu en Grande-Bretagne, pendant la Première Guerre mondiale, par des épouses de Rotariens, afin de poursuivre les actions que leurs maris avaient entreprises avant leur mobilisation. Le premier club InnerWheel a été officialisé en 2024 à Manchester. InnerWheel accueille aujourd’hui des hommes et n’est pas réservé aux conjoints de Rotariens.
« Le nom… ‘roue intérieure’, ça ne fait pas rêver »…
… mais ça exprime clairement le statut et l’objectif d’InnerWheel. Cet emblème s’inscrit dans la roue crantée du Rotary International, qui, elle, choisie à l’époque du triomphe de la traction mécanique, symbolise la force de la solidarité.
« un club de Mères Teresa pour riches »
Faux. Les InnerWheel mènent des actions très concrètes tant au plan local qu’à l’international. Actuellement, le programme principal concerne l’autisme. Et c’est le Rotary International, reconnu par l’ONU et l’OMS, qui, aidé par Bill Gates, parachève l’éradication de la polio.
Vous semblez faire un rapprochement entre les francs-maçons, les membres du Siècle et les Rotariens… Sachez que ces derniers ont obligation de porter l’insigne de leur club-service à la boutonnière – ou sur leur corsage -, alors que, dans les loges, chaque frère – ou sœur – est libre d’y dévoiler ou non son appartenance. Les Rotary clubs ne cultivent pas le secret… et les membres du Siècle ont – avaient ? – plutôt tendance à être fiers, sans le crier sur les toits, d’indiquer qu’ils fréquentent ses dîners mensuels.
Bien sûr, si votre persiflage n’est pas dû à l’ignorance des éléments ci-dessus, j’ai perdu mon temps en les rassemblant à votre intention…
@ JM Triple zéro 1 | 11 février 2021 à 08:02
« Si vous êtes à court d’idées nous suggérons le barrage de Malpasset ou le vol des bijoux de la Bégum.
Et le récurrent débat sur les trolls et les pseudos bien sûr ! »
Passionnante affaire en effet, et que je découvre, que le vol des Bijoux de la Bégum.
« Selon l’inspecteur Roger Borniche qui prétend avoir été impliqué dans cinq cent soixante-sept arrestations et a publié vingt-huit livres dont Vol d’un nid de bijoux , Grasset, 1985, les truands projetaient en fait d’enlever Rita Hayworth, l’un des grands sex-symbols des années 1940 surnommée « la déesse de l’amour ».
L’actrice américaine d’origine espagnole séjournait alors dans la villa de l’Aga Khan en compagnie de son fiancé le prince Ali Khan qui devint le 3ème de ses cinq maris successifs. C’était le fils de l’Aga Khan III, 48e imam des ismaéliens nizârites qui professent une lecture ésotérique du Coran, et de sa deuxième épouse, une danseuse classique des ballets de l’opéra de Monte Carlo d’origine italienne.
Se rendant compte de leur erreur lorsqu’ils arrêtèrent la Cadillac, les truands s’étaient alors rabattus sur les bijoux dont « la Marquise », un diamant de 22 carats cependant restitué par la suite à l’assureur.
Ces truands avaient pour informateur l’amant de la femme de ménage de la Bégum, un Américain… L’amant de la femme de ménage !! Vous m’en direz tant !
Leur procès est réputé avoir été l’occasion d’un violent affrontement entre le directeur des services de la police judiciaire, Georges Valantin, et Pierre Bertaux, directeur de la Sûreté nationale, le premier accusant son supérieur d’être le véritable cerveau du braquage à cause de ses liens avec Paul Leca, une figure du grand banditisme marseillais né en Corse du Sud.
Ce vol improvisé aurait inspiré à Hergé « Les Bijoux de la Castafiore », la Bégum s’étant en effet écrié : « Ciel mes bijoux». Le truand marseillais, ressorti libre du palais de Justice, il est finalement selon l’expression consacrée, « mort dans son lit » en février 1966.
Quant au Prince Ali qui a un homonyme chez Disney , il s’était engagé en 39 dans l’armée française en tant que lieutenant de la Légion étrangère et avait servi au Moyen-Orient, dans l’armée du Levant, où il s’est retrouvé affecté, comme par hasard, au 2e bureau.
En juin 1940, il avait rejoint Le Caire, où les Britanniques l’ont incorporé avec le grade de major. Ayant fait ses études en Suisse et à Londres, malgré sa fortune et le fait que son père avait été invité à dîner par la reine Victoria, il fut néanmoins difficilement accepté de la haute société britannique. Comme Diana sous la place de l’Alma, il fut victime d’un accident de la circulation boulevard Henri-Sellier, une voie de communication menant du pont de Suresnes à Saint-Cloud et Rueil-Malmaison, dont il décéda.
Il aurait raconté à un journaliste : « Ils m’ont traité de ‘fichu nègre’. Je leur ai rendu la monnaie de leur pièce en conquérant toutes leurs femmes », toutes leurs femmes dont cette aristocrate anglaise, ambassadrice des États-Unis en France de 1993 à 1997 et la première femme à occuper ce poste que fut Pamela Harriman, belle-fille de, Winston Churchill auprès de qui elle se forma en politique.
Certains l’auraient surnommée « la dernière grande courtisane » du XXe siècle ainsi que parfois « la grande horizontale » ainsi que le révéla en 2006 le réalisateur de télévision britannique Rob Coldstream dans son documentaire « Pamela Churchill : le jeu de l’amour et du pouvoir ».
Pour ceux qui ont accès à la BBC, sur BBC 2, samedi 06/02/2021 à 04h40 est passé ce documentaire du même réalisateur : « Trump, l’Amérique outrée » qui a dû repasser ce jeudi 11/02/2021 à 10h40 sur NPO2, la chaîne de télévision généraliste néerlandaise de service public.
@ JM0001
« De plus, de mirer des gens comme vous ça déglingue… surtout par les temps qui courent. Vous êtes une épidémie à vous tout seul. »
Ravi de vous indisposer.
« H[F]outez le camp ! »
Vous nous jouez le dictateur en robe de chambre ?
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@ Serge HIREL (@ breizmabro)
« Bien sûr, si votre persiflage n’est pas dû à l’ignorance des éléments ci-dessus, j’ai perdu mon temps en les rassemblant à votre intention… »
Je pense qu’il faut cesser de faire semblant de croire que ce type de persiflage est dû à l’ignorance. Ce n’est très probablement pas le cas, et nous le savons.
@ Serge HIREL
Sauf erreur, breizmabro évoquait l’époque de son mariage qui eut lieu manifestement bien avant l’acceptation des femmes dans les cercles du Rotary (officiellement à partir de 1989) et dans les faits bien après.
Quant à la franc-maçonnerie, « jusqu’en 1999, la branche dite « régulière » ne reconnaissait formellement aucune obédience acceptant les femmes, bien que, dans de nombreux pays, des relations informelles ou des coopérations ponctuelles puissent exister. C’est ainsi par exemple que la Grande Loge unie d’Angleterre considère depuis mars 1999 que certaines loges féminines ou mixtes doivent être vues comme faisant partie de la franc-maçonnerie, sans pouvoir être reconnues officiellement dans un traité autorisant des visites mutuelles ».
Sans commentaire…
Sept opérations, un bout de peau de bras roulé avec une petite pompe pour l’érection d’un vit, plus de vulve, plus d’utérus, des injections à vie, et monsieur dont chaque cellule porte pourtant le chromosome double-X est content, c’est tout dire de l’interprétation des chiffres et du bien-être des trans opérés qui voient leur espérance de vie baisser drastiquement.
Jusqu’où n’ira-t-on pas pour justifier le commerce barbare des médecins qui, je le répète, feraient mieux d’aider ces personnes à s’assumer telles qu’elles sont, plutôt que d’en faire, tiens donc, les vestales sacrifiées du clergé LGBT, ceux-là qui refusaient de ne pas nommer mariage l’union homo, à mon sens bienvenue avec accès à l’adoption, il valait mieux faire se dresser la vague réactionnaire, c’est plus rentable de se venger des discriminations passées et beaucoup plus amusant, qu’importe après tout que l’homophobie augmente, c’est bon pour le commerce, quel raison d’exister auraient-ils si les homos étaient acceptés comme cela devrait.
Vous vous enfoncez en vos contradictions, F68.10, je vous pensais plus intelligent, vous ne pouvez justifier l’injustifiable à séparer ainsi la sexualité de la reproduction, lisez donc Sodome et Gomorrhe I de Proust, texte splendide sur l’homosexuel et l’analogie de sa place dans la société qu’est le faux bourdon dans la nature, vous cesseriez d’être complice de ces aberrations invraisemblables où les gens produisent des enfants pour leur satisfaction personnelle, alors qu’il serait si simple de deux manques faire une complétude, et accueillir les innombrables orphelins en ce monde, qui en auraient besoin.
Il aurait fallu pour cela, et c’est odieux et criminel de l’avoir fait, ne pas exacerber les a priori homophobes déjà si virulents, pour ne servir qu’une petite caste vengeresse qui, comme les médecins déjà cités, n’ont d’intérêt qu’au retour des barbares.
@ Catherine JACOB 10 février 2021 à 17:15
Vous avez tendance à n’utiliser dans vos sources que ce qui conforte votre point de vue… Ainsi, vous oubliez de dire que, sur les 100 économistes qui prêchent pour l’annulation de la dette due à la BCE, 50 sont français, ce qui réduit considérablement le champ de vision et que, parmi eux, figure Thomas Piketty, très proche du PS. Piketty qui, en Grande-Bretagne, a conseillé le travailliste d’extrême gauche Corbyn, dont le discours politique s’apparente peu ou prou à la logorrhée de Mélenchon… Piketty qui traîne autant de médailles d’honneur que de critiques de ses confrères sur l’emploi qu’il fait de certains chiffres…
Quant à Christine Lagarde, elle a fait carrière chez McKenzie, cabinet d’avocats d’affaires mondialement réputé, a été ministre du Commerce extérieur et présidente du FMI avant de présider la BCE. De toute évidence, elle n’a aucune compétence économique… Comment se fait-il que vous, groupie de Wikipédia, vous ayez omis de consulter sa fiche avant d’écrire cette ânerie ?
Sur le fond, les économistes sérieux vous expliqueront que l’on peut faire dormir une dette – ce qui, en période de taux d’intérêts bas, voire négatif, ne coûte rien – mais que l’annuler engendre une baisse de la confiance des créanciers et, mécaniquement, un retour de l’inflation, qui met à mal l’épargne privée… « Les 100 », eux, nous serinent surtout le discours écologique à la mode…
Quant à la Nouvelle Route de la Soie, elle a une différence majeure avec l’ancienne, que vous avez omise : elle est communiste ! Et véhicule donc, sous couvert de commerce et d’affaires, une idéologie exécrable. Pour s’immiscer chez nous, elle n’emploie pas que des tankers. Elle compte aussi, comme l’ancienne, utiliser des routes terrestres. Et son nom exact en chinois n’est pas « Grande Ceinture », comme je l’ai indiqué par erreur de mémoire, mais « Initiative Route et Ceinture ». Traduction exacte : invasion.
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@ Ninive 10 février 2021 à 17:28
Il est rare d’être « réaliste » et « clairvoyant » en matière de prévision du futur… à moins d’être cartomancienne ou manipulateur de boule de cristal… Votre message me conforte dans l’opinion que vous êtes pessimiste. Pourquoi voulez-vous que la source habituelle de nos « hommes providentiels » soit tarie ?
