Quelques leçons modestes de l’horreur…

A titre indicatif, les islamistes se comportent de la même manière que nos bons révolutionnaires de 1789 avec la tête du gouverneur de Launay au bout d’une pique, et ont encore de la marge avant d’en arriver aux colonnes infernales.
Quant à lutter contre eux, tant qu’on hurlera aux droits de l’homme à la seule idée de droguer un suspect pour le faire parler, on les fera marrer.
D’ailleurs, un islamiste marocain aura toujours le droit d’asile en Europe car fuyant un Etat qui pratique la torture. Ainsi en a décidé la CEDH.
On rit ou on pleure ?

Aucune surveillance, quels que soient le niveau et la couleur de Vigipirate, n’arrêtera un fou déterminé qui est prêt à se sacrifier pour satisfaire son œuvre de destruction. Et comme la peine de mort est abolie, s’il est capturé vivant, il faudra le loger et le nourrir jusqu’à la fin de sa vie aux frais du contribuable. Nos démocraties sont en danger de mort et nos moyens sont loin d’être adaptés. Triste avenir pour nos enfants !

Bonjour Philippe,
« Tout de même, s’efforcer autant que nos moyens le permettent de ne pas faire succéder l’angélisme au contrôle. Arnaud Danjean a raison de souligner qu’on ne peut pas mettre 40 000 policiers derrière 40 000 terroristes mais sans doute serait-il responsable, comme pour le tueur de l’Isère, de ne jamais interrompre une surveillance dès lors qu’un l’individu a été signalé et fiché dangereux et que son effacement et sa discrétion subits sont généralement le signe d’une stratégie de destruction et non pas d’un retour à la normalité. »
Ce qui me stupéfie dans cet attentat particulièrement atroce c’est que l’individu bien que fiché par les services de la police comme salafiste, pouvait, dans le cadre de son travail, pénétrer sans aucun contrôle dans un espace classé Seveso.
Il y a là une grave lacune dans le suivi des individus potentiellement dangereux qu’il convient de combler au plus vite avant qu’un massacre de plus grande ampleur ne se produise.

« Islamisme radical », lisons-nous à plusieurs reprises. C’est un pléonasme. L’islamisme tout court contient toutes les violences dont il se fait le bras armé. Quant à la différence entre islam et islamisme, écoutons Ferhat Abbas, qu’on aurait dû écouter en temps utile : « l’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en action ». Toutes les saloperies commises en application et au nom du coran sont écrites dans celui-ci, comme toutes les saloperies commises par les nazis étaient écrites dans « Mein Kampf ».
Nous sommes en 1939. Pas de pitié, pas de compromission, pas de faux-fuyants. Il va falloir combattre les islamistes comme nos pères et les alliés ont combattu les nazis. Et gare aux traîtres, on ne leur fera pas de cadeau.

L’histoire ne se réécrit pas et pourtant… Devant l’ampleur d’une défaite annoncée en 1940, il a bien fallu résister.
Aujourd’hui personne n’est en mesure de dire, dresser un bilan de synthèse en France et en Europe d’ailleurs, de la progression et de l’organisation maléfique de ces groupes pour nos démocraties.
À la racine le mal existe, et les troupes en leur temps ont bien dû se déplacer sur le terrain même de Rommel, et le combattre pour l’éradiquer. Vu de l’extérieur l’impression subsiste que comme en 1940 rien n’a changé, et les coalisions ne se mettent en route que devant le désastre annoncé. A force de minauderies saupoudrées d’angélisme démocratique, rien ne se passe, et quelques valeureux Kurdes de faire barrage, ils ne suffiront sans doute pas.
Un reportage a montré une association voulant intégrer des déviances djihadistes, cela revient à faire la guerre du Golfe avec des lance-pierres. Quelle lourdeur d’intervention ! Et ce ne sont pas nos politologues et guerriers de salon qui vont résoudre le problème. Décidément avoir tant de puissance pour si peu d’engagement, mais quel peut donc être ce mal des pusillanimes ? Le temps des discours est révolu W. Churchill avant tout le monde avait montré la voie, aujourd’hui nous en sommes toujours au jeu de piste.

Manuel Valls nous revient des Amériques de méchante humeur, il a raté une formidable occasion de passer des heures à nous parler « d’abjection ignoble, d’insupportables violences qu’il ne tolèrera plus, mais alors plus du tout, de décisions draconiennes, très très draconiennes », avec son menton de proconsul romain et son regard féroce à faire débander des tribus de fellaghas. Derechef il s’est invité chez El Kravache demain sur Europe 1.
Après ces deux attentats, voici l’attentat à la pudeur.
D’autant que Cazeneuve s’est distingué par la mesure de ses propos et son calme, on aurait dit un vrai Premier ministre…
Ça a dû traverser l’esprit de François Hollande.

@ Robert Marchenoir | 27 juin 2015 à 13:17
Bien sûr, vous avez raison et pourtant, cela ne se fera pas, faute de volonté politique.

