Ne serait-elle pas une femme que j’aurais le même titre…
Ne serait-elle pas écologiste que je serais tout aussi négatif…
Elle vient d’annoncer son intention d’être candidate à l’élection présidentielle de 2027, ou d’avant, selon les impasses politiques et les humeurs de l’Élysée.
On se demande bien comment elle va faire pour justifier sa volonté d’accéder à la charge suprême. Mais après tout, aujourd’hui, dans le marasme démocratique, à quel titre irait-on lui demander des comptes ? Elle a envie, elle le dit et nul n’a à formuler la moindre objection. C’est cela, le progrès : « impossible » n’est plus politique, « inconcevable » n’est plus acceptable…
Peu importe qu’elle n’ait aucune chance et que sa seule légitimité, selon elle, soit d’avoir été beaucoup vue à la télévision… avec sa tentative désespérée, et à force touchante, de chercher à nous vendre l’union des gauches, les pires avec les meilleures (oui, cela peut exister !).

Mais je veux être honnête. Ne suis-je pas injuste ? Pourquoi me focaliser sur elle ? Dans le monde des gens sérieux (apparemment, rien que des hommes, sauf si Ségolène Royal s’en mêle), combien d’ambitions vont se manifester, aussi ridicules que la sienne, aussi dangereuses pour la victoire finale que celle de Marine Tondelier ? À droite comme à gauche, on les sent frémir, ces conquérants de la dernière ligne droite, ces importants de fin de course qui, après tout, se murmurent : « Pourquoi pas moi ? »
À tel point que les officiels, les prudents qui ont largement pris les devants – Édouard Philippe, Gabriel Attal, ou, sur un mode heureusement ralenti, Laurent Wauquiez – commencent à s’interroger, à s’inquiéter… Et si c’était quelqu’un d’autre, surgi contre toute attente de la boîte républicaine ?
Marine Tondelier ne sera pas la dernière à appeler de ma part ce si triste « hélas » !
Et allez ! Qu’est-ce encore que ce truc, ce machin, Bercy ?
Après avoir commencé sa carrière à Bercy, Lucie Castets fait son retour au ministère de l’Économie pour une mission temporaire auprès du Médiateur des entreprises.
Nous sommes fous ! Bercy, c’est 130 906 ETP, et elle en plus ?
Les premiers 25 milliards « économisés » ne sont que des taxes et des impôts en plus, et là on en rajoute encore une louche.
Je voudrais être une petite souris dans ces bureaux de Bercy et d’ailleurs ! Ça doit valoir son pesant de pistaches, quand on sait que nous avons 120 milliards de dépenses publiques de plus que nos voisins allemands.
Et là, ils vont engager 800 milliards rien que pour la défense !
Et nous, et nous, et nous… qui n’avons pas un kopeck vaillant… Et on dépense, on dépense, on dépense ! À pleurer.
Et puis cet imbécile de journaliste qui disait que la santé des Français était gratuite… mais quel c** !
J’ai avalé mon café de travers quand j’ai lu ça :
https://www.lepoint.fr/economie/ils-sont-incompetents-le-prix-nobel-d-economie-philippe-aghion-enfonce-le-contre-budget-du-rn-28-10-2025-2601898_28.php
À mon très humble avis, ce M. Aghion mérite surtout le Nobel des donneurs de leçons et des champions de la création de dettes : 3 500 milliards ! Pas mal pour un expert en économie… Une sorte de premier de la classe, invité d’honneur à tous les dîners de cons des incroyables talents auto-satisfaits créateurs de ruines économiques.
Tel Attila, partout où ces genres de « génies » passent, les budgets trépassent.
Évidemment, comme sur tous les sujets qui fâchent, on a trouvé le coupable idéal : le FN / RN !
Haro sur le baudet !
Tant que j’y pense, pourquoi pas un prix Nobel du ridicule ? Allô, M. Aghion ?
Comme j’en ai assez d’entendre nos politiques pleurnicher sur leur sort d’élus et sur leurs salaires, en les comparant au privé — là où il faut des résultats positifs.
Je parle du résultat net. P.O.S.I.T.I.F.S. Pas des dettes.
https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/trop-pay%C3%A9s-les-%C3%A9lus-fran%C3%A7ais-le-classement-r%C3%A9v%C3%A9lateur-de-28-pays/ar-AA1PkMSk?ocid=msedgdhp&pc=EDGEESS&cvid=6900adb0ed2f42399faf45e790df7229&ei=7
https://www.msn.com/fr-fr/finance/autres/trop-pay%C3%A9s-les-%C3%A9lus-fran%C3%A7ais-le-classement-r%C3%A9v%C3%A9lateur-de-28-pays/ar-AA1PkMSk?ocid=msedgdhp&pc=EDGEESS&cvid=6900adb0ed2f42399faf45e790df7229&ei=7
« Bien que des appels répétés aient été lancés pour revaloriser leur rémunération, les parlementaires ukrainiens ont toujours refusé de s’accorder une augmentation, afin de ne pas heurter leurs électeurs, confrontés à de graves difficultés économiques en raison de l’invasion russe. »
Nous ne sommes pas en guerre mais dans une situation économique catastrophique, 3500 MILLIARDS DE DETTE! nous contemplent, et nos députés sont choyés comme des coqs en pâte, je n’ose même plus parler de l’enceinte bouffie du Sénat et de ses rentiers dodus de mandats.
