« Face aux faibles condamnations contre les violences sexuelles et au sentiment de ne pas être entendues, certaines victimes ont choisi une solution radicale, la loi du talion » (Le Parisien).
Outre que la loi du talion est une régression civilisationnelle qui manifeste aussi bien une éthique personnelle défaillante que la faiblesse de l’autorité de l’État, elle révèle, de la part de ces femmes, la méconnaissance d’un certain nombre de principes essentiels à l’État de droit.
Les « faibles condamnations » qu’elles dénoncent relèvent d’un fantasme fondé sur la conviction que toutes les violences sexuelles devraient être mises sur le même plan et imposer, pour chacune, la sanction maximale. Ce qui est contraire aux règles élémentaires de la Justice.
Par ailleurs, à la cour d’assises, je n’ai jamais requis de peines « faibles » pour les crimes sexuels, quand aucun doute n’existait sur leur matérialité et leur imputabilité.
Depuis, sous l’influence positive de MeToo, je suis persuadé qu’aussi bien devant les tribunaux correctionnels que pour la justice criminelle, la pente n’est pas à l’indulgence mais à la rigueur. Avec parfois le risque que toute dénonciation d’une violence sexuelle soit perçue forcément comme vraie.
En effet, derrière cette révolte d’une minorité appliquant la loi du talion, il y a la volonté perverse de sortir les violences sexuelles de la justice ordinaire, avec ses preuves, ses doutes, ses contradictions, ses possibles relaxes ou ses condamnations justifiées.
C’est l’argumentation que j’ai développée dans mon « MeTooMuch? » : non pas une critique sur le fond de ce mouvement mais sur la présomption de culpabilité pour tout homme visé par une plainte de nature sexuelle.
Ces réserves me rendent d’autant plus attentif, et indigné, face aux agressions sexuelles. « Dans les transports, les jeunes filles en première ligne » (Le Figaro). Selon les services de police ou de gendarmerie, « le nombre des victimes enregistrées pour violences sexuelles dans les transports en commun ont augmenté de 86 % entre 2016 et 2024 ». Les mineures représentent plus d’un tiers des victimes dans le métro, bus ou RER. Cette évolution déplorable met en évidence « un climat d’insécurité banalisé » et « la peur d’alerter les autorités compétentes ». C’est ce qu’explique très bien Julie, âgée de 17 ans : « Comme mes amies j’ai la crainte de ne pas être crue. J’essaie de penser d’abord à d’autres méthodes pour m’en sortir, plutôt que d’appuyer sur le bouton de la borne d’appel ».
Quelle honte devant ces comportements d’hommes, souvent protégés par le bouclier de la cohue, usant de mots grossiers ou s’en prenant par des gestes à des jeunes filles tétanisées par la peur.
J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre…
Des femmes n’ont pas à se faire justice, des jeunes filles à avoir peur…
Je ne sais pas si je l’ose, mais la loi du talion serait aujourd’hui un progrès sur les terres où elle fut inventée.
« J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre. » (PB)
Sans vouloir minimiser vos capacités physiques ni augmenter le courage des témoins, un champion de MMA dont je ne me souviens pas du nom, conseillait de « fuir ». En fait il sous-entendait que la probabilité de vous retrouver face à une arme, couteau etc. était grande.
Après, les réactions peuvent être incontrôlables.
Vous auriez sans doute la chance d’être reconnu et un entourage de protection se former comme bouclier…
Compliqué tout cela quand on ne peut mettre dans la foule un gardien de la sécurité derrière chaque voyageur.
Pour maîtriser un cinglé il faut être en forme et ne pas avoir les bras qui tremblent, il faut s’attendre à tout.
Le colonel Goya cite souvent : « Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent », tiré du film « Cent Mille Dollars au soleil » (1964), réalisé par Henri Verneuil.
Ce n’est pas faux, l’image est bonne, mais là-dessus on peut nuancer, au centre d’entraînement commando à l’époque de Verdun, j’ai croisé des petits secs comme des triques, qu’il valait mieux ne pas chatouiller. Et puis tout ce qui peut être nos réactions ne se pèse pas sur une balance Roberval. Petits ou gros, ne jamais sous-estimer personne. Et… mais bon, on pourrait y passer la nuit.
Je viens de me coltiner du home-trainer, à mon modeste niveau, bon pour les neurones, bon pour la santé.
Par contre j’y reviens, ça ne doit pas être bien marrant pour la gent féminine les heures de pointe de métro, les ultracrépidarianistes devraient nous éclairer… et bien évidemment nous donner la solution.
« J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre. » (PB)
Avant de vous faire mettre en examen par un de vos jeunes confrères, au cas où vous auriez eu le malheur d’égratigner un des agresseurs.
« Quelle honte devant ces comportements d’hommes, souvent protégés par le bouclier de la cohue, usant de mots grossiers ou s’en prenant par des gestes à des jeunes filles tétanisées par la peur.
J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre… » (PB)
LOL ! Du grand Philippe Bilger, MDR !
Ces hommes que vous citez sont fidèles aux versets du Coran qui stipule que la femme est un objet, un déchet, une aberration de la nature et qu’ils peuvent en jouir, les tabasser, les torturer et même les trucider à leur guise.
En outre ils ont l’appui des gauchistes, des juges rouges et de toutes les associations islamos fachos gauchistes : « Ils n’ont pas nos codes culturels, on ne leur a pas assez tendu la main ni assez dialogué avec eux » LOL, ben voyons !
Quant à vos interventions, vous êtes fou, ou bien maso, ou kamikaze, vous aimez les coups de couteau ?
Un conseil, fuyez, baissez la tête et ne regardez pas en arrière, sinon vos jours sont comptés ; vous savez très bien que ces espèces d’humanoïdes sont protégés par vos collègues juges rouges et toute la macronie.
On a encore besoin de vous cher Philippe, ne vous prenez pas pour Superman.
Là où il n’y a pas de police, ou un pouvoir central trop faible, la possibilité de représailles (= vengeance privée) assure la sécurité des personnes et des biens par la crainte qu’elle vise à inspirer à un potentiel agresseur.
Mais quand elle se concrétise en actes, c’est généralement sous le coup de l’émotion et se traduit par un dommage infligé à l’agresseur plus grave que celui commis par ce dernier. Au final, l’intérêt général est perdant.
Alors, la loi du talion vise à réguler la vengeance privée pour qu’elle reste dans des limites socialement acceptables.
Son expression biblique est imagée par pédagogie et ne doit pas être prise au premier degré. Du reste, les exemples d’application littérale font défaut. Au contraire, des compensations en argent sont prévues dans certains cas.
La loi du talion, indolore mais visible de tous contre les agresseurs sexuels dans les lieux publics (métro, bus, trains).
Un spray à garder dans son sac à main. Un bon jus de betterave rouge concentré mélangé à du vinaigre d’alcool à 10° d’acidité avec quelques gouttes d’encre de Chine indélébile, est très efficace pour les tatouer en plein visage. En plus, ça faire rire tout le monde vu les causes de l’agresseur.
Ça laisse des traces aux yeux de tous. Le type n’est pas près de recommencer.
Si notre hôte, un magistrat honoraire, peut remettre en cause l’État de droit dans « État de droit, Nicolas Sarkozy, un précurseur ? », comment s’étonner de ce que des femmes qui ne sont pas juristes mais menacées, le fassent ?
De nos jours, comme je l’ai déjà dit, la France se déchire entre différents excès, d’indulgence de certains pour les transgresseurs, de répression lançant un filet sans trop se soucier que le gibier soit coupable ou innocent pour les autres.
Pauvre pays.
Les agresseurs sont forts de nos faiblesses, j’allais même dire de notre lâcheté. Il suffit de voir le nombre de personnes filmant une scène de violence avec leurs portables sans intervenir alors qu’il suffit de… LA PEUR ! Cette maudite peur qui tétanise les gens… Au point que toute personne sensée ne sortant plus « seule » dans les lieux publics se voit déclarée inconsciente des risques encourus et dangereuse.
Si vis pacem, para bellum.
Les lustres jetaient sur le parquet ciré leurs éclats d’or pâle. On entendait encore, au fond du salon de Mme de Beauséant, le chuintement discret des robes frôlant les tapis d’Aubusson, tandis que le marquis d’Ajuda-Pinto se penchait pour offrir son bras. Ils franchirent l’alignement des fauteuils comme on traverse un champ de regards, chacun lesté de sous-entendus.
Dehors, Paris vibrait d’autres bruits. Les conversations du Faubourg ne savaient presque rien des cris étouffés dans la cohue d’un wagon de RER, des mains furtives, des mots poisseux glissés au creux d’une oreille d’adolescente. Et pourtant, ce soir-là, une rumeur étrange avait filtré jusqu’ici — l’histoire de ces femmes décidées à rendre elles-mêmes la justice que les tribunaux leur semblaient refuser. Dans un coin, un diplomate chuchotait, sur un ton d’indignation feutrée, qu’on parlait de “loi du talion” comme on parlait jadis de duel : l’élégance en moins, la rage en plus.
Mme de Beauséant, immobile, avait ce regard qui embrasse à la fois la scène présente et un monde plus vaste. Elle savait que la vraie violence, celle qui fissure la dignité des êtres, n’épargnait aucun milieu : ici, on l’appelait trahison, ailleurs, agression. Mais l’idée que la vengeance pût supplanter la justice lui semblait aussi barbare qu’un retour à l’état sauvage. Elle songea aux jeunes filles effrayées dans les transports, tétanisées de peur comme d’autres l’étaient ici par le scandale social — la même paralysie, la même honte tue.
Alors qu’elle sortait enfin, appuyée sur le marquis, la marquise eut cette pensée étrange : dans les deux mondes, celui des dorures et celui de la cohue, on se taisait trop. Et que ce silence, poli ou forcé, était peut-être le plus cruel des complices.
Quand je lis ce blog de chialeuses, je me dis que ceux qui ont des Netanyahou, des Trump, des Poutine des Erdogan, des Xi, etc. ont bien de la chance, on est vraiment un peuple de couil… molles envahi par des criminels immigrés cruels sauvages sanguinaires impunis d’une brutalité extrême qui s’en donnent à coeur joie.
Suffit de soulever les soutanes de ces guignols de juges et baisser les futals de nos élus pour le constater :
« morne plaine »…
Les gestes dits déplacés dans le métro ne datent pas d’aujourd’hui. Ce qui a changé, c’est que filer une baffe à un Blanc, n’est pas en filer une à un Noir. Si les supermarchés les exposent à l’entrée, c’est justement parce qu’ils font peur.
Ceci dit, il faudrait savoir ce que l’on veut. Les Africains, on va les chercher plus ou moins ouvertement pour détruire notre civilisation « conservatrice », ouvertement en les prenant en charge au milieu de la Méditerranée au lieu de les refouler, sournoisement et de manière incroyable via des associations telles que l’ordre de Malte qui les prend en charge depuis chez eux. Alors, arrivés en France, il faudrait qu’ils se passent de femmes ?
Non, mesdames et messieurs les progressistes ! Mettez vos femmes à la disposition des Africains que vous faites venir. Sinon ne vous étonnez pas qu’ils les violent. À tout le moins, estimez-vous heureux qu’ils se contentent de les tripoter dans le métro.
« Quelle honte devant ces comportements d’hommes, souvent protégés par le bouclier de la cohue, usant de mots grossiers ou s’en prenant par des gestes à des jeunes filles tétanisées par la peur. J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre.. » (PB)
Sur le papier, ce geste prompt et chevaleresque est digne des fiers héros qui, dans les romans de cape et d’épée, se jetaient à la gorge du malandrin pour arracher l’innocente des griffes de l’infamie ! Mais la réalité, moins romantique que Dumas, plus crue que Sue, nous rappelle que la cohue n’est pas un pré de duel, et qu’un wagon ne ressemble guère à la salle d’armes de Cyrano.
Dans cette arène poisseuse où l’ennemi ne porte pas de bottes à revers mais un jogging élimé, l’épée a cédé la place au couteau à cran d’arrêt, et l’honneur au réflexe animal. Le témoin intrépide, croyant incarner la justice immédiate, risque fort de finir, non pas comme Athos à la cour de Louis XIII, mais comme un héros de Maupassant : une silhouette allongée, pâle, autour de laquelle la foule se presse non pour applaudir mais pour compatir.
On ne se méfie jamais assez des emballements héroïques ! Ils font la gloire des livres et la ruine des imprudents.
En vérité, ce que les manuels de chevalerie omettent de dire, c’est que l’héroïsme, hors des pages reliées, se paie toujours au prix fort : il y a possiblement, pour chaque geste de panache, de funestes conséquences.
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PHILIPPE BILGER — Ah ! mon ami, si j’avais été là, croyez-moi, j’aurais saisi l’insolent par le col, et, d’un ton de tonnerre, lui aurais rappelé les lois de la bienséance !
LE TÉMOIN — Fort bien… et lui, de son côté, vous aurait rappelé les lois de la gravité, en vous alignant à terre.
PHILIPPE BILGER — Mais enfin, ne faut-il pas intervenir quand l’honneur d’une jeune fille est en jeu ?
LE TÉMOIN — Certainement, mais l’honneur est un hôte délicat : il se sauve à la moindre maladresse. Et il a fort peu de goût pour les plaies artérielles.
PHILIPPE BILGER — Vous me condamnez donc à la lâcheté ?
LE TÉMOIN — Non, je vous conseille seulement de distinguer la bravoure utile de l’héroïsme décoratif. La première sauve des vies ; le second génère presque toujours des réputations posthumes.
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Ainsi :
Le courage improvisé fait d’excellents héros pour les épopées mais de regrettées dépouilles pour les souvenirs éternels.
Le plus habile sauveur est souvent celui que l’on ne voit pas venir, qui a eu l’idée d’emprunter un autre transport.
@ sylvain | 14 août 2025 à 09:07
Pas mieux ! Et je me permets d’ajouter que cette loi du talion n’est largement plus suffisante, il faut passer à l’échelon supérieur. Ras le bol d’entendre sans cesse les protestations de nos indignés de service. Ceux qui ont laissé faire et créé cette situation d’insécurité généralisée ne sont pas la solution.
@ Xavier NEBOUT | 14 août 2025 à 09:45
« Alors, arrivés en France, il faudrait qu’ils se passent de femmes ?
Non, mesdames et messieurs les progressistes ! Mettez vos femmes à la disposition des Africains que vous faites venir. Sinon ne vous étonnez pas qu’ils les violent. À tout le moins, estimez-vous heureux qu’ils se contentent de les tripoter dans le métro. »
Je plussoie à donf ce message ! Très bien envoyé, et pire que ça, je souhaite à toutes ces mijorées islamogauchistes macroniennes de se faire empapaouter sans modération par ces racailles arabo-africaines et je les féliciterai dès que j’apprendrai dans la presse qu’un tel fait se sera déroulé, que du bonheur !
