Sa Gauche, sa France, son Echec…

Mais oui, faites du Sarkozy dans le texte, ne dites pas à votre lectorat de beaufs que l’extrémisme est consubstantiel à leur beaufitude, cela pourrait les heurter.
Il faut, en bon christianisé, toujours avoir pitié de la faiblesse des beaufs, et donc plutôt dire que si la France est extrémiste, ce n’est pas la faute des beaufs ni celle du Figaro, c’est uniquement la faute de Christiane Taubira. Car, comme le dit si bien N. Sarkozy dans ses beaux discours, ce n’est pas parce qu’on crache constamment sur les musulmans qu’on est islamophobe, ce n’est pas parce qu’on crache constamment sur les Juifs qu’on est antisémite, ce n’est pas parce qu’on crache constamment sur les Noirs qu’on est raciste, ce n’est pas parce qu’on affirme que la France est un pays de race blanche et de religion chrétienne qu’on est un communautariste antirépublicain, bref, ce n’est pas parce qu’on est constamment un beauf qu’on est un beauf.
Plus c’est gros, plus cela passe ! On peut tout oser dire avec les beaufs – c’est d’ailleurs à cela qu’on les reconnaît – tant qu’on les préserve de leur responsabilité, puisque les mots et la langue française n’ont absolument aucun sens pour eux.

Taubira aura réussi à écœurer la France entière, à part quelques détritus sociaux, beaufs gauchistes au QI de bulot, qui la soutiennent. Les vrais citoyens français auront subi humiliations sur humiliations de la part de cette ex-indépendantiste forcenée haineuse anti-France qui aurait dû pourrir dans des geôles républicaines si la justice n’était pas aussi détraquée et pervertie depuis Badinter puis achevée et terrassée par Taubira et son SM extrême gauchiste mur des cons ; mais les socialistes complices des « criminels romantiques » : terroristes politiques et maintenant islamistes, jouissent de s’entourer de malfrats de son acabit pour continuer leur oeuvre de destruction de la France et de toutes ses valeurs qui ont fait sa fierté, son histoire, sa culture, ses traditions et sa religion ; d’ailleurs Najat Vallaud-Belkacem a repris le flambeau de Taubira avec zèle et poursuit allègrement son programme malsain.
Et BRAVO à Zemmour pour son franc-parler.
Il gêne, tant mieux !

Brillant, juste et ciselé. Merci

Tiens, il semblerait que Gaspary et sylvain aient trouvé un point de convergence. Tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont des beaufs.
Comme quoi il est possible d’avoir des points de vue inconciliables et de développer des arguments similaires sur le plan formel. 🙂

« Si le bagne fut officiellement supprimé en 1938, ce n’est qu’en 1953 que les derniers forçats rentrèrent en métropole »
Aujourd’hui nous en recevons des comploteurs, des gens qui haïssent les Français et nous sommes incapables d’en faire un Guantanamo pour djihadistes… et pourtant !
Certains portent sur leur visage la haine ou la fumisterie et Hollande et Taubira forment un beau couple dont nous aurions aimé nous passer.
« En vérité, bientôt le rôle qui siéra le mieux à l’esprit sera le silence, et il n’y aura plus que les perroquets qu’on pourra louer de parler » (William Shakespeare – Le marchand de Venise – 1595)

Christiane Taubira est la femme à abattre pour les réactionnaires. La raison de cette haine ? La plupart des hommes politiques à gauche (Valls, Cazeneuve, Macron) ont des manières de gens de droite. Ils voient la France de la même façon qu’à droite. Ils donnent des leçons de morale mais veulent que rien ne change. Une ministre qui parraine Anticor ? impensable. Qui rappelle ce qu’est la laïcité ou même l’état de droit ? inacceptable. Non, ces gens préfèrent Rachida Dati comme garde des Sceaux. Elle joue aux cartes sur son portable en séance du conseil de Paris, elle cumule les salaires, elle ment aux journalistes, ça ne choque pas, elle n’est pas membre d’Anticor.

Je crois qu’il va falloir nous armer de patience sans quoi nous nous ferons des ulcères avant la fin des élections.
Préparons-nous donc à subir des discours vertueux, des professions de foi enflammées, des offres et propositions toutes plus alléchantes les unes que les autres, ce déluge persistant de mots et de gestes avec lesquels on nous prépare pour le vote. Les divas se succéderont sur le devant de la scène, grâce à la complaisance intéressée des media, qui servent d’entremetteurs entre les vedettes de la politique et « les anonymes » que nous sommes ; toujours dans le même sens, d’ailleurs, vertical et de haut en bas, comme ils disent, c’est-à-dire d’eux à nous. Ils choisiront pour nous les plus croustillants, les plus dramatiques, les plus hauts en couleur, ce qui ne les empêchera pas de les ridiculiser pour ajouter encore un peu plus de piment à la sauce. Out les discrets, les réfléchis, les raisonnables. Il faut du storytelling pour le peuple, cette multitude passive avide de téléréalité et incapable de savoir ce qui est bon pour elle.
Taubira, ses envolées et ses moues méprisantes figure en bonne place dans ce carnaval. Elle n’est pas la seule. Comme beaucoup de Français, je me suis imperméabilisée et je m’oblige à considérer le défilé bigarré avec une mansuétude zen, de façon à préserver ma bonne humeur. Ils sont creux, et la vie est ailleurs. Nous avons pris ces dernières années de telles doses de vaccin que les rappels sont inutiles : quand bien même y aurait-il toutes les deux heures une déclaration fracassante, par exemple un sacrilège contre la République, un pronom sexiste, ou les mots « immigration clandestine » et « trop » associés, nous avons appris à ne pas dire ce que nous pensions et nous attendrons tranquillement les élections pour tenter de nous faire comprendre.
Je suis mithridatisée contre Madame Taubira, ses écharpes, ses minauderies et ses citations de Prisunic. On nous la ressort à point nommé pour agrémenter la potion ; plus on est de fous, plus on rit. Oui mais voilà, on connaît son numéro par cœur, on n’a même plus besoin de la regarder. Un croisement clownesque entre la Castafiore et Cosette, mais pas le droit de rire c’est une icône, et qui plus est l’icône de la gauche. Quoi la gauche a besoin d’icônes !? Eh oui, elle est confite en dévotion.

Avez vous lu le plan de Cazeneuve pour répartir les migrants de Calais (la première page du Figaro de ce jour) soit pour l’instant 12 000 personnes.
Il faut dire que les Anglais n’en veulent pas alors que ce sont principalement des ressortissants de leurs ex-colonies qui veulent entrer à la maison mère et comme d’habitude ce sont les condoms qui doivent en pâtir, d’ailleurs certains Anglais envahissent quelques départements français.
Donc Cazeneuve se débarrasse de Calais, OUI MAIS, cela n’est pas nouveau et de nombreuses communes de notre pays supportent déjà à bout de bras ce fardeau.
L’invasion ne s’arrêtera pas là et l’on recommencera à voir le général Cazeneuve diriger ses troupes dans les villes et les campagnes de France.
Sa tâche accomplie le général Cazeneuve immigrera à son tour !

@ duvent | 13 septembre 2016 à 11:34
J’aime bien Bacri comme acteur mais comme citoyen je ne sais ce qu’il vaut, donc no comment, un acteur n’étant somme toute qu’un rouage dans une production…
J’aime bien Zemmour pour son côté rebelle et à contre-courant.
Et j’aime bien aussi ce que vous dites de Zemmour.
En effet pourquoi critiquer un prénom d’autant qu’Eric est d’origine suédoise 🙁
Tous les Français ne peuvent se prénommer Pierre, Paul ou Jacques, et il n’y a que dans les pays d’Amérique du Sud ou en Espagne que certains se prénomment Jésus.
En même temps Jésus Zemmour ça en aurait j’té 😀

En descendant Taubira, évitez de porter aux nues cet imbécile de Zemmour.
Ça décrédibilise totalement votre propos.

Alain Finkielkraut, membre éminent de l’Académie, appelle au « djihad laïque ». Causeur s’en fait l’écho. Le niveau atteint devient stratosphérique. Grasset, lui, va publier « Le fascisme islamique », ouvrage que Le Monde qualifie de brûlot. Son auteur énonçait dans sa version originale publiée en Allemagne, ce qui serait expurgé, que « l’islam est à l’islamisme ce que l’alcool est à l’alcoolisme ».
Le doux régime des peurs est prêt à s’enflammer.
Il y a quelques jours, dans Le Figaro, dans le maelstrom des commentaires suscités par la prétendue agression de Toulon présentée sous le titre « Violemment agressés parce que leurs femmes sont en short », un commentateur a évoqué « une Saint-Barthélémy que nous appelons de nos voeux ».
La modération n’a apparemment pas « tiqué ».

