Ce qui me surprend, c’est l’étonnement qui saisit la plupart des citoyens, ainsi que le retentissement médiatique qui l’accompagne, à chaque agression de policiers par ceux qu’on peut qualifier de voyous.
Comme si, depuis quelques années, la police n’avait pas peu à peu perdu la main et l’initiative, face à des groupes malfaisants qui ont littéralement pris le pouvoir. À la force légitime de l’État, ils opposent désormais la violence illégitime, parfois jusqu’au crime, sans l’ombre d’un scrupule ni la moindre mauvaise conscience.
Un exemple récent : à Reims, en plein centre-ville, des policiers ont subi « un véritable lynchage » de la part de plusieurs hommes (Le Parisien).
Si l’on se contente de déplorer la multitude de résistances, de désobéissances et de violences dont les policiers sont chaque jour les victimes, avec ce constat accablant qu’ils ne peuvent jamais aller jusqu’au bout de ce que la loi les autorise à faire pour se défendre eux-mêmes ou protéger autrui, on passe à côté de l’essentiel : la profondeur du changement qui a bouleversé leurs rapports avec les citoyens qu’ils doivent contrôler ou interpeller (Le Figaro).
Certes, j’admets que ce n’est pas d’aujourd’hui que le civisme est défaillant. Ceux qui ont quelque chose à se reprocher cherchent depuis toujours à échapper à l’action policière. Mais, longtemps, cette attitude n’a été que la conséquence des initiatives prises par les fonctionnaires de police eux-mêmes. Ils n’étaient perçus comme des ennemis par les malfaisants que lorsqu’ils s’en prenaient à eux de leur propre autorité.
Ce qui a changé, avec une intensité accrue depuis quelque temps, c’est que les voyous, dans le rapport de force, sont dorénavant en position de dominants. Ils n’attendent plus d’être interpellés, ils prennent les devants, organisent des agressions, préparent leurs mauvais coups, mettent en place des pièges, de prétendus appels au secours. Forts de leur nombre et de l’impossibilité d’établir la preuve individuelle, ils peuvent attaquer – parfois massacrer – les policiers envoyés sur place, souvent en toute impunité.

Si les autorités n’appréhendent pas lucidement cette véritable révolution de la lutte contre la délinquance, avec le devoir d’assurer, bien davantage qu’hier, la sauvegarde des fonctionnaires de police, en service comme dans leur vie privée, notre société continuera d’être à feu et à sang. Avec, pour les transgresseurs, ce sentiment pervers de pouvoir tout se permettre, puisqu’aucune réponse ne viendra démontrer l’efficacité et le volontarisme de l’État et de ses relais.
Qu’on songe à l’accroissement des refus d’obtempérer et aux conséquences souvent dramatiques qui en résultent pour les policiers. Je laisse de côté ici mon opinion judiciaire sur la mort de Nahel, en espérant que la future cour d’assises saura recouvrer la raison et opérer un partage équitable entre les donneurs de leçons en chambre et les contraintes implacables auxquelles les forces de l’ordre sont confrontées.
Ce seul exemple suffit à mesurer combien il est aujourd’hui plus que jamais nécessaire de protéger la police, d’instaurer une responsabilité collective afin que le groupe violent ne puisse plus échapper à sa culpabilité globale, et de refuser, avec l’énergie la plus extrême, la présomption de culpabilité qui confond les rôles, les fonctions et les légitimités.
Cette prise de conscience, le ministre de l’Intérieur l’a faite depuis longtemps, et sa résolution paraît entière pour remédier à cette inversion des culpabilités. J’attire toutefois son attention sur l’absurdité des doubles enquêtes, judiciaire et disciplinaire. Cette dernière vient comme un procédé mécanique laisser croire à une possible faute policière, alors que, la plupart du temps, la réalité suffirait à dissiper ce soupçon et justifierait un classement rapide.
C’est une entreprise de longue haleine qui devra être menée, bien au-delà de la seule question des moyens réclamés par la police. C’est la psychologie collective et politique qu’il faut changer.
La police n’est pas l’ennemie. Les ennemis, ce sont les voyous.
@ Robert Marchenoir
Dommage que vous n’ayez pas écouté le vieil homme si brillant, vous auriez entendu que vous n’avez pas compris sa pensée, même si vous l’avez lu.
Vous êtes victime de ce qu’il nomme, tout à fait à raison, la pensée subjective, qui se laisse dominer par le ressentiment.
Vous êtes une sorte de minorité à vous tout seul, qui, s’estimant persécutée, se laisse aller à tous les débordements. J’ai déjà eu l’occasion d’exprimer les regrets qu’ils m’inspirent.
N’oubliez pas d’ajouter à votre liste de pères fouettards le camarade Poutine qui, en cet exercice, est votre complice en « dénazification » au nom de la chrétienté.
S’il vous restait un peu de lucidité, vous seriez à même de vous en apercevoir. Il faudrait, auparavant, apprendre à ne pas lire uniquement pour justifier vos obsessions vengeresses, mais accéder à ce devoir personnel qui, même chez un Noir opprimé dans l’Amérique ségrégationniste, permet d’exercer souverainement sa liberté.
Vous y êtes naturellement invité.
Je ne pense pas que les clichés et préjugés indécrottables de Blancs ignorants et/ou racistes puissent avoir un quelconque retentissement sur la conscience de pères noirs ou métis. Et il appartient sans doute aussi à leurs femmes de ne pas céder à la facilité, en les incitant à endosser leurs responsabilités et à partager les tâches éducatives. Ce qui est aussi valable pour les femmes de toutes origines et conditions.
Comme quoi, l’absence du père est un fléau.
@ Axelle D
Dans l’article que vous avez posté ici, il est dit que les pères noirs prennent conscience de l’importance de leur rôle. Pourquoi, et croyez-vous que, dès lors, ils resteront davantage avec leur femme et leurs enfants ?
Le fait que des Blancs les pointent du doigt est-il indifférent, contre-productif ou favorable ?
L’immigration de personnes noires assez bien intégrées peut-elle favoriser une évolution positive ?
Les Noirs ont subi l’esclavage, où les familles étaient divisées, de sorte que la mère se retrouvait seule avec les enfants, ce qui ne pouvait que conditionner à s’en passer. Si on trouve que ça remonte à loin, en France, sans de tels traumatismes, notre rapport à l’autorité en politique oscille entre ceux qui se prennent pour le roi absolu et ceux qui veulent rejouer la Révolution. Bien souvent, cela peut expliquer entre autre que le père, la police et mon député ne comptent pas beaucoup : entre tout-puissant et néant, l’autorité intermédiaire ne compte pas beaucoup. L’Histoire doit être regardée, sans se laisser fasciner ni méduser, pour ne pas nier les traumatismes, ni être possédé par les ombres du passé.
Il est des Noirs, comme des Français, pour dépasser leur condition ; ils montrent le chemin aux autres. Il est pour moi sûr que dans leur sillage, les débatteurs peuvent éviter les questions de personne pour s’attacher aux faits. L’emploi du pseudonyme, nous arrachant à notre condition sociale, doit nous incliner à plus d’objectivité. Il faut perdre l’habitude du piège, sauf à la chasse et, si on doit la faire, à la guerre.
Ou alors, si l’on croit que l’adversaire politique ou philosophique est l’ennemi, comment s’étonner que des bandits voient les policiers comme des proies, avec des lynchages filmés ?
Même délire, même constat.
Le trumpiste infantile contredit vire au poutiniste dénazificateur.
Avec de tels défenseurs de la démocratie, l’inquiétude est de mise.
Et ceci pourquoi ?
Parce que j’ai osé citer, au sujet d’une police qu’il s’agirait de protéger, les propos de Thomas Sowell sur la déliquescence de la famille en Occident, propos qui ont l’heur de déplaire à l’enfant-roi qui s’approprie le penseur en question pour tenter en vain de l’enrôler en son suprémacisme dépassé et nous joue en conséquence la vieille rengaine MAGA du père fouettard antigauchiste qu’il est.
Mon propos est donc, au-delà de toutes les absurdes diffamations dont nous avons désormais l’habitude de ne plus tenir compte des excès qui les décrédibilisent, de faire remarquer que la notion du père en question est démonétisée, qu’aucun État-providence ne sera à même de la remplacer tant que chaque citoyen et citoyenne ne saura s’appliquer à lui-même la rigueur des devoirs nécessaires à l’exercice de son droit à la liberté, que c’est justement cela que l’État doit garantir si nous voulons vivre en démocratie.
Voilà ce qui me vaut les foudres de la Stasi marchenoirienne, que néanmoins je remercie de m’avoir fait connaître Sowell.
