Ainsi on peut frapper Robert Ménard impunément !

Le samedi 5 mai dans l’après-midi à Saint-André-de-Cubzac (Gironde), le maire de Béziers Robert Ménard a été victime de violences de la part de dizaines de « manifestants antifas » alors qu’il avait été invité à s’exprimer dans une réunion de militants de divers partis de droite.

Insulté, empoigné, bousculé, il a été projeté au sol après avoir été frappé notamment par un coup derrière la tête. Il a dû subir cette agression – ayant entraîné 4 jours d’ITT – dans l’indifférence générale et la coupable lâcheté de ceux qui en ont été les témoins.

Mais j’oubliais : bien sûr il ne s’agissait que de Robert Ménard. Et avec lui tout est permis…

Plusieurs élus locaux présents n’ont pas bronché face à ce scandale. Pour l’abstention à tous points de vue, peut-être ? La non assistance à personne en danger ne leur serait pas applicable ?

Mais j’oubliais : Robert Ménard est plébiscité par les Bitterois comme un excellent maire et il est intolérable que cette réalité batte en brèche les faux procès qui lui sont intentés par des médias qui préfèrent s’indigner et le vitupérer qu’aller voir de plus près.

De vives protestations de la part du Parti socialiste, de LREM, du MoDem, d’EELV et de LFI s’étaient élevées contre sa venue, chauffant à blanc la bande de ceux qui ne rêvaient que de frapper Robert Ménard.

Mais j’oubliais : Robert Ménard est favorable à l’union des droites et c’est un crime.

Message sur Facebook d’une conseillère municipale à Saint-André-de-Cubzac : « Ménard a chuté à Saint André de Cubzac… Je suis pour les mouvements pacifistes, mais je dois avouer que le voir manger de la pierre cubzaguaise, c’est pas déplaisant! « . Dans notre démocratie, on peut lire ça !

Un tweet commun au MoDem et à LREM – lamentable alliance – annonçant un communiqué contre la venue de Robert Ménard en Gironde puisque « les Cubzaguais et le Nord Gironde ne méritaient que leurs partis mais pas « démagogie, haine et dirigeants réactionnaires », délirait en incriminant « des campagnes visuelles odieuses à la création d’une milice jusqu’aux recensements ethniques : ceci n’a pas sa place chez nous ! ». Robert Ménard est donc interdit de séjour dans son propre pays !

Mais j’oubliais : pourquoi se gêner puisqu’il s’agit d’une personnalité malfaisante qui n’a le droit d’être française, et encore, qu’à Béziers !

Les forces de gendarmerie présentes près de l’agression, pourtant prévenues de l’arrivée de Ménard par deux appels téléphoniques, ne se sont pas interposées.

Mais j’oubliais : Ménard est certes un élu mais pas de la bonne République, celle qui a la chance de voir les gendarmes se mobiliser pour elle !

Image-2

La Préfecture de Gironde a été alertée sur cette passivité étonnante puisque les organisateurs de la réunion avaient, semble-t-il, tout préparé en concertation avec elle et la sous-préfecture de Blaye, afin de prévenir trouble, désordre ou violence. Le sous-préfet, Ponce Pilate supérieur, informé de l’agression maintenait que tout s’était déroulé normalement et se dégageait de toute responsabilité.

Ce serait risible, tellement typique des dysfonctionnements français où personne n’est jamais responsable ni coupable, si derrière cet épisode indigne n’était pas révélé un deux poids deux mesures mortel pour notre démocratie. En l’occurrence au détriment de Robert Ménard mais plus général, des exemples récents nous l’ont montré.

Ce n’est pas la première fois qu’une personnalité politique est agressée mais je n’ai pas le souvenir d’une telle violence dans l’action et d’un tel contentement de soi collectif dans l’appréhension de l’événement. Qu’il s’agisse de Jean-Marie Le Pen face à Annette Peulvast-Bergeal, maire PS de Mantes-la-Ville, qu’il s’agisse de l’élu normand Vincent Debraize s’en étant pris honteusement à Nathalie Kosciusko-Morizet et justement condamné, qu’il s’agisse de l’auteur de l’entartage d’Eric Coquerel – dont j’ai seulement regretté qu’il le judiciarise, lui, l’insoumis -, les réactions ont été vives et nul ne s’est avisé de minimiser ce qui s’était produit.

Mais j’oubliais : le 5 mai, Robert Ménard était la victime et l’idéologie imposait que surtout personne ne vînt à son secours au propre et au figuré.

C’est une sale et médiocre affaire. Le tabassage d’un élu tout seul par des énergumènes fiers d’eux. Et le silence.

Les médias, comme il ne s’agissait que de lui, ont effleuré ce scandale du bout de l’information durant plusieurs jours. Il fallait avoir du temps à perdre pour lire tout en bas d’une page du Monde la mention étique d’une « brève bousculade ». Comme c’est joliment et élégamment exprimé !

Robert Ménard est impulsif, parfois outrancier, obsédé par la liberté d’expression, enthousiaste, agaçant, stimulant ou déplaisant mais au grand jamais il n’a frappé un contradicteur ou même lancé un verre d’eau à son visage – comme l’avait fait petitement Arno Karsfeld. Ses armes de persuasion et d’argumentation ont toujours été celles d’une République honorable.

Qu’on soit dans un monde où on s’autorise à frapper qui n’est pas d’accord avec vous – et qui n’aurait pas le droit de venir dans une région de France pour y débattre – est affligeant. Et la sordide satisfaction qui a suivi, honteuse.

L’épouse de Robert Ménard a écrit à Gérard Collomb et sa lettre a été publiée, qui a enfin suscité un intérêt médiatique.

Le ministre de l’Intérieur, qui est un homme honnête et a toujours su mettre les principes au-dessus de ses antipathies, a toute latitude encore pour réagir. Il n’est pas trop tard. On a vu des sanctions pour bien moins que ces violences permises et facilitées.

Je risquais d’oublier : Robert Ménard est un ami. Cela ne m’a jamais empêché de critiquer telle ou telle de ses foucades ou de ses provocations. Dans sa riche nature, tout n’est pas à garder. Mais je suis scandalisé d’avoir dû choisir ce titre « Ainsi on peut frapper Robert Ménard impunément ! » et accablé de le savoir vrai.

A Saint-André-de-Cubzac. En France.

Article précédent

Mourir à Strasbourg, s'indigner en France !

Article suivant

Je ne sais pas mais il faudrait !

Voir les Commentaires (77)
  1. Marc GHINSBERG

    Triples crétins
    Crétins ceux qui ont agressé Robert Ménard car ce type de comportement, dans une démocratie, à l’égard de qui que ce soit, est inadmissible, intolérable, condamnable, ils n’ont aucune excuse. Condamnables aussi ceux qui n’ont pas porté secours au maire de Béziers, voire qui se sont réjouis de le voir bousculé, mis à terre.
    Crétins ceux qui ont agressé Robert Ménard et qui, de ce fait, en font une victime. Celui qui a mené une campagne ignoble contre la propriétaire des Galeries Lafayette de Béziers par voie d’affiches, celui qui fait des montages photos indignes pour dénoncer « l’invasion » des étrangers peut aujourd’hui se présenter comme un martyr. Dès le lendemain de cette agression Robert Ménard était sur toutes les ondes pour se scandaliser, à juste titre, de l’accueil qu’on lui avait réservé.
    Crétins ceux qui ont agressé Robert Ménard et qui fournissent à leurs adversaires politiques l’occasion de s’indigner que la « bonne République » ne s’indigne pas davantage. Je vois d’ici fleurir les commentaires amalgamant les gauchistes, les socialistes, les centristes, la prétendue droite qui refuse l’alliance avec le FN, les élites, les francs-maçons, les immigrés, à ces sombres crétins.
    Triples crétins ceux qui ont agressé Robert Ménard, qui n’est pas mon ami, mais dont je prends aujourd’hui la défense.

  2. Ménard se fait tabasser par tous les soi-disant tenants des « valeurs républicaines », de façon active pour les plus extrêmes et de façon passive pour les centristes qui comme toujours attendent la 25e heure pour décider quoi faire selon leur intérêt personnel de gamellard perpétuels, tout ça évidemment dans la quasi-indifférence de la médiacratie française mais quand quelques jours plus tard Coquerel, député de LFI, va encourager le blocage des examens à Arcueil, qu’il provoque les CRS, se prend un coup de lacrymo dans la tronche pour faire ensuite sa pleureuse sur les réseaux sociaux (OH MON DIEU ! JE SUIS AVEUGLE !… Continue sans moi Johnny, laisse-moi là, sauve ta peau…), là c’est le sujet du jour sur toutes les chaînes infos et l’escroc républicain a droit à son quart d’heure sur BFMTV entre autre chez Elkrief ou un autre, c’est tous les mêmes, pour dire qu’évidemment les CRS sont des SS.
    Elle est belle la démocratie française…
    Vu que j’ai eu tendance dernièrement à attaquer systématiquement M.Bilger pour son idolâtrie macroniste, vous voyez, c’est plus fort que moi, je le félicite de parler de cette affaire, de défendre Robert Ménard et d’en être scandalisé.
    Ils sont tellement peu que ça mérite d’être apprécié.

