Bizarre, on parle moins de Théo !

Je ne veux pas m’en prendre aux journalistes car nombre d’entre eux font leur métier avec objectivité mais dans notre société où l’apparence n’est que le seul critère déterminant, les citoyens sensibles et peu à même d’aller chercher une explication aux images qu’ils voient, ne réagissent que par sensibilité.
Alors pourquoi des journalistes qui savent enquêter et interroger à charge comme à décharge sur certains dossiers politiques ou économiques, ne le font-ils pas sur de telles affaires?
Car la majorité des citoyens qui subissent un contrôle de police s’arrêtent et répondent à la demande des policiers.
Alors pourquoi une certaine catégorie de personnes s’octroie-t-elle le droit de défier les policiers en ne répondant pas aux injonctions ou en insultant voire en attaquant d’emblée lesdits policiers ?
Ce sont ces images de refus et d’incivilités patentes que nous citoyens normaux aimerions découvrir dans la presse et sur les écrans de télévision. Cependant étendre l’anarchie, le désordre, la confrontation, les destructions des biens d’autrui qui sont devenus un sport national, servent ou plutôt sont gérés par des associations et partis politiques pour imposer une idéologie ou justifier des moyens financiers qu’ils n’auraient très certainement pas obtenus dans un cadre normal.
Qu’il y ait des dérapages contraire aux lois et à l’éthique de nos institutions est certes inadmissible mais QUID de cette violence extrême contre ces personnels chargés de nous protéger ?
Outre la présence complètement déplacée de Hollande au chevet d’un délinquant, c’est le plus profond mépris qu’il a affiché à l’encontre de la police.
En voulant ménager son électorat de banlieue, il avait prouvé une fois encore son incompétence et son manque de discernement…

J’ai dit et redit ici que j’honore et soutiens nos forces de l’ordre chaque jour, et pas seulement après les attentats islamistes. Au point que dans mes amis, sur Facebook, on trouvera… le syndicat de police Alliance. Qui, parmi vos lecteurs, est dans mon cas ? Je suis scandalisé que l’on puisse les insulter, en particulier.
Pour l’affaire Théo, je ne partage pas votre opinion. J’invite chacun, les pour et les contre, à réécouter l’émission de Bourdin sur BFM d’hier, vendredi. L’invité était Eric Dupond-Moretti.
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/theo-va-comme-un-jeune-homme-qui-a-ete-viole-affirme-son-avocat-eric-dupond-moretti-1031097.html
Je partage exactement son avis sur cette affaire. Ecoutez bien ce qu’il a dit. Ce jeune homme ne faisait rien de mal, il allait paisiblement chez sa soeur, on l’a d’abord entraîné derrière un mur pour être à l’abri des caméras de surveillance. Il n’a pas voulu être menotté, n’ayant rien fait. Qui parmi vous se laisserait menotter, n’ayant rien fait ? Dernière question de Bourdin : comment va ce jeune homme ?
Réponse d’EDM : comme un jeune homme qui a été violé.
A qui cela est-il déjà arrivé, Messieurs ?
Le fait que la VICTIME était noire, je l’espère, ne déclenchera pas d’invectives ou de railleries ; chez nos commentateurs racistes de cet excellent blog, il y en a.
Je continue à soutenir ardemment nos forces de l’ordre. Pas le comportement de ces policiers-là.

Je n’avais pas commenté à l’époque votre billet « Théo, Toula et les autres », pas plus que je n’ai commenté au moment où vous l’avez posté votre billet intitulé « On a assassiné notre prochain ! ».
Il est imprudent de tirer des conclusions hâtives de faits dont on ne sait à peu près rien. La suite a montré que vous avez eu raison en février 2017 de ne pas condamner la police a priori, contre l’opinion générale.

« Il s’agit d’un jeune homme qui au lieu de se laisser contrôler et interpeller normalement… »
C’est encore plus grave que cela, d’après une source proche des policiers. Pendant le contrôle d’identité de personnes suspectées de réaliser une transaction de produits illicites, Théodore Luhaka a surgi et par son attitude, le contrôle a dégénéré et les revendeurs ont réussi à s’échapper.

Vous ne devez pas avoir vu souvent la police en action dans les cités pour tenir de tels propos : tutoiement systématisé, emploi d’épithètes élégantes du style « bamboula » (il est vrai que cela ne vous choquait pas !), contrôles au faciès à répétition, et j’en passe. Il suffit d’ailleurs de se souvenir de la réaction indignée des syndicats policiers lorsqu’on avait proposé de les affubler d’un numéro de matricule ou d’introduire les récépissés lors de contrôles d’identité : si la police était vraiment exemplaire, aurait-elle des raisons de s’indigner ?
Entendons-nous bien : la police n’est pas responsable de la sécession larvée des quartiers difficiles, mais elle ne contribue pas à améliorer la situation par son comportement. Tant que ça ne changera pas, il y aura des bavures regrettables de ce genre. Face au problème des banlieues, la répression aveugle n’est pas la solution.

Un moment, je me suis cru indécent d’évoquer l’affaire Théo, mais vous êtes mon aval dans cette occurrence, cher M.Bilger. Aller sur vos propos serait de la prétention, créatrice d’une strate inutile de commentaires outrés.
Vous vous dites satisfait a minima, là, on peut commenter le commentaire, comme la kabbale est l’explication de la Torah qui est l’explication de la Bible.
Non, profondément ulcéré, la marque reste, comme un lys de feu sur l’épaule du Père Goriot, et ce qui restait d’acidité dans les coeurs et les esprits des accusateurs irréfléchis se transforme maintenant en rancoeur, surie longuement et malodorante dans les replis, engendrant des relents de vengeances à venir. Il en était ainsi des communistes incrédules d’avoir découvert leur aveuglement criminel lorsqu’ils ont contemplé l’indicible, l’ultrahitlérisme de leur dieu. Comme Waldeck Rochet tournait la tête devant les queues de femmes résignées à la porte de magasins vides, les Hollande et monde réunis avec les gauchistes de tout crin vont passer à autre chose, ressasser la haine, le mal qu’ils ont fait, désigner un autre pilori et prostituer un peu plus le pays aux barbares, agitant devant eux des banderoles trempées dans le fiel de leur obstination.
Et nous, qui ne sommes rien dans nos imperfections, nos scrupules, qui n’avons aucune prétention à l’absolue véracité, qui ne savons pas jouer des femmes en particulier et des autres en général, et reconnaissons nos erreurs : que nous reste-t-il ? La chance d’être nés sur les rives bénies de la Méditerranée, si chères à F.Braudel et à C.Maurras, de n’avoir pas vraiment souffert puisque les bombes nous ont épargnés, que les poubelles que nous avons dû fouiller ne nous ont point empoisonnés, que les soldats feldgrau ont joué aux boules sur nos places ensoleillées et mettaient des couronnes de cyprès à leurs camions quand ils partaient vers l’Est, arrachant des larmes refoulées aux mères ennemies qui ne voyaient que les enfants condamnés, tous les enfants.
Sapeurs Camembert nous avons mérité de subir les trahisons lucides de « mon général », les abandons bienveillants de présidents et ministres gourmands, assumer la rage au coeur, l’abandon de nos frères musulmans harkis, et maintenant, subir la honte de « passer à autre chose », puisque l’administration a blanchi ceux que la France vomissait ; que voulez-vous de mieux ?
Un mot, un seul mot : pardon, je me suis trompé.

Il y avait jadis un joueur de foot de l’AS Monaco qui était un génie et qui s’appelait Théo.
Je me tape du sort réservé au Théo dont Philippe Bilger nous entretient, quand on est soutenu par Hollande, Le Monde et toute la presse de gauche bien-pensante, c’est qu’on est coupable !!

Les policiers sont confrontés à des situations de plus en plus difficiles face à des délinquants qui n’ont peur de rien.
Même si quelques dérapages ont eu lieu, ce n’est pas le lot de l’ensemble de la profession et c’est la raison pour laquelle ils doivent bénéficier de notre soutien car sans eux ce serait la loi de la jungle.
Force doit rester à la loi et à l’ordre public et c’est à la justice de dire le droit. Le « flic » est devenu une cible alors qu’il risque sa vie pour défendre l’intégrité de ses concitoyens et rien que pour cela il doit être respecté car en dehors de son service il est aussi un père de famille.

François Hollande a confondu le poste de Président de la République « normal » qu’il occupait, avec le poste d’un urgentiste médical avancé.
Pour avancer, FH a avancé mais à contresens pour se prendre des critiques virulentes en pleine face. Il y avait l’affaire Leonarda, une gamine de 16 ans, venue illégalement avec toute la famille rom du Kosovo lui tenant tête en faisant du chantage. Puis c’est dans l’affaire de Théo que l’ex-exécutif est intervenu à titre personnel pour le consoler.
Franchement, est-ce le job d’un exécutif que de prendre la place de ceux qui sont spécialisés, au regard de la configuration très particulière, pour résoudre les conflits administratifs et personnels ? Vite, il prévient les journalistes d’être sur place et à l’heure pour filmer sa visite auprès de Théo. Quel scoop médiatique !!
F. Hollande pensait que le fait d’intervenir, même là où n’est pas sa place, pourrait amadouer le public et la justice ?

On peut se demander comment le Président FH a pu se rendre en personne au chevet d’un personnage évoluant dans une nébuleuse sulfureuse, sans prendre le moindre renseignement.
Ah oui ! Nous avions un président intelligent, grand tacticien, enfin tout ce qui l’a conduit à son parcours glorieux final : n’est pas normal qui veut, et là il faut en avoir sous la pédale et être un pilote d’exception, nous avions seulement un conducteur de tricycle.

Il n’en reste pas moins que de défoncer l’anus de quelqu’un pendant une arrestation, il y a quelque chose de pas clair chez le poulet, ou le dindon, je ne sais plus quel animal.
Non mais, où a-t-on vu que de volontairement viser les fesses pour frapper quelqu’un avec une arme, ce n’est pas un problème pour un représentant de l’ordre ?!
Le gugusse a maintenant un anus artificiel, puisque l’honorable honoraire n’a pas les compétences juridiques en droit public, je lui hélerai à sa frêle mémoire que c’est en droit public une faute personnelle, voire une faute lourde, et non une faute de service.
Pour qu’il y ait faute de service, il faudrait que n’importe quel policier qui aurait été mis dans cette situation ait provoqué la même chose.
Le dindon aura de la chance, devant le tribunal administratif, s’il s’en sort avec une responsabilité sans faute.
La Cour européenne des droits de l’homme a déjà condamné la France quand sa police a crevé un œil et sodomisé un trafiquant de drogue, alors qu’il était déjà arrêté.
Vous devriez vous en souvenir, vous exerciez à ce moment-là !
Être un salopard ne justifie en rien que l’on vous crève un oeil et que l’on vous sodomise.
Le gugusse a beau être impliqué dans des détournements d’argent public, enrichissement personnel, cela ne justifie en rien qu’il porte un anus artificiel.

Un petit détail à confirmer : j’ai lu quelque part que l’innocente victime du « viol » était un gaillard de 1,93 mètre… le poids n’étant pas précisé. Un bon troisième ligne !

