Je l’avoue : j’ai un peu peur de formuler cette interrogation. Je pressens les tombereaux d’insultes qui vont se déverser sur moi, notamment dans ce cloaque qu’est souvent Twitter, et dont la moindre sera l’accusation de penser et d’écrire comme le RN. Ce reproche sera grotesque mais il constituera, comme d’habitude, l’argumentation simpliste de ceux qui n’en ont pas d’autre.
Mais qu’importe ! L’avantage décisif d’une vie intellectuelle libre et dénuée d’ambition officielle est qu’elle a le droit de tout se permettre et de ne pas récuser l’expression de la vérité au prétexte que celle-ci sera jugée indécente, provocatrice, scandaleuse.
Laissons immédiatement de côté les débats périphériques qui n’ont généralement pour objectif que de vous détourner du questionnement central, de la problématique radicale.
L’ensauvagement et le doute lexical s’attachant à ce terme ne seront pas mon sujet.
Pas davantage que celui de l’existence débridée d’une délinquance et d’une criminalité qui augmentent, notamment dans leurs manifestations quotidiennes de plus en plus liées à une contestation de l’autorité, quelle que soit sa forme. Même les naïfs ou les humanistes en chambre n’auront plus le culot ou l’inconscience de discuter le fléau de cette réalité mais tout au plus celui de son ampleur.
Le coeur de mon billet va concerner cette interrogation dominante mais toujours éludée : qui ensauvage la France ?
Il me plaît de donner une interprétation élargie de cette dérive car elle ne se rapporte pas qu’à la matérialité d’infractions portant atteinte aux personnes et aux biens mais aussi à des comportements et à des propos qui participent d’une dégradation honteuse et, le pire, revendiquée de la politesse sociale et du respect humain.
Qui a traité Eric Zemmour de sous-humain avant de retirer son tweet sous l’effet d’une réprobation générale mais de « pisser » sur lui et ses soutiens ?
Qui a vanté la pratique de la polygamie et insulté la police en prétendant qu’elle massacrait des gens à cause de la couleur de leur peau ?
Qui a agressé et tué Philippe Monguillot à Bayonne parce que conducteur d’autobus exemplaire, il avait voulu faire respecter l’ordre et la loi ?
Qui, sans permis, sous l’emprise de la drogue, récidiviste, a été responsable de la mort de la gendarme Mélanie Lemée ?
Qui à Seynod a insulté et agressé des chasseurs alpins faisant tranquillement leur footing ?
Qui multiplie les refus d’obtempérer, se soustrait aux interpellations de la police avec des conséquences souvent dramatiques que leur mauvaise foi et le soutien médiatique imputeront systématiquement aux FDO ?
Qui dans les cités et les quartiers sensibles se livre au trafic de stupéfiants, terrorise les résidents honnêtes, empêche les interventions de la police ou n’hésite pas à exercer des violences de toutes sortes contre elle ?
Qui tend des guet-apens aux pompiers et à la police ?
Qui s’en est pris à des citoyens rappelant l’obligation du masque dans une laverie ou ailleurs ? Qui est revenu, après s’être vu interdire l’accès à un bus à cause de ce manque, pour frapper le conducteur ?
Qui a mis en branle une effrayante bataille de rue à Fleury-Mérogis où deux bandes armées se sont opposées pour une « embrouille » de drogue ?
Qui sème la panique dans les centres de loisirs, comme à Etampes récemment ?
Qui commet des cambriolages où on défèque sur le visage d’une victime de 85 ans, comme au Croisic ?
Qui, en bande, se comporte dans l’espace public comme en terrain conquis, sans souci d’autrui mais avec l’arrogante certitude de l’impunité ?
Qui vient, jour après jour, remplir la déplorable chronique des transgressions, des plus minimes aux plus graves ?
Qui, pour tout et n’importe quoi, s’en prend aux maires au point que l’un d’eux, frappé, doit se satisfaire d’un rappel à la loi pour son agresseur campeur violent, l’anonymat systématique concédé aux transgresseurs laissant présumer leur origine ?
Qui sont ces jeunes Français interdits de revenir à la piscine d’une commune suisse proche de la frontière française, parce qu’ils perturbaient la tranquillité du lieu ?
Qui, majeurs ou mineurs, se livrent au pire au point que la majorité des citoyens prend acte avec accablement de ce qui se commet sur tout le territoire national et n’espère plus le moindre redressement politique et judiciaire ?
On comprendra que ces interrogations sont de pure forme puisqu’à tout coup la responsabilité incombe à des fauteurs d’origine étrangère, maghrébine ou africaine, parés nominalement de la nationalité française grâce à un droit du sol qui n’a plus aucun sens puisqu’on l’offre mécaniquement à des générations qui haïssent ce cadeau et dévoient cet honneur.
Sans oublier les clandestins qui se glissent dans ces bandes ou participent à ces exactions.
L’infinie pudeur médiatique avec laquelle, dans neuf cas sur dix, on occulte les identités est la preuve la plus éclatante de l’écrasante domination de ces Français dans le tableau pénal national et dans les prisons, notamment en Île-de-France.
Le refus entêté d’authentiques statistiques ethniques est également un indice capital qui explique la répugnance de la bienséance à prendre la mesure d’une réalité qui démolirait ses préjugés et sa bonne conscience.
Est-ce à dire qu’il n’existe pas des voyous français de souche ? Assurément il y en a mais leur rareté est démontrée par le fait troublant que, si l’un d’eux est impliqué – une agression contre une mosquée à Bayonne par exemple -, on peut être sûr qu’on aura son identité complète, son âge, son passé judiciaire et sa structure familiale. Ces données sont si chichement communiquées dans les comptes rendus habituels qu’aucune hésitation n’est possible et l’appréciation quantitative vite opérée.
Qui ensauvage la France ? S’accorder sur le constat que je propose ne permettra pas de résoudre magiquement le problème lancinant causé par ces jeunes Français d’origine africaine ou maghrébine et ces étrangers en situation irrégulière (il va de soi que tous ne sont pas à stigmatiser dans ces catégories) mais au moins ne nous voilons plus la face.
On a trop longtemps refusé de répondre à cette interrogation, non pas à cause d’une quelconque incertitude mais parce que la vérité nous aurait encore plus confrontés à notre impuissance. Le désarroi d’une démocratie désarmée, répugnant à user de tout ce qu’elle aurait le droit d’accomplir, aspirant à l’ordre mais sans la force !
Et terrorisée, depuis trop longtemps, à l’idée d’aller sur les brisées du FN-RN… Paradoxalement, et tristement, en refusant de lui donner raison sur ce plan, on ne lui donne pas tort assez vigoureusement pour le reste…
L’ensauvagement que je dénonce et que j’impute n’est pas relié à la dégradation apparemment paisible mais insinuante, irrésistible, de notre vivre-ensemble à cause d’un séparatisme, caractérisé notamment par le voile et dont la finalité est plus politique que strictement religieuse. Ni à des modalités d’éducation ni à des politiques sans doute critiquables, comme le regroupement familial, qui ont favorisé la concentration de communautés en des lieux qui ont été rendus invivables et délabrés au fil du temps.
C’est la perversion des attitudes individuelles que je mets en cause, au singulier mais le plus souvent au pluriel. La société n’est pas créatrice de ces malfaisances répétées de toutes sortes.
L’immigration légale n’est pas coupable mais la clandestine contre laquelle jusqu’à aujourd’hui on lutte mal. Et, au sein de la première comme de la seconde, les délinquants déshonorant l’une et profitant de l’autre.
Les solutions pour combattre cette réalité, après en avoir pris acte sans barguigner, imposeront, outre un courage politique de tous les instants et une politique du verbe sans complaisance, expulsions et éloignements à un rythme soutenu, une action équitable dans sa rigueur, une police et une gendarmerie accordées avec une justice sans faiblesse, une exécution des sanctions efficace et réactive et, surtout, le retour des peines plancher sans lesquelles la magistrature ne tirera jamais assez la conséquence de certains passés judiciaires.
Rien de plus navrant, en effet, qu’un Etat sans autorité, une justice sans crédibilité et des FDO sans soutien.
Il conviendra de remettre en discussion, dans un débat honnête, sans excommunication, le droit du sol. Envisager, aujourd’hui, dans une France éclatée, son effacement n’est ni inhumain ni contraire à une tradition dont les effets sont devenus dévastateurs. Ou alors continuons à révérer, contre vents et marées, celle-ci, et laissons l’ensauvagement de notre pays se poursuivre. Notre noblesse abstraite sera garantie mais non la sauvegarde de notre nation.
On sait qui ensauvage la France. Ne fermons plus les yeux.
Apeuré légèrement en commençant ce billet, je le termine en le jugeant nécessaire et, je l’espère, convaincant.
Un fleuve de mots pour ne pas dire les choses simplement. Car il manque deux mots clés dans ce long article. 1: « noirs » et 2 : « arabes » (même si vous dites africains et maghrébins). Tout le monde sait. Tout le monde le pense. Mais il est interdit de prononcer ces mots simples.
« Je le termine en le jugeant nécessaire et, je l’espère, convaincant. »
BRAVO ! Il est plus que nécessaire, il est indispensable.
La France a besoin de cet exemple de courage !
Trop de Français en sont convaincus mais se taisent !
Que d’autres ex-professionnels de l’ordre et de la justice publient des blogs et tweets de ce genre !
Que tous les saltimbanques qui signent des pétitions indignes au nom d’un Traoré signent enfin des pétitions pour protester au nom de Philippe Monguillot, Mélanie Lemée et tant d’autres ! Sinon, que le gouvernement sabre leurs subventions !
Que les citoyens se rebellent dans les supermarchés, sur les trottoirs et ailleurs en humiliant les voyous !
Que les citoyens français reprennent, ensemble, contrôle de leur patrie, ils savent se mobiliser vêtus de gilets jaunes contre une taxe carbone à cette occasion ils oubliaient que le carbone est noir et le pétrole dont il est fait est en majorité musulman.
Que les citoyens français d’origine africaine et maghrébine qui aiment ce pays, ils sont la majorité, fassent le ménage chez eux, en famille !
Que Miss Obono se fasse entendre au Parlement et explique comment les choses se passent vraiment, chez elle au Gabon et ses voisins et pourquoi ses parents en sont partis et qu’elle nous ponde une loi de répression à la gabonaise !
C’est à nous tous de régler ce problème, de parler franc !
Ou alors baissons pavillon et élisons MLP et ses mignons ! Car depuis déjà quelque temps elle n’a plus qu’à attendre, nos médias font le travail pour elle.
« Il conviendra de remettre en discussion, dans un débat honnête, sans excommunication, le droit du sol. »
Et la double nationalité, vu le principe d’égalité ? ou alors parlons de fraction de nationalité…
Mais les discussions ou les débats honnêtes est-ce bien encore approprié comme seule réaction ?
Rappel à la loi !
Avec ou sans médiations ! Les Procureurs ne seraient donc pas assistés de psychologues capables de prendre en compte la gravité de certaines plaintes et faire en sorte que les « médiateurs » posent les bonnes questions ?
Evitent le parti pris, les conditionnements au faciès et autres salades sentimentalo-résolution-du-problème-rapidement !
Sinon, rappeler à la Loi des personnes qui l’ont déjà enfreinte…
La nouvelle spécialité, c’est le classement sans suite des plaintes pour harcèlement… C’était quoi la Loi relative aux faits de harcèlement ?
Car le harcèlement concernerait plusieurs lois lorsqu’il dure dans le temps…
Il ne faudrait pas se mettre à chipoter !!
« Apeuré légèrement en commençant ce billet… » (PB)
J’aurais plutôt écrit « en finissant ce billet »…
Tant le politiquement correct va vous pourrir.
On sent que les têtes jadis courbées se relèvent.
Merci, n’ayez pas peur, vous n’êtes pas seul.
Bonjour M. Bilger, il n’y a aucune honte à « écrire comme le RN », quand le RN égrène des évidences, notamment en termes d’immigration et d’insécurité.
Oui, votre post va vous attirer les foudres des IGEB (islamo-gaucho-écolo-bobo).
Alors… continuez !
Rien qu’un mot: bravo !
Bonjour,
Ceux qui ensauvagent le France, ceux qui « qui participent d’une dégradation honteuse et, le pire, revendiquée de la politesse sociale et du respect humain » le font par haine de la France. Ils sont certes issus de l’immigration mais ont des origines dans les anciennes colonies. Une partie de la classe politique, l’extrême gauche, leurs a inculqué cette haine du pays colonisateur. Ils reportent sur la France leurs échecs sociaux, scolaires, d’intégration… Les immigrés non originaires de ces anciennes colonies n’ont pas ce comportement de sauvage.
Une partie du RN répand aussi une haine contre les immigrés et nous assistons à une confrontation de haines qui mine notre vivre-ensemble.
Les responsables politiques de la Nation ne proposent aucune solution positive répondant aux problèmes posés: chômage, déclassement… La communauté nationale n’est plus cet ensemble d’union et de solidarités pour affronter l’avenir, elle n’englobe plus toutes les autres communautés: chrétiens, juifs, musulmans, Alsaciens, Occitans, Bretons…
La solution passe par la reconstitution de cette communauté nationale, un système juridique, et l’autorité qui va avec, ne résoudra rien s’il n’est pas basé sur le partage de valeurs morales partagées par la communauté nationale.
Cordialement
« On sait qui ensauvage la France. Ne fermons plus les yeux. » (PB)
Merci mille fois pour ce billet qui pose la vraie question.
Mais la macronie, La France soumise de Mélenchon, les EELV vous disent que vous avez tort… par lâcheté, par soumission, par clientélisme, démagogie… Honte à tous ces tristes sires.
Qui ensauvage la France, qui « racialise » et « indigénise » la France (gang Traoré, Camélia Jordana, Rokhaya Diallo, Lilian Thuram, Omar Sy, Mathieu Kassovitz etc.), qui fracture la France, qui islamise la France ?
Qui est raciste ? Qui est fasciste ?
Les Français, en grande majorité, ne sont pas (ou n’étaient pas) racistes mais à force de provocation, ils vont finir par le devenir, eux aussi. Ces Français sont pour la plupart athées et on leur casse les pieds avec des histoires de religions rétrogrades et barbares. La majorité des Français ne vont plus voter, écœurés par toute cette régression. La REGRESSION EN MARCHE !
Islam modéré, un oxymore.
Bernard Rougier : « L’islamisme est une machine à détruire la France »
https://www.marianne.net/societe/bernard-rougier-l-islamisme-est-une-machine-detruire-la-france
Quand on écrit stop à l’immigration clandestine non choisie et subie, quand on écrit expulsion massive, tolérance zéro, justice ferme et qui applique rapidement les sanctions, peines de prisons effectuées et non l’inverse (la grande mode de Belloubet et Dupond-Moretti est de vider les prisons et les hôpitaux psychiatriques) etc. On vous rit au nez !
Le « progressisme » en Marche = le chaos et l’anarchie en Marche !
Quand l’Etat n’a plus de pouvoir, c’est la tyrannie et le chaos qui prennent le place.
« Insécurité : non-assistance à République en danger »
« Il faudra donc plus que des entrechats pour vaincre les moulins de la violence. D’autant que le « Kärcher » de Nicolas Sarkozy est déjà passé par là, avec son cortège de désillusions. S’en tenir à une énième bourdieuserie pour qualifier l’immoralité décomplexée à l’œuvre relèverait cette fois, non plus d’une faute, mais d’un crime de non-assistance à République en danger. » Ghislain Benhessa (Valeurs Actuelles)
https://www.valeursactuelles.com/politique/insecurite-non-assistance-republique-en-danger-122571
Et tous ces personnages politiques qui plastronnent, jouent les matamores ailleurs qu’en France, font du théâtre en chemise blanche, ne peuvent plus nous dire qu’ils ne savent pas.
Qui ensauvage la France ???
Ben voyons, la justice islamogauchiste du mur des cons, la première coupable de crimes contre la société, de non assistance à citoyens en danger et de complicité avec les délinquants, les caïds et dealers des teucies.
La gauche a généré ce monstre judiciaire au-dessus des lois depuis Badinter, en a remis des couches avec la répugnante Taubira et l’ignoble Belloubet.
Les droits de l’homme sont devenus les droits des racailles, les associations gauchistes antiracistes racialistes indigénistes surveillent tout débordement allant à l’encontre de leur dictature bien-pensante à sens unique et le répriment lourdement.
À ce menu très indigeste, il faut ajouter les soutiens des élus PS PCF LFI EELV, ces traîtres à la nation qu’ils détruisent lentement mais sûrement.
Mais comment donc font les autres ?
Voir par exemple ici où le concept d’immigration illégale serait à proprement parler absent du droit:
https://www.canada.ca/fr/services/police/servicespolice/crime-prevention-du-crime/traite-personnes.html
Et où les aspirants à une migration canadienne entrés dans ce pays à un autre point d’accès que les points d’entrée officiels, voient leurs demandes cependant traitées à l’égal de toute autre demande, à savoir comme indiqué ICI : http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/index.html
On sent que vous prenez des pincettes… mais le fond est bien là.
Merci pour ce billet Monsieur Bilger.
Tous comptes faits, c’est plutôt satisfaisant qu' »on » s’en prenne aux maires.
Que les « on » continuent et la strate supérieure (députés, sénateurs…) va commencer à se dire qu’elle pourrait bien être la prochaine sur la liste.
Et comme la peur est le commencement de la sagesse…
Excellent…
On est étonné cependant qu’il ait fallu quinze ans à Philippe Bilger pour nommer ce que tout un chacun voyait, lui le premier.
Son blog existe depuis 2005.
Il mentait par omission.
Mieux vaut tard que jamais.
Cher Monsieur j’attendais ces propos. Sous cette forme et venant de vous ils sont précieux.
Petite correction : ajoutez « pas » à certainement
Pourquoi, si ce n’est par des allusions, ne pas évoquer plus clairement le rôle de la culture médiatique, qui, par son indulgence systématique pour tous les désordres et par son procès sans cesse recommencé des institutions, est un encouragement au développement de tous les ensauvagements, en paralysant toute tentative de réaction
Où est la cause de cette dérive : les hommes ou le système ?
Justice laxiste et complaisante.
«La harangue du juge Baudot reste la bible de la gauche judiciaire»
FIGAROVOX/TRIBUNE – En 1968, un membre du Syndicat de la magistrature (gauche et extrême gauche) a écrit un texte ouvertement idéologique. La doctrine qu’il expose continue d’imprégner les ministres venus de la gauche, analyse l’ancien juge d’instruction Hervé Lehman.
https://www.lefigaro.fr/vox/politique/la-harangue-du-juge-baudot-ou-la-bible-de-la-gauche-judiciaire-20200623
Sur la photo de cet article, vous avez N. Belloubet, l’inénarrable C. Castaner et il nous manque le petit nouveau, Dupond-Moretti.
Au fait, au point où nous en sommes, il serait question de libérer Guy Georges !
Pauvre assassin qui est, depuis quelques années, en prison…
Je lis, par ailleurs, que de plus en plus de Juifs quittent la France. Nous allons les regretter, il nous restera donc les racailles, les assassins, les islamistes et les collabos de toute cette engeance… Nous voilà bien, nous vivons une époque formidable.
Magnifique billet, lucide et courageux, bravo monsieur Bilger.
Excellent billet de notre cher Philippe Bilger dont nous connaissons la modération proverbiale mais qui a su, devant les évidences, nommer un chat un chat et les choses pour ce qu’elles sont là où d’autres, à commencer par ceux dont la mission est en principe de maintenir l’ordre et la paix civile, ont tendance à se voiler la face et à user d’expédients légaux pour cacher la poussière sous le tapis en se gardant d’aborder le fond du problème, afin de faire croire aux benêts que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Oui monsieur Bilger, votre billet est aussi nécessaire que convaincant, et à travers lui, vous avez fait votre devoir de Français à votre place et avec les moyens dont vous disposez.
Et qui, ne tirant pas les conclusions de l’échec d’une colonisation désastreuse, a continué à ethniciser les erreurs des illusions de sa domination ?
Vos craintes décrites au début de votre billet sont démontrées par celui-ci.
L’Occident a, pendant longtemps, consommé à 20 % de la population mondiale, 80 % des richesses, que maintenant les 20 deviennent 1 % participe d’une logique qui, si elle ne légitime certainement pas les comportements odieux que vous décrivez, en explique les désordres.
On ne rétablira pas l’ordre démocratique en faisant l’économie de cet aggiornamento historique, et tant que nos élites, de Barre à Cahuzac, se comporteront comme elles se comportent, il est vain de penser que ceux qui sont persuadés d’être floués par cette réalité pourront accéder au pardon des offenses et au respect de la loi, l’exemple en ce sens le plus probant étant ce paradoxe où l’argent sale de la drogue et des armes soutient ceux dont la société ne sait plus s’occuper, et permet en temps de crise à nos économies de ne pas sombrer.
La couleur de peau, même s’il ne faut pas en sous-estimer la réalité, est loin d’être la cause unique de nos maux.
Se focaliser sur elle seule nous promettrait alors un avenir libanais, nous avons les moyens de faire mieux que les moranito-hezbolliens, n’en déplaise à tous les faschoïdes qui cèdent à la facilité de ne pas savoir tirer les enseignements de notre histoire.
Merci pour ce billet courageux et très lucide.
Sur l’une des photos de l’agression dans la laverie diffusées par la presse, on voit deux hommes en train de frapper la victime avec de longs bâtons (ou battes de base-ball). Ils sont tous deux vêtus de cette longue tunique blanche caractéristique des… Juifs hassidiques ? orthodoxes bulgares ? évangéliques américains ?
Aidez-moi, bon sang, j’ai un trou de mémoire.
Billet lucide et courageux ! Les solutions pourraient exister mais… le Conseil d’État et/ou le Conseil constitutionnel veillent !
Laxisme, faux humanisme… Les ravages se poursuivent :
Que fait en liberté une fichée S condamnée pour apologie du terrorisme qui refuse de retirer son niqab au commissariat ?
« Elle est en liberté par la grâce d’un juge qui a refusé de suivre les réquisitions du parquet. Il est intoxiqué le matin par la radio d’Etat. Il sort de l’École Nationale de la Magistrature où des juges du SM lui ont lavé le cerveau. Sa génération a été insidieusement décérébrée » G-W Goldnadel
https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1292941960525774852?fbclid=IwAR3Xp0P8fYh16CCWrVPAJM8PySZcY_FUWdcLYYa6Eqwd0LoTylIzZfs9owk
Nous attendons avec impatience les commentaires à votre billet des journaleux de service à savoir L. Joffrin, J-M Aphatie entre autres… Les journaux « Le Monde », « Libération », les radios de « sévice public » France Inter et France Info, BFM Macron etc.
Bonjour Philippe,
Bonne question.
Je dirais Morveux 1er, Ferrand (le perroquet sur son perchoir), Benalla, Rugy…
Allez hop, un peu de chloroquine et tout ira mieux.
Qui ensauvage la France ?
Puis-je, M. Bilger, m’adresser à vous comme à un ami ?
Si cette permission m’est accordée, alors je pourrais vous dire que l’emploi même de ce mot « ensauvagement » est d’une absurdité et d’une nullité qui devrait vous faire utiliser d’autres mots plus pertinents et qui diraient ce qu’il en est véritablement de notre société.
Ceci est la prémisse, j’ajoute que je suis étonnée par la mesure et la pondération des intervenants, dont les propos du café du commerce étonnent et subjuguent.
J’écarte bien évidemment la question sur la fashion week de Marchenoir, qui est particulièrement intéressante puisqu’elle nous donne à voir qu’il a un humour indéniable, que j’ignorais jusqu’ici…
Donc et pour revenir à nos moutons, j’aborderai in medias res le sujet brûlant, que dis-je, sanglant de votre exposé, et je dirais si cela n’est pas trop violent, auquel cas il faudra supprimer ma contribution, lorsque vous nous dites naïvement : les noms des « sauvages » ne sont pas cités par la presse lors de ces dramatiques faits divers, qu’ils sont, pourtant, compris par tous de la même manière, et la conclusion qui arrive aussitôt réduit la déploration de cette absence d’information à un jeu morbide et délétère qui est encore et toujours le même.
Dès lors, le but que vous vous êtes fixé est semble-t-il trop élevé ou trop risqué pour nommer les choses proprement. Cela est assez ennuyeux, mais également un signe de défaillance de la pensée.
Il faut nous dire précisément ce qu’il en est, et chercher la racine du mal, car si la chose est grave, elle est perdue quand sur un blog de cette qualité, le jeu consiste à noyer le poisson, j’ai moi-même par fausseté et couardise, refusé d’employer les termes appropriés dans des circonstances analogues.
Cette lâcheté, qui est le propre de l’homme policé, consiste à faire prendre les effets pour la cause, à cet exercice nous avons ici moult experts, dont la compétence est assez remarquable, qui consiste à travestir la réalité et à donner aux veaux le foin qu’ils réclament.
La facilité est confortable certes, mais son effet n’est pas admirable, et d’ailleurs il ne me viendrait pas à l’idée d’admirer votre propos, alors que je soupçonne chez vous une acuité plus grande, ainsi, j’espérais une proposition de haute voltige, je vous vois timoré et craintif, ce dont vous vous défendez, étonnamment.
Les délinquants sont des délinquants, quelle que soit la couleur de leur peau, ou leur choix vestimentaire, et ils sont excessivement utiles à ceux qui gouvernent, pour des raisons hautement politiques et subtiles que je n’ai pas le temps de développer, et c’est ainsi que la sottise crasse inonde la masse ignorante et inculte.
Et l’ignorance M. Bilger, a de beaux jours devant elle, quand un homme de votre qualité reprend à son compte des raisonnements qui n’en sont pas.
Mais dites-nous plutôt pourquoi certaines lois, élaborées, votées et appliquées, ont permis que les maux se déversent comme d’une corne d’abondance sans que la révolte ne soulève les hommes de bonne volonté ? La mort est partout, vous le voyez comme moi, elle est surtout dans la main de l’autre, elle est aussi dans la vôtre, et le pire est qu’elle n’est pas absente de la mienne. L’Homme est un loup pour l’Homme, avec « bonheur » semble-t-il…
Du renoncement à toute autre ambition que celle de l’honneur.
Reste à se poser la question de la cause qui est que les Africains sont condamnés à constituer en Europe à moins qu’ils la submergent, une classe de deuxième ordre en raison du racisme naturel de l’espèce humaine comme de toutes les espèces.
Naufragé au large d’îles occupées l’une par des femmes blanches, une autre par des noires et une autre encore par des jaunes, un blanc ira vers celle occupée par les blanches parce que « qui se ressemble s’assemble » est une loi de la nature.
Et là où ça se complique sérieusement, c’est que les autres aussi parce qu’ils les trouvent plus belles !
Et pourquoi parmi les blanches, les blondes sont-elles les plus belles ?
Parce que leur couleur est celle de l’aura de la sainteté !
C’est ainsi que les Amérindiens ont pris les chefs espagnols blonds pour des Dieux en confondant la couleur de leur chevelure avec l’aura dorée.
Pour aller au-delà du racisme naturel, il faudrait voir les auras.
Mais les femmes et leur aura…
Il faudra aussi remettre les femmes aux fourneaux…
Je rejoins Aliocha.
Une bonne justice juge les individus pour leurs actes, par des groupes d’individus pour les actes de certains d’entre eux.
Quel que soit le nombre de noirs et d’arabes en prison, montrer du doigt « les noirs » ou « les arabes » est injuste et participe au climat de violence actuel.
Nous traversons un moment terrible, une crise de tous les dangers, où les accusations volent dans tous les sens, de façon de plus en plus frénétique, à la recherche de ou des coupable(s) idéal(s). Faisons l’effort d’en sortir avant que ne nous tombe dessus le drame cataclysmique qui se profile à l’horizon : cessons d’accuser autrui !
MORAND
Avant de parler de Morand, je crois devoir parler de moi. Non-Juif, il est impossible d’être moins antisémite que moi. Pour mille raisons. Par réflexion. Par connaissance de l’histoire. Je ne suis pas seulement philosémite, je suis ultra-sioniste. Je défends Israël, inconditionnellement. Je pense que si l’on demandait à un milliard de gens qui entourent ce petit pays d’appuyer sur un bouton pour anéantir Israël, ils le feraient joyeusement et sans hésiter. Je soutiens et je soutiendrai toute ma vie Israël.
Morand, maintenant. L’un d’entre vous a écrit sur le blog littéraire de Pierre Assouline que « Journal inutile » est un chef-d’oeuvre. Je l’ai déjà écrit ailleurs et je le pense très profondément. Document passionnant. Quand je tombe sur une phrase antisémite de Morand, elle me navre. JE NE COMPRENDS PAS COMMENT ON PEUT ÊTRE ANTISEMITE. Cet écrivain passionnant – un de mes préférés – quand il est antisémite, a, selon moi, un moment de bêtise, a un moment de non-pensée, a un passage à vide.
On me dira que le débat sur Morand peut nous ramener au débat sur Céline. « Bagatelles pour un massacre » est-il excusé par « Mort à crédit » ? Cette question m’intéresse peu car je n’ai jamais été fan du « bon » Céline et ses textes antisémites hystériques sont à vomir. Alors que j’ai lu tout Morand en cinquante ans avec délectation. Quand on aime La Fontaine, Molière, La Bruyère, Fénelon, Retz, Saint-Simon, Voltaire, Chamfort, Joubert… on peut aussi aimer Paul Morand, et l’on n’est pas forcé d’aimer Céline.
L’antisémitisme est un immense problème politique, philosophique, c’est d’abord une variété du racisme. On n’y réfléchira jamais trop. J’exècre tous les racismes.
Et j’adore Morand.
Oui, vous êtes convaincant cher P. Bilger.
Oui, ce sont certaines populations maghrébines et subsahariennes qui sont les principales causes de cet ensauvagement inouï de notre pays.
Oui, il y a des mesures d’urgence à prendre :
Moratoire de l’immigration pendant deux ans.
Résolutions de la situation des actuels mineurs illégaux.
Moratoire du droit d’asile pendant deux ans.
Refonte totale du regroupement familial.
Politique et instructions fermes du ministère de la Justice pour application stricte des lois votées.
Réexamen des critères d’attribution d’aides aux ONG complices.
Réexamen des critères d’attribution de la double nationalité.
Renvoi dans leur pays, avec accord des pays concernés, des délinquants à double nationalité.
Arrêt de la péééééééédagogie ! De l’action gouvernementale…
Une grande partie de la solution est dans les mains de votre ami… Dupond-Moretti.
Liste non exhaustive qui permettrait de mettre un coup d’arrêt à cet ensauvagement.
Mais… Mais cher P. Bilger, croyez-vous sincèrement que le Président actuel puisse mettre en oeuvre cette politique ? Il faudra se souvenir de cette question lors de la prochaine élection présidentielle, sans tenter de la mettre sous le tapis. Et ensuite, dans ce cas, venir se plaindre.
Vous êtes bien courageux. Merci. Attention au retour de bâton médiatique ou discret lors de la rentrée.
Cordialement.
« Qui ensauvage la France ? »
Eh ben dites donc passer directement des lettres d’amour de nos génies de la littérature française aux incivilités des petites cailleras de banlieue, la transition est brutale. D’autant que ces derniers n’ont jamais vraiment manifesté de l’intérêt pour la littérature et les matières associées (orthographe, grammaire et syntaxe).
Ce billet n’a vraiment rien à envier à ceux d’Ivan Rioufol dont certains abonnés ne manquent pas de nous faire part de leur exaspération face à cette délinquance des petits sauvageons qui ont perdu toute notion de respect et de civisme.
Déjà certaines voix de gauche se sont émues du terme « ensauvagement » prononcé par le nouveau ministre de l’Intérieur. Je trouve, pour ma part, le terme parfaitement approprié.
Et je pense qu’il est temps de mettre de l’ordre dans cette déliquescence sociétale qui ne peut que conduire notre société au pire.
Quoi que certains esprits chagrins pensent de Gérald Darmanin, je trouve qu’il a pris la mesure de sa charge et qu’il l’exerce parfaitement. Ce serait une grave erreur d’en changer.
Un billet courageux et exemplaire. Après la dénonciation des tartufferies, il faudra s’en prendre aux Tartuffe.
J’ai comme le sentiment PB que cela vous a fait du bien d’écrire ce billet, que cela vous a libéré, soulagé.
Eh bien sachez que sa lecture nous a, à nous aussi, fait énormément de bien.
Il est nécessaire et courageux que certains mettent l’accent sur des évidences que d’autres s’attachent à cacher, ce qui, par aveuglement, faiblesse et lâcheté coupables, ne peut que contribuer malheureusement à accentuer le problème et desservir les autres membres de ces mêmes communautés qui eux se conforment aux règles de vie de notre société.
Bravo et merci PB.
Monsieur Bilger,
Votre longue liste, qu’il m’est douloureux de lire après plus de 36 ans passés au service de la République, dénonce et nomme les maux qui accablent notre pays depuis les années 80. Peu d’intellectuels ont, dans ce pays, votre lucidité et votre courage.
Quant aux solutions évoquées je crains qu’il ne soit trop tard car les esprits des dernières générations ont été pervertis par ceux qui y avaient un intérêt personnel, professionnel ou politique. La régression politique, culturelle et morale fait désormais partie de notre quotidien tandis que la lutte contre la barbarie qui s’installe est trop souvent désavouée et condamnée. La bataille des idées semble perdue.
Pour autant, il arrive que parfois la vérité relève la tête.
Merci à vous.
Respectueusement
« L’homme ne renoncera jamais à la vraie souffrance, c’est-à-dire à la destruction et au chaos » Dostoïevski.
Monsieur,
Sans surprise, votre billet est largement plébiscité par la planète « Nous sommes chez nous ! ».
Pourtant, vous avez omis d’évoquer le bien-vivre ensemble des cités, des villes populaires il y a 50 ans. Malgré la diversité des origines, des cultures qui les peuplaient à l’époque.
Alors, pour continuer votre questionnaire.
Qui a incité les communautés à se regrouper par affinité pour faire plaisir aux bons citoyens, bien blancs, bien cultivés, avec un nom bien de chez nous ?
Qui a discriminé les jeunes Français d’origine étrangère quand il s’agissait de trouver un emploi ou un logement décent ?
Qui ne reconnaissait pas les mêmes droits aux Français suivant qu’ils étaient nés en métropole ou ailleurs ?
Comme quoi, rien n’est blanc, rien n’est noir et c’est dans le passé qu’il faut trouver l’origine de nos maux d’aujourd’hui.
Très bon billet, courageux. Tardif, cependant : le FN/ RN le dit depuis 40 ans. Même le PCF de Marchais le disait dès 1980.
Mais trop timide sur un point : l’immigration « légale » aussi doit cesser complètement. Être suspendue pour une génération.
Et je n’aime pas votre « apeuré ». Peur de qui ? De l’Obs ? Du Monde ? D’Assa Traoré !!
@ Aliocha
« Et qui, ne tirant pas les conclusions de l’échec d’une colonisation désastreuse, a continué à ethniciser les erreurs des illusions de sa domination ? »
Ce n’est pas ce que vous appelez sans nuances et en bloc la « colonisation » qui a été un échec mais plutôt la décolonisation, souvent bâclée sous une pression idéologique mondiale considérable dans le cadre de l’affrontement Est-Ouest et parfois accompagnée de violences sanglantes.
Sans tomber dans l’angélisme, la « colonisation » s’est la plupart du temps globalement traduite pour les populations concernées par plus de bienfaits que de méfaits : coup d’arrêt porté aux guerres tribales, fin de l’esclavage y compris local, amélioration considérable de la santé, suppression des famines, éducation, création d’infrastructures modernes, exploitation raisonnée et raisonnable des ressources, etc.
Il faut voir comment certains pays enrichis par le travail des « colons », comme par exemple le Zimbabwe qui était devenu grâce à eux le grenier à blé de l’Afrique, en sont tombés au point de ne plus pouvoir nourrir leur propre population après que ces derniers ont été chassés ou assassinés.
N’oublions tout de même pas non plus que cela fait une soixantaine d’années que la colonisation est terminée, alors pourquoi les pays concernés, qui se sont vu remettre en cadeau des infrastructures modernes et des sites agricoles performants qu’il suffisait de maintenir et d’exploiter au mieux, ont-ils régressé au lieu d’avoir fait un bon en avant économique ?
À titre d’exemple, le Japon qui a été quasiment rasé en 1945, qui a perdu du fait de la guerre une classe entière d’hommes jeunes, qui est privé de ressources naturelles, est cependant devenu à partir de 1965 la troisième puissance économique mondiale, à force de discipline et de travail acharné.
Cherchez l’erreur.
Enfin, la « colonisation » a bon dos : la Suède qui n’a colonisé brièvement que l’île de Saint-Barthélemy (dite Saint-Barth), et qui pratique un accueil plus que bienveillant de ses immigrés qu’elle surprotège, ne recueille aucune marque de reconnaissance de leur part au point de rencontrer aussi le même type de violences que chez nous.
C’est donc la preuve que le fond du problème ne réside pas dans la seule « colonisation », mais plutôt dans les mythes qui ont été forgés à son sujet, entre autres autour de la haine des Européens.
Monsieur Bilger,
Pouvez-vous nous rappeler pendant combien de décennies vous vous êtes rendu complice, par votre silence coupable, d’un angélisme judiciaire consistant à relâcher les délinquants sitôt interpellés ?
Le sentiment d’impunité n’est pas inné : il se construit au fil du temps.
Et force est de constater que les FDO ont soit baissé les bras, soit se sont radicalisées dans une violence aveugle tenant lieu d’exutoire à leur frustration.
Que la Justice s’interroge sur ses terribles responsabilités au lieu d’en dresser le constat consistant à enfoncer une porte ouverte.
Et idem, très souvent, pour les agressions homophobes, les femmes importunées salement dans la rue, un antisémitisme très ancré et agissant, les « rodéos », les tirs de mortier et voitures brûlées du 14 juillet, etc., etc.
À noter que ces « Français de papier » se définissent généralement par la nationalité de leurs parents ou grands-parents. Sauf quand leurs actes de déliquance les font arrêter à l’étranger, notamment en Thaïlande. Là ils revendiquent leur nationalité et « exigent » une intervention illico presto de « leur » consulat…
Française par adoption et très fière et reconnaissante de cet honneur, j’ai peur et mal pour le présent et l’avenir de ce pays qui m’a tout donné.
Peut-on imaginer Mongénéral faire du jet-ski ? Peut-on imaginer Mitterrand faire du ski ?
Le monde de la start-up est le monde de l’adolescent, nous élisons des gamins, pas pour gouverner, juste pour jouer.
La France est à sac, j’ai regardé les images de la laverie, c’est un meurtre qui a échoué, rien de plus, tout le reste est littérature, les coups auraient dévié de « deux centimètres » et la victime aurait fini à la morgue.
Désespérant !
Avec un peu de chance la victime ne sera pas inquiétée, les crapules ont toujours le beau rôle, on attend la publication de leur casier judiciaire.
Des crapules qui ne méritent même pas la corde pour les pendre, devant des enfants ils ont détruit un homme, jusqu’à quand il faudra-t-il endurer ces assassins ?
Twitter un cloaque ? Pourquoi y restez-vous ? Personnellement c’est parce que vous y êtes que je me laisse parfois aller à lire vos conn*ries racistes sur votre blog. Votre complaisance pour Zemmour s’explique mais point trop n’en faut car on voit bien que vous vous sentez toujours redevable à l’égard du moindre juif à cause de la culpabilité familiale. Et comme actuellement pour complaire à ces gens il vous faut taper sur les musulmans vous y allez gaiement !! J’ai beaucoup de compassion pour vous !
La France a réussi à se débarrasser de l’Ancien Régime, le régime féodal par lequel le pouvoir était concentré et partagé entre quelques familles. Les Bourbons ont été remerciés à coups de guillotine.
La France a réussi à fermer en 1830 le marché aux esclaves d’Alger qui pendant des décennies servait de plate-forme d’approvisionnement aux musulmans. Les Chrétiens étaient exploités jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Et maintenant, la féodalité de la racaille a fait son apparition en France. Ils sont là, dans nos villes, sur nos plages, dans nos campagnes. Ils pillent, violent, torturent à mort. Quand une femme est traînée sur 800 mètres par un véhicule jusqu’à ce que la malheureuse rende son dernier soupir, il s’agit bien d’un assassinat, de torture jusqu’à ce que mort s’ensuive.
La racaille exige des piscines gratuites, des logements avec des loyers dérisoires, il leur faut une allocation logement, un jardinier pour s’occuper de l’espace vert au pied des immeubles, un homme de ménage pour balayer les détritus à plus d’un mètre du mur de l’immeuble. Ensuite un employé de la ville passera pour ramasser les bouteilles en plastique, les paquets de cigarettes et les emballages de nourriture.
Mais qui paie pour cette gabegie ? La racaille a besoin de gratuité mais il n’y a pas de repas gratuit ! Ce sont les honnêtes gens qui régalent les voyous.
Toutes les excuses les plus éculées ont été ressassées, le sentiment d’impunité en est devenu d’autant plus fort. Le langage utilisé se veut apaisant, à l’opposé de la brutalité immonde des fauteurs de troubles. Le maire envisage de porter plainte, ou bien le médiateur va être saisi dans les délais raisonnables, ou bien le préfet va réunir une cellule composée d’experts. Au bout de dix plaintes classées sans suite, un procès aura peut-être lieu. Et même si le présumé coupable devait être condamné après des années de procédure, le juge d’application des peines sera confronté à un taux de remplissage des prisons tel que l’incarcération ne sera pas possible.
D’où viennent les chiffres selon lesquels 1 % des riches en France auraient 80 % des biens ? L’INSEE ne saurait-elle plus se servir des modèles statistiques à moins que les résultats soient devenus si dérangeants que les mensonges tiennent lieu de modèles ? J’aimerais bien savoir combien coûte réellement l’entretien des zones de non-droit dont on nous rebat les oreilles en disant qu’elles n’existent pas.
Les chiffres sont louches. Les Chinois ont une expression pour ça. « Pas trois, pas quatre », signifie mi-figue mi-raisin, pas fiable, louche.
La photo d’illustration est bien choisie, comme d’habitude. Les caméras de surveillance ne trichent pas, la vérité est là, captée par l’oeil électronique. Un père de famille, dans une laverie, est rossé par de la racaille habillée de tuniques musulmanes. Il ne s’agit pas d’un montage, les coups sont réels. Cette sauvagerie est immonde, l’âme de la France est en danger de mort.
« Qui ensauvage la France ? » (PB)
Allons droit au but. Ben ce sont les petits sauvageons aux incivilités non respectueuses pardi !
Ne comptons pas sur nos politiques aux mains moites pour assurer l’ordre et la sécurité. À nous de passer la tornade blanche pour un grand dégagisme.
Merci M. Bilger. J’attendais de pied ferme ce billet depuis longtemps. Enfin ! Croyez-moi que l’on ne va pas se gêner. Le ras-le-bol a franchi la ligne rouge depuis trop longtemps.
À nous de sonner le clairon !
Nicolas Sarkozy: « Vous en avez assez de cette bande de racailles ? Eh bien on va vous en débarrasser ».
On attend toujours ! Le Kärcher a pris feu aussi ?
Depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Elysée c’est encore pire, les violences gratuites, insultes, agressions mortelles se sont aggravées, les magasins, les biens publics et privés volent en éclats, devenus, selon la presse et TV, des crimes mais des faits divers sans donner de noms des malfaiteurs et des assassins immigrés en France.
Question à Emmanuel Macron: la France, toujours coupable de crimes contre l’humanité ? Ce genre de propos scandaleux tenus lors de son voyage en Algérie a donné des ailes à la racaille crapuleuse.
Continuons à les accueillir en France, continuons… et je vous promets que d’ici quelques petites années c’est la France qui deviendra une colonie d’Afrique sous la l’autorité du califat enturbanné et islamisé.
Mais avant que cela n’arrive, on passera inévitablement par un affrontement général sanglant ou une guerre civile, au choix. Soit ce sera la fin de la belle France, soit un retour massif de la racaille illégale et à double nationalité au pays d’origine. Avant, on leur retire la nationalité française en confisquant le passeport et on leur laisse leur nationalité d’origine avec son passeport.
Un voyage groupé par charter, ça se trouve. A l’arrivée, on les dépose à l’aéroport et on appelle les autorités du pays pour qu’ils viennent récupérer leur propre racaille.
Et hop ! Plus besoin de Kärcher, un coup de balai vite fait bien fait suffit pour faire le nettoyage. Quand on veut, on peut. Le droit de l’homme c’est fait pour vivre en paix, en sécurité chez soi et pas se faire insulter, massacrer et tuer dans son propre pays.
Cette vidéo est à l’image d’une France ensauvagée et violentée par la raclure importée, par le regroupement familial sans connaître la langue française (souvent) sans avoir les codes ni les règles à l’occidentale.
https://www.youtube.com/watch?v=46elMmbnqgQ
Des comme ça, il y en a par milliers sur YouTube. Le monde entier ne nous envie plus.
Une idée pour nos politiques de trouillards à la parole facile, dénués de tout acte réparateur.
– Au lieu de construire des prisons et nous faire encore dépenser un pognon de dingue, Emmanuel Macron, le Premier ministre, le ministre de la Justice et le ministre de l’Intérieur ainsi que les magistrats sont en première ligne pour redresser le pays et assurer la sécurité pour tous et faire régner l’ordre. Sinon, on doit changer toute cette technocratie inutile et passer la main aux personnalités plus compétentes.
En ce moment, au Liban les ministres démissionnent, et en France ils s’accrochent. Les nuls auront toujours une place en haut de l’affiche. Le gros salaire suit et nos impôts et taxes montent en flèche.
La rentrée à l’automne va être terrible.
Je crois que c’est la première fois que je suis aussi longue… c’est ma colère qui s’exprime.
Si la victime avait été blanche, ça aurait fait deux lignes dans les torchons et 30 secondes de TV.
À tous les coups ce sont deux Américains du Ku Klux Klan venus tout droit d’Alabama dans cette laverie. La vidéo le prouve.
C’est pas à Louise de Vilmorin que des tuiles pareilles arriveraient…
Bravo et merci à Monsieur Bilger pour son réquisitoire audacieux et clairvoyant.
On peut dire aussi qu’il y a une quantité non négligeable de personnes issues de l’immigration qui sont parfaitement intégrées, qui ont un job, qui respectent les lois de la République et qui représentent une diversité positive.
