Nulle marque d’irrespect dans mon titre mais une alternative que ces derniers jours présentent à l’esprit des citoyens. On me pardonnera d’écrire encore un billet sur ce thème mais il me semble que la situation est suffisamment incertaine dans le présent et angoissante pour le futur, pour justifier cette insistance de ma part.
Depuis cette décision de dissoudre, on a l’impression qu’un délitement s’opère à tous les niveaux, comme si la perte de confiance en la lucidité et en la maîtrise d’Emmanuel Macron avait ouvert des vannes, libéré des audaces, extériorisé des ambitions et surtout autorisé une parole dénuée de toute inconditionnalité.
Même si dans l’Histoire de la Ve République, je concède volontiers qu’il y a eu des présidents victimes d’une désaffection et dont l’image n’était pas souhaitée sur les affiches lors des élections, même si l’hostilité politique de leurs soutiens et de leurs partisans, selon la conjoncture, avait pu survenir, il me semble toutefois que rien n’est comparable au climat actuel. Les candidats de Renaissance, entre méfiance et révolte, ne veulent surtout pas que le président parle, ils ont peur de ses possibles embardées. Le signe le plus éclatant de cette atmosphère lourde et suspicieuse est le fait qu’on ne tolère plus de sa part les charges même les plus pertinentes contre le Nouveau Front Populaire, LFI et Jean-Luc Mélenchon, comme récemment à l’île de Sein. L’aspiration générale est qu’il s’efface.
On se retrouve comme au temps des Gilets Jaunes où l’exaspération politique s’était dégradée en haine à l’encontre du couple Macron appréhendé telle une résurgence de la royauté honnie. Un indice tristement révélateur de ce retour a été le fait que Brigitte Macron, se rendant à l’enterrement de Françoise Hardy, a été huée contre toute décence (La Dépêche).
Depuis le saisissement de la dissolution, le Premier ministre Gabriel Attal ne se cache plus pour assumer des responsabilités qui se caractérisent aujourd’hui par le besoin que son camp a de lui et par l’assurance toute neuve avec laquelle il se campe presque comme un recours. Il a conscience que ce qu’un citoyen lui a demandé vulgairement au sujet du président dans le Val-de-Marne est un impératif pour lui : sa parole doit remplacer celle d’Emmanuel Macron.
Le Premier ministre dont la jeunesse faisait peur malgré son talent, s’est mué en un personnage beaucoup plus dense et solide : les épreuves façonnent celui qui sans elles ne se serait pas métamorphosé aussi rapidement. Sa candidature pour 2027 n’est plus une absurdité. Il prend un peu d’avance sur ses rivaux déclarés ou plausibles.
C’est à cause de cela que, de manière étrange avant le premier tour du 30 juin, Édouard Philippe rue dans les brancards et s’en prend au président qu’il accuse d’avoir « tué la majorité présidentielle ». Il affirme qu’entre les extrêmes, il y a un autre choix : l’adhésion à sa propre cause. Il a encore du travail à faire pour nous persuader que sur le plan régalien nous n’aurions pas avec lui un Juppé bis !
Bruno Le Maire se lâche de plus en plus, pourfend le caractère « solitaire » de la dissolution, vitupère les « cloportes », ces conseillers irresponsables du président, et, sur ce plan, il est approuvé par Édouard Philippe. C’est bien plus qu’anecdotique : une manière de présider est mise en cause à mots couverts ou transparents.
Le mélange d’un mandat profondément bousculé, d’un président à la personnalité décriée, en tout cas questionnée, d’un entourage sans allure, d’une Assemblée nationale peut-être ingouvernable, d’un État dans l’angoisse de ce qui l’attend, de sondages qui, tous, placent la majorité présidentielle derrière le NFP et surtout le RN associé à Éric Ciotti, crée un crépuscule républicain, une démocratie délétère, morose, un paysage présidentiel informe et inédit.
Espérance paradoxale : les procurations explosent. On aura une forte participation.
Face à ce désastre annoncé, Emmanuel Macron nous affirme pourtant que « la majorité absolue est à portée de main ». S’il a raison, après de longs flottements il redevient un génie de la politique. S’il cherche à se donner du courage en sachant qu’il se ment et nous égare, il est insensé.
Il conviendra que 2027 nous permette d’élire un président enfin normal, mais pas comme au sens où l’entendait François Hollande. Avec en même temps de la simplicité, de l’allure… Et de la vérité…
Ceux qui ont des comptes à régler avec Emmanuel Macron pourraient attendre que les élections soient passées. Le plus sûr moyen de perdre des élections, c’est de se déchirer entre soi au lieu de combattre l’adversaire.
Il y aurait pourtant tant à dire sur les différentes nuances de l’antisémitisme selon LFI : structurel, contextuel, résiduel… d’un côté, de l’autre côté sur les renoncements provisoires ou définitifs du RN qui prend soudain conscience de l’absurdité de son programme économique.
Il faudrait que le « bloc du centre » ait le sens des priorités. L’urgence ce n’est pas de taper sur Macron, c’est de combattre les extrêmes, ne serait-ce que pour limiter les dégâts.
S’il faut choisir entre génial et insensé, alors l’expression pyromane pompier complète les deux assertions.
« [Attal] a conscience que ce qu’un citoyen lui a demandé vulgairement au sujet du président dans le Val-de-Marne est un impératif pour lui : sa parole doit remplacer celle d’Emmanuel Macron. » (PB)
Jusqu’à maintenant, c’était le grand frère qui protégeait le petit frère. En Macronie, c’est celui-ci qui protège celui-là… Bien que je ne sois pas bien sûr que le petit frère Gabriel, par ses silences, ne soit pas en train de jeter des peaux de banane sur le parcours scabreux qu’a voulu prendre son grand frère Emmanuel sans même le prévenir…
« Brigitte Macron, se rendant à l’enterrement de Françoise Hardy, a été huée contre toute décence » (PB)
Il n’est pas décent de huer une vieille dame quelles que soient les circonstances… Bien qu’il y en ait qui minimisent la faute. Par exemple, lorsque la dame représente officieusement son mari et président honni et que, pour ce faire, elle se glisse parmi les amis de la défunte comme si elle était des leurs… Brigitte n’est pas Carla.
J’ai reçu aujourd’hui la profession de foi de mon ex-député Renaissance. J’en suis encore tout ébaubi… Elle m’a transporté à la veille de mon premier vote, les législatives de 1967. La même photo grotesque du candidat en compagnie du « patron » censé connaître ses vertus. Le même texte insipide, mélange d’autosatisfaction, de fausse humilité et de vagues promesses. Les mêmes tartufferies accompagnées de serments de fidélité que Madame Michu ne croyait déjà plus. Bref, mon ex-député qui, il est vrai, n’a pas inventé la poudre, a une vision très particulière de la « start-up nation »…
Est-il une exception ? Je me suis laissé dire que ses collègues, eux aussi brutalement privés de leur fauteuil, emploient, sans grand espoir de le retrouver, ce même piège à électeurs de l’autre siècle, dans lequel ne tomberont que les nigauds. La Macronie, décidément, a perdu sa boussole. Mais en possédait-elle une ?
Je suis mauvaise langue… Le « Jean-Philippe » n’est pas à ce point arriéré… J’ai reçu son ardente missive parmi la cinquantaine de courriels de la journée. Ah, que la modernité est agréable ! Un clic… C’est encore plus rapide que l’ancien « classement vertical »…
@ Marc Ghinsberg | 22 juin 2024 à 00:28
Il faudrait que le « bloc du centre » ait le sens des priorités. L’urgence ce n’est pas de taper sur Macron, c’est de combattre les extrêmes
Présentez-vous, je voterai pour vous au nom du bon vieux sens !
« Espérance paradoxale : les procurations explosent. On aura une forte participation. (PB)
Il est vrai que les élections ayant lieu en pleine période de départ en vacances, nombre d’électeurs sensibilisés par la campagne électorale particulièrement chaude, qui frise même l’hystérie – notamment après le viol de la fillette de 12 ans par des jeunes de son âge pour des motifs clairement antisémites – ne sont pas tentés par l’abstention et se tournent vers le vote par procuration.
On compte plus d’un million de procurations, soit six fois plus qu’aux élections législatives de 2022.
Déjà des militants de certains partis particulièrement motivés, font du porte-à-porte auprès des personnes âgées ou malades qui ne peuvent pas se déplacer, afin de les inciter à leur donner procuration, avec un risque évident de détournement des intentions de vote que les sondages sont bien incapables de diagnostiquer.
Même les plateformes de procuration en ligne sont suspectes.
Il ne faudrait pas que les élections législatives à venir ressemblent à celles d’une élection locale du Botswana, ce qui ne ferait qu’envenimer encore un peu plus l’ambiance délétère qui règne dans le pays.
« Le Premier ministre dont la jeunesse faisait peur malgré son talent, s’est mué en un personnage beaucoup plus dense et solide (…) Sa candidature pour 2027 n’est plus une absurdité. Il prend un peu d’avance sur ses rivaux déclarés ou plausibles » (PB)
Ah, mais c’est qu’il a fait bien plus que prendre un peu d’avance sur ses rivaux, il s’est hissé au niveau de celui qui sera son rival, ici et maintenant, le Président lui-même.
On n’a pas attaché assez d’importance me semble-t-il à la déclaration de Gabriel Attal, qui en s’émancipant du Président, le défie implicitement.
Voici ce qu’il a dit jeudi lors de sa conférence de presse:
« Le 9 janvier, le président de la République m’a nommé. Le 30 juin, j’aimerais que les Français me choisissent »
Et il a ajouté :
« C’est la première fois depuis plus de vingt-cinq ans que les Français vont choisir un Premier ministre. »
Par cette déclaration GA revendique, en cas de victoire, une légitimité égale à celle du Président, puisqu’il sera choisi lui aussi directement par le peuple.
En faisant cette déclaration peut-être opportuniste mais bien opportune, l’ordre hiérarchique est modifié au sommet de l’État.
La Constitution dit que le gouvernement gouverne, mais force est de constater que les domaines dits réservés au Président se sont élargis.
Progressivement le Président en est venu à gouverner en lieu et place du Premier ministre devenu simple exécutant.
Ce glissement de pouvoir est le résultat de la légitimité, abusivement revendiquée, de l’élection au suffrage universel direct du Président.
Mais si les Français choisissent directement un Premier ministre selon la présentation des élections faite par GA, alors il y a aura une double légitimité au sommet de l’État.
Dans ce cas, plus de domaine réservé, plus de soumission du Premier ministre aux consignes venant du Président.
GA par sa déclaration, institutionnellement révolutionnaire, voulait-il vraiment porter un coup décisif au Président et aussi, disons-le, aux institutions, faisant disparaître le primat de légitimité du Président ?
On lui laissera le bénéfice du doute, peut-être a-t-il été entraîné par la folie de cette dissolution et de la campagne qui suit.
Il n’empêche que l‘ambiance générale de toute la campagne porte de façon exagérée sur des personnalités, Bardella, E. Philippe et même Mélenchon, avec la même vision électoraliste que celle de Gabriel Attal : le vainqueur s’il y en a un sera l’élu du peuple.
Insensiblement l’esprit et la lettre de la Constitution sont en train de glisser sur la pente dangereuse d’une diarchie du pouvoir.
Macron n’est peut-être pas directement responsable de cette évolution, mais il y aura fortement contribué.
Il aura finalement tout détruit, les partis et les institutions.
Nous verrons bientôt ce qu’il en est de son influence dans l’UE, avec la très prochaine nomination des principaux commissaires de celle-ci.
La France aura-t-elle un représentant ?
Si oui, elle aura gardé un minimum d’influence.
Sinon Macron aura fini le job de démolisseur en réduisant notre influence dans l’UE.
@ Marc Ghinsberg | 22 juin 2024 à 00:28
« L’urgence ce n’est pas de taper sur Macron, c’est de combattre les extrêmes, ne serait-ce que pour limiter les dégâts. »
Ah bon ? Vous parlez de quels extrêmes ? Si ce sont LFI ou RN, ils ne sont ni responsables ni coupables de cette anarchie islamiste criminelle qui règne dans le pays.
Par contre l’extrême Macron a provoqué d’extrêmes dégâts dans le pays, c’est vu, lu et approuvé par la terre entière.
Arrêtez de vous tromper d’extrêmes, jamais la France n’aura connu cette extrême destruction, éradication épuration ethnique de l’extrême grand remplacement organisé par l’extrême cinglé qui squatte ce pouvoir criminel en toute impunité.
Emmanuel Macron s’est trop montré.
Hommages à répétition quand les Français voulaient de l’autorité et des solutions aux problèmes du quotidien.
