Des coupables avant le tueur de Marseille !

« Je n’ai pas envie de jeter une pierre facile et rétrospective à ceux qui au pouvoir, après chaque tragédie terroriste, de Toulouse à Marseille, de Merah au tueur de Marseille, ont cherché à la fois à prouver leur résolution et à rassurer les Français. »
Peut-être que j’aurai plus tard quelque chose de plus intéressant à dire sur le sujet, c’est pas sûr.
Dimanche soir dans l’Eurostar en revenant d’un match de foot US à Wembley qui est mon autre religion en dehors de la liberté d’expression, je discutais avec un Allemand et un Italien et donc évidemment on parle football, le « vrai » football, et donc on compare plus ou moins la situation des trois pays en cette matière et des rivalités entre pays et villes.
L’italien était de Milan et fan du AC.
Comme je sais que M. Bilger aime le football et que je suis un vrai lèche-cul, je continue l’anecdote qui n’a rien à voir avec la fin du propos mais je pense que ça va l’intéresser.
Donc, l’Italien fan du AC Milan me dit que le pire ennemi du AC est la Juventus (!!) et donc je réponds surpris, c’est pas l’Inter ?!
Il me dit que non. Même quand il y a des matchs AC-Inter, l’ambiance est meilleure, il n’y a jamais de bastons.
Mais avec la Juve, c’est pas possible, « c’est la guerre ». C’est de lui ça.
Et donc je parle de PSG-Marseille et je dis en anglais, ou ce qu’il en reste à ce moment-là dans mon état, comme une blague, Marseille, c’est la première ville d’Afrique du Nord en Europe.
Et j’ai même pas eu le temps de terminer ma phrase, parce que je ne parle plus assez bien l’anglais et que j’étais déjà dans un sacré état, que l’Italien l’a terminée pour moi.
Donc, vous imaginez la vision de la France pour les pays voisins ?…
Voilà, c’est la chute.
Elle peut apparaître décevante comme ça mais elle fait réfléchir a posteriori.

Tout à fait d’accord avec Philippe Bilger mais c’est le genre de billet qu’il m’est impossible de commenter tant la nausée me submerge.
Une seule remarque, le soir même des deux assassinats, on invite sur LCI, devinez qui, un psychiatre, qui se met à pérorer sur « le passage à l’acte inconscient subséquemment à une pulsion » et autres perles.
Le but étant désormais de nous faire gober que tout attentat terroriste serait l’œuvre de déséquilibrés.
Le ministre de l’Intérieur, cacochyme et franc comme un maçon, s’est débattu pour nous asséner qu’on ne pouvait rien dire, alors que Trudeau au Canada ou Theresa May au Royaume-Uni mettent cinq minutes pour établir la piste terroriste.
Désormais nos terroristes sont des déséquilibrés, qu’on se le dise, le mot d’ordre, l’élément de langage, est passé à toutes les rédactions en France.
Une honte.

Oui, bien sûr, dysfonctionnements, erreurs, etc. mais il y a aussi le grand désintérêt pour les causes de ces drames. C’est du bofisme. Après tout, c’est un brave garçon, il a compris, ça ira comme ça, puis c’est un Tunisien, enfin, peut-être, pas d’amalgame, pas de stigmatisation etc. Bref, la lâcheté ordinaire de ceux qui sont à l’abri, et dont on fait tous partie, un jour ou l’autre.
En revanche, ce qui est plus grave, c’est le climat de cette affaire. La clameur Allah etc., sur le plan criminel n’a guère d’importance, et n’exonère pas le sujet, mais nous confronte à la banalisation chez tout musulman de sac et de corde à invoquer la grandeur d’un dieu… aussi inconnaissable que dérangeant. Daech bien entendu, revendique, et de nombreux jeunes musulmans chez nous ont dû danser de joie à cet amalgame.
C’est dans l’Islam même que ça se passe, et c’est l’Islam que nos politiques nous imposent, font rentrer de force dans nos courbes de risque. On ne discute pas ici de la valeur de l’Islam, qui a fait ses preuves dans tous les domaines, le répugnant comme le merveilleux, à l’instar de la plupart des religions. Il s’agit simplement de comprendre pourquoi, après avoir frôlé dix fois la guerre civile pour séparer l’esprit et la matière de notre pays, on fait rentrer à grands coups de trique, de force, et par voie judiciaire, souvent, une religion qui, précisément, mixe tout. Les associations antiracistes sont le fer de lance de ce viol de notre pays, les maires véreux en sont le terrain d’exercice et les politiques nationaux, engagés dans des alliances douteuses, en sont le bras armé.
Il est insupportable qu’un pays, autrefois fille aînée de l’Eglise, puis libertin et néanmoins religieux, puis détaché progressivement de cette obédience pour en arriver à une perte presque totale de spiritualité, s’accroche aux basques d’une religion qui murmure discrètement, très discrètement, sa navrance au bruit du sang romano-germanique qui coule, mais, dans le secret, y pose la mesure des progrès de son influence.
Certes, il n’y a plus d’espoir que cela se normalise, nulle part ; en Indonésie, une province vit sous la charia, la bastonnade y est courante, la mort fréquente, au nom de l’Islam. Pourquoi en serions-nous exceptés, nous qui dorlotons cette religion qui porte en elle, dans son sein, la justification de l’horreur, abandonnée aux criminels de droit commun. Tous les jours, les erreurs politiques des donneurs de leçon du passé se dévoilent. Le mise sous législation dite « équilibrée » de notre pays, démontre l’acceptation de la mort sous étendard vert dont l’administration dans son inconscience collective, son mépris de la population, vient accroître la banalité.
Un passant qui aurait tué l’assassin aurait été sans doute menotté avant d’être peut-être relâché, morigéné par un jeune juge d’instruction bouffi d’importance. La dame courageuse qui a tenté d’intervenir aura bien de la chance si elle n’est pas accusée de coups et blessures, alors qu’elle n’était pas attaquée. Ca s’est vu, « mais enfin vous n’étiez pas personnellement en danger »…
La religion chrétienne, qui porte ses croix avec difficulté, a perdu sa faculté de mort, elle a jeté le Christ dans la fosse aux lions, alimentés par Daech et nos gouvernements, nonchalamment appuyés sur l’épaule du Prophète.