@ Lodi
Vous avez raison de rappeler que le traumatisme de l’esclavage a impacté de façon durable le comportement des Noirs afro-descendants :
« La mise en esclavage des Africains aux Caraïbes, aux Antilles et en Amérique du Nord aussi, explique l’absence des pères. Les esclaves n’avaient pas le droit de faire famille pendant la période de l’esclavage. Donc un homme noir, il était là simplement comme géniteur. Il devait quelque part « ensemencer » plusieurs femmes esclaves, mais il n’avait aucun droit sur les enfants qui étaient engendrés. Celui qui était considéré comme le père des enfants, c’était le « propriétaire » de la mère. Donc dès le début, l’identité paternelle de ces pères-là a été complètement mise de côté. Donc, ce lien-là n’a pas été créé. En plus, ces enfants – vu que c’étaient des « produits », des « biens meubles » -, pouvaient être vendus à d’autres personnes. Donc tout le système familial tel qu’on le connaît en Occident n’était pas du tout reproduit parmi les esclaves. Et quand, après 400 ans d’esclavage, on a dit à cette population : « vous êtes libre », c’était comme : « libre de quoi » ? Parce que, eux, pendant 400 ans, ils ne pouvaient pas faire famille. Puis on leur dit : vous devez vous marier pour pouvoir travailler. Donc, il y en a beaucoup qui ont décidé que non seulement ils n’allaient pas obéir, mais qu’en plus il voulait recréer des familles à leur manière. »
Ajouté à cela que le maître blanc pouvait engrosser des négresses à tire-larigot, ce qui faisait de nouveaux petits esclaves mulâtres dont le père bien que leucoderme n’avait que faire.
https://fr.news.yahoo.com/l%C3%A9trange-ph%C3%A9nom%C3%A8ne-p%C3%A8res-absents-familles-085113880.html
@ Aliocha
« Le trumpiste infantile contredit vire au poutiniste dénazificateur. »
Le bouquiniste intempérant démasqué vire au démultiplicateur irréfragable. Le plâtrier hypocondriaque controuvé vire au positron délateur. Moi aussi je peux écrire n’importe quoi en alignant des formules ronflantes qui ne veulent rien dire.
Non seulement vous n’avez plus que des insultes à la bouche, mais en plus elles sont vides de sens. Vous faites du bruit avec la bouche, vous crachez sur votre prochain. C’est tout ce que vous savez faire.
« Parce que j’ai osé citer, au sujet d’une police qu’il s’agirait de protéger, les propos de Thomas Sowell sur la déliquescence de la famille en Occident. »
Je ne connais pas ces propos. J’ai refusé, et je refuse toujours de regarder votre vidéo de Thomas Sowell pour les raisons que je vous ai dites : jeter un lien dans la conversation vous sert à changer de sujet lorsque vous êtes en difficulté, à éviter de répondre lorsque vos arguments sont réfutés.
De plus, je n’ai nul besoin, pour connaître Sowell, d’écouter une « vidéo » où vous auriez extrait quelque propos de l’ensenble de son oeuvre. J’ai lu Sowell, moi, figurez-vous. Dans des livres. Vous savez ce que c’est qu’un livre ? C’est là que se trouve le savoir, non dans des « vidéos ». Vous reconnaissez vous-même que vous ignoriez l’existence de Thomas Sowell avant que je ne vous l’apprenne. Et vous avez le culot de m’opposer une « vidéo » de l’intéressé ? L’effronterie des cuistres n’a pas de limites…
Cela dit, si Thomas Sowell déplore la déliquescence de la famille en Occident, il a bien raison.
« …propos qui ont l’heur de déplaire à l’enfant-roi… »
Vous mentez. Ces propos ne peuvent pas me déplaire, puisque j’ai refusé d’en prendre connaissance.
Une fois de plus : si Thomas Sowell déplore la déliquescence de la famille en Occident, je l’approuve. Vous êtes donc un menteur, et un insulteur de surcroît.
« …qui s’approprie le penseur en question… »
Personne ne s’approprie personne. S’approprier est un mot gauchiste qui ne veut rien dire.
Quand moi je cite Sowell, je me « l’approprie ». Quand vous vous en faites autant, vous faites la preuve de votre moralité supérieure. Le gauchiste dans son éternel deux poids, deux mesures. C’est si consubstantiel à votre construction mentale que vous ne pouvez vous en empêcher, même lorsque votre hypocrisie est devenue évidente.
« …pour tenter en vain de l’enrôler en son suprémacisme dépassé… »
Aucune suprématisme de ma part. Je veux juste qu’on arrête de casser les pieds à ma race, à ma nation et à ma civilisation. Je défends ma liberté et ma survie contre les oppresseurs de tout poil. C’est mon droit le plus strict.
Non seulement cette attitude n’est pas dépassée, mais elle a le vent en poupe. L’Amérique de Trump (et non Trump lui-même), Giorgia Meloni, Nigel Farage, Kemi Badenoch, Priti Patel, Tommy Robinson, Volodymyr Zelensky, Javier Milei, le Danemark, la Suède, la Pologne, l’Allemagne, la Hongrie, les pays baltes, Benyamin Netanyahou, Gilles-William Goldnadel, Sarah Knafo, Pierre Sautarel, Renaud Camus, Génération Identitaire, les églises françaises qui se remplissent à nouveau… partout, la glorieuse race blanche, la prodigieuse civilisation occidentale, l’ineffable trésor judéo-chrétien se défont du joug que les communistes répugnants dans votre genre et les envahisseurs islamo-bronzés tentent de lui imposer.
Nous vaincrons parce que nous sommes les meilleurs. Nous sommes plus intelligents que vous, plus savants, plus courageux, plus dévoués, plus honnêtes, plus charitables, plus respectueux du prochain, plus lucides, plus sages, plus disposés aux sacrifices.
Vous ne pouvez survivre, car la gauche n’existe que grâce au mensonge et à l’argent gratuit des autres. Ce dernier est en train de disparaître. Vous avez sifflé les dernières gouttes du breuvage magique. Maintenant vient le temps de la vérité. C’est le nôtre.
Vous disparaîtrez comme l’URSS a disparu.
« …et nous joue en conséquence la vieille rengaine MAGA… »
Vous mentez à nouveau. Je viens d’expliquer mon opposition fondamentale au mouvement MAGA. Vous êtes un automate sourd et aveugle qui secrète en permanence un jus de crâne hargneux, narcissique et absurde.
« …du père fouettard antigauchiste qu’il est. »
Je vous le confirme. Je fouetterai les gauchistes dans votre genre aussi longtemps qu’il le faudra. La peau de vos malhonnêtetés intellectuelles est déjà à vif, le hideux squelette de vos mensonges est exposé à tous les regards.
D’ailleurs il est un peu curieux que vous dénonciez les « pères fouettards ». Je croyais que vous déploriez la disparition des pères ? Éternelle incohérence des gauchistes… Si les pères reviennent, et ils reviennent, c’est déjà pour botter le cul des faussaires moraux, politiques et religieux dans votre genre.
Vous n’avez toujours pas répondu à ma question : quels livres de Thomas Sowell avez-vous lus ?
Vous ne semblez guère vous l’être « approprié », comme vous dites. Dans mon monde à moi, le monde blanc, occidental, chrétien, ce que vous dénigrez sous le verbe « s’approprier » se nomme apprendre – et c’est une excellente chose. Vous n’avez pas encore fait le premier pas dans cette direction.
@ Axelle D
Il est parfaitement exact que l’esclavage des Noirs aux États-Unis les a handicapés, pendant un certain temps, pour l’exercice de fonctions civiques, sociales ou familiales – toutes choses égales par ailleurs.
Il n’en reste pas moins que sur le point précis de la cohésion familiale, de la fidélité conjugale et de la présence du père dans la famille, leur situation était infiniment meilleure après l’abolition de l’esclavage et avant la loi sur les « droits civiques » de 1964, suivie de lois socialistes favorisant l’assistanat et la discrimination positive.
C’est ce que montrent les statistiques de façon irréfutable, et les préjugés le démontrent également.
Comme tout le monde le sait ou devrait le savoir, les préjugés sont souvent vrais. C’est ainsi que le préjugé actuel (qui est en réalité un post-jugé, confirmé par les chiffres), le Noir américain est largement plus délinquant et moins fidèle en ménage que l’Américain moyen.
Mais ce qu’on a oublié, c’est qu’avant la loi sur les « droits civiques », le préjugé était inverse : chez les Américains blancs, c’était un cliché sans cesse ressassé que de vanter les « valeurs familiales noires ». Quand il s’agissait de déplorer le vagabondage sexuel ou les pères abandonnant leur famille, il était courant de montrer en exemple les pratiques noires.
Et ça aussi, c’était confirmé par les chiffres, comme le rappelle Thomas Sowell.
Tout cela ne nous dit pas quelles sont les pratiques en la matière en Afrique noire, chez des gens qui, par définition, n’ont pas été réduits en esclavage – sauf par leurs frères noirs, qui ont asservi les leurs avant que les musulmans, puis les Blancs, ne prennent exemple sur eux en découvrant ce marché déjà existant.
C’est la police qui a pour mission la protection des citoyens et des territoires, conformément à sa devise : « Pro patria vigilant »
Et si l’on en venait à devoir la protéger, cela reviendrait à la déclasser, à nier son rôle, ses attributions et pourquoi pas se substituer à elle. Ce qui va finir par arriver si la racaille continue à faire sa loi et à considérer les policiers comme des gêneurs et de vulgaires bandes rivales.
Néanmoins, on peut soutenir et appuyer la police sans en venir à devoir la protéger. Ce dernier terme insinuant qu’elle serait faible et désarmée, voire inutile.
Or, il me semble que la police est surtout démolie par certains courants d’opinions gauchistes et anarchistes dûment relayés par des médias qui ne cherchent qu’à faire le buzz et se payer la flicaille ! Et par-dessus tout, une police généralement contredite par la justice, quand elle n’est pas soupçonnée en lieu et place des voyous, voire complètement lâchée et trahie.
Et voilà !
Quand on chauffe un peu la bête, elle sort du bois.
Robert Marchenoir, sous ses airs offusqués, est trumpiste.
On comprend pourquoi il a voté pour le poutinien Zemmour.
