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Pour mémoire mais Marc Menant doit le savoir : ce petit passage de Carla Bruni.
https://pbs.twimg.com/media/GLmW6jBWEAASLk_?format=jpg&name=small
Il raconte des fadaises, Pascal Praud.
Le plateau où officie Marc Menant n’aurait pas été jusqu’à dire que 90 % des Français ne souhaitaient pas l’incarcération de Sarkozy. Plus c’est gros plus PP pense que ça passe. Il prend parfois les citoyens pour des couillons.
Alors remettons les culottes à l’endroit comme aurait dit le roi Dagobert : selon un sondage Elabe pour BFMTV réalisé après la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison dans l’affaire du financement libyen, près de deux tiers des Français estiment que l’exécution provisoire de la peine est justifiée, même si l’ancien président a fait appel.
Autres points clés du sondage malgré les allégations ubuesques de PP :
Une majorité de Français rejette le discours de victimisation de Nicolas Sarkozy. Beaucoup considèrent que la décision de justice est impartiale et condamnent les attaques contre la magistrature.
Bien que certains soutiens de Sarkozy aient manifesté leur colère et leur incompréhension devant son incarcération, l’opinion publique est en majorité en faveur du respect de la décision judiciaire.
Certes le prisme déformant de CNews qui a son public indéfectible ne fait pas tout et encore moins la représentativité du pays.
https://www.ladepeche.fr/2025/10/01/nicolas-sarkozy-condamne-une-majorite-de-francais-rejette-son-discours-de-victimisation-selon-un-sondage-elabe-12964224.php
Cela ne se bousculait pas trop du côté de la France pour soutenir Nicolas Sarkozy devant les portes du « pénitentier » au sens religieux (rare) : devant donc le prêtre désigné par un évêque pour absoudre certains péchés graves (on parle alors de « grand pénitencier »).
Quand on voit tout ce cirque à son propos, demain on va se demander s’il a bien dormi et s’il a les urines claires… Quand c’est trop, eh bien c’est trop.
Il y a une forme de masochisme chez Philippe à rester chez Praud. Toutefois si PB n’apporte pas une mesure et sa lucidité concernant Sarkozy, qui le fera ?
J’ai plusieurs fois grandement apprécié que Philippe soit le porte-voix d’antisarkozystes.
Par ailleurs tout d’un coup, Anne Hidalgo n’est plus maltraitée chez CNews. Il semblerait que Paris va verser 85 millions de dommages à Bolloré (ou ses entreprises) pour l’abandon du contrat Autolib’ avec Bolloré.
Comme diraient les journalistes « pourquoi on ne parle de cela que sur CNews ? ». Évidemment cela a été passé sous silence.
Je n’en ai pas cru mes oreilles ! Quelques heures après avoir rédigé mon commentaire sur l’entretien de Philippe avec Marc Menant, c’est sur CNews que « la meute » – cette fois sarkozyste – a sévi, poursuivant notre hôte sans ménagement parce qu’il se risquait à affirmer être en désaccord avec elle sur la condamnation de « Nicolas ». À peine avait-il prononcé les mots « très bon jugement » que la foudre s’abattait sur lui… Aucun de ses détracteurs n’a même pris en compte qu’il a dit plusieurs fois n’être pas partisan de la détention provisoire du condamné, redevenu « présumé innocent » par la grâce de son appel.
On était bien loin de la discussion amicale… Cela tenait plutôt du guet-apens. Seul Henri Guaino est resté mesuré. Georges Fenech enrageait et Pascal Praud s’est montré odieux. Entre autres flèches adressées plus ou moins directement à Philippe – « les médiocres se vengent », a-t-il osé -, comment a-t-il pu mettre en doute la parfaite connaissance du droit d’un ancien avocat général près la cour d’appel de Paris ? Et, cette fois, il n’a même pas tenté ensuite de prétendre qu’il s’agissait d’un propos au second degré. Pire, au cours du débat, il lui a refusé un droit de réponse qui, pourtant, s’imposait.
Trop c’est trop. Cultivé, habituellement courtois, Pascal Praud perd ses nerfs dès que l’on touche à son « ami » Sarko. Il convient qu’il se reprenne… et vite. Vincent Bolloré, qui est aussi un ami de l’ex-président, devrait le lui faire savoir…
Oui, j’ai assisté à la scène. Et comme Philippe Bilger n’est pas à son avantage dans l’oralité, surtout polémique… On ne peut pas être parfait dans tous les domaines.
Oui, Pascal Praud a été odieux. Même pas intelligent. Du Neuilly-Auteuil-Passy auquel pas grand monde n’adhère.
