On finit par être harcelés !

Ce n’est pas d’aujourd’hui qu’on parle de harcèlement.

Au travail ou ailleurs. Quelque chose qui était une préoccupation, que l’actualité parfois mettait en évidence et n’était plus considéré par personne comme une foutaise, tant le pouvoir et ses effets délétères commençaient à être perçus comme il convenait.

Mais, avec les comportements agressifs multiples d’Harvey Weinstein, on est passé dans un autre monde. Ce personnage, sur lequel l’opprobre légitime est tombé – quelle belle attitude a eu son frère Bob -, a libéré, par l’indignation qu’il a suscitée, une multitude de paroles, révélé une infinité d’attitudes transgressives, autorisé une suspicion systématique à l’égard de ce qui de près ou de loin ressemblait à une virilité classique.

C’est toujours comme cela en France. On ne fait jamais dans la demi-mesure.

Marlène Schiappa lance une consultation citoyenne avant de présenter un texte au premier semestre 2018 contre les violences sexistes et sexuelles. Il devrait acter un non-consentement présumé des enfants en matière sexuelle. C’est bien.

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En revanche, l’allongement de la prescription de 20 à 30 ans est une idée démagogique et un outil que ne sera guère opératoire avec la déperdition des traces et des preuves au bout d’une aussi longue période. Mais je suis persuadé qu’on retiendra pourtant cette mesure parce que l’important n’est pas qu’elle soit efficace mais qu’elle donne bonne conscience. Et ce sera forcément bien ! (Le Figaro)

Le hashtag BalanceTonPorc en France a beaucoup de succès. Il est inondé de doléances, de récriminations, de dénonciations et d’indignations. C’est bien, c’est forcément bien. C’est du défoulement même si on ne peut pas savoir si tout est vrai, si dans cet immense déballage il n’y a pas ces étranges pulsions mimétiques qui racontent ce qu’on croit avoir vécu, subi (Le Monde).

Une jeune femme âgée de 25 ans a publié une lettre ouverte et lancé une pétition. Contre quels dangereux criminels ? Contre les « frotteurs » du métro qui, si ce qu’elle raconte est exact et pas fantasmé, sont en effet des types indélicats et grossiers (Le Parisien).

Ce n’est pas tout.

Un groupe de travail va devoir définir « la zone grise entre la séduction consentie et l’agression sexuelle et proposer les moyens de verbaliser l’infraction ». Je lui souhaite bon courage.

Il aura également besoin de beaucoup d’énergie et d’invention contre le harcèlement de rue puisque celui-ci, caractérisé par un certain nombre d’approches, d’attitudes, de gestes, de sifflets admiratifs ou vulgaires, devra avoir sa place pénale entre l’agression sexuelle, le harcèlement sexuel et l’injure en raison du sexe.

Je trouve que cela devient effarant. Pour être absolument dégoûté par le « porc » Weinstein et heureux par avance des sanctions équitables qui lui seront infligées, je me demande si nous ne sommes pas tombés sur la tête avec cette obsession d’une sexualité toujours virtuellement menaçante à l’encontre de femmes toujours virtuellement faibles et désarmées.

Nos rues, le métro, notre quotidienneté sont-ils emplis de ces séquences où en effet, odieusement ou de manière indécente, des femmes sont ciblées, touchées ou offensées ou s’agit-il d’exceptions, d’entorses dans un collectif qui généralement, où qu’il soit, ne s’abandonne pas à des débordements qui justifieraient à toute force une loi ?

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Ce quadrillage qu’on semble prévoir avec enthousiasme va peser sur des êtres singuliers, hommes et femmes, dont la liberté, le désir, la résistance sont parfaitement capables, la plupart du temps, de s’exprimer sans le recours d’autre chose que d’eux-mêmes.

Quel étrange univers on nous prépare avec ce prurit législatif qui adapté ici devient absurde là à force de mettre sur le même plan le grave et l’intolérable d’un côté et le dérisoire de l’autre ? On doit parfois aussi laisser les personnes se défendre sans venir artificiellement à leur secours. La loi devient de plus en plus la béquille d’une société qui s’infantilise et n’a même plus le droit de compter sur elle pour ce qui au premier chef la regarde. Qu’on continue, et le simple risque d’humains vivant ensemble avec l’imprévisibilité inévitable de telles proximités et familiarités sera insupportable et on l’éradiquera en supprimant l’humanité de toute relation.

J’entends déjà l’objection scandalisée des féministes militantes. Je suis un homme et je n’y connais rien. Je n’ai pas le droit d’écrire sur ces problèmes de femmes. Ce ne serait même pas recevable si j’étais d’une indulgence coupable à l’égard des virilités dévoyées. Ce l’est encore moins quand on condamne comme moi les abjections récentes.

Juste, pour terminer, un peu d’ironie. Il y a des femmes, artistes ou combattantes, qui affirment soutenir la cause des femmes en se servant ostensiblement de leur nudité. Elles sont en général applaudies par le progressisme alors que d’une certaine manière elles se montrent, pour être libres, dans des postures infiniment plus discutables que les assauts qu’on prête à un monde viril en général maître de lui.

Inconséquences.

Qu’on cesse de nous harceler !

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Voir les Commentaires (120)
  1. Cher Philippe,
    L’idée d’un harcèlement de rue est une idée saugrenue. Cela ne signifie pas que les incivilités sexistes ne se multiplient pas depuis quelques années, mais la notion de harcèlement suppose une répétition et il est rare de recroiser les mêmes individus.
    La plupart du temps le fait d’élever le ton en exprimant « on ne me touche pas » suffit à remettre les choses en place, mais lorsqu’il s’agit de groupes alcoolisés ou shootés la situation devient plus complexe.
    Lors de rassemblements publics, des gamins associent l’arrachage de sac à main ou à dos avec des attouchements allant jusqu’à perforer les jeans. Dans une foule compacte, il est bien difficile de se tirer d’affaire.
    Il existe toujours le même problème dans les transports : il n’y a pas un chat.
    Qu’il existe un problème de défibrillateur ou d’agression, on peut toujours tirer l’alarme, il n’y a personne qui répond.
    Dans les trains comme dans les villes, il y a beaucoup de messages de comédiens et autres, mais personne dans les couloirs, personne dans les gares et personne derrière les caméras et lorsque l’on signale un problème à répétition dans une station, il est répondu que rien ne peut être fait.
    Ce ne sont pas des lois qui changeront la situation, mais des personnels de terrain et là c’est demander la lune.
    Il n’est pas rare de poireauter après un spectacle plus d’une heure pour trouver un tacot, ou de se faire la traversée de Paris pedibus jambus et d’en entendre et d’en voir de toutes les couleurs.
    Hidalgo n’a pas d’odorat, n’a pas le sens de l’hygiène ni de la sécurité, car Paris et sa banlieue sont de plus en plus mal gérés.
    Il est conseillé aux non fumeurs de se déplacer avec un paquet de cigarettes pour éviter de se prendre un coup ou de perdre une oreille.
    C’est ce que génère la hausse du tabac, les camés ont toujours besoin de clopes pour se rouler un joint.
    – « T’es bonne ».
    -« Tu veux pécho »
    devient le quotidien des femmes.
    Les revues féminines contribuent à faire de nous de bonnes petites salopes et nous avons le choix d’en être fières ou pas !
    françoise et karell Semtob

  2. Tout à fait d’accord avec ce billet salutaire de Philippe Bilger.
    J’ai travaillé 34 ans dans la même entreprise (1978-2012) pas un seul cas de harcèlement sexuel (une entreprise de 4000 salariés répartis dans le monde entier).
    Même à Moscou, aucune affaire de ce genre ne m’a été signalée (précision utile ici afin de rassurer notre centurion Barbarossa qui veut envahir la Russie de Poutine tous les matins…).
    En revanche nombre de cas de harcèlement moral émanant de l’encadrement et agents de maîtrise.
    Il suffisait de les virer et le problème était réglé. Ils n’avaient plus que les Prud’hommes pour pleurer. Ils perdaient tous leurs procès. On les jetait vivants dans le bassin aux murènes de Force Ouvrière et CFDT au tribunal des Prud’hommes.
    Inutile de pondre encore une loi sur le harcèlement sexuel.
    A-t-on déjà oublié l’épisode du harcèlement moral de France Télécom, ses suicides de salariés, le licenciement de son PDG ?
    Le harcèlement moral, très bien analysé par le livre de Marie-France Hirigoyen, est toujours d’actualité.
    Combien de morts dans l’affaire Weinstein ? Hein ?

  3. Le problème du harcèlement, c’est qu’aujourd’hui tout le monde finit par y mettre tout et n’importe quoi.
    Sans compter la ségrégation de féministes qui systématiquement nient que les hommes puissent aussi être victimes.
    Les féministes nient que le droit des femmes ait été principalement conquis par des hommes, que ce sont des hommes qui ont à maintes reprises voté l’égalité des droits, la pénalisation du viol, du harcèlement, du viol conjugal, de tabasser sa femme.
    Comme les personnes noires qui feignent d’oublier que ce sont des blancs qui ont lutté contre d’autres blancs pour abolir l’esclavage, pour faire du racisme un délit, voire une circonstance aggravante en cas de crime.
    Tous les hommes qui ont lutté pour l’égalité des droits ont risqué leur vie, d’être emprisonnés, etc.
    À en croire les féministes, tous les hommes blancs sont des violeurs, pédophiles, racistes, sexistes, antisémites, obsédés sexuels, harceleurs, qui battent leur femme.
    Alors pourquoi laisser naître des petits garçons blancs, ne devrions-nous pas tous les tuer à la naissance pour régler ces problèmes ?
    Il n’y a rien à sauver chez l’homme blanc, tuons-les tous !
    Toutes les femmes sont d’éternelles victimes et tous les hommes d’éternels coupables.
    Un masculiniste est un sale type, macho, un être méprisable, ségrégationniste, qui pense plus avec son phallus qu’avec sa tête, ce qui est vrai, mais une féministe serait une personne exceptionnelle et courageuse.
    Curieux que les premières femmes qui ont eu un combat pour l’égalité des droits ne se soient jamais autoproclamées féministes, d’ailleurs originellement c’est une pathologie médicale chez le garçon dont la puberté s’arrête avant d’arriver à terme.
    Un suprématiste noir est courageux, mais un suprématiste blancs un « salaud », alors que dans les deux cas nous avons affaire à deux « salauds » !
    L’ennemi des féministes ce sont les hommes, par nature, rien que le mot et l’idéologie ont pour adversaire les hommes.
    Surprenant de voir que : égalitariste, égalitarisme sont devenus des injures aujourd’hui, alors que toute personne pour l’égalité des droits est une égalitariste.
    L’égalité, c’est en droit, pas dans autre chose, mais les anti-égalités des droits, ceux qui veulent des privilèges, ont fait aujourd’hui des égalitaristes des criminels en leur prêtant des propos et des intentions qui ne correspondent pas du tout à la définition.
    http://www.cnrtl.fr/definition/%C3%A9galitarisme
    – Il y aurait plus de 136 000 plaintes par an, en France d’hommes battus, mais les féministes le nient.
    – Il y a des hommes violés, mais les féministes le nient.
    – Il y a des hommes assassinés, mais les féministes le nient.
    – Il y a des hommes harcelés mais les féministes le nient.
    « Les frotteurs du métro », cela n’aurait aucun rapport avec la promiscuité, avec le fait que l’on tasse les passagers, avec le délire de persécution des femmes, non ce sont les frotteurs du métro, tous les hommes, tous !
    Voyons cette surprenante sémantique médiatique : « 300 000 morts dont 117 000 femmes et enfants ».
    Chouette, 183 000 hommes tués, faisons une ola !
    Cela aurait-il été moins grave si les 300 000 morts n’étaient que des hommes ?
    Pourquoi se sentir obligé de préciser : femmes et enfants ?!
    À mort les privilèges, à mort le ségrégationnisme, à mort le racisme, vive l’égalitarisme, dans sa véritable définition originelle et pas celle inventée par Finkielkraut, Zemmour, Wauquiez, Fillon, Valls, les libéraux économiques et libertariens qui en réalité veulent le système anglo-saxon de « Equity » qui pose le communautarisme comme principe et source du droit.

  4. Bonjour,
    Il est clair que le harcèlement sexuel est à éradiquer partout où il peut se manifester : sur son lieu de travail, dans les transports en commun, dans la rue, partout. Les femmes ont le droit au respect de leur personne et de ne pas être considérées comme des objets sexuels.
    Ceci étant, le problème de la stigmatisation des harceleurs doit être mené fermement mais avec discernement. Il existe des gradations dans le harcèlement et la drague lourdingue qu’ont subie pratiquement toutes les femmes au moins une fois dans leur vie, mais souvent beaucoup plus, ne saurait être mise au même niveau que l’abus de position dominante d’un chef de service.
    De même l’utilisation des réseaux sociaux pour dénoncer un harceleur peut très vite conduire à des débordements. On ne peut exclure le fait que certaines femmes n’hésiteront pas à utiliser ce moyen mis à leur disposition pour régler quelques comptes personnels. Ce n’est pas beau mais ça s’est déjà vu.
    La frontière entre dénonciation justifiée et délation sans preuves est parfois bien ténue. Il ne faudrait pas que l’effet Weinstein conduise à une déferlante de pudibonderie qui ne pourrait qu’être néfaste, pour ne pas dire désastreuse, aux relations hommes-femmes.
    D’où la nécessité d’une loi bien structurée sur le harcèlement permettant de reconsidérer le comportement de certains hommes qui ont du mal à maîtriser leur libido en pleine effervescence. Mais une loi ne suffit pas, il faut aussi, et surtout, mettre en place une sensibilisation des enfants, dès leur plus jeune âge, aux relations femmes-hommes dans la société. La finalité étant d’établir des comportements sereins entre les femmes et les hommes dans tous les secteurs de notre société, sans que cela n’affecte l’attirance naturelle d’un homme envers une femme, et réciproquement, bien sûr.
    L’amour est certainement ce que la vie peut nous apporter de meilleur alors ne le bridons pas par des règles trop rigides, nous serions tous perdants.

  5. Franck Boizard

    Une femme dit ce que ceux qui sont encore doués de bon sens savent :
    http://blog.causeur.fr/lavoixdenosmaitres/weinstein-pourquoi-pourquoi-pourquoi-ce-silence-00622.html#ligne
    S’il y a des harceleurs dans le monde du travail, c’est que certaines femmes s’en accommodent fort bien parce qu’elles savent en tirer parti.
    Les harceleurs de rue, c’est autre chose. Mais, de ceux-là, il est interdit de parler parce qu’ils ont une origine qui les rend intouchables (cf Cologne).

  6. Si je dis que le genou de Schiappa ne vaut pas le genou de Claire, est-ce du harcèlement ou une vérité esthétique ?
    J’appelle à la barre Éric Rohmer !

  7. Il n’y a pas une jeune fille qui ne soit l’objet de remarques égrillardes voire carrément obscènes dans les transports en commun, dans sa cour de lycée, à l’université ou dans la rue.
    Personne ne peut fermer les yeux sur cette réalité qui pourrit au quotidien la vie des femmes et qui, dans certains cas prend un caractère contraignant directement contraire à la liberté et à la dignité.
    Cette regrettable réalité est en progression inquiétante. Plusieurs causes peuvent l’expliquer : la chute incontestable de la civilité et de la politesse, la montée du sexisme le plus répressif chez les tenants de l’intégrisme religieux islamique, l’influence délétère des réseaux sociaux où se libèrent les instincts les plus bas et une violence verbale qui demeure impunie sous la protection de l’anonymat.
    Pour autant, le projet de loi dont le président de la République a parlé dans son intervention sur TF1 est une pure mesure d’affichage qui n’a strictement aucune chance d’être un jour appliquée dans la vie réelle. D’ailleurs, en Belgique où une telle loi existe, elle n’a jamais pu être appliquée à quiconque.
    Est-ce à dire que les Belges sont plus polis et moins grossiers et lourdement machistes que les Français ? Evidemment non.
    C’est tout simplement qu’il tombe sous le sens que la police et la gendarmerie, déjà débordées par l’immensité de la tâche qui est la leur en ces temps d’insécurité et de terrorisme, n’ont sûrement ni le temps ni les moyens de prendre les contrevenants en flagrant délit, et encore moins de rechercher les personnes – par définition inconnues de leurs victimes – qui auraient proféré des injures à caractère sexiste ou qui se seraient rendues coupables de harcèlement de rue.
    Plus efficace sans doute, parce que plus dissuasive, est l’initiative de cette jeune néerlandaise qui a photographié et filmé ses harceleurs dans les rues d’Amsterdam. Mais quelle suite juridique pourra-t-on donner à son initiative ?
    On voit bien pourquoi Monsieur Macron va sur ce terrain en cette période où l’affaire Weinstein aux USA sensibilise le monde entier à ce problème.
    Mais c’est toujours une erreur et un signe de faiblesse que de vouloir alourdir notre code pénal de lois de circonstance qui, par nature, ne peuvent jamais être appliquées et dont l’inefficacité ne peut qu’enhardir les délinquants.