Mais les sauvageons sont une plaie pour le pays. Les moyens à disposition pour les neutraliser sont financés parcimonieusement. Par ailleurs l’action des pouvoirs publics est surtout verbale. Certains médias sont très complaisants. Après tout, le colonisateur mériterait sa punition éternelle.
La population française est lasse. Elle ne peut que constater l’impuissance.
La sanction interviendra dans les urnes et ce sera une nouvelle illusion.
Ce n’est plus une question de politique, mais de mathématiques : un pays peut intégrer quelques centaines, quelques milliers de personnes par an. Mais si ces chiffres passent à 50 000, 100 000, 200 000… et que l’immense majorité des migrants concernés sont, par définition, plus pauvres et moins éduqués que la population locale, il n’est plus physiquement possible d’intégrer une telle quantité de personnes.
Ouh là là… j’ai bien peur que cette fois votre cas soit définitivement entendu ci-devant Bilger 🙂 Ce que vous écrivez fait partie de ce qui doit être caché comme le sein de Tartuffe si j’ose dire !
Un point demeure toutefois à éclaircir : est-ce le fait d’une « extrême minorité » comme il est convenu de dire, ou est-ce le fait d’une minorité soutenue par la majorité ?? Je me demande même si dans des conditions de « rapport de force » favorables ce ne serait pas le fait d’une majorité… Personne ne répond de façon convaincante à cette question.
De l’aveuglement à la soumission il n’y a qu’un pas qui peut facilement être franchi dans cette période où nos dirigeants se cachent derrière des comités Théodule pour exacerber les peurs et où les citoyens des villes (du moins ceux qui en ont trouvé la force) n’ont rien trouvé de mieux que de voter pour des politiques rétrogrades dogmatiques qui soutiennent jusqu’au délire les revendications séparatistes de ces populations.
« Apeuré légèrement en commençant ce billet, je le termine en le jugeant nécessaire et, je l’espère, convaincant. »
Apeurés sont ceux qui subissent quotidiennement les agressions que vous mentionnez, apeurés sont ceux qui n’osent même pas porter plainte parce que des représailles pourraient s’abattre sur eux. Apeurés sont les commerçants ou policiers confrontés à la lie de notre pays entrée par des stratagèmes infâmes ou, plus grave, par le biais de procédures légales dont l’asile et le regroupement familial figurent en bonne place.
Comment continuer à supporter que des gens aux moeurs incompatibles avec notre mode de vie viennent nous dicter ce qu’il convient de penser et de faire ? Comment supporter qu’une Rokhaya Diallo éructe à la télévision sa haine anti-blanc en réclamant des pansements de couleur noire pour ne pas la stigmatiser ?
Et qu’on ne me rétorque pas que le racisme imprègne les Français. Ceux qui ont vécu à l’étranger peuvent témoigner que notre pays est sans doute l’un des moins atteints par ce sentiment de supériorité…
En revanche je me sens comme beaucoup « culturaliste », c’est-à-dire persuadé que si nous en sommes arrivés à un si haut niveau de protection des individus, de leurs expressions et de leurs comportements c’est par les vertus de notre civilisation judéo-chrétienne.
La violence, les agressions de toutes sortes sont d’essence anthropologique: les Africains, les Maghrébins ont baigné dès leur enfance dans des substrats éducationnels et religieux si différents des nôtres que, de facto, leur conduite est devenue insupportable.
Par comparaison, quid du comportement des Asiatiques chez nous: brûlent-ils des voitures, agressent-ils gratuitement des gens sans défense, font-ils du trafic de drogue à grande échelle ? non et chacun le sait.
Le mal est profond, y compris dans la jeune génération de Français. Dans un groupe Facebook dédié à Bordeaux, ville qui se singularise non pas par l’intelligence de son nouveau maire Vert mais par l’explosion du crime et de la délinquance, un internaute raconte que circulant à vélo dans le centre-ville vers 2h du matin, il lui prend de demander du feu à trois types rôdant dans les parages. Pas de chance, ceux-ci considérant que la proie était bonne, l’accablent de coups pour le plaisir. Un des internautes écrit avec humour que les trois en question devaient s’appeler Jean, Bernard et Luc… Il a été agoni par tous ceux qui pensaient que ses suppositions étaient racistes !! Voilà où nous en sommes arrivés: des moutons bien dociles allant tranquillement à l’abattoir… et en portant un masque bien entendu !!
Apeuré dites-vous Philippe Bilger ? Estimez-vous au contraire fier d’avoir décrit (partiellement) la réalité et affrontez les contradicteurs en les renvoyant dans l’enfer de leur mauvaise foi !
Merci Philippe Bilger.
Vous allez probablement vous faire « crucifier » pour tout cela.
Vous avez en tout cas toute mon admiration pour votre courage.
@ Aliocha
« Et qui, ne tirant pas les conclusions de l’échec d’une colonisation désastreuse, a continué à ethniciser les erreurs des illusions de sa domination ? »
Vous croyez vraiment que ce type de suppliques a les moindres chances de régler quoi que ce soit ? La colonisation, désastreuse ou pas, était inévitable. Et nous aurions tout aussi pu être les dindons de la farce si une autre partie du globe avait pris un ascendant culturel, scientifique et militaire suffisant. De toutes manières, je souhaite bien du bonheur à nos amis africains qui accueillent nos amis chinois…
« Vos craintes décrites au début de votre billet sont démontrées par celui-ci. L’Occident a, pendant longtemps, consommé à 20 % de la population mondiale, 80 % des richesses, que maintenant les 20 deviennent 1 % participe d’une logique qui, si elle ne légitime certainement pas les comportements odieux que vous décrivez, en explique les désordres. »
Non. Le présent n’est pas uniformément explicable par ce type de faits. Les cartes se rebattent à une vitesse effrénée à l’heure actuelle, et les problématiques politiques, qu’il s’agisse de celles en banlieues ou des désordres politiques dans des pays comme, au hasard, l’Egypte, ne s’expliquent plus simplement par ce passé. Les rancoeurs, oui, en partie, mais cela n’est pas suffisant comme facteur explicatif.
« On ne rétablira pas l’ordre démocratique en faisant l’économie de cet aggiornamento historique, et tant que nos élites, de Barre à Cahuzac, se comporteront comme elles se comportent, il est vain de penser que ceux qui sont persuadés d’être floués par cette réalité pourront accéder au pardon des offenses et au respect de la loi »
Vous êtes gonflé de demander aux autres de pardonner, puis de légitimer le refus de pardon d’autres personnes. Et si on oubliait ce concept fumeux de pardon pour traiter les problèmes un à un ? S’il faut imposer de l’ordre, il faut le faire et ne pas se voiler la face.
« l’exemple en ce sens le plus probant étant ce paradoxe où l’argent sale de la drogue et des armes soutient ceux dont la société ne sait plus s’occuper, et permet en temps de crise à nos économies de ne pas sombrer. »
Je ne pense pas que le lumpenprolétariat soit très demandeur d’aide. Vous les connaissez assez mal… semble-t-il. Au contraire, il y a une revendication d’autonomie assez forte chez les déclassés. L’assistanat, ce n’est pas nécessairement leur truc. Ils en profiteront, naturellement, mais ce n’est pas cela qui leur permettra de s’affranchir de leur condition. Cela l’enkyste en large partie. Je n’ai pas envie de me faire un chantre à deux balles de l’entrepreneuriat, mais face à l’inhumanité sociale profonde de l’assistanat, il y a quand même des solutions meilleures que d’autres.
« La couleur de peau, même s’il ne faut pas en sous-estimer la réalité, est loin d’être la cause unique de nos maux. »
Ce n’est pas ce que fait Monsieur Bilger ici. L’argument est de cesser de se voiler la face face à une réalité qui recoupe des lignes « raciales », comme on dit aux States. Déjà pour mieux l’appréhender et la penser. Ensuite, peut-être qu’on se rendra compte, de manière claire et nette, qu’on entasse en France des populations culturellement disparates dans des lieux précis, en mettant les nouveaux arrivants qui viennent d’encore plus loin au milieu d’une poudrière ayant des caractères ethniques pas vraiment représentatifs de la France profonde. Une fois ce constat fait, peut-être comprendra-t-on alors qu’il est idiot d’entasser de la « diversité » sur de la « diversité », créant des ghettos dans des ghettos, tout en le niant au nom d’un concept d’égalité dont la sémantique effective se limite à sa syntaxe.
« Se focaliser sur elle seule nous promettrait alors un avenir libanais »
La nier nous garantit de laisser cette question prendre la voie d’un avenir autonome de l’action de l’Etat et de la société au sens large. La meilleure manière de se créer un avenir libanais en faisant semblant de ne rien voir venir.
« nous avons les moyens de faire mieux que les moranito-hezbolliens, n’en déplaise à tous les faschoïdes qui cèdent à la facilité de ne pas savoir tirer les enseignements de notre histoire. »
Quelle histoire ? Le nazisme ? La situation actuelle n’a que peu à voir avec celle-là. Elle n’a que peu de rapport avec la colonisation non plus: il importe de garantir un véritable « vivre-ensemble » et de cesser de se payer de mots creux. Nous sommes vraiment dans une phase où il importe de casser les ghettos. De mon point de vue, cela demande bien plus qu’un effort policier, et un effort que nous n’arriverons pas à mettre en place sans avoir sous une forme ou sous une autre des statistiques ethniques. Si on veut réellement décloisonner les ghettos, il importe de pouvoir le mesurer.
Ou alors on peut laisser les faschoïdes, comme vous dites, se monter le melon en triturant l’épidémiologie de la dépranocytose pour mesurer le nombre de blacks en France. Et quand on mélange le racial et le médical pour de mauvaises raisons, on se rapproche davantage du nazisme qu’avec des statistiques ethniques honnêtes. C’est ce que vous voulez ? Que les gens continuent à délirer ?
@ Aliocha
« L’Occident a, pendant longtemps, consommé à 20 % de la population mondiale, 80 % des richesses, que maintenant les 20 deviennent 1 % participe d’une logique qui, si elle ne légitime certainement pas les comportements odieux que vous décrivez, en explique les désordres. »
Bien sûr, bien sûr: qui a inventé les vaccins, quid des découvertes médicales qui permettent l’allongement de la durée de la vie ?
Qui est à l’origine des découvertes techniques, agricoles et industrielles qui rendent notre monde plus vivable et durable ?
Répondre à cette question vous épargnera les jérémiades habituelles !
@ Ellen
L’invasion islamique au Liban. Vidéo de Brigitte Gabriel, libano-américaine. Pourquoi elle a fui son pays.
https://www.youtube.com/watch?v=FEptGbG-OX8
« Brigitte Gabriel témoigne de l’angélisme du multiculturalisme qui a laissé augmenter démographiquement l’islam au Liban et sa conséquence catastrophique pour la civilisation moderne occidentale, les « infidèles », quand l’islam conquérant est devenu fort. »
Non, pas convaincant, votre billet, vous enfilez des perles… Tentons plutôt collectivement d’apporter des solutions aux problèmes bien connus que vous décrivez. Comment régler le problèmes des banlieues, comment redéfinir la laïcité et faire une place à une nouvelle religion monothéiste en Europe, comment s’assurer que l’Education nationale joue son rôle d’ascenseur social malgré les difficultés économiques, comment développer la diversité dans les grandes écoles, etc. Car la répression, certes indispensable, ne suffira évidemment pas.
Et ce n’est qu’un début !
Maintenant c’est une tribu entière de 60 individus de tous âges qui fait des « expéditions punitives ».
Et ça date de ce week-end.
https://actu.fr/pays-de-la-loire/chateaubriant_44036/violences-a-chateaubriant-une-mere-et-son-fils-agresses-chez-eux-par-une-soixantaine-d-individus_35432177.html/amp?fbclid=IwAR3nZRaGLqVHH-cqgAqdL22YCA0jrFceAA_xRVQkAlaU4UEUSkpU_XvoFBM
Des chiffres que je ne connaissais pas: « La même dichotomie Paris-province s’observe à propos de la présence des immigrés extra-européens et de leurs enfants : en 1990, ils représentaient 16 % de la population dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants, mais 26 % en 2015. »
Source, Le Monde du 31 juillet https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/07/31/la-segregation-residentielle-en-france-recule-excepte-en-region-parisienne_6047769_3224.html
Pour ceux que ça intéresse et qui me l’avaient demandé, le courrier que j’avais adressé au Président au sujet de sa classification en « incivilités » des actes de violence extrême a reçu réponse :
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Monsieur,
La correspondance que vous avez souhaité adresser au président de la République lui est bien parvenue.
Il m’a confié le soin de vous répondre.
Attentif à votre démarche, le chef de l’Etat tient à vous assurer qu’il en a bien été pris connaissance.
Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Rodrigue FURCY
Directeur de Cabinet adjoint
N° PDR/CP/BCP/BR/A051707
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Je pense que si des centaines, voire des milliers de citoyens lui écrivaient individuellement cela aurait plus de portée qu’une pétition !
Mouais « en même temps » le billet de Philippe j’aurais pu l’écrire moi-même… c’est du pur « sylvain ».
Parfois je me demande si je ne suis pas sa muse, son modèle, copieur va !
Bon allez, dégonflons les chevilles et atterrissons, les analyses sont les mêmes mais plus fines chez Philippe et de haute qualité par rapport aux miennes plus textos, plus pilier de comptoir au café des sports.
» …l’accusation de penser et d’écrire comme le RN… »
C’est une absurdité paralysante de plus. Car le respect des règles de la vie en société, une société organisée et civilisée, n’est pas une préoccupation exclusive de la droite extrême. C’est celle de tous les partis conscients du bien commun. Faut-il rappeler qu’en d’autres temps, les sociétés communistes se vantaient de leur faible taux de criminalité ? Et pour cause.
Et que dans certains pays exotiques on coupe la main des voleurs. Ce ne sont pourtant pas les copains du FN.
Et que, dans un passé bien plus ancien, les Dix Commandements traçaient le cadre de la vie avec les autres.
Merci pour cet excellent billet rédigé avec verve. Espérons que Macron le lira.
@ Peter Marsoon
Pas sûr que vous ayez raison, les statistiques ethniques allemandes de criminalité mettent de très loin en tête deux pays du Nord de l’Afrique.
Voilà un « coming out » bienvenu ! Au bon moment, au bon endroit. Un cri nécessaire, salutaire, sur le ton qui sied, sans l’excès du RN, sans les précautions de langage que la gauche impose. Il est d’autant plus important que son auteur est une personnalité respectée du monde judiciaire, connue pour sa modération et son humanisme.
Le constat amer d’un échec de la France. Un échec dont tous nos dirigeants, au moins depuis Pompidou, sont responsables. Le besoin de main-d’œuvre des « Trente Glorieuses » qui s’emballe au tournant de la décennie 70 et puise dans nos anciennes colonies, y compris celle qui a fait tomber 25 000 de nos jeunes sous les drapeaux et perdu 250 000 des siens.
Le groupement familial qui est l’élément déclencheur du transfert d’une population qui, à l’époque, ne le demandait pas et a été entassée dans des tours, elle qui était habituée à vivre portes ouvertes sur la nature.
Mais aussi « les chalandonnettes », ce vaste plan de construction de maisons individuelles conçu par Albin Chalandon – décédé le 29 juillet dernier, dans un quasi-anonymat -, ministre du Logement de Couve de Murville, puis de Chaban-Delmas, qui, dégât collatéral non identifié au moment de sa conception, a entraîné un déséquilibre irréversible de la composition sociale de beaucoup de cités, dénommées aujourd’hui « quartiers sensibles »… ou « territoires perdus »… Depuis lors, n’y demeurent que les populations les plus défavorisées et les familles d’immigrés tout aussi pauvres. Une accumulation qui a pris des allures de dépôt abandonné de sulfate d’ammonium. La moindre étincelle… et c’est l’explosion.
Puis vint la gauche… et ses délires. Inutile d’insister. Chacun sait le poids monstrueux de son « vivre-ensemble », les plateaux de la balance, l’un systématiquement allégé et loué – « les chances pour la France » -, l’autre toujours un peu plus chargé, mais aussi méprisé. Du rejet de toute alliance avec le FN au « Kärcher » de Sarkozy resté dans son emballage, la droite, même au pouvoir, n’a quasiment pas bronché. Qui ne se souvient pas des tombereaux d’injures déversés sur Chirac, alors président du RPR, pour avoir osé évoquer sans dénoncer « le bruit et l’odeur » supportés par « le travailleur français sur le palier » ?
Quant à Macron… Peut-être est-il allé à Beyrouth pour simplement chercher, enfin, à comprendre ce qu’est une nation multiculturelle et identifier les dérives qui y surviennent lorsque le pseudo-consensus censé l’unir est en état de mort clinique. Voyage inutile… Il lui suffisait de franchir le périph’, d’aller, en chemise blanche ou, mieux, incognito, aux Mureaux, à Mantes-la-Jolie, à Saint-Denis ou à Trappes, et d’ouvrir grand les yeux…
Le résultat est là: un RN surpuissant, une société apeurée (Cannes…), une police conspuée, une justice défiée… et une immigration dont une minorité vociférante et criminelle tient le haut du pavé alors que l’essentiel des familles et des jeunes aspire au bonheur de vivre en France.
Dans son billet, Philippe identifie avec clairvoyance un certain nombre de moyens à mettre en œuvre immédiatement, qui feraient baisser la pression : expulsions, éloignements, « police et gendarmerie accordées à une justice sans faiblesse », condamnations réellement exécutées, retour des peines planchers… La répression des comportements délictueux, de l’incivisme au crime, est primordiale pour stopper l’hémorragie massive. Mais ce garrot ne réglera pas tout. Il faut aussi prévenir le retour du mal.
Abandonner ce droit du sol, qui fait Français des personnes pour lesquelles le séjour au « pays » pour les vacances – voire la retraite – est l’objectif de chaque instant, pourrait être la solution qui éviterait d’alimenter cette génération de jeunes égarés entre deux cultures et faciliterait à l’avenir le renvoi chez eux des indésirables.
Mais quid de ceux qui, aujourd’hui possèdent une carte d’identité nationale délivrée par la République française ? Peu d’entre eux ont accès à la double nationalité qui permettrait leur déchéance en cas de comportement attentatoire à nos lois… Sur ce point, la solution est loin d’être évidente. Même la surveillance des terroristes après l’exécution de leur peine est contraire à la Constitution dans sa forme actuelle…
On pourrait aussi dès aujourd’hui mettre fin à cette folle générosité française qui permet trop souvent à des clandestins de vivre quasi sereinement sur notre sol, cette naïveté qui conduit à accepter de pseudo-réfugiés humanitaires tentés exclusivement par nos droits sociaux, sans le moindre donnant-donnant, cette fierté que l’on a de leur offrir une carte d’identité de notre République contre un serment qui ne leur coûte rien…
Bref, il est grand temps que nous soyons plus circonspects devant la misère supposée, que notre administration se montre enfin vigilante, rapide et efficace. Grand temps aussi que des mesures soient prises au niveau européen pour éviter le contournement des nôtres.
Reste un volet que Philippe n’aborde pas : l’éducation. Elle est au premier rang de la faillite. Elle se doit d’être la première arme de la reconquête. Dans les dernières années du XIXe siècle et les premières du suivant, les « Hussards noirs de la République » ont eu pour mission d’imposer « l’instruction obligatoire, gratuite et laïque » voulue par Jules Ferry et de démanteler l’enseignement catholique. Il est aujourd’hui au pas et contribue à forger des citoyens.
C’est l’exemple à suivre. Cette politique autoritaire, qui pourrait aller jusqu’à interdire les écoles musulmanes en délicatesse avec l’enseignement officiel ou financées en tout ou partie par un pays étranger, exige des personnels compétents, courageux, bien formés, motivés et fiers de servir la France. Des personnels soutenus bec et ongles par leur tutelle et l’ensemble des institutions de l’Etat ayant à connaître des attentes et des embrouilles des « quartiers ». Des primes ne suffisent pas. Il est urgent d’établir des programmes spécifiques d’éducation pour ces « territoires perdus » et de ne pas y nommer la jolie instit’ à peine plus âgée que les cancres qui fréquentent sa classe, parfois, à leur guise. Bref, il est temps de former des « Hussards » et de se souvenir que Jules Ferry est considéré comme l’un des pères de l’identité républicaine.
@ Alain Martin
« Les responsables politiques de la Nation ne proposent aucune solution positive répondant aux problèmes posés: chômage, déclassement… »
Au contraire, il suffit d’écouter les hommes politiques de l’établissement avant chaque élection importante pour se rendre compte qu’ils ont la plupart du temps tendance à tout ramener à la seule question du chômage ou bien à une misère plus fantasmée que réelle pour expliquer les problèmes que la France connaît, ce qui équivaut à les regarder par le petit bout de la lorgnette.
D’après l’expérience, il est pourtant évident que la politique de la ville consistant à déverser des milliards qui disparaîtront généralement en fumée sur d’innombrables « quartiers sensibles » ne résout rien du tout quand elle n’aggrave pas les choses.
En réalité, en ignorant des questions plus prégnantes comme le ressentiment anti-colonial, le fossé culturel, la victimisation quérulente face à un racisme souvent imaginaire, ou bien encore la diffusion de la haine anti-française par les autorités de certains pays étrangers gros pourvoyeurs d’immigration, ils montrent tout simplement qu’ils n’ont rien compris à la situation.
La vérité, si évidente, si simple et pourtant désormais si indicible : merci Maître pour ce moment rare.
Monsieur Philippe Bilger,
Dans la même rubrique que celle de la violence physique qui martyrise la France.
Vous avez entendu parler de Bernard Madoff qui a été condamné aux USA à 150 ans de prison pour avoir réalisé une escroquerie de type « Ponzi » qui porterait sur plus de 65 milliards de dollars… L’affaire devenue douteuse, Madoff aurait alors monté un système de cavalerie et les plus grandes banques internationales se sont laissé prendre à son piège.
La pègre en France n’est pas uniquement celle que l’on pense et les incivilités sont commises aux plus hauts niveaux de la nation, surtout lorsqu’il s’agit d’argent.
Vous souvenez-vous de l’emprunt qui vient d’être actionné par Macron auprès de la BCE… emprunt de 40 milliards dont on ne sait pas exactement s’il s’agit d’une subvention ou du début d’une opération de cavalerie qui aboutirait au non remboursement de ces 40 milliards (390 milliards au total avec ceux déversés sur principalement l’Italie et l’Espagne).
Pour l’instant le Parlement européen se penche sur cette chose nouvelle et ses accessoires mais il est certain qu’un jour, lorsque cette pyramide de Ponzi aura grossi, la bulle éclatera. Il faudra se souvenir alors de son créateur et de sa partenaire complice la BCE.
Eh bien oui, le pays est embourbé dans une multitude d’incivilités que l’on ne peut plus éviter maintenant car il faudrait s’attaquer à la drogue, à la violence, aux zones de non-droit, aux escroqueries d’Etat… enfin à tout ce petit monde dans lequel nos présidents plongent la France depuis cinquante ans avec l’aide des francs-maçons et de ceux qu’il ne faut pas nommer ; on pourrait en faire un film: « Ils veulent détruire la France ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Madoff
La France a une réputation de pays faible avec les racailles. De plus, l’Etat-providence attire les francophones.
La France a besoin de consommateurs car l’économie marche en taxant le commerce et le travail.
Donc les racailles et le pouvoir faible ont tout pour s’entendre et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Constat d’évidence qui mérite cependant d’être salué.
Cependant… « L’immigration légale n’est pas coupable mais la clandestine contre laquelle jusqu’à aujourd’hui on lutte mal. »
Qu’est-ce qui vous permet de faire cette conclusion ? Voilà une explication qui me paraît hâtive, et infondée. Car en effet nombre de « jeunes » français d’origine africaine, issus de parents ou de grands-parents immigrés, font certainement partie de tous ces agresseurs qui vomissent la France.
Non, le problème n’est pas dû à la seule immigration clandestine. Immigration clandestine, faut-il le préciser, contre laquelle l’Etat ne fait en réalité rien ou pas grand-chose, tandis que les bateaux des ONG continuent d’aller chercher ces clandestins jusque sur les rivages nord-africains.
Le problème est en partie culturel, communautaire, et largement religieux, plus précisément: musulman. Il est aussi politique évidemment, mais il est, il faut le dire avec force et le dénoncer, largement voulu et orchestré par les Etats musulmans et leurs organisations islamistes, tels les Frères musulmans. Ils ont un programme, une stratégie, un but, qu’ils n’ont jamais caché, au contraire ! Et ils le mettent en oeuvre comme ils l’ont annoncé. Arabie Saoudite, Qatar, Iran, Turquie, Bahreïn, tous sont unis dans leur but de conquérir l’Europe. L’Isesco (Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture) a même publié sur son site leur plan pour islamiser l’Europe. Ils ont retiré cette publication, mais elle reste disponible sur le net, et je peux la fournir à quiconque ne me croirait pas.
Ceux-ci nous ont déclaré la guerre, ils ne cessent de nous menacer, de mettre leurs menaces à exécution, et nous sommes gouvernés par des crétins qui s’accrochent au vivre-ensemble comme au fou de l’histoire à son pinceau !
Je salue l’effort de M. Bilger, qui se risque à sortir de la zone de confort du politiquement correct. Mais il y a encore beaucoup à faire pour en arriver à appeler un shah un shah. Pardon pour le médiocre jeu de mots ! 🙂
Evidemment, très bon constat de l’état de notre société.
Le petit problème, toujours le même du reste, c’est : que vont donc faire « les pas contents » à la prochaine élection de 2022 ?
@ Denis Monod-Broca
« Une bonne justice juge les individus pour leurs actes, par des groupes d’individus pour les actes de certains d’entre eux. »
Ça, c’est la théorie, que d’aucuns qui la reprennent comme vous quand cela les arrange foulent parfois aussi aux pieds quand il s’agit de pratiquer un amalgame du comportement de tel ou tel individu avec les intentions prêtées à leurs adversaires catalogués d’office à « l’extrême droite »…
Mais admettons.
Alors, veuillez tout de même avoir la bonté de nous expliquer pourquoi, quand dans certaines cités un petit voyou doit se faire interpeller par la police, tout le monde est dans la rue pour s’y opposer, en s’en rendant complice de fait au lieu de le désavouer ou tout simplement de rester indifférent à ce qui lui arrive ?
Pis encore, pourquoi, à l’annonce d’un attentat terrible, ces mêmes cités retentissent-elles parfois de concerts d’avertisseurs sonores ou de cris de joie ?
@ Nanita
« Et comme actuellement pour complaire à ces gens il vous faut taper sur les musulmans vous y allez gaiement !! »
Donc, si je vous suis, si les frouzes tapent sur les muz’, c’est un coup des youpins ? J’ai bon, c’est ça ?
« Twitter un cloaque ? Pourquoi y restez-vous ? »
Ce n’est pas parce que d’aucuns jugeraient que Twitter est un cloaque qu’il n’y a aucun intérêt à fréquenter un cloaque. Il y a bien des gens qui fréquentent des morgues, non ? J’ose espérer qu’ils font cela parce qu’il y a un intérêt à faire deux ou trois choses dans ces endroits.
« Personnellement c’est parce que vous y êtes que je me laisse parfois aller à lire vos conn*ries racistes sur votre blog. »
Très bien. Vous voyez bien que cela sert que Monsieur Bilger s’échine à s’y exprimer… C’est maintenant l’occasion non seulement de lire ces conn*ries racistes mais aussi de contre-argumenter votre point de vue avec des arguments et des données probantes. C’est un exercice assez intéressant, et je vous invite à vous confronter aux arguments et opinions d’autrui. Vous en avez ici l’occasion.
@ denis label
« Tentons plutôt collectivement d’apporter des solutions aux problèmes bien connus que vous décrivez. »
Bien sûr.
« comment s’assurer que l’Education nationale joue son rôle d’ascenseur social malgré les difficultés économiques »
Statistiques ethniques ?
« comment développer la diversité dans les grandes écoles »
Statistiques ethniques ?
« Car la répression, certes indispensable, ne suffira évidemment pas. »
En même temps, il y en aura pas mal qui ne feront jamais Polytechnique. Donc si on veut favoriser l’insertion sociale de ces gens quels qu’en soient les moyens, il importe aussi de rétablir un niveau réaliste de sécurité et de présence de l’Etat dans certaines zones.
Moi, je m’en tape qu’ils dealent du shit, dans ces coins. Mais j’accorde beaucoup d’importance à ce qu’ils traversent la rue dans les passages cloutés. Objectif: n’importe qui devrait pouvoir se balader en France n’importe où sans être inquiété. Le reste, ce sont des objectifs secondaires.
@ sylvain | 11 août 2020 à 17:30
En effet et vous avez raison de faire cette différence.
Avoir admis votre littérature à couper dans le lard c’est tout à votre honneur.
Je ne vois pas Philippe Bilger, toujours dans la finesse, s’exprimer du jour au lendemain en des termes qui sont spécifiquement les vôtres.
ISRAËL SUR ARTE
Ce que j’ai dit des Juifs ici à 11 h 20 et de mon soutien indéfectible à Israël tombe à pic. Je n’avais pas lu le programme TV. Or, ce mardi soir, je cherchais ce que j’allais regarder à la télé. J’ai vu qu’il y aurait sur Arte à partir de 21h un documentaire sur la création de l’Etat hébreu et sur tous les événements qui l’ont suivie. Instructif et passionnant ! Si vous avez raté ce documentaire, trouvez-le : il vaut le détour, je vous l’assure.
https://www.arte.tv/fr/videos/073890-001-A/une-terre-deux-fois-promise-israel-palestine-1-2/
@ Nanita | 11 août 2020 à 13:52
Vous êtes qui vous pour écrire autant d’idioties ? Gauchiste soumis à la raclure violente ?
Vous avez perdu la boule, et je vous plains. Votre pauvreté intellectuelle et votre ignorance en tout ne vous conduit pas vers de meilleurs cieux. En raisonnant de la sorte vous vous perdez.
C’est à cause de gens comme vous que la France ne se reconnaît plus. Je vous le dis, ceux qui ne sont pas contents d’être ici et veulent continuer à mettre le grand bordel sont priés de faire demi-tour au bled. Chez eux ils auront tout ce qu’il faut mais divisé par cent par rapport à ce que leur donne la France.
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@ Kwatz | 11 août 2020 à 20:29
« L’Isesco (Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture) a même publié sur son site leur plan pour islamiser l’Europe. Ils ont retiré cette publication, mais elle reste disponible sur le net, et je peux la fournir à quiconque ne me croirait pas. »
Merci pour cette info très importante.
Pourriez-vous, s’il vous plaît, la publier sur le blog de Philippe Bilger, avec sa permission bien sûr. Je suis sûre que beaucoup de Français ignorent encore ce message malfaisant donné dans cette déclaration par les pouvoirs islamiques contre l’Europe et le monde occidental.
Ceux qui liront ce blog découvriront en même temps cette déclaration. Nous devons nous prémunir et agir en conséquence avant qu’il ne soit vraiment trop tard.
Merci encore.
@ Alain | 11 août 2020 à 12:17
« Pourtant, vous avez omis d’évoquer le bien-vivre ensemble des cités, des villes populaires il y a 50 ans. Malgré la diversité des origines, des cultures qui les peuplaient à l’époque. »
Faites-nous rire… Le bien-vivre sous la main de fer du parti communiste, qui violait la loi dans l’impunité la plus totale par la corruption, la fraude, le vol, l’intimidation, le chantage et la violence physique pure et simple. Dans ces charmantes « villes populaires » (en français : banlieues rouges), où il accédait au pouvoir et le conservait par les méthodes que je viens d’énumérer.
Le parti communiste, qui a toujours été en faveur de l’immigration, et non contre, comme des révisionnistes historiques dans votre genre tentent de le faire accroire aujourd’hui, en montant en épingle un ou deux épisodes anecdotiques.
Le parti communiste, qui a toujours été « anti-raciste », en faveur de « l’internationalisme prolétarien », c’est-à-dire qu’il a utilisé les immigrés comme masse de manœuvre contre le capitalisme et contre la liberté, tout comme il l’a fait avec les ouvriers. Simplement, ces derniers ont voté pour le capitalisme, les communistes ont donc dû recruter d’autres esclaves pour accomplir leur action subversive.
Et comme par hasard, les banlieues rouges sont devenues les banlieues vertes — mais les communistes n’y sont pour rien, naturellement ! De nos jours, c’est tout juste s’ils ne se vantent pas d’avoir été de parfaits « racistes » à l’époque. Mais curieusement, ils sont plus « anti-racistes » que jamais aujourd’hui !
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@ Aliocha | 11 août 2020 à 09:22
« L’Occident a, pendant longtemps, consommé à 20 % de la population mondiale, 80 % des richesses, que maintenant les 20 deviennent 1 % participe d’une logique qui, si elle ne légitime certainement pas les comportements odieux que vous décrivez, en explique les désordres. »
Je me donne tout d’abord la peine de traduire cette phrase en français. L’économie est trop ignorée, sur ce blog, pour que je ne relève pas cette énorme sottise qui fait le fond de sauce de l’idéologie socialiste.
Vous voulez donc dire : l’Occident constituait jadis 20 % de la population mondiale, et consommait 80 % des richesses mondiales. Ce rapport serait, dernièrement, passé à 1 % et 80 %, respectivement.
Ce serait donc une grave « injustice », qui expliquerait que l’Afrique entière nous envahisse, nous pille, viole nos femmes et nous tue. Et je ne compte pas le Pakistan, l’Afghanistan, l’Irak, la Roumanie, la Géorgie… D’autres ne se gênent pas pour dire que cela le justifie.
Laissons de côté votre conclusion idiote, qui se réfute d’elle-même à condition d’avoir la moitié d’un cerveau en état de marche.
Passons sur le fait que vous tirez ces chiffres de votre tête, et qu’ils sont complètement imaginaires.
Et admettons qu’ils soient vrais. Ce que vous voulez dire, en réalité, est la chose suivante : les Occidentaux, qui représentaient 20 % de la population mondiale, produisaient 80 % de la richesse du monde.
Voilà, dans ces deux commentaires, deux beaux tripotages communistes qui nous ont conduits là où nous en sommes, après avoir été répétés à des millions d’exemplaires par des millions de Français.
@ Nanita
« Vous êtes qui vous pour écrire autant d’idioties ? Gauchiste soumis à la raclure violente ? » (Ellen)
Je crois que les hostilités ont été lancées entre vous et Ellen. Venez dans l’arène. Je compterai les points.
@ Patrice Charoulet | 11 août 2020 à 23:11
« ISRAËL SUR ARTE
Ce que j’ai dit des Juifs ici à 11 h 20 et de mon soutien indéfectible à Israël tombe à pic. »
Pourquoi cet aparté qui n’a rien à faire avec le contenu du présent billet ?
C’est beau l’amour fou inconditionnel, autant que le service de la soupe.
Monsieur Patrice Charoulet semble tout chamboulé et on peut se demander combien il touche pour une telle allégeance ou alors qu’attend-il en retour.
Pour parfaire son idolâtrie qu’il revoie ce qu’a dit Henry Kissinger sur les juifs ; juif lui-même de A à Z, ayant vu tant de choses, dont certaines secrètes à ne jamais dévoiler.
« Il lâche devant le président américain Richard Nixon « bâtards de juifs » et « Y a-t-il un seul peuple dans le monde qui soit aussi égoïste que les juifs ? Aucun » »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_Kissinger#cite_note-:1-59
Revoyez votre histoire ou plutôt l’Histoire, restez dans les sujets proposés et ne nous encombrez plus avec vos déclarations d’amour aveugle ; ainsi les racistes seront bien gardés et les fervents de vérité simple, heureux.
@ Nanita 11 août 2020 13:52
Pourquoi tant de haine, qui va jusqu’à vous faire vomir sur une famille que vous ne connaissez pas ?
Utilisez-vous parfois vos neurones à des objectifs moins belliqueux ou simplement plus en rapport avec le respect de l’autre ?
Applaudissez-vous les attentats, les tabassages de pères tranquilles, les meurtres de gendarmes, de policiers ?
N’avez-vous pas le sentiment que vos propos vous éliminent de la société au milieu de laquelle vous vivez ?
Trouvez-vous remarquable le sens de l’hospitalité généreuse que Philippe Bilger accorde sur son blog à votre délire irraisonné ?
En réunissant dans l’ordre les premières lettres de chacune de mes interrogations, vous trouverez le mot qui sied le mieux à votre commentaire.
Cordialement… Évoluez… Vous êtes en France !
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@ Achille 11 août 2020 11:25
« Ce billet n’a vraiment rien à envier à ceux d’Ivan Rioufol… »
À ceci près que la parole libre de Philippe Bilger bénéficie de l’autorité que lui confère son parcours exemplaire au sein du monde judiciaire… et de l’aura exceptionnelle que lui apporte sa réputation de magistrat « insoumis ».
@ duvent | 11 août 2020 à 11:05
« Les délinquants sont des délinquants, quelle que soit la couleur de leur peau, ou leur choix vestimentaire, et ils sont excessivement utiles à ceux qui gouvernent, pour des raisons hautement politiques et subtiles que je n’ai pas le temps de développer »
Pour écrire des salades ennuyeuses, vous avez le temps, mais dès lors qu’il faut s’appliquer à développer une pensée (subtile !) qui pourrait (enfin !) avoir un intérêt pour les lecteurs de ce blog, là, non, vous n’avez « pas le temps »… Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez vous, duvent.
Le Tout n’est pas la somme des parties !
La liste est longue des incivilités, le nouveau nom que l’on donne en langage macrono-orwellien aux délits et autres crimes, y compris des crimes de sang.
Nous n’en sommes plus à comptabiliser hélas tous ces crimes.
Nous en sommes au constat banal et effrayant que fait Éric Zemmour, cet ensemble de crimes est la manifestation du djihad du pauvre.
Dans la guerre de civilisation qui nous est menée, ces actions sont l’équivalent des actions de guérilla que l’on observe dans une guerre classique pour affaiblir la puissance de celui qui est face avant de l’affronter directement.
Stratégie de la guerre d’usure aussi vieille que la guerre elle-même.
On ne parle plus de guérilla, on préfère parler de guerre asymétrique, l’utilisation de mots techniques confère à ceux qui les emploient une illusion de compétence, qui n’est hélas pas le cas en ce moment en France et en Europe en général.
Les djihadistes, nouveaux guérilleros, s’affichent sans complexes, et surtout sans crainte.
Le Conseil constitutionnel, les yeux bandés par l’idéologie droits de l’homme, préfère les laisser libre de récidiver plutôt que de défendre sinon la nation dont ils sont le dernier recours, du moins les Français tout simplement.
Cette guerre d’usure n’est pas encore une guerre de territoires, c’est une guerre de religion et d’idéologie.
La religion est un moteur important dans ce genre de combat, on ne combat pas un homme dans ce cas, on combat un fanatique.
Pour cela il faut d’abord affirmer ce qu’on est, être aussi intransigeant que le fanatique pour la défense de notre civilisation, de son présent et son passé.
Passer son temps à faire repentance d’un passé révolu et définitif et qui n’a pas été aussi monstrueux que les autres le disent, est une erreur grave qui nous affaiblit et fortifie le fanatique.
Les libertés dont nous nous réclamons sont nôtres, osons le dire, et ne pas systématiquement les accorder aux fanatiques qui veulent nous détruire.
Ils utilisent ces libertés pour mieux les détruire et nous avec, par la suite.
Osons également pratiquer l’ostracisme de ces soldats de l’ombre, par le renvoi dans leur pays d‘origine ou la perte de nationalité pour ceux qui bénéficient du droit du sol, pour nous enterrer dans ce sol qu’on leur offre.
Bref osons ce qui nous est interdit par la bien-pensance idéologique et les règles juridiques de l’UE.
On peut toujours rêver n’est-ce pas, d’un rêve qui est cauchemar.
@ herman kerhost
« Pour écrire des salades ennuyeuses, vous avez le temps, mais dès lors qu’il faut s’appliquer à développer une pensée (subtile !) qui pourrait (enfin !) avoir un intérêt pour les lecteurs de ce blog, là, non, vous n’avez « pas le temps »… Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez vous, duvent. »
Mein Lieber und Geliebter, herman kerhost, ich sprert sehr undeutlich…
Vous avez posté votre joli commentaire, à 1h 53.. .et par un hasard incroyable, je le lis à 6 h 04 !
Quand je pense à ces heures tristes, entre 1h53 et 6h04, durant lesquelles je n’ai pas eu la joie que me procure le plaisir de connaître votre pensée aussi légère qu’une valse en pataugas, je me tords les mains de désespoir…
Vous devriez vous en tenir à défendre votre idole, ce que vous faites sinon avec talent, du moins avec une servilité qui vous sort de l’ombre.
Mais je suis bonne camarade, et puisque vous me faites une remarque digne d’intérêt, je vous dirai qu’il vous a échappé un petit subterfuge qui consiste à fuir ce qui ennuie par une petite feinte polie, que l’on peut aisément remplacer par une feinte en pataugas, ce qui vous charmerait sans aucun doute.
Voyez cette « salade », et cessez d’écarquiller ces yeux ébahis, vous allez comprendre plusieurs choses :
– la première est que n’étant pas votre employée, je me tamponne mollement le coquillard de ce qui vous intéresse ou… pas !
– la deuxième est que le raffinement m’a empêché d’écrire une chose telle que « je ne développerai pas cette question connue parce qu’elle me fait méga ch*er », ici, vous noterez que le Couvent des Oiseaux est loin…
– et enfin, la troisième est que vous n’avez pas l’air de savoir que tourner en rond est un signe mauvais, que vous pratiquez avec assiduité.
Dès lors, pendant que ma pensée ne tourne pas en rond, faites-nous plaisir en nous laissant contempler la vôtre dans son cercle étroit et fétide.
Que pensez-vous de ce développement expert ?
J’espère sincèrement qu’il vous aura donné toute satisfaction…
Car on dit par monts et par vaux, urbi et orbi, que si herman kerhost vous fait l’honneur immense de ses remarques frappées au coin de l’ânerie, alors vous êtes un homme heureux ou une femme…
Quelle chance tout de même !! Désormais, vous plaire sera « mon combat » !
L’Europe représente 9,8 % de la population mondiale.
À moins que par « Occidentaux », Robert Marchenoir estime qu’il faille compter les States…
Je me demande ce que peuvent penser ceux qui lisent ce billet et certains commentaires ! Comment ils peuvent se sentir faire partie d’une République et comment ils peuvent ravaler leur sentiment de rage.
Ensauvagement a pour origine le comportement des Amérindiens, c’est-à-dire à des années-lumière des comportements cités.
À mal nommer les choses, etc.
@ Exilé
« Alors, veuillez tout de même avoir la bonté » : pourquoi cette condescendance ?
« de nous expliquer pourquoi, quand dans certaines cités un petit voyou doit se faire interpeller par la police, tout le monde est dans la rue pour s’y opposer » : êtes-vous vraiment sûr que tout le monde soit dans la rue en pareil cas ?
« Pis encore, pourquoi, à l’annonce d’un attentat terrible, ces mêmes cités retentissent-elles parfois de concerts d’avertisseurs sonores ou de cris de joie ? » : eh bien, quand on est montré du doigt en tant que groupe hostile, il arrive qu’on réagisse avec hostilité en tant que groupe. Il en est ainsi depuis que le monde est monde. N’est-ce pas votre cas ?
@ Serge HIREL | 12 août 2020 à 01:33
« À ceci près que la parole libre de Philippe Bilger bénéficie de l’autorité que lui confère son parcours exemplaire au sein du monde judiciaire… et de l’aura exceptionnelle que lui apporte sa réputation de magistrat insoumis »
C’est exact ! Je n’ai jamais mis un commentaire sur le blog de Rioufol, que je parcours parfois et qui n’est qu’un ramassis de propos haineux.
Par contre je ne rate aucun billet de Philippe Bilger depuis des années et m’efforce toujours d’y apporter ma contribution. Bon exercice intellectuel qui oblige à structurer ses idées sur le thème proposé.
Je constate que, pour ce billet, nombre d’intervenants inconnus ont apporté une réponse, pour la grande majorité favorable au message donné, si l’on excepte Nanita.
Ce qui montre que nombre de citoyens en ont vraiment ras-le-bol de « l’ensauvagement » qui gagne nos cités et même le centre de nos métropoles.
Mais je pense que le message est bien passé et que le gouvernement va s’employer à remettre de l’ordre. Il faut le temps de mettre en place les moyens d’action préventifs et coercitifs et changer certaines mentalités qui ont conduit à cette situation qui dure depuis des décennies.
Qui a sauvé la France ?
Vous présentez la face sombre de l’immigration. Cette face existe. Mais en mettant le projecteur seulement sur une partie de la réalité vous la déformez. Vous flattez ceux pour qui l’immigration est la cause de tous les maux de la France. Vous êtes dans le mainstream comme on dit en bon français.
Pourtant il y a peu, dans la période du confinement, l’honnêteté a obligé à reconnaître que des immigrés de fraîche date « d’origine étrangère, maghrébine ou africaine, parés nominalement de la nationalité française grâce à un droit du sol » ont joué un rôle essentiel pour que le pays survive.
Combien d’immigrées parmi les caissières de supermarchés ?
Combien d’immigrés parmi le personnel de sécurité ?
Combien d’immigrés parmi les chauffeurs livreurs ?
Combien d’immigrés parmi les éboueurs ?
Combien d’immigrés parmi les aides soignantes ?
Combien d’immigrés parmi les infirmières et les médecins ?
Parmi ceux que vous applaudissiez le soir à 20h il y avait de très nombreux immigrés.
Très salutaire billet !
Il contient malheureusement encore des bouts de discours pc…
Encore un effort, cher hôte, pour vous affranchir !
Je liste les points problématiques (reprenant la plupart du temps des remarques déjà faites par d’autres) :
.1 L’expression « quartier sensible ». Expression dépourvue de sens (sensible à quoi ?), utilisée pour ne pas dire quartier allogène délinquant, lequel serait il est vrai lourd et trop long. Alors pourquoi pas « quartier racaille » ?
.2 « Les Africains ». Comme si l’Égypte et le Maroc n’étaient pas membres de l’Union africaine…
En bon français : les Noirs.
.3 « Les Maghrébins ». En bon français : les Arabes.
.4 Le besoin de se démarquer hautement du FN/RN, comme si toute proximité avec lui était une souillure.