Pascal Praud était-il aussi invité à la petite fête, dans un club privé, pour l’anniversaire de la gamine de Nicolas, âgée de quatorze ans ?
Un autre monde… qui fait monter la moutarde au nez à beaucoup de gens, je vous prie de me croire.
Ben oui, sur CNews mieux vaut avoir tort avec Pascal Praud que raison avec Philippe Bilger ! 🙂
Jusqu’à plus soif, la vie de Sarkozy en prison, son entrée derrière les barreaux, Marc Menant racontera sans doute cette épopée d’un justiciable comme les autres. Sarkozy penché sur un bureau de fortune écrivant ses mémoires ou faisant du vélo comme le lui a conseillé Balkany, autre repris de justice.
Ras le bol, on ne peut ouvrir la radio sans se coltiner la vie courante d’un repris de justice. Les journalistes qui ne reculeront devant rien fileront la métaphore avec la vie d’Edmond Dantès.
On n’a pas fini de rire, de photos volées en extrapolations, tout va y passer mais tout cela retombera comme un soufflé, même les plus acharnés se lasseront, et enfin Sarkozy sera relâché pour un appel habituel à son innocence et la vie médiatique reprendra de plus belle pour remettre une pièce dans la machine. Sarkozy est le client idéal, même Pépère y est allé de son commentaire, lui qui pense tous les matins à son petit-déjeuner qu’il pourrait redevenir Président. En attendant j’ai écouté la lecture des « Oubliés » de F-X Ménage et ces citoyens toujours plus nombreux et de plus en plus pauvres, et pourtant on nous parle d’un repris de justice, c’est sûr c’est plus vendeur.
Non mais attendez là ! Pascal Praud vous le dit ! Il est innocent…
https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRRqfZcU2u3WcJp-tn2yDej-vy1C3NLtn0Glw&s
Au Moyen Âge, Marc Menant aurait été un troubadour allant de foire en château narrer en les enjolivant les aventures des puissants… et conter fleurette aux damoiselles pâmées devant tant de talent. À Austerlitz, il aurait franchi le pont aux côtés de Bonaparte, à Waterloo, il aurait été grognard de Napoléon défiant la mitraille. Le voici, blouson d’aviateur et regard d’aigle, soumis à la question par un bourreau en costume-cravate, ma foi fort courtois, qui l’interroge sans le faire souffrir, le laissant libre de ses mains, qui parlent autant que sa bouche…
Et Menant, comme sur le plateau de Christine Kelly, s’en donne à cœur joie, multipliant les anecdotes de ses vies d’aventurier, dont le sel tient moins au récit d’instants hors du commun qu’au choix de ses mots pour les décrire. De cette heure passée à l’écouter, je crois bien que je conserverai d’abord le souvenir de la précision de son vocabulaire. Quel bonheur de profiter de cet îlot de bon français au milieu de ces émissions qui massacrent notre langue !
Journaliste, il l’est assurément. Sa curiosité n’a pas de bornes, son exigence de liberté non plus. Mais il mérite aussi un compliment qu’aujourd’hui il est rare de pouvoir adresser à ses confrères, qui, pour la plupart, se complaisent dans la description et le commentaire de la face noire de l’actualité. Il sait raconter le bonheur de vivre, la joie que procure le chant matinal d’un chardonneret élégant, l’adrénaline qu’offre un vol en deltaplane à 3 400 mètres d’altitude, la passion qui jaillit lorsqu’on a le privilège de suivre au plus près les champions du Tour de France.
Optimiste jusqu’à l’exaltation, Marc Menant l’est encore à 79 ans… Notre hôte, qui fréquente et observe ce petit monde parisien des médias, sait mieux que quiconque que cette qualité n’y est pas la plus partagée. Certes, comme lui, on y parle haut, mais c’est pour aboyer, fulminer, s’invectiver, se moquer, se couper la parole… L’heure n’est plus aux troubadours. La meute des « moi-d’abord », des « je-sais-tout » et des « j’ai raison », qui, sous le masque du tutoiement et de la confraternité, ne rêvent que de carrière, a, depuis trop longtemps, envahi plateaux et studios, sans se soucier outre mesure du respect de son public.
Merci, Philippe, pour avoir donné la parole à un journaliste « à l’ancienne ». Un journaliste qui, bien sûr, a ses partis pris et les défend – les vaccins… -, mais qui, aussi, par sa sincérité et son charisme, sait faire partager son ode à la vie.
Je ne connais Marc Menant que depuis qu’il officie dans l’émission « Face à l’info », animée par Christine Kelly. Avant je n’en avais jamais entendu parler.
