Certes il y a eu l’absurde dissolution mais, la France et le monde continuant à vivre, à surprendre et à inquiéter, on va bien finir par oublier ses déplorables effets.
En tentant, parfois, de rendre justice au président de la République.
Tout, il est vrai, n’est pas forcément de notre faute. Emmanuel Macron n’a pas une personnalité qui appelle une approbation sans réserve. Irréprochable dans son soutien à l’Ukraine et dans sa volonté de réarmer la France et de renforcer l’esprit et la résistance de l’Union européenne, il a été également convaincant dans son attitude à l’égard de l’Algérie. Son accord avec Bruno Retailleau sur la progressivité des mesures de rétorsion laisse espérer enfin une fermeté après tant d’humiliations subies par notre pays.
Que le président retrouve de l’importance grâce à cette vie internationale chaotique et à son incidence sur le plan national est une évidence. On ne peut guère lui reprocher cette évolution dans la mesure où il est naturel qu’il profite d’une situation, d’une crise dont il n’a jamais été responsable sauf à continuer ce jeu malsain qui consiste à inverser les culpabilités.
Le fait qu’Emmanuel Macron ne se représentera pas en 2027 devrait, en bonne logique, nous inciter à faire preuve à son égard de plus d’indulgence que de sévérité, à supposer que Marine Le Pen ne soit pas élue en 2027 – Jordan Bardella la remplaçant n’aurait aucune chance ! -, ce qui, de l’aveu même du président, signerait son échec le plus éclatant.
Face aux accusations systématiques à l’encontre d’Emmanuel Macron même pour le meilleur de son rôle international, notamment à cause de sa prétendue obsession de faire peur à ses concitoyens avec une dramatisation jugée excessive, on peut souligner que sur l’Ukraine, « l’axe Trump-Poutine inquiète les Français et monopolise le débat public » (Le Figaro).
Il me semble qu’il est injuste, dans ces conditions, de déclarer, comme Philippe de Villiers, que « nous sommes devenus des va-t-en-guerre » (JDNews). Comme si en réalité tout ce qu’il fallait accomplir non pas pour préparer la guerre mais pour la prévenir était une posture belliqueuse adoptée par notre nation.
On ne peut pas en même temps alléguer qu’il y aurait contradiction entre le souci de faire exister l’Europe et de la défendre – sur ce plan,le respect de la doctrine nucléaire française – et la paix qui se discuterait sans elle en Arabie saoudite. Il me semble qu’au contraire il y aurait là deux fers au feu, cumul d’autant plus souhaitable que les illusions sur Poutine, malgré les initiatives de Donald Trump, continuent à se dissiper. Le voir accepter la trêve « avec des nuances », qui ne tiennent à rien de moins qu’un abandon total aux exigences russes, démontre à quel point le vigilance du président français est plus que jamais nécessaire à l’équilibre mondial. Dont on ne saurait laisser l’administration au seul duo Trump-Poutine, le premier erratique et fluctuant, le second d’un cynisme et d’un mépris confondants.
Mon étonnement vient aussi du fait que les valeurs conservatrices souvent invoquées – honneur, dignité, courage, résistance et liberté – paraissent être oubliées quand on juge l’action du président pour porter haut une certaine idée de la morale internationale. Alors qu’elles devraient au contraire la légitimer.
Je ne peux pas m’empêcher, devant cette partialité constante à l’égard du président, de me demander qui, en France, confronté au même désordre, à la même incertitude internationale, serait capable de faire mieux, de représenter notre pays avec plus de constance et de fermeté.
À l’exception de l’attitude responsable d’un Bruno Retailleau : « Tant que je suis utile, je reste et j’avance » (Le Figaro), on ne peut pas soutenir que nos débats politiques internes, avec un Laurent Wauquiez précipitant son ambition présidentielle, un parti socialiste multipliant ses rivalités et LFI se spécialisant dans l’odieux au point de troubler certains de ses députés, rassurent au regard du bruit, de la fureur et des rares embellies du monde.