  3. « Dans notre démocratie, on peut lire ça ! »
    Quel est le rapport avec la démocratie ?
    Puisqu’elle ne porte pas sur la lecture, mais sur le droit de vote !
    Quel est le rapport entre droit de vote et lecture de Twitter ?
    Vous oubliez juste d’indiquer que si personne n’a bougé, c’est y compris les membres de son parti et de la droite. Quand vous dites : personne n’a bougé, c’est bel et bien personne !
    La particularité de Robert Ménard, c’est d’aimer la haine et de l’organiser.
    Il est d’autant plus amusant que vous soyez surpris qu’elle lui revienne à la figure.
    Ne serait-ce point ce fameux adage, qui sème le vent…
    Il est tout de même intrigant de voir que ceux qui exultent la haine, s’y complaisent, la chérissent, se troublent dès lors qu’elle frappe à leur porte, comme si la haine était leur privilège, un truc bien à eux, leur acquis social.
    Selon vous les forces de gendarmerie ne se sont pas interposées.
    Auriez-vous des preuves qu’ils ont vu ce qui se passait ?
    Auriez-vous entendu la gendarmerie, l’auriez-vous sollicitée avant d’affirmer ?
    Avec votre billet avez-vous conscience d’avoir atteint le niveau d’Alain Soral, de son véritable nom Bonnet ?
    Vous êtes à deux doigts de nous parler d’un complot intergalactique d’une juiverie mondiale alliée aux Illuminati et à Élizabeth Teissier.
    «…je n’ai pas le souvenir d’une telle violence dans l’action et d’un tel contentement de soi collectif dans la l’appréhension de l’événement. »
    Hé bé, il a la mémoire courte le monsieur !
    – Bertrand Delanoë poignardé.
    – Pierre Schapira poignardé.
    – Philippe Douste-Blazy poignardé.
    – Yann Piat exécutée.
    – Claude Érignac exécuté.
    – Laurianne Rossi battue à coups de poing.
    – Léon Blum déporté !
    Etc.
    « Ainsi on peut frapper Robert Ménard impunément ! »
    Et ça, c’est un mensonge !
    C’est pas beau de mentir honorable honoraire !
    Impunément : http://www.cnrtl.fr/definition/impun%C3%A9ment
    Ainsi, la justice aurait félicité les agresseurs ?!
    Pas beau de mentir !
    Et dire que j’étais à trois doigts, après vos deux d’en haut, de vous demander en mariage !
    Déçu, déçu, déçu, tu me fends le coeur !

  4. Robert Marchenoir

    Les agressions de ce type sont monnaie courante depuis des années contre les réunions du Front national. L’attaque de Robert Ménard n’en est que la continuation.
    Dans un autre registre, je rappelle cette anecdote que j’ai déjà, je crois, signalée ici : lors de la millionième « action militante » de viticulteurs du Midi, consistant à bloquer et vider de son contenu un camion de vin espagnol, la gendarmerie assistait passivement à ce délit. Seul, parmi les journalistes présents, un correspondant britannique s’est avancé vers le commandant du groupe, en lui demandant : vous allez intervenir, n’est-ce pas ? vous allez mettre fin à cette action illégale menée en bande organisée ? Et le gendarme lui répondit : bien sûr que non !
    En France, il y a les catégories protégées, et les autres. La loi n’est pas la même pour tous.

  5. Bourguignon

    « Je risquais d’oublier : Robert Ménard est un ami. »
    On choisit ses amis pas sa famille.
    Mais on peut se tromper dans ses choix ; la preuve !

  6. @ Robert Marchenoir | 13 mai 2018 à 01:44
    « La loi n’est pas la même pour tous. »
    Auriez-vous une preuve ?
    La loi ici : https://www.legifrance.gouv.fr/initRechCodeArticle.do
    Un article qui affirme que la loi n’est pas la même pour tous ?!
    Il est où cet article ?!
    Mais qu’est-ce que c’est que ce ramassis d’imbécillités ?!
    En quoi la loi est-elle concernée par l’acte d’agression ?
    En quoi la loi ne pourrait pas s’appliquer à cet acte d’agression ?
    La justice s’est-elle prononcée sur l’affaire ? NON !
    Alors qu’est-ce que vous la ramenez ?!
    Tout ça parce que l’honorable honoraire écrit un billet d’humeur sur son poteau son frérot, qu’il n’est que dans l’émotion et pas la raison, qu’il parle alors qu’il n’était même pas sur les lieux et n’a recueilli aucun témoignage si ce n’est de son doudou.
    Ce ne sont ni la sous-préfecture, ni la gendarmerie, ni la justice, ni la lecture, pas plus la démocratie qui ont tapé sur la figure de l’individu.
    Sachez au moins vous tenir tous les deux !

  7. Dans une société où la règle est la langue de bois, le déni, le mensonge officiel puisqu’il faut l’appeler par son nom, celui qui dit la vérité doit être exécuté, comme le dit Guy Béart :
    https://www.youtube.com/watch?v=jA3hNz5KQ34
    Il n’y a rien de pire pour des affabulateurs, des utopistes, des idéologues que d’être confrontés à la vérité, même partielle.
    Robert Ménard ne détient pas la vérité absolue, mais cette parcelle de vérité qu’il détient et qu’il livre sur beaucoup de sujets et en particulier sur celui de l’union des droites, la seule capable de stopper la marche vers la disparition de ce que nous sommes, comme peuple, comme nation ayant une histoire, cette parcelle de vérité est insupportable.
    Les pires pouvoirs sont ceux qui commencent par définir le Bien, continuent en prétendant être le Bien, finissent par oublier le Bien considérant qu’ils sont le Mieux, lequel est l’ennemi du Bien comme tout le monde le sait, sauf ceux qui ne veulent rien savoir de la Vérité.

  8. Bonjour,
    On peut penser ce que l’on veut de Robert Ménard, mais rien ne saurait justifier cette agression. La France est un pays démocratique et, à ce titre, respectueux des opinions de chacun dans la mesure où elles ne sont pas contraires à la morale publique.
    En aucun cas les divergences d’opinion ne doivent se traduire par des actes de violence physique.
    A noter que ces agressions sont le fait de militants d’extrême gauche qui sont coutumiers du fait, même si les militants d’extrême droite sont loin d’être irréprochables dans ce domaine et donc mal placés pour donner des leçons de bonne conduite.
    Les élus de partis représentés à l’Assemblée nationale qui se sont réjouis de cette agression sont des imbéciles et devraient être démis de leur mandat car ils en sont indignes.
    Il serait temps que les militants, quel que soit le parti qu’ils représentent, arrêtent de se comporter comme les supporters hystériques de certains grands clubs de football.
    La politique exige des valeurs morales que certains élus ont tendance à oublier.

  9. Ménard est un patriote, son discours est déformé et caricaturé parce qu’il gêne la Nomenklatura intelligentsia des intellos bobos gauchislamistes à la solde du pouvoir collabo.
    Alors, les problèmes dus au communautarisme à Béziers ou ailleurs : délinquance, délits, crimes, il faudrait les cacher sous le tapis ?
    Ces fachogauchistes immigrationnistes montrent encore une fois leur sale trogne, leur intolérance, leur haine et aussi leur bêtise chronique.
    Bravo à M. Ménard, un des derniers patriotes résistant à la charia officielle pro-islamiste.

  10. M’enfin….
    Puisqu’on vous dit et répète que le vrai danger pour notre démocratie ce sont ces gueux qui votent pour le Front National.
    Mais aussi ces gens de rien et ces médiocres qui se battent pour quelques piécettes.
    Quel bonheur d’avoir cette presse et cette justice complètement indépendantes du pouvoir qui n’est pas en place.
    Sinon, bienvenue au Macronland.
    Y a pas à dire, ce monde nouveau, c’est autre chose.
    Quand même pas compliqué à comprendre.
    PS : Nouvel attentat à Paris, bien vouloir prévoir :
    – Mise en place cellule psychologique
    – Marche blanche
    – Petites bougies
    – Dépôts de fleurs
    – Petits nounours
    – Déclarations attristées
    – Déclarations d’indignation
    – Promesses de fermeté
    – Soutien aux familles des victimes
    – Fiché S ou pas fiché S (rayer la mention inutile)

  11. Robert Ménard a un grand mérite, celui d’avoir remis de l’ordre dans la ville de Béziers. On peut ne pas être d’accord avec certaines de ses idées mais cet homme est un maire courageux qui assume ses choix.
    Ceux qu’ils l’ont agressé sont des minables.

  12. @ Elusen
    « Quel est le rapport avec la démocratie ? Puisqu’elle ne porte pas sur la lecture, mais sur le droit de vote ! »
    La démocratie moderne porte sur une conception des libertés publiques : liberté de se mouvoir, certitude de ne pas être molesté, nulle autorité pour prononcer des interdictions de séjour sans mandat à cette fin.
    Difficile de vous répondre sans avoir l’impression de faire un commentaire de texte de niveau cycle primaire.
    Tout aussi évident qu’écrire « La particularité de Robert Ménard, c’est d’aimer la haine et de l’organiser », c’est prendre ses partis pris pour des vérités, refuser de reconnaître la subjectivité de son propos.
    Et c’est aussi employer un mot commode : la haine (nom même d’un navet intersidéral dont nous Français avons le secret). Parce que le débat ne porte pas sur la « haine », on ne débat pas du fait que Robert Ménard ait été aimé ou haï à tel endroit. Non, en réalité, on parle de violence.
    Donc ce que vous écrivez, Elusen, en creux, c’est que « la particularité de Robert Ménard, [serait] d’aimer la [violence] et de l’organiser ». Ce qui ne recouvre aucune forme de réalité. Question complotiste, vous en feriez un beau.
    Vous listez ensuite des faits violents comme la mort de Claude Erignac en accusant Philippe Bilger d’avoir la mémoire courte. En quoi la mort de Claude Erignac caractérise-t-elle « un tel contentement de soi collectif dans l’appréhension de l’événement » ?
    Décidément Elusen, vous êtes dans la constance : absurde.