J’aime bien écouter ses anecdotes historiques qu’il raconte avec un beau talent de conteur. Par contre, dès qu’il se met à nous distiller sa moraline de grand-papa, j’aime beaucoup moins. Ça sent un peu trop la naphtaline, même si parfois, pour certaines situations que nous subissons aujourd’hui, il n’a pas tout à fait tort.
L’impression d’écouter le Chevalier de Seingalt nous raconter l’histoire de sa vie.
Tous les chemins menant à Rome, autant les faire partir du Mans, les libertins, la face lardée de trois couches de rillettes, qui viennent comme des bolides dans l’amour, pourront faire un pit stop sur la place Saint-Marc à Venise afin de refaire le plein de vibrantes confidences (à vous défoncer le conduit auditif), sans passer par la case prison.
C’est bizarre, c’est un vrai gentil qui semble savoir qu’il passe pour un brave mec envers autrui.
Sans qu’il s’en dédise.
La position de Marc Menant sur la médecine orthodoxe est, le moins que l’on puisse dire, circonspecte.
Il fait partie de ces rares éveilleurs qui osent rappeler que cette médecine, devenue empire, a perdu son humilité. À l’heure où la blouse blanche s’érige en sacerdoce, lui rappelle que la science, lorsqu’elle s’oublie dans le confort de sa propre certitude, cesse d’être connaissance pour devenir croyance.
Il n’est pas médecin, dira-t-on, mais il est homme d’expérience et de lecture, homme de chair et d’intuition. Et c’est peut-être cela qu’il nous faut aujourd’hui : un témoin capable de dire la peur des malades, la solitude du patient, la froideur de la technocratie hospitalière et la toute-puissance d’une médecine devenue cléricale.
Dans « Médecines, régimes, la terrifiante imposture », Menant trace les contours d’un monde qui, au nom du progrès, a transformé la santé en marché et le soin en calcul. Il y dénonce la prolifération des protocoles, la codification des corps, la perte du rapport sensible au vivant. La médecine moderne, explique-t-il, ne soigne plus l’homme : elle le gère, elle l’administre, elle le classe selon ses normes et ses taux de cholestérol. Le corps devient dossier, et le malade, variable d’ajustement statistique.
Dans cette critique se dessine une inquiétude plus métaphysique : que devient l’homme lorsque la science prétend tout expliquer de lui ? La médecine, jadis art de guérir, tend à se muer en système d’ingénierie biologique où la douleur n’est plus signe, mais panne ; où la mort n’est plus mystère, mais défaillance ; où l’existence, réduite à des constantes mesurables, perd sa densité d’énigme.
Nietzsche, dans La Généalogie de la morale, avertissait déjà : « La science moderne a été inventée par des esprits malades ». Il ne condamnait pas le savoir, mais la froideur qui l’accompagne lorsqu’il oublie la flamme de la vie. Menant, d’une autre manière, poursuit ce combat : il réclame que la médecine retrouve le souffle d’Hippocrate, non celui des machines, mais celui de la nature.
Dans « La médecine nous tue », il pousse plus loin le paradoxe : la science médicale, devenue idole, produit les maux qu’elle prétend guérir. Les traitements s’additionnent, les effets secondaires se multiplient, la iatrogénie explose. Le médecin prescrit, puis prescrit encore pour compenser les désordres qu’il a créés. Et dans cette spirale de la chimie, le malade devient otage du médicament.
Le propos est dur, sans doute, mais il touche à une vérité dérangeante : la santé publique n’est plus un idéal, c’est une industrie. Le soin se mesure en parts de marché, et la recherche en dividendes. Le « big data » des hôpitaux annonce une médecine prédictive qui prétend prévenir la mort en l’intégrant dans son algorithme. Les mots mêmes de « vie » et de « guérison » y perdent leur mystère.
Menant, en lecteur de Montaigne, n’ignore pas que la nature est maîtresse plus sage que tous les traités. Il nous rappelle que la guérison, souvent, procède d’un désordre fécond, d’une réaction de l’organisme que le corps médical, trop prompt à intervenir, empêche parfois de s’accomplir. Le corps humain n’est pas un moteur, mais une musique : vouloir le régler trop strictement, c’est risquer de le rendre muet.
Vient alors « L’inquiétante histoire des vaccins ». Ici, Menant ne prêche pas la peur, mais l’interrogation. Il retrace l’histoire mouvementée d’un concept qui, de Pasteur à nos jours, oscille entre génie et dogme. Son regard est celui d’un historien sceptique : il voit dans la vaccination non une révélation divine, mais une aventure humaine, traversée d’erreurs, de luttes d’intérêts, de triomphes et de drames.