Ah, j’ai oublié d’ajouter dans mon post du 13.08 à 21:13
Pour éviter toute menace grave ou de recevoir un coup de couteau de l’agresseur sexuel, vite un coup de gaz lacrymo en pleine poire pour le maîtriser fera l’affaire. Ne pas hésiter à appeler la police pour l’embarquer au commissariat qui doit, évidemment, garder fermement l’anonymat de la victime. Parfois, certains de ces individus sont répertoriés dans le fichier « S » ou « OQTF ».
Allez, courage mesdames. Comme on dit, aide-toi et le ciel t’aidera.
P.-S. : il paraît qu’il est interdit d’avoir sur soi et en dehors de la maison, une petite bombe de gaz lacrymo pour se défendre. Sauf que la racaille, elle, en porte pour mieux dérober et attaquer les victimes. En France, on a des lois complètement débiles. On devrait permettre aux femmes d’en porter en permanence pour mieux se protéger.
« Outre que la loi du talion est une régression civilisationnelle qui manifeste aussi bien une éthique personnelle défaillante que la faiblesse de l’autorité de l’État, elle révèle, de la part de ces femmes, la méconnaissance d’un certain nombre de principes essentiels à l’État de droit. » (PB)
Tout ça, c’est bien joli mais ne reflète qu’une discussion de juristes dans un salon feutré.
Dans la « vraie vie », celle de la nouvelle Cour des miracles fabriquée par des hommes politiques félons élus grâce à la fausse démocratie qu’est devenue la France de la vraie gauche à la fausse droite, ces propos déconnectés de la réalité résonnent comme des fadaises vides de sens.
Pour vivre, les hommes ont besoin d’un cadre minimum leur permettant l’accès entre autres à un logement, à la nourriture, à l’énergie, à la sécurité et à la justice.
Si l’État n’est plus capable d’en garantir la mise à disposition, même pas nécessairement à titre gratuit, il perd toute légitimité, c’est aussi simple que cela.
Sinon, il pourra toujours vociférer et menacer, il ne pourra pas empêcher les gens de se débrouiller pour se procurer par eux-mêmes ce dont ils ont impérativement besoin pour vivre.
D’après les policiers de la BAF (brigade anti-frotteurs), les détraqués sexuels qui sévissent dans les lieux bondés n’ont pas un profil type et n’appartiennent pas à une race comme l’affirme Xavier NEBOUT sans la moindre preuve, voire faussement, eu égard aux statistiques policières de ce genre de délit.
Concernant l’attitude à adopter lorsque l’on se retrouve victime de ce genre d’agression, c’est de réagir vigoureusement en protestant à voix haute et en faisant honte au frotteur. Croyez-moi, il suffit d’une phrase bien envoyée du genre : « Il a bientôt fini de s’exciter derrière moi, le gros porc ? », pour faire fuir le détraqué qui n’est finalement qu’un lâche.
Quant à ceux qui prétendent que l’on pourrait accuser à tort un homme qui n’avait pas de mauvaises intentions, il est certain qu’une femme victime d’attouchements ne s’y trompe pas et ne peut confondre les manoeuvres d’un pervers (aux mains baladeuses ou en érection) avec un simple rapprochement dû à l’affluence.
@ Xavier NEBOUT | 14 août 2025 à 09:45
Vous voulez parler du cardinal Sarah ?
À force de soulever les robes, on y découvre des sylvains qui refusent de protéger les dames !
Où quand notre hôte parlait de courage, comme si l’inceste dans les familles françaises ou dans les internats catholiques étaient uniquement le fait des immigrés.
Elle a bon dos la bête à cornes, mais ne dissimule plus rien.
Tout est vu et accompli, ne reste qu’à ouvrir les yeux et renoncer à tous les intégrismes.
Heureusement que le blog de monsieur Bilger existe. Merci de nous permettre de nous exprimer. Ici on peut dire librement nos quatre vérités, ce que l’on voit et subit, sans se faire censurer ni signaler à l’Arcom ou SOS Racistes, frères de LFI, ni se faire traîner devant les tribunaux gauchistes.
La vérité est que les Français et les Britanniques en ont marre de cette immigration sauvage qui pourrit le quotidien de nous tous. L’Allemagne, l’Italie, l’Espagne et la Belgique commencent aussi à se révolter. Le trop-plein est atteint. Si les politiques et la presse de gauche ne font pas leur boulot correctement, alors une guerre civile n’est pas loin pour mettre un terme à cette débandade immonde.
@ Ellen | 14 août 2025 à 12:02
« En France, on a des lois complètement débiles. »
Et le fait que le Législateur, tétanisé par ce fichu principe d’égalité appliqué à tort et à travers, refuse mordicus de ne pas maintenir la balance égale entre agresseur et victime (ou simplement victime potentielle), n’arrange pas les choses.
@ Aliocha | 14 août 2025 à 14:04
Si je vous comprends bien, nous avons nos tordus et donc pour une raison humanitaire nous devons accepter les tordus de toutes les autres contrées.
C’est quand même très spécial comme raisonnement.
@ Aliocha
Allez, un peu de courage. Dites-le nous, que le Vatican a raison d’organiser l’immigration avec l’ordre de Malte sous ses ordres.
Et il faut que soit un Africain, le cardinal Sarah, pour nous dire que ce sont des fous, et qu’il serait temps de reprendre le flambeau des Vendéens de 1793 – après Soljenitsyne, d’ailleurs…
Au passage, on attirera l’attention des petits camarades sur le fait que l’ordre de Malte s’est mis entièrement aux ordres du Vatican depuis 2022, et que l’État français lui alloue quelque 50 millions d’euros de subventions par an.
Si, si…
« J’espère que si j’étais le témoin de telles indécences, je saurais intervenir d’une manière ou d’une autre… »
Laissez faire les jeunes, cher Philippe Bilger. Il y a un temps pour tout, comme dit le Bouquin.
Ainsi, voici de bien belles images. Elle nous viennent du métro londonien, mais il n’y a pas de raison de croire que la situation y soit fondamentalement différente de celle de Paris.
Un honorable passager ayant pris l’initiative de pousser des hurlements, puis de baisser son falzar jusqu’aux chevilles, il fut interpellé par un groupe d’hommes, qui lui intimèrent sans ménagement l’ordre de quitter le wagon au motif « qu’il y avait des enfants ici », pendant que les femmes s’éloignaient.
Quelques coups de poing et de pied furent administrés afin d’augmenter la force de conviction de ces paroles.
Au prochain arrêt, l’usager du métropolitain fut éjecté de force sur le quai, puis plaqué au sol, toujours à poil.
L’honnêteté oblige à dire qu’il y avait un policier en civil parmi le groupe. Le nudiste fut arrêté, puis enfermé dans un hôpital psychiatrique.
La presse britannique mentionne qu’une enquête est en cours, et que les intervenants risquent d’être arrêtés eux aussi. Il se peut toutefois qu’il s’agisse là simplement d’une exagération d’esstrêm’drouâte. La présence d’un policier hors service dans le groupe, ainsi que l’évidence de l’exhibition manifestée par la vidéo, laissent à penser que cette fois-ci, les bilgéristes britanniques seront laissés tranquilles.
On poussera un long ricanement navré face à la vantardise suivante (Axelle D | 14 août 2025 à 13:48) :
« Concernant l’attitude à adopter lorsque l’on se retrouve victime de ce genre d’agression, c’est de réagir vigoureusement en protestant à voix haute et en faisant honte au frotteur. Croyez-moi, il suffit d’une phrase bien envoyée du genre : ‘Il a bientôt fini de s’exciter derrière moi, le gros porc ?’, pour faire fuir le détraqué qui n’est finalement qu’un lâche. »
Bah bien sûr. C’est marrant, cette façon que vous avez de traiter les demoiselles contemporaines de c… molles, au motif que vous, vous sauriez comment vous y prendre.
Pour commencer, vous n’avez pas toujours su comment vous y prendre, si l’on en croit vos propres confidences ici même. Il faudrait savoir.
Mais surtout, votre théorie selon laquelle une répartie spirituelle suffirait à faire fuir les agresseurs sexuels remonte à une période où ils étaient, essentiellement, blancs.
Votre anti-ouacisme incrusté omet de considérer qu’il en va désormais tout autrement. L’aérateur londonien de bijoux de famille était, bien évidemment, noir. Comme on le constate aisément sur les images.
De même qu’étaient noirs ou marron les auteurs de différentes agressions et incivilités recensées dans ce montage vidéo du Daily Mail.
Il suffit de lire les témoignages dans l’article pour mesurer le caractère dérisoire de votre assertion selon laquelle il suffirait de faire honte aux intéressés pour qu’ils renoncent à leurs entreprises. Nous n’en sommes plus là.
« D’après les policiers de la BAF (brigade anti-frotteurs), les détraqués sexuels qui sévissent dans les lieux bondés n’ont pas un profil type et n’appartiennent pas à une race comme l’affirme Xavier NEBOUT sans la moindre preuve… »
Ah, ben si Axelle D dit que les policiers de la Baffe le disent… Surtout ne croyez pas ce que vous pouvez voir de vos propres yeux. Si vous voyez, c’est que vous êtes ouaciste.
« …voire faussement, eu égard aux statistiques policières de ce genre de délit. »
Mais je vous en prie. Montrez-nous donc les statistiques raciales des agressions sexuelles selon les policiers de la Baffe. Ces statistiques qui n’existent pas puisqu’elles sont, paraît-il, interdites. Pile je gagne, et face tu perds. La gauche dans toute sa splendeur.
On parle beaucoup du métro parisien, mais il y en a aussi d’autres villes… en France, sinon, on pourrait s’en tamponner le coquillard des mésaventures des dames parisiennes, ou acclimatées.
Mais voilà, la gangrène s’étend : regardez-la, elle, se nourrir au pied des immeubles où des commerçants d’herbe tirent des plans, mais aussi dans la froideur du studio inhumain où un quelconque n’en peut plus de regarder ses murs nus, de ne jamais entendre la porte s’ouvrir et un « tu es là ? » retentir. Le misérabilisme ne supplantera pas l’éducation ni le déséquilibre psychologique. Certes, l’étiologie des attitudes est rebelle à une classification politique : on frotte dans le beau monde comme dans les impasses, on peut violer d’un regard comme tuer d’un mot, et la pudeur être offensée d’un regard comme d’un geste, mais encore faut-il faire doucement l’analyse des agressions. Doucement, i.e au fer rouge de la publication des décisions lourdes. Donc, ne rien faire du tout, comme toujours.
Alors ? Tout ce qui est dit se heurte à une immense fatigue sociale ou surnagent, dans le liquide fétide des tribunaux fatigués, quelques bonnes consciences outragées. Pour autant, le phénomène dénoncé ne cessera ou même ne régressera pas, pas plus que le rhume en hiver ou l’arrogance face à la montagne. Fritz Lang n’en finit pas d’inspirer. « M », ou le tribunal des bas-fonds ; c’est l’alternative.
La violence. Les femmes ont parfaitement raison, se défendre violemment. Je ne pleurerai pas sur un violeur qui se fait déboîter voire qui se fera envoyer boulevard des Allongés.
@ hameau dans les nuages
Ce n’est pas ce que j’ai dit, vous tordez mes propos.
Seriez-vous tordu ?
Faire des immigrés les responsables exclusifs des agressions sexuelles est tenter de leur faire porter une responsabilité qui est commune à tous.
Sophisme marchenoirien déjà trop souvent démonté et réduit en poussière, comme celui des délires du Nebout de Malte ou de tous les intégrismes.
@ genau | 14 août 2025 à 19:16
« Mais voilà, la gangrène s’étend : regardez-la, elle, se nourrir au pied des immeubles où des commerçants d’herbe tirent des plans »
Même dans d’autres commerces. Insidieusement et malgré tout à la vue de tous qui ne veulent pas voir… et notamment aussi des autorités. Soulever le problème c’est, paraît-il, voir le mal partout.
https://ogeu-mon-village.over-blog.com/2025/07/allah-ak-bar-restaurant-4.html
« Outre que la loi du talion est une régression civilisationnelle qui manifeste aussi bien une éthique personnelle défaillante que la faiblesse de l’autorité de l’État, elle révèle, de la part de ces femmes, la méconnaissance d’un certain nombre de principes essentiels à l’État de droit. » (PB)
Pas d’accord.
Avant de stigmatiser les femmes qui cherchent simplement à se défendre, ayant été (pour certaines) maintes fois victimes et si peu entendues, il faudrait peut-être atterrir dans la vraie vie, celle vécue par les victimes au quotidien. Des femmes qui ont longtemps subi, alerté et parfois échappé au pire, tandis que le ou les agresseurs s’en tiraient avec une peine ridiculement basse, une injonction de soin ou une ânerie du genre, voire parfois sans dommage et prêts à récidiver. Oui, il faut que la peur change de camp. Et tous sont bienvenus pour aider les femmes dans leur combat. Dans ce genre d’affaire, il convient de ne pas sous-estimer les bonnes volontés de tous âges et de toutes origines.
Oui il devenu urgent, capital même, d’apprendre aux filles et aux femmes à se défendre, et cela dès leur plus jeune âge, à ne plus être des proies faciles ou des objets en libre-service que l’on tripote impunément dans les transports publics ou que l’on pourchasse comme du gibier quand elles font leur jogging. Il existe pour cela des cours de self-défense tout à fait efficaces qui leur permettront de faire face à une agression et d’abord de reprendre confiance en elles, ne plus être passives, tétanisées et sans réaction.
Concernant les armes de catégorie D : bombe lacrymo, canne épée, matraque télescopique, shocker électrique etc. il est évident que s’ils sont en vente libre, il semble normal de les avoir « immédiatement » à sa portée (où que l’on se trouve) en cas de danger. Et prétendre qu’il faudrait un motif légitime pour les transporter hors de son domicile est une aberration.
J’ajoute que si les policiers et gendarmes devaient interpeller toutes les personnes qui ont dans leur véhicule ou leur sac, qui une matraque, qui une bombe au poivre ou un couteau à cran d’arrêt, ça ferait du monde ! Je crois même pouvoir affirmer que ce n’est pas leur priorité, en raison sans doute d’une éthique défaillante ?!
Par ailleurs, un grand merci à Jérôme qui a tout compris.
Le crétin racialiste wikipediesque voit ce qu’il voit.
