La grande mode d’aujourd’hui est de prétendre nous enseigner la vie. Par exemple en nous disant comment trouver le bonheur. Ce sont des arnaques souvent diffusées durant les vacances d’été, quand on est tout prêt à croire que nous déposséder de notre existence nous conduira au salut terrestre.
Ce n’est pas la même chose que de favoriser des publications analysant des vertus, des défauts ou des états. Michel Erman a écrit notamment sur la colère, l’amitié et la liberté. Je ne garantis pas qu’on échappera ainsi à la première, qu’on sera doué pour la deuxième et qu’on usera de la dernière. Mais la théorisation sur l’humanité et ses mille facettes peut éclairer notre pratique d’homme.
C’est sans doute beaucoup moins vrai pour la qualité du courage dont je ne cesse de répéter qu’elle est tragiquement – j’ose cet adverbe – absente de beaucoup de personnalités et de comportements publics qui devraient la privilégier mais la fuient parce que trop dure à assumer.
Ainsi, quand je lis un dialogue entre Isabelle Adjani et la philosophe Cynthia Fleury sur le courage, je ne peux m’empêcher de goûter les belles banalités des échanges mais en m’arrêtant sur cette question brutale : en parler certes mais comment en avoir ? (Le Monde).
On ne peut qu’approuver Adjani quand elle énonce qu' »être un objet de désir ne doit pas conduire les actrices à subir ». Mais cette prescription abstraite ne fournit aucune piste pour celles qui seront confrontées à des situations concrètes où leur aptitude au courage serait mise à l’épreuve.
Le paradoxe est qu’en effet, si on glose beaucoup sur le courage, il est rarement incarné.
La moindre des choses devrait être d’abord d’établir une nomenclature des courages et de ne pas tous les mettre, par une réflexion limitée parce que générale, dans le même sac. Par exemple, quoi de commun entre le courage des mots et celui des gestes, de la résistance à la violence et des activités militaires ?
Le premier, je l’ai toujours considéré comme facile parce que même dans une époque qui s’émeut de tout et de rien, il ne fait courir aucun risque ou alors une judiciarisation sans réel danger. Le second, au contraire, fait mal et impose de la part de ceux qui y sont confrontés un tout autre registre : les coups, la souffrance, la mort possible.
Impossible aussi de ne pas approfondir la notion de courage sans s’interroger sur la nature de l’opposition que celui-ci aurait à surmonter. Il y a des conflits intellectuels et médiatiques par exemple qui laissent le protagoniste dans une solitude assumée contre une multitude hostile à son encontre. Eric Zemmour a plus de courage qu’un Aphatie qui confortablement le traite de « cochon de la pensée ».
Dans le courage de l’extraordinaire magistrat italien Giovanni Falcone, il y a cette certitude que l’opposition qu’il affronte gagnera. Courage suprême d’un homme qui ne peut même pas se dire qu’il va ainsi remporter la victoire mais juste espérer que grâce à lui une pierre sera ajoutée contre le Mal.
Derrière cette conceptualisation du courage – on ne sait toujours pas comment en avoir -, probablement cherche-t-on à éviter ce constat simple mais déprimant que le courage, on l’a ou on ne l’a pas, qu’on succombe à la lâcheté ou qu’on la domine, qu’on accepte une image de soi néantisée ou que par honneur on la récuse. Tout réside dans l’être et surgit de lui.
Cette femme, cet homme qui respirent le même air auront pourtant une attitude différente. Là où l’un perdra pied en se persuadant que se taire ou ne pas lutter aura été la sage solution, l’autre n’aura pas cédé d’un pouce face à la tentation de la faiblesse. Ou l’inverse.
Le courage au fond est une ardente obligation. Comment en avoir ? S’adresser un ordre impératif, une injonction de chaque seconde et s’obéir sans frémir ni discuter.
Le courage c’est ce qu’on DOIT avoir.
« Le courage au fond est une ardente obligation. Comment en avoir ? S’adresser un ordre impératif, une injonction de chaque seconde et s’obéir sans frémir ni discuter. »
*Comment en avoir ?*
Peut être en ne se posant pas la question en affrontant la difficulté à surmonter ou en prenant la décision qui s’impose !
Le courage est instinctif, spontané, fréquemment irréfléchi et se découvre souvent après l’avoir eu !
Les obsessions d’Adjani et « son objet de désir » sont bien l’illustration du dérisoire. Pas de quoi philosopher là-dessus puisqu’elle « ne fournit aucune piste »…
Tout comme d’autres, elle a été protégée dans le milieu du cinéma pendant un certain nombre d’années.
Le courage ? En ces moments peut-on savoir ce que c’est ?
En avoir ou pas.
Quelle belle idée cher Philippe que de faire disserter doctement vos commentateurs, dont 80 % se planquent derrière un pseudo, sur le courage.
Bonjour monsieur Bilger.
« Le paradoxe est qu’en effet, si on glose beaucoup sur le courage, il est rarement incarné. »
Le courage ne se manifeste-t-il pas aussi, constamment, dans les actes les plus simples, tel le courage de très nombreux parents qui luttent, se sacrifient chaque jour, dans un contexte économique très difficile, imprévisible, pour faire face à toutes les difficultés que rencontre leur famille et tenter de la protéger !
C’est sans doute beaucoup moins vrai pour la qualité du courage dont je ne cesse de répéter qu’elle est tragiquement – j’ose cet adverbe – absente de beaucoup de personnalités et de comportements publics qui devraient la privilégier mais la fuient parce que trop dure à assumer.
C’est hélas trop souvent le cas dans le monde de la politique et dans son environnement administratif où la compétence – ou du moins la compétence supposée – prime tout le reste alors qu’en fait un grand nombre de décisions relèvent avant tout du simple courage, à commencer par celui de ne pas craindre le qu’en dira-t-on.
Courir au-devant du danger peut être signe de courage ou signe d’inconscience.
S’abstenir d’agir peut aussi être signe de courage ou signe d’inconscience.
Selon les circonstances.
Le courage n’est-il pas la vertu par excellence de celui qui, en pensée, parole et action, préfère le bien au mal ?…
Mais comment être sûr jamais d’avoir fait le bon choix ?
Reste en effet le devoir d’essayer.
L’homme d’honneur ne se pose pas la question du courage et son éducation lui a appris les limites de la témérité.
L’honneur d’une femme est dans celui de son époux et la gloire de ses enfants.
Les actrices qui excitent les désirs subissent les conséquences de ce qu’elles cherchent.
Il fut un temps heureux où ce genre de dame était excommuniée – c’est-à-dire exclue du champ spirituel de la société – avant même de montrer ses fesses.
Ces propos seront d’autant plus facilement jugés décalés qu’ils ne sont pas simples d’accès, mais c’est notre civilisation qui est à recaler, ainsi que nous le dit notoirement l’Islam. Il y a du travail, parce qu’il faut remonter au plus loin à saint Louis.
Le courage est une ardente obligation. C’est un peu court.
La triste vérité est que la lâcheté est ancrée chez moi au nom de valeurs qui ne sont pas nécessairement odieuses ou viles : préserver ma vie, protéger mon avenir, conserver mes biens. Alors pourquoi faire acte de courage en mettant en danger ces quelques valeurs ?
Guy Sajer, dans son roman « Le soldat oublié », décrit un soldat alsacien enrôlé dans la Wehrmacht qui se distingue à plusieurs reprises comme un héros hors du commun, allant rechercher et sauver des camarades pris au piège, blessés, dans des conditions particulièrement difficiles ; il n’est ni nazi, ni même un partisan d’une quelconque grande Allemagne ; tout simplement il obéit à un devoir de solidarité envers les camarades de son unité.
Dans un livre remarquable, « Verdun », l’historien Paul Jankowski tente d’analyser les motivations qui font sortir les poilus (et les Allemands en face) de leurs tranchées au moment des attaques. Là encore, dans un courage moins héroïsé, les soldats ne peuvent que se résigner à la solidarité envers les membres de leur unité, leur section, au mieux leur compagnie et également à leur fierté vis-à-vis de leur famille ; dans l’enfer de la guerre à ce moment, les devoirs envers l’Armée, la Nation se sont estompés, restent des devoirs élémentaires et d’autant plus forts.
Je ne crois pas avilir le courage en le détachant d’idéologies. Il me semble, au contraire, rassurant de penser qu’au moment nécessaire, il me sera peut-être plus accessible de me soumettre à des devoirs de solidarité envers des êtres proches.
Le courage, voilà une vertu qui exerce toujours admiration, voire fascination, parce que nous l’associons la plupart du temps à des actes exceptionnels, qui sortent en quelque sorte de l’ordinaire.
Mais fort heureusement, cette vertu se manifeste aussi dans la vie courante, au quotidien, de manière alors beaucoup plus discrète, sans pour autant qu’elle en soit dévalorisée.
Le héros est bien évidemment courageux, qui paye parfois de sa vie son action, mais l’homme ordinaire, par son comportement, par la conduite de ses actes, par le sens qu’il donne à sa vie, sait aussi dans son quotidien se montrer courageux.
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@ Denis Monod-Broca 18/12 09:39
« Le courage n’est-il pas la vertu par excellence de celui qui, en pensée, parole et action, préfère le bien au mal ? »
Voltaire a peut-être apporté par anticipation une réponse à votre interrogation qui affirmait : « Le courage n’est pas une vertu mais une qualité commune aux scélérats et aux grands hommes » !
Courage et morale sont toujours liés dans notre esprit. Un acte courageux ne peut qu’être un acte de bien.
Mais le scélérat, le salaud, n’accomplit-il pas des actes qui demandent parfois du courage ? La question est posée.
Le courage c’est accepter de mener un combat que l’on croit juste malgré les difficultés que l’on rencontre face à une opposition qui ne pense qu’à débarquer l’équipe en place, alors qu’elle est incapable d’offrir une solution alternative viable et face à des syndicats qui s’arc-boutent sur leurs avantages acquis en période de forte croissance et qui ne sont plus acceptables aujourd’hui.
Le président, le Premier ministre ont du courage et d’ailleurs ils en sont récompensés car les sondages indiquent que malgré une année de manifestation de Gilets jaunes et treize jours de grève dure, leur cote de popularité se maintient.
La grève du 17 décembre a manifestement été un échec et ce ne sont pas les chiffres bidon de la CGT qui y changeront quoi que ce soit.
Pendant trop longtemps les gouvernements précédents ont fait preuve de faiblesse face à certains syndicats irresponsables, dont les arguments ne sont que chantage et intimidation avec en prime une population prise en otage.
Les jours qui vont venir seront déterminants. Ils nous diront si la détermination affichée par le Premier ministre portera ses fruits et surtout si les partenaires sociaux sauront prendre leurs responsabilités en évitant au pays de sombrer dans le chaos.
Le courage c’est Cambronne à Waterloo.
Parmi les êtres courageux dans la pensée et dans l’action je vois en France un homme courageux entre tous: Dieudonné.
Etre capable alors qu’il était un des rares à s’être affronté à l’extrême droite à Dreux de comprendre que la vraie extrême droite à l’oeuvre en France était ces associations prétendument anti-haine qui défendent la discrimination et la colonisation en Palestine.
Son sketch sur les colons israéliens l’a mis au ban de la société française apeurée et il a maintenu le cap.
Bravo et merci.
@ Savonarole
Sauf que Cambronne à Waterloo, c’est tout pipeau.
Cher Philippe,
Vous avez le courage de ne pas cacher votre visage, de dire votre prénom, votre nom, votre profession, votre ville, votre mail. Et de dire, en parlant et en écrivant, toutes vos pensées.
Certains font comme vous. D’autres n’ont pas votre courage.
@ Marc GHINSBERG | 18 décembre 2019 à 08:17
Qui peut me prouver que Marc GHINSBERG n’est pas un pseudonyme, voire un hétéronyme ?… Cela n’a que peu à voir avec le courage.
Bien que je comprenne la position anti-pseudos de Patrice Charoulet, un prénom et un patronyme signant un commentaire ici, ne prouvent en rien l’identité du signataire ! Et pourquoi parler ainsi de courage alors qu’entre le scripteur et sa « cible » il y a des satellites, des serveurs électroniques, etc.
On estime que l’écrivain portugais Fernando Pessoa a utilisé jusqu’à 70 hétéronymes (ou semi-hétéronymes) dans son oeuvre. Il faisait ainsi naître d’autres écrivains qui rédigeaient dans un tout autre style que le sien propre. Son oeuvre maîtresse « O livro do Desassossego » a été écrit par l’un de ses (semi) hétéronymes Bernardo Soares. Pessoa manquait-il de courage ? Je ne le crois pas.
@ Claude Luçon | 18 décembre 2019 à 00:56
« Le courage est instinctif, spontané, fréquemment irréfléchi et se découvre souvent après l’avoir eu ! »
Sans doute ; mais il faut avoir, je le crois, des prédispositions…
« Parler du courage ou en avoir »
Vous avez la phrase juste cher P. Bilger : « Le courage est une ardente obligation ».
Le courage est à la fois un état d’esprit et un instinct.
L’instinct ne s’acquiert pas. Il est dans nos chromosomes. L’état d’esprit peut s’acquérir.