Les mots « Ma gauche, ma France » n’ont pas été prononcés par Christiane Taubira au cours de cet entretien. C’est Libération qui le résume ainsi. Il s’agit certes d’un bon titre, qui synthétise de façon particulièrement saisissante l’esprit de la parole taubiresque.
Mais l’on s’étonnera qu’un journal aussi manifestement favorable envers l’ancienne ministre de la Justice choisisse de présenter ainsi les propos de son idole, sans comprendre qu’il s’agit là d’une formulation extrêmement incriminante, révélatrice du mépris dans lequel elle tient à peu près tout le monde — et les Français au premier chef, bien entendu.
Ma France ? La France lui appartient ? Elle aurait la liberté de sélectionner, au sein de la France, les parties qui lui conviennent et celles qui ne lui conviennent pas ? Il lui serait permis de peindre la France sous les couleurs de son choix, en ignorant ce qu’elle est réellement ?
L’arrogance de cette femme est véritablement sidérante. La France, et même la gauche, ont existé bien avant elle. Cette combinaison du possessif avec la table rase communiste rappelle une idéologie qui a fait cent millions de morts en un siècle. Merci, mais non merci.
Libération n’exagère nullement, hélas. Regardez :
« La France, je la connais bien depuis longtemps. Franchement, je suis inquiète et, en même temps, j’ai encore une grande confiance dans ce pays. C’est un pays que j’ai beaucoup idéalisé quand j’étais enfant et adolescente. Et ce qu’il y a de merveilleux, c’est que ce pays que j’ai idéalisé, je le rencontre. »
Comment expliquer de façon plus claire que Christiane Taubira se considère, elle-même, comme une étrangère, comme une immigrée ?
Elle connaît bien la France depuis longtemps ? Certes… par définition, puisque, sur le papier, elle est française !… Imagine-t-on un Français dire « Je connais bien la France depuis longtemps » ? Un Français de douze ans connaît la France depuis douze ans, un Français de quatre-vingts ans connaît la France depuis quatre-vingts ans, et ni l’un ni l’autre n’éprouvent le besoin de le préciser…
En revanche, d’une Guyanaise communiste qui a passé toute une partie de sa vie à réclamer l’indépendance et à lutter contre la France, on peut comprendre qu’elle annonce aux gazettes sa découverte de « ce pays », et son émerveillement consécutif.
Ce pays, qu’elle a « beaucoup idéalisé quand elle était enfant et adolescente ». A un moment, donc, où, si les mots ont un sens, elle n’était pas française.
Après l’avoir idéalisé, elle le « rencontre » maintenant, et c’est « merveilleux ». On se passerait volontiers de l’émerveillement de Madame Taubira, qui nous annonce de surcroît qu’elle « a encore une grande confiance » en nous.
Madame est vraiment trop bonne. Maman a confiance envers ses petits chenapans, mais elle est quand même au bord du cracking nerveux, il ne faudrait pas que cela dure « encore » trop longtemps.
On comprend donc la politique viscéralement immigrationniste de Christiane Taubira : elle a exactement la même attitude que tous ces immigrés venus chez nous sans avoir été invités, plus précisément : contre notre volonté, et qui nous expliquent que les droits de l’homme c’est pas ça, qu’ils sont tout à fait déçus qu’on ne les accueille pas à l’aéroport avec le tapis rouge, une limousine et des jeunes femmes pas farouches, et que non, vraiment, ce manque d’égards n’est pas à la hauteur de « la France des droits de l’homme ».
Qu’ils connaissent, eux aussi, « depuis longtemps ».
La France, c’est un hôtel : t’arrives, tu poses tes valises, mais la différence avec un hôtel, c’est que si la gueule du tenancier ne te revient pas, t’as le droit d’appeler la police et les médias, et de faire retapisser ta chambre dans la couleur qui te plaît. Alors, quand tu es « ancienne garde des Sceaux », je te dis pas…
« Moi président » ayant fait une fleur inespérée à « Ma gauche, Ma France » en la nommant ministre, elle a désormais carte blanche (oh ! pardon…) pour expliquer à Sa France ce qu’elle doit être.
Le ressentiment de Christiane Taubira, sa volonté de prendre sa revanche contre une nation qu’elle n’a jamais cessé de percevoir comme esclavagiste, son sectarisme ethnique et sa volonté de tout voir à travers le prisme racial, éclatent dans cet ahurissant échange avec les journalistes de Libération :
Libération : La droite a réussi à installer dans l’opinion publique l’image fallacieuse [c’est moi qui souligne] d’une Taubira ministre de la Justice laxiste, qui vide les prisons, alors que votre bilan dit le contraire. Est-ce que vous n’avez pas, vous aussi, une part de responsabilité dans le fait d’avoir perdu cette bataille d’image ?
Christiane Taubira : (Elle se met en colère) Oui, c’est cela, la femme violée, c’est à cause de sa minijupe. […] J’ai eu le droit à tout, y compris à des attaques racistes. […] C’était devenu pathologique, il fallait taper sur Taubira. Moi, je n’ai pas les compétences pour guérir les gens du Figaro. Et alors, vous osez me dire que je suis responsable si des gens répétaient inlassablement que Taubira vidait les prisons… alors que les prisons sont archipleines. On m’a même accusée de connivence avec des terroristes. La violence, c’est moi qui la ressens. Elle est infinie, cette violence, là. Et aujourd’hui, c’est moi qui dois en répondre, c’est moi qui dois m’en expliquer… Ce n’est pas Sarkozy, ce n’est pas Ciotti, Copé ou Estrosi, ce ne sont pas tous ces gens violents qui disent ou laissent entendre que ceux qui ont une tête comme la mienne n’ont pas leur place dans notre pays… (Elle claque son cahier, hésite à quitter la salle).
Donc, Libération se met en quatre pour manifester sa servilité envers Christiane Taubira, les journalistes insèrent la réponse dans la question en prétendant que la ministre a été injustement critiquée — mais il faut tout de même qu’ils fassent semblant de poser une ou deux questions plus gênantes que le très compromettant « Est-ce que la vie est belle ? » qui a démarré l’entretien.
Et Taubira explose. Sa vraie nature éclate. Son « Noir intérieur » (comme on dirait aux Etats-Unis, avec un terme moins aimable) s’empare du terrain.
Elle est une femme violée. Critiquer une ministre de la Justice noire, c’est aussi grave que violer une femme. Personne, jusqu’à présent, n’a parlé de couleur de peau ; mais elle sort le joker racial, se plaint d’imaginaires attaques racistes (j’aimerais bien qu’on m’indique à quel moment « Sarkozy, Ciotti, Copé ou Estrosi » se seraient livrés à des attaques racistes à son égard) ; elle trace une équivalence scandaleuse entre la violence meurtrière, bien réelle, des criminels qu’elle s’est employée à favoriser, et une imaginaire « violence infinie » dont elle aurait été victime de la part de l’opposition… Sans oublier d’insulter les journalistes et les lecteurs du Figaro (le plus ancien quotidien de « ce pays merveilleux »), en les traitant carrément de malades mentaux.
Et elle claque son cahier. Elle hésite à quitter la salle. Même des journalistes aussi ouvertement gauchistes que ceux de Libération se sentent obligés de mentionner le chantage auquel se livre l’ancienne ministre de la « justice » à cet instant : je suis irresponsable ; je n’ai de comptes à rendre à personne ; il est interdit de me critiquer. Si vous me demandez de me justifier, même au nom de critiques émises par d’autres, même au nom du combat politique, alors vous êtes racistes et vous n’aurez plus jamais l’honneur de m’interviewer.
C’est ce qu’on appelle, aux Etats-Unis, la « race card ». La discussion se déroule normalement, jusqu’à ce qu’un membre d’une race supérieure sorte le joker de son jeu : il est noir. Si vous dites quoi que ce soit pour le contrarier, eh bien c’est que vous êtes raciste.
Et il va se mettre en colère, hein. Il est indigné. C’est lui qui est l’offensé, pas vous…
A noter que c’est exactement la même tactique qui est employée par les islamistes qui excusent, et donc encouragent, le terrorisme musulman. Que Madame Ma gauche-Ma France était censée combattre, si je me souviens bien.

On les a assez vus ces soi-disant marchands de bonheur et le moi Président qui a affaibli la France et qui continue à pavoiser.
Dehors messieurs dames, il faut laisser la place à l’alternance.

En acceptant de porter et défendre la loi sur le Mariage pour tous, Christiane Taubira n’a pas hésité à s’opposer à la majorité des élus ultramarins de droite et de gauche confondus (cf discours célèbre du député martiniquais socialiste Azerot), voire à se renier totalement pour faire son cinoche à l’AN. A noter que sa propre suppléante à Cayenne l’avait désavouée en votant contre. De même que plusieurs opposants antillais de gauche. Voir aussi la réaction des élus de Polynésie qui avaient fait savoir lors de la promulgation de ladite loi, contraire en tout point selon eux aux valeurs traditionnelles de ces territoires, qu’elle ne serait pas appliquée.
Et c’est cette même Taubira qui vingt ans plus tôt prétendait défendre bec et ongles la culture de « son peuple » et de tous les anciens colonisés ! Pour l’auteur d’une loi mémorielle dont elle fut l’instigatrice, quel manque de mémoire et quelle servilité à l’égard d’un pouvoir fantoche qui ne l’a utilisée que pour servir ses plus sales besognes ! En voilà une en tout cas pour qui passer du marronnage mis en scène au maroquin (nonobstant ses beaux discours) n’a pas posé de problèmes de conscience. Et qui tout en se posant en modèle et donneuse de leçons s’apprête à récidiver dans le léchage honteux du batbou Hollande !