.5 L’affirmation baroque selon laquelle les Noirs et Arabes posant problème seraient uniquement ceux qui sont descendants de l’immigration illégale (à ma connaissance, les dix-sept membres de la célèbre fratrie Traoré sont issus d’une immigration légale).
.6 La proposition de l’ouverture d’une « discussion » sur « l’effacement » du droit du sol au lieu que vous osiez purement et simplement donner votre position.
« Qui se livrent au pire au point que la majorité des citoyens […] n’espère plus le moindre redressement politique et judiciaire ? »
Bonne question, mais déjà posée en 1320 par un chroniqueur qui qualifiait nos actuels sauvageons du doux nom bucolique de pastoureaux :
« La même année, dans le royaume de France, éclata tout à coup et sans qu’on s’y attendît un mouvement d’hommes impétueux comme un tourbillon de vent. Un ramas de paysans et d’hommes du commun en grand nombre se rassembla en un seul bataillon ; ils disaient qu’ils voulaient aller outre-mer combattre les ennemis de la foi, assurant que par eux serait conquise la Terre Sainte. Abandonnant dans les champs les troupeaux, malgré leurs parents, ils couraient en foule après eux, même des enfants de seize ans, sans argent et munis seulement d’une besace et d’un bâton ; enfin ils se pressaient autour d’eux comme des troupeaux en une telle affluence qu’ils formèrent bientôt une très grande armée d’hommes. Ils employaient leur volonté et leur pouvoir plutôt que la raison et l’équité ; c’est pourquoi, si quelqu’un investi du pouvoir judiciaire voulait punir quelqu’un ou quelques-uns d’entre eux comme ils le méritaient, ils lui résistaient à main armée, ou s’ils étaient retenus dans des prisons, ils brisaient les cachots et en arrachaient les leurs malgré les seigneurs. Etant entrés dans le Châtelet de Paris pour délivrer quelques-uns des leurs qui y étaient renfermés, ils précipitèrent lourdement et écrasèrent sur les marches de cette prison le prévôt de Paris, qui voulait leur faire résistance, et brisant les cachots où il retenait les leurs, les en arrachèrent bon gré mal gré. S’étant mis en défense et préparés à combattre sur le pré Saint-Germain, personne n’osa s’avancer contre eux, et même on les laissa librement sortir de Paris. Ensuite ils se dirigèrent vers l’Aquitaine, enhardis par l’espérance que puisqu’on les avait laissé sortir de Paris librement et sans opposition, ils n’éprouveraient plus désormais aucune résistance. De là ils marchèrent vers Carcassonne, se portant aux mêmes excès et commettant beaucoup de crimes dans le chemin. Une nombreuse armée ayant été rassemblée contre eux, les uns furent tués, d’autres renfermés dans diverses prisons, le reste ayant recours à la fuite fut bientôt réduit à rien. Le sénéchal de ce pays, s’avançant vers Toulouse et les environs, où ils avaient commis beaucoup de dégâts, en fit pendre à des arbres, vingt dans un endroit, dans l’autre trente, plus ou moins, et laissa à ceux à venir un exemple terrible pour les empêcher de se résoudre facilement à commettre de tels crimes ».
Vous voyez, Monsieur Bilger, les choses ne vont finalement pas si mal…
Bonjour monsieur Philippe Bilger,
« On sait qui ensauvage la France. Ne fermons plus les yeux. Apeuré légèrement en commençant ce billet, je le termine en le jugeant nécessaire et, je l’espère, convaincant. »
Oui, il est nécessaire. Oui vous êtes convaincant.
La lecture de votre billet d’actualité et de ses commentaires éparpillés où l’on n’entend pas la voix des sauvages, nous offre un état des lieux de la France.
Les responsables politiques de ce désastre sont montrés du doigt et poursuivent leur destruction, aidés par des puissances étrangères. Le RN n’est pas oublié alors qu’il n’a jamais été au pouvoir mais sert de déversoir à la haine de quelques-uns.
Trissotin évoque et nous explique l’antisémitisme au cas où on se tromperait de cible, un autre nous propose une religion universelle, à créer, pour remplacer celles existantes.
L’un d’entre nous nous fait un exposé clair et précis sur ce qui se passe et ce qu’il faudrait faire pour rétablir, à son avis, l’équilibre naturel des relations humaines.
Alors monsieur Philippe Biler racontez-nous la fin de l’histoire, vous qui connaissez la nature humaine française, ses peurs, ses lâchetés, ses trahisons ; croyez-vous que ce pays ne va pas s’enfoncer toujours un peu plus dans les incivilités où l’on veut l’enterrer, l’anéantir ?
Ils n' »ensauvagent » pas la France, ils la conquièrent. Ils le disent, ils le répètent, ils le proclament, et le font. Comme Hitler avait proclamé faire des conquêtes à l’Est pour son « espace vital ». À terme nous serons chassés de chez nous si on ne réagit pas. Comme ils l’ont fait ailleurs. Les « droitdel’hommistes » angéliques qui ne veulent pas le voir sont comme les Byzantins qui discutaient du sexe des anges quand les Turcs les assiégeaient. Jusqu’à ce que Constantinople soit prise et sa population massacrée. Le même sort nous attend si on se laisse faire.
@ duvent 11/08 11:05
Théorie au moins originale que celle affirmant que les délinquants, quels qu’ils soient, sont utiles à ceux qui nous gouvernent !
Je pense que vos arguments pour soutenir cette thèse nécessiteraient effectivement de très longs développements pour en démontrer leur crédibilité et convaincre la majorité des lecteurs de ce blog.
J’ai osé dire qu’il ne fallait plus d’immigration musulmane car elle est la première où un nombre significatif de gens nous rendaient le bien d’être ici par le mal de leur ingratitude, en partie dénoncé dans ce billet.
On n’a pas à rendre le bien pour le mal aux gens qui nous rendent le mal pour le bien. Si des gens veulent faire ce genre d’exercice, du plus haut comique quand on en voit diaboliser quelqu’un comme moi soit dit en passant, qu’ils s’occupent des arriérés sur place plutôt que de nous imposer la venue d’autres fauteurs de voyons ?
M*rde. J’espère avoir le droit de le dire, blog d’élite ou pas car :
« Qui commet des cambriolages où on défèque sur le visage d’une victime de 85 ans, comme au Croisic ? »
Enfin, on verra bien : dans la vie, des gens commettent de la devinez quoi, et c’est parce que je le dis tel quel que je me fais mal voir. On ne peut pas me sentir car les gens confondent le mot et la chose, le message et le messager.
C’est grave : on masque certains mots, et puis, finalement, Tartufe, on ne dit pas certaines choses d’où une absence de réaction à certaines choses.
Polanski ne doit pas être puni car il ne se vante pas de son crime, on ne doit pas dire du mal des arriérés alors qu’ils nous en font et par conséquent, la répression des coupables est faible tandis que la venue d’autres gens problématiques, les musulmans, ne cesse de nous fragiliser et de nous souiller.
Réaction pavlovienne selon les cas, quand on dit les choses telles qu’elles sont : on m’a traité de raciste dans le cas musulman, de je ne sais quoi de diabolique quand je vois le problème mimétique mais aussi que le fait que ce soit dit dans la Bible ne prouve pas plus Dieu et en cas où il existe sa bonté dans un monde de souffrance et de mort…
Si les gens ne sont pas ce qu’ils font, ils sont quoi ? Non, ils sont ce qu’ils font et la dette de leur torts qu’ils ne reconnaissent pas plus qu’ils ne s’activent pour que leurs transgresseurs favoris paient pour leurs transgression.
Car on se reconnaît dans son semblable.
Si on veut la chute d’innocents, c’est qu’on ne supporte pas sa culpabilité ou celle de ses associés face à eux.
Oui, l’innocence, la pureté sont difficiles à regarder en face : tout ange est terrible.
« Qui commet des cambriolages où on défèque sur le visage d’une victime de 85 ans, comme au Croisic ? »
Si on est un voleur, on assume, on vole, point. On n’a pas à punir sa victime de ses transgressions. Le cas est particulièrement répugnant, mais assez répandu, sous forme atténuée.
Je crains donc que les gens incapables de voir ou de dire la vérité en face n’exilent notre hôte des médias et des mondanités. Ce qui me plaît est que notre hermine n’est pas imprudente : elle le sait. Je n’ai jamais trop aimé les héros téméraires, intrépides, enfin, les inconscients, du moins selon le titre accrocheur. Par contre, j’adore qu’on prenne une vraie décision et qu’on l’assume. Plus on a à perdre, plus c’est difficile.
Notre héros a de la chance d’avoir une femme qui ne l’empêche pas de dire ce qu’il a à dire : on ne souligne pas combien on peut devoir à son conjoint, ses amis et ses autres proches et pairs, en somme, ceux qu’on ne veut pas perdre et qui plus que tout autre, méritent qu’on se batte pour eux.
@ F68.10 | 12 août 2020 à 00:36
« Venez dans l’arène. Je compterai les points ».
Pas besoin de compter les points. Ma réponse à l’infect pseudo Nanita est assez claire. Plus besoin d’y revenir, le match est terminé.
@ Nanita | 11 août 2020 à 13:52
« actuellement pour complaire à ces gens il vous faut taper sur les musulmans vous y allez gaiement !! J’ai beaucoup de compassion pour vous ! »
Ouf ! Philippe va sans aucun doute se sentir mieux, ayant le bénéfice de votre compassion !
J’espère que vous étendez votre compassion aux soldats et enfants juifs assassinés par Merah ! Mais aussi aux journalistes de Charlie Hebdo et au policier musulman abattu sur le trottoir, ainsi qu’aux clients de l’Hyper Cacher et à la policière noire massacrés par les frères Kouachi et Coulibaly, sans oublier les morts du Bataclan et ceux des bistrots voisins, pas plus que les citoyens de Nice, rajoutez aussi dans votre grande compassion ceux morts d’attaques au couteau ici et là en France …
Avouez qu’il y a de quoi se poser des questions sur les Musulmans de et en France quand en plus ils conduisent une guerre entre eux à Dijon, tuent un chauffeur de bus, tabassent un père de famille qui se souciait du Covid-19 tout en lavant son linge ?
Il faut réfléchir avant d’écrire Nanita ! Réfléchir ? Si toutefois vous en êtes capable ! Ce qui semble douteux et vous vaut la compassion d’un des doyens de ce blog.
Doyen qui a vécu et travaillé chez les musulmans du Maghreb, du Moyen-Orient, de la Somalie et du Nord-Nigeria pour un total de 30 ans et qui, pour autant, n’est pas fan de Zemmour.
Réflexion faite, vous devriez aller semer la bonne parole dans tous ces pays, Niger compris, pour leur expliquer qu’il ne faut pas confondre assassinat et compassion, sauf toutefois si vous pensez que c’est utile pour vous permettre d’accorder votre compassion !
Allah est Grand, il convient de s’élever à sa hauteur, pas de le déshonorer.
Voilà, ça c’est fait.
Philippe Bilger qui pose les bonnes questions, à propos des « ensauvageurs » en oublie deux. Essentielles. Considérant son ancienne profession, je me sacrifie pour poser la première à sa place: « Qui sont ces ordures de magistrats félons qui rendent autant de verdicts de complaisance ? Quand ils en rendent.
La seconde: qui sont ces idiots qui persistent à obstinément élire une camarilla politique, qui n’a rien à faire de la souffrance du peuple ?
Espérant avoir été utile ou… complet…
@ Nanita
Vous faites dans la provoc ou bien la canicule exerce une influence néfaste sur votre cerveau ?
Dans un cas comme dans l’autre, on a tort d’accorder une quelconque attention à vos propos agressifs et insensés. C’est nul et non avenu.
Vous répondre constitue un encouragement à la récidive.
@ duvent 11 août 2020 / 11:05
Habituellement, en ces temps caniculaires, du vent est le bienvenu… Habituellement, il apporte un peu de fraîcheur… Mais il arrive qu’il transporte la grêle. Ce qui est un fléau tout aussi redoutable. Vous êtes plutôt cyclone qu’alizé et semez la tempête en tous sens, quitte, sans justifier votre propos, à mordre la main qui vous permet de l’exprimer.
Pour ma part, le mot « ensauvagement » paraît le mieux approprié à la situation actuelle, qui, si elle n’est pas maîtrisée, débouchera sur la « bestialité ». Dans « ensauvagement », il y a déjà cette notion d’animalité, ce danger pour l’homme d’avoir face à lui une créature qui conçoit l’existence comme un combat contre l’autre, pour s’approprier un territoire – les quartiers perdus de la République… -, pour défendre sa meute – la bande de racailles… – , pour protéger sa pitance et les moyens de se la fournir – la drogue… – mais aussi pour le seul plaisir de répandre la mort et le malheur. Pour le seul orgueil d’être le mâle dominant.
Tous les animaux, à des degrés divers certes, peuvent être apprivoisés… sauf l’homme, nécessairement puisque c’est lui le dompteur. Un dompteur patient mais ferme, qui sait aussi, si nécessaire, manier le fouet. Le tigre qui, obstinément, refuse ses ordres, pire, tente de le dévorer, termine sa vie en cage. Faut-il attendre cette extrémité pour dompter les nouveaux sauvages qui, déjà, tabassent, lynchent et tuent ? Et ne prétendez pas qu’aujourd’hui, ils ne sont pas clairement identifiés, même anonymes pour l’heure.
Bien sûr, vous n’allez pas apprécier ce propos, mais, désolé, je ne prends de gants, ni avec les voyous, ni avec ceux et celles qui les défendent, tentent d’en faire des victimes, en inversant la responsabilité de leurs méfaits et de leurs crimes. Je ne suis ni mouton, ni veau – espèces dans lesquelles vous semblez classer les Français – et souhaite que ceux-ci utilisent tous les moyens du domptage pour mettre au pas ces tigres… bien souvent de papier dès qu’ils sont seuls.
Je n’ai toutefois aucune illusion sur l’impact de ce message sur votre état d’esprit. Autant en emporte le vent, direz-vous… Mais vous exprimer le mien m’a paru nécessaire parce que c’est votre attitude qui conduira à la « bestialité ». Et la combattre est un devoir.
Mourir au Niger à 20 ans ?
Pour quelle cause ?
Celle de l’humanitaire socialo/bobo/tiesrmondo ?
Celle de la naïveté infantilisante ?
Celle des ONG gorgées de fric ?
Au-delà de la compassion, comment ne pas être exaspéré par ces manipulations de cerveaux enfantins même si surdiplômés !
L’humanitaire pour les Français qui veulent s’y coller : il y de quoi faire en France dans de multiples quartiers ou villages. C’est évidemment plus chic et gratifiant au Niger. Mais risqué : la preuve.
Honte aux dirigeants friqués de ces ONG qui envoient au casse-pipe des post-adolescents en recherche d’humanité.
Enfin honte à la bêtise des responsables locaux qui ont permis cette expédition dans une zone où l’Etat français déconseillait de se rendre sauf pour raison grave.
L’aide humanitaire dans toute cette zone est du genre une goutte d’eau sur 1 million de km2.
Et en plus, ils n’apprécient pas. J’ai plusieurs fois dit ici que ma famille avait travaillé dans beaucoup d’ambassades en Afrique, spécialement dans cette région : réponse unanime « cela ne sert à rien », c’est totalement contre-productif car vécu comme une colonisation et déchaîne souvent les sarcasmes et plus car ces détachés d’ONG vivent dans le luxe par rapport aux indigènes qu’ils côtoient.
Quelle ONG même humanitaire, en Afrique saharienne et subsaharienne, ne possède pas son parc de 4/4 rutilants ?
Compassion certes mais lucidité avant tout et tristesse de voir des jeunes Français, formés par notre Education nationale, brisant leur destin sur un mirage.
Cordialement.
@ vamonos
« La France a besoin de consommateurs car l’économie marche en taxant le commerce et le travail.
Donc les racailles et le pouvoir faible ont tout pour s’entendre et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. »
Sur un plan économique cette immigration de peuplement fait aussi l’affaire des grandes sociétés de BTP qui peuvent couler des fleuves de béton pour loger tout ce petit monde.
Mais d’où vient l’argent qui permet à ces consommateurs d’importation de remplir à ras bord les chariots des supermarchés et de les loger si ce n’est pour l’essentiel de la poche du contribuable français, éternel cocu qui doit tout payer au prix fort ?
Sur un plan politique teinté de machiavélisme clientéliste, cette immigration génératrice de multiples problèmes dont les moins graves ne sont pas ceux liés à l’insécurité, entretient un climat d’inquiétude propice à l’émergence d’une forme de stratégie de la tension qui permettrait à l’oligarchie – pour faire court – d’une part de faire passer des revendications à caractère social au second plan et d’autre part de diviser la population française selon une logique d’affrontement de blocs pour mieux régner.
Mais ceci est une autre histoire…
Châteaubriant : une mère et son fils agressés par une horde de racailles.
« Une soixantaine d’individus sont entrés en force au domicile de Nadine et Gildas, à Châteaubriant (Loire-Atlantique), pour les molester et tout saccager. »
À 60 « individus » pour agresser une mère et son fils à leur domicile… Cela laisse songeur (euphémisme). Les gendarmes n’avaient jamais un tel degré de violence.
Pendant ce temps-là, Macron fait du jet-ski et s’amuse à arroser ses gardes du corps. Il faut bien se détendre un peu… On pourrait ne pas le remarquer mais vu les événements actuels en France (pas au Liban), cela frise presque l’indécence.
Jean Castex, lui, nous assène à longueur de journées qu’il faut mettre le masque. Ou comment nous bâillonner pour ne pas aborder les vrais sujets.
Ils nous prennent vraiment pour des quiches !
“Sale juif ! Sale race ! On va te crever !” : un jeune homme violemment agressé à Paris »
https://www.valeursactuelles.com/societe/sale-juif-sale-race-va-te-crever-un-jeune-homme-violemment-agresse-paris-122611
Au Maghreb, ils respirent, leurs coreligionnaires sont venus moins nombreux cet été à cause de la COVID, des problèmes d’avions, des fermetures de frontières. Ils sont donc restés en France…
Au bled, ils n’apprécient pas toujours leur venue, ils pensent que ces binationaux franco-X ou franco-Y se comportent mal une fois rentrés dans leur pays d’origine pour quelques jours ou quelques semaines de vacances… C’est dire !
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Vacances à Palavas-Les-Flots
« En début de saison, un gamin de 14 ans a pris un coup de couteau à la fête foraine. Un ancien professeur de tennis de Palavas s’est pris des coups de barre de fer, alors qu’il essayait de protéger sa compagne en mettant sa moto dans son garage. Tous les soirs, des accélérations de voiture ont lieu.
Certains individus consomment du protoxyde d’azote. Ils laissent les capsules et les bonbonnes à même le canal et dans les rues. On mange et on consomme sur la plage, on laisse tout et on s’en va.
Les Palavasiens sont en insécurité et intimidés, les femmes se font insulter. Certains mots font mal, notamment « sale pute », « tu dois être revêtue », « tu ne peux pas t’habiller comme cela ».
Des personnes de notre collectif ont été agressées verbalement. Les femmes ont peur et ne sortent plus. Les Palavasiennes restent chez elles le soir. Nous n’envoyons plus nos gamins acheter le pain. Tout cela est fini de peur qu’il se passe quelque chose ou qu’ils se fassent voler leur portable ou autre. »
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Ensauvagement et mise en cage des femmes sous des voiles.
Des Iraniennes partagent des vidéos où elles retirent leur hijab en public. Elles risquent des peines de 10 à 20 ans de prison.
« Et pendant ce temps , ces gourdes de fausses féministes en peau naturelle d’islamo-gauchistes De Haas, Patin, Coffin défendent le voile et font silence sur les violences faites aux femmes pourvu qu’elles n’émanent d’un mâle blanc . » G-W Goldnadel
https://twitter.com/GWGoldnadel/status/1293168444389634048
Vous avez dit « ensauvagement ».
La macronie a d’autres chats à fouetter. Il faut recaser les copains et les copines même après des défaites cinglantes.
Macron recase Agnès Buzyn après sa défaite aux municipales.
https://www.valeursactuelles.com/politique/macron-recase-agnes-buzyn-apres-sa-defaite-aux-municipales-122616
République bananière, théâtre inutile et verbeux en chemise blanche parmi les décombres encore fumantes de Beyrouth, virée en jet-ski avec photos de star photoshopées et poitrine mise en évidence, vue de profil, à l’appui (photo soi-disant prise sur le vif !)
Un petit coup de politique bling-bling, un petit coup de mauvais théâtre au Liban, humilier la France en Algérie, penser à recaser les copains et le tour est joué. Les problèmes des Français, fichtre c’est le cadet de leurs soucis en macronie.
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Rave-party dans nos campagnes. Musique, décibels, drogues, alcools et on amène même les enfants pour se divertir… Pour se donner bonne conscience, l’Etat peau de chagrin a distribué des masques et du gel hydroalcoolique (encore de l’alcool).
Les agriculteurs devront penser à l’avenir à déverser régulièrement du fumier et du purin sur leurs champs. Sérénité garantie pendant tout l’été.
Dans ma région, des agriculteurs ont utilisé ce moyen écologique pour faire partir des « indésirables ». Succès garanti. Un agriculteur importuné a appelé tous ses collègues et en avant, diffusion massive de purin. Défilé de tracteurs, cela nous change des rodéos en voitures ou en motos…
Vive l’écologie !
« Qui ensauvage la France ? »
Une meilleure question aurait été celle-ci, me semble-t-il : pourquoi la France s’ensauvage-t-elle ?
Une réponse alors vient à l’esprit : parce que la France ne sait plus qui elle est, ni où elle va, ni ce qu’elle veut, ni en qui ni en quoi croire…
@ Aliocha | 11 août 2020 à 09:22 et la réponse de Robert Marchenoir
À lire « L’Occident a, pendant longtemps, consommé à 20 % de la population mondiale, 80 % des richesses, que maintenant les 20 deviennent 1 % participe d’une logique qui, si elle ne légitime certainement pas les comportements odieux que vous décrivez, en explique les désordres. »
Il faut donner raison à Robert de traduire ce langage qui paraît être issu d’un savoir économique idéologique qui, comme toute idéologie, dispense de raisonner et pour exister a besoin de bouc émissaire.
Robert a raison de se plaindre que l’économie soit trop ignorée sur ce blog, j’y ajouterai aussi de beaucoup d’élites qui en ont une vue irrationnelle, ce qui devient la cause, entre autres, de cette énorme sottise d’Aliocha, « qui fait le fond de la sauce de l’idéologie » précise à raison Robert.
L’idéologue que vous êtes se permet de dire que l’Occident ne représenterait que 1 % de la population mondiale qui consommerait 80 % des richesses mondiales alors que l’Occident représentait 20 % quand la population mondiale était de 3 milliards soit 600 millions et aujourd’hui avec une population de 7,8 milliards, l’Occident ne compterait que de 74 millions d’habitants et nous aurions 7,726 milliards d’individus qui se partageraient 20 % de la richesse mondiale de 84 740 soit 16 948 milliards soit 2 194 $ par individus par an moyen, alors que le 1 % aurait 916 108$ par an moyen, vous élucubrez.
En France (partie de l’Occident) le 1 % le plus riche a un revenu moyen de 92 660 $ par an. Donc les riches Français sont dix fois plus pauvres que les autres riches occidentaux, selon Alochia.
L’idéologie est mauvaise conseillère quand le formaté se dispense de réfléchir, ignore les principes économiques réels de notre vie sociétale et cherche, dans l’histoire, des concomitances, il nous dit alors « La couleur de peau, même s’il ne faut pas en sous-estimer la réalité, est loin d’être la cause unique de nos maux. Se focaliser sur elle seule nous promettrait alors un avenir libanais ».
Vous pensez donc que l’avenir libanais a été induit par la focalisation de la couleur de la peau ?
Ce n’est pas la couleur de la peau qui y est pour quelque chose et ni les leçons du passé qui peuvent expliquer la réalité de la perte de cohésion du peuple libanais et surtout sa démographie qui, en 60 ans a été multipliée par 3,5.
L’0ccident, producteur de richesse, ne peut pas s’accaparer des richesses de nations qui en produisent peu et, de plus, quand elles ont une croissance démographique telle que le partage du peu produit dans leur nation appauvrit chacun de ses habitants et pousse à l’exode.
À l’avenir soyez plus précis dans vos déclarations cela évitera de perdre du temps dans des polémiques que vos affirmations déclenchent comme :
« On ne rétablira pas l’ordre démocratique en faisant l’économie de cet aggiornamento historique » nous dit Aliochia, ceci n’est pas un plaidoyer pour tirer des leçons du passé puisque l’aggiornamento consiste à s’adapter au monde contemporain et non regarder en arrière, c’est-à-dire ne pas regarder vers les idéologies qui vous cachent la réalité, par exemple cette réalité dont les idéologies d’Aliocha font un déni ; le partage de la richesse n’est possible que si cette richesse est produite.
Si une nation produit peu et sa démographie est galopante, l’exode entre une nation peu productrice vers une nation productrice n’a pas d’antécédents historiques mais des causes contemporaines.
Il faut que notre absence de savoir sur la réalité économique soit à l’ordre du jour afin de remplacer le savoir idéologique économique auquel vous êtes formaté au présent.
Donc, en premier lieu, cher Aliochia, constatez qu’à chaque fois que vous voulez satisfaire un de vos désirs il est obligatoirement produit par un autre que vous et sauf à être un esclavagiste: admettez que vous devez produire les désirs des autres avec équité. Si bien que le partage de la richesse en la faveur d’un individu ou d’une nation ne peut pas être supérieur à l’équivalent que vous ou la nation avez produit pour les autres.
Voilà la réalité contemporaine et si ce partage de la richesse n’est pas exemplaire, voyons, en dehors de toutes idéologies, les raisons de l’insuffisance de la production ou l’inéquation des valeurs que nous donnons à ces productions.
Et, au passage, vérifiez si ce que vous avez produit, pour les autres, est à la hauteur de ce que les autres ont produit pour satisfaire vos besoins, en biens et services matériels ou ludiques, sans oublier ceux que vous avez satisfaits mutuellement ou collectivement, y compris ce que vous consommez ou consommerez dans les périodes ou vous cessez de produire pour les autres.
Même les naïfs ou les humanistes en chambre n’auront plus le culot ou l’inconscience de discuter le fléau de cette réalité mais tout au plus celui de son ampleur.
Hélas, il existera toujours des cyniques – dont parfois des journalistes – qui, confrontés à des faits exposés de façon implacable, continueront de regarder les images d’un drame avec un petit sourire en coin signifiant à peu près : « Tiens, un franchouillard qui dérouille, bien fait pour lui ! » tout en refusant mordicus de reconnaître la gravité des faits et en niant ou bien en minimisant la responsabilité des agresseurs, en se comportant de fait en quasi-négationnistes.
Ces personnages abjects peuvent être repérés d’après leurs commentaires sur les sites d’information ou sur les blogs relatant ces actes de plus en plus fréquents au fait que, au lieu de commenter les événements eux-mêmes, ils prennent à partie les intervenants qui osent évoquer la réalité dans sa crudité et font preuve d’empathie à l’égard des victimes ou bien de révolte devant tant de violence, tout en les qualifiant de noms d’oiseaux du genre « bas du front », « racistes » etc. en recourant au procédé terroriste d’inversion des valeurs.
Mais tout cela ne durera pas autant que la vie des rats.
Une suggestion simpliste venant d’un horrible petit blanc, qui se souvient des années 60-70. Pourquoi ne pas obliger à habiter dans un des quartiers dit sensibles, pendant un trimestre, les élèves de l’Ecole de la magistrature ? La liste est disponible tant au ministère de l’Intérieur que de la Justice.
Vu que l’immense majorité des élèves de l’ENM sont issus de milieux bobo et des CSP + ou de la moyenne bourgeoisie, ils découvriraient alors la réalité de la vie dans ces cités…
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@ Patrice Charoulet | 11 août 2020 à 23:11
« J’ai vu qu’il y aurait sur Arte à partir de 21h un documentaire sur la création de l’Etat hébreu et sur tous les événements qui l’ont suivie. Instructif et passionnant ! (..) il vaut le détour, je vous l’assure. »
J’ai l’impression que nous n’avons pas vu le même documentaire, ou plus précisément que vous n’avez regardé que ses séquences favorables à Israël et au sionisme.
Un conseil lisez ou relisez les ouvrages de l’historien israélien Shlomo Sand, qui vit dans ce pays. Entre autres son livre « Comment le peuple juif fut inventé ». Sa thèse fut défendue avant lui par le célèbre historien Fernand Braudel, et par l’essayiste Arthur Koestler (natif d’une famille juive).
@ Ellen
« Pas besoin de compter les points. Ma réponse à l’infect pseudo Nanita est assez claire. Plus besoin d’y revenir, le match est terminé. »
Oh ben non alors ! J’aime bien les « débats » quand leur ridicule en arrive au niveau de formes élaborées d’art contemporain!
Zut ! Déçu…
Monsieur Bilger, la situation est vraiment plus grave que votre constat exprimé sous la forme d’un questionnement, que d’aucuns ne manqueront pas de trouver vicieux.
La situation est aussi désespérée, à cause de deux éléments essentiels : les intentions des mal agissant et, surtout, leur nombre.
Leurs intentions : démontrer, de toutes les façons, qu’ils sont en territoire conquis.
Leur nombre : il y a la réalité des statistiques (notamment celles présentant, en pourcentages, l’origine des prénoms, par département et par ville) et leur mode opératoire grégaire (si vous résistez à un individu, c’est tout un groupe qui viendra vous le faire payer – la stratégie du perfide et du lâche !).
Face à ce mal, quelle opposition attendre d’un peuple décadent (je pèse mes mots), engourdi par un amour pervers pour tout ce qui est exotique et par la peur de froisser l’autre, même s’il est une menace pour la paix de tous.
Vous l’aurez sans doute compris, je ne vois aucune solution au problème exposé.
Dans deux décennies (je suis optimiste), la France aura définitivement basculé vers le côté obscur.
Qui ensauvage la France?
La réponse est multiple, mais le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur de « Sur la violence gratuite en France », invité de Valérie Expert sur Sud Radio, peut nous fournir des éléments de réponse :
https://www.youtube.com/watch?v=vb7eeaurSAI
@ GERARD R. | 12 août 2020 à 12:53
Très bonnes questions claires, précises, sans ambages, où finalement tout est dit.
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@ Marc GHINSBERG | 12 août 2020 à 08:00
Vous habitez dans un quartier sécurisé et cela vous fait plaisir de voir notre pays disparaître. Vous êtes un parfait mondialiste macronien ex-gauchiste caviar.
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@ Claude Luçon
« Doyen qui a vécu et travaillé chez les musulmans du Maghreb, du Moyen-Orient, de la Somalie et du Nord-Nigeria* pour un total de 30 ans »
Indécrottable ! Vous avez dû en emm*rder tellement qu’ils viennent se rattraper. (Nous pensions qu’il s’agissait du sud-Nigeria et vous avez oublié le Mozambique et d’autres contrées que vous étalez périodiquement.)
@ boureau | 12 août 2020 à 13:46
Excellent, et tout ça sans nous pomper l’air avec des sociologues canadiens ou américains, qui découvrent l’interrupteur aujourd’hui, trop occupés à gérer leur fortune.
@ Serge HIREL | 11 août 2020 à 18:02
Je viens de relire votre commentaire et j’avoue qu’il est pertinent et qu’il mériterait d’entrer en application.
@ Clovis | 12 août 2020 à 19:40
Ce que je suis n’a aucune importance.
Contestez-vous ce que j’écris ?
@ Jean-Paul Métis
« Leur nombre : il y a la réalité des statistiques (notamment celles présentant, en pourcentages, l’origine des prénoms, par département et par ville) et leur mode opératoire grégaire (si vous résistez à un individu, c’est tout un groupe qui viendra vous le faire payer – la stratégie du perfide et du lâche !). »
En fait, vous posez là un élément essentiel qui relève du fossé culturel nous séparant du type d’immigration que tous ceux qui sont placés aux niveaux les plus élevés de l’État nous imposent depuis plus de quarante ans alors qu’ils ne l’ont manifestement pas compris, prisonniers qu’ils sont des modèles basés sur l’immigration européenne remontant au début du XXe siècle.
Ce point repose essentiellement sur le fait que nous vivons sous un régime ayant sacralisé l’homme en tant qu’individu en l’ayant placé au centre des textes fondateurs constitutionnels et législatifs, au point d’évoquer – ce qui est significatif – les droits de l’homme (isolé) et non pas les droits des gens…
Cette façon de voir les choses explique en partie le fait que le Français est plutôt un individualiste – et parfois même un égoïste – se sentant très peu solidaire du reste des groupes humains sauf éventuellement de ses proches.
Et dans le domaine juridique, la responsabilité individuelle prime sur la responsabilité collective.
En revanche, les gens qui viennent chez nous sont généralement formatés selon une logique de groupe familiale, clanique et parfois même tribale : l’individu n’est rien alors que le groupe est tout.
S’en prendre à un membre du groupe équivaut à s’en prendre à ce dernier, ce qui fait qu’en cas de différend avec quelqu’un appartenant au monde extérieur c’est toute la tribu qui va être rameutée et tomber à bras raccourcis sur l’imprudent qui se croit protégé par ses droits de l’homme (seul) abandonné à lui-même…
Et bien entendu, dans les phénomènes conflictuels, l’effet de groupe joue le rôle d’un multiplicateur.
Non, maintenant, 1 se partage ce que possèdent les 99 autres, c’est la suite logique du ratio 20/80 d’un monde qui refuse de mettre un frein à la voracité naturelle de l’humain.
Où l’on s’aperçoit que dès qu’on parle de races, nombreux sont ceux qui partent en vrille comme un Zeppelin dans un ciel londonien de sinistre mémoire.
What a chicken !
@ Claude Luçon | 12 août 2020 à 12:51
Je prends tout ce que vous avez écrit.
En grand hurdler vous m’avez battu sur le fil comme l’a fait Guy Drut lorsqu’il a eu la médaille d’or tant espérée.
@ Exilé
Autant la position de Maurice Berger qui évacue les purs déterminismes sociaux dans l’explication de la violence de ces « jeunes » est, disons, valable, autant son tropisme psychanalytique semble lui jouer des tours. Une mauvaise éducation n’arrange certes rien, mais de la même façon qu’on n’explique pas tout à travers les déterminismes sociaux, on n’explique pas tout non plus à travers papa-maman. C’est aussi ici un expédient de la pensée fort commode.
Si vous voulez, on peut discuter de la rigueur de son approche… Remarquons déjà que nos chers psys nationaux ne publient qu’en français. Les effets de ce chauvinisme « scientifique » ont des effets désastreux, maintes fois documentés.
La question des déterminismes sociaux ou familiaux est un terrain miné. Par exemple, il est évident que les déterminismes sociaux dans la violence existent. Pour la bonne et simple raison qu’il est objectif que cela cogne plus sec à la Grande Borne que dans le 7e arrondissement de Paris. S’il est un fait qu’il est difficilement contestable de nier sur ce blog, c’est celui-là.
Du point de vue de la transcription de ces données brutes dans le débat public, il est évident que la question de ce que ces données signifient en terme de politiques publiques est loin d’être triviale, et ne se satisfait pas d’explications simples. Cela étant, la question de l’impact du tropisme à tout expliquer à travers des déterminismes familiaux par nos psychanalystes nationaux pose tout autant de questions, et de natures similaires.
Il n’est nullement question dans mes propos de remettre en cause l’importance de l’éducation de manière générale, ni de remettre en question l’idée que l’éducation dans certaines familles de ces zones est foncièrement inadaptée. Je n’ai pas besoin d’interroger un psychanalyste pour le savoir. Et ce serait même plutôt l’inverse. Mais s’il s’agit d’affirmer que la situation de la violence de nos jeunes décérébrés résulte simplement d’éducation et de cultures différentes, il est douteux que des politiques publiques puissent être bâties sur la simple injonction à la responsabilisation des parents. Ce qui semble être en filigrane, dans vos jours les plus antiracistes, votre position.
Et si vous voulez arguer d’une forme de rémigration, il n’est nul besoin de brandir des propos d’origine psychanalytique. Rhétoriquement, c’est efficace, mais scientifiquement ce n’est pas solide. C’est d’ailleurs pour cela qu’il est important de publier… en anglais.
Si vous voulez vous convaincre de la fragilité de vos positions, à supposer que vous avalisiez celles de Maurice Berger, il vous suffit d’observer, dans cet article les tailles d’échantillons, de faire la liste des biais cognitifs, et de regarder en détail la nature des références bibliographiques. Si vous ne comprenez pas en quoi cela impacte la fiabilité de ses propos, je suis votre serviteur.
@ Michel Deluré | 12 août 2020 à 11:30
« Théorie au moins originale que celle affirmant que les délinquants, quels qu’ils soient, sont utiles à ceux qui nous gouvernent !
Je pense que vos arguments pour soutenir cette thèse nécessiteraient effectivement de très longs développements pour en démontrer leur crédibilité et convaincre la majorité des lecteurs de ce blog. »
Il ne s’agit pas ici, d’une théorie mais d’un constat.
Par ailleurs, il faut que je vous dise que je ne souhaite convaincre personne, et certainement pas « la majorité des lecteurs de ce blog », qui peuvent bien penser ce qui leur plaît, pendant que moi-même je pense ce que je veux.
Je présume que vous ne verrez pas d’inconvénient à cela.
En effet, il n’existe pas de raison utile et suffisante qui m’amuserait autant que le plaisir de ventiler, brasser, aérer, agiter l’air du temps…
Je sais, ce n’est pas sérieux, mais il y a ici une quantité considérable de hobereaux graves et besogneux qui jouissent lorsqu’une hypothèse peu fatigante les gratifie de quelques hommages légers et clinquants. Moi je m’en balance !
https://www.youtube.com/watch?v=j5WREkiT1P4
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@ Serge HIREL | 12 août 2020 à 13:28
« Je n’ai toutefois aucune illusion sur l’impact de ce message sur votre état d’esprit. »
Vous faites bien d’abandonner toute illusion, mais si vous aviez voulu vraiment impacter mon « état d’esprit », vous auriez écrit autre chose…
« Bestiae sumus ut non bestiae simus. »
@ Clovis | 12 août 2020 à 19:40
Je parlais des musulmans, il n’y en a pas au sud du Nigeria ni au Mozambique mais avec un pseudo pareil, en vieux gaulois, on ne peut pas vous demander de savoir lire !
@ duvent | 12 août 2020 à 07:07 »
« la deuxième est que le raffinement m’a empêché d’écrire une chose telle que « je ne développerai pas cette question connue parce qu’elle me fait méga ch*er » »
Donc en fait, vos commentaires n’ont pas plus d’intérêt pour vous-même qu’ils n’en ont pour nous… En voilà une surprise !
@ F68.10 (@ Exilé)
En lisant votre commentaire, m’est revenu un fait de scolarité d’une de mes filles rentrant du collège en me disant qu’ils avaient mis untel en section Segpa ! Et que tous les copains, copines étaient vent debout contre ce fait.
Renseignements pris, il s’était avéré que la maman dudit gamin n’avait pas compris ce que signifiait cette section Segpa et avait donc signé.
Aujourd’hui, c’est un adulte qui vit avec cette injustice et est parfaitement adapté à la vie sociale en tant que fils d’étranger né sur le sol français.
De tels vécus, il en existe à la pelle… et no comment !
En conclusion :
– un pays déboussolé, vaincu, escroqué par une classe dirigeante de fonctionnaires incompétents et malhonnêtes, (combien coûtent à la nation les 10 000 fonctionnaires les mieux payés à ne rien faire ?)
– des élus attentionnés à leur réélection
– des créations spontanées de Hautes autorités, de commissions indépendantes et fortement rémunérées, des ARS qui asphyxient le corps médical
– des lois castratrices des libertés
– une presse débile, trompeuse et aux ordres
– des militaires qui jouent aux gendarmes de l’Afrique et qui ne protègent qu’eux-mêmes et mal
– une Education nationale qui n’en a plus que le titre
– une violence urbaine qui ne demande qu’à décupler
– un endettement qui n’a plus de raison d’être et qui est maintenant sans limites
et cerise sur le gâteau,
– des présidents antinationaux.
Je ne pense pas que l’on puisse rétablir l’ordre dans cette déchetterie qu’est devenue la France. Demain les islamistes nous déclareront ouvertement la guerre, qu’il faudra taire jusqu’au moment où cela ne sera plus possible.
Comme il n’existe plus de solutions internes, je pense qu’il serait convenable que les citoyens encore nationaux préviennent les confrères européens que la France va s’écrouler d’un moment à l’autre et qu’ils devraient commencer à protéger leurs frontières naturelles pour éviter de recevoir nos débris contaminés.
La génération spontanée n’existe pas, les effets secondaires sont les conséquences des erreurs commises volontairement ou non par l’homme.
@ Ange LERUAS
Vous avez raison sur mes imprécisions économiques, mais sûrement pas sur l’idéologie qui décrit cette tendance d’inégalité croissante, comme je l’ai précisé hier soir, je vous remercie au passage de m’en donner l’occasion.
Votre savoir économique repose lui aussi sur une idéologie, définie comme cadre référent à l’expression d’idées, qui, selon vous et je vous donne raison, est fondée sur le désir.
À mon sens, tous les désordres contemporains, notamment la gestion relationnelle des minorités avec la majorité, viennent du fait que le désir, fondement idéologique de l’économie, n’est pas une notion suffisante pour créer ce consensus si difficile à définir pour que chaque individu en ce bas monde ait accès à un minimum de justice, notamment sociale, qui permettrait d’envisager l’avenir avec sérénité.
La réponse rocardienne, qui ne pourra se concrétiser qu’à l’échelle européenne avant de se diffuser mondialement, est à mon sens la plus adaptée pour répondre aux désordres que l’absence de régularisation naturelle de la voracité des désirs entraîne, l’analyse d’Aimé Césaire d’explication du nazisme par la colonisation en est à mon sens un bon exemple, comme l’est celui de l’amortissement des crises économiques par la protection sociale, et affirme à raison que le seul désir doit être encadré, si l’on ne veut pas que ses illusions, les crises successives et répétées sans compter les désordres écologiques en sont la preuve, ne perturbent notre rapport au réel.
L’économie de marché, qui est un bon moteur et synonyme de liberté, devra donc être encadrée par les droits de l’homme, la protection sociale et la démocratie.
Ainsi, la mondialisation, si elle sait exporter ces principes régulateurs avec son désir expansionniste, pourra créer dans la justice, un modèle fiable pour le futur, où chaque individu, conscient de ses responsabilités envers la création, saura trouver le cadre viable nécessaire à sa liberté.
@ duvent
Je pense que vous voulez dire que les gouvernants divisent pour régner, se servant des bandits et autres fauteurs de troubles pour rassurer la population derrière lui. Mais outre l’absence de preuves, on peut douter de la chose pour une autre raison : un gouvernement s’appuyant sur la peur du désordre devrait ramener l’ordre ou du moins sembler aller dans ce sens, ce qui n’est pas le cas. Ce n’est pas qu’il ne puisse pas sévir, comme on le voit pour le virus, c’est donc qu’il choisit de ne pas le faire, pour des raisons que je ne vais pas essayer de deviner ici.
Qu’on soit d’accord ou non avec vous, je déplore qu’on puisse vous agresser à cause de vos vues divergentes. Ils attendaient certes que notre hôte se prononce comme il l’a fait mais le soulagement n’est pas une raison pour se soulager en propos agressifs contre quelqu’un qui ne leur a rien fait. Pour ce qui vous concerne, je vous trouve étrange de ne rien vouloir jamais expliquer alors que nous débattons. Mais pourquoi pas ? Parler rugby, Japon ou ne rien expliquer sont pour moi au moins aussi licite qu’agresser. Vous me faites penser à Mary Poppins disant qu’elle n’explique jamais rien ! Je n’ai pas trouvé l’extrait en question, cherchons autre chose pour vous :
https://www.youtube.com/watch?v=5W74QlYQN_I
@ boureau
Votre analyse concernant le drame qui a eu lieu au Niger est on ne peut plus pertinente.
Des ONG irresponsables et niaiseuses envoient à une mort certaine des jeunes gens fraîchement diplômés. Mais pourquoi la France doit-elle envoyer ses soldats et de jeunes humanitaires mourir là-bas alors que les hommes de ces pays les fuient par dizaines de milliers pour venir profiter de nos minimas sociaux ?
Les militaires français devraient former tous ces immigrés clandestins à rester dans leur pays et à défendre leur pays d’origine. Ici, la coupe est plus que pleine, elle déborde.
Concernant les actes antisémites en France :
L’immigration maghrébine et subsaharienne crée en France des peuples qui n’ont pas le même rapport à la Shoah que le peuple français historique, ce qui explique la résurgence de l’antisémitisme. La France est de moins en moins la France. Bizarrement, cette immigration maghrébine et africaine nous est de plus en plus imposée…
« silence assourdissant des médias alors qu’un pays de l’#UnionEuropeenne la #Grece est -encore- attaqué par un membre de l’#OTAN la Turquie
Il semble pourtant que les Grecs aient décidé de repousser leur ultimatum suite aux incursions et au forage turc dans leurs eaux territoriales Valérie BOYER »
Où est Macron ? Au Liban. Au secours, nos amis européens Grecs sont envahis par la Turquie d’Erdogan. L’invasion et la conquête islamique se poursuivent.
Jean Castex continue à nous parler de masques et toutes les chaînes d' »information » relaient à tue-tête…
@ F68.10
« Autant la position de Maurice Berger qui évacue les purs déterminismes sociaux dans l’explication de la violence de ces « jeunes » est, disons, valable, autant son tropisme psychanalytique semble lui jouer des tours. »
Je ne me sens pas habilité à juger des compétences de Maurice Berger en tant que théoricien dans sa partie.
En revanche, d’après l’entretien qu’il a accordé à Valérie Expert, il apparaît qu’il possède une expérience de terrain de ces problèmes de violence d’origine culturelle et que de plus il semble animé de bon sens ce qui ne gâte rien.
Et comme il ne pratique pas la langue de bois, il est plus crédible que tous les prétendus spécialistes qui nous enfument depuis plusieurs dizaines d’années en matière de sciences sociales.
Il est toujours possible de critiquer une méthodologie, mais évitons de confondre recherche scientifique et médecine…
Le ministre de l’Intérieur britannique, l’immigrée Priti Patel, en a sa claque du laxisme français qui consiste à laisser passer en Angleterre la moitié de la Syrie, du Nigeria et du Pakistan sur des canots pneumatiques. Elle veut faire appel à la Royal Navy pour… ce pour quoi elle est faite, c’est-à-dire protéger la Grande-Bretagne de l’invasion.