Oui, ça me gonfle de les entendre se comparer à la fonction privée. Tous ces élus ne prennent aucun risque ! Il paraît que certains « travaillent »… Et alors ? Dans le privé, on fume la pipe ? En plus, ils ont les yeux rivés sur le « planchot », et si le planchot est mauvais, vous allez vous faire payer chez Plumeau !
Ils me dégoûtent, tous ces élus. Depuis des décennies, ils ont cumulé de la dette par manque de courage et par peur de ne plus être élus. Gérer, c’est serrer les boulons, c’est faire des sacrifices et des choix — mais au bout, le bilan est toujours satisfaisant : le frisson d’une belle année, sous la pluie et avec beaucoup de soleil.
Assez de ces pleureuses !
Hélas ! Depuis le temps que j’écris ici que le FN/RN ne pipe rien en économie et qu’ils veulent surtout attraper tous les couillons qui veulent y croire. D’ailleurs, je me demande pourquoi on ne m’a pas proposé pour le prix Nobel :
« Ils sont incompétents » : le prix Nobel d’économie Philippe Aghion enfonce le contre-budget du RN »
https://www.lepoint.fr/economie/ils-sont-incompetents-le-prix-nobel-d-economie-philippe-aghion-enfonce-le-contre-budget-du-rn-28-10-2025-2601898_28.php
Avoir vu Marine mélanger fiches et pinceaux prête bien sûr à rire. Ils ne reviendront jamais sur la retraite, qui sera adoptée, et certainement pas à 60 ans comme ils le disent. Le FN/RN est un sac de farces et attrapes. Ce qu’il faut, c’est le courage de taper dans le tas, comme l’ont fait les Norvégiens, les Finlandais, etc., et que je sache, ce ne sont pas de dangereux marxistes.
Du courage, encore du courage, toujours du courage ! Et surtout, virer tous ces poulets élevés en batterie et leur pensée toute faite d’énarques. Vite ! Sinon on est rôtis. « Nous sommes des épiciers », et le pognon rentrait bien dans les caisses.
Vous croyez le peuple français prêt à subir et verser du sang et des larmes ? Croyez-vous qu’un futur élu le sera s’il promet du sang et des larmes ? Nous ne sommes hélas pas encore assez au fond du trou.
Vous avez malheureusement raison : c’est un peu comme lorsqu’on pose la question du report de l’âge de la retraite, et qu’aux deux tiers environ les gens répondent qu’ils sont contre.
Vous préférez des câlins ou des coups de pied aux fesses ? Pour ma part, mon choix est fait.
Mon sujet d’inquiétude aujourd’hui, c’est que je dois aller chercher avec un ami la tomme de brebis de Louvie-Juzon. Si elle est aussi parfaite que la dernière, je sens que je vais voir rappliquer les copains à la maison…
Bon, les cerises noires et l’Ormarine seront de la partie.
Le Dodu, lui, c’est tout gratis dans son palais national : il doit avoir une santé de fer ! Depuis le temps qu’il écume sa cantine personnelle, il pète, semble-t-il, une santé de cheval de course. Il en a été vétérinaire, alors il doit connaître les bons remèdes.
« Depuis le temps que j’écris ici que le FN/RN ne pipe rien en économie et qu’ils veulent surtout attraper tous les couillons qui veulent y croire. D’ailleurs, je me demande pourquoi on ne m’a pas proposé pour le prix Nobel :
« Ils sont incompétents » : le prix Nobel d’économie Philippe Aghion enfonce le contre-budget du RN » »
Il n’existe pas à proprement parler de prix Nobel d’économie mais seulement un « Prix de sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel » décerné par la Banque de Suède (Sveriges Riksbanks pris i ekonomisk vetenskap till Alfred Nobels minn).