Au-delà de ses contorsions obscènes et de ses absurdes diffamations dignes des régimes les plus totalitaires, le problème de l’autorité reste entier, quand, comme le souligne Sowell, l’institution de la famille est détruite, pour les Noirs américains comme pour la mère célibataire blanche en gilet jaune.
Que Robert Marchenoir trouve là l’occasion de sa énième et répétitive diatribe ne signifie qu’une chose, l’obsolescence de ses errements obsessionnels.
@ Aliocha
« Et voilà ! Quand on chauffe un peu la bête, elle sort du bois. »
Ah, voilà. Votre but, ici, n’est pas la recherche de la vérité, la préconisation de mesures propres à concourir à l’intérêt général, ni même la défense des Noirs, des Blancs ou des jaunes à pois verts ; c’est de « chauffer » vos adversaires.
Et quand ils démontrent la fausseté de vos arguments, ils sont des « bêtes », qui « sortent du bois ». Je me trompe, ou le fait de comparer ses ennemis à des animaux méprisables est l’un des marqueurs les plus sûrs du racisme ?
« Parler devant un tel forum, c’est jeter des perles devant certains animaux. »
« Les rats parlementaires quittent le navire. »
« Les rats qui empoisonnent notre politique. »
« Les Juifs […] ne sont plus en un tournemain qu’une troupe de rats se livrant des combats sanglants. »
« Une pareille punaise parlementaire. »
« Tandis que les meilleurs tombaient sur le front [pendant la Première Guerre mondiale], on aurait pu tout au moins s’occuper, à l’arrière, de détruire la vermine. »
Adolf Hitler, dans Mein Kampf.
Comme quoi, il se confirme une fois de plus que les « anti-racistes » les plus démonstratifs sont, en fait, les racistes les plus enragés.
« Robert Marchenoir, sous ses airs offusqués, est trumpiste. »
Alors non, pas du tout. J’ai longuement expliqué, ici, à plusieurs reprises, pourquoi, si j’avais été américain, j’aurais voté contre Trump. Mais il ne faut pas vous demander de vous pencher attentivement et honnêtement sur les écrits d’autrui. Votre mode de « discussion » se limite à une série d’attaques personnelles infamantes étayées sur rien : « contorsions obscènes », « absurdes diffamations », « errements obsessionnels »… vous avez oublié « vipère lubrique » et « hyène dactylographe ».
Le discours Degauche dans toute sa splendeur.
Au demeurant, on voit mal le rapport que vous établissez entre le sujet en débat (la part disproportionnée des familles noires sans père aux États-Unis, favorisée par les politiques de gauche que vous préconisez) et le fait d’être trumpiste.
Donald Trump, et le mouvement MAGA de façon générale, militent en effet pour la restauration des valeurs familiales traditionnelles et le rétablissement du rôle des pères. Un peu comme… vous, donc ? Vous êtes un sale trumpiste, par conséquent, c’est bien ça ?
Contrairement à votre pensée si schématique qu’elle finit par se mettre en cause elle-même, Donald Trump n’a pas dit, ou fait, que des sottises.
Il a, entre autres, réduit quasiment à zéro l’immigration illégale en provenance d’Amérique du Sud. Mais tout le monde a bien compris que votre genre de beauté, c’est la poursuite et l’encouragement de l’immigration de masse.
Une fois de plus, on constate, au fil de vos réponses sur ce fil, à quel point vous esquivez systématiquement le débat.
J’ai parlé successivement, ici, de la nécessité de dissuader la présence musulmane pour faire baisser les agressions contre les policiers, du rôle fondamental de l’islam dans la nocivité de l’immigration de masse, et enfin de la dégradation de la condition noire aux États-Unis causée par les lois « anti-racistes » et socialistes telle qu’elle a été démontrée par l’économiste noir libéral Thomas Sowell.
Tout cela vous offrait d’innombrables possibilités d’intervention sur le fond. Mais non. Au fur et à mesure que vos arguments étaient réfutés, vous montriez votre mépris des questions politiques en débat en les délaissant systématiquement, pour finir avec ce dernier commentaire exclusivement composé d’invectives.
Ce n’est pas la première fois que vous procédez ainsi, et vous venez d’illustrer, une fois de plus, la méthode de « discussion » universellement répandue à gauche : je mens, je mens à nouveau, et quand, face aux objections, je ne peux plus nier l’ampleur de mes mensonges, alors je me contente de lancer vers l’adversaire quelques étiquettes se voulant empoisonnées, telles que « raciste », « fasciste », « trumpiste » ou je ne sais quoi.
C’est réglé comme du papier à musique. Et ce n’est pas avec des méthodes pareilles qu’on va améliorer le sort de qui que ce soit, qu’il s’agisse des fabricants de tire-bouchons à réaction ou des Noirs unijambistes barytons-basses à l’Opéra de Marseille.
« Si le père noir moyen, aux États-Unis, est un étalon insouciant et irresponsable… » (RM)
Je m’arrête là : cela suffit pour discréditer toutes les références de Robert Marchenoir, qui ne sait que dénigrer les personnes quand on ose le mettre face à ses contradictions.
Dommage, nous aurions pu comprendre pourquoi le modèle paternel est démonétisé au point que nous en sommes aujourd’hui à devoir protéger la police, alors qu’a priori c’est elle qui devrait nous protéger.
Papa, t’es où ?
Chez Poutinou, Erdoganou, Xiou yingou pinou, Netanyahou ou Trumpinou ?
À moins qu’avec Robert Marchenoir, on le retrouve affublé de la baguette de sourcier des aryennes auras de Xavier NEBOUT !
@ Aliocha
« Si le père noir moyen, aux États-Unis, est un étalon insouciant et irresponsable…» (RM)
« Je m’arrête là : cela suffit pour discréditer toutes les références de Robert Marchenoir qui ne sait que dénigrer les personnes quand on ose le mettre face à ses contradictions. »
Oui, vous vous arrêtez là, c’est bien le signe de votre malhonnêteté. Vous êtes un gauchiste fanatique, un wokiste paresseux, un kaguébiste de la pensée. Vous promenez votre petite loupe grossissante sur la parole d’autrui, espérant coincer les gens en détectant des mots pabien, des tournures qui ne disent pas que du bien de vos petits protégés, c’est à dire toutes les races du monde à l’exception de la race blanche.
Vous êtes un raciste enragé anti-blanc.
Le père noir moyen, aux États-Unis, est effectivement un étalon insouciant et irresponsable. C’est exactement ce que dit Thomas Sowell, et c’est dans les chiffres.
Mais les faits dérangent les gauchistes tels que vous, parce qu’ils montrent que vos théories sont fausses. Vous vous employez donc à jouer les duchesses outragées sous prétexte que quelqu’un a dit « étalon ».
Vous tentez de détourner la conversation. Vous essayez de monter des faux scandales. Vous êtes si nul dans votre activisme politique que vous ne vous rendez même pas compte que cela fait au moins dix ans que vos trucs ne marchent plus.
Donald Trump a été élu deux fois, l’extrême droite a le vent en poupe à travers toute l’Europe : c’est bien que les peuples en ont plein le dos de vos tripotages, que vos fausses indignations ne font plus peur à personne et que le chantage wokiste a fait plouf.
Vous faites semblant d’être offusqué par mes écrits, mais je ne vous ai pas beaucoup entendu vous indigner des paroles du clip vidéo que j’ai mis en lien, et qui dénonce exactement la même chose que moi et que Thomas Sowell : l’irresponsabilité sexuelle des Noirs américains financée par l’État-nounou.
J’en ai dit un mot de façon un peu allusive tout à l’heure pour respecter la bienséance, mais puisque vous faites semblant de ne pas savoir lire, je vais devoir monter un peu le volume.
En anglais : « Public service announcement : this is where the taxpayer money goes. It’s free, swipe your EBT ! It’s free, swipe your EBT ! Free welfare, free dental, free food. Free housing, free day care, free clothes. This is where the tapayer money goes. You all want too much stuff, I want everything in the store ! All you have to do is fuck, and nine months later you’re getting the big bucks. All you have to do is fuck ! E-B-T ! »
En français : « Le gouvernement vous informe : c’est là que passe l’argent du contribuable. C’est gratuit ! T’as qu’à mettre la carte des allocations sociales dans la fente. Mets la carte dans la fente ! Mets la carte dans la fente ! Allocations, soins dentaires, nourriture, tout est gratuit. Logement gratuit, crèche gratuite, vêtements gratuits. C’est là que passe l’argent du contribuable. Vous avez tous la rage de consommer, je veux tout ce qu’il y a dans le magasin ! Tout ce que t’as à faire, c’est de baiser, et neuf mois plus tard c’est le jackpot. Tout ce que t’as à faire, c’est de baiser (bis) ! Les al-locs ! »
Au passage, si ça vous rappelle quelque chose dans la situation de la France…
Pour mieux apprécier l’ensemble, il faut écouter la « musique » qui va avec, et admirer les mouvements lascifs de la « chanteuse ».
Je trouve qu’elle « dénigre » pas mal « les personnes », pas vous ? Curieusement, je ne vous ai pas entendu vous offusquer de ses propos, ni dénoncer ses « contradictions ».
Ah, mais je suis bête, Chapter Jackson est noire : donc elle, elle a le droit.
En fait, elle dit exactement la même chose que le Noir Thomas Sowell et moi, mais elle va encore plus loin dans le… comment disiez-vous, déjà ? le « dénigrement des personnes », voilà. Moi je n’ai pas parlé de b…, et je ne me suis pas livré à des exhibitions obscènes sous les yeux des lecteurs.