Le tueur de deux jeunes filles à l’arme blanche est mort.
Pour se rassurer, pour retrouver un semblant d’ordre, un simulacre d’équilibre, une fiction de sécurité, on enquête pour savoir quels sont les coupables, les négligents, les défaillants, dans les bureaux.
Le coupable, c’est le tueur, et ses idées tordues venues de l’idéologie islamiste.
Il y a bien des éléments qui ont pu faciliter ces crimes, mais la plus grande blague que l’on entend depuis des lustres est d’oser venir nous dire qu’on va expulser un étranger hors de France. IL N’Y A PLUS DE FRONTIERES AUTOUR DE L’HEXAGONE. C’est manifeste quand on pense aux frontières qui sont entre la France et ses voisins continentaux : Belgique, Allemagne, Suisse, Italie, Espagne… Un expulsé, un raccompagné reviendra quand il voudra, dans une semaine, dans un mois, dans un an…
Pour les expulsés au-delà de la Méditerranée, c’est moins facile, en principe. Mais c’est toujours faisable : il suffit de le vouloir.
Il y a eu quelques frontières excellentes, par exemple entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est : un modèle du genre. Murs, miradors, barbelés, transgresseurs (franchisseurs) abattus par balles. Je ne les regrette pas, je les décris.
Les frontières françaises, quelle blague !
Chercher un responsable dans un bureau, pour les crimes odieux de Marseille, ce n’est pas sérieux.

Comme le fait remarquer Serge Federbusch, les deux jeunes femmes, l’une égorgée et l’autre éventrée par un terroriste musulman, ont subi à Marseille un martyre hautement symbolique.
Tout le monde passe sous silence ceci :
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !

Paraît-il que cela s’appelle La Marseillaise et, même, d’après certaines rumeurs sans doute infondées, ça serait notre hymne national.

Bonjour,
« Des coupables avant le tueur de Marseille ! »
Des coupables vous n’en trouverez pas. Déjà Béatrice Brugère, la Secrétaire générale de FO Magistrats, que vous avez eu la gentillesse d’inviter dernièrement, a expliqué devant micros et caméras qu’il ne fallait pas jeter la pierre au fonctionnaire de service qui était indisponible samedi dernier. Ceci même si sa défection n’a pas permis de placer l’assassin des deux jeunes filles, en situation irrégulière et ayant à son actif de nombreux forfaits, dans un centre de rétention en attendant son expulsion vers son pays d’origine, la Tunisie.
Quant au responsable, car il faut bien en trouver un pour expliquer la mort atroce de ces deux jeunes filles de vingt ans, Béatrice Brugère l’a désigné. C’est l’Etat bien sûr, avec toujours le même couplet « pas assez de moyens humains et matériel, trop de dossiers à traiter ». Bref toujours les mêmes explications et toujours le même responsable.

Collomb nous raconte des histoires pour endormir les petits enfants avec son enquête administrative. L’État et le gouvernement sont dans une ambiguïté savamment entretenue en ce qui concerne l’application de la loi et le problème gigantesque de l’immigration illégale. Quand ça tourne vraiment mal, que de pauvres jeunes filles sont trucidées au couteau de boucher en pleine rue, et qu’on ne peut pas appeler ça un malheureux « incident » ou l’œuvre d’un « déséquilibré », face à l’opinion révulsée, on appuie sur le bouton « enquête administrative » et monsieur Collomb bonimente et bonimente et bonimente d’un air rassurant quoiqu’un peu contrit. Jupiter se dit en colère.
Il va falloir envisager la pédagogie à haute dose, du moins en ce qui me concerne, car j’ai de sérieux doutes sur la volonté de ces messieurs de s’attaquer sincèrement au problème du terrorisme islamiste.

Je retiendrai, Monsieur Bilger, cet alinéa qui me semble emblématique d’une pensée par trop facile : « Je vais finir par croire que, même si c’est paradoxal, l’État est moins courageux pour stigmatiser les faillites identifiées graves que pour se dresser sans trembler face au terrorisme qui en a profité. Ce n’est plus du déni mais une répugnance à accabler le singulier quand le collectif indistinct laisse chacun indemne », parce qu’user du terme  » l’État » est trop général et particulièrement galvaudé par notre classe politique. J’y reviendrai.
Pour ce qui concerne l’affaire de Marseille, avant que d’accuser les sous-fifres, sans doute faut-il d’abord rechercher la responsabilité des « faiseurs de lois ».
En l’espèce qui a rejeté le principe de la double peine ? Qui a fait en sorte que le séjour irrégulier ne soit plus un délit ? Ce sont des textes législatifs de l’époque de Monsieur Sarkozy. Et maintenant nos « LR » vont-ils accabler Monsieur Hollande pour stigmatiser sa faiblesse alors que ce sont eux-mêmes qui ont concocté et voté ces textes ?
Cette classe politique a toujours eu beaucoup de paroles mais a toujours eu peur des conséquences réelles de ses choix. Les mêmes qui n’ont à la bouche que le mot « République » ou « républicain » sont ceux qui n’ont de cesse depuis trois décennies au moins d’en saper le fondement et le sens.
Par ailleurs, ce type d’individus est d’origine nord-africaine. Et si police et gendarmerie les contrôlent de manière systématique, on les accusera de contrôles au faciès ou d’exercice illégitime de la force.
Cet attentat est venu à point pour que nos parlementaires votent sans rechigner le projet de loi de Monsieur Macron. On verra comment ces textes seront mis en œuvre et comment la sphère médiacratique réagira au moindre incident qui ne manquera pas d’être monté en épingle.
J’en reviens à « L’Etat ». Les élus n’ont de cesse d’accuser l’Etat de toutes les vilenies et de toutes leurs misères. Les Français n’ont de cesse de faire appel à l’Etat pour régler leur problèmes, y compris personnels ou même psychologiques.
Par ailleurs, il faudrait savoir si l’Etat n’englobe pas les ministres et si ces derniers ne sont pas responsables des politiques qu’ils ont conçues et mises en œuvre depuis quarante ans.
De même, depuis 1981, a été lancée la fameuse décentralisation et la déconcentration des services de l’État. Les collectivités territoriales se sont vu attribuer nombre de fonctions auparavant exercées par les services de l’Etat, avec des communes de plein exercice. Depuis, et notamment depuis le début des années 2000, tous les gouvernements qui se sont succédé ont appliqué la même politique de réduction des libertés dévolues aux collectivités territoriales. D’abord par la création de strates administratives nouvelles enlevant aux communes leur attributions. Ensuite en leur enlevant la capacité de fixer certains impôts ou taxes (de la fixation du montant des cartes grises par M. Fabius, jusqu’à maintenant la suppression de la taxe d’habitation par M. Macron) pour les remplacer par une dotation globale de fonctionnement qui est décidée par les ministres qui, sans quasiment aucune exception, sont des élus, très souvent issus de la haute administration. Enfin, par des réformes de la carte administrative de la France par la création d’un système de métropoles entourées d’une France périphérique qui n’intéresse personne dans cette classe dirigeante, sauf lorsqu’il faut en recueillir périodiquement les suffrages. Le Peuple est lui-même spolié de toute capacité de peser sur les choix souverains des dirigeants politiques. Par exemple la volonté de faire disparaître les départements, une des rares entités administratives proches des citoyens, M. Sarkozy n’ayant renoncé que parce qu’il se mettait à dos l’ensemble des élus de France des départements et des communes. Par exemple encore, la redéfinition des régions, dans les cartons depuis fort longtemps, décidée par le seul choix de M. Hollande en son palais de l’Élysée sans qu’à aucun moment les citoyens ne soient consultés sur une organisation qui les concerne au premier chef.
Alors cela aussi c’est l’État. Mais ces décideurs, en premier lieu le président de la République, ne sont réellement responsables de rien, ni devant personne.
Alors tomber sur le râble des seuls exécutants, que l’on qualifie, eux, d’État défaillant, cela frise une démagogie qui me déplaît au plus haut point alors que les responsables de cette gabegie sont à rechercher dans les plus hautes sphères du pouvoir.