Macron se serait encore montré bavard sur Françoise Hardy, tout devait être déjà préparé comme sur tant d’autres. Ne se lassant jamais de s’écouter parler, il parle.
Mais lorsqu’il a été question de participer à la marche contre l’antisémitisme, il était aux abonnés absents.
Les Français quant à eux veulent que l’État diminue les déficits, mais ils veulent des dépenses. C’est devenu incompatible.
Bruno Le Maire est je pense le pire de tous. Quelle a été sa valeur ajoutée, que ce soit chez Villepin ou par la suite ? C’est un personnage lisse, un exécutant prêt à trahir à la première occasion, tout en se donnant la posture de l’homme responsable. Bref une brêle.
Darmanin lui avait toutes les solutions, quand il n’était pas ministre. Les Français en ont marre de l’islamisation du pays au nom d’une laïcité qui n’est respectée que par eux et qui donc a conduit à une invasion de voilées et de résidents qui font la loi et détruisent notre société.
Les Français veulent-ils vraiment qu’il y ait des chantiers d’amélioration ? oui et non et surtout quel est l’objectif perçu.
Un exemple frappant à l’image de ce septennat : les accidents de la circulation.
En soi, la limitation de la vitesse à 80 km/h sur tout le territoire pour les routes départementales pour diminuer la sinistralité était une bonne idée.
Sauf que la compréhension fut que rouler moins vite permettrait de compenser la hausse du carburant et donc que le coût du kilomètre ne changerait pas. Autrement dit ce n’était pas perçu comme de la sécurité mais à nouveau comme du racket, auquel se rajoute la mise en place de nouveaux radars.
Ce septennat c’est cela. Quelques bonnes idées, des réformes, peu de majorité. Mais une incapacité à se faire comprendre, tellement il y a eu un président qui parlait à tort et à travers, ne valorisait pas la France à l’étranger.
Bref, Macron c’est Hollande et Sarkozy dans une seule enveloppe, avec donc une maximisation des chances de se faire haïr. Sur ce point c’est réussi.
Que les soutiens de Macron le lâchent, mais c’est le jeu…
Bardella, qu’il commence par nous débarrasser de l’islamisme, la confiance suivra.
J’attends impatiemment que les CRS tabassent les manifestants de gauche et leur apprennent que la France, on doit la respecter.
En dingues au pouvoir, le pays a eu sa dose.
Alors, en paraphrasant le pape qui faute de sauver le christianisme tend à sauver l’humanité : lorsqu’on est homosexuel et qu’on veut devenir Premier ministre, on va voir un psychologue.
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@ Claude Luçon
@ Marc Ghinsberg
À l’occasion, vous nous direz en quoi le RN serait totalitaire, fasciste, etc. pour justifier une appellation « extrême droite ».
Le RN, c’est en fait de la droite molle un peu populiste sur les bords, dont un démocrate ne saurait donc se plaindre.
Vos appellations d’extrême droite ne reposent sur strictement rien, si ce n’est d’hypocrisie du genre « on sait qui était à l’origine du FN » alors que JMLP était un fils de marin-pêcheur mort en mer, qui a rejoint le maquis à 16 ans malgré le refus des FFI de l’incorporer vu son âge.
L’extrême droite, ce serait un Franco ayant eu comme lui pour but de restaurer la monarchie.
C’est ce qu’il nous faudrait, et nous sommes loin du compte.
Malheur au pays dont le Prince est un enfant. Souvenez-vous de l’affaire Alexandre Benalla, ce n’est pas une vue de l’esprit, et cette vente aux Américains de nos turbines vapeur Arabelle et la Nouvelle-Calédonie, et notre dette de 3 200 milliards, etc. Quant à l’insécurité qui règne en France, il est temps de faire le ménage, comme cette jeune fille de 12 ans violée à Courbevoie par trois adolescents et ce n’est ni la faute du RN ni du réchauffement climatique.
@ sylvain | 22 juin 2024 à 08:28
Vouloir tuer le messager est un grand classique. Je discute parfois avec des fils de bourgeois de campagne votant Poutou. Si, je vous assure ça existe, et comme tout se sait dans la province, on peut facilement connaître le capital de ces gens votant extrême gauche. C’est comique.
Pour eux c’est la faute à « Bolloré ». J’ai beau leur dire que certes Bolloré s’en fait des choux gras, il n’empêche que le gars vivant dans son HLM voyant sa boîte aux lettres saccagée, devant passer devant des gamins « choufs » qui tiennent les murs de l’immeuble pendant que lui va bosser ses 39 heures, n’a pas besoin de Bolloré pour le constater.
Pareil pour mon voisin agri voyant son hangar cambriolé à maintes reprises, obligé de laisser ses tracteurs avec le réservoir presque vide. Plus d’éclairage public par économie mais des subventions accordées à des associations faisant du « théâtre », ce qui devrait relever de la distraction et du passe-temps.
Ils me citaient Gilles Deleuze dans le texte avec cette maxime :
https://scontent-mrs2-2.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/417503335_492415863336692_4455934614289062883_n.jpg?_nc_cat=110&ccb=1-7&_nc_sid=5f2048&_nc_ohc=Asl8pAwcP6kQ7kNvgFQnazc&_nc_ht=scontent-mrs2-2.xx&oh=00_AYAjcJ-cgZ6R1S-zk1cni3uHZDUFE9iLYGw8YQhg6uhd7w&oe=667C67A0
Je leur ai répondu que ce brave philosophe avait partagé sa vie entière entre le 17e arrondissement et les plages de Deauville.
Ils parlent au nom du peuple mais l’exècrent.
@ Achille | 22 juin 2024 à 05:47
« On compte plus d’un million de procurations, soit six fois plus qu’aux élections législatives de 2022. »
Médias et politiques s’enflamment à la vue de ce million de procurations. C’est oublier un peu vite que la France compte vingt millions de juilletistes, qui, pour la plupart, programment leurs vacances dès le printemps. Donc, pour l’instant, il en reste encore quelques millions, dix-neuf peut-être, qui iront se mettre les doigts de pied en éventail sans passer par les urnes…
Quant au porte-à-porte pour soutirer des procurations, il n’y a là rien de nouveau… Non pas certains, mais tous les partis pratiquent ce sport.
Restons calmes et buvons frais… C’est l’été.
« Espérance paradoxale : les procurations explosent. On aura une forte participation. » (PB)
Le Club Med au secours de la République ?
Rappel salutaire pour tous ceux de gauche anesthésiés par la propagande macronienne islamo facho gauchiste propalestinienne woke progressiste racialiste raciste :
Macron a créé un chaos sans précédent dans notre pays.
Deux extrêmes, deux voies différentes :
Les LFI-Hamas qui collaborent et participent à aggraver toujours plus ce désordre, cette anarchie, ce « toujours plus de chaos » qui les animent et a fait leur programme de destruction de la France, en alliance de toutes les gauches avec la macronie.
le RN, seul parti patriote, qui s’oppose à ce chaos organisé avec comme programme celui de remettre de l’ordre républicain dans toutes les institutions gangrénées par la macronie islamogauchiste, nouveau nazislamisme ; en réintroduisant la morale, le civisme, le respect, l’autorité dès le plus jeune âge dans les écoles.
RN vainqueur ? Facile de connaître les réactions de tous ses ennemis : grandes émeutes dans tout le pays, un chaos extrême qu’ils imputeront au RN, ben voyons, casses, manifs, incendies, destructions, facs et universités bloquées, menaces chantages inquisition médiatiques de presse soumise collabo couchée aux ordres de la gauche.
Toutes les racailleries de banlieues. les « forces de gauche » , les intellos bobos parigots qui, très démocratiquement, refuseront ce vote, le jugeant illégal, les associations «humanistes » propalestiniennes, étendard du Hamas en bandoulière, et toujours nos indécrottables profs hyper gauchisés qui sonneront la charge dans les rues en envoyant leurs troupeaux de crétins débiles étudiants aux QI de bulot. La routine gauchiste.
Le chaos règnera et sera imputé au RN, ben voyons ! La gauche a toujours eu le beau rôle.
LFI-Hamas vainqueur ? Facile aussi de prévoir la suite : le RN qui est civique, moral, républicain, respectueux des institutions, rentrera dans son bercail, retournera s’asseoir gentiment comme une chorale d’enfants de choeur sage comme une image dans les rangs de l’AN pendant que dehors les hurlements, les sauvageries sanguinaires, les casses destruction incendies pour « fêter la victoire » reprendront de plus belle aux ordres des LFI islamogauchistes propalestiniens.
Mais on aura évité le pire, la prise du pouvoir des fachos nazis des heures sombres promises par le RN extrême droite.
Ben voyons !
Rassurons l’ami Giuseppe, dans les deux cas il aura échappé à l’infarctus, le chaos sera toujours en cours.
Un ministre, assez mal inspiré, n’a pas craint de qualifier de « cloportes » plusieurs conseillers du chef de l’État.
Ce n’est pas faire preuve d’une remarquable gratitude. Le président Macron lui a donné un beau portefeuille depuis sept ans ! Et auparavant, en 2016, à la primaire de la droite, on ne peut pas dire qu’il ait fait un score triomphal ! Il a obtenu 2,38 % des voix, derrière Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a obtenu 2,46 % des voix.
Au sens figuré le terme péjoratif « cloporte » signifie « individu répugnant, servile » .
En 1967, on s’en souvient, Alphonse Boudard a publié « La métamorphose des cloportes », dont on a tiré un film. Voilà l’emploi le plus connu du grand public, dans les dernières décennies.
Depuis 1958, chaque président s’est entouré de ministres et de… conseillers. On voit mal pourquoi ces derniers devraient être dénigrés de la sorte.
Je ne peux que désapprouver ce ministre ingrat et mal inspiré.
Gabriel Attal est sans conteste le meilleur Premier ministre que les Français peuvent espérer.
Surtout si on le compare aux prétendants du NFP, à savoir : François Ruffin, Clémentine Autain, Boris Vallaud, sans oublier, bien sûr, J-L Mélenchon qui y pense tous les matins en se rasant. Je pense même que Manuel Bombard y songe lui aussi.
Que nous propose le RN, un type de 28 ans qui a arrêté ses études après le bac et qui n’a jamais travaillé, que ce soit dans le public et le privé. Il n’a donc aucune expérience de la vie en entreprise et même de la vraie vie.
Ses discours reposent essentiellement sur des éléments de langage d’un populisme racoleur puisé sur les réseaux sociaux.
Si l’on veut que tout se passe (à peu près) bien après le 7 juillet prochain il faut voter pour le candidat Renaissance quel qu’il soit et ainsi garder notre jeune et talentueux Premier ministre à Matignon, sinon c’est le foutoir assuré !
Gabriel Attal c’est le Stade toulousain, il a été bousculé, malmené, parfois blessé, mais au bout c’est lui qui gagne.
Vous voyez le pays gouverné par Jordy Oignonpelé, champion des virages à 180° ?
Je persiste et signe, je mets un billet sur le score obtenu par Gabriel alias Antoine Attal, la peur n’est pas dans son camp, et en plus pour finir, les équipiers de luxe comme celui d’hier soir Maxime Lebel, enquiller un essai de toute beauté pour affirmer malgré toutes les souffrances une victoire digne des grands champions.
FN/RN va se décomposer, peu à peu on sent leur score tutoyer la barre inférieure, la pente s’inverse inexorablement, Premier ministre Jordy en rêvait et comme ils n’auront pas la gagne malgré un score élevé, je rappelerai les paroles d’un lutteur, Pierre Berbizier, « seule la victoire est belle ». Antoine Attal est en train de réaliser le même match qu’Antoine Dupont hier, solide, une défense de fer malgré les coups et la chasse dont il était le sujet, et à la fin qui a gagné ? celui qui n’a pas tremblé.
Le FN/RN n’a aucune capacité offensive, leur premier messsage fut de dire qu’il leur fallait la majorité absolue… Et pourquoi pas la victoire sans combattre, sans y mettre la tête, apportée en plus sur un plateau d’argent… Ils ont les foies de gouverner.
Antoine Attal est en embuscade, il suffit de revoir sa prestation d’hier pour comprendre la différence entre un lutteur et un type comme l’Oignon qui n’a jamais mis des crampons pour terrains bourbeux.
@ Patrice Charoulet
Le propos de Le Maire est totalement inadmissible. J’espère qu’il sera châtié.
La bonne nouvelle c’est qu’il va disparaître de la vie politique et que c’est fini pour lui pour 2027. D’ailleurs il le sait il promet de réduire le déficit.
Parfois vous racontez n’importe quoi (à mes yeux) mais sur votre sérieux commentaire je salue votre lucidité.