Dans une démocratie apaisée, je n’aurais même pas besoin de m’excuser de concéder à Emmanuel Macron une approche partiellement positive. Mais dans la France telle qu’elle est, je n’ai pas le choix. Je ne voudrais pas que ce billet fût considéré comme un péché politique mortel.
Voilà un billet solidement argumenté qui ne manque pas de courage. Il va à l’encontre de ce que l’on entend matin, midi et soir dans les médias du groupe Bolloré. Vous donnez par là même l’occasion au grand homme de montrer qu’il supporte la contradiction sur ses propres terres, il devrait vous en remercier.
Encore bravo !
Péché mortel de soutenir le président de la Ve République, seule entité à même de dire non aux pulsions infantiles de pantins surpuissants qui n’ont d’autre objet que de se vêtir, l’un d’une panoplie de Romains, l’autre de celle de Louis XIV et le dernier de sa livrée de guerrier ricanant déguisé en chrétien ?
Comme s’il s’agissait ici de Macron, qui de plus est une chance de par son âge d’avoir su depuis sept ans réfléchir à la situation du changement radical que nous vivons, et recueille désormais les fruits de sa prémonition exemplaire jusqu’à la dissolution, quand il écoutait le même instinct qui lui avait valu de renvoyer tous les caciques à leur renoncement lors de sa première élection, pour dire non aux démagogies qui aujourd’hui ne savent faire autre chose qu’exposer leur visage et leur incapacité à l’union indispensable.
Non, ce n’est pas Macron, cela, c’est la France, et il serait temps de laisser aux opinions barbares l’invraisemblable bashing dont il est l’objet, pour défendre ce que nous sommes quand ceux qui prétendaient en Europe protéger notre liberté nous laissent tomber comme depuis longtemps prévu par lui.
Nous sommes en France, et il est à espérer qu’il reste un peu de vaillance pour accepter le labeur nécessaire à la protection de notre modèle de société mutualisée, sans s’offrir à l’un ou l’autre système totalitaire qui n’ont d’autre projet que d’aller sur Mars satisfaire leur désir de vengeance testotéronée, par incapacité à aimer leur prochain sans l’envoyer au sacrifice, garant de la toute-puissance et des illusions de leur propre divinité.
Laissons donc les affiches au passé révolu avouer leur démence, les insultes au réel infester les réseaux, il ne sera pas dit, cher hôte, qu’il est péché mortel de servir son pays, mais plutôt exprimé un sincère et fraternel remerciement d’adhérer aux combats qui pour nous se préparent, constants face aux barbares qui nous cherchent querelle, pour mieux construire la paix.
Qu’Emmanuel Macron plaide désormais pour une « progression des mesures de rétorsion » dans notre rapport de force avec l’Algérie et soit de ce fait tombé d’accord avec Bruno Retailleau m’avait échappé et me va bien, au rebours de « sa volonté de réarmer la France et de renforcer l’esprit et la résistance de l’Union européenne » qui intervient à contretemps : que pèse l’Europe dans le rapport de force entre l’Ukraine et la Russie ? Mais même au mépris de ce qui unit les Européens, qui me paraît moins profond que ce qui les divise.
Macron me paraît fasciné par la guerre parce qu’il ne l’a pas faite, comme il est fasciné par l’avenir parce qu’il n’a pas d’enfant. Guerre au virus et guerre à la Russie, Macron sur le pied de guerre, « en première ligne », « comme Clemenceau dans la tranchée ou « [enfourchant] le tigre » comme un alpiniste qui n’aurait jamais fait d’escalade.
Macron est fasciné par la guerre comme avant lui François Hollande, mais au moins lui avait fait son service militaire en officier, et on n’imaginait pas à Macron le même tropisme anti-« séparatiste » et néo-conservateur qu’à son prédécesseur.