@ Tomas (dont on se demande dans quel quartier il vit pour écrire de telles inepties)
Savez-vous que
Selon l’Institut national des études démographiques, 20% des policiers du corps des gardiens de la paix et des auxiliaires en CDD (ADS) sont originaires des DOM/TOM ou issus de l’immigration – qu’elle soit européenne, maghrébine ou subsaharienne. Et bien qu’ils ne soient que 3% dans le corps des officiers et moins de 2 % dans celui des commissaires, eu égard à la sélectivité des concours de recrutement, cette proportion ne cesse d’augmenter.
Non bien sûr vous l’ignorez, sinon vous ne pourriez pas continuer à écrire de telles imbécillités.
A l’inverse de vous, je suis au contraire admirative face au sang-froid et à la maîtrise de la plupart des policiers confrontés à des insultes et à des agressions permanentes, y compris racistes, notamment dans les cités où la racaille ne songe qu’à la castagne avec la bande des bleus, et s’en faire quelques-uns de préférence noirs ou bien basanés (considérés comme des traîtres selon la mentalité de ces voyous) ; si c’est un gradé c’est la gloire assurée et violer une fliquette le nec plus ultra. Dès lors comment pouvez-vous soutenir une pareille « raille » sachant que le racisme et le mépris sont majoritairement le fait de cette caillera ?
J’ajoute que les premiers à dénigrer et calomnier bassement la police sont généralement les plus ignorants des contraintes et difficultés de leur métier et surtout les plus couards. Suivez une BAC 24 heures à Corbeil, Argenteuil ou Sarcelles et on reparlera…
Alors oui, bravo pour le courage de ces hommes et femmes, policiers de toutes origines et grades, leur professionnalisme et leur dévouement. Quant à leur présumé manque de respect, il me semble que les seuls à s’en plaindre sont justement les premiers à avoir systématiquement à leur égard une attitude injurieuse, provocante et haineuse.
Encore une fois, c’est le voleur qui crie au voleur, comme vous et quelques autres d’extrême mauvais foi et parti pris dès qu’il s’agit de toute personne représentant l’autorité.

Aux indécrottables : visionnez cette vidéo et regardez comment le gamin Théo s’assied « précautionneusement » sur son canapé pour protéger son anus artificiel.
https://www.dailymotion.com/video/x6e55ku
Il va peut-être falloir enlever les peaux de saucisson que vous avez devant les yeux.

Cher Philippe,
Il existe beaucoup de décisions bizarres et comme vous évoquez un fantôme de passé de la République, la création précipitée d’un parquet financier avec des juges du siège qui n’en seraient pas tout à fait en est une.
Etait-elle destinée, cette création à protéger les Jérôme ou à fouetter les prétendants au trône, risquant de faire de l’ombre au futur président présumé de l’époque ?
Dans les petites classes, les nombres relatifs n’existent pas ou ne sont pas évoqués.
Et à cet âge, à écouter la météo ou à observer le thermomètre un jour de grand froid, il est libre de penser que quelque chose n’est pas dit.
Notre société continue d’affirmer que la notion de masse négative n’existe pas.
Or, il suffit de situer dans le temps cette affirmation pour en saisir toute sa limite et de continuer à ignorer la notion de masse potentielle qui pourrait bien être la clé de notre énergie noire.
Cette observation est loin de s’installer dans la relativité.
Si nous observons le petit arbre qui pousse au loin, nous pouvons considérer que toutes ses branches sont des masses potentielles, des absorptions potentielles d’eau et de CO2. Dans l’âtre, cette masse pourra s’effondrer et le tas de cendres pesé au fond de l’océan deviendra presque non significatif.
Il en est de même de la dignité humaine. Chacun sent bien que la dignité a de l’importance pour celui qui fait respecter l’ordre tout comme pour celui qui le reçoit.
Que la justice s’entende à ne pas faire monter la haine serait une action pertinente. Le respect des individus est quelque chose qui n’a pas beaucoup de poids et l’observation de cette vidéo ne montre pas les signes d’une manifestation de respect mutuel.
Un pantalon baissé dans l’espace public est une technique d’humiliation inacceptable. L’un des policiers aurait dû avoir l’intelligence d’aider cet homme à se revêtir avant de poursuivre le contrôle.
La fessée est interdite au même titre que la gifle dans notre pays.
Un maire a été condamné pour avoir frappé un adolescent alors que celui-ci l’avait insulté.
Ce que nous percevons sur la vidéo s’approcherait d’actes de tortures de guerre et cela est choquant et est en principe interdit par la CEDH.
Il existe en ce moment une vidéo que chacun peut voir sur le net et qui donne lieu à l’ouverture d’une enquête en Ukraine. L’on y voit une manifestation, un homme qui tombe et de très, très nombreux agents de la force publique qui le matraquent alors qu’il est à terre, ou tentent de l’achever à coup de bottes.
Nous ne savons mesurer les conséquences de ces expressions de haine, mais elles font gravement douter d’un avenir serein.
Il est impossible de penser qu’un contrôle se termine par une hémorragie anale, avec des blessures profondes physiques et psychologiques et que l’enquête tourne la page.
La police est là pour sécuriser la population, pour protéger et faire respecter l’ordre. Les liens de confiance qui se sont fragilisés ne peuvent se rétablir qu’en sortant du corps de la police les individus maltraitants et en punissant sévèrement les actes délictueux à l’encontre des policiers.
françoise et karell Semtob

@ Trekker 03 février 2018 à 16:33
« Quand avez-vous entendu un avocat, notamment un EDM, mettre en doute les paroles de son client ? »
C’est vrai mais c’est son job, manquerait plus qu’il dise : « en fait ce c**rd de Théo il dit n’importe quoi mais on va faire avec ».
Ou « Abdelkader Merah m’a sans doute raconté des craques mais on va y arriver quand même »
Non ! chez les avocats c’est comme chez mon épicier : le client a toujours raison 😀

@ Mary Preud’homme
Merci, j’ai des yeux pour voir, ça ne m’a pas échappé. Ceci étant, ça n’enlève rien à la réalité : les policiers français sont globalement racistes (la preuve, la moitié votent FN), irrespectueux (le tutoiement systématique), et légèrement corrompus sur les bords (voir les racketteurs des BAC de Marseille et de Stains). J’allais oublier, ils ont quand même aussi une légère tendance à l’alcoolisme…
La police c’est comme l’armée, un mal nécessaire.
@ sbriglia
Oui j’admets, mon cas est désespéré. Autant que le vôtre qui vous indignez des actes de la « racaille », dont vous n’avez pas à subir les conséquences, depuis votre douillet confort et vos certitudes petites-bourgeoises. Vous vous attendiez à quoi, à ce que je sois de votre avis ?!

@ Patrice Charoulet
« Je partage exactement son avis sur cette affaire. Ecoutez bien ce qu’il a dit. Ce jeune homme ne faisait rien de mal, il allait paisiblement chez sa soeur, on l’a d’abord entraîné derrière un mur pour être à l’abri des caméras de surveillance. Il n’a pas voulu être menotté, n’ayant rien fait. Qui parmi vous se laisserait menotter, n’ayant rien fait ».
La loi est ainsi faite qu’elle n’autorise pas à se rebeller « quand on n’a rien fait ». Ce serait un peu commode. Sauf pour la Justice, vu la proportion de coupables in fine qui hurlent des jours, des mois durant n’avoir rien fait, et la difficulté consistant à présenter à un magistrat celui qui est prêt à se battre.
Mais on comprend bien que vous êtes un sacré candidat, dans le fond. Par pur hasard, un mec qui va chez sa soeur se trouve dans un contrôle qui ne le concerne pas et s’y rebelle. En plus le mec vient d’une fratrie qui pourtant excelle dans la « Prévention de la violence dans les quartiers, enseignement des sports de combat, formation de footballeurs ». Et il décide de s’opposer physiquement aux policiers, obérant son avenir certain de footballeur. Epatant.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/les-activites-troubles-du-frere-de-theo-25-02-2017-6710577.php

@ Herman Kerhost
En ayant reçu quelques-unes dans mon enfance (méritées pour la plupart), la fessée est moins traumatisante, au sens pathologique du terme, que toute autre agression physique.
Que vouliez-vous qu’il fit ? Qu’il lui brise les côtes ou lui assène un grand coup sur la tête ?
Alors on aurait eu raison de déplorer un crâne fracassé.
Mais les fesses…
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@ Patrice Charoulet
C’est l’honneur d’un avocat de défendre l’indéfendable. C’est ce que fait Maître Dupond-Moretti. Je n’ai pas été menotté par des policiers pour la bonne raison que je ne me suis jamais opposé à un contrôle même quand sobre comme un chameau, je devais souffler dans un ballon.
Quant à vos allusions sur le prétendu racisme des commentateurs, elles sont en soi paroles racistes.
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@ hameau dans les nuages
Un gamin, c’est un enfant. Théo est un homme (1,95 m, 85 kg) comme ceux de son âge qui se sont battus pour la France et y ont souvent gardé de graves blessures corporelles et morales quand il n’y ont pas perdu la vie. Ceux-là auraient volontiers échangé leur sort contre un coup de matraque sur les fesses.
Quand je vois, apposée sur un pare-brise la plaque G.I.G., j’éprouve une compassion que je n’accorde pas à Théo.
Eux n’avaient rien demandé. Lui s’est opposé violemment à un contrôle de routine et force est restée à la Loi.
Avec ou sans peau de saucisson, on a les compassions qu’on peut…
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@ Elusen
Selon vous il aurait dû recevoir un coup de matraque sur la tête ? Son anus aurait alors été préservé.
Le fessier est l’endroit du corps le mieux protégé contre les coups.
Que choisiriez-vous entre un bon coup de pied au derrière et le même au visage ou au thorax ?

Monsieur Bilger, je suis attristée de votre conclusion : je pense qu’il faut au contraire qu’on en parle encore, non de Théo, mais de « l’affaire Théo ». Un an après, il faut quand même tirer des leçons de ce fiasco.
Sur les quatre policiers, celui qui tenait la matraque n’est pas réintégré mais soumis à un strict contrôle judiciaire, avec en prime un traitement psy pour pouvoir vivre et dormir ; un autre, qui aimait le terrain, est assigné à des fonctions administratives ; un, réintégré, a déménagé et attend une mutation en province ; le quatrième est lui aussi sous traitement…
Quand à Théo, sa vie de jeune homme ne sera jamais ce qu’elle aurait pu être. S’il s’avérait que son handicap soit permanent, même avec une qualification autre que le viol (violences volontaires ? je ne suis pas juriste) il y aurait un procès aux assises.
Ne trouvez-vous pas que la peine est lourde pour Théo, même s’il était délinquant et n’aurait pas dû se débattre, lourde pour de jeunes policiers (l’un sort de l’école, je crois) qui ne feront jamais plus leur métier sereinement…
Alors oui, je crois qu’il faut en parler : analyser si une matraque télescopique est adaptée à un contrôle d’identité, analyser si les indications de son maniement sont bien enseignées, si un taser ne serait pas au fond aussi efficace et moins dangereux si l’on enseigne où viser pour immobiliser sans mettre en péril…
Je n’y connais rien, sans doute d’autres enseignements seraient tirés. Mais je trouverais navrant que l’on n’en parlât plus, et que seules restent les instrumentalisations politiques (le noir, le blanc, la police, la banlieue) d’où qu’elles soient venues. Alors que ce sont des vies d’hommes jeunes qui sont abîmées, pour les cinq, je persiste à penser que les peines sont bien trop lourdes. Et qu’un fiasco, ça s’analyse, entre professionnels non partisans, pour tenter d’éviter sa réitération.