Celle sur la famille Le Pen n’est plus à prouver, surtout avec le mec à l’arrière-petite-fille à Matignon, la fille cheffe du parti, l’autre fille députée de la Sarthe, la petite-fille…
Il y aurait de quoi réduire le déficit.
Fillon lui n’avait que sa femme.
À ce propos Hollande ne veut pas d’argent, seule la résidence du président de l’AN l’intéresse. Fillon serait peut-être preneur.
Mais entre l’islamisation du pays et un jeune débutant, les gens préfèrent quoi ?
Au deuxième tour on élimine.
Position de LFI sur le Hamas.
Le Hamas n’est pas un mouvement terroriste.
Donc ce n’est pas un acte terroriste mais un acte de déclaration de guerre. On ne peut pas qualifier l’acte d’isolé ou d’un petit groupuscule.
Comment à partir de là trouver drôle et disproportionnée la réponse d’Israël qui veut non seulement défendre sa population mais également faire passer l’envie de recommencer ?
J’aurais aimé la même fermeté de la police française et surtout le soutien présidentiel dans le cas des destructions par les gauchistes.
Macron a-t-il compris le message des urnes ?
Devons-nous vraiment compter sur Bardella pour le nettoyage ?
Deux choix s’imposent à Macronéron :
Soit rétropédaler, selon Giuseppe, faire une alliance avec le RN pour restaurer l’ordre dans le pays et combattre le chaos perpétré par Macron lui-même avec la complicité de la gauche.
Soit avec les NFP pro-Hamas pour continuer le chaos et la destruction de la France et faire barrage à JORDY (coucou Giuseppe).
Les vrais Français patriotes civiques qui ont de la morale et du respect pour la République doivent impérativement voter RN pour faire barrage à la haine fasciste macronienne et ses sbires nazislamistes du NFP.
Votez Bardella, ou Jordy le bébé du RN pour son intime Giuseppe.
@ Betar | 22 juin 2024 à 12:43
« La fille de Raquel Garrido et Alexis Corbière a dit, je cite, texto, « je suis antisémite, je m’en bats les couilles, j’assume ».
La pomme ne tombe jamais loin du pommier. J’imagine sans peine les props ultra-antisémites tenus par ses parents au domicile familial, qui ont conduit à ce que leur fille le dise publiquement.
LFI = La France Islamiste »
La messe est dite, voilà pour qui vont voter tous ceux qui veulent faire barrage au RN, fifille digne de ses parents, amie de Giuseppe sûrement.
Au fait, une fille avec des couilles ??? Y a comme un « schilimibilik », pourquoi pas dire woke trans etc. c’est dans l’air du temps, même si cet air sent mauvais.
@ Serge HIREL | 22 juin 2024 à 10:04
« Restons calmes et buvons frais… C’est l’été. »
Chemisette Hawaï et tongs de rigueur pour la rentrée parlementaire.
@ Patrice Charoulet
Aaah ! La métamorphose des cloportes !
Alphonse (Lino Ventura) : « D’un autre côté, faut voir les choses… Dès qu’on aime le confort, c’est fou c’que l’oseille peut filer vite… Le tailleur, le loyer, les brèmes… On est entouré d’voleurs ! Et j’compte pas les dames… Si j’continue à les enjamber au Claridge et à les goinfrer chez Lasserre… »
Une réflexion pleine de sagesse que chacun de nous ici, hôte compris, a dû se faire une paire de fois dans sa vie…
@ Achille | 22 juin 2024 à 10:31
« On s’est compliqué la tâche. On ne va pas essayer d’expliquer. On a gagné un match âpre, le sixième de phase finale contre La Rochelle, mais on a du boulot », a confié le manager des Rouge et Noir, qui attend bien mieux la semaine prochaine… » (Ugo Mola)
C’est évident ! Attal a la classe, on attendait le prodige capable de rivaliser avec Antoine Dupont, avec l’abnégation qu’il a, le Premier ministre est capable de renverser la vapeur. Il a en face des types qui ont la trouille de gouverner, ils voudraient le beurre, l’argent du beurre et surtout ne pas payer l’addition. Pas la peine de toutes ces batouilles de plateaux TV qui sont payées au kilomètre d’interventions, pour analyser une stratégie simple.
La France est un pays de cabochards, mais dans les moments tumultueux elle reconnaît ceux qui ont la « grinta ». Attal ne s’est pas posé la question, pour ou contre, il a mis le maillot, a vissé les bons crampons pour pelouse rapide, et enfile les placages les uns derrière les autres.
Je le sens bien, il a pris l’équipe en main, j’ai relevé qu’il savait mieux que quiconque faire une chistera dans le dos.
Jordy n’a pas le niveau, il lui manque l’essentiel, l’intelligence libre, s’adapter aux circonstances du général Motor, la classe, la vitesse et le courage d’aller dans les rucks même si vous subissez.
Et cela Antoine Attal le pratique avec courage.
FN/RN a les foies, c’est une équipe de « gondulfes » comme on dit chez nous.
Le Berger rouge-brun, rentier à vie de mandats, a disparu des radars, il s’allie avec les pires de tous encore plus bruns et encore plus rouges que lui. Si quelqu’un le trouve il devra lui poser la question de savoir s’il a retrouvé ses moutons.
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@ sylvain | 22 juin 2024 à 13:24
On vous sent inquiet, depuis que Jordy a perdu la boussole, fait machine arrière toute et parle maintenant de « moratoire ». Il est cuit.
Rôti le type qui voudrait vaincre sans combattre, le bateau tangue plus on approche des poteaux, il se fait cartonner de partout, programme inexistant pour parti fantoche. Dans quelques heures il rentrera à la maison, la beuchigue leur échappe des mains, alors qu’Antoine Attal ne fait qu’accentuer la pression, il vient aujourd’hui encore de faire une percée irrésistible, les mouches vont changer d’âne… pour le pur-sang Gabriel Attal, un champion du ballon capricieux ovale qu’il maîtrise sous toutes ses coutures. L’Oignon est confit.
Bruno Le Maire s’y connaît en « cloportisme », c’est un insignifiant, au mieux. Qu’il retourne à ses passions, le donuts au chocolat de ses amies.
Je me répète, c’est normal sur un bloc de retraités cacochymes de radoter, l’obsession des « partis de gouvernement » historiques d’avoir comme seule priorité d’empêcher le RN d’arriver au pouvoir, devrait en toute bonne logique les pousser à se retourner sur eux-mêmes et leur incurie depuis plus de cent ans qu’ils se l’échangent, afin de comprendre ma bonne dame le pourquoi du comment ce parti connaît ce succès.
Attal trouve grâce aux yeux des inquiets. Ils sont incultes ou n’ont aucune mémoire. Il était déjà auprès de la Touraine, l’une des plus sinistres ministres de la Santé, après Véran qui lui, a fait exploser l’incompétençonomètre allié à la cruauté envers les anciens, l’instinct de totalitarisme, tout ça pour voir jusqu’où allait la soumission, la veulerie des Français.
Il a été servi, les vaccinodolâtres ne manquent pas, esclaves de leur peur de mourir les petits chéris, peur compensée par exemple chez les matamores de blog aux accents guerriers, robe de chambre et charentaises enfilées.
Le 30 et le 7 j’ai rosé piscine.
Il s’ingénie à secréter une parfaite insensibilité aux choses de la politique.
S’ennuie depuis le premier jour à l’Elysée, prend les Français pour des gens superficiels, et candides, mécaniques et violents, consommateurs de masse, presque infantiles dans leur revendications.
En Platon de la modernité.
Il ne s’adresse qu’à la CPS (et ses catégories socioprofessionnelles) supérieure, dotée d’une architecture idéologique mentale et d’un câblage intellectuel qui lui siéent, alors que les Français de chaque allée de la vie comprennent très bien les enjeux et les situations, les sujets régaliens comme les affaires courantes, et savent examiner, j’allais dire de façon curieusement innée (mais en réalité, non, ils sont aux prises avec la vie, tout simplement), les compétences de chacun.
Lorsque M. Macron fait allusion à la chienlit qui s’instaurerait — « une sorte d’anarchie proche d’’Orange mécanique’ va s’instituer dans les rapports quotidiens, et gouverner nos affects », annonce-t-il –, si les Français votaient mal à nouveau, il ne s’aperçoit pas qu’ils savent de quoi il parle, ont tout de suite des images en tête.
Comme si, pour lui, ses concitoyens n’allaient pas au ciné, ne lisaient pas ou ne louaient pas de cassettes vidéo dans les années quatre-vingt, n’avaient pas de culture personnelle, même burgessienne en bourgeon.
Il rechigne à se faire violence, décline l’intérêt à s’évaluer.
A l’air de vouloir soigner la France avec la thérapie par aversion.
La sienne.
@ stephane | 22 juin 2024 à 12:27
« Devons-nous vraiment compter sur Bardella pour le nettoyage ? »
Vous savez bien que M. Bardella ne peut aborder les « sujets sensibles » que de façon générale dans le cadre d’une élection dont plusieurs participants, principalement à gauche, se feraient un plaisir de déformer complètement ses propos ou ses intentions les plus raisonnables pour les interpréter à leur façon en surjouant l’indignation.
Le mieux pour lui et éventuellement pour d’autres, est de laisser passer le temps des élections et de commencer à travailler ensuite en fonction du contexte politique.
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@ Marc Ghinsberg | 22 juin 2024 à 00:28
« L’urgence ce n’est pas de taper sur Macron, c’est de combattre les extrêmes, ne serait-ce que pour limiter les dégâts. »
« Combattre les extrêmes »…
Et si nous oubliions cette formule stéréotypée à l’usage des perroquets pour réfléchir un peu ?
En quoi un extrême serait-il nécessairement mauvais ?
Dans la vie courante, n’évoquons-nous pas parfois quelque chose d’extrêmement bon, vrai, beau, intelligent, courageux, performant, judicieux, pertinent, honnête, bien fait etc. ?
Alors dans ce cas, vive l’extrémisme !
Et que ceux qui cherchent absolument à « combattre les extrêmes », du moins ceux motivés par le Mal, se tournent en premier du côté des sectateurs de M. Mélenchon experts en matière de capacités de nuisance, et en second de celui des partisans de M. Macron qui s’appliquent à agir avec délectation à l’encontre des intérêts des Français.
« Génial ou insensé » ? Emmanuel Macron ne me paraît ni l’un ni l’autre.
À en juger par ses résultats universitaires, sans être un génie – très loin de là quand même -, il est dans la tranche au-dessus de la moyenne intellectuelle générale, et en dessous de celle des surdoués.
Je lui verrais deux lacunes sur ce point : manque d’esprit scientifique et manque de créativité. Il suit les méthodes apprises pour essayer de reproduire les Trente Glorieuses dans une conjoncture qui n’a plus rien à voir avec celle de l’époque. Nous, citoyens, participons sans toujours le vouloir à cette expérimentation malheureuse dont il a semble-t-il du mal à tirer des conclusions, lui, la presse et les principaux partis politiques, tous formés depuis la maternelle à cette social-démocratie dont l’une des caractéristiques est l’intolérance aux idées dissidentes ; d’où la difficulté de ses tenants à se remettre en question et leur manque d’adaptabilité face aux circonstances nouvelles.
Je me demande si, dépité, EM ne cherche pas à jeter l’éponge sans trop en avoir l’air, tout en ménageant l’avenir de sa propre carrière. Il n’endossera pas l’échec, il le collectivisera. J’évoque le dépit de sa part en pensant à cette « grenade dégoupillée » qu’il aurait dit « leur » avoir « lancée dans les jambes », pour voir comment « ils » allaient se débrouiller.
Ce n’est pas qu’il soit insensé, sûrement pas, mais la sagesse lui fait défaut.
Macron, depuis 2017, joue au roi sacré, et nous lui donnons (très bien) la réplique.
Vertigineuse régression : oubliée la Constitution de la République, oubliée la monarchie de droit divin, oublié le sens des mots et des institutions, nous nous comportons collectivement comme une tribu primitive, renouant avec des émotions et des comportements venus du fond des âges.
Le destin d’un roi sacré est d’être sacrifié par la tribu unanime.
Le roi le sait, la tribu le sait, mais pas en pleine conscience, dans une sorte de méconnaissance, indispensable à la marche des choses.
Vénéré, tout-puissant, quand la crise survient la foule se retourne contre lui, l’accuse du pire, ne voit plus en lui qu’un coupable, qu’un coupable dont l’élimination est nécessaire au salut du groupe.
Nous en sommes là.
Il y a du suicidaire/sacrificiel dans cette dissolution consistant à appeler le peuple à voter contre son propre vote.
Retrouverons-nous nos esprits ?