On (nos dirigeants mais aussi beaucoup d’intellectuels, de journalistes, de Français persuadés par naïveté que l’accueil et la gentillesse régleraient tout) a fermé les yeux trop longtemps. On a voulu ignorer les dangers sur notre sol par confort, en usant jusqu’à la corde des mots ou expressions « ne pas stigmatiser », « pas d’amalgame », « ne pas jouer sur les peurs », « le principe de la laïcité », « faire front au FN » et blabla et blabla, pour masquer la réalité.
Toute voix discordante, tout questionnement, sur l’Islam, sur l’identité était immédiatement suspect d’extrémisme, de populisme, de racisme, de xénophobie… contraire aux fameuses « valeurs de la République ».
Voir aujourd’hui nos intellectuels ou écrivains, de plus en plus nombreux, de Finkielkraut à Pascal Bruckner, s’interroger ouvertement est tout de même rassurant. Tant d’autres personnalités, timidement laissent entrevoir leur inquiétudes lors d’interviews tout en maniant la langue de bois tant elles ont peur des sentences des beaux penseurs et pire des associations subventionnées, adoubées, entretenues par le PS et ses think tanks pour enfumer et anesthésier les plus velléitaires. Sauf qu’aujourd’hui trop de voix et des belles, s’élèvent. Les choses évoluent et les événements leurs donnent (hélas) raison.
Pour en revenir au drame d’hier, lorsque les moines de Tibhirine ont été décapités, les Français ont été un peu retournés mais ce n’était que des moines installés en Algérie, donc une présence un peu illicite dans un pays devenu libre, lorsque des décapitations avaient lieu par l’E.I. au Moyen-Orient, les Français se cachaient la tête dans le sable, lorsque M.Gourdel a subi le même sort, certains ont pensé qu’il avait été trop naïf de partir dans ces contrées algériennes truffées d’islamistes… mais là, cela arrive sur notre sol, les faits sont indiscutables. Et pire, il s’agit d’un Français éduqué dans notre école, au pays des Droits de l’Homme, dont la famille a été aidée grâce à nos impôts, un Français dont les voisins et son épouse disent qu’il était gentil, souriant, serviable. De quoi avoir franchement peur puisque nous sommes entourés de Français gentils, souriants, serviables.
Après comment s’étonner ? seules, la grandeur d’âme de la France et de ses dirigeants prêts à accueillir le monde entier depuis des décennies, la naïveté d’un grand nombre voulant croire en la bonté du monde et en la modération d’un islam devenu depuis 35 ans une religion conquérante et radicale même en France, la couardise de nos élus prêts à sacrifier les citoyens les plus dociles et les plus fiers de leurs traditions pour offrir aux nouveaux venus le meilleur et à accéder à leurs récriminations comme à des enfants gâtés. C’est l’aboutissement et le revers de la médaille.
On vient de voter la loi sur le Renseignement où des millions d’informations ne pourront être traitées par manque de moyens, une loi qui servira plus à envoyer de simples citoyens au Tribunal pour propos exagérés (selon toute subjectivité) qu’à surveiller les 4000 potentiels barbares qui sont sur notre sol.
Les policiers sont dans le collimateur des associations et certains au tribunal au motif de délit de faciès… comment donc surveiller ces salafistes, ces radicaux prêts à passer à l’acte ?
En vérité nous sommes allés trop loin dans le déni et l’acceptation et, aujourd’hui, la guerre a commencé sur notre territoire. Un début. Notre Président ne pourra pas, pendant deux ans encore, camoufler sous le tapis la réalité des faits. Il avait commencé sa campagne, bonhomme comme si la France d’aujourd’hui ressemblait à celle de 1988, en faisant de la politique politicienne. Certains faits sont cachés par les médias, comme l’incendie de l’Hôtel de Ville de Besançon par un demandeur d’asile mécontent, comme les énormes problèmes de Calais, comme les fusillades récurrentes dans les banlieues avec des armes en vente presque libre n’ayant rien à envier aux USA, ce qui s’est passé hier, ne peut évidemment être tu. D’autant que d’autres attentats en Tunisie ou au Koweït, que d’autres horreurs en Syrie ou en Irak se multiplient.
Un islamo-fascisme inquiétant et qui n’est pas sans rappeler la période d’avant-guerre où beaucoup fermaient les yeux par posture ou par optimisme. On a vu le résultat.
Et nos élus, quels qu’ils soient, devront bien arrêter les concessions, souvent jusqu’à renier leur propre culture pour s’attirer des voix, et prendre la mesure des dangers. Il ne s’agira plus de vouloir étouffer les chrétiens et leurs traditions en imposant d’autres coutumes, il leur faudra trouver un nouveau mode de fonctionnement. Les illuminés djihadistes se moquent bien de nos largesses, de nos mains tendues, nous ne sommes que des mécréants à supprimer.
Par ailleurs les musulmans qui ne se sentent pas solidaires de cette barbarie (et j’ai encore la naïveté de croire qu’ils sont nombreux) devraient nous le montrer, cela mettrait un terme à la méfiance et rassemblerait les communautés. Car les sempiternelles marches blanches sont horripilantes de candeur, de fausse bonhomie, elles ne servent à rien.

On ne peut lutter contre l’Etat islamique sur le seul territoire français. Bien évidemment, il faut renforcer le renseignement, donner des moyens aux forces de sécurité, réprimer etc. Mais le véritable mal se situe ailleurs, au Moyen-Orient.
Quelques illuminés sont difficiles à combattre mais ce n’est plus le cas. On lit partout que Daesh dispose dorénavant d’un quasi-Etat, un territoire, des finances prospères, des forces armées. Bref, que Daesh est structuré. Ce renforcement devrait faciliter la lutte si la communauté internationale avait la volonté réelle d’en finir avec le terrorisme. Car l’ennemi est identifié. Il suffit d’aller le chercher, sans craindre les procès d’intention sur fond de relents de colonialisme. Si on ne se décide pas, il ne faut pas s’étonner du succès grandissant des fanatiques qui continueront à justifier l’horreur et la barbarie.

En attendant, ceux qui payent le plus lourd tribut au terrorisme islamique, ce sont les musulmans eux-mêmes.
En Syrie aujourd’hui, en Irak, en Egypte, au Pakistan, les principales victimes de cette violence atroce ce sont bien les autochtones…
On pourra toujours ergoter en disant que des déchirures profondes existent au sein de ces sociétés entre ceux qui veulent plus de liberté, par exemple les islamistes tunisiens combattus par Ben Ali, mais aussi les démocrates égyptiens musulmans (ou coptes) et pourquoi pas athées qui ne supportaient plus la corruption et la faible redistribution du système économique.
Il n’empêche que ces mêmes déchirures existent aussi en France et en Europe, mais elles sont majoritairement dues à la fracture civilisationnelle entre les autochtones et les salafistes (et les frères musulmans) qui veulent appliquer la loi coranique comme au temps de Mahomet (la « Charya islamiya »).
Ceci est d’autant plus grave que la liberté d’expression et de réunion dans les pays occidentaux permet aux prédicateurs en tout genre d’instiller des idées délétères dans les cerveaux de gens violents. Il n’est que de constater la percée de l’islam radical en prison.
Le plan des islamistes, car il y a un plan, se présente ainsi : les attentats doivent mettre en porte-à-faux les démocraties qui, obligées de prendre des mesures drastiques, amplifieront finalement le sentiment des musulmans d’être « stigmatisés ».
Ce dilemme éclate au grand jour avec les déclarations alambiquées de nos dirigeants sur les réponses que l’Etat doit apporter face au terrorisme. D’un côté les coups de menton de Valls qui nomme clairement l’ennemi et parle d’état de guerre et ceux qui ne veulent (à juste titre le plus souvent) ne pas mettre dans le même panier les millions de musulmans français plutôt paisibles et les forcenés partis en guerre contre nos sociétés de liberté…
Si l’on est en guerre alors il faut déférer et expulser massivement les fauteurs de trouble ou isoler ceux qui peuvent devenir dangereux !
Quand le gouvernement est incapable de résoudre le conflit taxis-Uber, on peut douter de sa capacité de prendre des décisions fortes dans ce domaine !
Mais gardons espoir : Hollande va bien finir par nous concocter une petite synthèse entre les durs et les mous !!

Radical, radical voici un cache-sexe façon Tartuffe.
Ce qui est radical (et à éradiquer) c’est le coran et ses hadiths. Depuis 1400 ans des êtres humains se liquéfient le cerveau dans ces lectures imbuvables en se cognant le front sur le sol. Ça doit rendre méchant il faut croire.
J’imagine que si une nouvelle religion émergeait aujourd’hui, s’appuyant sur un livre sacré moitié moins belliqueux, elle se verrait immédiatement classée secte et interdite.
On peut toujours faire semblant de ne pas voir ce qui est en train de se passer, mettre tout cela sur le dos d’extrémistes mais au regard du contenu du livre ce sont ces derniers les meilleurs serviteurs.
On va droit vers la guerre d’une religion contre tout le reste.
Hier soir, à la télé, un imam avait presque une larme à l’œil en nous décrivant sa compassion pour les victimes il m’a fait penser au toubib de Charlie. Il a quoi comme livre favori cet imam ?
Si un sérieux coup de frein n’est pas envisagé rapidement on ne pourra plus prendre le virage.