@ semtob
Pardonnez-moi de viser dans votre direction ; je n’aime pas cela et ne le fais que quand la réflexion m’y invite. Je suis assez peu liant.
Votre exorde sur la relativité des masses et des nombres m’a intrigué. En effet, l’énergie noire n’a pas encore été perçue autrement que par différence et nul n’a jamais vu un électron. En revanche, nous savons que l’univers est en permanence déformé par les masses que sont les objets ou corps célestes. Pourtant, nous, humains, faisons une confiance quasi absolue à des chiffres irrationnels, qui ne sont donc pas finis, indéfinissables mais qui déterminent des considérations et des mesures universelles, il en est ainsi de pi (je ne sais pas insérer le signe grec) ou 1,414 et encore 1,661, qui ont des vocations multiples, vous le savez.
Dès lors, nous n’avons aucune vocation à embrasser les comportements humains autrement que selon les apparences qu’ils nous fournissent en déformant les ensembles réputés cohérents que sont nos institutions.
C’est un peu de la physique à deux sous, mais le rapprochement que vous faisiez, plus poétique, ne rendait pas mieux compte de la vérité.
Il n’y a pas de tentative de meurtre sur ce garçon, pas plus que d’acte de torture ; il y a une brutalité, sans doute regrettable, mais qui est une déformation de notre espace culturel souhaité.
Nous sommes déjà trop nombreux sur la terre, compte tenu de notre faculté de consommation, ou de stockage de nos rejets. Nous, Européens et Américains, représentons 10 % en gros de la population et 70 % des richesses. L’effet de forteresse est en train de s’effondrer mais n’engendrera aucune redistribution en dehors des actes de guerre qui ne manqueront pas de survenir dans un délai bref, il créera seulement des actes de violence extrême face auxquels notre arsenal législatif fera figure de pistolet à eau.
Les individus libres et indépendants sont en train de disparaître, par volonté politique au profit d’une masse indifférenciée qui génère, par le seul fait de son existence, le rejet de l’esprit même de nos lois.
On peut gloser à l’infini, mais je crois pouvoir dire que l’affaire de Théo, outre la répugnance que m’inspirent les éternels fossoyeurs de nos tombeaux déjà ouverts, est à la mesure de la perte totale des références que vous utilisez, parce que les courants de particules sont déformés par les masses croissantes de désordre intellectuel.
Je fais partie de ceux à qui on disait « ça ne se fait pas », en justifiant plus ou moins cet interdit, ce qui ne m’a pas empêché de me friter avec les flics, de connaître le poste de police, d’adhérer à un mouvement nationaliste, d’envoyer des produits moussants dans les fontaines à jets d’eau, de voyager en fraude, et de courir à l’autre bout de l’Europe, sans argent, pour voir une jeune fille qui est d’ailleurs mon épouse depuis soixante ans. Mais ce sont des choses ignorées ou ridicules aujourd’hui où il ne s’agit pas de transgresser mais d’agresser. Et cela, un service public ne doit pas le supporter.
C’est donc cordialement que je me suis adressé à vous.

@ Tomas
@ Mary Preud’homme
Bon, pas de jaloux, pas de stigmatisation, il n’y a pas que les forces armées qui soient un moindre mal, presque tout ce que nous connaissons, comme cela est illustré ici :
https://www.youtube.com/results?search_query=imagine+john+lennon+clip+officiel++sous+titre+francais
Pour « que les gens vivent en paix », dans la chanson, il n’y a plus de pays… Je précise quand même, j’en profite, que rien ne serait pire qu’un gouvernement mondial puisque s’il était, de naissance ou devenu, tyrannique, on ne pourrait jamais le renverser.
En un mot : parce que tout pouvoir à l’intérieur et qu’aucun à l’extérieur.
Sinon, ne serait-il pas important d’expliquer la nécessité des forces de l’ordre à l’école comme peut-être qu’elles puissent plus facilement intervenir, de manière proportionnée, bien sûr, dans les lieux où on enseigne ?
Si non, pourquoi, si oui, comment ?
———————
@ Augier | 03 février 2018 à 23:54
Intervention non partisane et constructive : bravo ! J’espère qu’on s’inspirera de vos préconisations en haut lieu, et de votre exemple ici.

@ Guy Peretti | 03 février 2018 à 22:02
« Le fessier est l’endroit du corps le mieux protégé contre les coups. »
J’ai réellement beaucoup ri ! Souvent les personnes inventent avoir ri, mais pour moi, c’est réel.
Parce qu’écrire un truc aussi tordu quand la conséquence pour l’autre zozo c’est de se balader à vie avec un anus artificiel haaaaaaaaaaaaaaaaaa haaaaaa haaaaaaaa, houuuuuu hou hou…
@ Mary Preud’homme | 03 février 2018 à 19:01
Elusen, c’est un vrai prénom Cymraeg, celte britonnique du Pays de Galles, sans aucun rapport avec une élection !
Mais votre frêle imaginaire vous invite à inventer un manifeste de la racaille.
Peut-être qu’en réalité vous en seriez l’auteure.
Après tout pourquoi pas !
Il y a bien un jeu vidéo :
– Comment bien générer un camp de concentration.
– Un autre qui donne des points quand vous tirez sur des ambulances pendant la guerre.
– Un autre où vous êtes trafiquant de drogue et où vous avez des points quand vous tirez et tuez des passants pendant une fusillade.
Pourquoi pas un manifeste de la Preud’homme.
@ stephane | 03 février 2018 à 19:38
Oh stephane, comme je suis triste. Je m’aperçois que vous ignorez ce qu’ont été des serveurs VPN, des proxy, des scripts et autres techniques pour masquer une IP.
Vous avez le choix, tous ces pays j’y ai vécu, New Zealand, Irlande, Canada, Cymru (Wales), France, Netherlands.
Je vous laisse sans délai vous réconforter dans les bras de cet ancien militaire et policier français, ce truc de monsieur Woodman qui grandit l’honneur de la Nation France, il a tout de même été fonctionnaire et a juré fidélité au drapeau. Il eut été rejoint par Gregory Chelli, pornographe et proxénète de mineures, réfugié en Israël pour ne pas être extradé.
Il a sur la conscience la mort du père d’un journaliste français qui enquêtait sur lui. Il se fait aussi passer pour un policier et appelle les services de police pour avoir accès aux cassiers, aux fichiers des infractions constatées, aux adresses de personnes qu’il veut persécuter.
Ce qui intrique c’est le peu de sécurité pour avoir accès à ces données ultraconfidentielles. La police les donne à n’importe qui au téléphone.

Quand les libres et indépendants s’apercevront que le vrai courage est d’avouer que leur autonomie est aussi solidaire de la masse que leur volonté de s’en détacher, la voie sera ouverte à l’acceptation de la loi, nécessaire à l’observation de l’instant tragique où la créature se regarde, où la nature s’observe elle-même et, si elle apprend à renoncer à la fascination de cette contemplation qui enferme dans le temps, pourra échapper au pire en affirmant, forte de cet enseignement fondateur de la seule résistance :
Il n’y a qu’Amour heureux.
https://www.youtube.com/watch?v=_wUP07DVq9E

@ semtob | 03 février 2018 à 18:57
Vous semblez douées pour la physique et les mathématiques alors parlez-nous des bosons intermédiaires W+, W- et Z, médiateurs de l’interaction faible.
Ou d’un fermion de spin ½, électriquement neutre de saveurs muonique.
Ce qui clouera définitivement le bec au pachyderme EDM qui fait des bruits de toutes sortes, à tort et à travers, à la grande joie des procureurs nuls en maths qui portent des bavoirs mais pas de hochets.
Plus la science progresse plus la justice des palais régresse et voudrait pourtant maîtriser le tout. Mais il ne faut pas désespérer, la France disparaîtra bientôt par lien de cause à effet.

L’amusant est de constater que les contributeurs de ce blog réagissent presque tous sur le fondement (pardon…) de leurs idées politiques et non en fonction du visionnage des vidéos des caméras de surveillance qui à mon sens ne prouvent rien, ni dans le sens de la culpabilité des policiers ni dans le sens des allégations de Théo.
La seule réflexion que je me suis faite c’est que lorsque l’on n’a rien à se reprocher (et même dans le cas contraire) on obtempère au contrôle de police.
Par ailleurs, pour avoir assisté à des contrôles de police au Maroc, en Algérie et en Amérique, je puis certifier que la police française est, par comparaison, bien gentille et complaisante…
Je pense par conséquent que l’on continuera à parler de l’affaire Théo parce que les enseignements à en tirer sont utiles pour éviter à l’avenir de telles polémiques. La proposition de Pierre Blanchard de constituer une commission d’enquête parlementaire ne semble pas vaine.

Si ce contrôle avait eu lieu aux USA, le fameux Théo croupirait au fond d’une cellule avec une camisole orange pour de nombreuses années. Comment voulez-vous que « l’ordre public » soit une valeur dans notre pays quand le fait de résister aux policiers implique nécessairement qu’ils aient commis un excès ? Quant au déplacement de Hollande auprès de ce délinquant c’est une chose minable à la hauteur du personnage.

@ Tomas | 04 février 2018 à 10:04
« …qu’on ne massacre plus dans les commissariats est déjà un progrès, je veux bien l’admettre. »
Par contre on continue de plus belle à massacrer tabasser cramer caillasser des flics, et surtout des citoyens blancs de préférence dans le racailleland, mais on refuse de l’admettre par peur des représailles, par souci de paix sociale sans vagues et par gauchisme paranoïaque schizophrénique.
La police n’a pas droit aux droits de l’homme, aux SOS machins trucmuches, aux assoçs humanislamistes gauchislamistes.
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@ Elusen | 03 février 2018 à 16:30
« Il n’en reste pas moins que de défoncer l’anus de quelqu’un pendant une arrestation, il y a quelque chose de pas clair chez le poulet, ou le dindon, je ne sais plus quel animal. »
Tous les ans à Noël je suis réquisitionné par la famille et les amis pour défoncer l’anus de la dinde afin de la fourrer de marrons au Cognac ; personne ne s’en plaint, au contraire je n’ai que des compliments.
Mais comme c’est un plat chrétien et que ni Théo ni Elusen Gaspary ne le sont, il est donc normal qu’ils n’aient pas apprécié cette méthode « cul-linaire ».