Il n’y a pas plus hypocrite que les curetons soi-disant « anti-racistes » dans votre genre.
Vous avez quinze métros de retard dans une guerre que vous avez perdue depuis longtemps. Il va vraiment falloir que vous essayiez de nous servir quelque chose de plus frais que vos niaiseries de l’époque « Touche pas à mon pote ».
Je n’ai rien à dire, effectivement, et laisse la parole à Thomas Sowell qui réfute les propos infamants de Robert Marchenoir sur les Noirs.
Il suffit d’écouter pour s’en rendre compte.
@ Aliocha
« Je n’ai rien à dire, effectivement, et laisse la parole à Thomas Sowell qui réfute les propos infamants de Robert Marchenoir sur les Noirs. Il suffit d’écouter pour s’en rendre compte. »
Vous ne savez pas apprendre, vous ne savez pas penser et vous ne savez pas débattre.
Thomas Sowell ne peut pas réfuter mes propos, puisqu’il ne participe pas à ce débat. C’est vous qui prétendez réfuter mes propos.
C’est donc à vous de prendre vos petites mains avec vos petits doigts, et de taper sur votre petit clavier les mots, les phrases et les paragraphes dont vous pensez qu’ils réfuteraient mes propos.
Toute autre démarche est le fait d’un propagandiste, d’un manipulateur et d’un tricheur.
C’est d’ailleurs votre habitude. Vous passez votre temps à chercher des noises à tout un chacun, en lui assénant tel auteur qui, prétendez-vous, le réfuterait.
Vous nous avez ainsi successivement assommé avec René Girard, avec Marcel Proust, avec la Bible, avec le Pape et maintenant avec Thomas Sowell que vous ne semblez même pas avoir lu. On sent le type qui s’est rué sur Google pour chercher une vidéo, n’importe quoi, un truc qu’il puisse prétendre m’opposer – mais sans se sentir obligé d’expliquer pourquoi.
C’est exactement la méthode des officines de désinformation poutinistes, au passage. Je te balance un lien – qui dit tout autre chose que ce que je prétends.
À chaque fois, vous avez déformé la pensée de tous vos grands auteurs. Vous avez montré que vous ne compreniez rien à rien à Girard, à la Bible ou à Proust. Et maintenant, c’est Sowell, pour la seule raison que je vous l’ai fait découvrir, et que c’est moi qui vous l’ai opposé.
Sowell, dont toute l’oeuvre détruit intégralement votre idéologie socialiste, « anti-raciste » à sens unique, c’est à dire anti-blanche, pseudo-chrétienne un jour et seulement « anthropologiquement chrétienne » le lendemain (c’est quand ça vous arrange), mais néanmoins théocratique (quelle confusion !), avec Macron en petit Jésus et l’Union européenne en remplaçante du Vatican.
Et vous en pseudo-cureton hargneux se prévalant d’une mission de police des âmes que personne ne vous a conférée.
Comme vous avez le plus grand mal à justifier cette fumisterie pleine de confusion, vous nous jetez périodiquement à la figure des « liens » qui sont censés remplacer votre incapacité à raisonner, sans jamais nous expliquer en quoi ils seraient pertinents.
Jamais vous n’avez été capable de nous expliquer de façon claire et convaincante, avec vos propres mots, vos propres raisonnements, en quoi vos idées étaient justes. Y compris et surtout lorsque vous vous appuyez sur des auteurs extérieurs.
Vous employez l’argument d’autorité. C’est vrai parce que Marx l’a dit, et d’ailleurs je n’ai même pas besoin de me fatiguer à vous expliquer la pensée de Marx, ce qui aurait l’avantage de prouver que je l’ai comprise : je vous donne juste le titre du bouquin, ça prouve que j’ai raison.
Quels livres de Thomas Sowell avez-vous lu, monsieur le spécialiste de la race ? Pour me le jeter à la figure, il faudrait commencer par l’avoir lu. Et l’on voit mal en quoi une vidéo de Thomas Sowell pourrait réfuter les livres de Thomas Sowell, dont je vous ai restitué une partie du contenu.
Êtes-vous en train de nous dire que Sowell est un abruti qui se contredit lui-même ? Un peu d’humilité face à des gens qui vous dépassent visiblement ne vous messiérait pas.
Quant aux Noirs, je n’ai rien dit ici sur eux. Parler de « [mes] propos infamants sur les Noirs » sans les citer, c’est un procédé de gestapiste, de communiste. Et vous avez le culot de brandir la Bible ? Mes fesses, oui !
Vous représentez le degré zéro de la pensée. Vous ne comprenez rien à rien et vous n’apportez ici rien de constructif.
Vous n’avez pas atteint la première marche du débat rationnel et civilisé. Vous êtes un barbare, un sauvage, un primitif.
Au moins les primitifs ont-ils l’avantage de la sincérité. Vous, vous êtes un faux-derche autoritariste et sournois. Tout le contraire de Thomas Sowell, au passage.
@ Robert Marchenoir
Des faits, et des paroles :
https://youtu.be/uejTE6-nIQI?t=1092
Des sous-titres en français sont disponibles.
Aliocha
@ Robert Marchenoir
« Des faits, et des paroles :
https://youtu.be/uejTE6-nIQI?t=1092 »
Vous ne croyez tout de même pas que je vais me cogner votre vidéo, alors que vous êtes trop paresseux pour présenter vos objections par vous-même.
L’éthique du débat civilisé est la suivante : si vous prétendez contredire quelqu’un, vous vous sortez les mains des poches et vous causez. Ici. Par vos propres moyens.
Vous ne vous cachez pas derrière un « lien », qui neuf fois sur dix, chez les malhonnêtes de votre espèce, ne prouve pas votre thèse ou est mensonger.
L’ajout d’un lien ne se fait que par surcroît, pour permettre d’approfondir ou de vérifier ce que l’on dit.
Vous ne dites rien. Vous n’avez donc rien à dire. Par conséquent vous avez tort. J’en prends acte.
@ Aliocha
« On ne sait plus identifier ce qui tient de la responsabilité individuelle dans l’intérêt collectif, ce que Sowell identifie très bien aux USA, quand il remarque que les problèmes sociaux ne tiennent pas à la race mais à l’abandon familial des pères depuis les années soixante. »
C’est très biaisé, ce que vous dites. Vous prenez dans Thomas Sowell ce qui vous arrange, et vous taisez le reste.
Il met certes en cause, dans l’échec des Noirs américains, l’absence des pères dans la famille, mais il ajoute que cette dernière est due aux politiques « anti-racistes » et socialistes, celles que vous défendez.
Si le père noir moyen, aux États-Unis, est un étalon insouciant et irresponsable qui va de femelle en femelle en les ensemençant, tandis que la mère noire moyenne est à la tête d’une « famille monoparentale » issue d’une multitude de pères, vivant d’allocations sociales depuis le lycée, c’est bien, d’une part, parce que des politiques socialistes encouragent la sexualité hors mariage et permettent à une femme d’avoir pour mari l’État, grâce aux allocations qui lui permettent de vivre sans travail ni père ; et, d’autre part, parce que l’idéologie et les politiques « anti-racistes » interdisent de mettre fin à cette perversion qui affecte les Noirs de façon disproportionnée, car ce ne serait pas « gentil » envers eux. Ce serait « raciste » de leur couper les allocations.
Mais Thomas Sowell va plus loin, et ça non plus vous n’en parlez pas. Il explique, de façon irréfutable, chiffres à l’appui, que la condition défavorable des Noirs américains a été considérablement aggravée par les lois gauchistes des années 60.
Avant l’instauration des « droits civiques » en 1964 (c’est à dire les droits des Noirs), avant le lancement, cette même année, de la « guerre à la pauvreté » avec sa tripotée de lois d’assistanat social, avant l’éducation sexuelle obligatoire à l’école, censée réduire les grossesses adolescentes mais qui a abouti au résultat inverse, la condition des Noirs était bien meilleure, et en voie d’amélioration, que par la suite.
C’est l’instauration de politiques de gauche, étatistes, paternalistes, « anti-racistes », qui a mis les Noirs dans la mouise où ils se trouvent aujourd’hui. Dont l’une des causes est « l’absence des pères » que vous dénoncez.
Voilà ce qu’a démontré Thomas Sowell.
Le Noir américain « ultra-libéral » Thomas Sowell, né dans une extrême pauvreté auprès de laquelle le moindre Gilet jaune est un nabab pourri de fric, Thomas Sowell qui explique la chance qu’il a eue d’avoir commencé sa carrière universitaire avant la loi sur les « droits civiques » de 1964.
Thomas Sowell qui rapporte n’avoir jamais été témoin de paroles ou d’actes racistes lorsqu’il était étudiant à l’université, dans les années 50, à l’exception d’une réflexion adressée à un étudiant anglais – et c’était lui qui l’avait faite, dit-il avec son humour coutumier.
Sowell a asséné à son condisciple qu’il était « pénible, britannique et de petite taille », ce qui n’a aucun intérêt en français, mais constitue une insulte tout à fait raffinée dans la version originale : « nasty, British and short » rappelle à tout anglophone à peu près cultivé la description de ce qu’est la vie humaine selon Thomas Hobbes dans le Léviathan, en l’absence du gouvernement dictatorial qu’il estimait nécessaire : « nasty, brutish and short ».