Un gouvernement d’union nationale est-il envisageable, pourrait-il échapper au nihilisme, émerger de ces haines entrecroisée ?
« Le président : génial ou insensé ? » (PB)
La vraie question est de savoir si un président, quel qu’il soit, peut se permettre de jouer le destin du pays qu’il dirige sur un coup de poker. Trop d’intérêts majeurs sont en jeu pour que la France soit transformée en tapis vert de casino pour Machiavel de la politique. Ce n’est pas ainsi que l’on peut espérer rendre sa noblesse à la politique.
Au soir du second tour, je ne qualifierai pas EM de « génial ou d’insensé » selon le verdict qu’auront rendu les urnes mais, quel que soit ce résultat, je jugerai avant tout le président comme ayant été aventureux, irresponsable et donc dangereux.
On ne peut porter la responsabilité d’avoir conduit le pays dans la situation inextricable où il se trouve aujourd’hui, au bord du précipice, et se présenter maintenant comme le sauveur, seul capable face à l’adversité de remettre le pays sur pied. C’est ce type de comportement qui a désormais du mal à convaincre les électeurs, qui a fait tant de mal à la politique et qui n’en rend que plus incertain et plus inquiétant le prochain scrutin législatif.
Attal, la photocopie de Macron, un danger pour la France.
On le savait déjà, il est même grand vainqueur pour le dîner de cons de la macronie.
Attal le robot cuiseur de Macron ne doit pas oublier qu’il a sur les mains le sang de milliers de citoyens égorgés décapités poignardés par tous ces criminels que sa justice gauchiste Moretti relâche sans cesse par idéologie gauchiste ; par exemple l’OQTF algérienne tortionnaire de Lola , l’icône des victimes de ce gouvernement diabolique.
Attal a le sang de Lola sur les mains, qu’il rase les murs, qu’il se cache de honte !
Le RN n’ a pas de sang sur les mains, Attal et ses complices en ont des bassines,
Attal accuse le RN de copinage avec Poutine, perso je dis bravo, non seulement ses propos sont ceux d’un fou irresponsable de ses actes mais en même temps quand son gouvernement ordonne aux banques françaises de refuser des prêts bancaires au RN, Attal a bien collaboré à un des pires scandales politiques de cette macronie totalitaire.
Le RN aurait dû porter plainte et aurait gagné son procès, la France d’Attal s’étant conduite comme une ripoublique bananière.
@ Jérôme 22 juin 2024 à 15:50
Rosé et piscine : une façon de s’en laver les mains et même au-delà ….
Pourquoi ne pas évaluer les chevaux proposés indépendamment de l’écurie qui les aligne ?
Après tout, certains candidats [de tous les bords] sont quand même beaucoup mieux que d’autres et sans doute prêts à travailler sur des lois transpartisanes : ce qui pourrait peut-être nous arriver de mieux.
@ ALFRED LELEU
Quelle joie de vous lire ici ! À quand des argoteries nouvelles ?
P.-S. : Célébrité ! Je suis toujours sur Google. Par curiosité, j’écris mon prénom et mon nom sur un autre moteur de recherche, « Yahoo ». Et je lis avec stupéfaction : « Environ 166 000 résultats pour cette recherche ».
Et le peuple français, il est génial ou insensé, s’il vote Poutine ?
Ah oui, non, pardon, ce sera la faute de Macron.
À huit jours de l’arrivée au port, par un vent force 12, les officiers macronistes, fort mécontents de son mépris à leur égard, ont jeté le capitaine par-dessus bord sans prendre garde de lui retirer des mains le gouvernail… Ils lui ont aussi laissé un porte-voix, dont beaucoup, à juste titre, voulaient le priver. Et, pataugeant pour survivre, il s’en donne à cœur joie pour l’utiliser, provoquant encore un peu plus de confusion.
Les voici donc à la dérive, chacun de ses lieutenants insurgés cherchant à sauver sa peau, les uns en accusant le naufragé de « particide », les autres en insultant ses « cloportes », d’autres enfin, peu créatifs, en tentant de fabriquer de nouvelles voiles, taillées dans les amas de chiffons qu’ils ont entassés pendant sept ans dans les cales, alourdissant leur fier destrier des mers au point d’en faire un esquif désarmé. Tous, et notamment le premier d’entre eux, oubliant qu’ils doivent à leur chef dégradé une carrière inespérée avant qu’il ne s’empare par surprise du navire…
Quant aux matelots, résignés à la disparition corps et biens de leur rêve, brisé brutalement par leur idole, de plus en plus rares sont ceux qui combattent, tous, y compris sur ce blog, laissant plus ou moins entrevoir leur désarroi. Restent ici deux ou trois inconditionnels qui persistent à croire que tout est encore possible, se racontant pour s’en persuader l’histoire du type qui saute du dernier étage d’un gratte-ciel… « Jusqu’ici, tout va bien… ».
Avant même le premier tour de scrutin, chacun sait qui va le perdre. Cette situation n’est pas nouvelle, en particulier depuis l’inversion du calendrier électoral, qui, sauf en 2022, a toujours offert une Assemblée à sa main au Président nouvellement élu. Ce qui, en revanche, est tout à fait original, c’est l’épais brouillard qui entoure le résultat du second tour. Les paramètres à prendre en compte sont tellement nombreux, fluctuants et incertains que les ordinateurs des sondeurs ont beau mouliner à toute vitesse, il leur est impossible de fournir un pronostic fiable.
Il est vrai que c’est aussi la première fois que les Français sont appelés aux urnes dans une telle urgence, qui a conduit à des comportements inédits de la part de personnages qui, habituellement, construisent leurs attitudes au trébuchet pour « attirer la clientèle » (©GWG)… Adieu les masques, adieu les précautions de langage. Il fallait faire vite, se rabibocher, au risque de se parjurer, ou, au contraire, laver le linge sale en public…
Il est vrai que c’est aussi la première fois que les Français font face au dilemme que l’on pourrait appeler du « menu manquant ». Je m’explique :
Tout se passe comme si, au matin du premier tour, nous étions tous invités à entrer dans un même restaurant où nous comptions tous nous régaler, chacun choisissant son plat préféré. Mais il n’y a pas de carte le permettant, seulement trois menus, échafaudés à la va-vite… Trois menus très différents certes mais aucun ne vous satisfait. L’un est trop salé, l’autre mal cuisiné, le troisième trop gras… Aucune trace du mets attendu, lui bien plus équilibré. Que faire ? Avaler l’un d’eux en se pinçant le nez ou quitter les lieux sans manger ?
Même situation le dimanche suivant mais, cette fois, il n’y a plus que deux menus, le « trop salé » et le « trop gras »… ou le « mal cuisiné » et l’un des deux autres… Que faire ?
Que vous décidiez d’ingurgiter l’un des deux malgré vos haut-le-cœur ou que, cette fois, vous ne vous rendiez même pas au restaurant, il faut que vous sachiez que celui qui aura été le plus commandé sera la tambouille qui vous sera imposée tant que le propriétaire actuel du resto n’aura pas compris qu’il n’est plus le chef de cuisine… et que le mieux serait qu’il démissionne.
On a le choix quand on a été manipulé, d’un côté Netanyahou, de l’autre le Hamas, cela évite de s’examiner gaulois.
On va boire frais avec Hirel et Exilé, en embastillant Mme Macron et tous les financiers.
@ Michel Deluré | 22 juin 2024 à 16:48
« On ne peut porter la responsabilité d’avoir conduit le pays dans la situation inextricable où il se trouve aujourd’hui, au bord du précipice, et se présenter maintenant comme le sauveur, seul capable face à l’adversité de remettre le pays sur pied. »
Et sa façon de chatouiller l’ours russe et de le provoquer alors qu’il ne cherche pas à s’en prendre en particulier à une France qu’il a généralement vue d’un bon œil depuis toujours, repose sur le même type de comportement.
@ Patrice Charoulet
Dans la 6e circonscription de Seine-Maritime, dont le député sortant était communiste, ni Renaissance, ni Horizons, ni le MoDem ne présentent de candidat. Ils seront cinq au total : un NFP, un LO, un Reconquête!, un RN et un LR. Donc, pas de candidat idéal pour vous, mais rassurez-vous, le LR, Stéphane Accard, un jeune entrepreneur d’Eu, est « anti-ciottiste ». Vous allez donc pouvoir (ou non) renouer avec vos anciennes amours… sans trop compromettre votre nouvelle passion…
C’est tout de même mieux que d’avoir à voter, comme vous l’indiquiez le 15 juin dernier, pour Aude de Castet, qui aurait représenté « la majorité présidentielle », écriviez-vous… Aude de Castet qui a débuté sa carrière politique en zigzags en militant au sein du GUD… Eh oui, tout se sait… La déléguée régionale du parti Territoires de progrès, fondé par Le Drian et Dussopt, a fricoté avec le groupuscule d’extrême droite (réelle celle-là) que Darmanin veut interdire…
Il faut de tout pour faire le petit monde de la Macronie…
Pour info, Aude de Castet se présente dans la 9e, se prétendant « sans étiquette »… Quel courage, ces macronistes !
@ sylvain | 22 juin 2024 à 14:02
Pas bon tout ça, je vous obsède, je vais lever le pied, vous et Jordy Enarrièretoute avez du mal à supporter les caramels.
Pas étonnant, deux gazelles qui sortent du terrain le short immaculé même sur terrain boueux et que l’on retrouve en haut des perches, comme à l’époque du mât de cocagne comme si le ballon y était accroché… 80 mn ça doit être long, avec les copains on se poile avec vous et Jordy Peluredognon. « Un moratoire » et des gazelles qui au premier coup de semonce mettent la tête dans le sable.
Vous chercherez l’interview du Sphinx avec Elkabbach et son passage quand il évoque ce qu’est un hauturier de la politique.
MLP et Jordy Latremblote sont des capitaines de pédalo, le moindre coup de tabac et ça prend le trouillomètre à zéro. Des gazelles et des moratoires, avec cela nous sommes sauvés. Attal est en train de les ressemeler avec le soutien des populaires, je revois le match à Agen contre Béziers en huitième… la mêlée juste avant de regagner les vestiaires.
Allez le joug vous attend ! Vous manquez de puissance en mêlée, il paraît que vous êtes un parti de cossards… Pas bon tout ça, ça sent pas bon la gagne.
Le pauvre Gabriel Attal ne sait plus que faire, que dire pour calmer le désordre. 14 partis politiques se faisant la guerre. Quel foutoir !!
Le JDD révèle que Serge Klarsfeld et le fils de Simone Veil voteraient RN, très bonne initiative, en cas de duel entre les deux tours avec Mélenchon LFI-DFP, l’insoumis à la République française laïque et soumis à son électorat islamiste acheté par la propagande du sadique Mélenchon…
À une semaine du premier tour des élections législatives, J-L Mélenchon met les choses au point
Après avoir déclaré, voici quelques jours « Je ne m’élimine pas et je ne m’impose pas », le patron de LFI qui depuis est, semble-t-il, devenu celui du NFP, met les choses au point. Ceux qui voudraient lui piquer la place de Premier ministre sont prévenus. S’il y a un vote pour désigner celui qui ira à Matignon (*) c’est lui et personne d’autre qui doit être choisi. Pas même Laurent Berger qui était la personne qui semblait faire consensus entre les modérés et les exaltés du mouvement. Et certainement pas un ancien président de la République dont on se demande bien ce qu’il vient faire dans son pré carré.
(*) En cas bien sûr de victoire du NFP. C’est curieux cette conviction d’une victoire possible, alors qu’elle est plus qu’improbable surtout quand un sondage donne 71 % des Français qui ne veulent pas de Mélenchon…
Serge Hirel continue à ne savoir que dénigrer les personnes jusqu’en sa métaphore culinaire, passant outre le fait que le cuisinier qu’il veut virer est celui qui tente de proposer un plat équilibré.
Ce qui est une manière de répondre au Nebout du bois sectaire quand il demande benoîtement ce qu’il y aurait de raciste au RN, alors que justement c’est son sectarisme qui l’est, comme est antisémite l’agrégation que tente Mélenchon, qui ne l’est pas, mais pense pouvoir en utiliser le ressort inconscient en soulevant les populations qui le sont, hélas, encore inconsciemment.
Là est le vrai hiatus démocratique que le symptôme Macron de la pathologie sociale incarne, avec tous ceux jusqu’aux membres de sa majorité qui n’usent plus que de sémantiques de mort, d’assassinat, de rituel de décollation, laissant à l’élu le soin de prendre ce risque insensé que lui permet la Constitution gaullienne de rendre la parole au peuple, puisque lui-même est en situation d’échec à avoir su, bien qu’élu sans sectarisme – non, ne les sifflez pas – exercer son pouvoir sans en exciter contre lui le ressort des désirs de pouvoir sectaire, donnant l’illusion qu’on pourrait imposer ce qui ne peut que se proposer, et que chacun, jusqu’aux adeptes du bloc central, proposant d’être le centre de gravité du consensus indispensable à la paix, s’en ôte toute capacité à l’entraîner.