@ Wil
Prost…

Autrement dit, cher Philippe Bilger, c’est la faute à quelques lampistes, voire à des chefs de bureau incompétents. Il suffira de les sanctionner (on peut sanctionner les fonctionnaires, maintenant ?), et tout rentrera dans l’ordre. De plus, en inscrivant de façon permanente, dans la loi, ce qui n’a servi à rien de façon temporaire, on va empêcher les attentats.
Nous sommes réellement revenus à l’ère hitlérienne, et vous nous annoncez qu’il faut refaire le papier peint et supprimer les autorisations de congés des téléphonistes.
Bien sûr que vous avez raison lorsque vous relevez que dans presque chaque attentat, on retrouve après-coup des circonstances permettant de se dire : si le lampiste Cruchot avait signé le formulaire B 12 52 le 4 juillet, alors le massacre aurait été évité. Hélas, vous en tirez des conclusions à l’opposé de la réalité.
C’est que votre vision n’est pas assez large. Vous n’avez pas observé que dans tous les pays occidentaux visés par le djihad, il y a toujours un lampiste McGregor, Sören ou Giulini qui n’a pas signé le formulaire B 12 52. Il y en a même plusieurs. Il y en a des tripotées. Il y a toujours un terroriste qui était « bien connu des services de police », « fiché par le MI5 », « surveillé pour radicalisation », « arrêté pour séjour irrégulier », « signalé par les services de renseignement d’un pays ami doté d’un drapeau avec des rayures et beaucoup d’étoiles », etc.
Ce n’est pas parce que Cruchot, McGregor, Sören et Giulini sont tous des abrutis inopérants, tant qu’ils sont. C’est parce que nous sommes débordés. C’est parce que vous ne tenez pas compte de tous les cas où Cruchot, McGregor, Sören et Giulini ont effectivement serré « left of boom » les salopards qui veulent notre mort, ont effectivement désamorcé les bombes (pas plus tard que samedi dernier à Paris), ont réussi à faire condamner à dix ans de prison tel ou tel interprète erroné d’une religion de paix et d’amour bien connue, ont, plus discrètement, abattu à l’étranger quelque Mohamed résolu à nous égorger une fois revenu de « vacances », etc.
Regardez les assassinats de Marseille. On nous fait tout un fromage de ce que le Mouloud de service était immigré « clandestin » chez nous depuis douze ans, qu’il rentrait et sortait des commissariats de police comme du bistrot, qu’il avait à chaque fois une identité différente, et qu’un malheureux fonctionnaire de la préfecture était introuvable, la veille de l’attaque, pour ordonner la mise en rétention qui aurait empêché, cette-fois ci, l’attentat.
Mais en supposant que le fameux Cruchot de Marseille ait ordonné la mise en cabane du misérable, où l’aurait-on fourré ? Les gazettes nous indiquent que de toutes façons, il n’y avait pas de places disponibles. Et s’il y en avait, qu’en aurait-on fait deux jours, dix jours, soixante jours plus tard ? Il y a très peu d’expulsions d’immigrés illégaux, en France métropolitaine. On fait semblant de les interner, et ils font semblant d’être clandestins.
Et pendant ce temps-là, comment se porte le grand collecteur qui aspire tous les bandits de la terre et les déverse chez nous, sans la permission de personne ? Il est grand ouvert. C’est un flot ininterrompu.
Alors à ce régime-là, vous allez adresser un blâme à un million de Cruchot, qui n’étaient pas disponibles le samedi à 17 heures pour envoyer un mail à Crucheaux avec un coup de tampon par-dessus ?
Aujourd’hui, le grand journal de gauche Le Figaro publie une interview martiale d’un « philosophe » sorti de nulle part, Damien Le Guay, venu promouvoir, en rangers et treillis, son livre « La guerre civile qui vient est déjà là » (couverture sur fond rouge). Ayant fustigé de façon radicale et courageuse l’inaction de nos élites face au djihad, il a… complètement oublié de prononcer les mots qui fâchent : fermeture des frontières, arrêt de l’immigration, expulsion des immigrés illégaux.
Au lieu de quoi, il tape du poing sur la table et propose des solutions d’une audace quasi-churchilienne : « désamorcer les peurs », « réformer l’islam de France », « déradicaliser l’anti-racisme » (comprenne qui pourra), « demander aux Français musulmans de choisir entre les solidarités musulmanes et l’amour de la France » (et s’ils choisissent l’islam, on fait quoi ?), et, attention, Mesdames et Messieurs : « se hisser à la hauteur de l’événement ». Yesss…
Je crois qu’il y a un truc qui n’est pas encore bien calé, là. Pour « se hisser à la hauteur de l’événement », il va être nécessaire de penser en termes de fortification des frontières (murs, clôtures électrifiées avec surveillance électronique, patrouilles militaires…), arrêt quasi total de l’immigration, multiplication par deux, trois ou quatre du nombre des prisons, fermeture massive de mosquées (mettons le tiers ou la moitié, pour commencer), expulsion des immigrants illégaux par dizaines de milliers directement dans leur pays (pas « reconduite à la frontière », genre sapeur Camember).
Et, bien sûr, les mots interdits : construction de camps de concentration sur le territoire national. Comme aux Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale. Sans oublier : déportation des étrangers musulmans de fraîche date insuffisamment intégrés.
Aux gros malins qui répondent immanquablement, en pareil cas : mais, euh, ce serait la guerre civile, euh, je ferai remarquer que c’est déjà la guerre civile. Même un « philosophe » qui prétend « désamorcer les peurs » sort un bouquin pour le dire. Je ne sais pas comment vous appelez autrement une situation où on risque tous les jours, en sortant de chez soi, de se faire égorger, fusiller, exploser, écraser par un camion. Que dis-je : on peut même être tué dans l’explosion de sa maison pendant son sommeil, maintenant.