Or il se trouve que Maurice Allais, un proche du Front National et inspirateur de la doctrine économique de ce parti, a aussi reçu ce prix en 1988 :
https://www.minesparis.psl.eu/blog/actualites/maurice-allais-un-genie-de-la-theorie-et-de-la-pratique-a-redecouvrir/
Mais Maurice Allais a aussi attiré l’attention du public sur la folle politique migratoire suivie par les gouvernements français, entre autres dans son ouvrage :
« Nouveaux Combats pour l’Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire, Pour Une Autre Europe (éditions Clément Juglar, 2002) »
Il a également publié en 2002 un rapport sur le coût de l’immigration, sujet tabou généralement occulté ou minimisé par divers économistes qui n’ont peut-être pas le niveau de Maurice Allais qui était aussi un penseur alors que grosso modo ce coût est évalué actuellement au moins entre 35 et 40 milliards d’euros par an, ce que les gens qui préparent plus un plan démentiel de taxation tous azimuts qu’un plan sérieux d’économies face aux dépenses toxiques, font semblant d’ignorer…
Écoutez Béatrice Roullaud, député de Seine-et-Marne, conseiller régional de l’Île-de-France, en train de déposer, à l’Assemblée nationale, deux amendements instaurant un crédit d’impôt pour la stérilisation des chiens et des chats de compagnie.
Outre la déconnexion totale que cela révèle par rapport à la gravité du déficit et de la dette, dans un pays virtuellement en guerre avec la Russie, on notera à quel point cette dame est inconsciente du caractère auto-incriminant de sa démarche. Croyant étayer sa proposition, elle a en effet déclaré :
« Ces amendements ont été largement inspirés par le cabinet-conseil Lumen Influence, à la demande du syndicat national des professions du chien et du chat, représentant onze métiers. »
Ce qu’elle a dit en ânonnant un texte lu sur l’écran de son ordinateur portable, qu’elle tenait sur le bras.
Autrement dit, cette « élue du peuple » avoue que son « travail législatif » se borne à se faire dicter des textes par des cabinets de conseil, eux-mêmes payés par des lobbyistes représentant des groupes d’intérêts particuliers.
Et pas les plus malheureux : il s’agirait, en somme, de créer une Sécurité sociale des chiens et des chats pour engraisser les vétérinaires.
Et ce, à l’heure où des millions de Français sont incapables de trouver un médecin, où le budget est en déficit ininterrompu depuis un demi-siècle et où la France doit se réarmer à toute allure pour faire face à des décennies de désinvolture.
Béatrice Roullaud ne fait même pas semblant d’être à l’origine du texte. Elle ne se rend même pas compte qu’en admettant être à la remorque du premier lobbyiste venu, elle reconnaît sa corruption, la trahison de sa mission qui est de défendre l’intérêt général et non une série d’intérêts particuliers. Au contraire : elle croit que montrer sa soumission au « syndicat des professions du chien et du chat » et à leur prestataire « le cabinet-conseil Lumen Influence » fait d’elle une démocrate exemplaire, à l’écoute du peuple.
Ces gens-là ne comprennent même pas en quoi consiste la démocratie. Ne parlons pas de libéralisme.
Notez également le ton de maîtresse d’école acariâtre et à moitié illettrée avec lequel ce « député de la Nation » s’adresse à l’Assemblée.
Notez que cette personne se vante d’avoir été avocate.
Il se trouve qu’elle appartient au Rassemblement national. Cela n’incrimine pas particulièrement le RN. Cela montre juste que ce dernier est un parti comme un autre, dépensier comme un autre, peuplé d’ignorants comme les autres, et qui vit dans une bulle hermétique, soigneusement protégé de la population, comme les autres.
Le RN est devenu totalement « républicain » et complètement intégré au « Système ». C’est bien là le drame.
@ Achille
Notre collègue Marchenoir dans une de ses longues diatribes vous a expliqué comment et pourquoi vous vous trompez dans votre appréhension de l’écologie.
Je me demande si vous avez eu la patience de le lire jusqu’au bout, sachant que de formation scientifique vous préférez la brièveté.
Scientifique moi-même, je vais reprendre ce qu’il a dit en forme condensée.
Le problème vient de ce que vous faites une confusion entre LE politique et LA politique.
LE politique étant ce qui symboliquement relève de l’organisation de la société pour un vivre-ensemble dans la sérénité. C’est à dire tout ce qui concerne les lois et règles fondamentales qui étant acceptées font une société apaisée.
LA politique est la mise en application de ces lois et règles, par des hommes – et éventuellement des femmes 😉 – et c’est là qu’est l’os, les intérêts des uns n’étant pas ceux des autres. C’est tout le problème du débat ou du combat politique ou politicien, comme on voudra.
L’Écologie relève DU politique alors que l’écologie relève de LA politique d’où la contradiction entre ceux qui s’en tiennent à la grande définition et ceux qui veulent lire plutôt la petite, comme Marine Tondelier.
Les deux visions sont humainement irréductibles parce qu’elles portent sur trop d’intérêts particuliers.
Voilà, c’est plus clair maintenant ?