Le courage est une des composantes de la partie virile de notre personnalité. Que l’on soit homme ou femme. Cette composante est en partie innée, mais se cultive.
Elle se cultive dans la présence du père, dans l’exemple familial, dans les lectures, dans l’action, dans le caractère, dans l’engagement très tôt (dès l’enfance)…
La féminisation de notre société a tué, en partie, la virilité masculine depuis une cinquantaine d’années et avec elle le courage. Nous en voyons les effets tous les jours partout : dans la rue, dans les associations, dans la politique, dans les entreprises, dans les familles, dans la publicité… et… au plus haut niveau de l’Etat.
Votre billet sur le courage me fait revenir en mémoire un instant heureux : j’ai eu le premier prix de français en 3ème sur ce thème : le courage. J’avais imaginé une histoire tragique : mon père m’avait offert un couteau avec gravé sur le manche « sois brave, on ne meurt qu’une fois » et j’avais développé ensuite une histoire sinistre de drame familial.
Ce qui m’avait valu, en plus de ce prix, d’être convoqué chez le Père Supérieur, tout doucereux (ce qui n’était pas son habitude) qui m’avait dit : « dites-moi vraiment, votre père n’est pas décédé bien sûr ? »
Nostalgie !
Cordialement.
@ Michel Deluré
« Le courage n’est pas une vertu mais une qualité commune aux scélérats et aux grands hommes » !
Merci pour cette définition de Voltaire.
À la réflexion, et toute modestie bue, je persiste à penser que ma définition sous forme de question est meilleure que la définition sans réplique de Voltaire.
Les scélérats et les grands hommes peuvent faire preuve de courage comme ils peuvent faire preuve de couardise. Comme tout un chacun.
Le courage, c’est l’énergie de tenir ferme face au danger, une maîtrise de soi plus importante que la classe, mais les deux sont souveraineté face au monde. Cependant, on peut s’entraîner au courage en se confrontant au danger, on ne peut faire effort pour avoir de la classe.
Cette dernière qui est comme l’esprit, de l’ordre de la grâce, on en a ou pas, et essayer d’y parvenir ne fait que montrer combien on en est, probablement à jamais, dépourvu.
Avoir du courage ne signifie pas faire quelque chose de bien, ainsi, s’il faut du courage pour être juste, le courage n’y suffit pas.
« Rien sans courage », tiens, on pourrait en faire un adage, mais « le courage n’est pas tout », aussi, par exemple un stratège face à un guerrier.
Comme je le disais, je pense que le courage peut s’acquérir par exercice. Se perdre, pas exactement par mollesse, car des gens abîmés dans l’inaction peuvent fort bien réagir…
…se perdre par inattention, quand on croit posséder ce qui ne reste que parce qu’on le retient. Il ne s’agit pas de se crisper sur les rênes, mais de ne pas les lâcher.
Il en va d’ailleurs de même pour l’amour, il faut renouveler en soi son amour de l’autre et lui en donner des preuves, il en va de même du talent, enfin, j’imagine, si on en a, sinon, est-ce inspiration, transpiration ? Mais les deux, comme l’amour et le courage, et je le prouve, et, et que de et, j’attends les critiques qui vont dire que ce sont des hic au lieu de penser au fond de l’affaire.
Bien, l’inspiration, la concentration, deux sœurs, sont une brusque motivation intense pour quelque objet.
Il en va de même pour l’amour, soit brusquement, coup de foudre, soit lente et irrésistible montée en puissance, et ainsi, on peut se retrouver dire qu’on aime en se rendant compte qu’on a aimé sans le savoir longtemps, et qu’il a aussi fallu un temps de latence pour le dire. Comme il n’y a pas de chaînon manquant pour l’ancêtre de l’Homme, dans ce cas, comme dans celui de l’émergence d’un intérêt par exemple artistique, ou certains cas de montée en puissance du courage, il n’y a pas le néant, et brusquement, la lumière. Si on comparait cela à de l’eau, parfois elle descend d’une source et fait fleuve, parfois elle s’abat sur les côtes en tempête.
Lente ou courte, il y a une montée en puissance.
Pour le courage, l’amour ou les capacités de concentration ou la maîtrise d’un apprentissage, disons, la prise en main d’un aspect du réel.
J’oubliais, comprendre quelque chose est un peu du même ordre quand il s’agit d’autre chose de ce qu’on fait sans même sans rendre compte tant on a affaire à de l’évidence, disons qu’il s’agit d’une perception améliorée du monde.
Le courage et les capacités de concentration ou plus généralement de perception améliorée du monde donne plus de maîtrise.
L’amour inspire, mais rend aussi dépendant, je l’assimile donc à une drogue. Alors qu’on s’en serve pour s’améliorer est possible, mais pas certain, tandis que le courage et une meilleure perception du sens, si.
Pourquoi ce qui peut améliorer, mais aussi démettre de soi, voir les femmes ou hommes battus et les « ne me quitte pas », est-il, des trois, le plus valorisé ? D’abord, c’est aujourd’hui et ici, les Anciens préféraient le courage, les bouddhistes et taoïstes et confucéens font dans…
…pas envie d’en parler. Trop long, et vous n’avez qu’à demander à qui de droit.
Bref, dans notre société, on ne se rappelle du courage qu’à force de percevoir notre lâcheté.
Cela montre à quel point nous en sommes.
Pourquoi ? Nous avons été occupés, délivrés par les Alliés, et jamais nous ne nous sommes attelés à la tâche d’essayer d’être plus courageux en reconnaissant le fait, et je ne sais pas ?
En étudiant les courageux Anglo-Saxons pour voir ce que nous pourrions imiter pour avoir leur courage.
Alors, moi, je dirais qu’il faut imiter leur amour de la liberté, donc transférer beaucoup et le meilleur de leur culture.
Et leur amour de la vérité qui y est lié. Alors, travaux pratiques, commençons par reconnaître ceci, il faut toujours aller aux sources :
https://www.cultura.com/vendee-du-genocide-au-memoricide-9782204095808.html
Le courage, comme tant d’autres choses, demande bien des efforts, et en plus, cet investissement pas qu’on deviendra forcément courageux ou qu’on le restera ce qui est amer. Enfin, on aura pu acquérir quelques vérités : cela ne peut pas être pire que de collectionner des montres.
@ Antoine Marquet | 18 décembre 2019 à 12:49
Oui sans aucun doute, dont la témérité, mais souvent les gens n’en sont pas toujours conscients !
Ils n’en deviennent conscients qu’après une première expérience.
Vous avez d’autant plus raison qu’il existe une autre catégorie : la lâcheté, hélas bien plus commune que le courage.
Le mot d’ordre à la mode est : PROSTERNONS-NOUS !
Aphatie, une belle gueule de flic médiatique… Les flics de la pensée pullulent dans les médias, ça déborde, ça ruisselle… Cela doit être une autre forme de ruissellement. Le ruissellement vers le haut (et non vers le bas), le ruissellement des journalistes ou chroniqueurs aux ordres de la pensée unique imposée etc., etc. Ils se prosternent.
Décidément, nous vivons une époque où beaucoup rampent et obéissent sans broncher. Ils se prosternent devant la pensée macroniste, ils se prosternent devant les islamistes… C’est devenu une espèce de manie irrépressible (un peu comme à la mosquée où il faut se prosterner et ne pas contrarier la religion, interdit de toucher à une simple virgule…).
Pour trouver une personne courageuse qui osera penser différemment, il faut vraiment trier le contenu de tous les médias… Exercice de plus en plus difficile à réaliser !
« Il est donc urgent de les dénoncer ; plus que jamais, il importe de les montrer en pleine lumière, de démasquer leurs impostures, de faire savoir de quelles exactions ils se sont rendu complices.
Surtout, il faut de toute urgence envoyer paître ces flics médiatiques et leurs intimidations ridicules ; opposer une indifférence de fer à leurs menaces et à leurs chantages. Se dépêtrer de leurs grilles d’analyse obsolètes et de leurs débats retardataires ; cesser de regarder le monde avec les lunettes médiatiques. Remettre en question le langage des perroquets des médias, systématiquement et inlassablement. Refuser d’utiliser leurs concepts morts pour décrire le monde ; s’élever au-dessus des enjeux politiques et médiatiques pour enfin parler du réel. C’est un effort permanent, mais c’est la seule façon d’espérer accéder à une compréhension lucide de l’époque. La vérité, et la liberté, sont à ce prix. » Nicolas L.
http://les-minuscules.blogspot.com/2014/09/mediacratie.html
Je ne connais pas Nicolas L. mais cet extrait me semble intéressant…
@ Savonarole | 18 décembre 2019 à 11:35
« Le courage c’est Cambronne à Waterloo. »
Non, le vrai courage c’est de traverser le nord de Paris seul à pied de la Porte de la Chapelle à Gare du Nord à travers des troupeaux de migrants armés de couteaux shootés camés déséquilibrés.
Prendre le GR islamiste de la Porte de la Chapelle jusqu’au Saindenikistan relève de la folie suicidaire plus que du courage.
Monsieur Bilger, les questions que soulève votre billet relèvent autant de l’intime que des rapports sociaux quant à la réalité du courage, son intention et son affichage. Quelques réponses sur le courage dans des temps exceptionnels où la vie est en jeu se trouvent notamment dans le film, certes un peu didactique mais bien interprété, « L’armée des ombres », que tout le monde a certainement vu ici.
On peut sourire en revanche de constater, au gré des commentaires, l’abondance de ceux qui ont décidé de greffer un sexe, évidemment masculin, à la notion de courage que d’aucuns décrivent comme une vertu alors qu’elle me semble une disposition de l’esprit, évoluant sans doute en fonction des circonstances et certainement pas reliée au poil au menton ou à la présence de testicules malgré l’expression populaire.
@ Xavier NEBOUT de 12:24
« Sauf que Cambronne à Waterloo, c’est tout pipeau »
C’est vrai, c’est pipeau, comme l’Immaculée conception, marcher sur l’eau, et Moïse et son barrage hydraulique.
Général François Lecointre, chef d’Etat-Major des armées
De quoi se mêle ce militaire ?
En inspection sur le théâtre des opérations Barkhane, ce chef d’Etat-Major s’est fendu d’une déclaration surprenante :
« Nous sommes ici pour assurer notre sécurité pour les trente ans à venir, car si nous laissons le chaos s’installer, les Etats sahéliens vont s’effondrer sur eux-mêmes, laisser la place à l’Etat islamique, ce qui provoquera une pression migratoire, avec tous les risques populistes que cela entraînera ».
Ainsi donc ce n’est pas tant le risque migratoire que notre armée combattrait en Afrique mais – in fine – l’empêchement de risques populistes en Europe.
On savait que ce général devait sa nomination à sa très belle carrière d’antichambres, voilà une preuve supplémentaire. A quand une nouvelle médaille de récompense pour compléter un stock déjà conséquent ? Emmanuel Macron y songerait.
Cordialement.
J’aurais pu accabler le lectorat d’ici de cent citations sur le courage notées en cinquante ans. Je m’en suis dispensé. Une petite, peut-être, seulement :
« Le courage le plus rare est celui de penser. » (Alain)
On ne s’attribue pas à soi-même telle qualité ou vertu, courage ou autre. Etant donné que ce sont d’abord (sinon essentiellement) ceux de votre entourage qui vous connaissent bien qui peuvent vous les reconnaître ou pas…
@ sylvain 18 décembre 14:54
Pas faux.
En même temps, comme dit Manu, je ne vois pas bien Adjani porte-drapeau d’une mère courage, sauf évidemment parce qu’elle aurait dit un jour « être un objet de désir ne doit pas conduire les actrices à subir ». Wouaaaah quand même ! quel courage 😉
« …si on glose beaucoup sur le courage, il est rarement incarné » (Ph. Bilger)
Ben si, perso j’en connais beaucoup dans mon Finistère (fin de la terre) qui prennent la mer pour porter secours à des voileux en détresse ou pour porter assistance dans des creux de QUINZE mètres, bénévolement (sans jetons de présence ;)) à des marins de tankers qui dérivent dans le rail d’Ouessant, chargé à bloc de pétrole dans leur soute, qui pourrait s’éparpiller sur les côtes.
Mais quelle horreur ! dirait Élisabeth Borne.
Qui remercie ces gens ? Personne. Pas même Greta Thunberg !!
Pourtant grâce à eux les super-écolos de nos gouvernements successifs n’ont pas eu à déplorer d’autres Amoco Cadiz qui auraient pu polluer leur ministère.
Le courage, le vrai, je l’ai vu et, accessoirement, photographié.
Le courage ce n’est pas la petite Greta, vêtue de PLASTIQUE jaune*, qui voyage sur (pour la photo) un bateau affrété spécialement pour elle.
Des fois, chez Jacky, certains disent « la prochaine fois on n’ira pas ». Mais ils y retournent. Au péril de leur vie (faut vraiment être c*n).
*Les marins ont navigué très longtemps avec des cabans croisés, en drap, imperméables, avec poches ventrales parce que les mains sont plus au chaud sur le ventre que le long des cuisses, élémentaire mon cher Watson 😉 et casquettes à visière ad hoc.