Macron donnant libre cours à une fascination progressive, commençant par réprimer ses concitoyens avec le même manque de retenue que Manuel Valls (les deux font la paire et sont des créatures de Hollande qui les a hissées sur le pavois), puis dans son extraversion, commençant par livrer ses coups à un « ennemi invisible », le virus, puis ne mesurant plus ses forces, ou plutôt sa faiblesse, et jouant de l’homophonie entre « irus » et « Russie » pour se croire à la hauteur de cet ours aux rages de grand fauve – les clins d’oeil sémantiques sont rarement aussi innocents que de simples galéjades.
« L’axe Trump-Poutine inquiète les Français », car il cimente non pas l’alliance de la carpe et du lapin, mais de l’imprévisibilité querelleuse et de la froideur calculatrice. Mais il marque le retour des personnalités politiques après la politique impersonnelle qui avait résulté, en partie pour le meilleur, de la volonté de ne plus tomber dans les errements de la guerre mondiale que Macron l’alpiniste est sans redouter, lui qui aime mieux la Grande Guerre que celle qui l’a suivie et rejoue l’escalade qui a mené à celle-là sans savoir gré à Poutine de n’avoir pas cédé à ses provocations de cobelligérance bouffonne pour ne pas nous entraîner dans l’autre.
Est-il anodin que l’Europe qui s’était fondée en vue de la paix prétende se maintenir par et pour la guerre sans n’avoir plus rien à défendre et surtout sans se poser la question du poids que pourrait avoir une communauté internationale vraiment multilatérale en cas de nouvelle agression russe, mais cela dépasse l’Europe.
L’Europe absorbant l’Ukraine sera l’Occident zombie cédant au « nihilisme européen ». Mais l’Europe sans la Russie est comme la Russie sans l’Europe : il manque à chacune un poumon. Dostoïevski s’explique par son dialogue avec les communautés francophones et plus encore germanophones de la Russie qui lui était contemporaine et explique la Russie par le dialogue avec les idées libérales qui émanaient de ces pays. Et l’Europe qui se déculturerait de Dostoïevski comme elle a prétendu le faire au début de la guerre en Ukraine en excluant les Russes de tous ses festivals se prive d’un contradicteur qui donne du souffle à son libéralisme et à son progressisme sans spiritualité.
« Mon étonnement vient aussi du fait que les valeurs conservatrices souvent invoquées – honneur, dignité, courage, résistance et liberté – paraissent être oubliées quand on juge l’action du président pour porter haut une certaine idée de la morale internationale. Alors qu’elles devraient au contraire la légitimer. » (PB)
À l’origine, quand je voyais le hiatus entre les valeurs et les actes, je pensais les gens hypocrites. Et je ne nie pas la part de la chose chez nous, ni que certains en sont orfèvres.
Mais en fait, je pense que la proclamation des valeurs vaut acte pour certains, confondant le dire et le faire. Bien la peine de se moquer des gens croyant encore aux formules magiques ! Confondre le mot et la chose ne se réduit pas aux sorciers et autres magiciens.
De plus, trop de gens confondent le peu qu’ils sont avec les actes héroïques de leurs ancêtres ou bien ceux des ancêtres de leur pays, religion ou parti. Là encore se donne à voir la mentalité irrationnelle dans sa manière de méconnaître les limites. On croit que les vertus se communiquent, quand on a la preuve du contraire chez les héritiers. Comme les totems unissent le groupe et flattent l’ego, comment faire autrement ?
On dirait la fabrique de nouvelles reliques par superposition de quelque tissu sur la relique originelle. L’avantage de la religion ? On ne peut pas prouver les reliques et autre grigri dépourvus de vertu. L’avantage de la vanité ? Relèverait-on la discordance des valeurs proclamées et des actes ainsi que le fait notre hôte, on ne serait jamais cru par les déchus de l’idéal.
Je ne sais quel est le mirage le plus trompeur : se croire détenteur des vertus qu’on nie d’autant mieux chez d’autres qu’on en usurpe la proclamation dont on est indigne ? Ou bien les croyances en des entités aussi improuvées qu’improuvables ?