@ gluon 04 février 2018 à 09:57
Vous, vous seriez plutôt « Vive Villani président de cour d’assises ! » si j’ai bien compris (à part les trucs en vermicelle du premier paragraphe ;))
Remarquez je ne dis pas non, vu sa tenue vestimentaire (acceptée exceptionnellement par monseigneur de Rugy) : lavallière de soie et broche-araignée en ambre assortie à ses lavallières, ça ferait moins ringard que la robe rouge (couleur sang) bordée d’hermines (bretonnes !) pour la chasteté, et ça ferait plus rire les enfants 😀
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@ Mary Preud’homme 04 février 2018 à 05:05
😀 ça c’est vrai, on mettait ses mains sur sa tête et on criait « aïe aïe aïe » puis on allait pleurer dans un coin (à cause du lacrymo !)
Eh oui c’était le bon temps, le temps que les moins de… pfffft, ne connaîtront jamais vu que maintenant les manifestants portent des casques intégraux sur leur bandana de couleur indifférenciée 😉 placé sur le nez et la bouche (à cause justement du lacrymo !)
Triste époque ! 😀

@ sylvain | 04 février 2018 à 11:22
Je me demande si ce n’est pas la dinde qui a fini par vous fourrer ?!
Ce qui expliquerait pourquoi vous êtes marron, car la Bible, que j’ai lue et vous non, ne parle pas de dinde, de cognac, et de marron, encore moins de Noël.
Jésus n’étant pas né en décembre !
Décembre étant une fête polythéiste magique chez les Celtes, le solstice d’hiver. Une bûche doit brûler jusqu’au lever du jour afin d’assurer les récoltes pour l’année à venir.
Ainsi seul un cul-terreux défoncé au cognac en serait à affirmer que Noël est une fête chrétienne et qu’il s’agirait de sa religion. Il est né le divin enfant en mai ou avril…
S’il vint…

@ Tomas
« On en est encore loin, même si le fait qu’on ne massacre plus dans les commissariats est déjà un progrès, je veux bien l’admettre. »
Bien entendu vous avez des exemples à nous citer de ces « massacres » ??
Merci de les documenter ici, chiffres et dates à l’appui !

@ Guy Peretti | 03 février 2018 à 22:02
Je crois que vous avez mal interprété mes propos. J’aurais dû il est vrai mettre des guillemets à « gamin ».
Est-il vrai par ailleurs que le fondement du « petit » Théo servait de réservoir à pochons, avec donc une tendance certaine à la dilatation ?
Y a-t-il un proctologue dans la salle ?
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@ Mary Preud’homme | 04 février 2018 à 05:05
Oh non il y avait pire. Il y avait les bleus mais aussi les marrons. Ceux-ci n’avaient pas de casque mais un calot, leur avant-bras gauche seul était protégé et ils portaient de la main droite un long bâton, je suppose en buis, appelé bidule. Souvent des armoires à glace.
J’ai pu goûter à la qualité intrinsèque de ce bois le 1er mai 70 en queue de manifestation place de la République avec en suivant une nuit en chambre d’hôtes à Beaujon et ses comités d’accueil. J’en ai gardé longtemps les traces.
La curiosité est un vilain défaut et en tout cas j’ai appris ainsi à ne pas traîner dans les queues de comète. Heureusement j’ai pu récupérer mon Solex… 🙂
Et Tomas, en gauchiste comme dirait sylvain, qui parle de « massacres » dans les commissariats… alors que du Blédina lui sort encore du nez quand on appuie dessus.

@ Guy Peretti
Bien sûr qu’il pouvait frapper ailleurs, les côtes pourquoi pas, les jambes certainement. Vous comparez le geste du policier aux fessées que vous receviez étant jeune, vous avez donc vous aussi un anus artificiel ?
Je suis sidéré des réactions de la plupart des commentateurs. Les policiers souffrent au travail, il ont donc le droit de vous sodomiser avec leur matraque. Belle mentalité !

Comme déjà écrit dans mon commentaire du 4 février 5:05
Le gars Théo était en rébellion et se débattait comme un fou pour ne pas être menotté. Il est donc probable que vu ses gestes désordonnés et en reculant brusquement, il se soit empalé lui-même sur la matraque télescopique que le policier venait de déployer pour lui frapper l’arrière-train ou les membres inférieurs.
A noter qu’un seul coup de matraque (qui est en acier trempé) fait très mal et peut même blesser ou briser un membre s’il est appliqué avec force.
J’ai aussi noté que Théo dans le compte rendu fait par les médias avait commencé par dire qu’il avait été frappé à la tête, ce qui bien sûr est impensable vu qu’il s’agit d’un organe vital et qu’un seul coup peut être mortel, ce que tout fonctionnaire ou militaire a appris en école de police ou de gendarmerie et applique scrupuleusement (sauf à vouloir se griller lui-même et écoper du renvoi suivi d’une lourde peine de prison, s’il n’est pas prouvé qu’il était en état de légitime défense, proportionnelle à l’attaque).

Si quelqu’un parmi vous connaît François Jost, auteur du livre « La méchanceté en actes à l’ère numérique », merci de bien vouloir lui suggérer de venir lire les commentaires d’ici. Sa moisson sera belle. Sa thèse est que tout cela n’est possible que par le fléau de l’anonymat. Tout est permis aux courageux anonymes : les agressions, les calomnies, les lynchages. Ne parlons pas des trolls.
Je conviens très volontiers que parmi les anonymes, plusieurs sont courtois, instruits, bien élevés, diserts et d’excellente compagnie. Ce n’est pas le cas sur tous les blogs. Enfin, sur quel blog y a-t-il aussi peu de fautes d’orthographe ? On sait pourquoi.

@ breizmabro | 04 février 2018 à 11:44
Le sieur Villani est le seul de l’équipe au pouvoir qui me soit sympathique. Il vient d’ailleurs de plancher sur l’intelligence artificielle ce qui nous permet d’espérer avoir à l’avenir des procureurs, des juges et surtout des parlementaires normaux.
Et puis en mathématiques on ne peut pas affirmer, comme Macron le dit, que la culture française n’existe pas et pendant ce temps-là répandre l’argent, piqué aux vieux, chez ses électeurs tunisiens et sénégalais.
Les mathématiques ont des règles et principes que la justice et Macron n’ont pas.

@ fugace 04/02 13:42
Merci tout d’abord pour le document joint.
J’en commenterai deux extraits :
– « C’est en admettant le pluralité des origines de nos concitoyens que l’on créera une dynamique susceptible d’assurer la paix sociale ».
Certes, mais à la condition que les populations d’origine étrangère admettent parallèlement elles aussi la nécessité d’accomplir les efforts nécessaires pour s’intégrer et s’adapter à notre société française et de se plier aux lois en vigueur dans notre pays.
– « Aussi faut-il que chaque policier se souvienne qu’il est d’abord un citoyen au service d’autres citoyens, fussent-ils étrangers ».
Cela n’est pas valable que pour les policiers et faut-il en retour que chaque citoyen, parce que justement le policier est à son service et représente en plus l’autorité de l’Etat, lui témoigne aussi du respect, ce qui est loin d’être toujours le cas.
Je sais que tous les policiers ne sont certes pas exemplaires, mais ils ne sont pas les seuls. Je n’excuse nullement les dérives de certains. Mais je ne les condamne pas tous, loin de là, comme certains ont tendance à le faire trop facilement ici, car ils accomplissent une tâche particulièrement ingrate et difficile. Et je regrette que trop souvent l’opinion, écoutant la rumeur et sans prendre le recul nécessaire, soit plus prompte à condamner les policiers que les fauteurs de troubles.

@ Trekker | 03 février 2018 à 16:33
« Le policier exerçant alors une forte pression sur ses fesses avec la matraque, ce qui est prescrit par le règlement en cas d’arrestation mouvementée, et enseigné au cours de la formation des policiers. »
Si cela est exact, comment se fait-il que personne ne s’interroge sur le fait de savoir si ce n’est pas la doctrine d’intervention enseignée aux policiers qui est en cause ?
Si, comme je le comprends, la règle prescrit de clouer le suspect au sol en exerçant une pression sur ses fesses dans l’axe de la matraque, alors il est évident que si le suspect se débat (et par hypothèse, il le fait, car sinon la contrainte physique ne serait pas nécessaire), il y a un risque important d’accident tel que celui occasionné ici. Non ?
Au lieu de cette question, très concrète et simplement technique, des heures de débats passionnants en perspective : les policiers sont-ils des brutes nazies avides d’infliger des sévices sexuels ? Les racailles doivent-elles être matées par tous les moyens nécessaires, quitte à occasionner quelques dégâts collatéraux permettant de fines blagues en fin de repas ?
En tout état de cause, la vidéo montre très clairement que le suspect a résisté au contrôle, s’est violemment rebellé contre les policiers et leur a porté des coups. Je suis personnellement incapable de voir, sur la vidéo, la position de la matraque au moment de l’accident. Ce qu’on voit, c’est que le suspect était pressé contre le muret, et non au sol, à ce moment-là.
Mais ce qui est sûr également, c’est que si le policier en cause avait vraiment eu l’intention de procéder à une intromission anale avec sa matraque, et qu’il y soit parvenu dans un délai aussi bref et une situation aussi agitée, alors il mériterait de recevoir un déluge de propositions de casting de la part de réalisateurs de snuff movies pornographiques : c’est un virtuose incontesté.
Plus sérieusement, on sait fort bien que des Noirs résistent fréquemment aux contrôles d’identité, en France, aux Etats-Unis, partout, avec des insultes et des coups. Et qu’ils se déclarent systématiquement victimes de violences policières par la suite, et mentent comme des arracheurs de dents en prétendant qu’ils n’ont rien fait.
A tel point que certains ont gagné, aux Etats-Unis, un nouveau surnom : les « dindus ». Un « dindu », c’est un Noir, parce qu’ils disent toujours, en dépit de l’évidence, dans leur anglais épouvantable qu’ils n’ont toujours pas appris depuis deux siècles qu’ils sont là : « I did’n’do nothin », « Je n’ai rien fait ».
Les Noirs arrêtés par la police n’ont jamais rien fait. Hélas, les statistiques de la justice montrent que la réalité est à l’opposé. Il suffit de se renseigner sur la délinquance aux Etats-Unis, pays où les informations sont disponibles en quantité, en dépit des querelles politiques. Certains comportements noirs sont les mêmes ici et là-bas.
Comme le prouve la citation grotesque de « Théo », le gentil Théo, le mignon garçonnet Théo, que rappelle Europe 1 sur sa vidéo : « J’ai été victime de viol en réunion ». Certains sont analphabètes et brutaux, mais ils s’entendent fort bien à apprendre le vocabulaire des Blancs pour raconter leurs salades.