Merveilleux. Le mâle blanc à le bon goût de recourir à la prostitution, une sorte de « viol légal », pour aider les petites pauvres nous affirmeront ces généreux donateurs.
À l’origine le tourisme sexuel a été l’apanage… du mâle blanc.
Le pays qui abrite le plus de sites pédo, la Hollande.
Comme chacun sait Betharram est une mosquée. Aliocha le rappelle, l’inceste se produit dans tout type de famille.
Il y a des cultures au sein desquelles la femme est encore bien sous-considérée. Mais penser que notre vernis culturel tient lieu de respect est une plaisanterie. Rappelons-nous Laurent « Sang Contaminé 1er » Fabius qui se moque de la Royal en demandant ouvertement qui va garder les enfants. Le vernis craque à la moindre occasion.
Mme Pélicot était aux mains de Rachid Mouamar Pélicot. Mamadou Dutroux, Ahmed Fourniret … je vous le dis ma bonne dame on n’est plus en France.
Oui il y a un problème de relation aux femmes dans les cultures arabo-musulmanes, africaines. Mais penser qu’il n’y en a que là, et que notre vernis éducatif nous préserve de ce travers…
Il faut être woke. Être conscient des réalités. Elles ne sont pas univoques.
Je pense que les délinquants sont, de toute façon, armés. La loi, en interdisant les armes, ne désarme donc dans les faits que les autres, par exemple les femmes. Or les armes égalisent l’homme et la femme, le musclé et l’anémié, proie naturelle des pourvus en muscles par la nature. Si vraiment on prétend défendre la liberté de tous, il faut donc permettre les armes.
L’idée qu’il faut attendre que les forces de l’ordre viennent nous sauver, et en attendant, ramper, car dans les faits, les désarmés, comme les femmes, les serfs et autres, l’ont toujours fait, me déplaît souverainement. La liberté va au contraire avec les armes, comme le prouvent les États-Unis.
Les premiers à prêcher de ne pas être violents sont des menteurs, je parle évidemment du personnel éducatif abandonnant les harcelés à leurs bourreaux. Raisonnement à plus forte raison, si face au simple souci de rappeler à l’ordre, l’autorité se dégonfle, que fera-t-elle face à des adultes ?
Si on me dit que les forces de l’ordre telles que policiers et gendarmes sont, elles, formidables, il faut tout de même dire que le fait de ne pas être partout et souvent peu aidées par la loi ou les jugements des magistrats comme par le pouvoir politique, font que leur action est prodigieusement peu dissuasive, surtout sur des êtres impulsifs ne voyant pas combien il est certes immoral mais aussi stupide de risquer quelque chose pour une simple pulsion. Gens vraiment nuisibles mais véritable menu fretin par rapport à des trafiquants de drogue.
Ces derniers ont eu la bonne idée de s’excuser des désordres de leurs affrontements récemment, il y en a qui commence quel est la logique de leur situation : en marge de l’État de par les trafics, mais pas contre l’État et a fortiori la société, vu que le parasite n’a pas besoin que son hôte crève, bien au contraire. Et puis, il y a l’image qu’on peut se faire de soi. Les nuisibles par impulsion ou les terroristes devraient, en bonne logique, leur sembler des intouchables, dans le sens hindouiste. Mais qu’il y ait des collusions entre terrorisme comme il se dit et trafiquant n’est pas étonnant, si on songe que la mafia pouvait cohabiter dans l’harmonie avec l’Église, si on peut faire crédit à cette dernière de combattre à présent cette hydre.
https://www.la-croix.com/culture/Le-Dieu-Mafia-quand-lEglise-ferme-yeux-pegre-sicilienne-2023-10-10-1201286218
Je pense que les trafiquants de drogue devraient se respecter et en pas se commettre avec les islamistes. Autre chose : ils rogneraient sur leurs bénéfices, sans doute, mais pour leur image comme pour se positionner au mieux, il serait préférable qu’ils montrent être capables de ne pas gruger les clients et d’être aussi peu violents que possible.
Pourquoi, outre que la violence est souvent le refuge de l’incompétence, sans parler que trop l’être ôte l’effet qu’elle produit quand elle advient ? Parce qu’il se peut que l’État légalise certaines drogues, et qu’en montrant qu’on peut muer vers l’absence de violence et contribuer aux impôts d’un pays en surendettement, on peut faire le choix de la durabilité et de la respectabilité.
Nous ne concevons pas une société sans qu’au sein de celle-ci l’homme bénéficie de droits mais en contrepartie soit soumis à des devoirs, les droits des uns étant finalement définis par les devoirs des autres et réciproquement. J’ai le devoir de ne pas agresser sexuellement une femme mais si je déroge à ce devoir, cela ne donne pas pour autant à ma victime le droit en retour de m’agresser.
C’est ce principe qui, privilégiant la justice et écartant la loi du talion, choque souvent nombre de citoyens, s’agissant notamment des délits à caractère sexuel, la justice se montrant aux yeux de beaucoup trop bienveillante et donc inefficace à enrayer ce fléau. À sa décharge, c’est cependant méconnaître la spécificité de ces délits et la difficulté souvent d’attester de la matérialité des faits.
Alors, si la justice dont l’action est nécessaire mais ne suffit pas pour mettre un terme à ce type de délits humiliants, il serait peut-être grand temps que la société elle aussi reste moins passive et que les usagers qui, souvent en nombre dans les transports en commun, sont les témoins de telles agressions ne restent pas égoïstement indifférents devant ces faits, les yeux rivés sur leurs lectures ou leurs écrans de portables, comme si rien ne se déroulait autour d’eux.
Et j’avoue que les suggestions formulées par Ellen (13/08 21:13 et 14/08 12:02) et Axelle D (14/08 13:48) ne sont pas pour me déplaire et constitueraient finalement une arme assurément dissuasive !
@ Michel Deluré | 15 août 2025 à 15:04
« Alors, si la justice dont l’action est nécessaire mais ne suffit pas pour mettre un terme à ce type de délits humiliants, il serait peut-être grand temps que la société elle aussi reste moins passive et que les usagers qui, souvent en nombre dans les transports en commun, sont les témoins de telles agressions ne restent pas égoïstement indifférents devant ces faits, les yeux rivés sur leurs lectures ou leurs écrans de portables, comme si rien ne se déroulait autour d’eux. » (PB)
Vous semblez ignorer deux choses :
La première est que depuis une cinquantaine d’années, du fait de la politique délirante d’immigration menée par des irresponsables voire parfois des félons du monde politique et administratif, la majorité des transgresseurs en divers domaines appartiennent à des populations éloignées dans le temps et dans l’espace de notre conception de la civilisation, et qui, imprégnés dans toutes leurs fibres par l’importance mythique du couteau dans leur environnement d’origine, ont tendance à le sortir et à en faire usage à la vitesse de l’éclair dès qu’on leur fait la moindre remarque voire quand on leur lance un regard supposé désapprobateur avant toute discussion.
La seconde est que dans nombre de situations, seuls des gens formés aux arts martiaux (et encore) pourraient prétendre désarmer les agresseurs, éventuellement en risquant de les blesser voire plus. (*)
Et là, nous sommes une fois de plus ramenés au second risque qu’un éventuel candidat héros a à peser à savoir hélas l’inconnue de la réaction de la justice française et de ses textes de lois inadaptés ne tenant pas compte des circonstances.
(*) C’est arrivé il y a quelques années à un militaire parachutiste en permission qui a dû défendre une jeune femme dans une rue de Paris. Il a désarmé l’agresseur en retournant l’arme contre lui, ce qui a entraîné sa mort.
Il a fini par être relaxé après plusieurs mois de procédures, ce qui a pourri sa vie.
Peut-être aurait-on pu, sans célébrer triomphalement son geste, au moins lui épargner tous les tracas que seule la justice locale semble savoir inventer ?
Attention, c’est un métier, par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=NtG6dJFKi1I
« Outre que la loi du talion est une régression civilisationnelle qui manifeste aussi bien une éthique personnelle défaillante que la faiblesse de l’autorité de l’État, elle révèle, de la part de ces femmes, la méconnaissance d’un certain nombre de principes essentiels à l’État de droit. » (PB)
« L’État de droit » cité ici c’est la négation de la justice, il avance à la vitesse d’une limace et l’on peut comprendre la lassitude dans bien des affaires.
Parfois pour la galerie il réagit à la vitesse de l’éclair, il faut bien de temps à autre réagir. Si vous saviez… dans les mêmes conditions avec les mêmes circonstances quand cela fait la TV, alors là ça déboule !
Au fond nous sommes un pays surnoté dans une Europe de misère. Il faut voir avec quel mépris Trump traite les Européens, se permettant de convoquer sur son sol les pires criminels de guerre et leur parler, le Cinglé et ses sbires pour le servir ou s’en servir. Inimaginable !
Quand j’entends du côté politique, des chroniqueurs de l’actualité médiatique parler de realpolitik, cela est le pire des mots, des maux, le remplacer par lâcheté irait bien à ceux qui sont du côté de l’Europe. La sale peur, la pire des peurs pour le continent le plus riche de la planète, et pourtant…
Quand j’entends des salades sur le réarmement de la France cela fait sourire, ce n’est pas avec une salière que vous allez changer la salinité de la mer Morte.
Tout est à l’avenant, aujourd’hui c’est la course à l’échalote pour se faire soigner, tout cela parce que des mandarins veulent préserver des revenus stratosphériques, ouvrons les vannes comme on les a ouvertes pour les écoles d’ingénieurs et pour tout ce qui est bénéfique, les mandarins ne veulent pas voir la concurrence s’installer et voir baisser le prix des consultations.
Il fut une époque – pour citer cet exemple – où il suffisait de traverser la route pour trouver un dermatologue, allez voir sur leurs site Doctolib, si ce n’est pas pour des traitements esthétiques, donc si vous trichez en remplissant la demande « vous ne serez pas reçu » veuillez donc cocher une des prestations, sans tricher donc. Vous parlez d’une République ! Et pourtant ils ont les études gratuites chez nous tous ces carabins.
On pourrait y passer la nuit… Un criminel de guerre reçu comme Gandhi et l’Europe derrière qui attend de ramasser les miettes, l’Europe qui n’est pas à la table, mais peut-être au menu. Sale journée pour les amoureux de la liberté.
« Vous vouliez la paix, vous vouliez sauver l’honneur: vous aurez la guerre et le déshonneur ! »… Realpolitik mon c*l, quelle foutaise, belle lâcheté !
Pardonnez-moi cet écart.
En ce jour solennel de la consécration de la France à Marie, à la suite du vœu de Louis XIII, à la suite de Pie XI proclamant Marie patronne principale de la France, à la suite de la supplique de Jean-Paul II au peuple de France :
« Alors permettez-moi de vous interroger : France, fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? Permettez-moi de vous demander : France, fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’Alliance avec la Sagesse éternelle ? Pardonnez-moi cette question. Je l’ai posée comme le fait le ministre au moment du baptême. Je l’ai posée par sollicitude pour l’Église dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l’homme dont la grandeur définitive est en Dieu, Père, Fils et Esprit. »
Avec Pie XII récrions-nous et trouvons un motif d’espérance dans l’alliance incorruptible qui unit la Sainte Vierge à la France : « Regnum Galliae, regnum Mariae quod numquam peribit ».
Le jour du 14 juillet 1989 était rouge du sang des victimes innocentes massacrées par de fanatiques déments.
Le jour du 15 août est bleu de la couleur de la paix, du ciel et des armes du royaume de France.
Ci-après la « Vierge à midi » de Paul Claudel, récitée par Madeleine Renaud.
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i04321482/madeleine-renaud-dit-la-vierge-a-midi-de-paul-claudel
Se souvient-on encore qu’entre toutes les puissances, la France éleva le plus haut les hommages dus à la splendeur originale de la femme ?
On eût pu rappeler le vœu de Louis, les suppliques des hauts magistères, commémorer le débarquement de Provence et dans une moindre mesure le quatre-vingt-onzième anniversaire de Ferrer. Rien de tout cela ne se fit. On préféra parler d’Ukraine, de Palestine, d’Halimi, toutes choses qui dans le fond nous sont étrangères.
Ci-après, une belle interprétation d’une étrangère oubliée qui aimait la France et qui fut pour elle victorieuse à l’Eurovision. Qu’il aurait été autrement beau, grand, noble qu’elle ouvre les commémorations sportives de l’année dernière plutôt que cet outrage luciférien fait à Dieu devant la terre entière.
Mais il y a aussi la mâle voix de Rossi dans ses prières à la Vierge, dont l’une a été reprise en hymne à la patrie des Corses.
https://www.youtube.com/watch?v=-pTmQCRJSbY
https://www.youtube.com/watch?v=i5OvY23kT-I
https://www.youtube.com/watch?v=SIAsJgzcrYg
Il n’y avait qu’une chose à faire en ce 15 août : prier avec ferveur Marie car, Français, l’on a beaucoup à se faire pardonner.
@ Giuseppe | 15 août 2025 à 21:41
Votre colère ou votre écœurement a des aspects parfaitement audibles, toutefois…
« ouvrons les vannes comme on les a ouvertes pour les écoles d’ingénieurs »
Je ne suis pas certain que recruter des élèves qui n’ont pas le niveau ou baptiser du titre d’ingénieur commercial n’importe quel clampin spécialisé dans la vente des parapluies verts à pois rouges améliore beaucoup la situation. J’aurais même tendance à penser que ça nous pousse un peu plus vers le n’importe quoi et la tiers-mondisation.
Les ingénieurs sont certes une élite ; pour que celle-ci soit crédible, on doit rester strict sur le choix des impétrants.
La remarque vaut pour la médecine, augmentons les quotas mais gardons à l’esprit qu’un médecin au rabais fera de la médecine au rabais.
« Outre que la loi du talion est une régression civilisationnelle qui manifeste aussi bien une éthique personnelle défaillante que la faiblesse de l’autorité de l’État, elle révèle, de la part de ces femmes, la méconnaissance d’un certain nombre de principes essentiels à l’État de droit. » (Philippe Bilger)
Vous avez à de nombreuses reprises, ici, abordé la question de l’État de droit. Je dois dire que vos analyses m’ont souvent rendu perplexe par leur ambiguïté. Je n’arrivais pas à savoir si vous étiez opposé à l’État de droit lui-même, ou à sa conception pervertie qui prévaut aujourd’hui.
J’espère ne pas me tromper en disant que l’un de vos récents billets clarifie les choses en vous plaçant dans le second cas.