A quoi sert donc madame Taubira ? A la gauche ? Aux Guyanais ? A quoi servent donc ses interventions dans le champs symbolique, c’est-à-dire pour ce qui est de l’enrichissement et de l’élévation du débat public ?
Madame Taubira n’est qu’une pommade pour des gens de gauche qui sont aussi déçus de l’évolution du monde que des réalisations de leurs gouvernements ; elle sert à leur faire croire que tout n’est pas perdu en les faisant rêver un peu. Les gens qui l’aiment bien, l’aiment parce qu’elle les fait rêver, autant les journalistes que le quidam de gauche moyen, du fait qu’ils voient en elle une sorte d’incarnation de leurs « valeurs ». C’est leur Jeanne d’Arc. La réalité n’a pas plus d’impact sur son image qu’elle n’en avait sur Marilyn Monroe ou sur Reagan pour leurs admirateurs, car elle est un phantasme, un mirage qui fait plaisir à ceux qui aspiraient à une Jeanne d’Arc noire et de gauche. Et bien sûr le corollaire de cela c’est l’obligation d’être un personnage tragique pour conserver le patrimoine de son rôle, donc de le devenir… Ainsi, dès qu’elle est critiquée, c’est un outrage perpétré envers l’humanité, un blasphème incroyable contre le bien, auxquels elle sait faire face avec un courage non moins incroyable, comme pour Marilyn ou Reagan, ou Lady Di. Les gens veulent décidément qu’on leur mente avec des mensonges bêtes, et parmi toutes les illusions aiment à choisir celles qui les consolent plutôt que celles qui les angoissent.
Gageons que cette dame fera tout pour ne pas quitter la lumière des projecteurs, elle ne peut exister que comme cela, elle a autant besoin de ses fans qu’ils croient avoir besoin d’elle, elle est la fausse authenticité qui leur sert de calmant et qu’ils réclamaient à ceux qui ont le pouvoir et qui ne les feront plus rêver… « Mentez-nous bien, et on fera semblant de vous croire ».
Finalement, il y a fort à parier que madame Taubira continuera à chercher la lumière artificielle car tout mensonge a besoin d’une logistique du mensonge pour exister.

@ breizmabro |e 13 septembre 2016 à 10:18
Votre rappel de la mise en piste de Mme Taubira par cette fripouille de Bernard Tapie est pour le moins judicieux. Il démontre aisément que cette icône de la gauche a pour le moins des convictions fluctuantes et n’a été et n’est en politique qu’opportunisme éhonté. A ce sujet il n’est pas inutile de rappeler les « hauts faits » émaillant sa carrière :
En 1993 elle vote la confiance au gouvernement Balladur, puis son budget.
Quand elle a accepté d’être candidate sur la liste des Européennes en 1994, elle ne pouvait ignorer que cette liste avait initié et soutenu pas François Mitterrand afin de torpiller Rocard qui conduisait la liste officielle du PS. De même elle savait fort bien qui était cet affairiste de Tapie flirtant sans cesse avec l’escroquerie !
Trois ans après, lors des législatives de 1997, elle rallie sans état d’âme le PS. Là, grâce à l’appui de Lionel Jospin et du PS, en mai 2001 elle fait voter cette monstruosité historique qu’est sa loi mémorielle sur l’esclavage. Pour remercier Jospin de son appui pour le vote de cette loi, elle regagne le Parti radical de gauche (animé toujours en sous-main par Tapie) et se présente contre lui en 2002 pour la présidentielle et mène une campagne virulente à son égard. Ses 2,32 % de voix obtenues au premier tour contribueront largement à l’élimination de Jospin.
Après la victoire de Sarkozy en 2007, elle se rapproche de lui et se voit confier par ce dernier une mission sur les accords de partenariat économique entre l’Union européenne et les pays ACP.
François Hollande malgré tout son machiavélisme devrait se méfier de son « marqueur de gauche » car il n’est pas exclu qu’elle lui fasse un coup de Jarnac : ses rancoeurs n’ont d’égale que son ambition.

Cher Philippe,
L’avantage dans le jeu de l’oie, c’est qu’il n’y a pas de dame et pas d’échec.
La chance peut faire sortir de prison, lorsque l’on tombe dans le puits, la chance peut nous en extraire…
Il suffit de faire rouler les dés sur le tapis.
Il n’y a pas de nécessité d’anticipation, de mensonge, de déni ni d’action.
Pour construire des projets de société ou des prisons, il faut un minimum de capacité de courage à anticiper et mesurer les conséquences de paroles dites.
Dame Taubira a apporté un brin de poésie dans l’austérité de la justice. Elle a su garder sa personnalité entière et s’apprête à vendre cette dernière qualité au « Maudit ».
Ce gouvernement gommette colorée lance ses derniers assauts dans la mise à mort de la charcuterie, drôle de façon de valoriser les atouts gastronomiques de la France et suit avec fébrilité la fin de l’histoire du rail.
Dame Taubira a participé élégamment au court-circuitage des valeurs françaises.
Son but n’était-il pas de saborder les dernières bases des institutions ?
françoise et karell Semtob

@ Catherine JACOB
C’est fou, cela : avec ce blog, vous avez sous les yeux quotidiennement la réalité de la violence verbale que les musulmans doivent subir de la part des beaufs christianisés et je ne vous ai jamais vu la commenter.
Et vous voulez que moi, je commente des cartes ou des statistiques à deux sous qui représentent une réalité plus que douteuse étant donné la quasi impossibilité de l’établir concrètement ?
Contrairement à vous, je n’ai pas de temps à perdre.
@ genau
Bravo, vous avez tout compris au sarkozysme qui divise les citoyens français en trois catégories :
– les pensants, comme moi, dont la particularité est de parler français, et ainsi d’être capable d’appeler un chat un chat, un antisémite un antisémite, un islamophobe un islamophobe, un raciste un raciste etc. Pour le sarkozysme, penser, c’est être de gauche, c’est donc tout à fait inutile.
– les braves gens, comme vous, que le sarkozysme nomme le peuple français et qui sont les antisémites, les islamophobes, et les racistes dont personne ne doit dire qu’ils sont antisémites, islamophobes ou racistes parce qu’ils doivent voter N. Sarkozy pour les primaires puis pour les présidentielles, et que N. Sarkozy est bien évidemment un candidat républicain qui ne peut être élu par des antisémites, des islamophobes et des racistes.
Les braves gens ne pensent pas, ils croient, et ils croient notamment tout ce que N. Sarkozy, ou Zemmour, ou Onfray, ou Houellebecq, etc. racontent.
– les extrémistes qui sont les antisémites, les islamophobes, et les racistes dont tout le monde peut dire qu’ils le sont, et que c’est mal de l’être, bouh, que c’est honteux, vu qu’ils vont voter pour Marine Le Pen, l’immonde fasciste, bouh, qu’elle est pleine de haine comparée au petit Nicolas !
Les extrémistes mentent et ils mentent particulièrement lorsqu’ils parlent de N. Sarkozy.
Sur le reste, je suis comme C. Taubira : je n’ai pas les compétences pour guérir les beaufs de ce blog ou d’ailleurs qui sont aveugles uniquement parce qu’ils n’ont pas la volonté de voir, par contre, je suis un expert pour souligner leur beaufitude et ainsi faire en sorte que ceux qui ne sont pas beaufs ne le deviennent pas malgré l’air du temps sarkozyste qui les pousse en ce sens, et qu’ils ostracisent au quotidien les beaufs autant que faire se peut afin que leur influence disparaisse totalement de France.

@ A ceux qui lisent encore la prose du beauf GG
Définition du beauf de Cabu (créateur de la BD du même nom) :
Le beauf est censé représenter un type de français moyen : bedonnant, moustachu et chauvin, généralement électeur de droite, mais à l’occasion un électeur du Parti communiste français, voire de Mélenchon, et est souvent décrit comme raciste.
Depuis les années 1990, Cabu a créé une version plus urbaine, plus « branchée », coiffé en catogan, avide de produits de luxe, le nouveau beauf vote à gauche, se dit écologiste tout en roulant en 4 x 4, travaille dans la pub, et déteste le beauf « de base ».

@ Garry Gaspary | 14 septembre 2016 à 08:34
Dans votre énumération, vous oubliez les cinglés, les couillons, les antifrançais, les pauvres types c’est-à-dire ceux dont vous êtes membre.
Vous avez de la chance que monsieur Philippe Bilger accepte de diffuser vos insanités. Il y a eu et il y aura toujours des gens comme vous qui n’êtes même pas reconnaissants à la France de vous accueillir, de vous nourrir, de vous héberger.
Pauvre type.