Reste que la focalisation nécessaire sur l’islamisme radical ne doit pas, comme un arrêt l’a récemment permis, obérer le travail au quotidien des forces de police. Pour elles, avec la bureaucratie qu’on va lui préparer, cela va devenir un vrai casse-tête de contrôler les identités des blancs, des noirs, des arabes et des asiatiques ! Il faudra, de la rue, les convier dans un salon de thé pour les inviter à accepter que la police accomplisse sa mission.
Ce que les terroristes islamiques cherchent à faire ressemble aux méthodes employées par le FLN en Algérie, et particulièrement dans les grandes villes comme Alger ou Oran, la terreur étant employée à des fins de déstabilisation du pouvoir en place, de démoralisation de la population ciblée par les actes de violence ainsi qu’à des fins de radicalisation des attentistes et autres braves gens sans histoire – il y en a – qui sont obligés de choisir le camp de la violence sous peine de mort.
Sauf que, et là il s’agit d’une différence avec la société française actuelle, la séparation des populations en quartiers (me voici à évoquer – horresco referens – une forme d’apartheid) faisait que du fait de ce que nous pourrions appeler de nos jours le contrôle au faciès la population d’origine européenne pouvait minimiser les risques en filtrant les intrus éventuels dans sa zone de résidence.
Je suis désolé de ne pas pouvoir coller au politiquement correct à la mode, mais c’était la réalité de l’époque, exposée sans porter de jugements de valeur ou à caractère moral, des pieds-noirs peuvent témoigner que c’est bien ce qu’ils ont vécu alors et qui relève de l’histoire.
Bien entendu, le fait d’exposer cette réalité ne vaut pas pour sa préconisation de nos jours.
Des apprentis-sorciers ont voulu s’affranchir des règles millénaires permanentes et intangibles régissant les cohabitations forcées de peuples trop différents et de cultures antagonistes, en ayant obstinément refusé d’écouter ceux qui prédisaient le pire il y a quarante ans : le pire est au rendez-vous, mais les apprentis-sorciers n’ont pas été renvoyés pour autant à leurs chères études.
Pis encore, ils se lancent dans une fuite en avant effrénée…

@caroff
En attendant, ceux qui payent le plus lourd tribut au terrorisme islamique, ce sont les musulmans eux-mêmes.
En Syrie aujourd’hui, en Irak, en Egypte, au Pakistan, les principales victimes de cette violence atroce ce sont bien les autochtones…
Les autochtones, oui mais pourquoi spécialement les musulmans ? Pour reprendre un slogan forgé par les hommes du Régime qui feignent de jouer à une neutralité faussement équitable afin de ne surtout pas dénoncer l’origine du mal ?
En Irak et en Syrie, ce sont principalement les chrétiens qui sont les premières cibles – souvent dans des conditions d’une atrocité indicible – de l’État Islamique.
Quand ledit État Islamique a mis à mort des soldats égyptiens revêtus de combinaisons oranges – allusion à Guantanamo – c’était des Coptes…
Par pitié, arrêtons de répéter comme des perroquets la désinformation véhiculée par le Régime à des fins troubles…

@Parigoth
Vous avez raison de parler des Chrétiens du Proche-Orient qui, en effet subissent les assauts des islamistes mais je faisais surtout référence aux massacres entre sunnites et chiites (au Koweït c’est précisément une mosquée de cette obédience qui a sauté) ou des horreurs islamistes notamment en Algérie pendant les années 90 qui n’a concerné que des musulmans sunnites !
Reste le Liban pour l’instant préservé en partie grâce au Hezbollah parti religieux chiite qui défend mieux que l’armée régulière les frontières du pays. Il est notable que les maronites soutiennent son action parce que l’unité libanaise compte plus que les fractures religieuses !

Encore un converti !

Et en effet Robert Marchenoir a raison : on a désarmé les Français avec tout une série de lois, d’associations diverses, nombreuses et variées chargées de les faire taire, de leur interdire de décrire leur réalité.
Pour quel résultat ?
Se faire décapiter et vivre sous Vigipirate écarlate.
Bravo !
Des décennies de politiques criminelles menées par des représentants du peuple contre le peuple.

« Reste le Liban pour l’instant préservé en partie grâce au Hezbollah parti religieux chiite qui défend mieux que l’armée régulière les frontières du pays. Il est notable que les maronites soutiennent son action parce que l’unité libanaise compte plus que les fractures religieuses ! »
Rédigé par : caroff | 27 juin 2015 à 21:44
Les maronites ne sont pas dupes. Depuis l’assassinat de Rafic Hariri, ils ont toujours été contre la Syrie et voté contre le Hezbollah qui est clairement le bras armé de la Syrie.
Quand vous dites « Reste le Liban », vous oubliez un détail : où sont passé les juifs qui historiquement étaient implantés au Liban ?
C’est la Syrie qui a fait le plus de mal au Liban, et le Hezbollah en est le représentant actuel, alors faites attention avant d’en chanter les louanges.
Ce que les maronites souhaitent, c’est que l’armée régulière soit équipée avec les armes qui fleurissent aux mains du Hezbollah, et que les milices soient désarmées.
Bien sûr, quand des combattants risquent leur vie en protégeant le pays d’une invasion, leur courage force le respect de tous. Surtout quand c’est une invasion caractérisée d’Israël qui déclare sans vergogne vouloir se protéger de trois mortiers lancés depuis la frontière en anéantissant toutes les infrastructures à l’autre bout du pays, les ponts, la centrale électrique, provoquant au passage une marée noire, en « punissant » les chiites en bombardant dans leur quartier des immeubles remplis de civils.
Mais ce n’est pas du tout un soutien politique au Hezbollah.

@Trekker | 27 juin 2015 à 18:22
« Quant à mettre en garde les employeurs de ces suspects repérés, mais a priori semblant peu susceptibles de passer à l’acte, outre qu’on bute encore sur les moyens humains de la police, on aurait un tollé immédiat dans Le Monde-Libération-Le Nouvel Obs et dans les associations tels SOS Racisme et consorts choyées par notre gouvernement. »
La France se radicalise. Elle est de plus en plus parcourue par des mouvances extrémistes :
– de nature religieuse comme les salafistes qui soutiennent un islam conquérant et sanglant.
– de nature idéologique comme ces groupuscules d’extrême droite dont on a pu lire dernièrement les thèses racistes jusque sur ce blog.
D’où l’intérêt pour la sécurité des citoyens d’être très vigilants avec les personnes amenées à pénétrer, dans le cadre de leur activité professionnelle, à titre régulier et même occasionnel, sur des sites sensibles : aéroports, centrales nucléaires, raffineries, usines de produits chimiques classées Seveso.
Cela conduit certes à avoir accès à des données personnelles : casier judiciaire, dossier médical afin de vérifier si la personne n’a pas d’antécédents psychiatriques ou n’est pas dépressive (souvenons-nous d’Andreas Lubitz le copilote de la Germanwings), appartenance à un mouvement religieux ou politique radical susceptible de le conduire à commettre des actions terroristes.
Certes cela va à l’encontre de la liberté telle que certains bobos la conçoivent, mais la sécurité des citoyens le vaut bien.

En plein ramadam ! comme en Algérie dit un commentateur ? En effet : Grenoble, Sousse et quelque part au Koweït ! C’est pour déstabiliser un pays…
Celui de Saint-Quentin-Fallavier est particulièrement abject parce qu’il s’est exprimé sur le lieu de travail en sacrifiant celui qui donne ou accompagne l’occupation sociale… qui est vite passé en deuxième préoccupation informative (après Sousse) des fois que l’on comprendrait de quoi il retourne avec les sempiternelles antiennes « pas de mal game ».
Si l’on veut amalgamer, on amalgamera point barre. Car dans un temps pas si lointain les émigrés ritals étaient tous des fainéants parce qu’un ou l’autre profitait (!) de l’assurance maladie de l’époque… après avoir trimé dans les
mines par exemple.
Rien de nouveau sous le soleil mais en pire !