La question est importante, car si, à droite, un large accord se dégage pour dénoncer l’usage qui est fait actuellement de cette notion, les opposants se partagent, sans le dire le plus souvent, en deux camps irréconciliables : ceux qui veulent le rétablissement de l’État de droit, et ceux qui veulent la dictature. Ce qui est tout de même le contraire.
C’est bien dans la seconde catégorie que se situent les poutinistes, les trumpistes et les gauchistes.
Le diagnostic est largement partagé : l’Occident a dérivé vers une conception de l’État de droit qui accorde trop de pouvoir aux juges, par rapport aux hommes politiques – y compris en honorant du nom de magistrats des gens qui n’en sont pas (et qui ne sont même pas tenus d’être juristes), comme les membres du Conseil constitutionnel en France ; qui donne des compétences trop étendues et trop détaillées aux membres de ces cours suprêmes et autres tribunaux internationaux des droits de l’homme ; qui produit trop souvent des décisions contraires à la volonté des peuples ; et qui fait prévaloir, de façon disproportionnée, l’idéologie de gauche dans ces jugements.
D’où ma blague éculée, mais que je n’hésite pas à infliger une fois de plus à l’aimable assistance, selon laquelle ce qu’on nomme à tort l’État de droit, aujourd’hui, n’est autre que l’État de gauche.
Si l’on est d’accord sur ce constat, la question essentielle demeure : par quoi faut-il remplacer le mécanisme actuel ?
Les faussaires de l’État de droit – ceux qui siègent au Conseil constitutionnel, au Conseil d’État, à la Cour européenne des droits de l’homme et ailleurs répondent, par leurs actes sinon par leurs paroles : il ne faut surtout pas abandonner le socialisme que nous imposons actuellement aux populations.
Les égarés – trumpistes, poutinistes, gauchistes et autres nostalgiques du bon sauvage – répondent : par la dictature.
La droite se doit de répondre : par le libéralisme, c’est à dire par l’État minimal, réduit dans ses ambitions, réduit dans son champ d’action, contraint par le droit et respectueux de la démocratie telle qu’elle s’exprime par le vote.
En France en particulier, le « gouvernement des juges » (des faux juges bien souvent, ce qui devrait délier les vrais des tentations du corporatisme) a repoussé les limites du tolérable. En 1971, le Conseil constitutionnel a perpétré un coup d’État silencieux en élargissant lui-même ses compétences, ce qui est inadmissible dans une démocratie.
Sa référence, a-t-il prétendu, ne se limite plus à la Constitution elle-même, mais s’étend à des textes beaucoup plus discutables, comme le préambule de la Constitution de 1946.
Lequel instaure le socialisme, tout simplement :
« Tout bien, toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité. »
La privatisation des PTT, d’Orange et de Wanadoo est inconstitutionnelle. La SNCF doit être renationalisée intégralement. Personne ne niera que la santé constitue « un service public national », donc la médecine libérale doit être interdite et tous les praticiens doivent devenir des fonctionnaires. Google et ChatGPT doivent être expropriés et nationalisés.
« La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement. »
Moi, j’ai besoin d’un 100 mètres carrés dans le XVIe arrondissement et d’une Bentley avec chauffeur pour assurer mon développement. L’État me doit donc un chèque-Bentley, un logement social en face de chez Sarkozy, etc.
« Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. »
La Nation garantit les loisirs à l’enfant ! Si mes parents n’ont pas les moyens de m’emmener à Disneyland, je peux faire un procès à l’État.
Elle garantit le repos à tous. Si je suis trop fatigué parce que je travaille 35 heures, je peux poser des congés-maladie de complaisance.
« Le droit de grève s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent. »
Alors que dans un pays libre, démocratique, la grève est interdite, car elle nuit à la prospérité de tous en empêchant l’allocation la plus efficace de la force de travail en fonction de l’offre et de la demande.
Et ainsi de suite.
Le Conseil constitutionnel comme le Conseil d’État s’arrogent également le droit de se prononcer en fonction des PFRLR. Ça s’éternue comme ça se prononce : Principes fondamentaux reconnus par les lois de la République. C’est des trucs, tu vois, y sont pas écrits dans la Constitution, mais les soi-disant Sages qui nous gouvernent « découvrent et interprètent ces principes en les extrayant de la tradition républicaine de la France ».
En bon français : c’est l’arbitraire le plus total et on se moque ouvertement de vous.
La preuve : le Conseil constitutionnel décide qu’on a le droit d’aider des immigrés illégaux à violer la loi, puisque c’est par fraternité, et que le mot figure dans la devise de la France. La notion de fraternité étant totalement subjective, elle peut servir à justifier n’importe quoi.
On pourrait, aussi bien, juger qu’il n’est pas très fraternel envers les Français de noyer le pays sous des immigrés hostiles, pesant sur la dépense publique et se livrant de façon disproportionnée à la délinquance.
Ou alors, comme le mot liberté figure aussi dans la devise nationale, eh bien je suis libre d’assassiner le président de la République puisque sa tête ne me revient pas.
Quand on commence à jouer au c…, on ne sait jamais où ça finit.
Il est grand temps de revenir à la sagesse des philosophes libéraux. En 1988, au soir de sa vie, le prix Nobel d’économie Friedrich Hayek résumait ainsi sa pensée dans La Présomption fatale : les erreurs du socialisme :
« Ce livre soutient que notre civilisation dépend non seulement pour son origine, mais aussi pour sa survie, de ce qui ne peut être précisément décrit que comme l’ordre étendu de la coopération humaine, un ordre plus largement connu, même si le terme prête à confusion, sous le nom de capitalisme. […] »
« Que les socialistes se trompent quant aux faits est un point crucial pour les démonstrations que je développerai dans les pages qui suivent. […] »
« Les buts et les programmes socialistes sont donc impossibles à accomplir et à exécuter ; ils sont aussi et par surcroît logiquement impossibles. »
« C’est pourquoi, contrairement à ce qu’on affirme souvent, ces sujets ne relèvent pas de différence d’opinion ou de jugements de valeur. En vérité, la question de la façon dont les hommes en viennent à adopter certaines normes et certaines valeurs, et celle des effets que ces normes et ces valeurs ont sur l’évolution de la civilisation sont en elles-mêmes avant tout des questions de fait. […] »
« La querelle entre l’ordre du marché et le socialisme n’est dès lors rien moins qu’une question de survie. Suivre la moralité socialiste équivaudrait à anéantir la plus grande partie des hommes composant l’humanité présente, et à appauvrir l’immense majorité de ceux qui survivraient. »
Ces assertions peuvent paraître exagérées, mais il suffit de se pencher sur deux décisions du Conseil constitutionnel qui ont défrayé la chronique, récemment, pour comprendre qu’elles sont rigoureusement vraies.
Ce dernier a censuré l’autorisation de l’acétamipride, un insecticide essentiellement inoffensif, puisque les agriculteurs du reste de l’Union européenne l’emploient librement.
Les producteurs de betteraves, de noisettes, de pommes et de poires ont fait savoir que dans ces conditions, ils risquaient d’être contraints de cesser leurs activités.
Le Conseil constitutionnel s’appuie donc bien sur des principes qui, s’ils étaient poussés à leur terme, conduiraient la population à mourir de faim.
Le même jour, les soi-disant « Sages » ont rejeté le vote des parlementaires permettant d’accroître la durée de rétention des immigrés illégaux.
Là encore, nous avons une ingérence flagrante dans un domaine purement qualitatif : on ne saurait soutenir qu’une rétention de 210 jours viole la Constitution, alors qu’une rétention de 90 jours lui serait conforme. Le Conseil constitutionnel fait de la politique. Il fait de l’immigrationnisme.
Et là encore, en facilitant l’immigration de masse illégale, ces faux juges s’emploient à appauvrir les Français, par le biais de la dépense publique occasionnée par cette invasion ; à détruire leur civilisation, par le remplacement de population qu’elle occasionne ; et, littéralement, à les tuer, par l’explosion des meurtres et des attentats terroristes suscitée par l’immigration sans contrôle.
Le socialisme tue. Le libéralisme, c’est la vie.
J’ajoute que le tribalisme, le fantasme du retour à une utopie paysanne (hameau dans les nuages), de théocrates obtus (Jean sans terre) ou de rois nègres (Xavier Nebout), conduirait (s’il était possible) à la mort de la plus grande partie de la population actuelle, et à la misère des survivants.
C’est le propos du livre de Friedrich Hayek, en effet, que d’expliquer comment la morale actuelle, la morale libérale, la morale capitaliste, non seulement ne date ni de Ronald Reagan ou Margaret Thatcher, ni de la Révolution industrielle, ni même de la Révolution française, mais remonte à plusieurs milliers d’années, qu’elle s’oppose à la morale archaïque des petites tribus repliées sur elles-mêmes, qu’elle s’oppose donc à l’altruisme, à la solidarité et à l’unanimisme des objectif sociaux.
Pour lui substituer la morale des objectifs individuels encadrée par le droit, seule compatible avec le libre marché et le commerce international, eux-mêmes seuls susceptibles de nourrir une population mondiale supérieure à quelques millions de personnes.
Morale qui a prouvé son bien-fondé, puisque cette population existe effectivement et jouit d’une prospérité sans commune mesure avec celle des tribus de chasseurs-cueilleurs dont il subsiste quelques vestiges, encore aujourd’hui, chez des peuplades complètement isolées et arriérées.
Cet ordre spontané, explique Hayek, s’oppose à la tentation socialiste qui a commencé avec Aristote avant que Marx ne déchaîne sa subversion funeste. C’est la tentation des gens intelligents, qui s’imaginent que la raison (la leur) peut diriger le monde et bâtir la Cité idéale.
Or, démontre Hayek, le socialisme ne peut pas marcher. Ce n’est pas une question d’opinion, c’est une question de fait. Ceux qui insistent pour l’imposer malgré tout apportent à l’humanité la misère et la mort.
Sur une échelle monstrueuse, quand ils s’appellent Hitler, Staline ou Mao. Sur une échelle moins catastrophique mais néanmoins bien réelle, lorsqu’ils s’appellent défenseurs du « modèle social français », de la « justice sociale », des « principes républicains » – ou de l’État de droit frelaté qui consiste à imposer à l’Occident sa destruction par des hordes barbares immigrées, par la superstition écologiste, le féminisme hargneux ou les autres fadaises de la gauche.
C’est donc bien l’État de droit, le vrai, le seul, l’État libéral que nous devons défendre.
@ Jean sans terre | 15 août 2025 à 22:19
Une photo et un premier commentaire sur la page facebook d’un sénateur peuvent aussi résumer votre commentaire :
https://www.facebook.com/photo/?fbid=10235003029767933&set=a.10201607971672352&locale=fr_FR
@ Michel Deluré
@ Exilé
C’est avec raison que vous soulignez la passivité de la plupart des gens lorsqu’ils sont témoins d’un fait divers choquant ou d’une agression. Ne pas s’en mêler afin de ne pas avoir d’histoires et surtout par lâcheté, voilà la réalité.
Une couardise de plus en plus généralisée à de rares exceptions près.
Passivité coupable là où l’assistance à personne en danger s’imposerait, tandis qu’à l’inverse d’un comportement responsable, nombre de personnes se débinent quand il est même question de témoigner. La police en sait quelque chose qui se fait filmer en action pour être mise en cause et faussement accusée de violences ! Le monde à l’envers !
Oui, mille fois oui, la racaillerie (qui est minoritaire) profite à plein de l’inertie, de la veulerie et du manque de courage d’une foule ultramajoritaire de moutons craintifs qui préfèrent rester dans leur coin, bien peinards !
Bêéééé !
Et bravo à ceux et celles qui interviennent à temps et contretemps et se conduisent en hommes et femmes d’honneur, d’énergie et de fermeté en toutes circonstances.
@ Exilé 15/08/25 17:56
Je n’ignore ni ne minimise le risque que vous mentionnez. Mais même sans une parfaite maîtrise de la pratique des arts martiaux, des exemples ont démontré que de vives et promptes réactions, individuelles parfois mais surtout collectives, étaient de nature à mettre un terme à ces pratiques odieuses, à permettre de neutraliser l’agresseur dans l’attente de l’arrivée de la police ou pour le moins de faciliter son arrestation.
N’oublions pas que la force de ce type d’agresseur réside justement dans la passivité collective d’une société, tétanisée par la peur et qui fait le choix de l’indifférence et du refus du risque plutôt que de l’aide à la victime d’un outrage. C’est en partie parce que notre société s’abandonne parfois trop souvent à la lâcheté, à l’indifférence, qu’elle affiche ainsi ses faiblesses aux yeux de ces délinquants qui profitent alors à satiété de ces failles. La force du délinquant ne réside pas toujours dans son courage – il en est parfois même dépourvu ! – mais bien plus dans l’absence même de cette vertu au sein de la société qu’il offense.
« Allez-vous cesser de tuer des civils ? » : une journaliste interpelle Vladimir Poutine à son arrivée en Alaska
https://www.lefigaro.fr/international/allez-vous-arreter-de-tuer-des-civils-en-alaska-vladimir-poutine-vivement-interpelle-sur-l-ukraine-par-une-journaliste-20250816
Quand un criminel de guerre est réhabilité par les USA.
La honte sur l’Europe, sur ce ramassis de pays aux intérêts guidés par la peur.
J’ai gardé le petit livret qui avait été distribué pour informer sur l’Europe à venir, les rosbifs ne sont pas plus demeurés que nous, ils ont fui ces gazelles qui auraient dû envoyer balader Trump quand on affiche un PIB bien supérieur.
La force du Cinglé c’est qu’il connaît nos faiblesses et comme il n’a aucune retenue pour envoyer de la chair à canon, il fait peur. Et nous avons le trouillomètre à zéro, à part Winston Volodymyr… s’il avait été sûr d’être correctement armé, il y a belle lurette qu’il aurait laminé le Cinglé. Ils mèneront un combat type l’Afghanistan pour les faire fuir.
Europe de misère, pétainiste, de renoncement, sans mouiller la chemise elle a le devoir de fournir tous les moyens qui vont faire gagner l’Ukraine sans Trump et ses sbires.
La realpolitik n’est pas le prix du sang et les seuls qui le versent ce sont les Ukrainiens et pas ces batouilles qui nous représentent, des munichois toujours dans l’âme, la peur c’est sûr est mauvaise conseillère, foi de pointeur-tireur appelé, et je salue ici votre volonté de vouloir défendre une agression du type métro, ne vous y risquez pas il y aura toujours un Volodymyr pour se lever.
@ Giuseppe | 16 août 2025 à 14:00
Vous voulez dire aussi que…
Si la France n’avait pas sa bombe dissuasive nucléaire (merci le général de Gaulle) et si elle se faisait attaquer par le cinglé du régime soviéto-impérialiste, nos politiques plieraient comme des mauviettes devant l’ours poutinois.