Mélenchon est en ce sens plus intéressant à analyser au niveau de sa politique économique, copiée par Le Pen dont on voit bien actuellement qu’elle lui en a piqué ce qui chez elle n’est qu’un maquillage grossier qui coule au soleil ardent de la décision présidentielle, laissant apparaître le visage de l’échec complet de Zemmour que sa politique sectaire promet.
L’économie du besoin face à celle de l’offre met en lumière ce qui, à mon sens, est l’échec de Macron a avoir su entraîner les classes populaires à son projet salutaire de libération des énergies, comme exposé si brillamment lors de la crise des Gilets jaunes, et refusé, plus que par les travailleurs, mais par l’élite davosienne à qui il avait décrit non moins brillamment l’état de refus insurrectionnel des classes moyennes qui allait en France s’exprimer juste après.
Dans un contexte de Brexit, notre brillantissime président avait sensibilisé BlackRock à ce discours au point que le fonds d’investissement s’est localisé en France plutôt qu’en Allemagne.
Las ! L’insurrection, pourtant canalisée à main nue, a contaminé l’opinion inconsciente, cornerisant le président et empêchant ce qui serait pourtant la solution d’un vrai consensus entre les deux politiques économiques précitées, laissé au sectarisme du seul Mélenchon, nous jouant ici, tout miel, la reine des abeilles, alors que lui aussi veut imposer ce qui ne peut que se proposer, surtout aux surpuissants de la finance.
Alors que s’il y avait vraie concertation, il y aurait capacité à entendre le principe évangélique dont il est essentiel de tenir compte pour responsabiliser les investisseurs au principe pragmatique de la satisfaction des populations, ainsi invitées au festin démocratique dont Macron, si on cessait de le vilipender, a été l’ardent défenseur auprès de la finance mondiale :
https://www.youtube.com/watch?v=6YWMzUp2HEI
Le leader minimo des maximes incendiaires occulte le fait que sa proposition ne peut pas s’effectuer qu’en France au risque de courir à un destin vénézuélien.
Mais on ne peut s’empêcher de penser qu’il y aurait là, dans une réelle concertation qui permettrait aux investisseurs de cesser de ne prendre pour référence d’action que leur profit, s’exposant alors aux crises qu’on connaît qui détruisent non seulement les travailleurs mais les profits aussi, l’opportunité en conséquence d’une adhésion des travailleurs ainsi associés à un projet commun qui intègre l’offre aux besoins.
Là est l’échec du projet macronien à n’avoir pas su convaincre les parties à s’entendre collectivement au minimum à l’échelle européenne, là est le sens de la décision de laisser au peuple de France le soin de répondre au monde qui le regarde à la question qui, à l’endroit du péril auquel il se trouve, trouvera la réponse qui le sauvera.
La grenade dégoupillée aux jambes des partis qui, tous, veulent s’approprier le centre de gravité pour se faire élire par sectarisme alors qu’on ne gouverne que par consensus, est l’expression révolutionnaire de la conversion nécessaire que propose l’exercice de la liberté qui par essence ne peut s’imposer, laissant aux individus en ce hall de gare qu’est notre vie commune, parfaitement égaux en cette situation de mortel qu’on soit puissant ou misérable, d’avoir capacité à en assumer le vertige en retrouvant la joie de vivre, alors qu’où la joie manque tout est faux, et qu’il suffirait d’emprunter cette corde qu’est l’humain entre l’animal et le surhomme nietzschéen, acrobate qui sait se maîtriser au point de renoncer à tout ressentiment, pour exercer librement en Européen éclairé qui prend conscience humblement de sa limite, les capacités de l’esprit qui enfin maîtrise sa monture animale.
Alors, merci à l’optimisme du président de nous laisser répondre avec confiance, nous avons possibilité de ne plus prendre le symptôme pour la maladie, la conséquence pour la cause, nous avons l’opportunité d’affirmer notre destin universel de Français, usant de notre liberté pour affirmer hautement que nous la choisissons en assumant ce qui la garantit, le soin aux plus petits, associés en conséquence eux aussi à cet effort de ne plus se penser centre de gravité, commune invitation à ensemble se réunir au service de la prééminence de notre réalité.
« Sachant qu’est libre celui qui use de sa liberté, et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres. »
Préambule de la Constitution suisse.
On a bien entendu toute latitude d’user de sa liberté pour choisir les trumpo-poutino-bolloréens retours à l’esclavage.
@ Giuseppe (@ sylvain)
« Pas bon tout ça, je vous obsède, je vais lever le pied, vous et Jordy Enarrièretoute avez du mal à supporter les caramels »
Quel dommage que vous me laissiez tomber, j’adore les caramels et j’aurais aimé vous en offrir pour fêter la victoire de Jordy, votre bébé 👶 RN préféré.
À bientôt dans l’espoir de vous lire et vous consoler de vos échecs.
« Il conviendra que 2027 nous permette d’élire un président enfin normal, mais pas comme au sens où l’entendait François Hollande. Avec en même temps de la simplicité, de l’allure… Et de la vérité… » (PB)
Si vous, ou l’un de vos lecteurs, connaissez un homme politique susceptible de… informez-moi, je voterai pour lui. Mais comme moi vous savez très bien qu’il n’existe pas, ou seulement dans notre esprit. Nous récoltons tous ce que nous avons semé.
Macron-Attal : le couple ventriloque Jeff Panacloc et sa marionnette.
Combien de temps va-t-on encore supporter ce genre d’humanoïde décérébré auquel on a sucé le cerveau pour le remplacer par un microprocesseur destiné à réciter le catéchisme macronien ?
Regard figé, vide, robotisé, il récite sans relâche les slogans débiles de la voix de son maître ; barrer la route au RN est sa seule obsession paranoïaque.
Un porte-parole réutilisable dans n’importe quel régime, son discours contre Génération identitaire, un groupe de gamins insignifiants, calomnié comme « le pire danger fasciste raciste qui se profile à l’horizon », avait largement franchi le mur du çon de la haine absolue et du grotesque caricatural calomnieux, nul n’aurait fait mieux, par contre concernant les islamogauchistes, ses alliés, il n’a pas eu la même volonté pour dissoudre les identitaires racistes anti-Blancs racialistes indigénistes qui prônent la haine, la violence et appellent à tuer des Blancs.
Dernier exploit et de taille, son apparition furtive à l’EN : « vous allez voir de quel bois je me chauffe », avant de rétropédaler, marchearrièretoute et fuir piteusement cette pétaudière de profs gauchistes, de racailles islamisées intégristes, points de deals trafics de drogue rackets tabassages lynchages en toute impunité.
La macronie nous offre de sacrés numéros comiques dans l’ignominie, Attal est un champion, il a un profil très dangereux s’il devait prendre les rênes d’un quelconque pouvoir.
—
Entre Attal, le playmobil de Macron, et Bardella (Jordy pour les intimes) y a pas photo.
Ce malheureux Attal au QI de moule et sa parano anti-RN, qui voit des fachos racistes d’extrême droite jusque sous son lit, et ce charismatique et brillant Bardella, un tribun impressionnant, une stature gaullienne, calme, flegmatique, ignorant d’un revers de main tous ces crapauds macroniens islamos fachos gauchistes pro-Hamas, rugissant de haine contre lui et qui, imperturbable continue sa route calmement, lentement mais sûrement.
Je disais « gaullien », en effet tout en ce jeune président du RN nous rappelle le même cheminement politique patriotique résistant de la France libre que celui de De Gaulle.
Bardella est promis à un brillant avenir, lui seul pourra sauver la France que la macronie et ses alliés de gauche, PS, PCF, EELV, LFI-Hamas ont pour mission de la détruire.
Pour avoir le droit d’exister, la droite doit être sioniste. Elle trouve ainsi en outre un soutien de poids pour faire face à l’immigration musulmane, et CNews est devenue « Radio Israël ».
Il y a là quelque chose de malsain pour deux raisons.
1/ Soutenir Israël dans son droit de vivre et partager son souci que le 7 octobre ne se reproduise pas est une chose.
Les soutenir dans leur colonisation et une répression qui génère des milliers de Palestiniens dont la vie n’aura de sens pendant des décennies, que dans le désir de tuer des juifs où qu’ils se trouvent, en est une autre.
2/ La droite a pour essence d’être à la droite du roi symbole du père, avec la nécessaire religion d’État qui en équilibre le pouvoir devant Dieu – et là personne n’y comprend plus rien, et l’Église elle même non plus…
Alors il ne faudrait pas que faute d’assise chrétienne, seul le judaïsme y soit présent.
Parce que la droite sans Dieu, ça tend vers le populisme ras des pâquerettes avec au bout du chemin, le pire à en attendre.
P.-S. : Il commence à transpirer que le monde du spectacle vit sans compter aux frais du contribuable via la fontaine à subventions. On s’intéressera aussi à l’absentéisme et aux congés maladie des fonctionnaires qui ont ainsi le temps de militer aux frais du contribuable… Aux fonctionnaires délégués… En saisissant les biens immeubles appartenant aux élus et fonctionnaires corrompus, on ferait baisser le prix de l’immobilier… Etc. etc.
Le RN est encore bien timide… Que la pègre prenne garde, car à force de tirer sur la corde, elle pourrait bien trouver un jour une vraie extrême droite fasciste (de faire face).
Les grandes manœuvres ont donc commencé, tant de la part du président de la République que sur l’échiquier politique.
Il y a environ une semaine, l’Élysée a laissé fuiter une éventuelle intention présidentielle d’utiliser l’article 16 de la Constitution pour continuer à gouverner en s’asseyant sur le Parlement.
Le discours présidentiel en son Palais le soir de la Fête de la musique m’a laissé une étrange impression. En effet, monsieur Macron affirme qu’il ne faut pas laisser le pouvoir à l’extrême droite (il y a lieu de noter qu’il n’évoque pas ou jamais l’extrême gauche, pourtant plus liberticide…) et invite les Français à voter, si ce n’est à bien voter, donc contre le RN et ses alliés.
Troisième temps de la manœuvre, le soir même sur LCI j’ai entendu Arlette Chabot évoquer de manière sentencieuse la possibilité, à l’image de ce qu’il s’est passé en Italie avec monsieur Draghi, de la nomination d’un « gouvernement technique », constitué de ministres spécialistes de leurs domaines et peu ou pas politiques. Depuis, un peu partout dans les médias on reprend cette idée pour y habituer les esprits des électeurs.
Quatrième temps, c’est monsieur Bardella qui hier annonce qu’il a déjà constitué un gouvernement au service des Français…
Que se cache-t-il donc derrière tout cela ?
J’en arrive à me demander si, même dans l’hypothèse où le RN et ses affiliés obtiendraient une majorité absolue, monsieur Macron, utilisant la capacité discrétionnaire de nommer le Premier ministre, n’envisagerait tout simplement pas d’écarter d’entrée la « candidature » revendiquée du RN à Matignon pour choisir une personne indépendante hors majorité de l’Assemblée nationale.
Ce faisant, se refusant à être le président de la République qui aurait le premier mis au pouvoir un représentant de « l’extrême droite », constatant par ailleurs que le peuple auquel il a fait appel aurait « mal voté », monsieur Macron ferait son opération « mains propres » en contournant son choix démocratiquement exprimé. Ce qui rappellerait étrangement le contournement du vote négatif des Français au référendum de 2005 si savamment contourné par monsieur Sarkozy avec la complicité du Parlement et du Conseil constitutionnel.
Dans une telle hypothèse, cela correspondrait à un coup de force institutionnel. Que le Conseil constitutionnel, constatant une pseudo-incapacité à gouverner avec la chambre basse telle qu’élue par les Français, avaliserait comme conforme à la Constitution ?
Enfin, je constate dans ma ville qu’à une semaine du premier tour, seules deux affiches sont apposées sur les panneaux électoraux : celle d’un sénateur de la majorité présidentielle et ancien député-maire, depuis une semaine ; celle depuis quelques jours de la candidate NFP.
On peut donc se poser la question de la validité juridique d’une campagne électorale aussi tronquée alors même qu’existe une incertitude sur la disponibilité du matériel électoral sur l’intégralité du territoire français d’ici à dimanche prochain.
Par voie de conséquence, on n’en aura pas fini avec les recours contentieux au Conseil constitutionnel…
À saturation de tous les macronistes et LR macronisés. C’est simple à comprendre.