Boudiou que M.Gaspary est emporté……….mais gentil au fond, je fais partie des braves gens, antisémites, islamophobes et autres calissons. Après tout, il a sans doute raison, mais surtout, il fournit les critères de la pensée dictatoriale : d’après une idée unique, les catégories, on range les gens à partir d’un critère unique. Pourquoi pas ? Ca ferme un peu la controverse…

Les duettistes Ben Gaspary et Tomas nez rouge c’est kif-kif bourricot !
Le clown blanc du blog pourfendeur de chrétiens a trouvé son Auguste de couleur en la personne de Tomas…
Sniff ou shoot ?

@caroff | 13 septembre 2016 à 15:35″
« J’ai trouvé une occupation pour Taubira ex-indépendantiste guyanaise : contribuer au redressement de ce département français qui subit la violence et le sous-développement depuis pratiquement le 18ème siècle. »
Peut-être que pour se préparer à faire la part des choses, elle devrait commencer par faire une petite retraite dans les montagnes du Yunnan.
Là elle verrait comment cela se passe pour des gens que personne n’a jamais déplacés mais simplement oubliés…!

Dame Taubira, comme la nomment françoise et karell Semtob, me fait penser à notre Garry Gaspary… des êtres qui détestent les Français et qui ne leurs apportent que la haine en échange de tous les bienfaits que nous leurs donnons.
C’est gens-là nous poussent à devenir racistes comme le sont presque tous les noirs et les arabes ! Ils sont d’ailleurs les dupes et les électeurs du PS, du PC et de Mélenchon !

Dans la cathédrale de la vulgarité Yrrag Yrapsag, il ne faut pas manquer de se rendre dans la chapelle de Saint-Fécond, dédiée à la Gagasparytude, l’un des cinq fléaux de ce blog. Vous pourrez y rencontrer un vieux bigot, un cierge à la main (réalisation partielle de son rêve), en train de murmurer des bribes d’épître dont il nous a donné des extraits le 14/09 à 8h34 :
« Les pensants, comme moi, dont la particularité est de parler français (sic) et d’être capable d’appeler un chat un chat…
Les braves gens comme vous, ne pensent pas, ils croient…
Je suis un expert pour souligner leur beaufitude et ainsi faire en sorte que ceux qui ne sont pas beaufs ne le deviennent pas… »
Ainsi parla le prophète. Non, ce n’est ni du Zarathoustra, ni du Bitaura, ni du Bricotarama, ce n’est que de la boursouflure de lieux communs, à rase-bitume, engoncée dans son petit moi-je sordide de gauchiste raté. De telles flatulences justifieraient un début de censure !
Il me fait penser à Renaud qui s’est fait tatouer la figure du Christ avec ces mots : « comme lui j’ai souffert », et qui est applaudi. Il vaut mieux ne pas être modeste que d’avoir des raisons de l’être (attribué à Napoléon ?).
S’il existe une «journée mondiale » contre la bêtise (restons polis) – il y en a bien une pour la paix ! – il faudra les mettre, ces deux-là, en effigie dans le défilé, juste à côté de la Déclaration des Droits de l’Homme. Parce que, des « pensants » comme ça, on en rencontre beaucoup du côté de l’Elysée et de la rue de Solférino ou de Bercy, pleins de résilience comme dirait Boris qui s’y connaît en textes abscons et en misères mentales.
Qui dit « pensant » dit généralement maître à penser. Je suis certain que celui de Yrrag est Christian Hahnemann. L’inventeur de l’homéopathie.

Je vois que certains ici sont au bord de l’apoplexie en lisant les commentaires de Gaspary et je suis certain que celui-ci doit trouver cette situation particulièrement jouissive.
La meilleure preuve est que, malgré les invectives et vociférations qui ne cessent de tomber sur sa pauvre tête, il continue ses provocations comme si de rien n’était, les agrémentant au passage de petits qualificatifs, au demeurant pas très recherchés, comme beaufs ou abrutis qui relèvent du vocabulaire niveau bistrotier.
En ce qui me concerne j’ai pris le parti de ne plus répondre à cet individu directement. C’est le traitement qu’il convient d’apporter à ce genre de pollueur qui vient sur un blog uniquement dans l’intention d’y semer la zizanie.
Par contre ce qui devient pénible c’est le nombre de commentaires qui lui sont consacrés au détriment du billet en cours qui pour le coup est presque totalement occulté.

Toutes proportions gardées, Christiane Taubira me fait penser à Winnie Mandela, jadis authentique résistante et combattante contre l’apartheid, une domination inique, mais qui n’avait pas su évoluer (à l’image de son propre conjoint Mandela ou encore d’un Luther King ou d’un Césaire, etc.) afin de quitter sa dépouille victimaire et mener un combat pour des valeurs universelles et par conséquent étrangères à tout communautarisme réducteur. Les trois précités ayant su se préserver (pour faire triompher leurs idées) de toute haine et esprit revanchard qui non seulement les auraient mis au niveau de leurs bourreaux mais surtout enchaînés à eux…
CT devrait aussi relire utilement un essai écrit par Françoise Vergès « La mémoire enchaînée » et surtout en tirer des conclusions pour elle et par conséquent en finir avec cette rente de situation que constitue (selon elle) sa négritude.
Qu’elle lise aussi « Bonjour et adieu à la négritude » de René Depestre qui en matière d’épreuve et de combat contre les dictatures (non fantasmées mais bien réelles à commencer par celle de papa Doc) pourrait lui en démontrer.

@Mitsahne | 14 septembre 2016 à 17:19
« Il vaut mieux ne pas être modeste que d’avoir des raisons de l’être (attribué à Napoléon ?)
On demande à Churchill de faire un discours à l’occasion des funérailles d’un amiral qu’il ne supportait pas en peinture.
Après une courte biographie du défunt, il conclut : « Il était d’une incommensurable modestie et avait toutes les raisons de l’être… »
Toutefois en matière de vacheries on imagine très bien Napoléon dire la même chose.

@ Alex paulista | 14 septembre 2016 à 16:54
« Heureusement l’ultra majorité des gens se moque royalement de la religion. Ça arrivera aussi aux musulmans de France. L’islam se délitera et c’est ce qui nous sauvera.
Vous pensez apparemment que les 2,35% d’athées + 11,27% de sans religion soit les 12,27% des 7 400 000 000 qui constituent la population mondiale autrement dit 895 000 000, se trouvent tous dans notre pays de 65 000 000 d’habitants ainsi qu’en Europe 510 000 000 pour 28 états, mais où répartiriez vous les 385 000 000 d’incroyants restants ?
Ceci dit, restent 6 504 290 000 de croyants dans le monde dont vous faites quoi ?

@Claude Luçon
Bigre, vous étiez à jeun. Et en plus vous prétendez faire de l’humour. C’est plus grave que je ne le croyais !

La « taub » est un mot très vulgaire pour un arabe, il semble même que ce soit carrément de l’argot pornographique. En tout cas, le petit sourire est très graveleux.
Un deuxième tour Le Pen contre Taubira serait catastrophique pour Sarkozy et Hollande, un grand moment de démocratie démagogique.

@citron vert à 18:30
Inutile d’attendre dix ou vingt ans. On est en plein dedans et dans un sacré « bordel » à cause de tous ces politiques lâches et sans aucune ambition pour le pays. Ce qu’il convient de faire c’est rendre la France aux Français (de Gaulle), tel qu’était le pays avant les années 1972.

@ Catherine JACOB | 14 septembre 2016 à 18:35
Moi c’est la France qui m’intéresse, pas le Qatar.
La France est le pays où un vieil ami qui est juif et marié avec une musulmane m’invite à dîner en écoutant du Joy Div. Au menu, on teste une choucroute halal, le tout autour d’un petit vin rouge comme le Juliénas, voire un petit gris de Boulaouane acheté au dernier moment à l’épicier du coin ouvert jusqu’à 22h.
C’est ça la religion en France pour 80% des Français. C’est le délitement des religions, ou mieux la dilution dans la société de ce qu’elles contiennent de meilleur, l’esprit et la culture.
Ne me dites pas que ce que je vous décris là n’existe pas et que nous sommes entourés de burqas, ce n’est pas vrai.
La France, c’est des Karim avec des Laure, des Samira avec des Philippe, des Benoît avec des Samia, des gens d’origine maghrébine qui font partie intégrante de la France. Sans eux elle ne serait plus ce qu’elle est.
Les enburqanées fantasmatiques et les gens de culture musulmane qui méprisent les « mécréants » ne sont pas la règle, ils sont l’exception.
Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain, le monde nous regarde.