J’ai beaucoup aimé les propos du général Michel Yakovleff : « En EU nous sommes 450 millions et nous demandons aux 350 millions d’Américains leur aide contre 140 millions russes. »
Où est l’Europe et tous ses dirigeants ? ils mènent la guerre devant la télé ?
C’est plus facile pour le maître des horloges de faire le guignol à l’Élysée avec les wokistes et les LGBT défoncés lors de la fête de la musique, que d’affronter Vladimir Poutine.
Un de nos excellents confrères, qui se reconnaîtra, s’amuse à écrire ici « ouacisme », au lieu de « racisme ». Cette déformation me semble fâcheuse. Le mot « racisme » est très clair et n’a pas à être défiguré.
P.-S. : j’avais adressé ces trois lignes à des centaines de correspondants en d’autres endroits. L’un d’eux commente en me disant que l’homme qui a écrit de cette façon tente de ridiculiser certains Noirs, censés prononcer ainsi et conclut que ce doit être un raciste. Je n’y avais pas songé. Mais bon…
@ Ellen | 16 août 2025 à 18:21
Je pense surtout que l’Europe est un pays de misère, les Ukrainiens mettent à feu les raffineries du Cinglé sans se gêner, alors aidons les premiers jusqu’au bout.
Lors d’une conférence de presse en mars 2014 à La Haye, au sommet sur la sécurité nucléaire, Obama a déclaré :
« La Russie est une puissance régionale qui met en difficulté ses voisins non du fait de sa force, mais de sa faiblesse. »
En fait la Russie est une station-service au milieu de nulle part, sortis des deux ou trois grandes villes, c’est encore la terre battue presque partout.
Union européenne
PIB en 2024 : 17 942 milliards d’euros
Cela équivaut à environ 19 423 milliards de dollars américains
L’UE représente environ 18,3 % de l’économie mondiale
Russie
PIB en 2024 : 2 174 milliards de dollars américains
Cela représente environ 2,05 % de l’économie mondiale
États-Unis
PIB en 2024 : 29 184,89 milliards de dollars américains
Les USA représentent environ 27,5 % de l’économie mondiale
Reagan avait été malin, il a fait sauter l’URSS en l’épuisant financièrement dans la course aux étoiles. Pauvres Russes.
@ Patrice Charoulet | 16 août 2025 à 19:13
« Un de nos excellents confrères, qui se reconnaîtra, s’amuse à écrire ici ‘ouacisme’, au lieu de ‘racisme’. Cette déformation me semble fâcheuse. Le mot ‘racisme’ est très clair et n’a pas à être défiguré. »
Un soi-disant professeur de français, qui se pique de littérature et se reconnaîtra, joue au petit flic de la pensée et prétend interdire à ses « confrères » la créativité en matière d’écriture. Ses cours ont dû être passionnants… nul doute que ses élèves devaient en redemander.
Bizarrement, il ne nous parle jamais de ces derniers, d’ailleurs. Moi je pensais que la vocation d’un prof consistait à se dévouer pour ses élèves et à se réjouir de leurs réussites. En dix ans, peut-être, de fréquentation de ce blog, je n’ai jamais vu Patrice Charoulet se remémorer avec joie ou émotion les progrès de l’un d’entre eux. Ou simplement parler de son métier et de ses élèves.
« J’avais adressé ces trois lignes à des centaines de correspondants en d’autres endroits. »
Je vois. Un prof de français est incapable de se forger par lui-même une opinion sur ses lectures. Il doit mendier l’avis de « centaines » de personnes pour commencer à comprendre ce qu’il lit. Prenez les gens pour des imbéciles, tiens…
Vous la sentez bien, là, la bonne odeur de délation, la doucereuse et inimitable sérénade du policier politique dans l’âme, du type qui aimerait tellement être un guestapiste ou un kaguébiste, mais qui peut point, et qui se contente par conséquent de distiller de vagues menaces personnelles envers les méchants ouacistes, unique objet de son ressentiment ?
« L’un d’eux commente en me disant que l’homme qui a écrit de cette façon tente de ridiculiser certains Noirs, censés prononcer ainsi… ».
Ah booon ? Vous croyez ? Évidemment que je ridiculise, ce faisant, l’accent noir. Évidemment que je ridiculise les « anti-racistes » dans votre genre. Évidemment que je ridiculise le concept imbécile de « racisme » sans lequel les décérébrés malfaisants dans votre genre auraient du mal à exister.
Et vous êtes tellement bête que vous pondez un commentaire pour vous en vanter !
« …et conclut que ce doit être un raciste. Je n’y avais pas songé. Mais bon… »
Du Charoulet tout craché. L’hypocrisie faite homme. Vous êtes tellement idiot que vous pensez que notre plus grande crainte, à nous autres identitaires, c’est d’être affublés de l’étiquette infamante de « racistes ». Vous n’avez pas remarqué que votre truc de minables a cessé de fonctionner depuis des décennies. Le gauchisme est bel et bien une maladie mentale…
Sinon, Charoulet, quelque chose d’intelligent à dire sur l’État de droit, ou la philosophie de Hayek ? Non, c’est bien ce que je pensais.
Ouacisme, ouacisme, ouacisme. C’est le début et la fin de votre réflexion.
Je ne comprends pas qu’on mobilise la question du racisme, qu’on tombe dans la contestable, quand il est incontestable que l’immigration musulmane innove en ce que certains de ses représentants nous rendent le mal pour le bien.
Et qu’il faut donc l’interdire : pour mémoire, il n’y a pas de droit à immigrer, et les minorités nocives peuvent fort bien prendre le pouvoir, comme on l’a vu chez les chrétiens et plus destructivement encore dans le totalitarisme.
Ce qui ne veut pas dire, comme l’imagine un commentateur que ce problème réglé, il n’y en aurait plus. Je ne fais pas des immigrés musulmans des boucs émissaires : leur dangerosité est en effet extrême.
Et comme ce n’est pas la vanité française qui croit intégrer n’importe qui qui me meut mais le maintient de notre liberté, je leur oppose un non ferme et définitif.
Je ne donne pas non plus dans le monothéisme et ses dérivés : résoudre un problème n’est pas résoudre tous les problèmes ! La simplification administrative, pardon, religieuse, de tout ramener à un dieu, fait que les gens ont tendance à tout ramener à une idée, un problème, un chef ou je ne sais quoi encore. Enfin, les gens entachés de monothéisme, c’est-à-dire pas moi, évidemment.
Sinon…
Pour le racisme, je ne m’aventurerais pas dans les questions de QI faute d’avoir une religion dans ce domaine, si j’ose m’exprimer ainsi, sans parler de me retrouver sans un spécialiste comme F68.10, que j’estimais le meilleur commentateur du blog, à interroger ici.
Par contre, j’ai découvert il y a peu que le petit nègre dont on se moque encore a été pour le moins encouragé par des officiers français :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Petit_n%C3%A8gre#:~:text=Le%20petit%20n%C3%A8gre%2C%20autrement%20d%C3%A9nomm%C3%A9,une%20version%20simplifi%C3%A9e%20du%20fran%C3%A7ais.
Je m’étonne qu’une personne disant les Noirs moins intelligents que nous prenne ce langage pour étayer cette opinion, de son ignorance ou de son imprudence.
Je m’étonne qu’une autre personne, enseignant le français et défendant les Noirs, n’informe pas de ce qu’on a fait aux Noirs et à notre langue.
Comment est-ce possible ?
Enfin bon, je suppose qu’il est possible que la raison en soit que cette information ne sorte qu’à présent. J’écoutais France Culture, sans doute sur un autre sujet que le racisme qui ne me passionne guère, et je suis tombé là-dessus, parce que souvent, une connaissance en amène une autre, imprévue, comme un nouvel aperçu sur le paysage.
Cette parenthèse refermée, la question est de ne pas laisser s’installer des gens dont certains deviennent des ennemis de l’intérieur, c’est l’évidence même.
Et chaque problème, et ils sont nombreux, doit être traité dans le même esprit, je veux dire non à coup de vanité et de coup de mensonge mais en le prenant à la racine.
Ce qui va être singulier à suivre c’est la présence de Macron à Washington. Délégué de la coalition de baudruches et de trouillards.
Pour être à hauteur deux conditions, un carnet de chèques pour faire comprendre que c’est sans limite et des fantassins… Mais là ça coincera, personne dans un pays démocratique n’est prêt à mourir pour un autre pays, alors il faut allonger du lourd, payer le sang des autres au prix fort.
Le Cinglé a deux longueurs d’avance, il a de la chair à canon à discrétion, et en plus il arrose toutes ses troupes de propagande et de monnaie de singe, les éduqués dans leur majorité se sont barrés ailleurs.
Alors Macron se couchera à moitié, comme à Munich, et il rentrera en France en prononçant les paroles de Daladier, après avoir rencontré un agresseur et un criminel de guerre, agresseur bien connu de peuples ayant la trouille des morts.
Demain d’autres suivront, il se fiche comme d’une guigne, le Cinglé, de la surface de territoire conquis, le Cinglé veut faire peur et cracher sur tout ce qu’il déteste, la veulerie, par contre il est bien servi par un peuple abruti sous le knout et qui revit dans la misère la plus crasse, la propagande patriotique d’un monde passé. Il est un homme du passé paraît-il, mais il fait peur à toutes ces brêles du présent. Le business est un paravent de la trouille.
Le Cinglé a réussi au moins sur un point, asservir son peuple, le brutaliser du cerveau pour lui faire avaler n’importe quoi, et les faire survivre en leur faisant croire qu’ils étaient des privilégiés.
Se soigner ça ne compte pas, même en France ils ont des sans-dents dit-il, et en plus ils cassent tout, les Gilets jaunes chez nous ça n’existe pas dit-il, vous pouvez crever de faim et de santé mais au moins vous vivez dans la misère crasse qui conserve et l’abrutissement qui éloigne tout désordre.
Chapeau au Cinglé ! Et en plus il se dit que Trumproulédanslafarine n’est que de passage et lui sera encore là pour vendre la peur aux autres et de recommencer. Il n’a pas la vie éternelle mais si le courage animait l’Occident il n’en n’aurait pas pour longtemps.
Aidons ceux qui versent leur sang et comme Winston résister est un bien commun, c’est juste la liberté de pouvoir défiler pour revendiquer des conditions meilleures, le Cinglé c’est Germinal chez lui et des pierres à dévorer dans les assiettes pour la majorité de son peuple, les dents en moins et la soumission en plus.
@ Robert Marchenoir
Vous avez écrit sur un autre blog que « Marchenoir », qui n’est pas votre nom de famille, était le nom d’un personnage bien connu de Léon Bloy (auteur intéressant qu’on peut commencer à connaître en lisant son « Journal », 2 vol., en collection « Bouquins »). Vous aviez prétendu ici que nul ne pourrait savoir si votre signature était un pseudo ou non. La question est réglée : vous écrivez sous pseudo. Libre à vous. Tous les goûts sont dans la nature.
Il y a quelques années, comme vous aviez critiqué ma profession, j’avais dit que vous en aviez le droit en vous demandant toutefois de bien vouloir nous dire votre profession. Votre réponse d’alors : « Comment osez-vous me demander ma profession ? ». Chacun appréciera.
Dans votre dernier texte, je lis que je serais « un soi-disant professeur de français ». J’ai enseigné le français et la littérature française en collège et en lycée, jusqu’à l’âge de 65 ans. Votre « soi-disant » ne rime à rien. Au fait, tous les lecteurs d’ici ignorent toujours votre nom (voir plus haut) mais aussi votre profession. Est-ce une profession inavouable ?
Pour répondre à votre grief : j’ai parlé ici de mes élèves plusieurs fois. J’ai notamment raconté qu’une excellente élève avait tenu le dernier jour de l’année scolaire à rester seule dans la classe pour me dire toute sa gratitude et son admiration pour mes cours. Elle a intégré plus tard (je l’ai su par son père) Normale Sup, où souhaitait entrer – il l’a dit – notre hôte. Cette ancienne élève est, avec 5000 personnes, parmi mes ami(e)s sur Facebook. Il lui arrive de me saluer, malgré mon grand âge. Elle me remercie encore de mes explications de fables de La Fontaine.
Vous êtes très informé dans plusieurs domaines : avant l’invasion de l’Ukraine par Poutine, vous étiez le plus informé ici, et de loin, sur la Russie. Vous lisez bien des choses en allemand et en anglais. Vous avez une bonne plume. Vous avez bien raison de détester Poutine. Je vous approuve en cela.
Un racisme profond et viscéral est votre (gros) point faible. Chacun se souvient ici de votre récit : vous auriez lu un livre « prouvant » (!) que les Noirs seraient en moyenne 30 % moins intelligents que les Blancs. Ce livre est votre Bible. Nul ne vous en fera démordre. Et vingt fois, vous avez tenté de montrer que le mot « racisme » n’avait aucun sens et que les « anti-racistes » étaient des gauchistes et des idiots. Je vous redis qu’après avoir été RPR (depuis 1985), UMP (président d’un comité de soutien à Édouard Balladur en Afrique, pour la présidentielle), LR, je suis maintenant adhérent du parti macroniste. « Gauchiste » n’est pas vraiment le qualificatif qui sied.
Vous constatez que je n’ai rien dit sur l’État de droit et sur Hayek. Hayek, connais pas. Ces temps-ci, je lis la plume à la main un livre que j’ai retrouvé dans un placard, Édouard Balladur, « Conversations avec François Mitterrand », Fayard,455 p., 2009. L’auteur a noté tout ce qu’il a dit à Mitterrand et tout ce que Mitterrand lui a dit, pendant la cohabitation. Livre exceptionnel, leçon de style et leçon politique.
Pour « l’État de droit », voici ma réponse. La République française est un État de droit. Je m’en réjouis et je suis pour. Ce n’est le cas ni dans une dictature ni dans un pays (très) autoritaire. Exemple : la Russie.
Je ne souhaitais plus échanger avec vous. Votre « ouaciste » m’a stimulé. Je vais sans doute replonger dans l’indifférence.
@ Giuseppe
« Le Cinglé a réussi au moins sur un point, asservir son peuple, le brutaliser du cerveau pour lui faire avaler n’importe quoi, et les faire survivre en leur faisant croire qu’ils étaient des privilégiés. »
Habité par la frustration, vous radotez sur ce sujet quel que soit le thème du jour. Il y a une vieille attitude raciste, remontant à Jules Ferry, qui consiste à considérer « les autres » comme inéduqués, inférieurs, donc chair à coloniser. Ça a peut-être marché avec l’Afrique dans ces temps-là – plus maintenant – mais la Russie c’est un autre morceau, or elle vous a prodigué une master class en gestion de conflit, autant au niveau militaire qu’économique et diplomatique.