On regrette, en effet, l’époque où le comble du « racisme » était constitué par de tels traits d’esprit.
« C’est l’instauration de politiques de gauche, étatistes, paternalistes, « anti-racistes », qui a mis les Noirs dans la mouise où ils se trouvent aujourd’hui. Dont l’une des causes est « l’absence des pères » que vous dénoncez. »
Nous sommes donc d’accord, l’une des causes, pour ne pas dire la cause, est l’absence du père, partagée par toutes les races, ou quand la notion de race brouille les pistes car elle n’est pas fiable et détourne du devoir commun à tous, la responsabilité individuelle, quelles que soient la race ou la religion.
@ Aliocha
« Nous sommes donc d’accord, l’une des causes, pour ne pas dire la cause, est l’absence du père, partagée par toutes les races, ou quand la notion de race brouille les pistes car elle n’est pas fiable et détourne du devoir commun à tous, la responsabilité individuelle, quelles que soient la race ou la religion. »
Non, nous ne sommes pas d’accord, et vous travestissez la pensée de Thomas Sowell dont vous vous réclamez.
1. L’absence du père n’est pas « la » cause, c’est l’une d’entre elles.
2. La cause de quoi ? Vous ne le dites pas. De tout ce qui ne va pas dans le monde ? Il y a des myriades de choses qui ne vont pas dans le monde, et elles ont autant de causes.
3. Dans ce dont traite Sowell (les tares sociales des Noirs américains), l’absence de père est une cause intermédiaire : la cause primaire est le socialisme, et sa branche récente « l’anti-racisme ». C’est non seulement l’avis de Sowell, mais c’est ce qu’il a démontré.
4. Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas, en sus, des causes raciales spécifiques. L’absence du père n’est pas partagée par toutes les races. Aux États-Unis, elle est bien plus prégnante chez les Noirs. Le mécanisme que j’ai décrit (grossesse précoce, partenaires multiples, recours massif aux allocations) est spécifiquement noir. Une fois de plus, ce n’est pas une chanteuse blanche qui a tourné le clip vidéo auto-parodique, pour sa communauté, dont le refrain dit, en substance : « pour vivre aux frais de l’État, il suffit de b…, tout est gratuit » (lien déjà donné ici).
5. « Ou quand la notion de race brouille les pistes… » : vous voulez dire que les réalités raciales démolissent vos théories socialistes et « anti-racistes », c’est pourquoi vous tentez d’interdire jusqu’à l’usage de « la notion de race ».
6. « …car elle n’est pas fiable » : la notion de race n’est pas fiable ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Vous avez encore recours à cette tentative d’enfumage communiste classique, selon laquelle les races n’existeraient pas. Thomas Sowell n’a jamais prétendu une chose pareille, bien au contraire.
7. « …et détourne du devoir commun à tous, la responsabilité individuelle ». Ah, voilà. Une « notion », plus exactement une réalité biologique scientifiquement attestée, doit être niée parce qu’elle contredit la morale que vous tentez d’imposer. Quand la réalité dément l’idéologie, il faut taire la réalité.
C’est bien ce que je me tue à dénoncer, et encore une fois il est malhonnête de votre part d’appeler Thomas Sowell à la rescousse pour étayer votre « anti-racisme » frelaté. Il ne dit pas du tout ce que vous lui attribuez. Sowell dénonce l’irresponsabilité spécifique des Noirs, attisée par le socialisme, mais il ne nie nullement la réalité des races et les différences entre les races.
Vous tentez de l’enrôler sous votre bannière à l’aide de déplacements successifs de la cage de buts à roulettes.
L’étonnant est que vous vous imaginez toujours que ça ne va pas se voir. Vous prenez vraiment les gens pour des jambons.
« Ce qui a changé, avec une intensité accrue depuis quelque temps, c’est que les voyous, dans le rapport de force, sont dorénavant en position de dominants. » (PB)
Certes, mais ces voyous, qui présentent diverses spécificités dans leurs mœurs et leurs méthodes – totalement inconnues en France il y a encore quelques années, comme l’attaque en meute et le piétinement d’une victime projetée à terre -, d’où sortent-ils ?
Il y a quelques mois, le préfet de police Nunez évoquait, sur une radio, la violence « des » jeunes au lieu de parler de la violence de « certains » jeunes. Ne se moquait-il pas du monde à l’instar de ses alter ego, avec sa langue de bois destinée à ne pas appeler un chat un chat et Rollet un fripon ?
Mais encore une fois, ce n’est pas seulement les policiers qui sont victimes d’une haine à caractère raciste extrême, mais aussi les pompiers, les ambulanciers, les médecins et, au-delà, les Franco-Français en général. Pour l’instant ce sont surtout ces professionnels qui s’enferment dans le déni, à l’instar de M. Nunez, en évitant de nommer leurs agresseurs, ajoutant ainsi au malheur du monde.
Et qui nous a conduits à cette situation sinon les hommes politiques de la vraie gauche, de la fausse droite et du marécage centriste, ainsi que leurs hommes liges qui, en apprentis sorciers, découvrent aujourd’hui les effets dont ils ont chéri les causes depuis une quarantaine d’années, après parfois être allés jusqu’à trafiquer les lois pour laisser le champ libre à leurs petits protégés ?
Il faut donc se rendre à l’évidence, ces agressions de « voyous » ressemblent plutôt à des manœuvres de harcèlement de la part de ce que nous sommes bien obligés de qualifier, de fait, de milices étrangères sortant donc désormais du ressort du ministère de l’Intérieur qui, en toute rigueur, n’est plus compétent en ce domaine.
Bref, nous vivons désormais en France OQP…
Robert Marchenoir confond son arabophobie, magrebophobie, négrophobie avec de l’islamophobie. Belle couverture. Stupide puisque la religionophobie est une chose bien normale.
Je vais persister, son racialisme crétin essaye de s’exprimer par tous les bouts qu’il tente d’attraper. Un rabougri, du cerveau a minima.
Je ne perds pas mon temps à parler à des suffisants, insuffisants, racistes.
@ Jérôme
« Robert Marchenoir confond son arabophobie, magrebophobie, négrophobie avec de l’islamophobie. Belle couverture. Stupide puisque la religionophobie est une chose bien normale. Je vais persister, son racialisme crétin essaye de s’exprimer par tous les bouts qu’il tente d’attraper. Un rabougri, du cerveau a minima. Je ne perds pas mon temps à parler à des suffisants, insuffisants, racistes. »
Enfin ! un gauchiste revenu à de bonnes dispositions… On reconnaît là la tolérance bien connue de sa corporation, son immense ouverture à l’Autre, son légendaire sens de l’écoute et du dialogue, son humilité devant les faits, sa rigueur dans l’argumentation, son absolue indépendance intellectuelle, son prodigieux sens de la pédagogie, la courtoisie dont il ne se départ en aucune circonstance…
En somme, une fois de plus, on constate l’indéniable supériorité morale du gauchiste, son ancrage immarcescible dans le camp du Bien, sa légitimité à guider le Peuple sur le chemin radieux de la Justice et du Socialisme.
Franchement, je suis soufflé.
Puis-je me permettre, Votre Seigneurie, de pinailler sur quelques infimes détails, cependant ?
Vous nous dites que la « religionophobie » est normale. Par conséquent, il devrait s’ensuivre que « l’islamophobie » est une bonne chose également ? Dès lors, vous devriez répandre des pétales de roses sous mes pas et oindre mes pieds des plus précieux parfums à votre disposition, suite à mon commentaire qui fustigeait l’islam ? Ou, à tout le moins, boucler votre clapet putride ?
C’est vous qui confondez « l’arabophobie », la « maghrébophobie » et la « négrophobie » avec « l’islamophobie », ce n’est pas moi.
Je n’ai parlé ni d’Arabes, ni de Maghrébins ni de « Nègres » dans le commentaire qui a suscité, de votre part, ce partage si généreux de l’immense expertise qui est la vôtre sur tous ces sujets, et qui nous fait tant défaut, à nous autres cloportes intellectuels.
Au demeurant, je vois mal où serait mon « islamophobie ». Machin-phobie, c’est un mot inventé par la gauche pour interdire aux gens de dire ce qu’ils voient. Cela signifie : peur panique, irrationnelle et non motivée d’un truc qui n’a rien de dangereux.
Je ne suis pas « islamophobe ». Je suis anti-islam, c’est tout à fait différent.
Il y a d’excellentes raisons pour être vigoureusement opposé à l’implantation de l’islam sur notre sol. J’en ai détaillé certaines. Vous n’avez été en mesure d’en réfuter aucune. En fait, vous n’avez même pas essayé.
En somme, vous parlez pour ne rien dire, sinon pour éructer des insultes.
Maintenant, si vous souhaitez nous synthétiser en quelques mots un autre chapitre de votre célèbre thèse de doctorat sur le « racisme », le « racialisme » et la « crétinerie », je suis tout ouïe.
N’hésitez pas à nous dire pourquoi il faudrait accueillir à bras ouverts la criminalité, la haine et la subversion politique et culturelle apportées par l’immigration de masse des Arabes, des Maghrébins et des « Nègres » (dont je crois savoir qu’ils sont très largement musulmans, mais Jérôme, le docteur honoris causa de l’université de Médeux, va peut-être nous révéler qu’ils sont juifs, pour l’essentiel).
« Qui va protéger la police » (PB)
John Moses Browning.
