Nous avons une heureuse et douloureuse libération de la parole de femmes qui ont été victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles.
En même temps, au quotidien, dans les domaines politique, médiatique, culturel, social et démocratique où la parole devrait être naturellement reine et exemplaire, on ne peut se dissimuler qu’elle est rarement à la hauteur de ses magnifiques virtualités d’élaboration et de communication. Par exemple, la liberté d’expression qui s’affaiblit dans notre pays est le triste exemple d’une libération manquée.
J’éprouve la tentation, peut-être même l’obsession de tenter de dégager un dénominateur commun à la multitude de ces violences, de ces dégradations, de ces haines, de ces vulgarités et de ces hontes qui, aussi différentes qu’elles soient dans leur manifestation, semblent nous solliciter pour que nous en trouvions la clé.
J’entends bien que des interprétations immédiates permettent déjà d’avancer des explications sur certains scandales.
Par exemple, les pompiers et les médecins désormais caillassés dans des cités qui ne tolèrent pas qu’un monde professionnel officiel vienne troubler leurs malfaisants trafics. Et non pas, comme a osé le soutenir un médecin urgentiste CGT en légitimant presque l’inacceptable, parce que les pompiers seraient des militaires.
Ou une gravité accrue de la délinquance qui n’est plus entravée par une éthique élémentaire qui dans le passé protégeait les femmes âgées, les enfants, les infirmes, les prêtres.
Une police attaquée sans inquiétude ni vergogne parce que dans le climat actuel elle est quasiment présumée coupable et rendue même responsable des coups qu’elle reçoit.
Derrière ces phénomènes qui sont aux antipodes de ce que le père d’Albert Camus enseignait à son fils : « un homme, ça s’empêche », il est possible de déceler un débridement, un laisser-aller, une débauche, une libération, une absence radicale d’attention à autrui qui ont pour conséquence d’autoriser le surgissement du pire de soi.
L’augmentation considérable, en 2017, des voies de fait et menaces contre les médecins (Sud Radio) ne révèle pas seulement une répugnance institutionnelle mais une hostilité, voire une haine à l’encontre de tous ceux qui ont pour vocation de faire le bien ou de faire cesser le cours du mal. Pompiers, fonctionnaires de police embarqués dans le même opprobre.
Impossible d’occulter cette volonté perverse et sauvage de s’en prendre ici ou là, alors qu’il se croyait à juste titre intouchable, au camp du Bien, de ceux qui s’efforcent de faire tenir debout, modestement, courageusement, une société. On maltraite des vertus plus qu’on ne dégrade des lieux et qu’on n’offense des personnes même si le cumul n’est que trop souvent constaté.
On libère, on se libère.
Comment surtout ne pas s’interroger sur cet incroyable déferlement de ces derniers jours qui met en cause et révèle une multitude comportements vulgaires, indécents, agressifs, criminels enfouis dans les plis du temps, de la peur ou de l’impuissance ?
S’il est clair qu’on ne peut se mettre à la place d’une femme qui ressent comme une violence quelque atteinte sexuelle que ce soit, sans son consentement, qu’il y ait ou non contact physique, je voudrais cependant attirer l’attention sur le terme pénal « d’agression » qui a sans doute créé de la confusion chez certains « harceleurs » ne pouvant pas imaginer, par exemple, que tel ou tel attouchement, accompli comme sans y penser, dans une familiarité trouble, était assimilé par la loi à une « agression ».
Il y a évidemment, derrière ces actes de proximité et de quotidienneté délictuels, si peu dénoncés, rarement poursuivis, la longue histoire de l’inégalité entre les hommes et les femmes, les secondes étant réduites peu ou prou à des apparences qu’on flatte, qu’on touche et qu’on désire de la part des premiers trop longtemps englués dans une conception de la virilité qui s’autorisait tout. Le pouvoir des uns, la faiblesse des autres.
Toutefois je n’ai pas quitté mon thème central. Pour les harceleurs, ces agresseurs inconscients des ravages qu’ils causaient au détriment de la dignité et de la liberté des femmes, pour les « frotteurs » du métro, pour cette humanité qui s’abandonne, du geste le plus dérisoire en apparence à l’offense la plus traumatisante, il y a la certitude qu’ils ont le droit de libérer ce qu’ils sont sur l’autre du sexe opposé. Que l’extériorisation de leur envie est somme toute si consubstantielle à ce qu’ils sont qu’elle ne peut pas être incriminée ni coupable.
On libère, on se libère.
Ce que la politesse, dans notre société déréglée, aurait dû imposer comme retenue, respect et abstention, l’expansion revendiquée de soi l’a dégradé en incorrection, indélicatesse et emprise.
Se libérer à tout coup et à tout instant, c’est tout se permettre sur la gamme qui va de l’anodin au tragique. Hors de soi, point de salut ! On fait ce qu’on veut des autres.
Je ne méconnais pas l’extrême difficulté du partage entre une libération qui ennoblit – une affirmation de soi positive qui nous porte au meilleur de nous-mêmes – et celle qui, dans toutes les couches de la société, sous mille formes, n’est qu’une justification qu’on se donne ou un réflexe pour laisser le pire de nous-mêmes faire son oeuvre.
La libération est-elle coupable ?
J’avoue éprouver un certain malaise devant la reprise par Philippe Bilger du terme libération qui appartient au jargon marxiste-léniniste et qui est sinistrement connoté (« Saïgon a été libérée »).
Et en quoi les femmes par exemple, au pays qui a inventé l’amour courtois et le respect de la femme, auraient-elles été particulièrement oppressées ?
Évitons donc de reprendre ce genre d’expressions piégées, forgées à des fins subversives.
Par exemple, les pompiers et les médecins désormais caillassés dans des cités qui ne tolèrent pas qu’un monde professionnel officiel vienne troubler leurs malfaisants trafics.
Il est exact qu’une partie des agressions contre des intervenants extérieurs aux quartiers sensibles est imputable à ces trafiquants qui n’aiment pas trop être dérangés dans leur sordide commerce.
Mais n’oublions pas que de nombreuses agressions qui peuvent également viser des particuliers sont aussi le fait, dans un milieu communautarisé à l’extrême, de gens qui visent de façon évidente des cibles françaises ou symbolisant la France, en adoptant souvent des comportements qui, se masquant derrière un ressentiment de type anticolonialiste y compris chez des jeunes gens qui ne connaissent l’époque « coloniale » qu’à travers des caricatures, sont indubitablement racistes dans le fond…
« Le gouvernement cherche toujours la solution pour combler la «tuile» qui plombe ses comptes. L’État doit en effet rembourser aux grandes entreprises plusieurs milliards d’euros, en raison de l’invalidation par le Conseil constitutionnel de la taxe à 3% sur les dividendes instaurée en 2012. «L’amateurisme juridique a conduit à faire le plus grand cadeau fiscal jamais fait aux entreprises de ce pays», expliquait mercredi Christophe Castaner ».
Ne voit-on pas, ici, la libération de la tare native de l’homo politicus ?
L’Etat a prélevé une taxe indue, s’est fait taper sur les doigts et doit la restituer à ceux auxquels elle a été abusivement prélevée.
On ne va pas en plus s’excuser d’avoir été des amateurs…
Libérons la parole !
En conséquence, moi, porte-parole du gouvernement, je décris ce loupé des services de l’Etat comme « le plus grand cadeau fiscal fait aux entreprises… ».
Et sans façon je vais les taxer à nouveau du même montant, les garces !
Marchenoir a raison : même la Russie soviétique aurait hésité.
On libère la parole… on libère aussi la bêtise, la lâcheté, le mensonge et la trahison…
La libération est-elle coupable ? Dans le contexte actuel oui, dans la mesure où elle n’a pas été conditionnelle et sous surveillance étroite quotidienne des voyous dangereux et des criminels potentiels établis dans des cités bunkerisées labellisées des zones de non droit où armes et drogue détenues par les mêmes et vendues à d’autres criminels pour multiplier les attaques, les règlements de comptes entre bandes et enfin avoir fait prospérer le terrorisme. Ce n’est pas quelques policiers mal équipés avec leurs petites voiturettes qu’il aurait fallu envoyer sur le terrain brûlant mais dépêcher l’intervention de la BRI ou du RAID ou du GIGN avec des blindés avant l’heure et pas seulement une fois que tout a brûlé. Ca m’étonnerait que ceux-là aient été caillassés. Au premier jet de pierre ou violence verbale et physique, la justice aurait dû sévir de suite et pas leur dire que ce n’est pas bien. Mise à l’épreuve à l’issue du procès et les voyous à la carapace dure en rient. Ils n’en ont que faire de la réprimande et des leçons de morale avec neuf récidives au compteur.
De la libération de la parole à la libération par les actes, en bousculant les autres, il n’y a qu’un pas.
L’enfant commence à s’opposer en disant non à ses parents, curieusement c’est un des premiers mots qui suit le traditionnel et tendre Maman. Et si les parents ne recadrent (vilain mot anti-libération) gentiment et fermement le gamin, il finit par devenir un ado incontrôlable puis un adulte infernal dont l’égoïsme sera la donnée principale de son comportement.
La libération de la parole est considérée comme le droit de tout dire sans respect, ni de soi, ni des autres, et encore moins de la morale, qu’il faut extirper des esprits pour la remplacer par les valeurs républicaines qui présentent l’avantage d’être indéfinies et donc opposables à tout impératif.
La libération de la parole a commencé par le « coming out » où l’on se dénonce soi-même en provocation à la vieille morale qu’il faut effacer, geste considéré comme la suprême affirmation de soi, et ça finit par le « balance ton porc », la délation comme arme suprême de civilité en société.
Chemin faisant, je veux dire en marchant, le Président se lâche lui aussi par des amabilités qui pouvaient être dites plus finement si on lui avait appris la double politesse, la personnelle et celle du responsable, défaut évident d’éducation d’un Jupiter qui parfois se prend les pieds dans le tapis d’Œdipe.
Un individualisme dans l’expression verbale qui s’étend ensuite en individualisme social, aggravé par un communautarisme dont il ne faut pas nier la volonté de sortie du cadre général en espérant détruire ce cadre.
Le caillassage des pompiers et ambulances dans certaines banlieues n’est pas seulement la volonté d’éviter que la loi et l’ordre se mêlent de leurs affaires hors la loi, ce caillassage est aussi l’expression d’un refus, poussé au suicide s’il y a incendie, de faire partie d’une société que l’on récuse même lorsqu’elle offre des services de sécurité.