Pour ce qui est de « l’union des droites », il ne me semble pas avoir écrit ou sous-entendu qu’il s’agissait de convaincre Marine et ses aficionados. Il s’agit au contraire de la priver de ceux qui ne croient plus vraiment à son étoile et de ceux qui ne se contentent plus d’un rôle d’opposant perpétuel… donc des partisans de Marion.
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@ Marcel 10 février 2021 à 21:01
« Etonnant que personne n’y ait pensé. Mais comment comptez-vous mettre en œuvre un tel programme… »
Vous est-il sorti de l’esprit qu’une élection présidentielle aura lieu au printemps 2022 ? La réélection de Jupiter n’est pas une fatalité… Pour un Président « régalien », qui considérerait que la souveraineté nationale l’emporte sur toute instance extérieure, et un gouvernement à poigne, il suffirait de cent jours pour remettre les esprits dans le droit chemin. Et ce sans bouleverser notre législation. La plupart des lois nécessaires à cette remise en ordre existent. Elles ne sont pas appliquées… Et je crois ne pas être le premier à y penser.
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@ Robert Marchenoir 11 février 2021 à 04:50
« …D’autant qu’il faudrait nous dire en quoi l’économie serait entravée en ce moment. Les gens ont interdiction de sortir ? non. »
À toute personne censée, il paraît inutile de perdre son temps à lire le reste de votre prose… Vous tenez la solution : mentir dès les premiers mots ! Il ne vous reste plus qu’à vous présenter en 2022. Marchenoir Président ! Marchenoir Président !
Puis-je vous suggérer un slogan : « Français, bande de pignoufs ! Je vous hais ! Votez pour moi, moi, moi ! ». « Pignoufs »… Je présume que vous trouverez un autre mot, plus court…
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@ Lucile 10 février 2021 à 15:41
Entièrement d’accord avec vous. Vous exprimez plus finement que moi la même opinion… Un seul désaccord : dans une démocratie, rien, absolument rien ne permet de ne pas mettre le Parlement dans la boucle des décisions. Et c’est lui qui doit avoir le dernier mot, Jupiter ou pas au Château.
@ F68.10 | 11 février 2021 à 10:35
« Et encore une fois: nombre de transsexuels sont satisfaits de leur transition de sexe.
On peut ne pas être d’accord avec ces évolutions médicales, mais il convient de ne pas nier ce qui n’est pas niable. »
Et alors ? Tous les détraqués sexuels n’ont pas attendu F68.10 pour être satisfaits de leur condition de détraqués sexuels, la preuve ils défilent dans les rues en Gay Pride marche des fiertés, que personnellement j’appelle marche de la honte, ils infiltrent tous les pans de la cul-ture : showbiz, littérature, merdias dans lesquels ils imposent une dictature LGBT terrible, raciste envers les blancs hétéros .
Ils vont même nous obliger par progressisme avant-gardisme à détester ces blancs hétéros qu’ils considèrent comme des sous-hommes anormaux, d’ailleurs la grande prêtresse du service public de l’odieux visuel pratique une épuration ethnique contre les mâles blancs pour le remplacement prévu par des noirs de gauche homos, les nouveaux surhommes.
Le goulag culturel de gauche.
Êtes-vous satisfait de ma réponse ? Moi je suis satisfait d’être blanc de droite hétéro catho chrétien en résistance à leur dictature.
Ce soir sur Arte 20 h 55 « En thérapie », série télé.
De la téléréalité pour certains d’ici.
@ Serge HIREL 11 février 13:58
« Les Rotary clubs qui refuseraient d’accueillir des femmes perdraient immédiatement leur charte les rattachant au Rotary International. La plupart des clubs organisent un repas mensuel où il est de bon ton d’être accompagné par son épouse, mari, compagne ou compagnon »
« La plupart des clubs organisent un repas mensuel… »
Faux. la plupart n’organisent qu’un repas par AN pour présenter leur femmes bijoutées à leurs amis.
« Vous semblez faire un rapprochement entre les francs-maçons, les membres du Siècle et les Rotariens »
En même temps c’est un peu le même monde, j’en sais quelque chose.
Quant aux InnerWheel, excusez-moi, mais nous ne devons pas connaître les mêmes, celles que je connais donneraient volontiers leur manteau de vison à de pauvres gens heureux (comme le chantait Jacques Brel) mais elles sont très fortes pour recruter des jeunes filles au pair, logées, nourries.
Mon mari (décédé) a fait partie de ce monde pour des raisons professionnelles, comme tous les membres de c(es) club(s), pas par altruisme. Dire le contraire serait mentir.
@ hameau dans les nuages | 11 février 2021 à 10:05
Bla… bla.. bla… Comme tous les provocateurs et les trolls, vous lâchez votre bombe en espérant la réaction prévisible. Celle-ci se produit, vous hurlez au scandale, vous vous proclamez pauvre victime injustement persécutée, et… plus aucun mot sur l’amiante (inoffensif, selon vous, à moins d’être combiné au tabac).
Ou la vitamine D (que vous avez essayé de fourguer récemment en lieu et place des masques anti-Covid — mais là, j’ai laissé passer).
« Je n’ai jamais eu la prétention d’être un intellectuel, titre dont vous vous affublez sans vergogne. »
Mensonge. Je n’ai jamais affirmé être un intellectuel. J’ai dit, précisément, ceci :
« Un blog est voué au débat intellectuel. Si vous n’avez pas les épaules pour ça, restez à l’écart. »
Cela étant, je me demande bien où serait le problème si j’avais revendiqué la qualité d’intellectuel. Vous revendiquez bien celle d’agriculteur — frauduleusement, semble-t-il, puisqu’à lire vos propres déclarations, il semble surtout que vous soyez un agriculteur raté.
« Vous êtes un fat et un malotru. »
Pas du tout. C’est vous qui insultez continuellement la décence et la vérité, ici. C’est vous qui faites preuve d’une prétention continuelle en vous présentant comme le dieu de l’agriculture et de l’écologie que vous n’êtes pas.
Et occasionnellement, vous répandez des rumeurs fallacieuses propres à tuer des gens. Comptez sur moi pour m’occuper de votre « petite personne », comme vous dites, à chaque fois que ce sera le cas.
@ Ninive | 11 février 2021 à 11:55
Vous me faites rire : on peut penser que des gouvernants pensent à prendre l’argent des épargnants puisque que ça c’est déjà fait !
https://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130330trib000756871/ponction-massive-a-chypre-sur-les-comptes-de-plus-de-100.000-euros.html
Dans quel pays, à partir de quelle somme et quels types de comptes, après, ce sont des questions qu’on peut se poser.
Vous savez, sur ce blog, on peut user de son énergie pour ne pas être pris en défaut et chercher ceux des autres… En somme, l’affrontement quand personne ne vous provoque, c’est votre cas.
Ou on peut préférer la quête, d’information, de progrès personnel, de dialogue ou de diffusion de l’information.
@ sylvain
« Et encore une fois: nombre de transsexuels sont satisfaits de leur transition de sexe. On peut ne pas être d’accord avec ces évolutions médicales, mais il convient de ne pas nier ce qui n’est pas niable. » — F68.10
« Et alors ? Tous les détraqués sexuels n’ont pas attendu F68.10 pour être satisfaits de leur condition de détraqués sexuels, la preuve ils défilent dans les rues en Gay Pride marche des fiertés… » — sylvain
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La Gay Pride est hors propos. On parle chirurgies de changement de sexe. Il s’agit donc d’une opération médicale. Et si on veut critiquer une opération médicale, la moindre des choses, c’est de s’assurer du fait qu’elle fasse du bien ou du mal aux premiers concernés. Après, que vous les considériez comme détraqués, que vous souhaitiez interdire la Gay Pride ou interdire les chirurgies de changement de sexe, c’est un autre problème. Si on traite de la médecine, on évalue les thérapies. Point. Donc on s’assure que les transsexuels en sont un minimum satisfaits et qu’ils n’aient pas envie de se loger une balle dans la tête à la suite de l’opération.
Si vous voulez interdire les transitions de sexe, c’est encore un autre sujet. Mais bizarrement, je doute que vous souhaitiez simultanément interdire les chirurgies sur les intersexués.
J’attends votre position sur ce point.
« …que personnellement j’appelle marche de la honte, ils infiltrent tous les pans de la cul-ture : showbiz, littérature, merdias dans lesquels ils imposent une dictature LGBT terrible, raciste envers les blancs hétéros. »
M’en tape. Je regarde pas la télévision. Rien à voir, de plus, avec la question scientifique des bénéfices ou dommages induits par les transitions de sexe sur les premiers concernés.
« Ils vont même nous obliger par progressisme avant-gardisme à détester ces blancs hétéros qu’ils considèrent comme des sous-hommes anormaux »
L’écrasante majorité des LGBT ne sont pas dans la logique militante que vous décrivez à ce sujet. Ils le deviennent par contre quand ils voient que la conn*rie bat son plein. La Caroline Fourest, que vous n’aimez probablement pas, n’aurait probablement pas grand-chose contre les cathos si elle n’avait pas vu les ravages qu’ils induisent sur la question LGBT. Et je doute qu’elle conchie les « blancs hétéros »: Caroline Fourest n’est pas Alice Coffin ou Valerie Solanas. Tous n’ont pas envie de vous bouffer tout cru.
Si déjà on arrêtait d’enfermer les homosexuels en hôpital psychiatrique, ils auraient peut-être moins de raison d’en vouloir à ceux qui les enferment, que vous appelez les « blancs hétéros ». Bizarrement, je suis bien un « blanc hétéro », mais je comprends bien que le discours d’Alice Coffin et celui de Caroline Fourrest vis-à-vis de ma personne ne sont pas les mêmes… Pas vous ? C’est trop compliqué ? Il vous faut une greffe de neurones pour que vous y arriviez ?
« …d’ailleurs la grande prêtresse du service public de l’odieux visuel pratique une épuration ethnique contre les mâles blancs pour le remplacement prévu par des noirs de gauche homos, les nouveaux surhommes. »
Je ne suis pas au courant de cela. Référence requise. Quoi qu’il en soit, cela n’a rien à voir avec l’analyse scientifique des bénéfices ou dommages induits par les transitions de sexe pour les premiers concernés. Ce qui était la question soulevée par mon message. Question qui ne semble pas susciter d’étincelles entre vos deux hémisphères cérébraux.
« Le goulag culturel de gauche. »
Par contre, coller les homosexuels en hôpital psychiatrique et pratiquer des thérapies de conversion, c’est probablement de l’humanisme, n’est-ce pas ?
« Êtes-vous satisfait de ma réponse ? Moi je suis satisfait d’être blanc de droite hétéro catho chrétien en résistance à leur dictature. »
Votre réponse ? Je m’en tape un peu. Vous n’en avez rien à cirer de savoir quand les transitions de sexe importent aux premiers concernés. Vous n’avez encore rien affirmé au sujet de l’interdiction des chirurgies sur les intersexués. Vous n’avez rien affirmé non plus sur le recours à la psychiatrie pour dresser les homos pendant que vous affirmez être au goulag. Il y en a quand même qui ont plus de raisons de se sentir en dictature que vous.