@ Herman Kerhost | 03 février 2018 à 01:27
« …mais cette matraque visait le derrière du gars, et violemment »
C’est fou ce qu’on est parvenu à créer avec la numérisation et la robotisation : des matraques intelligentes et perverses en plus puisque capables de sodomiser un humain en visant en plein anus !
Voilà qui va vous rassurer, et Tomas aussi d’ailleurs, avec des matraques pareilles nous n’aurons bientôt plus besoin ni de policiers, ni de CRS, des drones se chargeront de transporter les matraques-robots et le gaz lacrymogène.
Si vous êtes entrepreneur lancez tout de suite une start-up pour fabrication de matraques-robots et d’anus artificiels !
Mais ne concevez que des matraques robots anti-hommes, les délinquantes risqueraient de croire que Tariq Ramadan est votre associé et en profiter pour déposer leurs plaintes, par Twitter bien sûr.
Les délinquants eux n’auront plus qu’à serrer les fesses ou porter des ceintures de chasteté inversées.
Il va tout de même falloir que les citoyens comme vous se libèrent de cette obsession antipolicier(ère)s c’est d’une époque d’autres temps, du lointain passé !
Vraiment ! Ca fait vieux et gaga ! Le « 22 v’là les flics » a été remplacé par les radars et les vidéos de surveillance.

@ Patrice Charoulet | 04 février 2018 à 15:07
Vous revenez encore une fois sur les anonymes, c’est un peu lassant et en même temps curieux que vous, qui vous présentez comme un professeur de lettres, en soyez à critiquer les anonymes qui se dissimulent derrière des pseudos.
Il y a plusieurs sortes d’anonymats.
Il y a l’anonymat de modestie, je précise que ce n’est pas mon cas, il faut savoir accepter les talents que la nature nous a donnés.
Il y a l’anonymat typographique, et celui-là vous l’avez subi tout au long de votre carrière d’enseignant en lettres.
Un auteur choisit souvent un pseudo pour économiser l’encre et le papier de son éditeur et le travail du linotypiste autrefois penché sur le marbre.
C’est le cas de Jean-Baptiste Poquelin, par exemple, qui a poussé la modestie typographique non seulement en choisissant un pseudo plus court que son nom mais aussi en choisissant pour ses pièces de théâtre des titres très brefs, l’Avare, le Tartuffe, le Misanthrope, là aussi par souci d’économie à l’imprimerie.
Et que dire de Ioánnis A. Papadiamantópoulos, croyez-vous que ce poète aurait pu publier ses livres, ses poèmes et son, si important, Manifeste du symbolisme, s’il n’avait pas choisi un pseudo ?
Le malheureux n’avait aucune chance d’être publié avec un nom ayant plus de lettres que le moindre de ses poèmes, j’exagère un peu mais pas beaucoup !
Et puis il y a l’anonymat un peu esthétique et un peu ludique, pensez à Roman Kacew qui a eu deux fois le prix Goncourt grâce à un judicieux choix de deux pseudos.
Bref ne critiquez pas les anonymes, ils sont la gloire et la fierté de la littérature, et aussi du blog, mais pour le blog, je ne serais pas aussi affirmatif !

@ caroff
« L’amusant est de constater que les contributeurs de ce blog réagissent presque tous sur le fondement (pardon…) de leurs idées politiques et non en fonction du visionnage des vidéos des caméras de surveillance qui à mon sens ne prouvent rien, ni dans le sens de la culpabilité des policiers ni dans le sens des allégations de Théo. »
Eh oui, on ne voit que ce que l’on « sait ». C’est si vrai qu’on peut s’étonner que, malgré tout, des personnes puissent changer d’opinion ou que des nouveautés, par exemple en art et en science, émergent.
« La seule réflexion que je me suis faite c’est que lorsque l’on n’a rien à se reprocher (et même dans le cas contraire) on obtempère au contrôle de police. »
C’est plus raisonnable pour éviter les violences corporelles. Mais certains interpellés veulent entrer dans le rapport de force provocant… Il arrive aussi que ce soit les forces de l’ordre, les provocatrices.
On parle de liberté d’expression sur ce blog, mais il y a outrage à magistrats, à agents de la force publique aussi, je crois… C’est bien embêtant, on préserve sa dignité comment si quelqu’un a le droit de vous insulter, et pas vous de répondre ? Certitude de voir, en ce cas, son honneur entaché pour toujours, l’honneur ne se reconstitue pas.
Ou si, par la vengeance : Ulysse massacre les prétendants, les nobles se battaient en duel. On n’a plus tout ça, mais on n’a plus d’honneur non plus… Toute personne accusée à tort en justice ou dans les médias ou dans un blog ne sera jamais innocentée. Si par miracle elle est reconnue innocente, néanmoins, la majorité la croira toujours coupable. A part les rares crimes parfaits proprement dit, le crime parfait le plus sûr comme le plus sournois est de déshonorer quelqu’un.
Quand les destructeurs de l’honneur l’ont fait à quelqu’un, ils le nient ou le traitent de rancunier comme si le souvenir de leur dette en était une envers eux. En général, on ne reproche pas au créanciers d’argent d’avoir longue mémoire, mais on le reproche aux créanciers d’honneur.
C’est que l’argent parle, et non l’honneur pour la plupart… L’honneur des autres encore moins, par conséquent. Pourquoi donc ne pas abuser des, par exemple, trafiquants de drogue ? Ce maudits dont viendraient tout le mal, tu parles, mais non, finalement, car à quoi bon ?
A quoi bon… Tout. Cependant, j’insisterai sur le fait que chacun devrait ménager la dignité de l’autre en s’imaginant à la place de l’autre. Oui, même quand la force ou le droit rend intouchable… Je suis flic ou voyou, comment voudrais-je que l’autre soit avec moi ? Sans parler du public. Cela devrait faire partie de comment être le meilleur possible à la place que l’on occupe. Faire de son mieux pour parvenir à ses buts en nuisant le moins possible, moralement, ce n’est pas mal, et au niveau légal, non plus.
Enfin, en général… Mais la loyauté relativise cette approche. Le représentant de l’ordre doit-il toujours dénoncer le moindre abus d’un collègue ? Dans quels cas les abus d’autres transgresseurs sont, pour un bandit, si graves que les dénoncer n’est pas se faire bien voir par la police pour se protéger mais épargner le pire à ceux qui seraient des victimes de l’autre ?
« Je pense par conséquent que l’on continuera à parler de l’affaire Théo parce que les enseignements à en tirer sont utiles pour éviter à l’avenir de telles polémiques. »
Si seulement… Je n’ai pas vu beaucoup de propositions constructives sur le blog, ni même de réflexions très poussées.
Et ce n’est pas le pire endroit du monde, donc…

@ Claude Luçon | 04 février 2018 à 18:43
Vénérable Claude Luçon, continuez à mettre de l’ordre dans les pensées dépassées et bravo pour le style.
@ Patrice Charoulet | 04 février 2018 à 15:07
Arrêtez de vous plaindre et de pleurnicher sur les pseudos. Quel surnom vous avaient attribué vos élèves ?

@ Patrice Charoulet
« Tout est permis aux courageux anonymes : les agressions, les calomnies, les lynchages. »
Eh bien les anonymes qui usent d’un pseudo sur ce blog ne le sont pas autant que vous voulez le laisser croire : Philippe Bilger connaît pour certains leur nom ainsi que leur adresse courriel.
Et qu’est-ce que cela peut bien vous faire de connaître des noms qui ne vous diraient absolument rien ?
N’oubliez pas non plus le pseudo destiné à éviter les méprises dues à l’homonymie.
Imaginez que quelqu’un qui s’appelle François Hollande – il en existe au moins un en plus de l’ex-président (enfin façon de parler) – se pique de fréquenter les blogs, vous pouvez imaginer la confusion qui pourrait s’ensuivre…
Je rappelle aussi qu’Internet a son étiquette, qui n’est pas nécessairement celle du monde de l’édition ou bien d’autres milieux et que les pseudos ont été employés et sont encore employés par exemple dans certains échanges à caractère scientifique ou universitaire à travers le monde.
Il existe même des sites qui exigent que les intervenants prennent un pseudo (ou avatar).
Enfin, ce n’est pas à vous qu’il faudrait rappeler que des auteurs qui sont tenus par le devoir de réserve usent aussi d’un pseudonyme pour cette raison qui n’a rien à voir avec une quelconque lâcheté.

@ Robert Marchenoir | 04 février 2018 à 17:38
« Si cela est exact, comment se fait-il que personne ne s’interroge sur le fait de savoir si ce n’est pas la doctrine d’intervention enseignée aux policiers qui est en cause ? »
La réponse à votre interrogation est donnée par Mary Preud’homme dans ses posts du 04 février 2018 à 05:05, et du 04 février 2018 à 14:33 :
« La matraque télescopique (rétractable) est constituée de trois parties, un manche et deux tubes qui viennent s’emboîter dans le manche, le dernier tube étant terminé par un bout rond. Pour l’utiliser en cas de légitime défense ou répression, il faut la secouer d’un coup sec de bas en haut tout en frappant l’adversaire ou le récalcitrant. Ce que semble faire le policier placé derrière Théo en train de se démener comme un fou. »
« Le gars Théo était en rébellion et se débattait comme un fou pour ne pas être menotté. Il est donc probable que vu ses gestes désordonnés et en reculant brusquement, il se soit empalé lui-même sur la matraque télescopique que le policier venait de déployer pour lui frapper l’arrière-train ou les membres inférieurs. »
J’ajouterai que Théo a reconnu récemment que son pantalon de jogging a glissé de lui-même sur ses jambes, car il ne l’avait pas attaché. De plus vu le gabarit de l’individu et le fait qu’il se débattait violemment, cela nécessitait quatre policiers pour tenter de le maîtriser.
Mais tout cela ne compte pas pour Le Monde et tous les gauchistes mus par leur idéologie anti-flics. Pour eux la seule vérité est celle de la version d’un « djeun », surtout si il est d’origine immigrée et fait partie d’une fratrie de délinquants !

@Tomas
« Je ne peux pas vous sortir de chiffres (il n’y en pas de disponibles officiellement, ce qui est bien dommage d’ailleurs) »
Donc, si je comprends bien vous alléguez des massacres dans les commissariats mais vous n’avez aucune espèce de preuves à avancer…
Ce n’est pas sérieux, mais est-ce nouveau venant de vous ?