Dans tous les cas, les deux se confondent souvent : le moi s’enfle bien au-delà de ses mérites de se croire élu de l’envers du décor. Et qui veut exercer un pouvoir a intérêt à le croire et le faire croire appuyé par le ciel. Les rêveurs donnent une forme aux nuages, les aspirants au trône une voix au silence du ciel.
Cher Monsieur Bilger,
Ce n’est pas en persistant dans l’aveuglement sur les causes de la guerre en l’Ukraine que l’on ira chercher là où notre psychopathe narcissique a mis notre pays dans la panade.
Alors répétons :
– Gonflement record de la fonction publique qui nous vaut un endettement abyssal
– Une pression fiscale record qui fait fuir les entreprises qui le peuvent
– Explosion record des normes qui pourrissent la vie des entreprises grandes ou petites
– Expulsion de l’Afrique
– Perte totale ou partielle de l’implantation très prometteuse des entreprises françaises en Russie, dont notamment Renault dont on n’entend pas beaucoup parler
– Dégringolade de la construction de logements dont on n’entend pas beaucoup parler
– Fuite record des capitaux dont on n’entend pas beaucoup parler
– Encombrement record des prisons
– Immigration record
Tout cela relève de faits incontestables, et on peut y ajouter une dégradation morale.
Alors, non, je ne vous pardonne pas, car vous savez tout cela aussi bien que moi et j’ai horreur du mensonge.
Quant à savoir qui ferait mieux : n’importe quelle andouille !
« …Emmanuel Macron n’a pas toujours tort ! » (PB)
Exact, comme n’importe quelle horloge en panne, il donne l’heure exacte deux fois par jour !
C’est quand même très insuffisant pour lui accorder la moindre confiance.
« Le voir [Poutine] accepter la trêve « avec des nuances », qui ne tiennent à rien de moins qu’un abandon total aux exigences russes, démontre à quel point le vigilance du président français est plus que jamais nécessaire à l’équilibre mondial. Dont on ne saurait laisser l’administration au seul duo Trump-Poutine, le premier erratique et fluctuant, le second d’un cynisme et d’un mépris confondants. » (PB)
En somme Poutine veut bien accepter une trêve – ce qui ne constitue nullement un armistice – mais à condition que les soldats ukrainiens déposent les armes.
Ensuite tout dépend des négociations qui se trament en Arabie saoudite.
Pourquoi en Arabie saoudite, plutôt que dans un pays d’Europe qui est quand même directement concerné par ce conflit ? Parce que les deux « Grands », qui depuis pratiquement un siècle décident du sort de la planète vu qu’ils se considèrent l’un et l’autre comme les Maîtres du monde, en ont décidé ainsi.
Ce que refuse Emmanuel Macron qui a bien compris les conséquences de ce genre de manigances et a décidé de mobiliser les autres pays de l’UE pour faire face à cette menace existentielle (comme on dit sur les plateaux télé).
Attitude qui n’a rien d’une tactique destinée à faire peur à la population, ainsi que le prétend Marine Le Pen et quelques figures emblématique de CNews et Europe 1.
Nous ne sommes pas devenus des « va-t-en-guerre » ainsi que le prétend Philippe de Villiers qui tous les vendredis soir, n’a pas de mots assez durs envers EM.
La situation nécessite une attitude ferme, déterminée, autrement dit « gaullienne », de la part du président en exercice. Et cela n’a rien à voir avec des tartarinades.
Mais bien sûr chez CNews on préfère chanter « tout va très bien madame la marquise », à moins que ce ne soit monsieur le vicomte…
Un exemple de merveille macronique : L’IFI, l’impôt sur la fortune immobilière.
Tout d’abord, l’IFI incite d’évidence à ne pas investir dans l’immobilier. D’autant que cela s’ajoute aux droits de succession qui augmentent chaque année faute de suivre l’inflation. Or, moins il y a de logements, plus le prix des loyers augmente…
Ensuite, il y a les exonérations d’IFI comme celle concernant les locaux loués à des « sociétés » – pas entreprise, mais « société », le niveau…
Alors, on a construit tellement de locaux commerciaux, qu’on ne sait à qui les louer. C’est le PIB à la française…
Un haut fonctionnaire faisant office de législateur ne va quand même pas s’abaisser à consulter un agent immobilier.