La France Macron-Mélenchon, c’est le chaos généralisé.
Stop. La France et les Français n’en veulent plus.
« Pour les politiques de la gauche des LR au NPA, les syndicats, les « artistes », juges, people, bobos, assos, sportifs, journalistes, ils ne sont que des faits divers gênants à étouffer.
Pour nous, ils sont nos mères, nos pères, nos sœurs, nos frères, nos filles et nos fils. »
https://x.com/IslamismeFrance/status/1804408984914530813
@ Lucile | 22 juin 2024 à 16:12
« Nous, citoyens, participons sans toujours le vouloir à cette expérimentation malheureuse dont il a semble-t-il du mal à tirer des conclusions, lui, la presse et les principaux partis politiques, tous formés depuis la maternelle à cette social-démocratie dont l’une des caractéristiques est l’intolérance aux idées dissidentes ; d’où la difficulté de ses tenants à se remettre en question et leur manque d’adaptabilité face aux circonstances nouvelles. »
Bien vu.
Cette social-démocratie, guère plus sociale que démocratique, est aux mains d’hommes politiques souvent issus de syndicats de fonctionnaires et de divers « cercles de pensée » tenant soigneusement le peuple – le vrai – à l’écart de ce qu’il faut bien appeler une forme d’entre-soi.
De plus, ce modèle de gouvernement ne tient pas compte du fait que la France n’est plus la même que celle des années 70, d’une part à cause de la mondialisation et d’autre part pour des raisons démographiques faisant qu’une énorme fracture est en train d’apparaître dans la composition de la population française, à cause de l’intrusion brutale de nouveaux facteurs culturels, ethniques et sociologiques, au point de se superposer au schéma classique droite-gauche et tendant à le remplacer tôt ou tard sur d’autre bases, comme certaines dissensions au sein du NFP le laissent présager.
La dernière carte électorale a clairement montré que les « rats des champs » ont voulu montrer leur mécontentement voire leur colère face à la dictature des « rats des villes », complètement déconnectés des réalités.
Nous pourrions même y déceler en germe une future crise de régime, autour d’institutions qui vont finir par se saborder à force de se croire tout permis à l’encontre du peuple.
@ sylvain | 23 juin 2024 à 08:27
De Toulouse à tout le Sud-Ouest nous avons l’âme de la gagne, la grinta, quand je vois tout le cinéma autour de Mbappé pour une petite collision, et les images à l’envie en train d’ajuster sa protection il y a de quoi rire. Que je sache il joue avec les pieds.
Alors que l’extraordinaire local Antoine Dupont a joué la Coupe du monde de rugby et a subi une fracture maxillo-zygomatique.
Monsieur Rugby et son frère doivent bien sourire de ces gazelles.
Jordy et ses propositions c’est du niveau du premier, beaucoup de cirque pour pas grand-chose, du recuit, connu de tous… Je me rappellerai à votre bon souvenir, je pense qu’il a le pied qui tremble, et dire qu’il n’ira pas au château sans majorité, ce n’est pas pour relancer les votes en sa faveur, c’est qu’il est comme Mbappé, au moindre bobo c’est pleurnicheries et c’est Berezina. On veut des Dupont dans les rucks, pas des sauterelles.
Pas de majorité absolue, je suis curieux de rencontrer la suite de l’histoire, le coup de pied de la gagne c’est au second tour, Joris Segonds a eu le pied qui tremble hier comme Lionel Beauxis à Toulouse contre Toulouse en demi-finale.
Je pense savoir reconnaître quand on a la voix, le bras, et le pied qui tremblent. Foi de pointeur-tireur, Jordy a la tremblote, la cible peut dormir sur ses deux oreilles.
@ sylvain
« ce charismatique et brillant Bardella, un tribun impressionnant, une stature gaullienne, calme, flegmatique… »
MDR, on dirait un panégyrique de Staline à la grande époque ! Lui manque plus que la moustache au p’tit Jordy.
Heureusement qu’on vous a sur ce blog, vous êtes impayable !
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@ Achille | 23 juin 2024 à 07:44
« En cas bien sûr de victoire du NFP. C’est curieux cette conviction d’une victoire possible, alors qu’elle est plus qu’improbable surtout quand un sondage donne 71 % des Français qui ne veulent pas de Mélenchon… »
Ce qui signifie que 29 % n’y seraient pas opposés, soit, peu ou prou, le score du NFP pronostiqué par les sondages.
Parallèlement, le RN est évalué à 32-34 %, ce qui signifie que 66 à 68 % des Français y seraient opposés. Il semble qu’on se dirige tout droit vers une assemblée encore plus bordélique que la précédente !
Un mot sur l’acronyme NFP.
N comme Nouveau. Qu’on m’explique en quoi le programme du NFP serait nouveau, puisqu’il reprend les vieilles lunes de 1981 : abaissement de l’âge de la retraite, augmentation du SMIC, spoliation des milliardaires, mais comme cela ne suffira pas, il faudra également faire les poches de tous les épargnants, donc des retraités. Plutôt que chercher à créer de la richesse, ces débiles de socialococos ne pensent encore et toujours qu’à aller la chercher dans la poche de ceux qui ont réussi à en créer.
F comme Front. Front contre qui, contre quoi ? Contre un autre Front, le Front (pardon, le Rassemblement) National ? Et pourquoi donc puisque leurs programmes économiques sont si proches…
P comme Populaire. Ou Populiste ? 92 % des Français verront leur pouvoir d’achat augmenter nous disent-ils. Et ils sont assez ballots pour le croire alors que le pays sombrera dans la récession, comme en 1981. Mais là, la bouée de la dévaluation ne fonctionnera pas.
@ Alpi | 23 juin 2024 à 16:07
Merci cher Alpi, je suis comme Ducros j’essaie de me décarcasser pour votre bon plaisir de me lire et d’écouter mes conseils, j’espère que vous êtes satisfait, pour le moment je suis en pédale douce, ensuite je mettrai le grand braquet pour fêter la victoire du meilleur candidat du moment que le monde entier jalouse et nous envie, Jordy du RN, gloire à lui !
Quant à la (Allah) petite moustache carrée, pourquoi pas, je m’en vais de ce pas (de l’oie) lui conseiller d’en porter une, ça faisait fureur à l’époque, il pourrait gagner des points ; merci encore de vos bons conseils.
@ Aliocha | 23 juin 2024 à 08:04
« Serge Hirel continue à ne savoir que dénigrer les personnes jusqu’en sa métaphore culinaire, passant outre le fait que le cuisinier qu’il veut virer est celui qui tente de proposer un plat équilibré. »
Quand, pendant sept ans, une gargote a tenté de me vendre des plats faisandés, m’en a fait avaler de force quelques-uns et m’a ainsi procuré des maux d’estomac, quand, au bord de la faillite méritée, elle promet monts et merveilles et se ravale la façade, je n’y retourne que si le chef cuisinier a été viré… et je reste méfiant si, parmi le personnel de cuisine, elle emploie encore quelques-uns de ceux qui faisaient la tambouille sous ses ordres…
Quand des situations sont difficiles, des rats quittent le navire. C’est habituel.
Malheureusement, les rats ne se sont pas rangés dans l’ordre espéré.
Ciotti a lamentablement trahi son parti et il est à craindre que d’authentiques sociaux-démocrates soient encore sensibles aux sirènes de LFI malgré les affronts qu’ils ont essuyés de la part de Nupes-Mélenchon. Quel gâchis pour Glucksmann, le plus courageux, ‘le plus intelligent d’entre nous’ comme dirait Chirac.
@ Robert
« Le discours présidentiel en son Palais le soir de la Fête de la musique m’a laissé une étrange impression. En effet, monsieur Macron affirme qu’il ne faut pas laisser le pouvoir à l’extrême droite (il y a lieu de noter qu’il n’évoque pas ou jamais l’extrême gauche, pourtant plus liberticide…) et invite les Français à voter, si ce n’est à bien voter, donc contre le RN et ses alliés. »
C’est évidemment ce qui ressort des échanges avec ce qui reste des admirateurs du macronisme, et pourtant en lisant les propositions de la gauche il y a de quoi avoir peur.
Il y a quelques jours, des juges ont dit qu’ils désobéiraient au RN s’il venait au pouvoir, puis hier des enseignants ont répété la même chose. Aujourd’hui 150 diplomates signent une pétition anti-RN. L’inquiétude gagne, mais pas du tout en ce qui concerne l’extrême gauche, c’est curieux cette peur à sens unique.
Et M. Macron largement responsable de cette pétaudière pour avoir voulu ignorer les grands problèmes, trop vulgaires pour lui, mais surtout parce qu’il lui aurait fallu le courage de prendre des décisions et de ce fait de déplaire à sa gauche, il a préféré les ignorer, laissant le RN prospérer.
Qu’il s’en débrouille maintenant. De toutes manières politiquement il est mort.
Intelligent certes, mais prétentieux et sans courage, c’est sûr. Il a toujours tout voulu gérer pour s’attirer la gloire et la lumière. Tout lui revient en boomerang, c’est sa responsabilité.
Tout ça promet pour la rentrée.
Et ce n’est que le début !
Le FN/RN et ses renoncements sur certaines mesures de son programme législatif:
La baisse de la TVA sur les produits de première nécessité (pour les pauvres paraît-il) : mesure repoussée à un “second temps” et devrait être examinée lors du vote du budget pour l’année 2025… Ouais, ouais… à la saint Oignon, quand c’est pas la saison. Et puis ils prendraient vite leurs aises les miséreux, ils se goinfreraient et après on devrait gérer l’obésité en plus dans notre programme santé.
Et une de plus, l’abrogation de l’IFI (impôt sur la fortune immobilière) ? Eh bien le FN/RN renonce aussi à cette mesure et propose désormais le retour de l’IFS (impôt sur la fortune).
Retour vers le passé, pour un avenir nouveau plein de promesses… non tenues.
Là ils sont en train de vacciner à tour de bras leur électorat qu’ils ne peuvent pas faire autrement, ils tirent la chasse et bien sûr on attend avec impatience l’audit qu’ils demanderont pour confirmer qu’ils ne pourront pas faire autrement.
Allez on continue ? On continue !
L’objectif d’atteindre le zéro artificialisation nette des sols (ZAN) d’ici 2050, le FN/RN a revu sa position sur cet objectif environnemental, sans préciser de nouvelles mesures concrètes… Ils ne vont pas s’embêter en plus à faire des propositions qu’ils ne tiendront pas plus que toutes les autres.
La plus belle, la plus emblématique, celle qui fait rêver, c’était l’augmentation des salaires de 10 % exonérée de cotisations jusqu’à trois fois le SMIC. Cette mesure, développée lors de leur niche précédente, a également été abandonnée… Faut pas rêver non plus, raser gratis en plus pour les pauvres, faudrait pas qu’ils y prennent goût. On les aime bien pourtant les pauvres, surtout quand ils votent en masse pour nous… Vous connaissez les mots de Daladier à son retour de Munich, je ne vais pas faire un dessin par-dessus.
Don Quichotte existe, nous allons les rencontrer… À mourir de rire.
@ Elektra
Rosé piscine c’est rosé glaçons. Aux Antilles c’est un classique pour boire frais.
Des lois raisonnables ? Transpartisanes ? Je prends. Mais qui ? Attal et le passage à 10 000 euros de la prime Macron ? Ridicule. Le FN, pardon RN, et son âne ? LFI avec sa bande de demeurés mononeuronaux ?
Mais de qui donc me parlez-vous ? Macron l’insultant dictateur ? Je ne suis pas prêt à pardonner la période Covid, Benalla, Ferrand, Kohler, la vente d’Alstom, Alcatel, les accointances Pfizer, les lois liberticides…
Attal la précieuse ridicule, qu’apprécient beaucoup les Rouletabille des troisièmes mi-temps, courageux du clavier et de la citation, que le rosé de Matignon émoustille ? Avec lui en ce moment c’est la foirfouille, 10 000 balles par-ci, 10 000 balles par-là.
Glucksmann, le secrétaire permanent de l’académie Saakachvili ?
J’attends un programme qui, par exemple arrêtera de parler redistribution mais distribution. La limitation des écarts de salaires. Qui paraît-il ferait fuir nos excellents patrons que personne ne vient chercher, faut-il le noter. Pour ça il faut plus de courage que de leur lécher l’arrière-train.
Pour qui allez vous voter qui propose du transpartisan… intelligent ?
Donc, rosé piscine.