@ Trekker | 04 février 2018 à 23:17
Je vous remercie de votre réponse, mais elle ne clarifie pas les choses (et les écrits de Mary Preud’homme non plus, d’autant qu’il y a longtemps qu’elle n’a pas fessé de délinquant, j’imagine). Vous disiez :
« Le policier exerçant alors une forte pression sur ses fesses avec la matraque, ce qui est prescrit par le règlement en cas d’arrestation mouvementée, et enseigné au cours de la formation des policiers. »
Une forte pression dans quel sens ? D’estoc, ou de taille ? Dans le sens de l’axe, ou parallèlement à lui ?
Vous parlez de pression : il ne s’agirait donc pas de coups, mais d’un contact suivi d’un fort appui. Je vois mal comment cela serait possible, s’il ne s’agissait pas d’appuyer sur l’une des fesses avec le bout de la matraque, en exerçant une pression longitudinale. Ce qui, je suppose, est censé être douloureux, et par conséquent obliger l’interpellé à s’immobiliser.
Si tel est le geste enseigné, alors il y a, me semble-t-il, un fort risque de dérapage conduisant à l’intromission, avec les blessures probables consécutives.
Quant au pantalon non attaché, qui a glissé et par conséquent facilité la blessure, peut-être la police française devrait-elle sortir le nez de son derrière (comme on dit familièrement outre-Atlantique), et observer les coutumes des délinquants noirs aux Etats-Unis : là-bas, le pantalon ostensiblement baissé au milieu des fesses, ou carrément en dessous, exposant le caleçon, est un signe de « fierté noire ».
C’est la marque qu’on est un caïd, un bonhomme, un vrai. On se demande bien pourquoi, puisqu’à l’évidence cela complique singulièrement la fuite devant la police — mais il ne faut pas demander une logique excessive à cette partie de la population.
Deux théories concurrentes sont avancées pour expliquer l’origine de cette afféterie vestimentaire, toutes deux basées sur le fait qu’avoir fait de la prison est, pour ses adeptes, une marque de prestige.
La première veut qu’une fois derrière les barreaux, on vous confisque votre ceinture, ou que les pantalons carcéraux en aient été, jadis, dépourvus ; en sorte que le vêtement glissait sur les fesses à moins d’être sans cesse remonté.
La seconde, plus scabreuse, prétend que se promener dans cette posture, en prison, signale une disponibilité sexuelle dans l’espoir de diverses faveurs.
Même si cette dernière est inventée — ce qui est fort possible — on s’étonnera que des gens adoptent de leur propre chef une coutume susceptible de donner d’eux une telle image. Mais encore une fois, la rationalité…
Toujours est-il que les mauvaises idées traversant l’Atlantique dans notre direction à une vitesse considérable, il est fort possible que le mignon garçonnet Théo ait cru très smart de « faire comme là-bas, dis-donc », auquel cas il ne serait pas le seul parmi ses collègues.
Si, de surcroît, mon interprétation de vos propos était la bonne, il me semble, malgré ma faible expérience de la matraque télescopique, du chant choral, du parachutisme et de plein d’autres choses, que la doctrine policière française branle quelque peu dans le manche en cette matière. Voilà quel était le motif de mon interrogation.

@ Mary Preud’homme | 04 février 2018 à 15:17
Merci du retour.
« Et en cas de choc s’il est en tort, à plus forte raison hors service, il va déguster ».
Mon gendre a eu le cas, en vacances sur l’île de Ré. Certes un simple feu arrière en moins et quelques bosses à la carrosserie. Et que croyez-vous qu’il arriva ? Il a laissé filer ; je ne sais pas ce que j’aurais fait à sa place. Le policier ayant affirmé avoir effectivement démarré en trombe, mais avec sirène en marche.
Concernant mes dires concernant la mise en marche de la sirène à l’approche du commissariat, les faits répétés depuis des années peuvent pourtant être facilement vérifiés encore.
Mais bon, hors de question pour moi d’aller au-delà de l’avoir signalé sur ma ville.com.
Aujourd’hui et depuis des mois on s’en amuse avec mon épouse. Et quand on est en approche de notre domicile, on fait (quand on y pense) un petit pari :
– Sirène ou pas sirène ?
Aucun traumatisme pour notre part, seulement des étonnements, ou interrogations !
Cdt

Monsieur Bilger,
Bravo pour votre billet. Mais vous tombez dans le travers – très répandu dans ce dossier – d’appeler cet individu par son seul prénom, ce qui crée un capital de sympathie. Alors même qu’il s’agit d’un voyou majeur de 22 ans, dont le nom de famille est connu : Luhaka.

@ Anne-Valérie Pinet | 04 février 2018 à 19:01
Il serait nécessaire et démocratique que tout le monde lise ou réapprenne ce que vous venez d’écrire. Malversations, escroqueries, faux et usages de faux pour un homme qui passait par là le slip en vadrouille juste pour se faire déflorer par un poulet (comme le dit Elusen).
Les caïds de nos banlieues, devenues pouilleuses pour ressembler à celles des origines de leurs habitants, n’ont pas que des maires ou des députés mais aussi des caïds qui font la loi et n’aiment pas que l’on vienne les ennuyer sur leur terrain… D’ailleurs, ils font même élire les députés (voyez le cas LREM). En un mot nos banlieues sont des pyramides de saletés et de caïds (tout petits, petits, moyens, grands et très grands) et selon leur taille, ils logent dans des lieux divers et temporaires, voire luxueux, le temps de leur califat.

@ Exilé | 04 février 2018 à 22:05
Comme Patrice Charoulet, lorsque j’ai découvert ce blog après avoir découvert Philippe Bilger à la télévision – Philippe m’avait intrigué par sa différence d’attitude avec les bavards débraillés, mal rasés et mal peignés habituels des talk-shows -, je pensais aussi que par courtoisie, puisque lui s’exposait sans réserve, nous devions faire de même.
De la vieille école, je change de canal TV quand je vois un Moix, dont Philippe parle sur son dernier billet, qui n’a même pas le respect de sa personne comme le fait un SDF, ou de ces migrants dont il veut épouser la cause, donc ne nous respecte pas en se présentant à nous comme un ivrogne mal lavé. Par chance dans le cas de Moix la télévision ne reproduit pas encore les odeurs.
Certains de nos collègues commentateurs m’ont donné leurs raisons pour rester anonyme, généralement fort justifiées. En plus la courtoisie était respectée puisque Philippe et Pascale savent qui nous sommes et Pascale nous permet de communiquer entre nous.
Il est facile de détecter le penchant politique de chacun de nous, assez uniforme d’ailleurs, mais il serait bon que nous puissions connaître les secteurs professionnels où chacun opère ou a opéré : fonctionnariat, éducation, justice, commerce, industrie, agriculture, médecine… car comme la politique elle éclairerait les commentaires de chacun et permettrait de donner plus de sens à nos chamailleries ou contre-arguments.
Lorsqu’un commentateur comme Tomas ou vous s’exprime, on comprendrait mieux vos motivations et la logique de vos arguments, ce qui éviterait souvent les échanges désagréables et permettrait à Philippe de ne pas avoir à nous rappeler de temps à autre que nous sommes sur son blog, dédié à la parole, celle de son Institut, pas au pugilat, et permettrait, le cas échéant, d’être un rien satirique ou ironique sans être insolent tout en développant un contre-argument.
On apprend bien des choses ici, essayons de garder le ton au niveau de celui de Philippe, ce sera plus facile si nous nous connaissons un peu mieux puisque nous sommes toujours le même groupe d’aficionados.

@ Tomas
« Pour l’époque antérieure aux années 80, je vous renvoie aux films et à la littérature policière, ainsi qu’aux divers témoignages que vous pourriez entendre des plus anciens si vous avez moins de 50 ans ; avant Mai 68, tout le monde avait peur d’aller au commissariat, tels sont du moins les propos que j’ai entendus de septuagénaires qu’on ne saurait taxer de gauchisme primaire. »
Vous me renvoyez donc à « Touche pas au grisbi », « Razzia sur la chnouf » ou aux séries noires dont je me suis délecté, pour étayer vos propos…
Au moins, grâce à vous je me bidonne ce matin !
J’ai plus de 60 ans et n’ai jamais eu peur de la police et lorsque j’ai eu l’occasion de pénétrer dans des commissariats, j’ai eu affaire à des fonctionnaires compétents, surchargés de travail, prêts à rendre service à la population.
Par ailleurs, rappelez-vous qu’en Mai 1968, en dépit de plus de trente jours de manifs violentes, il n’y a pas eu de morts ou de blessés graves…
« La manifestation de 1961 qui vit le massacre sommaire de plusieurs dizaines d’Algériens, ça ne vous dit rien ? »
Sur cette histoire largement enjolivée par le PCF et le FLN, je vous renvoie à l’historien Bernard Lugan :
http://bernardlugan.blogspot.fr/2011/10/mensonges-et-manipulation-propos-de-la.html

@ Herman Kerhost | 05 février 2018 à 03:04
« Vivant aux EU j’affirme préférer de loin avoir affaire aux policiers ici plutôt qu’en France. »
Vous dites ça parce que vous êtes blanc de type suédois, pas vrai ?

« Vous dites ça parce que vous êtes blanc de type suédois, pas vrai ? »
Rédigé par : Savonarole | 05 février 2018 à 13:33
Yes !

@ Claude Luçon | 05 février 2018 à 11:47
« On apprend bien des choses ici, essayons de garder le ton au niveau de celui de Philippe, ce sera plus facile si nous nous connaissons un peu mieux puisque nous sommes toujours le même groupe d’aficionados. »
Un autre rendez-vous en quelque sorte !
https://www.youtube.com/watch?v=pbaXL7UwzQ4

@ Savonarole
Vous avez raison, blond aux yeux bleus, mais je vous assure que je n’ai rien changé depuis que j’ai quitté la France…

@ breizmabro | 05 février 2018 à 13:20
« Vous oubliez de dire que parfois (souvent ?) M. Luhaka se servait de son fondement pour transporter des boulettes destinées à la vente »
Vous oubliez de dire que vous venez de faire une diffamation publique, car vous avez complétement inventé cette partie pour nuire à l’autre zozo, il s’agit donc d’un mensonge et non d’une erreur, car l’erreur n’est pas faite pour nuire, le mensonge, si.
Artilce 29 : https://frama.link/vSJcmXoR
Si vous aviez voulu jouer avec les mots ou les situations, vous auriez pu dire que la Reine Elisabeth II du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, du Canada, d’Australie, de Nouvelle-Zélande, des Fidji et autre pataquès, avait elle aussi indiqué avoir un annus horribilis.
Vive la Reine !

@ Elusen 05 février 2018 à 15:49
« Vous oubliez de dire que vous venez de faire une diffamation publique »
Prouvez-le moi.

@ Robert Marchenoir
L’origine de ces pantalons au ras des fesses est attribuée à la population carcérale américaine, les prisonniers n’étant pas autorisés à porter une ceinture ou des lacets, notamment pour éviter les suicides par pendaison ou les assassinats d’autre détenus par étranglement.
Par bravade ou pour se reconnaître entre eux, certains ont donc continué une fois libérés à porter ainsi leur pantalon ou des chaussures béantes. Style taulard que nombre de pratiquants du hip-hop et plus tard du rap ont commencé à adopter, essentiellement par bravade et pour se singulariser ; tendance plus tard copiée avec variantes (casquette de traviole) par de plus en plus d’adolescents, bien souvent sans connaître l’origine de ce style débraillé, vulgaire et indécent (et encore moins la connotation homo dans le milieu carcéral américain)*
*A noter que les prisonniers américains sont dotés d’uniformes de toutes les tailles dont les pantalons (genre pyjama) sont munis d’élastiques à la taille. Et que ceux qui rabaissent ostensiblement leur falzar pour exhiber leurs fesses (fente comprise) sont censés être homosexuels et dès lors faire du racolage pour trouver preneur.
CQFD à tous les zozos (mais aussi les zézettes) qui se baladent le Q A L’R
N’en déplaise à Robert Marchenoir, la « fierté noire » n’a donc absolument rien à voir dans la montée de cette tendance gangster des bas-fonds, puis du style décadent qui a suivi, perçu aujourd’hui par la plupart des jeunes de toutes origines comme la mode rap.
Nota : non je n’ai jamais pratiqué la fessée, avec ou sans matraque et je joue beaucoup mieux du piano ou de la guitare que de la gâchette ou du bâton. Et comme déjà dit je ne suis ni noire, ni policière…
Surtout ne manquez pas de rapporter ces précieuses informations dans vos prochaines remarques si savoureuses à mon adresse…

@ Elusen 05 février 2018 à 17:07
Art 29 du Code pénal vous voulez dire ? Alors il va falloir que vous prouviez que j’ai fait une déclaration diffamatoire.
Le zozo (votre citation) vous en remercie d’avance.