« Le gouvernement lance un «Tour de France de l’égalité »
Le Premier ministre, Edouard Philippe, lancera mercredi le « Tour de France de l’égalité entre les femmes et les hommes », destiné à « recueillir la parole des femmes et leurs préoccupations », a annoncé mardi la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa.
« La plupart des ministres vont faire des déplacements partout en France », a expliqué Marlène Schiappa » (Le Figaro)
À Byzance, pendant que les Turcs mahométans, comme on disait à l’époque, assiégeaient la ville et se préparaient à donner l’assaut, l’assemblée de Byzance discutait gravement du sexe des anges.
Pendant que les islamistes, descendants de ces mahométans en ligne directe ou indirecte, nous assassinent, le gouvernement, Édouard, Marlène et les autres, se penchent non moins gravement que l’assemblée de Byzance sur le sexe, pas celui des anges, nous ne croyons plus à l’au-delà que nous promettent pourtant les mahométans, mais sur le sexe des anges si terrestres que certaines n’en sont pas et qu’elles nous plaisent pour cela (mais c’est un autre sujet), et sur leur désirs avec pour objectif de « faire progresser l’égalité des droits et assurer l’égalité dans les faits » (sic).
Il est évident qu’il n’y a rien de plus urgent que le principe d’égalité, tous et toutes égaux et égales dans la mort.
Après la paix des cimetières, voici venu le temps de l’égalité des cimetières.

@Robert Marchenoir
« Aux gros malins qui répondent immanquablement, en pareil cas : mais, euh, ce serait la guerre civile, euh, je ferai remarquer que c’est déjà la guerre civile. Même un « philosophe » qui prétend « désamorcer les peurs » sort un bouquin pour le dire. Je ne sais pas comment vous appelez autrement une situation où on risque tous les jours, en sortant de chez soi, de se faire égorger, fusiller, exploser, écraser par un camion. »
Cette répétition d’événements graves qui devraient nous alerter sur leur signification rappelle – toutes choses étant égales par ailleurs – la situation de l’Algérie à l’époque où le contingent n’avait pas encore été envoyé sur place.
Les forces de police, les tribunaux, ayant suivi alors les règles ordinaires du droit, ont vite été débordés par le nombre des crimes commis.
Il y a bien eu un moment où il a fallu admettre qu’au-delà de quelques actes « isolés » c’était un mouvement d’ensemble qui se profilait.
Eh bien, actuellement ceux qui font semblant de gouverner font du cas par cas, prennent entre deux flots de communication stérile voire stupide des mesurettes ayant l’effet d’un cautère sur une jambe de bois pour faire croire qu’ils agissent, et surtout, surtout, font tout ce qu’ils peuvent pour minimiser la gravité de la situation en ignorant les signaux d’alerte qui s’accumulent dans le même sens.
Le réveil s’annonce terrible.

Le législateur pourra bien rédiger ce qu’il estime être la plus parfaite loi destinée à protéger les citoyens, celle-ci ne sera malheureusement d’aucun effet aussi longtemps que ceux chargés de la faire appliquer feront preuve, en toute impunité, d’une telle impéritie dans sa mise en oeuvre.
Il est honteux, révoltant, que deux jeunes femmes innocentes aient dû payer de leur vie les manquements inexcusables à différents niveaux des services de l’Etat.
Qu’un individu, en situation irrégulière depuis douze ans sur notre territoire, ayant usurpé plusieurs identités, auteur de multiples délits, juste libéré d’une garde à vue en vienne, 48 heures après, à commettre une tel acte dramatique, voilà qui dépasse l’entendement !
Ceux qui portent aujourd’hui une très lourde responsabilité dans la dramatique disparition de ces deux victimes, et dans la peau desquels je me sentirais très mal, seront-ils demain sanctionnés ou seront-ils confirmés dans le confort de leur douillette fonction administrative, se retranchant derrière un règlement qui leur offrira toujours quelques arguments pour nier toute culpabilité ?