  13. Véronique Raffeneau

    « Le ministre de l’Intérieur, qui est un homme honnête et a toujours su mettre les principes au-dessus de ses antipathies… »
    Sans doute… mais pas au point de répondre à la lettre d’Emmanuelle Ménard, pas au point, via le Préfet et le sous-préfet, d’enjoindre aux forces de l’ordre de s’interposer et de protéger un adversaire politique victime d’une agression violente commise dans l’abstention, la passivité, voire le soutien implicite de tous, le cas échéant de sanctionner ces manquements.
    Mettre les principes au-dessus de ses antipathies en petit comité, dans l’entre-soi parisien et médiatique, ne demande ni courage, ni caractère.
    « …l’idéologie imposait que surtout personne ne vînt à son secours au propre et au figuré »
    Eh bien, disons que le ministre de l’Intérieur, à l’instar de l’abstention-lâcheté du sous-préfet, des partis politiques, des élus locaux et des médias a choisi l’idéologie contre la protection d’un seul et la sauvegarde de l’ordre public dont il est pourtant le garant. Bref, il s’est choisi.
    Je n’ai aucune inclinaison pour le discours et les positions de Robert Ménard et de bien d’autres. Cependant, cette violence autorisée, ce quitus donné au laisser-faire et à la lâcheté sont non seulement inadmissibles mais aussi si dangereux dans une démocratie où il n’y a pas, jamais, de violence légitime autre que celle octroyée à la force publique en échange de sa protection.
    Plus ça va, plus ces évidences semblent appartenir à un passé cotonneux qui apparaît étrange, saugrenu, bizarre tant les postures en matière de sécurité publique sont aujourd’hui devenues contradictoires, discordantes, incohérentes, sélectives.
    Cette sale et médiocre affaire, pour reprendre vos mots, est à mettre dans la gradation des abstentions institutionnelles dont les violents incidents survenus à Paris il y a quelques jours, avec la passivité du pouvoir, tiennent le haut de l’échelle.

  14. La non assistance à personne en danger (223-6 CP) n’est répréhensible qu’en l’absence de risque pour soi-même ou les tiers. Les témoins ont peut-être estimé, à tort ou à raison, je l’ignore, qu’il y en avait à intervenir directement. Certains ont appelé les gendarmes, ce qui répond aux exigences de la loi, pour laquelle toute action, même inefficace, convient. S’il faut poursuivre ceux qui se sont totalement abstenus, cela risque de faire du monde.

  15. Robert Ménard : un homme respectable.
    « Robert Ménard est favorable à l’union des droites et c’est un crime »
    Voilà en grande partie l’explication de ce silence hypocrite de l’ensemble de la classe politique, cher P. Bilger. Défendre un ami c’est dans l’ordre des choses, mais un ami politique c’est du courage. Bravo.
    Robert Ménard est « un honnête homme » au sens classique du terme et j’ai été heureux de l’encourager lors de ses premiers mois de maire, quand c’était très difficile pour lui. Je ne l’ai jamais regretté.
    Ceci étant dit, cher P. Bilger, voyez qui a intérêt à ne pas reconstituer une droite forte : le Président Macron ! Dont toute l’action souterraine vise à faire échouer cette stratégie. Comme on dit populairement « à qui profite le crime ? »
    Cordialement.

  16. Xavier NEBOUT

    En 1789, l’aristocrate n’était pas tant haï par les rustres du fait de ses privilèges, que parce que sa noblesse d’âme était ressentie comme une insulte à leur bassesse naturelle.
    Robert Ménard est un aristocrate. Il est sans le vouloir à l’image de Jacques Cathelineau, simple colporteur nommé généralissime de l’armée catholique et royale par les nobles de l’ouest.
    Philippe Bilger serait un éternel candide découvrant la bassesse de la république et sa racaille, mais aujourd’hui, il sombre dans un paradoxe. Il énumère en effet les complices de l’infamie puis prétend interdire à ses commentateurs de faire eux aussi l’amalgame qui éclate pourtant au grand jour.
    Monsieur Bilger, franchissez le pas qui sépare l’honnêteté de l’honneur. Entrez chez les aristocrates. Dites le mot de Cambronne à la racaille. Vous avez été rarement aussi bon que lorsque vous ne vous retenant pas, vous vous étiez payé la tête du nommé Pierre Bénichou.
    Vous vous ferez peut-être traiter de fasciste mais vous verrez que lorsqu’on n’écoute que ce qui vient d’en haut, on n’entend pas ce qui vient d’en bas. En d’autres termes, lorsqu’on écoute le Dieu d’amour, on n’entend pas le diable vous vouloir à l’image de sa haine.
    PS : Ce commentaire n’est pas à la portée des utilisateurs de pseudos. (Pour ceux qui douteraient de mon identité, elle figure dans immo2mers.com, et j’ajoute si notre hôte le permet, que ma vie professionnelle est à l’image de mes commentaires.)

  17. Quelle est cette chanson qui dit que celui qui dit la vérité doit être exécuté ?
    https://www.youtube.com/watch?v=AfpSRnahQig
    En tout cas, dans le climat actuel, c’est courageux de publier cette défense de Robert Ménard. Dommage qu’en disant, juste à la fin, que c’est un de vos amis, vous laissiez entendre que cette amitié peut avoir influencé votre défense. Jusqu’à cet aveu elle était celle d’un chevalier blanc.

  18. Qu’il s’agisse de Jean-Marie Le Pen face à Annette Peulvast-Bergeal, maire PS de Mantes-la-Ville (…)
    Dans cette affaire, c’est Jean-Marie Le Pen le véritable agressé, qui est tombé dans un véritable guet-apens avant d’avoir été présenté en agresseur par une gauche habituée à ce genre de procédés, en accusant ses victimes des violences qu’elle commet.

  19. Catherine JACOB

    « Au début de son mandat, Robert Ménard prend un arrêté municipal qui prévoit un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans de 23 heures à 6 heures en période estivale, dans l’hypercentre-ville de Béziers et la Devèze, le quartier « sensible » de la ville. Bien que des mesures similaires aient été prises précédemment dans plusieurs villes françaises, cet arrêté crée la polémique. Saisi par la Ligue des droits de l’homme, le tribunal administratif retoque la mesure en la réduisant à l’obligation pour la police de ramener les enfants non accompagnés à leur domicile, disposition qui existait déjà. La cour administrative d’appel de Marseille valide l’arrêté en mars 2017 » – rédacteur anonyme de Wikipédia.
    C’est vrai que le couvre-feu est politiquement de sinistre mémoire. Initialement principe de précaution, « au Moyen Age une cloche signalait le couvre-feu à la tombée de la nuit pour indiquer qu’il était temps de recouvrir les feux d’un couvercle de fonte pour éviter tout incendie », il est réapparu sous forme d’une disposition de police mise en œuvre notamment par la Wehrmacht – l’armée allemande – dans les territoires occupés lors de la Seconde Guerre mondiale, puis réactivé lors de la guerre d’Algérie.
    Toutefois, n’est-ce pas vers trois heures du matin que Maëlys de Araujo, huit ans, a disparu le 27 août 2017 ?? On dit que « l’alerte du dispositif Alerte-Enlèvement n’a pas été déclenchée car, lors de la constatation de la disparition, les forces de l’ordre n’avaient pas d’indices permettant de penser qu’il s’agissait d’un enlèvement. » Est-ce qu’en cas de couvre-feu applicable aux mineurs de 13 ans, cette disposition n’aurait pu faire l’objet d’un déclenchement automatique ?
    Peut-être conviendrait-il donc de ne pas avoir de réaction épidermique à la sémantique et de considérer plus sereinement les domaines d’application de certaines mesures susceptibles de contribuer efficacement à la protection de l’enfance davantage que de permettre aux pouvoirs publics de, en l’espèce, limiter la libre circulation des personnes.
    « Le 5 mai, Robert Ménard était la victime et l’idéologie imposait que surtout personne ne vînt à son secours au propre et au figuré.
    C’est une sale et médiocre affaire. Le tabassage d’un élu tout seul par des énergumènes fiers d’eux. Et le silence. » (PB)
    et @ Robert Marchenoir | 13 mai 2018 à 01:44 :
    « Les agressions de ce type sont monnaie courante depuis des années contre les réunions du Front national. L’attaque de Robert Ménard n’en est que la continuation. »
    NKM n’appartient pas au FN que je sache !
    D’autre part, j’ai été moi-même l’an passé victime d’une agression, verbale seulement mais très violente, simplement pour m’être opposée à l’élection d’un secrétaire de séance lors d’une assemblée générale de copropriété en tentant de faire valoir que la loi n’autorisait pas le syndic à tenir ce rôle et encore moins à usurper la fonction de président dans la gestion du déroulement de l’assemblée.
    Certaines personnes influençables, du fait de l’âge et de leur naturel aussi sans doute sans compter leur faible capacité de compréhension d’un exposé argumenté, ont pu ainsi être convaincues que mon opposition tenait au fait que j’étais juste une emmer…se !!
    J’ai pu également constater à cette occasion que les gens avaient tendance à se soumettre davantage à la violence exercée par un individu parlant plus fort que les autres (et se prévalant d’une ancienne appartenance à une administration régalienne !!), qu’à la loi protégeant leurs intérêts, et être incitées facilement ainsi à voter des dépenses non nécessaires qu’elles auraient ensuite du mal à assumer.
    J’ai également été traitée de folle et de nombreux autres noms d’oiseaux en présence d’un député totalement passif, parce que j’avais refusé de valider les comptes d’une association dont le montant de la subvention d’argent public exigeait qu’ils soient soumis à un cabinet d’expertise comptable extérieur à l’association. Ayant signalé cette irrégularité au Parquet, en particulier vu la taille d’un trou excédant ledit montant et qui, en Alsace-Moselle, devrait dès lors être couvert par les membres du bureau sur leurs fonds personnels, dont quelques retraités aux petites retraites qui ne le permettraient pas, et joint en annexe à mon signalement ceux des documents comptables auxquels j’avais pu avoir accès, la réponse a été que je devais me préoccuper du recours à un tel cabinet d’expertise sur mes fonds personnels.
    Une vaste manipulation a permis cependant de donner quitus à l’association qui a ensuite réussi, par quel miracle ? à faire éponger ses dettes par de nouveaux fonds publics ! Pour les gens que ça intéresse, je préciserai qu’il y a prescription.
    De diverses autres expériences, j’aurai tendance à dire que brandir le bouclier de dispositions législatives favorables à la cause que vous défendez et que vous ne vous êtes pas contenté(e) de ne lire qu’à moitié, est la plupart du temps très insuffisant à vous permettre de mettre le holà à certaines situations. De plus, plus vous vous en prévalez, plus ça met de l’huile sur le feu et plus vous devenez l’objet tant de comportements publiquement agressifs, que de « psch psch psch, bla bla bla » de couloirs.
    Or, une fois que les gens ont fait valoir que votre opposition à telle ou telle situation tenait à ce que vous êtes complètement folle, et là je me limite à la citation d’une insulte relativement soft, il leur est assez facile de mettre les esprits faibles de leur côté, vu que si vous pensez qu’une folle a raison, c’est que, quelque part, vous êtes aussi fou qu’elle. CQFD !
    De même je pense que les gens n’ont pas nécessairement conscience de « malmener » un être humain, en la personne de NKM ou de R. Ménard ou d’autres encore, mais pensent n’avoir affaire qu’au spectre malveillant des idées avec lesquelles ils ne sont pas d’accord, et ne réussissant pas à mettre en mots leur désaccord, ils le traduisent par des coups, et/ou des insultes etc.
    « La loi n’est pas la même pour tous. »
    Si, dans notre pays, le texte de loi est le même pour tous quel que soit le code concerné. Le problème est que souvent on ne veut pas le savoir, et cela malheureusement parfois jusque dans les tribunaux.
    On le mamaille alors ( = on le gauchit) jusqu’à ce qu’il aille dans le sens qu’on veut lui qu’il ait, ou encore on embrouille, on menace de façon sourde, les gens auxquels ses dispositions sont favorables, jusqu’à ce qu’ils lâchent le morceau.
    Parfois cependant ça fait avancer les choses.
    Ex. le cirque Barnum qui a gagné tous les procès que les associations de protection du bien-être animal lui ont intenté mais qui a finalement été contraint par l’opinion publique de se passer d’animaux sauvages dans ses spectacles.
    Mais le plus souvent, le pot de terre se fracasse contre le pot de fer sous les quolibets des imbéciles.