Il ne s’agit pas de nier les victoires de la médecine préventive, mais de rappeler que toute invention porte en elle son ombre : celle de l’absolu. Lorsqu’un pouvoir sanitaire prétend sauver tous les corps, il finit souvent par mépriser les âmes. Et lorsqu’une politique vaccinale devient religion, la discussion scientifique se tait.
Là encore, c’est le ton de Menant qui marque : il n’invective pas, il raconte. Il exhume les débats oubliés, les doutes des savants, les épidémies où l’on vaccina sans savoir. Il montre, derrière les grandes figures de Pasteur et de Jenner, la complexité d’un savoir en marche, parfois ébloui par sa propre lumière. Et dans ce récit, il nous invite à retrouver la vertu socratique du doute — ce doute sans lequel la science se fossilise.
Faut-il voir en lui un complotiste ? Non : un philosophe du soupçon, au sens où Paul Ricœur l’entendait. Il cherche non à démolir, mais à réveiller. Il nous dit : la médecine doit redevenir dialogue, et non décret. Qu’un patient puisse s’interroger, c’est déjà un signe de santé.
Au fond, sa critique rejoint une vieille sagesse : celle d’Héraclite, pour qui le vivant se nourrit de tensions contraires. La maladie n’est pas seulement ennemie, elle est messagère ; la fièvre n’est pas faute, elle est cri ; la douleur, parfois, enseigne plus que les pilules.
Menant se tient là, dans cet interstice fragile entre la raison et la foi médicale, rappelant que le corps n’est pas un champ d’expérimentation mais un territoire sacré. Sa parole, souvent raillée, a pourtant la couleur des prophéties anciennes : elle nous exhorte à replacer la médecine au service de la vie, non l’inverse.
La médecine moderne, disait Ivan Illich, est devenue « contre-productive » : plus elle prétend prolonger la vie, plus elle la rend angoissante, dépendante, artificielle. Menant s’inscrit dans cette lignée d’hérétiques lucides. Il ne propose pas de fuir les médecins, mais de se souvenir que la santé ne vient pas seulement des laboratoires, mais du souffle, de la lumière, du rythme des saisons, de la justesse intérieure.
Et s’il avait raison, au fond ? Si, sous les excès de sa plume, il y avait l’intuition que la vraie médecine commence là où la peur s’apaise ? Si l’avenir du soin passait non par de nouveaux remèdes, mais par une redécouverte du sens de vivre ?
Alors peut-être comprendrions-nous la leçon : guérir, ce n’est pas seulement réparer un corps, c’est réaccorder une existence. Et celui qui, comme Menant, ose encore le dire à contre-courant, mérite au moins qu’on l’écoute — ne fût-ce que pour rendre à la science sa part d’humanité.
Merci et bravo pour votre commentaire. Je ne connaissais pas ce livre datant de 2008. Les événements récents hélas lui donnent raison car ce qui se passe en ce moment est absolument dramatique dans le silence médiatique, peut-être à cause de certaines accointances financières. Je vais me le procurer.
Bon, bon… Marc Menant qui officie de longue date sur CNews ne doit pas nous faire oublier que nous avons et vivons dans un village Potemkine.
Dirigeants élevés au tout-aliment, poulets de batterie, Marc Menant m’amusait quand j’avais un peu de temps, il a des qualités c’est certain.
Pour la suite un sujet qui pourrait lui convenir :
Ben mon colon!
https://www.facebook.com/reel/3773066419653885/?fs=e&fs=e
Il fallait aussi au moins cela, je le dis ici souvent, nous sommes fous !
Un pays de batouilles et de taouailles, si j’avais dû assurer la sécurité comme cela j’imagine le désastre des opérations de génie civil, allez on se marre un poil, c’est à pleurer:
Dominique Buffin est actuellement responsable de la sécurité au musée du Louvre. Depuis septembre 2024, elle occupe le poste de directrice de l’accueil du public et de la surveillance du musée. Rien que ça !
Son rôle est crucial : elle supervise la sûreté des collections, la surveillance des salles et la gestion des équipes de gardiens. Son nom est revenu dans l’actualité après le spectaculaire cambriolage du 19 octobre 2025, lorsque des malfaiteurs ont dérobé en quelques minutes des bijoux d’une valeur patrimoniale inestimable.
Alors on va en créer des commissions, des analyses, des machins et tutti quanti, la risée du monde, aujourd’hui, je serais curieux de savoir le nombre de ses collaborateurs et la pincée qu’elle prend pour son salaire. Nous sommes à l’ouest et c’est peu de le dire.