Comme elle l’a fait contre Hitler, Napoléon et bien d’autres. Grâce à quoi, l’Angleterre n’a jamais été envahie depuis 1066.
Au passage, c’est ce que l’Australie a fait depuis plusieurs années. En renvoyant ces délinquants chez eux dès qu’ils ont été hissés sur leurs bateaux de guerre. En mettant ceux qui ne pouvaient être renvoyés immédiatement dans des camps de concentration, sur des îles au large. Et en lançant une belle campagne d’information à l’intention des envahisseurs, pour leur signifier que les pleurnicheries gauchistes, c’était terminé.
Un autre monde est possible. Au lieu de servir à quelques blogueurs nostalgiques à se remémorer leurs souvenirs de jeunesse, la « Royale » pourrait peut-être s’occuper de défendre la frontière maritime française en Méditerranée ?
Hélas, tout ce que trouve à faire le maire de « droite » de Calais, Natacha Bouchart, c’est de renvoyer la patate chaude aux Anglais, en se plaignant que les immigrés illégaux bénéficient là-bas de la santé gratuite et de logements gratuits. Comme si ce n’était pas le cas en France. Comme si la seule solution, pour lutter contre la conquête organisée de l’Europe par des immigrés qui font le signe de la victoire en débarquant, n’était pas de manifester une solidarité sans faille entre Européens.
Elle se contredit d’ailleurs elle-même : dans les mêmes déclarations, elle reproche à la Grande-Bretagne d’avoir une politique trop favorable envers les immigrés illégaux (ce qui serait censé les attirer à Calais), et d’avoir une politique trop rigoureuse à leur égard (ce qui serait censé les maintenir à Calais).
Cette dame est trop idiote, trop démagogique, ou les deux, pour prendre conscience que plus l’Angleterre sera laxiste à l’encontre des immigrés tentant de traverser la Manche illégalement, plus sa ville (et le pays par la même occasion) sera envahie par eux. Est-ce cela qu’elle désire ?
En attendant, les délinquants que nous hébergeons sur notre sol font du chantage au suicide face aux menaces britanniques. Comme chacun sait, la seule attitude convenable, en pareil cas, est de répondre : vous voulez vous noyer dans la Manche ? eh bien ! faites-le. C’est le parti qu’a pris Margaret Thatcher contre les terroristes de l’IRA. Le problème a été réglé.
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@ Metsys | 12 août 2020 à 10:10
Intéressant, votre texte sur la croisade des enfants. Pourriez-vous nous en donner la source ?
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@ Marc GHINSBERG | 12 août 2020 à 08:00
« Parmi ceux que vous applaudissiez le soir à 20h il y avait de très nombreux immigrés. »
1. C’est bien le problème.
2. Ce ne sont pas des bénévoles, contrairement à la suggestion implicite des discours larmoyants de gauche qui répètent cet argument pour la millième fois. Ils sont payés.
En fait, ils devraient être reconnaissants à la nation française blanche pour cela. Ne pas être chômeur, en France, aujourd’hui, c’est un privilège.
Votre argument suppose que simplement faire son travail, ne pas voler, ne pas tuer, ce serait, en soi, digne d’éloges (ce en supposant que les immigrés « travailleurs de la première ligne » ne commettent pas de délits, ce qui est évidemment faux).
3. Le problème est bien que, désormais, des gens se mettent à leur fenêtre pour applaudir des gens qui ne font rien de particulier. Qui font simplement ce qu’ils sont censés faire.
Ce qui dépasse largement le problème de l’immigration, d’ailleurs.
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@ Chemin de traverse | 12 août 2020 à 07:44
« L’Europe représente 9,8 % de la population mondiale. À moins que par ‘Occidentaux’, Robert Marchenoir estime qu’il faille compter les States… »
Évidemment que les Américains sont des Occidentaux ! Ils sont quoi, à votre avis ? Des Chinois ? Les Américains sont des Européens qui sont partis s’installer en Amérique. De même que les Australiens sont des Occidentaux, bien qu’ils soient situés à l’est et au sud de l’Europe. De même que les Israéliens sont des Occidentaux, bien qu’ils soient… en plein milieu du Moyen-Orient.
Quant aux chiffres, je n’ai pas prétendu donner de pourcentages exacts. Mon propos était simplement de démontrer la fausseté du raisonnement d’Aliocha, qui a commis cette faute classique de la propagande communiste : prétendre que l’Occident capitaliste « exploite » les pauvres prolétaires orientaux (ou sudistes, comme on voudra), parce que la « richesse » est un gâteau dont la taille est définie à l’avance par Dieu, je veux dire Marx, et que si les Occidentaux « consomment » plus que les Orientaux, alors cela veut dire que les premiers volent aux seconds.
En puisant dans un mystérieux réservoir de BMW, d’Empire State Buildings tout construits, de programmes Office de Microsoft et ainsi de suite, qui se trouveraient dans le sous-sol du Sénégal et dans les jungles vietnamiennes.
Ce raisonnement stupide (mais tenu par des milliards de personnes) suppose que la consommation est indépendante de la production, et qu’on peut consommer des biens sans les produire.
Les pourcentages (faux) fournis par Aliocha se basent sur le PIB, c’est-à-dire le produit intérieur brut. Produit veut dire : fruit de la production. Les Occidentaux sont riches parce qu’ils ont beaucoup produit. C’est-à-dire travaillé, et travaillé de façon efficace.
L’enfumage communiste prétend qu’on peut lutter contre la pauvreté sans produire : il suffit de « répartir les richesses », c’est-à-dire, en bon français, de les voler à ceux qui les produisent.
Un enfant de dix ans comprendrait qu’une telle opération ne peut conduire qu’à appauvrir tout le monde. Et l’histoire le confirme.
Enfin Monsieur Bilger vous aussi ouvrez les yeux. Mais qui va suivre vos conseils ? Qui aura le courage de mener cette politique au risque de se faire traiter de lepéniste ?
Je vis actuellement à Marseille et chaque jour j’ai envie de hurler. La France est un pays foutu grâce à tous ceux qui n’ont rien voulu voir et qui encore aujourd’hui refusent le constat que vous faites. Ici les bobos affichent des panneaux disant « ouvrez les ports ».
De quoi se taper la tête contre les murs quant on voit la population marseillaise, de moins en moins de blancs, on se sent étranger dans son pays.
@ Marc GHINSBERG 12/08 08:00
Mettre l’accent, avec le talent qui est celui de PB, sur cette évidence qu’une part non négligeable de « l’ensauvagement » de notre pays trouve son origine au sein des communautés issues de l’immigration n’est pas déformer une réalité et encore moins condamner l’ensemble de ces communautés.
Bien sûr que nombre de citoyens issus de cette immigration ne méritent pas et ne doivent pas être assimilés à ceux des leurs dont les états de leurs actes d’incivilité et de délinquance est souvent déjà éloquent.
Mais il n’y a pas d’arguments recevables pour que soient tus les agissements de ces derniers, que leur réalité et leurs conséquences, y compris pour les autres membres de leur propre communauté, en soit minimisées ou étouffées.
Refuser de voir cette réalité c’est accepter cet état de fait, c’est donner raison à ceux qui se livrent à ces actes d’incivilité et de délinquance, c’est les motiver à poursuivre dans cette voie et à faire des émules.
L’infirmière du Neuillykistan-sur-Marne est ravie d’apprendre de la bouche (d’égout) de son maire, que son tabassage dans le bus n’est qu’un « acte isolé », aux infos ce matin.
Maire de la diversité variée et avariée au nom qui fleure bon l’Orient des mille et une nuits (d’émeutes).
Les trois chances pour la Ceufran, de même ethnique (sa mèèère) et de même coloriage que leur calife, risquent la peine maxi : un rappel à la loi en bonne et due forme par un juge rouge du SM mur des cons et un bon avocat gauchiste.
@ Walson
Le surendettement de l’Etat ne date pas d’aujourd’hui, et les moyens crapuleux d’y faire face non plus.
La formule a toujours été de spolier ceux qui n’avaient pas bonne presse, en télécommandant celle-ci au besoin. Banquiers, Temple, juifs, notaires, clergé, les grandes fortunes, tout y est passé depuis le Moyen Âge.
Aujourd’hui, c’est plus compliqué. Si on emm… les riches, ils fichent le camp.
Avec les francs-maçons et leur mainmise sur la haute fonction publique accomplie sous Louis XVI, sont arrivées les magouilles financières à la Necker, et Macron en est le brillant héritier.
Mais là, le bon peuple n’est pas convié au débat.
@ Robert Marchenoir
Je demandais juste si les States faisaient partie des Occidentaux…
Et vous me répondez que bien sûr les Américains sont des Occidentaux.
Vous voulez donc dire les States, le Canada et le Mexique.
Les Américains étant des habitants des Amériques, la partie sud de ce continent fait donc partie des Occidentaux. Est-ce bien ce que je devais comprendre ?
Donc les Italiens du Sud au QI inférieur et venus en France sont des Français (sujet développé sur un autre fil…)…
À trop vouloir morceler une pensée, il arrive que l’on trébuche sur les morceaux.
@ Robert Marchenoir
« Le ministre de l’Intérieur britannique, l’immigrée Priti Patel, en a sa claque du laxisme français qui consiste à laisser passer en Angleterre la moitié de la Syrie, du Nigeria et du Pakistan sur des canots pneumatiques. Elle veut faire appel à la Royal Navy pour… ce pour quoi elle est faite, c’est-à-dire protéger la Grande-Bretagne de l’invasion. »
Excellente analyse de la situation et de l’invasion migratoire dans le Pas-de-Calais. Dans les Hauts-de-France, ce n’est plus la France et cela fait plus de trente ans que ça dure… L’ex-maire EELV Damien Carême de Grande-Synthe (surnommé Damien Ramadan) y a largement contribué. Il est à présent planqué à Bruxelles en tant que député européen.
« Un autre monde est possible. Au lieu de servir à quelques blogueurs nostalgiques à se remémorer leurs souvenirs de jeunesse, la « Royale » pourrait peut-être s’occuper de défendre la frontière maritime française en Méditerranée ? »
L’Australie a, en effet, fait comprendre clairement que c’était STOP À L’IMMIGRATION.
La France est un pays de froussards qui brassent de l’air en permanence. Il font la parade en chemise blanche sur des théâtres de guerre et de désolation. Pathétique !
@ duvent 12 août 2020 20:56
Décidément, de message en message, vous laissez vos lecteurs sur leur faim de connaître le tréfonds de vos pensées profondes, mais assez vagabondes. Pas le temps, pas le lieu et, cette fois, une sentence sans la moindre piste pour tenter de comprendre ce qui pourrait éventuellement tenter vos neurones de mouliner autrement.
« Mouliner »… Tiens, voilà le mot exact qui convient à votre posture. Vous êtes un moulin à vent, qui bat de l’aile au gré de l’humeur. D’ailleurs, vous le confirmez vous-même dans le message que vous adressez parallèlement à Michel Deluré : « Il n’existe pas de raison utile et suffisante qui m’amuserait autant que le plaisir de ventiler, brasser, aérer, agiter l’air du temps… ». Votre originalité, dès lors, est d’être aussi un moulin à paroles… et de ne produire que… du vent.
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@ Achille 12 août 2020 01:33
« Mais je pense que le message est bien passé et que le gouvernement va s’employer à remettre de l’ordre. »
J’en suis beaucoup moins sûr que vous… Le discours de Darmanin, hier au Mans, était tout juste le copier-coller des précédents. De beaux mots d’apaisement, une bonne couche de baume qui soulage… Mais un ton monocorde, signe d’une émotion contenue – réelle ou feinte – et rien qui dit que la France va relever la tête…
« Il faut le temps de mettre en place les moyens d’action préventifs et coercitifs et changer certaines mentalités qui ont conduit à cette situation qui dure depuis des décennies. »
Traduction en français populaire : dès qu’on a retrouvé les lames, le blaireau et la mousse, on rase gratis… Ah, j’y pense, il faut aussi savoir où se trouve la clé de l’armoire de toilette dans laquelle sont rangés ces ustensiles. Il faudra peut-être un peu de temps pour mettre la main dessus. Il y a si longtemps que l’on ne l’a pas vue… Mais tout espoir n’est pas perdu : on se souvient de l’endroit où est l’armoire !
Achille, vous possédez la qualité essentielle à tout ministre de cette République qui a baissé les bras : faire prendre la gesticulation pour une action.
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@ boureau 12 août 2020 13:46
Je partage tristement votre point de vue. Il y a quelque part une absurdité quand on incite des jeunes de notre pays pleins de générosité à aller « sauver » les Africains et que, en même temps, on laisse ceux-ci sans médecins en recrutant des milliers de leurs soignants pour combler les vides béants laissés dans nos hôpitaux par la pire décision de Mitterrand sur le plan sanitaire : la baisse drastique du numerus clausus.
Ne vaudrait-il pas mieux utiliser les crédits consacrés au développement à l’installation en Afrique de facultés de médecine où l’enseignement serait assuré par des médecins venant de France ? Leurs étudiants ne seraient pas tentés de rester en France une fois leur diplôme obtenu. C’est cette solution que l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille utilise depuis plus de trente ans pour que ses élèves africains travaillent dans la presse africaine. Auparavant, ils ne repartaient pas… sauf ceux qui, issus de familles plus ou moins au pouvoir, s’apprêtaient aux plus hautes fonctions.
Ou continuons-nous, comme Kouchner, à transporter des sacs de riz ?… Au risque que d’autres de nos jeunes, partis joyeux, reviennent en Transall, dans un cercueil ?
Quelqu’un a t-il entendu parler d’augmentation du nombre de places de prison ?
Il y avait en France en 1939 sous un gouvernement socialiste, une multitude de camps de rassemblement pour les étrangers indésirables…
Dans un premier temps, la solution est évidemment d’enfermer les emm*rdeurs, mais ensuite qu’en faire ?
En 1940, lors de la débâcle, le souci de ravitailler ces camps est passé au second plan, et si la guerre avait duré longtemps, il est probable que ça aurait très mal fini pour les internés qui ont quand même connu un taux de mortalité « quelque peu » augmenté.
C’est ce qui se produira pour les camps de déportés en Allemagne après 1942, date à laquelle tout espoir de créer un état juif à l’est était perdu.
Alors donc, admettons qu’Exilé, sylvain ou Robert Marchenoir arrive au pouvoir et colle tous nos Africains en camp. D’accord, ça ferait de l’air. Mais on en fait quoi ?
Du temps de Kadhafi, on aurait pu négocier l’installation d’un camp quatre étoiles en Libye. Mais maintenant que personne n’en voudra ?
Un jour ou l’autre, nous aurons le choix entre la guerre civile avec extermination à la clef, ou un partage de territoire.
C’est à cela que les têtes de tit devraient songer.
@ Michel Deluré
Un texte ne s’apprécie pas seulement en fonction des intentions de son auteur, mais également en fonction des effets qu’il produit sur ses lecteurs. Les commentaires suscités par le texte de Philippe Bilger sont éloquents à cet égard. Je maintiens qu’en mettant le projecteur uniquement sur la face sombre de l’immigration, que je ne nie pas, Philippe Bilger éclaire une partie de la réalité, mais que ce faisant il la déforme. De la même manière que si faisant le portrait de quelqu’un on ne citait que ses défauts en omettant d’énoncer ses qualités.
@ Isabelle
Nous défendre en Méditerranée. C’est-à-dire ?
Il faudrait au moins ne pas aller les chercher.
Mais comment faire pour empêcher les « humanistes » de le faire ?
La bonne solution serait au moins d’interdire les débarquements, et que lesdits humanistes se les gardent sur leur bateau ad vitam aeternam, mais il se trouvera toujours un humaniste pour leur ouvrir un port.
La vraie bonne solution, c’est d’emprisonner les humanistes !
Vive Poutine !
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@ Robert Marchenoir
On les met entre quatre barbelés.
Ce serait la solution certainement la plus économique en vies et misère humaine à terme.
Mais allez dire ça à la télé !
@ Serge HIREL | 13 août 2020 à 11:12
« Décidément, de message en message, vous laissez vos lecteurs sur leur faim de connaître le tréfonds de vos pensées profondes, mais assez vagabondes. Pas le temps, pas le lieu et, cette fois, une sentence sans la moindre piste pour tenter de comprendre ce qui pourrait éventuellement tenter vos neurones de mouliner autrement. »
« …de connaître le tréfonds de vos pensées profondes… »
Vous êtes sérieux ???
Ce n’est utile ni pour vous, ni pour personne ici, et je dirai même mieux ce n’est pas fondamental…
« Votre originalité, dès lors, est d’être aussi un moulin à paroles… et de ne produire que… du vent. »
Je note que vous êtes très perspicace et que vous avez réussi à faire le lien entre un pseudonyme choisi avec minutie, et des propos insensés.
Je vous précise tout de même que le non-sens a du sens pour qui est assez libre.
Ceci n’est pas une pipe ! N’est-ce pas ?
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@ herman kerhost
« Donc en fait, vos commentaires n’ont pas plus d’intérêt pour vous-même qu’ils n’en ont pour nous… En voilà une surprise ! »
Je remarque que vous faites partie de ces personnes dont la vivacité d’esprit est redoutable, il me faut donc vous dire que je vois où votre argumentation vous conduit : à utiliser les propos de l’autre pour soutenir votre petite pensée sans ressort…
Et je vous félicite pour cet artifice qui dissimule vaguement votre vacuité, de même que le croupion de l’autruche est à ses yeux parfaitement à l’abri des regards libidineux… Vifs compliments mein Herr !
@ Claude Luçon
« Je parlais des musulmans, il n’y en a pas au sud du Nigeria ni au Mozambique »
Il faut croire que désormais il y en a :
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/des-djihadistes-s-emparent-d-un-port-important-dans-le-nord-gazier-du-mozambique-1-20200812
Liban, pays à méditer concernant l’ensauvagement, les violences tribales et communautaires.
Le multiculturalisme crée les tensions. Le « vivre-ensemble », supercherie.
Le « peuple » descend dans la rue, mais y a-t-il un peuple libanais qui transcende des communautés qui se sont déchirées durant des siècles ? Massacres, attentats, assassinats écrivent la page longue et sombre de l’histoire libanaise. Le communautarisme était évidemment un moindre mal, mais il condamne aujourd’hui le pays à l’impuissance du consensus impossible. Ce ne sont pas les rodomontades du Président français qui tireront le Liban d’une impasse structurelle : une nation ne peut être constituée de tribus rivales. C’est une évidence que les Français devraient méditer.
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Qui ensauvage la France : les futurs contingents arrivent de l’Italie et de la Grèce… La Grèce appelle au secours, les Européens, dont la France, sont sourds ?!
Pouvons-nous suggérer à E. Macron de remettre sa chemise blanche pour aller aider concrètement nos amis Grecs ?
C’est en Grèce qu’il faut aller en priorité, pas au Liban.
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Pourquoi s’attaquer au problème des sauvages, des racailles qui tuent, des islamistes qui prolifèrent dans ce pays quand on peut s’en prendre, tranquilles pépères, au Tour de France. Qui dit mieux !
Qu’on remette en cause le dopage des cyclistes, soit, mais vouloir bannir le Tour de France ! Quel courage de la part de certains élus. Par contre, ils n’en mènent pas large quand il s’agit de dénoncer l’ensauvagement de la France comme le fait P. Bilger dans ce billet lucide et courageux.
Les abrutis s’attaquent donc au Tour de France à présent. C’est trop français sans doute ? On voit de beaux paysages, le pays est mis en valeur y compris à l’étranger. Quelle horreur, ma pauv’ dame !
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Nous sommes dans une République laïque. La laïcité est plus que jamais en danger.
Une soi-disant « journaliste » lève des fonds pour une mosquée, qui plus est douteuse. Qui paie et finance cette « journaliste » ?
Darwin au secours ! Nous sommes en pleine régression.
“Donnez pour Allah, vous irez au Paradis” : Rose Ameziane accusée de soutenir une mosquée douteuse. Rose Ameziane Arhab… souvent sur CNews.
Ou comment mettre en avant une religion rétrograde, phallocrate, misogyne, barbare, avec l’aval de la macronie qui ne bouge pas.
Emile Combes (le petit père Combes), au secours !
@ Exilé
« Je ne me sens pas habilité à juger des compétences de Maurice Berger en tant que théoricien dans sa partie. »
Ce n’est pourtant pas bien compliqué une fois qu’on a les idées claires sur deux ou trois concepts.
« En revanche, d’après l’entretien qu’il a accordé à Valérie Expert, il apparaît qu’il possède une expérience de terrain de ces problèmes de violence d’origine culturelle et que de plus il semble animé de bon sens ce qui ne gâte rien. »
Avec les psys, je vous défie de tenter de penser comme cela. L' »expérience de terrain », c’est l’alibi béton pour se livrer à gogo à des biais cliniques, et en ce qui concerne les psychanalystes, cela fait plus qu’un petit bout de temps qu’on leur reproche justement cela… En ce qui concerne le « bon sens », vous devriez y regarder à deux fois. Il n’est doté de « bon sens » que parce que vous avez l’impression qu’il ne cherche pas à éviter certains problèmes. En fait, vous avez dégoté quelqu’un qui pense comme vous, et c’est pour cela qu’il vous semble doter de « bon sens ».
Maintenant, regardez vraiment s’il pense comme vous. De plus près.
Vous avez toujours le droit de jouer les psychanalystes de gauche contre les psychanalystes de droite. Petit jeu rigolo. Vous avez aussi le droit d’envoyer bouler ces gens, et de commencer à mettre en place des gens qui souhaitent réellement traiter les problèmes, sans plaquer leur idéologie préconçue sur ce type de sujets.
« Et comme il ne pratique pas la langue de bois, il est plus crédible que tous les prétendus spécialistes qui nous enfument depuis plusieurs dizaines d’années en matière de sciences sociales. »
Eh bien, vous devriez vraiment réfléchir à ce sujet de manière un peu plus sérieuse. S’agit-il des mêmes ? Ou pas ? Je vais vous le dire: il n’y a pas de différences entre celui que vous encensez et les autres spécialistes de sciences sociales. Ils pratiquent des épistémologies « alternatives » et s’en vantent, en instrumentalisant leur profession à des fins politiques en court-circuitant le niveau démocratique. Bonnet blanc et blanc bonnet.
Maurice Berger semble bien connu dans le milieu judiciaire pour vouloir psychiatriser au lieu de judiciariser ce type de délinquance. Alors évidemment, pas dans le sens où les gauchistes larmoyants souhaitent le faire. Mais regardez de près: vous perdez le pouvoir face à un scientifique qui se l’arroge; vous vous soumettez à un dogme psychanalytique et vous soumettez des gosses et le reste de la société à ce dogme (faites revenir les prêtres, les confesseurs, les exorcistes et les Jésuites plutôt que cela…). Bref, vous remettez clé en main votre avenir à des gens que vous n’aurez pas le droit de critiquer.
« Il est toujours possible de critiquer une méthodologie, mais évitons de confondre recherche scientifique et médecine… »
Ben non. La médecine, et la psychiatrie en particulier, n’ont une autorité qui ne dérive que de leur scientificité. La prison et les hôpitaux, pour faire simple, sont les deux seules (ou principales) situations où les « droits de l’homme » sont enfreints de manière répétée et structurelle. Et là, on ne parle pas de pleurnicheries de gauchistes. Quand on vous opère contre votre gré, et que vous n’avez littéralement pas votre mot à dire sur le sujet, que vous ayez 2 ans ou 90 ans, ce n’est pas un jeu. La prison et la justice fonctionnent sur le mode de privation de liberté suite à condamnation. Pas la médecine, qui légitime son autorité sur le mode de l’urgence (quand vous êtes encastré dans un accident de bagnole, les médecins s’en fmoquent que vous ne souhaitez pas être traité… ils vous traitent… on discutera après) ou de la prophylaxie (quand des psychiatres décident souverainement qu’il ont le droit de vous traiter, par exemple pour problème avec papa-maman et problèmes fictifs d’échec scolaire). En l’absence de condamnation, leur autorité dérive donc de leur scientificité: si la science prouve que les actions des médecins sont bonnes, on peut passer outre le consentement du patient. (Enfin, c’est la théorie…)
Si vous n’avez ni condamnation judiciaire à l’appui d’une privation de liberté, ni preuve scientifique de votre bonté, votre autorité disparaît.
Là on parle certes de centres éducatifs renforcés. Mais la situation en psychiatrie et plus généralement en médecine que je décris est générale. C’est donc un principe que la médecine doive suivre les données de la science, et ce y compris en centre éducatif renforcé. Souhaitez-vous vraiment que ces jeunes têtes blondes en ressortent pire qu’au début ? Non, j’imagine. Alors vérifiez-le. C’est cela qu’on appelle la science.
Les psychanalystes sont bien conscients de cet enjeu scientifique. C’est pour cela qu’ils utilisent toute leur influence à l’heure actuelle à nier leur non-scientificité, et musellent la liberté d’expression quand on les critique.
Si vous voulez des gens qui pensent comme vous et qui ne sont pas des psychanalystes, c’est-à-dire des gens qui sont accessibles au raisonnement critique et qui ne se placent pas dans un statut de Demi-Dieu de Sapience Surplombant avec Freud la Société et ses Décisions Ignares, je vous suggère de reprendre à votre compte Theodor Dalrymple. Avec des gens comme cela, oui, on peut discuter, et il y a vraiment des choses particulièrement utiles à tirer de ses travaux et expériences. Pas avec Maurice Berger.
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@ Chemin de traverse
« Renseignements pris, il s’était avéré que la maman dudit gamin n’avait pas compris ce que signifiait cette section Segpa et avait donc signé. »
Classique.
Ma mère psychiatre a voulu me coller dans une situation similaire pour échec scolaire, comme en attestent mes dossiers. Quand je mets en rapport le diplôme de Polytechnique que j’ai obtenu en tant que normalien avec ce type d’hystérisation médicale, j’en ai les bras ballants.
« De tels vécus, il en existe à la pelle… et no comment ! »
Oui. Mais qu’on se résigne à accepter cela, ce n’est pas une chose à laquelle je puisse me résoudre. Tout le monde ne s’en sort pas indemne. Ce n’est pas analogue en terme de gravité à un simple bizutage.
C’est pour cela que je pense vraiment qu’il est dangereux de confondre les domaines de la psychiatrie et de la justice. Et qu’il importe vraiment de donner un coup de pied dans la fourmilière au sujet de l’enseignement de la psychanalyse à l’université. Car cela impacte la nature des expertises judiciaires. Et ce bien au-delà de la simple problématique des centres éducatifs renforcés.
Bonjour Philippe,
Ces billets ambigus flattant le viril mâle de ce site m’interrogent.
Vous faites un constat juste, que Malek Boutih a déjà fait il y a 25 ans, la majorité des délits et crimes de jeunes gens, de moins en moins, donnant lieu à incarcération, ou pas, sont le fait de jeunes gens, étrangers, ou français dont les patronymes laissent supposer qu’ils viennent d’Afrique noire ou du Maghreb.
Une fois ce constat fait, que fait-on ?
Un bateau à fond plat au milieu de l’océan, des camps de concentration, des stérilisations massives, de l’arrachage d’ongles de pieds, de l’émasculation ? je me laisse aller, faut qu’j’me r’prends.
Le monde changera et la « civilisation » européenne, judéo-chrétienne, disparaîtra. Et alors ?
Les dinosaures ont bien disparu.
Et nous sommes quand même bien moins intéressants que les dinosaures.
Surtout les humains qui peuplent votre blog. Qui recèle quelques dinosaures également. Claude si vous m’entendez 😊
Si on ne peut pas redresser l’importun à grands coups de purée d’brocolis à cinq branches, c’est interdit, que peut-on faire ? J’vous l’demande.
Et quand je dis redresser, c’est sans méchanceté, pour le bien commun, l’intégration dans la norme sociale commune.
On ne met pas ses pieds sur les banquettes, on ne parle pas au téléphone dans un train comme dans son salon, on respecte les grognasses, on dit merci à celui qui tient la porte …
Les Français sont des cou*lles molles. La dernière nouveauté, dans le train et le métro, les gens attendent que vous ouvriez la porte pour ne pas mettre leurs petites mimines de bobos épilés dessus.
Civilisation d’faiblards.
@ Isabelle | 13 août 2020 à 08:33
« Les militaires français devraient former tous ces immigrés clandestins à rester dans leur pays et à défendre leur pays d’origine. Ici, la coupe est plus que pleine, elle déborde… »
Mais depuis des décennies les militaires français font cela, et pour les résultats que l’on connaît !
Les qualités individuelles des soldats ne sont pas la cause première de ce fiasco, celui-ci résulte des gouvernements et de la hiérarchie militaire de ces pays accaparés ou partagés par une ou deux tribus, la corruption et le clientélisme endémique, etc.
Ces maux sont hélas bien présents dans leurs diverses armées. Comment motiver des soldats pour qui les mots patrie et nation sont remplacés par tribu, dont les soldes sont souvent détournées par leurs hiérarchies, et dont l’avancement résulte majoritairement de l’appartenance tribale !
La seule armée subsahélienne qui vaille est la tchadienne, mais elle s’est construite en grande partie elle-même, et cela au travers de ses guerres civiles. L’apport français est surtout d’ordre matériel, et on devrait méditer ce cas au sujet des Kurdes que nous avons lâchement abandonnés : ils n’ont guère besoin de militaires français, hormis quelques spécialistes, mais avant tout d’équipements…
@ Xavier NEBOUT | 13 août 2020 à 10:53
« Mais là, le bon peuple n’est pas convié au débat. »
C’est pour cela que certains tentent d’expliquer simplement ce qui se passe derrière leur dos. Macron est une supercherie organisée par le grand banditisme international ; à titre d’exemple Erdogan s’en est aperçu et le traite comme un guignol.
Vous rendez-vous compte, un pays comme la France présidé par Guignol !
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@ Annick Danjou | 13 août 2020 à 09:23
« Je vis actuellement à Marseille et chaque jour j’ai envie de hurler. La France est un pays foutu grâce à tous ceux qui n’ont rien voulu voir et qui encore aujourd’hui refusent le constat que vous faites »
Oui madame, nous, les êtres normaux, faisons le même constat que le vôtre. Nos cinq derniers présidents auront été des hontes nationales et celui que nous supportons actuellement est là pour finir de brader notre pays dont il se moque éperdument si ce n’est pour en tirer des profits personnels.
Je ne comprends pas que l’on ne puisse pas éjecter un président lorsqu’il est démontré qu’il ne sert pas son pays.
La France dans peu de temps aura basculé dans le néant, seuls les idiots et les lâches ne veulent pas s’en rendre compte.
C’est effectivement à hurler.
Je note avec satisfaction l’évolution de votre pensée ou en tout cas sa clarification. Je me permets de vous renvoyer au numéro de cette semaine de Valeurs actuelles et d’y lire l’interview de M. Zemmour. Tout y est analysé et tout y est dit et, en particulier, la quasi-impossibilité pour M. Macron de répondre efficacement à la situation actuelle de la France.
Tout ceci étant dit, je crains que la seule solution soit le recours, au moins temporaire, à une forme de régime d’autorité (Article 16 ?) ou au pire à une guerre civile au moins larvée, par le recours à l’organisation de ghettos « de droit », à des milices privées, voire à de l’autodéfense généralisée.
Monsieur Bilger regarde le doigt quand on lui montre la lune.
L’ensauvagement de la France ne vient pas des « étrangers », des « issus de », ou d’origine je ne sais quoi, peu importe le nom, tout le monde sait de qui on parle, l’ensauvagement de la France vient de l’individualisme et donc de la permissivité et donc de la lâcheté des dirigeants français depuis 68 et par conséquent des Français eux-mêmes qui votent pour eux et qui ne sont plus bons qu’à pleurer en permanence sur leur sort et prendre des calmants.
La nature ayant horreur du vide, quand la non-autorité devient la loi, ce n’est même pas l’anarchie qui a un semblant de règles il me semble mais ça devient la « loi de la jungle » où n’importe qui fait n’importe quoi selon ses désirs voire ses instincts les plus primaires. N’oublions pas qu’au fond nous ne sommes que des animaux.
Il y a quelques jours sur ce blog, je racontais mes problèmes d’incivilité de voisinage avec ce genre de population qui laissait hurler ses « chiards » devant ma fenêtre et se fichait de savoir qu’ils dérangeaient.
Le problème n’est pas qu’ils viennent de France, de Navarre, d’Afrique ou de Mars, le problème est qu’on ne sait plus élever les enfants dans ce pays à cause du genre de crétins qui veut nous « éduquer » comme par exemple la copine de Monsieur Bilger qu’il a interviewée il y a quelques mois, Edwige Antier (OMG, rien que d’écrire son nom il faut que je reprenne une gorgée de bière sinon ça va me rester en travers de la gorge).
Quand je me suis engu*ulé avec mes voisins parce que je leur ai dit qu’on ne laisse pas ses enfants hurler pendant des heures des cris stridents comme des fillettes hystériques dès qu’elles ont une vague émotion bonne ou mauvaise, tout ce qu’ils étaient capables de répondre c’est des c*nneries du genre « mes enfants font ce qu’ils veulent ; on ne peut pas empêcher les enfants de s’exprimer ; qu’est-ce que vous voulez faire ? On ne va pas leur mettre des fessées quand même, c’est interdit ! », etc., bref, tout pour vacciner n’importe qui ayant un cerveau à peu près en état de marche d’en avoir, des enfants.
Il faut vivre dans une cité pour comprendre ce phénomène relativement nouveau du « hurlement strident systématique de l’enfant » à qui personne ne dit rien.C’est toute la journée !
J’ai quasiment 50 ans et quand j’étais gamin,on faisait évidemment du bruit, il nous arrivait de hurler comme tous les gamins mais c’était dans la cour de récréation et quand c’était dans mon bâtiment, les voisins n’hésitaient pas à nous dire de déguerpir et il n’était pas question de les envoyer… où vous voulez parce qu’ils allaient voir nos parents et avec mon père qui était pourtant un soixante-huitard, c’est sur moi que ça retombait plus ou moins durement.
Je me souviens d’une fois où adolescent j’ai croisé en bas de mon immeuble un voisin qui avait l’âge d’être mon grand-père environ, que je connaissais depuis que j’étais gamin et à qui je n’ai pas dit bonjour, il m’a dit sèchement : « Dis donc, tu pourrais dire bonjour ! »,et je peux vous dire que je n’ai pas fait le kéké et je lui ai dit bonjour l’air penaud parce que je savais que c’est sur l’éducation que mon père m’avait donnée que ça retomberait et je ne voulais pas lui faire honte, tout simplement.
Bref, tout ça pour dire que l’ensauvagement de la France avant d’être une question d’origine est d’abord une question d’éducation parentale.
Quand les parents sont démissionnaires parce que l’Etat les infantilise en leur disant tout le temps quoi faire et surtout ne pas faire sur tout et n’importe quoi, comment voulez-vous qu’ils soient capables d’élever leurs rejetons et que par conséquent la société ne s' »ensauvage » pas ?… M’en parlez pas ma brave dame. Ah ces jeunes !…
@ Aliocha | 13 août 2020 à 07:18
« Votre savoir économique repose lui aussi sur une idéologie, définie comme cadre référant à l’expression d’idées, qui, selon vous et je vous donne raison, est fondée sur le désir. »
Si pour vous, Aliocha, votre propre savoir économique repose sur des idéologies, ce que vous démontrez sans ambiguïté, ceci n’est pas forcément transposable à un autre, du fait que l’économie que vous prônez est celle dont Von Mises déteste parce que votre économie veut organiser notre vie sociétale alors que ce dernier voudrait que ce soit notre vie sociétale qui détermine notre économie et, dans notre vie sociétale, faite d’une somme d’individus, ces derniers n’ont pas l’idéologie du désir mais un vrai désir de désir ce qui fait donc que l’économie ne doit pas être idéologique puisque sa base est le désir de chacun de nous de satisfaire ses besoins en biens et en service, matériel ou ludiques.
Donc une économie non idéologique commence par le constat que nos besoins individuels, hors de son autoproduction, ne peuvent être satisfaits que s’ils ont été réalisés par d’autres que celui qui va le consommer. Sans les autres vous ne pouvez que vous satisfaire par l’autoproduction.
Est-ce que votre idéologie peut admettre que vous produisiez pour les autres sans que les autres produisent pour vous ?
Si oui, envoyez-moi votre adresse, ainsi que la liste de ce que vous pouvez produire pour moi, sans rien attendre un retour.
Répondre non à cette question : est-ce une idéologie (l’exposition dune idée) ou le fruit de la raison ?
Une économie qui part du principe que
> la production des uns devient la consommation des autres
> que l’ensemble d’une population vivant en société ne peut se partager que LA PRODUCTION DE L’ENSEMBLE DES MEMBRES DE CETTE SOCIÉTÉ n’est plus une idéologie mais le fruit de la raison dont aucun des individus ne peut contester la véracité.
Dans ce cas pouvez-vous dire :
« À mon sens, tous les désordres contemporains, notamment la gestion relationnelle des minorités avec la majorité, viennent du fait que le désir, fondement idéologique de l’économie, n’est pas une notion suffisante pour créer ce consensus si difficile à définir pour que chaque individu en ce bas monde ait accès à un minimum de justice, notamment sociale, qui permettrait d’envisager l’avenir avec sérénité. »
Quel est le but de la justice sociale, dans une économie rationnelle où chacun doit produire pour les autres autant que les autres produisent pour lui, que de contraindre celui qui ne produit pas suffisamment pour les autres à produire davantage.
Votre justice sociale si elle exclut cette évidence d’insuffisance de production est alors idéologique.
L’insuffisance de production envers les autres se doit être traitée par des solutions qui doivent avoir pour objectifs de satisfaire les conditions adéquates pour que l’individu, dans ce cas, puisse remplir son contrat sociétal, et lors de l’incapacité temporaire ou définitive, l’idéologie de solidarité des autres se met en place. On ne peut pas dire que la solidarité est un désir mais bien une idéologie et le désir n’est pas idéologie.
Vous voyez aussi que la notion de majorité ou minorité n’est pas un élément de l’économie, puisqu’en dehors de cette problématique de produire pour les autres autant que les autres produisent pour soi. Et le consensus sur la notion de désir est hors sujet.
Envisager l’avenir avec sérénité pour chaque individu c’est avoir les capacités de produire pour les autres, non ce que nous voulons produire mais ce que les autres veulent consommer. C’est à l’économie de planifier et la planification n’est pas une idéologie mais du déterminisme.
Quand l’économie est au service de la vie sociétale, l’économie organise la satisfaction de nos désirs.
Par contre vous, vous cherchez à ce que l’économie dirige notre vie. Alors pas étonnant que vous suiviez l’idéologie de Rocard qui comme vous le précisez, affirme à raison que le seul désir doit être encadré, si l’on ne veut pas que ses illusions … perturbent notre rapport au réel.
Si le réel rend des désirs illusoires, c’est que l’économie manque de planification des désirs et n’apprend pas aux individus que leurs désirs se limitent à la capacité de production de ceux des autres pour enlever l’illusion que l’on peut consommer tous ses désirs, comme la justice sociale le laisse entendre.
Il est donc pas étonnant qu’avec votre économie idéologique vous y voyez un »amortissement des rises économiques par la protection sociale ». Il est impossible de vous expliquer que ce que vous appelez la protection sociale est une solidarité entre les individus de la société nationale, si vous conservez votre vision sur la monnaie selon Aristote, alors qu’au vingtième siècle il y a eu des changements importants dans notre vie sociétale, à savoir :
1° le remplacement de la solidarité familiale entre actifs et inactifs par une solidarité Étatisée.
2° la mise en commun de plus en plus de consommations familiales transférées en consommations mutuelles ou collectives étatisées.
3° une croissance de désirs possibles et de consommations collectives et mutuelles qui handicapent ceux les moins disposés à en produire et nécessite plus de solidarité à leur égard.
Et comme nos sociétés ne peuvent se partager que ce qu’elles produisent, nous avons alors un partage de notre consommation nationale qui se fait
A) entre les actifs et les inactifs.
B) lesquels actifs et inactifs se les partagent en consommation familiale, mutuelle ou collective.
C) et se fait un transfert de consommation familiale de la part des ménages plus aisés vers les ménages en difficulté.
La finalité de notre vie sociétale devient, au 20e siècle, essentiellement le partage de nos consommations nationales et cela en utilisant de la monnaie dont l’idéologie présente est celle d’Aristote qui ne prévoit pas cette fonction partage. Il faut donc changer de vision sur la monnaie sans quoi vous êtes incapable d’avoir une économie au service de la vie sociétale et continuer, avec l’économie idéologique présente, à porter tort à la vie sociétale faite de solidarité.
Quelle vision avoir sur la monnaie ? Celle capable d’expliquer le partage de la consommation nationale, tel que nous le faisons aujourd’hui sans savoir que la monnaie n’est que la matérialisation d’avance de droit de consommer et de remboursement d’avance. Reconnaître cette matérialisation d’avance et de remboursement d’avance, permet alors de parfaire ce partage pour améliorer notre situation par rapport :
> La compétitivité de nos prix
> L’optimisation fiscale
> la délocalisation
> Les gafa
> les crises
> autres
Simplement du fait que les trois fonctions de la monnaie d’Aristote ne nous sont plus utiles dans notre société de solidarité qui a besoin d’une monnaie qui ait deux fonctions
> Fonctions de circulation des productions dans la nation et entre nations. Valeurs ajoutées de production uniquement et droit de consommer matérialisés par des avances de monnaie.
> Fonction de partage spécifique à la nation souveraine de ses partages. Valeurs ajoutées de production, plus, valeurs ajoutées sociétales (pour les solidarités) et droit de consommer matérialisés par des avances de monnaie.
Puis, lors de la consommation les droits de consommer neutralisent les valeurs ajoutées et la monnaie sert de remboursement d’avance dans les entreprises pour devenir de nouvelles avances.
Avec la monnaie d’Aristote on ne peut expliquer les réalités présentes de notre vie sociétale qui n’est plus une société de commerçant mais de solidarité entre actifs et inactifs et entre ménages aisés et ménages en difficulté. Notre solidarité est en difficulté
> trop souvent, à cause de notre vision sur la monnaie, qui incite l’émergence de règles nocives structurelles
> peu de fois de faits conjoncturels.
L’image d’une société nationale n’est que le reflet de la somme des comportements de chacun de nous, à remplir son contrat de produire autant pour les autres que les autres pour nous. Idem entre nations. Et pour cela avoir une économie en reflet de notre vie sociétale sachant pratiquer les partages, les solidarité et équité que nous nous sommes fixés démocratiquement.
Si nous voulons débattre des relations entre nous et entre groupes : il nous faut un socle commun disait Confucius. Et si ce socle commun était aujourd’hui cette notion de partage de la consommation avec une monnaie fonction de circulation et fonction de partage, c’est-à-dire notre modèle économique nécessaire au XXIe siècle ?
En attendant de trouver mieux.
Monsieur Bilger ose nommer l’origine ethnique des auteurs de l’ultraviolence commise impunément en France. Il doit en être loué tant sont rares les personnalités publiques qui prennent la liberté de le dénoncer.
Cette audace lui valut des remerciements unanimes par lesquels l’exaspération de son lectorat peut se deviner.
Est-ce pour autant suffisant ? Non. Monsieur Bilger cesse aussitôt après avoir nommé les Barbares sa tentative de compréhension du phénomène, c’est-à-dire en reste aux prémisses, retenu qu’il est par la crainte d’emprunter les thèses frontistes originelles, incarnées par Monsieur Le Pen, véritable tribun du peuple français. Craignant d’être accusé de racisme en reconnaissant pleinement le constat du vénérable tribun, il s’est empêché de distinguer les causes véritables du mal qui ronge la France et par conséquent d’en déduire les réponses les plus pertinentes et adaptées à la situation. Sans le savoir et pour ne point récuser son idéalisme humaniste, M. Bilger perpétue le discours d’impuissance qui a permis à l’ultraviolence islamique de proliférer.
* * * * * * *
Si, Monsieur Bilger, l’ultraviolence islamique résulte d’un séparatisme culturel et religieux qui refuse le vivre-ensemble, l’islamisme se définissant par la haine meurtrière envers ce qui est contraire à sa foi.
Si, Monsieur Bilger, le regroupement familial favorise l’entrisme empêchant l’intégration et l’impossibilité pour l’individu musulman de sortir de son clan. Si encore, il accélère le remplacement de la population indigène sur des parcelles de plus en plus élargies du territoire français.
Si, Monsieur Bilger, l’excès d’immigration légale mais aussi le dévoiement du droit d’asile a accru le phénomène et est cause de l’accroissement de la délinquance.
Si, Monsieur Bilger, la société et les politiques sont coupables ; la société par son acharnement à se dépouiller intellectuellement et moralement contre ce fléau par ce cheval de Troie qu’est le supposé racisme des Français; les politiques par leur lâcheté et leur opportunisme inconséquent.
Non, Monsieur Bilger, une plus grande sévérité dans la répression pénale des délits et des crimes individuels ne sera pas suffisante à endiguer l’ultraviolence islamique.
Le concert de louanges pour votre billet ne doit pas, M. Bilger, vous faire croire à la justesse et à la suffisance de votre propos. L’honnêteté m’oblige à en dénoncer les carences.
Il n’existe qu’une seule et unique solution à apporter à ce fléau civilisationnel qui menace l’intégrité de la France. Elle est violente et heurte nos principes républicains. Elle consiste en premier lieu à admettre l’état de guerre civilisationnel dans lequel nous sommes puis à décliner nos moyens d’action. Ils passent par la ségrégation et l’éradication totale de l’islam en France.
Notre histoire a connu un épisode semblable quand Louis le Grand décida par l’Edit de Fontainebleau d’abroger celui de Nantes. L’unité du pays le nécessite. Nous le devons à nos ancêtres qui nous ont légué ce beau pays. Nous le devons à nos enfants à qui nous le léguerons à notre tour. J’ai parfaitement conscience que mon vœu impliquerait une guerre civile comme j’ai parfaitement conscience qu’y renoncer par lâcheté ou humanité n’empêchera pas qu’elle se réalise, comme il est observable aujourd’hui au Liban, tout comme les accords de Munich n’empêchèrent pas toutes les horreurs que notre lâcheté avait espéré éviter.