@ citron vert
Il est vrai que question humour ce Luçon fait très fort. A condition d’aimer les ragots, l’injure et la diffamation gratuite. Morceau choisi :
« @Mary Preud’homme
« …Et vous vous êtes une vache (ou une mule ??) de quelle nationalité ?
Encore qu’on peut avoir des doutes sur votre sexe puisqu’il y a un/une Mary Preud’homme sur Internet qui ressemble à un homme…/…
Ne pas savoir quel est son sexe doit effectivement vous donner de très sérieux complexes et certains problèmes dans vos relations intimes… »
Rédigé par : Claude Luçon | 06 septembre 2016 à 19:19 sur le billet intitulé Macron enlève le haut.
A votre avis qu’ont pensé mes intimes qui ont pourtant de l’humour, en découvrant ces basses calomnies ? Alors que dans mon propos initial je ne visais personne en particulier et surtout pas lui. Croyez-vous que ce genre d’attaque de la part d’un vieil aigri les a fait rire ou révolté ?
Il est vrai que comme l’a fait remarquer un commentateur sur un autre sujet, ce nouveau venu qui s’étale depuis peu de façon ridicule était peut-être bourré…

@ Marc GHINSBERG
Ne parlez pas d’humour, vous n’avez pas la moindre idée de ce que c’est.
Qui a jamais vu ou connu un banquier ayant le sens de l’humour ?
@ Mary Preud’homme
Vous avez la mémoire courte ! Attention, Alzheimer rôde dans vos parages !
Vous oubliez de mentionner que je répondais au fait que vous écriviez que tous les Français, dont je suis avec un grand nombre des commentateurs de ce blog y compris son auteur Philippe Bilger, étaient des veaux.
Et ce n’était pas la première fois que vous nous insultiez, nous Français.
Je sais maintenant qu’en dépit du « Mary » vous êtes aussi française donc je ne me trompais pas en utilisant « vache » à votre égard, car si comme vous le proclamez nous sommes tous des veaux vous êtes nécessairement une vache. Bien sûr j’aurais pu écrire « génisse » mais je l’utilisais aussi dans l’autre sens, à savoir que vous êtes plutôt « vache » dans vos commentaires. Dans le sens de « méchante » bien sûr, mais vous n’aviez peut-être pas saisi la subtilité.
Quant à être bourré j’ai le regret de vous annoncer, ainsi qu’à Marc Ghinsberg, que l’Afrique a ses bébêtes, dont les amibes et les moustiques, auxquels j’ai été soumis pendant mes années africaines et qui m’ont laissé un estomac et des tripes qui n’acceptent plus l’alcool. Donc je ne peux plus boire depuis une dizaine d’années.
Les seules choses qui peuvent me « bourrer » sont vos commentaires et ceux de M.Ghinsberg.
@ citron vert
Pardonnez-moi de vous répondre sur le même commentaire que ceux adressés à Mary Preud’homme et Marc Ghinsberg, mais par courtoisie je veux éviter une double tâche à Mme Bilger qui est déjà d’une patience qui suscite l’admiration.
N’y voyez surtout pas d’offense, j’apprécie votre amabilité.
Vous me posez une question complexe pour deux raisons :
– la première raison parce que je suis né d’un père, grand mutilé de 14/18, durant la Grande Dépression et ai connu la France en très sérieuses difficultés, j’avais 32 ans quand je l’ai connue en paix pour la première fois.
Ce que je sais est qu’il y a une force puissante au sein et dans le sang du peuple français qui ne se voit pas tant que les choses restent dans des limites contrôlables. De loin, à l’étranger, j’ai pu le vérifier.
Pour moi les clowns de Daech, les difficultés financières, la CGT, qui n’empêchent nullement les Français de partir en vacances en été et en hiver, sont encore dans les limites du supportable. Que les journalistes fassent un concours de scoop de mauvaises nouvelles entre eux me laisse totalement indifférent.
Pensez-y et comparez ce qui se passe aujourd’hui avec 14-18, la dépression de 1929, les grèves des années 30, la guerre, les nazis, l’occupation, la Shoah, les SS, les bombardements alliés de 43/44, la guerre d’Indochine où, officier de marine je devais aller mi-54 mais ai eu la chance de voir Mendès France l’arrêter en juillet, puis celle d’Algérie qui a tué 55 000 de mes contemporains, appelés du service militaire. Pensez à la guerre froide et au soviétisme, à Mao, Pol Pot et les autres.
Nous sommes loin, très loin du même niveau de drames et d’horreurs, même en Syrie et en Irak.
Je crois qu’à un certain moment l’accumulation des problèmes fera éclater cette force, et cette fois-ci, pour plagier quelqu’un de célèbre, « quand les Français s’éveilleront les bavards trembleront ».
J’ai écrit ici qu’il existait une organisation, l’IESF, 1,2 million de membres, qui observe, en silence, par force car occultée délibérément par les médias, ce qui se passe dans notre pays, organisation dont la présidence a classé les Français en bosseurs et bavards. Cette même organisation pense que, tôt ou tard, lorsque nos gouvernants actuels auront totalement bloqué le pays avec l’aide de la CGT et de Bruxelles, ingénieurs et scientifiques suivis par les techniciens et ouvriers, ainsi que la masse de nos concitoyens, seront obligés de prendre le pays en main pour continuer à le faire fonctionner parce que les Français ont besoin de nourriture, d’eau potable, de gaz, d’électricité, d’essence, de transport et de sécurité et qu’il faudra quelqu’un pour assurer la disponibilité de tout cela.
Plus brutalement : nous ne sommes pas encore assez dans la m… pour que les Français décident que la puanteur n’est plus supportable, mais nous n’en sommes pas loin, et la solution n’est pas Marine Le Pen.
Personne ne semble avoir remarqué que cette force, que j’ai mentionnée plus haut, s’est manifestée spontanément le 11 Janvier 2015, que les quarante et quelque chefs d’Etat qui sont venus de partout le savent. Pour eux comme pour les Français en général, « on ne touche pas à la France ». Les citoyens américains et canadiens ont traversé deux fois l’Atlantique, les Australiens, les Néo-Zélandais ont fait de même des antipodes, en 25 ans pour cette raison. Daech fait une grande erreur en ciblant la France, c’est précisément ce qui va les conduire à leur perte. Ils ont sonné leur propre glas. Et ce n’est pas en utilisant des jeunes femmes et des gamins qu’ils obtiendront ce qu’ils cherchent.
J’ai eu peur dans ma vie, pour ma vie, plusieurs fois, pas en ce moment, et pas dans ce pays, quand j’en partirai définitivement ce sera de vieillesse.
– la deuxième raison parce que j’ai vécu et travaillé pendant 21 ans en Afrique noire et 13 ans chez les musulmans. Dirigeant d’entreprises, j’en ai fait travailler des centaines. J’ai appris une chose, que la très, très grande majorité d’entre eux sont des gens comme nous : ils veulent du travail et gagner un salaire décent, fonder une famille, avoir des enfants, un toit pour les loger, de l’eau courante, de l’électricité. Ils veulent des écoles, il faut voir l’assiduité avec laquelle leurs gamins étudient. Ils veulent des hôpitaux, des frigos, TV, machines à laver… Ils veulent tout cela et ils veulent qu’on leur fiche la paix. C’est exactement ce que désirent et font la majorité d’entre eux vivant chez nous.
Toujours en recherche du scoop nos journaleux prennent UN cas qu’ils transforment rapidement en universalité. Aujourd’hui tous nos politiciens et médias sont en armes parce qu’Alstom veut re-concentrer sa production, en France, oubliant que le but est d’améliorer la fameuse compétitivité dont on parle tant. La compétitivité existe pourtant sur une grande échelle en France : entre la droite et la gauche et entre les journalistes. Ils en oublient même de laisser la parole aux bosseurs qui ont pourtant bien des choses à dire, et à la grande majorité des Français d’origine africaine et maghrébine qui essaient de dire aussi « touchez pas à la France ».
J’ai quitté la France fin 54, patriote et ouvert sur le monde, j’y suis rentré définitivement en 2009, après avoir vu bien des pays de l’Ethiopie aux USA, du Nigeria au Canada, de la Somalie à la Grande-Bretagne,…, …, en rentrant j’étais toujours patriote mais chauvin en plus.
Je rentrais fréquemment mais ne m’intéressais guère à la politique, mon épouse et moi faisions le plein de théâtres, restaurants, boîtes de nuit, musées, spectacles, visites de monuments de la Sainte-Chapelle aux plages de la Méditerranée, en passant par les Châteaux de la Loire, de Versailles, Vaux-le-Vicomte et ailleurs.
Nous avons un beau pays, cher citron vert, le plus beau à mon avis, les Français adorent se plaindre et dire à quel point ils souffrent, mais ils le savent, en mangeant un cassoulet, une choucroute ou une bouillabaisse accompagné d’un bon verre de blanc, de rosé ou de rouge, après des huîtres ou un pâté de campagne et avant le camembert.
Voilà, pardon pour ce long bavardage, j’espère avoir répondu à votre question.