Évidemment pas, mais j’avais envie de donner mon avis sur le sujet. 😉
« Notre collègue Marchenoir dans une de ses longues diatribes vous a expliqué comment et pourquoi vous vous trompez dans votre appréhension de l’écologie. Je me demande si vous avez eu la patience de le lire jusqu’au bout, sachant que de formation scientifique vous préférez la brièveté. »
Je reconnais m’être mal exprimé en disant « L’écologie n’est pas un sujet politique, mais un vrai problème qui concerne tous les citoyens, qu’ils soient de gauche ou de droite. »
Ce que je voulais dire, en fait, est que l’Écologie – avec un É majuscule, ainsi que vous le soulignez – est un domaine trop sensible pour le confier à des illuminé(e)s du calibre de Marine Tondelier, Sandrine Rousseau et leurs consœurs (puisque les hommes chez EELV n’ont semble-t-il plus droit au chapitre).
Il s’agit d’un sujet qui ne saurait être la propriété des écolos-gauchistes qui prônent la décroissance et le retour à la charrette à bras afin de sauver la planète.
Mais avec Marchenoir – toujours prêt à bondir à la moindre occasion – il faut faire attention aux mots que l’on utilise, sinon on a droit à une remontrance sans ménagements, la délicatesse ne faisant pas partie de ses qualités premières. Rares sont les contributeurs de ce blog qui n’ont pas eu droit à une de ses sautes d’humeur.
Concernant le laïus qu’il m’a balancé, j’avoue que je l’ai lu en diagonale, n’y accordant aucune importance.
Mme Tondelier : ectoplasme.
Au nom de l’écologie, la couleur verte devient celle de l’islam. Car bien sûr, devant le réchauffement climatique il faut partager nos cultures !
Sur la descente de gouttière de la maison d’à côté.
https://photos.fife.usercontent.google.com/pw/AP1GczP9OMwYSgFSSdxf9AOvt13peG0meju2yp2aTYSrwMN-5ml7GzV6E43X5g=w689-h919-s-no-gm?authuser=1
Faut quand même lui reconnaître un talent. Elle a réussi à tuer dans l’œuf la carrière commerciale de la veste verte.
Il y a bien longtemps, Pierre Daninos faisait dire dans son livre Les Carnets du Major Thompson : « La France est divisée en 50 millions de Français. »
Rien de nouveau donc, si ce n’est que la France est maintenant divisée en 50 millions de partis politiques.
Aujourd’hui ce serait plutôt 68 millions… 🙂
« Hélas… » (PB)
Vous voilà bien avare, cher Philippe… Un seul « hélas » ! Cette Marine-là mérite au moins une triple dose d’« hélas »… et même quelques « Pas elle ! ». Voire deux ou trois « Dégage ! ».
Tordons d’abord le cou à une vieille croyance : les Verts seraient soucieux de l’avenir de la planète… Il y a belle lurette que les dirigeants d’EELV ne sont plus que des gauchos qui, de moins en moins souvent, se contentent de se déguiser en défenseurs de la nature. Certes, ils militent pour une écologie répressive — modèle que les Français exècrent, y compris les cocos —, mais ils préfèrent désormais s’adonner à un féminisme délirant et aux joies de la contre-culture (déconstruction, wokisme et autres aberrations de groupuscules boboïsés).
Deuxième constat : Voynet, Duflot, Cohn-Bendit, Eva Joly, Jadot et quelques autres… Les écolos n’ont jamais eu de dirigeants à la hauteur des enjeux politiques dont ils se prétendent encore les dépositaires exclusifs. Désolé pour eux, mais l’écologie n’est pas leur domaine réservé. Elle est l’affaire de tous, même si, trop longtemps, les partis politiques, en ne s’investissant pas assez sur les questions environnementales — quand ils ne se laissaient pas berner par les rapports sulfureux et hautement politiques — donc contestables — du GIEC, les ont laissés s’emparer du débat et le radicaliser en multipliant anathèmes et balivernes. L’écologie, qui devrait être matière à consensus, est aujourd’hui, à cause des Verts, devenue un sujet majeur de nos disputes.
Troisièmement, la clique qui dirige actuellement EELV — il serait incongru de parler d’état-major ou d’équipe, ce qui sous-entendrait une certaine cohésion de ses membres, ce qui, pour le moins, n’est pas le cas — est encore pire que les précédentes. Chacun de ces « décideurs », qui tous guignent la palme du sectarisme et le trophée de la mesure la plus radicale — et donc inenvisageable —, passe son temps à se battre sur des sujets qui n’ont rien à voir avec le « sauvetage de la planète » (jargon écolo pour désigner le dossier « climat ») et se complaît dans la politique politicienne, la « tambouille », celle qui consiste à tirer à vue sur ses adversaires — ce qui, déjà, n’est pas très républicain —, mais aussi sur ses propres compagnons, pour peu qu’ils s’approchent d’un peu trop près de la chasse gardée qu’est une parcelle de pouvoir dans le parti.