Du coup on peut dire que c’était plus écolo que le plastique. Non ?
En même temps, comme dit l’autre, Greta dans un caban ça fait pas LA photo people.
« Parler du courage ou en avoir ? »
Ecouter la musique ou chanter ?
@ boureau
Drôle de propos du CETA en effet.
L’ennemi ne serait donc pas tant le djihadisme que le populisme.
La politique, autre façon de faire la guerre (civile).
Tout un programme !
On a bien envie de lui rétorquer : « Nous ne sommes pas dans le même camp, Monsieur ».
Cher Philippe,
Mais oui, cher Philippe, le courage c’est d’utiliser « le droit comme une arme ».
C’est de condamner à mort les serviteurs de la République, c’est de tirer sur les ambulances, c’est de laisser crever les élus de droite, de les empêcher de se représenter et surtout de faire un bel exemple, une exception sur un beau couple de France.
Il faut surtout qu’une partie de la justice gonfle sa haine politique, jouisse de la destruction volontaire de la République en s’attaquant à ses serviteurs et représentants.
Au WC l’apaisement, l’humain et que la paresse triomphe.
françoise et karell Semtob
« Le dossier de Jean-Paul Delevoye est désormais dans les mains de la justice: la Haute autorité pour la transparence a saisi mercredi le procureur pour les « omissions » en « nombre » de l’ex-« Monsieur retraites », deux jours après son départ du gouvernement. »
https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/le-dossier-delevoye-et-ses-omissions-transmis-a-la-justice_2111779.html
Et Agnès Buzyn lors de la passation de poste avec son remplaçant a parlé de « courage »… Je ne sais pas s’ils se rendent compte et lui J-P Delevoye de continuer de gratter pour une émanation d’assureurs, ce monde est fou.
Courage ! Nous en sortirons un jour, un de plus, pas un pour racheter les autres.
@ Xavier NEBOUT | 18 décembre 2019 à 10:02
« L’honneur d’une femme est dans celui de son époux et la gloire de ses enfants. »
Vous ne variez jamais, vous, allez, une simple variante :
« L’honneur d’un homme est dans celui de son épouse et la gloire de leurs enfants… portés par ELLE. »
Quant au courage, vaste programme… Parler du courage ou en avoir ?
A qui appartient-il de dire qui en a ou n’en a pas ? Et dans quelles conditions ?
Juste histoire de lancer un débat qui va occuper ce blog, peut-être : un volontaire de la LVF (Légion des volontaires français) en 1941 était-il courageux ou non ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gion_des_volontaires_fran%C3%A7ais_contre_le_bolchevisme
Vous avez 24 heures pour rendre vos copies (je sais, certains pisse-copie du blog vont s’engouffrer dans ce délai !!)
C’est insupportable, parfois il vaut mieux se taire, décidément elle n’en loupe pas une :
https://goopics.net/i/4jdRj
Je pense qu’ils ne se rendent pas compte de la finesse du pays dans lequel ils sont, et donc pataugent avec des poncifs comme si de rien n’était, enfilant des perles sans culture, la bêtise en plus, le silence est d’or et cela depuis la nuit des temps.
C’est une insulte à l’intelligence des citoyens, à leur lucidité.
@ Achille
Baromètre Ipsos-« Le Point » : l’exécutif paie les blocages
Avec les grèves contre la réforme des retraites, la popularité d’Emmanuel Macron et d’Édouard Philippe chute, mais les ministres résistent. Pour combien de temps ? Par Jérôme Cordelier
https://www.lepoint.fr/politique/barometre-ipsos-le-point-l-executif-paie-les-blocages-des-greves-18-12-2019-2353763_20.php
Alerte rouge ! Comme on pouvait s’en douter, les grèves ont un impact direct sur la popularité des deux têtes de l’exécutif, telle qu’elle a été mesurée par Ipsos pour Le Point le week-end du 14-15 décembre. Le président de la République et le Premier ministre perdent chacun 4 % d’opinions favorables – et 7 et 6 % depuis septembre –, progressant d’autant chez ceux qui leur sont défavorables. La baisse est marquée autant chez les actifs que chez les retraités. Plus préoccupant, elle touche des populations qui sont, naturellement, proches de l’exécutif.
On peut avoir du courage à certains moments et en manquer à d’autres.
On peut avoir du courage pour certaines choses et en manquer pour d’autres.
Chaque personne courageuse inspire des dizaines, de centaines, des milliers d’autres. Merci à elles (et à vous en passant cher Philippe Bilger).
J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour les gens faisant preuve de courage, moral ou physique. Il faut tendre vers le courage et chacun fait comme il peut.
A l’inverse, j’ai le plus grand mépris pour les planqués donneurs de leçons.
@ Patrice Charoulet | 18 décembre 2019 à 12:34
Rendre hommage à notre hôte dont on connaît le nom et l’adresse, n’est-ce pas une façon de vous mettre une fois de plus en avant M. Charoulet ? qui nous avez tant vanté le courage de ceux qui publient sous leur patronyme ?
Alors qu’il ne s’agit que d’un choix dans un sens ou dans l’autre, ne relevant que de la liberté de chacun.
Vous semblez ignorer en outre que certaines contraintes familiales obligent à une grande discrétion, telle ou telle personne parmi nos proches portant le même nom (conjoint, fils, fille ou collatéraux) ne souhaitant pas être directement ou indirectement « exposée », voire prise à partie en raison d’une proximité réelle ou supposée ?
@ Patrice Charoulet | 18 décembre 2019 à 12:34
@ Mary Preud’homme | 18 décembre 2019 à 22:57
Serions-nous tous sur ce blog s’il était préparé par un anonyme ?
Le vrai courage, Philippe l’avait par son travail de magistrat !
Il faut un immense courage pour demander la condamnation d’un homme à vie, ou même moins, même si on le fait au nom de la loi.
Car, loi ou pas, en plus du courage il y a aussi là un problème de conscience !
Surtout pour un homme qui, en plus d’être un homme de loi, est aussi un homme de foi !
Combien d’entre nous auraient le courage de devoir décider du destin, du sort d’un autre ?
Avoir à trancher ce qui est juste entre le coupable et les proches de la victime, comme l’écrit Philippe, impose que « le courage c’est ce qu’on DOIT avoir » !
Dans ce billet il n’a pas posé ce problème par hasard je suppose, plutôt comme conséquence d’une longue expérience peut-être ?
@ Pierre Blanchard | 18 décembre 2019 à 21:06
« Juste histoire de lancer un débat qui va occuper ce blog, peut-être : un volontaire de la LVF (Légion des volontaires français) en 1941 était-il courageux ou non ? »
J’imagine par avance les débats enflammés que cela risque de susciter sur ce blog. Je conseillerai à tous les futurs contributeurs sur ce sujet la lecture préalable de l’ouvrage de Philippe Carrard : « Nous avons combattu pour Hitler «, éditions Armand Colin, 2011, préface de Henry Rousso. Bien que Suisse et enseignant aux USA, cet auteur ne prétend pas faire un étude historique de la LVF puis Waffen SS » Charlemagne ». Il analyse avec rigueur, minutie et objectivité trente-deux ouvrages, récits et mémoires, rédigés par des rescapés de ces unités.
Outre ses qualités intrinsèques, cet ouvrage à le mérite de mettre à bas certains mythes et légendes colportés par les survivants et leurs apologistes.
A chacun ses sources.
Popularité Macron
Ça monte, ça descend mais pour l’instant rien de dramatique.
@ Patrice Charoulet | 18 décembre 2019 à 18:18
« J’aurais pu accabler le lectorat d’ici de cent citations sur le courage notées en cinquante ans. Je m’en suis dispensé »
« Je m’en suis dispensé »
Magnifique preuve de courage ; on l’a échappé belle !
Est-ce que le point virgule est à sa place ? pas sûr…
En ce moment, Isabelle Adjani n’a pas besoin de ce lever tôt pour partir à six heures. L’un des rares bus passe vers 6h10, un morceau de ligne de métro ouvre tôt et sera fermé à l’heure où Adjani dormira encore.
Quand on dit que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, il convient de pondérer cette maxime.
Juste quelques mots d’une connaissance.
Ils m’avaient bien éclairée, il y a quelques années, alors que je m’apprêtais à traverser une période troublée et avec beaucoup d’incertitudes, d’inquiétudes, d’inconnues :
« Le courage, c’est de la peur avec de l’action. »
Encore les masques !
Assez peu solidairement, j’avais laissé tombé les miens, mais je vais venir en renfort à Mary Preud’homme que je remercie de rappeler à tous que la situation de chacun est différente de celle de ses voisins.
Que les gens sont méchants, on n’a pas pris quelques commentateurs pour dire qu’ils avaient du courage, mais une moitié pour les traiter de lâches !
On n’est pas dans la trêve des confiseurs, mais comme Charoulet n’aime ni le vin, ni tant de choses, il n’apprécie peut-être pas le sucre…
…alors on n’en aura pas.
Je ne m’en prends qu’à ceux qui attaquent injustement, mais en somme, à présent que c’est fait, revenons à encourageons plutôt que de mortifier même si c’est à très juste titre.
Je vais donc le faire à égalité de masque et de visage au vent, je présente même des photographies.
De longue date, il y a Catherine JACOB essayant de faire reconnaître ses théories, et ainsi, nous pouvons assister à la science en train de se faire…
…plus récemment, F68.10 luttant contre des abus médicaux auxquels sa famille et lui-même sont exposés, sans parler d’autres gens.
Rien n’est jamais parfait en ce bas monde, faire reconnaître ses idées auprès de ceux qui n’en veulent pas est un chemin de mortifications, lutter contre les abus expose au redoublement de ces derniers.
Si on veut faire reconnaître des idées et en être la source, il faut s’exposer, si on veut faire cesser des abus sur les siens ou sur soi, il peut, selon les endroits et les moments, les circonstances en un mot, être mieux de se masquer, avant, peut-être, au final, de s’exposer.
Si on s’expose avec ses idées, elles peuvent être dérobées et probablement déformées, plagiat, ce qui vous renvoie d’une certaine façon à l’anonymat, si on subit des abus, en luttant, on peut se voir arracher le masque par l’adversaire, ou le lui jeter au visage, car tout fait arme.
Ce qui compte chez les gens est leur combat.
Le non masque le fait pour la science et derrière cela une meilleure connaissance de l’être humain.
Le masque contre les abus que subissent certains humains et derrière cela, une meilleure connaissance de l’être humain, en tant que malade ou en tant qu’abuseur, individuel ou institutionnel.
Le ou les combats, et la personne, ne dépendent pas de leur masque ou non masque, il y a entre autres, pardon mais je sais que je ne ferai pas défiler tout le générique de ce blog.
Claude Luçon dit que tout ne va pas si mal, à mon avis parfois un peu trop optimiste, mais incite au courage, Lucile, par son équilibre, équilibre les autres, ce qui peut incliner à dominer ses peurs comme sa colère.
Qu’on soit d’accord ou non avec tout ce qu’ils disent, et en fait non, Robert Marchenoir et Elusen amènent certaines connaissances, l’un écrit souvent des pavés, cela peut m’arriver, l’autre abuse de point d’exclamation, moi de points de suspension.
Mary Preud’homme ne défend pas moins ardemment ses idées, dans un blog parlant souvent de Justice, de sécurité, il est intéressant que quelqu’un nous apporte le point de vue des forces de l’ordre.
Ses interventions sont moins désincarnées que d’autres puisqu’elle raconte, visage découvert, diverses péripéties de sa vie.
C’est le moment de signaler qu’il n’y a rien de trop théorique ou pratique, incarné ou désincarné, pour comprendre le monde.
Achille semble relativiser tout ce qui se dit sur le mode je passe par là, Wil faire irruption en prétendant que tout est vain.
Cela offre un contraste aux autres.
Les rugbymen nous apportent l’Ouest, les Bretons la Celtie, de l’air, du large et des homards, et pour qui se rappelle leur musique et Arthur, du rêve.
Ici, on échappe à Paris et au désert français.
D’ailleurs, les expatriés se rappellent à notre bon souvenir, et Savonarole que l’esprit français n’est pas mort.
Le courage, ce n’est certainement pas ce qui caractérise les leaders syndicaux de la CGT, à commencer par leur chef Philippe Martinez avec qui il est impossible de négocier, vu qu’il vient dans les réunions avec ses exigences et est incapable de faire la moindre concession permettant d’aboutir à un accord.
Ce type est un pantin incapable de maîtriser la base de ses militants qui, eux, sont carrément des fous furieux.
Transformer le métro en fourgon à bestiaux, couper l’électricité au risque de mettre en cause la sécurité des citoyens, sans parler des pertes colossales pour les petits commerçants obligés de mettre à la poubelle leurs produits frais.
Utiliser son pouvoir de nuisance pour imposer ses exigences ça suffit !
La grève est un droit mais elle ne saurait constituer une dictature !
@ Marc GHINSBERG
« Quelle belle idée cher Philippe que de faire disserter doctement vos commentateurs, dont 80 % se planquent derrière un pseudo, sur le courage. »
Et admirons le courage admirable de ceux qui déblatèrent sous leur vrai nom supposé sur ceux qu’ils appellent les populistes selon la mode lancée par les nuisibles de la vraie gauche et de la fausse droite, qui ne pourront que les en remercier par l’attribution de quelques bons points voire de quelques hochets.