Bon début de journée en lisant Robert Marchenoir et Claude Luçon !
Merci à vous deux : j’ai savouré les retours de volée gagnants !
Pour peu que Savo allume un pétard dans la cathédrale, ce sera tout bonheur.

Ne jetons pas l’enfant Jésus avec l’eau du bain des discriminations religieuses.
Qui a perdu la joie n’est plus français, que les barons noirs se suicident donc aux accents musicaux des génies du monde entier, la fille aînée de l’amour saura toujours reconnaître les siens, ceux qui acceptent la différence, convaincus qu’elle ne peut dissimuler qu’elle n’est que broderie sur l’infinie similitude des humains :
https://www.youtube.com/watch?v=6kjFR321XyQ

@ Claude Luçon @Robert Marchenoir
Voilà deux commentaires à l’exact opposé…
M. Luçon partage son expérience de la vie et elle me semble tout à fait intéressante, bien qu’il me surprenne par sa véhémence à l’encontre de M. Ghinsberg et de Mme Preud’homme… Mais sans doute ai-je raté quelques échanges.
Il convient de prêter l’oreille ou plutôt de se pencher sur l’expérience longue et fournie de M. Luçon, car on apprend des autres, lorsqu’on n’est pas stupide, en outre il me paraît loyal dans sa motivation ce qui est loin d’être le cas de M. Marchenoir, qui fait l’effet d’un monsieur aigri et frustré, il devrait lire attentivement les autres, cela lui permettrait de voir d’autres horizons que ceux de sa « bornitude ».
M. Marchenoir reprendra bien un peu de haine ? C’est sa gourmandise, elle lui fait du bien, il croit exister parce qu’il a trouvé un nombre important de personnes, de beaucoup inférieures à lui, et cela est parfaitement grisant !! Mais il n’est pas le seul, aussi nous lui adressons de vifs compliments pour sa grande et puissante analyse d’un monde que lui et ses acolytes ont réussi à définir de façon quasi scientifique ! Grand merci donc, et lorsque votre génome vous l’indiquera, il sera temps de vivre d’autres expériences que la dégénérescence d’un ADN à renouveler et peut-être à améliorer…
Bonne continuation !

Dear Mary,
Allons bon me voici devenu votre ennemi N°1, au moins sur ce blog.
Sensible, normalement je n’en dormirais pas, mais je suis insomniaque comme en témoignent souvent les heures auxquelles je poste mes élucubrations ici.
L’Afrique, toujours l’Afrique, je ne peux plus être « bourré » d’alcool mais dois me bourrer de zolpidem.
Il va falloir que nous nous rencontrions, comme l’a déjà suggéré un de nos compères commentateurs, vous verrez je suis un homme, certes un peu âgé et usé, mais charmant. J’aime toutes les femmes même celles qui ont mauvais caractère.
C’est vrai !
N’allez pas en conclure que j’écris cela du fait de la vanité que vous m’attribuez.
Généralement placide, mais guerrier dans l’âme, je contre-attaque quand on m’attaque, et la contre-attaque est au minimum à la hauteur de l’attaque.
Courtois avec les courtois, que je préfère, méchant avec mes méchant(e)s avec lesquel(le)s j’adore ferrailler, en particulier avec la bretteuse que vous m’avez écrit avoir été.
Vaniteux, peut-être ?
J’aime les débats aimables sans nécessairement connaître l’auteur, mais m’engage dans les débats conflictuels à visage découvert.
Philippe Bilger écrit ce blog que Pascale Bilger modère et nous savons tout d’eux, il ne s’en cachent pas, je suis leur exemple par ce que je croyais être simple politesse.

@ Claude Luçon | 15 septembre 2016 à 02:27
Totalement d’accord avec l’ensemble de vos propos en réponse à citron vert. Vous êtes ici un des rares commentateurs à ne pas succomber au piège de l’immédiateté, et savez donc avec pertinence replacer les événements actuels au sein de tous ceux vécus par notre pays depuis plus de soixante dix ans.
@ Mary Preud’homme |e 15 septembre 2016 à 09:47
Maintenant notre doyen Claude Luçon a rejoint votre longue liste de commentateurs objet de votre ire et mépris, malheur à ceux qui osent tant soit peu critiquer vos propos ou pire être en désaccord avec eux ! Seule vous savez tout sur tout.

@ Mary Preud’homme | 15 septembre 2016 à 12:04
« …elle passe pour arrogante, pédante, manipulatrice, infatuée de sa personne et persuadée d’avoir toujours raison.…/…elle souffre plutôt d’un énorme complexe de supériorité et d’un ego démesuré. »
Je suis d’accord sur cet énoncé de ses défauts.
Mais cette supériorité intellectuelle, dont elle est persuadée, cet ego démesuré qui la caractérise est le résultat d’un travail important, l’intelligence sans le travail n’est rien.
Il s’agit de l’acquis.
Au fond d’elle-même, elle considère que cet acquis repose sur un inné, qui est sa négritude, qui, de son point de vue, j’insiste, de son point de vue, est vécu comme une faiblesse qu’elle ne pourra jamais surmonter et pour cause.
Cet acquis qu’elle surestime, puisqu’il ne l’a pas empêchée d’échouer dans son action politique, est bâti sur un inné, sur des fondations qu’elle considère comme faibles, et cela elle le vit très mal me semble-t-il.
D’où son arrogance et son agressivité.
Ceci dit, c’est une analyse psychologique et nous savons qu’en psychologie on peut dire tout et son contraire.
À chacun sa vérité.

@duvent | 15 septembre 2016 à 09:53
Je vous invite à revoir la définition du terme véhément. Selon vous serait-ce par simple véhémence que Luçon après m’avoir qualifiée de vache a insinué grossièrement que je ne serais pas une femme, comme en attestait une photo qu’il aurait prétendument vue sur internet, ce qui bien sûr relève du mensonge, de la diffamation et constitue une grave atteinte à mon honneur et à ma considération. D’autant plus que je publie sous mon nom de famille.

@ Robert Marchenoir
Vous êtes tristement prévisible dites-moi !
Comme prévu vous me balancez que je vis au Brésil. En huit ans tout aurait changé, les Arabes se sont multipliés et attaquent. Et même si je passe en France un mois par an, je ne me serais rendu compte de rien… Attaque ad hominem pour commencer donc.
Puis c’est le même retournement : ce que je verrais serait un ensemble de ‘cas particuliers’. Mon voisin dans le 66, mes copains d’enfance, de promo, tous seraient des cas particuliers et des exceptions mais la burqa, les affaires criminelles que vous piochez dans les médias et sur YouTube seraient, elles, la règle générale.
Et puis le top : vous niez même le souvenir de la délicieuse choucroute halal que Samia nous a concoctée. Je vais lui dire d’organiser un dîner pour vous. On vous laissera la place d’honneur et on vous écoutera parler, ça nous divertira. Sbriglia pourra être invité lui aussi, apparemment il boit vos paroles donc on lui fera une place.

Alex paulista | 15 septembre 2016 à 21:24
Comme prévu vous me balancez que je vis au Brésil. Attaque ad hominem pour commencer donc.
Bon, je crois que je vais encore devoir donner une leçon de français à un gauchiste. Une attaque personnelle, cela consisterait, par exemple, à dire qu’Alex paulista pue des pieds, ou que sa fiancée est moche comme une cochonne.
Cela, serait une attaque personnelle.
Ce qui n’est pas une attaque personnelle, c’est de reprocher, à quelqu’un qui a pris l’initiative, sans que personne ne le lui le demande, de mentionner à de multiples reprises sa qualité d’émigré à l’autre bout du monde (jusqu’à l’inscrire dans son pseudonyme), de donner des leçons aux Français demeurés en France (il en reste) sur ce qu’ils doivent faire vis-à-vis des immigrés qui leur rendent la vie impossible. Et ce, en les traitant de racistes et autres noms d’oiseaux, ce qui, pour le coup, constitue une attaque personnelle.
Ce qui n’est pas une attaque personnelle, c’est de reprocher à un émigré de longue date (et qui s’en vante) de venir, sur un blog français, fréquenté par des Français contraints de vivre en France, expliquer aux Français que ce qu’ils voient se passer en France ne s’y passe pas du tout, qu’ils croient être gênés mais qu’en réalité ils ne le sont pas du tout, et que lui, de son lointain Brésil, sait bien mieux qu’eux ce qui se passe sous leur nez.
Ce qui n’est pas une attaque personnelle, c’est d’exercer un droit de contradiction à l’égard d’un émigré qui ne perd pas une occasion d’expliquer, aux Français de France, que la France n’est pas encore assez immigrationniste, sous prétexte qu’elle a gêné ses intérêts les plus égoïstement personnels en refusant le droit de résidence à une personne (qui se trouve être sa fiancée étrangère), et qui analyse toute la question de l’immigration en France à travers le prisme exclusif de son cas extrêmement personnel à lui, en se moquant totalement de l’intérêt général et des problèmes (bien plus graves) de ses concitoyens. Problèmes qui ne l’affectent en rien désormais, puisque lui a fait le choix d’habiter à perpète.
Cela, ça s’appelle exercer sa liberté de parole et de critique à l’égard d’un gauchiste, qui trouve tout à fait normal de donner des leçons de morale à tout le monde, mais qui s’offusque lorsqu’on ose lui faire remarquer son égoïsme et son hypocrisie.
Les Français se font massacrer comme des lapins sans pouvoir se défendre, en raison de la politique d’immigration de masse que vous défendez, et vous osez venir nous dire qu’il faut être encore plus laxiste en matière d’immigration, sous prétexte que vous, vous avez choisi d’épouser une étrangère ? Vous ne manquez vraiment pas d’air.
Il va falloir vous y habituer, paulista. Le règne sans partage de la bonne conscience de gauche, c’est fini, en France. Mais peut-être que votre copine Samia ne vous a pas encore mis au courant ?