Être seuls, pour ne pas être avec les autres c’est-à-dire pour les récuser, les rejeter ailleurs et se fabriquer ainsi des territoires spécifiques.
Ce communautarisme a malheureusement des « chances » de s’amplifier et de s’étendre sous d’autres formes.
Il apparaît que Macron cherche à segmenter la société, en s’appuyant sur des statistiques, justes quant aux chiffres mais fallacieuses dans leur interprétation.
La logique fiscale qu’il met en place est une logique qui fragmente le corps social en fonction des revenus et des localisations géographiques.
Les moyens riches, l’avant-dernier décile, n’a pas droit à l’exonération de l’ISF, la classe moyenne supérieure va se voir supprimer les soutiens financiers à la famille et en même temps paiera la taxe d’habitation, les transporteurs n’auront pas la même loi du travail que les ouvriers dans les PME, etc
Chaque fois la séparation en groupe est justifiée par des éléments statistiques et l’argument d’efficacité.
Efficacité et prétendue justice sociale revues et corrigées par un néo-libéralisme qui s’illusionne en prétendant régenter une société par les données statistiques.
À chaque segment de la société ses règles fiscales et bientôt ses règles comportementales, sans oublier la discrimination positive qui arrive non pas en marchant mais en courant.
Ce matin mon dentiste m’a dit : vous avez de très belles dents et un très joli sourire… Docteur, est-ce que je dois porter plainte pour harcèlement sexuel avec mon sourire ultra bright ?
La libération de la parole n’est le fait que d’une poignée de féministes hystériques que les journalistes se complaisent à inviter non stop sur les plateaux de télévision car ça fait le buzz et ça émeut les faibles d’esprit. Depuis Weinstein, la France s’y met et on a droit chaque jour à son lot de « moi j’ai été outragée, moi j’ai été agressée, moi j’ai été harcelée ». En réalité, les mêmes, si un homme leur avait dit « oh tu es moche », se prendraient une cure de Prozac pour s’en remettre et crieraient à l’insulte sexiste.
La parole ne s’est pas libérée, me semble-t-il, c’est un leurre. Allez Mesdames, rentrez dans vos foyers, faites comme Cendrillon, attendez le Prince charmant et cessez de nous gonfler avec vos pseudo-harcèlements.
Le seul antidote sérieux contre la « libération » est l’autorité cher P. Bilger.
L’autorité qui est combattue systématiquement depuis une cinquantaine d’années.
Autorité parentale, professorale, étatique, citoyenne…
Pour relier avec la « libération de la parole des femmes », un peu d’autorité féminine ne ferait pas de mal dans la société : dans les transports en commun ou dans la rue, une bonne paire de claques bien sonore pour les excités du bulbe en calmerait plus d’un pour un moment.
Pourquoi les femmes ne le font-elles pas ?
Cordialement.
La libération est-elle coupable ?
Et déjà le premier commentateur de poser la question : le titre est-il innocent ?
Il y aura bien un zygoto pour affirmer : les faux tifs ne sont pas toujours coupables !
J’éprouve la tentation, peut-être même l’obsession de tenter de dégager un dénominateur commun à la multitude de ces violences, de ces dégradations, de ces haines, de ces vulgarités et de ces hontes qui, aussi différentes qu’elles soient dans leur manifestation, semblent nous solliciter pour que nous en trouvions la clé.
Cher monsieur Bilger, vous savez très bien quel est ce dénominateur commun. Pourquoi donc faire comme s’il n’existait pas en cherchant ailleurs de fausses raisons ? Parce que la vérité fait peur ? Ou bien encore parce que le contexte politique actuel nous empêche d’appeler un chat un chat, même et surtout s’il fait miaou ?
Et cette clé qui est en évidence à nos pieds, pourquoi refuser de la voir ?
Ne pensez-vous pas que les Français commencent à en avoir assez de cette façon de ne pas regarder la réalité en face qui rappelle ces leçons de moraline à deux sous assenées pour les endormir par des journalistes de connivence avec un indigne personnel politique de mèche, en feignant de croire qu’un simple appel à un civisme désincarné, sur un mode calqué sur les leçons de morale encore dispensées dans les écoles dans les années cinquante, suffirait à masquer des problèmes de fond extrêmement graves alors que leur cause réside avant tout dans la nature des profonds changements démographiques que notre pays a connus depuis un demi-siècle ?
Bien sûr, il est évident qu’il existe en France depuis longtemps des voyous et des gens qui ne se conduisent pas comme il le faudrait, mais qui peut honnêtement prétendre que la majorité des nouveaux types de crimes et délits pour ne pas parler de certains comportements, d’une nature totalement inconnue il y a encore cinquante ans, serait la résultante de mœurs typiquement franco-françaises ?
Il y a tout de même deux mots dont l’absence saute aux yeux dans cet article : immigration musulmane.
La présente vaguelette médiatique a été déclenchée par les moeurs un peu spéciales d’un micro-milieu, le monde du cinéma, dont la quasi-totalité des femmes (et des hommes !) ne feront jamais partie.
Puisqu’un petit nombre (pas tous) des hommes influents dans ce milieu se comportent de façon prédatrice, on fait honte au Français moyen d’être un homme, et on le met en demeure de s’excuser de crimes la plupart du temps imaginaires.
A ce sujet, une fois n’est pas coutume, j’aimerais tirer mon chapeau à Natacha Polony, qui, seule parmi beaucoup, a mis le doigt sur la véritable victime de cette affaire : l’homme normal, qui ne sera jamais PDG de quoi que ce soit et n’invitera jamais d’actrices à monter dans sa chambre. Elle a intitulé son article : « Eloge de la virilité ». Et en effet, la virilité ne consiste pas à se comporter comme Harvey Weinstein.
Cela étant, le déboutonnage est hélas général, et j’en veux pour preuve l’explosion de la grossièreté à la radio et à la télévision, y compris chez des gens présumés sérieux et doté d’un statut social confortable. Dans n’importe quelle émission politique ou économique, c’est désormais un festival de « conneries », de « connards » et de « rien à foutre ». J’attends le prochain député, haut fonctionnaire ou directeur de l’institut de quelque chose qui intimera à je ne sais quels fâcheux « d’aller se faire enc… », ce qui ne saurait tarder.
Les mêmes, soyez-en certains, mourraient de honte de se voir pris en train de fumer dans le studio, ou de faire état des conclusions de la science sur les différences d’intelligence entre les races.
On n’en finirait pas de donner es exemples et explications, les médias ayant des stocks inépuisables en réserve. Les artistes aussi, qui signent n’importe quoi et interviennent à tout propos, sans compter les intellectuels, jamais à court de spéculations fumeuses, voire criminelles.
Dans un pays relativement libre, peut-on espérer autre chose ? La parole et l’expression y sont libres, sauf si elles ne sont pas labellisées.
Résultat : le sinistre label « il est interdit d’interdire » a été à l’origine d’un déferlement de textes restrictifs de la liberté et répressifs, sauf à ne pas être appliqués, car confus, mal rédigés et d’inspiration brouillonne.
En revanche, est demeuré le principe selon lequel le révolté de gauche, négateur de ce qui l’entoure est digne d’écoute, le défenseur du même environnement est automatiquement un ennemi de la liberté.
Le régime actuel qui se vante de transformer la France ne s’attaquera pas à ce miasme car il est le terreau sur lequel prospèrent toutes les divisions favorables à des élections brouillonnes et porteuses de profits.
Sans doute, les nécessités politiques imposent-elles de filtrer les volontés individuelles afin de ne pas isoler le pays des réalités internationales et communautaires. C’est vrai aussi que les appels passés à l’unité nationale avaient des visées homicides et que les grands hommes que la République révère ont souvent été les bouchers de la population. Mais c’est vrai aussi que les Indiens Guayakis mangent de l’homme parce que c’est bon et je ne vois pas pourquoi leur opinion serait négligeable. Reste que certains choix politiques, repeints par les choix judiciaires,engendrent la perte de tout sens de la mesure, quand des êtres dangereux, reconnus comme tels sont en liberté entière, en raison des incapacités du régime qui les suspecte pourtant, mais que le résigné qui se rebiffe est immédiatement désigné en tant que nationaliste porteur de haine.
Cette inscription dans l’évolution, inéluctable, n’est pas encore à son acmé, et il faudra de très nombreux morts pour que la mentalité change. En raison du surpeuplement, ce n’est pas très grave et les mines horrifiées des « gens bien-pensants » à l’évocation d’un regard déplacé auront de quoi s’allumer lorsque les hordes « libérées » monteront des expéditions revendicatives.
Il n’y a pas de « yaka » dans cette affaire, aucun gouvernement n’est susceptible de redresser la barre, et d’ailleurs, dans quel sens ?
La seule chose qui compte c’est, d’une part, de ponctionner le plus d’argent possible à ceux qui en ont assez mais pas trop, d’autre part de permettre à ceux qui en ont trop d’accroître leur puissance afin de coincer ceux qui ont tout juste assez ou pas vraiment assez entre un Etat suspicieux et un emploi menacé, tout ce qui est médian devant disparaître, comme le reconnaissait récemment C.Villani, dans une interview lucide au sujet des emplois (Challenges).
Un tout petit exemple de l’hyperréalisme politique. Dans les années 70, M.Stoleru claironnait que l’immigration était une chance pour la France. Nous avons suivi son exemple, réaffirmé très souvent son slogan, mais la donne a changé ; l’immigration, autrefois laborieuse et maîtrisable, alimentée par des drames religieux, guerriers et simplement opportunistes est devenue la difficulté majeure de notre monde occidental.
Et cela aussi, c’est irréversible.
Quant aux prétendus révoltés contre la société : il n’y en a qu’un qui a justifié sa révolte : D.H. Thoreau.
@ sbriglia | 24 octobre 2017 à 09:20
« on libère aussi la bêtise, la lâcheté, le mensonge et la trahison… »
Vous êtes un maître en la matière quand je lis vos posts 😉
PS : Avant que vous ne me répondiez je voudrais vous dire : vous savez ce qu’elle vous dit la Bretonne ?
Après c’est open post(s).
Libération or not ? :D)
Comment ne pas évoquer ici le célébrissime et emblématique slogan de Mai 1968 « Il est interdit d’interdire », dont on se prépare à célébrer, paraît-il, le cinquantenaire en grande pompe présidentielle. S’imaginer que ce slogan n’a pas été sans conséquences serait une naïveté, ce qui semble être le cas de la philosophie libertaire du président de la République.