  8. Il nous faut donc constater que les hommes dont le progrès dans certains domaines est éblouissant, restent un petit singe lubrique sur cette question qui au fond ne relève que du pouvoir qu’il peut, ou pourrait exercer sur l’autre.
    L’autre étant un ennemi, un ennemi pour l’éternité, un ennemi à éradiquer, un ennemi à subjuguer, et cet ennemi a pour visage celui qui est nécessaire à la controverse, la controverse ayant pour vocation de purger la haine qui gronde sourdement.
    Autrefois, la mort étant présente et visible, les immolations, les augures et bacchanales, les saturnales et autres fantaisies bonnes pour l’enfance venaient satisfaire l’instinct.
    Voyons, quelle société peut sortir d’un cloaque pareil ? Regardons chacun jeter ses ordures et rentrer dans ses pénates bien tenues. Quelle époque formidable !

  9. Prudence est mère de sûreté ….
    Alors perso et comme un homme averti en vaut deux,lorsque je sors le soir je mets ma caméra Go-Pro autour du cou et l’actionne avant d’adresser la parole à une représentante du sexe féminin afin d’enregistrer la conversation dans le but unique d’éviter ensuite toute poursuite sur les réseaux sociaux et autres tribunaux. Et lorsque,l’une de ces belles d’un soir viens finir la « conversation » à la maison,je lui fais signer une attestation où elle reconnait venir de son plein gré et qu’elle ne fait l’objet d’aucun traitement psychiatrique,ni prise de médicament pouvant altérer son jugement (si elle peut fournir un justificatif médical,c’est un plus). Evidemment,c’est moins glamour …mais la sécurité du mâle est à ce prix .

  10. Je commence à parler comme une vieille, mais il me semble que « les harcèlements » de rue d’autrefois étaient nettement moins agressifs, ce qui tendrait à prouver si l’on voulait y voir une relation de cause à effet, que la répression durcit les positions ; en fait les facteurs sont multiples, et ce que l’on pourrait prendre pour une cause est sans doute également un effet. Cela dit, impossible de nier que la condition des femmes a incomparablement changé en mieux globalement depuis qu’elles ont le droit de vote.
    Je trouve révulsant cet appel à la dénonciation. Et dangereux, il nuira encore au respect entre hommes et femmes. Puisqu’on parle à tout bout de champ de la guerre et de Pétain, là, on dépasse carrément la ligne rouge me semble-t-il. Comme toujours, pour contrôler une frange bien particulière de la population, on soupçonne et on réglemente tout le monde et on épluche le moindre comportement de tous les jours pour y déceler une menace. Il y a pourtant déjà suffisamment de lois.
    Hier j’ai vu Elisabeth Lévy à la télé dire que la plupart des hommes sont parfaitement honorables, civilisés, et même délicats dans leur manière de faire la cour aux femmes, je la rejoins, c’est aussi mon expérience, il faut dire que je ne vis pas dans des quartiers où règnent la pègre ou le business. Quoique remercier les hommes de bien se conduire, comme elle l’a fait, ça pourrait suggérer qu’ils font un effort pour y parvenir.
    Il me semble que dans l’affaire, la tradition courtoise occidentale représente une sorte de modèle par rapport à la loi de la jungle. Elle pose un idéal de liberté et d’engagement l’un envers l’autre pour chacun. C’est sans doute pour cela qu’elle est si mal défendue.
    Enfin, si Madame Macron veille au grain, nous voilà sauvés.

  11. @ Savonarole | 18 octobre 2017 à 02:26
    Je suis assez d’accord, le harcèlement moral en entreprise est de très loin le harcèlement qui détient la palme si chère à Weinstein. Il est moins voyant qu’une main au « culte » dans un couloir de temps à autre, mais comme la ciguë, un peu tous les jours finit par tuer.
    Les meilleurs dans cet exercice sont les p’tits chefs, ceux qui sont atteints du syndrome de Peter dès leur prise de fonction et qui compensent leur mal-être à leur poste en créant un égal mal-être chez ceux sur qui ils (elles) ont un pouvoir, même petit.
    Je vous donne un exemple : j’ai réalisé une mission de contrôle de gestion dans un call center (je ne sais comment ça se dit en breton 😉 mais en français : centre d’appels), c’était un flicage permanent, avec un petit chef qui surveillait de sa tour de contrôle, via un logiciel maison, le temps d’appel et le résultat de l’appel, puis convoquait le ou la salarié(e) pour lui « remonter les bretelles », parfois en fin de journée devant tout le monde.
    Comme son secteur était performant la direction ne voulait rien entendre sur ses méthodes (profitability makes rich ! Yeah !).
    Bon j’ai eu ma vengeance en fin de mission car j’avais constaté (c’était mon job) qu’il se servait de sa voiture de fonction le week-end, non prévu contractuellement, ce que j’ai naturellement signalé à sa direction lors du commentaire de mon rapport d’audit de gestion.
    La « fraude » était conséquente puisque constatée sur plusieurs années, malheureusement je n’ai pas connu la teneur de la sanction, une mission en chassant une autre…
    Quelques salariés ont démissionné de cette « boîte ». Sont-ils devenus chômeurs ? pas chômeurs ? ou fainéants fouteurs de bordel ?
    Le harcèlement peut venir, aussi, du guide de la cordée…

  12. Ce prurit législatif que vous conspuez est déjà en œuvre aux États-Unis depuis de nombreuses années.
    Le harcèlement, qu’il soit moral ou de nature sexuelle, y est passible de sanctions lourdes agrémentées de dommages et intérêts substantiels.
    Ces lois ont renforcé le puritanisme propre aux Américains en l’agrémentant d’une bonne dose de paranoïa affectant les comportements sociaux au sein des entreprises.
    Une certaine dissuasion existe ainsi contre les attitudes inconvenantes constituées par les avances non désirées, gestes déplacés ou agressions pures et simples.
    Il existe encore de nombreux cas de harcèlement dans tous les milieux et types d’entreprises, les exemples Weinstein, DSK ou encore celui du PDG d’American Apparel en sont les plus célèbres et ils démontrent à l’évidence que les lois ne peuvent pas tout régler malgré les conséquences gravissimes encourues par leurs auteurs.
    Il est quand même notable que les femmes et les hommes, eux aussi victimes de harcèlement pour une part non négligeable, s’estiment plus tranquilles sur leurs lieux de travail car mieux protégés.
    Vous conviendrez que ce n’est pas une mince avancée.

  13. Michel Deluré

    Une loi, une de plus diront certains, et dont on est en droit de se demander quelle sera son efficacité finale en raison entre autres de l’inéluctable difficulté qu’il y aura à l’appliquer effectivement.
    Bien évidemment que le harcèlement et notamment sexuel est intolérable et doit être sanctionné. Tout être, quelle que soit son identité sexuelle et quel que soit son état, a impérativement droit au respect.
    Mais une énième loi ne suffira pas à elle seule à garantir ce droit, alors que des textes existent déjà en ce domaine.
    C’est là où je rejoins Achille et où je pense au rôle prépondérant que doit jouer en amont l’éducation. Cet apprentissage du respect de l’autre, et donc de la femme, doit s’effectuer dès le plus jeune âge, que ce soit au sein de la cellule familiale et surtout dans le système scolaire, sans oublier le rôle des médias.

  14. On ne peut qu’approuver pleinement l’idée de lutter contre les harceleurs sexuels et les porcs tels Weinstein. Toutefois, en ce qui concerne ce dernier, n’est-on pas devant le cas particulier d’un milieu complaisant : il paraît que tout le monde savait que ce producteur était un sale type, des stars de premier plan le confirment, et que sa conduite durait depuis un quart de siècle. Alors comment expliquer que des femmes averties, majeures et vaccinées, aient continué à se laisser enfermer seules avec lui à la simple idée de décrocher un rôle ?
    Il est évident que le cas d’une salariée ordinaire victime de son chefaillon est par nature bien différent. Elle ne sait pas à l’avance ce qu’elle risque. Cela ne fait pas partie du jeu. Et c’est beaucoup plus insidieux. C’est à toutes ces victimes du quotidien qu’il faut donner réparation en premier.

  15. « Nos rues, le métro, notre quotidienneté sont-ils emplis de ces séquences où en effet, odieusement ou de manière indécente, des femmes sont ciblées, touchées ou offensées ou s’agit-il d’exceptions ? »
    Tout dépend des quartiers sans doute.
    Plusieurs témoignages émanant de la gent féminine, recueillis sans les solliciter particulièrement, tendent à démontrer que des populations « ethniques » passent un temps assez conséquent à traîner dans les rues et les transports publics aux fins d' »ennuyer » les femmes qui, par leur habillement, sont des proies tentantes.
    J’ai bien connu ce phénomène au Maghreb où les jeunes femmes habillées à l’européenne empruntant des bus bondées avaient le choix du tripotage côté « pile » si elles se tournaient vers une vitre, ou côté « face » si elles se réfugiaient vers une cloison…
    Cette constante se retrouve en France puisque la culture du mâle dominant méditerranéen a été transplantée grâce à l’immigration massive de nord-africains depuis de trop nombreuses années.
    Je ne comprends pas qu’on puisse aujourd’hui seulement s’en indigner puisque ces pratiques sont connues et largement documentées. Une de mes filles ainsi que la totalité de ses camarades connaissaient les itinéraires à emprunter pour éviter le harcèlement de rue : il suffisait qu’elles évitent les quartiers à forte diversité…
    Dans un autre ordre d’idée, la question du harcèlement moral me paraît aussi problématique, sinon plus, que le harcèlement physique. Le chantage aux faveurs du type « Weinstein » est largement répandu (la fameuse « promotion canapé ») dans les entreprises ou les administrations publiques, et conduit parfois les femmes qui en sont les victimes à démissionner ou à changer de service.
    Enfin, je me permets de faire remarquer que les femmes parvenues au pouvoir peuvent elles aussi harceler leurs collaborateurs de façon perverse. Des femmes politiques ou des « cheffes » d’entreprise ou de service ont acquis ainsi une odieuse réputation.
    De la même manière que pour les hommes, règne une omerta que je ne briserai pas car je ne suis pas adepte de « balance ta truie » !

  16. Claude Luçon


    « La loi devient de plus en plus la béquille d’une société qui s’infantilise et n’a même plus le droit de compter sur elle pour ce qui au premier chef la regarde. »
    Rien n’est plus vrai, il n’aura fallu que 50 ans pour en arriver là.
    « BalanceTonPorc » est laisser le règlement du problème aux seules victimes !
    Les hommes doivent y participer par un « Touche pas à ma nana » et se rappeler qu’ils ont deux poings au bout des bras, dont ils savaient se servir il n’y a pas si longtemps.
    Quand un amateur de pince-fesses se retrouvera régulièrement avec deux yeux cernés de noir, sans fard, ou un nez en sang, il apprendra vite le sens des mots courtoisie et galanterie d’une part, et violence, la sienne, de l’autre.
    C’est un problème de société, aux citoyens de le régler, ces femmes ont des pères, frères et copains, tous citoyens, nos policiers ne peuvent pas tout faire.
    La paix dans le pays est la responsabilité de nous tous.
    Comme beaucoup d’autres problèmes du jour celui-ci ne se réglera que par le « Faire », comme disait Fillon.
    C’est aussi une guerre de civilisation, les hommes doivent se mobiliser et il n’est point besoin de kalachnikov et d’uniforme pour la régler : une langue bien pendue et un verbe acerbe, le cas échéant deux poings ou, pour les plus âgés, un parapluie ou une canne, parfois même simplement offrir son bras à la victime suffisent.
    C’est à nous tous de reciviliser une France que cinquante ans de soixante-huitardisme ont réduit à l’infantilisme !
    Il faut que les hommes de ce pays se battent pour regagner leur vieille réputation perdue de galanterie.

  17. calamity jane

    « On finit par être harcelés » ?!
    « On » n’est pas pluriel…
    Un coup de bol inespéré : vous allez enfin savoir de quoi il s’agit !

  18. @ GLW | 18 octobre 2017 à 10:04
    Drôle. J’achète.
    Viva America !
    En même temps chez nous nos LGBT ou LBTG ou TLBG veulent des toilettes (chiottes en parler populaire façon Macron) unisexe.
    On n’est pas dans la m..de ! (si j’ose dire ;))
    Adeo GLW

  19. Jean Lassalle est une des personnalités politiques épinglée dans le fameux hashtag #Balancetonporc qui sévit sur Twitter. Une attachée parlementaire du PCF l’accuse nommément de lui avoir mis la main aux fesses, ce que nie farouchement le truculent élu du Béarn.
    Nous savons tous que les gens du Sud-Ouest sont ce que l’on peut appeler des « tactiles ». Ils n’hésitent pas à vous mettre la main sur l’épaule, vous passer la main dans le dos, même si vous ne faites pas partie de leurs amis intimes. C’est une façon d’exprimer leur sympathie à l’égard de ceux qui sont en leur compagnie.
    Il est vrai que la frontière entre le bas du dos et la fesse est très subjective selon les régions. Dans le sud ce serait pratiquement à hauteur de la fesse.
    Ceci étant, ainsi que l’a fait remarquer le mis en cause, en quarante années de vie politique, et même si parfois il a tendance à tenir des propos un peu machos, aucune femme ne lui avait jusque-là reproché le moindre geste inconsidéré, sauf peut-être quelques propos grivois. A chacun son humour après tout, mais peut-on vraiment considérer cela comme du harcèlement ?
    Cette anecdote me fait penser à un sketch de Guy Bedos qui avait fait hurler certaines féministes à l’époque (dans les années 70 quand même !) et qui aujourd’hui lui vaudrait de gros ennuis avec la Justice. Allez, je vous le mets juste pour le fun. A vous de juger.
    https://www.youtube.com/watch?v=ffanbB_22Yo

  20. « La loi devient de plus en plus la béquille d’une société qui s’infantilise et n’a même plus le droit de compter sur elle pour ce qui au premier chef la regarde. Qu’on continue, et le simple risque d’humains vivant ensemble avec l’imprévisibilité inévitable de telles proximités et familiarités sera insupportable et on l’éradiquera en supprimant l’humanité de toute relation. »
    Excellent billet Monsieur Bilger dont j’ai retenu ce court passage.
    Qu’on le veuille ou non c’est là la conséquence de l’imitation de tout ce qui vient des États-Unis comme la quintessence de la civilisation et donc de la mondialisation sous la seule influence sociale, sociétale, culturelle et par là même judiciaire de ce grand pays qui ne saurait être l’exemple à suivre en tout et pour tout.
    Notre pays n’a pas voulu rester lui-même : la civilisation, que dis-je, la culture française ça n’existe pas ! Et ceux qui s’y réfèrent sont des nostalgiques du passé, quand ils ne sont pas traités d’identitaires, voire d’identitaristes, voire encore de nazis… En revanche la célébration du rap de rue c’est l’idéal sociétal et culturel !
    De fait, le respect de l’autre, de la femme notamment par les hommes, n’est pas inné. Il résulte de l’éducation, en premier lieu au sein de la famille. De même en ce qui concerne l’apprentissage de l’égalité et de la complémentarité entre hommes et femmes. Cela s’acquiert dès la petite enfance dans les fratries et se poursuit dans l’adolescence pour générer des adultes armés de principes qu’ils respecteront leur vie durant.
    Mais il a fallu abandonner l’idée même d’assimilation, gros mot s’il en est, au profit du culte de la différence, de l’enrichissement par les cultures exogènes et considérer la fameuse « intégration inclusive » comme étant le nec plus ultra de l’intégration.
    On voit à présent les effets de ces abandons systématiques de « l’art d’être français » sur des bases plus que fumeuses et maintenant que l’on se trouve devant des difficultés que l’on ne sait plus résoudre, on judiciarise à outrance. En quoi le juge aurait-il à intervenir dans les rapports inter-individuels alors qu’il s’agit de la simple « common decency » chère à Orwell. Le système enfante des monstruosités et des monstres et il s’en étonne ! Et pour corriger ces errements notre président de la République n’a envisagé rien moins que de recréer le service militaire !
    Comprenne qui pourra la logique de tels errements.

  21. @Tipaza | 18 octobre 2017 à 08:58
    « Si je dis que le genou de Schiappa ne vaut pas le genou de Claire, est-ce du harcèlement ou une vérité esthétique ? J’appelle à la barre Éric Rohmer ! »
    Non, c’est juste une affaire de goût pour un film commercial.
    Toutes les femmes ne peuvent être des poupées Barbie avec des jambes en forme de baguettes chinoises, tout comme les hommes ne peuvent tous être des Apollon.
    Lors d’une interview micro-trottoir, un reporter TV demande à une jolie femme : quand vous voyez passer un homme dans la rue, que regardez-vous chez lui en premier ? : son sourire et ses yeux.
    Même question posée à un homme, bedonnant et vraiment moche, cheveux gras en bataille – sa réponse : ses jambes et ses fesses, j’aime les belles femmes bien faites. Vicieux en plus ?! Celui-ci ne devait pas se regarder dans la glace tous les matins.
    J’appelle George Clooney comme témoin. Il n’a pas hésité à incendier Weinstein.