Xavier Nebout : je me suis fait la même réflexion !
Quand le tigre est face à la hyène la jungle fait silence…
PS : mon cher Alex il va falloir passer la surmultipliée face à Robert… vous n’y parviendrez pas en continuant à jouer petit bras.
Vous voulez savoir pourquoi Bob me séduit ? Il ne lâche jamais rien ! Il argumente, il ferraille et à la fin de l’envoi, presque toujours il touche.
C’est loin d’être le cas pour d’autres qui se contentent de lui aboyer aux basques.

@ Alex paulista
Vous êtes prié d’arrêter de penser et de faire comme Marchenoir : laisser progressivement moisir votre cervelle en ne croyant que ce qui est écrit dans Le Figaro.
Outre que cela vous permettra sans peine d’atteindre le but singulier que vous vous êtes fixé sur ce blog – obtenir un « twelve points » pour un de vos commentaires de la part d’un sbriglia qui en substance s’est toujours limité ici à un entraînement intensif de ce qui doit constituer sa seule passion dans la vie : le visionnage des concours de l’Eurovision – vous pourrez également être convaincu que l’immigration, c’est mal, pouah, parce que cela apporte un surplus de viols dans les RER parisiens.
Vous continuerez accessoirement d’ignorer qu’il y a aussi des milliers d’immigrés qui ont dû en France s’interposer pour empêcher des Français bien de souche de commettre un viol.
Vu que ce type d’événement ne fera jamais ne serait-ce qu’une ligne dans Le Figaro…

@Mary Preud’homme
Chère Madame, il ne faut pas tirer de conclusions hâtives sur les commentaires des uns et des autres, il ne s’agit au fond que d’un exposé rapide d’un point de vue, que la forme d’un blog ne permet pas de développer à loisir.
Pour être bref et concis, il ne faut pas que la forme étrangle le fond, M. Luçon s’est expliqué et puis, en quoi ces adjectifs sont-ils une atteinte à votre honneur ? La joute verbale est l’occasion de fourbir son arme (ici les mots), alors faisons un combat de l’esprit dont les règles d’urbanité n’ont pas encore été fixées, mais que chacun peut suivant son éducation tirer vers le haut.
Il convient et cela est nécessaire, d’exposer son argumentation clairement, avec pertinence, de fuir les penchants médiocres et haineux dont certains se délectent. Enfin, certains et j’en suis débordent quelquefois car la provocation n’est pas à exclure de la rhétorique, disons que c’est un exhausteur…
Cependant, voyez les excès de ce M. Marchenoir, ses propos vulgaires en disent long…

@ Claude Luçon
« Ils sont venus, ils sont tous là », qu’est-ce que l’on fait on s’expatrie ?
Le Figaro de ce jour :
« Environ 1500 migrants, venus surtout d’Afrique et installés dans des tentes entre l’avenue de Flandres et le quai de Jemmapes dans les Xe et XIXe arrondissements de la capitale, sont évacués depuis vendredi matin. Ce campement l’avait déjà été mi-août.
Depuis ce matin 6 heures, un nouveau camp de migrants est en cours d’évacuation à Paris, avenue de Flandres, près de la station de métro Riquet. Depuis quelques jours, 1500 à 1800 personnes vivaient là sous des tentes, à même l’asphalte, dans une grande insalubrité. L’opération de mise à l’abri est conduite par la préfecture de police de Paris et les forces de l’ordre. Les migrants partent dans des bus vers différents Centres d’accueil et d’orientation (CAO) du territoire.
Soudanais, Afghans et Erythréens s’étaient installés dans une myriade de tentes et sur des matelas entre l’avenue de Flandres et le quai de Jemmapes, dans les Xe et XIXe arrondissement de la capitale, dans des conditions sanitaires et humaines très dégradées. Le campement avait déjà été évacué le 17 août, avec près de 700 personnes prises en charge. Au moins 1500 migrants étaient présents vendredi matin, selon la ministre du Logement, Emmanuelle Cosse. «Il y a beaucoup de familles avec enfants, plus que d’habitude. Ils vont évidement être pris en charge», a-t-elle déclaré sur place à l’AFP. Interrogée sur l’évacuation jugée par certaines associations tardive, elle a souligné une situation «compliquée», car à chaque «mise à l’abri», il faut «reconstituer des places» pour loger les migrants. Mais «on fera d’autres opérations» si nécessaire, a-t-elle promis.
Afflux
Une cinquantaine de bus étaient prévus, selon la préfecture d’Ile-de-France, qui mène l’opération avec la préfecture de police, l’Office français d’immigration et d’intégration (Ofii) et les associations Emmaüs solidarités et France Terre d’asile. «On a dégagé des places en centres d’hébergement d’urgence en majorité et sinon dans des gymnases», a précisé à l’AFP le préfet d’Ile-de-France, Jean-François Carenco, assurant que «tous» seraient «pris en charge rapidement».
Mais pour empêcher l’afflux de migrants qui n’étaient pas initialement présents dans le campement, habituel pour ce type d’opérations, un périmètre avait été bouclé soigneusement par les gendarmes. Depuis juin 2015, les campements se sont régulièrement reconstitués dans les quartiers proches de la gare du Nord, alimentés par des flux soutenus en provenance de la Méditerranée et par des aller-retours entre la capitale et Calais.
Jusqu’à l’évacuation de vendredi, près de 16 000 offres d’hébergement avaient été faites par les pouvoirs publics. Pour contrer l’implantation de ces campements indignes, la municipalité va ouvrir mi-octobre un centre d’accueil humanitaire, chargé de prendre en charge les migrants pendant quelques jours avant de les répartir sur des structures d’hébergement plus pérennes en régions. »
Fin de citation
Les régions les voient débarquer et n’en peuvent plus ! La France est devenue une poubelle et rien ne se passe sur le plan politique… Je crois que les pays qui nous entourent devraient se méfier et commencer à mettre des barrières entre leurs pays et le nôtre qui est devenu le « cancer » de l’Europe !

