Entretien avec Bertrand de Labbey

 

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Décryptage #10 - Foot 1 - On a eu peur mais Payet!

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  1. Sympa ce bonhomme, un côté vieille France, excellente éducation, il a su s’asseoir de trois quarts face à PB pour marquer une distance aristocratique, alors que souvent les invités semblent attablés.
    Son admiration pour Gilbert Bécaud est un tantinet incompréhensible, je l’ai vu dans les années 70 au Mozambique donner un concert au cinéma Gil Vicente à Lourenço Marques, alors la capitale, devenue aujourd’hui Maputo, c’était une ruine, ensuite on a été dîner au « Piri-Piri », spécialiste des poulets entiers grillés à la sauce piquante. Quand j’ai vu ce type s’asseoir sur le trottoir avec ses trois musicos pour jouer les soixante-huitards, je suis rentré chez moi.
    Pour trois minutes de génie, trente ans de carrière sont injustifiables.

  2. Mary Preud'homme

    Des hésitations dans le langage qui frisent le complexe ainsi que plusieurs références à sa famille dont il attendait, dit-il, l’approbation pour aller de l’avant, voire exister sont quelque peu gênantes. Sans compter des gestes qui trahissent une angoisse permanente et quasi juvénile…
    Un homme souvent qualifié d’éminence grise qui a manifestement du mal à prendre la lumière, y compris celle très discrète de votre salon !

  3. Serpentaire

    Eh bien je suis séduit.
    C’est la première fois que je vois et écoute un « Entretien » de Philippe Bilger !
    J’ai donc du « plaisir sur la planche » étant donné tous les entretiens qu’il a obtenus !

  4. Les temps changent, les générations se succèdent et les métiers évoluent, celui d’impresario comme les autres. Après avoir pris la dénomination d’agent artistique il faut qu’il s’adapte aux nouvelles technologies et à l’usage qu’en fait le public.
    Dans cet entretien Bertrand de Labbey explique les raisons de son départ du monde de la chanson pour celui du cinéma lorsque la vague « yéyé » a été balayée par une autre vague sur le rivage du divertissement où les idoles d’hier sont immolées sur l’autel de la consommation. J’ai moins compris les raisons des changements actuels, je n’ai pas saisi le terme « d’uberisation » qui fait vraisemblablement référence aux pratiques de locations ponctuelles.
    De nos jours, il est devenu plus facile de télécharger un film sur internet que d’aller le voir le jour de sa sortie le mercredi entre 10h00 et 14h00. Pourtant, le nombre de places vendues dans ce créneau horaire est un paramètre déterminant utilisé par les professionnels du secteur du divertissement pour décider de la suite du projet qui se construit autour du film.
    Un autre paramètre essentiel est le politiquement correct qui agit comme une gangue et contraint la parole et les écrits. De nos jours, pour remporter des distinctions, il vaut mieux faire partie d’une minorité visible, montrer des ébats entre personnes du même sexe et avoir un nom à consonance étrangère.

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