C’est devenu une formule rhétorique familière du psittacisme journalistique que de faire rituellement des références négatives au titre du livre d’Huntington, Le Choc des civilisations. Au lieu de ce réflexe pavlovien, il vaudrait mieux ouvrir ce livre, publié en 1996, et le lire. Même si on n’est pas obligé de partager tous ses points de vue, on ne peut que souligner l’intérêt de sa lecture, surtout lorsqu’on constate qu’aujourd’hui on peut vérifier sa pertinence pour des faits qui se sont vérifiés depuis 1996 : la crise séparatiste ukrainienne (« moins violente qu’en Yougoslavie, moins pacifique qu’en Tchécoslovaquie »), la ré-islamisation de la Turquie, l’échec des printemps arabes (en observant – en 1996 – que l’opposition dans les régimes politiques autoritaires arabes de l’époque se réfugiait dans les milieux religieux) et, pour aujourd’hui, les oscillations annoncées de la Grèce, entre ses liens institutionnels occidentaux avec l »OTAN et l’UE et son enracinement dans l’espace culturel orthodoxe générant une inclination vers la Russie, etc. sans parler d’autres sujets aussi contemporains ! Pour comprendre l’actualité, ce livre mérite mieux que la chape de plomb que le conformisme médiatique lui a imposée et que la stigmatisation rituelle des idées caricaturales qu’on lui prête…

Dans la lignée des Zemmour, Finkielkraut etc., ce que dit Bruckner est une vérité incontestable : « l’islamisme radical a déclaré la guerre à l’Europe ».
Bravo pour avoir le courage de le dire étant donnée la charia implacable qui règne chez nous sur la liberté de penser autrement que la propagande officielle socialiste padamalgamiste.
Mais nous sommes sauvés et rassurés, avec un énième coup de menton et bombement de torse, notre coquelet catalan a doublé les effectifs pour lutter contre les… Uber Pop !

Bonjour,
Dans Le Figaro d’hier, je lis :
Le CCIF : le danger n’est pas le djihadisme mais l’islamophobie. Sont-ils devenus fous eux aussi ?
Il y a de quoi être horrifié par de telles déclarations stupides et irresponsables, surtout après les massacres perpétrés par les djihadistes contre des touristes occidentaux en Tunisie, notre compatriote décapité en Isère, les tueries au Koweït et en Somalie ; c’est une honte que d’ajouter de l’huile sur le feu ! Il paraît que ce collectif ne reçoit pas de subventions de l’Etat ? C’est faux, puisque sur chaque don versé au CCIF 66% sont déductibles des impôts. C’est bien la caisse de l’Etat français qui paie, non ? Quelle hypocrisie ! Ce serait intéressant de mettre le nez dans leurs comptes.
Les Français chrétiens ne sont pas racistes, ils en ont juste plus que marre de se faire marcher sur la tête et se faire imposer des lois contraires aux valeurs et culture républicaine et démocratique.

@Achille 10:21
Je suis entièrement d’accord avec vous. Je crois que Xavier NEBOUT ne sais plus ce qu’il dit. Pour cette fois-ci on lui pardonne. J’espère que X.N. et les siens ne seront jamais touchés par ces criminels sanguinaires islamistes décervelés.

@ Ellen
Non ils ne sont pas fous ! Vous connaissez la blague de Toto qui tire au bout d’une ficelle une brosse à dents persuadé que c’est un chien ?
Le directeur de l’asile le félicite de promener son chien par ce beau temps.
– « Ce n’est pas un chien, monsieur le Directeur c’est une brosse à dents !
– Bravo toto ! »
Et Toto de s’éloigner en disant à la bosse à dents : « on l’a bien eu hein Médor ! »
Vous raisonnez en Occidentale alors qu’il faut suivre leur propre raisonnement. Ils sont dans leur logique mentale.
Ferhat Abbas : « l’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en action »

Il y a leurs attentats affreux contre nous, il y a aussi nos bombardements affreux contre eux.
En l’affaire qui est le terroriste ? qui est le résistant ?
S’il y a un combat à mener, il est contre nous-même, contre notre croyance en la force, contre la tentation de répondre à la violence par la violence. Si nous persistons à penser comme ceux que nous combattons, le combat est perdu d’avance.
« C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d’opprimer la vérité. Tous les efforts de la violence ne peuvent affaiblir la vérité, et ne servent qu’à la relever davantage. Toutes les lumières de la vérité ne peuvent rien pour arrêter la violence, et ne font que l’irriter encore plus. Quand la force combat la force, la plus puissante détruit la moindre ; quand l’on oppose les discours aux discours, ceux qui sont véritables et convaincants confondent et dissipent ceux qui n’ont que la vanité et le mensonge ; mais la violente et la vérité ne peuvent rien l’une sur l’autre. Qu’on ne prétende pas de là néanmoins que les choses soient égales : car il y a cette extrême différence que la violence n’a qu’un cours borné par l’ordre de Dieu qui en conduit les effets à la gloire de la vérité qu’elle attaque, au lieu que la vérité subsiste éternellement et triomphe enfin de ses ennemis ; parce qu’elle est éternelle et puissante comme Dieu même. » Pascal

@hameau dans les nuages-11:48
« Ferhat Abbas : « l’islam, c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en action » »
Très juste, je la connaissais aussi.
Sauf nos politiques, et principalement cette gauche butée et rétrograde qui ne porte pas un bandana sur la tête, mais un bandeau sur les yeux.

Je reste sidéré par la lecture de certains articles paraissant dans la presse dont un avec le titre « Du sang-froid avant tout ».
Ce journaliste développe le sujet en déclarant notamment que nous devons nous attendre à une trentaine voire une quarantaine de victimes du terrorisme chaque année mais que si on songe aux bombardements nazis qui en 1941 ont bombardé Londres les Anglais ont quand même conservé leur sang-froid ! Ce qui signifie que de bons esprits acceptent que vu les circonstances il faut se résigner à payer un tribut. Si demain la famille de ce journaliste était victime d’un attentat je ne pense pas que sa réaction serait de se dire pour lui-même : du sang-froid avant tout ! Il n’est pas question d’accepter de payer un quelconque tribut à ces illuminés et il est surtout question que le gouvernement prenne toutes mesures destinées à les mettre hors d’état de nuire. Si la France est dans le collimateur comme le déclarent certains, elle doit muscler la riposte même au prix de mesures coercitives et renforcer les pouvoirs de nos forces de l’ordre. Quand je lis que des policiers viennent d’être sanctionnés pour avoir effectué des contrôles au faciès et qu’en même temps un terroriste vient de décapiter son employeur sur le sol national ce n’est pas du sang-froid que je ressens mais du dégoût. Alors on fait quoi ? On tend le dos ou on anticipe ?