« Il a été également convaincant dans son attitude à l’égard de l’Algérie » (PB)
Au s’cours ! Philippe et ses provocs comme d’hab ! Même Tebboune est mort de rire.
Passons sur ce minuscule moment d’égarement et reprenons nos esprits.
Macron a réussi à détruire notre pays et y créer un chaos sans précédent, mission réussie grâce à ce peuple de cinglés masos qui veaute pour son malheur. Tant pis pour nous, c’est ce que nous voulons en définitive.
Macron qui se dandine dans le monde entier, tripote, câline, cajole tous les chefs d’État, les caresse, les enlace, les embrasse langoureusement, un spectacle dantesque humiliant, il assume bien son rôle de bouffon allah cour des grands : là aussi, il faut faire avec.
Macron fait le dur, le costaud, le fort des halles mais se déballonne en bon pétochard devant les racailles envahisseurs qui pillent cassent détruisent incendient en toute impunité sur notre territoire ; nous devons donc subir, se laisser lyncher tabasser égorger sans rechigner, c’est un ordre !
Macron à genoux devant l’Algérie, spectacle en boucle mondialement passé et repassé qui fait bondir de joie toutes nos racailles importées ; même Philippe l’avoue, c’est un succès sans aucun doute et sans rire : « Le premier qui rira aura une tapette » !
Si même Philippe dit des énormités pareilles, c’est vraiment que nous sommes en phase terminale et que nous devons déposer définitivement nos armes.
Pendant que notre guignol fait mumuse, Poutine a pris les commandes du monde et dicte ses conditions, nous avons la montre, lui, il a le temps.
Trump Imperator est toujours en pleine téléréalité avec l’avenir du monde et nous fait tous tourner en bourrique.
Et nous pendant ce temps, chez nous se joue l’avenir du voile dans le sport, Bruno Retailleau est contre, Marie Barsacq ministricule des sports le défend ardemment ; que voilà un combat homérique.
C’est hallucinant !
« La montée aux extrêmes » de René Girard, vous connaissez ? Macron incapable de penser à la paix qui n’est pas anéantissement de l’ennemi mais regarder la paix dans l’oeil de l’autre, et seul moyen de prévenir une escalade très dangereuse, mortelle pour tous.
On peut penser ce qu’on veut de Trump mais il est le seul à dire et à vouloir la paix. Négocier, a priori n’est pas un péché contre l’esprit et jusqu’à preuve du contraire on négocie avec son ennemi. C’est mettre la charrue avant les boeufs que crier à l’abandon et quant aux conditions il ne faut pas non plus humilier par avance l’ennemi ni nous en faire.
Cette hystérie anti-russe qui touche à sa culture me fait peur, comme en 14 l’hystérie anti-allemande, la détestable propagande de guerre qui conduit à l’anéantissement de l’ennemi et au nôtre. Allez voir « La Grande illusion » de Jean Renoir.
Si c’est être traître de négocier, alors allons tous combattre et vous le premier et exposez-nous au feu nucléaire. Pour quelle raison ? Relancer un conflit fratricide et remettre en selle un président dévalué ? La médiation, vous connaissez ? ou êtes-vous dans l’application de la loi, ou plutôt de votre interprétation de la loi, qui donne des résultats stupéfiants en France…
Je trouve Monsieur Bilger bien indulgent dans sa défense de Monsieur Macron. Plus exactement, son commentaire n’examine que l’action européenne du Président et son attitude est sur ce plan courageuse et justifiée. En revanche, dans la conduite des affaires en général, quel flop !
Qu’a fait Monsieur Macron depuis 2017 ?