Très intéressant article, sur la situation libanaise, d’un ancien responsable de l’espionnage militaire hollandais, spécialiste du terrorisme. Les Pays-Bas sont peut-être des nains sur la scène internationale, mais leurs services d’espionnage sont parmi les meilleurs derrière les vedettes de la profession. En résumé :
1. Le Liban risque de plonger dans une guerre civile qui serait un cauchemar pour l’Europe, en termes d’immigration illégale et de terrorisme musulman.
2. Le danger vient notamment du Hezbollah, bras armé de l’Iran qui dirige le Liban. C’est l’une des plus redoutables organisations terroristes musulmanes dans le monde, à l’origine d’un nombre incalculable d’attentats, d’assassinats ou de tentatives d’attentat en Europe.
Et, c’est moi qui ajoute, contrairement au cliché complaisamment répandu en France par le lobby pro-russe, selon lequel certes, le Hezbollah et l’Iran ne seraient pas exactement des agneaux, mais enfin ils se contenteraient de mettre le bololo chez eux, donc tout cela serait des affaires d’Arabes qui ne nous regarderaient pas.
Thèse notamment propagée par le traître français Thierry Meyssan, très écouté dans les milieux complotistes, qui est un agent iranien (et russe). La dernière fois que j’ai vérifié, il vivait à Beyrouth, après avoir fait un passage par Damas.
3. Dans ce contexte, Emmanuel Macron a agi de façon remarquable, même si l’auteur fait remarquer que son incitation à la réconciliation des partis libanais risque de favoriser le statu quo.
Soit la critique opposée à celle que font les anti-macronistes fatigants, répétitifs et décérébrés. Il y a une tendance française à l’isolationnisme, qui part de l’opposition à l’immigration pour préconiser le retrait de la France de l’action diplomatique, au profit d’un repliement sur les affaires intérieures.
Cette inclination, très présente à l’extrême droite, se nourrit du traditionnel provincialisme français, de la traditionnelle ignorance des Français vis-à-vis de ce qui se passe au-delà de leurs frontières.
Inutile de dire qu’elle est vouée à l’échec : nous pouvons toujours nous désintéresser du monde extérieur, mais cela ne l’empêchera ni d’exister, ni de s’intéresser, lui, à nous. Et pas toujours dans le sens de nos intérêts.
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@ Xavier NEBOUT | 13 août 2020 à 11:35
« Alors donc, admettons qu’Exilé, sylvain ou Robert Marchenoir arrive au pouvoir et colle tous nos Africains en camp. D’accord, ça ferait de l’air. Mais on en fait quoi ? »
Vous déformez ma position. Je ne préconise pas les camps de concentration comme solution à l’immigration. Ce serait stupide. L’internement, qui est d’ailleurs pratiqué aujourd’hui, ne peut être qu’un moyen accessoire et temporaire.
Je préconise la fermeture des frontières, la reconduite des illégaux chez eux, et l’incitation au retour d’une partie significative du reste. Ce n’est tout de même pas compliqué à comprendre.
Vous allez me dire que les pays d’origine résistent à l’expulsion ? Bien entendu. Personne n’a dit que c’était facile. Il convient de considérer, cependant, que nous ne manquons pas de moyens de pression sur eux. Cela nécessite essentiellement de la résolution et du courage.
Il suffirait, par exemple, d’interdire à certains responsables africains d’acheter des appartements avenue Foch à Paris, de planquer leur argent volé dans nos banques, et de venir profiter de ces menus avantages sur notre territoire. Ou simplement de les menacer de le faire…
Tenez ! vous qui adorez bêtement Vladimir Poutine, telle une midinette. L’Angleterre est vérolée par l’argent russe. Par l’argent mafieux et subversif russe. Boris Johnson vient de nommer, à la Chambre des Lords, celui qui est, en pratique, un agent du KGB, propriétaire de deux importants quotidiens britanniques, qu’il a achetés à 29 ans avec l’argent de son père.
Son père, « diplomate » à l’ambassade de Russie, et en réalité espion. Evgeny Lebedev est donc devenu Lord Lebedev. « Poutine », comme vous dites, vient de placer l’un de ses agents au sommet de l’État britannique, au vu et au su de tous. En achetant la complaisance d’innombrables responsables britanniques. Avec l’argent volé au peuple russe, qui croupit dans la misère.
Simultanément, un rapport parlementaire extraordinairement incriminant vient de paraître, qui dénonce justement la longue complaisance du gouvernement britannique face à cette entreprise de noyautage, d’ingérence, de déstabilisation et de subversion. Qui a constitué, par exemple, à favoriser en sous-main l’indépendantisme écossais. Et des mesures commencent à être prises dans le sillage de ce rapport.
C’est donc bien une question de volonté politique. De courage politique. Il n’y a aucune fatalité.
Qui a voté des lois, sous le prétexte des Droits de l’Homme, sur la liberté de se camer à outrance avec n’importe quoi ? de s’alcooliser ? de se vautrer avec qui l’on veut suivant ses pulsions et impulsions ?
Qui a laissé des trafics en tous genres se développer sur le territoire ?
Qui a voté des lois pour faire du ventre des femmes un supermarché et des boîtes de conserve ?
Qui viole, tue, vole, ment fabrique des faux et en fait usage impunément ?
Qui s’enrichit sur le dos de la nation en se servant de sa position sociale ou de ses relations ?
Qui intercepte des plaintes et les fait disparaître ?
Qui accepte depuis des décennies que des femmes soient tuées par leurs conjoints sans que ça n’émeuve personne ?
Qui accepte que les femmes soient sous-payées pour le même poste qu’un homme ?
Qui a instauré cette sauvagerie d’élevage et d’abattage des animaux ?
Qui protège les pédophiles ?
Qui rémunère de grands avocats pour défendre les pires individus pendant que ceux qui n’ont pas les moyens doivent se suffire de jeunes avocats sans expérience ?
Qui tolère que des magistrats, juges ou avocats se vendent au plus offrant et trahissent leurs clients ?
Qui, qui ??…
La liste est longue, très longue.
Monsieur Bilger, tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas sous d’autres formes, et plus sournois ! Et vous le savez très bien, comme vous savez très bien que les libertés ont dépassé le cadre des limites depuis des décennies à tous les niveaux de la société.
Aussi, dans quel pays tolèrerait-on d’avoir au gouvernement ce genre d’énergumènes qui en rien ne sont des exemples, pas même un trait qui pourrait les rendre admirables. Mais cette France décadente dans sa moralité accepte tout et n’importe quoi.
@ Albertini
« Qui a voté des lois, sous le prétexte des Droits de l’Homme, sur la liberté de se camer à outrance avec n’importe quoi ? de s’alcooliser ? de se vautrer avec qui l’on veut suivant ses pulsions et impulsions ? »
Encore un crétin à la Onfray qui s’extasie sûrement devant des oeuvres d’art d’artistes alcooliques et/ou drogués, de toutes façons, c’est pareil, et qui va critiquer l’alcool.
On ne peut même pas imaginer ce qu’aurait été la pauvreté de l’histoire de l’art sans les drogues quelles qu’elles soient.
Vu le nombre de gens qui picolent dans ce pays, je suis même persuadé qu’il a des amis alcooliques sans le savoir qu’il trouve super sympas, comme tout le monde.
@ F68.10
Merci pour votre commentaire accompagné du lien…
À charge et à décharge comme il se devrait d’être pour toute cause concernant les êtres humains.
@ Ange LERUAS
Votre conclusion indique, si j’ai bien compris vos développements, que vous soumettez l’économie à la notion de partage défini comme socle commun.
Comme Rocard, il me semble, je ne dis pas autre chose, il est donc urgent de redonner aux Etats le pouvoir de régulation et de définition du bien commun, sinon les désirs individuels, ou les désirs de désir de désir, finiront de pulvériser notre rapport au réel, empêchant tout consensus autour de cette définition démocratique, seule à même d’équilibrer la relation entre individu et société, remplaçant la notion de désir par celle de besoin clairement mesuré.
Le préambule de la Constitution suisse ne dit pas autre chose, définissant ce principe fondamental, n’en déplaise à tous ceux qui voudraient de leur désir faire un droit :
« Au nom de Dieu Tout-Puissant !
Le peuple et les cantons suisses,
conscients de leur responsabilité envers la Création,
résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,
déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l’autre et l’équité,
conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,
sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,
arrêtent la Constitution1 que voici:
… »
C’est effectivement de l’idéologie, et de l’équilibre immanent de la relation horizontale dépend la définition verticale transcendante, et inversement, seule à même d’organiser l’expression d’une autorité légitime qui s’exercerait dans la justice, qui ne saura se conjuguer qu’au singulier.
@ Aliocha
@ Ange LERUAS
Vous donnez la preuve que lorsque les fous parlent entre eux ils arrivent à se comprendre et que pendant ce temps-là ils fichent la paix aux autres.
« C’est effectivement de l’idéologie, et de l’équilibre immanent de la relation horizontale dépend la définition verticale transcendante »
Pas de quoi mettre une camisole de force aux exposants tant qu’ils en resteront à ce stade… il peut même pleuvoir des bombes horizontales elles ne toucheront pas la verticalité inapparente des penseurs (extrait de la convention international des dingues sans frontières).
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@ F68.10
Attention ne touchez pas au vase.
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@ Wil
@ Jérôme
Si je comprends bien vos élucubrations, quand vous étiez petits vos parents étaient civilisés et vous empêchaient de sonner aux portes de vos voisins et de renverser les poubelles ; tandis que ceux d’aujourd’hui ne disent plus rien aux mioches qui mettent le feu aux voitures, cassent la figure aux vieux, pillent les banques et violent en groupe les nanas ou les mecs.
Les avocats, mendigots sans travail, plaident, pour le défense de ceux qui se font prendre, que la couleur de la peau n’est qu’un fait provenant du réchauffement climatique et n’a rien à voir avec les origines de l’espèce car il n’y a plus de races, ni bonnes ni sales.
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@ Macron
« You » a gagné à la Loterie avec des souteneurs comme Achille, Claude Luçon, Marc Ghinsberg, Xavier Nebout, Robert Marchenoir et quelques autres timbrés, « You » va pouvoir continuer à casser la baraque et une fois le travail accompli « You » se barrera aux States.
(Le You ou youyou est devenu un langage académique de ce blog pour éviter d’employer le tutoiement que madame Pascale Bilger ne supporte pas.)
@ Albertini
C’est pas mal aussi, bien que cela n’excuse en aucun cas ce que vous dénoncez à juste titre.
@ Aliocha
« il est donc urgent de redonner aux Etats le pouvoir de régulation et de définition du bien commun »
Tout d’abord, les Etats ont ce pouvoir de régulation. Il est inutile de prétendre leur redonner un pouvoir qu’ils ont déjà. S’ils sont cognitivement incapables de l’appliquer, c’est une autre histoire.
Par contre les Etats n’ont aucunement à définir le « bien commun ». C’est à la société de le faire, et les Etats n’ont alors pour fonction essentielle que de permettre et préserver les mécanismes par lesquels la société arrive à négocier cela. C’est pour cela qu’il est important de comprendre en quoi les diverses formes de marché sont bien, intrinsèquement, des biens communs: ils permettent en effet, imparfaitement, à la société de négocier ce qu’est le « bien commun ».
Votre propos à l’emporte-pièce, chef-d’oeuvre de confusion mentale, est un alibi de nature magique permettant à l’Etat de croire qu’il serait capable de définir lui-même ce bien commun. Heureusement que nos technocrates, malgré tous leurs défauts, ont grosso modo compris qu’ils sont incapables de faire cela sans s’appuyer sur un marché.
Tout le monde semble râler sur les capacités de planification étatique en matière de masques lors de la présente pandémie. Transposez cela au niveau de la sécurité alimentaire, et je vous laisse alors prendre la mesure d’en quoi consiste l’idée de laisser l’Etat définir le bien commun…
« …tout ça pour dire que l’ensauvagement de la France avant d’être une question d’origine est d’abord une question d’éducation parentale » (Wil)
Pas mieux.
@ Wil
« …tout ça pour dire que l’ensauvagement de la France avant d’être une question d’origine est d’abord une question d’éducation parentale. »
Mais c’est qu’ils les aiment ces djeuns qui font ce qu’ils veulent quand ils le veulent… Les parents pas éduqués n’auraient donc pas pu élever leurs enfants ; uniquement leur apprendre l’ensauvagement et dans les meilleures conditions sécu, allocs et autres avantages en Segpa…
Pauvre France !
Si les États sont cognitivement incapables d’appliquer le pouvoir de régulation, peut-être est-ce qu’ils n’en ont pas la définition, leur ayant été ôté le sens du bien commun défini démocratiquement selon les principes fondamentaux par tous ceux qui confondent désir et droit, justice et vengeance, et qui n’ont plus qu’insultes aux lèvres face à la toute simplicité d’une expression limpide :
« …sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres… »
Simplicité biblique on en conviendra, mais interdite aux individus qui se prennent pour le roi, à tous ces gourous d’une secte dont ils sont l’unique membre, souhaitant imposer la tyrannie de leur propre désir si compliqué à assouvir qu’il ne reste plus que la guerre du tous contre tous comme dernier horizon et unique satisfaction.
« …des politiques sans doute critiquables, comme le regroupement familial, qui ont favorisé la concentration de communautés en des lieux qui ont été rendus invivables et délabrés au fil du temps. » (PB)
Cette phrase est fausse, c’est l’Administration (ce mot pour désigner tous les organismes gouvernementaux, officiels, à tous les niveaux, département, ville, etc.) qui a « regroupé » ces gens – dans le 93 plutôt que dans le 16e parisien, pardi !!
C’est malheureusement un communautarisme subi, pour tous ces gens. Contrairement au communautarisme volontaire des classes riches dans le 16e, et autres quartiers du même style.
Ce qui reste étonnant, c’est qu’un homme comme Philippe Bilger n’ait pas tiré d’enseignement de sa carrière dans la justice. C’est dire comme un humain a peu de chance d’apprendre, s’il ne veut pas un tout petit peu apprendre… Peu de chance de voir, s’il ne veut pas voir…
Et je cite une autre phrase, deux lignes plus loin: « La société n’est pas créatrice de ces malfaisances répétées de toutes sortes… »
J’ai peine à comprendre comment Philippe Bilger peut écrire ça !! À son niveau d’éducation, de réflexion, c’est à douter fortement de la nature de l’humain, qui alors n’est qu’un prédateur, avant tout, car il fait partie de la classe qui s’enrichit, en attendant, pendant que les pauvres sont maintenus pauvres, voire appauvris. Mon premier réflexe est d’écrire: « Voyez comme on agite sous le nez des pauvres tant de richesses, qu’ils ne pourront jamais avoir. Étonnez-vous que certains des plus violents décident d’en avoir un part de manière illégale !! »
La violence des riches est beaucoup plus subtile, et plus implacable.
Il manque des pièces, beaucoup de pièces, dans le puzzle de Philippe Bilger.
@ Clovis
« Attention ne touchez pas au vase. »
Ouais. Parce que ça marche aussi avec les objets…
@ F68.10 | 14 août 2020 à 12:25
@ Aliocha | 14 août 2020 à 07:33
F68.10 nous fait un rappel du principe – à chacun ses prérogatives – et effectivement il faut savoir discerner ce qui relève de l’un et de l’autre, surtout depuis que nous ne vivons plus en ermite ou même en tribus. Et là, c’est bien la société qui doit déterminer ce qui est commun à chacun de nous puis ce qui devient le bien commun et, à l’État, de stimuler et contrôler les moyens que la société détermine pour qu’émerge ce bien commun.
Ce bien commun ne serait-ce pas notre consommation nationale que la société se partage ?
Ce que nous avons en commun ne serait-ce pas de satisfaire nos désirs et plus exactement nos besoins en biens et en services, matériel ou ludique ?
Y a-t-il de l’idéologie dans cela et dans le fait que chacun de nous ne peut satisfaire ses besoins que par la production des autres ?
Dans notre société nationale où chacun est l’autre des uns : est-il acceptable que
– L’un produit pour les autres sans que les autres produisent pour lui ?
– Les autres produisent pour l’un sans que ce dernier produise pour les autres ?
– Contraindre les uns et les autres à produire égalitairement pour les autres alors que cela relève des capacités de chacun ?
C’est de cela que la société décide et donne des réponses que l’État sera chargé de planifier et contrôler.
À mon avis, le bien commun, c’est la consommation nationale dont la signification donnée par Adam Smith me convient, personnellement, parfaitement : « Le travail annuel d’une nation est le fonds primitif qui fournit à la consommation annuelle d’une nation toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours, ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit. »
Aujourd’hui nous dirions : la consommation nationale est notre production nationale où nos importations ont remplacé nos exportations. Ce qui fait que nos consommations (à balance commerciale équilibrée) sont équivalentes à nos productions nationales. Sans oublier que la production est l’affaire des seuls actifs alors que la consommation nationale est faite non seulement par les actifs mais aussi par des inactifs.
Notre bien commun, notre masse de consommation nationale, est là pour satisfaire les besoins de chacun de nous. Comment allons-nous définir la part de chacun. Ce n’est pas à État de satisfaire ce partage mais bien à la société des actifs et des inactifs de le décider démocratiquement et à l’État d’appliquer les décisions de la société nationale et contrôler les partages.
Ce n’est pas du tout se qui se fait aujourd’hui puisque l’État décide et la société critique.
Nous avons donc un partage de notre bien commun qui ne satisfait pas la société uniquement parce que la société ne veut se pencher sur le sujet. Nous sommes donc responsables de cette situation.
Peut-on le faire ?
Dans l’état des savoirs qui sont les nôtres non !
En effet pour partager notre bien commun nous utilisons la monnaie dont nous ne connaissons d’elle que ses trois fonctions antiques qui datent d’Aristote, c’est-à-dire quand le commerce se faisait entre individus et non, comme aujourd’hui, par une société nationale.
Sous Aristote la monnaie n’avait pas la fonction de partage. La fonction de la monnaie, partage de la consommation, n’était pas nécessaire comme n’était pas nécessaire la fonction circulation des productions qui, à l’époque, était l’affaire d’une chaîne limitée de commerçants alors qu’aujourd’hui cette chaîne s’est fortement allongée.
Parfaire notre partage de la consommation nationale nous oblige donc à modifier notre vision sur la monnaie pour qu’elle inclue la notion de CIRCULATION DE PRODUCTION et de PARTAGE DE CONSOMMATION (voir ma précédente intervention 21h 03 qui a permis à Clovis | 14 août 2020 à 11:33 de me traiter de fou : dit tout haut ce que pensent d’autres tout bas, sans argumentation autre que celle cachée de contrarier le savoir qui est le leur et jamais remis en question).
Puisque c’est à la société de donner les équations du partage des consommations nationales, non seulement entre actifs et inactifs mais, aussi, pour chacun des actifs et des inactifs, les équations du partage en usage, familial mutuel ou collectif.
Quelle proposition faites-vous pour que la société décide et fasse appliquer ses décisions à l’État ?
Mais encore : quelles propositions faites-vous pour que nous ayons un maximum de productions nationales qui sont l’unique base de nos consommations nationales, pour nous en partager davantage et le plus équitablement possible ?
L’art de la proposition n’est, dans aucun blog, aussi prolifique que les critiques des uns envers les autres qui ne résoudront jamais les problèmes qui sont les nôtres : sur la satisfaction individuelle de nos besoins en biens et services, matériels ou ludiques que les autres produisent pour nous.
Qui ensauvage la France ? les hommes.
Mais en bon franchouillard misogyne et raciste, M. Bilger refuse de l’admettre. Trash.
Nos incapables à la tête du pays vont injecter des milliards empruntés dans notre économie nationale par le biais de CDD pris en charge totalement par l’Etat pendant un à six ans, sans compter tous les milliards empruntés pour tenter de sauver la SNCF, Air France et tout le bataclan !
Ce seront les entreprises qui devront si elles le peuvent embaucher ces chômeurs qui pointeront dans les entreprises qui n’auront pas de travail à leur donner.
Il existe de nombreux précédents dans les décennies qui viennent de s’écouler et ils n’ont pas servi de leçons aux incapables qui se succèdent à la tête du pays.
À aucun moment ils ne stopperont l’invasion qui génère des chômeurs supplémentaires car il n’y a plus de boulot… les grandes entreprises licencient ou disparaissent, comment voulez-vous que les petites ou moyennes entreprises puissent survivre ?
Que l’Etat embauche plus de fonctionnaires pour éviter que les sauvageons traînent dans les rues, c’est ce qui a déjà été fait et lorsqu’il y a trop d’emplois fictifs, la machine s’emballe.
Nous ne sommes plus au bord de l’asphyxie, nous sommes littéralement asphyxiés… la preuve, regardez-vous. Chez les voisins européens c’est le même constat, la presse nous bassine avec la situation de l’Angleterre mais c’est la même chose chez nous… sauf pour Macron, les élus, les hauts fonctionnaires et le grand banditisme.
Donc jusqu’en 2022 Macron va emprunter des centaines de milliards supplémentaires qui n’auront pour effet que d’envenimer la situation actuelle ; même si une inflation galopante, tant attendue par certains, nous tombait dessus elle priverait simplement les citoyens de leur épargne qui ne vaudra plus rien.
Notre avenir ne dépend plus de nous, nous sommes entraînés dans un tourbillon de catastrophes que notre faiblesse a laissé se faire :
– une Europe de copains-coquins,
– le pacte de Marrakech,
– l’invasion progressive de l’islam,
– trop de fonctionnaires et d’institutions inutiles et trop bien rémunérées,
– le fric jeté par les fenêtres de l’Etat,
– des présidents antinationaux.
@ Xavier NEBOUT
« Alors donc, admettons qu’Exilé, sylvain ou Robert Marchenoir arrive au pouvoir et colle tous nos Africains en camp. D’accord, ça ferait de l’air. Mais on en fait quoi ? »
C’est gentil de votre part de croire que je serais susceptible en dépit de mon âge d’arriver au pouvoir – ou à ce qu’il en reste – mais je vous serais reconnaissant de ne pas me prêter des intentions qui n’ont jamais été les miennes.
Je ne vois pas, à moins que je me sois mal exprimé, ce qui vous ferait penser que je serais partisan de « coller tous nos Africains en camp », rien que ça, mais pourquoi spécialement les Africains et en bloc mais pas les Patagons ou les sujets de la Grande-duchesse de Gérolstein ?
La seule fois à ma connaissance où j’ai évoqué ici une formule d’internement dans des camps a été à partir de l’exemple du Shérif Joe Arpaio qui avait appliqué cette solution dans sa ville de Phoenix, Arizona, en ayant logé les prisonniers sous des tentes afin de faire faire des économies aux contribuables locaux et également afin de faire réfléchir les candidats au camping pénitentiaire.
Transposé en France, ce système relativement souple permettrait d’adapter les places de prison à la demande tout en évitant de relâcher dans la nature sous le prétexte de manque de place des gens parfois dangereux.
D’où (re)sort ce terme « ensauvagement » ?
Pourquoi assimiler ethnie et délinquance ? Une histoire de gènes sans doute (sic).
Il y a un diptyque pourtant qui fonctionne bien et depuis longtemps malheureusement : pauvreté et délinquance.
Et qui sont les plus pauvres en France ?
Il n’y a pas que l’ensauvagement. Lisez cette historiette édifiante, concernant un immigré fort pacifique. Observez bien le vocabulaire utilisé. Mesurez ce que les faits impliquent en termes de dépense publique. Pesez bien ce que tout cela sous-entend. À chaque ligne de l’article. Multipliez par… un certain nombre.
Je ne vois pas au nom de quoi on peut bien interdire à des gens adultes et vaccinés de consommer des drogues.
Par contre, on peut aider les gens en promouvant un usage civilisé des drogues… Car le produit, ah, le produit ! D’abord on n’interdit pas selon la dangerosité, désolé, mais moi, je songe à cela, entre autres. Et donc, au lieu de diaboliser les drogues, il faut informer les gens des démons de chaque drogue. Oui, parce que si les gens y vont, c’est qu’ils ont décidément trop de démons ou pas assez de merveilles dans leur vie et qu’ils veulent changer. Mais ils ne sont pas assez informés.
Et ils peuvent se retrouver piégés.
Outre l’information, il faut aussi aider les drogués. La recherche paraît un bon moyen. Permettre aux gens de ne plus être dépendants, pour ceux qui le seraient de drogue illégale… ou de l’alcool, est important.
Les antibiotiques marchent moins bien pour certaines choses ? Il se peut qu’elles soient bonnes pour cela, affaire à suivre :
https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/biologie-bloquer-dependance-cocaine-antibiotiques-47041/
https://www.youtube.com/watch?v=fb3mKRjAGd0&feature=youtu.be
Usage des drogues : entre s’injecter de l’alcool dans l’œil et boire un bon vin dans un repas, il y a un monde.
Prohiber des drogues et se plaindre que les usages en soient barbares, c’est comme laisser les enfants traîner dehors et s’étonner des mauvaises influences : condamnez, condamnez les gens coupables de rien envers vous et vous soumettrez les uns et ensauvagerez les autres.
Brillant !
Pour la créativité : voir un nouveau monde ne veut pas dire être capable de le faire advenir, certes.
Mais on ne dit pas cela aux gens qui ne prennent pas de drogue, pas pour ceux qui prennent d’autres chemins, que ce soit des cours, des techniques nouvelles, des efforts plus importants que le voisin, que c’est étrange… Je doute que la motivation soit vraiment de convier la muse.
Evidemment, il n’y a pas de drogue magique… Mais il est sûr que qui se drogue pour penser hors de la boîte a plus de chance d’y parvenir que qui n’est pas capable de risquer son corps, esprit et liberté pour la création.
https://inexplore.inrees.com/articles/drogues-stimulation-Creativite
Lot de consolation, à mon avis… Même si quelqu’un n’a pas réussi à créér, il a eu un rêve éveillé absolument unique. Je n’ai certes rien contre la culture populaire ni contre les classiques, il y a du bon dans la première, du vivant dans le second.
Il n’empêche que ce sont des routes très fréquentées et qu’on peut avoir envie de s’insinuer dans des chemins secrets.
@ Robert Marchenoir
Cet exemple est frappant. Je n’aurais pas dit toutefois comme vous. Je n’aurais pas évalué les choses en termes de dépenses publiques. Depuis Hollande, on le sait: « cela ne coûte rien, c’est l’Etat qui paie ». J’aurais plutôt dit: « imaginez combien d’employés peu qualifiés ont perdu leur travail pour faire vivre sur notre sol ces étrangers ». Les personnes charitables de l’argent des autres, autrement dit solidaires, m’auraient rétorqué qu’il ne fallait pas regarder à la dépense mais au gain pour la société que ces 46 enfants devenus adultes, par leur travail, allaient susciter. Certainement. Faisons-en venir plus encore mais, je vous en prie, logeons-les juste à côté de nos belles âmes.
@ Ange LERUAS
« F68.10 nous fait un rappel du principe »
Oui, en un sens. Ce n’est toutefois pas uniquement un rappel de principe. C’est un rappel à la réalité: les marchés sont indispensables à l’écrasante majorité de l’activité économique, car nous n’avons pas d’autres systèmes opérationnels à l’heure actuelle pour allouer les ressources. Les solutions d’administration de l’économie se heurtent à l’incapacité cognitive et donc technique d’un quelconque acteur, étatique ou non, pour administrer les prix et l’économie.
« Ce bien commun ne serait-ce pas notre consommation nationale que la société se partage ? »
Vous oubliez qu’il y a une répartition à faire entre réinvestissement des profits et part des profits qui vont dans la consommation. C’est un arbitrage fondamental pour prétendre penser un système économique, qu’il soit communiste ou capitaliste.
« Ce que nous avons en commun ne serait-ce pas de satisfaire nos désirs et plus exactement nos besoins en biens et en services, matériel ou ludique ? »
Il y a d’autres objectifs si on cherche à avoir une vue globale de l’humanité. Le progrès de la connaissance et des objectifs a priori moins immédiat, comme par exemple le spatial, en font aussi partie. Ce n’est donc pas qu’une question de satisfaction de besoins primaires: des objectifs communs moins marchands, moins individualistes, peuvent tout à fait faire partie de l’équation. L’éradication de maladies, par exemple. Des infrastructures d’alimentation en eau potable à l’échelle du globe aussi, par exemple. Et caetera.
« Y a-t-il de l’idéologie dans cela et dans le fait que chacun de nous ne peut satisfaire ses besoins que par la production des autres ? »
Il y a des besoins qui se satisfont sans la production des autres. Mais un système économique est un arrangement global. Ce n’est que l’ossature qui permet à des efforts disparates devenant collectifs d’atteindre des buts.
« Dans notre société nationale où chacun est l’autre des uns : est-il acceptable que
– L’un produit pour les autres sans que les autres produisent pour lui ? »
Pourquoi pas? C’est ce que font les très pauvres ou les très riches.
« – Les autres produisent pour l’un sans que ce dernier produise pour les autres ? »
Pourquoi pas? C’est ce que font les mères de familles, les malades, les cas sociaux et dans une certaine mesure certains artistes, intellectuels, et même scientifiques.
« – Contraindre les uns et les autres à produire égalitairement pour les autres alors que cela relève des capacités de chacun ? »
Il y a un bien un niveau de contrainte qui est légitime. Si nos capacités techniques le permettaient, je ne verrais pas d’objection à une automatisation de l’agriculture permettant de distribuer de la nourriture gratos. On a le droit de se fixer ce type d’objectifs comme étant l’un de ceux que des impôts nationaux ou globaux financeraient, en mandatant des entreprises privées pour atteindre cet objectif. Il n’y a rien d’hérétique sur le principe à ce type d’arrangements, mais nous n’en sommes pas encore véritablement capables.
« C’est de cela que la société décide et donne des réponses que l’État sera chargé de planifier et contrôler. »
L’Etat n’a nul besoin de planifier ou de contrôler. Il peut se contenter de fixer des règles de fonctionnement à des marchés et de développer des systèmes juridiques empêchant les dysfonctionnements de ces marchés. Cela coûte du pognon, mais c’est la base de son rôle. Le fait-il de manière satisfaisante ? Pas à mon goût. La planification ou le contrôle étatique sur l’économie présupposerait qu’il soit déjà capable de légiférer correctement sur le fonctionnement des marchés qu’il est censé préserver et protéger. Ce n’est pas le cas.
« Sans oublier que la production est l’affaire des seuls actifs alors que la consommation nationale est faite non seulement par les actifs mais aussi par des inactifs. »
Il y a de bonnes chances que ce déséquilibre s’aggrave. À terme, il faudra bien réfléchir à faire avec cette asymétrie. Nous ne ferons pas l’économie du constat que nombre de personnes, y compris des actifs, ne seront pas suffisamment productives pour réellement mériter leur pain quotidien. La société et l’économie se complexifient beaucoup trop pour cela.
« Ce n’est pas à État de satisfaire ce partage mais bien à la société des actifs et des inactifs de le décider démocratiquement et à l’État d’appliquer les décisions de la société nationale et contrôler les partages. »
Mouais… je ne fais que peu confiance à une discussion à l’Assemblée nationale pour effectuer de tels arbitrages. La redistribution est excessive à mon avis en France. Ceux qui en pâtissent véritablement sont les exclus, car les systèmes sociaux redistribuent les richesses aux classes moyennes et infra-moyennes, laissant les vrais pauvres et SDF de côté, ainsi devenir de plus en plus nombreux. De l’autre côté, les ultra-riches sont essentiellement hors système, et il devient même urgent d’avoir plus d’ultra-riches en France car cette classe sociale est essentielle pour le soft power d’un pays.
La quadrature du cercle reste donc essentiellement intacte, et je doute que les classes moyennes et infra-moyennes acceptent de voir leur « Etat social » se « dégrader », même si elles faisaient le constat que cette redistribution n’a pas les effets sociaux qu’on pourrait espérer d’elle.
« Ce n’est pas du tout se qui se fait aujourd’hui puisque l’État décide et la société critique. »
Alors là, oui. À 100 %. C’est bien le cas.
« Nous avons donc un partage de notre bien commun qui ne satisfait pas la société uniquement parce que la société ne veut pas se pencher sur le sujet. Nous sommes donc responsables de cette situation. »
Exactement.
« Peut-on le faire ? Dans l’état des savoirs qui sont les nôtres non ! »
On pourrait faire mieux. Il faudrait pour cela que les Français aient l’habitude de régler leurs problèmes sans passer par l’autorité étatique. Quand on voit que l’éducation est soit publique en France, soit privée à dominance catholique, on voit peu de composantes de la société française réclamer d’administrer l’éducation de leur gosses indépendamment de l’Etat par des structures associatives non-confessionnelles. C’est une forme de démission sociale. Mais il y en a plein d’autres.
« voir ma précédente intervention 21h 03 qui a permis à Clovis | 14 août 2020 à 11:33 de me traiter de fou : dit tout haut ce que pensent d’autres tout bas, sans argumentation autre que celle cachée de contrarier le savoir qui est le leur et jamais remis en question. »
Disons que ce n’est vraiment pas clair de savoir ce que vous prônez. Mais on ne sortira pas du système monétaire actuel par des injonctions péremptoires. Déjà, l’accord récent mutualisant à l’échelle européenne certaines obligations financières me semble un bon pas, qu’on aurait dû faire dès la crise grecque. Vous semblez vouloir attacher la monnaie à un « droit à la consommation » alors qu’actuellement, c’est un concept adossé au système de crédit et aux dettes publiques. La notion d’investissement semble donc complètement absente de votre réflexion: pour maintenir un système économique en marche, il ne suffit pas de matérialiser des droits à consommer, mais il faut aussi garantir, notamment via la dette, que le système de production reste en état de fonctionner. Maintenant, qu’on donne plus d’argent gratos aux pauvres et qu’on détruise de la masse monétaire en la taxant ailleurs, c’est aussi techniquement envisageable, mais ce n’est pas pour demain. L’instauration de systèmes de protection sociale dans les pays les plus pauvres est bien plus une urgence.
« Quelle proposition faites-vous pour que la société décide et fasse appliquer ses décisions à l’État ? »
Les votations. Cela demande de s’y habituer, mais l’exemple suisse montre bien que cela permet de retoquer des réformes des retraites par la voie populaire sans passer par le sketch des grèves ; et montre bien, aussi, qu’un pays civilisé n’est pas assez cinglé pour voter le retour à l’étalon-or. Ce qui nécessite que les élites d’un pays s’investissent dans le débat sans user de l’expédient rhétorique que constituent les termes « pédagogie » ou « populisme ».
« Mais encore : quelles propositions faites-vous pour que nous ayons un maximum de productions nationales qui sont l’unique base de nos consommations nationales, pour nous en partager davantage et le plus équitablement possible ? »
L’autarcie est un délire.
—————————
@ Aliocha
« Si les États sont cognitivement incapables d’appliquer le pouvoir de régulation, peut-être est-ce qu’ils n’en ont pas la définition »
Mais bien sûr. Ce n’est qu’une question de définition… que vous allez nous apporter, bien entendu…
« leur ayant été ôté le sens du bien commun défini démocratiquement selon les principes fondamentaux par tous ceux qui confondent désir et droit »
Mais qui sont ces gens dont vous parlez ?
« justice et vengeance, et qui n’ont plus qu’insultes aux lèvres »
Des suppôts de Satan?
« …sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres… »
On ne définit pas une économie sur ces principes. Cela ne fonctionne pas. Ou alors, pris à la lettre, cela implique de rediriger la quasi-totalité de nos ressources vers le secteur médical. Ou médico-social. Quelle horreur !
« Simplicité biblique on en conviendra, mais interdite aux individus qui se prennent pour le roi, à tous ces gourous d’une secte dont ils sont l’unique membre, souhaitant imposer la tyrannie de leur propre désir si compliqué à assouvir qu’il ne reste plus que la guerre du tous contre tous comme dernier horizon et unique satisfaction. »
Alors, je vous oppose les propos de Theodore Dalrymple:
« La première chose que je dirais à ceux qui disent qu’il faut venir et donner, sinon ces personnes sont incapables d’améliorer leur situation ou de sortir de leur pauvreté, c’est de leur demander: Pourquoi? Pourquoi pensez-vous cela? Pourquoi ces personnes sont-elles singulièrement incapables de sortir de leur pauvreté? Êtes-vous en train de dire qu’ils sont en quelque sorte des êtres inférieurs? Sont-ils différents de nous? Ne peuvent-ils pas penser par eux-mêmes? N’y a-t-il pas de données probantes, en fait, que lorsque la possibilité de sortir eux-mêmes de leur pauvreté se présente, ils sortent effectivement de leur pauvreté par leurs propres moyens?… Et deuxièmement, je dirais que ce qu’il faut faire, c’est vivre dans ce pays pendant deux ou trois ans, pas seulement survoler le pays en disant « mon Dieu n’est-ce pas terrible, tous ces bébés avec leurs estomacs gonflés » Sans doute c’est terrible. Mais cela ne suffit pas. Les bons sentiments ne font pas les bonnes actions. Et dans tous les cas, une bonne politique publique est plus importante que de bons sentiments, surtout si vous en êtes l’objet. »
@ Jules Renard
Vous avez sûrement raison, s’il y a beaucoup d’arabes et de noirs parmi les délinquants c’est qu’il y a beaucoup d’arabes et de noirs parmi les pauvres. Et, comme il n’est pas très bien vu tout de même de dire « à bas les pauvres ! », le slogan est « à bas les arabes et les noirs ! »
Pourquoi la France s’ensauvage-t-elle ? Une raison est à chercher de ce côté-là : l’idéologie dominante fait de la vie une compétition sans fin ni merci, son leitmotiv est « mort aux perdants ! », il en résulte ce qui doit en résulter.
Le mot « fraternité » décore encore bien des frontons de bien des bâtiments nationaux mais qui donne encore un sens à ce mot ?
@ Ange LERUAS
@ F68.10
L’État démocratique représente la société, il convient donc de s’entendre sur la signification de ces termes pour répondre à la question tout à fait sensée qu’Ange LERUAS vous pose, laissant ainsi les fous traiter autrui de fou, ils avouent en ceci leur incapacité à accéder à la sagesse et à résister à tous les ensauvagements.
Il s’agit donc bien, F68.10, de s’entendre sur une définition commune du bien commun défini démocratiquement, qui permettra alors à l’État d’exercer son autorité pour appliquer les résultats de son consensus.
Je suis en accord avec votre réponse à A.L., qui, lui, admet de remplacer la notion de désir par celle de besoin comme vous semblez affirmer être en accord sur les échanges régulés par les États, la borne à la liberté des marchés définie par le préambule suisse étant la condition du bien-être du plus faible.
C’est à mon sens le point essentiel du dispositif, réussir à admettre qu’il n’y a là que pragmatisme économique qui permet de sortir d’une logique exclusivement commerçante, s’appuyant uniquement sur la notion de profit, et ne sait pas borner la voracité des désirs, entraînant les désordres sociaux qui alors sont néfastes pour l’efficacité économique, le rythme des crises accélérant la correction de systèmes qui ne sont plus en phase avec la réalité sociale et écologique, épuisant les ressources naturelles comme humaines.
L’exercice de l’autorité, si on sait démocratiquement intégrer cette borne au dispositif, ne dépend alors que de l’éducation des individus à cette réalité communément admise à savoir dans ce cadre exercer leur liberté, leur volonté d’entreprendre ou non, de développer leur capacité ou non, cette liberté et sa borne étant garanties par l’État, à laquelle doivent se soumettre les institutions d’éducation, confessionnelles ou non, peu importe, donnant aux individus la capacité de choisir en connaissance de cause et d’admettre alors d’assumer les conséquences de leur choix, ce qui permettrait d’éviter les dérives de l’assistanat.
Avec sa définition des quatre piliers de la construction européenne, économie de marché, droits de l’homme, protection sociale et démocratie, Rocard à mon sens ne proposait pas autre chose, c’est tout le fondement du programme de Macron, il suffit de relire le discours de la Sorbonne pour s’en rendre compte, si nous savions enfin en ce pays admettre de définir ensemble ces principes fondamentaux, nous accèderions à un stade supérieur d’humanité, la définition consensuelle d’un dessein commun qui saurait encadrer les désirs individuels, encadrement sans lequel l’humanité se voue à tous les ensauvagements.
Il me semble que cette définition pourrait se donner le titre de construction européenne, les nations se comportant comme les individus, étant placées comme eux devant ce choix crucial dont dépend leur survie.
Faut-il enfermer Lodi, Aliocha et Ange LERUAS dans un laboratoire expérimental de recherche œuvrant sur l’origine du monde, ses causes et ses effets ?
Car ils nous offrent un beau mélange des pensées délirantes de la psychanalyse et de l’économie politique, avec pour référence un psychopathe pervers : Monsieur Macron, et un invité surprise, F68.10.
De temps à autre émergent des réalités ennuyeuses telles que la dématérialisation de la monnaie, produire sans besoins simplement pour stocker, créer des emplois-loisirs partagés, sublimer les désirs pour ne plus avoir faim, partager la consommation en fonction de l’âge, la taille et le poids et pour conclure s’imprégner des sermons visionnaires de Macron-Judas.
Il vaut refermer la porte du cachot et laisser les intervenants savourer leurs sottises.
Je le répète, la génération spontanée n’existe pas et les sauvages qui débarquent chez nous y viennent intentionnellement et pendant ce temps-là les Asiatiques réalisent ce que nous ne sommes plus capables de faire.
L’Europe meurt de son crétinisme qui se communique comme le covid-19.
@ Aliocha
« L’État démocratique représente la société »
Déjà, là, je ne suis pas d’accord. La société se représente par des individus, par des associations, par des entreprises et par une myriade d’autres choses. Un Etat démocratique ne « représente » pas la société. C’est un régime politique qui s’appuie sur une représentation dite démocratique pour asseoir sa légitimité et si possible son efficacité. Ce qui ne signifie en rien qu’il représente la société.
C’est quand même dingue cette obsession de croire que l’Etat est là pour être une forme d’incarnation de nos personnes à qui nous serions contraints de donner corps et de nous identifier ! Très hobbesien… Alors non. L’Etat est simplement une nécessité pratique, et il n’y a aucune raison particulière de lui accorder un statut particulier et exclusif de représentation de la société.
« il convient donc de s’entendre sur la signification de ces termes pour répondre à la question tout à fait sensée qu’Ange LERUAS vous pose »
Eh bien, vous voyez que nous ne sommes déjà pas d’accord sur ce simple point.
« Il s’agit donc bien, F68.10, de s’entendre sur une définition commune du bien commun défini démocratiquement »
Non. Vous voulez venir avec une définition qui vous sied, la propulser à un niveau politique, et intimer à la société, voire à l’humanité, de se prosterner devant. Alors je vous le répète: c’est à la société de définir ses priorités et ce « bien commun ». Pas à l’Etat qui, le décrétez-vous, représente la société. Et c’est bien, encore une fois, le sens d’un concept tel que celui de marché: il est en charge, à son niveau, de négocier, au niveau de la société et non pas de l’Etat, ce en quoi constitue le bien commun à travers le mécanisme des prix.
« qui permettra alors à l’État d’exercer son autorité pour appliquer les résultats de son consensus. »
Rebelote. Le bourrin en culottes courtes. Vous n’avez pas besoin de cette « autorité » étatique en matière économique.
« vous semblez affirmer être en accord sur les échanges régulés par les États, la borne à la liberté des marchés définie par le préambule suisse étant la condition du bien-être du plus faible. »
Non. Vous déformez mes propos toujours dans le sens de votre unique obsession. Je. N’ai. Jamais. Dit. Cela. Votre obsession sur « la condition du bien-être du plus faible » revient toujours sur le tapis comme si c’était une évidence sur laquelle nous devrions tous être d’accord. Ce n’est pas nécessairement le cas. Je vous ai déjà expliqué, entre autre en citant les propos de Theodore Dalrymple, les limites pratiques qu’il y a à faire du bien-être du plus faible l’alpha et l’omega de votre théorie.
« C’est à mon sens le point essentiel du dispositif »
Je crois qu’on a compris qu’il est assez difficile de vous faire démordre de votre obsession. Vous ne semblez pas remarquer qu’on vous fasse remarquer que vous ayez là une sérieuse obsession.
« réussir à admettre qu’il n’y a là que pragmatisme économique qui permet de sortir d’une logique exclusivement commerçante »
Et cela veut dire quoi, au juste ? C’est de l’écriture automatique ? C’est du surréalisme ? C’est du André Breton ?
« s’appuyant uniquement sur la notion de profit, et ne sait pas borner la voracité des désirs, entraînant les désordres sociaux qui alors sont néfastes pour l’efficacité économique, le rythme des crises accélérant la correction de systèmes qui ne sont plus en phase avec la réalité sociale et écologique, épuisant les ressources naturelles comme humaines. »
Ah oui. C’est de l’écriture automatique.
En tout cas, d’argumentation, dans votre paragraphe, il n’y en a point.
« L’exercice de l’autorité, si on sait démocratiquement intégrer cette borne au dispositif, ne dépend alors que de l’éducation des individus »
Voilà… Maintenant, il faut dresser les récalcitrants.
« ce qui permettrait d’éviter les dérives de l’assistanat. »
L’assistanat est inévitable. Toutes les bonnes volontés et le dressage n’empêcheront pas la réalité et la nécessité d’une forme d’assistanat. Et ce n’est pas une question d’éducation, ou de réforme du coeur de l’homme nouveau qui permettra de réduire l’assistanat. Ce sont de bonnes politiques publiques. Qui satisfont les besoins là où ils sont, et ne gaspillent pas inutilement des ressources à saper le sens de l’autonomie de gens qui n’ont pas besoin de l’infantilisation qui vient avec l’assistanat. Cette infantilisation est pire que l’assistanat lui-même.
« Avec sa définition des quatre piliers de la construction européenne, économie de marché, droits de l’homme, protection sociale et démocratie, Rocard à mon sens ne proposait pas autre chose »
Eh bien j’espère qu’il ne proposait pas ce que vous semblez proposer.
« nous accèderions à un stade supérieur d’humanité »
Ah oui. L’homme nouveau se décrète quand on se met d’accord sur une définition. C’est beau…
« Il me semble que cette définition pourrait se donner le titre de construction européenne, les nations se comportant comme les individus, étant placées comme eux devant ce choix crucial dont dépend leur survie. »
Vous avez une vie intérieure très riche.
@ Jules Renard
« Il y a un diptyque pourtant qui fonctionne bien et depuis longtemps malheureusement : pauvreté et délinquance. »
Voilà que vous nous sortez la tarte à la crème de la pauvreté qui expliquerait la délinquance servie par les marxistes…
Ce qui est au passage une façon d’insulter les vrais pauvres.