@Christian C
Nous nous sommes, en France, rendus coupables de recevoir les immigrés dont nous avions besoin, dans des ghettos, en les entassant tous en même temps dans des tours assez innommables dressées en paquets bien serrés dans les banlieues les plus pourries du territoire.
Non, non et non !
Les clichés, les slogans récités comme des mantras, ça suffit !
Premièrement, au nom de quoi la France serait-elle coupable ? D’avoir été trop généreuse, ou plutôt pour avoir été trop bête dans sa générosité en l’accordant sans discernement à des étrangers ingrats plutôt qu’à ses propres enfants qu’elle délaisse ?
Ensuite, dans bien des cas, les immigrés n’ont pas été parqués dans des ghettos comme le récitent les perroquets, mais ont été logés des endroits tout à fait vivables qui ont été habités par des franco-Français qui étaient très heureux d’y vivre, même dans une ville comme Sarcelles.
A titre d’exemple, la ville de Villeneuve, près de Grenoble, dont les logements d’un certain niveau proviennent de la reconversion de la cité olympique, ont été d’abord habités par des classes moyennes et supérieures, avant que les phénomènes liés à l’immigration incontrôlée de masse n’aient commencé à se manifester.
Ces habitants ont été littéralement chassés par les nouveaux arrivants, qui ont exercé sur eux divers types de pressions selon un schéma désormais bien rodé partout.
Désormais, Villeneuve est une zone de non-droit où les trafics s’étalent au vu de tous, et où la police ne peut plus pénétrer qu’en force, et encore, à condition de le faire dès potron-minet et de ne pas s’attarder.
Il faut aussi savoir que la tendance consistant à disperser les bandes ou bien les nouveaux venus dans de petites villes ne résout en rien les choses : ils transportent leur ghetto avec eux, le reconstituent sur place, ce qui transforme vite leur nouveau point de chute en enfer pour ses primo-habitants…
Tout ça par la faute d’apprentis-sorciers idéologues qui aiment jouer avec le feu.

« …tous les autres » Xavier Nebout !
Votre épouse est voilée ?
Raz le castafiore de reprocher aux autres ce que vous pratiquez à longueur de commentaires…

Je tente deux minutes de hors piste pour parler de la Grèce. Deux minutes !
Je soutiens Tsipras et j’espère qu’il ne va pas flancher. Voilà dix ans que les banques européennes prêtent à 8% (et sans contrôle) à la Grèce des sommes qui ne leur sont prêtées par le FMI qu’à 0,5 – 1%. Ca frise l’escroquerie. C’est l’Amérique et ses subprimes !
Cela fait dix ans que les banques se gaufrent sur le peuple grec alors que, même moi, j’aurais pu dire que l’actif (de la Grèce) ne pouvait renflouer le passif créé par leurs administrations pléthoriques (c’est du grec) mais fantômes, et des armateurs trop près du pouvoir. N’importe quelle entreprise aurait été mise en état de cessation de paiement dans ces conditions, continuer à alimenter le tonneau des Danaïdes est une faute professionnelle de l’UE. Maintenant que tout le monde est au bord du gouffre c’est le « je te tiens tu me tiens par la barbichette… » et on va voir le premier qui rira (l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la France ? ;))
Aujourd’hui Madame Lagarde, devenue Madame La Vertu après avoir présidé l’arbitrage du Crédit Lyonnais/ BTF et avoir octroyé en un claquement de doigts 243 millions d’euros de dommages et d’intérêts et 45 millions d’euros de préjudice moral à Bernard Tapie, fait la leçon à Tsipras ! Je rêve ou suis-je (encore) dans le coma ?
Comment a fait la France pour « évaporer » les dettes du Crédit Lyonnais (et de Vivendi) ? Pour mémoire Madame Lagarde est Française, juriste, et elle connaît parfaitement le dossier.
Qui a été remboursé par LCL des dettes du Lyonnais (gelées dans une structure spéciale 😉 qui ont été payées à hauteur de 1000 euros par foyer fiscal ? (Si un seul a été remboursé qu’il me dise par quel moyen ça m’intéresse)
Le PDG du Crédit Lyonnais a-t-il été inquiété pour avoir endetté une banque publique de plus de 4,5 milliards d’euros ? (et je ne parle même pas de Vivendi ou de l’amende d’Axa aux US…)
J’avais DEUX minutes ! 😀

J’ai lu cette nuit le très beau livre d’Abdennour Bidar : « Plaidoyer pour la fraternité ».
Ce livre qui coûte 6 € devrait être offert à tous les Français.
À quoi nous invite-t-il ? à la fraternité, à la question : comment en est-on arrivé là !
Les responsabilités de part et d’autre, d’éducation, (comment parle-t-on des étrangers le soir en famille ?). Explications sur la religion musulmane.
Dix propositions pour une France fraternelle.
C’est un long chemin sans doute mais il sera indispensable de s’y mettre tous.

@Franck Boizard-14:38 et Xavier NEBOUT-08:14
Mais que de sottises de la part de ces deux intervenants ! Ils n’ont rien compris ou alors ils sont dénués de tout bon sens mental. A vous lire, on dirait que vous vous êtes déjà fait manipuler par certains salopards. Messieurs, redescendez sur terre ou vous allez perdre votre tête pour de bon.

@Marie.net
Sur cet espace nous savons ce à quoi ressemble la fraternité !
Raz le castafiore d’attendre un livre pour vivre la République inscrite sur les frontons de nos municipalités.
Mais je peux vous comprendre car c’est aussi dans cet espace que les noms d’oiseaux, d’oiselles circulent facilement…(:-
La fraternité consistant à ne pas en rajouter cad comprendre l’agacement que l’on pourrait parfois provoquer. Ce qui n’a rien à voir avec les impolitesses lâches.

@Parigoth
Vous avez bien le droit de n’être pas du même avis que le mien.
Je vous invite à visiter les sites suivants.
http://www.ina.fr/video/RCC02016834
http://static.lillemetropole.fr/deliberations/pdf/A-060409_1703_DUP_PIECE_A_NOTICE_EXPLIC.PDF
Je vous livre également les extraits d’un livre : « Les mondes de la drogue: usages et trafics dans les quartiers », par Dominique Duprez et Michel Kokoreff.
« Ces deux barres de 19 étages – 600 appartements – ont durablement marqué l’image du quartier.
La « mauvaise » réputation du quartier doit beaucoup à l’histoire des « Biscottes ». Durant au moins une décennie, elles ont constitué un « espace repoussoir ». Les « Biscottes », comme la plupart des grands ensembles, ont d’abord hébergé des familles ouvrières avec de jeunes enfants. Lors de la grande vague d’accession à la propriété des familles ouvrières dans les années 1970, les éléments les plus dynamiques sont partis. Avec le développement de la crise (…) tandis que les logements vacants étaient attribués aux rares demandeurs : parfois des familles sous-prolétarisées mais, le plus souvent, des familles marocaines qui y trouvaient de grands logements. (…) la concentration d’un grand nombre d’adolescents dans chaque cage d’escalier a produit comme aux Minguettes, dans l’Est lyonnais, des situations ingérables. (…) La proximité de la grande mosquée de la rue de Marquillies renforce le repli de la résidence Sud sur elle-même, créant quasiment des réflexes identitaires. Les rares commerces qui y subsistent ont été rachetés par des familles maghrébines. »
https://books.google.fr/books?id=5xaiaE6TNpcC&pg=PA65&lpg=PA65&dq=construction+des+biscottes+%C3%A0+lille-sud&source=bl&ots=D6oCSbJsnu&sig=WaactSu6SqiR6h_a0Wom1oHbyXo&hl=fr&sa=X&ei=tA2QVey6BKa_ygOvjZ24Cw&ved=0CCAQ6AEwADgU#v=onepage&q=construction%20des%20biscottes%20%C3%A0%20lille-sud&f=false
La lecture de la page 65, résumée ci-dessus, devrait vous intéresser.
Ce quartier des « Biscottes », Parigoth, je l’ai vu s’édifier en 1962 et 1963 ; il n’était pas nécessaire d’avoir des diplômes pour anticiper que ce « quartier » deviendrait à brève échéance un terreau propice au développement de toutes les turpitudes.
C’est, entre autres, là que l’on a parqué tous les maghrébins de la métropole lilloise.
La « générosité » de la France, réelle, et que vous soulignez à juste titre, a conduit à regrouper dans ce quartier, en quelques années, 50, 60, 70% de la population maghrébine que comptait la métropole lilloise. Où était le mal ? Nulle part !
Mais êtes-vous surpris que les mosquées, les prières du vendredi, le voile des femmes, et tout ce qui accompagne souvent la concentration de population musulmane, se soit « enkysté » dans ce quartier-là ?
Bien sûr, Sarcelles et Villeneuve n’ont rien à voir avec les biscottes de Lille-Sud, puisque vous en avez décidé ainsi.
Ai-je parlé de culpabilité ? De racisme ? D’exclusion ? Non.
Avions-nous, nous les bons Français, besoin de cette main-d’œuvre?
Si vous avez le sentiment que nous avons, tous, fait tout ce que nous pouvions faire pour intégrer les immigrants d’où qu’ils viennent pendant la période de reconstruction, vous méritez bien d’appartenir au Front National. J’espère que vous ne le prenez pas comme une insulte ?