Et voilà la Marine, qui a vaincu la Sandrine, son alter ego dans l’art de l’ânerie, qui envisage l’Élysée… Ce serait drôle et un rien amusant si, ce faisant, elle ne rabaissait pas à son niveau la fonction présidentielle, déjà mise à mal par celui qui l’exerce…
Cela prêterait à se gonfler d’aise si cette candidature, qu’elle présente comme un appel à l’union — autrement dit une soumission de la gauche à Mélenchon —, ne pouvait être considérée, au contraire, que comme une nouvelle parcellisation de celle-ci, et donc assurer son échec lors de la prochaine présidentielle.
Mais cette preuve d’ego surdimensionné — ou ce rêve de gamine — de Marine Tondelier est aussi un affront à notre Ve République. Comment peut-on admettre que cette suffragette hargneuse de plateau TV ose utiliser le scrutin présidentiel, qui est au cœur même de celle-ci, pour alimenter son envie de lumière, son goût pour paraître importante ?
C’est tout simplement insupportable. Marine… Dégage ! Contente-toi de ton strapontin à Hénin-Beaumont…
Le titre du billet m’a fait penser au célèbre épigramme de Boileau, que tout le monde connaît – faites au moins semblant – au sujet des dernières tragédies de Corneille. 😉
Après l’Agésilas,
Hélas !
Mais après l’Attila,
Holà !
Alors « à la manière de », et pour trancher entre Marine Tondelier et Sandrine Rousseau, vertes toutes deux, pas de honte, et pourtant :
Avec la Marine
Hélas !
Mais avec la Sandrine
Holà !
Bon d’accord c’est pas terrible, mais c’est dimanche, et le changement d’heure a provoqué une modification de mon rythme biologique, hormonal, tout ça quoi !
Marine Tondelier me fait penser à un sketch de Coluche : Monique, une dent plantée tous les deux mêtres, quand elle mange des cerises, les noyaux sont pas fiers. Monsieur le juge, Monique, le rouge à lèvres, vous croyez qu’c’est pour effrayer les oiseaux, non monsieur, c’est pour attirer les garçons.
Monique Tondelier, vous croyez qu’elle y croit ? Mazette. La conner*e élevée à ce niveau c’est du grand art.
Tondelier et sa clique ont été annoncées par Dominique Voynet il y a plus de trente ans : à l’époque les Verts, sous l’égide d’Antoine Waechter – un extrême-centriste – était sur une tout autre ligne politique, résumée par « l’écologie n’est pas à vendre ».
Autrement dit, selon les accords programmatiques noués avec les partis majoritaires, les « écolos » pouvaient être libres de pactiser avec la droite ou la gauche aux niveaux local ou national.
Cette ligne politique majoritaire devint minoritaire avec l’adhésion en masse des gauchistes chez les Verts à la fin des années 1980.
L’idée était de remettre en question deux choses:
– l’indépendance du mouvement écologiste en le ralliant durablement à gauche, lui interdisant, de facto, de peser dans les négociations programmatiques une fois acquise la haine du nucléaire (accord Jospin-Voynet de 1997).
– le « capitalisme », l’économie de marché telle que résultant des règles basiques de la politique des pays de l’OCDE devaient être vouées aux gémonies..
En fait l’écologie politique est un appendicule partidaire pesant entre 2 et 5 % dans les équilibres politiciens habituels permettant à des militants d’extrême gauche d’interroger le modèle économique dominant:
l’agriculture productive est d’emblée rejetée (si elle ne l’est pas, elle ne produit donc presque rien et devient par conséquent une lubie potagère ?), l’industrie est nécessairement polluante, l’énergie vient uniquement de source éolienne ou solaire.
Les migrants du tiers-monde sont les bienvenus qui ajouteront des forces électorales comme le pense LFI (souvenons-nous de l’invitation de Médine aux universités d’été d’EELV en 2024) et bien entendu les luttes des peuples affamés par le lucre capitaliste seront soutenues par cet ineffable mouvement gauchiste.
Le coût écologique des clandestins ne sera évidemment jamais comptabilisé puisque seul compte l’importation d’esclaves pour assouvir les besoins des bobos-écolos comme Marine Tondelier, fille de médecin et de dentiste qui se fait passer pour une pauvre fille des corons!
On ne peut que souhaiter que cette engeance reçoive sa juste rétribution : une tôle aux prochaines élections.
Marine Tondelier n’a pas besoin de présenter son programme et ses éoliennes, elle arrive à les faire tourner toute seule avec sa langue. Vous lui posez une question et vous attendez une heure avant de lui en poser une deuxième. Monsieur Bilger, si toutefois vous aviez l’intention de l’inviter à votre micro, prévoyez 3 heures minimum.
La malheureuse, elle veut se présenter à la Présidentielle ? Elle va sortir avec 0,01 % et encore ; elle n’aura jamais les 500 signatures pour être éligible.
Son annonce baroque risque de faire des jaloux chez : Boyard, Panot, Rousseau, Obono.