  20. Les nervis de l’extrême gauche bloquent les universités, cassent du flic, brûlent les voitures, défoncent les vitrines, occupent illégalement des terrains, etc.
    Le nombre infime d’arrestations et de condamnations témoigne de l’indulgence de l’appareil d’Etat pour ces formes brutales de revendication. De même, on ne peut que constater la complaisance avec laquelle ces informations sont traitées par la plupart des médias.
    De son côté, Ménard tente de remettre un peu d’ordre à Béziers en concevant et appliquant une politique municipale qui ne fasse pas abstraction des réalités de terrain : pourquoi ce taux de chômage, pourquoi autant d’insécurité, pourquoi autant d’immigrés en panne d’intégration, comment rendre sa ville plus attractive ?
    C’est alors qu’il commet une erreur impardonnable : mettre des noms sur les réalités, compter le nombre d’enfants non-européens dans les écoles et découvrir (mais était-ce une découverte) que 65% des enfants portent des prénoms musulmans !
    Quelle horreur, quel odieux racisme !!
    Cela lui vaut désormais la vindicte des gens qui préfèrent se voiler la face (c’est le cas de le dire !) et les agressions cubzaguaises que Philippe Bilger nous rapporte.
    Il paraît que sa cote de popularité à Béziers ne faiblit pas et c’est bien cela l’essentiel.

  21. Yvonne Sanchez

    @ Marc GHINSBERG
    Dans la catégorie des crétins, vous omettez de signaler tous ces élus qui n’ont pas bronché ni fermement condamné officiellement, à ce jour, cette agression.
    Personnellement, votre avis sur Ménard m’indiffère, mais surtout, je trouve qu’il n’apporte rien de pertinent à votre commentaire.
    Merci M.Bilger pour ce billet. Celui, tout simple, d’une conscience qui se lève, contre des pratiques indignes.

  22. Je suis en plein accord avec ce que vous écrivez, Monsieur Bilger. Et l’on voit où se trouve l’intolérance.
    Ce sont les mêmes qui interdisent l’accès des universités aux étudiants venant passer leurs examens et qui, occupant illégalement des universités qu’ils dégradent gravement, viennent se plaindre de l’action des forces de l’ordre venues légalement les déloger.
    Il m’apparaît aussi anormal que les gendarmes présents ne soient pas intervenus d’initiative, encore qu’il faudrait savoir quelles étaient leurs consignes, surtout lorsque vous rapportez l’attitude du sous-préfet.
    Monsieur Ménard portera sans doute plainte et l’on verra comment la Justice traitera son cas. Mais je doute de la dureté de cette Justice dans ce pays où la liberté d’expression est maintenant quasi muselée pour tout ce qui ne va pas dans le sens d’une expression publique formatée.
    J’en veux pour preuve le traitement qu’elle réserve notamment à Eric Zemmour. Il suffit de lire ce billet pour s’en convaincre : https://www.causeur.fr/eric-zemmour-condamne-islamophobie-islam-151089?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=d5764dfd61-Recap+de+la+semaine&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-d5764dfd61-57538953
    Comme le dit le titre : la France, le pays des droits de l’homme qui se tait…
    Mais ce lourd silence sur les effets des politiques suivies depuis plus de quatre décennies, notamment en matière d’immigration, a été imposé dans toute l’Europe. A ce sujet, je lis en ce moment un livre excellent paru en avril 2018, écrit par un Britannique qui démonte les mécanismes qui ont muselé les réactions des peuples, tant en Grande-Bretagne que dans d’autres pays d’Europe, la France en particulier. Je ne puis qu’en conseiller la lecture : « L’étrange suicide de l’Europe – immigration, identité, islam » de Douglas Murray, aux éditions de l’Artilleur (titre original : The Strange Death of Europe – Immigration, Identity, Islam).

  23. Pierre-Antoine

    Mais pourquoi s’offusquer ? Nous sommes en France que diable !
    Vous savez, ce grand pays patrie de la Liberté, où les minorités peuvent imposer leur loi à la majorité !
    Voulez-vous remettre en cause le droit de manifester et le droit de grève ? Mais de quel droit ?
    Voyons voyons, laissez donc librement le droit de limiter voire réprimer, enrayer, étouffer, noyer, écraser, juguler, mater, corriger le droit de circulation, le droit d’expression, et même, allons-y gaiement, le droit de penser.
    C’est pas nouveau, c’est français, ça s’appelle le droit de « celui qui gueule le plus fort qui a raison » !

  24. hameau dans les nuages

    L’un des crimes de Ménard est d’être à l’écoute des Français d’origine immigrée demandant son aide et étant parfaitement assimilés. Insupportable pour la « gauchiasserie » comme dirait sylvain qui ne veut surtout pas malgré son discours cette assimilation par amour de la France. Ils ont absolument besoin pour leur idéologie que subsiste cette fracture. Ainsi ils ont besoin de l’alimenter par encore de nouveaux arrivants, toujours plus d’arrivants.Une forme d’esclavagisme politique, un sous-prolétariat ébène puisqu’ils ont perdu le monde ouvrier.

  25. @ Bourguignon 13 mai 2018 02:13
    «  »Je risquais d’oublier : Robert Ménard est un ami. »
    On choisit ses amis pas sa famille.
    Mais on peut se tromper dans ses choix ; la preuve ! »
    La preuve de quoi Bourguignon ? Expliquez-nous !
    @ Elusen 13 mai 04:26
    Toujours des scories d’extrême gauche, malgré les années ?

  26. @ Véronique Raffeneau
    « Cette sale et médiocre affaire, pour reprendre vos mots, est à mettre dans la gradation des abstentions institutionnelles dont les violents incidents survenus à Paris il y a quelques jours, avec la passivité du pouvoir, tiennent le haut de l’échelle. »
    Pour ne pas évoquer ces manquements qui tournent à la complicité en ce qui concerne l’encouragement de certains types d’immigration susceptibles de causer des problèmes graves et de mettre en danger à la fois la vie des Français et même l’avenir de la France, les exemples ne faisant que se multiplier.
    Dans ce cas, la non assistance à personne en danger est même dépassée, car ce sont bel et bien ces politiques indignes (y compris ceux des gouvernements précédents) qui mettent directement en danger les Français, soit par leur incurie, soit par leur bêtise, soit par leur entêtement idéologique.

  27. Imaginons une seconde ce qui serait arrivé si Ménard eût été de gauche.
    Le concert de cris d’orfraie, de rappel des fameuses z-heures les plus sombres de notre histoire, d’avertissements solennels et d’appels à l’unité que cela aurait été !
    Ils nous auraient rejoué la partition habituelle sur tous les tons, auraient frémi devant un possible retour du fâââscisme. Là, rien. Pas un mot. Pas d’indignation.
    La gauche dans toute sa splendeur avec leurs faux nez et leurs masques qui n’arrêtent pas de tomber.

  28. Mary Preud'homme

    Robert Ménard est un homme sympathique et droit.
    Ce que l’on nomme ses dérapages est ce qui constitue en fait une évidence.
    En effet, si l’on veut que la France reste la France, il convient de rappeler et même de marteler (pour ceux qui auraient du mal à comprendre) que notre pays ne peut accueillir toute la misère du monde et que ceux qui ont eu la chance d’être accueillis doivent s’en montrer dignes ; ils ont donc vocation à s’intégrer et non à imposer leurs propres lois. Comme le firent avant eux les Italiens, Portugais, Espagnols, Polonais, Turcs et même nombre de ressortissants de l’Afrique subsaharienne de confession chrétienne.
    Exit donc le communautarisme et les ghettos de plus en plus nombreux et étendus, les rayons halal obligatoires dans les supérettes de nos villes, les magasins de vêtements musulmans. Au point que lorsque l’on se promène aux alentours de la gare du Nord à Paris, Barbès, Stalingrad ou encore à Lille, Roubaix, Evry, Perpignan, Marseille, Béziers etc. etc. on voit de plus en plus de femmes accoutrées de jilbabs, tuniques, djellabas, abayas, hijabs etc. marchant à quelques pas derrière leur seigneur et maître.
    S’intégrer ce n’est pas un gros mot. Beaucoup le firent avant eux en adoptant nos lois, en respectant l’obligation de laïcité et en travaillant dur dans nos mines ou sur nos chantiers… Certains Français issus de l’émigration (dont la liste serait longue) se sont même distingués (dans de multiples domaines) et sont devenus des figures marquantes du sport, de la littérature, de la musique etc. qui font honneur à notre pays.