C’est ignorer qu’en France, ce ne sont pas les habitants des endroits les plus pauvres (par exemple ceux de la Lozère, du Cantal etc.) qui sont nécessairement les plus délinquants voire les plus criminels.
De plus, il est manifeste que nombre de délinquants ou criminels, « pleins aux as », n’ont aucun problème d’accès à la nourriture, au logement etc. et que s’ils se tournent vers la délinquance et parfois la criminalité c’est par libre choix, probablement en partie du fait de lacunes graves en matière d’éducation morale.
Nous rejoignons là un problème culturel.
@ Jules Renard
Toujours chercher à dédouaner ces personnes ne fera pas avancer les choses, je suis née dans une famille de sept enfants, mon père travaillait, ma mère nous a élevés, on n’était vraiment pas riche mais ça ne nous a pas empêchés de recevoir une éducation très correcte et pleine d’amour, on vivait dans une cité mais la délinquance constatée aujourd’hui n’était pas présente à l’époque, les Arabes qui vivaient en France était la première génération celle qui c’était le mieux intégrée, ce sont les générations suivantes qui ont et posent encore beaucoup de problèmes, pourquoi ?? Je ne comprends pas, ils sont accueillis dans un pays, ils doivent respecter ce pays, les mœurs et coutumes, et surtout les personnes, ils ne respectent rien, ça fait peur.
@ F68 10
@ Aliocha
Il y a dans nos discours respectifs peu de différences le fond.
Bien entendu que le rappel à l’ordre ne peut être que le rappel à la réalité et non à celui de principes qui ne seraient pas réalistes.
Bien sûr qu’il est nécessaire de s’entendre sur la signification que chacun donne aux mots, car actuellement, dans notre lexique économique, trop de signifiants sont peu significatifs de leurs signifiés.
C’est pourquoi il faut s’entendre sur ces mots et se poser quelquefois la question si l’Assemblée nationale est l’expression de notre société, si la démocratie se réduit à la majorité qui est le résultat de règles de mathématiques qui dépendent du nombre de candidats, y compris pour la présidentielle où le nombre de candidats au premier tour influe sur le second. La votation à 51 % est-elle le reflet de la démocratie ?
C’est pour cela que le quasi-consensus est préférable à la majorité qui n’existe pas chez nous puisqu’elle est toujours relative par rapport à notre population.
Quant aux mots – profit – il faut là encore s’entendre sur la connotation qu’on lui donne : et il y ainsi des mots qui, du fait de leur connotation, doivent être sortis du débat économique. Donc au lieu de parler de profit, préférer l’iniquité de rétribution, exactement dans la valeur ajoutée qui détermine la rétribution du »profiteur » vis-à-vis de son effort à produire les besoins des autres.
Nous ne devrions plus nous poser la question du choix économique socialiste ou capitalisme, qui sont des choix idéologiques, si nous suivons le principe de Von Mises puisque l’économie doit être celle dont notre vie sociétale à besoin. C’est-à-dire écrire les équations nécessaires pour que nous sachions
> produire un maximum de besoins NECESSAIRES et UTILES à la vie en société nationale.
> se partager ces besoins, produits pour tous, entre nous, suivant les deux partages que nous faisons déjà au présent sans que cela ne soit dit : le partage entre actifs et inactifs suivi du partage en usage, familial, mutuel ou collectif.
En ce sens ce qu’Adam Smith résume, en ces mots, « le travail annuel d’une nation est le fonds primitif qui fournit à la consommation annuelle d’une nation toutes les choses nécessaires et commodes à la vie ; et ces choses sont toujours, ou le produit immédiat de ce travail, ou achetées aux autres nations avec ce produit », nous est bien utile dans notre démarche de recherche de consensus, cela enlève toute idée d’autarcie. D’autant que nous aurons la rigueur de bien différencier
> la production nationale de la
> la consommation nationale.
L’écart de vision sur notre société, entre nous, se limite à nos pensées qui restent quelque peu idéologiques chez nous. C’est pour cela l’Alvin Toffler nous dit : les analphabètes du XXIe siècle ne seront pas ceux qui ne savent ni lire, ni écrire, mais ceux qui ne sauront pas apprendre, désapprendre et réapprendre. Alors suivons son conseil si nous ne voulons pas être de ces analphabètes.
Cela commence par le débat sur un socle commun tant désiré par Confucius. Débat où la critique est essentielle si elle est argumentée. C’est ce que fait F68.10. Et cette argumentation permet alors une critique constructive.
Pour ce qui est de »l’autarcie est un délire », ce qui est vrai : j’ai déjà répondu que ce n’était pas mes propos puisque je différencie production nationale de consommation nationale.
De même il est certain que le rappel au principe est un rappel à la réalité, il est vrai que l’État est incapable de remplir son rôle parce que sa vision sur la monnaie reste celle de l’Antiquité, celle d’Aristote, alors que notre organisation sociétale a fortement changé au XXe siècle. Il nous faut donc redéfinir la fonction de la monnaie pour qu’elle soit contemporaine à notre vie sociétale d’aujourd’hui où la consommation nationale est notre bien commun.
Certes il y a aussi l’investissement qui n’est pas une consommation, seul l’amortissement est à considérer comme consommation puisque inclus dans le prix des consommations. Effectivement il est important de bien définir les mots que nous employons mais surtout différencier les domaines où chacun des mots s’applique de ceux où il ne s’applique pas.
Cela, à propos de l’investissement, peut faire consensus si nous savons différencier les trois domaines de l’économie,
> l’économie active, celle où la production (le fruit du travail) devient consommation
> l’économie passive, celle des patrimoines où effectivement des productions de l’économie active peuvent se retrouver et ce sont alors des investissements
> l’épargne ou la monnaie est stockée dans des porte-monnaie pour ne jamais sortir de cette épargne mais, passer d’un porte-monnaie à l’autre à chaque fois qu’un patrimoine, une production ou une consommation change de main. On peut dire alors que l’épargne est une simple interface entre l’économie active qui a besoin des actifs et l’économie passive où l’actif n’intervient pas. Dans l’épargne la monnaie est toujours un droit de consommer.
Quand un investisseur utilise des droits de consommer, il ne consomme pas mais il les transfère à l’actif qui produit le bien à investir qui n’est pas consommable et cet actif consomme. Tandis que l’investisseur attend le fruit de son investissement pour consommer et ce fruit, le service rendu à la production ou l’amortissement, ne reste pas dans l’économie passive mais retourne dans l’économie active comme une consommation.
Je ne sais pas si vous avez compris l’intérêt de différencier ces trois domaines mais si vous connaissez les nombres complexes en mathématiques vous y trouverez une similitude avec l’économie, auquel cas vous saurez que la monnaie est la »partie imaginaire » alors que l’économie active et l’économie passive ont »la partie réelle » puis, conclure que la monnaie est catalytique et se retrouve intacte après tout changement de porte-monnaie suite, dans la partie réelle de l’économie active ou de l’économie passive d’un changement se traduisant par une circulation de production ou un partage de consommation.
Maintenant est-ce que l’investissement doit être fait en monnaie
> Fonction de circulation de production
> Fonction de partage de consommation.
Vous ne pouvez pas y répondre sans avoir changé de vision sur la monnaie, passer de la vision antique de la monnaie, à la vision contemporaine de la monnaie qui est celle que nous utilisons sans le savoir, et qui, en le sachant, permettrait de résoudre les problèmes, que nous nous posons, sur l’équité de la production et le partage de la consommation, notamment : en sachant que
> le passage de la production au travers d’une frontière se fait en valeur de circulation de production
(uniquement valeurs ajoutées de production < rétribution des actifs ) > le partage des consommations nationales (production nationale non exportée plus importation) se fait en valeur de partage de consommation. (Somme des valeurs ajoutées de production > rétributions des actifs – plus – valeur ajoutée sociétales < attribution des inactifs) Ce qui tombe du bon sens puisque : > la production ne regarde que les actifs dans la production de biens et services à destination indéterminés.
> la consommation relève de notre organisation sociétale dans la nation souveraine du partage de son bien commun. Qui ne doit pas avoir d’impact sur nos échanges commerciaux entre nations.
Pour ne pas utiliser la monnaie dans sa version contemporaine nos gouvernances mettent en place des mesures structurelles qui impactent notre capacité à produire de plusieurs façons au point d’être à l’origine de :
> l’incompétitivité de nos prix
> l’optimisation fiscale
> la délocalisation
> le chômage
> les GAFA
> les crises
> autres
Il est important d’accrocher la monnaie au droit de consommer. Le crédit et la dette publique ne sont-ils pas des avances de droit de consommer et utilisés comme tel ?
Si vous arrivez à comprendre que le crédit et la dette sont des transferts de droit dans l’épargne (partie imaginaire) cela donne
> dans l’économie passive du réel, une dette et une créance.
> dans l’économie active, l’usage du droit de consommer devient une consommation anticipée (faite avant l’heure) qui doit être suivie par un renoncement de consommation futur et rendre les droits de consommer à ceux qui détiennent la créance. Pour :
> Dans le cas d’un crédit provenant d’un particulier rendre la consommation différée au créancier qui l’avait différée pour permettre la consommation anticipée du débiteur,
> dans les autres cas le débiteur renonce à consommer pour rendre la monnaie qui constitue une masse, dans les porte-monnaie, capable de redevenir une avance en droit de consommer.
Vous voyez, en économie nous avons d’un côté l’imaginaire de la monnaie catalytique et de l’autre le réel : la production et la consommation et entre l’imaginaire et le réel seule la signification dans le réel a pour nous et notre vie sociétale de l’importance.
Alors savez-vous ce que la dette de l’État
> A permis de faire dans notre vie sociétale suivant que nous ayons une balance commerciale déficitaire, équilibrée ou excédentaire ?
> Et quelles seront les conséquences de ne pas vouloir rendre aux autres les surplus qu’ils nous ont permis de consommer plus que produit ?
Dites-moi si le déficit de l’État et sa dette sont conjoncturels ou structurels ?
@ Jules Renard
« Pourquoi assimiler ethnie et délinquance ? […] Il y a un diptyque pourtant qui fonctionne bien et depuis longtemps malheureusement : pauvreté et délinquance. Et qui sont les plus pauvres en France ? »
Vous commettez l’erreur de lier causalement la pauvreté à la délinquance. De nombreux travaux en ont montré la fausseté. Vous trouverez quelques exemples dans le lien suivant :
https://www.institutpourlajustice.org/content/2017/12/Pauvret%C3%A9-et-d%C3%A9linquance.pdf
@ Jean sans Terre | 15 août 2020 à 00:47
« Cet exemple est frappant. Je n’aurais pas dit toutefois comme vous. Je n’aurais pas évalué les choses en termes de dépenses publiques. Depuis Hollande, on le sait: ‘cela ne coûte rien, c’est l’Etat qui paie’. J’aurais plutôt dit : ‘imaginez combien d’employés peu qualifiés ont perdu leur travail pour faire vivre sur notre sol ces étrangers’. »
C’est la même chose. Je l’ai d’ailleurs déjà dit, après d’innombrables personnes bien plus qualifiées que moi. Je ne peux pas passer mon temps à réexpliquer les vices d’une dépense publique excessive.
@ Clovis
« Faut-il enfermer Lodi, Aliocha et Ange LERUAS dans un laboratoire expérimental de recherche œuvrant sur l’origine du monde, ses causes et ses effets ? »
Aliocha a un problème de fond: il ne peut vivre dans un monde où autrui ne se met pas d’accord avec lui sur des principes fondamentaux. Des trucs qu’il appelle « transcendant ». C’est un cas extrême d’un phénomène qui n’est pas rare, et qui a même tendance à relever de la norme.
Lodi n’est pas une personne particulièrement problématique. On peut le critiquer sur la forme que prennent ses propos. Mais sur le fond, il n’est pas insensible à la notion de critique et d’argumentation.
Ange LERUAS semble avoir quelques angles morts dans sa réflexion sur l’économie. Pas de quoi fouetter un chat.
Je ne crois pas qu’en l’état vos propositions d’expérimentation scientifique obtiendraient l’aval d’un comité d’éthique.
« Car ils nous offrent un beau mélange des pensées délirantes de la psychanalyse et de l’économie politique, avec pour référence un psychopathe pervers : Monsieur Macron, et un invité surprise, F68.10. »
Le référentiel psychanalytique semble assez absent des propos des intervenants que vous citez. Quant à Macron, il n’y a rien de particulièrement délirant ni « pervers » dans le positionnement de cet homme.
Quant au vocable de « psychopathie », ce à quoi vous faites référence n’est pas assez limpide. À chaque attaque personnelle sur le président français, je me dis que ce pays bénéficierait d’un pouvoir politique moins personnalisé, cela permettrait de recadrer le débat sur le contenu politique et non pas la psychopathologie « clinique » de nos hommes politiques, pour de simples raisons de clarté du débat public.
Pour une analyse de ma personne, vous pouvez vous référer aux propos pleins de sagesse de breizmabro.
@ F68.10 | 15 août 2020 à 12:36
Merci pour votre participation à ces échanges où vous avez démasqué les deux principaux intervenants qui sont en réalité à l’opposé l’un de l’autre, chacun s’écoutant parler.
Merci également pour vos entractes composés de petits films diffusés sur YouTube.
Merci M. Bilger pour ce billet. Je n’ai rien à y ajouter ou à retrancher. Il est parfait !
@ Robert Marchenoir
Voyons ! Je n’ignore pas que vous sachiez que les deux termes sont identiques. Il n’y a que ceux qui croient à la possibilité de la planification de la société, c’est-à-dire tous ceux qui de près ou de loin donnent du crédit au socialisme qui ne le reconnaissent pas. Nous sommes donc d’accord sur le fond, moins sur la forme.
Le terme « dépenses publiques » est peu évocateur et abstrait. Il n’évoque rien ou peu aux citoyens. On ne dit pas qui paye, quand et combien. On laisse entendre que personne ne paie. « c’est l’État qui paie », selon le fameux mot de François Hollande. Justement non, ce n’est pas l’État qui paie, mais dans le cas présent le travailleur pauvre. La branche famille est financée en majorité par les cotisations patronales ; ce qui revient à dire qu’elle est une ponction faite sur le salaire. L’autre ressource principale mais dans une moindre mesure est la CSG. Qui comprend cela lorsque vous évoquez le terme de « dépenses publiques » ? Je ne serais pas surpris si moins d’une personne sur dix l’entendait. Par contre, s’il est dit: « Imaginez combien de travailleurs pauvres ont perdu leur travail pour faire vivre sur notre sol cette famille d’étrangers », tout de suite la chose est plus frappante. Et si l’interlocuteur en doutait, il suffirait de chiffrer grossièrement le coût en termes d’allocations familiales, d’aides au logement puis de le rapporter à la fraction du revenu du salarié pauvre et enfin de mesurer le nombre de salariés pauvres cotisant, c’est-à-dire réduisant leurs revenus tout en augmentant le coût salarial de production.
Or le travail non qualifié souffre d’abord de la concurrence internationale. Le coût du salaire est un des principaux facteurs de manque de compétitivité. Peu à peu, les choses s’éclaircissent et on comprend mieux une des raisons de la quasi-impossibilité de rapatrier certains types d’industrie. Et encore, dans ce raccourci déductif, il n’a pas été fait mention du coût de cette famille en termes de dépenses scolaires ou de santé.
C’est étrange comme cette histoire me rappelle l’histoire de la famille Traoré dont le patriarche polygame, également d’origine malienne, a épousé quatre femmes, deux françaises et deux maliennes, et conçu dix-sept enfants, français, qui ont généré un fantastique retour sur investissements pour notre si humaniste et solidaire pays au détriment du malheureux travailleur peu qualifié (si du moins celui-ci a encore un travail), solidaire malgré lui.
Demander à toutes ces personnes bien-pensantes et défendant ces malfrats (quelles que soient leurs origines) d’envoyer leurs filles ou conjointes dans les zones de non droit, seules sans protection…
D´ouvrir leur fortune personnelle et de les accueillir dans leurs propriétés…
Et non de puiser dans les impôts de personnes qui ne veulent pas de cette situation pour payer et regarder ce triste spectacle que nous offre le pays.
Nous vivons un négatif de notre honneur et finirons par être la risée de beaucoup de pays étrangers.
Quant à brader nos valeurs, c’est déjà fait par des politiques.
Je pense que les écrits de Monsieur de Gaulle devraient être brûlés, quand il parle d´immigration.
@ F68.10
Passons sur les élisions des citations que vous faites de mes propos qui ne servent qu’à réduire et rabaisser, traiter de dressage ma définition de l’éducation en est l’exemple probant, vous nous faites là du Elusen.
Il n’est donc pas étonnant que vous n’admettiez pas par ailleurs ma définition de l’État démocratique, n’en admettant pas sa fonction de représentation législative de toutes les tendances de la société, qui doivent aboutir à l’élaboration d’un consensus autour des principes fondamentaux si bien décrits dans le préambule suisse, cet équilibre fragile entre force et faiblesse, entre la liberté et l’usage qu’on en fait, fort simplement formulé dans ce texte.
Il est édifiant à ce titre que vous traitiez d’obsession l’expression de nos valeurs fondamentales, donnant crédit à l’époux divorcé de Blandine qui aurait oublié son baptême, et se livre alors à l’ensauvagement, voulant jeter les infidèles à la mer et enfermer les fous.
Il est tout à fait piquant que vous cautionniez ici ce qui vous a discriminé par ailleurs, mais pour comprendre cela, il faudrait avoir intégré la théorie mimétique et s’être libéré de ses propres obsessions.
Il est donc absolument nécessaire de vous renvoyer au CP avec Clovis pour rattraper ce qui apparemment n’a pas été intégré dans votre cursus, le quatrième volet du programme de Blanquer, respecter autrui, lire, écrire et compter ne suffisant pas à garantir, vous nous le démontrez avec constance, la démocratie, ne pouvant vous empêcher, alors que malgré vos humiliations, on continue tout simplement d’être ce qu’on est, en tentant, maladroitement sûrement, de l’exprimer, n’obtenant que mépris d’Ancien Régime en réponse à ces tentatives de conciliation.
J’ai bien peur, si vous ne savez faire cet effort de rattrapage, de devoir conclure que vous ne voudriez pas de la démocratie.
@ Aliocha
« Passons sur les élisions des citations que vous faites de mes propos qui ne servent qu’à réduire et rabaisser, traiter de dressage ma définition de l’éducation en est l’exemple probant, vous nous faites là du Elusen. »
Je vous rappelle vos propos:
« L’exercice de l’autorité, si on sait démocratiquement intégrer cette borne au dispositif, ne dépend alors que de l’éducation des individus » — Aliocha
C’est vous qui conditionnez explicitement l’exercice de l’autorité à de l’éducation. Il s’agit donc bien d’éduquer les individus de manière à ce qu’ils respectent l’autorité. Qu’on respecte l’autorité, rien d’intrinsèquement négatif. Qu’on éduque — je préfère le verbe « instruire » — rien d’intrinsèquement négatif. Qu’on fasse le lien entre éducation et autorité comme vous le faites, et je pense que le terme « dressage » est mérité. Il est peut-être rhétoriquement excessif, mais il ne me paraît pas trahir vos propos. À vous de détailler davantage votre position pour en lever les ambiguïtés.
« Il n’est donc pas étonnant que vous n’admettiez pas par ailleurs ma définition de l’État démocratique, n’en admettant pas sa fonction de représentation législative de toutes les tendances de la société »
Que l’Etat représente législativement toutes les tendances de la société, c’est démenti par la pratique française, et en règle générale, c’est difficile, voire techniquement impossible. C’est, par contre, effectivement une représentation qui assume le pouvoir législatif, et il y aurait beaucoup à redire sur ce concept de représentation. Toutefois, votre proposition n’est pas celle-ci, mais bien une identification de l’Etat et de la société. Vous affirmiez que l’Etat représente la société, une assertion bien plus forte que celle qui affirme qu’une représentation de la société détient, sur le papier, le pouvoir législatif. Bien bien bien plus forte, et c’est bien ce que je vous ferais remarquer… Il se trouve d’ailleurs qu’Elusen, puisque nous en sommes à le mentionner, faisait le même type de raccourci mental.
« qui doivent aboutir à l’élaboration d’un consensus autour des principes fondamentaux si bien décrits dans le préambule suisse, cet équilibre fragile entre force et faiblesse, entre la liberté et l’usage qu’on en fait, fort simplement formulé dans ce texte. »
Non. Le législatif serait effectivement censé, dans l’abstrait, élaborer un consensus. Mais les principes fondamentaux devraient toujours être du domaine du révisable et du critiquable. Vous évacuez ce dernier point, ce qui n’est guère étonnant ; j’ai effectivement précédemment décrit votre personnalité comme celle d’une personne qui ne tolère pas ou difficilement qu’autrui ne souscrive pas aux divers principes, axiomes, fondements et autres transcendantales billevesées que vous lui présentez. Il vous faut de l’indiscutable et du sacré autour duquel réunir les hommes et imposer votre forme d’idolâtrie. Vous n’aurez jamais mon assentiment sur ce point. Inutile d’agiter devant moi le préambule suisse ou les tables de la loi.
« Il est édifiant à ce titre que vous traitiez d’obsession l’expression de nos valeurs fondamentales, donnant crédit à l’époux divorcé de Blandine qui aurait oublié son baptême, et se livre alors à l’ensauvagement, voulant jeter les infidèles à la mer et enfermer les fous. »
Je ne vois pas qui est Blandine…
C’est vous qui êtes obsédé par ces valeurs « fondamentales ». Il n’y a pas de valeurs « fondamentales » qui tiennent d’elles-mêmes comme axiomatiquement évidentes. Même si vous prenez les droits de l’homme et que vous vous placez dans le camp des progressistes, il est tout à fait possible, comme le fait Peter Singer, un des plus importants philosophes moraux contemporains, de les rejeter comme incohérents. Ils n’ont pas de caractère axiomatique ou fondamental, et aucun des fondements que vous nous présentez comme indiscutables n’arrivera à se fonder dans une forme d’évidence relevant du sacré. Aucun. Absolument aucun.
« Il est tout à fait piquant que vous cautionniez ici ce qui vous a discriminé par ailleurs, mais pour comprendre cela, il faudrait avoir intégré la théorie mimétique et s’être libéré de ses propres obsessions. »
Vous ne comprenez absolument pas que votre propos relève de l’ignorance… Ce qui m’a « discriminé » (joli mot pour parler de torture pour des prunes), c’est bien la sacralisation des concepts de soin et de santé. Vous ne souhaitez absolument pas désacraliser ce type de choses, et au contraire, vos injonctions à fonder le droit, l’économie, la politique et à peu près tout dans le soin aux plus faibles, telles que vous les formulez, s’inscrivent dans cette tendance à la sacralisation.
« Il est donc absolument nécessaire de vous renvoyer au CP avec Clovis pour rattraper ce qui apparemment n’a pas été intégré dans votre cursus, le quatrième volet du programme de Blanquer, respecter autrui »
Je pense effectivement que ce n’est pas le rôle de l’école d’apprendre à respecter autrui. Elle devrait tout autant apprendre que les idées ne sont pas nécessairement respectables, que les individus parfois ne sont pas plus respectables, et qu’un Etat démocratique dépend non d’un concept inconditionnel de respect, mais bien de la confrontation des idées, confrontation qui ne doit pas être inhibée par des injonctions au respect dignes des plus stupides racailles.
L’école doit par contre donner les moyens de vivre en société. Concept différent de celui de respect inconditionnel. Ce qui inclut donc des concepts comme la courtoisie, le sens de l’équité et d’autres menus détails.
« malgré vos humiliations, on continue tout simplement d’être ce qu’on est, en tentant, maladroitement sûrement, de l’exprimer, n’obtenant que mépris d’Ancien Régime en réponse à ces tentatives de conciliation. J’ai bien peur, si vous ne savez faire cet effort de rattrapage, de devoir conclure que vous ne voudriez pas de la démocratie. »
Mais bien sûr, Poil de Carotte. Nous confrontons simplement des arguments. Ce n’est donc pas là une question de « conciliation ». Quand on confronte des idées, nous ne sommes pas dans la conciliation d’intérêts divergents. On ne discrimine pas le vrai du faux de la même manière qu’on répartit du pognon de manière clientéliste entre différentes associations de quartier. Ce n’est pas le même exercice, et dans cet exercice, vous n’êtes nullement discriminé et avez tout loisir de vous opposer avec des arguments et votre talent rhétorique. C’est justement là un des « fondements » du concept de démocratie. Je suis vraiment navré de devoir vous l’expliquer sur un ton aussi professoral…
@ Pattou
« …ce sont les générations suivantes qui ont et posent encore beaucoup de problèmes, pourquoi ? »
Peut-être faut-il voir là la résultante d’un travail de sape de type gramsciste mené par certains médias, certaines organisations abusivement dites antiracistes, certains milieux faussement culturels, sans oublier l’Ednat, qui ont tout fait en ayant jeté de l’huile sur le feu pour les convaincre qu’ils étaient de nouveaux damnés de la Terre victimes des méchants Français.
@ Jean sans Terre | 15 août 2020 à 22:23
En fait, c’est à dessein que j’utilise le terme de dépense publique. Parce qu’il désigne le remède, le seul.
L’alternative consiste à dire qu’il faut baisser les impôts, réduire les cotisations sociales, diminuer les gaspillages, faire régner la justice sociale… Mais bien sûr, chacun entend par là qu’il faut réduire ses impôts à lui, diminuer les gaspillages des autres, faire pencher la balance de la « justice sociale » en sa faveur, sans le moindrement porter atteinte au sacro-saint « service public » et au jet bienfaisant d’argent gratuit des autres qui lui dégouline sur la tête.
Au contraire : il faudrait « stopper la casse des services publics » qui « disparaissent de nos campagnes » !
Vous remarquerez que tout le monde formule une partie des revendications du second paragraphe, mais que personne, ou presque, ne réclame la baisse des dépenses publiques. C’est pourquoi je le fais.
« Ce n’est pas l’État qui paie, mais dans le cas présent le travailleur pauvre. »
Non, c’est tout le monde. Le travailleur pauvre, en fait, paie plutôt moins que les autres, puisque le Smic est pratiquement exonéré de cotisations sociales, désormais. Ce qui, d’ailleurs, condamne une grande part des salariés à végéter au Smic. Les riches paient une part tout à fait disproportionnée des impôts.
« S’il est dit : imaginez combien de travailleurs pauvres ont perdu leur travail pour faire vivre sur notre sol cette famille d’étrangers […]. »
Cela suggère que les travailleurs riches sentent des pieds. Il convient, au contraire, de faire l’éloge des riches et de la richesse. Faute de quoi, vous promouvez la pauvreté. Et le socialisme, bien entendu.
La baisse de la dépense publique est bien l’une des pierres de touche de la politique, comme l’attitude à l’égard de l’immigration. Êtes-vous, oui ou non, pour sa baisse significative, globale, sans finasseries ni conditions ?
Voilà la question à laquelle chacun doit répondre, pour clarifier sa position. Si cette question avait été inlassablement posée par les médias, cela nous aurait évité, par exemple, le pénible épisode des Gilets jaunes.
Lesquels ont fait semblant, dans un premier temps, de réclamer une diminution du poids de l’État. Il n’a pas fallu bien longtemps pour se rendre compte qu’ils demandaient exactement l’inverse. Et c’est, d’ailleurs, ce qu’ils ont obtenu, et qui a permis de mettre fin au mouvement.
Votre argument porte exclusivement sur l’immigration. Le mien porte sur l’immigration et la dépense publique.
Le mythe qu’il convient de démolir, c’est celui entretenu par le Rassemblement national : celui selon lequel il serait possible de faire le socialisme dans un seul pays, comme en URSS.
Pourvu qu’on mette fin à l’immigration, on pourrait continuer à se goberger dans la dépense publique. Beaucoup trop de gens pensent cela, et c’est bien cette illusion qu’il convient de démolir. Tout de suite. Sans finasser.
Sans faire croire aux gens qu’à condition qu’on mette les Arabes et les Noirs à la porte, alors on pourrait continuer à taper dans la caisse des « petites lignes de la SNCF », des congés-maladie de complaisance, des « postes à la mairie » pour la cousine, de la retraite à 60 ans, bien sûr, et même, selon les revendications les plus récentes à l’extrême droite, en établissant des épiceries d’État aux prix de Carrefour dans le moindre village.
@ F68.10
Vous ne répondez évidemment pas sur la définition, mais sur les coupes que vous y faites, éludant ce qui ne vous arrange pas.
Je vais donc être pédagogue avec le professeur des élisions en répétant ma définition de l’éducation :
…donner aux individus la capacité de choisir en connaissance de cause et d’admettre alors d’assumer les conséquences de leur choix…
Voilà un dressage en règle, vous l’admettrez, et je suggère que vous soumettiez vos refus de la notion de respect à cette racaille de Blanquer, peut-être arrivera-t-il à vous faire entendre que la sacralité qui ne fonctionne plus est le fondement de vos mouvements vengeurs réciproques qui motivent votre démarche, expliquant le refus que vous avez de la rhétorique simple du respect d’autrui accessible à tous du fondement démocratique ainsi que votre comportement élitiste et méprisant, que mes innombrables réponses à vos admonestations sectaires ne font à chaque fois un peu plus, que démontrer.
Je suis néanmoins heureux de remarquer que vous dénoncez avec Girard ce sacré qui ne fonctionne plus car il a été dévoilé par le texte chrétien, et vous invite démocratiquement à cette réflexion commune permettant l’invention de structures transcendantes qui permettraient de réguler nos agressivités naturelles dans le respect de chacun.
Vous êtes le bienvenu.
@ Robert Marchenoir
Vos arguments sont le plus souvent pertinents. Mais il est incroyablement difficile de débattre avec vous tant vous êtes d’une exhaustivité sans commune mesure. Chaque idée vaut un paragraphe qu’il faudrait rendre cohérent avec l’ensemble ; ce qui suppose de disserter, c’est-à-dire de consacrer un temps et une application énormes pour bien vous répondre, ce qui dépasse les prétentions de la plupart des intervenants et même leurs souhaits. Dans cette réponse que je vous fais, je vais essayer de donner mon point de vue sur les points principaux que vous avez abordés.
« »Ce n’est pas l’État qui paie, mais dans le cas présent le travailleur pauvre. »
« Non, c’est tout le monde. Le travailleur pauvre, en fait, paie plutôt moins que les autres, puisque le Smic est pratiquement exonéré de cotisations sociales, désormais. Ce qui, d’ailleurs, condamne une grande part des salariés à végéter au Smic. Les riches paient une part tout à fait disproportionnée des impôts. »
Vous avez raison dans l’absolu. Le travailleur à hauts revenus paie très largement le plus. J’ai cité le travailleur pauvre pour la raison que c’est lui qui en est le plus affecté. On spoliera à outrance le salarié des classes supérieures mais lui ne perdra pas son emploi, il ne perdra qu’une part conséquente de ses revenus. Le salarié pauvre perdra, lui, son emploi ou, au moins, le peu d’excédents qui lui aurait permis l’épargne ou plus de loisirs.
« Cela suggère que les travailleurs riches sentent des pieds. Il convient, au contraire, de faire l’éloge des riches et de la richesse. »
Vous avez encore raison. Quand le riche fuit, les capitaux fuient. Sans une concentration des capitaux, point d’investissements. L’Europe et l’Amérique ont montré au monde, qui les ont imités après, les bienfaits du capitalisme. Le capitalisme a permis un formidable accroissement des richesses pour tout le monde, malgré de grandes disparités, et a extrait une part considérable de l’humanité de sa condition misérable. C’est encore ce qu’aujourd’hui fait le capitalisme en Asie en permettant à des centaines de millions de personnes d’accéder à un niveau de revenus et une espérance de vie tout à fait inenvisageables par le passé.
Par un ressentiment généralisé, entretenu par l’idéologie diffusée partout dans les médias et à l’école, le riche est soupçonné. Nécessairement, il vole le pauvre. La fausseté de cette idée demanderait un trop long développement que je ne ferai pas ici.
Ceci dit, les riches ont déjà transféré leurs capitaux et ils ont eu bien raison. Ceux qu’on appelle riches désormais sont la classe moyenne supérieure. Ce qui est par ailleurs également regrettable est que les futurs riches, ceux qui ne disposent pas de capitaux physiques mais qui disposent des capitaux intellectuels et culturels, fuient également. Ils ont également bien raison.
« Faute de quoi, vous promouvez la pauvreté. Et le socialisme, bien entendu. »
Pour amuser le lecteur, on peut concéder une chose au socialisme: il promeut efficacement l’égalité. L’égalité pour tous, oui, mais dans la misère.
« La baisse de la dépense publique est bien l’une des pierres de touche de la politique, comme l’attitude à l’égard de l’immigration. Êtes-vous, oui ou non, pour sa baisse significative, globale, sans finasseries ni conditions ? »
Incontestablement oui. Toutefois, avant de s’en prendre aux pauvres ou aux classes moyennes (dépenses de santé, retraites, allocations chômage, allocations familiales, etc.), il me paraît tout à fait possible de supprimer toutes sortes de foyers dispendieux et inutiles. C’est à cela qu’un pouvoir législatif et exécutif juste devrait s’employer. Les ressources dégagées devraient combiner une baisse globale de la dépense publique, une hausse des bas revenus, un allègement de la fiscalité particulièrement sur le travail (par exemple les impôts de production qui sont considérables en France). Dans un deuxième temps, et après que les premiers effets de cette baisse ont pu être observés par l’ensemble de la collectivité, s’appliquer à casser les monopoles d’Etat sur des pans entiers de l’économie (transports, sécurité sociale, instruction publique, etc.). À chaque fois, en se débrouillant pour permettre aux citoyens de choisir entre l’offre publique et l’offre privée et en mettant en évidence pour le citoyen l’avantage d’une plus grande liberté.
« Au contraire : il faudrait « stopper la casse des services publics » qui « disparaissent de nos campagnes » ! »
C’est effectivement la crainte des classes populaires. La plupart du temps une baisse des services publics n’est accompagnée d’aucune amélioration mais plutôt d’une dégradation du niveau de vie. On peut comprendre cette légitime appréhension, tout comme on peut comprendre l’attachement de la population aux services publics. L’idée des services publics n’est absolument pas antinomique d’une vision libérale de la société. Un peuple peut faire librement le choix d’un haut niveau de services publics qui aura un coût qui se traduira en impôts. L’erreur fondamentale est de supposer qu’un bon service public devrait nécessairement être un service délivré par l’État. L’État est un très mauvais dispensateur de services. Il agit partout monopolistiquement. Dès lors, il n’est jamais concurrencé ni obligé de rendre un service de qualité. On le voit encore partout: sécurité sociale, école, transports, etc.
Prenons un exemple. La téléphonie par le passé était un service public très onéreux. Puis vint une première libéralisation avec trois opérateurs. La concurrence n’étant point suffisante, les prix étaient parmi les plus élevés d’Europe. Vint l’opérateur Free, depuis les services et les prix sont parmi les meilleurs d’Europe. Observons à la place une situation quasi monopolistique: le transport ferroviaire du public. Un seul opérateur, un trou financier sans fond, des services déplorables, etc. C’est pareil pour la sécurité sociale. Comment font les Suisses ? Sont-ils moins bien ou mieux assurés pour un prix plus élevé ou moins élevé ? C’est pareil pour l’enseignement avec une école publique quasi monopolistique et un enseignement qui ne cesse de se dégrader à un coût parmi les plus élevés du monde. Il faut libéraliser tout cela et nous verrions des écoles de qualité éclore un peu partout, même aux endroits où il n’en existe actuellement pas. Nous verrions par ailleurs également l’ascenseur social se reconstituer, ce qui abaisserait aussitôt la hargne sociale contre les puissants et les riches.
« Mais bien sûr, chacun entend par là qu’il faut réduire ses impôts à lui, diminuer les gaspillages des autres, faire pencher la balance de la « justice sociale » en sa faveur »
Nous autres Français n’avons pas encore abandonné les modes de fonctionnement féodaux, notamment quand le Prince était le grand dispensateur de privilèges.
« Tout français désire bénéficier d’un ou plusieurs privilèges. C’est sa façon d’affirmer sa passion pour l’égalité » – de Gaulle.
Et tout Français dispose vraiment de son ou de ses privilèges. Prenons l’exemple des retraites. Quand un retraité moyen dispose d’une retraite qui dépasse le revenu moyen d’un actif depuis ses soixante ans et pendant vingt-cinq ou trente ans, il dispose d’un privilège car jamais il n’a cotisé autant qu’il a reçu. Je fais de la provocation (pour les lecteurs anciens qui auraient la patience de nous lire). Ce n’est pas systématiquement comme cela mais cela l’est souvent. On pourrait prendre des exemples de ce type dans tous les domaines. Une façon de nous défaire de ce fâcheux penchant serait de marteler depuis le plus jeune âge aux enfants que disposer d’un privilège indu est honteux et montrer moult exemples de privilège.
« Votre argument porte exclusivement sur l’immigration. Le mien porte sur l’immigration et la dépense publique. »
Mes préoccupations sont bien plus globales que je ne le montre à penser. Toutefois, il est des priorités. Un pays peut se relever de presque tout: guerres, crises économiques, défauts sur sa dette, et l’histoire dispose à profusion de tels exemples. Néanmoins, aucun pays ne se remet d’un remplacement de sa population. Or, c’est ce qui survient pour la France et d’ailleurs pour une partie de l’Europe aussi. Et l’exemple de la Reconquista espagnole est trompeur. Les Espagnols se sont peu mêlés à leur envahisseur et c’est pourquoi ils purent après des siècles s’en défaire. Et c’est pourquoi j’en fais une obsession. Je vois dans le remplacement de la population indigène la disparition de l’ancestrale civilisation française. Tous les autres problèmes me paraissent en comparaison secondaires.
« Le mythe qu’il convient de démolir, c’est celui entretenu par le Rassemblement national : celui selon lequel il serait possible de faire le socialisme dans un seul pays, comme en URSS. »
Je n’ai de cesse d’exprimer que le RN est le premier parti d’extrême gauche. C’est un socialisme. Et tout socialisme échoue. S’il était au pouvoir, il précipiterait la chute économique du pays. Sur le plan de l’immigration, je doute qu’il ne soit autrement qu’impuissant tant sa chef craint d’être accusée de racisme. À sa décharge, il est actuellement le seul parti politique à aborder le problème migratoire et le problème de conflit civilisationnel. Il doit être loué pour cela. Je voterai pour lui malgré ses immenses travers. On se remet du socialisme, de la guerre, de la misère, pas d’un changement de peuple.
En conclusion, Monsieur, à ces trop longues observations, j’ai voulu par politesse répondre à vos observations principales dans un souci de débat et de clarté. Cela m’a pris beaucoup de temps. Je suis peu satisfait de ma production malgré le temps consacré. Certains paragraphes ont été rédigés trop hâtivement. J’en sais les faiblesses. J’aurais voulu pouvoir le faire lors de nos échanges sur l’hydroxychloroquine. Je n’avais alors pas le temps. Je suis actuellement en vacances. Je dispose d’un peu plus de temps. Ce ne sera pas toujours le cas et je ne pourrai pas toujours rendre la politesse de vos observations que j’apprécie ordinairement. Vous avez un souci de justesse et de rationalité comme le fait observer F68.10. Mais souvent vous mêlez remarques pertinentes avec des a priori si peu fondés et dans une telle profusion que bien mal en prennent vos contradicteurs qui ne disposent pas d’un loisir aussi étendu que le vôtre. D’où leur exaspération. C’est le défaut principal que je vois à vos commentaires même si, je le répète, il est plus que compensé par l’intérêt qu’il y a à vous lire.
@ Aliocha
« Vous ne répondez évidemment pas sur la définition, mais sur les coupes que vous y faites, éludant ce qui ne vous arrange pas. »
Les « coupes » en question montrent des limites rédhibitoires de votre « définition ». C’est vous qui ne répondez pas à cela.
« …donner aux individus la capacité de choisir en connaissance de cause et d’admettre alors d’assumer les conséquences de leur choix… »
Eh bien non. Si cela, c’est l’éducation, on peut mettre aux orties l’essentiel des connaissances fondamentales pour la concentrer sur votre catéchisme de la responsabilité et du libre arbitre. On peut aussi ouvrir des écoles coraniques, tant qu’on y est, où on enseignerait que deux anges nous surveillent sur nos épaules, chacun rédigeant des livres sur notre vie, consignant nos bonnes et mauvaises actions, livres qui seront pesés le jour du jugement dernier… L’instruction, et non l’éducation, est censée favoriser l’acquisition de connaissances, et n’est pas censée être un substitut aux directeurs de conscience.
Les gens n’ont pas besoin d’être « éduqués » à assumer les conséquences de leurs choix. La réalité s’en charge très bien. Le rôle de l’instruction est de transmettre des connaissances et de favoriser le renouvellement des capacités intellectuelles de notre société, dans tous les domaines. Le reste, c’est du parascolaire…
« Voilà un dressage en règle, vous l’admettrez, et je suggère que vous soumettiez vos refus de la notion de respect à cette racaille de Blanquer, peut-être arrivera-t-il à vous faire entendre que la sacralité qui ne fonctionne plus est le fondement de vos mouvements vengeurs réciproques qui motivent votre démarche, expliquant le refus que vous avez de la rhétorique simple du respect d’autrui accessible à tous du fondement démocratique ainsi que votre comportement élitiste et méprisant, que mes innombrables réponses à vos admonestations sectaires ne font à chaque fois un peu plus, que démontrer. »
Mon « sectarisme élitiste » a effectivement pour soubassement un large refus de notions farfelues de sacralité par lesquelles ont fait passer des vessies pour des lanternes à de larges segments de la société. Blanquer, d’ailleurs, en mettant en place un conseil scientifique de l’éducation nationale semble chercher des appuis pour pousser le pragmatisme dans le domaine éducatif, en s’éloignant des vaches sacrées telles le pédagogisme qui a fait la preuve de son inanité idéologique. Qu’il fasse le coup de poing avec des notions telles que le respect, cela fait joli dans les chaumières. C’est de la com’. Ce n’est donc rien de critiquable au sens de l’action politique, mais sûrement pas un alibi pour votre idéologie. Que vous la caliez sur Blanquer pour lui apporter de la crédibilité, c’est votre problème, mais ce n’est pas crédible de vous réclamer de lui autrement que par jeu rhétorique.
« Je suis néanmoins heureux de remarquer que vous dénoncez avec Girard ce sacré qui ne fonctionne plus car il a été dévoilé par le texte chrétien »
Et bla bla bla bla bla bla… Cela n’a rien de girardien. C’est simplement qu’il est impossible de baser des discussions logiques et rationnelles sur des dogmes que vous ne cessez de vouloir faire passer en contrebande dans votre discours lénifiant.
« et vous invite démocratiquement à cette réflexion commune permettant l’invention de structures transcendantes qui permettraient de réguler nos agressivités naturelles dans le respect de chacun. Vous êtes le bienvenu. »
Bullshit. « Invention de structures transcendantes »… Cela s’invente maintenant, la « transcendance » ? Faites-moi rire… S’il faut l’inventer comme un vulgaire avion, c’est qu’il ne s’agit en rien de quoi que ce soit de caché depuis la fondation du monde… J’admire votre art de vous tirer dans le pied.
@ Jean sans Terre
« …ce qui suppose de disserter, c’est-à-dire de consacrer un temps et une application énormes pour bien vous répondre, ce qui dépasse les prétentions de la plupart des intervenants et même leurs souhaits. Dans cette réponse que je vous fais, je vais essayer de donner mon point de vue sur les points principaux que vous avez abordés. »
Mais il n’y a aucun besoin de répondre, Jean. Aucun. D’ailleurs, vous êtes à peu près d’accord avec Robert sur le sujet. Pourquoi donc nous offrir ce long commentaire inutile ? On s’en fiche de votre « point de vue sur les points abordés », du moment que vous les approuvez.
Plus personne ne sait finir une discussion sur ce blog. Qui n’est pas un forum, encore une fois.
@ Jean sans Terre | 16 août 2020 à 17:08
Eh bien ! voyez que nous sommes parfaitement d’accord.
Quant aux autres mystérieux « a priori si peu fondés » que vous me reprochez, sans toutefois les nommer, je vois mal ce qui empêcherait les tiers contradicteurs auxquels vous faites allusion de les réfuter.
À moins que ce que vous me reprochiez, en réalité, soit justement qu’ils sont trop bien fondés, et donc irréfutables.
@ herman kerhost
Cher Monsieur, Marchenoir a pris soin longuement de me répondre. Je lui dois de préciser quelques aspects. Ce n’est de ma part que courtoisie à son égard. Nous débattons publiquement sur une place privée. Merci au propriétaire de nous faire cette grâce. Je n’ai d’autre moyen pour répondre à Marchenoir que de laisser un commentaire ici. Que mon long commentaire vous ennuie, je le puis comprendre. Il suffit de passer outre. Vous n’avez pas besoin de dire « on » quand vous parlez pour vous. Si mon commentaire intéresse Marchenoir ou un autre, sa publication ici sera justifiée. Ce qui fait la qualité de ce blog – et ce ne sera pas une offense à M. Bilger – c’est en plus des billets de M. Bilger la somme des commentaires que font les intervenants même lorsqu’ils dévient du sujet principal. Ces commentaires sont un trésor d’idées disparates sur différents aspects de la société française que tout le monde peut s’approprier et ajuster à sa guise.
P.-S.: en l’occurrence dans le sujet qui occupe Marchenoir et moi, il y a malgré une concordance globale des vues une différence marquée dans le positionnement que chacun prend qui a son importance ; cette confrontation des points permets en plus à chacun de préciser d’autres aspects intéressants de sa vision.
@ F68.10
On ne résoudra pas l’ensauvagement du lynchage par un lynchage sauvage.
Toute votre érudition, tous vos diplômes ne servent à rien si vous ne prenez pas conscience de cela.
Jacques Ellul ne dit pas autre chose, et votre obsession à faire de moi un représentant de l’institution cléricale ne saura jamais cacher qu’à l’image de celle-ci, ou de l’institution médicale qui vous a torturé, le mouvement réciproque vous entraîne en cette erreur fondamentale que le texte révèle et qui nous concerne tous, car il décrit cette réalité cachée depuis la fondation du monde.