  22. En 1990 il y a eu un film à grand succès dont le titre ne portait pas à interrogation. Il s’appelait « Promotion canapé », réalisé par Didier Kaminka dont personne ne se souvient mais qui avait retranscrit ce qu’il connaissait.
    20017 : Oups ! ça existe ? Mais QUE à Hollywood alors…
    J’attends le jour où il y aura les mêmes « révélations » dans le monde de la mode qui exploite des filles de quatorze ans, anorexiques, d’un mètre soixante-quinze. Ou dans l’industrie du disque (chanson).
    Weinstein d’accord, mais tout seul !
    Une question de temps. J’espère.

  23. sbriglia en mode "Blow up"

    Pour être garde républicain on n’en est pas moins homme et son regard dans la pénombre ne fixe certes pas la ligne bleue des Vosges…

  24. Michel Deluré

    @ Claude Luçon 18/10 13:05
    Que voilà une manière de régler le problème au moins rapide, efficace et donnant à réfléchir à celui qui en fait les frais avant que de repasser à l’acte si l’envie lui en reprenait !
    Le problème est qu’honneur et courage ne sont plus des valeurs qui sont spécialement mises en exergue dans notre société actuelle. Les actes liés à ces valeurs, quand ils sont accomplis, n’intéressent guère les médias.
    Lâcheté, égoïsme et indifférence prévalent malheureusement trop souvent.
    Il est à craindre Claude Luçon que les durs de votre époque étaient alors une espèce en voie de disparition.

  25. hameau dans les nuages

    @ Achille | 18 octobre 2017 à 15:52
    Jean Lassalle est du genre vert galant bien que je ne connaisse pas sa vie privée. Je l’ai rencontré avec ma charmante épouse alors qu’il s’occupait des gîtes. Je lui tendis la main mais il me la laissa dans le vide pour saisir celle de ma femme, accompagnant son geste par un « Honneur aux dames » d’une voix rocailleuse. Il est plus charmeur que dragueur. C’est un Béarnais.

  26. On hésite, on barguigne, on tâte le terrain, voyons, que faire ? Entre les excès condamnables et ceux portés par des gens qu’on jure ne pas avoir connu comme tels, les petits vicieux, les gros dégueulasses, ceux qui aiment regarder une jolie femme, comment faire le tri ? Le contact, le regard, le coup d’oeil, la recherche de séduction. Bon, tout cela ne veut rien dire, les prêtresses de l’apartheid sont au travail.
    Et ceux qui ont donné la Légion d’honneur à Weinstein, vraiment ? Ils ne savaient rien ? Rien n’était parvenu à leurs oreilles ? Rien ? Vraiment ? Alors, ils sont vraiment très c… mais alors vraiment, ou alors un tantinet malhonnêtes, ou alors, après tout, pourquoi pas ? Rigolards.
    Je lis ce matin, un article concernant une femme (donc c’est bien) docteur au Canada, sur les comportements sexuels des jeunes. Elle rapporte, per oculos, vidi, des questions posées ; c’est soit à mourir de rire, soit à se dire qu’on vit une époque formidable.
    Lorsque nous étions un milliard et demi à tenter de survivre, on pouvait tout absorber, avec des fortunes diverses. Aujourd’hui, nous approchons les huit, je crois, on ne contient plus rien. Monsanto dit que le glyphosate est inoffensif, faux, archi-faux, haro. La FNSEA dit que l’emploi de pesticides a baissé, hourra, bravo, même si la pollution de nos rivières et cours d’eau est de plus en plus forte. Mais non, la FNSEA a dit, alors c’est vrai, mais Monsanto, non.
    L’homme préhistorique était déjà un redoutable pollueur, je l’ai constaté in situ, l’homme d’aujourd’hui ne fait rien d’autre, mais à 8 milliards de fois, et non à 200 000 fois.
    La main aux fesses, autant faire 8 milliards de lois, musulmans compris, ça ne s’arrêtera pas, pas plus que les tenues très très trop courtes mais ce sont les femmes qui les portent, donc c’est irréprochable. Par bonheur la méta-humanité est en route, utérus artificiel, trayeuse à sperme, fécondation in vitro, procréation généralisée, police du sexe, il ne restera plus qu’à se réfugier dans une forêt et réciter par coeur le Kamasutra pour se souvenir que la célébration du plaisir a existé, tuée par le nombre de pervers ; pervers ? c’est vite dit. Que le premier qui n’a pas fait un compliment à une femme se lève et prenne la porte, c’est un faux-cul. Et Robinson ? c’était pas tous les jours dimanche, non ?
    Donc, au bout du compte, agitation + perversion + surpopulation, mélangez, sucrez, ajoutez un peu de haschisch, vous obtenez une loi Schiappa ou n’importe quel ministricule… bien intentionné.

  27. @ Ellen | 18 octobre 2017 à 16:00
    « Même question posée à un homme, bedonnant et vraiment moche, cheveux gras en bataille – sa réponse : ses jambes et ses fesses, j’aime les belles femmes bien faites. »
    Rien dans cette description ne me correspond, sauf peut-être le regard qui s’attriste de ne plus voir de jambes, puisque dissimulées par des pantalons, et de fesses, dont les normes IMC ne correspondent plus aux rêves ancestraux qui viennent du fond des âges traînant avec eux l’image éternelle de Vénus callipyge.
    Sinon, quelle pitié dans ce débat de constater que personne ne parle de l’amour courtois, qui est au cœur de la chevalerie au Moyen Âge.
    Un amour respectueux de l’objet du désir, car désir il y a, et comment n’y aurait-il pas désir entre un homme et une femme ? mais un désir subtil en ce qu’il s’exprime suivant des règles de bienséance parfaitement codifiées, mais sûrement pas par des lois sur parchemin, une codification plus subtile, celle de la mode et des us et coutumes.
    Le gendre de codification que l’on ne transgresse pas, sauf à s’exclure de la bonne société sans passer par le tribunal et le jugement de Dieu.
    La première règle étant le dévouement et parfois la soumission à la Dame de cœur, pas nécessairement l’épouse.
    Car l’amour courtois n’a rien du caractère officiel imposé par les institutions et l’Église, il est l’expression pure des sentiments, il peut être prude mais il n’est pas nécessairement platonique, simplement le sexe sans la vulgarité.
    Il est plus fort que le lien de vassalité qui relie le chevalier à son seigneur, c’est-à-dire qu’il est plus fort que tout.
    Il est tellement fort que les dames du temps jadis en profitaient pour faire souffrir affectivement le pauvre chevalier qui se lançait dans cette aventure, car c’en était une, de l’amour courtois.
    De nos jours la souffrance est plutôt de l’ordre des indemnités prononcées par le juge, mais c’est un autre sujet.
    Je n’en dirai pas plus, il y a des kilomètres d’étagères sur ce sujet dans toutes les bonnes bibliothèques.

  28. Catherine JACOB

    Ah là là là là !
    Une fois n’est pas coutume, entièrement d’accord avec chaque nuance de votre billet.
    Je pense de plus que si les donzelles de #BalanceTonPorc était harcelées ne serait-ce que pendant une petite semaine par de vrais porcs du harcèlement pro comme il en existe hélas quelques officines dont on aimerait bien savoir d’où vient exactement leur financement, elles réfléchiraient à deux fois avant de qualifier un compliment sur leur plastique, de harcèlement !
    On leur dit qu’elles sont belles, c’est du harcèlement, qu’elles sont moches, c’est du harcèlement, on ne dit rien et on ne les regarde même pas, c’est encore du harcèlement.
    Je dis moi qu’une bonne partie de #BalanceTonPorc est surtout très c.. !!
    Le harcèlement est un sujet extrêmement sérieux et grave dont le versant sexuel n’est que la partie émergée de l’iceberg. Pour qu’il soit considéré efficacement comme tel, il faut faire preuve d’un peu de mesure et cesser de suivre bêtement n’importe quel mot d’ordre histoire d’avoir l’air d’être dans le coup ; et donc ne pas laisser les réseaux sociaux faire la loi quand il peut y aller de la vie et de la mort, comme dans le cas de ce harcèlement qui peut faire feu de tout bois et prendre comme cible des personnes de tout âge, de tout sexe et de toute classe sociale dès qu’une fragilité est détectée par, par exemple et de façon non exclusive, un pervers narcissique.

  29. @ breizmabro | 18 octobre 2017 à 16:11
    Le puissant et riche de la « cordée » a cassé son jouet pour devenir un « rien ». La roue tourne.

  30. @ Achille | 18 octobre 2017 à 15:52
    « Nous savons tous que les gens du Sud-Ouest sont ce que l’on peut appeler des  » tactiles ». Ils n’hésitent pas à vous mettre la main sur l’épaule, vous passer la main dans le dos, même si vous ne faites pas partie de leurs amis intimes. C’est une façon d’exprimer leur sympathie à l’égard de ceux qui sont en leur compagnie. »
    Il paraît que sieur Macron, pourtant né à Amiens, est aussi un « tactile » pour le plus grand plaisir de tous les gens qu’il rencontre, mais lui c’est « à l’américaine » : tape dans le dos et accolade (formation école Rothschild oblige).
    Bon, pour les petits fanfans des crèches c’est pas encore ça, mais vu qu’il n’a jamais été papa l’approche des petits enfants est forcément plus de la com’ que de l’affect.
    Quelqu’un pourrait lui dire que ça se voit ? 😉

  31. @ caroff | 18 octobre 2017 à 12:49
    Vous nous faites une belle leçon de choses qui mériterait d’être enseignée à Macron et sa bande… mais n’a-t-il pas été harcelé et même violé selon certains psychanalystes ? D’ailleurs n’est-il pas en train de se venger sur nous les innocents ? L’histoire de cette vengeance commence juste, nous allons souffrir de notre lâcheté à le laisser faire !

  32. @ semtob | 18 octobre 2017 à 01:19
    Excellent commentaire merci ! Mais je n’ai pas compris la fin de la dernière phrase : « et nous avons le choix d’en être fières ou pas ! »

  33. SOS Porcinophobie !
    Pôv’ porcs !
    Ces malheureux gorins n’ont plus la cote ; ostracisés, mis à l’index, rejetés par les musulmans et les meufs qui veulent les balancer !
    « Balanceton porc » ! N’est-ce pas de la discrimination porcinophobe ? Et que devrais-je dire quand aux heures de pointe dans le métro bondé, toutes ces meufs viennent se coller et se frotter à moi, n’est-ce pas du harcèlement ?
    Devrais-je lancer un Acheutagueu : « balance ta truie » ?

  34. Robert Marchenoir

    @ Claude Luçon | 18 octobre 2017 à 13:05
    Oui, c’est joli tout ça en théorie, mais en pratique, quand la femme est insultée et que son fiancé est à côté, il y a dix Arabes en face. Et plusieurs sont morts d’avoir « ouvert leur gueule » en de telles circonstances. Quant aux vieux avec une canne, ils sont des victimes prioritaires.
    @ GLW | 18 octobre 2017 à 10:04
    Vous rigolez, mais c’est exactement le conseil que vient de donner, par écrit, une fliquette britannique aux jeunes gens de son pays : ne pratiquez pas la bagatelle avec une demoiselle qui aurait pris un seul verre d’alcool, car si c’est le cas, elle peut porter plainte après avoir consenti à l’acte, sous prétexte qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait.
    Autrement dit, avant de faire sauter le soutien-gorge, il va falloir maintenant soumettre la jeune personne à l’éthylotest. Et conserver une preuve de la mesure. Les soirées vont devenir d’un gai !…
    Remarquez le ton de maîtresse d’école de l’auteur : moi je n’y suis pour rien, je ne suis ni pour ni contre, si je vous dis ça c’est pour votre bien…
    De plus, comme elle l’explique (elle est devenue avocate depuis), la perversité de la loi est hallucinante : l’alcoolisation fonctionne en sens inverse pour l’homme et pour la femme. Cette dernière peut se prévaloir d’avoir bu pour rétracter son consentement a posteriori, mais l’homme ne peut nullement évoquer l’excuse de sa propre alcoolisation pour faire valoir au juge qu’il avait mal interprété l’empressement de sa partenaire.
    Le matriarcat punitif et hargneux est en marche, et rien ne pourra l’arrêter… à moins qu’une bonne petite dictature islamique, peut-être ?
    Photo de Marlène Schiappa sur le perron de l’Elysée : c’est fou, toutes ces ministres féministes peu gâtées par la nature, qui tiennent à souligner leurs convictions par des tenues d’autant plus incorrectes et inélégantes. Bah ouais, chuis comme ça, kessta, ça t’dérange ? Charmante personnalité, avec laquelle on a hâte de faire connaissance…

  35. @genau 18 octobre – 16:48
    « Et ceux qui ont donné la Légion d’honneur à Weinstein, vraiment ? Ils ne savaient rien ? Rien n’était parvenu à leurs oreilles ? Rien ? Vraiment ? Alors, ils sont vraiment très c… mais alors vraiment, ou alors un tantinet malhonnêtes, ou alors, après tout, pourquoi pas ? Rigolards. »
    Quand Nicolas Sarkozy a décoré Weinstein de la Légion d’honneur en 2012, juste avant qu’il ne se prenne une veste, il le savait. Dans ce milieu tout se sait, mais motus et bouche cousue. Peut-être un contrat pour Carla ou sa fille devenue majeure ou pour l’un de ses proches ?
    Dans ce monde hypocrite du show-biz, c’est du donnant-donnant.
    @Tipaza | 18 octobre 2017 à 17:26
    C’est très beau ce que vous avez écrit. Mais un peu de patience. Je suis sûre que Philippe Bilger pensera à vous et à tous les nostalgiques amoureux d’autrefois et qui ne se retrouvent plus dans ce marasme d’aujourd’hui.
    J’aime regarder les vieux films des années 40-60 où les messieurs et les dames avaient beaucoup de distinction et de respect l’un envers l’autre. Aujourd’hui, nous vivons tous dans une époque de fous dangereux, où que nous allions.

  36. @ Catherine JACOB
    « …de vrais porcs du harcèlement pro comme il en existe hélas quelques officines dont on aimerait bien savoir d’où vient exactement leur financement »
    Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?

  37. Robert Marchenoir

    Jean Lassalle et sa main aux fesses à l’Assemblée : quelle erreur ! Une attachée parlementaire du PCF, on ne lui met pas la main aux fesses ; on la lui met en travers de la figure !
    Evidemment, Lassalle est lui-même coupable de complaisances communistes : pendant la campagne des présidentielles, il n’a pas hésité à utiliser le slogan de Che Guevara « Hasta la victoria siempre ». Il trouvait que ça faisait smart et peuple, je suppose. J’avoue ne pas bien voir la différence avec « les bobos de l’oligarchie de Saint-Germain-des-Prés et de la finance mondialisée, réunis sous l’égide de la banque Rothschild ».

  38. Claude Luçon

    @ Michel Deluré | 18 octobre 2017 à 16:20
    Pas besoin d’être dur ! Inconscient peut-être !
    Ces individus sont généralement des lâches et ils ne s’attendent pas à être agressés, verbalement, ou même au culot, ou recevoir un verre de vin rouge en pleine face en public au cours d’une soirée cocktail par exemple.
    Bien sûr il faut être là et décomplexé quand ils sévissent.
    Malheureusement les gens tolèrent trop de choses en public sans réagir.

  39. @ Claude Luçon 18/10 13:05
    Bonne idée. Mais que sont les preux chevaliers devenus ?
    @ breizmabro | 18 octobre 2017 à 15:41
    Il faudrait des toilettes troisième sexe, d’ailleurs, je pense que les gens qui le veulent devraient se classer dans un sexe intermédiaire.
    @ Gb | 18 octobre 2017 à 11:20
    Exactement.
    Certes, on peut toujours rêver d’une meilleure solution, mais la répression américaine permet de mettre un frein aux pires débordements… Au nom d’un raffinement passé et sans doute bien exagéré de notre pays, ne nous privons pas d’imiter la sécurisation de la dignité des femmes, et aussi, ne l’oublions pas, des hommes, risquant davantage, sans elle, d’être harcelés.

  40. Xavier NEBOUT

    Il y a aussi celles qui se vexent de ne pas être harcelées.
    Lorsqu’une femme se décarcasse pour être aguichante – c’est-à-dire la majorité -, il relève d’un minimum de courtoisie de ne pas y paraître totalement insensible. Sinon, il faut s’attendre à la guerre.