Je me moque que vous soyez blanc. Je me moque que vous soyez de droite. Je me moque que vous soyez hétéro. Je me moque que vous soyez chrétien. Je constate simplement que vous n’avez pas la fibre intellectuelle nécessaire pour arriver à aligner deux pensées construites d’affilée à ce sujet. Sauf pour nous expliquer que la Gay Pride c’est moche. Ce avec quoi je suis d’accord. Mais cela n’a guère d’importance.
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@ Aliocha
« Vous vous enfoncez en vos contradictions, F68.10, je vous pensais plus intelligent, vous ne pouvez justifier l’injustifiable à séparer ainsi la sexualité de la reproduction… »
Si on parle des transitions de sexe, on commence déjà par se poser la question: les premiers intéressés en bénéficient-ils ? Vous n’avez rien apporté à la table pour étoffer votre position à ce sujet. Vous brassez de l’air, en somme.
« Jusqu’où n’ira-t-on pas pour justifier le commerce barbare des médecins qui, je le répète, feraient mieux d’aider ces personnes à s’assumer telles qu’elles sont… »
Vous vous enfoncez, Aliocha. Votre propos était à deux doigts de légitimer les thérapies de conversion. Vous étiez à deux doigts de légitimer la torture. Et, bien qu’on vous l’ait expliqué, on ne voit pas le début d’une autocritique de votre part sur ces pulsions tortionnaires.
« …vous cesseriez d’être complice de ces aberrations invraisemblables où les gens produisent des enfants pour leur satisfaction personnelle… »
Sur quels propos de ma part vous basez-vous pour soutenir que je serais « complice » d’aberrations invraisemblables où les gens produisent des enfants pour leur satisfaction personnelle ? Une citation. Une seule. Si vous n’y arrivez pas, comme on dit en anglais, vous êtes « full of shit ».
« Il aurait fallu pour cela, et c’est odieux et criminel de l’avoir fait, ne pas exacerber les a priori homophobes déjà si virulents, pour ne servir qu’une petite caste vengeresse qui, comme les médecins déjà cités, n’ont d’intérêt qu’au retour des barbares. »
Si ne pas exacerber les a priori homophobes c’est se coucher devant les hospitalisations psychiatriques sous contrainte d’homosexuels et se coucher devant la recrudescence des thérapies de conversion par les milieux chrétiens… non, non, non: on ne cautionne pas des pratiques de tortionnaires dans le but d’être conciliant et d’entendre sylvain enfin prendre conscience que personne ne l’a collé en hôpital psychiatrique parce qu’il était blanc chrétien hétéro et que nulle thérapie de conversion n’a été pratiquée par le Centre National de la Cinématographie pour le rendre homo. Faut quand même pas tout confondre…
@ Serge HIREL | 11 février 2021 à 16:17
« Mentir dès les premiers mots. »
Toujours aussi stupide, Serge Hirel. Apparemment, vous êtes incapable de comprendre les différents niveaux de langage d’un texte. Ce n’est pas la première fois que vous en faites la preuve. A moins que vous ne le fassiez exprès, bien sûr… ce vice se porte à merveille, de nos jours.
Surtout, n’hésitez pas à nous faire connaître vos recettes pour lutter contre le Covid sans la moindre contrainte… iaka fokon.
@ F68.10 11 février 0h12
« Des godes ceintures et des boules de geisha »
Voilà un sujet qui concerne notre chère Catherine JACOB !
@ F68.10
Bien.
L’acte de torture est le protocole d’opérations multiples qui mutile les trans, plutôt que d’aider les personnes à assumer leur condition d’inverti, qui a sa place dans la société, comme le faux bourdon dans la nature a une fonction de pollinisation.
À l’habitude, vous m’associez à un clergé perverti, il n’y a chez moi aucun désir d’aucune forme de thérapie de conversion.
Voilà pour la pulsion tortionnaire.
Quant à votre contradiction, elle est dans le fait que vous agonissez la médecine à propos de vos problèmes irrésolus mais que tout à coup :
« Si les lesbiennes veulent de l’aide médicale en relation avec leur condition, alors leurs souhaits et désirs importent. »
Non pas que les lesbiennes n’aient pas droit à se faire soigner, mais simplement que d’être homosexuel n’ouvre pas des droits particuliers autre qu’à la protection contre les discriminations odieuses, notamment cette revendication absurde de pouvoir mimer les hétéros dans leur tendance à faire de l’enfant un élément de la panoplie consumériste qui servirait à la satisfaction personnelle, le divinisant pour mieux le sacrifier à ses contradictions, si cela ne vous rappelle pas certaine mère psychiatre abusive, je me fais curé.
Nous sommes donc en plein sujet Assa Traoré, les minorités ont droit à la protection, mais ne sauraient au nom des discriminations passées, imposer à la majorité leur particularité, souhait et désir ne sont pas interdits, mais ne sont pas le fondement du Droit.
Autrement dit, on ne résoudra pas l’homophobie par la domination homosexuelle, comme, hélas, le sionisme n’a jamais résolu l’antisémitisme.
Il est donc temps, si nous voulons résoudre la violence des comportements sociaux humains, d’accéder au renversement narratif que permet le pardon, de renoncer radicalement aux mensonges du sacrifice qui fonde nos cultures pour, ensemble et dans le respect des différences, devenir réellement des incroyants, en la violence.
@ Aliocha
« L’acte de torture est le protocole d’opérations multiples qui mutile les trans… »
Cela peut l’être. Comme cela peut ne pas l’être. C’est pour déterminer cela qu’il importe de faire différentes formes d’études sur la question. Il y en a. Mais, ce qui n’est pas niable, c’est que nombre en sont satisfaits ; et que même s’il y a des risques, il y a des gens dont on ne peut pas nier la parole seulement parce que cela nous chante. Ensuite, il convient d’établir des règles déontologiques et médicales couvrant tous les cas et les sous-cas.
Je remarque par contre que vous restez coi sur le thème des intersexués. Difficile de ne prendre position que sur le transsexualisme sans prendre position sur les intersexués, je trouve…
« …plutôt que d’aider les personnes à assumer leur condition d’inverti… […] il n’y a chez moi aucun désir d’aucune forme de thérapie de conversion. »
« Inverti » ? Qu’es aquò ? Pourquoi pas « uraniste » ? Bref… Vous avez explicitement affirmé que l’aide consistait à « leur apprendre à reconnaître leur désir hétérosexuel ». C’est bien dans ce genre de propos que se niche le concept de la thérapie de conversion. Vous niez que c’est là votre intention. Mais alors quelle est-elle ?? C’est bien dans ce genre de non-dits que se nichent les incitations et doubles discours qui cautionnent les thérapies de conversion. Il n’est pas possible de savoir plus précisément quelle est votre réelle position. Tant que vous ne l’explicitez pas, nous ne pouvons que l’imaginer…
« …qui a sa place dans la société, comme le faux bourdon dans la nature a une fonction de pollinisation. »
On s’en moque de cela. Ce n’est pas en raison d’une raison reproductive alambiquée que les homosexuels auraient droit de cité. Si cette « justification » est prouvée fausse, on fait quoi des tantouzes ? Même question que pour les femmes: elles ont bien un cerveau plus petit en volume ; qu’est-ce que de telles observations factuelles justifient ou ne justifient pas en termes moraux ? Cela ne justifie que très peu de choses. Peut-être des bacs plastiques un peu plus petits pour les autopsies…
« À l’habitude, vous m’associez à un clergé perverti, il n’y a chez moi aucun désir d’aucune forme de thérapie de conversion. »
Nul besoin de vous associer à un clergé, perverti ou pas, pour constater là où mènent le type de discours que vous tenez. Je me base essentiellement sur cela…
« Quant à votre contradiction, elle est dans le fait que vous agonissez la médecine à propos de vos problèmes irrésolus mais que tout à coup… »
Il n’y a aucune contradiction: on ne nie pas le besoin de pratiquer la médecine sous prétexte qu’on a vécu un SMpP. Tout comme on ne nie pas que les pères peuvent être géniaux parce que l’inceste existe. Tout comme on ne nie pas la nécessité d’un minimum de discipline dans la société parce que des gosses se font battre. Tout comme on ne nie pas que les parents ont légitimement droit au repos avec un enfant en bas âge sous prétexte que des nourrissons se font défoncer les cervicales en se faisant secouer. Tout comme on ne nie pas que les machines à laver sont utiles au prétexte que, parfois, on y trouve un gosse qui y a subi le programme à 90°.
« Si les lesbiennes veulent de l’aide médicale en relation avec leur condition, alors leurs souhaits et désirs importent. »
Exact. Les souhaits des patients importent. Tout comme le souhait d’un patient de – enfin… – sortir d’un SMpP sans avoir à retapisser les murs d’un hôpital psychiatrique avec les tripes d’un chef de service pour se faire enfin entendre. Rien de plus logique, en somme, dans une société évoluée: le consentement des patients importe, dans un sens comme dans l’autre. Et la France n’est pas une société évoluée en la matière. Comme en témoigne la situation des chirurgies sur les intersexués. Consentement ? Zéro.
« Non pas que les lesbiennes n’aient pas droit à se faire soigner, mais simplement que d’être homosexuel n’ouvre pas des droits particuliers autre qu’à la protection contre les discriminations odieuses… »
Je trouve plutôt que c’est un devoir moral plus qu’un « droit » que de ne pas se comporter de manière parfaitement odieuse avec les homosexuels. Il ne s’agit pas de les aimer. Simplement de savoir être un minimum correct.
« …notamment cette revendication absurde de pouvoir mimer les hétéros dans leur tendance à faire de l’enfant un élément de la panoplie consumériste qui servirait à la satisfaction personnelle… »
B*r*e* de m*r*e ! On ne parle pas là de cela ! On parle d’une tout autre question: doit-on, oui, ou non, prendre en compte les aspirations d’un transsexuel dans la réflexion médicale et éthique visant à déterminer si oui ou non de telles transitions de sexe sont morales ? Même question que pour les intersexués: doit-on, oui ou non, prendre en compte les aspirations et récriminations des intersexués qui ont subi des chirurgies à la naissance quand il s’agit de réfléchir à la question de poursuivre ou d’interrompre ces pratiques ? Je vous passe les cas de conscience analogues sur le SMpP ou même ceux relatifs à l’obligation de se soigner que des tiers peuvent encore imposer aux homosexuels de nos jours ; mais je vais reformuler: dans quelle mesure a-t-on le droit de se moquer ouvertement de la gue*le du monde qu’on prétend traiter ?
« …le divinisant pour mieux le sacrifier à ses contradictions, si cela ne vous rappelle pas certaine mère psychiatre abusive, je me fais curé. »
Badaboum… badaboum… badaboum… Inutile de continuer.
@ Aliocha 11 février 15h18
« …F68.10, je vous pensais plus intelligent…»
Allons petit père, reprenez-vous, vous allez perdre notre confiance… heureusement qu’on vous aime.
« …vous ne pouvez justifier l’injustifiable… »
Mais si, mais si il peut… dans l’établissement où on l’a placé c’est le passe-temps préféré.
« …séparer la sexualité de la reproduction… »
Il est à parier que sa maman ne lui en a jamais parlé. Ç’aurait été dangereux pour elle. Quand même une psychiatre sait ces choses-là.
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@ sylvain 11 février 16h36
« Moi je suis satisfait d’être blanc de droite hétéro catho chrétien en résistance à leur dictature. »
Vous ne devriez pas dire des choses pareilles dans un blog où fréquentent des internés psychiatriques autorisés à intervenir sur le net.