@ Claude Luçon 19/12 00:10
« Il faut un immense courage pour demander la condamnation d’un homme à vie, ou même moins, même si on le fait au nom de la loi ».
Sans nul doute mais il en faut aussi beaucoup chaque fois qu’investi de certaines responsabilités, il vous incombe, dans l’exercice par exemple de votre profession, de prendre et d’annoncer une décision à une personne dont vous savez que les conséquences humaines de celle-là seront lourdes pour lui et parfois par ricochet pour d’autres. Et cela, même si vous savez que les faits vous donnent raison.
Et voilà que revient sur le tapis la bonne vieille querelle sur les pseudos.
Ça finit par devenir fatigant !
Autant l’on peut concevoir que Philippe Bilger affiche sa véritable identité, ce qui est parfaitement normal vu qu’il intervient régulièrement dans les médias et est, à ce titre, une personnalité connue du grand public, autant afficher son identité quand on est un simple citoyen connu uniquement du cercle de ses amis et de sa famille ne présente pas d’intérêt.
Ceux qui en éprouvent le besoin peuvent très bien ouvrir une partie de leur vie privée tout en utilisant un pseudo.
Le fait de dire que l’on s’appelle Ginette Dupont, Roger Dugenou ou Charles-Henry de Lamotte-Beuvron ne présente aucune importance particulière sur un blog.
Par ailleurs qui peut affirmer que ceux qui écrivent ici en affichant un prénom et un nom donnent leur véritable identité ? Même pas Philippe et Pascale Bilger car une adresse e-mail ne saurait constituer un gage sur ce point.
Marc GHINSBERG dont je partage souvent les analyses et Patrice Charoulet, qui connaît parfaitement mon identité, vu que je la lui ai communiquée hors blog, sont un brin pénibles à revenir toujours sur ce sujet.
Deux garçons manifestement intelligents et cultivés mais qui ont un concept du courage pour le moins réducteur. Dommage !
@ Mary Preud’homme
« Vous semblez ignorer en outre que certaines contraintes familiales obligent à une grande discrétion, telle ou telle personne parmi nos proches portant le même nom (conjoint, fils, fille ou collatéraux) ne souhaitant pas être directement ou indirectement « exposée », voire prise à partie en raison d’une proximité réelle ou supposée ? »
Rappelons aussi la question des homonymies.
Ainsi, le journaliste de l’AFP Bernard Cabanes est mort en juin 1975 des suites d’un attentat à la bombe à son domicile, alors que c’était son homonyme Bernard Cabanes, rédacteur en chef du journal le Parisien qui était visé.
Le choix d’un pseudonyme pour l’un ou pour l’autre aurait pu éviter ce drame.
Cher Achille,
Il nous arrive effectivement d’être assez souvent d’accord, mais pas sur la question du pseudo.
Tout d’abord je veux répondre à l’objection que vous faites, partagée par Antoine Marquet, et qui consiste à dire que rien ne garantit que celui qui dit donner son identité ne donne en fait un pseudo, c’est vrai et pourtant Antoine Marquet sait bien au fond de lui que je m’appelle Marc Ghinsberg, et je sais qu’il s’appelle Antoine Marquet.
Deuxième point, j’estime que le premier courage c’est celui d’assumer ses opinions que l’on soit connu ou pas, je ne vois pas pourquoi on se cacherait derrière un pseudo, aucune identité n’est honteuse. Et si des proches qui portent le même nom ne partagent pas ce que vous dites, il suffit qu’ils disent que chacun est libre de ses opinions et que l’on n’est pas engagé par celles de quelqu’un d’autre même s’il porte le même nom que vous.
Enfin, les réseaux sociaux charrient un ramassis d’insanités proférées sous pseudo (ce qui ne signifie pas que tous les pseudos pratiquent ainsi). Si l’on bannissait les pseudos on réduirait considérablement ce torrent de boue. Je suis sûr que sylvain sera d’accord avec moi sur ce point.
Voilà, une fois de plus je vous fatigue pardonnez-moi, ce n’est probablement pas la dernière.
@ Sophie à 6.58
Je viens de lire un commentaire d’une deuxième Sophie ce matin. Etrange, deux Sophie sur ce blog… Ennuyeux, qui est qui ?
Sur un blog en principe, on ne peut pas utiliser le même nom qu’un autre intervenant.
@ Noblejoué
« Si on veut faire reconnaître des idées et en être la source, il faut s’exposer, si on veut faire cesser des abus sur les siens ou sur soi, il peut, selon les endroits et les moments, les circonstances en un mot, être mieux de se masquer, avant, peut-être, au final, de s’exposer. »
Je souhaite effectivement exposer la situation. Quant à l’exposer personnellement, c’est une histoire plus complexe.
Quand vous voyez des cas cliniques de X ou Y, à ma connaissance, il n’y a pas le nom, l’adresse physique et l’adresse électronique de telle ou telle personne avec telle ou telle particularité anatomique à vous démonter la mâchoire.
Néanmoins, le cas clinique mérite bien d’être exposé.
@ Achille | 19 décembre 2019 à 08:58
Pour une fois nous partageons exactement le même point de vue. Comme vous, lors de mon inscription sur ce blog, j’avais transmis à monsieur Bilger un rapide résumé sur ma personne. Encore récemment, j’ai eu l’occasion d’échanger avec madame Bilger sur un sujet particulier et personnel.
Le patronyme, à mon sens, n’a sur ce blog aucun intérêt sauf pour nos hôtes, si ce n’est pour certains à se donner une illusion de courage, puisque c’est le sujet de ce billet. Les quelques commentateurs qui se sont rapprochés de moi via madame Bilger savent qui je suis. Ici prime l’échange de points de vue en restant si possible constamment dans le cadre défini par l’objet du billet.
Mais le courage me semble être d’une autre nature. Et sur ce point, je fais intégralement mien le commentaire de Florence | 18 décembre 2019 à 21:41.
@ Achille | 19 décembre 2019 à 08:58
Tout à fait d’accord. Cette querelle sent le réchauffé et même le moisi.
Les anti-pseudos obsessionnels n’apportent strictement aucune contribution aux débats en cours, ils le parasitent en se précipitant pour réclamer de façon insistante censure et police des mœurs. Un sujet sur le courage, et hop, ils remettent deux sous dans la musique en se pavanant avec une complaisance par ailleurs risible. Où la vanité va-t-elle se nicher ! Ce militantisme anti-pseudo a quelque chose de totalitaire.
Ce n’est pas en mettant son nom sous un tissu de banalités ou encore une liste de citations inspirantes bonnes à figurer sur la porte du frigidaire entre le numéro des pompiers, la liste des courses et la dernière recette de bûche revisitée qu’on en fait quelque chose de personnel.
@ Marc GHINSBERG | 19 décembre 2019 à 10:08
Cher Marc,
Je ne conteste pas vos arguments, vu que je suis le premier à déplorer certains commentaires excessifs généralement déposés par des intervenants à pseudo notamment sur ce blog (je n’en fréquente pas d’autres).
Je vous ferai toutefois remarquer que tous les blogs et réseaux sociaux, sans exception, acceptent les pseudos et je ne vois pas trop comment techniquement ils pourraient les empêcher. Sauf, peut-être, par le recours d’une loi votée par nos parlementaires entraînant de profondes adaptations logicielles de la part des propriétaires de blog. Il faut donc faire avec.
Le pseudo, en tous cas en ce qui me concerne, est une précaution que je prends afin de ne pas être importuné par les esprits malveillants qui grouillent sur les réseaux sociaux.
L’un d’entre eux a réussi l’année dernière à hameçonner mon adresse e-mail, ce qui m’a contraint à modifier celle-ci et prévenir ma banque, les services administratifs divers ainsi que mes proches de ce changement. Je ne vous raconte pas la galère !
Il est, en effet, relativement facile pour un hacker un peu astucieux (en fait ils le sont tous) de pénétrer votre messagerie, simplement en connaissant quelques données de votre vie privée, vu que votre « password » est généralement établi à partir de données personnelles (prénom de votre épouse, de vos enfants, votre animal de compagnie, etc) et le fait d’ajouter des chiffres, majuscules et autres ponctuations, ne constituent pas une grande difficulté pour eux.
Le fait de donner son nom et son prénom sur un blog offre donc à des personnes malintentionnées la possibilité de s’introduire dans vos données personnelles et vous pourrir la vie, voire vous soutirer de l’argent à votre insu.
Si toutefois vous désirez vraiment connaître mon identité, j’autorise Pascale Bilger à vous la communiquer par mail. Pas de problème.
Je crains fort, toutefois, que cela ne vous apporte pas grand-chose.
Bonne journée !
Ouf ! Dispensé de notation et d’idée sur le sujet proposé.
La confection de la phrase, engagée ou désinvolte, suppose l’existence d’une opinion, exprimée.
En revanche, la référence emprunte un artefact à son auteur qui vient au renfort de l’opinion. Ainsi se renvoient la lumière les miroirs du salon enchanté, déroutant le lecteur, lui, parfaitement anonyme, s’il ne prend pas position et n’ajoute à son tour quelque remarque de façon anonymisée ou non. Bref, d’un sentiment présenté comme un devoir, d’une attitude souvent exaltée ou découverte vécue dans le silence, naît une coquecigrue que les langues des profés portent de minaret en clocher, jusque dans les salons où l’on cause.
« La grande mode d’aujourd’hui est de prétendre nous enseigner la vie. Par exemple en nous disant comment trouver le bonheur. Ce sont des arnaques souvent diffusées durant les vacances d’été, quand on est tout prêt à croire que nous déposséder de notre existence nous conduira au salut terrestre »
Je repense à tous ces arnaqueurs que furent Epicure, Epictète, Sénèque, Marc Aurèle qui ont essayé de nos aider à trouver le bonheur.
« Le courage c’est ce qu’on DOIT avoir. »
Quelle belle phrase écrite au chaud derrière son écran en humant le fricot qui mitonne tout doucement.
Une suggestion : transcrivez-là en latin et vous finirez dans les pages roses du Larousse.
Pas d’inquiétude, dans pas longtemps nous allons avoir « courage ! fuyons ».
Edouard Philippe va renoncer à son âge pivot de 64 ans (peut-être le descendra t-il à 62 pour faire bonne figure) et fera adopter la clause du grand-père appelée ici (à Ouessant) « la clause perpète ».
Concernant les coupures d’électricité, et contrairement à ce que dit Martinez, les coupures d’électricité totales sont illégales puisqu’un service minimum des fournitures doit être mis en place. Comme je ne suis pas experte en électricité, contrairement à certains qui sont au courant (!) de tout, je ne sais plus quel est le Kw/heure minimum obligatoire nécessaire à la vie courante. Ce ne doit pas être très élevé mais ça permet de choisir entre regarder Philippe Bilger à la télé ou faire réchauffer des poissons carrés à la chapelure dans un four à micro-ondes.
Ou : se doucher à l’eau froide MAIS faire une omelette au bacon en sortant de la douche (sauf si on est musulman évidemment ; dans cette deuxième hypothèse on prend un douche chaude et on gobe deux oeufs).
Je plaisante évidemment, mais tout ça pour dire que Martinez soutient des trucs illégaux. Point barre.
Martinez-Delevoye même combat ! L’illégalité.
Le niveau culturel du couple présidentiel… sauve qui peut !
Pendant que le pays souffre et galère, le roitelet Emmanuel Macron et sa Brizitte sont partis en balade avec un rappeur !
On peut ainsi remarquer le haut niveau culturel de ce couple présidentiel.
Un rappeur qui a pondu des « chansons » très controversées (apologie du viol et propos homophobes…).
Lien ci-dessous parmi d’autres pour plus d’infos concernant cet énergumène :
https://fr.sputniknews.com/france/201912181042619776-force-des-liens-culturels-macron-amenera-en-cote-divoire-un-rappeur-qui-faisait-lapologie-du-viol/
E. Macron s’entoure donc de rappeurs, d’individus proches des Frères musulmans salafistes (Benalla, Belattar etc.) ou de généraux qui déclament soit « Qu’il ferme sa gueule », soit que les militaires vont au Mali non pas pour lutter contre le djihadisme mais pour lutter contre le « populisme », grand terme à la mode dont on nous rebat les oreilles.
Le « populisme » était peut-être synonyme, il y a quelques années, de racisme primaire quand nous ne subissions pas encore l’afflux de migrants ou les massacres de nos compatriotes par des fanatiques de l’islam. Mais aujourd’hui, le « populisme » signifie seulement résistance élémentaire…
Pour essayer de relever le niveau de ce gouvernement de « misérables », voici un beau texte de Frédéric Schiffter concernant ces rappeurs indigestes dont les « écrits » sont indigents et souvent violents.