Est-ce que tout ce petit monde islamisé est prêt à dérouler le tapis de prière chez leurs fidèles ? Les filles, si vous y allez, mettez un pantalon large et n’oubliez pas le voile intégral.
Bien vu !
Cette Marine-là a cependant une qualité hors norme : une fluidité verbale sans égale et un débit torrentiel — sans postillons, semble-t-il…
L’avocat Arno Klarsfeld devrait prendre des leçons chez cette dame.
Un spot de huit secondes coûtant lapoduk à la télé, je lui prédis un avenir tout plein d’euros chez commejaime.éfère (vous savez, « comment perdre 15 kg en 8 jours avec seulement 3,92 € par jour ! Appelez le numéro, etc. »).
Tout ça en moins de huit secondes. Elle va faire un malheur !
Il serait naïf de croire que tous ceux qui se déclarent candidats à l’élection présidentielle estiment réellement avoir une chance de l’emporter. Certains y voient avant tout un moyen d’accéder à une notoriété plus large, à l’image de François Asselineau, dont l’objectif principal reste de réunir les 500 parrainages nécessaires pour valider sa candidature. D’autres cherchent à affirmer leur leadership au sein d’un parti convoité par un rival. C’est dans cette catégorie que je placerais la candidature de Marine Tondelier, constamment talonnée par la redoutable Sandrine Rousseau. Enfin, certains se présentent pour prendre date, conscients que c’est à la troisième tentative que François Mitterrand et Jacques Chirac ont été élus. Ils misent ainsi sur une victoire à l’usure.
Marine Tondelier est le fruit verdâtre et saumâtre de notre déculturation et de notre dérécérébration.
Elle a réussi — ce qui n’est pas un mince exploit — à remplacer Sandrine Rousseau, l’autre bécasse de l’écologie, sur les ondes et les plateaux télé.
Deux anecdotes relevées dans son dernier livre la situent sur l’échelle de Richter de la stature présidentielle.
D’abord, elle avoue avoir pleuré à chaudes larmes en direct à la radio quand elle a entendu Bruno Le Maire, qui la précédait à l’antenne, oser mettre un signe égal entre LFI et le RN.
Elle dénonce ensuite le sectarisme de la mairie RN de Hénin-Beaumont, qui n’a pas envoyé à son fils le traditionnel cadeau d’anniversaire accompagné de la lettre de félicitations.
Face à cette double humiliation, sa rage anti-RN s’en est trouvée décuplée.
Et, manifestement, aussi son aveuglement face aux dérives antisémites et antirépublicaines de LFI.
Pour elle, le combat contre le fascisme aux portes du pouvoir justifie toutes les alliances, fussent-elles avec un diable que son talent et sa sincérité parviendraient naturellement à circonvenir.
P.-S. — Je ne saurais trop conseiller à tous ceux qui fréquentent ce blog la lecture jubilatoire du dernier opuscule de Gilles-William Goldnadel, « Vol au-dessus d’un nid de cocus », où l’aigle noir de CNews distille ses bons mots pour, entre autres, fustiger notre complaisance face à tous ceux qui veulent nous asservir. Un appel à « arracher ses cornes pour en faire des baïonnettes fleuries ».
Et pourquoi pas Sandrine Rousseau, Manon Aubry, Mathilde Panot…
Ce qui est incompréhensible avec Marine Tondelier, c’est que les médias se l’arrachent, enfin surtout ceux de gauche c’est vrai.
Elle est ce que les journalistes appellent « une bonne cliente ». Peu importe qu’elle accumule les âneries, l’important est qu’elle fasse monter l’audimat.
Le parti EELV avait pourtant de bons candidats en la personne de Yannick Jadot et Julien Bayou, mais ils ont été marginalisés, voire accusés de tous les maux par les féministes du mouvement. À commencer par Sandrine Rousseau qui n’a pas hésité à diffamer Julien Bayou.
Je pense que EELV mérite bien mieux que son actuelle secrétaire nationale qui ne fait que discréditer son parti par ses propos extravagants et ses relations sulfureuses avec LFI.
L’écologie est un sujet préoccupant et il serait temps que des personnalités intelligentes et compétentes la prennent en considération.
Malheureusement cela n’en prend pas le chemin. L’écologie n’est pas un sujet politique, mais un vrai problème qui concerne tous les citoyens, qu’ils soient de gauche ou de droite. Il convient de la traiter comme tel.
Cher camarade de blog, si je puis me permettre de rebondir sur votre pseudonyme, le féminisme enragé est le talon d’Achille des écologistes en herbe. Les hommes masculinisants ne sont que des oiseaux de mauvaise augure, trop construits et prédateurs de surcroît : seules les blanches colombes féminisantes sont aptes à nous guider vers la Voie lactée, ciel de tous les possibles, et terre promise du Meilleur des Mondes.