  29. Sergio Carioca

    @ Achille
    « A noter que ces agressions sont le fait de militants d’extrême gauche qui sont coutumiers du fait, même si les militants d’extrême droite sont loin d’être irréprochables dans ce domaine et donc mal placés pour donner des leçons de bonne conduite. »
    En clair des FASCISTES paradoxaux. De gôche.
    Nationalisme parfois en moins (anti-Europe ± = nationaliste).
    Des fascistes, de gauche ou insoumis ou anars, en petit nombre mais violents, qui salopent les facs (pour améliorer la condition d’étudiant ou punir ces salopards de sélectionnés) et bloquent, donc privent de liberté une majorité hélas silencieuse et non-violente.
    Ils sont fascistes parce qu’ils imposent par la force des vues qui ne tiennent pas compte des voies et voix démocratiques issues du droit et du vote populaire.
    Notons qu’ils font autant preuve de courage que les racailles qui attaquent des vieux pour leur prendre leurs économies.
    A plusieurs sur un homme sans défense et seul.
    Je n’aime pas le bonhomme pour certaines de ses idées que j’ai entendues, mais quand on recourt à la violence et en plus à plusieurs, éventuellement par-derrière sur une personne qui physiquement n’a aucune chance de se défendre efficacement, on est quelqu’un de profondément méprisable, petit, sans courage. Les autres qualificatifs justifiés qui me viennent seraient trop grossiers pour ce forum.

  30. @ sylvain | 13 mai 2018 à 08:54
    « Alors, les problèmes dus au communautarisme à Béziers ou ailleurs : délinquance, délits, crimes, il faudrait les cacher sous le tapis ? »
    Oui, c’est en partie cela la Ripoublique de Macron qui est plus infecte que celle de ses deux prédécesseurs. D’ailleurs mettez devant une glace le sigle LREM et vous commencerez à découvrir quel est cet empire du mal.
    Sa force est de dire (pas de promettre) n’importe quoi, n’importe quand et de « n’assumer » (mot à la mode) que ce qu’il désire pour lui-même.
    Sa Ripoublique est basée sur l’humiliation, l’exploitation et la disparition de la race des souschiens de France afin de lui permettre de devenir, avec ses amis, propriétaire des lieux.
    Dans ses rêves il se voit le futur maître de l’Europe, puis du monde (Sarkozy avait le même rêve – discours en Nouvelle-Calédonie sur la gouvernance mondiale – mais il n’avait pas embobiné les gauchistes, les dingos, les fichés pour être élu et il n’avait pas ouvert en grand les vannes du nettoyage ethnique).
    Alors bonne chance aux survivants de la Macronie, mais les temps futurs vont être très difficiles pour ceux qui ne regardent pas ce pays au travers de la lunette des
    https://www.aide-sociale.fr/
    et qui veulent sauver leur peau du déluge prévisible.

  31. @ Marcel P. | 13 mai 2018 à 09:07
    Faux !
    La démocratie, c’est uniquement en rapport avec le droit de vote et à qui l’on accorde ce droit !
    Demos et Cratos (Kratos), cela n’a jamais voulu dire :
    – Liberté d’expression.
    – L’interdiction de l’esclavage ; la preuve les Grecs, les USA, la France.
    – Liberté de se mouvoir ou autres fariboles !
    * Demos : peuple. Le peuple doit être défini avec un problème, car ce n’est pas le peuple qui vote, mais les citoyens et ce dernier concept n’impose pas d’être membre du peuple.
    * Cratos : force, pouvoir.
    La liberté d’expression est un autre concept qui peut s’appliquer en dehors de la démocratie.
    La liberté de se mouvoir peut s’appliquer en dehors de la démocratie.
    Vous confondez tous les concepts !
    Une Nation, c’est un projet, qui se définit, pour la France, par sa Constitution dans laquelle sont mis des concepts, comme des briques mises les unes avec les autres pour construire une maison.
    Une brique ce n’est pas la maison.
    Là pour la France ont été associés des concepts, République démocratique et non démocratie, la France n’est pas une démocratie, mais une République démocratique, c’est l’adjectif qualificatif de la République, pas de France.
    République, c’est la gestion du pouvoir, qui s’oppose à monarchie, elle, basée sur la génétique, le racisme, il faut avoir les mêmes gènes que le précédent pour exercer le pouvoir.
    C’est la République qui est laïque, pas la France !
    C’est la République qui est démocratique, pas la France !
    La Constitution française, cela vous ferait un bien fou de la lire.
    https://frama.link/DyXjWy6l
    La haine de Robert Ménard est la sienne, pas celle que les autres lui portent, il aime haïr et inciter à la haine et dans ce type d’attitude, il y a un retour de bâton : la violence.
    Donc, il est surprenant que vous vous offusquiez quand elle frappe à votre porte, si vous prônez la haine, ne vous étonnez pas qu’elle vienne vous voir.
    Tout comme abuser de la forme dubitative pour ne faire de lui que la victime, la seule de France, alors que bien d’autres en souffrent, ou ont été exécutés, pourquoi lui plus que les autres et pas un billet sur les morts du IIe arrondissement de Paris ; ben lui, c’est le frérot du big boss, c’est son lascar !
    Sans compter votre truc raciste sur les Français, comme si vous pouviez les définir tous unanimement comme un seul être, un seul individu.
    Comme si vous les aviez tous rencontrés.
    Les Français, les juifs, les Noirs, les Arabes, les ceci, les cela : tu vas bien nous reprendre un coup de rouge mon Dédé ?!

  32. @ Marc GHINSBERG | 13 mai 2018 à 00:57
    « …Triples crétins ceux qui ont agressé Robert Ménard, qui n’est pas mon ami, mais dont je prends aujourd’hui la défense. »
    Totalement d’accord avec vos propos, j’ajouterai seulement que le scandaleux dans cette agression c’est la bienveillance des élus présents, et surtout des pouvoirs publics : inertie de la gendarmerie (certainement sur ordre), préfet ne voyant pas où est le délit, et lâche silence des ministres concernés.
    Que Le Monde et toute la presse de gauche traite cette affaire a minima, cela hélas n’a rien d’étonnant, mais eux ne sont pas en charge de l’ordre public. Quant à la grande majorité de nos élus nationaux qui se taisent ou pire approuvent ce type de tabassage, on éprouve du dégoût devant leur incurable lâcheté.
    Je n’ose imaginer les réactions de tous les précédents cités, si cela était advenu à un maire de LFI !

  33. Robert Marchenoir

    Un point intéressant, concernant Robert Ménard, est que les médias sont obligés de parler de lui : bien qu’étant d’extrême droite, il a la Carte.
    En effet, il a longtemps été à gauche et même à l’extrême gauche ; il a longtemps été journaliste ; et il a longtemps eu table ouverte à la télévision en tant que responsable de Reporters sans frontières, organisation sur-politiquement correcte, puisqu’elle défendait l’image que les journalistes se font d’eux-mêmes.
    En sorte que, maintenant que c’est un rénégat, ses anciens confrères se doivent de relater ses mésaventures, même si pour eux, désormais, il sent le gaz. Il n’en va pas de même des millions de braves gens qui votent Front national, ni des milliers de militants de ce parti : eux peuvent subir, pendant des décennies, les menaces, représailles et agressions physiques des « anti-racistes », sans que personne ne s’en indigne, ni même n’en parle.
    Ces agressions sont normales, ils l’ont tout de même un peu cherché : « Pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos. »

  34. Passionnant ! Les habituels excès, les appels un peu fabriqués à l’examen de conscience, les classiques réticences vis-à-vis de tout ce qui dépasse de la gauche des valeurs républicaines, enfin, le galimatias habituel, avec tout de même une réprobation presque unanime qui fait beaucoup de mal. En effet, nous avons appris que les forces de police pouvaient n’intervenir que suivant un diagramme séquentiel, basé sur les intérêts politiques de l’instant.
    Eh bien ça fait mal. Désormais, si je vois encore un gendarme en difficulté, je n’hésiterai plus à prendre la tangente. Il peut bien se débrouiller tout seul. Guignol n’est pas mort et rosser le gendarme reste un excellent exercice.
    Réprobation fait mal aussi quand elle s’abstrait des opinions politiques.
    Il faudrait s’indigner aussi quand on bastonne un djihadiste. Pouah ! quelle vilaine méchanceté.
    Il est donc mal vu de réagir et de se défendre, puisque là-haut Jupiter sourit aux sévices contre Ménard et que ses centurions gardent l’arme au pied, mais c’est presque du Barrès, les légions romaines, l’arme au pied, regardant les barbares détruire le Sérapis. Macron savait-il qu’il avait quelques chose d’un héros barrésien ?
    Cette réprobation enfarinée ne me dit rien qui vaille, qui parle au nom de la liberté, sans qu’on sache laquelle. Il semble qu’une association d’étudiants ait choisi une présidente musulmane voilée, donc intégriste, à tout le moins. Voilà le sens de la liberté retrouvée, digne parangon d’un féminisme qui dévoie sa propre justification. Rentrer dans le rang, sous le drapeau vert, quelles que puissent être, par ailleurs, l’intelligence et la compétence de la personne.
    Le remarquable ouvrage de Bacqué et Chemin fait comprendre comment on rentre dans une ère de mutation complexe à partir de faits simples.
    Vous qui réprouvez l’agression contre Ménard et les bras ballants de Macron, vous avez entériné l’attitude sereine ou dissimulatrice des bons républicains en la discutant ou en les houspillant d’un verbe civilisé. On a fait la même erreur avec les communistes. Et le public, anesthésié, vaguement content et surtout apeuré a donné un blanc-seing à toutes les violences, physiques et politiques. Macron, lui ou un autre, on s’en moque, a la voie libre ; il n’avait pas beaucoup de voix, mais il a maintenant beaucoup de voyous.
    Reste un vieil adage médiéval : « Oignez vilain, il vous poindra, poignez vilain, il vous oindra. » La violence qui révolte c’est la violence victorieuse quand elle ne s’accompagne pas d’une révolution.