Sûr que vous leur provoquez des crises.
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@ Serge HIREL 11 février 16h17
« …absolument rien ne permet de ne pas mettre le Parlement dans la boucle des décisions. Et c’est lui qui doit avoir le dernier mot, Jupiter ou pas au Château. »
C’est la raison pour laquelle une réforme constitutionnelle drastique est indispensable avant 2022.
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@ F68.10 11 février 14h43
« Ravi de vous indisposer. »
On sent le type format « Lacombe Lucien ».
À preuve il utilise Tiktokandwikiki pour nous faire admirer son idole dans son grand bureau de la Chancellerie.
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@ Aliocha 11 février 8h06
« …La fécondation physiologique est la rencontre d’un gamète mâle et d’un gamète femelle, il semblerait que cela soit le cas aussi pour les lesbiennes, le désir d’enfant est donc en ce sens un désir hétérosexuel… »
Certes, mais vous ne vous placez pas du côté de l’enfant, le seul à considérer en cette affaire. Les deux « dames » sont responsables, l’enfant est victime innocente qui supportera ou pas.
Parce que, quand même, deux momans c’est beaucoup … parlez-en avec F machin !
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@ Catherine JACOB 11 février 14h24
Un merveilleux reportage… digne des grands journaleux d’antan… L’Illustration… le Crapouillot…
Dites-moi petite, je suis un bon rabatteur… il va falloir qu’on parle de mes honoraires !
@ JM0001 | 12 février 2021 à 08:00@ F68.10 11 février 0h12
« Des godes ceintures et des boules de geisha »
« Voilà un sujet qui concerne notre chère Catherine JACOB ! »
Vous vous trompez. C’est mon mari qui avait été invité, sans moi, par une entreprise japonaise à un dîner agrémenté d’un divertissement (danse et musique) offert par des Geïshas, ces personnes (Sha /者) pratiquant les arts (Geï /芸) comme dans l’Antiquité grecque les hétaïres . Style celui-ci (Cliché de l’époque Taishō qui couvre la période allant de 1912 à 1926).
Étant donné les tarifs pratiqués par les prestataires de haut niveau, ça a dû vraiment coûter bonbon à l’entreprise. quelques infos sur cet « art du divertissement » .
Étant donné également que je n’ai eu aucune information précise sur le déroulement de ce dîner, vous comprendrez donc que je ne saurais disposer d’informations sur les objets que vous citez sinon via ce vilain Wikipédia que vous vouez aux gémonies et que vous pouvez aussi bien consulter par vous-même au besoin.
Ce qui en revanche, reste dans mes cordes, c’est de vous présenter quelques-uns des éléments d’une première étude comparative du sino-gramme / Kanji japonais pour Geï / 芸 : l’art, les arts (1ère étude : 27 juin 2015, 19:41:57) ainsi qu’une infographie complémentaire susceptible de pouvoir être développée du point de vue de la maïeutique (le lien est sur Wikipédia donc, vous pouvez vous dispenser de le consulter, d’autant plus que, j’imagine, rien de cet art qu’est la maïeutique ne vous demeure sans doute inconnu.)
Bonjour Philippe,
La doublette paranoïaque est de retour.
Un pur régal de lire des imbécillités de fats invétérés.
Quel blog, je m’ennuierais s’il n’existait pas.
@ JM0001
« « …vous ne pouvez justifier l’injustifiable… » » — Aliocha
« Mais si, mais si il peut… dans l’établissement où on l’a placé c’est le passe-temps préféré. » — JM0001
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C’est plutôt dans les ministères que cet art est pratiqué. Vous avez entendu parler de Cédric Fusina ?
C’est toujours un régal de lire comment les ministères justifient l’injustifiable. Pour autant qu’on en croie Madame Florence Fusina, qui, manifestement, en contredisant la version étatique, n’a donc plus toute sa tête…
« Rappel des faits. C’est Florence Fusina qui lance l’alerte le 19 février 2019 dans nos colonnes afin d’éviter que son mari, soumis au droit de réserve, soit, en plus du harcèlement subi, radié des cadres de l’armée. Lui est contrôleur aérien dans l’aviation légère, chef d’escadrille avec vingt ans de bons et loyaux services à son actif. Et ce, jusqu’à ce qu’il refuse de signer un document au cours d’une nouvelle affectation. Rien de terrible mais l’état du stock qu’on lui demande d’attester ne correspond pas à la réalité, estime-t-il. Sa hiérarchie ne lui pardonnera pas d’avoir refusé de marcher au pas. Un militaire, ça ne discute pas les ordres, mêmes s’ils sont contraires au bon sens ou à la rigueur exigée pour assumer ses responsabilités. Au final, il sera mis en arrêt maladie d’office, avec retrait de son commandement et de son accréditation de contrôleur aérien. Et il y aura même deux tentatives d’internement. » — Thierry Turpin, La Marseillaise, octobre 2020.
En fait, même pas besoin de franchir les murs de ce genre d’institutions pour voir fleurir en France le marché si délectable de l’analyse psychanalytique sauvage des personnalités dans les médias. Belle performance, par exemple, de Michel Schneider en la matière.
Disons que ce type d’attitude n’est pas vraiment à l’honneur des Français. C’est un comportement injustifiable que justifient tous ceux qui s’adonnent à cette pratique. J’ai du mal à comprendre que la loi ne pénalise pas ce type de propos. Sévèrement et proactivement.
« On sent le type format « Lacombe Lucien ». »
Le format présent vous sied-il mieux ? Ou êtes-vous un perpétuel insatisfait ?
@ Ninive 12 février 2021 à 07:00
Autrefois, s’abstenir était l’attitude de celui qui se refusait à toute réflexion politique, entraînant nécessairement un choix… Mais qui, le lendemain, était au premier des râleurs…
Depuis plusieurs scrutins présidentiels et législatifs – depuis le second tour de 2002 et le quinquennat ? -, s’abstenir est une attitude active, adoptée après, sinon une réflexion élaborée, du moins le constat que nul candidat ne présente suffisamment d’atomes crochus avec l’opinion personnelle pour mériter l’effort de mettre un bulletin dans l’urne.
Ces abstentionnistes-là sont autrement plus difficiles à convaincre d’« accomplir leur devoir électoral » – selon la formule consacrée – que les précédents. Et, vu l’offre qui s’annonce, il y a de fortes chances que leurs rangs grossissent en 2022, même pour virer un sortant accusé de fautes professionnelles multiples…
La solution belge – le vote obligatoire – serait désastreuse. Les urnes contiendraient plus de bulletins « contre » que de suffrages « pour »… et le mécontentement s’aggraverait encore plus…
Un détail : les abstentionnistes d’aujourd’hui râlent tout autant que leurs prédécesseurs. On est en France…
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@ Robert Marchenoir 11 février à 22:29
Suis-je stupide, assurément ! Mes deux neurones n’avaient pas encore pris conscience qu’un texte de l’Académicien du blog suppose une lecture à plusieurs niveaux… Au moins deux :
– Celui qui, réunissant injures, sarcasmes et mensonges, grimpe dans les tours d’autant plus haut que ledit Immortel éprouve de mécontentement à l’égard de son contradicteur et n’a pas d’arguments pour lui répondre…
– Et celui qui, agglomérant savoirs, jugements et oracles de l’auguste personnage, exige de creuser jusqu’aux tréfonds de sa rarissime pensée pour commencer à y percevoir, au milieu des ténèbres, l’ombre d’un début de cohérence.
J’avoue humblement que mes deux neurones ne suffisent pas pour envisager la réussite d’une telle descente dans le Puits des Connaissances et que rien, jamais, ne me permettra le bonheur perpétuel d’atteindre le nirvana qu’est l’Intelligence – avec un grand L – à la mode Marchenoir.
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@ breizmabro 11 février 2021 à 18:04
« Faux. La plupart n’organisent qu’un repas par AN »
Il ne s’agit donc pas de persiflage, mais d’une vision très ancienne des Rotary-Clubs et des clubs-service en général. Ce dîner annuel des Rotariens existe encore et il se doit d’être prestigieux. C’est le « dîner du Gouverneur » au cours duquel le club reçoit le chef du District auquel il est rattaché. Et je ne dis pas qu’on n’y voit pas quelques bijoux… Mais les dîners mensuels, plus simples, ont bien lieu, ouverts aux conjoints, et dans tous les clubs.
Il est vrai qu’autrefois, l’altruisme, tout en étant réel, n’était pas la seule préoccupation des Rotariens. Les affaires entre eux étaient aussi au centre de leurs préoccupations.
Aujourd’hui, les choses ont bien changé. Les lieux de rencontres entre dirigeants se sont multipliés – déjeuners d’affaires, clubs inter-entreprises…- et, faute de temps, les jeunes générations ne se précipitent plus dans les clubs… L’âge moyen des Rotariens s’est considérablement élevé à tel point que même les actions caritatives se réduisent. D’autant plus que sont apparus d’autres mouvements, tels les Restos du Cœur.
Quant aux InnerWheel… Il faut de tout pour faire un monde, même s’il est « bourgeois ». Bien sûr, il y a des manteaux de vison, mais certaines – beaucoup – l’oublient pour aller servir des repas aux familles démunies dans les locaux du Secours catholique par exemple…
Ah ! J’oubliais. Si vous voulez vraiment fâcher un Rotarien d’aujourd’hui, vous lui dites que le Rotary, c’est un peu comme la franc-maçonnerie… Certains sont « frères » probablement, mais connaissent parfaitement les différences énormes entre les deux règles… Peut-être est-ce un peu moins vrai pour ce qui est du Siècle…
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@ Ninive 11 février 2021 à 14:58
« Il est vrai que vous êtes partie prenante »
Je ne comprends pas le sens de votre commentaire, en particulier cette phrase…
@ Jérôme | 12 février 2021 à 16:36
Si vous ne vous ennuyez pas en fréquentant ce blog, on ne peut pas en dire autant de notre côté. Je parle pour moi, mais je suis convaincu que le pluriel s’impose. Vos commentaires sont d’une nullité incroyable. Vous illustrez à merveille l’image du type qui ne sait rien sur rien, et qui fait le malin en pointant la supposée ignorance des autres. Avec en prime une lâcheté qui couvrirait de honte n’importe quel individu ayant un minimum de lucidité. Même caché derrière un pseudo, le type il a peur de se prendre une volée verbale à travers la figure. Mais quel vaurien !
@ Ninive
Je ne me rappelle guère des intervenants mais prends note de ne plus vous parler, et d’autant que je n’y tiens pas plus que ça.
Que ce soit sur n’importe quel sujet, pas seulement la Bible, il va de soi que vous devez en faire autant de votre côté. Que cette chose ne s’embrouille pas dans votre esprit et que tous en soient témoins pour nous le rappeler, si possible pas de manière désagréable, si nous venions à l’oublier.
Merci à tous.
@ Lodi (@ Ninive)
« Je ne me rappelle guère des intervenants mais prends note de ne plus vous parler, et d’autant que je n’y tiens pas plus que ça.
Que ce soit sur n’importe quel sujet, pas seulement la Bible, il va de soi que vous devez en faire autant de votre côté. Que cette chose ne s’embrouille pas dans votre esprit et que tous en soient témoins pour nous le rappeler, si possible pas de manière désagréable, si nous venions à l’oublier. »
À moins que Ninive ne fournisse une opposition argumentée à vos desiderata, que je me devrais alors de prendre en compte, je serai témoin de cela pour le rappeler.