@ Wil @ JP Ledun et @ Achille sur autre fil…
Nous avons déjà beaucoup d’hommes en colère sur ce blog, vous êtes peut-être le 12ème ?
En dehors du fait que moins de temps a été nécessaire pour écrire « Prost » que votre réponse, dans laquelle vous revendiquez une grande distance entre vous et votre ego, je m’interroge sur votre propos et sur votre but !?
Après 12 hommes en colère, des hommes de bonne volonté, sans doute ?
Le duel ayant été abandonné, vous provoquez sans rime ni raison, et si vous êtes un bretteur hors pair, il va falloir au préalable trouver votre épée…
Pour les étonnés que sont certains, qui découvrent benoîtement que les méchants sont plus nombreux que les gentils, et surtout plus actifs, il faut certainement leur rappeler que l’état naturel de l’homme est la guerre, dès lors… la surprise est soit feinte soit due à une imbécillité crasse.

Il y aurait en effet un moyen à efficacité immédiate pour multiplier par dix ou cent la lutte contre l’islamisme sans que cela coûte un centime : sanctionner les fonctionnaires négligents ou complaisants. A commencer par en destituer trois ou quatre dans cette affaire pour l’exemple.
Sauf qu’en France on ne sanctionne jamais un fonctionnaire pour négligence ou erreur d’appréciation. Au mieux, on le mute avec avancement.
Mais si la justice fonctionnait normalement, les victimes pourraient mettre la responsabilité de l’Etat en cause chaque fois qu’un quidam a causé un dommage à autrui alors qu’il est en liberté du fait de négligences ou erreur d’appréciation d’un fonctionnaire, JAP compris.

La photo de ces deux jeunes filles nous parle et nous dit qu’elles sont heureuses et qu’elles ont toute la vie devant elles. Deux fleurs éclatantes, le symbole de Marianne et la fin de Jeanne d’Arc.
Et rien ne se passe, rien ou plutôt si, Macron et sa bande vont continuer à faire des phrases, taxer un peu plus et dilapider l’argent de la nation. Il semblerait même que Macron soit comme Mélenchon et qu’il voudrait nous voir tous métis sauf lui, mais le second voudrait voir disparaître notre race pour garder le pouvoir et le premier voudrait nous remplacer pour faire plus d’argent.
Jusqu’où faudra-t-il aller pour que nous réagissions collectivement afin de nous débarrasser des escrocs qui nous dirigent depuis des décennies et nous empêchent de revendiquer le droit à nos origines, la sauvegarde de celles-ci et la certitude de notre survie.
Nous savons que notre armée est trop occupée par le théâtre des opérations hors France et que notre multitude de généraux ne sait plus à quoi ils sont voués, alors c’est au peuple de France de se reprendre en main.

@Exilé et autres racistes…
« Vous exploitez les peurs, vous incitez les Français à retrouver les vieux démons, en voulant nous faire croire qu’on doit assimiler l’Islam au fait de quelques esprits faibles victimes de fous qui n’ont rien à voir avec l’Islam.
L’Islam est une religion d’amour et les chrétiens n’ont pas de leçons à donner après les guerres de religion et autres massacres commis au nom de Dieu », etc. etc.
Contre cette argumentation, vous serez toujours désarmés si vous n’allez par au coeur du problème qui se trouve dans l’Islam lui-même.
Peut-on ou non espérer aller au paradis en tuant des mécréants ?
Autrement dit : comment aller ou non au paradis ?
On vous dira qu’au pays des gens intelligents par opposition aux pays des imbéciles qui sont religieux, on n’a pas à aborder de tels sujets pour débiles, sauf qu’eux, les islamistes, ils sont en plein dedans.
Par ailleurs, un documentaire nous a montré que les radiesthésistes sont de plus en plus présents dans les hôpitaux, et pas seulement comme barreurs de feu…
Peut-être qu’un jour on parlera des auras.
Voilà qui pourrait bien servir pour savoir si les imams sont de saints hommes… Une aura de saint homme est dorée, comme en la voit dans toutes nos églises… Du temps où les hommes étaient encore des singes, sans doute.

« La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité. Chacun œuvre à cet idéal, avec ses croyances, avec sa philosophie, sa morale. Lorsque c’est la foi qui soutient cet idéal, elle a toute sa place dans la République. C’est pour cela que la République garantit la liberté de croire, comme celle de ne pas croire. C’est pour cela qu’elle protège les lieux de culte et les représentants des religions.
La République n’a pas à combattre une religion, ni à vouloir se substituer à elle. Elle œuvre chaque jour à ce que chacun puisse croire ou pas dans l’intensité et l’intimité de sa foi. En homme libre.
Mais chaque religion, dont les responsables sont ici présents, et je les en remercie, a à mener sa part de combat pour que jamais la haine, le repli, la réduction de ce que nous sommes ne puissent triompher. C’est un combat long, et il se mène chaque jour.
Ici, vous l’avez emporté. Car elle est là, elle est là aussi la force de notre nation, dans cette capacité à entendre et faire siennes les paroles de fraternité et de charité que l’Eglise de France prononça voici un an ; dans cette capacité à réunir autour du corps supplicié d’un prêtre l’imam, le pasteur et le rabbin.
Dans cette volonté de l’Etat, de l’ensemble de ses services publics, nationaux et locaux, d’œuvrer pour que le pays se tienne. Dans cette volonté de faire fructifier ce qui rapproche les Français au lieu d’enfermer chacun dans sa chapelle. C’est cela ce que nous opposons à tous les fanatismes.
Alors, oui, il y a un an, vous avez donné cet exemple à toute la France. Et sans en diminuer l’horreur, je veux vous dire ici aujourd’hui que le martyr du père Hamel n’aura pas eu lieu pour rien, son viatique sera la force de ce message, de votre dignité.
Un an après, nous en discernons le sens et la leçon. C’est de nous avoir rendu, chacune et chacun, plus fidèles encore à ce que nous sommes, plus fidèles encore à ce qu’ils ont voulu abattre, plus fidèles encore à ce que nous ne concéderons jamais. »
http://www.elysee.fr/declarations/article/discours-d-emmanuel-macron-en-hommage-au-pere-hamel-a-saint-etienne-du-rouvray
Jamais.
La fille aînée posant sa main sur l’épaule du prophète, reconnaissant sa faiblesse passée et l’illusion de puissance engendrée chez ceux qui s’en sont senti exclus, leur donnant le sentiment erroné de pouvoir s’abstraire du principe de sa loi, entraînant alors les conséquences réciproques où la loi elle-même renie son principe, place la République face à elle-même et à son devoir de convocation de chaque citoyen de renouveler le pacte essentiel qui fonde sa concorde. C’est au cœur de chaque individu de savoir et d’apprendre à maîtriser sa propre violence et son propre désir de guerre civile, permettant alors de pallier les défaillances et de les corriger, permettant surtout d’éviter ce qui menace de pulvériser ce qui n’est encore que son rêve, mais qui reste le devoir républicain, s’opposer à tous les fanatismes au bénéfice de chacun, affirmant que le mur de la concrescence est la seule protection viable, donc efficace, et que la France n’a aujourd’hui plus d’autre choix que d’incarner cette vérité.