  35. François Unger

    @ Marc GHINSBERG
    Ils ne sont pas que crétins, ils sont dangereux. De nuits de cristal en ratonnades c’est toujours comme ça que commence le début de la fin de la démocratie : quand on laisse faire ce qui est contraire à la loi.
    Mais il faut dire que dans l’océan de lois non respectées ou impunément violées aujourd’hui en France, la bousculade de Ménard, pour détestable qu’elle soit, reste un détail.
    Aux armes citoyens !

  36. Philip_Marlowe

    C’est très bien exprimé. Les opposants à Robert Ménard doivent être plus responsables que lui. Et je suis d’accord.

  37. Cher Philippe,
    Vous piquez un coup de sang pour venir en aide à votre ami et l’on nous explique par tweet le prix du sang à payer pour la liberté.
    Nous ne sommes pas du sang à volonté pour l’indifférence de politiques.
    Ce qui s’est passé dans la soirée n’amène pas de pensées sereines.
    Nous avons quelque 20 000 fichés S en France et l’on nous assure que tout est mis en oeuvre pour notre sécurité et qu’il faudra s’habituer à ces hémorragies.
    Nous tenons à exprimer notre colère profonde et nous doutons de la compétence des décisions prises par les responsables.
    Heureusement qu’Edouard Philippe est sur place pour pallier la mollesse du socialiste de Lyon qui devrait prendre quelque repos ou tasses de café pour réagir un peu. Les élections n’ont pas été de notre choix mais il semblait qu’il s’agissait qu’un grand salut aux socialistes mais il faut se les fader encore avec leur fatalisme, leur laxisme, leur aveuglement, leur univers enchanté.
    Le monde de la pensée est-il absent encore pour longtemps ?
    Pendant le love socialiste se développait le gun fanatique !
    La priorité n’est pas la petite mort et il serait temps de réagir pour mettre fin à ces passages à l’acte tragique.
    Si un individu sortait dans la rue en se prenant pour Napoléon, cela ne durerait pas plus d’une heure avant qu’une décision ne soit prise.
    L’idée d’arracher des vies et de mourir en martyr est une pathologie qui n’a pas sa place en société. Tout simplement.
    Les actes des politiques ne sont pas à la hauteur de la gravité de ce mal.
    Et comment faut-il le dire ?
    Et pourquoi continuer d’importer des problèmes qui mettront plusieurs siècles à trouver des solutions ?
    Macron ne frappe pas assez fort et c’est Edouard Philippe qui va au front de guerre. C’est une drôle de façon de faire de la politique !
    Edouard Philippe est-il notre nouveau président ? Dans ce cas nous le remercions beaucoup d’être sur le terrain et à l’écoute des problèmes réels des Français.
    françoise et karell Semtob

  38. breizmabro

    Je suis bien d’accord avec votre billet d’humeur de ce jour M. Bilger, il est intolérable qu’un élu, de quelque opinion politique qu’il soit, soit confronté à la violence d’imbéciles manipulés pour le faire.
    Comme vous je n’adhère pas à toutes ses prises de positions de même que je n’adhère pas aux méthodes violentes de M. Macron. Pour autant, ni pour l’un ni pour l’autre je n’envisage que quiconque puisse s’en prendre à leur personne.
    Lors de circonstances particulières (paparazette ;)) j’ai eu l’occasion de rencontrer RM lorsqu’il était à la tête de Reporters sans frontières. Il était brillant et fort engagé. A mon sens il n’a pas changé : toujours brillant et engagé.
    Il semblerait en outre, d’après Wiki, qu’il ait été promu chevalier de la Légion d’honneur le 23 mars 2008 sur proposition de Bernard Kouchner. Oups, une erreur sans doute…
    Qu’aucun des médias qui lui ont tellement léché les bottes lorsqu’il était à la tête de l’association Reporters sans frontières n’ait diffusé (en boucle comme il se doit) son agression est bien la preuve que tous ces moutons de Panurge qui sucent… la roue de Macron qui roule en tête, ne sont que des ratés professionnels ridicules.
    En même temps je comprends, les gauchos sont devenus tellement plus bankable pour leurs feuilles de chou…
    Au fait, on en est où de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes ? Expulsions ? Pas expulsions ? On fait comme pour Robert Ménard, motus et bouche cousue ?

  39. Je vois dans cette affaire comme une certaine complicité de l’administration et de la Préfecture qui laisse des loubards violents agresser Robert Ménard sans que personne autour ne réagisse pour le protéger. Quelle honte !!
    Etonnant que M.Macron ne se soit pas indigné contre l’agression physique de Robert Ménard ! Par contre quand c’était Macron qui a reçu un oeuf cru sur la tête pendant sa campagne, alors là, tous les médias étaient scandalisés. Sommes-nous encore dans un pays démocratique avec une justice juste ? Certainement pas !
    J’encourage Robert Ménard à ne pas lâcher et continuer à dire ses quatre vérités sur tous ceux qui détruisent la France. On n’en peut plus de toute cette violence. Si ça avait été Arnold Schwarzenegger 1,88 m, croyez-moi que ces crétins de gauchistes violents et lâches auraient vite fait de plier bagage avec une bonne « droite » bien placée.

  40. Excellent billet. Il manque simplement pour expliquer le crétinisme des agresseurs d’analyser d’où vient leur intolérance. Eh bien les médias sont les coupables. Ils sont tellement asservis au politiquement correct qu’il leur paraît évident de « taper » sur Ménard mais surtout de ne rien dire sur le communautarisme rampant qui gangrène nos villes.

  41. Claude Luçon

    Les coups, le silence des médias, les commentaires du bout des lèvres de nos politiciens, Robert Ménard peut s’en consoler en pensant à Charles de Gaulle.
    L’alors président de la République Albert Lebrun avait pris un décret décidant de le traduire devant le Conseil de guerre qui le condamna à la dégradation, quatre ans de prison et la perte de la nationalité française. Charles de Gaulle qui fut ensuite inculpé de « trahison, atteinte à la sûreté extérieure de l’État, désertion à l’étranger en temps de guerre » et condamné le 2 août 1940 à la « peine de mort, dégradation militaire et confiscation de ses biens meubles et immeubles ».
    Sa déchéance de la nationalité française fut ensuite confirmée dans un décret du 8 décembre 1940.
    Nous sommes en France, les politiciens n’ont pas changé, Robert Ménard a un beau futur devant lui, s’il y pense !
    Il y a des parcours politiques étonnants en France !
    Pour l’instant il ne serait qu’interdit dans son propre pays et n’est pas encore condamné à mort !
    Rassembler le pays qui a besoin d’un leader, qui sait… ?
    La France vaut bien une massue !

  42. Pierre Blanchard

    @ Catherine JACOB | 13 mai 2018 à 11:34
    « D’autre part, j’ai été moi-même l’an passé victime d’une agression, verbale seulement mais très violente, simplement pour m’être opposée à l’élection d’un secrétaire de séance lors d’une assemblée générale de copropriété en tentant de faire valoir que la loi n’autorisait pas le syndic à tenir ce rôle et encore moins à usurper la fonction de président dans la gestion du déroulement de l’assemblée. »
    SVP, sur ce sujet relatif à la copropriété, vous énoncez une contre-vérité, car, si la loi de 1965 n’évoque pas ce sujet, elle ne l’interdit pas…
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006068256&dateTexte=20180513
    Le décret de 1967, dans son article 15 le traite et indique que le syndic assure le secrétariat de la séance, sauf décision contraire de l’assemblée générale.
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006061423&dateTexte=20180513
    Article 15
    Au début de chaque réunion, l’assemblée générale désigne, sous réserve des dispositions de l’article 29-1 de la loi du 10 juillet 1965 et de l’article 50 (alinéa 1er) du présent décret, son président et, s’il y a lieu, un ou plusieurs scrutateurs.
    Le syndic assure le secrétariat de la séance, sauf décision contraire de l’assemblée générale.

    Pour ce qui concerne le syndic qui usurpe la fonction de président dans la gestion du déroulement de l’assemblée. je veux bien convenir avec vous que cela relève de la responsabilité/irresponsabilité de nombre de présidents de conseils syndicaux (et membres desdits conseils) et participants d’AG qui se laissent manipuler par le syndic qui assure, en plus du secrétariat, le rôle de président de séance !!
    Mais sur tout cela, Xavier Nebout nous a communiqué ce lien dans sa contribution du 13 mai 2018 à 11:00
    http://www.immo2mers.fr/docs/NEBOUT.html
    et il est donc parfaitement à même de nous indiquer comment lui procède (ou laisse procéder le syndic) lors des AG de copropriété
    😉

  43. @ Marcel P. | 13 mai 2018 à 09:07
    Excellente définition qui enjambe bien ce qu’elle est aujourd’hui : « La démocratie moderne porte sur une conception des libertés publiques « .
    Cratos si mes souvenirs sont bons pourrait se traduire ainsi : recherche de la voie, celle des libertés que vous citez.
    C’était ce que nous expliquait notre prof de latin-grec et c’était ce qui sous-tendait sa pensée.

  44. @ Robert | 13 mai 2018 à 12:06
    « …je ne puis qu’en conseiller la lecture : « L’étrange suicide de l’Europe » de Douglas Murray »
    Merci Robert pour cette info. Mais croyez-vous que nos politiques et ces crétins de gauchistes avec leurs troupeaux de moutons finiront par comprendre qu’ils sont en train de vendre la France à de la racaille ?