@ Herman Kerhost | 12 février 2021 à 21:09
« Vous illustrez à merveille l’image du type qui ne sait rien sur rien, et qui fait le malin en pointant la supposée ignorance des autres. »
Un profil typique de notre époque. C’est pour ça que des gens comme Raoult rentrent comme dans du beurre.
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@ Serge HIREL | 12 février 2021 à 19:55
Vous êtes en effet très fort pour le bavardage interminable, le sarcasme sans objet et la mauvaise foi à la tonne.
En revanche, pour ce qui est de comprendre l’humour, la suggestion, la provocation rhétorique ou la cohérence d’une analyse, là, vous avez manifesté votre nullité à de nombreuses reprises, et vous venez de le faire à nouveau ici même.
N’attendez plus aucun argument de ma part : on ne discute pas avec une bûche.
Le Rotary, oui, ça vous va très bien. C’est de votre niveau. Continuez.
Les altérations ironiques mais inamicales récemment subies par mon pseudonyme m’obligent à changer mes plaques.
Ce sera fait dès lundi.
Badaboum !
C’est bien, on avance, et le silence accueille l’écoulement des écroulements quand l’argument se perd et ne sait plus répondre, alors que la solution est à sa main, tentant de glisser de l’homosexualité, qui n’est pas une pathologie, vers l’intersexualité et le SMPP, qui sont des problématiques divergentes.
Restons donc concentré sur le sujet du billet, à savoir le droit à l’existence de minorités qui ont droit à l’existence sans faire de la discrimination dont elles doivent être protégées, la base d’une volonté de domination de la particularité sur la majorité, sans avoir besoin, pour ne pas entendre, de toujours associer la vérité des textes à ceux qui en font un instrument d’oppression, en niant ce qu’ils révèlent.
Je n’ai donc rien à ajouter à mon précédent commentaire, le désir d’enfant est un désir qui se réalise hétérosexuellement, il serait bien de ne pas faire du désir le fondement d’un Droit qui nierait la physiologie, on fait alors des enfants des objets de satisfaction, plutôt que des sujets libres d’oppression.
@ Serge HIREL | 11 février 2021 à 16:17
« Quant à Christine Lagarde, elle a fait carrière chez McKenzie, cabinet d’avocats d’affaires mondialement réputé, a été ministre du Commerce extérieur et présidente du FMI avant de présider la BCE. De toute évidence, elle n’a aucune compétence économique… Comment se fait-il que vous, groupie de Wikipédia, vous ayez omis de consulter sa fiche avant d’écrire cette ânerie ? »
Sur vos pertinents conseils, j’ai consulté la fiche de Mme Lagarde.
J’en ai conclu
• qu’avoir fait partie d’une équipe de cette natation synchronisée désormais nommée « natation artistique », étant montée sur la 3ème marche du podium lors d’un championnat de France junior l’a conditionnée à la jouer collectif jusqu’au moment de pouvoir prétendre au rôle de capitaine et l’a dotée d’un bon mental ainsi que d’une bonne condition physique. Ayant moi-même pratiqué la natation jusqu’à six heures par semaine étant lycéenne, je sais par expérience que c’est très fatigant et je suis donc très admirative sur ce plan, de Christine Lagarde.
• qu’être entrée à Sciences Po Aix lui a permis de comprendre l’intérêt de disposer d’un bon carnet d’adresses mais il ne semble pas que son cursus à Sciences Po lui ait permis d’en valider le Master.
• que le système des équivalences lui a permis ensuite de valider ensuite deux maîtrises, une en anglais et une en droit des affaires.
• Que grâce à l’AFS, avoir bénéficié d’un séjour linguistique et culturel d’un an dans un établissement secondaire aux USA, lui a donné de bonnes bases en anglais mises à profit par la suite au cours de ses études. Certains de mes élèves de japonais ont également participé à ces programmes AFS sachant que, contrairement aux USA, il n’y a pas pour le Japon de cursus diplômant pour les élèves étrangers. Soit dit pour l’anecdote, la grand-mère de l’une d’entre elles avait été la directrice de l’école primaire que je fréquentais enfant et sa mère la présidente du bureau régional de l’AFS. Et donc, le monde est petit…
• Que grâce au fait que les Américains apprécient les sportifs de haut niveau, elle a pu bénéficier d’un « stage au Capitole en tant qu’assistante parlementaire de William S. Cohen, représentant du Parti républicain du Maine, devenu ensuite secrétaire à la Défense de Bill Clinton. » On va dire que c’est là une meilleure carte de visite pour faire carrière dans un cabinet international d’avocats fondé par des Américains que celle de Carlos Ghosn pour faire carrière au Japon…
• Si vous consultez le site de Baker McKenzie vous observerez que sa spécialité n’est pas d’engager des « Acquittator » mais le renouvellement des pratiques de, je cite, « l’industrie juridique » ! Mme Lagarde, titulaire d’un DESS en droit social y est d’abord entrée en tant qu’avocat du barreau de Paris, dans cette spécialité.
• Que ce n’est pas par le biais de l’économie ni de la bancassurance qu’elle est entrée au gouvernement mais en tant que ministre de l’Agriculture et de la Pêche… « Lors du conseil des ministres de l’Agriculture des 27 États membres de l’UE, elle autorise d’accorder un label européen aux produits biologiques contenant des traces d’OGM à hauteur de 0,9 % » et de ce fait les associations écologistes se sont levées vent debout le temps qu’on la change de ministère.
• Bref, la petite Française sportive, intelligente et déterminée a appris à faire tourner la boutique, ce qui est le premier sens du mot « économie », ce à la sauce américaine dont les méthodes appliquées à notre pays ont produit quelques couacs (OGM, Tapie etc.).
• Son rôle fut fort appréciable dans la gestion de la crise monétaire et financière de 2008, mais ce n’est ni une analyste, ni un(e) chercheur(e) en économie.
En revanche c’est quelqu’un qui semble savoir mettre à profit les opportunités quand il s’en présente (DSK), ce qui est aussi un talent non négligeable mis tout d’abord au service de notre pays et maintenant au service de la BCE, la Banque centrale européenne , principale institution monétaire de l’Union européenne dont les intérêts du directoire ne sont pas nécessairement ceux de la moyenne de la population de notre pays à plus ou moins long terme.
Je vote pour le retour de Zonzon, sortant du chiffre pour retourner à l’esprit du nombre, retrouvant l’espérance qui revivifie la foi !
@ Robert Marchenoir 13 février 2021 à 00:12
En découvrant votre nouvelle prose, mes deux neurones remarquent que vous êtes capable d’écrire un texte court à lire au seul niveau des injures et vous remercient de votre engagement de ne plus les fatiguer.
Ouf !
Ce n’est pas du verlan. Simple marque de soulagement…
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@ Catherine JACOB 13 février 2021 à 10:08
Bref, une « pointure »… Mens sana in corpore sano… Ne serait-ce pas ce qu’il nous faut ?
Ça aurait de la gueule, Lagarde présidente, on enverrait alors Zemmour à la maison s’occuper des enfants, lui rappelant que plus de la moitié de l’humanité n’est pas une minorité, bien que depuis le fond des âges opprimées au foyer, et que le genre du nom France est féminin.
@ Aliocha
« Badaboum ! C’est bien, on avance… »
Oui. On avance: on objective que vous êtes incapable d’avoir une discussion construite sur les homosexuels, la procréation ou la maltraitance sans systématiquement imposer un prisme chrétien sur ces questions relatives à la bioéthique au sens large. Je me permets de vous rappeler que les homosexuels ne sont pas tous chrétiens. Que les gens qui procréent ne sont pas tous chrétiens. Que les gens maltraités ne sont pas tous chrétiens. Le message précédent posait effectivement la question centrale suivante: les intersexués ont-ils le droit d’avoir un discours sur les chirurgies qu’ils subissent qui prenne en compte leurs points de vue sans se voir imposer les cadres moraux dérivant de ceux du corps médical ou du christianisme ?
Votre réponse est sans appel: non.
« …et le silence accueille l’écoulement des écroulements quand l’argument se perd et ne sait plus répondre… »
Je viens de vous répondre. Ne faites pas passer votre fondamentalisme pour de l’ouverture à l’argumentation. Hypocrite, va…
« …alors que la solution est à sa main, tentant de glisser de l’homosexualité, qui n’est pas une pathologie, vers l’intersexualité et le SMPP, qui sont des problématiques divergentes. »
Bwahahahahah ! Ce sont toutes trois des problématiques médicales. Et puisque vous mentionnez l’homosexualité, laissez-moi vous présenter un argument très simple permettant de la classer en maladie: les homosexuels ont un taux de suicide supérieur au reste de la population. C’est bien cet argument essentiel qui permet de classer la schizophrénie (simple) en maladie si on ne souhaite pas avoir recours à des arguments niant la liberté de conscience des schizophrènes. Et là, bizarrement, ce qui serait valable pour la schizophrénie ne le serait plus pour l’homosexualité ?? Quel argument avez-vous pour déclassifier l’homosexualité de maladie en non-maladie ? Des arguments scientifiques et objectifs dont on devrait s’assurer la cohérence avec le reste de la nosographie ? Ou seulement des arguments politiques ?
L’homosexualité a été déclassifiée de maladie mentale à non-maladie non pas sur des arguments scientifiques mais essentiellement politiques. C’est au fond un grand échec de la science dans le domaine de la médecine que de ne pas avoir su imposer un discours construit s’opposant aux dérives inhumaines du corps médical, en cela encouragé par la société. Ce qu’on appelle une discrimination avec implications médicales ayant abouti à de la torture. La question qui devrait se poser, c’est: cette question de dérives se pose-t-elle pour d’autres entités ? D’où mon insistance à vous voir argumenter sur ces thématiques car un argument que vous nous serviriez au sujet de la procréation, de l’intersexualité, de l’homosexualité, du transsexualisme, de la maladie mentale ou du SMpP doit être transposable à chacun de ces cas dès qu’il s’applique. Cela s’appelle la rigueur intellectuelle.
« Restons donc concentré sur le sujet du billet, à savoir le droit à l’existence de minorités qui ont droit à l’existence sans faire de la discrimination dont elles doivent être protégées, la base d’une volonté de domination de la particularité sur la majorité… »
Arrêtez votre délire. Vous nous avez suscité un vaste détour que vous laissez maintenant tomber. Le cas Assa Traoré est critiqué abondamment même par les thuriféraires de la gauche universaliste. Par contre, vous, vous avez tendance à voir des dominations des minorités là où elles n’existent pas. J’insiste donc pour vous le notifier explicitement: sur le transsexualisme en particulier, tant que vous ne traitez pas les points que les transsexuels soulèvent. Et vos propos sur l’homosexualité sont pour le moins critiquables.
« …sans avoir besoin, pour ne pas entendre, de toujours associer la vérité des textes à ceux qui en font un instrument d’oppression, en niant ce qu’ils révèlent. »
Arrêtez votre char… vous nous faites systématiquement le coup du « je ne suis pas un clergé perverti, moi ! Je suis un individu pur ! » Mais je vais vous le répéter jusqu’à ce que vous le compreniez: je ne suis pas un athée trotskiste qui lit tout en terme de domination. Je suis un rationaliste qui a un problème avec le règne de la croyance. Et vous faites parti de ce problème, que vous fassiez partie d’un clergé « perverti » ou pas. Je n’ai même aucun problème, sur le principe, avec l’idée d’un « clergé athée », c’est vous dire… Je suis même pape du clergé discordien.