  41. @ Robert Marchenoir | 18 octobre 2017 à 19:26
    « Jean Lassalle et sa main aux fesses à l’Assemblée : quelle erreur ! Une attachée parlementaire du PCF, on ne lui met pas la main aux fesses ; on la lui met en travers de la figure !… »
    Lassalle aurait certainement dû l’étrangler ou lui fracasser le crâne à coup de pied, et cela pour que vous ne le suspectiez pas de complaisance communiste !… Allez vous pouvez bien nous l’avouer, du général Custer et du Bernard Cantat sommeillent en vous.
    @ Tipaza | 18 octobre 2017 à 17:26
    « Personne ne parle de l’amour courtois, qui est au cœur de la chevalerie au Moyen Âge. Un amour respectueux de l’objet du désir (…) mais un désir subtil en ce qu’il s’exprime suivant des règles de bienséance parfaitement codifiées »
    Il semblerait que vous ayez une conception irénique de ce qu’était, et cela en très grande majorité, l’amour courtois au Moyen Âge. De nos jours on parlerait pour ces pratiques d’alors de flirt poussé et intime : il suffit de lire ou relire certains auteurs de cette période. Bien sûr tout cela est évoqué dans un langage châtié et souvent allusif, mais il n’empêche qu’on voit très bien ce que cela recouvrait…

  42. Cher Philippe,
    Les choix éditoriaux effectués par les revues féminines dressent les femmes à se soumettre aux fantasmes sexuels des hommes.
    Nous avons toujours été étonnées par l’absence de représentation masculine dans ce type de revue dans lequel la femme est un des accessoires de l’homme.
    Il s’avère que la femme n’est plus un désir pour l’homme, pas plus que l’homme ne l’est pour la femme. Ce sont des objets de passage, des objets transitionnels.
    Les féministes ont détruit la complémentarité homme/femme, les jeux de la séduction, la spontanéité, les jeux corporels.
    La jouissance est jouissance des sens.
    Il n’y a jamais eu autant de célibataires en France et c’est le signe d’un grave problème de société ou d’une évolution nécessaire.
    Nous nous sommes enfermés dans la performance, l’illusion, le déni, le virtuel et le couple est devenu un archaïsme.
    françoise et karell Semtob

  43. Euh… Et la fille du métro qui vient se coller contre les parties des hommes ? on en parle ? ou bien… Me dites pas que je fantasme, je l’ai vu faire, avec deux hommes différents, fesses bien tendues vers où vous savez.
    C’est aussi une agression sexuelle caractérisée. Après, où est le mal ? Faudra peut-être arrêter la parano un jour ? Et arrêter de prendre son sexe pour une lanterne quand ce n’est qu’un appareil de reproduction, et rien d’autre.
    Ce n’est pas bien de tripoter les filles dans le métro. Mais ce serait encore moins bien d’envoyer des types au goulag pour des bêtises pareilles. Je crois qu’il faut laisser les hommes (dont les femmes) être des hommes, avec tout ce que cela a d’imparfait et d’inaméliorable, et ne pas trop rêver à une humanité d’angelots. Qui veut faire l’ange finit par faire la bête.

  44. « Balance ton porc » suppose que toutes les femmes en ont un !
    Un bien à elle, un attitré.
    Le problème, à en voir la statistique publique, est qu’il y aurait plus de femmes que d’hommes en France.
    33 420 250 femmes pour 31 439 348 d’hommes.
    INED : https://frama.link/vvzXEA7D ; de fait tous les hommes sont des porcs !
    « Balance ton porc » pose le problème uniquement sur les hommes : ton et pas ta !
    C’est un acte d’incitation à la haine envers tout un groupe en raison de son sexe !
    « Balance ta cochonne », l’on voit vite la limite.
    Hommes battus, hommes assassinés par des femmes, hommes agressés sexuellement :
    1° Le Monde : https://frama.link/LYLzeU8A
    https://frama.link/9jSzMzFe

  45. Catherine JACOB

    @sylvain | 18 octobre 2017 à 18:20
    « Devrais-je lancer un Acheutagueu : « balance ta truie » ? »
    La truie n’est pas un porc dans le langage même si c’est parfois du porc. En revanche, #BalanceTaHarpye serait déjà plus parlant. Sans compter que le domaine du harcèlement serait alors plus extensif !

    @Noblejoué | 18 octobre 2017 à 19:18
    « Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? »
    Comme si vous ne saviez pas que, sans aller jusqu’au harcèlement d’Etat comme il y a du terrorisme d’Etat, certains font leurs petites affaires privées au frais de l’Etat ! Ne jouez pas les Tartufe !

  46. Harcèlement sexuel par certains puissants, par certains chefs au bureau, par des islamistes dans les rues, dans le métro, c’en est trop !
    Emmanuel Macron a du pain sur la planche, laissé par les précédents politiques j’m’en foutistes. Bon courage à Macron, il faut qu’il tienne bon et ne rien lâcher. Nous devons retrouver la France d’avant !
    C’est pour quand « SOS harcèlement sexuel » ?
    Michel Onfray fait le lien entre l’islam et le harcèlement sexuel sur des femmes qui ne sont pour ces hommes que des objets.
    https://www.youtube.com/watch?v=BSV_RJC0Iog
    Coup de gueule contre les politiques, la justice et SOS Racisme
    https://www.youtube.com/watch?v=LsZk1JPwl8Y
    Agression sexuelle dans le métro parisien
    https://www.youtube.com/watch?v=vu7bj2pRjRU
    Agression d’une violence inouïe d’une femme à Berlin
    https://www.youtube.com/watch?v=sRrIXunMAHg
    Agressions sexuelles à Cologne par les migrants le 25.12.2016
    https://www.youtube.com/watch?v=_S0Pyij3ZS8
    Agression d’une femme dans la rue à Lyon
    https://www.youtube.com/watch?v=LA78QDjPwzU
    Agression sexuelle et insultes violentes
    https://www.youtube.com/watch?v=9W7EmM9Pg38
    Beaucoup de pays en Europe ont déjà adopté une loi pénale contre le harcèlement sexuel et la violence dans les rues (Belgique, Portugal, etc.) Et la France attend quoi ? le plus grand bordel du vivre ensemble ?

  47. Robert Marchenoir

    @ Trekker | 19 octobre 2017 à 00:17
    En fait, vous êtes vraiment un communiste, Trekker. A chaque fois que je dis du mal du communisme, il faut absolument que vous la rameniez avec vos réflexions de petit flic de pâté d’immeubles en Allemagne de l’Est. Ca commence à beaucoup se voir, savez-vous ?
    Vous êtes sûr qu’il n’y a pas mieux à faire, « en 2017 » comme disent les imbéciles, que de défendre une idéologie qui a fait cent millions de morts ? Qu’est-ce qui vous séduit tant, dans le communisme ? La permission qu’il donne de tuer les gens qui vous déplaisent ? Les facilités qu’il donne aux frustrés pour se venger de leur médiocrité ? Le blanc-seing moral qu’il fournit à tous les envieux et les jaloux ?
    Même votre chouchou le Poutinou a dit qu’il faudrait être fou pour regretter l’Union soviétique. Ecoutez le bon tsar Poutine, Trekker. Prenez des notes quand s’exprime la sagesse du plus grand chef d’Etat que la terre ait jamais porté.

  48. Le soin que nous prenons de notre renommée
    Répond de toute chose à la personne aimée,
    Et c’est en nous qu’on trouve, acceptant notre cœur,
    De l’amour sans scandale et du plaisir sans peur.
    Chuuttt…

  49. @ Robert Marchenoir | 19 octobre 2017 à 11:42
    Génial et tellement vrai ! J’encadre.
    Savez-vous que du temps de cette période horrible soixante-huitarde gauchiste, dans les usines, entreprises, fonction publique, gangrenées par ce marxisme purulent, dire des choses pareilles et c’était lynchage en direct, charivari, mise en quarantaine de ceux qui auraient osé les proférer ; dans tous les quartiers « achèlèmeu » de cités ouvrières du pays proliféraient des comités de petits vopos, commissaires politiques communistes à la petite semaine, chargés de surveiller la parole des habitants ; le tarif pour les « contre-révolutionnaires » était le suivant : voitures taguées, inscriptions « fachos » sur les portes, enfants de grévistes sommés de se fâcher avec les enfants des non grévistes, radiations des comités d’entreprise, etc. ; jamais dénoncé, toujours en vigueur dans les derniers bastions communistes, ça se passe en France, le 9 cube détient toujours le record de ces ignominies.

  50. @ Catherine JACOB
    « Comme si vous ne saviez pas que, sans aller jusqu’au harcèlement d’Etat comme il y a du terrorisme d’Etat, certains font leurs petites affaires privées au frais de l’Etat ! Ne jouez pas les Tartufe ! »
    Ah vous vouliez parler de détournement d’argent public… J’avais l’impression que vous évoquiez le harcèlement, qui est un autre abus. Et dedans, de quoi ? De ceux des réseaux sociaux, peut-être ? Et parliez-vous en théorie ou de ce que vous auriez subi, ou des deux ?
    Comme c’est délicat à demander à quiconque, et notamment à qui vous a accusé d’être anti-vous ou anti-Japon, ou les deux, il me fallait bien interroger de manière aussi détournée que vous êtes obscure !
    Il aurait été, je l’avoue, plus habile de ne m’enquérir de rien, mais « la curiosité a tué le chat ». Je ne voudrais pas mourir, mais il me semble que le faire parce qu’on cherche le vrai, dans quelque domaine que ce soit, n’est pas la pire façon.
    Ou plus probablement se faire mal voir. Qu’est-ce que ça peut me faire, depuis que vous m’avez diabolisé, et surtout depuis un autre événement que vous n’avez pas à connaître ? Rien.
    J’ai vu un pauvre garçon accusé de vol dans une librairie de gare, et son innocence prouvée, ne recevoir aucune excuse. Le malheureux s’enferrait, il disait qu’il travaillait, et hop ! les commerçants lui répliquaient que certains travailleurs subtilisaient des choses. Aux faits, il aurait dû s’en tenir aux faits ! Dès que les gens trouvent un moyen pour ne pas s’excuser, ils se défilent.
    Le faux coupable s’est plaint que son apparence (un Blanc, mais en survêtement) plaidait contre lui – je crois aussi qu’il avait piercing et nuque rasée, pas la classe, mais la classe, de toute manière, est rare et souvent trompeuse, comme tout, non ? – l’avait desservi, et il a accusé ses accusateurs. J’ai confirmé son histoire, ai dit ma désolation, et bon courage.
    C’était bien le moins, honte d’être un humain quand je vois le comportement habituel et savoir ce que c’est d’être accusé injustement mais je n’ai pas parlé de mon expérience avec vous. Pourquoi faire savoir qu’on a été rabaissé si rien ne le donne à penser ? Et puis il n’y a pas encore de mouvement Accuse ton accusateur !
    Récidiviste, vous m’accusez de tartuferie, mais je ne vous accuserai jamais, vous m’amusez trop… Ne changez surtout pas.

  51. @ Robert Marchenoir | 19 octobre 2017 à 11:42
    Vous êtes un pauvre type obsédé et déséquilibré qui radote sans cesse et qui est toujours en train d’insulter les autres commentateurs.

  52. @ Robert Marchenoir | 19 octobre 2017 à 11:42
    Au lieu de me taxer de manière récurrente de communiste, vous feriez bien mieux d’assumer vos propos*, qui ne sont qu’un appel à la violence vis-à-vis d’une femme ne partageant pas vos opinions. Désolé, sur le fond vous êtes semblable aux salafistes et à tous les extrémistes violents de gauche et droite.
    Mais selon votre habitude usuelle, habilement et lâchement, vous ne répondez pas sur les faits évoqués et vous vous lancez dans une vos tirades phobiques.
    * Robert Marchenoir | 18 octobre 2017 à 19:26 : « Une attachée parlementaire du PCF, on ne lui met pas la main aux fesses ; on la lui met en travers de la figure !… »

  53. @ Ellen | 19 octobre 2017 à 09:05
    « Agressions sexuelles à Cologne par les migrants le 25.12.2016 »
    « Et la France attend quoi ? le plus grand bordel du vivre ensemble ? »
    La fasciste que vous êtes ne sait même pas ce que veut dire migrants !
    « Les », donc tous les migrants ! Tous unanimement ont violé à Cologne.
    « Migrants », c’est tant à la fois : émigrés et immigrés, donc les Allemands qui ont émigré, quitté la RFA, pour venir vivre en France, ainsi immigré en France, ont agressé sexuellement à Cologne.
    Non seulement vous ne maîtrisez pas « les », mais pas plus « migrants » !
    Hommes battus, hommes assassinés par des femmes, hommes agressés sexuellement :
    1° Le Monde : https://frama.link/LYLzeU8A
    https://frama.link/9jSzMzFe
    Le deuxième lien indique que des hommes sont victimes, mais vous, comme d’ailleurs le document imbécile que je mets en lien, de l’institut du franc-maçon sans doctorat, nommé par décret de son pote Sarkozy, chercheur sur un poste à doctorat, indique que dans les victimes la proportion des femmes est plus élevée.
    Selon le franc-maçon chercheur universitaire sur poste à doctorat, sans doctorat, page 2 :
    – Actes à caractère sexuel, 74 % des victimes sont des femmes, donc le restant ce sont 26 % de hamsters qui seraient victimes ?!
    – Non ! 26 % d’hommes en sont victimes, mais l’institut et vous ne voulez pas lutter contre la violence, le viol, le harcèlement, la ségrégation.
    – Non ! Ce que vous voulez, c’est que la statistique fasse passer l’homme comme principalement victime, ce qui vous choque, tous deux, ce n’est pas l’acte, mais que des femmes en soient victimes, quand ce sont des hommes vous vous en moquez.
    Tous deux vous faites la promotion du viol, du harcèlement, de la violence sur les hommes, vous préféreriez que dans les actes à caractère sexuel cela soit 74% d’hommes, au lieu de lutter contre les actes.
    Une hiérarchisation des victimes, c’est pas grave si l’on viole un homme, c’est pas grave si l’on torture un homme parce qu’il est blanc, ce n’est pas du racisme, ce n’est pas grave de refuser un emploi à une personne parce qu’il est un homme.
    Du simple fait qu’il naisse homme et blanc, il a une dette envers l’humanité.

  54. Je suis tout de même surpris des réactions outrées de certains commentateurs, quelle que que soit la stupidité de cette pseudo-campagne de dénonciation sur Twitter (au fait, hashtag JesuisMogadiscio, personne n’y a pensé, bizarre non ?).
    Certes, il existent des femmes qui battent leur maris ou des femmes qui aguichent délibérément pour mieux tromper des hommes crédules, le sexe masculin n’ayant pas le monopole de l’amoralité, de la malhonnêteté ou de la perversion.
    Mais enfin, les statistiques sont éloquentes : les femmes sont bien plus nombreuses à mourir sous les coups de leurs conjoints où à se faire violer par les hommes que l’inverse.
    Certains qui se reconnaîtront ont à l’évidence un problème avec les femmes, tout simplement !

  55. @ Tomas | 19 octobre 2017 à 21:28
    « Mais enfin, les statistiques sont éloquentes : les femmes sont bien plus nombreuses à mourir sous les coups de leurs conjoints ou à se faire violer par les hommes que l’inverse. »
    Ah, j’attendais le bon lepénisme, cette sémantique du point de détail !
    Ainsi, c’est le chiffre qui rendrait quelque chose insupportable, effroyable, pas l’acte !
    Un viol ce n’est rien, ce qui est choquant c’est que dans les personnes violées, il y ait plus de 74 % de femmes, les autres c’est un point de détail.
    Nous ne luttons pas contre le viol, mais contre le chiffre ; c’est extraordinaire, nous allons aller très loin là-dedans !
    Sandrine Rousseau, de manière complètement imbécile, a affirmé qu’il y avait un viol toutes les 3 minutes, viols qu’elle n’a rattaché qu’à des victimes femmes.
    Toutes les 3 minutes, chouette, Tomas et Sandrine veulent-ils négocier à 15 minutes, 17 minutes ?!
    Est-ce moins grave s’il y en a un toute les 17 minutes ?!
    Hein Tomas, vous me le faites à combien, au kilogramme, à l’unité, à la minute ?!
    — La Gouvernance par les nombres —
    Professeur Alain Supiot, docteur en droit, professeur au Collège de France.
    http://www.fayard.fr/la-gouvernance-par-les-nombres-9782213681092
    Toutes les 3 minutes, réduire un crime à des minutes, faut être complètement à la masse !
    60 minutes par heure, donc 1440 minutes par jour, sur 364 jours : 524 160 minutes.
    Soit : 174 720 viols de femmes par an ; que de femmes, personne d’autre, de toute manière, c’est moins grave pour les autres, c’est la statistique qui le dit !
    Mais problème sur ce mensonge de 174 720 viols de femme par an en France, eh oui !
    L’âge médian de vie des femmes et des hommes, 85 ans pour les femmes, 79 ans pour les hommes.
    En France, 33 420 250 femmes pour 31 439 348 d’hommes.
    Source INED : https://frama.link/vvzXEA7D
    Donc sur 85 ans [85 ans x 174 720 viols/an] = 14 851 200 de femmes violées sur l’espérance de vie d’une femme.
    33 420 250 femmes ainsi 45 % des femmes seront violées avant leurs 85 ans, grosso modo selon cette théorie une femme sur deux a déjà été violée ou va l’être.
    Comme il y a plus de femmes que d’hommes en France, qu’il y a des viols collectifs, ainsi au moins 60 % des hommes ont déjà violé une femme !
    Il y a combien de violeurs sur ce blog, hein Tomas ?!
    Allez courage Tomas, vive la statistique puisque c’est elle qui le dit, par contre elle ne vous dit pas si je suis une femme noire de 50 ans.