Cela dit, comment ne pas s’étonner que les milieux qui ont fait leur ce slogan soient les mêmes qui, depuis quelques jours, deviennent les tenants d’une « normalisatiion » à outrance des comportements intersexuels en faisant appel à toutes les ressources de « l’appareil répressif » (loi, censure, pénalisation, surveillance par la police et la justice, rééducation par l’école, etc.) qu’hier ils vouaient aux gémonies…!
Les coupables sont partout et suivent la liberté comme son ombre.
La libération c’est autre chose, lisons plutôt le géant de ces lieux, j’ai nommé M.Marchenoir et voyons comment et par quelle magie il fera entrer dans nos cervelles molles comme il se doit les durs préceptes qui sont les siens et donc vrais !
Il a relevé avec brio l’absence de deux mots, et il va résoudre l’énigme pour nous. Il sera lui poli et son langage châtié, cela nous fera le plus grand bien.
Cependant, il convient de se souvenir que l’usage de la liberté n’est hélas pas à l’abri du dérangement qui frappe de médiocrité les temps que nous vivons…
Et c’est un moment idéal pour se laisser convaincre par ce qui est bas et vil, c’est l’instant parfait pour se laisser aller à ces penchants abjects qui guettent tous ceux qui ne regardent pas avec un profond respect ce trésor de libération. Car il en est d’assez sots et d’assez stupides pour réclamer des chaînes là où la raison suffirait.
« Par exemple, la liberté d’expression qui s’affaiblit dans notre pays est le triste exemple d’une libération manquée. »
On ne peut que corroborer ce que vous dites et ici, dans votre blog, on a a contrario l’illustration de l’avantage d’espace de libre délibération où personne ne craint de décrire la réalité et d’analyser les raisons qui nous amènent à ces tristes observations. Cette liberté d’expression, cet objectif finalement inatteignable, me fait penser à ceux qui se vantent continuellement de leurs performances amoureuses sans qu’il y en ait la moindre preuve. Plus on en parle moins on en fait…
Par ailleurs je trouve que notre société se fragmente de plus en plus, que les antagonismes naturels dans toute démocratie s’inscrivent dans un contexte de violence verbale ou physique attisée par des prises de position et des déclarations grossières et violentes de la part d’hommes et de femmes politiques. Le but du jeu est de disqualifier ses adversaires en n’admettant pas que puissent exister d’autres opinions. Que l’on pense aux réactions des élus de « La France insoumise » ou des animateurs de radio et de télé qui blacklistent des « cerveaux tordus »…
A côté de ça, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, le « bisounoursisme » sévit partout. Remettre en cause les impacts du changement climatique vous met au ban de la société et remettre en question le bienfait de l’immigration de masse et du multiculturalisme vous expose aux foudres de LDH, de la Licra et de SOS Racisme !
Bref je n’aime pas trop l’époque !
Bonjour,
La libération, en particulier celle de la parole peut être la meilleure et la pire des choses.
La meilleure étant celle des grands penseurs et éminents scientifiques que l’on peut écouter sans modération car elle nous apporte une connaissance salutaire.
La pire étant celle de personnalités connues du grand public, qui utilisent leur notoriété pour nous asséner leurs truismes à deux balles sur fond d’humanisme éculé.
Ainsi que le disait le regretté Coluche : « Mieux vaut fermer sa bouche et passer pour un imbécile que l’ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet. »
Il n’y a pas d’autre culpabilité que celle d’un être qui nous aurait créés ; que nous soyons fruits du hasard ou d’un dessein, nous subissons notre mortalité, bêtise, mimétisme, donc lynchage et autres joyeusetés.
Ainsi donc, les croyants pensent que celui par lequel nous faisons le mal, loin de nous réparer et s’excuser de toutes les souffrances que nous endurons, se vengera sur l’objet de ses défaillances de créateur ! Voilà qui montre que l’idée n’est pas la justice et le salut du monde mais se placer face au puissant, précisément appelé le Tout-puissant, et de se réjouir d’autant plus d’être sauvé que les autres seront damnés.
Cependant, dans un sens élargi, on peut, si on veut, parler de culpabilité.
Alors, salive-t-on, la libération est-elle coupable ? Comme quoi les apéritifs, surtout pas mauvais, ne sont pas à dédaigner.
Coupable, oui et non, la libération peut être la meilleure ou la pire des choses, aux gens à mentalité d’esclave dé-chaîné, elle est la pire, pour leur inverse, la meilleure, et le marais entre les deux, elle ne change pas grand-chose.
Qu’est-ce que ça veut dire ? Eh bien, pour la plupart des gens, il y a du mieux et du pire, ce qui fait un équilibre.
Prenons la question des femmes. D’un côté, on a de moins en moins de préjugés contre elles. De l’autre, ceux qui en ont ou seraient fortement tentés de suivre l’appel du bas-ventre se retiennent moins qu’avant, puisque la retenue n’est plus une vertu tellement prisée.
Il faut donc la réhabiliter comme poursuivre la lutte contre les préjugés. Que d’efforts ! me dira-t-on. Certes, mais pour se détendre comme pour ne pas se prendre au sérieux, il y a tant, et de plus en plus, à croire que c’est providentiel, de divertissements.
La religion est le dénominateur commun d’une foule ; tandis que la spiritualité est une démarche personnelle propre à chaque personne.
La liberté, l’improvisation emportent loin et peuvent procurer le pire comme le meilleur.
https://www.youtube.com/watch?v=7gphiFVVtUI
La parole des femmes se libère, il paraît. C’est bien.
Bizarrement, pas de #balancetonporc, même pas de cris d’orfraie de médias français, il a fallu que ça vienne du net pour qu’ils en parlent… un peu, pour le millier d’agressions sexuelles de femmes allemandes commises par des « issus de » et autres « gentils migrants » lors de la nuit du Nouvel An 2016 à Cologne.
Pas de #balancetonporc non plus pour le nombre de viols de Suédoises par des immigrés qui explose. Pas de témoignages et on étouffe même les affaires, rien !
Et bien évidemment, pas de #Balancetonporc non plus pour balancer toutes les racailles ou les barbus de banlieue qui sont souvent les mêmes et qui pensent que la femme n’est qu’une machine à faire leurs enfants pour à plus ou moins long terme conquérir l’Europe par la démographie et en faire une nouvelle terre musulmane.
On imagine la starlette de banlieue qui veut se prendre pour une féministe et qui dit à une de ces raclures « Attention,si tu maltraites les femmes je vais te balancer sur #balancetonporc ! ». Après lui avoir mis deux claques dans sa face il lui dit « Rentre à la maison salope sinon je te démonte la tronche ».
Bref, le « porc », c’est toujours le même !
Le mâle blanc qui est coupable de tous les maux de la terre.
On va bien rigoler quand à force d’avoir été maltraité, ce « mâle blanc » en aura marre et laissera faire, ce qui est déjà en train de se passer puisque depuis 68 il n’a plus rien dans le froc, la femme devra défendre elle-même ses droits contre les musulmans intégristes.
Vous avez vu comment ça marche bien dans les « banlieues » le féminisme ? Hehehe.
Libération de quoi ?
Mais du père, toujours du père, et pour en finir, il faudra détruire tout ce qui dans notre encombrante conscience, pourrait encore nous faire distinguer le bien du mal.
C’est pourquoi dans ce combat du diable contre Dieu, on retrouve la main dans la main, le criminel et l’intellectuel.
La vie de tous les jours nous apprend que dans de très nombreuses situations, agir consiste à faire beaucoup plus que parler, qui est cependant en soi tout de même, un début à l’action dans sa préparation.
Mais comment et pourquoi passer à l’action quand ont été, savamment quant ce n’est pas insidieusement, construites comme des forteresses des barrières économiques et sociales, entretenant alors dans une large frange de l’opinion un non approfondissement des situations diverses mais bien réelles ?
La non action conduit à laisser prospérer des situations de déséquilibre, qui à l’évidence apparaissent comme néfastes pour le groupe. Elle ne pourra qu’amplifier nombre de déséquilibres, souvent complexes, mais dont certains pourront atteindre un point de non retour, et se révéler avec toutes les conséquences en termes de désordres socio-économiques et bien évidemment écologiques au sens large. Il faut espérer que des chefs éclairés et visionnaires sauront « faire », en imposant au plus grand nombre la direction due aux générations qui montent.
@ Achille
« La libération, en particulier celle de la parole, peut être la meilleure et la pire des choses. »
Ah, donc déjà la liberté en général pose un problème à Achille.
Apparemment il préfère les esclaves et les aliénés aux gens « libres » (on ne l’est jamais vraiment mais c’est un autre sujet). Pour résumer, c’est un fasciste et probablement qu’il ne le sait même pas lui-même.
Sinon, au sujet de la parole selon Achille, il y en a qui ont le droit de parler parce qu’ils sont supposés être intelligents (bon, pour se mettre d’accord sur les critères de l’intelligence pour peu qu’il n’y en ait qu’une seule ce qui n’est pas sûr du tout, c’est une autre histoire mais c’est un détail pratiquement sans importance…) et les autres ils n’ont plus qu’à se taire.
Devinez dans quel catégorie se place Achille ?…
Tiens, en parlant de Coluche : « Mais jusqu’où s’arrêteront-ils ? »
@ Wil | 25 octobre 2017 à 01:20
L’alcool est un fléau. Vous en êtes l’exemple permanent sur ce blog.
La liberté n’est que la conscience des contraintes qui nous bornent, s’extraire de cette réalité n’aboutit qu’à confondre désir et droit.
« On va bien rigoler quand à force d’avoir été maltraité, ce « mâle blanc » en aura marre et laissera faire, ce qui est déjà en train de se passer puisque depuis 68 il n’a plus rien dans le froc, la femme devra défendre elle-même ses droits contre les musulmans intégristes.
Vous avez vu comment ça marche bien dans les banlieues le féminisme ? Hehehe. »
Rédigé par : Wil | 24 octobre 2017 à 23:41
Je pense que vous vous trompez.
Autant les féministes sont bec et ongles contre le mâle blanc dont elles savent que, au fond, elles ne craignent rien, autant elles sont toutes prêtes à se soumettre au mâle coloré, comme le prouvent de nombreux exemples de l’actualité.
C’est finalement peut-être les misogynes qui ont raison : elles cherchent un mâle qui les remette à leur place. Et leur hystérie névrotique n’est que le reproche inconscient fait aux blancs de ne plus se comporter comme des hommes.
Et non pas, comme a osé le soutenir un médecin urgentiste CGT en légitimant presque l’inacceptable, parce que les pompiers seraient des militaires.
Personne ne trouve donc un peu malsaine cette alliance entre le caducée et le poing levé ?