« « Le blues, ça se joue quand tu as perdu ton boulot, quand ta petite amie t’a plaqué et quand tu n’as même plus un rond pour te payer une bière », disait un vieux guitariste noir. Le blues n’exprime pas une protestation sociale, mais chante l’inconvénient d’exister sur le rythme balancé d’un rocking-chair. Tout le contraire du « rap » entendu partout, sur toutes les ondes et à tout moment, vendu comme une forme moderne de blues des ghettos ou une mélopée de révoltés, alors que l’indigence musicale et la prétention sentencieuse des paroles témoignent plutôt d’un ressentiment de mal lotis à l’égard d’un supermarché social dans lequel ils rêvent de faire leur place. Les messages vengeurs, moralisateurs et orduriers du rap flattent la sensibilité de consommateurs frustrés ; les accords et les voix brisées du blues s’adressent à un petit nombre de mélomanes de la déréliction. » F. Schiffter, Traité du cafard
@ breizmabro | 19 décembre 2019 à 12:53
Le bacon halal ça n’existe toujours pas en Bretagne ?
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@ Exilé | 19 décembre 2019 à 09:46
Oui.
Dans ce cas il s’agit moins de se protéger soi-même que de mettre son entourage ou toute personne que l’on pourrait indirectement exposer à l’abri.
J’ajoute qu’une femme qui publie sous son nom de jeune fille a déjà l’avantage de ne pas exposer son mari, la famille de celui-ci et ses propres enfants.
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@ Noblejoué, 19 oct. 07:14
Contrairement à vos allégations je ne viens pas sur ce blog où j’écris sous mon patronyme pour raconter ma vie.
Et si je publie un jour ma bio ce sera sous un pseudonyme…
Alors arrêtez de broder et de m’inventer un personnage qui est à des années-lumière de la réalité.
J’ajoute que n’ayant exercé ni de près ni de loin une profession relevant de l’ordre, de la sécurité publique ou de l’armée, j’ai maintes fois précisé que mes interventions sur le sujet n’avaient pour objectif que de défendre des professions (exercées par mon père, mon conjoint, mon fils et toute une kyrielle de cousins et de relations) trop souvent attaquées injustement ; mais à aucun moment je ne me suis permis de parler à leur place…
« Mary Preud’homme donnant le point de vue des forces de l’ordre écriviez-vous, quel sketch !!! »
Non Monsieur, je n’ai rien d’une mère tapedur caricaturale mais j’ai tout simplement horreur de la discrimination et de la diffamation. Et je réagirais de la même manière si l’on s’en prenait indûment et à tout propos aux infirmières, médecins, ingénieurs, artisans ou enseignants, eux aussi très nombreux parmi mes proches.
Vu ?
@ breizmabro
« Martinez-Delevoye même combat ! L’illégalité. »
Pour remplacer J-P Delevoye à la réforme des retraites, nous avons à présent Laurent Pietraszewski qui apparemment ne changera rien, nous voilà bien !
Tout ce bruit, toutes ces gesticulations, pour ne pratiquement rien changer au final… Je ne sais pas si je peux l’écrire : à mourir de rire !
« Emmanuel Macron s’est du reste soigneusement bridé lui-même à travers ses formules alléchantes mais paralysantes sur le « libérer protéger », le « en même temps » et le « ni de droite, ni de gauche » qui font que chaque fois qu’on avance d’un petit pas, on renforce par ailleurs les monopoles et les contrôles d’État. » Nathalie MP (Contrepoints).
https://www.contrepoints.org/2019/12/19/360727-reforme-des-retraites-laurent-pietraszewski-ne-changera-rien
Quant aux pseudos, vrais ou faux noms et prénoms sur ce blog, quelle importance. Les blogs ne sont que des défouloirs, des exutoires encore autorisés car, pendant que nous écrivons, nous ne faisons pas trop de dégâts. Nous usons seulement les touches du clavier ! Pauvres claviers !
Dans quelques années ou quelques mois, ces blogs et/ou leurs commentaires disparaîtront (et nous avec !). Sur le blog d’Ivan Rioufol, par exemple, les commentaires de plus de dix ans ont été effacés (fort heureusement car ils sont devenus obsolètes).
Nos « bafouilles » n’intéressent personne. Elles ne changeront rien à l’affaire.
Les politiciens continueront de gouverner sans tenir compte de leurs citoyens respectifs… Rien ne change jamais sous le soleil !
Merci à nouveau à Madame Bilger et à Philippe Bilger de nous lire, malgré tout !
Pourquoi écrivons-nous, peut-être parce que nous sommes inquiets de l’avenir pour nos enfants et petits-enfants. Rien d’autre mais nous savons aussi que les futures générations devront s’adapter aux aléas de la vie comme elle va…
Bien à vous tous.
@ Mary Preud’homme
« Et je réagirais de la même manière si l’on s’en prenait indûment et à tout propos aux infirmières, médecins, ingénieurs, artisans ou enseignants, eux aussi très nombreux parmi mes proches. »
C’est bô la loyauté !
@ Sophie
N’ayons pas peur des mots du rappeur que Macron emmène en Côte d’Ivoire :
« Sale p*te, va niquer ta race, tu ne fais que parler sur moi, pourtant moi je te connais pas mais tu connais ma vie mieux que moi », lit-on dans un des couplets. Rien de plus élégant dans le refrain : « T’es bon qu’à faire fuiter (tu t’es trompé), enc*lé (tu t’es trompé), et tu veux me boycotter (tu t’es trompé)… »
La suite de la chanson n’est guère plus élogieuse « J’aime pas les suceurs de b*te, les gros suceurs de b*te, je déteste les suceurs de b*te… »
https://www.valeursactuelles.com/societe/sale-pute-va-niquer-ta-race-macron-emmene-un-rappeur-sulfureux-en-afrique-114076
– Tiens ! Un nouveau commentaire de Marcel Galuchet chez Bilger ! Tu veux le lire ?
– Ah ! Marcel Galuchet, je l’aime bien celui-là ! Il a un bon sens paysan bien de chez nous !
– Oui, c’est pas comme sbriglia, ce pervers polymorphe !
– En plus un pseudo pas trop français ! Quelle lâcheté !
– T’as raison Nénette, Marcel Galuchet y sait au moins affirmer ses opinions sous son vrai nom, bien français de chez nous… L’a un vrai courage Marcel ! Le sbriglia, y l’aurait fait de la délation pendant la guerre, pour sûr !
– Pour sûr, Ginette !
@ Patrice Charoulet | 18 décembre 2019 à 18:18
Penser serait donc courageux !
Si le vrai courage a généralement un prix,
– qu’en est-il de celui de penser ?
– qu’est-ce que (non pas réfléchir) penser en vérité ?
Ce qu’il en pensait :
« Les mots et le langage, écrits ou parlés, ne semblent pas jouer le moindre rôle dans le mécanisme de ma pensée » Einstein 1878-1955
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@ Achille | 19 décembre 2019 à 11:57
« …voire vous soutirer de l’argent à votre insu. »
Vraiment !
J’en connais au moins un sur ce blog qui va passer une mauvaise nuit 🙂
Qu’est-ce que le courage en politique ?
France Culture (26/07/2015), à écouter ici:
https://www.franceculture.fr/emissions/le-pouvoir-imaginaire/qu-est-ce-que-le-courage-en-politique
« …en parler certes mais comment en avoir » (PB)
Les personnes du showbiz sont souvent des beaux parleurs mais petits faiseurs, dont le courage ne dépasse pas les pétitions.
Le vrai courage, celui qu’on a vu chez les militaires du Thalys mettant un terroriste hors d’état de nuire ou chez Arnaud Beltrame qui a remplacé une caissière au péril de sa vie, c’est aussi agir lors d’une situation ponctuelle terrifiante et grave, un réflexe pour ainsi dire, celui de sauver des inconnus, ou désarmer un tueur. On en retrouve lors de chaque tragédie.
L’altruisme ne suffit pas, il faut que dans un moment particulièrement terrible, quelque chose pousse l’individu à agir sans même réfléchir au danger.
Qui peut savoir quelle serait sa réaction dans un moment extrême ?
Je reste en tout cas persuadée que ce sont des circonstances particulières qui sont des révélateurs du courage, de la peur voire de la couardise, du « sauver sa peau » à tout prix. Dans toutes les grandes catastrophes on a pu voir cet échantillon de caractères et parfois les plus courageux n’étaient pas les personnalités les plus fortes dans la vie courante.
@ Mary 19 décembre 14:21
« Le bacon halal ça n’existe toujours pas en Bretagne ? »
En Bretagne je ne sais pas mais à Ouessant je crains que non 😉
En même temps il n’y a pas trop d’immigrés musulmans à Ouessant, du coup le boucher-charcutier de l’île n’a pas dû l’envisager 😀
Adéo Mary
@ Marc GHINSBERG
« Deuxième point, j’estime que le premier courage c’est celui d’assumer ses opinions que l’on soit connu ou pas »
Ben voyons. Je peux confirmer que dans le Conservatoire où j’enseigne, le fait d’avoir des opinions de droite peut nuire sérieusement à votre carrière, avancement et toute une foule de détails avec lesquels on peut vous enquiquiner jusqu’à en avoir par-dessus la tête. Grâce à qui ? à vos copains de gauche, aussi fanatiques et tolérants que la Waffen.
Si on utilise un nom dans les moteurs de recherche, on a aussitôt accès à toutes les activités en ligne du susnommé, blogs, forums etc. Alors vous pouvez courir ; VOUS, avec vos opinions rejoignant à 100 % la bien-pensance, vous pouvez vous le permettre, mais fichez aux autres la paix, personne n’a envie de se retrouver à la rue pour ses opinions.
À chacun sa définition du courage.
Pour moi, le courage, le vrai, le grand, c’est celui qu’on a éprouvé un jour face à un danger mortel, où on a eu peur, très peur et où par un réflexe incompréhensible ou un miracle de l’âme, on a affronté le danger pour le surmonter.
Mais il en est du courage comme de l’intelligence, l’un et l’autre sont multiformes.
Le grand courage comme la vraie intelligence sont des dons de Dame Nature, qui choisit ceux qui « doivent les recevoir », se moquant du principe d’égalité. Ces dons on ne peut pas les acquérir, on les reçoit à la naissance.
Toutefois il existe des formes atténuées de l’un et l’autre réservées à ceux qui font l’effort de les conquérir au prix de grands sacrifices de travail et de volonté.
C’est toute la distance qui sépare le génie qui s’empare de l’homme à son insu, et que celui-ci doit faire fructifier sous peine de névroses, du talent dont l’homme s’empare par la volonté.
Le génie est de nature divine, le talent de nature humaine.
Le courage acquis par force de volonté et de raisonnement, d’orgueil aussi, celui-là est le courage quotidien pour affronter les autres, supporter les problèmes dont on pense qu’ils nous pourrissent la vie, alors qu’ils sont la vie.
C’est par exemple le courage de l’intellectuel qui affronte le danger de la mort sociale en s’écartant de la doxa ambiante ou celui du mineur qui descend tous les jours au fond de la mine, ou encore celui du marin pêcheur qui part en mer parfois malgré le mauvais temps.
Un courage sans éclat mais indispensable pour faire tenir debout celui qui le porte.
Ce courage se dispense de juridisme, il agit et c’est celui qui fait vivre la société.
Et puis il y a le grand courage de ceux qui postent sous leur vrai nom, des commentaires qui pour certains mériteraient d’être tellement anonymes.
Qu’importe, anonymes ou pas tous les commentaires disparaîtront dans les archives du blog.
C’est pourquoi aujourd’hui je me veux doublement anonyme.
@ breizmabro
Nous en sommes réduits en effet à être pris en otage entre le macronisme dit progressiste et le syndicalisme obsolète.
Le remplaçant de M. Delevoye (qui a un nom trop compliqué à retenir !) et Edouard Philippe donneront des compensations aux plus récalcitrants, ce n’est qu’une question d’heures ou de jours pour donner le change à la France entière, mais ceux qui se réveilleront ensuite bien « cocus » seront comme toujours les salariés cadres, employés ou ouvriers du privé avec beaucoup d’incertitudes quant à l’avenir de leurs retraites.
Comment ceux qui enchaîneront CDD et CDI, petits boulots et périodes courtes de chômage surtout si elles ont lieu dans la dernière décennie de travail, pourraient-ils, en l’état actuel des choses, ignorants même la valeur du fameux point, calculer leur future pension ?
Une vraie supercherie que ces simulateurs, utiles juste pour la fonction publique et encore.
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@ Mary Preud’homme
« J’ajoute qu’une femme qui publie sous son nom de jeune fille a déjà l’avantage de ne pas exposer son mari, la famille de celui-ci et ses propres enfants ».
Tout à fait d’accord.
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@ boureau
Pour une fois je ne suis pas d’accord avec vous, je ne crois pas que le courage soit inné.
Car si on s’étonne et admire les gestes héroïques mis en exergue dans les drames les plus médiatisés, il existe dans la vie quotidienne et non spectaculaire, des gens modestes très courageux qui élèvent ou prennent en charge des enfants handicapés, des vieux parents et autres lourds problèmes familiaux, tout en assurant leur travail et le quotidien de leur famille. C’est aussi une forme de courage parfois devant le fait accompli. Des gens qui vous surprennent car rien dans leur attitude d’avant le drame ne laissait supposer une telle abnégation.