« Je n’ai donc rien à ajouter à mon précédent commentaire, le désir d’enfant est un désir qui se réalise hétérosexuellement… »
Vous avez affirmé des choses sur les homosexuels assez différentes, avec une formulation qui prête largement à équivoque. Nous n’en avons pas fini…
« …il serait bien de ne pas faire du désir le fondement d’un Droit qui nierait la physiologie… »
Je ne fais ni du désir ni de la physiologie ni de la religion et encore moins de la croyance un fondement du droit. Je ne suis ni un psychanalyste, ni un médecin, ni un religieux. Je suis un anti-fondationaliste.
« …on fait alors des enfants des objets de satisfaction, plutôt que des sujets libres d’oppression. »
Ce n’est pas par vos simagrées juridiques sur les questions homosexuelles que vous réglerez ce qu’on trouve sur r/raisedbynarcissists. Qui est bourré d’histoires avec « un papa et une maman »…
@ Catherine JACOB | 13 février 2021 à 10:28
Christine Lagarde est une valeur sûre.
À la présidentielle de 2022, elle aurait été une adversaire de poids pour Macron dont elle n’aurait fait qu’une bouchée !
Dommage qu’elle se dise trop âgée et absolument pas motivée pour tenter l’expérience.
@ feu JM0001 13 février 2021 à 08 :09
« Nouvelles plaques »… Je vous suggère J6M… Dommage, déjà pris : Jean-Marie Messier Moi-Même Maître du Monde ! Cela vous serait allé comme un gant…
@ Serge HIREL | 13 février 2021 à 11:11
« En découvrant votre nouvelle prose, mes deux neurones remarquent que vous êtes capable d’écrire un texte court à lire au seul niveau des injures et vous remercient de votre engagement de ne plus les fatiguer. »
Ah, mais pas du tout. Je m’engage, bien au contraire, à continuer d’être extrêmement fatigant. Je n’écris pas pour les handicapés.
Et puis quelqu’un qui écrase le tube de dentifrice avec ses rangers quand il a besoin de se laver les dents devrait éviter de parler de longueur.
Donc, si j’ai bien compris, le clergé athée déclare que l’homosexualité est une pathologie.
Tous les clergés se ressemblent, et l’athéisme en sa chasse aux croyances, est donc bien une croyance, qui appuierait son pouvoir sur la dissimulation de ce qui le fonde comme est fondé tout système culturel, le sacrifice et la production de victimes.
Personnellement je suis incroyant, en la violence.
@ Aliocha
« Donc, si j’ai bien compris, le clergé athée déclare que l’homosexualité est une pathologie. »
Non. Vous n’avez rien compris.
Primo: le clergé athée n’existe toujours pas à l’heure actuelle. La chose qui s’en rapproche le plus, à mon sens, dans le monde francophone, c’est l’association belge des athées, qui est un des rares lieux où se déploie publiquement un athéisme argumenté sur des bases philosophiques. En France, soyons clair: il n’y a rien. Ou si peu.
Secundo: mon argument sur l’homosexualité et la maladie n’a pas vocation à être une fatwa, mais bien un argument. Ce qui est différent. Cet argument n’est pas un décret, mais illustre en fait les problèmes de fond que soulève la notion de maladie. Sur le versant scientifique: le concept de maladie est associé à la souffrance, comme en témoignent les taux de suicide des homosexuels. Sur le versant sociétal: le concept de maladie, surtout mentale, justifie la contrainte, l’arbitraire, la détention et la violence au nom d’un bien supérieur: la santé. De manière parfaitement hypocrite comme le montrent les désastres des thérapies de conversion.
En bref: cela illustre des limitations de la pensée médicale – surtout en terme d’éthique et de morale – et non pas scientifique. En l’occurrence l’arbitraire (relatif selon les spécialités) des catégorisations médicales, et le simplisme des thérapeutiques employées, au mépris des notions de consentement et de résultats, tout en se permettant de croire que les taux de suicide supérieurs d’homosexuels justifient l’idée que la solution serait de les rendre hétérosexuels sous la contrainte. Une croyance à abattre. Sans pitié. Comme celle de Dieu.
Ces limitations de la pensée médicale existent toujours bel et bien. Et sous-tendent l’émergence du postmodernisme tant honni lorsque des homosexuels furent contraints de faire des opérations coup de poing dans des réunions de psychiatres, attaquant leur liberté d’association et d’expression au motif qu’ils attaquaient leur liberté de conscience et leur liberté de mouvement parmi tant d’autres. Voilà pourquoi le postmodernisme tant honni, si défaillant et si délirant soit-il, ne peut pas être balayé d’un revers de main… même si j’aimerais bien.
« Tous les clergés se ressemblent… »
Non. Rien de commun entre l’Église catholique et l’association belge des athées. L’une nie la liberté de conscience et déclare le pape infaillible. L’autre affirme la liberté de conscience et défend la science et la rationalité qui ont à leur cœur la reconnaissance de la faillibilité de tout savoir empirique, philosophique ou moral. Absolument rien de commun entre l’absolutisme moral catholique et le réalisme moral empreint de faillibilité d’un athéisme bien structuré mentalement. (Nous n’y sommes pas encore.)
« …et l’athéisme en sa chasse aux croyances… »
La chasse aux croyances de l’athéisme et de la science n’est que la mise en évidence des incohérences des croyances. Par la liberté d’expression. La chasse aux hérésies des religieux est un peu plus brutale et enfreint nettement plus de règles morales… Cela étant, par les temps qui courent, le complotisme fait courir un danger politique de plus en plus affirmé, et il est probable qu’on voie fleurir de la violence à l’encontre des croyances. C’est pourquoi j’affirme la nécessité de les résoudre par le débat, même avec les complotistes ou les salafistes quiétistes. Ceux qui prétendent qu' »on ne parle pas avec les fous » ne sont pas de mon bord. C’est en effet une œuvre de salubrité publique que de démonter les croyances: cela démonte les prétextes des croyants à tuer les mécréants ; et cela démonte aussi les prétextes des autorités à tuer les déviants et dissidents que sont les complotistes. Parce qu’il y a quand même un truc dans ce goût qui monte dans l’air en ce moment, je trouve…
« …est donc bien une croyance, qui appuierait son pouvoir sur la dissimulation de ce qui le fonde comme est fondé tout système culturel, le sacrifice et la production de victimes. »
Badaboum… badaboum… badaboum… votre fondamentalisme girardien revient au galop. Encore et encore… Lodi appréciera que vous déformiez sa théorie ainsi.
« Personnellement je suis incroyant, en la violence. »
Commencez par admettre que la violence est inévitable. Qu’on ne s’en débarrasse pas par une prière, une génuflexion, une manipulation de chapelet, un Ave Maria ou une messe tridentine. Que c’est plus compliqué, et que les simplismes préparent le terreau de la violence. La persécution psychiatrique des homosexuels en est justement un exemple parlant. Et qui n’est toujours pas résolu.
Eh oui, tant d’embrouillaminis contradictoires pour finir par un credo en la violence.
Amen.
@ Aliocha
« Eh oui, tant d’embrouillaminis contradictoires pour finir par un credo en la violence. Amen. »
Ce qui est contradictoire, c’est la réalité actuelle. Si vous avez une définition claire de la notion de maladie qui permette de classifier l’homosexualité en maladie ou non-maladie, faites-moi signe. Je vous rappelle qu’il faut que cela fonctionne correctement à la fois pour l’homosexualité et les schizophrénies. (i.e. les mettre dans les bonnes cases…)
Reconnaître l’inévitabilité de la violence n’est pas si résigner.
« Nos dieux sont morts. Des guerriers klingons les ont découpés en morceaux il y a un millénaire de cela. Ils étaient plus gênants qu’ils n’en valaient la peine. » — Worf, Star Trek.
Amen.
Je cautionne votre citation, F68.10.
Quant à votre tentative supplémentaire de justification embrouillée, je vous répondrai que les homosexuels ne sont pas malades, ils sont discriminés, victimes de ce vice originel de toutes les cultures que vous refusez d’admettre, schizophrénie partagée par une large majorité occidentale qui, et je sens comme une évolution chez vous, si elle ne veut pas reproduire l’inévitabilité de la violence à ne pas confondre avec l’exercice d’une force légitime absolument nécessaire pour l’établissement d’une justice assainie, devra intégrer que le réel se décrit plus religieusement que rationnellement, à l’aide de l’étude rationnelle des textes qui témoignent de cet effort depuis le fond des âges.
Tant que nous n’accèderons pas à ce choix rationnel de nous reconnaitre irrationnels en nos comportements, nous ferons sempiternellement l’erreur de reproduire à votre image la geste nietzschéenne:
« Dieu est mort, c’est nous qui l’avons tué. »
Parole évangélique s’il en est, si, à l’inverse de Nietzsche, on accède au renversement narratif, où, par et dans le pardon, on a alors la capacité raisonnable de mettre à distance d’observation le phénomène qui fonde nos cultures, permettant de pouvoir imaginer s’en désaccoutumer, évitant de reproduire schizophréniquement un fonctionnement de clergé face au débordement d’un clergé abusif qu’il est nécessaire de dénoncer, reproduisant alors inconsciemment ce qu’on dénonce.
C’est exactement ce choix que n’a pas opéré Nietzsche, car c’est un choix et non une injonction à je ne sais trop quelle conversion religieuse, choix dont l’absence le voua à la démence, entraînant le monde moderne à la folie meurtrière du XXe siècle, qu’il serait temps de reconnaître que nous fonctionnons, athée ou non, religieusement, qu’il est possible de décrire alors ce phénomène rationnellement si nous ne voulons pas suivre le génial philosophe sur les chemins de la destruction de notre esprit, pouvant alors imaginer que l’homosexuel a sa place pleine et entière en notre société, comme tout individu qui a été, et je sais à qui je m’adresse en vous disant cela, torturé par les violences discriminatoires, dans la mesure où il admet cette mise à distance qui permet de ne pas répondre à la violence par la violence, devenue alors évitable.
C’est en ce sens, et j’espère que vous saurez ainsi résister à ce qui n’est pas une injonction provocatrice mais une invitation à l’affranchissement de la violence totalitaire, que personnellement j’entends cette phrase de l’esprit extraordinaire qu’incarne Benoît XVI, si on sait l’extraire du contexte clérical d’institutions perverties que, soyez-en certain, je dénonce avec vous :
« La foi est un choix raisonnable ».
@ Aliocha
« Quant à votre tentative supplémentaire de justification embrouillée, je vous répondrai que les homosexuels ne sont pas malades, ils sont discriminés… »
Assez cocasse de me qualifier d’embrouillé quand on se farcit la lecture intégrale de votre prose…
Il n’y a rien d’embrouillé. Il y a une question à laquelle vous ne répondez pas: Qu’est-ce que la maladie ? L’homosexualité en est elle une ? Si oui, pourquoi, et quelles thérapeutiques sont justifiées ou ne le sont pas ?