Vos figures érudites ne resteront que vaines rodomontades à vouloir refuser cette prise de conscience traduite dans l’expression légale des textes fondamentaux.
L’intelligence ne sert qu’à se soumettre à leur négation si elle n’admet pas de connaître le mouvement de nos cœurs qui la précède, vous le démontrez en allant jusqu’à nier la liberté dans votre dernière intervention – à quoi servirait donc l’instruction si elle ne sait enseigner l’exercice du libre arbitre – et vous avouez faire de cette connaissance fondamentale un élément parascolaire, passant à côté, forcément car vous le refusez, du changement radical de communication que la geste essentiel de Blanquer sur le respect d’autrui induit.
Continuez donc à tenter de retourner l’argument girardien, paradoxe ultime, contre moi, vous ne pourrez alors que vous affubler vous-même de tous les qualificatifs dégradants sous lesquels vous essayez de m’ensevelir, vous ne démontrerez que la vanité de vos positions.
Continuez donc à vous déchaîner, à lyncher pour dénoncer le lynchage, vous êtes la démonstration regrettable mais néanmoins éclatante que si les institutions ne savent pas enseigner cette vérité, nous ne serons jamais à la hauteur de ce que la vie, Dieu, la nature, appelez cela comme vous le désirez, nous propose, inventer, oui, avoir assez d’imagination pour créer les conditions d’un futur viable, dans la mesure où nous admettons cette réalité supérieure qui nous inclut, chacun de nous reconnaissant qu’il a part au plus faible, sachant alors accéder à la force créative de la communauté humaine et à l’exercice de sa liberté.
Vous êtes libre a contrario de choisir l’esclavage de la vengeance, donnant alors raison à vos bourreaux en reproduisant ad libidum leurs erreurs, vous vouant alors à ressembler aux sauvageons, démontrant que la statistique ethnique ne saura jamais vous compter parmi ceux qui travaillent à détruire la société, qu’aucun nombre, qu’aucune analyse savante ne nous aidera si on refuse de connaître cette réalité qui vous demeure encore cachée.
@ Aliocha
« votre obsession à faire de moi un représentant de l’institution cléricale »
Si vous avez le même type d’éléments de langage et le même type d’obsessions, il ne faut pas s’étonner d’être mis dans le même sac.
« il décrit cette réalité cachée depuis la fondation du monde. »
À un moment, il va falloir vous dispenser de facilités langagières de ce style pour traiter d’arguments concrets ou de faits concrets.
« Vos figures érudites ne resteront que vaines rodomontades à vouloir refuser cette prise de conscience traduite dans l’expression légale des textes fondamentaux. »
Les textes légaux mettent en place des dispositions légales. Ce ne sont pas des textes d’ancestrale sapience à savoir déchiffrer par des méthodes de numérologie cabalistique. Si vous voulez discuter des thèmes sous-jacents à ces textes légaux, ce sont bien les textes de philosophie et d’histoire qu’il convient de consulter. Mais non, vous nous y substituez à chaque fois une fadaise d’origine religieuse.
« L’intelligence ne sert qu’à se soumettre à leur négation si elle n’admet pas de connaître le mouvement de nos cœurs qui la précède »
Non.
« vous le démontrez en allant jusqu’à nier la liberté dans votre dernière intervention – à quoi servirait donc l’instruction si elle ne sait enseigner l’exercice du libre arbitre »
Le libre arbitre n’existe techniquement pas.
Bon. On arrête là: vous vous enfoncez dans un ridicule sévère. Et je commence à en avoir assez de tirer sur une ambulance.
« …(Une démocratie) terrorisée, depuis trop longtemps, à l’idée d’aller sur les brisées du FN-RN… Paradoxalement, et tristement, en refusant de lui donner raison sur ce plan, on ne lui donne pas tort assez vigoureusement pour le reste.. »
Mais quel est ce « reste », Monsieur Bilger, qui empêche de vigoureusement lui donner tort ?
Un reste entièrement fabriqué pour cacher le problème que vous évoquez ?
Actuellement, l’Italie fait face à un afflux de milliers de clandestins d’origine tunisienne, pays plutôt sûr, quoiqu’en déliquescence économique et en perte de repères (les islamistes n’ont pas dit leur dernier mot…). Il y a fort à parier que ces « migrants » privilégieront la France comme destination finale eu égard à la langue, à la présence de nombre de leurs compatriotes et aux conditions réservées aux gens qui décident du choix de leur résidence sans demander leur avis aux autochtones….
La liste de Philippe Bilger va sans nul doute s’allonger !
Pour enrayer la vague de « sauvagerie » qui se développe dans nos cités et nos villes, qui est le fait essentiellement de voyous venus d’autres horizons – pas seulement d’Afrique -, il est bien sûr urgent d’organiser une répression ferme, voire féroce, qui exige l’application sans mansuétude inutile du code pénal et le retour dans ce texte de quelques règles de bon sens annulées par la gauche.
Le temps presse et les atermoiements du gouvernement, le quasi-silence de l’opposition – qui sait ses responsabilités dans cette situation aujourd’hui gravement dégradée – conduiront rapidement soit à une résignation contrainte, soit à une réaction violente, l’une et l’autre débouchant sur un séparatisme de fait.
Pourtant, même si la France devenait ainsi le pays de la « tolérance zéro », cela ne résoudrait pas définitivement la situation. Tout juste parviendrions-nous à replacer le couvercle sur la cocotte-minute… Il nous faut radicalement modifier notre politique d’accueil des immigrés.
Il est maintenant évident que celle-ci, qui, dans les années 60-70, avait sa raison d’être économique, a été totalement dévoyée par le regroupement familial, puis par une gauche idéologiquement acquise au tiers-mondisme et adepte du multiculturalisme et de l’Etat-providence. Cette politique des bras ouverts n’est plus adaptée, ni à nos besoins, ni à nos moyens, ni à l’évolution de notre société, ni aux conditions géopolitiques d’aujourd’hui qui jettent des millions de « réfugiés » sur les routes vers l’eldorado occidental. Elle est dangereuse. Dangereuse d’autant plus qu’à la pauvreté endémique d’une large majorité de la population immigrée, s’ajoute désormais un facteur religieux, qui n’a pas été perçu à temps.
Le radicalisme en ce domaine a trouvé aisément le terreau pour se développer – par la menace si nécessaire – et nous oblige à supporter des croyances et des mœurs chassés de France depuis Charles Martel.
Cette indispensable volte-face ne doit pas pour autant nous conduire à l’isolationnisme, à la fermeture hermétique des frontières. Oui, ceux des immigrés qui ont fait le choix, sans perdre leur culture d’origine – ce qui, humainement, est impossible – de vivre aussi la nôtre, sont des chances pour la France. Et la France est une chance pour eux… Tous les domaines en comptent, de l’économie aux arts, du sport au monde associatif.
Il nous faut donc mettre en place le filtre qui permettra de ne plus accueillir « toute la misère du monde », hors les vrais réfugiés, ceux qui, menacés, ont fui leur pays et font la preuve de ce danger dès leur arrivée en France. Ce filtre, il est aisé de le trouver d’un regard, au Canada par exemple, où des quotas annuels, par pays, par professions, régulent l’immigration. Il nous faut aussi, en ce domaine, retrouver notre souveraineté, mettre fin à cette aberration des accords de Schengen qui nous interdit de refouler un « réfugié » dès lors qu’un autre Etat de l’UE l’a accueilli.
Quant à la nationalité française, elle ne devrait être accordée qu’à ceux qui démontrent une véritable volonté de servir la France. Ce qui, en clair, signifie un durcissement des conditions de naturalisation et l’abandon du droit du sol, qui n’est ni plus ni moins qu’un guichet automatique de délivrance d’une carte d’identité et des avantages qui l’accompagnent. La règle pourrait être que, jusqu’à sa majorité, le jeune possède uniquement la ou les nationalités de ses parents. À 18 ans, sans possibilité de double nationalité, celui qui le souhaite pourrait présenter une demande de nationalité française, qui serait ou non acceptée. Il me semble que, dans ces conditions, beaucoup des mineurs tentés par la délinquance réfléchiraient à deux fois, avant même de rouler sans casque…
Enfin, afin de parvenir à intégrer la population immigrée actuelle entrée légalement en France – ce qui est loin d’être le cas -, il sera indispensable de ne plus jamais régulariser aucun clandestin, quel que soit le motif de sa présence, et de trouver les moyens d’obliger leurs pays d’origine à accepter son retour, ainsi que celui de leurs ressortissants condamnés en France – avant ou après l’accomplissement de leur peine -, qu’ils soient étrangers nés à l’étranger ou en France.
Cela passe par la fin de toute aide aux associations dites humanitaires qui, en Méditerranée, relaie les passeurs – elles sont objectivement leurs complices – et une nouvelle politique en matière de développement, dont l’objectif premier sera de tarir la soif de départ. Aujourd’hui, le clandestin, mais aussi l’immigré légal, s’expatrie parce qu’il survit dans des conditions précaires, parce qu’il est persuadé de mieux vivre en Europe, souvent aussi désormais parce que sa sécurité est menacée par des groupes terroristes qui infestent son pays.
Sur ce dernier point, en Afrique subsaharienne, l’opération Barkhane est au premier rang des moyens mis en œuvre pour ralentir ces envies d’aller voir ailleurs. Quel serait le flux d’immigrés en provenance de cette région du Sahel si les terroristes islamistes régnaient aujourd’hui sur cet immense territoire ? Ceux qui la critiquent ont tort. Barkhane combat à la fois en plein désert et, virtuellement, sur notre frontière méditerranéenne. Le seul reproche à émettre va vers nos amis européens, dont l’aide accordée à cette opération dont ils bénéficient aussi des effets, reste symbolique.
De même, ceux qui, régulièrement, s’émeuvent des crédits accordés au développement regardent par le petit bout de la lorgnette. Un euro ainsi dépensé est un euro utile : il permet de diminuer la pression de l’émigration dans les pays qui sont à mille lieues de pouvoir rivaliser avec la France en matière de niveau de vie et d’assistanat. Mieux vaudrait donc décupler ces crédits plutôt que les réduire. Mieux les cibler aussi.
En ce domaine, ne pourrait-on pas réfléchir à une règle du donnant-donnant liant l’aide au développement au retour au pays ? Y compris au retour de familles qui, sans pour autant poser problème, s’aperçoivent que le rêve qui les a fait franchir la Méditerranée est devenu un cauchemar au contact de la réalité. Ne pourrait-on pas imaginer que la France abonde fortement – au prorata du nombre de départs – les aides au développement accordées aux pays qui, non seulement, réintégreraient sans barguigner leurs nationaux expulsés, mais aussi mettraient en place une politique d’aide au retour volontaire ? Beaucoup de ces immigrés ont appris un métier en France, qu’ils pourraient exercer au pays et ainsi participer à son économie.
Je me souviens, pour ma part, avoir rencontré au fin fond de la brousse un Burkinabè qui avait travaillé trois ans à l’usine Renault de Flins. Il avait monté un garage, très utile aux villages alentour, et embauché cinq ou six compagnons. Il militait pour que ses compatriotes l’imitent… Mieux, qu’ils n’envisagent même pas le voyage vers ce paradis qui se révèle rapidement être un enfer.
C’était un dimanche. À 200 km de « Ouaga », la clim’ de notre 4×4 était tombée en panne, courroie massacrée… 45°… Une heure plus tard, nous sommes repartis. Un dimanche matin de canicule, essayez donc de faire réparer sur-le-champ un tel incident, s’il survient entre Paris et Deauville… En retard l’Afrique ?…
Hum, Monsieur Bilger, vous jouez encore sur le registre de l’émotion médiatique. D’où sortez-vous que la délinquance augmente ? Ce que je continue d’observer, c’est une baisse structurelle du nombre d’homicides.
Je suis prêt à admettre la hausse de la délinquance et de la criminalité, mais avec des éléments d’information objectifs là-dessus, si ce n’est pas trop demander.
Pour le reste, il est facile d’accuser l’étranger pauvre et peu éduqué de tous les maux sans faire l’examen des politiques d’intégration conduites depuis les années 60. Il est gratuit de mettre ça sur le dos de populations africaines alors que les populations étrangères incarcérées en France viendraient plutôt des pays de l’Est en majorité. Il est facile de poser dix questions sur des faits divers sans s’être interrogé sur les raisons qui ont détourné ou écarté ces nouveaux arrivants de notre culture, que nous trahissons nous-mêmes quotidiennement. On ne peut pas séparer comme vous le faites ces malfaisances de toutes sortes de la société dans laquelle elles surviennent.
Guy Debord disait dans un très beau texte de 1985 sur l’intégration que notre société sans repères et à l’identité désintégrée n’a plus aucun pouvoir attractif sur les jeunes venus d’ailleurs. Sans être aussi pessimiste, il y a quand même de ça aussi. Et ce n’est pas de donner le droit du sang qui changera nos névroses de vieux Occidentaux riches et repus et fatigués et blasés de la vie.
@ caroff
La nouvelle guéguerre des gangs de clandestins aura-t-elle lieu en France ?
—————————-
@ Wil
« …la pauvreté de l’histoire de l’art sans les drogues quelles qu’elles soient ».
Et sans les religions ? L’adoration de dieux ? Le culte du soleil ?
Et celui de soi ?
@ F68.10
Eh oui, l’ambulance de la liberté.
La buse est libre quant à elle, tenant compte des contraintes de la gravitation, elle sait voler.
Cela explique l’obsession du chasseur à vouloir la descendre, sa pathologie lui ayant ôté son libre arbitre pour savoir renoncer à ce rituel sacrificiel, ce qui lui permettrait pourtant d’éviter l’éternel retour de la barbarie.
Tant que les élites en resteront là, on pourra faire toutes les statistiques qu’on veut, on ne progressera pas.
C.Q.F.D.
@ Aliocha
« Eh oui, l’ambulance de la liberté. »
Non. Celle de votre stupidité. À chaque fois que je converse avec vous, je ressens une souffrance dingue de compassion dès que je vous recadre et vous apporte quelques menus arguments. J’ai véritablement le sentiment de tirer sur une ambulance. Permettez-moi d’ailleurs de reprendre cette citation humoristique à mon compte:
« Je pourrais vous tuer… de chagrin, hein? J’vous jure, c’est pas bien. Il faut plus que vous parliez avec des gens… » — Arthur à Perceval
« La buse est libre quant à elle, tenant compte des contraintes de la gravitation, elle sait voler. »
Il est libre, Aliocha… Quel melon vous avez…
« Cela explique l’obsession du chasseur à vouloir la descendre, sa pathologie lui ayant ôté son libre arbitre pour savoir renoncer à ce rituel sacrificiel »
Etant donné que vous racontez des âneries à longueur de commentaires, il me paraît essentiel de remettre quelques idées à l’endroit. C’est un service que je rends à certains de nos hypothétiques lecteurs ; qui pourraient, par votre discours d’une naïveté crasse, se laissait tenter par le refus de la réflexion sur les thèmes que vous évoquez. Il est sidérant que vous ne le compreniez pas.
« ce qui lui permettrait pourtant d’éviter l’éternel retour de la barbarie. »
Je ne vois pas en quoi inviter à la réflexion amènerait inéluctablement à la « barbarie ». C’est quand même plutôt l’inverse.
« Tant que les élites en resteront là, on pourra faire toutes les statistiques qu’on veut, on ne progressera pas.
Tout d’abord, je ne suis pas représentatif des « élites ». Elles ont souvent des opinions limitées par les contraintes de l’exercice de leurs divers magistères, et je suis le premier à les critiquer sur ce point. Et je ne vois pas, de surcroît, en quoi les statistiques constitueraient un obstacle à un quelconque « progrès »…
Par contre, s’opposer à votre éternelle confusion des plans de pensée visant à baser toutes les politiques publiques sur vos thèmes et délires christiques, c’est surtout s’opposer à la régression dans l’imbécillité.
« C.Q.F.D. »
Ce Qui Fait Délirer ?
@ F68.10
« Le libre arbitre n’existe techniquement pas. »
Je n’aime pas citer les bêtises, mais votre aveu en la matière est d’importance, je comprends alors vos dérives pour démontrer que la maïeutique qui vous y a amené est de la stupidité.
Continuez donc à me dénigrer, puisque vous ne comprenez pas que vous démontrez par vous-même que votre rationalisme est un esclavage.
Tout ça est tellement bien dit et vrai. Le regroupement familial a été une faute politique. Ces jeunes n’ont pas de repères, ne se situent ni dans les origines ni dans la hiérarchie sociale.
Il faut réagir sinon nous le paierons très cher avec une dislocation de la société.
@ Aliocha
« Je n’aime pas citer les bêtises »
Eh bien vous devriez le faire plus souvent, cela permettrait de tenter de faire avancer la discussion.
Le fait que le concept de libre arbitre soit un concept totalement incohérent est factuel. Il est en effet particulièrement difficile si ce n’est impossible de décrire ou simplement d’imaginer un monde dans lequel le libre arbitre existerait.
J’attends de vous que vous m’expliquiez ce qu’est le libre arbitre. Selon vous. Tant que vous ne le faites pas, vous ne ferrez qu’agiter un mot en l’air qui ne recouvre rien de précis.
« mais votre aveu en la matière est d’importance, je comprends alors vos dérives pour démontrer que la maïeutique qui vous y a amené est de la stupidité. »
Cela ne me dérange pas d’énoncer des vérités. Il n’y a ni dérive chez moi à ce sujet, ni maïeutique chez vous. Plutôt l’inverse, même, compte tenu que je vous invite à m’exposer ce que signifie le libre arbitre. Socrate aurait fait de même…
« Continuez donc à me dénigrer, puisque vous ne comprenez pas que vous démontrez par vous-même que votre rationalisme est un esclavage. »
Où voyez-vous de l’esclavage dans le fait d’énoncer des vérités ? Ou même des banalités ? Quand vous en aurez assez de tourner en rond dans votre bocal, faites-moi signe.
@ F68.10
C’est assez simple, le libre arbitre, ou la liberté, est la capacité à opérer un choix autonome, et d’en assumer les conséquences.
Aimer son prochain ou le haïr, par exemple, ou bien se venger ou pardonner, au hasard, ces deux exemples étant l’illustration de nos possibilités d’émancipation de notre condition d’imitateurs, je vous laisse le soin de relire à cette lumière tout ce que j’ai pu vous répondre sur le sujet, et qui décrit précisément ce qu’est l’exercice de la liberté dans le rapport à autrui, et quel choix libre j’ai opéré, ce qui semble vous irriter et vous conduit à sans cesse me dénigrer, me faisant douter de vos convictions démocrates, mais l’étant moi-même, je vous reconnais la liberté de choisir la tyrannie, précisant néanmoins que vous ne pouvez l’exercer que sur vous-même, et vous sachant gré de me laisser la liberté de mes choix.
Je vous en remercie.
Comme le libre arbitre n’existe pas, il est nécessaire que:
– Aliocha et F68.10 se retrouvent ici pour s’étriper;
– Madame Bilger ait la patience de les publier;
– quelques lecteurs les contemplent se quereller;
– que me revienne à l’esprit la fin de « Candide » car « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles : car enfin, si vous n’aviez pas été chassé d’un beau château à grands coups de pied dans le derrière pour l’amour de Mlle Cunégonde, si vous n’aviez pas été mis à l’Inquisition, si vous n’aviez pas couru l’Amérique à pied, si vous n’aviez pas donné un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d’Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. – Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin ».
– enfin je retourne à mon jardin par ce beau soleil en remerciant chaleureusement Aliocha et F68.10 de m’y avoir ramené.
Et après, il y en aura encore quelques-uns pour affirmer que l’on ne vit pas dans le meilleur des mondes !
@ Tomas
« Il est gratuit de mettre ça sur le dos de populations africaines alors que les populations étrangères incarcérées en France viendraient plutôt des pays de l’Est en majorité. »
Pardon ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Population_carc%C3%A9rale_en_France
Une pure invention de votre part. Et ne parlons pas de votre tricherie opposant « étranger » à « africain » alors qu’il est clair comme de l’eau de roche que le mot-clé ici est « origines ».
@ Aliocha
« C’est assez simple, le libre arbitre, ou la liberté, est la capacité à opérer un choix autonome, et d’en assumer les conséquences. »
Même les pourfendeurs les plus acharnés du libre arbitre ne nient pas que nous fassions des choix. Ces choix sont personnels mais ne sont pas autonomes pour autant. Bien qu’en temps normal, et en un sens usuel, nous soyons responsables d’une large partie de nos choix, ou plutôt de leurs conséquences, nous ne sommes pas responsables de l’intégralité de nos choix. Et il se trouve aussi que nous sommes parfois responsables des choix d’autrui.
Quant à ce que vous appelez « assumer les conséquences », la réalité se charge assez bien de matérialiser les conséquences de nos choix. Parfois injustement. Mais ce n’est pas ce que vous vouliez insinuer par cela. En effet, vous écrivez:
« Aimer son prochain ou le haïr, par exemple, ou bien se venger ou pardonner, au hasard, ces deux exemples étant l’illustration de nos possibilités d’émancipation de notre condition d’imitateurs »
Passons sur votre girardisme pédant et inconséquent. Vous insinuez par là que par « assumer nos choix », vous imposez des conséquences psychologiques devant résulter d’une morale. C’est une position qui va bien plus loin que votre position sur le libre arbitre, et qui trépasse sur le domaine de la morale personnelle. Non pas collective, mais bien personnelle. À ce niveau de la discussion, il importe de vous signifier fermement, clairement et nettement, que ces questions ne regardent personne d’autre que la personne en question ; moi en l’occurrence. Et le fait que vous insistiez éternellement sur ces points montre bien que vous souhaitez vous comporter en directeur de conscience. Il convient de vous dire: non, non, non et non.
« me faisant douter de vos convictions démocrates »
Vous utilisez ce mot toujours et encore en un sens qui n’est pas le sien.
« mais l’étant moi-même »
Mouais… Vous souhaitiez faire dépendre la participation des athées à l’activité législatrice sur une acceptation par eux de principes législateurs d’origine théocratique. Vous ne vous moqueriez pas un peu du monde ?
« je vous reconnais la liberté de choisir la tyrannie, précisant néanmoins que vous ne pouvez l’exercer que sur vous-même, et vous sachant gré de me laisser la liberté de mes choix. Je vous en remercie. »
Un peu cocasse de jouer le persécuté quand vous insistez ad nauseam pour imposer votre cadre moral à autrui, et ce malgré votre toute récente dénégation.
——————————————————-
@ Jean sans Terre
« Comme le libre arbitre n’existe pas, il est nécessaire que: […] Madame Bilger ait la patience de les publier »
J’en conviens, c’est usant. C’est d’autant plus usant que ce thème du libre arbitre a déjà été traité entre Aliocha et moi sur ce blog. Aliocha s’échine à faire passer pour un « aveu » ma position sur ce thème, et fait incessamment du forcing. Alors, moi, je veux bien être bonne poire et écouter puis démonter ses arguments, mais il serait de bon ton qu’il comprenne mes arguments à défaut d’y adhérer. Le simple fait qu’il parle d' »aveu » montre qu’il n’a toujours pas enregistré, depuis le 11 avril 2020, quelle était ma position.
S’il s’adresse à moi sans faire un minimum d’efforts de compréhension, il se prendra des volées de bois vert. Tant que la patience de Madame Bilger le permettra.
Et comme cette discussion tourne complètement en rond, il convient effectivement d’y mettre un terme. Vous constaterez toutefois que, face à un athée, Aliocha fera tout pour remettre une thune dans le bastringue. Il ne supporte pas qu’on lui dise « non ».
@ F68.10
Parlez, Professeur, je vous écoute.
Vous êtes dans la nasse, et de vous-même vous y piégez de plus en plus.
Nous sommes des êtres de désir, et nos désirs ne sont pas autonomes, car ils copient celui d’un autre, mais nous avons la faculté de choisir celui que l’on imite, à chacun de se déterminer dans la liberté, laissant l’autre à la légitimité de son choix, et d’en assumer les conséquences sans les faire peser à autrui, accédant à l’age adulte de l’amour et du respect, ma foi est un choix raisonnable, n’en déplaise à tous les enfants-roi :
http://alain-barre.over-blog.com/tag/caravage%20-%20genie%20imparfait/5
@ Aliocha
« Parlez, Professeur, je vous écoute. Vous êtes dans la nasse, et de vous-même vous y piégez de plus en plus. »
Je ne vois absolument pas de quoi vous parlez.
« Nous sommes des êtres de désir, et nos désirs ne sont pas autonomes, car ils copient celui d’un autre »
Il y a d’autres arguments bien plus puissants contre le libre arbitre que votre lacano-girardisme à la noix. Tout d’abord le déterminisme physique ; et ensuite, dans le cas ou l’indéterminisme existe, le fait que nous ne sommes pas les auteurs du hasard en question. C’est la base de l’argumentaire contre le libre arbitre.
Vous, par contre, vous profitez du fait que la conclusion semble, à première vue, de loin, grosso modo, partagée entre nous (je doute que ce soit réellement le cas) pour nous refiler une justification lacano-girardienne de ladite conclusion en feignant ou suggérant un accord entre nous. Et induisant ainsi l’hypothétique lecteur en erreur.
Ben non. Il est tout à fait possible d’avoir une conclusion juste avec un raisonnement faux. Votre lacano-girardisme ne bénéficie donc en rien de ce que vous venez d’écrire.
Vous pratiquez de faiblardes et classiques techniques de phagocytation des propos d’un autre. Il importe, encore une fois, de vous dire « Non ». Fermement.
« mais nous avons la faculté de choisir celui que l’on imite »
Soupir…
Je pense vraiment que Madame Bilger devrait mettre un terme de manière autoritaire à ces discussions qui tournent en rond. Nous avions, déjà, traité cette ligne d’argumentation aux alentours du 11 avril 2020. Vous ne semblez pas prendre en compte que cela a déjà été traité, de manière identique, dans les mêmes termes, par votre personne. Que vous l’ignoriez — avec le même niveau d’indolence autosatisfaite que lorsque vous ignoriez la contradiction portée par votre interlocuteur du 11 avril 2020 — devrait, compte tenu entre autres de ce passif, justifier de l’extinction autoritaire de notre fil de discussion.
@ F68.10
Mais je suis souvent et sur bien des sujets en accord avec vous, mais votre sectarisme ne veut pas entendre que mes convictions sont fondées sur la connaissance du phénomène religieux, et non l’exercice d’une religion, de l’anthropologie, pas de la théologie.
Mme Bilger avait déjà stoppé ces dérives, et il semble que vous ne soyez revenu ici pour que pour les réitérer, mené par un ressentiment décuplé par vos incapacités à le maîtriser, cette nasse qui vous étouffe de rage et de dépit, démontrant que dès l’origine de la discussion, vous n’aviez qu’un objectif, me faire taire, M. le grand démocrate, et, à bout d’argument pour ce faire, en appeler à la censure.
Tout est accompli.
@ Aliocha
« Mais je suis souvent et sur bien des sujets en accord avec vous, mais votre sectarisme ne veut pas entendre que mes convictions sont fondées sur la connaissance du phénomène religieux, et non l’exercice d’une religion, de l’anthropologie, pas de la théologie. »
Je conteste la justesse de ces convictions.
« Mme Bilger avait déjà stoppé ces dérives, et il semble que vous ne soyez revenu ici pour que pour les réitérer »
Franchement, je préférerais que vous arrêtiez une bonne fois pour toutes de systématiquement dénigrer ma personne, comme vous le faites ici, en faisant semblant de n’être pour rien dans ces « dérives ». Je préférerais franchement interagir avec d’autres intervenants. Cessez donc votre propension à l’accusation gratuite, comme dans la phrase que je viens de citer, pour que je puisse ne plus me sentir obligé de ne pas laisser passer ce type de propos.
« mené par un ressentiment décuplé par vos incapacités à le maîtriser, cette nasse qui vous étouffe de rage et de dépit, démontrant que dès l’origine de la discussion, vous n’aviez qu’un objectif, me faire taire »
Non. Je suis simplement usé de votre incapacité à engager une discussion sur la base d’arguments. Je ne cherche pas à vous faire taire, mais à vous apporter de quoi vous faire réfléchir. Par exemple, sur le libre arbitre, je vous explique dans le dernier paragraphe les arguments basiques contre cette notion. À aucun moment vous ne les traitez. Vous ne faites que partir en boucle dans les mêmes propos auxquels les mêmes critiques ont incessamment été opposées. À un moment, j’attends que vous disiez quelque chose du genre « Cet argument sur le déterminisme est valide, mais notre libre arbitre a un autre sens, plus moral et quotidien » ou « Non, Dieu est plus fort que le déterminisme ». Vous n’en faites rien. Il est donc impossible de connaître votre position et donc impossible de réellement discuter avec vous. Impossible d’affiner les concepts que vous nous balancez à la figure pour voir comment ils s’appliqueraient au cas de Blanquer, que vous nous avez justement soumis vous-même. Impossible de simplement avoir une discussion avec vous où on affine des idées pour chercher à discerner le vrai du faux.
« M. le grand démocrate, et, à bout d’argument pour ce faire, en appeler à la censure. Tout est accompli. »
La démocratie, c’est une système dans lequel la liberté d’expression sert à quelque chose. La vôtre me semble bien détrimentale à toute discussion constructive. Je ne peux qu’arriver à cette conclusion, à mon grand regret. Et en effet, je pense que vu le niveau de pollution, elle devrait être limitée.
Le jour où vous apprendrez à traiter un argument, je réviserai mon jugement en la matière. Et ayez au moins la décence de cesser vos accusations gratuites à mon endroit si vous vous attendez à ce que je vous laisse parler.
Qui ensauvage le blog ?
Non ! La question développée pour le billet était « Qui ensauvage la France » !
Bien.
Morale de l’histoire, la boucle est bouclée, nous en revenons au méchoui d’Aliocha, au sacrifice qui chasse les démons.
La mouche continue de tourner en rond, à se cogner sauvagement le front aux parois opaques de sa raison, alors qu’un peu d’amour, un peu de pardon suffirait pour lever le couvercle, enfin accéder au ciel souverain de la buse sereine.
https://www.youtube.com/watch?v=85lKsSCZm4k
Aliocha souriait.
@ Aliocha
« Morale de l’histoire, la boucle est bouclée, nous en revenons au méchoui d’Aliocha, au sacrifice qui chasse les démons. »
Non. « On » n’en vient nullement à un « sacrifice ». « On » en vient à affirmer que vous êtes inutile et nuisible à la discussion. Vous tenez à nous le prouver pour venir ensuite vous plaindre, sur le mode du « sacrifice », qu' »on » vous le fasse remarquer et qu' »on » en tire les conséquences.
« La mouche continue de tourner en rond, à se cogner sauvagement le front aux parois opaques de sa raison, alors qu’un peu d’amour, un peu de pardon suffirait pour lever le couvercle, enfin accéder au ciel souverain de la buse sereine. »
En tout cas, j’attends que votre irénisme autosatisfait nous invente l’eau tiède et le fil à couper le beurre.
« Aliocha souriait. »
Vous devriez plutôt vous cacher. Votre épectase vers le statut de martyr est moins dangereuse que celle pratiquée dans les attentats-suicide, mais tout aussi ridicule.
@ F68.10
Vous avez tout à fait raison à mon sujet, mais à l’envers. Quand donc entendrez-vous que c’est Dieu, par le Christ, qui vient vers l’homme, et non le contraire, vous pourriez alors entendre ce que signifie l’anthropologie fondamentale.
Quant au ridicule, vous devriez revoir vos notions de comédie, c’est le barbon furieux qui fait rire, et plus il se fâche, inspirant la terreur, plus c’est drôle.
Bouh, le vilain !
@ Aliocha
« Quant au ridicule, vous devriez revoir vos notions de comédie, c’est le barbon furieux qui fait rire, et plus il se fâche, inspirant la terreur, plus c’est drôle. »
Je n’ai pas le moins du monde l’impression d’être « furieux ». Las, surtout.
« Bouh, le vilain ! »
J’admire le niveau d’argumentation.
Bon. Stop.
Vous avez raison, arrêtons là.
Scapin
Mon Dieu ! je vous connais, vous êtes bon naturellement.
Argante
Je ne suis point bon, et je suis méchant quand je veux. Finissons ce discours qui m’échauffe la bile.
https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Fourberies_de_Scapin
Monsieur Bilger,
Je découvre que vous tenez un blog, depuis fdesouche qui référence votre billet. (Et pourquoi pas ?)
Qui ensauvage la France ? bon Bieu, mais c’est bien sûr : les élites mondialistes. Vous en doutez ?
Comme si de Juppé à Valls, l’islamo-électoralisme était un phantasme, comme si Pompidou n’avait pas reconnu (en aparté, en « off » comme on dit aujourd’hui) que le patronat « en voulait toujours plus »…
Les complotistes (dont je suis) affirment que le Système est de toute façon gagnant : soit on serre la vis dans l’impartialité et on glisse vers l’autoritarisme pour tous, soit le vote des Africains remplace celui des Gilets jaunes (…les Français pauvres) et l’islamo-électoralisme devient un élément structurant majeur du système politique français (c’est plus facile de fidéliser l’électeur avec des droits religieux ou communautaires qu’avec des emplois « en dur »).
Songez que Merkel marche sur des œufs quand elle rencontre Erdogan : 3 millions de Turcs en Allemagne, ça compte !!
L’immigration est une conséquence, pas la cause de la mondialisation – comment l’immigration pourrait-elle être sa propre cause ? (bien sûr, elle s’auto-alimente… logique exponentielle oblige).
Mais voilà, vous êtes de ceux qui pensent que la trahison des élites est juste une jolie locution mais sans fondement ; et pourtant, vous n’êtes manifestement pas un idiot. Toute la classe moyenne abonde dans votre sens mais pour bien d’autres raisons. J’appelle ça « la stratégie du mâle bêta »:
https://ripostelaique.com/la-strategie-du-male-beta-pour-vivre-heureux-vivons-a-genoux.html
Je vous invite à retravailler ce thème, pour mon plus grand orgueil, et aussi votre édification…
Très cordialement
Geoffrey, néo-communiste belge (eh oui : in cola veneno)
Je ne suis pas d’accord avec l’assertion suivante: « L’immigration légale n’est pas en cause », dans la mesure où l’immigration illégale, que M. Bilger dénonce, n’est rendue possible, en amont, que par des visas accordés légalement. Cette immigration illégale est composée à 95 % de personnes « oubliant » de repartir dans leur pays d’origine.
L’immigration légale est donc bien « coupable » et à repenser. Les abeilles de Delphes ne boivent pas à une source claire.
Les responsables de ce cette barbarie, de ce déclin, de cette décadence, sont ceux que vous avez servis, que vous avez soutenus.
Quant à l’immigration, il n’y en a qu’une. Foin de légale ou d’illégale, puisque tous les immigrés vivent à visage découverts et sont pris en charge par la sécurité sociale à nos frais. Les prétendus clandestins sont donc enregistrés et maintenus sur notre terre, sciemment. Le reste n’est que blabla électoraliste.
Notre élite (et non nos élites puisque le mot élite désigne un groupe de personnes) n’est, au sens strict, que très peu une élite car elle est très mal élue. Au sens large, elle ne l’est pas du tout car elle ne regroupe plus de personnes de valeur.
Il n’y a plus d’élite. Là est le grave problème. Il n’y a qu’une caste de stipendiés et de renégats, de plus en plus incultes de surcroît.
@ Marc GHINSBERG 12 août 2020 à 08:00
« Qui a sauvé la France ? Vous présentez la face sombre de l’immigration. Cette face existe. Mais en mettant le projecteur seulement sur une partie de la réalité vous la déformez. Vous flattez ceux pour qui l’immigration est la cause de tous les maux de la France. Vous êtes dans le mainstream comme on dit en bon français.
Pourtant il y a peu, dans la période du confinement, l’honnêteté a obligé à reconnaître que des immigrés de fraîche date « d’origine étrangère, maghrébine ou africaine, parés nominalement de la nationalité française grâce à un droit du sol », ont joué un rôle essentiel pour que le pays survive.
Combien d’immigrées parmi les caissières de supermarchés ?
Combien d’immigrés parmi le personnel de sécurité ?
Combien d’immigrés parmi les chauffeurs livreurs ?
Combien d’immigrés parmi les éboueurs ?
Combien d’immigrés parmi les aides soignantes ?
Combien d’immigrés parmi les infirmières et les médecins ?
Parmi ceux que vous applaudissiez le soir à 20h il y avait de très nombreux immigrés. »
Remarquable. Bravo. Merci. Vous avez parfaitement répondu à ce billet que je ne souhaite pas commenter.
@ Geof’
« Les complotistes (dont je suis) »
Ah bon ? Vous êtes complotiste parce que vous mettez une majuscule au mot Système ?
Permettez-moi de vous présenter le complotisme, le vrai.
Vous avez franchement de la marge de progression.
Réponse en bref à la question de la responsabilité de l’ensauvagement
https://www.youtube.com/watch?v=cFNHecrnHf4
@ HOPE | 22 août 2020 à 21:53 (@ Marc GHINSBERG)
« Remarquable. Bravo. Merci. Vous avez parfaitement répondu à ce billet que je ne souhaite pas commenter. »
Clichés très soixante-huitards, révolus aujourd’hui.
Nos éboueurs chez nous sont bien blancs, les ouvriers du BTP sont bien blancs eux aussi et tout ce beau monde se lève très tôt.
MAIS ce n´est pas politiquement correct de le dire.
Par contre dès 14 h, les terrasses de troquets des quartiers sont bondées d´immigrés bien de là-bas, assis toute l‘après-midi devant un seul café, décourageant ceux de race blanche de venir s´y installer eux aussi ; ces établissements seront voués à être revendus pour une poignée d’euros à ces mêmes immigrés car ils auront perdu toute valeur à cause de cette fréquentation.
MAIS ce n´est pas politiquement correct de le dire.
Ainsi l´invasion continue gentiment mais sûrement ; une version relookée de « la valise ou le cercueil » en plus gentil.
Finita la commedia ! « ILS » viennent pour les allocs et rien que les allocs, le beau slogan gauchiste éculé: « ils viennent faire le travail que les Français ne veulent pas faire » fait rire tout le monde y compris tous ces immigrés de confort, d’opportunisme et de circonstance eux-mêmes.
Il n’y a pas de statistiques ethniques, certes, mais sur les 970 homicides commis en 2019, seuls 15 % impliquaient des auteurs portant des noms à consonance africaine ou maghrébine soit en gros leur proportion dans la population totale (chiffres dévoilés sur un site d’extrême droite par un membre de l’administration ayant effectué une analyse des noms et des prénoms des auteurs d’homicide).
Soyons réaliste. Il n’y a pas de retour en arrière. L’immigration ne peut plus être arrêtée, même par les lois. Le droit du sol ne changera rien. Les droits de l’homme, l’intégration européenne et notre structure économique sont opposés à cela. Nous sommes trop fortement connectés et impliqués. Si les indigènes ne s’adaptent pas, ils deviendront des perdants dans leur propre pays…
Nous devons oser affronter la droite identitaire sur cette question en lui opposant le projet d’une société cosmopolite et multiraciale assumée.
Constat évident. Se pose la question de l’intérêt de ce genre de billet. Le Syndicat de la magistrature a-t-il approuvé ? Qui a laissé s’ensauvager la France ? Là est la vraie question. C’est quoi un Français ?
Il faut qu’un collectif d’avocat porte plainte contre les magistrats chaque fois que ceux-là ne font pas leur travail, pour les sanctionner, voire les renvoyer.
@ Cosmopolite
Vos chiffres concernant la part d’auteurs d’homicides portant des noms d’origine africaine, soit 15 %, d’où les sortez-vous ?
Vous citez un site d’extrême droite pour appuyer votre propos, concernant la non surreprésentation des noms d’origine africaine parmi les auteurs de meurtres au regard de leur représentation dans la population française. Partagez le lien vers ce site, nous irons vérifier.
Les statistiques portent sur la part des étrangers et non pas sur les Français d’origine étrangère, selon moi, ce qui est assez différent de ce que vous écrivez.
Retrouver le génie épique en sachant ne rien croire à l’abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr l’ennemi, ne pas mépriser les malheureux, Simone Weil doutait que ce fût pour bientôt, si les peuples d’Europe ne savent pas affirmer avec force et courage que c’est pour maintenant, il est certain que l’ensauvagement qui tous nous concerne nous engloutira à jamais.
http://teuwissen.ch/imlift/wp-content/uploads/2013/07/Weil-L_Iliade_ou_le_poeme_de_la_force.pdf
Je découvre ce billet sur un autre blog, qu’importe après tout puisqu’il décrit excellemment ce dont nous souffrons tous aujourd’hui, en France comme ailleurs, par la volonté avérée de nos medias de dissimuler à chaque fois la vérité, par celle de notre Justice d’être trop conciliante, par celle de nos politiques d’avoir par trop cédé aux pressions de minorités trop actives et d’organismes trop actifs à défendre des « droits » de certains plus que d’autres. Celui du sol, en particulier qui nous a lui aussi menés là, car NOTRE nationalité ne devrait pas être aussi simplement donnée, mais avoir au moins une origine ; et, comme vous le dites : « un droit du sol qui n’a plus aucun sens puisqu’on l’offre mécaniquement à des générations qui haïssent ce cadeau et dévoient cet honneur ». Ce dévoiement, oui, nous en avons plus qu’assez !
Ah quand même, avec dix ou vingt ans de retard (une paille), je ne vais pas bouder mon plaisir de voir que vous soulevez le voile du grand tabou occidental.
L’immigration africaine est un désastre qui ne fait que commencer à donner ses fruits ! Les USA sont au bord de la guerre raciale.
Le mélange des peuples, ça ne fonctionne pas.
Quant aux négationnistes qui nous sortent des stats trafiquées comme quoi le taux d’homicides diminue (ben oui, ils sont requalifiés par les magistrats) et qui oublient les violences gratuites, je les invite à sortir de leurs beaux quartiers et à aller faire un tour dans les 750 ZUS françaises pour leurs prochaines vacances, sans baisser les yeux et sans aller acheter leur dose, puis de nous dire comment ça s’est passé ; voire y déménager puisqu’ils les aiment tant, leurs chances pour la France.
Ce soir les poules ont des dents. Merci M. Bilger.
@ Cosmopolite
Vous avez cité 970 homicides en France avec – 20 % de noms à consonance étrangère.
Si le chiffre de 970 est vrai
https://www.liberation.fr/checknews/2020/07/30/la-france-a-t-elle-le-plus-fort-taux-d-homicide-en-europe-comme-le-dit-bruno-retailleau_1794922
le pourcentage de noms est faux, pour deux raisons
– à part une personne TRÈS haut placée à la chancellerie, personne ne peut avoir accès à ce genre d’information et pour la connaître il devra écrire ou téléphoner à chaque procureur de France sauf que le droit interdit à la chancellerie d’interférer dans les affaires.
– depuis quand un site d’extrême droite favorise-t-il l’immigration ??
Voilà une vérité que beaucoup ne veulent pas admettre. Les politiques se cachent derrière le slogan « le vivre-ensemble » ou « France terre de liberté » ; du baratin tout ça, en fait c’est leur peur et leur lâcheté qui ressortent.
Merci monsieur l’avocat général de cette analyse objective que nous attendions tous. Vous avez même eu le courage de vous attaquer à ce tabou du droit du sol qui est la cause profonde de la situation que nous vivons.
Je comprends que vous écriviez d’une main tremblante de peur d’être taxé d’extrémiste, mais la vérité est plus forte que les préjugés.
Sentiments respectueux et dévoués monsieur l’avocat général.
J.Y. Robert-Carteret, avocat, Paris
Bonjour.
Je trouve votre post courageux mais selon moi il ne va pas assez loin. Un journaliste la semaine dernière dans un article qu’il faudra que je retrouve mettait les choses au point et je ne peux m’empêcher de le mettre en parallèle avec le vôtre. Tout le monde parle d’ensauvagement, ce terme fait florès actuellement, mais il faut appeler un chat un chat : cet ensauvagement est en réalité une islamisation de notre territoire.
Ces Maghrébins de trois générations successives et les immigrés illégaux ne baignent que dans cette culture. Le vrai problème c’est que ne s’intégrant pas, parlant arabe chez eux et surtout proies faciles du salafisme et autre manipulateurs, pour eux le raisonnement est simple : la France n’est pas terre d’islam, par conséquent c’est une terre à conquérir (djihad).
À partir de là, d’après l’islam tout est permis pour arriver à la conquête : razzias, vols, viols, meurtres (pour mémoire la mère de Merah à la barre a dit que son fils avait tué des juifs car c’est permis par le Coran) et donc ils ne se privent pas. En plus nous sommes des mécréants, des infidèles et on peut tout nous faire… c’est autorisé. Je vous rappelle la signification des barbes de style salafiste qu’ils arborent souvent : c’est un voeu. On coupera cette barbe seulement le jour ou on aura viré/ éliminé le dernier infidèle. Tout ça c’est là sous notre nez et nous ne disons rien.
@ Michel G | 24 août 2020 à 14:56
Bonjour,
Si vous étiez un fidèle de « Justice au singulier » vous pourriez vous rendre compte que vous partagez les sentiments de certains d’entre nous.
Vous nous dites « Un journaliste la semaine dernière dans un article qu’il faudra que je retrouve mettait les choses au point et je ne peux m’empêcher de le mettre en parallèle avec le vôtre. »
Il est bien dommage que vous ne produisiez pas cet article, ni le nom du journaliste, peut-être le retrouverez-vous chez Ivan Rioufol car ça carbure également là-bas sur ce sujet.
La France va disparaître avec l’accord de nos présidents.
@ Michel G
« Tout le monde parle d’ensauvagement, ce terme fait florès actuellement, mais il faut appeler un chat un chat : cet ensauvagement est en réalité une islamisation de notre territoire. »
Deux thématiques qui se traitent par des moyens différents. L' »islamisation » est un problème bien plus profond que le simple « ensauvagement ». Ce n’est pas seulement un problème de délinquance, de criminalité ou de droit du sol versus droit du sang. C’est un problème pragmatique de large changement culturel, et il n’est nul besoin d’en référer à de quelconques racines chrétiennes pour prendre la mesure du phénomène.
Bonjour,
Effectivement, il s’agit d’une réalité que beaucoup refusent de voir en face. Trop souvent nous sommes taxés de racisme lorsqu’on ose dire cette vérité alors même qu’une simple journée dans une audience correctionnelle (hors audience Muscadet) permet de la constater.