Dans la série « bonnes nouvelles quotidiennes ».
Une crèche de Noël vandalisée dans le Puy-de-Dôme.
Les bras et têtes des santons ont été arrachés. Seul, le roi noir Balthazar a gardé sa tête ! Balthazar indemne, comme par hasard… Quel courage, arracher des têtes de santons.
Les provocations continuent donc de plus belle ! Pourquoi s’arrêter en chemin puisque certains Français en redemandent…
Nouvelle coupure d’électricité à Perpignan, des «actes de malveillance » selon Enedis. Les gauchistes pro-islamistes profitent à l’envi de leur pouvoir de nuisance.
E. Macron se balade en Côte d’Ivoire avec son
rappeur dont certaines chansons sont homophobes et font l’apologie du viol.
Ce pays, une calamité !
Bonne nouvelle pour nos amis Anglais, les musulmans britanniques commencent à quitter la Grande-Bretagne grâce au… Brexit !
Mauvaise nouvelle pour nous, ils vont débarquer à Calais.
@ Achille 19/12 11:57
Sans faire de l’anonymat le sujet du jour, permettez-moi simplement de soulever les deux points suivants :
– point besoin tout d’abord d’intervenir de manière anonyme sur le blog de Philippe Bilger ou sur tout autre blog d’ailleurs pour être victime de hackers avec les conséquences qui en résultent pour soi et ses contacts. Il suffit pour cela d’être connecté et de naviguer sur le web !
– quant à vos propres idées, vos convictions profondes et sincères, je pense Achille qu’elles ne trouvent pas pour terrain d’expression le seul blog, si brillant soit-il, de Philippe Bilger ! En dehors de ce cadre, lorsque l’anonymat tombe, que vous êtes confronté à un environnement inconnu, possiblement hostile, vous abstenez-vous alors d’exprimer ces idées, ces convictions, de les défendre et cela par crainte des réactions d’autrui et des conséquences pouvant en découler pour vous et votre entourage ? Ce risque existe tout autant.
Pour ma part, l’anonymat faisant partie de la règle du jeu, j’en accepte celle-ci en intervenant sur ce blog.
En revanche, ce que je n’accepte pas, c’est que certains commentateurs utilisant le masque de l’anonymat ne se contentent pas de débattre du sujet abordé par notre hôte mais semblent trouver plaisir à y ajouter agressivité quand ce n’est pas insultes.
Et cela, pour en revenir au sujet du jour, a un nom : lâcheté, ce qui est le contraire du courage.
@ breizmabro | 19 décembre 2019 à 12:53
L’abonnement minimum est de 3 kw. Avec le compteur Linky À DISTANCE ils pourront faire une grève perlée en organisant un service minimum en abaissant votre abonnement sans faire de coupures. Ce sera vous qui en dépassant les 3KW organiserez votre propre grève par la force des choses…
Elle est pas belle la vie ?
Je file, je vois déjà Bob arriver… Pas content mais alors pas content du tout… 🙂
S’ENGAGER AUX MUNICIPALES
Il est facile de se plaindre. Mais se plaindre sans avoir voté est contradictoire. J’ai voté à toutes les élections. Je n’ai jamais voté communiste, socialiste ou lepéniste de ma vie. Je participe au dépouillement les soirs d’élection pour exprimer mon attachement au droit de vote.
Je suis dans une ville dont le maire est… communiste (espèce en voie d’extinction). Ce sont des dinosaures qui n’ont rien appris : ni Staline, ni le KGB, ni le Goulag, ni les millions de morts…
La ville est gérée catastrophiquement : endettement record, impôt foncier effrayant, argent public dilapidé, fuite des investisseurs, baisse de la population…
Participer au dépouillement c’est bien, s’engager sur une liste d’alternance, c’est mieux. J’ai décidé de m’engager sur la liste d’un vrai Dieppois (pas un parachuté), élu municipal intègre, compétent, connaissant les dossiers, le seul dans cette compétition électorale qui soit légitime et crédible. J’invite ceux qui aiment Dieppe et veulent changer les choses à voter pour cette liste… dont le nom est tout un programme : « Aimer Dieppe ».
@ Mary Preud’homme
« Contrairement à vos allégations je ne viens pas sur ce blog où j’écris sous mon patronyme pour raconter ma vie. »
Pas pour. Simplement, parfois il peut être utile d’évoquer sa vie pour expliquer quelque chose.
« J’ajoute que n’ayant exercé ni de près ni de loin une profession relevant de l’ordre, de la sécurité publique ou de l’armée, j’ai maintes fois précisé que mes interventions sur le sujet n’avaient pour objectif que de défendre des professions (exercées par mon père, mon conjoint, mon fils et toute une kyrielle de cousins et de relations) trop souvent attaquées injustement ; mais à aucun moment je ne me suis permis de parler à leur place…
« Mary Preud’homme donnant le point de vue des forces de l’ordre écriviez-vous, quel sketch !!! » »
Amusant, mais il ne s’agit pas de cela. Tant que personne des forces de l’ordre en exercice, ni même à la retraite n’exprime son point de vue, vous êtes l’individu se rapprochant le plus des forces de l’ordre.
Vous dites ce que vous en savez et ce que vos proches des forces de l’ordre vous ont dit.
Donc, vous n’avez rien d’officiel, vous ne prétendez à rien, mais vous êtes ce qui est le plus proche d’exprimer le point de vue des forces de l’ordre.
C’est évidemment dans ce sens que je le disais.
Depuis que les gens vous lisent, j’imagine que personne ne peut faire de confusion.
« Non Monsieur, je n’ai rien d’une mère tapedur caricaturale mais j’ai tout simplement horreur de la discrimination et de la diffamation. Et je réagirais de la même manière si l’on s’en prenait indûment et à tout propos aux infirmières, médecins, ingénieurs, artisans ou enseignants, eux aussi très nombreux parmi mes proches.
Vu ? »
Contrairement à d’autres, je ne vous ai pas caricaturée. Qu’est-ce qu’il y a de mal à dire que vous représentez, enfin plus ou moins, c’est compréhensible, non ? les forces de l’ordre.
Encore une fois, je n’ai pas dit que vous aviez été mise en avant, ou que vous aviez voulu le faire… Je dis que la nature a horreur du vide, et que de facto, vous représentez les forces de l’ordre, ici.
Parfois, les Noirs aussi, quand certains disent des choses racistes, vous intervenez.
Dans les deux cas, par loyauté, j’ai bien compris.
Ce n’est pas à la mode, mais si on s’en prenait à la noblesse, vous la défendriez comme tous ceux des vôtres attaqués… Alors, on pourrait également dire que vous représenteriez la noblesse.
Ça me paraît clair.
Je ne vous vois pas en tape-dur, je vous vois comme quelqu’un de loyal dans les limites par vous définies*, comme vous l’avez dit.
Mais on devient responsable face aux autres de ce qu’on défend. Et est-ce si mal ? Si je voyais quelque chose de problématique sur la police, le pétrole, le Japon ou la Bretagne, je pourrais avoir l’envie de demander à ceux qui savent, ici. Compétence plus dialogue, que demande le peuple ?
Enfin, c’est trop beau pour être vrai. Dans la réalité, voilà comment sont les gens.
Ils disent qu’ils ne demandent pas mieux que de répandre la connaissance, ou alors qu’ils sont là pour aider, mais c’est faux. Eh, on se réveille Mary Preud’homme, l’attaque, c’est maintenant !
Ils disent être loyaux, et c’est sans doute vrai, en défendant leurs proches, mais je ne crois pas qu’attaquer des gens qui ne vous ont rien fait soit le sommet de la loyauté. Si ? Parce que les accusations fausses, ça commence à faire, ainsi, celle de chantage au suicide. J’explique, et là, suis on ne peut plus agréable.
A quoi bon ? Les gens flinguent sans sommation des gens qui ne leur ont rien fait, et ils s’excusent ?
Jamais…
Mais je suis calme, toute bienveillance… Là j’essayais de montrer que les masques et les non-masques, les théories des commentateurs, leurs idées, le mélange des deux, empêchaient qu’on s’ennuie ici.
Comme les gens intéressent souvent plus aux autres qu’aux idées, et afin que tous considèrent les autres avec bienveillance, voire qui sait, aident deux personnes aux problèmes complexes, j’écris un texte où j’encourage tout le monde, et voilà, on ne peut pas dire que j’ai caressé un chat sur le ventre, pourtant.
Il arrive que des chats vous regardent piteusement après vous avoir griffé sans raison.
Mais les humains sont au-dessus de ça, en général. Je n’ai vu personne m’accuser injustement qui se soit excusé après ici. Où tout le monde joue les parangons de vertu.
D’où je conclus que les gens sont injustes, et qu’ils peuvent pleurer différents torts, ils feraient les mêmes si seulement ils en avaient le pouvoir.
Ou alors ils sont paranoïaques, on a au moins un cas, ceci dit on peut être et parano, et abusif, je n’exclus rien, ou alors, ils disjonctent, même cas. Disjoncter, cela m’est arrivé hors blog récemment, mais moi, j’ai présenté mes excuses, comme on m’a excusé, j’inclinerais à l’indulgence, comme j’ai perdu un rêve, moins.
Je n’attaque pas les gens qui ne m’ont pas attaqué ou commis des abus que je signale.
Mais si on m’attaque, je réponds, alors, j’imagine que pour certains cela prouve que je les ai attaqués avant. On croirait que le principe de causalité est sous licence, et qu’ils n’ont pas payé pour son utilisation !
Essayez de ne plus me faire de procès d’intention, parce que je pourrais finir par être nettement plus désagréable, à la fin…
Vu ?
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@ F68.10 19 décembre 2019 à 14:36
Si, c’est beau la loyauté, mais épuisant. Espérons que tout ce monde ne sera pas attaqué, sinon, ce sera une tâche titanesque.
J’espère qu’elle est vraiment loyale, cela changerait de tant de gens inconsistants…
Sinon, je vous félicite d’avoir sauvé vos documents.
Retraite à point Macron
Les régimes spéciaux ont gagné.
Aucun salarié actuel de la SNCF, de la RATP, de ENGIE ne sera concerné par ce qui se prépare. C’est quasiment officiel.
Pour les fonctionnaires les discussions se poursuivent discrètement en ce qui concerne les fameux « six derniers mois » base des retraites.
La « clause du grand-père » deviendra sans doute la règle pour les fonctionnaires.
Les salariés du privé sont cocus sur toute la ligne.
Encore une grrrrrrande réforme qui se termine en réformette. Une de plus !
Cordialement.
Sur cette histoire anti-pseudonymes… On voit des gens vouloir un interdit, inférioriser des gens qui ne leur ont rien fait de mal.
On le voit en direct, on en a conscience. Les masques seront-ils permis ou interdits ?
Cela rappelle d’autres interdits, alimentaires, sexuels, vestimentaires, tout aussi arbitraires. Mais à l’époque, je ne crois pas qu’il y ait eu de débats. Si les démasqueurs gagnent, on s’étonnera que les masques n’aient pas compris combien ils étaient pervers, si la liberté triomphe, on s’étonnera ou pas, enfin, on verra qu’après les opinions prohibées, il y a les discours prohibés.
Si ça continue, on sera obligé de communiquer par la pensée, quand la chose sera possible.
On dira comme pour les masques, si vous refusez, c’est que vous avez quelque chose à cacher.
Les professeurs diront que sans parler, que devient la langue, dans tous les sens du terme ?
On leur opposera qu’a l’époque où on a démasqué, on se moquait bien de ce que deviendrait jeu et liberté sans la possibilité de se dérober.
La transparence, c’est le vide, et le vide, c’est ce qui reste au monde quand ce qui se trouvait là s’abolit, quand les cadavres se changent en poussière, les montagnes en sable.
Ce commentaire n’a strictement rien à voir avec le sujet, bien qu’il serait aisé de l’y capillo-tracter : il traite du courage d’aller à l’encontre de la pensée anti-libérale dominante en France.
Les étatistes de droite et de gauche passent leur temps à nous expliquer qu’un système de santé doit être aux mains des fonctionnaires, puisqu’aux États-Unis, parangon du contraire, « les cancéreux meurent dans la rue » quand ils n’ont pas d’assurance-maladie privée.
Aucun des communistes avoués ou honteux qui tiennent ce discours n’a jamais daigné nous citer un seul exemple de « cancéreux étant morts dans la rue » aux États-Unis faute de secours public, mais ce genre de scrupule ne fait pas partie de leur déontologie.
En revanche, en Angleterre, où le système de santé est 100 % communiste, on meurt dans la rue d’une simple fracture du pied. La preuve. Mardi dernier, une femme de 47 ans est sortie de chez elle pour se rendre à un rendez-vous chez le médecin (fonctionnaire d’État). Elle a glissé et s’est brisé le pied. Elle ne pouvait plus bouger.
Les passants ont appelé une ambulance. Une heure plus tard, elle n’était toujours pas là. Les voisins et la famille ont allongé la victime sur un duvet, sur le trottoir, et l’ont protégée avec des couvertures. Elle a perdu connaissance et fait deux crises cardiaques. L’ambulance n’est arrivée qu’au bout de six heures. Elle est morte à l’hôpital dans la nuit.