Le terrorisme islamiste en France est le plus ciblé et le plus meurtrier en Europe. Causes : la Constitution et les pouvoirs politiques sont les maillons faibles. Les islamistes rient de nos dirigeants qui passent leur temps à palabrer depuis trente-cinq ans pendant que les tueurs islamistes isolés opèrent par tous les moyens et quel que soit le lieu.
Ne manquez pas ce lien svp
https://kurultay.fr/blog/?p=1204
On comprend pourquoi certains pays d’Europe ne veulent aucun quota et résistent en refusant ce stupide quota du « vivre ensemble » avec ceux qui veulent tuer les mécréants occidentaux, ce serait la pire des sanctions injustes à leur infliger. Avez-vous remarqué que les seuls pays où sont commis les attentats islamistes sont ceux qui acceptent les déchets sur son sol ?
Soyons objectifs et rationnels pour une fois. Mettons à l’amende très salée les politiques de ces pays et particulièrement en France, ayant laissé se développer le terrorisme islamiste criminel et non pas sanctionner les pays qui refusent le vivre ensemble. Voir s’installer chez eux les ghettos d’islamistes, la délinquance, les voitures brûlées, les immeubles crades, les attaques au couteau, en voiture bélier, les bonbonnes de gaz, les kalachnikov, non merci. Soucieux de protéger leurs propres concitoyens, est leur priorité. Chacun chez soi pour vivre en paix. La France et l’Allemagne ne se sont toujours pas repenties ?

@ Jabiru
« Quant à tous ceux qui craignent pour leurs libertés individuelles que risquent-ils s’ils n’ont rien à se reprocher ? »
That is the question. Mais qui décidera à l’avenir et de quoi vous seriez susceptible d’être coupable ? Pas vous bien sûr. Ne serait-ce qu’au niveau de l’expression de vos pensées et de vos idées.

Cela aurait pu m’arriver hier dans un autre registre et j’aurais été coupable.
Cher monsieur Bilger, nous reconnaissons là votre grande humilité, mais admettez tout de même que si l’erreur est humaine certains de vos confrères – pas tous bien entendu – ont tendance à forcer la dose de façon diabolique, par exemple quand ils font tout ce qu’ils peuvent pour entraver l’expulsion d’individus dangereux ayant violé le territoire français, au nom d’une sacralisation dévoyée de l’immigré illégal, en confondant les abus et privilèges du délinquant (sinon plus) avec les droits de l’homme.
Bien entendu, pour ces magistrats les victimes de leurs petits protégés n’ont que le droit de se faire tuer sans protester.

A Clichy, dans les Hauts-de-Seine, il y a maintenant des prières de rues encadrées par la police, qui fait la circulation, juste devant la mairie et sous une banderole demandant l’arrêt de ces prières de rue illégales. Le pire n’est cependant pas là. Le pire est que ces prières de rue sont dites en arabe et citent le verset du Coran préféré de l’Etat islamique, celui qui appelle à tuer les chrétiens collectivement.
Peut-être que Monsieur Collomb pourrait demander une enquête administrative ? Peut-être est-ce la faute d’un sbire qui s’est absenté une demi-heure pour aller jouer au Loto ?
Haro sur le lampiste !

Je vais finir par croire que, même si c’est paradoxal, l’Etat est moins courageux pour stigmatiser les faillites identifiées graves que pour se dresser sans trembler face au terrorisme qui en a profité.
Je ne vois pas très bien en quelle occasion l’État se serait dressé « sans trembler face au terrorisme » – terrorisme qui n’est qu’un moyen parmi d’autres de mener une guerre et non pas une personne morale (ou plutôt immorale) – alors que cet État a non seulement énormément de mal à reconnaître clairement et publiquement quels sont les gens qui nous mènent cette guerre et surtout au nom de quelle idéologie, mais encore il a favorisé indirectement leurs agissements.
Il faut avouer que pour l’État, les choses sont difficiles à moins de se déjuger, car c’est bel et bien lui qui a laissé entrer en France les gens qui allaient constituer le terreau sur lequel le terrorisme aura ensuite poussé comme un champignon, c’est aussi bien lui, ce même État, qui s’est rendu coupable d’accommodements pas très raisonnables et contraires à ses propres principes de laïcité, qui n’ont fait que renforcer le sentiment de supériorité et de force des gens qui ont décidé de conquérir la France afin d’y imposer leur terrible loi.
C’est toujours cet État, qui déplore les effets dont il chérit les causes, qui laisse circuler librement dans la nature quelques milliers d’individus dont le profil dangereux a été établi – sans parler de ceux qui sont tapis dans l’ombre ainsi que de leurs soutiens – et qui ensuite vient verser des larmes de crocodile après chaque drame dont il est un des premiers responsables…
Oui, cet État-là est à la fois responsable et coupable.

@k.verne | 04 octobre 2017 à 15:30
« …mais vous voulez dire quoi exactement ?! »
Tiens, un nouveau ! ☺

@sbriglia
@Savonarole
Tiens voilà notre duo de comiques anonymes qui fait un numéro pour essayer de faire rire à mes dépens. Grand bien leur fasse. Vos blagues à deux balles, chers rigolos, je vous invite à les utiliser sous forme de suppositoires.