@Jabiru
Ce journaliste développe le sujet en déclarant notamment que nous devons nous attendre à une trentaine voire une quarantaine de victimes du terrorisme chaque année mais que si on songe aux bombardements nazis qui en 1941 ont bombardé Londres les Anglais ont quand même conservé leur sang-froid !
Sauf que les Anglais ne se contentaient pas de garder leur sang-froid, ils combattaient aussi et surtout en parallèle le mal à sa racine, mal qu’ils avaient clairement identifié sans s’être mis à répéter comme nos politiciens félons et leurs comparses padamalgam, padamalgam ! en refusant de voir la vérité en face.

@ caroff
L’Islam a toujours été divisé, mais pourquoi devrions-nous importer leurs divisions ?
Le Père de Foucauld avait bien vu que l’Islam est incompatible avec la république, et que la seule façon de faire un rapprochement était d’avoir une même religion, lui plaidant naturellement pour la religion chrétienne. Ce dont je suis sûr, c’est que la proposition s’est renversée et va maintenant dans le sens de l’Islam.
Il n’y a pas d’islam modéré, il n’y a que des islamistes en sommeil qui attendent de devenir radicaux, éventuellement sous la contrainte, ou qui attendent le Mehdi qui fera la guerre décisive.
Les socialos sont bien trop préoccupés de créer de nouveaux impôts pour agir de façon décisive, leur armée est fatiguée, les policiers suspects, les prisons vidées, les malfaiteurs mieux protégés que les victimes : à titre d’expérience, essayez de vous défendre contre un agresseur : interdit, votre gifle sera examinée par des policiers soupçonneux, un juge odieux, un tribunal aux ordres et vous ne vous en sortirez qu’avec l’aide onéreuse d’un avocat et sous les sifflets de la foule indignée de votre violence.
De toutes les façons, la bataille est perdue, les Français visent les 32 heures, l’irresponsabilité et la proportion de ceux qui préfèrent être assistés que travailler croît sans cesse, établis dans cette opinion par 50 ans d’électoralisme verdâtre. Dès qu’on parle d’armes les visages se décomposent, et l’indignation monte aux lèvres comme un vomissement biliaire, mais on parle chez McDo de se montrer énergiques.
Il y aura un baroud d’honneur qui ne commencera que lorsque les muzz auront pris une ville et entendront faire régner le Coran. Un tout petit combat administratif, averc un tribunal administratif peureux, un préfet aux ordres et un parti en place qui cédera sous la promesse de l’apport de voix musulmanes aux prochaines élections, la ville se videra des chrétiens (oh le gros mot) ou simplement des souchiens et la sera la première base de la conquête territoriale, 100 % musulmane.
Tout le reste n’est que spéculation de politiciens en herbe, encore confortablement installés en France, ou politiciens objectivement traîtres à leur civilisation et gavés d’argent public.
Par ailleurs, aucune guerre n’est à mener contre Daesh, qui devient un Etat organisé. L’Europe béate de démocratie a négligé Assad au nom de la démocratie. Je connais la Syrie, on y vivait comme sous toute dictature, on fermait sa gueule, c’est tout. Aujourd’hui, on y meurt parce qu’un quarteron de policiens de caniveau a menti, a répudié toutes ses paroles et le sang coule à flots.
Personnellement, je voue une grande admiration à V.Poutine, bien que conscient de ses vices et défauts, mais il sait ce qu’il veut et il utilise les moyens nécessaires pour y parvenir : l’Empire russe.
Nos socialistes ou républicains ne méritent pas le respect social, ce sont des gens avides d’argent, toujours l’argent, et prêts à tous les reniements.

Un témoignage d’un habitant entendu sur France Inter au sujet de la façon dont le chef d’entreprise a été assassiné, et de l’islam en général, et que j’approuve à 100%:
« Dans le monde maintenant il n’y a plus de respect, il n’y a plus que le mal qui compte.
La religion qui devient un prétexte à tuer n’importe qui n’importe comment.
On nous impose quelque chose qu’on n’a pas voulu, qu’on ne veut pas, et on se battra pour éradiquer tous ces gens qui sont complètement fous.
C’est un monde pourri. On ne peut pas vivre comme cela, ni pour nos enfants, ni pour nos petits-enfants. On n’en veut pas »
La nouvelle loi sur la sécurité intérieure est déjà inefficace. MDR.
Juste au moment où un responsable musulman commence à s’énerver en disant que ça suffit les colloques sur les musulmans, que les musulmans respectent la république, blablabla.
Il faut interdire le voile à l’Université et fermer les mosquées salafistes comme celle de Lunel par exemple. On y verra déjà plus clair.
Et personnellement, je suis pour la proposition de N.Dupont-Aignan, de déclarer l’état d’urgence en France. Il faut que les troupes rentrent du Mali.
Il paraît selon des spécialistes qu’il y aurait entre 3000 et 5000 personnes en cours de radicalisation islamique. Tous les musulmans sont en cours de radicalisation, depuis un mot d’ordre donné quelque part il y a plusieurs années et qui a vu les niqabs se multiplier en France, en dehors de toute logique, pour de multiples raisons aussi fausses les unes que les autres, tantôt la liberté religieuse, tantôt la laïcité.
Est-ce qu’il va falloir attendre d’être éliminé un par un par des « déséquilibrés », comme Aurélie Châtelain, et comme le gouvernement le laisse faire ?
Tous ces gens obéissent à un mot d’ordre donné par les autorités religieuses musulmanes. Ils vont se venger.

@ Achille | 28 juin 2015 à 18:43
Je n’ai jamais appelé à décapiter quiconque. Mais cette différence est probablement anecdotique à vos yeux.