– nous avons une dette abyssale, résultat du choix délibéré du quoi qu’il en coûte,
– ceci malgré des impôts parmi les plus élevés de la planète,
– notre notation par les Agences spécialisées n’a cessé de se dégrader,
– le taux de délinquance augmente chaque année, comme les violences physiques contre les enseignants ou le personnel médical ainsi que les cambriolages,
– l’état d’esprit n’est pas bon et antisémitisme et racisme prospèrent,
– le millefeuille est intact,
– la question de l’immigration n’est pas traitée,
– le principe de la séparation des pouvoirs est bafoué,
– etc.
Si on ajoute que, par suite d’une dissolution-catastrophe, gouverner est devenu une navigation parmi les ambitions électorales des partis, on ne voit pas de motif d’éviter le bashing. Surtout pas du côté de la réforme des retraites, des OQTF ou du coup de pied aux fesses que nous avons pris en Afrique.
En ce qui me concerne vous êtes totalement pardonné – et même remercié – Philippe Bilger pour ce billet plein de bon sens.
Toutefois je crains que vous ne vous fassiez houspiller par Pascal Praud lundi matin quand vous arriverez sur son plateau. Car je suppose que l’animateur de « L’Heure des pros » ne manque pas de lire les billets de son ami Philippe Bilger. Billet qui ne va pas du tout dans le sens de la ligne éditoriale de CNews résolument hostile à la « macronie ».
Et puis oser contredire Philippe de Villiers qui est un « monument » de cette station qui défend avec ferveur les thèses de la droite radicale, c’est presque un crime de lèse-majesté.
Enfin, nous verrons bien lundi matin… 🙂
« Irréprochable dans son soutien à l’Ukraine » (PB)
Alors qu’au contraire il s’est couvert de honte à plusieurs titres, après avoir employé ce moyen pour faire l’intéressant et gagner des points électoraux grâce un « effet drapeau » !
Mais de quoi je me mêle ?
Et l’ONU, c’est pour les chiens ?
Actuellement, il y a plus de 110 conflits armés dans le monde ! 110 !
https://www.geneva-academy.ch/galleries/today-s-armed-conflicts
Alors, s’il voulait absolument servir pour une fois à quelque chose, n’aurait-il pas plutôt dû se tourner vers d’autres conflits passés sous silence au lieu, après une réflexion prise dans son coin à son habitude par une nuit sans lune, d’avoir obligé les Français à monter dans cette galère ukrainienne pourrie qui ne les concerne en rien, oui, en rien, à la suite d’un énorme battage médiatique monté par des malfaisants aux intérêts troubles ?
Rappelons que la responsabilité de cette guerre, qui est bien antérieure au 24 février 2022 et qui est imputée uniquement de façon abusive à la Russie par une propagande tonitruante, remonte en réalité à plusieurs années auparavant, par l’instrumentalisation par la CIA de diverses oppositions conflictuelles internes à l’Ukraine, ce qui a conduit à une guerre par procuration entre les USA et la Russie sur le dos des divers habitants de l’Ukraine.
https://www.lefigaro.fr/international/si-l-ukraine-avait-suivi-mon-conseil-le-pays-serait-intact-aujourd-hui-les-confidences-de-john-mearsheimer-l-homme-qui-avait-predit-la-guerre-20250313
Notons que l’on nous rebat les oreilles avec l’expression « les Ukrainiens » alors que ce pays constitué de bric et de broc à partir de territoires pris sur les pays voisins, n’a rien d’homogène et est constitué d’une myriade de populations qui ne s’entendent pas toujours très bien.
Et tout ça, avec une partie des « gentils Ukrainiens » qui, 80 ans après 1945, entretiennent encore pieusement d’innombrables monuments à la gloire du nazisme et de ses collaborateurs auteurs de massacres de Juifs, et dont les admirateurs sont parfois intégrés ès qualités à l’armée ukrainienne…
Donc, M. Macron a au moins indirectement et par imprudence fait preuve de complaisance avec cette idéologie encore active en Ukraine et nous devrions lui emboîter un pas enthousiaste ?