Ceci dit, les militaires, qui sont prêts aussi à se sacrifier pour que nous puissions continuer d’exister, sont aussi malheureusement la cible de certains de leurs compatriotes de papiers, même si ce point est souvent couvert par l’omerta hiérarchique.
Il y a plusieurs années de cela, un général était invité par une radio libre et évoquait les missions dévolues aux militaires français en intervention en divers points du monde.
Les auditeurs ayant eu la possibilité de poser des questions à l’invité, je lui ai fait parvenir celle consistant à lui demander en substance s’il était normal que des soldats français qui étaient capables d’évoluer aisément sur des terrains étrangers réputés dangereux aient en France à déployer des ruses de Sioux pour éviter de faire passer des convois à travers certains quartiers sensibles où leur présence était (et est encore) considérée comme une provocation.
Le brav’ général a manifestement été interloqué un temps, avant de répondre que les convois militaires empruntaient les autoroutes (comme si au sortir de leurs casernes ils pouvaient avoir directement accès à une autoroute).
Mais sur le fond, que se passerait-il si, en cas de guerre chaude, nos militaires et ceux qui les soutiennent devaient se méfier des réactions souvent hostiles, sur le sol français même, de millions de leurs compatriotes de fraîche date ?
@Wil 25/10 01:20
« Ah, donc déjà la liberté en général pose un problème à Achille »
Et sans doute n’en pose-t-elle pas qu’à Achille !
Car la liberté peut être effectivement la meilleure mais aussi la pire des choses. Tout dépend de l’usage qui en est fait. Que pensez-vous de ceux qui se retranchent derrière cet alibi, qui en son nom ne se fixent plus aucune limite, et cela pour justifier l’accomplissement d’actes pourtant répréhensibles ?
La liberté a ses règles, elle a ses limites. En quoi adopter ce point de vue vous collerait-il une étiquette de fasciste ?
@Wil
« Pas de #balancetonporc non plus pour le nombre de viols de Suédoises par des immigrés qui explose. Pas de témoignages et on étouffe même les affaires, rien ! »
Je me souviens que participant à un comité de rédaction d’une revue sur le développement durable, j’avais, avec d’autres collègues, à donner un avis sur un article évoquant les violences faites aux femmes dans la zone « Méditerranée-Proche-Orient ».
Un tableau chiffré indiquait que l’Espagne venait en tête pour le nombre de femmes battues. Comme je m’étonnais du classement où n’apparaissait pas l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l’Algérie, bref ces pays où les femmes sont considérées (sauf exception car il y en a) comme un sous-ordre de l’espèce humaine, il me fut répondu qu’aucune statistique ne le révélait !!
En revanche pour tous les pays de la zone UE, on avait pléthore de chiffres !
J’ai mis mon veto pour la publication de cet article !
L’aveugle et le réverbère…
…de femmes, rien que de femmes !
Les hommes, cela n’est jamais victime de rien, ce sont juste des coupables en permanence.
Tous les hommes sont des « salopards », sauf son altesse l’honorable honoraire et ses aficionados.
– Pourquoi ne pas mettre tous les hommes en prison dès 21 ans ?!
– Pourquoi ne pas tuer tous les enfants mâles ?
– Pourquoi ne pas promulguer une loi qui impose l’avortement dès qu’un embryon est identifié comme étant un mâle ?
Sauvons l’humanité, exterminons tous les mâles !
« Ce sont toujours les mêmes, tout le monde le sait, il suffit de regarder, ce sont toujours les noirs qui sont fainéants, ce sont toujours les arabes qui sont des délinquants, ce toujours les juifs qui ont de l’argent, ce sont toujours les blancs qui sont pédophiles, ce sont toujours les mâles les coupables ».
Sauf son honorable honoraire et ses disciples.
1° Le Monde : https://frama.link/LYLzeU8A
2° https://frama.link/9jSzMzFe
@ Franck Boizard | 25 octobre 2017 à 08:49
« Autant les féministes sont bec et ongles contre le mâle blanc dont elles savent que, au fond, elles ne craignent rien, autant elles sont toutes prêtes à se soumettre au mâle coloré, comme le prouvent de nombreux exemples de l’actualité.
C’est finalement peut-être les misogynes qui ont raison : elles cherchent un mâle qui les remette à leur place. Et leur hystérie névrotique n’est que le reproche inconscient fait aux blancs de ne plus se comporter comme des hommes. »
M.Boizard s’y connaît, et nous instruit… Sinon, vous êtes vous-même dans quelle catégorie ?
D’après vos écrits vous n’êtes pas un « mâle coloré », vous n’êtes pas « une femme hystérique », vous n’êtes pas un banal « mâle blanc » ce qui supposerait que vous n’auriez pas vos attributs à leur place…
Occuperiez-vous parmi vos congénères une place indéfinie, mais très supérieure ?
Si j’utilise votre méthode de raisonnement, j’en arrive à la conclusion que vous êtes sans aucun doute l’Homme que cherchait Diogène, ce pauvre cynique n’a pas eu l’heur de vous rencontrer, non, il n’a eu qu’un quidam devant son soleil, un grand, très grand quidam…
Parler peu et se taire permet de réfléchir, mais vous n’en avez pas besoin. Vifs compliments !
@ Wil
Achille et Aliocha devraient vous inciter à quelque réflexion sur les limites de votre liberté à agresser vos petits camarades.
Il est certes très difficile de discerner ce qui en soi relève de la psychologie de la psychiatrie, mais voilà un défi à l’intelligence qu’il vous appartient de relever.
A défaut, vous pouvez tout au moins limiter vos propos à l’argumentation, vous verrez que vous en tirerez une salutaire satisfaction.
En tout cas, ça ferait du bien aux autres…
@ Michel Deluré | 25 octobre 2017 à 09:19
« La liberté a ses règles, elle a ses limites. En quoi adopter ce point de vue vous collerait-il une étiquette de fasciste ? »
Pour ce brave Wil, quiconque ne pense pas comme lui est un fasciste en puissance.
Il fait partie de ces soi-disant libertaires humanistes qui exigent la liberté totale pour tous y compris les séditieux et qui une fois au pouvoir ont pour première mesure celle de « réguler » la liberté d’expression.
Les exemples de ces exaltés qui veulent le bonheur de leur peuple, s’il le faut malgré lui, ne manquent pas.
@ Exilé | 25 octobre 2017 à 08:52
« Mais sur le fond, que se passerait-il si, en cas de guerre chaude, nos militaires et ceux qui les soutiennent devaient se méfier des réactions souvent hostiles, sur le sol français même, de millions de leurs compatriotes de fraîche date ? »
La réponse est toute simple : notre armée de pacotille ne ferait pas le poids contre nos millions de chances pour la France qui possèdent en toute impunité un arsenal de milliers d’armes de guerre.
En outre ils ont la connaissance parfaite de leur terrains de prédilection pour toutes sortes de trafics impunis eux aussi, et un immense réservoir de boucliers humains soumis apeurés dans ces teucies où ils règnent en maître par la violence, les intimidations, menaces et chantages ; donc même la meilleure armée du monde se verrait bloquée par la trouille de bavures inévitables sur des civils exposés par la caillera, les tirs de snipers depuis les innombrables toits d’immeubles et les embuscades provocs à répétition ; ni la police, ni l’armée ne sont entraînées pour une guerre urbaine qui serait illimitée dans le temps.
Sans évoquer les alliés puissants de ces « populations » : la gauche toute entière, les écolos, les Verts, les Insoumis, les NPA, les droites molles collabos, les LDH, les associations SOS CRAN MRAP HALDE, les juges rouges du SM mur des cons, les procureurs intellos bobos animateurs des tribunaux de notre service public gauchiste, Amnesty international, l’ONU, la Constitution, etc. etc. ça en fait du monde !
Quel dirigeant serait assez fou pour prendre une décision kamikaze de cette ampleur, sachant qu’il serait condamné par le TPI et finirait sa vie à moisir dans une geôle « humaniste » ?
Comme d’habitude, le peuple mouton le soutiendrait au début mais le lâcherait à la moindre odeur de roussi.
La vertu gauchiste reprendrait ses droits et les troupeaux continueront à se laisser tondre.
Complainte des Français
Et maintenant que vais-je faire
De tout ce temps que sera ma vie
De tous ces gens qui m’indiffèrent
Maintenant que tu es pourrie
Que fait-on maintenant ?
On crève pourquoi pour qui et pour laisser la place à qui ?
@ caroff | 25 octobre 2017 à 09:59
« Comme je m’étonnais du classement où n’apparaissait pas l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l’Algérie, bref ces pays où les femmes sont considérées (sauf exception car il y en a) comme un sous-ordre de l’espèce humaine, il me fut répondu qu’aucune statistique ne le révélait !!
En revanche pour tous les pays de la zone UE, on avait pléthore de chiffres ! »
Il suffit d’avoir vécu en dehors de France, en particulier en Afrique noire et dans les pays musulmans, pour se rendre compte qu’une grande partie de nos médias et bon nombre d’organisations font du « pro-racisme » tout en se croyant antiracistes.
A persister à faire des Africains et des musulmans les victimes des sales colonialistes blancs que nous sommes supposés être, ils ne se rendent pas compte qu’ils font passer Africains et musulmans pour des faibles, des demeurés incapables de se défendre seuls.
A force de prétendre les protéger et de hurler au racisme, ils obtiennent exactement le contraire, ils tapent tout simplement sur les nerfs du pékin lambda qui n’a jamais eu la moindre pensée raciste, au point de lui rendre les prétendues victimes odieuses.
Qu’ils laissent aux Africains et aux musulmans leur dignité et le soin de la défendre eux-mêmes au lieu de les infantiliser, ils sont parfaitement capables de le faire.
Pas fous d’ailleurs, ils en profitent !
Si nos médias nous disaient, en détail, ce que les Africains se font entre eux en Afrique, et de même les musulmans chez eux, ils aideraient Africains et musulmans. Le problème est que les gouvernements de ces pays ne sont pas en mesure de mettre en place des statistiques de ce genre, ils ont bien d’autres problèmes à confronter.
Quant à ce que faisons subir à nos femmes, la chose ne date pas d’hier ou de Hollywood, elle existait bien avant Hollywood et le cinéma.
Télévisions et médias de tous genres permettent enfin de la mettre à jour, aux femmes de mener leur propre combat, ce qu’elles ne pouvaient faire avant.