« Quant à l’imbécillité qui consiste à ramener l’islam dans ce débat, no comment : le crétinisme racialiste existe et a de beaux jours devant lui grâce au martèlement nauséabond asséné par les Praud et consorts. » (Jérôme)
Si une personne évoque ainsi un commentateur, en l’occurrence Robert Marchenoir, il n’est pas surprenant qu’il réponde sur le même registre. Si je voulais critiquer quiconque pour une agressivité exagérée, je le ferais quand il s’en prend à une personne pour une divergence de vue sans mise en cause de la personne. Me choque toujours qu’on ne différencie pas l’agresseur de l’agressé, ce qui amène dans les faits à interdire la liberté de choix de la victime : répondre sur le même registre ou non ? Pour, à subir, on risque de devenir un pantin. Contre, on s’éloigne du fond du débat, de sorte que les gens risquent de se distraire de l’important pour l’accessoire, friands de conflits, distrayants pour le goût de certains, agressivité par procuration, faible mobilisation intellectuelle.
——
Concernant les musulmans, il faut interdire l’immigration musulmane. En matière d’immigration, contrairement à d’autres, ce n’est pas tant la quantité que la qualité, qui pose problème, à mon avis. Or, avec la musulmane, on a des gens dont certains nous rendent le mal pour le bien. Absolument inacceptable. Sans compter que des minorités nuisibles peuvent prendre le pouvoir, comme on l’a vu avec les chrétiens dans l’Empire romain, et les totalitaires, plus près de nous.
Je pense que tout ce que Robert Marchenoir a pu dire contre les Noirs et, si je me souviens bien, les Arabes, nuit à la mesure indispensable du refoulement des indésirables… Il n’est d’ailleurs pas le seul à servir de prétexte à cette confusion. De sorte qu’après cela, moi-même qui n’ai jamais pensé que les personnes de ces catégories soient moins intelligentes que les autres, me suis parfois retrouvé accusé de racisme. Terrain miné…
Si on devait me traiter de quelque chose, ce serait d’impitoyabilité : si quelque individu ou groupe nuit, je ne lui pardonne jamais. Libre à certains de le faire pour être bien vus, soit de la foule, soit d’un dieu supposé, mais je n’ai pour l’instant jamais prostitué ainsi ma dignité.
J’ai pardonné une fois à quelqu’un qui m’avait gravement nui, au motif qu’elle avait tout fait pour se rattraper et avait demandé pardon. C’est dire combien tous les autres, dans la vie, ne s’aperçoivent même pas qu’ils se comportent en nuisibles, ou croient sottement avoir quelque droit à l’abus avec moi. Comme quoi, s’il n’est pas faux que des gens puissent changer en bien, le cas est rare, comme semble-t-il la vie dans l’univers.
Bref, la religion chrétienne est incivique. D’abord, elle a dissuadé bien des gens de défendre l’Empire romain, leur priorité étant la cité céleste, qu’importait la chute de Rome ? Ensuite, en promouvant le pardon, on promeut l’injustice en sommant la victime de passer sur les abus, ce qui, de nos jours, infecte jusqu’à l’État, incapable de prendre les mesures qui s’imposent face à l’immigration musulmane.
Et qu’on ne prétende pas que si les chrétiens sont ainsi, c’est qu’ils sont de petits cœurs. Bien sûr que non ! Ils ont inventé de dire les Juifs déicides, ont essayé de se substituer à eux, ont inventé l’Inquisition, et n’ont même pas eu besoin des musulmans pour faire des croisades, comme on l’a vu avec les Albigeois et autres joyeusetés. Quand ils n’ont pas un pouvoir suffisant, les chrétiens se prêtent au martyr, quand le pouvoir est prééminent, ils martyrisent les autres. Entre deux, ils nuisent dans le mesure de leurs moyens, par exemple contre le mariage étendu aux homosexuels, plutôt que de défendre les leurs, persécutés notamment par les musulmans, leur priorité étant toujours de faire une morale qui n’en est pas une… Tout cela n’est guère élevé, et l’on ne s’étonnera pas que certains soient fascinés par les musulmans, vivant par procuration leurs abus en rêvant d’en faire autant, ou du moins que tout le monde soit soumis par eux.
Ce n’est pas pour rien qu’on a accusé les chrétiens de vivre dans le ressentiment contre la vie, si les musulmans sont pires, non, pas pour rien, ce qui hélas a fait méconnaître le rare bien, d’ailleurs gisant déjà dans le judaïsme, de leur secte : la défense des victimes.
Mais cette défense est pervertie quand elle prétend nous empêcher de nous défendre, quand elle prive le peuple, nouveau César, de son pouvoir ! Les chrétiens ont perverti la sexualité, maintenant, la défense des victimes. Par comparaison, on peut dire que les bouddhistes ont beaucoup moins failli, mais il est vrai qu’il y a un sentiment d’urgence dans le monothéisme, le salut c’est en une seule vie sous le regard d’un dieu dit bon mais en vérité mauvais comme le prouve que, tout-puissant, il nous condamne à souffrir et à mourir. Toujours subir. Et, comme si cela ne suffisait pas, réplique plus forte que ce premier séisme : l’enfer. Pour conclure, tel maître, tels valets, et les raccourcis font les longs détours.
Comme le disait Védrine à propos du fou du Puy, il s’agirait de savoir compter un peu plus loin que jusqu’à un, pour s’apercevoir que les problèmes d’immigration et d’islamisme ne sont pas la cause mais la conséquence de la déliquescence d’un État depuis cinquante ans laxiste et corrompu par une grande majorité de citoyens qui réclament toujours plus de droits sans consentir à l’effort nécessaire pour y accéder.
Charité bien ordonnée commence par soi-même et à force de téter la mule exsangue en réclamant pour soi l’interdiction d’interdire, on ne sait plus identifier ce qui tient de la responsabilité individuelle dans l’intérêt collectif, ce que Sowell identifie très bien aux USA, quand il remarque que les problèmes sociaux ne tiennent pas à la race mais à l’abandon familial des pères depuis les années soixante.
On peut demander à la police de régler les divorces conjugaux, comme à l’Éducation la perte d’autorité ou aux systèmes de santé le droit inaliénable de soigner à chacun sa cirrhose du foie, on ne saura que confirmer que sans l’effort citoyen, l’État est un corps corrompu sur lequel vient s’installer la gangrène des mafias, Islam ou pas.
Sans ce réveil-là, notre système de Gaulois réfractaires continuera à coûter un pognon de dingue pour des résultats minables, et le politique qui ose dire cela aura bon dos lui aussi pour que chacun se retourne contre lui plutôt que contre soi, ce moi qui se prend pour le roi pour mieux continuer à confondre le désir et le droit.
Papa, où t’es ?
https://www.youtube.com/watch?v=oiKj0Z_Xnjc&list=RDoiKj0Z_Xnjc&start_radio=1
« Je suis totalement d’accord avec votre commentaire, « Robert Marchenoir le 19 septembre 2025 ». Mais pourquoi vous croyez-vous obligé d’insulter ? »
Vous vous fichez de moi, ou quoi ? C’est le dénommé Jérôme qui passe son temps à m’insulter, ici, en me traitant de « crétin racialiste » sans me nommer. Et sans jamais le moindre argument, bien entendu.
De temps à autre, je le remets à sa place en démontrant sa bêtise. C’est bien le moins.
Ce coup-ci, il s’est montré encore plus sot que d’habitude en confondant l’islam avec une race. Démontrer qu’un gauchiste est encore plus demeuré que le gauchiste moyen n’est pas une insulte : c’est une constatation, et c’est une riposte indispensable à la guerre inexpiable que cette engeance nous mène.
Je suis totalement d’accord avec votre commentaire, « Robert Marchenoir
le 19 septembre 2025 ». Mais pourquoi vous croyez-vous obligé d’insulter ?
Monsieur le fonctionnaire de l’Éducation nationale Charoulet est impayable, on ne le changera pas !
Il ignore sans doute que saluer normalement un policier ou un gendarme par un « Bonjour Monsieur » ou « Bonjour Madame », à moins d’être capable de le nommer par son grade, à condition de savoir le reconnaître s’il est en tenue, est, uniquement, ce qu’il convient de faire si l’on est bien élevé.
Bonsoir, monsieur le fonctionnaire de l’Enseignement scolaire. En Afrique, c’est plus la pratique de la pêche au gros et le repos sous les palmiers que de faire la grève à 2 000 km de Paris, surtout avec tous les avantages financiers et en nature pour cinq heures de cours de français par jour et six mois de congés payés par an.
Quelle aubaine !
@ genau
La question n’est pas de savoir si la religion musulmane est meilleure que le christianisme, mais celle du mépris qu’inspirent les Français aux musulmans, en raison notamment de leur athéisme forcené et de la corruption de leurs politicards.
D’autre part, un militaire qui va faire la guerre aux ordres de n’importe quelle idéologie, au gré des élections, est un sous-homme, et un policier peut être considéré de même par les musulmans.
Enfin, l’islam sera toujours incompatible avec le catholicisme, qui persiste, contrairement aux protestantisme, à affirmer la consubstantialité de Dieu et de Jésus.
Un article très intéressant sur les relations entre le protestantisme et l’islam dans Wikipédia.
Une des conditions, certes pas la seule, pour que la police soit protégée serait peut-être que nombre de citoyens, de magistrats, de responsables politiques, tous détenteurs certes de droits mais aussi de devoirs, commencent par adopter un comportement mature et responsable et n’incitent pas par leurs paroles et leurs actes parfois inconséquents, à faire preuve d’irrespect à l’égard de cette institution et à saper son autorité.