@ breizmabro
Pour la Grèce, elle sera sauvée car « Jack is Back » et il se croit le sauveur de ce pays, c’est Monsieur je sais tout !
Sauf que la crise grecque, il y a quatre ans lorsqu’il était au FMI, il ne l’avait pas vu venir, pas plus que celle des subprimes. Il n’avait pas vu non plus, récemment, que son associé était au bord de la faillite et que cette association était « foireuse »… il devait être occupé par d’autres sujets plus ludiques.
Décidément, le grand économiste qui traîne ses grosses casseroles ne voyait pas grand-chose et maintenant il vient donner des leçons à sa remplaçante et aux dirigeants européens. Un peu gonflé tout de même. Plutôt deux Hollande (et c’est moi qui le dis) et deux Lagarde que cet économiste internationaliste à la réputation d’expert montée de toutes pièces par des Français qui croient au Père Noël.
Quant à Tsipras, il a le mérite de consulter son peuple et en cela, je dis « chapeau » !

@hameau dans les nuages
Vous pouvez vous livrer à la surenchère de l’exclusion si cela vous fait plaisir. Il semble en effet que cela vous fasse plaisir.
Vous devriez savoir que la situation des émigrés n’avait rien à voir avec celle des pieds-noirs.
Peut-être faites-vous exprès de jouer au c…
Hélas, à vous lire trop souvent, je crains que cela ne soit même pas volontaire.

Quelqu’un ici même a osé citer le nom de Gilles Kepel, « specialiste du monde arabe », CNRS.
Si vous voulez rire à gorge déployée lisez « Jihad. Expansion et déclin de l’islamisme, Gallimard, Paris, 2000 ; 2e édition refondue et mise à jour, coll. « Folio actuel », Gallimard, 2003″…

@ breizmabro
D’accord pour le saut dans l’inconnu mais c’est facile de choisir quand on n’a pas à choisir.
Les Grecs, ne nous le cachons pas, sont devant un choix cornélien, un choix digne des tragédies grecques…

Cher Philippe,
Oui, allons il nous faut rester modeste.
Modeste et lucide et vigilant surtout.
La mode estivale ne sera pas le maillot mais le gilet pare-balles.
Nos politiques surfent sur l’angoisse collective qui n’est pas loin de s’installer.
Oui, nous restons plantés là, car quelques hommes font leur loi.
Plus soucieux de marquer une loi d’un nom que d’amener une réflexion d’ensemble, plus soucieux de bagatelle que d’ouvrir leurs yeux sur des priorités.
Dans quel monde sommes-nous ?
Dans un monde où la vie d’un humain est moins respectée qu’une vache sacrée en Inde.
Dans un monde où il est impossible de trouver un emploi, de le garder, d’être respecté à tout âge.
Dans un monde où les compétences et l’expérience ont moins de valeur que l’arrogance ou la grande gueule.
Dans un monde d' »acteurs » et de dénigrement.
Ce n’est pas d’aujourd’hui que des réunions de terroristes ou extrémistes font régner la terreur dans leur région sans que personne ne s’y oppose.
Les rappeurs de l’ancienne génération avaient signalé qu’un danger se dessinait et qu’une partie de leurs cadets considérait autrui comme de la viande.
Si les politiques ne prennent pas conscience de la situation, c’est qu’ils ne sont jamais dans les trains ou dans les taxis pour écouter les appels à la violence.
Donner des armes à des pays dont les armées ne sont pas formées ou infiltrées par des terroristes, c’est armer son bourreau.
La politique de Hollande est imprécise, non maîtrisée et la droite a l’intelligence de la sécurité d’un pays et de nos alliés.
Ce cirque sur la Grèce n’a aucune raison d’être et de grâce, passons aux choses sérieuses. Sarkozy a toujours soutenu la Grèce et en sa présence le problème serait déjà réglé.
Hollande a tout flingué : la paix, la confiance, le respect, la morale, la solidarité.
Qu’il rende son tablier et qu’il découvre que des enfants dorment sur des cartons à Paris, que des nourrissons de dix mois marchent seuls sur la route pendant que leur mère va chercher de l’eau à la bouche d’incendie, qu’à chaque déplacement il faut prévoir des aliments pour donner aux personnes qui ont faim.
Revenir aux priorités : pouvoir s’alimenter, se soigner, s’éduquer, travailler, se déplacer.
Hollande est un mondain stupide qui n’a jamais compris que ses blagues de dessous.
françoise et karell Semtob

@breizmabro
« Comme disait Bob Marley (qui s’y connaissait en liberté) « Mieux vaut mourir pour la liberté plutôt qu’être un prisonnier tous les jours de ta vie ». »
Bobby était quand même bien prisonnier de son addiction au THC, n’est-ce pas ? Dans ce sujet intitulé « Quelques leçons modestes de l’horreur… », il est tout à fait envisageable d’illustrer l’horreur au quotidien par le souvenir d’une idole musicale qui ne pouvait pas se passer de cannabis pour vivre et qui commençait ses journées en envoyant de la fumée dans ses poumons.
Tout cela est morbide, j’en conviens. C’est dans un registre de tristesse comparable à celui d’une décapitation en France où la peine de mort a été abolie.

Il est assez amusant de constater combien « des leçons modestes de l’horreur » suscitent de commentaires immodestes de celles et ceux qui pensent tout savoir des causes et remèdes à apporter à cette – donc – horreur.

@ Denis Monod-Broca le 28 juin 2015 à 21:19
« D’accord pour le saut dans l’inconnu mais c’est facile de choisir quand on n’a pas à choisir »
Vous avez raison il est plus facile de dire que de faire et, pour l’instant je n’ai pas à choisir, mais si… dans quelques mois… ? Il est vrai que chez nous lorsque le peuple répond négativement à un référendum le gouvernement passe outre. Comment « ils » appellent ça déjà ? Ah oui : Démocratie (origine grecque : « forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple »).
A présent que Tsipras veut utiliser ce mode de gouvernement institué par ses ancêtres on dit que c’est une méthode populiste (voir également : démagogue).
Nous en France on a (aussi) des dettes mais un vocabulaire riche 😉

@Parigoth
Que vient faire le FN ? Bonne question. Vous connaissez mieux que personne la réponse.
Le billet de Philippe Bilger traite du terrorisme islamique. J’y ai réagi sans m’adresser à vous.
Pourquoi m’interpellez-vous sur la culpabilité ? De qui ?
Je vous signale qu’il est malhonnête de se plaindre du communautarisme après avoir entassé les musulmans immigrés dans les mêmes immeubles depuis le début des années 60.
Que cette réalité vous plaise ou non, elle est là.
Je me fiche d’autant plus du rapport sur les musulmans que vous évoquez, que vous n’en désignez ni les auteurs ni la date ni les conditions dans lesquelles il a été rédigé.
Vous êtes, sur ce blog et sur d’autres, de ceux qui préfèrent expliquer leurs difficultés quotidiennes par la seule présence sur le sol français d’autres, français ou non, qui observent une religion différente de la vôtre.
Faites-vous une raison : c’est ainsi et vous ne pouvez rien y changer. Déplorez, écrivez, tempêtez, invectivez ; je vous informe que cela ne sert à rien.
Continuez donc, et fichez-moi la paix. Je ne vous ai rien demandé.
PS : Lisez donc l’analyse que fait le juge Trévidic dans Le Point, elle vous aidera (on peut toujours rêver) à comprendre.