@ Mary Preud’homme (Sing Sing nostalgie !) | 05 février 2018 à 17:17
« Et comme déjà dit je ne suis ni noire, ni policière… »
Mais je suis parfaitement au courant. C’est bien ce qui rend si pittoresques vos différentes prises de position.
« N’en déplaise à Robert Marchenoir, la ‘fierté noire’ n’a donc absolument rien à voir dans la montée de cette tendance gangster des bas-fonds, puis du style décadent qui a suivi, perçu aujourd’hui par la plupart des jeunes de toutes origines comme la mode rap. »
Bien sûr que le pantalon sous les fesses est une manifestation de fierté noire aux Etats-Unis. Il n’y a que les Noirs à se promener ainsi dans la rue, et je précise : les Noirs de la catégorie délinquants habituels ; pas les avocats ou les médecins noirs, évidemment…
Sinon, d’après vous, ce serait quoi ? Une manifestation de fierté japonaise, répandue par les immigrants japonais ? Une manifestation d’humilité noire, promue par je ne sais quelle église évangélique au christianisme approximatif, qui prescrirait à ses adeptes de se balader le cul à l’air pour se faire fesser plus aisément par le bon Dieu, en punition de leurs péchés ? Une prescription médicale pour les touristes français victimes de rencontres avec les forces de l’ordre dans leur pays ?
Vous tentez de noyer le poisson en faisant un amalgame avec les casquettes à l’envers et le rap, mais c’est quoi, le rap, sinon une « musique » noire (musique, il faut le dire vite…) ? Dont les vedettes passent leur temps à célébrer le gangstérisme — et à le pratiquer ?
Cessez de défendre vos petits protégés jusque dans leurs moeurs les plus grotesques. Cette habitude repoussante commence tellement à porter sur les nerfs des Américains, que des villes ont déjà édicté des lois interdisant cet accoutrement en public, et que de nombreux magasins arborent des pancartes interdisant leurs locaux à ce genre d’individus.
Au demeurant, votre « anti-racisme » frelaté est fort mal placé : il ne manque pas de Noirs non racailleux, aux Etats-Unis, révulsés par cette pratique tout comme les Blancs. A commencer par les policiers noirs chargés de la réprimer…
Concernant ma question sur les instructions données aux policiers français pour l’usage de la matraque, je constate que personne n’a la réponse et que tout le monde parle sans savoir.

@ Mary Preud’homme (Sing Sing nostalgie !) | 05 février 2018 à 17:17
« Et comme déjà dit je ne suis ni noire, ni policière… »
C’est ce qui rend vos positions altruistes. Vous luttez contre des préjugés, anti-flics ou racistes, qui ne vous concernent pas directement. Vous le faites d’ailleurs d’une manière plus pédagogique, et je dirais donc, plus efficace qu’avant, le vécu et le livresque se renforçant l’un l’autre.
Mais lutter contre des préjugés, c’est comme s’attaquer à l’Hydre de Lerne, il faut trancher toutes les têtes en même temps. Je veux dire qu’il faudrait arriver à démontrer qu’on peut être habillé en voyou sans l’être pour révolte contre entre autres le racisme, démontrer la fausseté de l’idée que les Noirs soient plus bêtes que les autres, entre autres. Alors…

« Au demeurant, votre « antiracisme » frelaté est fort mal placé : il ne manque pas de Noirs non racailleux, aux Etats-Unis, révulsés par cette pratique tout comme les Blancs. A commencer par les policiers noirs chargés de la réprimer… » (Robert Marchenoir)
Bien d’accord concernant la terminologie « antiracisme frelaté » à ceci près que je ne suis pas (et n’ai jamais été) antiraciste, mais non raciste, une nuance de taille.
Quant au ressenti des Américains, en tant qu’ex-femme d’un Américain fin lettré d’origine haïtienne, belle-soeur d’un officier de police afro-américain et ayant vécu plusieurs années dans le South Side de Chicago (quartier de Chatham), plus un an dans le quartier chinois, je connais assez bien le ressenti des Noirs de la middle class, ainsi que celui des Asiatiques émigrés. Sans compter une famille de sang et par alliance (blanche et métissée) ayant émigré dans tous les coins de l’Amérique du Nord.
Je n’ignore pas non plus les statistiques carcérales aux USA qui indiquent les origines ethniques :
60% de Blancs caucasiens, contre 40% d’Afro-Américains, Hispaniques, Mexicains, Arabes, Amérindiens etc. Ce qui reflète assez bien la diversité de la société américaine. Tout en notant que les chiffres se sont inversés par rapport à ceux de 2004 qui indiquaient une proportion de Noirs égale, voire supérieure à celle des Blancs.
Pour en revenir à l’antiracisme je dirai que le concept d’antiracisme (made in France) a tout autant ses faiblesses sinon ses tares que le racisme pur et dur. J’en ai d’ailleurs fait l’expérience, me voyant trop souvent prise à partie, dans un sens comme dans l’autre, par des donneurs de leçons blancs ou noirs, soit que je m’abstienne de soutenir, telle ou telle manif, soit que je refuse de juger sans comprendre.
D’autant qu’en raison notamment de son utilisation politique et sociétale, le concept d’antiracisme génère inévitablement sectarisme et communautarisme. La preuve en est que dans l’esprit de la plupart des gens, la gauche aurait le monopole de l’antiracisme. Alors que le racisme est la chose la mieux partagée, tant par les idéologues de gauche que par ceux de droite, à cette différence près que le racisme des premiers est moins visible, ce qui le rend d’autant plus pernicieux et difficile à débusquer sous les jolies formules…
L’antiracisme à sens unique, tel que vous semblez vous le représenter, n’est en fait rien d’autre à mes yeux qu’une forme de racisme à rebours.
Au départ entre deux groupes étrangers l’un à l’autre et destinés à vivre côte à côte, il y a toujours inévitablement un temps plus ou moins long de méfiance, d’hésitation, d’hostilité peut-être, puis de découverte mutuelle, ou alors de rejet, mais avec raison. Donc forcément des échecs et des déceptions car nul n’est tenu d’aimer tout le monde sans distinction. Ce que Martin Luther King, apôtre de la non violence, disait lui-même. Sans compter que si l’un des deux ne joue pas le jeu et s’enferre dans ses préjugés, c’est mort !
Il n’empêche que nous avons tous nos préférences , c’est humain, à commencer parmi nos proches, nos relations etc.
Mais je vous le dis tout net, s’en tenir à la couleur de la peau (blanche, brune, noire ou cuivrée), à des on-dit, des statistiques orientées, des (mauvaises) réputations, m’est toujours apparu comme étant la preuve d’un manque d’ouverture d’esprit. Sans compter une incapacité à contrôler la peur irraisonnée de tout ce qui est différent, comme si la reconnaissance de l’autre dans son altérité devait vous priver de votre propre personnalité, de vos racines et de vos valeurs. Alors que c’est l’inverse.
Personnellement, je n’ai jamais rien renié pour aller vers les autres. Bien au contraire, j’ai toujours fait en sorte, donnant le meilleur de moi-même, de leur faire partager mes richesses et vice versa. Même si je reconnais qu’avec les intégristes de tout poil, c’est mission impossible et qu’il vaut mieux les tenir à distance, voire les éjecter s’ils sont une source de conflit permanent. Mais c’est une autre histoire…

@ Noblejoué | 06 février 2018 à 15:37
« …on peut être habillé en voyou sans l’être… »
Pourriez-vous expliquer ce que serait être habillé comme un voyou ?
De prime abord, je dirais : costume, cravate, Dior, Saint Laurent, Gucci, Kenzo, etc.
Les voyous s’habillent de manière à passer inaperçu dans le milieu dans lequel ils évoluent.
Les voyous banquiers ont coûté à la France 400 milliards €.
Les Balkany, comment s’habillent-ils ?
Pablo Escobar portait-il un pantalon à la manière des rappeurs ?!
Les magistrats et avocats véreux portent la robe et comme le disent certains : « de la m… dans un gant de soie, cela reste de la m… ».
Remarquez, une expérience a été faite à Gare du Nord en la ville de Paris, elle a fait le tour du monde, tout du moins dans les milieux de la recherche, il me semble qu’elle fut menée par des membres du CNRS.
Des personnes de toutes les couleurs de peau sont passées habillées en style rappeur, presque toutes furent arrêtées pour un contrôle d’identité par la police et cela sans distinction de couleur de peau.
Ils sont revenus sur les lieux, mais cette fois-ci habillés en costume-cravate, ou dans le style du cadre, aucun n’a été arrêté.
C’est ce que font certains clandestins, ils s’habillent en costume et en cravate, portent des attachés-cases alors qu’ils travaillent dans le BTP, le ménage, la restauration et la plupart d’entre eux passent inaperçus.
La Police et la Gendarmerie sont poussés à des contrôles au faciès par les autorités, les personnels politiques, les médias, les peuples.
Quand un cul-terreux de Neuilly-sur-Seine devient ministre de l’Intérieur, président de la République et qu’il ordonne que l’on expulse 28 000 clandestins par an de France, comment voulez-vous les trouver ces 28 000 ?!
Par nature, principe, personne ne vient vous voir en disant :
« Bonjour, je suis un clandestin expulsez-moi ».
Comme la Police et la Gendarmerie ne sont que 250 000, ils ne peuvent contrôler tout le monde, soit les 67 millions d’habitants.
Personne ne sait qui sont les clandestins, donc, vous faites peser la pression sur l’imaginaire collectif, ce que familièrement l’opinion publique appelle : les noirs et les arabes.