« L’écologie n’est pas un sujet politique, mais un vrai problème qui concerne tous les citoyens, qu’ils soient de gauche ou de droite. Il convient de la traiter comme tel. »
Donc, selon vous, la politique ne traite que de faux problèmes concernant une minorité de citoyens ? C’est aussi consternant que les classiques dénonciations, par tel ou tel politicien, de la « récupération » de tel ou tel fait-divers par ses adversaires.
J’espère bien que les hommes politiques « récupèrent » les faits-divers, et aussi les faits communs. C’est bien leur boulot. Leur travail ne consiste pas à produire du jus de crâne idéologique pour accabler d’improbables échafaudages fonctionnariaux une population qui n’en peut mais ; il consiste à partir de la réalité pour améliorer le sort commun.
Donc lorsque Emmanuel de la Tour du Pin viole une femme de 80 ans à l’hôpital, ou que Bérangère Bonaparte égorge un prêtre disant la messe, j’espère bien qu’il se trouve le maximum de politiciens pour « récupérer » ces faits qui ne sont, hélas, que trop fréquents !
L’écologie est par excellence un problème politique. En supposant qu’elle soit une préoccupation légitime (ce qui est à prouver), elle concernerait tout le monde. Et s’il convient de faire quelque chose à son sujet, elle oppose par définition de nombreux intérêts particuliers, tous contradictoires. C’est le but de la politique que d’en tirer l’intérêt commun, d’en persuader la population et de faire ce qu’il faut pour le garantir.
« Donc, selon vous, la politique ne traite que de faux problèmes concernant une minorité de citoyens. C’est aussi consternant que les classiques dénonciations, par tel ou tel politicien, de la « récupération » de tel ou tel fait-divers par ses adversaires ? »
Je vois que, comme d’habitude, vous déformez les propos de vos interlocuteurs, afin d’y apporter le petit sarcasme dont vous êtes coutumier. C’est assez pénible, mais à la longue on finit par ne plus y attacher d’importance.
Le problème, c’est que la politique parle de tous les sujets : économiques, sociétaux, sécuritaires et, bien sûr, écologiques — le tout abordé par des gens qui ne maîtrisent pas toujours la complexité des domaines traités.
Nous pouvons le constater chaque jour, que ce soit dans les débats de l’Assemblée nationale ou sur les plateaux télé, où des « sachants » autoproclamés nous déballent leurs certitudes avec, pour tout argument, des sondages et des statistiques venus de nulle part.
Je pense que c’est l’une des raisons pour lesquelles les Français sont de plus en plus dégoûtés par la politique, et surtout par ceux qui les représentent à l’Assemblée nationale.
Ils veulent des élus responsables, plus préoccupés de l’avenir de leur pays que de leurs ambitions personnelles. Mais ces derniers ne semblent pas l’avoir compris.
« Je vois que, comme d’habitude, vous déformez les propos de vos interlocuteurs… »
Je vois que, comme c’est courant chez les gens qui surestiment quelque peu leurs capacités intellectuelles, vous attribuez à autrui les tares qui sont les vôtres. Je n’ai rien déformé du tout, et mon commentaire ne s’attachait pas uniquement à vos propos, aussi importants soient-ils, ô roi de l’univers, du blog à Bilger et de ses environs.
Il s’attachait à une tendance générale dans la société française, illustrée certes par vos propos, mais exprimée, hélas, de façon similaire par des millions de personnes – ce qui la rend dangereuse, et préoccupante. Vous n’êtes pas le centre du monde.
« …afin d’y apporter le petit sarcasme dont vous êtes coutumier. »
Il n’y a aucun sarcasme dans mes propos. J’ai écrit que votre phrase était « consternante ». Ce n’est pas un sarcasme, c’est une critique. Apprenez le français avant de pérorer inutilement.
« C’est assez pénible, mais à la longue on finit par ne plus y attacher d’importance. »
C’est bien parce que vous n’attachez aucune importance à mon commentaire que vous vous sentez obligé d’y répondre. Sans, bien sûr, réfuter le moins du monde mes propos.
Quant à la pénibilité, il me semblait que vous étiez un vieil homme à la retraite, et non un jeunot élevé dans la ouate, s’imaginant qu’il a « drouâ » à un « safe space » où aucun inconfort psychologique même minime ne lui serait jamais apporté – en bon français : un « snowflake » gauchiste.
Nous sommes ici dans un espace de débat. Y’a un bouton nommé « Répondre » au bas de chaque commentaire. Si vous êtes hyper-sensible au point de ne pas supporter la moindre contradiction urbaine et raisonnée, ne participez pas à la discussion. Vous n’avez nul droit à pérorer sans jamais vous voir opposer un avis contraire.