Y avait qu’à pas ; y avait qu’à !
Prenez le retraité de l’immobilier américain de Los Angeles, 64 ans, blanc, suicidaire, au patrimoine immobilier estimé équivalent à deux millions d’euros, qui tire au hasard sur le public d’un concert depuis la fenêtre d’un immeuble, le bilan provisoire s’étant alourdi à 59 morts et plus de 527 personnes blessées.
Dites-nous voir ce qu’y avait qu’à pas et y avait qu’à faire, en dehors de y avait qu’à pas être là et y avait qu’à rester devant sa télé ?

@ Marc GHINSBERG | 04 octobre 2017 à 17:00
Il est vexé Marc, du haut de son socialisme mitterrandien le voilà qui assiste à la vente de la rue de Solférino.
Grand bourgeois, belle retraite dans le secteur bancaire où les licenciements de masse n’existent pas, notre Marc continue du haut de sa belle retraite à nous assommer de son socialisme bourgeois, ses dents du fond baignent dans le confort des gens qui ont échappé aux licenciements, à la précarité.
Un grand bourgeois de gauche, une génération qui doit disparaître.

Macron, un dieu ! Il y en a qui préparent leur vengeance.
Comprenne qui pourra.

Dysfonctionnement regrettable, mais voilà à quoi mène l’égoïsme fiscal et son corollaire logique, le manque de moyens chronique des services de l’Etat chargé d’assurer la sécurité intérieure.
Quant à ceux qui verraient dans la prétendue invasion musulmane de notre pays la cause véritable des attaques terroristes qui endeuillent notre pays depuis 2012, se sont-ils indignés lorsque notre pays a bombardé la Libye en 2011 et lorsqu’il a commencé à se mêler d’une guerre en Syrie qui ne nous concernait en rien ? S’indignent-ils devant la colonisation de la Palestine à laquelle se livre l’Etat d’Israël ? S’indignent-ils des méfaits de la Françafrique ?
La rancoeur que nous vouent nos voisins du Sud de la Méditerranée et ses manifestations sanglantes sont le cher prix à payer de cette politique étrangère à courte vue, dont le seul objectif est d’assurer le maintien de notre dispendieux mode de vie. Mais en bons nombrilistes occidentaux, nous refusons d’admettre cette évidence, c’est sûr qu’il est plus facile d’accuser les autres plutôt que de se remettre en question.

@Mektoub | 04 octobre 2017 à 18:51
http://islamisation.fr/2017/10/02/marseille-10-mosquees-salafistes-dirigees-par-des-etrangers-toleres-par-linterieur/
Merci pour le lien. Très intéressant de découvrir cette info sur les mosquées salafistes autorisées par l’Etat français. Comme l’a dit Gérard Collomb chez Ruquier (ONPC) le 30 septembre : « notre devoir est de protéger la population » !! Par qui ? par les imams salafistes incrustés préparant les jeunes enfants dans la même voie pour nous rendre la vie impossible ?
Décidément ces politiques ont une courte vue et ne voient rien arriver sur le long terme.

@Savonarole
Merci cher courageux anonyme pour cette promotion. Jusqu’ici ceux qui croyaient m’être désagréable me traitaient de simple gauchiste, me voilà élevé au rang de grand bourgeois de gauche. Bigre, je n’en demandais pas tant. Vous souhaitez la disparition de cette génération, le temps fera son œuvre, mais j’ai le sentiment que la relève est bien assurée, quelque chose vous aurait échappé ?

@ Tomas | 04 octobre 2017 à 20:33
Il a raison notre gauchislamiste de service, moi-même je suis indigné du fait que Clovis et ses descendants n’aient toujours pas remboursé le vase de Soissons.
J’espère que la famille des deux jeunettes assassinées ne liront pas son message d’horreur absolue.

@ Marc GHINSBERG | 04 octobre 2017 à 22:24
« Vous souhaitez la disparition de cette génération, le temps fera son œuvre, mais j’ai le sentiment que la relève est bien assurée, quelque chose vous aurait échappé ? »
Loin de moi cette idée puisque j’en fais partie.
Cette proposition hurluberlue émane d’Olivier Ferrand, fondateur du think tank Terra Nova, proche du PS
Je reconnais bien volontiers que j’aurais dû y ajouter des guillemets pour une meilleure compréhension.
Ce jeune homme, trop tôt arraché à notre affection, était un Robespierre du Parti Socialiste, son successeur, Thierry Pech, n’est pas plus modéré, on le voit souvent à la TV dès qu’un mauvais coup guette les retraités.
Dans les œuvres inoubliables d’Olivier Ferrand, je vous propose son florilège d’absurdités qui nous font bien sourire aujourd’hui :
Pour une primaire à la française (avec Olivier Duhamel, Terra Nova, août 2008) ;
Moderniser la vie politique : innovations américaines, leçons pour la France (Terra Nova, avril 2009) ;
Primaire : comment sauver la gauche (avec Arnaud Montebourg, Seuil, septembre 2009),
Réforme des retraites : quelles solutions progressistes ? (avec Fabrice Lenseigne, Terra Nova, juin 2010) où il s’agissait déjà de nous matraquer ;
Niches fiscales : une réforme volontariste est possible (avec Thomas Chalumeau et Daniel Vasseur, Terra Nova, septembre 2010) ;
Réformer l’élection présidentielle, moderniser notre démocratie (Terra Nova, avril 2011) ;
Gauche : quelle majorité électorale en 2012 ? (avec Bruno Jeanbart, mai 2011) ;
Les primaires : une voie de modernisation pour la démocratie (Terra Nova, novembre 2011).
Sans oublier son Best Of, « Comment faire l’Europe sans les Européens », en 2006, suite au référendum de 2005…
Lors de son décès une messe fut célébrée à Saint-Sulpice à laquelle je me suis empressé d’aller car je crains sa Résurrection…

Non M. Bilger, ce n’est pas l’absence d’un fonctionnaire qui est responsable de la tuerie de Marseille ce dimanche, ce sont nos hommes politiques de droite comme de gauche qui depuis trente ans, par lâcheté ou par calcul, laissent circuler sur notre territoire des immigrés clandestins qui deviennent soit de la main-d’oeuvre bon marché pour des entreprises sans scrupules (affaire Burger King) soit un délinquant multirécidiviste converti en terroriste dans l’affaire de Marseille. Dans quel pays, 90% des demandeurs d’asile déboutés ne quittent-ils jamais le territoire ? Dans quel pays des sans-papiers peuvent-ils être employés impunément et le cas échéant faire grève et manifester dans la rue ? Dans quel pays une association (Emmaüs) qui emploie des sans-papiers et le revendique se plaint-elle d’être harcelée par la police parce qu’elle subit des contrôles ?