@ Elusen
« Pourriez-vous expliquer ce que serait être habillé comme un voyou ?
De prime abord, je dirais : costume, cravate, Dior, Saint Laurent, Gucci, Kenzo, etc. »
Robert Marchenoir, Mary Preud’homme et moi ne parlions que de voyous grande gueule et bas de gamme, du genre mal vus par la population car l’ennuyant visiblement dans les rues.
Et répugnants par l’habitude des pantalons montrant les fesses, enfin, chacun ses goûts, pour ma part, je ne suis pas du genre à réglementer les tenues, les propos et je ne sais quoi encore.
Mais je suis d’accord pour dire qu’il y a des malhonnêtes partout, et que les mieux habillés, les plus puissants, les moins visibles, ceux que vous pointez du doigt, sont pires à de nombreux égards. Plus favorisés, ils avaient bien plus d’autres choix que de pauvres gens. Noblesse oblige, à un certain niveau social, on se devrait d’être exemplaire. Et enfin, leur action est plus destructrice.
Oui, je connaissais l’expérience dont vous parlez, mais c’est très bien de la mentionner, si je ne l’avais pas su, et pour les gens dans ledit cas, elle est très édifiante sur la nature humaine.
L’habit ne fait pas le moine, mais mieux vaut paraître moine sans l’être plutôt que l’inverse pour être accepté.
« La Police et la Gendarmerie ne sont que 250 000, ils ne peuvent contrôler tout le monde, soit les 67 millions d’habitants. »
Le moindre mal. Pour certains, se sera d’être contrôlé, le problème, d’où problème avec les forces de l’ordre, et pour eux, peu importe que les clandestins s’infiltrent.
Pour d’autres, le problème, c’est que des clandestins s’infiltrent, et peu leur importe d’être contrôlés.

@ breizmabro | 06 février 2018 à 15:57
« Vous soutenez que mes propos sont diffamatoires ? Prouvez-le ! »
C’est à vous d’apporter la preuve que le zigue a mis dans son anus de la drogue pour la transporter.
La charge de la preuve incombe à celui qui pose l’accusation et c’est vous qui avez accusé l’autre olibrius.
Ce qui n’existe pas ne peut pas être prouvé, vous prétendez qu’il se sert de son anus pour transporter de la drogue, prouvez-le, sinon en droit c’est une diffamation.

@ breizmabro | 06 février 2018 à 15:57 (@ Elusen)
« Vous soutenez que mes propos sont diffamatoires ? Prouvez-le ! »
Y en a ici qui tombent des dernières nues : transporter de la drogue dans son anus est un moyen courant prouvé chiffré avéré par les stups ; jouer au comédien bisounours niais naïf c’est se rendre complice moral de cette transgression de la loi, faire l’apologie du trafic de drogue.
Ce n’est pas une diffamation mais une affirmation.
Elusen n’en est plus à son premier dérapage, c’est ce qui fait « son charme » ; le soutien logistique des dealers et terroristes islamistes a de beaux jours devant lui grâce à ces soutiens collabos gauchistes propagandistes de la haine islamiste.

@ sylvain | 07 février 2018 à 08:51
« …transporter de la drogue dans son anus est un moyen courant prouvé chiffré avéré par les stups… »
Vos sources, vos preuves, en France, j’attends !
J’exige que vous prouviez, tout autant, que Monsieur anus artificiel a pratiqué cela !

@ breizmabro | 07 février 2018 à 11:55
N’oubliez jamais que tout, absolument tout ce que vous venez d’écrire peut vous être retourné !
Dans votre immense arriération, sachez cependant que je refuse d’utiliser Google.
L’entreprise Alphabet Inc propriétaire du moteur ne paye pas ses impôts, évasion fiscale et autres.
Je ne finance pas l’évasion fiscale, contrairement à vous, n’utilise pas Amazon, Twitter, Fèces de Bouc, Yahoo, Bing, Microsoft, Appel, etc.
J’utilise un moteur germano-français :
– Qwant : https://www.qwant.com/
– Néerlandais, Ixquick : https://ixquick.eu/
– Ou européen, Unbubble : https://www.unbubble.eu/
Sans compter que malhabilement, vous tentez de détourner l’attention du fait que vous avez publiquement fait une diffamation, car vous n’avez toujours pas apporté la moindre preuve que le Sieur anus artificiel a transporté de la drogue à cet endroit.
Tout autant, la con_erie hallucinante selon laquelle le trafic de drogue se ferait par transport d’anus, là ce sont des propos d’alcoolique, c’est pas possible autrement.
Combien de tonne ?
Combien de kilogramme dans l’anus ?
Déjà un suppositoire, mais là, le trafic de drogue !?

@ hameau dans les nuages | 08 février 2018 à 20:34
Ce qui serait intéressant c’est que vous nous prouviez :
1° que la vidéo a été tournée trois jours après ?!
Ce que vous ne faites pas, nous devrions ainsi vous croire sur parole.
Et attention, sans confondre date de publication et date de tournage.
2° que le Sieur anus artificiel est bien sur la vidéo.
Ce que vous ne faites pas plus.

Je confesse que breizmabro, amateur de grand vent et d’odeurs du large m’amuse souvent en raison de son humour décalé, notamment lorsqu’elle nous parle d’équarrissage ou de sa passion bretonnante pour la pêche au homard (sans la moindre allusion maligne à un certain « Omar m’a tuer » d’ailleurs).
Tandis que ce pauvre Elusen qui ne pêche lui qu’en eau trouble et saumâtre, désespérément privé d’iode, d’air marin…. et ne « s’intructionne » manifestement que sur Wiki (pour causer comme sylvain) en serait resté à la dénonciation de quelque allusion dérangeante de la susnommée ne visant tout au plus que les « mules » innombrables qui œuvrent pour la cause des caïds de la drogue (autrement dit les gros poissons qui intéressent plus particulièrement les stups par rapport au menu fretin des cités).
Pauvre Elusen si prolixe en dénonciations calomnieuses, à commencer par ses attaques éhontées à l’égard de notre hôte, qui publie lui sous son patronyme, tandis que ce cafard se prétendant gallois d’origine nous abreuve à jets continus de ses accusations mensongères et perverses. Un accusateur public anonyme et désincarné retranché derrière un anonymat factice, quoi qu’il dise. Ce même Elusen ayant un jugement tranché et pervers sur tout et n’importe quoi, du moment que ça déglingue un bien meilleur que lui, sachant que la qualité, la sincérité et la franchise sont insupportables pour ce genre d’individu. Un troll et un mystificateur qui, prétendument, n’aurait jamais entendu parler des « mules», terme pourtant hautement symbolique servant à désigner, dans le jargon policier et douanier, ceux qui cachent de la drogue dans leur estomac, anus, vagin… et sont des milliers à se jouer des contrôles, avec parfois comme soutiens et défenseurs des avocats véreux visant à assurer leur propre fonds de commerce.
Aussi ne me semble-t-il pas relever de la diffamation le fait de mentionner que nombre de passeurs de drogues soient susceptibles de dissimuler de la schnouff dans leur fondement ou ailleurs et que le boulot des fonctionnaires de police ou des douanes soit justement de faire certains contrôles pour les coincer.
Ce qui ne constitue en rien une allusion directe ou déguisée à l’affaire qui nous occupe, le dénommé Théo n’ayant été l’objet que d’un simple contrôle d’identité auquel il se serait dérobé violemment. Victime donc du fait de sa rébellion, de ses gesticulations désordonnées d’un coup de matraque mal ajusté, au moment précis où le policier de la BAC ouvrait sa matraque d’un coup sec pour le neutraliser en le frappant sur les fesses. Et ainsi que je l’avais indiqué sur un post précédent il est probable qu’il se soit empalé tout seul en reculant brusquement…
Si bien qu’assimiler le geste de ce gardien de la paix à un viol en réunion, alors qu’il s’efforçait de mater (comme sa fonction l’y oblige) ce récalcitrant insultant et violent, apparaît donc à première vue comme relevant d’un esprit mauvais, voire pervers, sinon d’une méconnaissance totale des difficultés et contraintes auxquelles sont soumis chaque jour les policiers de la BAC, ainsi que les professionnels de toutes les unités de la police et de la gendarmerie chargées de faire respecter et appliquer la loi dans des circonstances de plus en plus difficiles, ingrates et dangereuses.

@ Mary Preud’homme | 08 février 2018 à 23:52
«…et ne « s’intructionne » manifestement que sur Wiki… »
L’imbécillité la plus absolue, le trafic de drogue se ferait avec l’anus. Les mules transporteraient la drogue ainsi, plusieurs heures durant, assis sur des sièges. Combien de kilogrammes, de tonnes à cet endroit ? La richesse est à portée de diarrhée !
Tu parles d’une efficacité dans le transport de drogue !!
Les beaufs ne percutent pas sur leur absurdité.
Ce qui ne règle toujours pas la question du Théo, Mary P. prouve-t-elle qu’il a fait cela, ben non, mais elle la ramène parce qu’elle connaît un mot : mule.
Wikipédia, c’est pour les beaufs ! Les fanatiques du pinard !
Je vais le refaire au ralenti alors, parce que là, vous commencez à avoir le niveau intellectuel de Nadine Morano !
Pour commencer, Wikipédia est financé par Goldman Sachs et d’autres entreprises ou personnes milliardaires de la finance, du pétrole, de l’armement, contrairement à vous, je lis les rapports financiers quand ils sont publics.
https://wikimediafoundation.org/api/rest_v1/page/pdf/Benefactors%2F2015-2016
1° Wikipédia est complètement anonyme. Personne ne sait qui écrit les articles.
2° Les articles peuvent être écrits par Nadine Morano !
3° Quelle est la légitimité de ceux qui écrivent, d’où parlent-ils, quel est leur niveau d’études, d’expertise dans le domaine, les diplômes ?
4° Y a-t-il un comité de relecture composé d’experts ?
Qui valide les articles ?
5° Des entreprises spécialisés dans la diffusion de fausses informations écrivent les articles.
6° L’extrême droite y est très présente, des journalistes ont trouvé un document du Sieur Alain Bonnet, connu sous le cryptonyme de Soral, où il explique comment faire des faux sur Wikipédia et demande à ses troupes de le faire.
https://www.scribd.com/doc/276703679/Egalite-Reconciliation-Strategie-sur-Wikipedia
7° Wikimedia Foundation, qui gère Wikipédia, est sous statut juridique US où une opinion vaut la recherche universitaire.
Ainsi, les USA contrôlent l’accès au savoir de la planète et le contenu de ce savoir. Celui qui contrôle ce savoir contrôle le pouvoir, donc les gens.
8° Les employés de Wikimedia Foundation ont des parcours surprenants. Sans compter le nombre de démissions et les commentaires que les démissionnaires font, en l’occurrence sur le harcèlement et le phénomène de meute.
9° Wikimedia Foundation indique que tout le contenu de son site est certainement faux, qu’il n’est pas crédible et que l’on ne peut pas lui faire confiance. Eux-mêmes l’indiquent.

@ Elusen | 09 février 2018 à 00:20
Valeurs actuelles journal d’extrême droite sioniste. On voit bien là vos propres valeurs actuelles. Soyez gentil replongez-vous dans vos anciens « Pif Gadget » notamment celui avec comme gadget la flèche aimantée indiquant la direction de La Mecque.

@ sylvain | 09 février 2018 à 08:44
Ce brave Elusen n’a toujours pas compris qu’il y avait des petites mules et des grosses mules, ces dernières étant capables d’ingérer des dizaines d’ovules thermo-soudés contenant de la coke, lesquels vont « voyager » dans son système digestif de l’oesophage à l’estomac, puis l’intestin grêle et le côlon pour finir dans l’anus (sauf explosion d’une boulette au cours du périple of course). A noter que la marche arrière de l’ovule est impossible !
Je précise enfin pour les mules (oups les nuls !) que, sauf anomalie, le vagin ne communique pas avec l’anus…