Ce n’est pas un drame que nous vivons aujourd’hui, au contraire c’est la résolution d’un vieux problème, c’est un bienfait, à la justice de se montrer à la hauteur de l’événement et aux hommes de comprendre qu’il s’agit d’une évolution de notre civilisation à laquelle ils doivent prendre part.
Si nous maîtrisons enfin ce problème chez nous, Afrique, Maghreb, Moyen-Orient, Inde et autres suivront. Les femmes africaines, musulmanes, indiennes sont parfaitement au courant de ce qui se passe chez nous, l’exemple est là pour elles.
Ou nous sommes le pays phare de ce monde en matière de liberté et de dignité humaine, il l’est pour moi, et pour Macron il me semble, ou nous ne le sommes pas !
Arrêtons de pousser des cris d’orfraie et agissons comme les cartésiens que nous sommes supposés être. Le problème est enfin posé clairement, à nous de le résoudre.
@ Wil | 24 octobre 2017 à 23:41
« Pas de #balancetonporc non plus pour le nombre de viols de Suédoises par des immigrés qui explose. »
C’est assez surprenant, car c’est la fachosphère, terme inventé par le journaliste Daniel Schneidermann, qui a inventé cette statistique.
C’est un Suédois d’extrême droite, P. Pj Jonasson, qui a inventé la statistique, qui l’a balancée sur Facebook et la fachosphère l’a reprise. Seulement ce Jonasson n’indique jamais d’où il tient ses chiffres.
C’est le « Brå », Brottsförebyggande rådet, qui gère la statistique judiciaire et il n’indique pas cela du tout. Surprenant !
https://frama.link/_pSCcwpo
Je suis surpris que la fachosphère n’indique jamais de sources officielles.
Le site officiel, en anglais : Rape and sex offences
https://frama.link/5t66TQno
C’est surprenant de voir que la statistique s’arrête en 2016, alors que la fachosphère affirme avoir la statistique de 2017, l’année n’étant même pas terminée.
Quand nous regardons la quantification des viols sur la colonne O, c’est potentiellement le même chiffre depuis 2011. L’explosion, elle est où ?!
Sans compter si l’on ramène au prorata de la population ; la population en Suède a-t-elle diminué, augmenté…
https://frama.link/LVRqXfru
La nationalité des violeurs où se trouve cette statistique, merci de nous la donner !
Par exemple, les pompiers et les médecins désormais caillassés dans des cités qui ne tolèrent pas qu’un monde professionnel officiel vienne troubler leurs malfaisants trafics.
Voici un exemple parmi d’innombrables autres – il suffit de lire la PQR – montrant que les agressions commises contre les pompiers (ou bien d’autres services ou personnes) ne sont pas nécessairement liées aux activités des trafiquants et que l’acharnement voire la haine déployés à leur encontre révèlent une lame de fond bien plus vaste :
« Les entraves sur la route sont très fréquentes, confie le chef du centre de secours de Viry-Châtillon. Mais, cette fois-ci, c’était particulièrement violent. »
http://www.leparisien.fr/essonne-91/prison-ferme-pour-avoir-bloque-un-camion-de-pompiers-01-06-2012-2027226.php
Libération ?
Merci les Espagnols de France.
Hidalgo veut libérer Paris des automobiles…
Martinez s’emploie à libérer les entreprises des entrepreneurs…
Pour Mélenchon, pas de liberté pour les ennemis de la Révolution…
Valls veut libérer le pays de Mélenchon et des soi-disant Insoumis…
Et maintenant les anti- ou les a- macroniens vont avoir affaire à Castañer…
@ Wil
@ Franck Boizard
Si la civilisation occidentale devait sombrer, ce ne serait pas la faute des femmes ou du féminisme, remettons les choses à leur place. Mais du syndrome munichois qui peut prendre certains citoyen.ne.s (que pensez-vous de l’écriture inclusive ?).
Sérieusement, je crois l’inverse plus probable.
C’est parce que l’Occident se critique lui-même que même dans des pays arabo-musulmans les mouvements de libération de la femme gagnent en force, avec, notamment, des « dénonce ton porc » locaux.
Ceci dit, si je me réjouis de cette évolution pour les locaux, le plus important pour ce qui nous concerne est de demeurer ferme contre les mauvaises influences que nous pouvons subir d’eux comme de continuer à progresser, dans tous les domaines, sans les attendre.
Avec comme objectif, entre autres, de nous tourner vers l’avenir s’il doit y en avoir un, c’est-à-dire le Pacifique.
@Michel Deluré
@Achille
La liberté en général doit avoir une contrepartie, c’est la sanction immédiate en cas de dérapage.
Rudolph Giuliani, ancien maire de New York, avait affiché comme consigne la tolérance zéro, ce qui lui avait permis de remettre de l’ordre et de la sécurité dans la ville.
Chez nous le laxisme a pris le dessus au fil des années et on excuse beaucoup trop les actes de délinquance ainsi que les atteintes à l’autorité de l’Etat au sens large.
Pendant les cinq années de pouvoir de gauche, ceux que l’on qualifiait de « sauvageons » ont prospéré avec une certaine mansuétude des pouvoirs publics au nom du « surtout pas de vagues ».
Il est grand temps de se réveiller, d’ajouter à notre devise la tolérance zéro et de la faire appliquer avec une main qui ne tremble pas.
Un dérapage, une sanction immédiate qui marque. Dissuader pour prévenir !
Sans cela notre démocratie sera en perdition.
Qui va oser pour que l’Etat se fasse respecter et pour permettre aux citoyens de vivre en paix ?
Le sujet, la « libération », est bien abordé et ne doit pas être oublié.
La question n’est pas ici de savoir si la France et ses valeurs doivent être mobilisées face au phénomène de la violence à l’égard de l’autorité et du harcèlement à l’égard des femmes.
Le renvoi à l’immigration comme cause majeure est inefficace, en tout cas hors sujet.
Il me semble que Philippe Bilger pointe le déficit de morale personnelle de tout un chacun. Et ce indépendamment du contexte culturel et social français.
Tous les hommes doivent se forger cette morale personnelle, qu’ils vivent à Riyad, Rangoon, Los Angeles ou Paris. Les religions, les traditions locales, ne sont au fond qu’un environnement.
Le renvoi à Camus dit au fond que tout homme doit s’interroger, se « moraliser ».
La solution est là, pas ailleurs.
« …la longue histoire de l’inégalité entre les hommes et les femmes. »
Chez les poissons, cette inégalité se décline de diverses manières. Par exemple chez les poissons-clowns qui se nourrissant essentiellement de plancton, entretiennent une relation d’échanges avec une dizaine d’espèces d’anémones de mer en ce que le poisson nourrit son anémone de divers débris qu’il trouve alentour tandis que l’anémone aux tentacules secrétant une substance toxique mortelle pour d’autres poissons, le protège des prédateurs du fait même desdits tentacules contre le poison desquels le poisson-clown secrète pour sa part un mucus protecteur spécifiquement adapté au venin de son anémone, cette dernière est le royaume d’une grosse femelle qui passe son temps à houspiller une dizaine de mâles, induisant ainsi chez ces derniers un stress les empêchant de changer de sexe et de se transformer une femelle qui lui disputerait son territoire. Lorsque d’aventure cette reine des clowns disparaît, le plus gros mâle n’étant plus stressé se transforme en dominant femelle qui se met aussitôt en demeure de houspiller les autres mâles tout en formant un couple avec l’un d’entre eux plus petit, qui sera sexuellement actif jusqu’au jour où il finira femelle, lui aussi, à la mort de sa reine, les autres mâles demeurant dans une sorte d’immaturité sexuelle jusqu’à ce qu’un événement extérieur fournisse les conditions pour qu’il en soit autrement.
Curieusement, chez les humains, c’est la femelle qui se transforme en individu « poilouse… », lorsqu’elle n’est plus « houspillée » par le mâle avec lequel elle forme un couple sans devenir l’objet des attentions d’un autre mâle.
Fort heureusement pour les mâles de notre espèce, ce n’est pas sur les mœurs des pieuvres que les femelles de notre espèce ont pris modèle, car chez ces animaux au sang bleu et non pas rouge, dotés d’une grande intelligence, et dont un individu a réussi à prédire le résultat de matchs de foot entre 2008 et 2010, la femelle une fois fécondée, ce qui lui prend tout de même quelques heures, ne manifeste malgré ses trois cœurs, aucun affect particulier envers son partenaire, à moins qu’il ne s’agisse de passion dévorante, puisqu’elle en fait son prochain repas, à l’exception d’une seule espèce, la grande pieuvre rayée du Pacifique qui nonobstant son nom n’est pas plus imposante qu’une balle de tennis, et qui se contente d’étrangler son partenaire jusqu’à l’extrême limite de l’asphyxie pour finir par se montrer clémente et desserrer l’étreinte.
On dit que dans les jeux (vidéos etc.) l’adversaire est souvent représenté par la pieuvre. Cela donne à penser que dans l’inconscient de l’espèce humaine, l’adversaire est telle la Méduse, (Μέδουσα / Médousa, de μέδω / médô, « commander, régner ») au regard insoutenable, ou telle Kali, autre image d’une divinité primordiale représentée munie de multiples bras, avec à son cou une guirlande de cranes qui représenteraient les 51 lettres du sanskrit, et vêtue d’un seul pagne formé de bras coupés, les yeux et la langue rouges, enfin comme celle du dieu Ogme, une peau noire (bleu sombre). Cette déesse de la préservation, de la transformation et de la destruction représenterait le pouvoir destructeur du temps son nom est donné d’ailleurs comme un dérivé du mot kāla qui en sanskrit signifie « le temps qui détruit toute chose » mais aussi la force qui détruit les esprits mauvais, en particulier le mal sous toutes ses formes, notamment sous la forme de l’ignorance (avidyā), de la jalousie et des passions, on dit également que ce nom viendrait du Rig Véda où il signifierait juste «une langue tirée toute noire ».
Cette déesse hindoue serait dans le cadre de la psychologie analytique, l’un des archétypes, à savoir, l’anima ou encore le principe féminin créateur de l’univers. Un hymne dit « Mère Kali contient la forme de toutes les choses/ Elle est la vraie forme de tout corps/ Quelle que soit la forme qu’elle prend, Homme ou femme / C’est une forme extraordinaire. » Femme de la sublimation, celui qui la respecte est libéré de la peur de la destruction. A bon entendeur…
Maintenant, on se demande tout de même comment ça se fait qu’avec un panthéon tel le panthéon védique, la situation des femmes est en Inde devenue si difficile.
Qu’est-ce qui dans la femme est si insoutenable à l’homme qui ne la respecte pas ? Ou encore que combat en lui-même de si insoutenable l’homme qui ne respecte pas la femme ?