Vous répondez que l’homosexualité n’en est pas une. Le problème, que je sois d’accord avec vous sur ce point ou pas, est que vous ne proposez aucune justification à votre assertion. D’autres le font:
« Il fut un temps, l’homosexualité était considérée comme un trouble mental. Depuis les années 1970, toutefois, des associations médicales importantes aux États-Unis ont déclaré l’homosexualité comme une contrepartie normale de l’hétérosexualité. Ces associations médicales ont sous-tendu leur affirmation de normalité de l’homosexualité par des « données scientifiques probantes ». Le présent article passe en revue de manière critique ces « données scientifiques probantes » et en conclut qu’une large partie de leur littérature ne permet pas de conclure à la normalité de l’homosexualité. Le présent article suggère qu’au lieu de soutenir cette affirmation par des données scientifiques, la catégorisation de l’homosexualité au sein de la normalité fut arbitraire. » — Robert L. Kinney, III.
Bizarrement, ce Robert a l’air d’être plutôt catholique… ce qui expliquerait peut-être deux ou trois choses. Comme le fait qu’il publie dans le Linacre Quarterly, journal académique et organe de l’association médicale catholique américaine en matière de bioéthique.
Quoi qu’il en soit, les questions de bioéthique de ce style ont un impact majeur sur les libertés publiques, et il n’est pas possible de prétendre, sur la seule base du fait que M. Kinney soit catholique, que cet article ne fait pas partie de la littérature scientifique. Surtout si on prétend que l’autorité que la psychiatrie doit avoir sur les déviants et les homosexuels en particulier dérive du fait qu’elle se base sur la science.
Si vous prétendez que l’homosexualité n’est pas une maladie, vous avez un devoir moral de disséquer son argumentaire, et de déterminer là où il a raison et là où il a tort. Ou alors de donner raison aux postmodernistes quand ils affirment que la science est instrumentalisée par des majorités agissantes telles que les catholiques, ce qui légitime une guerre ouverte contre la science qu’ils mènent tambour battant. Attitude que nombre de gens raillent en parlant de minorités agissantes… victimaires et je sais pas quoi encore…
« C’est en ce sens, et j’espère que vous saurez ainsi résister à ce qui n’est pas une injonction provocatrice mais une invitation à l’affranchissement de la violence totalitaire… »
Vous pensez donc que ce type d’article, c’est encore ma faute, que je suis méchant et pas catholique, manifestement. C’est toujours le même sketch avec les fondamentalistes de votre acabit. D’un côté vos copains pondent des horreurs, et dès qu’on les critique sur le plan scientifique, toujours cette injonction à la conversion. Et entre-temps on tape toujours et encore sur les homosexuels. Jusqu’à ce qu’ils se convertissent et rentrent dans la grande cage aux folles qu’est le Vatican…
Les gens comme vous nous jouent la carte de la science quand cela les arrange. Du genre de vos foutaises perpétuelles sur l’anthropologie « religieuse » qui devrait écraser le reste de la science, et quand on demande de bosser sur un thème précis, l’homosexualité en l’occurrence, et spécifiquement les articles scientifiques en provenance du monde catholique, subitement, rien… Ou alors nous faire le coup de « je ne suis pas un clergé perverti, moi ! ». Toujours pareil. Une bande de faux-culs pas fichus de récuser la persécution psychiatrique ses homosexuels en argumentant pied à pied sur les données scientifiques. Et qualifiant de minorités agissantes et victimaires ceux qui font le boulot. Beurk.
Et après on s’étonne qu’un Geoffroy de Lagasnerie monte des attaques perpétuelles sur la droite, la science, la vérité, la liberté d’expression et la notion même de débat… Rien d’étonnant, malheureusement.
@ F68.10
Beurk n’est pas un argument, comme ne l’est pas plus de vouloir à tout prix m’associer à je ne sais trop quelle sommité catho, ce que vous faites depuis un an et demi, pour nous démontrer que, comme tout le monde, vous fonctionnez religieusement.
Vous aurez beau vous agiter dans tous les sens, vous n’arrivez qu’à vous associer à ceux que vous dénoncez pour tenter de démontrer que j’ai tort, usant de l’homosexuel à vos fins douteuses, qui sont de justifier votre propre violence.
Restez donc en votre cour d’école infantilisante, fût-elle normale et supérieure, vous permettrez que je ne baise pas l’anneau de votre papauté symétrique qui ne sait plus que traiter les homos de malade pour asseoir un pouvoir depuis deux mille ans abattu.
Bon exorcisme, prélat de mauvaise foi.
https://www.youtube.com/watch?v=NJtYOs31lyQ
@ Aliocha
« Beurk n’est pas un argument… »
Effectivement. Ce n’est pas un argument: c’est une conclusion.
« …comme ne l’est pas plus de vouloir à tout prix m’associer à je ne sais trop quelle sommité catho, ce que vous faites depuis un an et demi, pour nous démontrer que, comme tout le monde, vous fonctionnez religieusement. »
Le problème de fond est celui-là:
« La toile de fond est connue: l’opposition séculaire du Vatican à toutes les formes, mécaniques et thérapeutiques, ayant pour but (ou pour conséquence) une dissociation de la sexualité et de la procréation humaines. » — Jean-Yves Nau, Revue Médicale Suisse.
Et voici maintenant vos propos:
« …le désir d’enfant est un désir qui se réalise hétérosexuellement, il serait bien de ne pas faire du désir le fondement d’un Droit qui nierait la physiologie… » — Aliocha, 13 février.
« …leur condition d’inverti, qui a sa place dans la société, comme le faux bourdon dans la nature a une fonction de pollinisation. » — Aliocha, 12 février.
« …vous ne pouvez justifier l’injustifiable à séparer ainsi la sexualité de la reproduction… » — Aliocha, 11 février.
« La fécondation physiologique est la rencontre d’un gamète mâle et d’un gamète femelle, il semblerait que cela soit le cas aussi pour les lesbiennes, le désir d’enfant est donc en ce sens un désir hétérosexuel. » — Aliocha, 11 février
« …d’engrosser les lesbiennes plutôt que de leur apprendre à reconnaître leur désir hétéro… » — Aliocha, 10 février
Voilà donc chacune des citations où vous établissez explicitement ou implicitement un lien moral entre procréation et sexualité et où vous récusez que la bioéthique diverge du postulat procréation = sexualité.
C’est exactement la position du Vatican. Vous aurez beau l’amadouer et vous faire passer pour un doux, il est limpide que, dans votre tête, procréation = sexualité.
« Vous aurez beau vous agiter dans tous les sens, vous n’arrivez qu’à vous associer à ceux que vous dénoncez pour tenter de démontrer que j’ai tort, usant de l’homosexuel à vos fins douteuses, qui sont de justifier votre propre violence. »
J’utilise l’homosexualité à la fin suivante: vous faire réfléchir sur les fondamentaux de la bioéthique. Pour l’instant, vous en êtes à la position catholique « procréation = sexualité » et vous n’en déviez pas. Je vais donc continuer à vous cuisiner sur les fondamentaux de la bioéthique.
« Restez donc en votre cour d’école infantilisante, fût-elle normale et supérieure, vous permettrez que je ne baise pas l’anneau de votre papauté symétrique qui ne sait plus que traiter les homos de malade pour asseoir un pouvoir depuis deux mille ans abattu. Bon exorcisme, prélat de mauvaise foi. »
Je n’ai pas affirmé que l’homosexualité était une maladie. J’ai exposé des failles méthodologiques dans ce débat et montré noir sur blanc que le catholicisme n’a pas renoncé à faire de l’homosexualité une maladie mentale.
Et j’ai utilisé ce thème pour tenter de vous inculquer quelques bases de bioéthique. C’est un devoir moral de tout un chacun que de comprendre comment réfléchir sur la bioéthique. Et sur ce point, il importe donc de poser la question aux Français: « vous alignez-vous avec l’Eglise catholique en matière de bioéthique ? »
Question qui concerne l’euthanasie, la fin de vie, l’acharnement thérapeutique, le refus de thérapeutiques géniques, toute la psychiatrie sur absolument tous les domaines, toutes les questions de droit des minorités en matière médicale et pas seulement les homosexuels, et la question du paternalisme et du misérabilisme en médecine.
Sans parler du délire anti-victimaire de l’Église, puisque constater qu’on est une victime – ce qui a un impact en psychiatrie… – c’est se prendre pour le Christ et donc pour Dieu… Vous n’êtes pas le premier qui me l’ait sortie, cette idiotie qui relève de la déjection mentale. Mais vous êtes le premier à avoir le culot de l’écrire noir sur blanc toute honte bue.
Et constatons que ces questions vous touchent tellement les fils que vous êtes incapable de rentrer dans ce débat en débattant point à point et pied à pied.
F68.10 veut tellement me faire passer pour un intégriste catho qu’il va jusqu’à prétendre que l’union de deux gamètes de sexe identique pourrait être féconde.
Jusqu’où s’arrêtera-t-il pour justifier sa violence ?
Non seulement prélat, mais sépulcre blanchi.
@ Aliocha
« F68.10 veut tellement me faire passer pour un intégriste catho qu’il va jusqu’à prétendre que l’union de deux gamètes de sexe identique pourrait être féconde. »
Ah bon ? Et où ai-je écrit cela, je vous prie ? Quel commentaire aurais-je écrit qui contiendrait de si subtiles propos de ma part contraires à toutes les données scientifiques à ce sujet ? (Au détail près qu’on arrive quand même à obtenir des embryons sans utiliser d’ovules ni de spermatozoïdes…)
Mais non, je n’ai jamais écrit cela. C’est le seul fait que je précise que votre position soit procréation = sexualité, soit précisément celle du Vatican (duquel vous cherchez perpétuellement à vous distancer tout en vous y collant à qui mieux mieux) qui vous pousse à m’accuser de nier les données scientifiques, ce que je ne fais pas.
C’est marrant, cette question de la science, hein… marrant de voir comment vous l’instrumentalisez. Vous n’êtes pas le seul, rassurez-vous: il y a une épidémie, de nos jours, de gens qui l’instrumentalisent.
Alors, Aliocha: acceptez-vous que votre position soit procréation = sexualité ? Soit exactement celle du Vatican ? Ou vous en distanciez-vous-en ? Oui ou non ?
Ce serait sympathique que vous nous fournissiez une réponse claire: cela nous permettrait d’avancer sur un tel sujet de bioéthique.
Sinon, vous ne nous faites que de l’enfumage…
Nous ne parlons pas du sexe des anges, la fécondation est la rencontre de deux gamètes de sexes opposés, elle est donc hétérosexuelle, j’ai déjà répondu plusieurs fois, mais tant que je ne m’alignerai pas sur une Eglise, athée ou pas, F68.10 ne sera pas satisfait.
Depuis la contraception, la sexualité est séparée de la procréation, mais cette question n’est dans le sujet que pour satisfaire le désir de fatwa à mon endroit de notre préopinant.
Il nous démontre, ce que j’avais perçu dès l’origine de la buse, son cléricalisme exacerbé, revendiquant l’établissement d’un clergé athée.
Il m’accorde donc cette victoire qui n’est pas mince, en avouant, ce que je m’échine à démontrer depuis trop longtemps, son fonctionnement religieux.
Je suis assez content de la démonstration.
@ Aliocha
« Nous ne parlons pas du sexe des anges, la fécondation est la rencontre de deux gamètes de sexes opposés, elle est donc hétérosexuelle… »
Ouaip. On ne parle pas du sexe des anges, mais manifestement de celui des gamètes. Quand vous serez confortable pour parler de la sexualité des personnes plutôt que celle des gamètes – ce qui est un concept différent… – vous me faites signe, hein ?
