Yacine, Hamidi et Majid : des héros sans nom
Des héros sans nom mais les prénoms suffisent.
L’Assemblée nationale a raté le coche !
La démagogie est trop souvent l’argument simplet du statu quo. La rigueur, pour les uns ce doit être un mot, pour les autres une réalité.
Vive le bruit des balles
Le bruit des balles est si doux à Roland Garros. Le caquetage des commentateurs, pas du tout.
Le président n’est pas un juré
Prévisibilité du politique. Imprévisibilité du judiciaire, surtout sur le plan criminel.
Le président n’est pas un juré.
Un avocat veut de la couleur !
Se plaindre d’un jury exclusivement blanc, c’est ouvrir la voie à des querelles de mauvais aloi. Blanc, noir ou jaune, peu importe. La justice a forcément toutes les couleurs. Il s’agit toujours de chercher au fond de soi le meilleur pour être digne de ce que la citoyenneté vous a confié.
La corrida
L’humain est vraiment une sale bête !
Réunion au sommet
On éteint la télévision mais la lumière demeure.
Yes, they Cannes
.Je comprends, à force, pourquoi ce Festival donne des envies contradictoires : le faire exploser puisqu’il est une caricature qui offense la vraie vie, le conserver pour les quelques rares actions de grâce dont il est le prétexte ?
Au bon vouloir de la République…
Le « bon vouloir » républicain ne serait pas moins dangereux que le royal.
Un journalisme qui voile
En définitive, un conseil : il vaut toujours mieux laisser parler les gens qu’écrire à leur place.
Polanski ne fait pas de cinéma
Roman Polanski est un coupable qui a payé. On est en train de faire de lui ce qu’il n’a jamais voulu être, ce qu’il n’est pas : un malheureux.
C’est scandaleux parce que c’est injuste.
Vivre c’est compliqué
Vivre c’est compliqué. Penser, arbitrer, juger c’est difficile. Enseigner, transmettre, être tolérant et responsable c’est dur, c’est exaltant. Personne n’a le droit de nous obliger à faire l’économie de tout ce qui nous fait hommes.
Il nous faut un bon Défenseur
On a besoin de Jean-Paul Delevoye pour nous défendre demain. Nos droits sont trop importants pour que leur sauvegarde soit confiée au « p’tit bonheur la politique » !