@ Ahmad
Un Islam modéré mais étouffé et dominé, cela signifie surtout que lorsque Caroline Fourest nous chantait il y a de cela quelques années sur tous les plateaux de télé que Tariq Ramadan, qui, entre autres, représente l’Islam tel que vous le concevez, était le diable en personne, pas une seule manif musulmane digne de ce nom ne se levait pour la condamner. Résultat des courses : à la place d’un Islam de France tel que le souhaitait Tariq, Caroline a obtenu un Islam contre la France qui a zigouillé la majeure partie de ses potes de Charlie Hebdo. Il y a des moments où Allah est tellement grand qu’il impressionne…
Mais le choc de civilisation dont a parlé notre Premier ministre est objectivement franco-français. L’islam n’est qu’un catalyseur, il n’est qu’indirectement concerné par ce qui se passe en France. Il est le symbole de ceux qui, en classe, ont un jour dû jeter leur chewing-gum, enlever leur casquette ou leurs lunettes de soleil, se vêtir autrement, etc. tout cela pour rien, pour le plaisir d’une domination qui n’apporte absolument rien à la vie en commun, qui n’est là justement que pour anéantir toute espérance de vie commune. C’est cette domination qui est visée par ceux qui ont vu une jeune fille lui résister lorsqu’elle a refusé de retirer son voile en classe.
Dès lors, un espoir est né pour eux, une révolution était possible, et une révolte certaine.

@hameau dans les nuages
Votre double statut de paysan pyrénéen clerc vous confère certainement toute l’autorité pour écrire savamment sur les conditions d’hébergement des rapatriés d’Algérie.
Le problème, hameau, c’est que je m’en fiche, mais à un point que vous ne pouvez imaginer.
J’ai posté hier un, puis deux commentaires sur le billet de Philippe Bilger, qui portait, si je ne me trompe, sur le terrorisme islamiste.
Me voilà transformé en trublion par trois individus en désaccord, non pas avec ce que j’écris, mais avec moi.
Je félicite sbriglia au passage pour son « nain parfait du subjectif », qui est joli, mais qui lui a demandé quatorze heures de méditation avant de dénicher sa « perle ». Sans doute le fruit de sa méditation en prière pour l’âme de la victime de Saint-Quentin-Fallavier ?
Mais faites-vous plaisir, continuez.

@ vamonos le 29 juin 2015 à 06:43
« Bobby était quand même bien prisonnier de son addiction au THC »
Oui, mais ce qui ne veut pas dire qu’il n’était pas un esprit libre. Aujourd’hui à force de nous interdire tout nous allons tous mourir en pleine forme…
Il y a quelques jours je me suis fait arrêter par les flics (à un rond-point, comme dab) parce que je n’avais pas les deux mains sur le volant. J’ai dû leur expliquer que pour rétrograder je devais, pour ce faire, libérer ma main droite du volant pour saisir mon levier de vitesse.
Ok ils ne m’ont pas verbalisée, mais nous touchons au ridicule (peut-être avaient-ils abusé du chonchon ? ;-))
La liberté c’est, aussi, un choix de vie.
Kenavo

@breizmabro | 29 juin 2015 à 12:31
Il pleuvait ?

@duvent
Je pense comme vous que le but visé par les terroristes est bien la conquête de l’ensemble des continents et qu’il est déjà un peu tard pour endiguer la marée. La mobilisation de toutes les nations « cibles » et de tous les citoyens libres de quelque confession qu’ils soient est incontournable compte tenu de la stratégie opérée par des extrémistes prêts a sacrifier leurs vies pour satisfaire leurs desseins.
Nos dirigeants tels Barack, Vladimir et tous les autres doivent donc se bouger bessif pour engager une union sacrée et fortement armée pour éviter un désastre à venir.

@caroff
Vous évoquez la bonne foi après avoir utilisé les termes « blédard » et « blédarde » dont on perçoit bien la connotation tout empreinte de respect, de considération.
Je ne vois pas le rapport encore une fois avec le terrorisme islamique.
Alors de grâce, faites-moi la leçon : expliquez, je ne demande qu’à comprendre.

@Ahmad
Les questions que vous posez sont les mêmes que celles qui ont suivi les massacres de janvier 2015, en France, sur ce même espace.
Vous demandez que l’on s’intéresse à l’islam via le Coran et son prophète.
Aujourd’hui, personnellement, j’en ai mon saoûl ! Qui, en France vous demande de connaître et respecter la religion catholique ? QUI ?
Car vous n’êtes pas sans avoir remarqué que dans chaque village il y a une église. Donc que nombre de personnes pratiquent encore ce culte ! Vous ont-ils demandé ou fait supporter un de leurs dogmes ?
L’islam vous appartient et souffrez que l’on vous le laisse n’ayant pas la prétention de connaître le pays (ses particularités géographiques, climatiques et par conséquent agricoles) où il a pu prendre naissance. Une religion est aussi le reflet de l’instinct intrinsèque d’une population à un endroit du globe donné. En cela personne n’a à s’y soumettre.

Ca commence à bouger. Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, déclare dans Ouest France
Des plaintes déposées au Pénal – Quarante prêcheurs de haine et imams ont été expulsés de France depuis 2012 dont douze depuis le début de l’année
« S’il y a des associations qui gèrent ces mosquées et dont la totalité des membres poursuivent cet objectif d’appel à la haine et d’incitation au terrorisme, ces mosquées seront dissoutes.
Il faut aussi prendre les dispositions légales envers certains rappeurs qui passent leurs messages sur un tam-tam abrutissant en incitant les jeunes à la violence et à la haine ».
On n’a pas entendu l’association CCIF s’opposer à l’expulsion de France des prêcheurs de haine et de violence et des imams. Merci M. Cazeneuve.

Et là-bas, un massacre de blacks en prière… Que les nostalgiques d’Empire se méfient d’eux-mêmes quand leurs enfants prendront les armes pour répondre à l’horreur par l’horreur.
« Quand on n’a plus la puissance de ses ambitions, la politique devient ce que Péguy, l’un des modèles de de Gaulle, voulait qu’elle fut : de la littérature. C’est donc paradoxalement son absence totale de force militaire qui fait de de Gaulle le héros qu’il a été…
L’héroïsme, d’une certaine façon, est affaire d’intellectuels. Ce sont des écrivains qui refusent de servir la force, mais que l’événement peut forcer à devenir des prophètes. Rappelons-nous la colère de Pascal : « Ne pouvant fortifier la justice, ils ont justifié la force. » Cette colère témoigne d’un vrai refus de collaborer. Les armes ne doivent être qu’un moyen de « fortifier la justice » contre ceux qui justifient la force : c’est la formule héroïque, et il n’y en a pas d’autre. Notez que nous retrouvons là l’intensification réciproque de la violence et de la vérité : de la vérité qui renforce une violence qui ne peut rien, en retour, contre la vérité. Il n’y a pas d’autre définition de la résistance, à mon avis. Elle vaut pour chacun d’entre nous aujourd’hui. » (R.Girard, Achever Clausewitz, chapitre La France et l’Allemagne)

@ Savonarole | 29 juin 2015 à 13:04
« Il pleuvait ? »
Genre ? « Il pleuvait sur Brest ce jour-là Barbara » ?
Si, éventuellement, c’était un message codé la réponse est : « Le mouton broute à Ouessant ».
Finalement sur ce blog entre l’Islam modéré et immodéré, la Grèce et Savonarole, on ne s’ennuie pas.
Kénav Savo !

@ Cirsedal
Merci pour les citations de Muray.