Et il faudrait surtout que l’employeur, si prompt en certaines circonstances à faire preuve de bienveillance à l’encontre de certains fauteurs de troubles, casseurs et autres délinquants en tout genre, offre à ses fonctionnaires de police un bouclier sécuritaire et judiciaire efficace parce que dissuasif avec évidemment comme contrepartie l’exigence d’un comportement irréprochable dans leur fonction.
À 80 ans, je peux assurer n’avoir jamais fait grève de ma vie, n’avoir jamais participé à une seule manifestation, n’avoir jamais insulté un gendarme ou un policier, n’avoir jamais lancé un pavé à qui que ce soit, n’avoir jamais mis le feu à une poubelle, à une voiture ou à quoi que ce soit.
Je suis un admirateur des policiers. Quand, en voiture, un policier me demande mes papiers, je les lui donne avec le sourire et lui dis : « Bonjour (ou Bonsoir), Monsieur le fonctionnaire de police ». Et, comme je ne bois que de l’eau, je vois mal comment je pourrais mal parler à ce fonctionnaire.
J’ajoute que les policiers ne sont pas assez payés pour les services qu’ils nous rendent. Est-ce que je pense du mal des magistrats ? Que nenni !
Certains penseront que je dois être d’extrême droite. Absolument pas. Et que je dois adorer CNews. Nullement.
« Qui va protéger la police ? » (PB)
Une loi mieux renforcée par les parlementaires, à condition qu’ils se relisent avant de voter leurs bafouilles à 2 h du matin dans un hémicycle aux trois quarts vide.
Les juges appliquent ce qui est écrit dans le code pénal. Enfin, sauf si les avocats ont plus de poids sur les juges. Aux parlementaires de faire correctement leur travail au lieu de se contenter de passer à la caisse pour prendre les sous indus.
« Quant à l’imbécillité qui consiste à ramener l’islam dans ce débat, no comment : le crétinisme racialiste existe et a de beaux jours devant lui grâce au martèlement nauséabond asséné par les Praud et consorts. »
Il est toujours consternant de voir des abrutis traiter les autres d’imbéciles. Le signe minimal d’une intelligence acceptable est de savoir reconnaître ses limites. Hélas ! comme on le voit ici, il y a quantité d’ignorants qui prennent un soin tout particulier à exhiber leur tare. Ils ne connaissent rien à rien, et ils en sont fiers.
L’islam n’est pas une race : c’est une religion, adoptée (souvent de force) par les races les plus diverses.
L’islam est en première ligne dans la délinquance. Les immigrés sont à l’origine de cette délinquance de façon disproportionnée, et l’islam est représenté de façon disproportionnée parmi les immigrés. C’est, en Occident, une religion importée.
L’imbrication de la délinquance et du terrorisme islamique n’est plus à démontrer. Le second se finance par la première. Les dirigeants des polices occidentales ont maintes fois dénoncé ce phénomène extraordinairement dangereux.
Mieux, l’islam est doctrinalement délinquant. Mahomet était un bandit : il pillait des caravanes et assassinait ses aversaires. Le Coran et les hadiths permettent, et même ordonnent, la délinquance à l’encontre des non-musulmans. Le racket (jizya), le viol et le meurtre sont des obligations religieuses à l’encontre de ceux qui refusent d’embrasser l’islam ou qui le quittent.
De nombreux dirigeants musulmans contemporains acceptent et prônent activement ces prescriptions. Ils le disent ouvertement. Leurs prêches, leurs discours dans ce sens sont filmés, disponibles à qui veut bien les entendre sur Internet.
Même les formes de délinquance moins graves, comme la fraude, sont explicitement prônées par les chefs musulmans implantés en Occident. Profitez à fond des allocations sociales, enjoignent-ils à leurs ouailles, faites-vous reconnaître comme invalides, occupez les logements sociaux, saignez à blanc les infidèles. C’est une forme comme une autre de jizya.
En plus de la délinquance, de nombreux auteurs d’attentats terroristes musulmans vivent d’allocations, souvent obtenues en fraude.
Depuis ses débuts, l’islam s’est imposé par la menace, le vol, la violence et le meurtre. Quand Mahomet était à La Mecque, il a échoué à convaincre quiconque d’adopter sa religion. Lorsqu’il a déménagé à Médine et qu’il s’est mis à utiliser la violence, l’islam a commencé son essor.
D’ailleurs, l’immigration est à l’origine de l’islam. L’Hégire, nom donné par les musulmans à ce déplacement, est l’acte fondateur de leur religion. L’immigration violente et hostile, employée dans le but d’imposer son pouvoir, est à l’origine de l’islam. Les musulmans qui émigrent en Occident contre la volonté des nations envahies ne font que reproduire cet acte ancestral.
Toutes ces informations sont largement disponibles pour quiconque veut apprendre.
Bien sûr, un fonctionnaire communiste d’extrême gauche tel que vous n’a nullement pour but d’apprendre quoi que ce soit. Votre but est le mensonge, la glorification de la violence, l’auto-abrutissement, le masochisme et le nihilisme.
Vous vous trahissez en prétendant déceler du « crétinisme racialiste » dans ce qui n’est que la constatation factuelle des méfaits de l’islam. C’est bien la preuve que l’idéologie « anti-raciste » a pour but principal d’encourager l’immigration de masse, et d’interdire, par la menace, toute opposition à cette invasion. L’islam n’est pas une race ; en revanche, il provient intégralement de l’immigration.
Mais vous êtes tellement bête que vous ne vous rendez pas compte que vous oeuvrez à votre propre perte. Il faut vraiment être exceptionnellement naïf pour penser que les immigrés musulmans choyés par l’extrême gauche vont laisser le moindre espace à leurs alliés, une fois qu’ils auront acquis suffisamment de pouvoir. Les gauchistes français seront impitoyablement évincés par ceux qui ont cru les manipuler à leur profit. Ça a déjà commencé.
Si vous aviez jamais ouvert un seul livre d’histoire, vous le sauriez.
En attendant, continuez à vous abrutir d’alcool et de sottise ; vous symbolisez si bien la décadence de notre époque…
Il est nécessaire de simplifier la loi. La légitime défense, je caricature volontairement, ne doit pas être réservée à des cas du type : « le malfrat sort une Kalachnikov ; dans ce cas, le policier peut éventuellement sortir son arme, si et seulement si celle-ci est chargée. »
Quand un policier, comme on le voit sur les images, est pris à partie et tabassé par plusieurs individus, sa vie est en jeu. Qu’il sorte son arme et sulfate ne me choquera pas : il s’agit de légitime défense. Les exemples ne manquent pas de cas où des policiers se sont trouvés dans des situations plus que périlleuses et dans lesquelles, à mon sens, l’usage de leurs armes n’aurait pas constitué un scandale.
Il est nécessaire de faire évoluer la loi sur le sujet, sans tomber dans les délires autoritaires et dangereux de l’exemple salvadorien.
Quant à l’imbécillité qui consiste à ramener l’islam dans ce débat, no comment : le crétinisme racialiste existe et a de beaux jours devant lui grâce au martèlement nauséabond asséné par les Praud et consorts.
L’ordre, c’est la charité, qui commence par soi-même.
Comment cela est-il possible puisque selon MM. Dupond-Moretti et consorts, l’insécurité n’existe pas ?
, c’est tout au moins subconsciemment, s’en prendre à des hommes de main de la France dégénérée.
La cause profonde réside dans le mépris que suscitent les Français aux yeux du monde musulman, en raison de leur perte de tout repère spirituel et religieux.
À cela s’ajoute le fait que 90 % de la population considère que nous sommes gouvernés par une véritable mafia.
Partant, s’en prendre à ses représentants, c’est, tout au moins subconsciemment, s’en prendre aux hommes de main de la France dégénérée.
Le mépris du monde musulman est à géométrie variable : la licéité du mensonge et de la tromperie vis-à-vis de l’infidèle, voire sa glorification, n’est pas un instrument de mesure compatible avec l’estime. Mais, plus loin, faudrait-il en déduire que le Français religieux ou philosophe est apprécié par les adorateurs mahométans ? Pas du tout : la conférence de Sant’Egidio n’a jamais avancé, notamment en raison de l’intransigeance des musulmans, ab initio. En outre, un musulman quelconque, lorsqu’une contestation est élevée devant lui sur un point religieux, n’a que la colère et l’emportement comme réponse (on exceptera les gens policés, respectueux d’autrui, comme dans tout groupement humain), de façon systématique.
J’aurais donc tendance à avoir le même mépris envers les musulmans, en raison même de leur religiosité, d’autant plus fragile qu’elle est colérique. Quant aux tièdes, ils se retrouvent parmi les individus de toute obédience, quelle qu’elle soit.
Concernant notre gouvernance par la Mafia, c’est une instrumentalisation épique de l’ensemble de la société, mais elle ne justifie pas, de façon rationnelle, l’assimilation de la police à des sicaires siciliens.
Et pourtant, votre réflexion est séduisante, hélas.
Il s’agit d’une situation totalement nouvelle, qui exige une révision profonde de la stratégie préventive et répressive de l’État. Nous sommes en train de passer de la délinquance à la naissance d’un contre-État mafieux, tel qu’il en existe en Amérique du Sud, tel qu’il a existé en Italie.