  45. Xavier NEBOUT

    Elusen soulève un problème : imaginons que cette caricature de l’esprit humain ne soit pas une exception mais devienne une minorité agissante, puis majoritaire. Combien d’entre nous ne deviendraient pas fascistes ?

  46. Qu’attendre de gens qui n’ont même pas protesté contre la levée de l’immunité parlementaire de Marine Le Pen et Gilbert Collard pour leur tweet anti-Daech ?
    Et ça se dit républicain…

  47. Violences à tous les coins de rues. Elle est pas belle la France ?!
    Les gauchistes, Besancenot en tête, tentent d’empêcher l’évacuation du campement des migrants à Paris. Besancenot se prend une giclée bien musclée après avoir agressé le CRS alors que celui-ci leur demandait seulement de reculer (4:01m)
    https://www.youtube.com/watch?v=XPptGOCL7wM
    Besancenot fait frapper Vincent Lapierre par les nervis du NPA
    https://www.youtube.com/watch?v=tCp5-eG_ck4
    Attention aux âmes sensibles ! Un homme ivre et énervé gifle un policier et se prend, en retour, la matraque du siècle en pleine tête restée ensanglantée.
    https://www.youtube.com/watch?v=z1rd5nGGmOU
    Pendant que la bourse monte, les gens se bastonnent. Le monde est devenu fou !

  48. @ Xavier NEBOUT | 13 mai 2018 à 23:16
    « Elusen soulève un problème : imaginons que cette caricature de l’esprit humain ne soit pas une exception mais devienne une minorité agissante, puis majoritaire. Combien d’entre nous ne deviendraient pas fascistes ? »
    Si Elusen ne faisait que soulever un problème… Il ne fait pas que soulever, il A un gros problème : il est un facho gauchislamiste collabo à lui tout seul, c’est ça son problème.
    Mais ça se soigne très bien, une pathologie aussi destructrice peut être enrayée avec des neuroleptiques puissants.
    Combattre les séquelles du syndrome des sacristies, pas fastoche je l’avoue.

  49. @ sylvain | 14 mai 2018 à 08:23
    En réalité, je suis comme vous, comme Robert Marchenoir, Giuseppe, Mary Preud’homme, Ellen et quelques autres, je ne suis qu’un prêtre pédophile qui cherche la rédemption dans la haine de l’autre.
    Entrez dans mon église et laissez venir à moi les petits enfants.
    Vous voyez, pas plus différent que vous !
    Allez, on se retrouve au Club Med en Thaïlande !

  50. https://www.youtube.com/watch?v=XPptGOCL7wM
    Y a des moments comme ça où je regrette de n’être pas rentré chez les CRS, quel plaisir de tataner Besancenot et toute cette racaillerie gauchiasse qui empeste et pollue le pays ; je les trouve trop gentils nos CRS, il faut d’urgence embaucher des flics russes chez nous, pas de quartier, pas de détail, pas d’excuses, pas de compassion, une vraie police, pas des assistantes maternelles punies par leur direction si elles égratignent un infect gauchiste.

  51. @ Marcel P. | 13 mai 2018 à 09:07
    Elusen est un cinglé dangereux fiché C.. qui dispose d’une haine puissante et s’est échappé de l’hôpital psychiatrique où les fabrique Mélenchon.
    Il est toléré dans ce blog, comme l’était son compatriote Garry Gaspary qui voulait absolument déchristianiser la France ; cette générosité est faite pour prouver que nous ne sommes pas racistes, antisémites, xénophobes et que la parole est donnée à tous les fous qui veulent participer.
    Dans ces temps difficiles où les « souchiens » sont menacés de disparaître il faut accepter l’énergumène et le voir sans le lire, en rêvant que nous pourrions le regarder aussi dans la cage des singes d’un zoo, mais attention il prend également le métro, moyen de transport devenu excessivement dangereux.

  52. Catherine JACOB

    @ Pierre Blanchard | 13 mai 2018 à 22:15
    « SVP, sur ce sujet relatif à la copropriété, vous énoncez une contre-vérité, car, si la loi de 1965 n’évoque pas ce sujet, elle ne l’interdit pas… »
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006068256&dateTexte=20180513 »
    Dans ce lien que vous prenez la peine de me signaler, il est précisé ceci concernant le secrétaire de séance :
    Article 41-7 Créé par LOI n°2015-1776 du 28 décembre 2015 – art. 14
    « Lors de la réunion du conseil des résidents, un secrétaire de séance est désigné. Le secrétaire rédige le compte rendu de la séance, qui est cosigné par le syndic et adressé à tous les résidents et aux copropriétaires en même temps et selon les mêmes modalités que l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. Le compte rendu des réunions du conseil des résidents des trois années précédentes est remis à toute personne intéressée préalablement à la signature d’un contrat de bail d’habitation ou à la cession d’un lot dans la résidence. »
    Cosigné par le syndic signifie que le syndic n’est pas ce secrétaire de séance, du moins s’agissant du conseil des résidents.
    J’ai dans mes tablettes des précisions complémentaires que je vais consulter ultérieurement, ceci dit le syndic de copropriété ne saurait faire entériner un état de fait et s’autodésigner secrétaire de séance d’entrée de jeu, par exemple avant qu’un président d’AG n’ait été élu par l’AG et que chaque copropriétaire ou son mandataire présent, n’ait pu, s’il le souhaite, s’exprimer librement sur la candidature du syndic à la fonction de secrétaire de séance sans se faire violemment prendre à parti par ce dernier et ses sbires.

  53. Pierre Blanchard

    @ Catherine JACOB | 14 mai 2018 à 10:50
    Vous faites état de l’article 41-7 qui a été intégré dans le texte de la loi de 1965 régissant la copropriété par la Loi 2015-1776 du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.
    Ne me laissez pas supposer que vous confondez – volontairement ou non – la réunion du conseil des résidents avec l’assemblée générale de copropriété !!
    Quant à la tenue d’une assemblée générale de copropriété, il appartient aux participants d’en faire respecter les règles, et pour ce faire, de les connaître !
    J’ai dans mes tablettes des précisions complémentaires que je vais consulter ultérieurement…

  54. Savonarole

    Robert Ménard n’est que la feuille de vigne de petits bourgeois qui votent FN sans jamais l’avouer. Ces minables qui votent pour l’alouette Ménard pour faire passer le cheval FN.
    Ce petit pruneau, qui nous joue les indignés H24, n’a pas la carrure, une simple claque, 4 jours d’arrêt de travail, on ne peut pas demander à un Volfoni de sous-préfecture d’être le fils d’Alexandre…
    Heureux élu d’une ville malheureuse qui a longtemps pratiqué la tambouille électorale, il est devenu le roi des décombres, un coq sur un tas de fumier.

  55. Voici la vidéo des faits pour ceux qui ne l’ont pas vue, si elle n’a pas été postée avant ici.
    https://www.youtube.com/watch?v=Vsc_Xn7vzvc
    Ce qui me frappe dans cette vidéo, c’est qu’en dehors de la différence de qualité technique, ça ressemble étrangement à ces vieux films de la Libération où l’on voit dans quelque village de France que ce soit ces résistants de la 25e heure qui se sont terrés comme des rats pendant quatre ans venir tabasser le ou les collabos du coin et se montrer fièrement devant l’objectif, insultant et frappant les femmes tondues ayant eu le tort de coucher avec des Allemands ou de dénoncer.
    Bref, tout ça, les abrutis de Ménard ou les résistants de la 25e heure, la médiocrité de la populace quoi, pour amener une preuve de plus à la phrase d’Einstein : « Il y a deux chose infinies, l’Univers et la connerie humaine et pour l’Univers je ne suis pas entièrement sûr ».

  56. @ Elusen | 14 mai 2018 à 09:50
    Impossible d’être comme moi honorable jeune petit bétonnier inutile, vous n’avez pas encore réussi à faire un mortier présentable, qui plus est vous deviez être en formation, non ? Ou encore à déchiffrer la fiche technique de l’accélérateur, pas la pédale bien sûr.

  57. Savonarole

    @ boureau de 11:48
    « Vous vous croyez drôle… vous êtes pitoyable ! »
    J’étais on ne peut plus sérieux. Comment faites-vous pour déceler dans mes propos une drôlerie ?

  58. @ patriote | 14 mai 2018 à 10:49
    Waouh, c’est patriote qui accorde la parole, c’est son site rien qu’à lui.
    Il n’en a même pas les clefs, mais c’est à lui ; il est généreux avec les affaires qu’il vole aux autres.
    @ sylvain | 14 mai 2018 à 09:51
    Parce que devant la police russe vous seriez certains de survivre, d’avoir l’argent nécessaire pour corrompre ?!
    @ Giuseppe | 15 mai 2018 à 11:36
    « Impossible d’être comme moi honorable […] »
    Ainsi, je ne serai pas prêtre porté sur les enfants, je ne serai point comme vous, mais un bâtisseur dites-vous.

  59. Robert Marchenoir

    @ patriote | 14 mai 2018 à 10:49
    « Fiché C. »
    Très joli. Je note. Ca me resservira.

  60. @ Elusen | 15 mai 2018 à 17:01
    S’il faut expliciter… Décidément vous n’y arriverez jamais seul, honorable jeune petit bétonnier inutile.
    Vous cherchez toujours le volant du conducteur ? En principe accolé au tambour par une couronne, pas l’instrument bien sûr.

  61. @ Elusen | 15 mai 2018 à 17:01
    C’est vous qui le dites, et qui amalgamez… aussi bien que vous savez faire du liant… Toujours dans le tambour à tourner ? Ou auriez-vous donc fini votre stage de formation, car il vous reste beaucoup à apprendre, jeune… Enfin vous connaissez la suite et le dernier mot… inutile.
    « Hé bé, il tourne toujours… ». Eh oui !