@ Alpi | 23 juin 2024 à 16:07
« 92 % des Français verront leur pouvoir d’achat augmenter nous disent-ils. Et ils sont assez ballots pour le croire alors que le pays sombrera dans la récession, comme en 1981. Mais là, la bouée de la dévaluation ne fonctionnera pas. »
Augmenter les salaires a pour premier effet d’augmenter les prix des produits et des services, vu que les patrons seront bien obligés de répercuter ces dépenses supplémentaires pour faire tourner leur entreprise.
En clair c’est provoquer de l’inflation et au final le pouvoir d’achat reste toujours le même, quand il ne diminue pas.
Concernant les fonctionnaires, le problème se pose différemment vu qu’ils sont payés avec nos impôts. Le gouvernement a donc le choix entre augmenter les impôts ou la dette. Les deux sont déjà suffisamment lourds !
N’en déplaise à tous les gauchistes et assimilés dits non extrémistes, Jordan Bardella présente des qualités exceptionnelles au regard de son expérience et de son âge.
Mais la tâche lui est facilitée par le fait que le RN représente une notion inconnue des autres partis : l’honnêteté.
Alors j’aurais préféré Marion pour sa chrétienté, ou Asselineau pour les vérités, mais face aux bandes de fonctionnaires et subventionnés divers et avariés dudit centre et de gauche, aux pègres intellectuelles qui vivent pour la plupart aux crochets de la société, il n’y a pas photo.
@ Achille | 23 juin 2024 à 22:06
« Concernant les fonctionnaires, le problème se pose différemment vu qu’ils sont payés avec nos impôts. Le gouvernement a donc le choix entre augmenter les impôts ou la dette. »
La troisième solution, la seule envisageable dans un État surendetté qui, déjà, lève beaucoup trop d’impôts, est de supprimer deux millions de postes de fonctionnaires en dix ans, en confiant au secteur privé toutes les activités non régaliennes dont il se charge aujourd’hui. À commencer par l’audiovisuel. Si Fillon avait été élu, la fonction publique aurait déjà bien maigri…
La règle devrait être l’embauche (sous contrat identique à ceux du privé) d’un fonctionnaire pour trois départs, le redéploiement drastique des effectifs sur les services qui assurent la sécurité et la justice et la montée en puissance du privé dans les domaines de la santé et de l’éducation. Ce qui n’interdit pas à l’Etat d’exercer son rôle d’incitateur et de coordonnateur dans ces deux secteurs dont la qualité de l’offre est indispensable…
Il convient aussi de supprimer les avancements automatiques à l’ancienneté et d’aligner le régime de retraite des fonctionnaires sur celui des salariés du privé. Il serait difficile de voir là une atteinte à leurs droits, la situation actuelle créant de fait une discrimination positive contraire aux règles de l’État de droit.
@ Serge HIREL
Ah, c’est ça, vous avez des problèmes de digestion !
Les maux d’estomac sont souvent dus à l’excès de rosé, voyez Jérôme pour la solution.
Quand la piscine tourne au rouge sang, les Pilate s’y lavent les mains et laissent Caïphe décider à quelle délicieuse transgression se vouer, ou quand Ciotti rejoint Mélenchon, la droite enfin éprouve le grand frisson du petit Blanc apeuré que Bolloré a décidé de sacrifier à ses dividendes, au nom de la chrétienté.
Merci au président d’avoir ressuscité la gauche, on va enfin effectuer le virage babord de la godille centriste qu’on attendait depuis 7 ans, virant par-dessus bord les radicalisés des deux côtés, gardant le cap et évitant de céder à ceux qui fantasment de faire de la démocratie l’alternative entre Hamas ou Netanyahou, au service de leur boutique de nourriture prédigérée à l’intention de ceux qui n’ont pas l’estomac pour affronter la réalité.
Qui divisera perdra.
@ Xavier NEBOUT 23 juin 2024 à 22:13
« N’en déplaise à tous les gauchistes et assimilés dits non extrémistes, Jordan Bardella présente des qualités exceptionnelles au regard de son expérience et de son âge ».
Houlala, vous allez vous attirer les foudres de Giuseppe, le procureur islamogauchiste anti-RN du blog, je le vois déjà faciès rougeaud, cheveux ébouriffés, crachant sa haine sur le clavier en lisant votre message ; vous ne voulez pas lui causer un infarctus j’espère ?
On se marre bien sur ce blog de bon matin, nous avons des couples célèbres en ce moment : Bardella – Don Quichotte et Giuseppe en Sancho Pansa ou bien Bardella – Zorro et Giuseppe en sergent Garcia, mêmes tours de taille, mêmes QI d’oignon.
Pour Bardella, impérial, les cloportes gauchiasses du NFP et les merdias aux ordres ont reçu des leçons magistrales de cet excellent et brillantissime candidat RN, l’inquisition engagée contre lui est à bout de souffle, rincée et lessivée par ce sportif politique hors norme, même Antoine Dupont le fayot macronien LGBT – Têtu est resté figé au sol sur son séant, classé meilleur joueur au monde il a trouvé son maitre : Bardella Jordy the King qui a dépassé en popularité le minibendum du sud-ouest que la propagande macronienne a définitivement décervelé et trépané.
Les artistes et sportifs doivent obligatoirement participer à cette chasse à courre nauséabonde ad hitlerum contre le RN s’ils veulent continuer et s’assurer une bonne carrière dans le monde du showbiz sous la surveillance policière des procureurs gauchiasses du gouvernement macronien, une véritable dictature de pensée unique digne de la Corée du Nord.
Imaginez une seule seconde si un chanteur ou comédien avouait voter pour Bardella : viré sur-le-champ ! C’est arrivé à Faudel, copain de Sarko et à bien d’autres soupçonnés de droite.
C’est bel et bien une dictature propagande islamogauchiste macronienne qui règne dans ce pays contre Bardella, malheureusement, limités par leurs QI de moules, ils ne se rendent pas compte qu’ils ne font qu’augmenter le capital sympathie des citoyens envers Bardella, réfractaires à ces donneurs de leçons infects, ces cafards gauchistes haineux fachos qui paniquent en voyant le grand jour du RN poindre à l’horizon.
« François Hollande : « Il en a sous le capot », l’ex-président de la République impressionne en relevant un défi improbable. » (Jonathan Hamard)
Ça pour en avoir sous le capot il en a, le dessin de Charlie en dernière page pour illustrer son capot est terrible pour lui. C’est pas un capot type Jaguar type E qu’il affiche, ce serait plutôt le Gégé du Sénat aujourd’hui, obèse lui aussi surtout de la tête. Il se prendrait pour le Messie, et comme le disait un journaliste, dans cette catégorie ils se pensent tous plus malins les uns que les autres.
Pauvre capitaine de pédalo, il y croit encore. Lui qui s’est échappé pour un second mandat, il peut se la raconter comme il voudra et les médias d’en faire un sujet il est dans la catégorie des déserteurs, la trouille de se faire ramasser, sans compter la bêtise crasse d’un Président ne devrait pas dire ça…
Il en a pris du gras depuis son dernier régime, Gégé doit être jaloux et en plus il prendrait les citoyens pour des couillons, pour des savates.
Pépère a fait rigoler le Sphinx, il a pris Ségo juste pour s’en servir, ils avaient le vent en poupe… Depuis on a vu ce qu’ils valaient, et c’est dur de compter les points sur un planchot qu’ils n’ont jamais fait décoller. Elle a balancé par-dessus bord ces fameux portiques, plus d’un milliard d’euros, et tous les deux ne sont que des politiciens défroqués, fonctionnaires d’un parti de rentiers.
“Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings.” De qui vous savez.
Bon je dois me plonger dans mon smartphone et remplacer sans doute la batterie. Après essai de plusieurs je comprends les USA qui ne veulent pas de cette marque, après 7 années de service il est largement au niveau de ce qui se fait actuellement et en plus il espionne paraît-il… Bon… Je ne détiens pas de secrets d’État comme Hollanouille pour les afficher partout.
Très beau temps, pelouse souple et le plus beau panorama du monde sous mes yeux…
Yaël Braun-Pivet, elle, elle est amère surtout pour la perte de sa gamelle, elle en rêvait, elle en a goûté et en plein repas on lui coupe la chique, la dissolution !
Elle ne retrouvera pas un des fleurons des postes de notre monarchie présidentielle, le général Motor ne savait pas ce qu’il écrivait dans la Constitution, il ne se doutait pas qu’il offrait des rentes à vie dans un monde qui changeait. C’était la fin des politiques et le début de pensions à vie, sous les ors d’une République qui gavait ses élus.
Gégé avait bien compris le système le bougre, il n’aurait pas échangé son poste pour un empire, et tout d’un coup cela s’écroule…
On y est ! Je l’ai annoncé juste un peu avant ici, il ne fallait pas être devin, juste ce qu’il faut de bon sens. Jordy a annoncé un audit, se servant même et surtout de l’exemple de Lionel Jospin, alors tout s’explique et tous les renoncements à venir. Regrets éternels pour les LR, parti de nuls qui avaient toutes les clefs pour faire du Bardella mais sans ses vieux kroumirs qui squattent tous les sièges depuis des années et qui était en état de commotion cérébrale, ils le savaient Darmanin et E. Philippe ils se sont tirés fissa, sans se retourner et vont créer de quoi rebondir.
La compétence est un concept fumeux, Bardella, Attal, Macron en sont l’illustration et j’en passe sur tous ces jeunes poulains du FN/RN et ailleurs à qui on a coupé les ailes.
Vous voulez du FN/RN eh bien il y en aura à discrétion, mais pour le reste ce sera ce qui a toujours existé, seul le costard et la cravate ont changé, ils ont compris qu’avec du vieux on faisait du neuf. Oui bien sûr quelques nouvelles mesures pour l’esbroufe, mais le miséreux restera le miséreux et continuera à voter pour un FN/RN qui continuera à lui promettre la lune et lui donnera le doigt.
Bon appétit à Gégé !
Vous voyez ce type monter au front ? En plus il a détruit un parti devenu squelettique, quelle poilade !
https://images.app.goo.gl/QHJVH5QyzugWFCui9
@ Michelle D-LEROY | 23 juin 2024 à 20:55
« Intelligent certes, mais prétentieux et sans courage, c’est sûr. »
Alors, s’il est aussi intelligent qu’on voudrait nous le faire croire, pourquoi raconte-t-il ou commet-il tant de bêtises ?
Sa femme emploie un autre mot :
https://www.valeursactuelles.com/politique/il-faut-arreter-les-conneries-maintenant-quand-brigitte-flanque-une-deculottee-a-emmanuel-macron
@ Michelle D-LEROY | 23 juin 2024 à 20:55
Avant de vous répondre j’ai tenu à trouver et lire la lettre de monsieur Macron aux Français du 23 juin.
Quant à la justification de son choix de dissoudre, il n’est aucunement convaincant et ce contente d’enfiler les perles avec de multiples redondances comme ici :
« Mais cette décision est la seule qui peut permettre à notre pays d’avancer et de se réunir. Vous demander de choisir, vous faire confiance, n’est-ce pas là le sens même de la démocratie et de notre République ?
L’élection qui vient est un rendez-vous de confiance, grave, sérieux, à l’occasion duquel nous devons clarifier le choix pour notre pays et pour nos vies. »
Quant à la prochaine élection, il considère que l’extrême droite comme « la France insoumise et ses alliés » ne feront qu’augmenter les impôts. En revanche, la troisième proposition « propose de continuer les réformes pour le travail, la réindustrialisation, une écologie des résultats, pour investir dans les services publics sans impôts ni dette supplémentaire et de défendre une laïcité assumée et une autorité restaurée depuis l’école jusqu’à la justice. Elle défend des choix clairs sur Israël et Gaza comme sur l’Ukraine et a bâti depuis 7 ans une armée plus forte dont nous aurons doublé le budget.
Cette troisième voie est la meilleure pour notre pays. Non seulement parce qu’elle protège les Français et prépare l’avenir mais parce qu’elle est la seule à pouvoir à coup sûr faire barrage à l’extrême droite comme à l’extrême gauche au second tour. »
En lisant cela, on ne peut qu’être surpris.
En ce qui concerne le budget de la défense, en 2017 il était de 32,7 Md€ et en 2024 il est de 47,2 Md€. S’il a été très fortement augmenté, ce dont monsieur Macron doit être crédité et remercié, il est encore loin d’avoir doublé comme il l’affirme, doublement qui au mieux interviendrait après 2027 ou les années ultérieures et explique l’emploi du futur dans son propos…
Quant à ses engagements, on reste ébahi de voir qu’après sept ans d’exercice du pouvoir, malgré les crises qu’il a déclenchées (Gilets jaunes, retraites, etc.), il en soit encore au constat :
« Et puis, je ne suis pas aveugle : je mesure le malaise démocratique. Cette fracture entre le peuple et ceux qui dirigent le pays que nous n’avons pas réussi à résorber. Oui, la manière de gouverner doit changer profondément.