Les délais excessivement longs pour obtenir une ambulance, en cas d’urgence, sont courants en Grande-Bretagne. Lors de la récente campagne électorale, la photo d’un enfant allongé par terre, dans un hôpital (communiste), faute de place, a créé une polémique.
Boris Johnson, suivant en cela la volonté des Britanniques, a fait de la construction de 40 hôpitaux (communistes) et du recrutement de 50 000 infirmières (fonctionnaires) un point saillant de son programme.
En ouverture du premier conseil des ministres de son nouveau gouvernement, il a fait scander ces chiffres en chœur par ses ministres, dans un sketch médiatique dont il a dit lui-même (c’était de l’humour) qu’il était dangereusement nord-coréen. Après avoir souligné que les personnes autour de la table constituaient « le gouvernement du peuple ». Il n’a pas dit « démocratie populaire », mais on n’est pas passés loin.
La passion irrationnelle des Britanniques pour leur National Health Service est telle, que l’historien Dominic Sandbrook, inquiet du montant de la dépense publique, conseille à Boris Johnson de libéraliser le NHS en s’inspirant… du système de santé français.
Quant au Russe libéral-conservateur Alexander Boot, il souligne que Boris Johnson est simplement moins socialiste que son adversaire Jeremy Corbyn, le marxiste enragé, dont même un député de son parti a dit en public qu’il était économiquement analphabète.
L’histoire a toujours montré que c’est le communisme qui crée la pénurie. Ainsi qu’on peut le constater actuellement, en France, où le communisme crée la pénurie de trains, de métros, d’électricité — et de revenus pour les commerçants.
Éric Zemmour se félicite de ce côté communiste de Boris Johnson. Tirez-en les conclusions qui s’imposent…
@ Noblejoué
« Si, c’est beau la loyauté, mais épuisant. Espérons que tout ce monde ne sera pas attaqué, sinon, ce sera une tâche titanesque. »
La loyauté est effectivement une belle chose. Mais 1. La loyauté ce n’est pas le tribalisme. 2. La loyauté a des limites, et elles sont nombreuses bien que difficiles à discerner.
« J’espère qu’elle est vraiment loyale, cela changerait de tant de gens inconsistants… »
Vous savez, je la charrie plus que je ne lui fais de procès d’intention.
« Sinon, je vous félicite d’avoir sauvé vos documents. »
Le plus dur va être d’en garder le contrôle à distance et de m’assurer que les instructions que j’ai données seront suivies d’effet. Ce n’est pas exactement gagné, mais c’est un risque que je dois prendre.
Sinon, mon petit doigt me dit que je viens de délivrer un double échec à la découverte. Mais l’adversaire a encore de la marge de manoeuvre. Le mat n’est pas encore à portée de main, et ce que je redoute par-dessus tout, c’est le pat.
@ Patrice Charoulet | 19 décembre 2019 à 18:21
« J’ai décidé de m’engager sur la liste d’un vrai Dieppois (pas un parachuté), élu municipal intègre, compétent, connaissant les dossiers, le seul dans cette compétition électorale qui soit légitime et crédible. J’invite ceux qui aiment Dieppe et veulent changer les choses à voter pour cette liste… dont le nom est tout un programme : « Aimer Dieppe ». »
Quelle leçon de courage politique… je n’en dirai pas plus !
Et même un « p’tit coup de pouce » si des Dieppois fréquentent ce blog…
https://www.paris-normandie.fr/actualites/politique/andre-gautier-lr-confirme-sa-candidature-a-la-mairie-de-dieppe-sur-youtube-IG16104279
@ F68.10 | 19 décembre 2019 à 22:54
Vous êtes joueur, tant mieux, quand on ne l’est pas, on n’y trouve aucun divertissement, il ennuient, angoissent, mettent en colère, en somme, font tout sauf inspirer, ce qui n’aide pas à obtenir la victoire.
Il est normal de se faire des alliés, informer, raconter, mais attention, j’ai peur que votre côté joueur ne vous perde, parfois, le plus brillant, aveuglés par son bon droit et sa maestria, reste sur le carreau.
Et là, il ne peut même pas prouver la culpabilité du donneur d’ordre et sauver qui de droit :
https://www.youtube.com/watch?v=5QiM8a3LoLA
@ Valéry 16h50
« Si on utilise un nom dans les moteurs de recherche, on a aussitôt accès à toutes les activités en ligne du susnommé, blogs, forums etc. Alors vous pouvez courir »
C’est bien la raison pour laquelle il est hors de question que j’écrive sous mon vrai nom !
J’avoue ma lâcheté ou mon manque de courage, comme on voudra !!
« La grande mode d’aujourd’hui est de prétendre nous enseigner la vie »
Et M. Bilger qui parle du courage.
Là on s’attend donc à un truc vachement profond et puis on a Adjani…
Bon, OK M. Bilger. Je comprends votre frustration d’homme « d’âge mûr » qui ne peut plus assouvir ses fantasmes sexuels mais quand même !
Si vous avez envie de déclarer votre amour au « masque de cire » Adjani, faites-le dans un texte spécifique.
Pas besoin de trouver un sujet fallacieux comme le « courage », pfff, comme si Adjani avait jamais eu du courage…
Ce n’est pas la première fois que vous faites ce coup-là.
Je ne sais plus de quelle autre starlette vous aviez usé pour faire un texte vaguement profond juste pour faire une déclaration d’amour.
Je m’en souviens parce que j’avais écrit un commentaire en demandant à Mme Bilger si ça la gênait pas.
Même pour moi, c’était gênant, c’est dire.
Je ferais jamais écrire mes déclarations d’amour par mon ex par exemple.
Faut vraiment être un pervers.
Bien vu mon gars ! Héhéhé…
@ Patrice Charoulet
Vous si pointilleux pour constater les personnes ne répondant pas au sujet…
Si rigoureux et intraitable pour ceux qui écrivent avec pseudo…
Vous venez faire de la retape en vue des municipales ?!
Votre vision du courage, sans doute.
@ F68.10
« La loyauté est effectivement une belle chose. Mais 1. La loyauté ce n’est pas le tribalisme. 2. La loyauté a des limites, et elles sont nombreuses bien que difficiles à discerner. »
Je dirais que la loyauté au sens noble fait qu’on est loyal avec tout le monde, par exemple, on remplit ses engagements, fût-ce avec des inconnus, on est loyal, même avec la lie du blog, je veux dire les abominables masques, ainsi, on présente ses excuses quand on a tort.
Accuser sans preuve me paraît un bon exemple. Quand on prouve qu’on n’a rien fait, les gens ne s’excusent pas, ici, j’en conclus que soit ils ne sont loyaux avec personne, soit avec leur bande, tribaux.
J’écarte l’hypothèse de je ne sais quel naïf qu’ils regrettent, enfin, vraiment, cela impliquerait de présenter ses plus plates excuses. Donc, ils sont soit toujours déloyaux, soit tribaux.
@ Robert Marchenoir
« L’histoire a toujours montré que c’est le communisme qui crée la pénurie. Ainsi qu’on peut le constater actuellement, en France, où le communisme crée la pénurie de trains, de métros, d’électricité — et de revenus pour les commerçants. »
Sauf en matière d’immigration où nous croulons sous le nombre…
Ainsi, monsieur Macron fait entrer chaque mois des milliers de faux réfugiés en France, y compris ceux qui ont débarqué après une croisière en Méditerranée en Italie, en Espagne ou en Grèce, laissant les préfets se débrouiller pour les disperser dans les petites villes de la France profonde dont les maires (et les habitants) découvrent la présence de ces étranges invités sans avoir été prévenus. Bonjour le respect de la démocratie locale.
Bien entendu, cela pose au minimum de gros problèmes financiers et de logistique, sans compter d’autres aspects, et il y aura bien un jour où tout cela finira par exploser.
Et en attendant, ce sont surtout les retraités, les vrais, les petits, pas ceux relevant des scories du stalinisme ou de la protection des espèces politiques, qui sont accusés de coûter cher…
@ hameau dans les nuages | 19 décembre 2019 à 18:04
« Je file, je vois déjà Bob arriver… Pas content mais alors pas content du tout… 🙂 »
Comment pourrais-je être mécontent que vous soyez un sot et un paranoïaque ?
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@ Patrice Charoulet | 19 décembre 2019 à 18:21
Après la fonction de divan de psychanalyste que certains attribuent à ce blog, voilà que d’autres en font un bulletin municipal de propagande électorale.
Puis-je passer une petite annonce pour me défaire d’un vieux blouson dont je n’ai plus l’usage ?
@ Pierre Blanchard
@ Trekker
J’ai connu un rescapé de la division Charlemagne, et son témoignage remettait lui aussi les idées en place.
Il avait 18 ans. Il les voyait passer en chantant tous les jours devant chez lui pour se rendre à la base sous-marine de Bordeaux en construction. Ils étaient gais, beaux et fiers, ils étaient magnifiques. Alors, lorsqu’il a vu une affiche « venez avec nous » vous battre contre le communisme, il est parti.
Pour beaucoup, les Allemands – on ne disait pas « les nazis » -, c’était le renouveau de la civilisation au regard de la décrépitude et de la corruption de la France, et qui allait conquérir le monde.
Il s’en est sorti par miracle sans une égratignure, et le seul mort qu’il ait fait en le regardant dans les yeux était un jeune officier SS qui alors que tout était perdu dans Berlin et qu’ils s’étaient battus comme des lions, le menaçait avec son arme s’il ne retournait pas se battre. Il a tiré plus vite que lui.
Le nazisme soulevait enthousiasme et admiration pour les Allemands et des autres – Churchill lui-même n’avait-il pas dit que les Allemands avaient de la chance d’avoir Hitler ? Beaucoup de Français et peut-être même la majorité étaient admiratifs de leurs vainqueurs et ont par la suite collaboré avec le sentiment d’œuvrer pour le renouveau de notre civilisation.
Il y a longtemps que l’Eglise n’était plus en charge de la spiritualité de notre pays, et le Front populaire finissait la destruction commencée en 1789. Alors, qu’avaient-ils pour s’opposer au nazisme ? Le communisme et Thorez ?
Il est probable que celui a le plus pleuré en voyant nos jeunes partir dans la LVF était le Maréchal. Mais il était seul, terriblement seul. Le courage même, c’était en 1940, de prendre à 84 ans le fardeau de la défaite, dont personne ne voulait.
Son procès est la honte absolue de notre pays. Le colonel Rémy chef des FTP à Paris ayant été l’un de ses plus ardents défenseurs, Staline lui-même n’aurait peut-être pas osé.
LAPSUS !
Débat, sur LCI, ce vendredi, 10 h 37
Cédric O, secrétaire d’Etat chargé du Numérique :
« Vous savez, Françoise Degois, je viens de droite, euh, de gauche… »
Faut-il commenter ? Ah, « en même temps », quand tu nous tiens !
@ Exilé | 20 décembre 2019 à 08:54
Le provincial que je suis ne peut que confirmer la présence de plus en plus importante de réfugiés dans ma ville de préfecture, ce depuis un peu plus d’un an.
On n’en est certes pas encore au fameux « grand remplacement », mais l’évolution est très nette et de plus en plus perceptible.
@ Xavier NEBOUT 20 décembre 2019 09:59
« J’ai connu un rescapé de la division Charlemagne, et son témoignage remettait lui aussi les idées en place »
Je vous suis complètement, ceux qui n’ont pas été témoins ou quasi contemporains de ces tragiques événements ne peuvent apprécier sereinement et objectivement les attitudes et prises de position de l’époque.
J’ai eu un collaborateur proche, Alsacien, qui, au mépris du droit international, fut incorporé de force dans l’armée allemande et a fait partie de ce que l’on a appelé les « Malgré-Nous ».
A son départ en retraite, il m’a offert le livre de Jules Dauendorffer « J’étais un « Malgré-Nous » » avec sa dédicace qui commence par :
« Si dans la vie beaucoup de choses peuvent être pardonnées, certaines ne peuvent être oubliées »
On ne peut s’imaginer, soixante-dix ans après cette tragédie, le monde de douleur qui a détruit des millions de personnes et qui les poursuivra longtemps.
Alors, les jugements à l’emporte-pièce, primaires et hâtifs, peuvent être rapidement oubliés dans un silence respectueux.
Cordialement.
@ Robert
« Le provincial que je suis ne peut que confirmer la présence de plus en plus importante de réfugiés dans ma ville de préfecture, ce depuis un peu plus d’un an. »
Le provincial que je suis devenu suite à mon exil interne peut vous faire part d’un ressenti identique.
Et quand un dimanche matin aux aurores on se retrouve soudain dans une rue déserte face à une quinzaine d’hommes jeunes vêtus à la mode afghano-pachtoune, même en ayant les idées larges cela oblige tout de même à se poser quelques questions…
@ Robert
@ Exilé
Le provincial que j’ai toujours été malgré mes voyages, a vu arriver à Nantes les premiers mineurs isolés (qui n’étaient ni mineurs ni isolés comme le dit Zemmour) il y a plus de vingt ans déjà !