  56. @Elusen | 19 octobre 2017 à 18:36
    « Du simple fait qu’il naisse homme et blanc, il a une dette envers l’humanité. »
    Tiens, le revoilà le prétendu sexe fort du biscoteau englué dans sa prose crétine mélangeant tout et n’importe quoi. Restez dans le sujet du jour au lieu de vous acharner stupidement sur les victimes et les blancs. Je vous le dis, la France d’avant sera reconquise et sans vous.
    Ici, personne n’est facho, juste lucide et désireux de vivre chez nous en paix. C’est clair !

  57. @ Ellen | 19 octobre 2017 à 23:14
    « Tiens, le revoilà le prétendu sexe fort du biscoteau englué dans sa prose crétine mélangeant tout et n’importe quoi. »
    Si vous mettez de la force dans le sexe, c’est que vous n’avez pas compris grand-chose ! D’ailleurs, vous l’ignorez, mais il n’y a aucun os dans le pénis et il ne se muscle pas plus. Le sexe masculin ne sert pas plus à pousser un meuble ou à soulever un canapé !
    « Restez dans le sujet du jour au lieu de vous acharner stupidement sur les victimes et les blancs. Je vous le dis, la France d’avant sera reconquise et sans vous. »
    « Restez dans le sujet » dit-elle, mais en complète contradiction avec la suite de son propos ; car le sujet est On finit par être harcelés !
    D’autant que je n’ai jamais écrit : facho ; mais : la fasciste !
    Facho, c’est trop intime et je ne veux pas que l’on me tonde à la Libération !
    Mais l’imbécillité de la Ellen, c’est de ne jamais maîtriser les concepts.
    Migrant est un mot qui date de 1957 et qui ne s’applique qu’au travailleurs émigrés et immigrés, pas aux réfugiés, ni aux autres, mais uniquement aux travailleurs.
    http://www.cnrtl.fr/lexicographie/migrant
    « La France d’avant sera reconquise »
    La France d’avant quoi ?!
    Que veut l’autre empapaouté : reconquérir le Canada, la Louisiane, l’Algérie, l’Afrique, l’Indochine, Pondichéry, le Liban, la Syrie, la Palestine, le Royaume de Jérusalem ?!
    « La France d’avant » :
    – Celle où les femmes devaient fermer « leur gueule », où elles étaient mariées de force, où elles n’avaient aucun droit ?!
    – Celle du servage ?!
    – Celle de l’esclavage ?!
    – Celle de la polio, du typhus, de la syphilis, de la peste ?!
    – Celle de l’Inquisition ?!
    – Celle sans électricité, sans médecine ?!
    – Celle de la saignée ?!
    D’avant quoi ?!

  58. Là, au Canada, deux affaires : Salvail et Rozon.
    Pour l’animateur de télévision, producteur et humoriste Salvail aucune preuve, des personnes qui anonymement ont affirmé avoir été victimes de conduites inconvenantes, donc mêmes pas définies dans le Code criminel canadien et le type est tout simplement lynché.
    La journaliste est avocate criminel, elle n’exerce plus ; mais l’enseignante universitaire en droit, Louise Langevin, en profite pour parler du harcèlement sur les femmes, pour rendre coupable Eric Savail, le tout sans preuve, sur juste des allégations anonymes, elle tient malgré tout un discours sur les femmes victimes, alors que Salvail est défini, socialement, par la terminologie de : homosexuel.
    C’est extraordinaire, grandiose à écouter et à voir, l’universitaire en droit reste dogmatique, l’universitaire en psychologie aussi, ce sont des femmes les victimes, personne d’autre, malgré le fait que Salvail soit dit homosexuel et que les personnes qui auraient témoigné anonymement auprès de journalistes contre lui, sont des hommes.
    Rappel, le Canada est un état fédéral, Royaume, Elisabeth II reine, avec gouvernement, 13 états fédérés avec chacun un gouvernement.
    – 24 heures en 60 minutes sur ICI-RDI (chaîne publique d’information) :
    1° présentation des faits.
    2° au bout de 8 mn 50 s le débat.
    http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7798855
    – 24/60 :
    http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7799434
    – Et les anglophones – CBC (chaîne publique anglophone) :
    http://www.cbc.ca/player/play/1077446723643
    Pour ceux qui ne parlent pas couramment l’anglais, mais qui le comprennent, il suffit de cliquer sur l’icône [CC] cela va sous-titrer en anglais.
    Mais les anglophones sont plus intéressés par le fait que l’État fédéré du Québec vient de voter une loi qui interdit aux services publics de recevoir le visage couvert que cela soit dans les bus, métro, bibliothèques, tout service public.

  59. @ Ellen et Elusen
    Ne pouvez-vous vous accorder ? Les femmes subissent plus d’abus, ce qui n’empêche pas qu’il faut sanctionner également tous les abus.

  60. @ Elusen
    Je ne sais pas qui est Sandrine Rousseau. Et votre savante démonstration ne prouve pas l’inverse de ce que j’ai affirmé !

  61. @Noblejoué | 20 octobre 2017 à 05:59
    Le sujet du billet n’est pas « abus » ce qui est vague et sous-entendu, mais « harcèlement et agressions sexuels et viols par des porcs commis sur des femmes ».
    Le pauvre Elusen rempli d’arrogance et d’autosuffisance ultragauchiste révolutionnaire du genre « moi je sais tout et les autres sont des imbéciles de droite » est exaspérant. S’il est aussi courtois et respectueux dans sa vie avec les femmes et les hommes qu’avec certains intervenants de ce blog, faut pas qu’il s’étonne qu’en retour il ait les réponses qu’il cherche.
    Ses théories de mathématicien virtuel copiées sur le web à nous en jeter plein les yeux n’est que le signe d’un homme qui ne sait rien mais fait comme si. Oh, le tricheur !
    @Elusen | 20 octobre 2017 à 02:04
    Obsédé sexuel en plus ? Votre anatomie (basse) si fièrement affichée et commentée n’intéresse personne.

  62. Robert Marchenoir

    Après Weinstein et les antisémites, Weinstein et les Russes. Les rouges-bruns poutinophiles ayant fustigé ce gros porc de Weinstein, bien représentatif des moeurs décadentes de l’Amérique où règne l’argent-roi, on en conclut les yeux fermés que les Russes en auront repassé une couche, et se seront régalés de cette parfaite illustration du vice promu par l’Occident libéral et cosmopolite.
    Sans aucun doute, le monde du cinéma russe aura déversé tout son mépris sur le tripoteur dégénéré Weinstein, faisant valoir, par contraste, les valeurs traditionnelles et familiales dont la Sainte Russie est le dernier bastion.
    Eh bien, pas du tout. Le site russe Meduza a eu, dans un premier temps, le plus grand mal à trouver des réalisateurs et des comédiens qui acceptent de livrer leurs commentaires sur cette affaire.
    Et ceux qu’il a fini par trouver se sont distingués, au contraire, par le soutien qu’ils ont apporté à Harvey Weinstein. Ou plutôt, qu’elles lui ont apporté, car ce sont des actrices.
    Agniya Kuznetsova : « Ces femmes n’ont qu’à s’en prendre à elles-mêmes. Elles ne devraient pas se conduire comme des prostituées. Je plains ce pauvre Harvey Weinstein. Les femmes sont faites pour ce genre de manigances. Laissez-leur une chance, et elles vous attireront dans un piège, puis se retourneront contre vous. »
    Lyubov Tolkalina (une beauté) : « Les accusatrices d’Harvey Weinstein ne sont pas des femmes dignes de ce nom. Parce que le harcèlement sexuel, franchement, c’est fantastique. Si vous avez décroché le rôle, qu’est-ce que ça peut bien faire, la façon dont vous l’avez eu ? »
    « Bien au contraire, il me semble qu’il devrait y avoir une espèce de solidarité. Tout va bien pour tout le monde. Tout va bien pour lui, tout va bien pour elles, et tout va bien pour les spectateurs : c’est le plus important. »
    « Comment peut-on seulement accuser un homme de harcèlement sexuel ? C’est pour ça que les hommes sont sur terre. S’il utilise son pouvoir pour ça, il n’y a rien à dire. »
    « Quand un homme se livre à du harcèlement sexuel, c’est toujours la faute de la femme. Si vous êtes une vraie femme et que cela vous arrive, vous le gardez pour vous. Parce que sinon, vous serez discrédités tous les deux. »
    « Je pense qu’il y a un complot contre Weinstein. Ce genre de chose arrive souvent en Russie. Franchement, j’ai de la peine pour lui. Je ne lui aurais jamais fait une chose pareille. Il y a des choses bien pires qui peuvent arriver à une femme. »
    « C’est merveilleux d’être harcelée par quelqu’un qui a autant de pouvoir, non ? La grosse erreur de ces femmes, la seule, a été d’en parler. Mettre un homme dans l’embarras, c’est tout à fait contraire à la féminité. »

    Finalement, les poutinophiles ont raison : nous devons nous allier militairement à la Russie, c’est l’évidence. C’est décidé, je fais mes valises pour Moscou.
    Franchement (comme dit Lyubov Tolkalina), j’ai relu plusieurs fois ces propos, pensant qu’il s’agissait de douzième degré. Mais pas du tout. A preuve, le tollé qu’ils ont soulevé (tout de même) sur les réseaux sociaux russes. Ainsi que le démenti publié, puis effacé, par l’auteur. Qui ne portait d’ailleurs que sur le caractère « merveilleux » du harcèlement sexuel. Lisez tout l’entretien, ça vaut le jus. Suite aux réactions, Meduza a publié l’enregistrement, pour en attester l’authenticité.
    Pour comprendre ces commentaires, il faut connaître le contexte. La violence conjugale en Russie est endémique et impunie. Elle vient d’être dépénalisée : c’est désormais une simple contravention. Une adolescente victime de viol a été la vedette passagère d’une émission de télévision où les invités se sont acharnés sur elle, en mettant sa parole en doute. Une jeune personne, ma foi fort bien faite, a publié sur Internet des photos d’elle en petite tenue, en compagnie d’un chaton. C’était un cadeau pour le président Poutine, disait-elle, mais il fallait qu’il vienne le chercher. Quelque temps après, elle est bizarrement devenue propriétaire d’un appartement coûteux, payé par de l’argent venant des cercles du Kremlin.
    Je crois que je vais me laisser convaincre par les valeurs chrétiennes traditionnelles.

  63. Catherine JACOB

    @Noblejoué | 19 octobre 2017 à 14:41
    « Aux faits, il aurait dû s’en tenir aux faits ! Dès que les gens trouvent un moyen pour ne pas s’excuser, ils se défilent. »
    Je ne vais quand même vous raconter une anecdote de l’époque où j’étais encore relativement « potable », anecdote connue puisque je m’en suis plainte, mais sans autre effet que de recourir à une personne soi-disant moins folle que moi.
    A la demande de l’office de tourisme de Nancy, organisme associatif, j’ai accepté de servir d’interprète entre un homme politique régional et son interlocuteur japonais, dans un lieu public ou les gens étaient admis à aller et venir quand, à ma grande honte, quelqu’un est passé derrière moi à plus d’une reprise en me « frôlant » on va dire, les fesses.
    Imaginez un peu la situation.
    Si le contexte avait été différent, un transport public ou encore une file d’attente à une caisse, etc. j’aurais immédiatement réagi et risqué d’obtenir en réponse : « Non mais, n’importe quoi, elle n’est pas bien celle-là. Va t’faire soigner, mal baisée » comme c’est déjà arrivé, certaines personnes choisissant toujours le point de passage le plus gênant pour passer derrière vous alors qu’il y a d’autres possibilités à côté qui demandent juste qu’on prenne la peine de pousser un petit portillon mais n’appréciant pas qu’on les y rend attentives.
    Mais dans le contexte professionnel évoqué, impossible de faire autre chose que d’essayer de ne pas bafouiller tout en faisant comme si de rien n’était.
    J’ai ensuite fait courrier à l’Office de tourisme pour leur demander d’essayer de faire en sorte de ne pas mettre les interprètes dans de telles situations, par exemple en réservant un emplacement où les passants puissent ne pas être dérangeants.
    La meilleure façon qu’ils ont trouvé pour remédier à la situation, je vous le donne en mille ! eh bien c’est de faire appel à la concurrence. Résultat des courses, non seulement j’ai eu à subir du harcèlement de rue dans une circonstance particulièrement délicate, mais en plus j’ai perdu ce boulot plutôt bien rémunéré. D’où en d’autres circonstances, j’ai évité de me plaindre.
    Je vous amuse toujours ?

  64. @ Tomas | 20 octobre 2017 à 07:19
    « Je ne sais pas qui est Sandrine Rousseau. Et votre savante démonstration ne prouve pas l’inverse de ce que j’ai affirmé ! »
    Voyons, voyons ! Vous intervenez sur le blog d’une personne qui a fait un billet sur Sandrine Rousseau !
    Et si, ma démonstration prouve que vous minimisez les victimes en fonction du nombre, des minutes, des kilos ! Vous hiérarchisez.
    Violer un homme n’est pas grave selon vos interventions, il faudrait presque donner une récompense, mais violer une femme devient pour vous un crime qu’il faut quantifier.
    Ilan Halimi n’a été victime de rien face à la quantification des femmes, il aurait fallu que le gang des barbares soit acquitté.
    @ Noblejoué | 20 octobre 2017 à 05:59
    « Les femmes subissent plus d’abus… »
    « Plus d’abus » dans quoi, où ?!
    Sont-ce les femmes qui sont le plus assassinées ?!
    Est-ce un concours à celle qui aura la plus grosse ?!
    Mais, ô surprise, la majorité des tueurs en série ont été élevés par des femmes, c’est surprenant !
    La presque totalité des hommes impliqués dans un viol ont été élevés par des femmes !
    @ Ellen | 20 octobre 2017 à 10:34
    « Obsédé sexuel en plus ? Votre anatomie (basse) si fièrement affichée et commentée n’intéresse personne. »
    Je vous confirme que vous avez les mains baladeuses et que vous pratiquez le harcèlement sexuel !
    Il n’en reste pas moins que vous tentez par l’injure et la diffamation de détourner l’attention du fait que vous ne maîtrisez absolument rien sur ces concepts : migrant, harcèlement, viol, meurtre.

  65. @ Elusen
    Et vous, par qui avez-vous été élevé ? par l’idiot du coin ? Ca se voit.
    Est-ce que les femmes vous auraient toutes plaqué, pour en vouloir à d’autres que vous ne connaissez pas ? Venir sur ce blog pour refouler votre frustration et envenimer les échanges d’idées et d’opinions entre les intervenants avec vos insultes n’est pas une bonne idée. Ne vous étonnez pas de vous faire envoyer paître. Qui cherche trouve et je suis pas celle qui se laisse marcher sur la tête. Compris ?
    C’est ma dernière remarque. A cet instant, je vous ignore.

  66. @ Catherine JACOB
    « Je vous amuse toujours ? »
    Toujours quand vous supposez des horreurs incroyables de ma part, jamais quand vous souffrez, et particulièrement à cause de plagiaires, porcs et autres gens qui ne devraient pas exister !
    J’ai beau n’être qu’un humain, et vous aussi d’ailleurs, j’ai envie de m’excuser de ce que les gens sont ce qu’ils sont, puisque vous en pâtissez. Je ne doute pas que vous triomphiez de l’adversité et ayez et trouviez, si vous le désirez, les gens qui vous conviennent.
    Raisonnement à plus forte raison : comme la chose n’est pas tout à fait impossible pour moi, il est encore plus probable qu’elle vous arrive à vous. Quoique n’ayant pas apprécié votre diabolisation de ma personne et y ayant réagi comme il convient, je n’ai jamais douté de vos qualités, et vous souhaite, à l’occasion de votre touchante confidence, tout le bonheur du monde. Chacun en a sa définition, et je ne sais la vôtre.
    Il y a la question d’être « potable » : je pense que vous l’êtes, voire davantage, parce que la personnalité de quiconque transparaît dans son apparence, et que votre personnalité est attractive. Si je ne ressens, votre injustice puis quelque chose qui ne vous regarde pas, plus d’admiration pour vous, je ne doute pas que d’autres vous gratifient de cette estime enthousiaste, amitié voire amour avec tout le respect qui vous est dû, tandis que mon estime ne m’empêchera pas de me défendre de vos charmantes attaques telles que l’accusation de tartuferie ou que mes répliques ne m’empêcheront pas de vous estimer.
    Ainsi donc, je vous souhaite bon courage.