« …j’ai déjà répondu plusieurs fois, mais tant que je ne m’alignerai pas sur une Eglise, athée ou pas, F68.10 ne sera pas satisfait. »
Ah non ! Je souhaite simplement que vous m’expliquiez si vous vous alignez sur une Eglise, théiste ou pas, et, dans le cas où vous ne vous y alignez pas, que vous m’expliquiez pourquoi.
« Depuis la contraception, la sexualité est séparée de la procréation, mais cette question n’est dans le sujet que pour satisfaire le désir de fatwa à mon endroit de notre préopinant. »
Parce que les homosexuels n’existaient pas avant la pilule ?
« Il nous démontre, ce que j’avais perçu dès l’origine de la buse, son cléricalisme exacerbé… »
Je ne comprends toujours pas ce que vous avez pour ou contre les clercs. Le « Clergé » est ce qui désigne les différentes institutions d’une religion. Je n’ai rien contre la liberté d’association, encore moins quand elle a pour but de réfléchir à la science, et encore moins quand elle a pour but de réfléchir à la morale (partie intégrante, pour moi, du domaine scientifique). Je n’ai donc rien contre des structures intellectuelles athées ou « humanistes » montantes comme la Giordano Bruno Stiftung, avec 10 000 membres associés:
« Le but de la fondation est de développer des alternatives aux religions traditionnelles sur des bases viables, humanistes, rationnelles et basées sur des données probantes et leur permettre de prendre racine dans la société. Cet objectif se fonde sur le constat que nous ne pouvons pas faire face aux défis complexes du 21ème siècle en nous basant sur les paradigmes religieux du passé. » — Giordano Bruno Stiftung.
Si vous appelez cela un clergé, je n’ai absolument rien contre.
« …revendiquant l’établissement d’un clergé athée. »
Quel est le problème avec la liberté d’association, d’expression et de réflexion des athées ??
« Il m’accorde donc cette victoire qui n’est pas mince, en avouant, ce que je m’échine à démontrer depuis trop longtemps, son fonctionnement religieux. »
Je n’ai jamais nié que les questions morales faisaient l’objet d’un conflit intellectuel entre athées et religieux et qu’il importait de l’assumer. Je le dis même depuis le tout début de nos interactions en mentionnant Sam Harris. C’est vous qui n’écoutez pas.
« Je suis assez content de la démonstration. »
Vous n’avez pas encore démontré que la Giordano Bruno Stiftung veut brûler les religieux ou même simplement nier leur liberté de conscience… Quant aux religieux… un peu quand même.
@ F68.10
Mais les gens se comportent sexuellement exactement comme ils le désirent entre adultes consentants, je n’ai pas vos a priori sur le sujet, je dénonce le fait de faire de l’enfant un objet plutôt qu’un sujet, ce que partagent homos et hétéros, qui se rejoignent ainsi dans leur incapacité à savoir éduquer les petits à devenir libres et responsables, ne sachant leur proposer que le désir comme fondement du droit, leur dissimulant quel ressort est le fondement de la cohésion de tout groupe humain, pour mieux exercer sur eux un pouvoir de clerc mensonger, qui n’organise son discours que pour mieux justifier sa tendance dominatrice, fermant œil et oreille pour continuer à vénérer cette fausse transcendance, appliquer les violences de ses rituels d’expiation, reproduire les humiliations dictées par les jalousies d’un ressentiment irrésolu.
Continuez donc à exciser les textes comme les virtuoses du bistouri mutilent les martyrs, vous ne savez que reproduire ce que vous dénoncez à défaut de savoir apaiser votre cœur, maîtriser la monture de vos émotions pour l’offrir alors comme véhicule des idées qui, sinon, vont se perdre au fossé de la violence que vous revendiquez, démontrant que, ne reconnaissant pas vos croyances, vous en êtes la première victime à défaut de pardonner.
Mais continuez à tenter de m’humilier, je vous remercie d’alors démontrer à chaque soubresaut tout ce que je défends, et qui n’est que notre commune humanité.
@ Aliocha
« Mais continuez à tenter de m’humilier, je vous remercie d’alors démontrer à chaque soubresaut tout ce que je défends, et qui n’est que notre commune humanité. »
Votre invitation au débat argumenté est difficilement refusable. Ce ne sont que vos propres arguments qui vous humilient intellectuellement, Aliocha. Pas moi.
« Mais les gens se comportent sexuellement exactement comme ils le désirent entre adultes consentants, je n’ai pas vos a priori sur le sujet… »
Je ne vois pas de quels a priori vous voulez parler.
« …je dénonce le fait de faire de l’enfant un objet plutôt qu’un sujet, ce que partagent homos et hétéros, qui se rejoignent ainsi dans leur incapacité à savoir éduquer les petits à devenir libres et responsables, [badaboum… badaboum… badaboum…] »
Heureusement que la question initiale était celle des transitions de sexe des transsexuels, et que vous ramenez toujours le sujet, non pas sur les transitions de sexe, mais encore et toujours sur le mariage homo et ses succédanés… Nulle politisation militante catholique dans ce débat argumenté de haut vol, n’est-ce pas, Aliocha…
« Continuez donc à exciser les textes comme les virtuoses du bistouri mutilent les martyrs… »
Tiens ! C’est marrant ! Maintenant pour débattre et argumenter avec autrui, il est interdit de citer les propos d’autrui ! Vous êtes un inénarrable sketch, Aliocha: on « excise les textes » simplement parce qu’on prend les arguments d’autrui – si on peut appeler cela des arguments – au sérieux. C’est une marque de respect. Que vous n’avez pas.
« …vous ne savez que reproduire ce que vous dénoncez… »
Badaboum… badaboum… badaboum…
Chaque fois que je parle de pardon, F68 tombe de sa chaise, la logique des équations qui ne savent répondre à la violence que par la violence, je présume. Voilà tant de temps que je réponds à ses interrogatoires, il n’écoute jamais la réponse, et conclut: je vous l’avais bien dit, Aliocha est catholique !
Ah la la, les curés, tous les mêmes…
@ Aliocha
« Chaque fois que je parle de pardon, F68 tombe de sa chaise, la logique des équations qui ne savent répondre à la violence que par la violence, je présume. »
Aucune équation ne vous a cogné, Aliocha…
« Voilà tant de temps que je réponds à ses interrogatoires, il n’écoute jamais la réponse, et conclut: je vous l’avais bien dit, Aliocha est catholique ! Ah la la, les curés, tous les mêmes… »
Vous avez tout à fait le droit d’être catholique. Là n’est pas le problème. Mon problème est que si je veux discuter de vos thèses, je dois les identifier. Et donc comprendre en quoi vous récusez le postulat sexualité = procréation ou pas. Pour l’instant, le caractère ampoulé et flou de votre discours empêche l’identification précise de vos thèses de fond sur l’homosexualité et le transsexualisme.
Le jour où vous m’expliquerez en quoi vous vous distanciez ou pas du postulat sexualité = procréation, nous aurons probablement une discussion plus constructive. En attendant, il faut se résoudre à constater que vous avez un discours à peine plus construit que n’en aurait une chaise.
@ F68.10
Il faudrait encore pouvoir s’en lever, de la chaise, pour pouvoir la décrire, et non en tomber, s’abîmant aux vases des références multiples et complexes qui permettent sans fin de justifier ce qui n’est plus justifiable, l’ordre clérical cruel et mensonger qui emprisonne ceux qui n’accèdent pas au changement de référentiel radical qui ouvre la réalité.
Relisez-moi, vous comprendrez que non seulement j’ai répondu à vos interrogations obsédées, mais que je partage ce qui permet une description simple de la réalité, à laquelle vous êtes l’invité bienvenu :
« Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez! 24 En effet, je vous le dis, beaucoup de prophètes et de rois ont désiré voir ce que vous voyez et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez et ne l’ont pas entendu. »
Tant que vous ne vous serez pas habitué à voir cela, vous continuerez à parler en grammaire violente, faisant de votre remarquable treillis l’étoffe qui vous étouffe :
« J’espère que nous voyons avec quelle richesse Girard nous prépare à cette période de vigilance de l’avent. Car l’ascétisme réel qui est suggéré est un ascétisme du sens. En tant qu’êtres humains, nous tendons désespérément vers le sens. Nous voterons contre nos intérêts, donnerons un statut divin aux charlatans, sacrifierons le bien-être des autres, dépenserons de folles sommes d’argent, n’importe quoi pour trouver un sens, ou pour nous agripper à un sens, ne pas subir la perte de toute signe suggérant que nous sommes « spéciaux », que nous valons quelque chose, pas comme eux, qui que ces « eux » puissent être. Quiconque conteste ou menace nos mythes de fondation nationale, d’appartenance raciale ou de signification sexospécifique sera considéré comme un ennemi. Et c’est un processus très frustrant d’assister à la perte de nos mythes nationaux – notre identité et notre appartenance – à la perte de notre différence raciale, de nos rôles liés au genre. Ou plutôt que de perte, c’est de lâcher prise qu’il s’agit. Car c’est ce que le mot grec que nous traduisons habituellement comme « pardon » signifie, littéralement : lâcher prise. Alors, qu’est-ce que c’est, maintenant, que de ne pas se laisser distraire en combattant pour ou contre de telles choses ? Se soumettre, dans un monde où la cacophonie du cataclysme est plus forte que jamais et où le sens est combattu avec une violence de plus en plus visible, à un genre d’apprentissage qui nous prépare à accueillir en tant qu’invité bienvenu celui contre lequel nous pourrions sinon nous protéger comme si c’était un voleur dans la nuit ? C’est l’ascétisme d’apprendre à ne pas prendre trop au sérieux quelque identité que ce soit agrippée contre une autre, et à subir le silence, la perte de sens, la chute jusqu’à nous retrouver porté par un nom écrit dans le ciel. »
http://jamesalison.com/fr/girard-livre-de-lapocalypse/
Vous êtes évidemment libre de refuser l’invitation, comme je le suis aussi de remarquer qu’alors vous n’êtes que le mime de ce que vous dénoncez, je vous remercie de nous le démontrer.
Match de fond de court entre F68.10 et Aliocha.
Ça me rappelle les échanges interminables entre Ivan Lendl et Björn Borg à Roland-Garros dans les années 70… 🙂
Dormez, Achille, on pense pour vous.
Bise à F68.
@ Achille
« Match de fond de court entre F68.10 et Aliocha. Ça me rappelle les échanges interminables entre Ivan Lendl et Björn Borg à Roland-Garros dans les années 70… 🙂 »
Oui. C’est extrêmement pénible. J’attends qu’on passe à un sport plus extrême. Comme du base-jumping.
Mais quand Aliocha nous écrit cela…
« Relisez-moi, vous comprendrez que non seulement j’ai répondu à vos interrogations obsédées… » — Aliocha
Il faut lui répondre: non, c’est faux.
Et comme il se sent très vite persécuté, on doit prendre de multiples précautions: on lifte en doigté ; on slice; on amortit… bref. Quand on est en fond de court, la seule façon d’affronter Aliocha, c’est de toujours lui mettre la balle dans les pieds.
Girard, Girard, encore et toujours Girard. Même quand on lui donne des références où Girard se niche à pas plus de liens hypertextuels de distance, il sort son bréviaire en citant James Alison (qui n’est pas le moins religieux des girardiens, soit dit en passant…).