Sur le fond, vous dites maintenant :
« Les Français sont de plus en plus dégoûtés par la politique, et surtout par ceux qui les représentent à l’Assemblée nationale. Ils veulent des élus responsables, plus préoccupés de l’avenir de leur pays que de leurs ambitions personnelles. Mais ces derniers ne semblent pas l’avoir compris. »
C’est tout à fait indubitable, au point que c’en est même une banalité. En somme, vous nous dites maintenant : l’écologie (puisque tel était votre sujet) ne devrait pas être la proie des ambitions personnelles des hommes politique. Elle ne devrait pas devenir la victime de la politique politicienne.
Ce que nul ne songerait à nier.
Mais ce n’est pas ce que vous avez dit dans le commentaire auquel j’ai répondu. Vous avez écrit :
« L’écologie n’est pas un sujet politique, mais un vrai problème qui concerne tous les citoyens, qu’ils soient de gauche ou de droite. »
Vous avez utilisé le mot politique dans le sens de politique politicienne, conflit d’ambitions personnelles des élus.
Ce n’est pas moi qui ai « déformé » vos propos, c’est vous qui vous êtes mal exprimé. Vous êtes vexé, vous êtes vaniteux et vous refusez de le reconnaître. C’est infantile et sot.
Car vous avez bel et bien écrit une énormité. Vous avez écrit que la politique n’avait pas à traiter des vrais problèmes qui concernent tous les citoyens. Si la politique n’est pas ce qui traite des vrais problèmes qui concernent tous les citoyens, alors qu’est-elle ? Et à quoi bon faire de la politique ?
Par ces mots, vous vous êtes joint à un courant d’opinion significatif et néfaste, le détestable populisme. Vous avez dénigré la politique elle-même, qui est une activité noble, exigeante et nécessaire.
Vous avez déclaré votre appartenance au gilet-jaunisme, le mouvement des gens qui critiquent à bon droit l’absence de sens des responsabilités des politiciens, et qui détruisent dans la seconde la légitimité de leur critique en montrant leur propre refus d’assumer la moindre responsabilité.
La vérité est que personne n’accepte de faire de la politique en France, pas plus les professionnels de la chose que ceux dont ils sont supposés tirer leur pouvoir. C’est bien le problème.
Le fait que vous ayez pu écrire cette phrase sans ciller montre qu’il ne s’agit pas d’une simple faute d’inattention, mais d’un état d’esprit profondément incrusté dans la population – et pas simplement chez vous, au contraire de la querelle personnelle à laquelle vous tentez de réduire toute objection à vos propos.
Le jour où les Français auront compris en quoi consiste la politique, la vraie, et accepteront d’en faire, on aura fait un grand pas en avant – et le genre de répartie mesquine et inopérante auquel vous venez de vous livrer arrivera moins souvent.
Votre phrase était d’autant plus une énormité qu’elle s’attachait à l’écologie. Or l’écologie, contrairement à ce que vous disiez, est la question politique par excellence.
Dans son sens le plus courant, la politique est l’art de s’entendre sur l’intérêt général en résolvant le conflit entre intérêts particuliers.
Mais l’écologie ajoute à cela une dimension supplémentaire : l’intérêt d’un acteur inexistant, à savoir la nature. Un bien commun qui profite à tous mais qui n’est défendu par personne.
L’écologie exige donc de tous les citoyens une vertu politique encore supérieure à celle que cette activité nécessite ordinairement.
Car autant il est facile de négliger la défense d’un bien commun, gratuit, qui profite à tous, autant il est facile d’usurper la défense de « la planète » pour, en réalité, faire triompher les intérêts particuliers des rentiers de l’écologie : universitaires devant leur traitement à leur propagande constante en faveur d’un réchauffisme nullement étayé par la science, fonctionnaires et politiciens trouvant là un prétexte idéal pour justifier leur soif d’autoritarisme et la perpétuation de leur salaire, grandes entreprises n’ayant plus besoin de proposer de meilleurs produits pour moins cher, mais trouvant là au contraire un blanc-seing pour vendre des produits plus chers et moins efficaces – tout en se prévalant d’une moralité soi-disant supérieure ! -, et ainsi de suite.
L’écologie est le crime politique parfait, c’est bien pourquoi elle est le sujet politique par excellence.
S’il a une vertu qui manque en France, à tous les échelons de la société, c’est bien l’art de débattre pour tenter de s’entendre sur l’intérêt général malgré la divergence des intérêts particuliers.
Absence qui se manifeste de façon éclatante, en ce moment, avec le débat budgétaire. Si les députés sont incapables de s’entendre sur ce sujet, c’est bien qu’ils sont à la remorque de leurs électeurs.
Votre dernière répartie, calquée sur un million d’autres de la même farine que vous nous avez déjà prodiguées ici, est un navrant symptôme de plus de cette inaptitude.
Que voulez-vous, il faut bien remplir la cagnotte.
Ces journalistes lui demanderaient de jouer la danse du ventre qu’elle ne refuserait pas, juste pour faire durer le plaisir de rester le plus longtemps sur le plateau TV et enchanter ses potentiels électeurs.