Le rythme s’est accentué avec le temps et les « nouveaux » ont ruisselé dans les villes moyennes, puis dans les petites, puis dans les villages…
Les faits divers crapuleux et sanglants ont augmenté parallèlement.
Ayant moi-même migré en Bretagne plus centrale, j’ai constaté le même phénomène. Phénomène inconnu pourtant il y a dix ans. Nous n’en sommes pas à la situation de toute la partie de l’est de la France depuis Lille jusqu’à Nice, mais on y arrive.
Sauf que les Bretons me semblent mieux résister que certains ventres mous franciliens. Enfin, il me semble.
Cordialement.
@ Isabelle
« E. Macron se balade en Côte d’Ivoire avec son
rappeur dont certaines chansons sont homophobes et font l’apologie du viol. »
Cœur sensible, s’abstenir :
https://www.valeursactuelles.com/societe/sale-pute-va-niquer-ta-race-macron-emmene-un-rappeur-sulfureux-en-afrique-114076
Rappelons tout de même que M. Macron et ses satellites prétendent pourchasser la « haine » sur les réseaux sociaux…
En fait, il est de plus en plus probable qu’un même message ne porte pas le même poids de « haine » selon l’origine de celui qui le diffuse.
Ainsi donc et par exemple, le message délivré par le rappeur préféré de M. Macron ne relève que du domaine « culturel »…
Ceci dit, il faudrait peut-être que M. Macron envisage de cesser de se moquer du monde, les meilleures choses ont une fin.
@ Robert Marchenoir
« Après la fonction de divan de psychanalyste que certains attribuent à ce blog »
(Bâillements…)
Ça apprendra aux gens à accuser gratuitement des victimes d’être complices de leur bourreaux.
Quand tout le monde se comportera correctement, eh bien… tout le monde se comportera correctement.
Sur ce, je vous laisse à votre chasse aux communistes. Elle est assez amusante, vu de loin.
@ Robert Marchenoir | 20 décembre 2019 à 09:47
Ahaha ! Vous qui voyez des communistes et des gauchistes partout dès votre réveil, vous êtes un connaisseur ! Que dis-je un professeur ! Un expert en paranoïa !
Là derrière vous ! Non ! ne vous retournez pas !…
https://www.youtube.com/watch?v=dKQZfjn4WD4&t=173s
Ilan Halimi
Sébastien Selam
Jonathan Sandler
Arieh Sandler
Gabriel Sandler
Myriam Monsonego
Yoav Hattab
Yoan Saada
Philippe Braham
Sarah Halimi
Mireille Knoll
Assassinés parce que Juifs.
https://twitter.com/ravgab/status/978287171072331776
@ Patrice Charoulet
Gustl Mollath
Vie bousillée parce qu’il avait raison.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Gustl_Mollath
On peut s’éclater à faire la liste de tel ou tel type de victimes. C’est un exercice fascinant et à peu près aussi constructif que de fabriquer soi-même ses propres casse-têtes chinois.
Et encore une fois, il n’y a pas que les feujs dans la vie. Et s’ils constituent l’ultima ratio de vos jugements moraux, c’est que vous avez encore des choses à vivre.
Les juifs, les juifs, les juifs, les juifs, les juifs…
Marre de cette monomania. Vraiment.
@ Xavier NEBOUT 09 :12 à 9h59
Entièrement d’accord avec vous.
S’engager contre le communisme était tout aussi honorable que de s’engager contre le nazisme. Le gros problème était qu’il fallait porter l’uniforme de la Wehrmacht ce qui, pour le Français moyen était insupportable. Si ces soldats avaient pu combattre sous un uniforme de couleur différente et sans être rattachés de force à la Waffen SS, ils auraient pu être considérés différemment.
Quant au procès du Maréchal, je reste encore étonné que l’on n’ait pas assez insisté sur la lettre que Ribbentrop (ministre des Affaires étrangères de Hitler) a adressée à Pétain en novembre 1943, laquelle était une longue liste de reproches qui dénonçait toutes les résistances que Pétain avait opposées à l’Allemagne, sabotant ainsi l’esprit de collaboration franco-allemande. Une telle lettre valait toutes les plaidoiries du monde.
Lors d’un déjeuner en petit comité privé avec Me Isorni en 1960, je m’en suis ouvert à lui. Il nous a expliqué avec quelque embarras que c’est Me Payen (autre défenseur du Maréchal) qui en a fait la lecture intégrale lors de sa plaidoirie et qu’il ne pouvait pas surenchérir…
Le courage, c’est de dire des choses si difficiles que les gens ne les supportent qu’en vous infériorisant.
Phrase bien mystérieuse… Pour faire image : comme quelqu’un de couché vous ferait tomber à son niveau en vous balayant les jambes plutôt qu’en se levant.
@ F68.10 | 20 décembre 2019 à 18:13 (@ Patrice Charoulet)
« Il n’y a pas que les feujs dans la vie. Et s’ils constituent l’ultima ratio de vos jugements moraux, c’est que vous avez encore des choses à vivre. Les juifs, les juifs, les juifs, les juifs, les juifs… Marre de cette monomania. Vraiment. »
Et voilà, encore un antisémite qui sort de derrière le papier peint dès qu’on commence à enfumer un peu la pièce.
C’est vrai, quoi : qu’est-ce qu’ils nous cassent les pieds avec leurs listes de martyrs ? Ils ne pourraient pas se laisser massacrer en silence, un peu ?
Non seulement ils veulent nous empêcher de critiquer la politique d’Israël, mais en plus ils se font tuer tout exprès dans ce but ! C’est un monde, ça !
Un antisémite qui se révèle pro-communiste, en plus. Tout pour plaire :
« @ Robert Marchenoir : je vous laisse à votre chasse aux communistes. Elle est assez amusante, vu de loin. »
Ouaip. Cent millions de morts + six millions de morts, c’est la poilade assurée. Mais vu de loin, hein…
« On peut s’éclater à faire la liste de tel ou tel type de victimes. »
Nous dit le type qui a débarqué sur ce blog en faisant semblant de s’intéresser aux sujets traités ici, mais en réalité dans le seul but d’attirer l’attention sur lui, afin de nous expliquer à quel point il est une victime. D’après lui, hein.
Victime de persécutions mystérieuses évoquées avec des allusions plus obscures les unes que les autres, tellement obscures qu’on finit par se demander si elles ne sont pas imaginaires.
Et en tout état de cause, on s’en tape. Comme je l’écrivais tantôt, à petite dose, c’est distrayant d’avoir ici un défilé de malades mentaux qui viennent étaler leurs problèmes intimes, mais il ne faudrait pas en abuser.
Surtout quand il s’agit de nous donner des leçons de morale à l’instant exact où l’on dénie la qualité de victimes à des personnes qui sont réellement persécutées, elles, au point d’être sauvagement assassinées les unes après les autres. Vieillards et enfants compris.
Moi, moi, moi, mon nombril et moi.
@ Robert Marchenoir
« Et voilà, encore un antisémite qui sort de derrière le papier peint dès qu’on commence à enfumer un peu la pièce. »
Quelqu’un qui n’en a rien à cirer de ces histoires idiotes n’est pas un « antisémite ». Juste quelqu’un qui en a plus qu’assez qu’on ramène toujours tout à des histoires qui n’ont aucun rapport avec la choucroute.
Un rationaliste lambda, en somme.
Faites votre chasse aux cocos et aux antisémites loin de mes yeux. Vous me pompez l’air sévèrement avec vos histoires idiotes.
@ Patrice Charoulet
Qui aurait cru qu’une de vos listes provoquerait une dispute ?
Tant qu’à parler de ce qui vous plaît, pourquoi pas ? Tout le monde le fait, ici.
Si vous aviez su, auriez-vous posté sous pseudonyme ?
@ F68.10 | 20 décembre 2019 à 22:47
« Faites votre chasse aux cocos et aux antisémites loin de mes yeux. Vous me pompez l’air sévèrement avec vos histoires idiotes. »
Ça y est… maintenant, c’est lui le propriétaire du blog. Il n’a pas fallu longtemps pour faire tomber l’épaisse couche de cuistrerie et les prétentions pseudo-scientifiques.
Dites-moi… les avanies que vous subissez de la part des docteurs… c’est quand ils vous ont informé que vous n’étiez pas Napoléon ?
« Quelqu’un qui n’en a rien à cirer de ces histoires idiotes n’est pas un ‘antisémite’. Juste quelqu’un qui en a plus qu’assez qu’on ramène toujours tout à des histoires qui n’ont aucun rapport avec la choucroute. »
Parce que vos histoires à dormir debout concernant vos aventures psychiatriques personnelles, elles ont un rapport avec la choucroute ?
La série de meurtres et d’agressions dont sont victimes les Juifs, en France et en Europe, est un peu plus importante que votre petit cinéma personnel, oui. Et quelqu’un qui qualifie ces persécutions « d’histoires idiotes dont il n’a rien à cirer » est un antisémite, en effet, sans l’ombre d’un doute.
@ Robert Marchenoir
« Parce que vos histoires à dormir debout concernant vos aventures psychiatriques personnelles, elles ont un rapport avec la choucroute ? »
Je ne vais répondre qu’à cela car c’est une attaque personnelle et que le reste ne m’intéresse que peu pour des raisons déjà ressassées.
On va être clair: quand Mary Preud’homme m’accuse de prendre le parti des bourreaux, effectivement une réaction est nécessaire. Quand hameau dans les nuages, qui se sent concerné par la question, engage la conversation, je lui réponds. Quand Noblejoué commente la situation, je lui réponds.
Et quand Robert Marchenoir joue la tête à claques, je lui réponds.
Si vous ne voulez pas que j’évoque ce sujet, c’est très simple: ne l’évoquez pas.
En effet, vous pouvez relire toutes mes interventions, je n’ai jamais évoqué ce sujet autrement qu’en réponse à une personne l’évoquant.
Trouvez une seule exception dans mes commentaires à la règle précédente, et votre critique commencera à prendre de la pertinence. (Il y en a une ou deux, en fait, mais vu le contexte de stress intense dans lequel je me suis mis dans le cadre de l’action que je mène depuis que Mary Preud’homme m’a provoqué, je trouve cela excusable.)
Pour l’instant, votre critique n’a ainsi qu’une portée faible, circonscrite par les circonstances résumées entre parenthèses ci-dessus.
Mais bref: ne l’évoquez pas, et je n’en parlerai pas. (Sauf circonstance exceptionnelle qui le justifierait.)
Mon problème avec la médecine date au minimum du moment où ma mère médecin s’est mise à confondre son gosse avec son patient: dès le premier jour de ma naissance. Je ne me suis jamais pris pour Napoléon. Par contre, les théories délirantes de mon inducteur, contredites par la science, polluent Doctissimo, et parlent de moi en filigrane de manière assez peu implicite.
J’ai prévu la publication de mes dossiers sur Internet pour le 15 janvier. La date peut évoluer selon les circonstances. Mais si publication il y a (c’est un chantage que j’exerce, donc je peux ne pas mettre à exécution cette menace selon les circonstances), vous pourrez admirer l’étendue du délire médical en détail. Depuis le premier jour.
P.-S.: à moins que vous ne souteniez publiquement l’idée que le génocide nazi fut une manifestation de l’intelligence humaine, je pense qu’il vous serait difficile de ne pas concéder que c’est effectivement une histoire, au minimum, idiote.
Les mots ont un sens.
Et ils ont aussi un contexte: en l’occurrence ce que je qualifiais d’histoires idiotes, c’est effectivement cette monomanie de citer encore et toujours les juifs hors de tout propos, comme si cela en faisait un argument autosuffisant.
Qu’on leur fiche la paix.
Et ce que vous appelez « les martyrs », j’appelle cela l’instrumentalisation des morts. Et je trouve cela parfaitement répugnant. Juifs ou pas juifs.
@ F68.10
En dehors de vos querelles sur les Juifs dont je me fiche totalement, une fois n’est pas coutume, j’aurais tendance à rejoindre Marchenoir concernant l’étalage de vos problèmes personnels. Ce n’est certainement pas sur ce blog qu’il faut en faire état. Simple question de pudeur.
Je pense que votre cas relève manifestement des compétences d’un psychanalyste.
Le seul conseil que je peux vous donner, surtout n’allez pas confier vos tourments à Gérard Miller. En deux ou trois séances il serait capable de vous faire adhérer à la France insoumise.
@ Achille
« Je pense que votre cas relève manifestement des compétences d’un psychanalyste »
Quand on lit ce genre d’article (l’auteur comprend deux ou trois trucs, toutefois), il est clairement contre-indiqué de fréquenter ces gens-là:
https://www.em-consulte.com/en/article/1026547
La psychanalyse fait partie du problème.
Quant à la pudeur, pour qu’il m’en reste, il aurait fallu interrompre la médecine quand j’avais commencé à dire « Non ». Cela n’a pas été le cas, et nous en sommes là maintenant: absence totale de pudeur. Et je ne vois pas comment je pourrais avoir la moindre pudeur désormais.
Même message qu’à Robert Marchenoir: n’évoquez pas le sujet, et je ne répondrai pas en retour. Évoquez le sujet, et je vous répondrai.