Comme chacun le sait, je suis Russe, vivant en France. Je n’écoute pratiquement plus les médias russes, mon cerveau va bien, et la seule chose que je me refuse à avaler c’est cette propagande occidentale incessante qui emmènera les naïfs et les haineux dans votre genre droit dans le mur.
Je ne comprends pas votre logique. Elle vous a fait quoi, la Russie ? Pourquoi cette obsession d’appeler à une guerre – car c’est ça votre solution, monter en tension jusqu’à ce que ça explose – alors que vous serez le premier vaporisé, avec famille et chien ?
Si vous croyez une seule seconde que la Russie, qui de plus est alliée à la Chine, va se coucher devant une invasion occidentale sur son sol, réveillez-vous ! Ce sera la fin du monde. Les Russes, ce ne sont pas des Français, ils n’hésiteront pas à payer le prix fort pour leur liberté. Si vous en doutez, relisez l’Histoire.
Trump est le seul qui ne soit pas fou, dans le camp occidental. Il a compris que parler c’est ralentir l’escalade. Il a compris que la diplomatie c’est d’abord écouter l’autre, et non le snober ou l’humilier. Les autres, Macron, Starmer, Merz, ce sont des somnambules titubant sur le bord de la falaise. Ils ont tout raté dans leurs pays respectifs et maintenant ils œuvrent à les achever pour de bon. C’est à ces gens-là que vous confiez le soin de régler le problème russe ?
Non mais sérieux, on est chez les fous.
@ Valery
Où avez-vous lu que je disais qu’il fallait aller jusqu’à l’intérieur de la Russie ? Vous utilisez la même rhétorique que le Cinglé criminel de guerre.
Que le Cinglé revienne aux frontières légales et sur le droit international.
Bon, pour le reste je ne vais pas user mon énergie, un pays qui accepte le knout de la part du même type depuis deux décennies quand on sait que la révolution ça existe.
Et vous utilisez le renversement de la charge de la preuve. Le Cinglé est sous mandat de la CPI, non seulement il est un criminel de guerre mais en plus il a ramené son pays au niveau d’un pays en voie de développement. Vous-même vous trouvez sans doute quelque raison à rester en France, non ?
@ Patrice Charoulet | 17 août 2025 à 15:54
C’est bien ce que je disais : vous confirmez votre mentalité de petit flic communiste qui s’acharne à fouiller dans la vie privée des gens pour chercher à les salir. Vous assurez avoir mené des recherches sur moi afin de découvrir je ne sais quel élément compromettant. Votre absence de honte à cet égard est révélatrice.
À l’instar des ordures staliniennes, qui se livrent systématiquement à des attaques personnelles pour tenter de bloquer les débats qui les dérangent, vous parlez beaucoup de moi. Il semble que je vous fascine. Mais ma personne n’est pas le sujet, ici. Le sujet, ce sont les agressions sexuelles dans les transports publics.
Commises de façon disproportionnée par les immigrés.
Ces immigrés dont vous protégez les exactions en vous en prenant à moi sous prétexte que je serais « raciste ». Curieusement, vous ne vous en prenez jamais à un commentateur comme Sylvain, qui, lui, se revendique ouvertement comme tel. Il faut croire que je suis plus dangereux que lui, car je vise plus juste.
Vous êtes, Patrice Charoulet, le complice des violeurs, des voleurs, des égorgeurs et des terroristes. En hurlant : raciste, raciste, raciste ! dès que l’on s’avise de mettre en cause les auteurs principaux de l’effroyable délinquance qui accable la France et une bonne partie de l’Occident, vous vous rangez délibérément du côté du crime et de la destruction de notre civilisation.
Avant l’immigration de masse, Monsieur le soi-disant professeur de français qui ne méritez pas ce titre, car vous prétendez interdire la créativité littéraire lorsqu’elle contredit vos opinions politiques, les femmes ne se faisaient pas traiter de « putes » dans la rue à tout propos.
Avant l’immigration de masse, les femmes pouvaient sortir librement le soir et participer à des réjouissances populaires, sans craindre l’agression sexuelle voire le viol, à Paris ou à Cologne, à l’instar de ce qui se passe au Caire.
Avant l’immigration de masse, il y avait un type de crime particulièrement abominable, méritant la peine de mort, qui n’existait tout simplement pas en France : le viol de femmes très âgées à leur domicile, voire dans des hôpitaux – souvent suivi de leur décès, par la force des choses.
Avant l’immigration de masse, l’Occident n’avait jamais connu, comme on l’a vu en Angleterre, des millions de viols d’adolescentes blanches réduites à l’esclavage sexuel, depuis 1960, pendant que la police, pourtant au courant, assurait l’impunité aux coupables sous prétexte « d’anti-racisme », voire participait elle-même aux viols – les policiers impliqués appartenant, bien sûr, à la même race que les organisateurs de ces crimes.
Il y a des causes à cet état de fait. Des causes qui doivent être étudiées, analysées, débattues.
Les délinquants qui se livrent à ces actes abominables, et à bien d’autres, ne sont pas des Américains blancs ni même des Chinois asiatiques. Ils appartiennent à des races bien identifiables.
L’immigration de ces races n’est pas due au hasard. Elle a été permise, et même encouragée, par des politiques bien précises, menées par des personnes particulières, se réclamant d’idéologies déterminées. Dont le prétendu « anti-racisme », qui n’est autre que le racisme anti-Blancs.
Si l’on désire corriger cette situation catastrophique, on doit bien entendu étudier l’ensemble de ces causes, y compris la nature des races impliquées et leurs caractéristiques.
À moins d’établir la vérité sur ces causes, il y a fort peu de chances d’aboutir à leur élimination.
Et c’est ce dont vous ne voulez à aucun prix, Patrice Charoulet. Dès que l’on commence à mettre le doigt sur les causes véritables de cette situation catastrophique, dont la criminalité n’est que l’un des aspects, vous tentez de déstabiliser le messager en l’accusant de « racisme » – vieille tactique soviétique.
Vous êtes extrêmement bavard sur le sujet, mais totalement muet sur l’immigration, ses méfaits et la façon de les combattre.
Démontrant ainsi, une fois de plus, que les « anti-racistes » ne cherchent nullement à lutter contre un « racisme » parfaitement imaginaire : ils cherchent à faire taire les opposants à l’immigration de masse, désormais majoritaires en France et un peu partout en Occident.
On comprend bien votre rage inextinguible, qui rejoint celle d’Axelle D, ici. Vous êtes les deux seuls habitués de ce blog à avoir spontanément fait savoir, sans incitation de personne, que votre conjoint, ou ancien conjoint, était de race noire.
Ce ne peut être une coïncidence. Le caractère irrationnel, délirant et haineux de votre chasse obsessionnelle au « raciste » s’explique aisément.
Mais ce qui vous échappe, c’est que votre campagne de haine démontre la justesse du point de vue de vos adversaires, et non le vôtre. Si, à l’échelle infinitésimale et personnelle de deux commentateurs de ce blog, le métissage suscite une attitude aussi aberrante, aussi mesquine et aussi contraire à l’intérêt général, c’est une raison de plus de condamner absolument l’immigration de masse.
Vous êtes la preuve vivante, tous les deux, que l’immigration de masse s’auto-entretient. Elle présente un caractère exponentiel. Elle ne doit pas être combattue simplement pour ses méfaits, mais d’autant plus que l’immigration appelle l’immigration.
C’est l’un des mécanismes les plus pernicieux du Grand remplacement. L’immigration de races allogènes hostiles, arriérées et incompatibles avec la nôtre n’est pas seulement néfaste par ses effets sur l’économie ou la délinquance. Elle a le pouvoir de modifier notre civilisation de façon irréversible, en changeant la mentalité des autochtones eux-mêmes.
Non seulement votre métissage montre que le comportement de l’homme est irrémédiablement déterminé par des critères biologiques, plus puissants que toute rationalité, mais les effets de l’immigration sur la psychologie collective se font sentir même en l’absence de lien biologique.
Une fois qu’une minorité agissante a imposé, pour son compte, ses normes sociales agressives et destructrices, la majorité indigène a de moins en moins intérêt à suivre ses propres normes, altruistes, exigeantes, respectueuses d’autrui mais incapables de lutter contre la loi du plus fort, du plus sale, du plus bête, du plus malhonnête, de celui qui fait le plus de bruit – et de celui qui méprise le plus la nature féminine, pour en revenir au sujet qui a déclenché cet échange.
Bon là je suis en cannes alors je peux y aller, la voix de son maître se reconnaîtra, je viens de me coltiner 40mn de home-trainer, j’aime transpirer ça me redonne du jus :
@Valery vous êtes entre fantasme géopolitique et aveuglement idéologique.
Votre commentaire est un concentré de ressentiment, d’idéalisation et de confusion historique. Permettez que je m’y penche point par point, avec un minimum de rigueur intellectuelle, accompagnée de celle de la résistance des matériaux de ma jeunesse, la RDM école de la construction pour le bonheur des structures les plus élevées :
La Russie, une “master class” en gestion de conflit ? Vraiment ?
Vous parlez de “gestion militaire, économique et diplomatique” exemplaire. Pourtant, la Russie a perdu des centaines de milliers d’hommes, s’est isolée diplomatiquement des pays où elle adorait faire des emplettes. Son économie dépend désormais de la Chine comme un vassal et aussi esclave de sa puissance. Je ne parle même pas de l’aide mendiée à la Corée du Nord. Une “master class” qui ressemble davantage à une spirale d’autodestruction, à la poursuite d’un fantasme d’une puissance dépassée et d’une nébuleuse de dictateur déjà vécue dans l’Histoire, et qui fini toujours par de la terre brûlée.
La propagande occidentale, vraiment ?
Vous affirmez ne plus écouter les médias russes, mais vous en reprenez tous les éléments de langage : “Russie humiliée”, “Occident décadent”, “Trump seul sauveur”. Ce n’est pas une pensée libre, c’est une redite du discours officiel du Kremlin et donc du criminel de guerre. La voix de son maître, vous êtes devenu un vassal idéologique, si j’avais un tant soit peu l’esprit complotiste, je pencherais et vous seriez catalogué comme un « honorable correspondant »… cela ne me surprendrait pas.
L’obsession de la guerre ?
Personne ne propose d’envahir la Russie. Je vous ai déjà répondu. Ce que l’Occident demande, c’est le respect des frontières internationales. Confondre cela avec une “invasion” est une manipulation grossière. Et si vous craignez une guerre nucléaire, pourquoi défendre un régime qui menace de l’utiliser à tout bout de champ ?
Trump, diplomate éclairé ?
Trump a certes évité certaines escalades, mais il a aussi affaibli les alliances occidentales, courtisé des autocrates, et semé le chaos diplomatique. Le présenter comme un parangon de sagesse, c’est oublier ses incohérences et ses dérives. On peut se demander ce que cache cette romance avec le Cinglé. Il paraît qu’il aurait été sauvé de la faillite par le Kremlin, vous approfondirez, vous en avez besoin, vous êtes tellement superficiel.
Les Russes “prêts à payer le prix fort” ?
Ce romantisme sacrificiel est dangereux. Le peuple russe mérite mieux que d’être réduit à une masse docile prête à mourir pour les ambitions d’un autocrate. L’Histoire que vous invoquez est aussi celle de millions de morts pour des guerres absurdes. Il est vrai qu’il a su anesthésier son peuple à l’aide de propagandistes que ne renieraient pas les sbires d’un IIIe Reich. Ils en avaient un sacré, qui a d’ailleurs mal terminé sa carrière lui aussi.
Le mépris des dirigeants européens
Vous traitez Macron, Starmer et Merz de “somnambules”. Ce mépris facile masque votre absence de proposition concrète. Que proposez-vous, à part l’alignement sur Moscou et la glorification de la force brute ? Et le ralliement à une idéologie mortifère pour tous ceux qui se pensent en sécurité aujourd’hui en Russie, les oligarques doivent apprécier sûrement aujourd’hui ce qu’il se passe, surtout ceux de Rosatom, Rosneft, Gazprom, qui doivent voir fondre les avoirs comme neige au soleil ou plutôt brûler sous le soleil du Petit père des peuples.
Votre discours est un cocktail de nostalgie impériale, de paranoïa géopolitique et de fascination pour l’autoritarisme… et sans doute de bêtise volontariste. Il ne fait pas honneur à la Russie, ni à la France qui vous accueille. Si vous voulez défendre la paix, commencez par condamner les agressions, pas par les justifier.
Emmanuel Macron a fait ce soir un discours puissant avant de rencontrer Trump, il a son meilleur allié avec Alexander Stubb, le président de la Finlande, les autres on verra, la Pologne semble se défiler.
Bon, bon, je vous laisse à vos élucubrations, je surveille ma montre cardio, je vois qu’elle est dans la plage qui caractérise quand je suis en cannes, pour vous ce n’est pas gagné, mais pour cela il existe des spécialistes pour ouvrir les yeux et irriguer les neurones.
Et voilà, Patrice Charoulet est reparti dans la chasse au pseudo !
Quand on ne diabolise pas les pseudonymes par principe, on tente de retracer les interventions d’un pseudo, ce qui est bien dangereux : tout le monde peut laisser tomber des indices sur soi qui, rassemblés, sont susceptibles de faire déduire son identité.
Mais par Athéna ! Si les gens votent dans un isoloir et qu’on a tendance à se dérober aux inquisitions, sur Internet, ce n’est pas pour rien ! C’est s’abstraire de la pression sociale qui rend libre. À moins que ce soit d’être relativement plus libre intellectuellement ? Ou bien, les deux vont ensemble… Je gage que cela dépend des individus.
Tout cela parce que les gens ne visent pas les idées, mais les autres, les idées, les idées, il faudrait qu’ils en aient, sans parler d’idées pour les étayer !
Il court une légende : les écrivains ne sont que des vernisseurs : beau langage et pas d’idée. C’est faux ! Une supposition née du fait que tant de gens n’ont pas d’idée qu’ils supposent la même lacune chez les autres. Ce qui n’aide pas les pauvres écrivains victimes de larcins littéraires, on traque le style, pas l’idée.
C’est pourquoi il ne m’étonne pas qu’un professeur de français puisse ne pas aller au fond des choses. Et c’est bien dommage, car on enseigne et des connaissances, et ce qu’on est : les enfants doivent donc trouver souvent chez d’autres, et souvent en eux-mêmes le ferment d’une recherche de la vérité. Cette vérité n’est, de plus, pas forcément bonne à dire, d’où le fait qu’il vaut mieux l’exprimer sous un masque comme commentateur ou comme écrivain, ou bien voilée.