Je pose la question à la gent masculine du blog.
@Achille
Peut-être que l’alcool est un fléau et que j’en suis l’exemple permanent sur ce blog, allez dire ça aux artistes alcooliques et drogués (quasi pléonasme) qui ont fait certains chefs-d’oeuvre de l’histoire de l’art.
Mais peu importe, même quand je suis complètement torché à deux heures du matin, je suis souvent plus intelligent que vous.
Vous devriez comprendre que ça en dit plus sur vous que sur moi.
@ Franck Boizard
Vous avez raison et c’est cette hypocrisie toute féminine que je dénonce.
Une femme qui d’un côté veut une carpette comme mec et qui va lui reprocher ensuite et quand il lui mettra une claque la lui reprochera également, donc quelqu’un qui ne sait pas qu’il veut, une femme quoi.
Combien de fois entend-on des ex-femmes battues venir dire ensuite : « Oh mais vous savez, il n’était pas si méchant ». Pfff.
Comment ça je suis misogyne ? Mais po du tout, j’adore la femme ! C’est la plus belle « chose » de l’univers !
Quel intérêt de vivre pour un homme sans la femme ? Aucun. Et je ne parle pas seulement de sexe.
Et comme je suis totalement pour l’égalité des sexes et que j’aimerais ne pas les prendre pour des c…es, j’aimerais qu’elles ne me prennent pas pour un c…
C’est tout.
@ Michel Deluré
« La liberté a ses règles, elle a ses limites.En quoi adopter ce point de vue vous collerait-il une étiquette de fasciste ? »
Non, la liberté n’a pas de limite dans l’absolu. Dire que la liberté a ses règles et ses limites est un oxymore.
On impose des limites à la liberté pour le vivre ensemble et avec raison sinon c’est la loi du plus fort parce que l’être humain qui se croit supérieur est en fait trop stupide pour vivre avec ses congénères en bonne intelligence.
Mais ce n’est pas de la faute de la liberté mais de la bêtise de l’homme.
Est-ce fasciste de mettre des limites à la liberté ?
Non bien sûr.
Mon commentaire était outrancier (évidemment j’étais bourré) et en réponse à la bêtise outrancière d’Achille qui disait que certains auraient le droit de parler parce qu’ils sont intelligents et d’autres de la fermer parce qu’ils sont c*ns ou juste parce qu’ils ne disent rien de fulgurant. Où est-ce que cela commence ? Qui dit ce qui vaut le coup d’être dit ou pas ?, etc., ce qui a mis un idolâtre de la liberté d’expression comme moi qui est même pour laisser dire les appels au meurtre (personne n’est obligé de passer à l’acte) et se limite juste à la propriété intellectuelle artistique et seulement dans certains cas.
Sinon pour moi, tout le monde à le droit de dire toutes les stupidités qu’il a envie de dire. Il ne ridiculise que lui-même. Regardez moi !
Et en tout cas, sûrement pas un droit de parole basé sur la supposée supériorité intellectuelle de certains sur les autres.
Ca, c’est du fascisme !
@ Exilé | 25 octobre 2017 à 08:52
« — Et non pas, comme a osé le soutenir un médecin urgentiste CGT en légitimant presque l’inacceptable, parce que les pompiers seraient des militaires. »
« — Personne ne trouve donc un peu malsaine cette alliance entre le caducée et le poing levé ? »
Effectivement : médecin, CGT, cherchez l’erreur. Je dirais même plus : urgence, CGT, cherchez l’erreur. Cela n’est naturellement possible que parce qu’un « médecin urgentiste » est un fonctionnaire. De même qu’une « infirmière » est forcément fonctionnaire, et un « hôpital » forcément public — enfin, dans l’inconscient français.
Dans la réalité, il y a, même chez nous, des tripotées d’infirmières libérales (oh ! le vilain mot) et d’hôpitaux privés (une chose tellement dégoûtante qu’ils n’ont même pas le droit à l’appellation d’hôpital : on les nomme des cliniques). Mais ça ne fait rien : tout le monde sait bien que ce sont les fonctionnaires qui nous sauvent de la maladie, et que seul un homme payé par l’Etat (ou une femme ! n’oublions pas les femmes !) a les compétences nécessaires pour nous soigner. Dès lors que tu reçois tes honoraires directement de la main de ton patient, ton QI chute vertigineusement et tu commences à confondre le rhume des foins avec le cancer des pieds.
De même, les pauvres n’infirmières sont toujours censées se dévouer corps et âme dans d’horribles conditions de travail, à croire qu’elles travaillent bénévolement ; mais c’est toujours aux infirmières publiques qu’on fait allusion en disant cela, jamais aux infirmières du privé. Je serais infirmier dans le privé, je l’aurais mauvaise : si je comprends bien, tout le monde suggère que les infirmières libérales travaillent peu, mal et gagnent des fortunes.
(Vous noterez la logique tordue stato-gauchiste : puisque les infirmières du public sont mal payées et outrageusement surmenées — admettons –, alors il s’ensuit que l’hôpital public est la plus belle chose depuis l’invention du pain grillé, et il ne faut surtout pas toucher aux principes de Notre Système de Santé que le Monde Entier nous Envie. Comprenne qui pourra.)
L’autre invention admirable de la machine de propagande socialiste clandestine, c’est la figure christique du Médecin Urgentiste De Gauche qui montre tout le temps sa bobine à la télé pour parler de tout et n’importe quoi — et en général pas de médecine.
Tout le monde aura reconnu l’ineffable docteur-Patrick-Pelloux, le promoteur de l’immigration de masse qui a l’air, lui, de disposer de beaucoup de temps pour faire autre chose que soigner ses patients — et à nos frais, s’il vous plaît. Comme quoi, si les infirmières travaillent douze heures par jour (je demande à voir), ce n’est pas le cas de tout le monde.
Il fut un temps où les médecins étaient banalement de droite (côtoyant la mort, le médecin est peu porté à croire qu’on puisse inventer l’Homme Nouveau) ; cette funeste époque étant derrière nous, le Médecin Urgentiste vous explique que si vous ne votez pas à gauche, il sera (à son grand regret) dans l’impossibilité de vous sauver de la crise cardiaque, le jour venu.
La médecine ? C’est le docteur Patrick Pelloux. Le monde du travail ? C’est Gérard Filoche. L’Algérie ? C’est Benjamin Stora. Et ainsi de suite. Le fait que tous ces gens-là soient d’indéfectibles militants de gauche, voire carrément communistes pour certains, est naturellement dû au hasard.
@ Noblejoué
« Si la civilisation occidentale devait sombrer, ce ne serait pas la faute des femmes ou du féminisme, remettons les choses à leur place. Mais du syndrome munichois qui peut prendre certains citoyen.ne.s (que pensez-vous de l’écriture inclusive ?). »
Là on est d’accord. Enfin presque, c’est dommage.
En ce moment, si on parle de la civilisation occidentale qui devrait sombrer, il faut avouer que les femmes n’aident pas vraiment avec leur stupidité de féminisme hypocrite qui vise seulement le mâle blanc qui fait ce qu’il peut la plupart du temps, ou peut-être pas assez… mais de toutes façons, il n’en fera jamais assez. Mais qui fait assez quand ça va mal ?… Personne.
« Sérieusement, je crois l’inverse plus probable.
C’est parce que l’Occident se critique lui-même que même dans des pays arabo-musulmans les mouvements de libération de la femme gagnent en force, avec, notamment, des « dénonce ton porc » locaux. »
Evidemment l’autocritique des peuples occidentaux depuis 68 environ montre que c’est la bonne solution pour que ces « arriérés de peuplades musulmanes » se convertissent aux valeurs occidentales. C’est flagrant !
Mais vous êtes en plein déni de réalité !
Il suffit de venir faire un tour dans ma ville de banlieue qui n’est pas la pire, mais si vous voulez du safari et de l’aventure je peux vous faire visiter Trappes où j’ai grandi et vécu 25 ans.
Vous allez voir comme le « monde musulman » s’ouvre aux « idées des Lumières ».
Vous allez adorer !
@Exilé | 24 octobre 2017 à 09:06
« J’avoue éprouver un certain malaise devant la reprise par Philippe Bilger du terme libération qui appartient au jargon marxiste-léniniste et qui est sinistrement connoté (« Saïgon a été libérée »). »
La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale a eu lieu du 19 au 25 août 1944, marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode a mis un terme à quatre années d’occupation de la capitale française.
Est-ce sinistrement connoté ?
« Et en quoi les femmes par exemple, au pays qui a inventé l’amour courtois et le respect de la femme, auraient-elles été particulièrement oppressées ? »
En ceci :
Les premiers baccalauréats datent en France du XIIIe siècle avec l’apparition de l’Université de Paris (la Sorbonne) qui fut à ses débuts, une sorte de corporation de maîtres et d’élèves apparue vers 1150. […]
Le bachelier (il ne s’agit alors que de garçons) peut ensuite préparer la licence de sa faculté afin d’obtenir le droit d’enseigner (licencia docendi = permission d’enseigner) dans celle-ci.
Ce baccalauréat qui de nos jours représente à la fois un diplôme terminal des études secondaires ainsi que le premier grade universitaire, enracine sa dénomination dans la locution latine bacca laurea, c’est-à-dire “couronne de laurier”.
Cette couronne restera inaccessible aux femmes jusqu’en 1861 date à laquelle subit cet examen à la faculté des Lettres de Lyon, une Vosgienne de Bains-les-Bains, une certaine Julie-Victoire Daubié que révolte le manque de qualification de nombre d’enseignantes des écoles de filles. Elle entreprendra ensuite une thèse de doctorat sur le sujet de La Condition de la femme dans la société romaine que son décès de la tuberculose laissera inachevée.
C’est à partir de 1924 toutefois lorsque les programmes secondaires pour garçons et filles deviennent identiques, que le baccalauréat s’ouvre véritablement aux filles.
Flics, pompiers, médecins caillassés tabassés cramés etc.
Dans toute la France, ces scénarios d’agressions de plus en plus violentes deviennent routiniers ; prenons le cas de Nantes :
Nantes : agressions à répétition de plus en plus terribles depuis des mois, dans la démission et l’indifférence générales des autorités, des pouvoirs publics et des élus, de gauche bien entendu.
4 contrôleurs gravement blessés
17 agents très choqués
2 bus vandalisés
Ce n’est que la partie visible de l’iceberg, le bilan est atroce pour ces employés terrorisés, sans qu’aucune réponse ne soit apportée à cette situation calamiteuse, qui ont donc défié l’inertie de leurs responsables en cessant le trafic.