@ Tomas | 04 octobre 2017 à 20:33
Nous nous sommes indignés pour le massacre de la Libye, de la Syrie, de la Palestine.
Mais que faire lorsque ces crimes sont commis par un consortium judéo-américain dans lequel la France est prise en tenaille ? La Libye rappelez-vous c’est du Sarkozy à l’état pur, pour masquer ses forfaitures avec l’argent de Kadhafi, et le sieur Sarkozy est toujours en liberté, pour la Syrie demandez à Hollande le pourquoi de toutes les misères qu’il a commanditées à l’encontre de ce peuple et il est toujours en liberté.
Ces deux hommes anormaux, sans être surnaturels, coûtent chacun à nos finances publiques plus de deux millions d’euros par an (gardes du corps et tralala) et pourtant que de mal auront-ils fait à la France et à l’humanité. N’oubliez pas que nous n’en voulions plus, mais qu’on nous a imposé leur héritier Macron.
Donnez-nous la solution Tomas !

@ k.verne | 05 octobre 2017 à 09:43
Il a raison le Tomas, les familles des deux jeunes filles assassinées seront très contentes de savoir que c’est la fôôôte à Sarko, Hollande, Syrie, Libye ; elles vont enfin pouvoir faire leur deuil. La suite de cette histoire c’est qu’elles risquent de finir sur le mur des cons du SM excrèmement gauchiste, on pourrait aussi demander à Macron et Collomb de les décorer à « triste » posthume de la médaille du vivrensemblisme, demander au Pape de les béatifier, il y a plein de solutions pour éviter à l’entourage de ces deux jeunes d’émettre une quelconque formulation contestataire et contradictoire allant à l’encontre de la politique idéologique de collaboration islamiste de ce gouvernement.
Je raffole de ces bêtisiers gauchistes droit de l’hommistes.

@vamonos
Mon cher Exilé, la version de l’exilé Zweig ne remet pas en cause la version de l’instituteur qui a réussi un jour à m’apprendre quelques rudiments de l’Histoire de France.
Sauf que cette version de l’histoire de France touchant à l’époque révolutionnaire, reprenant celle imposée par les tenants du Régime via l’outil de formatage qu’est l’école publique, est plus qu’à prendre avec des pincettes…
Je ne vois pas en quoi le cursus de Fouché voire celui de Zweig décrédibiliseraient la citation de Fouché.

@ k.verne
Je vous rappelle que c’est Sarkozy qui a fermé notre ambassade en Syrie, pas Hollande, en passant. Que de mal n’aura-t-il pas fait celui-là, heureusement qu’il a quitté la vie politique, espérons pour toujours. Quant au « lobby judéo-américain » (?) qui nous tenaillerait à d’autres, comme si nous ne pouvions pas faire comprendre aux Israéliens que leur politique a des conséquences malheureuses chez nous (y compris pour les Juifs d’ailleurs), et comme si nous ne pouvions pas nous opposer aux Américains comme en 2003. Et que je sache, ce ne sont ni les Américains ni les Israéliens qui nous ont poussés à intervenir en Libye.
Que faire ? Maintenant plus grand-chose, attendre que ça passe, comme la guerre d’Algérie. Il est assez difficile de revenir sur des erreurs politiques, en général.
@ Ellen
Je ne savais pas que le terrorisme était une idéologie, merci de me l’apprendre. Je n’ai rien compris au reste de votre salmigondis, c’est trop émotif pour ne pas être confus. J’ai été comme tout le monde choqué par le drame de Marseille, mais comme je le suis chaque fois que j’apprends que des enfants innocents périssent sous les bombes américaines, russes ou françaises en Irak et en Syrie. Je suis chrétien, et pour moi chaque vie humaine a de la valeur, même celle des mécréants.

« …qui permet à l’état de droit »
État de droit ! Vous ne maîtrisez pas la sémantique !
Même une dictature est un État de droit, même une dictature produit du droit, a des juridictions.
Pour tout interdire, il faut obligatoirement l’écrire, de fait produire du droit !

@Wil
Je ne peux que vous inviter à vous relire et alors vous parviendrez à saisir le sens.
Sinon, et puisque vous avez l’amabilité de nous informer de vos activités alcooliques qui doivent sans doute vous faire recueillir la bienveillance, devrons-nous alors filtrer vos élucubrations ou les faire décanter ?
Puis, vous évoquez votre résistant de grand-père (qui a tout mon respect), fait-il de vous ce héros du blog, dont l’argument baculinum doit faire plier les autres ?
Les raisonnements à l’emporte-pièce sont sans intérêt, essayez la sobriété, au sens propre et figuré…

@ Elusen | 07 octobre 2017 à 14:40
Du calme mon ami ! Je ne vous ai pas sonné !
Dans ce cas les familles en auraient fait la demande officiellement. C’est bizarre votre énervement à mon encontre sans me connaître et en maniant l’insulte. Mon combat avec d’autres est que justement plus personne n’ait à se repaître du sang des innocents.
Votre réaction, façon Angot, est très étrange.

@ Elusen | 08 octobre 2017 à 03:32
Non mais vous êtes complètement allumé ! Assumer quoi ? Des actes, des pensées et des propos que vous m’attribuez uniquement parce que vous ne voulez pas voir la dure réalité des choses ?
Ah mais il y a des vedettes ici ! Le veganisme fait des ravages.

@ Elusen | 08 octobre 2017 à 15:27
Allumé voire fou dangereux.
Pour en revenir au sujet, à savoir la non présence d’un représentant de l’Etat aux obsèques de ces deux jeunes filles, je vous renvoie à François Hollande au chevet de ceux qui assassinent ce pays sous les caméras des médias.
Et j’arrête là et continue vu l’heure à goûter de notre excellente gelée de raisins faite maison, vous laissant à vos divagations draculesques.
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