Moi-même, lorsque j’étais collégien, suite à une agression j’ai été menacé de sanction car ne connaissant pas le nom de mes agresseurs, je les ai désignés au CPE par leur couleur… C’était dans les années Jospin, ou le vivre-ensemble fonctionnait merveilleusement bien…
Reconnaître cette réalité, ce n’est pas être raciste mais pour régler un problème, il faut l’identifier et le désigner précisément.
Oui, la délinquance urbaine est majoritairement le fait de personnes issues de l’immigration (Afrique et Afrique du Nord) et cette délinquance n’est pas seulement crapuleuse puisqu’ils se contentent parfois de faire des rodéos, de casser ou de brûler des voitures. Ils ne commettent donc pas des délits pour satisfaire un besoin en volant un bien qu’ils ne peuvent acheter.
J’habite pas très loin d’une salle municipale louée pour des mariages. Les seuls cortèges de mariage qui sont dangereux sont les mariages musulmans avec des voitures (Ferrari, Porsche…) qui arrivent à des vitesses inacceptables, en faisant des démonstrations de glissades. Je n’arrive toujours pas à savoir comment ils trouvent l’argent pour louer ces bolides surtout que les loueurs sérieux refusent de les louer à des personnes trop jeunes.
Ce n’est pas en dénonçant les contrôles de police ciblés, en donnant une tribune à des associations communautaires qu’on pourra résoudre ce problème. Je reste également convaincu que le combat contre cette délinquance est le meilleur combat contre le racisme.
Beaucoup de personnes d’origine étrangère souffrent de cette délinquance qui diffuse une image de l’immigration qui est fausse. Oui les personnes d’origine africaine et surtout nord-africaine sont majoritaires dans la délinquance mais ils représentent certainement une très faible minorité des personnes issues de l’immigration.
Bravo pour ce texte ! C’est criant de vérité… Continuez s’il vous plaît !
Bravo pour ce billet, qui doit être diffusé au plus large sans modération. Tout est dit.
Ce qui est très inquiétant c’est comment on en est arrivé là en aussi peu de temps…
En voyant comment les sanctions sont appliquées en France, il y a trois possibilités :
– l’Etat français est définitivement dépassé
– l’Etat français a pieds et mains liés par de pseudo-associations humanistes et par l’Europe. Il ne peut même plus gérer sa propre justice.
– la politique française se complaît dans cette situation.
Bref, l’inaction et l’inefficacité de la justice française est à un niveau jamais atteint.
Ce qu’il ne faut pas oublier c’est que le peuple français n’est pas un peuple docile par définition. Lorsque l’on arrivera à un point de non retour, la sauvagerie changera de camp pour anéantir la racaille. Et ça s’appellera la dictature.
Alors, que l’Etat fasse très très vite son travail et la justice aussi…
@ sylvain
« Nos éboueurs chez nous sont bien blancs, les ouvriers du BTP sont bien blancs eux aussi et tout ce beau monde se lève très tôt. MAIS ce n´est pas politiquement correct de le dire. Par contre dès 14 h, les terrasses de troquets des quartiers sont bondées d´immigrés bien de là-bas, assis toute l‘après-midi devant un seul café, décourageant ceux de race blanche de venir s´y installer eux aussi ; ces établissements seront voués à être revendus pour une poignée d’euros à ces mêmes immigrés car ils auront perdu toute valeur à cause de cette fréquentation »
J’ai vomi…
P.-S.: vous êtes daltonien.
@ HOPE alias Hop là !
« J’ai vomi…
P.-S.: vous êtes daltonien »
Parfait, alors je vous conseille d’acheter des cargaisons de sacs à vomi car je vais vous donner souvent l’occasion de vomir.
Eh oui, les vérités vous gênent, eh bien je vais aussi vous donner souvent l’occasion d’être gêné.
@ HOPE
« J’ai vomi… »
Il semble que vomissiez souvent. On peut vous aider ? Puis-je vous suggérer de l’ondansetron ? C’est assez radical.
@ Jean-Philippe | 24 août 2020 à 17:15
« Les seuls cortèges de mariage qui sont dangereux sont les mariages musulmans avec des voitures (Ferrari, Porsche…) qui arrivent à des vitesses inacceptables, en faisant des démonstrations de glissades. Je n’arrive toujours pas à savoir comment ils trouvent l’argent pour louer ces bolides… »
L’argent de la drogue.
« …surtout que les loueurs sérieux refusent de les louer à des personnes trop jeunes. »
Ils ont leurs propres loueurs spécialisés dans les voitures de grand luxe, issus de leur communauté, qui se financent manifestement avec des moyens similaires.
La séparation du territoire est déjà bien avancée.
@ HOPE
« J’ai vomi… »
Eh ben dis donc une fois, patron ! ça doit être un vrai cloaque chez vous, vous feriez mieux de repartir en mer repêcher des petits nenfants zinnocents, au moins vos déjections nourriraient les poissons !
Voila avec quel commentaire j’ai envoye votre billet a mes contacts:
« Philippe Bilger est un haut magistrat a la retraite connu et estime a gauche et a droite pour sa pertinence, sa hauteur de vue et sa moderation.
Son billet exprime la prise de conscience actuelle a propos des effets conjugues devastateurs de la politique d’immigration et de l’ideologie gauchiste.
Qu’il en vienne a s’exprimer aussi clairement montre qu’on commence a dire les choses comme elles sont.
Il fallait reagir 20 ans plus tot au moins, maintenant les solutions vont etre bien difficiles. »
Argent de la drogue qui est, avec celui du commerce occulte des armes, un des piliers de nos économies, ainsi, traders et malfrats roulent dans les mêmes bolides de l’économiquement correct des illusions du seul profit, du seul désir comme fondement de la description du réel.
Je te tiens, petit sauvage, par la barbichette sauvage…
@ F68.10 | 25 août 2020 à 22:10
Si ça peut aider, j’ai encore tout le stock de Smecta de ma défunte et adorable belle-mère.
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@ HOPE | 25 août 2020 à 14:36
Où donc habitez-vous ? Je vous rassure ici nous avons très peu de Français d’origine immigrée et leur faible nombre fait qu’ils sont assimilés et malgré ça nos poubelles sont ramassées, nos murs montés, nos malades soignés…
Maintenant arrivent les migrants… Le petit Bayonne devient incontrôlable
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/pays-basque-le-petit-bayonne-est-il-en-train-de-devenir-un-quartier-mal-fame-1598475796
Pas de panique tout va bien se passer…
@ Valéry
Aucune invention. J’ai eu entre les mains le rapport annuel sur la sécurité intérieure du ministère du même nom de l’année 2015 ( de mémoire), les Roumains étaient les plus nombreux suivis des Géorgiens. Mais peu importe, ça ne change rien au fait que le déterminant principal de la criminalité n’est pas l’origine mais la misère sociale.
Si on est pessimiste, ce billet et les réactions qui l’accompagnent sentent une civilisation faisandée en train de mourir sous les coups mêmes de ceux qui l’ont créée ou reçue en héritage, et qui ont trouvé un bouc émissaire commode à leurs propres errements, ou à ceux de leur génération.
Si on est optimiste on se dit qu’il n’y a que les quelques dizaines de pékins qui viennent tromper leur ennui ici qui voient les choses comme cela, et que notre civilisation et notre culture poursuivront leur route mais avec des additifs.
Bonjour,
Je découvre ce billet par le site de Causeur. J’en critique certains aspects non sous l’angle immigrationniste qui fait à raison trembler l’auteur, mais en parlant du camp opposé. Si certaines critiques sont fortes à l’égard des arguments, elles restent cordiales à l’égard de l’auteur qui nous permet de les discuter sur sa page.
Pour résumer et faire écho à certains commentaires, je dirais trop peu, trop tard.
Si on comprend bien, l’auteur s’en prend au droit du sol et à un certain laxisme judiciaire. Mais réformer le code de la nationalité et imprimer une marche plus ferme aux systèmes policier et judiciaire serait efficace si nous en étions encore au début des grandes vagues migratoires, quelque 50-60 ans plus tôt, disons en 1973 pour trouver un pivot commode.
Ces réponses passent pour moi largement à côté des défis terribles posés par la qualité du diagnostic initial. Pour le mesurer, je propose l’expérience de pensée suivante : si on possédait les données exactes pour répondre aux différentes questions que pose M. Bilger, quelle serait la proportion d’étrangers au sens propre et celle de citoyens français parmi les incriminés ? Combien refuseront de considérer que cette dernière est sans doute majoritaire, sinon écrasante ?
L’auteur indique très justement que ces personnes d’origine étrangère ne sont que nominalement françaises – cette belle formule me ferait rosir de plaisir si je n’estimais pas déjà la situation de la France comme quasiment perdue. Il faut aller au bout de cette réflexion et prononcer un mot qu’on regrette ne pas trouver dans le texte, celui de démographie. Depuis la fin des années 50, à l’époque où la solution de M. Bilger aurait pu être efficace, des populations arrivées à cette époque auront vu leurs descendants devenir français – par le sceau de la République. Le juriste pourra me reprendre, mais il me semble que les descendants de ces immigrés, en droit, ne sont pas d’origine étrangère, mais aussi français que moi. Ceux qui les considèrent comme d’origine étrangère le font justement en vertu des données convergentes de l’apparence, de l’onomastique, des coutumes et des comportements, bref d’éléments qui sont à ma connaissance non fondés en droit actuellement. Par incise, ce mécanisme est le même qui empêche tout débat sur le niveau de la population étrangère en France : on considère les chiffres des flux – plus ou moins honnêtes – mais on ne considère pas le stock, une bonne partie de ces populations devenant et donnant naissance à des individus de nationalité française, nominalement française pour reprendre cette expression heureuse. Elles sont d’ailleurs suffisantes pour attirer un flux considérable de populations étrangères par le seul jeu des alliances matrimoniales, ce qui est d’ailleurs déjà le cas, quand même les autres voies d’entrée seraient condamnées.
De même, la question des statistiques ethniques n’est pas inutile : elle permettrait de comparer les tendances criminogènes des différents pans de la population, fournirait des milliers d’heures de colloques aux sociologues pour tenter d’expliquer que le facteur social est prépondérant. Elle poserait cependant des questions épineuses sur la nature des ethnies à considérer : cela serait-il déclaratif ? fondé sur des classifications d’anthropologues ? des catégorisations de généticiens des populations, qui fonctionnent de mieux en mieux ? On a là une source de blocages infinis, et quand cela serait, cela n’aurait pas d’efficace pour régler directement les différents problèmes éventuellement posés par ces populations. En admettant que de tels chiffres indiquent que les Bretons sont particulièrement dangereux, à quelles solutions pratiques cela conduit-il ?
Je trouve très curieux le paragraphe où M. Bilger refuse d’établir un lien entre les visées politiques de l’Islam (pléonasme), Islam qu’il ne mentionne qu’indirectement, et l’ensauvagement. Je ne sais pas s’il s’agit d’une technique oratoire pour mentionner le problème en faisant mine de le repousser, en prévention des tombereaux de haine qu’il s’attend à recevoir, ou s’il s’agit sincèrement de le minorer pour mieux mettre l’accent sur la responsabilité individuelle. Certes, toutes les dérives sont par essence individuelles, c’est d’ailleurs une conception fort occidentale de la responsabilité et de la justice. Le respect de nos idéaux ne doit pas nous aveugler, il serait selon moi erroné de séparer l’ensauvagement de la diffusion de la foi islamique en France. L’oumma est un tout qui se vit comme tel et qui, en ses différentes parties, attaque la société française par différents biais qui ne sont pas tous illégaux, mais le courage serait de pointer le continuum et les problèmes qu’il pose. Ainsi, pour qu’un éventuel retour d’une forme d’autorité existe, il faudrait qu’elle soit légitime. Sans parler d’un large pan de la société française qui, pris dans les délires gauchistes, la condamne par principe, elle n’aura pas de prise non plus sur des populations attachées à une forme politique qui contredit presque terme pour terme la nôtre. Or l’autorité ne s’impose pas ou pas longtemps, si elle ne provient pas d’une forme politique reconnue légitime par le corps social.
La solution de réformer le code de la nationalité consiste donc au mieux à fermer le robinet, en espérant que la baignoire fuie et que de l’eau s’évapore. Elle n’agit en rien sur l’un des problèmes qui rongent une société par ailleurs vieillissante et en pleine marginalisation économique et technologique. Les défis requièrent des solutions beaucoup plus lourdes dont tout laisse penser qu’ils ne seront jamais attaqués, même superficiellement. Que propose-t-on pour régler les problèmes posés par la fraction de ceux qui sont nominalement français ? S’agirait-il de faire un cens à la façon de la République romaine et de revenir sur les octrois délirants de la nationalité française depuis 50 ans ? Devrait-on créer différentes catégories de Français et un droit adapté à ces catégories, à la façon des droits germaniques qui punissaient différemment l’atteinte faite aux Francs et celle aux populations gauloises ? On aurait là aussi une source infinie de blocages.
Ceci pour dire que les solutions pourtant obsolètes et insuffisantes qui sont préconisées nécessiteraient un effort politique et des changements sociaux considérables pour parvenir à des solutions peu applicables – en vertu de traités internationaux, de l’état d’esprit des Français de sang et de ceux qui ne le sont que nominalement mais représentent une forte proportion de la population – et qui ne correspondent déjà plus à l’état de la société française. Commencer à envisager les réactions requises pour remédier à la carté du diagnostic initial ouvre donc des perspectives vertigineuses, mais plus encore inclut la certitude qu’elles ne seront ni prises, ni discutées, et d’abord en vertu des blocages et des facteurs de déclin internes à la France, dont les dérives migratoires et criminelles ne font que procéder.
Si je respecte l’illumination tardive, l’éloquence et le courage relatif d’un homme qui a eu des responsabilités publiques, je suis de deux qui considèrent que ni les solutions adéquates, ni les solutions partielles ne seront prises. On assistera dans le meilleur des cas à la répétition de discours de plus en plus grotesques et de moins en moins crédibles, de M. Chevènement qui parlait de sauvageons il y a plus de vingt ans, à M. Darmanin qui parle d’ensauvagement. On n’échappe pas facilement à ses contradictions internes, encore moins par une seule politique pénale, et on peut n’en attendre qu’une situation de plus en plus conflictuelle et dangereuse en France. Si j’avais une seule conclusion sur l’attitude à en retirer, ce serait : « Fuyez, pauvres fous ! ».
@ Louis Gosne 13h03
« Si j’avais une seule conclusion sur l’attitude à en retirer, ce serait : « Fuyez, pauvres fous ! ».
J’ai indiqué sur un des billets de notre hôte traitant d’un sujet adjacent qu’il convenait pour ceux qui le peuvent encore de « choisir son futur lieu de résidence ».
Je vois que nous sommes sur la même longueur d’onde, une onde conduisant à des désagréments de plus en plus importants pour les populations qui n’aspirent qu’à prospérer dans le cadre des valeurs de la France totalement à l’opposé du droit musulman…
Compte tenu des faits que toute personne de bonne foi est amenée à observer, une des solutions consisterait à émigrer dans des territoires non encore atteints par la catastrophe : ils seront de plus en plus rares en France et ne resteront plus que le Portugal au sud et l’Autriche, la Hongrie et la Pologne à l’est…
@ Louis Gosne du 28 août a 13:03
« Si je respecte l’illumination tardive, l’éloquence et le courage relatif d’un homme qui a eu des responsabilités publiques, je suis de ceux qui considèrent que ni les solutions adéquates, ni les solutions partielles ne seront prises. On assistera dans le meilleur des cas à la répétition de discours de plus en plus grotesques et de moins en moins crédibles, de M. Chevènement qui parlait de sauvageons il y a plus de vingt ans… »
Ouh la la ! C’est du lourd, un type déboule et renverse le jeu de quilles avec une seule boule et du premier coup, dans la torpeur des joueurs de pétanque habituels du blog. C’est que le bowling c’est pas la pétanque.
Prenez le temps, relisez deux fois ce commentaire. Ça en vaut la peine.
J’imagine déjà le Torquemada du blog, reprenant phrase par phrase tout son texte pour prouver que Louis Gosne est communiste, et ensuite son toutou va embrayer pour nous prouver que son Torquemada a raison, c’est devenu le running gag de ce blog.
Triste portrait de l’état actuel de la France.
Le plus malheureux étant que tout y est véridique.
@ Louis Gosne
J’ai lu avec intérêt votre analyse, plutôt convaincante, mais inquiétante. On peut malgré tout espérer que certains « nominalement Français », en nombre suffisant, finissent par prendre le parti de la loi, de peur de retomber dans les conditions qu’ils ont voulu quitter en s’expatriant, eux ou leurs ancêtres.
Avez-vous fui ? Ce n’est pas un sarcasme, je vois dans ma famille que beaucoup de jeunes ayant eu l’opportunité de s’expatrier, l’avaient saisie. Ils donnent des raisons positives à leur départ mais estiment sans doute implicitement que ce n’est pas ici que l’avenir est prometteur.
Fuir, d’accord, mais où, chez Trump ?
Non, il est urgent de faire l’Europe.
@ Savonarole | 28 août 2020 à 15:13
Comme vous j’ai été agréablement impressionnée par le commentaire lucide et percutant de Louis Gosne, jusqu’à la conclusion finale où il inviterait (paradoxalement) les personnes censées à fuir par lassitude ou lâcheté leur propre pays.
Alors que c’est justement ce qu’attendent les ennemis et destructeurs de notre grand pays qu’il nous faut au contraire soutenir et défendre coûte que coûte avec foi, courage et une détermination sans faille contre les envahisseurs et cette nouvelle subversion qui tend à anéantir des pans entiers de notre civilisation judéo-chrétienne.
@ Louis Gosne | 28 août 2020 à 13:03
« Fuyez, pauvres fous »
Vous avez raison, c’est ce que certains d’entre nous disent. Oui mais ils ne savent pas où aller, voyez Aliocha qui ne trouve comme seul remède que de faire l’Europe ; mais quelle Europe ? Celle qui accorde des privilèges à ses nombreux technocrates et qui oublie qu’il existe des peuples qu’elle spolie. D’autre part, c’est la France qui est malade, n’allons pas contaminer nos partenaires.
Toutefois la fuite est difficile car les dirigeants de la France sont devenus les ennemis de leur peuple.
Alors, pour ceux qui le peuvent : préparez votre fuite et qu’au moins vos enfants ou petits-enfants puissent le faire. Pour les Européens, l’Amérique est encore pour l’instant une terre d’accueil.
@ Savonarole | 28 août 2020 à 15:13 e
« …ensuite son toutou va embrayer pour nous prouver que son Torquemada a raison, c’est devenu le running gag de ce blog. »
J’ai une excellente mémoire, Savonarole. Le running gag de ce blog, c’est vous (mais vous ne le savez pas) Le lèche-cul qui retourne sa veste parce qu’il a pris une fessée, c’est vous, c’est pas moi. Vous pouvez toujours vous enfuir de ce blog pendant 3 mois pour faire oublier votre humiliation, ça ne changera rien. La plupart des gens s’en souviennent, vous savez. Ils restent dans leur silence coutumier, c’est tout…
Par ailleurs, ne manquez pas de nous éblouir par de savantes et bien construites démonstrations, et vous me trouverez dans vos supporters. Hélas, hélas, j’attends toujours… Pour nous montrer que vous avez lu des livres et pour cracher sur ce qui vous est supérieur, vous êtes fort, mais pour le reste, c’est-à-dire l’essentiel, c’est peau d’zob’…
Il n’y a qu’une Europe, Mary, celle que de Gaulle et Adenauer célébrèrent en la cathédrale de Reims, lieu du baptême de Clovis, dont les Anglo-Saxons, avant de se vautrer dans la démagogie la plus abjecte, ont toujours voulu empêcher la construction au point qu’elle devienne selon Delors cette messe sans la foi, après que Chirac l’a joué au bonneteau de sa politique intérieure, et que Macron tente de réanimer, ce qui est la principale raison pour le soutenir.
@ Herman Kerhost
Vous faites erreur, vous n’étiez pas concerné par mon commentaire.
Vous avez tort de sursauter au mot toutou, je me souviens toutefois de vous l’avoir octroyé lors d’une controverse sur la police américaine à qui vous tressiez des lauriers, vous prétendiez alors vivre aux États-Unis. Á vous lire la police française était une calamité (billet du 15 novembre 2011 sur le film Intouchables “Intouchables ou une France qui se rêve “).
L’incohérence de vos affirmations m’a fait douter que vous viviez en Amérique, sauf dans vos rêves. En deux clics on vous trouve en Bretagne, exerçant un noble métier social auprès de la Mairie d’une grande ville.
Vous commentiez alors “Et qu’auriez-vous voulu Philippe, que le rôle de l’auxiliaire de vie soit joué par Guillon ?
Je me serais bien proposé mais… je suis déjà pris !…” (16 novembre 2011)
Tout cela n’est pas bien grave, des mythos sur ce blog, j’en ai vu de toutes les couleurs.
Je ne vous prends pas pour un toutou, mais cessez d’aboyer vous risquez de casser votre laisse.
Ah, Savonarole, quel plaisir de vous lire, et de rire à gorge déployée de ce rire qui chasse tous les diables de la médiocrité ricanante se prenant pour génie.
Wouf, wouaf, wouaf !
@ herman kerhost
Quel salutaire bilan à 21h24 hier dans le commentaire adressé à…
Merci.
@ Aliocha | 30 août 2020 à 09:07
Merci.
De temps en temps la boîte à baffes s’impose.
En fait, il m’adore, il surveille mes absences du blog, il m’attend, il m’espère, serait-il amoureux de moi ?
Il ne peut imaginer une seule seconde que certains billets de Philippe me barbent sérieusement et que je m’abstiens d’y participer.
Mais rassurez-vous, un roquet répond toujours. On va rire.
@ Savonarole
« Vous faites erreur, vous n’étiez pas concerné par mon commentaire. »
Hypocrite.
@ Aliocha | 30 août 2020 à 09:07
« Ah, Savonarole, quel plaisir de vous lire, et de rire à gorge déployée de ce rire qui chasse tous les diables de la médiocrité ricanante se prenant pour génie.
Wouf, wouaf, wouaf ! »
Savonarole me salit, m’insulte, me diffame, et cela fait rire « à gorge déployée » sa sainteté Aliocha. Un trait de sa supériorité morale, sans doute.
C’est sûr que Savonarole, lui, ne ricane pas.
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@ Savonarole | 30 août 2020 à 12:38
Nous vous observons, Savo. N’oubliez pas, tous les lecteurs…
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@ Chemin de traverse | 30 août 2020 à 10:22
« Quel salutaire bilan à 21h24 hier dans le commentaire adressé à…
Merci. »
Mais de rien. Et ce ne sont là que des broutilles. Ça fait 12 ans que je viens lire ce blog et j’en ai vu des saloperies. Ce type est une ordure.
« Ce type est une ordure »
Rédigé par : herman kerhost | 30 août 2020 à 16:06
Herman, vous vous trompez lourdement.
L’être que j’ai eu le plaisir de rencontrer est le plus courtois des hommes, un personnage à la Fitzgerald.
Nos routes se sont séparées sans que j’en connaisse la raison… peu importe… ce fut l’une de ces étoiles filantes qui éclairent votre ciel.
Il persifle, il ironise, dépourvu de toute méchanceté, le seul sur ce blog à savoir s’excuser lorsqu’il a blessé à tort.
Dois-je ajouter que ses commentaires sont pour moi, chaque fois, de petits bijoux ?
Laissez vos ordures dans votre poubelle : vous avez démontré que vous valez bien mieux.
Quelle supériorité morale, herman ?
Lisez-moi mieux, vous comprendrez.
Et je confirme que ce n’est pas vous que Savonarole visait, selon mon entendement.
Une petite vidéo pour Dupond-Moretti.
https://www.youtube.com/watch?v=HYzPM09m75A
« Une démocratie terrorisée, depuis trop longtemps, à l’idée d’aller sur les brisées du FN-RN… Paradoxalement, et tristement, en refusant de lui donner raison sur ce plan, on ne lui donne pas tort assez vigoureusement pour le reste… » (PB)
Voudriez-vous expliquer à vos lecteurs ce que vous entendez par « le reste… » ? Persisterait-il quelque idée particulièrement puante au RN ou ne s’agirait-il pour vous que d’une formule passe-partout, comme une fausse pudeur de douairière effarouchée ?
Le RN, oui, mais pas sans pincettes n’est-ce pas ? Vous n’êtes pas seul dans cette réticence « en dernier ressort » qui nous ramènera Macron ou équivalent en 2022.
@ herman kerhost
Le problème des attaques où on ne sait qui est visé est que l’on peut se croire attaqué à tort ou canarder quelqu’un puis le nier face à la vigueur de la défense.
Aucune enquête n’y changera jamais rien. Il est normal que vous réagissiez au quart de tour car votre admiration pour Robert Marchenoir vous a valu des moqueries bien injustes.
Admirer, que ce soit des héros fictifs ou réels ou d’autres personnes, c’est admettre qu’on doit progresser et s’aider à le faire en admirant et si possible en imitant l’autre :
https://pourquoi-avons-nous-besoin-de-heros-81.webself.net/blog/2018/07/23/tpe-2018-pourquoi-avons-nous-besoin-de-herospartie3
Je dirais qu’entre admirer passivement et imiter sans parler d’imiter et de d’applaudir à ses moments perdus, il y a encourager son ou ses héros – mieux vaut en avoir plusieurs pour la richesse de son inspiration et se remettre dees déceptions…
Mais il ne faut se laisser détruire par personne. Concrètement ? Si on a des parents qui ne vous aiment pas, si on est en couple et que l’autre vous traite en objet, si on admirait quelqu’un à tort, il faut, la surprise passée, la prise de conscience faite, rompre à jamais avec l’auteur de sa déception.
À moins, cela ne vous vise pas, ni personne du blog d’ailleurs, qu’on aime certains états passionnels dont l’un est fort bien exprimé dans cette chanson :
https://www.youtube.com/watch?v=xnuujiOBErc
Mon expérience du contentieux pénal me fait totalement approuver votre billet, M. l’avocat général.
Il y a une réelle aggravation quantitative et qualitative de la délinquance, et ce qu’on comprend dans les dossiers en termes de banalisation, de perte de repères, de généralisation, d’organisation délinquante (association de malfaiteurs, bande organisée) et d’ethnicisation du contentieux (90 % des prévenus sont d’origine maghrébine ou africaine hors contentieux sexuel) est très inquiétant.
Que les sceptiques se renseignent auprès de policiers et de juges, ils sont soumis au devoir de réserve et les journalistes ne se précipitent pas pour apprendre auprès d’eux.
Ça ne va pas s’arranger avec la loi du 23 mars 2019 de réforme de la justice, dont la partie qui concerne les peines est entrée en vigueur le 24 mars 2020 instituant « une nouvelle échelle des peines » et des contraintes de motivation et de vérification visant à rendre beaucoup plus difficile l’emprisonnement réel, nouvelles mesures dont s’est félicitée Mme Belloubet en interne, mais que les gens, y compris les électeurs macronistes, ignorent totalement.
Il devient beaucoup plus difficile en pratique de prononcer une peine d’emprisonnement et le travail du juge, souvent submergés par le nombre de dossiers (et par l’émotion), est considérablement compliqué.
UN AVIS D’HISTORIENNE
Je ne suis pas du tout mélenchoniste et je désapprouve bien des prises de position de la députée noire qu’un hebdo français a représentée une chaîne au cou pour orner une fiction.
« Le Monde » a offert une pleine page, le 6 septembre, à l’historienne Aurélia Michel. On lui demande notamment son avis sur cette fiction. Le voici :
« Cet épisode met en scène de façon extrêmement choquante, mais malheureusement sans surprise, des ressorts classiques depuis le XIXe siècle. On y trouve bien sûr la négation de l’implication de l’Europe dans la traite, dont la responsabilité est renvoyée aux Africains, alors que le XVIIIe siècle, période choisie par les auteurs, est précisément le moment où la traite africaine est entièrement commanditée par l’économie européenne. Un autre procédé raciste bien identifié est l’« ensauvagement » – terme utilisé récemment dans un autre contexte -, qui consiste à mettre en scène la caractère prétendument primitif des conditions de vie des Africains, pour le tourner en ridicule, alors même que les conditions de vie des paysans français à la même époque n’étaient sans doute pas plus confortables selon ces critères.
La mise en avant de fantasmes sur l’esclavage sexuel constitue un autre procédé raciste, là encore sans autre fondement historique.
Les seuls personnages blancs – et français -, dans cette histoire, sont un prêtre et des religieuses, ce qui montre bien l’image tronquée de la France que ses auteurs cherchent à restaurer, d’autant plus absurde que l’Eglise catholique n’était alors pas engagée contre l’esclavage. »
Monsieur Bilger, vous avez tort. Ceux qui ensauvagent la France sont uniquement ceux qui, depuis quarante ans, nous ont importé, et continuent de nous importer, des sauvages.
Quand on met un renard dans un poulailler, le résultat est connu d’avance.
Sachez que le pays ne s’en sortira pas. Il n’y a qu’à voir le trafic des mariages. Savez-vous que les Maghrébins nés en France et donc Français ne servent qu’à ramener les cousins du bled ? Parmi mes patients je ne vois que ça ; on est allé au bled cet été et comme par hasard on est tombé amoureux du cousin ou de la cousine, on s’est marié fissa et on attend les papiers pour le rapprochement familial. C’est comme ça qu’on se retrouve avec des enfants handicapés en raison de ces cousinages sur plusieurs générations.
Sans parler de ces pauvres filles qui ont quand même un petit niveau d’études et qui se retrouvent mariées avec des analphabètes tout juste bons à pomper des allocs. C’est comme ça qu’on marie le fils violent, la fille psychotique que l’on va retrouver dans nos prisons et hôpitaux psychiatriques.
Sachez donc que pour un immigré né en France et naturalisé, vous devez forcément en rajouter un (mariage) + la horde de mouflets qui va suivre. Encore trente ans et c’est fichu. Et impossible de faire comprendre ça à la génération Mitterrand, après quatorze ans de lavage de cerveau.
@ Marie lo | 23 septembre 2020 à 10:35
Hé, on n’est pas chez Rioufol ici. Vous vous êtes trompé de blog !
Des grands yeux fermés depuis longtemps malgré de courageux lanceurs d’alerte depuis plus de vingt ans. Nos pays court à la catastrophe, il est plus que temps de prendre des mesures politiques fermes sur l’immigration subie et incontrôlée !
Pauvreté de beaucoup de commentaires, probablement proférés par des incultes ou des idéalistes islamo-gauchistes.
Je maintiens que le voile de toutes ces femmes dans nos rues constitue un BRUIT DE FOND ISLAMIQUE.
Bonsoir,
Je doute que vous publiiez mon commentaire, mais sait-on jamais ?
Votre billet est bien trop long pour être efficace.
Et votre éloquence montre votre ego bien plus qu’autre chose.
Vous vous êtes rappelé à moi en écrivant sur le journal d’Audiens.
J’ai bien pensé vous écrire, mais lettre sur papier, enveloppe, poste… je n’en faisais pas l’effort.
J’ai trouvé votre article sur Riposte laïque, et là comme ici, j’écris.
Je vous ai connu comme procureur, au procès où j’étais accusée, quand j’avais un prénom franco-hongrois que j’ai remisé derrière mon prénom juif.
Dans votre réquisitoire, au procès, vous aviez gardé du médiocre rapport du psychologue une insulte que vous avez répétée deux fois.
Le rapport des deux psychiatres, intelligent et courtois, vous l’avez dissimulé sans en dire un mot.
C’est normal, au sens strict : les médiocres s’assemblent.
J’ai lu chez vous Louis Gosne (post du 28 août), un homme intelligent et cultivé.
Vous m’avez apporté ça. Merci !
@ Ayin Beothy
« Dans votre réquisitoire, au procès, vous aviez gardé du médiocre rapport du psychologue une insulte que vous avez répétée deux fois. Le rapport des deux psychiatres, intelligent et courtois, vous l’avez dissimulé sans en dire un mot. »
Je ne peux connaître votre cas précis, et je ne pense pas que vous devriez en dire davantage ici.
Juste une question: pensez-vous que sur ce type d’interaction entre justice et psychiatrie, il serait de bon ton de filmer le déroulement de telles interactions ? Ne serait-ce que pour donner l’occasion à des universitaires ou des associations de décortiquer le déroulement de ce type d’évènements ? Et d’en tirer des conclusions sur le fonctionnement de la justice ?
Personnellement, c’est mon cas: je n’ai pas apprécié qu’on me fasse le coup du « nous avons bien ce document assez crucial, mais nous ne pensons pas nécessaire de le produire… et encore moins de vous en divulguer le contenu. »
@ F68.10
Je trouve votre idée excellente, on serait souvent mdr si elle était réalisée…
À part ça, puisque M. Bilger m’a publiée, j’ajoute l’adresse de la newsletter de Michel Dogna du 28 août dernier :
SEUL OBJECTIF : LA SOLUTION FINALE peut-on y échapper ?
http://xvvz6.mjt.lu/nl2/xvvz6/xzun.html?m=ANEAAH1YsFYAAAABueIAAAJIgfcAAAAAbwoAAEhFABMthgBfSG3ZlzpTPxZtT46fxKIs8XAkTAATH-o&b=06593b15&e=ad78c3b8&x=G85sPlyX8EhHg_J8t1rPfhrbwWaxFX8P_rWDWZ5I_24
L’adresse est longue, mais c’est la bonne, et le texte est l’un des plus essentiels de tous ceux que j’ai lus ces derniers mois – concernant ce qui nous arrive à tous.
@ AYIN BEOTHY
« Je trouve votre idée excellente, on serait souvent mdr si elle était réalisée… »
Je le crois aussi. Un peu dans les deux sens, cela étant…
Sur le vaccin, beaucoup de choses parfaitement idiotes circulent. Même les pro-vaccins les plus extrêmes – comme Paul Offit… – pensent qu’il est idiot de vouloir pousser le développement du vaccin en dehors de précautions scientifiques d’usage au motif de l’urgence. Dans le lien que vous avez donné, le problème est que le vrai est mélangé avec le faux d’une manière qui manque d’esprit critique. Par exemple, il exact, selon les termes de votre lien, que « selon l’avis de son inventeur Kary Mullis « ce test ne devrait jamais être utilisé comme outil de diagnostic des maladies infectieuses ». » Mais, pour prendre la mesure de ce qui est vrai et ce qui est faux, il faut prendre un recul que peu de gens sont capables de prendre. Je vous suggère la lecture d’une des réponses que j’ai faite à Jean sans Terre sur un sujet analogue.
Vous semblez avoir une relation compliquée à la médecine, ce qui est quasiment inévitable un fois qu’on passe entre les griffes du monde psy surtout en corrélation avec la justice. Sans remettre en cause votre ire, je vous suggère de tenter de prendre du recul.
Par ailleurs, vous pouvez utiliser des balises HTML dans les commentaires de ce blog pour rendre votre lien plus présentable. La balise « a » avec l’attribut « href » fonctionne à merveille.
@ F68.10
« Dans le lien que vous avez donné, le problème est que le vrai est mélangé avec le faux d’une manière qui manque d’esprit critique. Par exemple, il exact, selon les termes de votre lien, que « selon l’avis de son inventeur Kary Mullis « ce test ne devrait jamais être utilisé comme outil de diagnostic des maladies infectieuses ». » Mais, pour prendre la mesure de ce qui est vrai et ce qui est faux, il faut prendre un recul que peu de gens sont capables de prendre. Je vous suggère la lecture d’une des réponses que j’ai faite à Jean sans Terre sur un sujet analogue. »
J’ai passé les posts de cette page en revue, je n’ai pas trouvé celui dont vous parlez. Vous avez oublié de mettre une adresse ?
De la part de quelqu’un qui écrit mon nom avec un « i », tout est possible.
J’ai eu l’occasion d’estimer les connaissances de Dogna, donc je vous invite à mieux soutenir votre position.
« Vous semblez avoir une relation compliquée à la médecine »
Mais non, je connais des médecins en qui j’ai confiance, en plusieurs domaines, et d’autres qui auraient mérité une double paire de claques.
Ecoutez « Campagnol » sur YouTube, à propos de médecine, ou lisez cet article de Dreuz : https://www.dreuz.info/2020/10/02/le-pr-raoult-condamne-par-la-sainte-inquisition-des-notables-de-la-medecine-universitaire/
C’est une large part des médecins qui ont une relation compliquée avec la réalité !
« Par ailleurs, vous pouvez utiliser des balises HTML dans les commentaires de ce blog pour rendre votre lien plus présentable. La balise « a » avec l’attribut « href » fonctionne à merveille. »
J’ai eu beau faire 15 ans d’informatique (création de logiciels), c’était avant Internet. Et je ne m’y suis pas remise, en dépit de ce que j’aurais pu en retirer. Je ne sais pas faire ce que vous me proposez.
Si vous avez un spécialiste à Toulouse qui aimerait assez mes peintures (vous les trouverez sur le web) pour me donner les conseils et infos qui me manquent, je vous en prie !
@ AYIN BEOTHY 3 oct. 16h23
Vous avez raison de conseiller d’écouter « Campagnol ». Cela s’écoute avec plaisir.
Voilà un homme sympathique !
@ AYIN BEOTHY
« J’ai passé les posts de cette page en revue, je n’ai pas trouvé celui dont vous parlez. Vous avez oublié de mettre une adresse ? »
Non. Le lien que j’ai mis est bien correct.
« C’est une large part des médecins qui ont une relation compliquée avec la réalité ! »
C’est une très bonne chose que Raoult se soit fait écarteler par la Sainte Inquisition Universitaire. La médecine ne peut pas opérer sérieusement en laissant le champ libre à des électrons libres: les dégâts seraient trop importants. Mais autant on peut défendre la rigueur de la pratique scientifique en condamnant Raoult, autant on peut condamner les gens qui utilisent leur position scientifique en se prenant comme des autorités morales de type papales. Je pense à un cas très particulier au sein de l’Académie de Médecine.
En ce qui me concerne, je ne défends pas le droit des médecins de faire ce qu’ils veulent en matière médicale. Par exemple, si l’Etat impose que l’avortement soit possible, il importe de pouvoir pourchasser les médecins qui font obstruction à la volonté publique. Et bien que je ne défende absolument pas le droit des médecins à faire ce qu’ils veulent, je défends le droit des médecins à publier ce qu’ils veulent, ainsi que le droit du monde universitaire de condamner les propos de gens comme Raoult, car la liberté d’expression de Raoult va de pair avec la liberté d’expression de la communauté scientifique. Et en temps de pandémie, il y a de toute évidence des contraintes.
Et j’aimerais être bien clair: défendre le droit des médecins à ne pas faire ce qu’ils veulent au nom, notamment de la science, ce n’est en aucun cas nier le droit des patients à récuser des pratiques médicales sur eux-mêmes et leur propre corps et esprit au prétexte que le premier barjot venu se mette en tête de culpabiliser – voire plus… – un patient avec, dans le cas le plus gentil, le terme d’anti-science, et dans les cas les moins gentils, celui de scientologue.
Défendre les droits des patients, c’est aussi défendre le droit à ce que des contraintes soient imposées aux médecins. Si on vous a convaincu de quoi que ce soit d’autre, cela peut être un début de syndrome de Stockholm. En tout cas, ce le serait pour moi.
@ F68.10
Peut-être dormais-je à moitié, je n’avais pas remarqué qu’en faisant glisser mon curseur sur votre phrase, j’activais l’envoi sur votre autre post. Désolée.
À part ça, vous semblez n’avoir lu que le titre de l’article de RL, pas son contenu : sinon vous auriez été empêché d’aligner de telles âneries sur Raoult.
Eh bien lisez M. et Mme Delépine :
http://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/autopsie-dun-confinement-aveugle-temoignage-dune-periode
@ AYIN BEOTHY
« À part ça, vous semblez n’avoir lu que le titre de l’article de RL, pas son contenu : sinon vous auriez été empêché d’aligner de telles âneries sur Raoult. »
Ah… vous savez, ça cogne dur sur ce blog depuis quelque temps sur Raoult… Laissez-moi vous présenter les protagonistes en cette demeure ; demeure qui offre au pèlerin de l’Internet un refuge appréciable face au tumulte de nos mornes existences…
D’un côté, Isabelle, breizmabro et Mary Preud’homme, prêtresses vaudous de l’hydroxychloroquine, et de l’autre, Robert Marchenoir et votre serviteur, apologue d’une démarche scientifique décomplexée et parfois un peu agressive, j’en conviens. N’hésitez pas à prendre connaissance de la teneur des « débats », si on peut appeler cela ainsi.
@ F68.10
S’il y a bien UNE personne qu’on peut créditer d’une « démarche scientifique décomplexée », c’est Raoult.
Alors épargnez-moi ces compliments que vous savez si bien vous adresser…
@ AYIN BEOTHY
« S’il y a bien UNE personne qu’on peut créditer d’une « démarche scientifique décomplexée », c’est Raoult. »
J’ai comme un doute…
« Alors épargnez-moi ces compliments que vous savez si bien vous adresser… »
J’ai plutôt tendance à me déprécier et me déshumaniser sur ce blog. Mais peut-être aurez-vous l’occasion de vous en rendre compte.
@ F68.10
J’ai commencé hier à lire « Dépasser Darwin » de Didier Raoult, j’en suis à la moitié, j’apprends une foule de choses, il y a de quoi se sentir tout petit devant la masse de travail sous-entendue.
À part ça, regardez cette vidéo pour vous rendre compte des forces de l’ennemi véritable auquel les gens civilisés s’opposent : https://www.youtube.com/watch?v=SEMWLibvGDc
Celle-ci est parfaite :
https://www.youtube.com/watch?v=58MmE1Tir2k
@ AYIN BEOTHY
Au sujet de votre première vidéo, je vous suggère de prendre beaucoup de recul sur ce type d’argumentaire.
Au sujet de votre seconde vidéo, je suis au regret de vous annoncer que je me considère plutôt comme un pote à Soros. Nous avons des maîtres à penser communs, Soros et moi.
Et malheureusement, pour des raisons bien différentes de mes opinions politiques qui ont tendance à me rapprocher de Soros, il se trouve que je suis d’une misanthropie absolument carabinée et que je me considère un peu trop souvent comme pro-virus. Mais je crois que c’est plutôt parce que je suis surtout anti-médecine que j’ai pris le parti de soutenir de temps en temps le coronavirus. Une forme de petite vengeance personnelle que de me satisfaire de voir les hôpitaux surchargés…
@ AYIN BEOTHY | 09 octobre 2020 à 02:17
Êtes-vous la fille d’Étienne Béothy ? Belle tombe à Montrouge.
@ Savonarole
« Êtes-vous la fille d’Étienne Béothy ? Belle tombe à Montrouge »
Je suis effectivement la fille d’Etienne Beothy. J’ai même une soeur aînée, toujours en bonne santé à ma connaissance. La tombe de notre père, à la demande de notre mère, j’en ai fourni les mensurations détaillées à l’entreprise fabricante.
Depuis sa création dans les années 70, vous êtes le premier à l’évoquer sur les réseaux sociaux, merci !
« La série d’or » édition Chanth de 1932, où mon père a publié sa pensée à ce sujet, une pensée qui avait mûri depuis 1917 (année où, lieutenant de l’armée hongroise, il fut mis à terre par un obus et passa des mois au lit à réfléchir), fut un de mes livres d’enfant.
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@ F68.10
Soros a trahi toutes les pensées où il a pu pêcher des arguments pour sa folie. Une folie d’extermination, de gangrène et d’ordure, dont son visage est le portrait exact. Si vous vous sentez bien dans cette poubelle, vous n’avez aucune excuse.
@ F68.10
J’ai oublié tout à l’heure de vous indiquer la suite des infos sur le COVID-19, publiée sur AGORA TVNEWS : https://www.youtube.com/watch?v=_o-oldRYvBc
Tout le recul du monde me démontre une seule chose :
comme disait Michel Dogna, Hitler était un « petit joueur » comparé à Soros, Bill Gates et autres… qui veulent une dépopulation radicale – passer de 7 à 2 milliards d’individus, le plus vite possible, famines et virus aidant.
Votre déshumanisation vous associe à ce projet.
Je ne suis pas sûre que vous le fassiez en connaissance de cause.
Peu importe : la poubelle est le bon choix.
@ AYIN BEOTHY
« Soros a trahi toutes les pensées où il a pu pêcher des arguments pour sa folie. »
Non. Il les applique assez fidèlement. Ce qui ne signifie aucunement qu’il ne soit pas critiquable. Sur la thématique de l’immigration, le discours délivré par les Open Society Foundations est simpliste. C’est malheureusement nécessaire pour qu’elles atteignent une masse critique ; et, de plus, je pense que la famille Soros y tient vraiment. Mais le travail de fond qu’il fait est assez admirable. Evidemment, les Etats aiment assez peu qu’on empiète sur leurs plates-bandes.
« Une folie d’extermination, de gangrène et d’ordure, dont son visage est le portrait exact. »
Je ne vois pas pourquoi vous dites cela. Même son côté financier me plaît. J’ai tendance à être assez d’accord avec ses discours.
« Si vous vous sentez bien dans cette poubelle, vous n’avez aucune excuse. »
Ouais. Je m’y sens plutôt bien. Et en plus, si jamais vous me lisez sur ce blog, il se trouve que plus je trouve les idées caca, plus j’aime taper dedans. Chacun ses petits plaisirs.
Entièrement d’accord avec le billet de M. Bilger.
Bravo Philippe, beaucoup de courage et de lucidité dans vos propos !
« D’un côté, Isabelle, breizmabro et Mary Preud’homme, prêtresses vaudous de l’hydroxychloroquine »
Rédigé par : F68.10 | 05 octobre 2020 à 03:09
Il est shooté à quoi cet énergumène pour écrire autant de conne**** à 3 heures du mat ?
@ Mary Preud’homme
« Il est shooté à quoi cet énergumène pour écrire autant de conne**** à 3 heures du mat ? »
Café. Et du boulot sur un sujet précis qui me tient éveillé. En plus de mes insomnies et de quelques autres broutilles.
Il faut aussi préciser que la défense de l’hydroxychloroquine par ces trois dames sur ce blog fut assez farouche.
N’hésitez pas à me faire part de vos incompréhensions, s’il faut que je les dissipe.
Bonjour,
Chacun est libre de ses opinions, mais on ne peut pas mettre en doute ce constat qui est égrené de façon factuelle.
Les faits sont les faits, après, tout est une question malheureusement de nombre.