La France ordinaire :
Un médecin a été grièvement blessé lors d’une agression mardi soir aux urgences du centre hospitalier de Saint-Denis, poussant la direction à installer un vigile dans le service.
Mardi, peu avant 23h, un médecin « s’est fait violemment agresser par l’accompagnant d’un patient consultant au service des urgences adultes », a écrit la direction de l’établissement.
Le médecin a été « pris en charge par des chirurgiens spécialisés ». Il a eu les mains fracturées par des coups de pied, d’après un collègue de la victime, ayant requis l’anonymat.
Ce dernier estime que « la dégradation des conditions de travail s’accompagne d’une dégradation des conditions de sécurité » avec une « montée en puissance de l’agressivité du public » qui se traduit par des « agressions verbales quotidiennes » et des « agressions physiques quasi-hebdomadaires ».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/09/16/97001-20160916FILWWW00141-saint-denis-un-medecin-agresse-a-l-hopital.php
Mais à part ça, Tomas nous assure qu’il n’y a aucun problème, puisque lui, il a vécu trois ans en Seine-Saint-Denis, et qu’il ne lui est jamais rien arrivé.
A part ça, Alex paulista nous assure qu’il n’y a aucun problème, puisque lui (qui habite à l’autre bout du monde), il n’a jamais vu de burqa que sur les Champs-Elysées, et que les musulmans qu’il connaît sont gentils (et donc ? les burqas, dangereuses à Villeurbanne, deviennent inoffensives sur les Champs-Elysées ?).
Logique de fous, logique de gauche.
Logique de bandits, aussi, parce que lorsque les méfaits de l’immigration de masse deviennent aussi manifestes, il n’est plus possible de se réfugier derrière le handicap mental (même léger) ou l’ignorance pour excuser ses propos.
Vous avez donc votre réponse, paulista : je suis agressif envers vous car vous le méritez. Vous êtes un bandit et un menteur.
Vous êtes un menteur car, contrairement à ce que vous prétendez, je passe mon temps à vous répondre sur le fond, ainsi que de multiples personnes ici. Mais tout ce que vous savez répondre aux multiples preuves des méfaits de l’immigration qui vous sont présentées, c’est qu’à vous il n’est jamais rien arrivé. La France n’est pas composée que de vous, figurez-vous.
Le France n’est plus composée de vous, d’ailleurs, comme vous avez, vous-même, tenu à nous le faire savoir, croyant par là river leur clou à vos adversaires. Vous avez tenu à nous faire savoir « d’où vous parlez », comme vous dites, et maintenant que vous mesurez votre sottise d’avoir lâché une pareille information (croyant vous mettre en valeur), vous prétendez interdire aux autres de vous rappeler « d’où vous parlez ».
Le deux poids, deux mesures des gauchistes, toujours : une règle pour eux, une règle pour les autres.
Je vous réponds d’ailleurs sur le fond, en parlant de votre domicile brésilien : mettre en lumière la contradiction de vos actes et de vos paroles, c’est rappeler que la classe immigrationniste qui nous dirige fait exactement comme vous. Les hommes politiques, les journalistes, les « intellectuels » et les chefs d’entreprise qui nous racontent les bienfaits de l’immigration, du soir au matin, sont les premiers à fuir les immigrés. Ils mettent leurs enfants à l’abri dans des écoles les moins « diverses » possible, ils font des pieds et des mains pour habiter les « bons » quartiers, les quartiers blancs.
Et ils passent leur temps dans des avions, entre New York, Genève, Singapour et Sao Paulo, tout comme vous. Ce sont des mondialistes. Ils n’ont pas de patrie. Passant leur temps entre les aéroports, les bureaux et les quartiers chics des grandes capitales qui se ressemblent tous, ils n’ont, tout comme vous, que mépris pour la quasi-totalité des habitants de la planète, et en particulier des pauvres qu’ils affectent pourtant de défendre.
Les pauvres, Alex paulista, ont pour seule richesse leur patrie.
C’est vous qui êtes d’une incroyable agressivité, en vous obstinant dans vos dénégations malhonnêtes, envers les dizaines de milliers de Français assassinés, violés, volés et insultés par les immigrés dans leur propre pays.
Qu’est-ce que vous connaissez de mes horaires de travail, et de ceux à la gueule desquels vous crachez du haut de votre avion, qui vous ramène des Champs-Elysées à Sao Paulo ? Qu’est-ce qui vous permet d’insulter les gens sous prétexte qu’ils auraient « une petite vie confortable », alors que les faits qu’on vous met ici sous le nez vous prouvent jour après jour, au contraire, que vos amis les immigrés leur rendent la vie impossible ? Qu’est-ce qui vous permet, d’ailleurs, d’insulter des gens qui, par hypothèse, auraient « une petite vie confortable » ?
Vous avez une grande vie, vous, Alex paulista ? Vous êtes un héros des temps modernes ? Vous faites partie d’une race supérieure ? Votre vie est plus importante que celle des autres ? Vous méprisez le confort et les biens de ce monde ? Même la choucroute halal, avec un bon petit Boulaouane de derrière les fagots, quand vous venez nous visiter comme on irait au zoo ?
J’attends le moment où vous allez nous expliquer que vous, vous bossez, vous « produisez de la valeur », vous « créez des emplois », contrairement à tous ces peigne-culs de Français d’extrême droite qui s’obstinent à habiter dans leur pays. D’ailleurs, vous l’avez déjà fait.
Vous êtes un menteur, car, contrairement à ce que vous prétendez, la plupart des habitants d’un pays sont effectivement contraints d’y demeurer. L’émigration n’est pas facile. Figurez-vous qu’il faut la permission du pays d’accueil. Enfin, sauf pour vos amis les immigrés clandestins qui submergent l’Occident, naturellement… Il faut avoir l’argent nécessaire. Il faut avoir les qualifications qui conviennent. Il faut être jeune. Il faut n’avoir pas d’obligations familiales. Et il faut consentir à s’arracher à sa patrie.
Les Français émigrent en masse, en effet ; et ils sont remplacés par des hordes d’immigrés haineux, violents, ignorants et incapables. Parce que les gens comme vous ont détruit la France par le socialisme. Vous trouvez ça réjouissant ? Pas moi.
Vous êtes un traître, car votre remarque sous-entend que si la France est fichue, eh bien il suffit de la quitter comme vous l’avez fait, ce n’est pas grave.
Vous êtes un bandit, car vous vous faites le complice actif et délibéré des bandits qui conquièrent et détruisent la France.
C’est fini, l’impunité des escrocs dans votre genre, Alex paulista. Désormais, vous et vos amis les gauchistes, vous allez devoir rendre des comptes sur vos propos. Ca ne va plus le faire, vos ronds-de-jambe hypocrites, vos mensonges, vos belles phrases, vos mines de rosière offusquée sous prétexte qu’on dézingue vos tripatouillages, et qu’on vous dit la vérité en face.
Les paroles ont des conséquences dans la vie réelle : par vos écrits scandaleux et mensongers, vous provoquez meurtres et destructions sans fin. Vous allez subir les conséquences de vos paroles. Soyez reconnaissant que ces conséquences se bornent à des paroles.

J’aurais pu commenter ce billet de Monsieur Bilger, mais la tournure des commentaires agressifs, avec un jeu de ping-pong systématique et des accusations personnelles largement outrancières m’en ont dissuadé.
Aucune voix ne peut décemment s’exprimer dans une telle confusion, qui plus est oublie totalement le sujet du billet.
A quand un peu de modération et un vrai débat d’idées et non d’invectives ?

@ Robert Marchenoir | 16 septembre 2016 à 15:45
Vous vous emportez dans vos délires Marchenoir.
Après les non-réponses, les clichés de l’élite mondialisée qui vivrait dans son Air Force One.
Mais Marchenoir, vous parlez de Villeurbanne…
Vous y avez déjà mis les pieds à Villeurbanne ?
J’y ai vécu trois ans, mangeant le soir entre le McDo de Charpennes et l’Armée du Salut de l’Avenue Thiers les week-ends (en substitut du resto U). Quand ça a pété devant l’école juive en 95, j’ai entendu la déflagration.
J’y retourne régulièrement, rassurez-vous.
Encore une fois vos invectives, vos insultes de traître à la patrie, vos menaces de me pendre haut et court sont d’un ridicule abyssal.
Sortez de votre télé, allez à Villeurbanne vous qui en parlez tant, allez à Vaulx-en-Velin, à Bron autrement que par l’imagination à la lecture du dernier fait divers.
Mais je doute que vous le fassiez un jour: les gens comme vous sont des trouillards.

@ Robert | 16 septembre 2016 à 17:34
« A quand un peu de modération et un vrai débat d’idées et non d’invectives ? »
Je suis bien d’accord avec vous. Les propos de Marchenoir à l’encontre d’Alex paulista sont tout simplement inadmissibles. Ce type est un fou furieux.

Je l’ai dit et je le répète : Marchenoir agace parce qu’il exige des « braves gens » de ce blog qu’ils assument leur beaufitude en devenant des fascistes capables de défendre son autoradio, dont il sent la possession de plus en plus menacée par la mondialisation galopante.
Autrement dit, Marchenoir refuse d’être le faire-valoir du racisme ordinaire des beaufs qui fourmillent sur ce blog et qui applaudissent chacune des énormités qu’il poste ici, si cela ne lui rapporte rien en échange.
Mais les beaufs sont aujourd’hui bien trop lâches pour défendre la patrie autrement qu’avec un clavier, alors prendre les armes pour que Marchenoir puisse garder son autoradio, hein…
@ Robert
Pour que ce blog abrite un jour un débat d’idées, il faudrait que 95 % de ses commentateurs actuels le quittent. Un beauf ne sait même pas ce qu’est une idée, il n’en a jamais eu, il ne fait que répéter ce qu’il trouve dans le Figaro, dans un bouquin de Zemmour, sur Wikipédia, ou dans l’almanach Vermot pour Savonarole, en croyant que cela le rend intelligent ou drôle.
Et quand on a la faiblesse (ou la force d’ailleurs) de tenter de lui faire comprendre qu’avoir de l’esprit (et donc une idée ou de l’humour…) demande un peu plus de circonspection – au sens premier du terme : être circonspect, c’est regarder le monde en tournant autour de la chose qu’on étudie, et pas rester focaliser sur la chose en refusant d’admettre qu’il y a un monde qui l’entoure et qui participe à son être – que la vie d’un retraité, qui n’est confronté au monde que par médias interposés, ne le permet, il vous insulte. Et quand je dis la vie d’un retraité, c’est une image, car ce n’est pas une question d’âge : le beauf christianisé n’a jamais été un être humain vivant, c’est un animal de troupeau qui n’est juste pas encore mort.

@ Garry Gaspary | 17 septembre 2016 à 09:53
Puisque monsieur Bilger laisse passer autant d’insultes envers la France par votre écriture…. eh bien, comme vous le désirez, les 95 % de commentateurs de ce blog devraient ne plus commenter jusqu’à ce que vous disparaissiez !