Le péril est extrême et la riposte est urgente. Si cette tentative réussit, elle sera très difficile à inverser. Les solutions habituelles ne sont plus adéquates. Ce n’est plus une question de simple police ou même de justice.
Le djihad islamique est impliqué, ce qui en fait un problème de politique étrangère, de défense nationale, d’espionnage et de contre-espionnage.
Le noyautage et la corruption de l’État légitime sont en cours, ce qui nécessite une planification et des contre-mesures extraordinaires.
L’horrible vision de policiers se faisant attaquer en meute hors service n’est qu’un des phénomènes apparents de cette entreprise de conquête et de soumission de la France. Ce n’est pas le plus grave.
Vous avez raison sur le principe, mais…
Si ce n’est plus une question de police ou de justice, la solution logique est extrajudiciaire.
Vous en voyez, vous, un seul de nos politiciens annoncer comme le président salvadorien des mesures exceptionnelles, voire ordonner en douce des actions homo ? Gaulés comme ils sont, ça tournerait au « roadtrip » dans le Marais !
Je connais mal le Salvador, je ne me prononcerai donc pas sur ce point.
Pour le reste, vous semblez suggérer que le seul remède extrajudiciaire consisterait à assassiner des personnes. (De façon préventive ? Après coup ?) C’est un argument de bande dessinée.
Il n’y a pas de recette magique, dans une situation de ce genre. Il s’agit avant tout, bien sûr, de mettre fin à l’immigration de masse et à procéder autant que possible à la remigration.
Cela nécessite non seulement des mesures restrictives, mais aussi des mesures dissuasives. Il s’agit entre autres de rendre la vie inconfortable aux musulmans. Il s’agit de créer de nouveaux délits. Cela nécessite de l’imagination.
La lutte contre le noyautage et la corruption se fait par des lois particulières, des juridictions spécialisées, une protection rigoureuse de leurs membres, des systèmes d’alerte spécifiques…
Je n’ai pas de recette magique à proposer dans l’espace d’un commentaire. Justement. C’est bien pourquoi je souligne qu’il convient de cesser de réagir au coup par coup, et d’adopter une vision stratégique. Cela nécessite de l’innovation et de la réflexion.
Par exemple : pourquoi la France, à l’instar d’autres pays occidentaux, est-elle achetée par le Qatar ? Comment se passer de cet argent ? Etc.
Quand, jusqu’au sommet de l’État, on se prostitue pour séduire la « rue arabe », quand des politiciens de quasiment tous bords s’accrochent au dogme de la « mondialisation heureuse » — les autres n’ont aucune chance d’accéder aux responsabilités —, quand les éventuelles marges de manœuvre, supposément ouvertes par l’imagination créatrice, sont rognées tant par l’UE que la CEDH et même nos propres organes de contrôle, les incantations ont un effet insignifiant.
Votre programme suppose un chambardement total des valeurs, des institutions et des hommes ; nous en sommes loin, mais alors très loin !
C’est très bien les exécutions extrajudiciaires quand c’est fait avec discernement : ne pas taper au hasard mais ruiner et éliminer les chefs terroristes ou mafieux intelligents et capables afin qu’ils soient remplacés par des adjoints, même plus brutaux mais de plus en plus bêtes au fur et à mesure du déroulement de la campagne, rendant ainsi la lutte plus aisée.
La loi est censée protéger la police, ainsi d’ailleurs que tous les citoyens. Encore faut-il que les juges ne la détournent pas pour justifier les exactions des racailles et donner ainsi raison à LFI dont le mot d’ordre est de tout conflictualiser.
« Si les autorités n’appréhendent pas lucidement cette véritable révolution de la lutte contre la délinquance, avec le devoir d’assurer, bien davantage qu’hier, la sauvegarde des fonctionnaires de police, en service comme dans leur vie privée, notre société continuera d’être à feu et à sang. Avec, pour les transgresseurs, ce sentiment pervers de pouvoir tout se permettre, puisqu’aucune réponse ne viendra démontrer l’efficacité et le volontarisme de l’État et de ses relais.
[…] Ce seul exemple (mort de Nahel) suffit à mesurer combien il est aujourd’hui plus que jamais nécessaire de protéger la police, d’instaurer une responsabilité collective afin que le groupe violent ne puisse plus échapper à sa culpabilité globale, et de refuser, avec l’énergie la plus extrême, la présomption de culpabilité qui confond les rôles, les fonctions et les légitimités. » (PB)
L’essentiel est dit dans ces deux alinéas, d’autant que dans l’affaire de Tourcoing, les auteurs ont été relâchés…
Il me souvient qu’en 2021, il avait été reproché à un responsable syndical de la Police nationale, lors d’une manifestation devant l’Assemblée nationale, d’avoir déclaré : « Le problème de la police, c’est la Justice ! ». Et pourtant !
Quatre ans plus tard, le problème n’a fait que s’aggraver puisque le policier auteur du coup de feu mortel sur Nahel, doit comparaître devant une cour d’assises pour meurtre et que, Monsieur Bilger, vous en êtes, comme une très grande majorité de nos concitoyens, à « espérer que la future cour d’assises saura recouvrer la raison et opérer un partage équitable entre les donneurs de leçons en chambre et les contraintes implacables auxquelles les forces de l’ordre sont confrontées ».
L’on peut observer que, par exemple dans le cas du policier en service à Tourcoing, l’agression a été menée par les auteurs en toute connaissance de cause et aurait, en d’autres temps, été justiciable d’un usage des armes pour sa propre défense ou de la part de ses collègues pour celle de leur camarade agressé.
D’évidence, à présent, policiers et gendarmes n’osent plus faire usage de leurs armes, même dans des conditions de défense légitime, par la seule crainte d’être poursuivis par la Justice. Il y a là l’une des causes de la perte de l’autorité par des services de l’État pourtant seuls dépositaires de l’usage de la force.
En revanche, l’usage de la force illégale par des écologistes, anarchistes et autres Black Blocs, bénéficie d’une mansuétude de plus en plus évidente de la part de nombre de magistrats, au seul motif (prétexte ?) de l’individualisation des peines dans des circonstances notamment de maintien de l’ordre public, voire de rétablissement dudit, alors même que le port de tenues noires et de masques dans leurs actions de groupe empêche leur identification. N’y aurait-il pas aussi une forme de collusion idéologique qui pousserait à la mansuétude un certain nombre de magistrats, alors que pour les citoyens ordinaires ou les responsables politiques situés « hors de l’arc républicain », ces mêmes magistrats ont la main très dure ? La question peut donc se poser d’une justice politique au service du système en place.
Enfin, à quand le retour de la loi du 8 juin 1970, dite « loi anti-casseurs » ? Mais cela supposerait qu’au plan juridique la France recouvre sa souveraineté et donc qu’un référendum, approuvé par la majorité de nos concitoyens, réaccorde à notre Constitution la primauté sur toute autre disposition de traités… Ce n’est pas avec notre classe politique pusillanime actuelle que nous pourrions l’espérer…
Comme les citoyens de notre pays et surtout les plus simples et honnêtes, les forces de police en général en faisant partie. Ces derniers sont les coupables ? les ministres de l’Intérieur, les Premiers ministres, les présidents de la République, le plus grand nombre des députés successifs, innocents, blancs comme le charbon…
Rien de bien nouveau. Forts avec les faibles, faibles avec les forts. On l’a bien vu pendant le Covid quand les forces de l’ordre ont appliqué avec constance les ordres les plus débiles. Ils essayent de se rattraper en faisant maintenant de la communication, comme par exemple la distribution d’eau fraîche en bord de route aux automobilistes, pendant les grandes chaleurs. Constaté in situ.
Quand est-ce que le bras armé va se retourner pour rechercher qui commande à leur cerveau ?
Savez-vous que pendant la pandémie du Covid, le 17 était saturé d’appels de délateurs dénonçant leurs voisins ? Certains allant jusqu’à signaler à la police des cathos assistant à une messe où les distances de sécurité n’auraient pas été respectées, ou accuser des policiers ou gendarmes auprès de leur hiérarchie de manque de zèle à verbaliser ?
J’ai été moi-même arrêtée plusieurs fois pour non-port de masque ou circulation en dehors du périmètre autorisé, m’en tirant à chaque fois avec un simple rappel à la loi. Et je ne suis pas la seule dans ce cas.
J’ajoute et j’en termine, que des instructions avaient été données aux agents affectés aux standards de Police secours d’envoyer systématiquement promener les délateurs en leur rappelant fermement que le 17 était, uniquement, réservé aux urgences.
Oui, hélas, je sais. Il y a une vidéo encore visible où l’on voit un homme accompagner les gendarmes afin de leur montrer un couple sur une plage déserte.
Nous avons eu, délicatement posée dans notre boîte aux lettres, une seringue neuve dans son emballage destinée à la vaccination Covid. C’est à la suite de cet incident que j’ai posé une caméra.
« Dans quel monde vivons-nous ? Évolution ? Révolution ? Aberrations ? De quoi poser beaucoup de questions quant au devenir des enfants surtout et aux lendemains à venir.
J’ai sous les yeux cette pensée de Platon qu’il serait bon de méditer :
« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants.
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles.
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter.
Lorsque finalement, les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne se reconnaissent plus d’autorité au-dessus d’eux, alors c’est là le début de la tyrannie. »
Je crois qu’il n’y a pas de commentaire, sinon le constat de cette vérité dans l’aujourd’hui dans lequel nous vivons.
Toutes générations confondues.