  62. @ Giuseppe | 15 mai 2018 à 18:11
    Et au son du tambour, l’on fusille !
    Pour qui est cette couronne pleine d’épines ? mais pour vous !
    Les pieds coulés dans son béton, l’immigré au prénom italien cherche encore ce que l’on met après vieux c_n ; et cette fois-y ce n’est pas son voisin.

  63. @ Elusen | 16 mai 2018 à 01:26
    Le type est vexé ! En plus vous devenez vulgaire… pas bon signe ça ! Pauvre jeune petit bétonnier inutile, par contre évitez les postillons, c’est très désagréable pour les autres.
    Votre formation serait-elle enfin terminée ? Surtout ne me remerciez pas, dans deux heures je relève les copies.
    Adjuvant pas adjudant… et pas celui qu’on utilise en médecine… C’est plutôt encore mal parti.

  64. @ Elusen | 16 mai 2018 à 13:22
    Allez petit, très vexé ? Pas la pointure, laisse béton.

  65. Mary Preud'homme

    Ce pauvre Elusen tellement inculte dans notre belle langue qu’il ne comprend pas que le sein de leurs mères évoqué dans l’un des couplets de la Marseillaise n’est qu’une allusion au cœur meurtri des mères trahies. D’où l’expression s’arracher le cœur etc.
    Idem pour le refrain faisant mention du sang impur qui trouve sa justification (pour les vraiment obtus) dans le 4ème couplet que les démolisseurs de notre bel hymne n’ont sans doute jamais lu…

  66. Robert Marchenoir

    @ Savonarole | 15 mai 2018 à 19:46
    Vidéo intéressante, en effet. On remarque qu’Henry de Lesquen, après avoir été visiblement désarçonné par le coup de cochon de son intervieweur, qui s’avère être noir, reprend le dessus et gagne le combat haut la main.
    Quant au gros malin héros de la vidéo (dont nous ignorons l’identité, l’activité, etc.), il remplit parfaitement son rôle de Noir. La seule chose positive à mettre à son actif, c’est l’idée de l’interview et le culot de l’avoir mise en oeuvre.
    Pour le reste, ses questions sont nulles, alors qu’il avait sous la main son ennemi juré, l’incarnation du « raciste », qui s’était livré à sa merci. Et la réflexion qu’il fait après l’interview, sur le trottoir, est non seulement idiote, mais profondément hypocrite : comment peut-on ne pas aimer tous les humains, demande-t-il ? (Je ne garantis pas le mot à mot.)
    Comme s’il y avait un seul « humain », sur cette terre, qui aimait tous les « humains »… quelle que soit sa race, sa couleur de peau ou son origine ethnique ! Monsieur l’intervieweur noir a certainement des gens dans le nez, comme nous en avons tous. Sans même parler des « racistes », dont il lui reste à démontrer l’amour infini qu’il leur porte.
    Cela étant, de Lesquen est un abruti, et c’est très bien qu’il ait été mis à la porte de Radio Courtoisie, qu’il était en train de couler. Il faut avoir toute l’arrogance d’un énarque pour se « présenter » à l’élection présidentielle par pure vanité, sans la moindre chance non pas de succès, mais d’audience, avec un « programme » calculé pour provoquer le scandale, tombant objectivement sous le coup de la loi, et ce alors qu’on dirige une radio qui est dans le collimateur des autorités, parce qu’étant de droite.
    Je considère les opinions de de Lesquen comme généralement justes, à l’exception de son antisémitisme rabique, qui prend des formes non seulement extrêmes, mais insultantes. Il s’est permis de mettre en doute la déportation de Simone Veil au motif qu’elle n’était plus squelettique de nos jours (par insinuation, bien sûr ; il ne l’a pas dit aussi clairement…) ; et il a assisté au banquet annuel du journal Rivarol, dont le clou était un discours d’une heure de… Robert Faurisson, « expliquant » une fois de plus pourquoi les chambres à gaz « n’avaient pas existé ». Faurisson, accueilli par l’assistance, à son entrée, aux cris de « Faurisson ! a raison ! Faurisson ! a raison ! ».
    Même Jean-Marie Le Pen, qui assistait au banquet, a eu l’intelligence politique (ou l’hypocrisie, comme on voudra) de s’éclipser avant l’arrivée du négationniste en chef. De Lesquen, non. Toute l’arrogance du haut fonctionnaire qui, sa vie durant, s’est cru, avec quelque raison, hélas ! à l’abri d’une impunité absolue, lui permettant d’exprimer sa supériorité permanente par rapport aux citoyens normaux.
    Arrogance qu’il a appliquée avec constance dans sa gestion de Radio Courtoisie, en commençant par sa technique de débat, à l’opposé de la pratique bilgérienne : bien que patron d’émission, et donc chargé en principe de mettre en valeur ses invités, il passait son temps à les couper grossièrement pour leur imposer son point de vue à lui.
    Ne parlons pas de son comportement désastreux une fois que les patrons d’émission ont commencé par démissionner en masse : passage en boucle d’un enregistrement d’auto-promotion indécent, censé montrer que son prédécesseur, mourant, l’avait adoubé à la tête de la radio ; attitude insultante à l’égard des opposants, etc.
    Je passe sur l’archaïsme du site Web de Radio Courtoisie, tellement inutilisable qu’un auditeur en avait créé un autre, non officiel, à côté (également fait avec les pieds, mais passons). Presque du jour au lendemain, après l’éviction d’Henry de Lesquen, la radio se dotait d’un site Web digne de ce nom, dont les fonctions montrent, par contraste, à quel point le précédent était nul.

  67. Savonarole

    @ Robert Marchenoir | 16 mai 2018 à 18:10
    Bien d’accord avec vous.
    Cette vidéo m’avait été signalée par une amie en France, je ne connais rien de Radio Courtoisie qui n’arrive pas en Espagne où je vis.
    Cela m’a semblé être un dialogue entre Marx Brothers.
    Du coup j’ai adhéré au site de de Lesquen, c’est un cérébral fêlé, il est atteint du syndrome Docteur Folamour mais quand on défait le Mikado de sa pensée je dois avouer qu’il est pertinent.
    Sa faille, c’est en effet l’antisémitisme.

  68. Patrice Charoulet

    @ Robert Marchenoir 16 mars 18h10
    Moi, je ne connaissais pas ce Henry de Lesquen. J’ai écouté cette vidéo. Pour compléter mon jugement, j’en écoute une seconde, datant de 2017, j’entends ce monsieur dire, je cite : « L’antiracisme, c’est la mort de la France. »
    Ah bon ! Et donc, vive le racisme ? Et le racisme, c’est la survie de la France ?
    Candidat à la présidentielle ? C’est du propre !

  69. @ Giuseppe | 16 mai 2018 à 15:26
    Oh Giuseppe, vous allez finir gogo danseuse là ?!
    ———-
    @ Mary Preud’homme | 16 mai 2018 à 16:07
    Parler d’inculture quand on ne sait même pas que cela ne s’appelle pas la Marseillaise, mais :
    – Chant de guerre de l’armée du Rhin, dédié au Maréchal Luckner
    Source B.N.F : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9067388h/f2.image
    Sans aucun rapport avec la Révolution française !
    Et les enfants faisant la guerre ; remplir les sillons agricoles du sang des Autrichiens, trouver ça grandiose ! Y voir le cœur des mères !

  70. Faut un peu les excuser quand même ces gauchiasses anti-Ménard, quand pendant toute son enfance on a des parents gauchistes qui mettent dans le biberon de huit heures « les patrons c’est des salauds », dans le biberon de midi « manifs pour tous, qu’on n’ait rien à dire ou pas » et dans celui du soir des « Lénine Marx et autres Zola d’opérette » puis à la fin, avant de dormir un suppositoire « Tu seras un homme de gauche mon fils », ben ils ont quand même des excuses.
    Pour certains il faut quatre-vingts ans pour arriver à penser par soi-même.
    Y aurait-y pas un Badinter pour proposer une loi contre la conn… ?

  71. Jeanlire renaud

    Bonjour à tous,
    Je n’ai pas lu les autres commentaires et je ne les lirai pas, nonobstant je tiens à exprimer non pas ma solidarité avec Robert Ménard (un peu compliqué pour l’anarcho-syndicaliste que je suis !) mais oui, certainement oui définitivement : l’écœurement qui m’étreint devant une telle violence et, pire encore ?, la fausse indifférence affichée de beaucoup trop de gens (ou leur repentir hypocrite tel celui de Joffrin de Libé, beurk ; entre autres) ainsi que la stupéfiante et évidente collaboration des autorités de l’Etat face à un tel lynchage… Inadmissible, car il s’agit d’un élu de la République…
    Il me déplaît très profondément – c’est le moins que l’on puisse dire – que ce monsieur soit maire de Béziers mais enfin il a été élu, c’est un FAIT. Or nous ne sommes pas en guerre, car alors ce serait différent. In fine, qui est violent pour arriver au pouvoir le sera fatalement une fois arrivé au pouvoir : c’est prouvé !
    M. Ménard doit être battu par le biais d’élections comme il a été élu. Les gens qui l’ont agressé sont d’authentiques fascistes à mes yeux. Voilà, c’est écrit. Et que l’on me démontre le contraire.
    Certes, on me rétorquera éventuellement que la haine entraîne la haine et M.Ménard ne saurait s’étonner outre mesure du rejet qu’il peut susciter ; alors la violence verbale au besoin oui, violences physiques non non et non ! Méthode de fascistes !
    Ça oui, je refuse de saluer M.Ménard mais je l’incite vivement à porter plainte contre les auteurs fascistes de tels actes et que ces derniers soient sanctionnés comme il se doit. Non mais, salopards de fascistes. Fussent-ils « de gauche », fascistes d’abord et avant tout. Ces gens me dégoûtent. Non à la violence physique : règle de base de la démocratie.

Laisser un Commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *