On a envie d’être sexiste !

On s’enfonce et le ridicule ne tue plus : il massacre.

Dernier exemple de ces péripéties dérisoires mais signifiantes qui montrent qu’une société s’abaisse quand elle croit s’élever.

Tous les carnets de santé remis aux parents dans les maternelles des Bouches-du-Rhône vont être réédités et cela va coûter 33 000 euros alors qu’on ne cesse de vouloir raboter, réduire les dépenses publiques inutiles et qu’on a raison (Le Figaro)!

Quelle est donc cette impérieuse nécessité qui contraint à un gaspillage de 33 000 euros ? Sûrement un incident gravissime, une provocation au crime, une apologie de terrorisme, un éloge de la pédophilie, un outrage à la France ?

Vous n’y êtes pas.

Le visuel de la première page de ce carnet a été jugé « sexiste » parce qu’on y voyait une fille inquiète pour son tour de taille et un garçon heureux de se mesurer. L’un et l’autre, en dehors de cette différence psychologique, ne se trouvaient pas dans une posture de nature à blesser l’un ou l’autre. Juste ensemble et différents. Ce n’était pas bouleversant d’originalité !

Ainsi, le simple fait d’oser renvoyer à une caractéristique qui, pour n’être pas fondamentale, est réelle dans la quotidienneté, a suffi pour jeter au pilon un carnet de santé qui avait été validé par le précédent exécutif départemental.

On tombe sur la tête.

On aurait figuré un garçon fier d’avoir minci et une fille béate d’avoir grandi, tout aurait été donc parfait, conforme, exemplaire ?

Faut-il à tout coup casser des représentations qui en elles-mêmes ne portent pas atteinte à l’égalité des sexes mais s’ancrent dans une spécificité qui ne permet pas, certes, de définir le féminin ou le masculin dans sa globalité mais n’en est pas honteuse pour autant ?

J’entends bien que les images, les magazines, les publicités et les photographies ont de l’importance et qu’ils peuvent favoriser, structurellement, des stéréotypes mais d’une part il en est qui n’ont rien de blâmable et d’autre part cette manière de poser la grosse patte de l’Etat ou d’un antisexisme dilaté et militant sur tout et n’importe quoi interdit l’élaboration personnelle, intime, familiale des configurations qui nous regardent.

Au nom de quoi récuser le plaisir que vous offre une petite fille déjà attentive à sa taille et un petit garçon investi par l’envie de grandir ?

Conviendra-t-il bientôt de s’excuser parce qu’on prononcera homme ou femme, qu’on s’obstinera à identifier de belles différences entre eux et que, loin d’être attristé par ces singularités riches et fluctuantes, on les mettra au contraire au crédit de l’humanité ?

J’attends les prochaines salves délirantes de ceux à qui la nature répugne. Et qui prétendent nous imposer une condition, une vision, une éducation qui ne relèvent que de notre seule responsabilité.

Une résistance à ce mouvement faussement progressiste et vraiment totalitaire doit se manifester et un coup d’arrêt et de bon sens survenir.

Et d’urgence.

Parce que sinon, par réaction, on aura tous envie de devenir sexistes.

Et 33 000 euros dilapidés pour rien !

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Voir les Commentaires (84)
  1. protéiforme

    Un des pires dangers qui menacent est le « modèle nordique » : féminisme puritain, niveleur par le bas (test Pisa et consorts sont d’origine nordique) et j’en passe.
    Le fameux « modèle suédois », un temps plus ou moins vanté par F. Mitterrand, s’infiltre… avec pour résultat un mode « Ikea ».
    Si vous ne me croyez pas, allez passer quelque temps là-haut… vous m’en direz des nouvelles.

  2. Michelle D-LEROY

    Si cela ne coûte que 33.000 €, ce n’est pas si grave quand tant d’argent est dépensé pour des choses aussi absurdes ou frivoles, par exemple la protection de favorite ancienne et actuelle.
    Depuis trois ans, les ministres fans de la théorie du genre encouragent implicitement ce genre de stupidité. Le Président lui-même a approuvé dès le début de son mandat l’effigie de la Femen ukrainienne sur le timbre-poste français. Des symboles qui démontrent le niveau de bas étage ou nous sommes tombés.
    Un galimatias socialiste encouragé par un Président incapable, car sans convictions, de protéger culture traditionnelle et valeurs de ses concitoyens. Car le chef d’orchestre, c’est lui. Lui, qui devrait impulser une cohérence, un sens à son gouvernement. Le documentaire d’Elise Ayrault était édifiant sur ses manoeuvres.

  3. Marc Ghinsberg

    « Conviendra-t-il bientôt de s’excuser parce qu’on prononcera homme ou femme » nous dit Philippe Bilger, le même qui refuse que l’on dise Madame la Présidente lorsque c’est une femme qui préside les débats de l’Assemblée nationale !

  4. Jean MORLAND

    Si l’on en était resté à une présentation sans prétention et d’une raisonnable austérité républicaine, il n’y aurait eu ni problème ni gaspillage… L’Etat Pampers, gentil, sympa, cool et j’en passe, nous coûte fort cher, sur tous les plans.

  5. Cette récente gabegie, avec probablement en arrière-plan la Gender-Utopy, mérite en effet réflexion et si possible réaction.
    Tout d’abord on peut concéder que le « visuel » en question n’était pas dépourvu d’une certaine dose de maladresse. On peut penser au formatage hypocrite des mentalités de fillettes vers l’obsession de « la ligne », ce qui dans un contexte de fléau anorexique n’est pas bienvenu. Objectivement, le garçonnet fait figure plus valorisée « vers le haut » tandis que la fillette est représentée tête baissée ce qui donne une impression nettement moins favorable.
    Donc même s’il n’y a pas eu volonté sournoise de rabaissement misogyne, l’image a tout du moins assez sottement prêté le flanc à une contestation qui aurait pu rester non hystérique.
    La « solution » appliquée à 33.000 euros en refaisant tout est révoltante car il suffisait d’un petit surcoût pour insérer un petit format A5 avec un texte ad hoc pour calmer le jeu.
    C’est toutefois une très belle occasion pour interroger l’acception du terme ‘sexisme’. Comme pour le racisme, le sexisme est utilisé par les dominateurs médiatiques de façon ni réflexive ni réciproque ni universelle.
    L’édition de 1984 du Petit Robert, sous la direction d’Alain Rey, fournissait une orientation sidérante comme définition de l’entrée ‘sexisme’ : « attitude de discrimination à l’égard du sexe féminin » !!
    Une telle définition est somme toute auto-illustrante à rebours en ne prévoyant pas a priori qu’il puisse exister des attitudes hostiles de type misandrie voire androphobie. Au demeurant le mot ‘misogynie’ existait depuis longtemps et convenait parfaitement. Cette production d’un néologisme biaisé quant à sa neutralité évoque nettement la novlangue dans l’œuvre d’Orwell.
    C’est pourquoi nous évitons toujours d’utiliser cette terminologie tant elle souffre d’une tare congénitale ab ovo.
    La photo contestée est-elle ouvertement misogyne ? Ce n’est certainement pas ce que doivent penser l’immense majorité des concitoyennes et concitoyens. Pour autant puisque l’on sait que certaines officines vivent de copieux fonds publics pour exercer un guet suspicieux jusqu’à parfois la paranoïa, il eût été judicieux de ne pas prendre le risque de justifier maladroitement la continuation de leurs ruineuses subventions.

  6. Il ne s’agit pas seulement de sexisme mais de ne pas encourager l’anorexie, contre laquelle les pouvoirs publics ont exprimé récemment le désir de lutter pour ne pas laisser ce phénomène continuer à faire des dégâts.
    Quant aux stéréotypes très XIXe siècle que cette image véhicule, elle ne fait pas entrer les jeunes parents dans la modernité, c’est le moins que l’on puisse dire.
    Quoi qu’il en soit, si gabegie il y a (quelle source pour ces chiffres ? combien étaient déjà imprimés ? quels sont les accords avec l’imprimeur ?) c’est aux personnes qui ont imaginé cette ineptie qu’il faut la reprocher, pour n’avoir pas suffisamment consulté des personnes compétentes qui auraient pu les avertir des réactions possibles.

  7. Frank THOMAS

    Il est frappant de constater que notre époque est traversée par deux courants, le plus souvent incarnés par les mêmes personnes.
    D’un côté un respect quasi mystique pour la nature, menacée par les activités humaines ; de l’autre comme vous le dites dans ce billet, une négation dogmatique des différences naturelles entre les êtres humains.
    Comme si la nature s’arrêtait où commence l’Homme.

  8. Denis Monod-Broca

    Je ne vois pas pourquoi on met des images sur un carnet de santé.
    Ça me rappelle un opuscule sur la législation du mariage vu à la librairie du Journal Officiel : sa couverture montrait un marié portant la mariée dans ses bras, comme si le mariage se réduisait à la cérémonie du mariage.
    Quant à l’image de couverture de l’opuscule sur la filiation elle était celle d’une tête d’enfant, comme si la filiation se réduisait à l’enfance.
    Il est bête de mettre des images là où elle ne sont pas nécessaires, il est encore plus bête de s’en offusquer et proprement absurde de les faire disparaître pour des raisons idéologiques.
    Mais que voulez-vous ? quand la borne est dépassée, il n’y a plus de limite…

  9. Quand j’ai fait mon service militaire on m’a toisé, pesé, on était tous à poil, les mains devant, ultime rempart de notre intimité.
    Les pieds plats étaient réformés, et les réformés P4 (psy) étaient innombrables à l’époque.
    J’ai passé 12 mois à défiler sur Sambre et Meuse, car je n’avais ni les pieds plats, ni aucune prédisposition à la psy.
    Gentil couillon, j’ai fait mes 12 mois…
    Qui dans ce gouvernement a fait son service militaire ?
    Vous avez 4 heures.

  10. Catherine JACOB

    Et alors ? Qu’est-ce qu’ils vont faire ? Ramasser tous les carnets déjà distribués et dûment remplis par les pédiatres et autres médecins scolaires vaccinant etc. et les leur faire re remplir ?
    Parce que ce ne sont pas les parents eux-mêmes qui remplissent ces carnets que les enfants n’ont jamais ou très rarement en mains eux-mêmes.
    Donc à vos 33 000€ il semble que vous deviez rajouter tout le temps à prendre par chaque intervenant à donner de nouveaux RDV pour re remplir et signer le cas échéant les carnets, et concernant les parents le temps perdu à faire à nouveau la queue dans les salles d’attente, vu que ces carnets n’ont pas vocation à passer par des mains tierces afin de respecter le secret médical auquel les enfants ont droit tout autant que les adultes.
    Mais bon plus rien n’étonne depuis l’annonce de la suppression des classes européennes ainsi que des classes bilingues soi-disant élitistes, qui aura pour effet de condamner l’accès aux doubles diplômes style Habibac (= Habitur allemand + Baccalauréat français), ainsi qu’aux doubles formations style Institut polytechnique + université étrangère, validées par des doubles diplômes qui ne bénéficieront plus aux élèves des classes maintenues dans les autres pays, ce au motif que les maintenir dans les établissements français où elles ne concerneraient que 30% des élèves n’aurait aucune incidence sur l’amélioration des performances des 70% restants pour le bénéfice desquels il vaut sans doute mieux utiliser les crédits ainsi économisés à faire imprimer de nouveaux carnets de santé pour de la sorte faire correspondre leur image d’eux-mêmes à celle véhiculée par une idéologie dont 8 français sur 10 se déclarent mécontents, bien qu’elle pense que la justice c’est de fermer les facilités d’accès au marché européen du travail aux 30% de soi-disant élite afin qu’ils bénéficient comme les 70% restants du meilleur droit du travail du monde en matière d’indemnisation du chômage, et que c’est encore de scier la branche sur laquelle les Français sont assis afin de faire plus de place à leurs concurrents.
    Comme ça, tout le monde étant par terre, personne ne pourra plus se plaindre d’être moins bien loti que le voisin.
    Et pour le cas où on ne le saurait pas déjà, les doubles diplômes ne sont utiles qu’aux élèves et autres étudiants doués en langue étrangère, ce que ne sont pas les Français comme tout le monde le sait, mais uniquement leurs voisins du bout du monde comme par ex. les Chinois qui, à l’occasion, mais aurons-nous le mauvais goût de stigmatiser cette spécificité culturelle, les monnaient.
    A toutes fins utiles et afin de bien comprendre à quoi serviront les économies faites par Mme Vallaud-Belkacem grâce à la suppression des classes européennes, on peut prendre connaissance de la façon par ex. dont le seul poste de lettres classiques au mouvement cette année dans l’Académie de Strasbourg est profilé et qui est :
    « Enseignement des Langues et cultures de l’Antiquité
    Travail en équipe sur la base d’un projet Langues et cultures méditerranéennes associant des enseignements de LCA et d’arabe
    Participation à la conception et au suivi du projet en liaison avec des partenaires culturels. »
    Ce à l’image du PSG j’imagine.
    Et pendant ce temps-là, quid de la Méditerranée qui borde Lampedusa et de l’image d’eux-mêmes des petits garçons et de petites filles dont les pirates-négriers du XXe siècle se sont servis comme de lest en les enfermant sans air dans la soute de vieux rafiots surchargés qu’ils ont abandonnés en pleine mer après avoir soutiré aux adultes leur dernier billet de 100 dollars pour une bouteille d’eau croupie ?
    Eh bien, soyez rassurés, leur image d’eux-mêmes n’est pas en question et ne risque pas d’influer de façon négative sur leur avenir, vu que, à ce qu’on croit savoir, ils n’ont pas de carnet de santé.

  11. @Ah @Savonarole !
    Durant mon service, comme je n’avais pas les pieds plats et que les P4 ne m’amusaient pas plus qu’au-delà d’eux-mêmes quand ils étaient hors service, je me suis retrouvé propulsé par piston, après un détour de 800 km, à 800 mètres de mon domicile d’alors (3 mn en vélo) dans une confortable et agréable Direction d’un grand corps d’armée, puisque ma compagne d’alors avait voulu l’action des pistons…
    Le beau sexe a des pouvoirs, pas de quoi lui faire reproches…?
    Alors, au moins quelques bons souvenirs ?
    – d’abord avec la recherche d’un adjudant recalé dans la même Direction, puisqu’il était « membre des comités de soldats » quand il dormait à mon étage dans l’armoire à plans (celle qui coulisse et qui protège les calques du feu) tandis que les colons faisaient semblant de le rechercher et me demandaient (à moi) si je ne l’avais pas vu ! Un must !
    – puis la recherche possible d’essences rares dans la forêt domaine militaire avec Madame la Générale qui était passionnée de botanique.
    – les conseils pour mise en espace dans le mess des officiers du portrait du Colonel qui en assurait la direction.
    – La mise en plan d’une aire de lavage pour char d’assaut.
    – L’endormissement au volant d’un chauffeur attitré qui revenu d’Algérie il y avait fort longtemps aurait failli me tuer si je n’avais saisi le volant de sa 4L de service aussi brusquement que nécessairement.
    Etc, etc.
    @Savonarole, je ne me souviens pas avoir pris part à quelconque gouvernement !, je ne peux pas vous aider…
    Je dois être un des très rares appelés incorporés allant au bout qui soit resté « deuxième pompe » à l’issue tellement le cas ne cochait pas de cases, un peu comme ne cochent que rarement les gouvernants.
    Dans la Direction, il y avait les « P.E.F.A.T »… et le sexisme d’alors allait bon train… en tout bien tout honneur évidemment.
    Reste à savoir si notre hôte s’agite « sexisme d’abord », ou « gabegie ensuite » toutes politiques faisant tête…
    A lire le billet, nul ne le sait.

  12. Bonjour Philippe Bilger,
    « Le visuel de la première page de ce carnet a été jugé « sexiste » parce qu’on y voyait une fille inquiète pour son tour de taille et un garçon heureux de se mesurer. »
    Il faut reconnaître que cette photo n’était pas des plus judicieuses dans un contexte où le pouvoir actuel fait grand cas de traiter sur le même pied d’égalité les hommes et les femmes et donc, bien sûr, les garçons et les filles et ceci depuis l’école maternelle.
    Rien à dire sur le garçon impatient de grandir, par contre la fillette qui déjà mesure sa taille alors que son corps n’est même pas encore formé, cela confine au ridicule.
    Mais le plus navrant dans cette affaire c’est que cette image n’a suscité de réprobation qu’une fois les carnets de santé imprimés.
    N’y avait-il pas plusieurs projets de photos pour ces carnets de santé ?
    Le choix est-il le fait d’une seule personne et non d’une équipe de designers ?
    Et dans ce cas n’y avait-il pas une seule femme qui ait émis une réserve sur le côté ringard de cette photo ?
    Résultat de ce manque d’organisation typiquement bureaucratique : 33 000€ qui partent en fumée. Mais ce n’est pas grave puisque c’est le contribuable qui paie.

  13. Alex paulista

    Mettre le tour de taille comme première préoccupation des petites filles est assez nul, il faut le reconnaître… Après, pas sûr que cela justifie 30 000 €…

  14. @Michelle D-LEROY
    Oui oui !
    33 000€, cela devrait devenir un genre de taquet !!
    Presque le tiers de l’Etat payant tous azimuts cent pour cent.
    Après tout, c’est quoi 33 000 :
    Pour moi, trente trois mille c’est presque deux années de chiffre d’affaires, un peu moins de la moitié de ce que je dois au RSI… mais un peu plus du dixième de ce que le RSA-activité cumulé avec les APL me versent…
    (Remarque : passer à 33 000 de chiffre sur l’année, c’est pas compliqué, il suffit de ne pas préférer ses clients, penser qu’il suffit de les saigner et qu’il en restera toujours quelque chose, un peu le triste rôle attribué aux entreprises…)
    Je me demande combien coûte la gestion de mon cas… rendre compte du dixième de la moitié d’un chiffre… ce qui nous fait à peu près un vingtième (d’un chiffre ridicule, tandis que le ridicule s’augmente de l’indéchiffrable et non monnayable plaisir partagé sans frais de publicité…).
    Mais on peut raisonner autrement :
    Moins tu gagnes et plus tu touches.
    Les pourcentages c’est génial !
    Faut revenir à nos trente trois mille…
    C’est beaucoup un vingtième… par exemple un auto-entrepreneur verse un tiers, c’est-à-dire par paradoxe pas évident mais tous calculs faits six fois plus !
    Mais ça, c’est pas pour 33 000€, c’est pour 12-15 000€…
    Pour 33 000€, les pourcentages s’examinent… et un comptable professionnel ne sait pas plus qu’il envisage sans savoir le prochain amendement.
    Bref… il ne sait pas d’avance, et on ne sait pas, 33 000€ c’est rien et c’est beaucoup…
    On ne peut plus compter aisément…!
    En rapports, le sexisme…

  15. @zenblabla
    Que de souvenirs communs ! J’ai vécu ça aussi…
    J’ai tout de même réussi à obtenir une sorte de BTS d’artillerie de marine, je lançais des sondes dans l’espace pour mesurer l’hygrométrie et la vitesse du vent pour assurer un meilleur tir à l’artillerie. J’étais donc en première ligne en cas de boucherie internationale.
    Cette technique absurde du doigt mouillé a disparu.
    En plus, à l’époque je lisais Céline qui disait dans un de ses pamphlets « Moi, quand on me parle de la France, je pense irrésistiblement à mes tripes »…
    Ça n’aide pas à gagner des guerres…

  16. George | 21 avril 2015 à 23:29
    Ça fait un peu site pédophile votre exemple…
    Je ne vois pas la pertinence de votre propos.

  17. @Catherine JACOB
    Mes filles ont toutes goûté au bilinguisme grâce à l’Alsace où le bilinguisme a été promu généreusement, savent l’allemand, et ma fille parmi mes filles qui a pu réussir en France parmi les grandes écoles françaises vit à Berlin et y travaille semble-t-il sereinement, puisqu’elle y est largement adoubée du côté de la profession.
    Ma grande fille qui a goûté et peut-être subi le bilinguisme vit à Milan, sait la langue allemande mais ma dernière fille est toujours à Strasbourg en études.
    Bien sûr, elle fut du bilinguisme dans les apprentissages, même si les humanités à la française m’ont paru s’estomper avec elle dans cet enseignement malgré le bilinguisme, tout cela si j’ai bien compris l’enseignement avec le bilinguisme, étant entendus les reproches stupéfiants des parents d’élèves visant son aînée qui était brillante en études autant que je n’y pouvais pas grand-chose tandis qu’il fallait me demander si ce n’était pas mes parents qui étaient en cause, alors que cette fille brillante en études s’évertuait à s’isoler pour ne pas s’excuser…
    C’est quoi ce bordel, ce marché de la reconnaissance avant qu’il ne soit découvert… en plus par avance avec nos enfants ?
    Ma fille la mieux promue avec ses études s’est exilée en Allemagne et il faudrait dénoncer cela parce que cela serait promu par des institutions défaillantes… qui favoriseraient ?
    Non, non… tout cela est faux, tout cela pèse trop, tout cela fait bien trop d’arguments qui ne valent pas !
    Il n’y a même pas l’annonce certaine d’un bonheur certain dans la considération des existences.
    Il y a tout juste la dénonciation d’un bonheur putatif qui s’obtiendrait par l’étude.
    Cela ne va pas.
    Quant à moi, à Marseille en seconde, je ne goûtais pas l’allemand puisque j’avais 18 à l’écrit (les pompes… en allemand seulement là en déjà germanophobie convoquées !), et 3 à l’oral…
    Aujourd’hui je ne lis que les traductions, n’entends toujours pas malgré quarante ans d’Alsace !
    Je suis assez gêné… je suis presque devenu germanophobe actualisé à force de côtoyer Kehl et son engeance mercantile tandis que Strasbourg n’est pas en reste en affaires de mercantilisme… depuis tellement plus loin que Kehl !
    …Alors, je suis d’accord, il surgit une forme brusquement organisée d’une germanophobie qui n’est pas la mienne, qui fait d’avance profit de la présomption de l’effondrement d’une position dominante en économie, et qui remiserait la langue allemande au-delà des ententes.
    Cela n’est pas heureux, vous avez raison de dénoncer l’entreprise gouvernementale, l’histoire de dire l’affaire classieuse avec le bilinguisme, le regard inquisiteur sur la sélection sociale confite en favoritismes par le bilinguisme comme avec comment cela se passe en Alsace au moins, en Lorraine sûrement pour autant, c’est vraiment minable…
    Troyes aurait dû rejoindre la Bourgogne, et Besançon la frontière nord-est !

  18. Approbation de Savonarole | 22 avril 2015 à 00:00 :
    il n’aura pas davantage mon soutien George.

  19. Alex paulista

    @ George | 21 avril 2015 à 23:29
    Le parti pris inverse de ne photographier que des filles dans des stéréotypes de garçons est tout aussi ridicule.
    Non, ce qui est gênant dans cette histoire, c’est ce souci de régulation du poids dès le plus jeune âge. Si c’était pour un garçon ce serait pareil.
    C’est ce rapport de frustration avec la nourriture dès l’enfance qui fait les obèses et les anorexiques.

  20. Garry Gaspary

    Ben oui, par réaction, on a envie d’être sexiste, homophobe, islamophobe, antisémite, Biterrois de souche avec un placard rempli d’amis sur lesquels on est certain de pouvoir toujours compter pour faire la fête aux nouvelles têtes.
    Et puis, vient le jour où l’on se dit qu’on est quand même un être humain qui se doit de fonctionner à l’action rationnelle. Et non une bête machine qui réagit stupidement.
    On commence alors à se déchristianiser. Et à trouver sa place au milieu des autres. Ce qui constitue la seule vraie définition du bonheur.
    Désespérer des autres, c’est avant tout désespérer de soi.

  21. Question naïve : on nous parle sans cesse des situations où la parité n’est pas respectée au détriment des femmes. On ne parle jamais des situations – ce sont des professions entières ! – où la disparité est massivement en faveur des femmes : la magistrature, l’enseignement, de plus en plus la médecine…! Comprenne qui pourra…

  22. Humm… Philippe Bilger…
    …vous qui avez toujours eu la notion affûtée d’échelles des valeurs…
    Concernant vos deux derniers billets Speedy Gonzalez (comparaison à un tract coco par Hollande, théorie du genre pour dépenses superflues en maternelle) tirés à la vitesse d’une rafale d’uzi parabellum 9mm SA 25…
    Ne trouvez-vous pas que, dans l’échelle de gravité des thèmes traités, il faut relativiser les choses par rapport aux pertes massives méditerranéennes de la version XXIe siècle des boat-people sud-viêtnamiens qui pourrait soulever, à bon droit, l’émotion voire (qui sait ?) un sujet de billet ?

  23. @Savonarole
    Il s’agit simplement d’images réalisées par une photographe qui est également maman (Kate Parker) et qui n’a pas été à l’école de Hamilton – qui photographiait des lolitas figées comme des légumes*.
    Comme beaucoup de femmes d’aujourd’hui, elle souhaite pour ses filles un destin de femme active, sportive, etc. non cantonnée à des rôles auxquels la société la confine, à qui l’on ne niera plus talents, capacités, compétences, fierté.
    * « Le second tiret sera supprimé avant un point final » : Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie Nationale p 148

  24. Marc Ghinsberg s’étonne à propos de Philippe Bilger qu’il « refuse que l’on dise Madame la Présidente lorsque c’est une femme qui préside les débats de l’Assemblée nationale ! ». Mais « président » est un terme épicène c’est-à-dire commun aux deux sexes. C’est donc une preuve de la considération que nous portons aux femmes que de refuser une féminisation qui pourrait devenir discriminatoire. Donner un féminin à ces mots peut parfois les dévaloriser. Et ce n’est pas du tout pareil de dire que « Untel a été le maître de Monsieur X » ou de dire que « Unetelle a été la maîtresse de Monsieur X ». Ou bien quand on parle d’un « beau gars » ou d’une « belle garce ». Si j’étais une femme je refuserais ces féminisations dégradantes comme ministresse, docteure, écrivaine, etc.

  25. Humm… Philippe Bilger…
    …vous qui avez toujours été si affûté sur la notion d’échelles des valeurs…
    Concernant vos deux derniers billets Speedy Gonzalez (comparaison à un tract coco par Hollande, théorie du genre pour dépenses superflues en maternelle) tirés à la vitesse d’une rafale de P.M…
    Ne trouvez-vous pas que, dans l’échelle de gravité des thèmes traités, il faut relativiser les choses par rapport aux pertes massives méditerranéennes de la version XXIe siècle des boat-people sud-vietnamiens qui pourrait soulever, à bon droit, l’émotion voire (qui sait ?) un sujet de billet ? »

  26. @Alex paulista
    Mais pourquoi le fait d’être sportive (et représentée en tant que telle) équivaudrait à céder à un stéréotype masculin ? Voyez à quelle absurdité l’on peut en arriver…

  27. sylvain "Je suis un Biterrois" FN christianisé

    Grâce au sexisme, on a trouvé une nouvelle phobie en « isme » : le harcélophobisme.
    Bientôt sur nos tables de la loi figureront celles qui pénaliseront le harcèlement sexuel visuel ; en effet dans les textes seront prévus les « regards insistants et prolongés » envers une personne du sexe féminin ; sans rire, à partir de combien de temps un regard insistant sera-t-il pris en compte pour être sanctionné ? Faudra-t-il recruter parmi nos emplois d’avenir socialistes des surveillants chronomètre en main épiant les foules à la recherche d’éventuels harceleurs ?
    SOS harcélophobie, encore une association nécessaire au bon fonctionnement des mœurs de notre société.

  28. Lucterius, vous dites vous-même que la féminisation diminue, dévalorise…
    Sur la chaîne publique TV 5 dimanche soir, les extrémistes hystériques Schönberg et Jouanno proposent un documentaire qu’elles ont réalisé sur la question du féminin et du masculin en politique.

  29. Pensez à la « monoparité », Guzet | 22 avril 2015 à 08:16…
    Ou encore à la paritée voire la parité-euh moins muette…
    La monoparité se décline déjà largement dans la famille monoparitale à tel point que la graphie ‘femmille’ se comprend.
    La paritée a quelque chose de concret et populaire, comme une cuillerée, une poignée, une brouettée etc.
    Vous avez posé une bonne question faussement naïve, voici encore un exemple d’application in concreto. Prochainement a lieu un Salon du Printemps dans une agglomération moyenne. Parmi les exposants, dans la catégorie « Le temps du conseil », est programmée sur un stand une entité (entité-e ?) ENTREPRENDRE AU FEMININ présentée comme « association qui promeut et valorise l’entreprenariat et le management au féminin ».
    On va nous dire qu’au nom de la liberté on a « bien le droit » de distinguer par affinités sans discriminer… Pourtant transposons pour imaginer un réseau « Entreprendre en Islam » ou « Entreprendre comme Rapatrié d’Algérie » ou « Entreprendre au Catholique » qui s’afficherait de la même manière dans un salon à thématiques professionnelles ouvert au public… Hurlements en perspective, n’est-ce pas ?
    Un autre exemple est bien connu : le SNEG ou syndicat national des entreprises gaies, là encore complète immunité vis-à-vis de toute critique sur l’aspect communautariste donc discriminatoire illicite en corollaire…
    L’auteur de « De la démocratie en Amérique » l’avait observé il y a un siècle et demi : quand un groupe de pression constitué vient d’obtenir en gros satisfaction légitime sur ce qui justifiait son existence, au lieu d’acter son succès et de se dissoudre c’est alors qu’il redouble d’agitations pour emporter davantage et des avantages au-delà de son dû.
    Une sorte de phénomène inertiel dans les mentalités entraîne l’opinion à laisser faire sans discernement ni lucidité. Tocqueville exprime cela bien mieux, s’y reporter.

  30. Franck Boizard

    La tendance actuelle est terrifiante : éradication de toute aspérité par rapport au politiquement correct.
    Les instruments de ce naufrage intellectuel, social et politique : les lois scélérates (Pleven, Gayssot, Taubira, etc.), les associations subventionnées, sensibilité surjouée des minorités braillardes et le scandale médiatique.
    Comme, de toute façon, ces scandales sont purement imaginaires, on peut se scandaliser de n’importe quoi, d’où l’objet de votre billet.
    En revanche, pour les scandales bien réels genre femmes en banlieue, plus personne, vous repasserez.

  31. @ zenblabla | 22 avril 2015 à 00:39
    Ainsi donc vous n’avez que des filles, et qui ont fait de hautes études en plus. Dites donc, ça ne devait pas être facile pour vous d’en placer une à table. Heureusement vous vous rattrapez bien sur ce blog. 🙂

  32. Ce qui me gêne c’est l’esprit de rééducation générale de la population qui règne aujourd’hui, et cette façon de fondre comme des maniaques sur des détails et des images après que le gros de la bataille a été gagné.
    Ne nous y trompons pas, nous sommes de plus en plus en liberté surveillée : sous le sourire et la bonne humeur de commande que constituent ces idéogrammes dont nos nounous d’en-haut nous gratifient pour nous faire progresser vers la lumière, percent les menaces d’amendes diverses. Toutes les dernières innovations mises en place pour nous protéger (comme par exemple la loi sur les mannequins trop maigres) comportent un volet punitif. Tous les jours on nous pond une nouvelle loi pour améliorer notre éthique et notre « vivre-ensemble » (beurk pour l’expression). Dire ce que l’on pense, employer certains mots devient répréhensible. Les vrais délits, on s’en préoccupe moins ; tout pour la forme, on croit magiquement que le fond suivra.
    D’accord avec Jean Morland pour dire que nous sommes saturés de messages visuels niais, et qu’ils ont davantage leur place sur des T-shirts ou sur des étiquettes de marque de vêtements que sur des documents officiels.

  33. Etre sexiste pour 30 000 €, petit joueur ! Non, non on veut du vrai gaspillage, du lourd, de l’incommensurable, par exemple les portiques de l’écotaxe, 1.6 million € pour leur démantèlement ! Sans compter tout ce qui a été jeté par les fenêtres avant, pour ces derniers.
    Alors bon, je veux bien être sexiste, aussi sexiste que la pugnacité avec laquelle on s’escrime à dilapider, sans arrêt, avec méthode et application.
    Si les politiques utilisaient leurs propres deniers, vous verriez, ils seraient plus sexistes que vous et ce, pour le moindre centime : ils viennent de s’octroyer un « parachute doré » de plus (Mediapart), là par contre ils sont très forts pour ménager leur propre patrimoine – à vomir.

  34. Sur les prochains carnets ils (elles ?) mettront l’image d’une petite fille foulardée et d’un petit garçon portant kalach (à défaut de barbe.. 😉 ?
    Le carnet de santé sert à mesurer les courbes de progression taille/poids certes mais aussi beaucoup plus d’informations utiles (vaccins, allergies, petits handicaps…) pour les garçons comme pour les filles, alors arrêtez de mettre des images débiles sur les carnets de santé !

  35. sylvain christianisé kss kss

    Hou hou Gaspatchou !
    La police a intercepté un déchristianiseur qui s’apprêtait à remettre les brebis égarées du christianisme dans le droit chemin.
    C’est ballot !

  36. Cet « anti-sexisme » dogmatique et outrancier, prôné par certaines personnes et associations, devient de plus en plus ridicule, et une bonne part de la population s’en moque ouvertement.
    Non seulement, il ne s’applique souvent que dans un seul sens, mais surtout il commence à irriter les sensibilités, comme celle de l’auteur de ce blog qui dénonce à juste titre le coût injustifié de ces pressions idéologiques poussées à l’extrême.
    De plus, l’hypocrisie de cet anti-sexisme est facilement démontrable. Aucune de ces personnes/associations n’ont jamais demandé à supprimer les toilettes séparées. Et pourtant, quel bel exemple de sexisme, n’est-il pas ?
    Et si vous croyez que ce propos est exagéré, je vous enjoins à vous renseigner sur le procès qui est fait contre les panneaux signalétiques suggérant les différences hommes/femmes, initié par les mêmes. Si ce n’était pathétique, on pourrait en rire.

  37. Je ne comprends pas l’utilité d’images sur un carnet de santé ! A quoi cela sert-il ? Je suis né en 1986 et mon carnet de santé est bleu avec l’indication : « Carnet de Santé » !
    Cela suffit amplement, mais avec la gauche (j’entends par là l’ensemble de nos politiques), le superflu, l’inutile est toujours prioritaire, les véritables problèmes ne sont jamais résolus ni même jamais posés !

  38. Catherine A ben oui lucterius

    Secrétaire est féminin quand il s’agit de la dame qui prépare le café mais masculin quand il est question de la secrétaire perpétuelle de l’Académie. Même l’Espagne, pourtant pas à la pointe des pays féministes, utilise depuis des lustres LA ministre, la diputada, etc. etc. Cela dit, la féministe que je suis n’a aucune envie de ressembler à un homme, j’adore être une femme et j’aime les hommes (enfin pas les bas du front, ni les qui portent leur phallus en sautoir) mais j’attends le jour où une conne pourra accéder aux plus hautes fonctions et pas seulement politiques ; comme il me ferait plaisir qu’un fils de balayeur ou d’ouvrier agricole soit président ou mieux encore qu’un fils de Président se retrouve balayeur. Inutile de hurler MM.les bien-pensants, si je choisis balayeur c’est que ce métier ne fait pas recette même si son utilité sociale dépasse et de loin celle de bien d’autres professions.

  39. Robert Marchenoir

    Franck Boizard | 22 avril 2015 à 09:38
    « …les lois scélérates (Pleven, Gayssot, Taubira, etc.) »

    Petite précision historique : contrairement à ce qu’on lit partout dans la réacosphère, les dispositions législatives réprimant les opinions ou les actes jugés racistes, ou spécifiquement antisémites, ne datent ni de 1990 (loi Gayssot) ni de 1972 (loi Pleven), mais… des années 30.
    Ce texte, qui visait en particulier l’antisémitisme, a été (sans surprise) aboli par Vichy, puis rétabli à la Libération.

  40. Votre stupidité est d’une profondeur abyssale… votre arrogance, typique des professions judiciaires…
    Aucun argument ne vous fera ciller de vos positions d’un autre temps…
    Bref, comme disait Brassens : « Quand on est c.. »
    Y a plus qu’à attendre patiemment que la Grande Faucheuse fasse son boulot…

  41. Allez il faut le dire, n’a-t-on pas autre chose à penser que de s’occuper d’une pusillanime histoire de couverture de carnet de santé ? A quand une grande loi sur la vie précaire des anciens « chiens perdus sans collier » futurs ? Quand va-t-on penser sérieusement emploi/formation au lieu d’alimenter différentes caisses aussi inefficaces qu’inutiles ?
    Quand va-t-on revenir aux fondamentaux de l’école et non pas à la mièvrerie « spiralaire » (le Canard) de l’éducation nationale, et autres « actes langagiers ».
    On est devenu fous, l’éducation ou les enseignants sont impuissants, à force de relâchement et de « surtout pas de vagues », rien ne se fait, nulle part.
    A contrario, ce n’est surtout pas en 2015 que l’on construirait la Tour Eiffel avec de bons sentiments, alors la polémique sur l’imagerie d’ un carnet de santé est bien futile et ô combien dérisoire.
    Bâtir notre avenir volontaire, positif, ou discuter et s’appesantir sur la couverture de je ne sais plus quoi d’ailleurs, quelle utilité ? Pour quelle finalité efficace et radieuse ? Il faut arrêter avec ces palabres nulles et bien sûr « traverser l’eau en équilibre horizontal » (le Canard) pour dire nager.
    Avec cela, comme on dirait au café du commerce « on a tout gagné ! », par contre j’en suis sûr, on a surtout tout à perdre, et cela commence à se voir : chômage, pauvreté, etc. Rien que cela !

  42. Bonjour,
    Pas envie de faire de grandes phrases, encore moins de la psychologie et de la philosophie. Je passe donc à l’essentiel. François Hollande est le plus grand des menteurs, le plus grand des misogynes et le plus grand des sexistes. Plus menteur et roublard que lui ça n’existe pas. Mariage pour tous, sauf pour lui. Ca l’arrange pour ne pas assumer ses responsabilités de père, de mari et de famille. Il ne voulait jamais se marier malgré ses quatre enfants laissés à Ségolène pour une autre, pour le simple fait de vouloir toute sa liberté d’aller papillonner et fricoter à droite et à gauche avec des femmes de plus en plus jeunes sans jamais prendre la responsabilité d’une famille. F. Hollande a menti à toutes les femmes comme il ment à la France entière dont au moins à un tiers des électeurs qui a voté pour lui (sauf moi, bien sûr. Un homme qui ne sait pas gérer sa famille et la laisse tomber aux yeux d’autres femmes de plus en plus jeunes est un type minable).
    Bien à vous

  43. Pour Achille | 22 avril 2015 à 10:27 et tout autre patient
    Traitement de la misogynie « clinique » par les laboratoires Pfizer.
    Il s’agit du cocktail de quatre molécules :
    DICOMMEL (ziprasidone, capsules)
    FAICOMMEL (linezolid, tablettes)
    PENSCOMMEL (valdecoxib, tablettes)
    PIFERMLA (preçabéin, capsules)

  44. Alex paulista

    @ George | 22 avril 2015 à 09:03
    Les photos que vous proposez en lien ne montrent les filles que sous l’angle « femmes fortes ». C’est la photographe même qui le dit. Elles ne sont qu’en habits masculins.
    Aucune photo de volley, de danse, de gymnastique, de natation, de patinage.
    Seulement une vision androgyne expurgée de toute la grâce naturelle portée par le sexe faible.
    Si vous ne voyez pas le militantisme patent et avoué de la photographe, je n’arriverai pas à vous convaincre.
    Mais peut-être que c’est la vie qui vous convaincra, si vous avez la chance d’avoir comme moi des enfants d’âge proche et de sexe différent. Les enfants ont besoin des stéréotypes pour mieux les comprendre et les déjouer.
    Mais faire croire aux filles que leur accomplissement est d’être des mecs sans la force physique, c’est complètement sexiste.
    Une vision militante LGBT de la jeune fille.
    On n’aboutit pas à un équilibre en compensant une exagération par une autre.

  45. Alex paulista

    @ Lucile | 22 avril 2015 à 10:28
    Le seul moyen de protéger nos libertés, c’est de les exercer.
    Pas tellement d’en parler de manière théorique.

  46. Jean-Paul Ledun

    « Conviendra-t-il bientôt de s’excuser parce qu’on prononcera homme ou femme ? »
    PB
    J’ai réglé le problème depuis longtemps.
    Je ne suis ni homme ni femme mais un(e) homfem ou femhom selon l’endroit où je me trouve.
    Et qu’ils nous f… la paix avec leur c.

  47. « Samedi, Sid Ahmed Ghlam reçoit plusieurs nouveaux messages l’incitant « fortement » à passer à l’acte. Le lendemain dimanche, il est censé passer à l’acte en attaquant des églises de Villejuif. Un projet auquel il est contraint de renoncer après s’être blessé avec son pistolet en s’asseyant dans son véhicule » (Le Parisien)
    On peut tout faire avec des baïonnettes, sauf s’asseoir dessus, aurait dit Napoléon…

  48. Et pourquoi ne pourrait-on pas envisager d’imposer aux personnes qui ont pris la décision de choisir cette photo de payer solidairement les 33 000 euros uniquement imputables à leur impéritie ? Non seulement les contribuables leur en sauraient gré et ça aiderait peut-être aussi les décideurs à plus de clairvoyance dans leurs décisions. Et ce n’est après tout qu’assumer les conséquences de ses choix ; c’est trop facile de pouvoir décider sans engager sa responsabilité.

  49. hameau dans les nuages

    @Sam
    « Je ne comprends pas l’utilité d’images sur un carnet de santé ! A quoi cela sert-il ? Je suis né en 1986 et mon carnet de santé est bleu avec l’indication : « Carnet de Santé » ! »
    Et vous ne voyez pas ou est le problème ? Vous vous appelez Sam et votre carnet est BLEU !
    Vous ne voyez toujours pas où est le problème ?
    On a déterminé votre genre d’autorité parce que vous êtes né avec un kiki ! C’est troporrible !
    Bon je plaisante bien sûr… Je suis taquin… Vous êtes bien sûr né dans un chou.
    Moi aussi.
    Maintenant même quand on est tout petit garçon, on nous cherche des poils sur les oeufs en voulant nous faire jouer à la dînette. Alors forcément l’image représentant un petit garçon et une petite fille bien différenciés peut évidemment choquer certains.
    La cellule psychologique c’est au fond du couloir à gauche.

  50. Catherine JACOB@sylvain

    @sylvain
    « Je suis un Biterrois » FN christianisé | 22 avril 2015 à 09:04
    Je parie que par chez vous le beau parler veut que le roi soit le masculin de la reine dit un Japonais dans la langue duquel la consonne B ne se distingue pas de la consonne V.

  51. Non mais sérieusement…
    « Au nom de quoi récuser le plaisir que vous offre une petite fille déjà attentive à sa taille ? »
    Ecrire ça alors qu’il y a en ce moment un débat au sujet de l’anorexie… Ca ne vous choque même pas ?

  52. J’ai découvert un homme exceptionnel, pas une femme, au nombre d’emplois qu’il occupe il aurait pu laisser quelques miettes à la gent féminine, même pas ! Quel goujat ! La liste des postes politiques qu’il occupe est aussi longue qu’un jour sans pain… deux jours sans pains.
    Pas une féministe à l’horizon pour crier haut et fort qu’il est quand même un peu goinfre, pourtant la parité fait peau neuve avec les conseils départementaux et lui de s’accaparer sans vergogne tout ce qui traîne et peut-être enlever sa part à MMLP.
    Alors tout ce raouf pour des dessins sur un carnet de santé, il faut quand même ne pas avoir grand-chose à se mettre sous la dent. Ainsi va l’info, éphémère, rapide, vite oubliée, sauf sans doute les 33 000 € car ceux-là c’est nous citoyens qui allons les payer, quant au goinfre il s’agit, vous l’avez bien deviné, de C. Estrosi (le Canard).
    Mais lui ce n’est pas par sexisme qu’il cumule tout, et la liste est longue, c’est simplement parce qu’il est « perfectionniste », chez nous on aurait dit dans notre langage qu’il est un aganit*, et tant pis pour tous les autres hommes ou femmes.
    *aganit : cupidité vorace sans partage. Ou « agane ».

  53. Cher Philippe,
    Pourtant, nous ne sommes que des filles…
    Il faudrait bien comprendre que dans sexiste, se cache existe et que ce billet n’excite pas nos pauvres synapses.
    C’est peut-être un sujet de printemps.
    françoise et karell Semtob

  54. Marc GHINSBERG

    « On s’enfonce et le ridicule ne tue plus : il massacre. »
    Ainsi commencez-vous votre billet. Tous ceux qui écrivent ce genre de phrase devraient commencer par remercier le ciel !

  55. calamity jane

    Parlons chiffres : trente-trois mille euros pour une rectification sexiste pour le seul département des Bouches-du-Rhône !
    L’égalité voudrait que pour le même montant, chaque département revendique une ânerie semblable. Ce qui nous conduirait à un budget de 33000 x 100 (les autres départements français).
    Ce budget s’élèverait donc à 3 300 000 d’euros !
    Le piège de la photo… du carnet de santé se mettant au même niveau que celles retouchées publiées continûment dans certaine presse.

  56. @Alex paulista
    Une jeune fille peut porter des talons hauts le soir et un short le matin à l’entraînement, que vous voyez un androgyne chez une sportive me sidère ! Que pensez-vous des femmes pilotes de chasse ? diriez-vous qu’elles ont moins de cœur à l’ouvrage que leurs collègues masculins puisque vous associez le muscle à la virilité ? Apparemment vous ne trouvez pas que les femmes sportives soient féminines, mais ce ne sont que vos propres préférences que vous voulez nous imposer comme norme.

  57. Hommage mérité à Marine Le Pen par Time.
    Mais quel accoutrement ridicule ! c’est un gag, une burqa bleu ciel ; ah non pas ça, Marine va favoriser le sexisme gauchouillard, c’est clair, on entend déjà les commentaires des tribunaux spéciaux de Ruquier-Caron, Ardisson et Canal P…s.

  58. Juste : vous auriez donc accepté qu’un garçon soit inquiet de la taille de son sexe sur ce bulletin de santé. Pour 33 000 euros, on aurait pu laisser en effet passer une telle représentation de l’ado.

  59. hameau dans les nuages

    « Y a plus qu’à attendre patiemment que la Grande Faucheuse fasse son boulot… »
    Rédigé par : vincent | 22 avril 2015 à 14:35
    Vous croyez qu’elle va vous laisser au bord du chemin ? vous êtes très présomptueux. Quant à l’outil il y en a de plusieurs sortes, la grande et la petite. Je sais de quoi je parle.
    Je vous réserve la courte, large, plus solide, faite pour les ronciers.

  60. Selon BFM c’est 60 000 euros que les contribuables vont devoir payer pour ces carnets c’est-à-dire par exemple moins que la valeur de deux habits de l’Académie française ou d’une seule épée
    http://www.europe1.fr/economie/academie-francaise-etre-immortel-combien-ca-coute-1993131 :
    Je propose que par exemple, l’Académie française subventionnée par des dons privés et pour une part par les contribuables, soit punie d’une amende pour non respect de la parité, pour l’image néfaste et inégalitaire qu’elle donne
    http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/les-quarante-aujourdhui.
    En effet, pourquoi punit-on d’une amende les partis politiques qui ne respectent pas la parité et pas cette institution normative qui impose ses vues à tous les francophones et sa représentation du monde du savoir où les femmes sont à peine présentes ?

  61. Catherine JACOB@Escher

    @Escher | 22 avril 2015 à 21:48
    Vous aurez noté, je pense, qu’il s’agit de taille et non pas du volume général. Or, il faut savoir que tant chez les hommes où ce volume atteint des proportions nettement plus importantes, que chez les femmes, la graisse abdominale est de la graisse pernicieuse à la santé, tandis que la graisse des cuisses et des jambes que les hommes ont en général assez maigres même quand ils portent une bedaine confortable, est de la bonne graisse.
    Il ne s’agit donc pas d’une question d’anorexie mentale.

  62. La déduction logique de mon raisonnement mais que je n’avais pas formulée c’était de faire payer les frais occasionnés par une image contestée et contestable du point de vue de la santé et de l’image inégalitaire donnée des filles et des garçons par le produit des amendes perçues pour non respect de la parité.

  63. Nadine Kirchgessner

    Bonjour, votre titre d’article est provocateur, mais vous ne le pensez pas ? Vous pourriez lire mon livre « Des femmes surdouées » (2014, Les Editions du net) dans lequel il y est question d’anorexie. Quand on bloque l’esprit, le corps s’exprime. Le sexisme existe dans beaucoup de domaines. Dans son livre « L’origine des génies » Claude Thélot a abouti à une liste de 350 génies, dont 8 femmes…Cela m’a donné l’idée de mon livre, entre autres. Les femmes sont présentes dans le monde du savoir, mais encore faut-il qu’on les laisse le faire « savoir » ! Quant au monde politique…

  64. @sylvain
    « Burqa bleu ciel « … je trouvais que cela lui allait plutôt bien, et certainement mûrement réfléchi, mais je fais confiance au goût de Sylvain sans doute plus couturier que moi.
    Il devance, c’est sûr, une chasse à venir, dans tous les cas, sur sa tenue vestimentaire.
    Pendant ce temps on parle moins des parachutes dorés de nos élus, des dépenses somptuaires des communes et communautés de communes, qui affichent elles des hausses inimaginables dans le contexte actuel.
    Bon, je vais aller revoir les photos, élément futur d’un buzz sur internet. Pourtant le bleu me semblait outre-mer, celui avec lequel le prof de dessin nous apprenait à peindre à la gouache il y a bien longtemps.

  65. Alex paulista

    @ George | 23 avril 2015 à 07:31
    Les photos que vous postez ne montrent que des filles masculines en marcel. Et non, certaines tenues sportives sont très féminines.
    On ne peut tristement plus lui demander son avis, mais je crois que la première pilote de chasse, que je connaissais un peu, n’aurait pas du tout partagé votre point de vue. Caroline, qui aurait aujourd’hui la quarantaine, gardait toujours sa délicatesse et sa féminité, même quand elle nous épatait sur le plan sportif.
    Et son dernier combat a été celui d’une femme : elle est partie mais a sauvé son bébé.
    Bref, votre vision est polarisée par le militantisme.

  66. « Des femmes surdouées » (2014, Les Editions du net) par Nadine Kirchgessner | 23 avril 2015 à 11:50.
    Qui les « empêche » ? La « société », les « masculinistes » misogynes, elles-mêmes ? Et merci de ne pas répondre : achetez mon livre. SVP merci. C’est quand vous voulez.

  67. @Achille
    Curieusement, mes filles, si elles n’étaient pas excitées en « blablatage » dans leur jeune âge, adorent faire parler les gens…
    C’est du côté de ma sœur que sont les garçons, c’est pas qu’on s’entend pas à table, mais son petit dernier aujourd’hui largement majeur parle si rapidement dans la façon parisienne que je n’arrive pas comprendre les mots qu’il maîtrise…!
    A table, même pas le temps de le faire répéter… les filles rient !
    Je pense que les grand-parents devaient être des bavards en leur genre, mais je ne m’en suis pas rendu compte alors… Faut voir comment s’assemble le bla-bla au temps du texto.
    Pour en venir à Francis Cabrel, lui au moins, on comprend tout ce qu’il dit, on a l’impression que cela lui a pris du temps pour exprimer et on sait que les médias l’ont descendu après l’avoir promu.
    Il est un peu décalé. Cela séduirait-il notre hôte ?
    De mon côté, je n’aime pas le rock, alors je n’aime pas le flanc exposé au rock dans l’air musical de Francis Cabrel… Je n’y comprends rien, je cherche à traduire de l’anglais ses paroles tandis que cela ne marche pas !
    Je comprends mieux Schubert même si je ne comprends pas les paroles des chansons de ce compositeur avant la curiosité qui m’engage à les savoir.
    Le « J’aime-J’aime pas », un vrai poème !
    @Catherine Jacob !
    Objet : culotte de cheval.
    C’est très vrai.
    D’ailleurs, devant ma glace chaque matin, bien que j’admire mon manque de ventre et immédiatement me demande si mon beau-père n’avait pas raison quand il m’expliquait que le sien représentait de l’or (il avait atteint 120kg ne paraissant pas bedonnant…), chaque matin donc je regrette mon manque de largeur de cuisse.
    Je me dis, si j’avais plus de poids plus bas, alors mon centre de gravité pourrait avantageusement descendre plus bas, alors je pourrais mieux courir sur les échafaudages et gagner plus d’argent !
    En plus, j’aurais pu être meilleur footballeur…
    De surcroît selon vos dires, cela aurait été bon pour ma santé et même aurait pu parfaire ma séduction…
    Alors cela va mieux en le disant, et je vous remercie, quand dans le genre je ne distingue grâce à vous plus très bien l’envie !

  68. J’apprécie en général vos propos, intéressants, ouvrant des perspectives et suis donc votre blog régulièrement, même si je ne partage pas vos convictions. Je suis cependant gênée de lire que voilà de l’argent gâché. Les enfants intériorisent les représentations de la société où ils vivent. Les fillettes n’ont pas à être renvoyées à cette image de la femme dès leur naissance. Dans 25 ans, j’espère voir un pays, un monde où on jugera un humain sur ses capacités et non pas sur son genre (voyez les commentaires à propos de Mme Hillary Clinton). Juger nécessaire de dépenser cet argent pour lutter contre les stéréotypes est, à mon avis, un bon début.

  69. « …on aurait envie d’être sexiste »…
    Vous inquiétez pas, à voir la liste des personnes que vous interviewez et l’absence quasi totale de femmes, il semble que vous le soyez déjà. Réjouissez-vous !

  70. Alex paulista

    @ George | 24 avril 2015 à 06:57
    Je ne milite pas parce que je ne suis pas très préoccupé…
    Vous aurez beau déguiser toutes les petites filles du monde en short et marcel ou jean/T-shirt, vous ne ferez jamais que Kate Bush ou Adele chante comme Arno ou feu Lou Reed.
    Les sexes sont différents de fait.
    Et c’est très bien.

  71. Catherine JACOB

    « On s’enfonce et le ridicule ne tue plus : il massacre. »
    Ah là là ! Sur 28′ ce n’est pas le ridicule qui massacre mais Anne-Sophie Moutet qui pour ce billet vous met en ce moment même 40 000 points en moins et l’historien de service qui se réjouit de vous savoir à la retraite. Comme si cela ne suffisait pas, ils se font recadrer par une présentatrice en jaune canari qui leur demande de « ne pas tirer sur l’ambulance » (sic).
    Il convient de déplorer à nouveau le manque de hauteur de vue de ces socialistes de mes deux qui tartinent une fois de plus la doxa commune à la louche sans avoir rien compris au véritable sens de ce billet.
    Mais bon, vu le salaire des animateurs, qui peut espérer qu’ils s’émeuvent de 33 000€ ou même, selon BFMVTV, 60 000€, qui eussent pu être plus utilement employés.

  72. @Alex paulista
    « Les sexes sont différents de fait. Et c’est très bien »
    Bof, peut-être pas si bien que ça ! Je vous laisse le dernier mot mais pour comprendre pourquoi physiquement hommes et femmes sont différents je vous recommande le documentaire d’Arte ci-dessous, et si vous manquez de temps allez aux dix dernières minutes et vous serez surpris d’apprendre pourquoi les femmes sont plus petites que les hommes (actuellement) !
    Quant aux critères de beauté beaucoup de femmes préfèrent les hommes féminins, le saviez-vous ? Croyez-moi, la norme imposée par les visuels pub, bien que dominante, n’est pas la seule intéressante !

  73. hameau dans les nuages

    « Quant aux critères de beauté beaucoup de femmes préfèrent les hommes féminins, le saviez-vous ? »
    Rédigé par : George | 25 avril 2015 à 07:10
    En disant cela vous ne défendez pas la cause de la femme… bien au contraire.
    Si on le sait ? Bien sûr qu’on le sait. On le sait depuis longtemps que la majorité des modélistes sont efféminés. Que la gent féminine pour parler chiffons aime bien avoir son alter ego masculin. Mais quand il s’agit de rentrer dans le dur, si j’ose dire, la musique change. Dès que le désir de maternité se fait sentir, s’il se fait sentir, le beau ténébreux prend la place de la folle en ballerines. Ou alors on assiste à l’inversion des valeurs, c’est-à-dire au mâle dominé.
    J’ai eu l’occasion ici de décrire le phénomène que j’ai pu constater dans les mêmes chemins creux que je fréquente depuis très longtemps. L’attelage de boeufs était conduit par l’homme alors que la femme était juchée sur le char de foin. En peu de temps et d’outils, j’ai pu voir l’homme conduire la poussette, la fausse pierre précieuse en piercing pendant que madame joggeuse trottinait à côté, l’oreillette dans le conduit auditif pour toujours être dans le relationnel professionnel Tupperware et l’actualité des vide-greniers.
    Avec mon épouse (1,51 m,elle tient au 00,1) nous avons pris une démarche différente. Bien que restant féminine, elle s’est prise de passion pour les murs de pierres sèches, moi lui obéissant pour placer les plus grosses à l’endroit qu’elle désire.
    Je vous rassure, elle mange aussi de la viande. Et si elle doit sucer les os des coustous, je participe au festin.
    Ouba ! ouba !…

  74. Contribution dans le sens du Réel et de Alex paulista | 24 avril 2015 à 19:07.
    L’étymologie du terme est partagée avec ‘section’ : il y a au cœur de cette problématique une séparation irréfragable. Le sexe est une donnée du Réel qui organise le partage en deux genres, pas un de plus, pas un de moins : le genre féminin et le genre masculin. Par glissement terminologique, habitude a été prise de parler de deux sexes mais il faut toujours garder à l’esprit les vraies catégories.
    Maintenant la réalité humaine spécifique accorde une importance cruciale à l’activité du cerveau humain : sa puissance à manier des Symboles, sa puissance à créer de l’Imaginaire. Dès lors, et c’est banal et de longue date, il y a eu des sujets passionnés à subvertir le Sexe par activité d’imagination, pour ainsi dire de fantasmes. Le travestisme connu de tous temps sous tous cieux en témoigne. Une telle passion peut frapper certaines jeunes consciences d’enfants qui vont faire une fixation sur le défi de contredire le Réel en s’affichant « sur l’autre rive ». Cela flirte évidemment avec la psychopathologie de l’identité dans le domaine de la pédiatrie. Quand il s’agit d’adultes, le « trans-sexualisme » est connu pour être une affection au pronostic potentiellement grave voire létal, c’est d’ailleurs pourquoi l’OMS a recommandé aux législateurs de « stabiliser » ces sujets atteints par des « lois-médicaments » servant à éviter des suicides… même la République islamique d’Iran permet à ce type de malades cette mise en scène thérapeutique à l’état civil que constitue le passage juridique d’un genre à son contraire !
    Autrement dit les Etats ont été déjà bienveillants jusqu’à se mettre en danger vis-à-vis de sujets coincés dans une problématique marginale.
    Mais les militants de type LGBTPQ ont une caractéristique : leur propension à l’acharnement obsessionnel, à la quérulence interminable.
    Le débat philosophique a donc très peu de chances d’être digne et de qualité avec ces sujets. Il faut éprouver de la compassion pour leurs souffrances : les pauvres sont coincés dans un réflexe de recherche de preuves au fond impossibles à trouver.
    D’autant plus que le Réel récemment mis en Lumière, avec l’ADN cette clé au cœur de ce qu’est la vie, leur envoie des échos d’une extrême (mais juste) sévérité envers leurs constructions fantasmagoriques.
    Alors oui les deux genres du sexe sont indéniablement dans une différence fondatrice et féconde à condition de se situer dans le Réel.
    Sous l’empire de l’Imaginaire, certains sujets toujours marginaux veulent consacrer leur vie à pratiquer une sorte de négationnisme antisexuel, qu’ils essaient de farder comme une gloire culturelle ou libertaire. Mais si on se réfère au Réel, à ses modernités, à l’ADN message de Progrès, alors on peut plutôt analyser ces militants comme des défenseurs d’un nouvel obscurantisme. Evidemment cette conclusion n’est pas thérapeutique car elle ne peut qu’aggraver leurs hurlements revendicateurs…

  75. calamity jane

    Quand la nature dégomme la théorie du genre par la générosité de la culotte de cheval, privilège féminin.
    Et pour une couche supplémentaire précisons que la gent féminine a le privilège d’avoir une taille (parfois de guêpe) qui adoucit ses formes en la distinguant.
    Après, ceux qui estiment que les seins concourent avec les fesses…!
    Disharmonie quand tu voudrais t’imposer ! Avons-nous fait le tour du sujet ?

  76. Catherine JACOB

    C’est nouveau mais depuis ce matin, mon pack sécurité me signale le site de PB comme site dangereux mais note l’adresse comme http://pixel.quan… et renouvelle l’alerte à l’ouverture de chaque article. Idem pour un site de dictionnaire en ligne de sinogrammes dont j’use également depuis longtemps sans encombre. Un hacker peut-être ?

  77. « Avons-nous fait le tour du sujet ? »…
    Rédigé par : calamity jane | 25 avril 2015 à 14:24.
    Non, pour faire le tour d’une « culotte de cheval », comme vous dites, il faut un peu plus de temps.

  78. Catherine Jacob !
    Bah, 28′ de socialisme c’est quand même pas la mer à boire…
    Vous dites très juste, cette affaire de recadrage !
    Il s’agissait peut-être plus de réduire le cadre que de le déplacer pour l’animatrice chaque jour plus bariolée…
    Mais on se confond en adjectifs… jaune, cadre, surpayée, bariolée, attentive, socialiste, journaliste – quelle horreur !
    Mais notre hôte n’a pas autant été remisé sur 28′ que la friture sur les ondes requièrent de la farine.
    On y a surtout vu l’image, que j’ai pu bien voir mieux enfarinée que notre hôte l’a décrite ici.
    L’attaque contre M. Bilger m’a parue bien faible, présentée comme à rebours et loin du sens du sujet… et pour cette raison les comptes avec l’argent, surtout pour une somme apparemment tellement ridicule, se sont engloutis en sorte de caution.
    Le problème et que 33 000 c’est très faible caution, alors depuis cette faiblesse on peut y aller sans vergogne… comme si le territoire des 33 000 ouvrait droit à toutes les qualités.
    Vous avez raison, notre hôte était bien mieux pertinent avec les 33 000 au sujet, même si l’image du carnet de santé méritait quelque stupéfaction… en tout cas sans penser au 33 000.
    Je me suis immédiatement imaginé une fille ravie de sa toise, un garçon perplexe devant son tour de ventre… et l’affaire réglée depuis un département voisin malicieux !
    l’affaire serait-elle ainsi réglée…?, nul ne le sait !

  79. @calamity ah !
    La nature est trop dure
    La nature est trop molle !
    …mais comment pourrai-je
    faire un don de
    33 000 à la nature ?

  80. Affaires en cours, à joindre au présent dossier :
    http://actu.orange.fr/france/une-collegienne-privee-de-cours-pour-une-jupe-jugee-non-laique-afp_CNT0000009xanI.html
    Par ailleurs gros battage sur le cas de l’athlète-star US qui fait la promo du prétendu transsexualisme : des indices convergent au soutien de l’hypothèse qu’il existe un projet mercantiliste associé aux biotechnologies, qualifiable de « procréatique pour tous (toutes) ».
    Ceci pour compléter notre contribution Cirsedal | 25 avril 2015 à 12:26.

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