Enfin, une réaction cinglante et courageuse est venue d’un élu de gauche :
« Je condamne fermement cet arrêt de travail des employés de la société de transport » !
RAS, nada, rien vu rien entendu.
Alléluia !
@caffer
Le renvoi à l’immigration comme cause majeure est inefficace, en tout cas hors sujet.
Il est plus facile de s’enfermer dans le déni de réalité et de pratiquer la politique de l’autruche que de regarder en face les vérités qui dérangent, surtout si elles viennent contredire de manière formelle les théories universalistes droit-de-l’hommistes et leurs corollaires d’élucubrations pour bisounours du genre tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.
Tous les hommes doivent se forger cette morale personnelle, qu’ils vivent à Riyad (…)
Eh bien dans ce cas allez donc l’expliquer sur un parvis de mosquée à Riyad, Kaboul et autres lieux.
Si vous en revenez vivant, vous pourrez nous raconter comment votre brillante théorie a été accueillie.
@Wil | 25 octobre 2017 à 23:23
« Peut-être que l’alcool est un fléau et que j’en suis l’exemple permanent sur ce blog, allez dire ça aux artistes alcooliques et drogués (quasi pléonasme) qui ont fait certains chefs-d’oeuvre de l’histoire de l’art.
Mais peu importe, même quand je suis complètement torché à deux heures du matin, je suis souvent plus intelligent que vous. »
Allons bon, vous vous prenez pour Baudelaire maintenant ? En toute modestie, bien sûr ! ☺
Il est vrai que ce bon Charles avait tendance à aligner les verres, mais aussi des vers magnifiques. Hélas, en ce qui vous concerne, vous en êtes resté au premier stade.
Quant à mon intelligence, je n’ai pas l’intention de faire un concours avec vous. Mais ne vous inquiétez pas pour elle. J’ai réussi à faire avec elle tout au long de ma vie active et je m’en contente encore aujourd’hui.
Vous devriez faire de même, peut-être que ça vous éviterait de trop solliciter votre bouteille.
@ Wil | 26 octobre 2017 à 02:03
Ce que vous nommez « l’autocritique des peuples occidentaux » je le relierai aux exercices spirituels pratiqués depuis l’Antiquité par les épicuriens ou à l’examen de conscience chez les pythagoriciens.
Regarder nos actes et en déterminer comment nous améliorer ne me paraît pas vilipendable…
@ Catherine JACOB
Vous ne pouvez ignorer que la raison d’être du qualificatif « sexe faible » est dans l’inaptitude de la femme à contrôler ses émotions ainsi qu’à l’aperception (cela figurait dans le Lalande ancienne édition et y a été supprimé car le politiquement correct règne même dans les dictionnaires de philosophie…).
La cause en est physique, du fait de la plus grande perméabilité des deux côtés du cerveau chez la femme que chez l’homme ainsi que l’a établi depuis longtemps l’imagerie médicale.
C’est pourquoi, de Marc Aurèle à Montesquieu, l’éducation de la femme doit la conduire à savoir faire preuve de réserve. A défaut, elle tend à utiliser « les quatre vérités » et « la langue de vipère » pour atteindre son homme, et cela se traduit soit par une brutalité pour la faire taire – verbale ou physique avec parfois la mort à la clef – soit par un divorce et ce sont les enfants qui trinquent.
Je suis sûr qu’entre nous, ces choses-là peuvent être dites, fût-ce au grand dam des harpies du féminisme.
@ Achille
@ Jabiru
De cet échange avec Wil, j’en tire finalement l’enseignement que la liberté a au moins un point commun avec l’alcool : un usage excessif peut être dangereux !
Cela me confirme donc dans l’idée qu’elle doit être elle aussi consommée avec modération.
@ Michel Deluré | 26 octobre 2017 à 09:22
Je suis arrivé à la même conclusion que vous.
Boire ou écrire il faut choisir ! ☺
@ Wil | 26 octobre 2017 à 02:03



« …arriérés de peuplades musulmanes »
Décidément, vous ne maîtrisez vraiment rien vous ; pas plus votre haine qui vous revient à la figure.
« Musulman » cela ne peut pas être un peuple ou des peuplades, c’est un fait religieux.
« Musulman » n’a aucun rapport avec l’Islam ; c’est une confusion faite sur plusieurs siècles ; confusion volontaire, pour nuire.
La religion, c’est mahométanisme, mahométisme, musulmanisme, moussoulmans.
– Dictionnaire de Chrétien de Troyes – 1170.
Le mot est : Sarrazin, page 1021.
http://www.atilf.fr/dect/lexique/DECT_Francais_20141201.pdf
– Dictionnaire de 1330.
1° http://www.atilf.fr/dmf/definition/mahométien ; cliquer sur l’onglet : complet.
2° https://frama.link/NrXWeUaq
– Mahométisme – Encyclopédie Diderot et d’Alembert
https://frama.link/unTKotK2
« Islam » n’entre dans la langue française que pour désigner un pays, une surface géopolitique et juridique constituée en Etat sur la base d’une religion, de ce fait : Islam, c’est déjà politique et non laïc, ni séculier. Il est donc faux d’affirmer : islam politique, car l’islam, c’est politique, comme le Vatican.
– La Bibliothèque Orientale ou dictionnaire universel – d’Herbelot 1687, avec privilège du Roy.
D’ailleurs, les mahométans ont pour prophète Jésus, placé par Dieu au-dessus de tous les autres.
Sourate 2 – 253.
« Parmi ces messagers, nous avons favorisé certains par rapport à d’autres. Il en est à qui Allah a parlé ; et Il en a élevé d’autres en grade. A Jésus fils de Marie nous avons apporté les preuves, et l’avons fortifié par le Saint-Esprit. »
Jésus est le seul prophète d’ordre divin, ce que n’est pas Mouhammad.
Sourate 3 – 59.
« Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit “Sois” : et il fut. »
La Torah et les Evangiles appartiennent aux mahométans.
Sourate 3 – 3.
« Il a fait descendre sur toi le Livre avec la vérité, confirmant les descendus avant lui. Et Il fit descendre la Torah et les Evangiles. »
Jésus est cité plus de 26 fois, les Evangiles 12 fois, la Torah 20 fois, Meriem (Marie) 45 fois, Muhammad 4 fois.
Et ça, ce sont les Evangiles, c’est biblique, c’est Jésus qui appelle au meurtre !
@Catherine JACOB
La libération de Paris pendant la Seconde Guerre mondiale a eu lieu du 19 au 25 août 1944, marquant ainsi la fin de la bataille de Paris. Cet épisode a mis un terme à quatre années d’occupation de la capitale française.
Est-ce sinistrement connoté ?
Ce qu’il faut normalement appeler en français une délivrance, comme par exemple la délivrance d’Orléans par Jeanne d’Arc, a bien entendu été un événement remarquable, ayant rempli d’une joie légitime les Parisiens en particulier et les Français en général.
Il est cependant regrettable que cet épisode historique ait vu son image dégradée, involontairement ou non, ou probablement suite à la bêtise de gens qui ignoraient tout de la dialectique marxiste, par le recours à un terme utilisé à des fins révolutionnaires .
Rappelons que dans le contexte de l’époque certains libérateurs roulant pour un certain pays de l’Est visaient des objectifs qui dépassaient largement la seule victoire sur l’Allemagne.
@Robert Marchenoir
« …médecin, CGT, cherchez l’erreur. Je dirais même plus : urgence, CGT, cherchez l’erreur. »
J’adhère à l’ensemble de votre commentaire, en particulier en ce qui concerne l’habitude prise par les journalistes actuels de faire appel, par conformisme ou par paresse, à des syndicalistes extrémistes ou bien par exemple à des docteurs-en-sociologie-spécialistes-de-l-extrême-droite marqués à l’extrême gauche pour évoquer divers sujets de société, que tout ce petit monde aborde de façon complètement biaisée ou bien en frelatant l’histoire à qui mieux mieux.
Ceci dit, ce que je trouve dérangeant sous un angle moral est que le caducée qui renvoie à Hippocrate et au serment éponyme rempli du respect charitable de la vie et de la personne (serment hélas bien malmené de nos jours également par certains médecins « de droite ») soit associé au poing levé, symbole de haine et de violence.
@ Wil
« Il faut avouer que les femmes n’aident pas vraiment avec leur stupidité de féminisme hypocrite qui vise seulement le mâle blanc qui fait ce qu’il peut la plupart du temps, ou peut-être pas assez… mais de toutes façons, il n’en fera jamais assez. Mais qui fait assez quand ça va mal ?… Personne. »
Les féministes ont tort mais vous aussi. Elles ont tort de trop s’en prendre aux hommes blancs, les hommes blancs de s’en prendre à elles. Car en somme, elles se libèrent d’une chose assez infâme : de l’oppression des pères, des frères, des compatriotes, de gens qui devraient être leurs loyaux compagnons. Les humains sont déloyaux : voir la manière dont les hommes, donc en retour les femmes, traitent l’autre sexe. Et elles le font sans violence autre que verbale… Ce n’est pas si mal.
Certes, elles peuvent être injustes, en demandant trop à leurs hommes, en oubliant l’oppression pire subie par les autres femmes et qui pourrait bien leur retomber dessus. Que vous dire ? Presque tout le monde est injuste, et donc, ne mérite pas que j’en fasse grand cas. Je voudrais du moins être le plus juste possible. Devenir un peu plus mélomane, pourquoi pas ? Mais c’est la justice qui me paraît le plus important… Quel agenda ! Et en plus, ça ne donnera sans doute rien, mais si on se laisse aller, on régresse, alors… La morale c’est marcher ou crève.
« Il suffit de venir faire un tour dans ma ville de banlieue qui n’est pas la pire, mais si vous voulez du safari et de l’aventure je peux vous faire visiter Trappes où j’ai grandi et vécu 25 ans.
Vous allez voir comme le « monde musulman » s’ouvre aux « idées des Lumières ».
Vous allez adorer ! »
Les banlieues sont un des derniers endroits civilisables ! Car les descendants d’immigrés, trop souvent, sont chez nous sans être encore nous, or c’est ce qui est le presque semblable, le proche inaccessible qui est le plus facteur de ressentiment !
Les torts sont partagés… Le traitement difficile, mais il est sûr que qui n’est pas parfaitement intégré comme Français et se voit partiellement de culture arabe à une époque où cette dernière a justement perdu tout prestige est dans une identité fragilisée ne favorisant pas les remises en question, trop de banlieusards sont dans une situation de défaite semblable mais non causée par celle due à une colonisation, voilà pourquoi ils ressortent celle subie par leurs ancêtres.