De toute façon, bien des gens adorent les mystères, même pas pour le frisson du fantastique ou de la nouveauté, mais parce qu’ils supposent que quelque chose de très mystique, très sacré, gît dans les ombres, une révélation, peut-être… Alors que tout est là, il suffit de regarder le monde autrement, comme le scientifique ou le poète… Un autre éclairage sur le monde, comme l’aurore aux doigts de fée en produit tous les jours, elle qu’on célèbre avec justesse pour ce bienfait, pour cette inspiration.
@ Robert Marchenoir | 17 août 2025 à 20:45
« Non seulement votre métissage montre que le comportement de l’homme est irrémédiablement déterminé par des critères biologiques, plus puissants que toute rationalité… »
Ou comment offrir aux dénazificateurs poutiniens la justification de leur argumentation.
On ne répondra à la loi du plus fort que par celle du plus juste, ce qu’indiquerait le même Marchenoir, s’il reconnaissait ce qui en est le fondement et qui ne dépend pas du critère biologique, notre capacité à savoir défendre, quelles que soient la couleur de peau où les caractéristiques culturelles ou religieuses, ces normes sociales qu’il décrit à raison comme altruistes, exigeantes, respectueuses d’autrui, et dont il ne lui manque qu’à savoir lui-même les respecter.
Peut-être n’a-t-il pas eu la chance d’avoir un professeur de la qualité de Patrice Charoulet.
@ Robert Marchenoir | 17 août 2025 à 20:45
Pardonnez-lui, il ne sait plus ce qu’il dit. 80 ans passés et ancré dans son entêtement inquisitoire, Patrice Charoulet ne changera plus. Et puis à quoi bon de lui remonter les bretelles. Au moins il nous amuse…
Le principal c’est qu’il soit content d’avoir ses 5.000 amis sur Facebook dont un seul parmi des centaines à qui il a envoyé ses doléances lui a quand même expliqué la signification du « ouacisme ».
Pour un ancien prof de lettres avec ses 180 dictionnaires, ça prête à rire. Mais bon, en Afrique ça ne devait pas être une école d’élites pour enseigner.
@ Giuseppe
« Emmanuel Macron a réussi au moins sur un point, asservir son peuple, le brutaliser du cerveau pour lui faire avaler n’importe quoi, et les faire survivre en leur faisant croire qu’ils étaient des privilégiés. »
C’est marrant ça. À un moment, en sortant la phrase de son contexte, j’ai bien cru que vous décriviez la France.
@ glw | 18 août 2025 à 09:17
« j’ai bien cru que vous décriviez la France. »
Bon, pour la France, par rapport au Cinglé, on a de la marge, vous avez failli me faire peur :
Jusqu’à 250 000 soldats auraient perdu la vie
©The Daily Digest
Selon le groupe de réflexion basé à Washington, plus de 250 000 soldats russes pourraient avoir perdu la vie au cours de la guerre, et les pertes russes devraient dépasser les 950 000 hommes.
@ Ellen | 18 août 2025 à 08:56
Ce qui prête à rire c’est votre flagornerie à l’égard d’un individu qui applique systématiquement une méthode qui consiste à se plaindre dès lors qu’il est contesté…
Savonarole l’a justement relevé…
Votre empressement à faire de M. Charoulet l’objet de votre brillante analyse, nous dit de vous beaucoup, et ce n’est pas particulièrement flatteur…
Ainsi, il convient quand on prétend corriger un intervenant de s’attacher à ce qu’il expose et ici, est exposée une critique du bon usage de « ouaciste », dans l’hypothèse où vous et votre champion Marchenoir pourriez saisir le sens de la critique de M. Charoulet.
Par charité je me propose de vous donner une petite explication et faites-en bon usage dans les limites de votre capacité de compréhension…
Voici :
Il assez trivial de dire que les termes utilisés pour expliciter une idée sont dans la langue française d’une grandeur, d’une beauté, d’une variation et d’une précision qui font rougir de honte la langue anglaise qui est une langue de pignoufs paresseux et simplistes pour ne pas dire dans un langage imagé, plutôt ceci : « La langue anglaise, ramassis hétéroclite venant de langues primitives et sans élégance, a fait des Anglais une bande de branleurs qui mangent de la m*rde et qui donnent des leçons au monde quand ils ont environ deux grammes dans le sang, comme un certain Churchill… »
On ne peut pas dire ceci de toutes les langues, par exemple, on ne peut pas le dire des langues qui se déclinent…
Il se trouve que le penchant humain l’entraîne à courber l’échine, ceci dans le but de ne pas regarder les étoiles, indéchiffrable spectacle pour les cons…
L’humain a une fâcheuse tendance à se pencher, à se baisser, à se rabaisser et quand il a fini par atteindre la boue, il veut que les autres en fassent autant…
Soit dit en passant, Cervantes est bien meilleur que son contemporain anglais, un certain Shakespeare…
Mais revenons à nos moutons, à ce mouton à cinq pattes de Marchenoir, qui utilise le mot « ouaciste », pour nous montrer à quel point il est supérieur, or, ce mot qu’on appelle du « petit nègre » a pour but de provoquer une réaction chez ceux qui, naïveté ou méconnaissance, n’ont pas pris la mesure de la vacuité du propagandiste qu’il est.
M. Charoulet note que le mot gagnerait à être écrit en bon français, « raciste ».
Et c’est ici que surgit la très fameuse rhétorique du minotaure, minus habens qui consiste à accuser, injurier, et plus si affinités…
Mais il a des courtisans, dès lors, il s’imagine pouvoir faire taire les autres au prétexte que lui Marchenoir a le droit de dire ce qui lui plaît, et ça, ça me plaît, mais ce qui me déplaît hautement c’est que le parallélisme des formes lui échappe totalement, ce qui est lamentable pour un pourfendeur du dimanche.
Je dirais donc que la disgrâce est immense chez celui qui par lâcheté couvre d’opprobre son contradicteur, il se couvre ainsi de souillures et de déshonneur, il en va de même pour ses commensaux…
Savez-vous ce que Achille a fait à Thersite ? Non ?
La découverte du visage de Penthésilée ne peut supporter aucun commentaire mais ce dernier n’en est pas à une vulgarité près… comme votre champion, minus habens…
@ Patrice Charoulet, Lodi, Ellen, Aliocha
Don’t feed the troll !
https://youtu.be/jclPWidTfak?si=0skn7K4hJ9QxVzth
Arrêtez SVP, ne nourrissez pas le troll, cela n’en vaut pas la peine…
Ne tombez pas dans le piège… Soyez plus grand et plus fort que ça !
@ Giuseppe
Quand je parle de master class, je regarde le plan de départ et le résultat à l’arrivée. Le plan était : l’asphyxie de l’économie russe, l’isolation et ensuite la défaite militaire (cf déclaration de Borrell : ça va se jouer sur le champ de bataille). La Russie l’a pris au mot. Il faut donc être totalement en déni pour ne pas voir, aujourd’hui, qu’aucun des objectifs souhaités n’a été atteint.
Je ne vais pas me lancer dans une guerre des chiffres sur les pertes, car toutes vos sources proviennent d’une des parties belligérantes, j’en ai d’autres, peu importe. Mais parlons diplomatie et commerce : avec vous, c’est toujours le même enfumage, la Russie serait devenue le vassal de la Chine car « ils commercent ». Oui, l’eau mouille, le feu brûle, et dans le monde moderne, un exportateur d’énergie trouvera toujours des clients ; il y a aussi l’Inde, pas que la Chine.
Donc je suis d’accord avec vous, la Russie a perdu un marché de 350 millions d’habitants, elle en a trouvé un autre de 3 milliards. L’Inde vient de rétorquer à Trump d’aller voir ailleurs si elle y est, face à ses menaces de tarifs au cas où elle continue à importer de l’énergie russe.
Et en parlant de dépendance, je la mettrais en veilleuse si j’étais vous. La France était bien dépendante du gaz russe, or après avoir voté les sanctions, elle paye aujourd’hui quatre fois plus cher pour le GNL américain. Dépendante militairement, dépendante énergiquement, est-elle en position de donner de leçons ? Tout en complétant les stocks épuisés par le pétrole raffiné en Inde, qui à son tour l’a acheté aux Russes pour ensuite vous le vendre plus cher. Cerise sur le gâteau, tir ultime sur l’ambulance, savez-vous que la dette française augmente de 344 millions par jour, alors que la totalité de la dette russe est de 290 millions ? Ça, se sont des paramètres, des réalités décisives qui auraient dû peser dans des décisions qui ont un effet gravissime aujourd’hui, et pas sur celui qu’on nous dit.
Voila, quand on a failli sur tous les objectifs fixés, et qu’à l’arrivée l’autre reste bien debout, malgré une coalition puissante, 20 000 sanctions et une propagande omniprésente, je pense qu’on peut parler d’une master class, d’une leçon magistrale de gestion et de survie à long terme. Et que, sûrement, ça aurait pu se passer autrement, si seulement certains n’avaient pas pris leurs désirs pour des réalités.
@ Giuseppe | 18 août 2025 à 10:09
« Selon le groupe de réflexion basé à Washington, plus de 250 000 soldats russes pourraient avoir perdu la vie au cours de la guerre, et les pertes russes devraient dépasser les 950 000 hommes. »
Ben alors où est le blème ? Comme nous en Algérie, ils ont droit à 7 % de pertes, ils ont encore de la marge, faites le calcul, surtout que l’armée russe était composée en majorité de toutes leurs racailles, dont ils voulaient se débarrasser, pas mal comme méthode non, ça devrait inspirer notre freluquet, il y en a tellement chez nous qu’on pourrait avoir une des plus puissantes armadas du monde et les envoyer en Ukraine se faire raser le bouc par les Russkoffs.
Pas mal mon idée, je suis un génie, je ne cesse de le répéter.
@ Robert Marchenoir
Je me souviens d’un personnage du Camp des saints, lui aussi professeur retraité, plus expéditif. Tout alors était perdu, fors l’honneur. Autant mourir et quitter la vie dans la dignité ! On porte les valeurs de son époque.
Vous observez justement les motifs psychologiques qui empêchent deux commentateurs du blog de penser différemment.
De manière générale – et cela vaut pour tous et non pour ces deux commentateurs en particulier – il est complètement inhabituel de se déjuger au soir de sa vie. Lorsque le seul bien que l’on possède est sa propre vie, il deviendrait insupportablement cruel de la condamner en estimant tardivement s’être en tout trompé.
Petite taquinerie en aparté, je m’amuse du mélange hétérogène de conservatisme et d’ordre de madame Axelle D avec sa propension, semblerait-il, à avoir conduit sa vie selon son seul caprice. Je n’en suis pas du tout étonné, sachant sa jeunesse américaine.
Vous faites partie de ceux qui croient qu’il y a encore quelque chose à sauver : une certaine idée de la civilisation, occidentale il va de soi. J’ai réformé mon opinion. Je me suis rangé à l’avis d’Emmanuel Macron. Il n’y a pas de civilisation occidentale. Il en exista une jadis, au moins européenne. Elle s’appelait chrétienté. Elle est désormais moribonde et sur le point de tout à fait expirer. Ce qui se substitua à elle ne peut être confondu avec une civilisation puisque précisément elle est son contraire en ce qu’elle délie ce qui unissait les hommes entre eux. La poursuite exclusive de l’intérêt personnel ou du bonheur individuel n’unit pas les hommes entre eux et la fable de Mandeville ne dure qu’un temps, le temps que la branche se dessèche après avoir été séparée de la souche.
Je vous reproche, ainsi qu’à d’autres, une certaine forme de cécité. Il est trop aisé et pas assez profond d’attribuer tous les maux de la société à l’irruption massive de populations étrangères. Je ne nie aucunement qu’elle soit tout à la fois nocive et hautement préjudiciable. Vous y voyez une cause de la dégénérescence de la société tandis que j’y vois la conséquence ultime de sa décomposition préalable. Il n’y aurait pas d’étrangers en France qu’elle s’en porterait à peine mieux.
Comment expliquez-vous que la génération d’après-guerre, celle-là même dont on regrette la liberté sans limite fût celle grâce à laquelle tous nos maux advinrent ? Ne vous récriez pas, je vous prie. Je ne vais pas faire, à la manière de Nicolas, le procès des boomers. Si l’on y songe bien, Nicolas n’a pas plus de qualité que ses prédécesseurs. Il en a peut-être même moins. C’est avant tout un impuissant, un être bourré d’aigreurs et de ressentiment. C’est par facilité que j’ai fait débuter nos maux à ce moment de notre histoire. En vérité, cette génération n’a fait que poursuivre ce qui était depuis des décennies déjà commencé.
J’opine que nos maux actuels prennent leurs racines dans les principes de notre Révolution et de la République. Ceux-là n’ont pas surgi spontanément. Ils proviennent du siècle des Lumières, lumières anglaises d’abord et étrangères, elles-mêmes filles d’hérésies des siècles passés, resurgies du foisonnement d’idées nouvelles à partir de la Renaissance. Au moment de la Révolution, il n’y avait guère qu’une fraction du peuple, surtout les élites bourgeoises et nobles, à être acquise aux idées libérales. Elles se sont diffusées dans tout le peuple surtout à partir de la IIIe République, soit il y a à peine cent cinquante ans, moins de huit générations. On peut dire sans se tromper que la diffusion de ses idées a radicalement modifié l’esprit français. Certes, il y eut des résistances mais la fin de la Seconde Guerre mondiale acheva de les décimer. Il devient difficile de distinguer un Européen d’un Américain. Il le sera plus encore dans l’avenir. Les Américains nous ont grand-remplacé bien avant les hordes étrangères ! Le progrès technique exponentiel prépare la civilisation des robots. Ne faisons pas les fines bouches. Il nous reste du passé les tenues légères des femmes, le sexe gratuit et frivole, le barbecue, nos fromages, la baguette et le saucisson !
Tout ce qui ne nuit pas à autrui ne peut être interdit. Cela vaut d’abord dans le domaine de la pensée. À partir du moment où n’importe qui peut croire ou faire n’importe quoi sans quasiment nulle limitation à sa licence, la déclinaison mécanique de ce principe est la dissolution de la société. Tout devient relatif et rien ne vaut. La tolérance abat les murs de la citadelle.