Le gouvernement à venir, qui reflètera nécessairement votre vote, rassemblera, je le souhaite, les républicains de sensibilités diverses qui auront su par leur courage s’opposer aux extrêmes. »
Et il termine en apothéose : « Pour cela enfin, vous pouvez me faire confiance pour agir jusqu’en mai 2027 comme votre Président, protecteur à chaque instant de notre République, de nos valeurs, respectueux du pluralisme et de vos choix, à votre service et à celui de la Nation. »
Après toutes ses promesses non tenues de changer, faites depuis 2017, qui peut encore croire un instant qu’il va changer sa méthode de gouvernement, sauf s’il y est contraint par un Premier ministre et des ministres de cohabitation rétifs, y compris de sa majorité, qui se refuseront à subir la loi des « cloportes », à savoir ses conseillers élyséens distribués dans tous les cabinets, dénoncés par monsieur Le Maire qui s’en est pourtant accommodé pendant sept ans !
On peut donc pressentir que, quel que soit le gouvernement qu’il mettra en place, il aura perdu une grande part de son autorité et devra se soumettre à une certaine réserve qu’il lui sera impossible de respecter.
«Le Rassemblement national, c’est le parti de la peur, qui joue sur les peurs. »
(Laurent Berger, Le Figaro)
Monsieur Berger n’a pas l’air de se rendre compte, en reprenant à l’instar de ses homologues ce stéréotype forgé par des nuisibles, qu’il tombe dans le travers qu’il dénonce…
La crapule Ciotti. Rappel : les adhérents LR ont eu à choisir entre trois candidats pour la présidence de leur parti… républicain. Ils ont préféré le dénommé Ciotti.
Le lundi 24 juin le sieur Bardella livre aux foules ébahies son discours-programme une heure et demie durant.
À la télé qui voit-on au premier rang ? Le Pen fille et juste à côté d’elle, tout sourire… Ciotti, la crapule Ciotti.
@ Robert
« On peut donc pressentir que, quel que soit le gouvernement qu’il mettra en place, il aura perdu une grande part de son autorité et devra se soumettre à une certaine réserve qu’il lui sera impossible de respecter. »
Moi je fais partie de ceux qui lui concèdent un coup de génie, avec cette dissolution. Quoi de mieux que de donner, soit à LFI, soit au RN, un pays avec une économie en faillite pratiquement irrattrapable, des services publics en miettes et une population au bord de la crise de nerfs ? C’est minuit moins une.
Ils vont échouer – il n’y a pas de miracle – puis on va nous dire « vous avez vu, ils sont nuls ». Et ce sera reparti pour des tours de passe-passe gauche-droite. Du génie.
Jordy Bardenouille qui lisait comme un écolier ses antisèches et notes pendant son discours de programme, et les réponses soufflées sur son smartphone, au fur et à mesure. Grand moment de comique troupier, un potache nous parlant d’économie, le rythme prenait moins d’hésitation quand il réussissait à raccrocher les thèmes favoris éculés.
Fabuleux ! Le pays va élire un type dont on se demande s’il sait compter, même sur ses doigts. Pour la suite c’est renoncements, moratoires et bien sûr l’arme suprême de ceux qui ne tiennent jamais leurs engagements… L’AUDIT ! Juste pour dire à tous les couillons qui pensaient voir toucher le veau d’or, qu’il sera en étain. Qu’ils devront encore et toujours fournir plus d’efforts pour sortir de la galère dans laquelle tous ses prédécesseurs les ont mis.
Le FN/RN vieilles recettes, mauvaises réponses, mais ce qui est sûr c’est qu’on en reparlera après le second tour. La victoire c’est quand on passe la ligne en tête, jamais avant, les exemples sont nombreux de ceux qui ont levé les bras avant et se sont fait sauter au poteau.
Tobias Johannessen vs. Lenny Martinez lors de la Classic Var en 2024 ; le Norvégien Tobias Johannessen (Uno-X Mobility) a levé les bras à 25 mètres de la ligne, pensant avoir course gagnée, le Français Lenny Martinez (Groupama-FDJ) l’a dépassé dans les derniers instants pour remporter la victoire.
Jordy veut la majorité absolue, nous en reparlerons, et là les mirages vont s’envoler.
“La confiance n’a plus de prix lorsqu’on la partage avec des hommes corrompus.” (Saint-Just)
Marine Le Pen et 26 autres personnes seront jugées devant le tribunal correctionnel de Paris à partir du 30 septembre prochain pour détournement de fonds publics et complicité. Elle se dit innocente bien sûr, comme tous ceux qui sont pris la main dans le sac. Ils sont renvoyés devant le tribunal juste pour prendre l’air.
@ Valéry | 24 juin 2024 à 17:35
Drôle de coup de génie ! Même pas celui de la lampe d’Aladin…
En réalité, l’attitude de monsieur Macron rappelle étrangement celle de madame Georgina Dufoix, ex-ministre de la Santé, auteur de la fameuse expression, certes tronquée : « responsable mais pas coupable ».
L’art de monsieur Macron est celui de la défausse totale : « ni coupable, ni responsable ». Bien au contraire, c’est : « peuple français je vous ai saisi ‘en confiance et responsabilité’. Si vous votez mal, donc pour un des deux extrêmes, vous serez entièrement responsables du déclenchement de la guerre civile que moi seul pouvais vous éviter ». Car il ose se présenter comme le père protecteur de la nation, lui qui intimement la rejette idéologiquement et fait tout pour la réduire au seul État technocratique dont il est le représentant-mandataire et la dissoudre dans son magma fédéraliste européiste.
Le peuple français n’a donc aucun droit de lui résister par l’expression démocratique de ses votes qui ne sauraient aucunement le pousser vers la sortie de la scène.
Son logiciel d’analyse ne saurait en effet lui faire prendre conscience que, si les Français votent ainsi, c’est bien parce qu’ils en ont majoritairement assez de sa politique dans tous les domaines et plus encore de ses prises de parole incessantes. Donc de sa si superbe personne.
Et c’est ici que la petite musique de l’article 16 de la Constitution trouve toute sa subtile saveur puisque c’est ce qui lui permettrait de se maintenir au pouvoir quelles que soient les conséquences de sa dissolution si parfaitement réfléchie, en particulier en cas de guerre civile dont il ne porterait aucunement la responsabilité…
Lisez Pierre-Stéphane Fort, « Le Grand remplaçant, La face cachée de Jordan Bardella ».
Beaucoup, tout en s’en défendant, se ravissent de la possible victoire du RN dans les urnes. Tout le monde se lâche, le déconomètre à idées nauséabondes du marché noir de ces mêmes idées est sur le point d’exploser.
Pourquoi s’étonner de la réussite des bas du Front quand les échecs successifs de ceux qui gouvernent sont patents ?
Par ailleurs, de droite, mais aussi de gôôche, on entend depuis des lustres la petite ritournelle du : l’économie on n’a pas prise ce sont les entreprises qui gèrent. Le malheureux citoyen écoute et se dit… ben j’vas voter pour celui qui m’assure la sécurité, au moins j’aurai pas tout perdu, puisque pour l’économie c’est foutu. La com fait tout pour faire grimper l’extrême droite.
D’un autre côté, not’Kadyrov étant pote avec Yves de Kerdrel, Geoffroy Lejeune et consorts, rien d’étonnant à cette fausse inimitié avec l’extrême droite, utilisation de leur vocabulaire en sus… Jordan doit l’émoustiller.
Ceux qui ne voient pas en lui quelqu’un de nocif pour les libertés sont idiots ou naïfs. Il a des propos, des attitudes, des amitiés, des mensonges, la liste est longue, des trahisons, les journalistes du Monde qu’il fait semblant de conseiller, Henry Hermand… la liste est longue également, qui ne trompent pas. C’est un traître né, très très à droite. Il considère quand il perd que les Français sont mauvais. Les Français le détestent, il n’y est pour rien, ils sont c*ns.
Il veut nous faire gober après son caprice, qu’il avait prévu la dissolution. Que nenni. Il bordélise le pays volontairement pour apparaître comme un recours. Le but ? Vous avez dit troisième mandat ? Il avait envoyé ses sbires, le voyou Ferrand, Raffarin… tâter le sujet dans l’opinion.
Rien ne l’intéresse que lui. Lui en boxeur, bras photoshopés, bave aux lèvres, lui avec des enfants, perso je laisse pas mon gosse traîner avec lui, lui en retard aux cérémonies d’hommages, lui tapotant des gens âgés insolemment, des héros de 44… lui, lui, lui. C’est un malade mental, comme tous les dictateurs, son idole, Poutine.
Vivement qu’il se barre.
J’ai abandonné le débat ce soir, c’est inaudible à la longue.
Par contre, d’un côté Attal qui fait le « coup du chapeau » à Jordy. En lui expliquant, pour le plus beau but, qu’avec leur réforme fiscale des jeunes, Mbappé serait exonéré d’impôts. D’un autre côté, chez Bompard c’est clair, à un degré différent, Attal facile aussi et qui a travaillé le fond.
On sent l’aisance des deux sur les chiffres. Son explication sur le calcul des retraites chez Bompard est d’une limpidité biblique, la maîtrise du calcul mental et la logique. Jordy était dans le coma avec deux débatteurs qui dominent ce qu’ils racontent.
Après chacun prendra ce qu’il voudra. Mais ce qui est sûr est que le FN/RN est toujours aussi fâché avec les comptes et les additions, reste encore beaucoup, beaucoup de boulot.
Dans tous les cas il faudra passer à la caisse, et pas en monnaie de singe.
Lire « L’ambigu M. Macron » ou « Le grand manipulateur » de Marc Endeweld. C’est fouillé, très pertinent.
Il veut le chaos. Il a la mentalité des pires dictateurs. Il méprise ses sujets qui sont des choses pour lui.
Attal est du même bois en beaucoup plus intelligent et sur le plan de la sensibilité.
Ces gens et leurs prédécesseurs nous ont mis dans le chaos et maintenant que leur part de marché s’effrite, ils s’égosillent contre l’hydre qu’ils ont nourrie.
Pitoyable.
Vivement qu’il se barre, tout un programme !
Votez Jérôme…
Certains disent que Macron a dissous parce que pensant que ses opposants n’étaient pas prêts.
Ce serait bien mesquin, mais la faute des opposants serait pire : qui réclame le pouvoir doit toujours être prêt à l’assumer. Les Anglais, pour mémoire, ont un gouvernement fantôme, savoir une opposition où des gens assument fictivement le rôle pour s’apprêter à prendre la relève.
Je sais qu’il y a de vagues tentatives d’imitation de cela en France, mais justement, ce ne sont que des velléités. Si la dissolution de Macron devait jamais servir à quelque chose, ce serait à savoir prendre le relais.
Mais en fait, plus profondément, je pense qu’il faudrait toujours se maintenir voire augmenter son niveau pour être une composante politique digne de ce nom, en opposant ou en gouvernant.
C’est quand même plus facile que d’être un remplaçant au foot, vu que ce dernier ne peut rien faire tandis qu’un opposant a l’opportunité de poser sur le débat voire les décisions politiques.
Tout de même, loin des vertueux Anglais, les gens ont tendance à nager dans le virtuel, et plus étonnant, comme au pouvoir, dans l’ambiguïté, dans l’opposition, comme on l’a vu dans le cas de la retraite, présumée plus alléchante chez les opposants, alors que non, finalement.
C’est comme si au restaurant on voyait un plat excellent pas cher sur le menu, mais qu’en fait il fallait comprendre qu’on l’aurait avec un gros supplément. On peut critiquer les extrêmes, je pense aussi qu’il y a le problème endémique du manque de sérieux de l’opposition en France.
Parce qu’est sérieux le pompier, l’urgentiste, et autre toujours prêt à remplir sa mission.
Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de procédure pour l’opposant qu’il faut faire n’importe quoi : l’écrivain ou la marathonien solitaire se met chaque jour à l’ouvrage, nom d’un Murakami, et bien des bénévoles d’association sont au bord du burn out.
Par rapport, en France, les politiques me semblent bien moins assidus. Le pouvoir coupe du peuple, l’opposition de l’impact que ses propos et actes auront… On critique les d’jeunes devant leurs écrans, coupés des autres et dans le virtuel, mais il en va de même de nos politiques.
Une telle coupure face au monde peut pousser aux extrêmes et à la course au privilège, jeu de rôle, on est le nouveau front populaire, Jupiter, ou on prévient ou prétend ne pas être Premier ministre sans majorité absolue, et pourquoi pas le triomphe sur son char ?