  67. Robert Marchenoir

    @ Trekker | 19 octobre 2017 à 15:22
    « Au lieu de me taxer de manière récurrente de communiste, vous feriez bien mieux d’assumer vos propos, qui ne sont qu’un appel à la violence vis-à-vis d’une femme ne partageant pas vos opinions. Désolé, sur le fond vous êtes semblable aux salafistes et à tous les extrémistes violents de gauche et droite. »
    Mais vous avez parfaitement raison : j’ai été un peu mou du genou en disant que les communistes méritaient seulement d’être giflés. Il convient en réalité de les faire périr après d’interminables supplices.
    Personnellement, j’opterais volontiers pour la dissection sans anesthésie, menée par un plombier polonais à l’aide d’outils chinois premier prix achetés sur Amazon, tandis qu’on fera jouer du Wagner, entrecoupé de lectures de Hayek faites par le directeur des ressources humaines de Goldman Sachs.
    A défaut (mais je vous concède que ce serait moins drôle), on pourrait tout simplement condamner quelques-uns de leurs chefs à mort, comme nous avons fait à Nuremberg. Les performances des communistes sont sans commune mesure avec celles des nazis. Je crois qu’une cinquantaine d’exécutions capitales ne seraient pas de trop pour expier cent millions de morts. Auriez-vous quelques noms à suggérer ?

  68. @ Ellen | 20 octobre 2017 à 19:09
    « Est-ce que les femmes vous auraient toutes plaqué, pour en vouloir à d’autres que vous ne connaissez pas ? »
    D’où tenez-vous que je serais lesbienne et une ancienne de vos conquêtes ?!
    Vous vous donnez beaucoup trop d’importance !
    « …envenimer les échanges d’idées et d’opinions »
    « D’idées » vous n’en avez aucune, « d’opinions » vous n’avez que cela, une opinion sur tout, tout le temps, mais sans jamais rien maîtriser, c’est fort !
    Confondre migrant avec réfugié faut le faire !
    Ne pas savoir que migrant c’est tout à la fois émigré et immigré.
    Affirmer que les migrants, de manière générique, ont tous violé à Cologne, donc que tous les migrants de la planète, y compris ceux de votre famille, sont allés à Cologne pour violer, faut avoir les fils qui se touchent !
    Tout autant, le délire sur : « Je vous le dis, la France d’avant sera reconquise et sans vous. », la France de l’esclavage, la France sans la médecine, sans l’électricité, la France où une femme ça « ferme sa gueule » ou ça finit sur le bûcher.
    Déjà, savez-vous ce qu’est la France, et en plus, celle d’avant ?!
    Celle où vous n’étiez même pas née ?!
    Il est vrai que la France du futur, hé bé, vous aurez trépassé, mais entre une France où vous n’étiez pas née et une où vous ne serez plus…
    @ Robert Marchenoir | 20 octobre 2017 à 19:52
    « A défaut (mais je vous concède que ce serait moins drôle), on pourrait tout simplement condamner quelques-uns de leurs chefs à mort, comme nous avons fait à Nuremberg. »
    De la part de quelqu’un qui a hérité de biens immobiliers grâce à la spoliation de biens juifs, faut le faire !

  69. Finalement, toute cette histoire de délations collectives spontanées ne fait en définitive qu’aboutir à des conséquences frustrantes pour toutes ces comédiennes et autres pantins du showbiz froufrou qui s’accommodaient fort bien du « sale quart d’heure » nécessaire pour décrocher un rôle. Je leur conseille de créer d’urgence une association qui pourrait se nommer : touchepasàmonporc, ou bien SOS mon porc, afin de remettre en oeuvre illico ces bonnes pratiques séculaires qui ont fait la gloire de beaucoup de femmes célèbres.
    De toutes façons, avec ce déferlement de dénonciations toutes plus paranos les unes que les autres, l’opinion publique a fait son jugement : plus personne ne croit plus personne, ni les porcs, ni les truies, ni les violées à l’insu de leur plein gré.
    Les larmes télécommandées de certaines pleureuses devant micros et caméras sont très suspectes et pathétiques, surtout quand on sait comment se déroule un reportage : « Essayez de pleurer avec des sanglots plus saccadés ! Allez, on recommence la prise ! »
    C’est ce qu’on appelle l’efficacité de l’échec, similaire à l’affaire du lancer de nains qui a été interdit par les bonnes consciences humanistes intellos bobos vierges effarouchées et qui in fine n’a fait qu’une victime : le nain lui-même se retrouvant du jour au lendemain dépourvu d’une bonne manne financière et au chômage grâce à ces moralistes handicapés des neurones que l’on retrouve à faire leur cirque devant les arènes de corridas, les boucheries et les abattoirs, entre deux manifs anti-loi Travail.
    La commedia dell’ arte dans toute sa splendeur.

  70. @ les victimes et ceux qui les entourent
    Sans dire qu’il y a un devoir de parler – la victime autrefois obligée au silence devrait-elle l’être à la parole ? – il y a la possibilité que témoigner des violences subies aide. Redignifie, comme on dit aujourd’hui :
    https://temoigner.revues.org/1277
    Bien sûr pour des violences de masse mais aussi plus intimes.
    Il faut toutefois que la parole de la victime soit bien accueillie. Comme tout le monde, je ne prétends pas écouter suffisamment les victimes ni y répondre forcément de la manière la plus pertinente.
    En mon nom et en celui de toutes les personnes dans le même cas, je prie les gens concernés de recevoir mes excuses et mes remerciements pour leurs confidences.
    Comme dit l’autre, qu’est-ce qu’il y a de plus humain, épargner la honte à quelqu’un.
    D’abord éviter de faire des victimes, ensuite de mortifier ou du moins de ne pas assez redignifier les victimes.

  71. @ Tomas | 21 octobre 2017 à 12:04
    « Ô surprise, la plupart des hommes ont été élevés par des femmes ! »
    Donc, ce sont bien les femmes qui mettent dans la tête de leurs enfants mâles qu’il faut battre une femme, la violer, la harceler, la soumettre, l’inférioriser.
    Ainsi, ce ne sont point les enfants mâles qui en prennent l’initiative, c’est bien éducatif et cela révèle bien de la volonté des femmes.
    Le cerveau d’un enfant, c’est comme un disque dur, il faut y inscrire quelque chose pour qu’il fonctionne, la majorité des tueurs en série n’ont été élevés et éduqués que par des femmes, la presque totalité des violeurs aussi que par des femmes… étrange !
    Devant les tribunaux quand nous assistons à des procès pour viol, c’est sidérant de voir que les pères condamnent leurs fils, mais que la majorité des mères les défendent et affirment que c’est la femme violée qui l’a cherché, qu’elle a provoqué leur fils.
    Un jour bougez vos fesses et allez vous asseoir en correctionnelle, aux assises, c’est public et extraordinaire de voir qui défend les violeurs.
    Pendant l’extermination des juifs sur 1941 à 1945, les femmes n’ont rien stoppé, elles ont participé, applaudi.
    Pareil pour le génocide rwandais, celui des Amérindiens.
    Cessez de mettre l’unique responsabilité sur le dos des hommes, pas plus « salopards », coupables, bourreaux que les femmes.

  72. @ Elusen
    « Donc, ce sont bien les femmes qui mettent dans la tête de leurs enfants mâles qu’il faut battre une femme, la violer, la harceler, la soumettre, l’inférioriser. »
    Oui et non.
    Comme la femelle est soumise à son mâle, et plus généralement, à la tradition d’infériorité de la femme, elle ne fait que transmettre ce qu’elle a appris. Tout cela est enchevêtré et remonte à loin, alors chercher des responsables dans le présent !
    Il ne s’agit pas de chercher des responsables, ce que je comparerais bien à essayer de dénouer un nœud gordien, mais de le trancher comme Alexandre, je veux dire d’accéder à autre chose qu’une identité de prédateur ou de proie, de partenaires.

  73. Catherine JACOB

    @Robert Marchenoir | 20 octobre 2017 à 19:52
    Oh ! Wagner mis sur le même plan que des outils made in China achetés en ligne ?!!
    S’il vous plaît. Non. Pas Wagner.
    Je vais quand même vous en raconter une bien bonne. Il me semble qu’il s’agissait du prélude, en tout cas d’un extrait adapté, des Maîtres Chanteurs de Nuremberg sous la houlette d’un professeur de chant de l’école de musique que je fréquentais étant petite.
    Je n’étais pas encore entrée dans ma douzième année mais j’avais déjà envie de féminité. Aussi avais-je emprunté à ma mère à son insu une paire de bas.
    Tout homme ne le sait peut-être pas mais, contrairement aux collants, porter des bas nécessite de les suspendre pour qu’ils tiennent, à un porte-jarretelles.
    Bien évidemment et d’une je n’avais pas de porte-jarretelles, et de deux, je l’ignorais.
    Mais j’ai trouvé une solution pour les faire tenir. Je les ai accrochés à ma culotte avec des pinces à linge.
    Pinces à linge dont, du fait sans doute de mon enthousiasme à interpréter le caractère joyeux et débordant de vie, conséquence de la lumineuse tonalité d’ut majeur dirait un musicologue, de ce prélude, l’une m’a lâchée avec un bruit qui m’a semblé épouvantable.

  74. Catherine JACOB

    Rectification à Catherine JACOB | 22 octobre 2017 à 09:21
    On dirait bien qu’il n’y a pas de chœurs dans ce prélude mais bon c’était bien le motif caractéristique. L’enseignant avait dû bidouiller quelque chose.

  75. La série des dénonciations continue et plus rien ne semble pouvoir l’arrêter. Après Jean Lassalle aux plaisanteries un peu grivoises, c’est au tour du très austère Pierre Joxe d’être livré à la vindicte populaire, par Ariane Fornia la fille d’Éric Besson (au demeurant fort jolie). Pour l’instant c’est la seule à avoir subi des « familiarités » avec ce monsieur si respectable.
    Autant l’on peut prendre en compte des témoignages émanant de plusieurs femmes victimes du même homme, autant il est permis d’avoir un doute sur un cas isolé qui n’est confirmé par aucune autre femme.
    Il ne faudrait pas tomber dans une campagne de délation incontrôlable comme au temps du maccarthysme des années 50 aux Etats-Unis.
    Comme c’est parti un homme n’osera même plus aborder une (jolie) femme dans la rue pour lui demander son chemin sans risquer de se faire conduire au poste de police le plus proche. Faut arrêter là !

  76. calamity jane

    @ Elusen
    Vous diriez que les bateaux de Christophe Colomb(e) étaient chargés de femmes ! concernant le génocide des Amérindiens ?! On ne nous dit pas tout.
    Les femmes n’élèvent pas que des hommes en devenir ! Elles élèvent aussi des femmes en devenir.
    Comment elles n’ont pas toutes été violées ? Des adresses et des noms, vite…
    Atterrée !

  77. @ Noblejoué | 22 octobre 2017 à 08:33
    C’est sûr, en Iran, hein, en Iran la police femme qui persécute d’autres femmes c’est à cause de la domination masculine ?!
    Allez courage !
    Pour la France, les premiers à avoir voulu le droit de vote pour les femmes, c’était des hommes.
    La majorité des femmes s’y opposait !
    Les hommes ont été arrêtés, certains jugés, condamnés, persécutés, uniquement parce qu’ils avaient voulu que les femmes aient le droit de vote.
    Avant 1946, l’Assemblée nationale, en France, a voté à six reprises le droit de vote pour les femmes, c’est le Sénat tenu par l’Eglise catholique qui s’y est opposé. Et sur les six fois, les dernières l’ont été à l’unanimité de l’Assemblée nationale.
    Les pauvres, même hommes, n’avaient pas le droit de vote avant 1848, puis l’on revient dessus, pour le rétablir en 1870, seuls les riches avaient le droit de vote, régime censitaire.
    Donc est-ce un débat femmes/hommes, ou riches/pauvres, puissants/et les autres ?!
    @ calamity jane | 22 octobre 2017 à 09:59
    « Vous diriez que les bateaux de Christophe Colomb(e) étaient chargés de femmes ! concernant le génocide des Amérindiens ?! On ne nous dit pas tout. »
    Raté ! De toute manière avec le révisionnisme, c’est toujours raté !
    Le génocide amérindien n’a pas commencé avec Christophe Colomb !
    Vous avez perdu l’occasion de vous taire !
    Christophe Colomb n’est jamais arrivé sur le continent !

  78. @ Elusen
    « C’est sûr, en Iran, hein, en Iran la police femme qui persécute d’autres femmes c’est à cause de la domination masculine ?! »
    Mais oui. Une des mille et une choses qui donne du sel à la domination est qu’on n’est pas obligé de tout faire soi-même, on délègue, c’est reposant.
    Et puis ainsi, on rend les autres complices, ce qui fait qu’on augmente encore sa domination, ô délice !
    C’est comme ça dans tous les domaines, partout, toujours.
    Vous n’avez pas le courage de voir qui sont les dominants, tandis que les dominés n’ont pas celui de voir leur complicité avec les dominants.

  79. calamity jane

    @ Elusen
    « Vous avez perdu l’occasion de vous taire » ? Nous avions rendez-vous quelque part ?
    Vous « vous avez perdu l’occasion de rire un bon coup ».
    Bien le bonsoir.

  80. Robert Marchenoir

    @ Catherine JACOB | 22 octobre 2017 à 09:21
    Wagner, non, vraiment, je n’y arrive pas (et pas pour les raisons que j’ai évoquées). Sauf les ouvertures. Mais sinon, quelle barbe…
    Il y a bien un ballet qui s’appelle Casse-noisette, pourquoi pas un opéra qui s’appellerait Pince à linge ?

  81. @ Noblejoué | 22 octobre 2017 à 21:00
    « Dominé » et « Dominant », qui vous dit que les femmes sont dominées, qui vous dit que les hommes sont des dominants ?!
    Vous ne l’avez toujours pas prouvé ; sans compter que c’est tellement sexiste d’affirmer que les femmes ne font aucun choix quant à persécuter d’autres femmes.
    Et tout cela, uniquement pour éloigner de la vérité, celle qui indique qu’il y a des hommes violés, battus, harcelés, victimes de sexisme, tués, etc.
    Détourner l’attention, toujours la détourner !
    1° Le Monde : https://frama.link/LYLzeU8A
    https://frama.link/9jSzMzFe

  82. @ Noblejoué
    « Une des mille et une choses qui donne du sel à la domination est qu’on n’est pas obligé de tout faire soi-même, on délègue, c’est reposant. Et puis ainsi, on rend les autres complices, ce qui fait qu’on augmente encore sa domination, ô délice ! »
    Très bien vu à mon avis. C’est ainsi que fonctionnent les totalitarismes.

  83. @ Elusen
    « Et tout cela, uniquement pour éloigner de la vérité, celle qui indique qu’il y a des hommes violés, battus, harcelés, victimes de sexisme, tués, etc.
    Détourner l’attention, toujours la détourner »
    Qui détourne l’attention, celui qui montre l’exception des abus entre les hommes et les femmes, les hommes battus, ou celui qui rappelle la règle, les femmes battues ?
    En biologie, si on vous disait, par distraction sans doute, que les mamans mammifères ne pondent pas des œufs, vous feriez de l’ornithorynque un très grand cas. Moi, je ne nie ni cette exception ni la règle.
    On pourrait aussi trouver des cas où des esclaves ont opprimé des libres au service du Prince, et vous me sommeriez de prouver que les esclaves sont opprimés par les libres. Vous me reprocheriez de soutenir que l’esclave n’a pas le choix, au lieu de promouvoir l’abolition de l’esclavage.
    Vous perdez la règle de vue au profit de l’exception, et fétichisez les mots, incapable de vous référer aux réalités auxquelles ils renvoient. En somme, vous préférez ce qui est secondaire au principal, ce qui explique votre manque d’esprit de synthèse.

  84. @ Lucile | 22 octobre 2017 à 22:50
    Le totalitarisme a maximisé la domination et la production de boucs émissaires. Pour les boucs émissaires, il y a par exemple les déportés en camp de concentration et d’extermination, que les dirigeants avaient préalablement accusés de tous les maux, pour la domination, les kapos déchargeaient les SS d’une grande part de leur travail.
    Vous me remontez le moral ! Entre ceux qui ne comprennent rien ou font mine de, et ceux qui m’importunent à la mesure de mes bonnes intentions, je finissais par perdre de vue qu’il y a aussi du bien dans le monde.

  85. @Noblejoué
    @Elusen
    Je me permets une remarque… Il me semble que le commentaire d’Elusen n’est pas compris, ou dévoyé comme il arrive souvent.
    En effet, il n’a pas tout à fait tort, ni tout à fait raison, ce n’est pas une raison suffisante pour tordre son propos.
    Car il est évident que les femmes sont porteuses d’autant de violence et de travers que les hommes, et n’allez pas je vous prie Noblejoué, me faire dire autre chose que les mots ici écrits qui ne sont pas très complexes et ne permettent pas tellement l’interprétation.
    Les femmes sont quelquefois aussi délétères à la cause des femmes que les hommes (ennemis historiques des femmes, à ce qu’il paraît…).
    Si nous prenons par exemple Mme de Beauvoir, qui avait sans doute le regard moins torve et moins baladeur que son acolyte, elle en a conçu des idées torves et erratiques, qui ont participé à la propagation d’une idée selon laquelle une femme, ayant eu l’idée saugrenue d’avoir des enfants, devait se libérer (certes elle le devait !) et préférer au joug de la famille et d’un époux dominant, celui tellement léger de l’aliénation dans un travail stupide, peu rémunéré, où les petits chefs des deux sexes sont autorisés à persécuter les sans noms, sans dents, sans pouvoir, sans amis, sans familles, sans rien, des ratés en somme…
    Ainsi, donc, les idées d’un idéal esthétique rencontrent la réalité qui ne l’est pas.
    Mais en réalité, Mme de Beauvoir ne parlait que pour sa caste, elle n’est donc pas dans l’erreur, l’erreur est ailleurs et assez désagréable à signifier. Il aurait fallu préciser que cette théorie était destinée à une classe aisée, puisque les bougresses s’étaient déjà et par la force des choses, rompues à cette belle liberté qui consiste à travailler pour se nourrir (activité totalement inintéressante mais hautement respectable).
    Une rhétorique perverse empêche le raisonnement, elle empêche la bonne communication, mais plus encore les généralités induisent la domination, en conséquence de quoi, les phrases et les idées qui s’expriment en commençant par « les femmes », « les hommes », les Russes », « les ceux-ci » et « les ceux-là », ont pour but unique et sournois de nuire à l’humanité qui elle, n’a pour vocation que de désigner ce tas d’être qui apparemment ne fait pas partie des animaux sans LOGOS…
    Dès lors, le raisonnement, activité hautement toxique, suppose de garder les yeux ouverts à commencer sur soi-même, et cela peut rendre fou mais rarement surhomme…
    Aparté destiné à M. Bilger
    Je regrette vivement que certains de vos propos appelant la contradiction permise aient suscité une conclusion fausse sur vos intentions, mais il se trouve toujours une détestable propension chez certains à voir chez les autres leurs propres travers que jamais ils n’affronteront…

  86. @ Noblejoué | 23 octobre 2017 à 00:42
    « …une exception », ce n’est pas de la science encore moins de la logique !
    Je n’ai jamais parlé d’esclavage, vous délirez, mais après tout une personne qui affirme que le meurtre d’hommes, le viol d’hommes, le harcèlement d’hommes sont des exceptions, doit être en dehors du réel.
    Ce n’est pas la taille qui compte, votre maman ne vous l’avait jamais dit !
    Une personne violée, cela reste une personne violée et affirmer qu’un homme violé est un point de détail, c’est donc bien hiérarchiser les victimes, c’est affirmer que certaines victimes ont une valeur et d’autres aucune.
    C’est quoi déjà la définition juridique de la discrimination ?!
    Article 225-1 du Code pénal :
    « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. »
    225-2 :
    « La discrimination définie aux articles 225-1 à 225-1-2, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsqu’elle consiste […] »

  87. Catherine JACOB

    @ Robert Marchenoir | 22 octobre 2017 à 21:26
    « Wagner, non, vraiment, je n’y arrive pas (et pas pour les raisons que j’ai évoquées). Sauf les ouvertures. Mais sinon, quelle barbe… »
    Ah là ! Moi en revanche, je me suis fait offrir comme cadeau de Noël toute la Tétralogie, en vinyle, par Karajan.
    Mais faites-moi plaisir, juste quelques minutes de Tristan et Isolde par l’Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Christian Thielemann ou alors dans la transcription pour piano de Liszt, plus mièvre mais peut-être aussi plus accessible ; cela dit, extrêmement difficile.
    Etant petite j’aurais aimé devenir cantatrice, puis danseuse – étoile bien sûr, mais bon, trop grande et trop de conditions mises par mes parents mais vu que faute de grives on mange des merles j’ai quand même fait de la gymnastique bien que hélas également trop grande pour la compétition – puis avocate – pour défendre les gens injustement accusés bien sûr ; on a eu dans la famille un collecteur d’impôts aux XVIIe qui collectait scrupuleusement les impôts pour le duc de Lorraine, puis… en redistribuait la part jugée, de son point de vue personnel, excessive – puis finalement, subjuguée par l’impression que donnait mon prof de philo de classe prépa de rendre le monde intelligible… je me suis dit pourquoi pas.
    « Il y a bien un ballet qui s’appelle Casse-noisette, pourquoi pas un opéra qui s’appellerait Pince à linge ? »
    Je vous accorde que je suis sans doute assez casse-noisettes sur les bords dans mes bons jours et casse-bonbons dans les autres… Mais bon en même temps Tchaïkovski n’a rien à voir avec Wagner.

  88. « Car il est évident que les femmes sont porteuses d’autant de violence et de travers que les hommes »
    Porteuses d’autant de violence… Evidemment, mais la question est qu’elles ne peuvent que rarement l’exercer à leur compte, puisque dominées par les hommes. Elles sont conduites à reproduire des comportements conduisant à la soumission des femmes.
    Quant à l’esclavage, il s’agit d’une comparaison.
    Qui tord les textes, je me le demande !
    Je ne discrimine personne, que des gens aient plus ou moins de probabilités d’être agressés ou non ne signifie pas qu’on oublie de protéger quiconque.
    Je ne vais pas le répéter. Soit on le comprend, soit on ne le comprend pas…

  89. @ Noblejoué | 23 octobre 2017 à 21:04
    « Je ne discrimine personne, que des gens aient plus ou moins de probabilités d’être agressés ou non ne signifie pas qu’on oublie de protéger quiconque.
    Je ne vais pas le répéter. Soit on le comprend, soit on ne le comprend pas… »
    Vous avez pourtant hiérarchisé en affirmant que la quantification donne une importance à certaines victimes.
    Ce qui est fort plaisant c’est que votre propos n’est pas effacé, il est toujours là quelques posts plus bas.
    Vous faites donc de la discrimination, mais comme toutes les personnes prises en flagrant délit, elles n’assument pas : « c’est pas moi ; il l’a cherché ; qui tord quoi ; c’est moi la victime ; etc. »

  90. @ Elusen
    « Ce qui est fort plaisant c’est que votre propos n’est pas effacé, il est toujours là quelques posts plus bas. »
    Si c’est évident pour vous, vous n’avez qu’à me citer… Vous croyez que je vais tout relire pour me demander ce que vous avez dû mal interpréter chez moi, s’il ne s’agit pas de mauvaise foi pure et simple ?
    Vous savez, il y a certaines divas dont on supporte, dans une certaine mesure, les humeurs, eh oui, là je discrimine, mais pas les hommes, vous seulement.
    Enfin, je ne veux pas exclure une mauvaise expression de ma part, on ne sait jamais.
    Ce qui est vrai c’est qu’il faut d’une part détruire les préjugés et abus subis par les femmes, la domination masculine – comme d’autres dominations, je n’ai pas de chouchou.
    Et qu’il faut tout autant protéger les victimes qui le sont hors de tout système de domination, ainsi… on peut imaginer un homme blanc, riche, intelligent, athlétique et gentil qui pour cette raison même plaît à une femme pour lui-même et qui veut un enfant de lui qui refuse, et que la brave dame lui fasse un enfant dans le dos. Eh oui, il était favorisé à la base, mais le voilà piégé, est-ce normal ? Ou sa voiture tombe en panne dans quelque endroit sordide où des gens lui en voulant de ses chances, le tabassent. Ou…
    Bref, il faut et défaire des systèmes de domination, et aider des victimes qui ne sont pas dans les groupes de victimes habituelles.

  91. @ Noblejoué | 25 octobre 2017 à 14:24
    « Vous croyez que je vais tout relire… »
    Je ne crois pas, je pense, les gens intelligents pensent, les autres croient !
    « …s’il ne s’agit pas de mauvaise foi pure et simple »
    Je ne vous ai jamais accusé de mauvaise foi, étant donné que c’est religieux et que ceux qui avaient la mauvaise foi finissaient sur un bûcher.
    Vous avez à maintes reprises hiérarchisé les victimes, donnant plus d’importance à certaines et moins à d’autres ; c’est de la discrimination faite sur le sexe des victimes, faite sur leurs caractéristiques génétiques.
    Il vous faut savoir l’assumer.
    « La domination masculine »
    Vous voyez, vous repartez dans vos propos à vocation discriminante, alors qu’au préalable vous aviez écrit cela : « Ce qui est vrai c’est qu’il faut détruire les préjugés et abus… »
    Tous les hommes ont une domination sur les femmes ?!
    C’est universel !
    Tous les hommes !
    Toutes les femmes !
    Tous les noirs !
    Tous les Arabes !
    Tous les juifs !
    Tous les musulmans !
    Il n’y a aucune nuance, mais alors pas une seule !

  92. @ Elusen
    C’est vous que je soupçonne de mauvaise foi, ce qui ne me pousse pas aux efforts de relecture. Quand je dis « crois », il ne s’agit pas de foi mais de suppositions, je suppose que vous pouvez le comprendre, mais je n’y crois pas trop. En tout cas, je n’en mettrais pas ma main au feu.
    La domination masculine : tous les hommes ont un avantage sur les femmes notamment pour les dominer, ce qui ne veut pas dire que tout homme domine toute femme… Par exemple, un pauvre peut être dominée par une riche.
    Quand on fait une généralisation, cela veut évidement dire, toutes choses égales par ailleurs.
    De même, les riches dominent les pauvres… Toutes choses égales par ailleurs. Il se peut qu’une femme riche au volant de sa belle voiture tombe en panne et qu’une meute de pauvres la violent, la volent et la tuent.
    De même les humains, toutes choses égales par ailleurs, dominent les animaux… Cela n’empêche pas que des humains de régions déshéritées soient parfois tués par des tigres.
    Elusen, il y a le contexte. On n’en parle pas toujours, tant il semble évident.
    Il y a le toutes choses égales par ailleurs. Même observation.
    Je ne vous critique pas trop, il peut m’arriver à moi aussi, de manquer des implicites, mais je ne vous dirai pas lesquels, quand même !
    Ce manque de contextualisation et de toute chose par ailleurs dans votre raisonnement explique que vous manquiez une troisième chose :
    Il n’y a pas de domination absolue.
    A ce jour, je pense que sous une condition très précise, elle pourrait advenir. Je ne vais pas vous dire qui, mais ce n’est en tout cas pas la domination masculine, ni d’ailleurs féminine, si le rapport de force s’inversait. C »est tout autre chose.
    Bon, pour vous, comprendre qu’il y a des dominations mais jamais absolues, ça suffira largement.

  93. Mais Noblejoué, dans quel monde vivez-vous pour croire encore que « les femmes sont porteuses d’autant de violence… mais la question est qu’elles ne peuvent que rarement l’exercer à leur compte, puisque dominées par les hommes. Elles sont conduites à reproduire des comportements conduisant à la soumission des femmes… »
    Regardez autour de vous, en France, les mégères existent elles sont nombreuses, les hommes soumis pullulent, les enfants maltraités par leur mère sont légion, arrêtez de nous débiter la fable « marxiste » de la domination masculine, une redite de la lutte des classes… L’égalité ou la domination ne se mesurent pas au sommet du CAC 40 mais au fond des foyers quand la porte est fermée.

  94. @ Carl Roque
    « L’égalité ou la domination ne se mesurent pas au sommet du CAC 40 mais au fond des foyers quand la porte est fermée. »
    Elle se mesure partout. D’accord, parfois, des femmes peuvent maltraiter des hommes, mais ce n’est pas le cas le plus courant.
    Par contre, la femme étant toujours plus forte que l’enfant, on me convaincra sans peine que bien des femmes les maltraitent.
    Tout est « c’est l’occasion qui fait le larron ». Je ne suis pas Marx, je suis Hobbes – entre autres.

  95. @ Noblejoué | 27 octobre 2017 à 17:39
    « C’est vous que je soupçonne de mauvaise foi, ce qui ne me pousse pas aux efforts de relecture. Quand je dis « crois », il ne s’agit pas de foi mais de supposition »
    Vous mettez « croire » et « foi » dans le même paragraphe, voire la même phrase, pour affirmer aussitôt qu’il s’agit de supposition.
    Ainsi, croire serait supposer et la foi se suppose.
    « La foi » implique la croyance : https://www.universalis.fr/encyclopedie/foi
    « croyance » : https://www.universalis.fr/encyclopedie/croyance/
    « La domination masculine : tous les hommes ont un avantage sur les femmes notamment pour les dominer »
    Prouvez-le ?!
    Vous tenez cela d’où ?!
    Quelles études ?!
    Vos sources !
    « Il se peut qu’une femme riche au volant de sa belle voiture tombe en panne et qu’une meute de pauvres la violent, la volent et la tuent. »
    Une femme qui tombe en panne ?!
    Je dirais que c’est la voiture qui tombe en panne, d’autant que je ne vois pas comment violer et tuer une voiture ?!

  96. @ Noblejoué
    Le féminisme moderne nous survend la violence des hommes contre les femmes.
    « Parfois, des femmes peuvent maltraiter des hommes, mais ce n’est pas le cas le plus courant. »
    Figurez-vous que dès que l’on regarde au-delà des décès sous les coups directs, et qu’on mène des enquêtes équilibrées comme au Canada et aux USA où l’on mesure des actes objectifs et non pas des ressentis (comme en France), on en tombe sur l’arrière-train. Ces enquêtes jamais citées par les pourfendeuses « d’homme blancs cisgenre etc. » montrent que les auteurs de violence sont 50 /50 entre conjoints, et que les mères sont très majoritaires dans les maltraitances d’enfant.
    Il est inacceptable que le militantisme féministe moderne ait réussi à faire gober le concept de « violence de genre ».
    Bien sûr l’art de la manipulation statistique consiste à ne produire que les chiffres qui confortent son propre intérêt. Donc certains définissent la violence d’un sexe en éliminant les enfants victimes et en ne comptant que les conséquences les plus visibles immédiatement : les décès directs. Il est aussi très commode ensuite de continuer le raisonnement : une catégorie ne représentant que 25% des décès ne mérite pas d’être citée ou alors avec beaucoup de précautions oratoires.
    Si vous voulez observer la domination masculine en France allez sous les ponts et regardez les bancs publics : SDF, plus de 80 % d’hommes ; morts dans la rue, plus de 90 % d’hommes, suicides, 80 % d’hommes, décès par accident du travail, 94% d’hommes, mais cela n’est pas de la violence ni un quelconque désavantage de genre, c’est juste la nature des choses…

  97. Non Elusen il ne s’agit pas de mauvaise foi chez Noblejoué, pas plus que pour l’immense majorité de ceux qui suivent le sens du vent distillé à longueur d’années par les associations spécialisées et les médias… C’est juste un certain manque d’esprit critique et un refus d’aller chercher d’autres sources que celles qu’on leur affiche très systématiquement.
    Moi-même je tenais les mêmes raisonnements jusqu’à rencontrer la violence d’une femme et son chapelet de conséquences dramatiques dues à l’intime conviction de la plupart des acteurs du jeu de la justice, et de ceux qui m’entouraient.
    Je me suis intéressé de près à ces questions et j’ai mené mes propres enquêtes, confronté les chiffres et interrogé de nombreuses personnes.
    Petit illustration, un homme qui n’avait plus vu ses enfants depuis de nombreux mois (non présentation d’enfant), avait subi de nombreux coups jusqu’à une fracture du nez (madame avait aussi la main leste) et avait été jeté hors de chez lui, ne comprenait pas que je lui parle de violences conjugales… pour lui « les violences conjugales c’est quand une femme est battue », on part de très très loin…

  98. @ Carl Roque
    Il paraît normal que les femmes maltraitent davantage les enfants : elles s’en occupent plus que les hommes.
    L’occasion fait le larron, toujours. Pour les hommes, aussi… Plus forts physiquement.
    Pour les SDF : cela prouve paradoxalement que les hommes sont des dominants ; acceptant moins les compromis que les femmes, par exemple dressées à être payées moins pour un salaire égal, il leur arrive plus souvent de tout perdre.
    Un dominant rompt et ne plie pas, un dominé rampe. Entre les deux, chez les plus ou moins dominants et les habiles, il y a toutes sortes de cas intermédiaires.
    Je peux parler avec vous, avec un qui demande que je prouve que les hommes dominent, qui me demande des chiffres pour ça, c’est surréaliste.
    Toute l’Histoire, les hommes ont dominé, partout aujourd’hui, même où existe l’égalité en droit, une femme a de très gros risques si elle sort seule la nuit, elle sera probablement moins payée à tâche égale ce qui n’est pas évident déjà car découragée d’être ambitieuse par tout l’environnement, avec charge des enfants, elle sera encore plus à la ramasse.
    Maintenant, il y a le revers de la médaille : les enfants freinant la carrière de la femme, en cas de divorce, ne seront que rarement confiés à l’homme, les hommes faisant moins les carpettes que les femmes, finiront plus à la rue, et dans les cas où c’est l’homme qui est battu, on ne le croira pas ou on se moquera de lui.
    Alors je propose d’abolir la domination masculine et quelques autres et d’aider les victimes majoritaires et minoritaires.
    Quand je vois comment sont les hommes et les femmes entre eux, je trouve qu’on devrait permettre aux gens qui ont l’impression d’être d’un sexe intermédiaire d’avoir ce statut, pour respecter leur liberté et parce que leur existence me paraît être une médiation entre les deux.
    Idem pour les changements de sexe qui ne devraient pas être permis que pour ceux qui se sentent de l’autre mais pour toute autre raison, par exemple, soyons romantiques, l’amour, on aime quelqu’un qui n’aime que ceux du sexe opposé au sien.
    Autre chose, je préconiserais bien aux hommes et aux femmes de regarder des comédies du remariage !

  99. @ Noblejoué
    Le coup du SDF mâle dominant il fallait oser… On peut tout expliquer avec des raisonnements alambiqués qui ne reposent que sur des mots, et là je crois que malgré ce que j’ai dit précédemment vous frisez la mauvaise foi…
    Quant à l’inégalité salariale, c’est un mythe qui repose sur une grossière erreur mathématique : comparer des moyennes générales au lieu de comparer par classes de mêmes caractéristiques. Si vous aviez raison il est absolument évident qu’à travail rigoureusement égal, si les femmes touchaient 25% de moins il n’y aurait plus une seule femme au chômage et tous les hommes y seraient… mais grâce au vilain complot patriarcal même les patrons sacrifient leurs bénéfices pour avoir le plaisir de maltraiter les femmes (on croit rêver).
    Vous ne connaissez pas grand-chose à la vie vous êtes trop dans la théorie et ne prenez pas de recul. Dommage… mais vous n’êtes pas seule, des centaines de milliers de personnes suivent le prêt-à-penser.

  100. @ Carl Roque
    « Le coup du SDF mâle dominant il fallait oser… On peut tout expliquer avec des raisonnements alambiqués qui ne reposent que sur des mots, et là je crois que malgré ce que j’ai dit précédemment vous frisez la mauvaise foi… »
    Ah, vous trouvez ? Mais c’est comme les nobles qui n’avaient pas le droit de faire du commerce et autres choses semblables sous peine de déroger.
    Il y en a, des cas, dans l’Histoire, où des gens peuvent être desservis par leurs avantages !
    Vous le voyez pour les hommes qui s’occupent moins de leurs enfants que les femmes, et donc, ne se les voient pas confiés au divorce. Vous le voyez, je suppose, pour les bourgeois pouvant s’adonner à des occupations interdites aux aristocrates…
    Et vous ne le voyez pas pour les SDF ?
    Les nobles, j’y reviens, certains se prostituaient, ou leurs filles, ou leurs femmes, au roi, parce que leur mode de vie était cher et qu’ils ne pouvaient guère gagner d’argent autrement.
    Il y avait de nobles gueux.
    Les Blancs sont, en général, favorisés face aux Noirs… Mais avec l’intégration prioritaire, certains Blancs sont défavorisés face à certains Noirs.
    Pour autant, ils font partie du groupe des Blancs, dominants.
    Et les brahmanes ? Eh bien, ils ne sont pas tous riches. Avec l’intégration prioritaire, c’est rare, mais certains peuvent se retrouver défavorisés.
    Il faut bien comprendre que faire partie du groupe des dominants ne veut pas forcément dire être un dominant.
    A l’inverse, c’est exceptionnel, mais on peut faire partie du groupe des dominés et être un dominant.
    Ainsi, un hors caste ou basse caste, je ne sais plus, enfin, ancêtre et lui-même ramasseur de déjections humaines, est devenu riche par cette activité.
    Voilà, voilà… Qui est de mauvaise foi ?
    Bon, je vais être sympa : qui n’avait pas assez réfléchi ?
    Définition d’ensemble, Histoire, pardonnez-moi, mais je crois avoir quelque recul.
    Et puis, j’ai des propositions constructives, au moins.
    Les hommes et les femmes s’opposent entre autres pour se définir les uns contre les autres. Donner plus de place aux gens dont l’identité est entre les deux leur ferait, comment dire ? une zone de sécurité, des médiateurs. Mais justement, les enragés n’en veulent pas, choisis ton camp, et que je me bagarre. La comédie, par exemple du remariage, ne pas se prendre au sérieux, se voir faillible baisse aussi les tensions. S’ils préfèrent se battre pour savoir si une coupe vaut mieux qu’une épée ou l’inverse, qu’il y aillent. Et le sexe des anges, et le chevalier Éon. Au moins, ils réfléchissent un peu, pour changer.
    Pas pour régler les problèmes, ce serait trop demander. Certes. Moi je dis qu’il faut détruire les dominations, ce qui sera aussi un moyen, que vous le croyez ou non, d’aider les gens défavorisés des groupes dominants de ne plus être le prix à payer de cette domination.
    Eh oui, je suis contre la domination masculine, le système des castes, et tant de système d’oppression… Mais cela ne veut pas dire que je laisse de côté la moindre victime.
    Tenez, les prisonniers. On n’en parle pas, mais beaucoup de prisonniers sont violés par leurs codétenus ! Encore une raison pour que les cellules soient individuelles. Car le viol, c’est surtout les hommes contre les femmes, et parfois l’inverse, mais cela se fait aussi dans des relations homosexuelles. Et moi je dois qu’il faut aider toutes les victimes, même celles du sexe qui ne sont pas dans des relations hétérosexuelles.

  101. Blanche de Castllle ou presque

    Noblejoué dans ses œuvres :
    « Mais avec l’intégration prioritaire, certains Blancs sont défavorisés face à certains Noirs.
    Pour autant, ils font partie du groupe des Blancs, dominants »
    Vous devriez développer et nous dire ce que vous entendez par intégration prioritaire des Noirs (ex-dominés) par rapport aux Blancs (ex-dominants). Avec exemples et statistiques à l’appui de vos allégations purement imaginaires, fantaisistes, voire racistes* selon mes observations, à commencer dans les hautes sphères de notre Etat républicain si friand en droits de l’homme.
    * dès lors que votre raisonnement attribuerait d’emblée au Noir une infériorité qui devrait être corrigée par certains aménagements particuliers spécifiques qui reviennent en fait à le réduire à l’état d’inférieur congénital.

  102. @ Blanche de Castille ou presque
    « Vous devriez développer et nous dire ce que vous entendez par intégration prioritaire des Noirs (ex-dominés) par rapport aux Blancs (ex-dominants) »
    Ca existe aux Etats-Unis à cause de l’esclavage, de la ségrégation et autres joyeusetés. Pour compenser. Je n’ai pas dit que ce soit un mal, j’ai dit que cela pouvait évincer les Blancs les moins intégrés.
    Ce pourquoi certains regimbent, mais là n’est pas mon propos, juste de montrer qu’il y a des gens faisant partie d’un groupe dominant sans être pour autant des dominants.
    « Avec exemples et statistiques à l’appui de vos allégations purement imaginaires, fantaisistes, voire racistes* 1 selon mes observations 2, à commencer dans les hautes sphères de notre Etat républicain si friand en droits de l’homme. »
    * dès lors que votre raisonnement attribuerait d’emblée au Noir une infériorité qui devrait être corrigée par certains aménagements particuliers spécifiques qui reviennent en fait à le réduire à l’état d’inférieur congénital. »
    1- Non. Je ne suis pas raciste, juste misanthrope : pas de discrimination. Alors, déçue ? Moi qui voyant un pseudonyme féminin pensait avoir du renfort puisque je parlais de domination masculine !
    En fait, non. Vous illustrez que loin d’être solidaires, les dominés ne soutiennent pas la cause de leur libération. Vous, vous croyez peut-être vous en dédouaner en soutenant d’autres victimes, les Noirs ?
    Soit vous débarquez, soit vous êtes lâche… Il est souvent arrivé à Robert Marchenoir de dire les Noirs inférieurs et on ne vous a pas entendue, mais à moi, vous faites des procès d’intention.
    Eh bien rattrapez-vous, à l’occasion ! Mais je parie que vous ne le ferez pas plus que vous ne me présenterez d’excuses car cela colle mal avec les procès d’intention. Une dingue m’a traitée d’anti-Japon et anti-elle et en a rajouté une tonne, vous, vous me ferez une réputation de raciste. Une dingue se calme, une autre s’éveille, on n’est jamais à court… Ce qui me gêne, c’est que vous ne m’aurez rien appris et que votre style est nul : le niveau des calomniateurs baisse. Enfin, comme ça, au moins, vous ne m’aurez pas déçu.
    Chez les hommes, encore pire, mais il ne m’a jamais fasciné, lui, il y a quelqu’un s’arrogeant le monopole de l’interprétation de René Girard que je vous conseille de lire à l’occasion. Si vous êtes curieuse de savoir pourquoi les boucs émissaires, ce qui serait bien si vous voulez défendre les victimes ! Ce dont je commence à me lasser quelque peu, ça me retombe toujours dessus…
    2- Si vous observez aussi bien que vous me lisez, ça doit être rigolo !
    Eh bien non, je ne vais pas développer sur l’intégration prioritaire, tout ça… J’ose espère qu’avec la découverte que je n’ai pas envie de le faire, que vous m’avez attaqué à tort et que vous portez un pseudo faisant référence à la couleur, vous vous en donniez la peine.
    Votre public vous attend.

  103. @ Carl Roque | 28 octobre 2017 à 16:02
    « Non Elusen il ne s’agit pas de mauvaise foi chez Noblejoué… »
    Comme quoi, vous intervenez sans jamais rien avoir lu, car je n’ai jamais employé cette expression que je trouve complétement idiote ! Je la laisse aux atrophiés du bulbe !
    Déjà mis à plusieurs reprises sur ce fil !
    Hommes battus, hommes assassinés par des femmes, hommes agressés sexuellement :
    1° Le Monde : https://frama.link/LYLzeU8A
    https://frama.link/9jSzMzFe
    Le problème est partout, minimisé même au Canada :
    https://vimeo.com/240326238
    @ Blanche de Castllle ou presque | 28 octobre 2017 à 22:36
    Combattre les inégalités et la pauvreté les Etats-unis face à l’Europe
    – Dr. Alberto Alesina – Harvard University – department of economics
    – Dr. Edward L. Glaeser – Harvard University – department of economics
    Edition Flammarion – Janvier 2006 : https://frama.link/8r2xowRN
    Ils expliquent la domination des riches sur les pauvres et pourquoi aux USA, il n’y a jamais eu d’Etat-providence.
    Selon eux tout s’est basé sur le racialisme des USA, qui catégorise les populations par des statistiques racialistes et fait vivre les individus dans des quartiers spécifiques.
    Ainsi, les personnes pauvres, noires, haïssent les pauvres blancs et votent pour empêcher les autres pauvres d’avoir accès à l’égalité des droits ou à du social.
    Il en va de même pour les personnes pauvres, blanches, qui votent de la même manière.
    Les riches forcent, de ce fait, les pauvres à s’affronter entre eux, pour continuellement exercer le pouvoir dans leur unique intérêt.
    Article universitaire qui explique le livre, Dr. en sociologie Julien Damon :
    https://www.cairn.info/revue-horizons-strategiques-2006-2-page-48.htm
    Entre autres, la statistique qui sert à faire peur, je n’ai plus les chiffres exacts en tête, mais c’est de l’ordre : en 2025 il y aura plus de noirs que de blancs, etc.
    Cela pousse les blancs à avoir peur et à faire des enfants.
    Ou : « La vie des noirs comptes » alors qu’en réalité les policiers tuent aussi des blancs et plus de blancs selon la statistiques du FBI et le Washington Post.
    963 personnes ont été tuées par des policiers en 2016, dont 466 personnes blanches et 233 personnes noires ; dont 923 hommes.
    https://www.washingtonpost.com/graphics/national/police-shootings-2016/
    https://ucr.fbi.gov/crime-in-the-u.s/2016/crime-in-the-u.s.-2016
    En séparant par des statistiques racialistes, l’on force les groupes à s’affronter, pour qu’un groupe, qui exerce le pouvoir, s’y maintienne en permanence.

  104. Encore de la propagande, Noblejoué, je ne m’arroge aucun monopole, ne vous en déplaise, mais corrige vos imprécisions, satisfait qu’elles soient de moins en moins nombreuses, témoignage que vous étudiez avec alacrité le Darwin des sciences humaines comme je vous l’avais conseillé, ce que vous aviez traduit en votre langue comme une soi-disant interdiction de ma part. Vous progressez, camarade, je m’en réjouis.

  105. @ Aliocha
    « Encore de la propagande, Noblejoué, je ne m’arroge aucun monopole, ne vous en déplaise »
    Si. Vous avez écrit que vu ma psychologie, que vous vous êtes quand même prudemment gardé de développer, la théorie mimétique n’était pas pour moi. Vous êtes donc le « gardien des clés » de la théorie. Si ce n’est pas un monopole, je me demande bien ce que c’est.
    « …mais corrige vos imprécisions, satisfait qu’elles soient de moins en moins nombreuses »
    Imprécision : manière de dire que votre interpénétration doit prévaloir sur les autres. Vous précisez « satisfait qu’elles soient de moins en moins nombreuses », manière de faire passer la prétention précédente par la flatterie.
    « …témoignage que vous étudiez avec alacrité le Darwin des sciences humaines comme je vous l’avais conseillé, ce que vous aviez traduit en votre langue comme une soi-disant interdiction de ma part. »
    Je ne vous ai pas attendu. J’ai traduit ? Il y a des gens qui ne s’entendent pas, vous, vous ne vous lisez pas, apparemment.
    « Vous progressez, camarade, je m’en réjouis. »
    Quand vous excommuniez ou ne vous moquez pas, vous faites dans la camaraderie, cela me semble suspect.
    Et alors ? Vous ne pourrez jamais tant me nuire que qui me traita de plagiaire, anti un pays fascinant et autres distinctions qui me mortifieraient si je vivais encore.

  106. Vos chefs-d’œuvre de mauvaise foi sont lassants, Noblejoué, et décrire votre psychologie est inutile, votre exhibitionnisme suffit à la comprendre et à rebuter ceux que le voyeurisme n’intéresse guère.

  107. @ Aliocha
    Mauvaise foi ? Je vous retourne le compliment. Un jour, j’ai cherché une de vos citations et vous me l’avez reproché : on n’aime pas être pris la main dans le sac, hein ? Eh bien, tant mieux, je ne m’en donne plus la peine.
    Vous êtes drôle aussi, vous prétendez faire ma psychologie et me l’interdire, à moi. Normal, à quoi sert la morale pour des gens comme vous ? A essayer de prendre un pouvoir sur les autres.
    Mais au point où j’en suis, ça marchera moins que jamais. Je ne vois pas pourquoi ne pas le dire, ça ne me compromet en rien.
    Tandis que ce que votre attitude révèle de vous, si…

  108. @ Aliocha
    Vous pourriez me lâcher ? Non seulement vous m’avez fait du tort quand je pouvais encore en ressentir, mais en plus vous niez la réalité et radotez.
    Mon autre running gag a plus de créativité que vous, laissez tomber : on pardonne beaucoup au talent, aux divas… Aux gens comme vous, rien.

  109. @ Noblejoué
    Je vous lâcherai quand vous arrêterez votre propagande, et de cycliquement m’accabler avec vos mensonges hypocrites et vos méthodes perverses d’enfant-roi nombriliste et manipulateur.

  110. @ Aliocha
    Vous avez commencé à m’attaquer et croyez que je vais ne pas le dire par crainte de vos crocs de roquet ? Je continuerai ou j’arrêterai comme il me plaira.

  111. « L’adulte tyran est dans une dynamique de plaisir tel un enfant qui aurait oublié de grandir. Il ne souffre pas forcément de traumatisme infantile ni de carence affective. Il refuse de renoncer aux fantasmes de toute-puissance de son enfance, ce qui le pousse à se croire tantôt le centre du monde, tantôt moins que rien. D’où le besoin d’emprise sur les autres pour se sentir exister. »
    http://www.psychologies.com/Moi/Moi-et-les-autres/Relationnel/Articles-et-Dossiers/De-l-enfant-roi-a-l-adulte-tyran

  112. @Savonarole | 31 octobre 2017 à 23:00
    « Dites donc, les deux glands, vous allez nous pomper l’air longtemps ? Hein ? »
    Merci d’avoir dégainé le premier !!

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