Permettez aux hommes de penser ou de croire n’importe quoi, ils auront l’impression d’être le plus complètement libres tandis qu’un spectateur extérieur verrait en eux des aliénés. Permettez-le leur et tôt ils n’auront plus pour savoir dans leur cervelle que tout un fatras d’idées fausses. Par où les philosophies de l’émancipation conduisent à l’aliénation mentale et cette sorte de sujétion consentie, que désormais l’on observe, à un ordre idéal et moral qu’il ne faut plus regarder avec lucidité mais vénérer religieusement, quelles que soient les offenses que l’on en reçoit. Tuez Dieu en eux, ils se prendront tous pour le centre de l’univers et feront de leur débile raison et d’eux-mêmes une déité, la fin dernière de leur bref passage sur Terre.
Je ne vois aucune différence de principe entre le libéralisme économique et le libéralisme sociétal. L’un penche à droite. L’autre penche à gauche. Les deux sont fondamentalement de même inspiration. Les deux ont redessiné le visage de la France. Avers et revers de la même médaille, naturalisme, matérialisme athée. La Révolution libérale est plus que jamais en marche.
Il me paraît indispensable de rouvrir la vieille querelle entre les Anciens et les Modernes.
@ Valéry | 18 août 2025 à 13:22
Arrêtez de ramer, vous êtes sur le sable !
L’Inde et la Chine ont tout à prendre et rien à donner, encore moins au Cinglé qui détraque leur machine à cash. La Chine leur serre le kiki, avec l’éternel sourire de Xi Jinping.
Tous ces pays ne veulent que du dollar, pas du rouble… Vous êtes un sacré plaisantin ! La Russie est un grand pays, c’est vrai pour l’étendue, pour l’image c’est champion du monde ! Un assassin criminel de guerre à sa tête, il est chauve sans mèche et sans la petite moustache, pour le reste il finira comme l’autre, il devient surtout encombrant.
Bon il faut le reconnaître il a son petit cousin de la Corée du Nord, à eux deux ils font un bel attelage il doit se sentir moins seul.
La Riviera doit manquer à tous ses oligarques, ils iront chez Kim, ça doit être follement folichon chez lui, ils fabriquent même un truc qui ressemble au champagne, ils doivent sûrement adorer, ces milliardaires russes et leurs épouses les bulles de la Corée du Nord, ainsi que les boutiques de luxe siglées KJ-U.
Il suffit de voir le coiffeur de Kim et la coupe de ses costards.
Pourtant ils aiment le kitch les Russes, mais pour les bagnoles et le reste pour assurer ils venaient plutôt place Vendôme. Quelle poilade !
@ duvent | 18 août 2025 à 12:04
Hissez les voiles et prenez le large… allez, du vent !
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@ Axelle D | 18 août 2025 à 13:21
J’ai suivi vos conseils. Duvent qui dicte sa loi en faisant du sectarisme vient de s’en prendre une.
@ Ellen
(@ duvent)
« Hissez les voiles et prenez le large… allez, du vent !
(@ Axelle D)
J’ai suivi vos conseils. Duvent qui dicte sa loi en faisant du sectarisme vient de s’en prendre une. »
—
D’une part, je ne crois pas que vous soyez en mesure d’obtenir satisfaction…
D’autre part, je note que vous êtes experte en matière de vanité, puisque vous semblez comblée par votre admirable et consistante réponse d’une bouffonnerie épatante !
Je me permets de vous présenter un extrait de votre commentaire :
« Pour un ancien prof de lettres avec ses 180 dictionnaires, ça prête à rire. Mais bon, en Afrique ça ne devait pas être une école d’élites pour enseigner. »
Rédigé par : Ellen | 18 août 2025 à 08:56 »
Ceci afin de permettre une lecture éclairée de votre commentaire, sur un autre fil, si plein d’une bonté dégoulinante d’hypocrisie, si rempli de sagesse débile, si débordante de sensiblerie repoussante, mais qui poursuit un but…
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(@ Achille)
« Essayez de faire comme moi et vous n’aurez plus le bourdon au lever du matin. Évitez à tout prix ceux qui vous énervent le plus. C’est ce que je fais.
Je ne vous connais pas de visu et pourtant je vous aime bien. Vous êtes très sensible et jamais vous ne heurtez vos contradicteurs même quand ils vous volent dans les plumes. Ne changez pas !
C’est magnifique et très touchant. La vraie France et l’Europe c’est ça.
https://www.youtube.com/watch?v=KdIhq1tb8Co
Rédigé par : Ellen | 19 août 2025 à 09:53 »
Si vous croyez avoir dupé vos lecteurs c’est que votre sottise dépasse votre vanité de plusieurs coudées !
Si vous pensez qu’il suffit d’utiliser Achille pour vous couvrir de ses qualités, c’est qu’en matière d’imposture vous n’êtes pas novice !
Si vous imaginez que vous pouvez donner des leçons de maintien c’est que vous avez un sens de l’humour tordant !
Surtout ne changez pas ! (ça c’est un super conseil, je me demande pourquoi aucune loi dans le Code civil n’a cherché à faire fructifier une si bonne idée, qui apporte la paix, la joie et la bonne humeur ??)
Ah ! On me souffle que nous sommes en France et que nous avons déjà les vendanges tardives, le champagne, le pomerol et moult délices de Capoue…
Enfin, et parce que je ne souhaite pas heurter votre sensibilité si délicate, je vous dirai ceci : certes, il y a d’excellent plongeurs ici !
@ Valéry | 18 août 2025 à 13:22
Vous devez aimer recevoir des baffes, ça tombe bien je suis en cannes et je viens de beaucoup transpirer.
Un « chef-d’œuvre » autoproclamé. Vous appelez ça une master class. D’accord, jouons le jeu : applaudissons debout… et comptons les coulisses, la fumée et les câbles qui tiennent le décor.
Les objectifs fixés par qui, déjà ? Vous rebaptisez le plan en trinité magique : asphyxie totale, isolement absolu, défaite militaire immédiate. On voit le résultat aujourd’hui, d’après IWG, le Cinglé en aurait, à son rythme, pour un siècle à conquérir l’Ukraine. Drôle de puissance mondiale, un pays Potemkine et une équipe de bras cassés criminels de guerre.
Vous devriez prendre des cours d’économie, mais pas au pays du Petit père des peuples.
Un marché des 3 milliards, vraiment ? L’Asie n’est pas un guichet unique. Vendre ailleurs n’est pas gagner « autant » : rabais massifs sur le pétrole, logistique plus longue, contrats asymétriques, dépendance accrue à quelques acheteurs qui dictent le prix, vous étranglent juste ce qu’il faut, relâchent juste ce qu’il faut pour ne pas vous asphyxier complètement et continuer à se goinfrer, eux, de cette opportunité livrée sur un plateau d’argent par les sanctions.
Souveraineté soldée, bradée, vendue dans l’urgence, appelez donc « autonomie » une situation où l’on brade ses ressources à deux ou trois clients dominants, c’est comme se vanter d’être libre avec un seul employeur, qui paie au lance-pierres et en plus vous y allez comme à Canossa, la charité bien ordonnée commence par soi-même et la Chine et l’Inde se servent d’abord c’est bien connu, surtout quand on est un intermédiaire qui fait la passe sur un pas. Plus ces pays étranglent le Cinglé demandeur, plus les marges sont bonnes pour eux.
Le mythe de la diversification : débrancher l’Europe (pipeline) pour se greffer en urgence sur l’Asie (maritime/contrats à rabais), ce n’est pas une mutation triomphale, c’est une béquille coûteuse qui vous ramène au titre de vassal, d’esclave ou de soumis. L’Europe a fait en deux hivers ce qu’elle repoussait depuis quinze ans : diversifier, remplir, économiser, accélérer les renouvelables. Que ça coûte au début ? évidemment. Le prix de la dépendance, c’est toujours payé à la sortie, jamais à l’entrée, et aujourd’hui on dit merci qui ? merci Cinglé.
« Quatre fois plus cher » éternel ? L’instantané de 2022 n’est pas une structure. Les prix spot flambent, retombent, se couvrent. Mesurer une stratégie à la pire semaine du marché, c’est confondre météo et climat.
Le carburant « raffiné en Inde » : oui, le monde est interconnecté. Justement, contourner ne veut pas dire gagner. Chaque détour prélève sa marge, rarement du bon côté de l’exportateur sous sanctions, vous devriez le savoir, c’est du niveau terminale éco.
Acrobaties comptables et chiffres en goguette, la totale pour vous, comparer un flux à un stock : « La dette française augmente de X par jour » versus « la dette totale russe est Y ». C’est juxtaposer des choux quotidiens et des carottes cumulées. Impressionnant, mais vide. Décidément vous aimez recevoir des baffes et j’en ai encore dans la giberne.
Qualité de la dette : le coût du financement, la profondeur des marchés, la convertibilité, le risque politique, voilà le prix réel d’un euro ou d’un rouble emprunté. Le reste, c’est du théâtre de chiffres.
Le coût sous le tapis, contrôles, exode, répression : une résilience qui dépend de contrôles de capitaux, d’exils d’entreprises et de cerveaux, d’un budget militarisé et d’une presse bâillonnée, ce n’est pas un modèle, c’est une camisole. Un vraie camisole de force qui bientôt sera passée au Cinglé par lui-même, il achète le chanvre dont il va faire ses propres liens, peut-être plus quand son peuple se réveillera, il tirera aussi dessus avec la Chine et l’Inde, décidément vous aimez les baffes !
« 20 000 sanctions et toujours debout ». Tenir n’est pas prospérer. Tenir peut vouloir dire s’ankyloser debout. Les économies se fissurent d’abord en silence, dans les pièces détachées, les technologies, l’investissement, la démographie est mortifère en Russie.
Si master class signifie rétrécir son futur pour survivre au présent, vendre à rabais à des acheteurs captifs, militariser l’économie et appeler ça victoire, alors oui, standing ovation. Mais ce n’est pas de la stratégie, c’est du bricolage héroïque éclairé à la bougie, qui fait croire à l’or parce qu’il brille dans le noir. Non seulement vous aimez recevoir les baffes mais en plus des coups de pieds aux fesses. Sacré Valéry, master class de baffes, vous devriez être preneur, vous avez l’air d’aimer ça.
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@ Ellen | 18 août 2025 à 20:04
Allons, allons ! Nous avons eu @savonarouill… pardon Savonarole, qui sucrait les fraises dernièrement, de la hauteur Ellen ! tout marin hauturier sait que le vent peut être capricieux.
Pour les amateurs de précision, je viens de découvrir qu’un tireur d’élite ukrainien a touché une cible à 4000 m assisté par l’IA… Et dire que je tirais sur la traîne d’un coucou à Biscarosse à l’oeil nu… On n’arrête plus le progrès ni la con… Enfin vous voyez, chez n’importe quel cinglé.
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@ sylvain | 18 août 2025 à 14:54
« Pas mal mon idée, je suis un génie, je ne cesse de le répéter. »
Un vrai génie ! Vous n’en connaissez pas une pour rembourser 3350 milliards de dette ! Parti comme vous l’êtes, vous allez sauver le pays. Et puis tant que vous y êtes, je dois déposer le compresseur de clim de la voiture d’un ami et dans une Juke c’est coton… En imposant les mains sur l’écran de votre ordi, cela devrait se faire tout seul, merci d’avance au petit génie, le Cinglé le lui rendra.
Que se passe-t-il, Jordy Barboteuse est absent de partout, vous pourriez aussi le faire réapparaître ? J’arrête ici, je ne voudrais pas abuser de votre fluide magique.
@ Giuseppe
Deux réponses consécutives à mon billet, j’ai dû faire mouche, maintenant détendez-vous. Le seul qui apparemment aime les baffes c’est Emmanuel. Mais quand il réalisa que ce fut immortalisé par une caméra, quelle fut sa réponse ? C’est les Russes, c’est leur projeeet !
On dit que le chien ressemble à son maître, je rajouterai le veau aussi.
@ Valéry | 19 août 2025 à 20:30
Je vous l’ai dit je suis en cannes et comme il paraît que j’ai un gros moteur a dit le cardio, je peux continuer ma promenade de santé sans effort particulier, avec vous je m’économise en plus, je monte juste en température, j’essaye d’atteindre mon seuil de pulsation adéquat, rien à faire, trop facile ! Quelle poilade ! Je mouline mais ça va un moment.
@ Giuseppe
Ah, je vois que Monsieur a été artilleur sol-air, comme feu le pape Benoît XVI. Sans doute au cours de votre service militaire. Sur canon de 20 mm en monotube ou bitube ou sur Bofors de 40 mm ?
@ Jean sans terre
« je m’amuse du mélange hétérogène de conservatisme et d’ordre de madame Axelle D avec sa propension, semblerait-il, à avoir conduit sa vie selon son seul caprice. Je n’en suis pas du tout étonné, sachant sa jeunesse américaine. »
Il vous semble bien mal et question psychologie féminine en général et Mary Preud’homme en particulier, vous avez tout faux.
Ce qui vous gêne ou vous déconcerte, est sans doute ma personnalité atypique et mon indépendance d’esprit, dont vous n’avez pu relever ici que quelques très rares traits et avez arbitrairement tiré des conclusions. Comme d’autres pas très malins, esprits retors ou sectaires, à partir de quelques détails s’empressent sans plus de réflexion, ni connaissance des êtres, de conclure à des généralités (le plus souvent en mauvais part !).
Ce sont donc plutôt vos allégations purement fantasmées pompées sur Marchenoir, à moins que relevant d’un mental militaire rigide, sectaire et borné, qui prêteraient à sourire !
@ Jean sans terre | 20 août 2025 à 02:58
Vous voyez une Kalachnikov ? Eh bien à l’envers, en plus gros, une plateforme tournante, un pointeur, un tireur, un MDL et un brigadier, ma pomme. Et le plus grand froid jamais vécu sur les plateaux de Nîmes, un froid qui vous traverse le corps, activé par un vent glacial, Verdun c’était de la rigolade. Torse nu sous le treillis tous les mercredis matin, mais je reconnais j’ai triché en me bricolant un sous-vêtement chaud qui laissait apparaître un torse de champion (je me fais plaisir), sous un treillis satin. Bref un troufion parmi d’autres qui n’aurait rien à faire au milieu d’une armée professionnelle aujourd’hui à part astiquer les pneus avec du cirage, ou en faire un métier.
Dans le Grand Robert de la langue française en 6 volumes, qui répond à presque toutes les questions que l’on peut se poser sur notre langue, je tombe sur « Principales maladies et affections » p. 1081. Le dictionnaire fournit un tableau de 288 maladies ou affections, dont beaucoup me sont inconnues.
Je suis en bonne santé, malgré mon âge. J’échappe donc à 288 malheurs. Quelle chance !