Il faut pouvoir s’appuyer sur quelque chose pour être assez fort pour se remettre en question.
Pourquoi l’Asie nous concurrence-t-elle en économie, en culture, en science, et j’en oublie, et le Moyen-Orient, non ? Déjà, nous ne sommes pas dans les rivalités idiotes, les monothéistes chrétiens contre les mahométans.
Ensuite, la Chine, le Japon, n’ont pas été souillés par des colonisations. Or ce sont deux pays importants là-bas. L’Inde me paraît plus compliquée, mais ne s’en tire pas si mal, et le reste est au fond sous ces trois influences culturelles fondamentales.
Enfin, ces civilisations sont drôlement plus sûres d’elles que l’occidentale ou la moyen-orientale : pas besoin des autres, de convertir les autres, cette propension à nuire aux autres autant qu’à en dépendre. La Chine, l’empire du Milieu, le Japon, connu pour son dynamisme culturel au moment de sa plus grande fermeture, demandez à qui de droit si vous voulez des détails, sont des exemples de fichez-moi la paix, et quand on retrouve sa parfaite autonomie, ah oui, on va jouer à vos jeux et vous battre.
Savoir se fermer, savoir imiter… L’inverse des mahométans, et dans une certaine mesure, de nous. Nous ne savons pas respirer !
Donc, en haut, il y a l’Asie, plus bas, les pays mahométans du Moyen-Orient, avec des différences, et tout en bas, les banlieues occidentales. Au Moyen-Orient, chacun essaie d’être fier de ce qu’il peut : les Égyptiens de descendre des pharaons, les Tunisiens d’être à l’origine des révolutions arabes et les seuls encore libres…
Bref, chacun peut essayer de se raccrocher à quelque chose pour progresser, le passé étant gage d’avenir. C’est ce qu’il faut ! Ne pas nier ses manques et ses tares mais se fonder sur le bien en soi pour en faire advenir un plus grand.
« L’offense traumatisante », c’est celle d’un système qui par tous ces mécanismes accepte, encourage, perdure, cultive l’offense irréversible d’abandonner volontairement les victimes.
Vous ne me ferez pas croire que toutes ces bonnes personnes décideurs de Justice tremblent devant tous les malfrats. Non, ils sont à genoux parce que ça les arrange et surtout de continuer à se faire entretenir par le bon peuple dans des postes pseudo-importants.
Questionnez les victimes, toutes vous répondront la même chose et ça ne changera pas, même avec Macron.
Je me marre quand j’entends tous ces gens nous dire que ça va finir par une guerre civile. Elle est déjà là, la guerre civile.
Sevran, Seine-Saint-Denis :
« Ce motard d’une compagnie de sécurité et d’intervention (CSI) avait fait feu à huit reprises pour se dégager dans la nuit du 14 au 15 juillet… A leur arrivée, les six policiers de la CSI ont été pris à partie par une cinquantaine d’individus… Cinq avaient pu s’échapper… Revenant sur les lieux peu après, ils avaient trouvé leur collègue au sol, le visage en sang, le casque cassé et la visière arrachée… Un jeune homme de 18 ans avait été découvert à quelques pas de là, avec une blessure par balle au ventre. »
Au passage, il s’agit du département dont Tomas nous assurait il y a quelque temps que l’immigration n’y posait absolument aucun problème, puisqu’il l’avait constaté lui-même de visu.
Nous avons aussi la Kristallnacht tous les jours, dans l’indifférence générale.
Marseille :
« Yoni, qui porte la kippa, a été agressé en centre-ville un matin de juin. «Un Maghrébin m’a pointé un revolver entre les deux yeux, en me disant“mets-toi à genoux”, raconte-t-il. M’est venue l’image des prisonniers de Daech. Je lui ai coincé le bras, mais il m’a frappé au thorax avec une masse qu’il tenait dans l’autre.» Au commissariat, «on m’a demandé s’il avait crié “sale juif”, poursuit-il. Comme ce n’est pas le cas, on m’a dit que ce n’était pas un acte antisémite, et l’affaire a été classée. » «
Allemagne, 1938 :
« Heinrich Müller, chef de la Gestapo, enjoint aux forces de police de ne pas s’opposer aux actions contre les Juifs. »
France, 2017 :
« Cela fait maintenant cinq mois que Sophie, Laurent et leurs trois enfants ont dû quitter, en catastrophe, leur pavillon de Romainville, en Seine-Saint-Denis. Après s’être fait cambrioler en mars, cette famille retrouve un matin de mai sa voiture pneus crevés, taguée au tournevis en grosses lettres : «Juif», «Israël», et une étoile de David… «Ça fait trop, ils vous ont repérés, partez !», leur conseille la police. »
La seule différence est que nous n’avons pas le nom de l’homme qui a donné les ordres.
Ah oui, au fait : « Sophie, prénom modifié », nous dit Le Figaro. Hier encore, c’était le nom des agresseurs musulmans que l’on dissimulait, pour ne pas leur faire de la peine. Aujourd’hui, c’est le nom de leurs victimes, pour ne pas les mettre en danger.
@ Achille
« Allons bon, vous vous prenez pour Baudelaire maintenant ? En toute modestie, bien sûr ! »
Ah bon ? Vous me l’apprenez… quel honneur vous me faites ! Merci.
Vous voyez, même vous, vous me dites que quand j’écris j’ai l’air d’un mauvais Baudelaire alors que je n’en ai aucune idée.
Après tout, mieux vaut être un mauvais Baudelaire qu’un disque dur vivant.
« Il est vrai que ce bon Charles avait tendance à aligner les verres, mais aussi des vers magnifiques. »
Pfff ! Put**n, celle-là, j’aurais jamais osé la faire. C’est pitoyable. Vous devriez avoir honte.
Je vous assure Achille, on pourrait jouer comme ça aussi longtemps que vous le voulez, vous n’aurez jamais le dessus.
Je l’ai déjà dit ici, il n’y a aucune honte à laisser tomber quand on tombe sur plus intelligent que soi. Ca m’est arrivé comme à tout le monde. C’est d’ailleurs la chose la plus intelligente à faire dans ce cas.
Comme disait Audiard : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent.”
Si vous ne comprenez pas ça, vous ne faites que montrer au monde que vous êtes stupide.
D’un côté, vous êtes drôle mais comme je m’ennuie très vite surtout avec les c**s, j’arrête le jeu.
Vous êtes trop intelligent pour moi, je ne suis pas au niveau. Félicitations ! Vous avez gagné votre place dans les livres d’histoire. Le monde se souviendra de vous comme d’un grand esprit de son époque. HIP HIP HIP HOOURAAAAAH !
Mais rien ne vous empêche de continuer tout seul. Comme dit M.Bilger au sujet de son idole du moment, qui sait, peut-être que vous non plus n’avez besoin de personne pour réfléchir tellement vous êtes intelligent.
@Noblejoué
Donc pour résumer votre propos, j’ai raison mais j’ai tort mais j’ai raison…
Ah non pardon,c’est « un peu » réducteur, effectivement.
« Bref, chacun peut essayer de se raccrocher à quelque chose pour progresser, le passé étant gage d’avenir. C’est ce qu’il faut ! Ne pas nier ses manques et ses tares mais se fonder sur le bien en soi pour en faire advenir un plus grand. »
Allez, c’est pour vous ce soir. Félicitations, vous l’avez bien mérité.
https://www.youtube.com/watch?v=YtrJw8Koylc
@ will
« Donc pour résumer votre propos, j’ai raison mais j’ai tort mais j’ai raison… »
C’est-à-dire que le monde est complexe ! Donc rien d’étonnant à être partiellement d’accord et partiellement en désaccord.
On me traite de pessimiste – comment peut-on vivre en pensant comme ça ? – des tordus même m’imaginent pervers ou complotant, on me traite d’idéaliste.
Eh bien ! A part la perversion et le complot, tout est vrai… Je vois le bien, j’ai du mérite, il n’y en a pas beaucoup, le mal et le moindre mal, et j’ai même un idéal, mais je ne vous le dirai pas, je préfère rectifier mon… image ! De nos jours, ça compte.
Alors moi, je suis Corto Maltese ou Mort Cinder.
Vous n’avez qu’à faire des recherches, je ne m’agite pas plus que mes deux héros !
@ Noblejoué
Continuez comme vous avez envie de le faire et envoyez paître tous ceux qui voudraient vous faire faire autrement. Et si au passage vous arrivez à être heureuse, tant mieux.
Jusqu’à preuve du contraire on n’a qu’une vie, qui passe comme un claquement de doigt.
Un jour on a vingt ans et on croit qu’on a le temps et le lendemain on en a cinquante et c’est déjà fini (vous verrez que ceux de vingt ans ne vous regardent plus pareil).
https://www.youtube.com/watch?v=bHokx2L1wi4
@Wil | 27 octobre 2017 à 22:51

Adresse utile :
http://www.alcooliques-anonymes.fr/
Ne me remerciez pas ! ☺
@ Achille
Vous êtes définitivement complètement c.. ! Un disque dur vivant comme j’ai dit. De la culture mais pas de cerveau.
Vous avez vraiment l’impression d’être drôle avec le lien des alcoolos anonymes ?
C’est tout ce que vous avez pour essayer de m’atteindre ?
Vous croyez que me traiter d’alcoolique alors que je passe mon temps à le dire et quasiment le revendiquer, vous allez blesser mon ego ?
Donc, AVIS A LA POPULATION DU BLOG DE M.BILGER, WIL EST UN ALCOOLIQUE et il vous emm**de !
Voilà Achille.
C’est tout ?
Vous vous croyez un intellectuel et vous êtes devenu un troll. Félicitations.
Continuez comme ça, vous êtes sur la bonne voie.
@ Wil
Achille a avoué plusieurs fois avoir un humour, hum, on dira, pas évident.
Moi, le vin ne me dérange pas, une des significations de mon pseudo étant une référence à un vin !
Je trinque donc à l’amour du vin.
@ Wil | 28 octobre 2017 à 23:16
« Donc, AVIS A LA POPULATION DU BLOG DE M.BILGER, WIL EST UN ALCOOLIQUE et il vous emm**de ! »
En plus être raciste en se pochtronnant la gu_._le en arabe, ça va faciliter la camouflage !
Ah oui, alcool, c’est un mot arabe, donc alcoolique, c’est presque la même chose qu’islamiste !