Et ne parlons pas de la corruption phénoménale, qui a englouti une énorme partie de l’aide occidentale dans un trou noir.
Ou bien encore du trafic d’êtres humains ou d’organes, une industrie de ce pays.
Et c’est pour tout cela que l’on demande aux Français de se sacrifier, alors que l’ost est à l’os, et de se faire dépouiller de leurs économies par les irresponsables habituels ?
Aux fous !
Surtout tenez bon, souquez ferme, ça tombe bien, le billet de Philippe permet de faire diversion écran de fumée pour cacher une réalité bien plus terrible, dangereuse, catastrophique qui nous attend tous en 2027 : la prise du pouvoir par le RN ! Pire que tous les crimes de nos envahisseurs islamistes records et trafics narcos mondiaux qui se propagent allah vitesse de la lumière sur tout le territoire.
Ces fachos exSStrêêêmeuh drouâââte, racistes, islamophobes, poutiniens, trumpistes ? Non mais franchement, heureusement que le procès « re-ten-tis-sant » engagé contre Marine Le Pen va pouvoir nous éviter cette catastrophe annoncée.
Et puis, nous en avons déjà parlé, nous sommes sauvés, le Sénat a déshiberné un grand résistant mondial qui fait trembler Poutine, Musk et Trump réunis : Malhuret ! Hosanna in excelsis deo (dorant) because naphtaline.
« Il a été également convaincant dans son attitude à l’égard de l’Algérie. Son accord avec Bruno Retailleau sur la progressivité des mesures de rétorsion laisse espérer enfin une fermeté après tant d’humiliations subies par notre pays. » (PB)
Vous êtes bien indulgent pour quelqu’un qui a constamment varié (et pas seulement sur nos relations avec l’Algérie !) sur ce point.
Pour l’instant, j’ai beau chercher, y compris au microscope électronique, je n’ai point trouvé le début d’un résultat : les Algériens continuent d’affluer, forts d’une éducation coranique acquise dans les écoles et les collèges et imprégnés d’une histoire qui voit la France figurer un ennemi à haïr à tout jamais. Ils rejoignent sur notre territoire la cohorte de leurs coreligionnaires organisée par les influenceurs stipendiés par le régime FLN : par exemple, le recteur de la mosquée de Paris et Karim Zéribi qui dégueule sa haine sur CNews (!!).
Ceux qui ont avancé que Macron avait peur de la réaction des banlieues « weshisées » n’ont probablement pas tort : il a accès à toutes les sources de renseignement qu’aucun commentateur ou journaliste ne possède…
Pendant ce temps, notre grand écrivain Boualem Sansal est encore dans les geôles de cette junte militaire. Pas de quoi être fier…
« Je ne peux pas m’empêcher, devant cette partialité constante à l’égard du président, de me demander qui, en France, confronté au même désordre, à la même incertitude internationale, serait capable de faire mieux, de représenter notre pays avec plus de constance et de fermeté. » (PB)
Question naturellement sans réponse, mais vous rejoignez ceux qui avouent (ici-même) que Macron a été un choix par défaut.
C’est devant le mur que l’on juge le maçon (le Macron) et pour ma part je trouve son bilan affligeant.
Rendu dans ses écuries royales de l’Élysée, Grand Condé sans plus aucun souci des dernières charges que ferait peser sur lui un improbable gouvernement de Louis XIV, Emmanuel Macron semble s’être gracié lui-même depuis le temps des rencontres avec Vladimir Poutine en direct de Moscou.
Aujourd’hui principal confident du Zouave du pont de l’Alma, son « Sebastopol delenda est » (avant une nouvelle alliance rupestre franco-russe du type de celle de 1890, une fois que le tenancier actuel du Kremlin aura vidé les étriers) ne paraît authentique que depuis l’activité à large spectre diplomatique déployée par Keir Starmer.
Le cordon tendu par le Premier ministre britannique est un cordial, un élixir de survie politique, une ligne de vie dans les inextricables dédales de pourparlers qui, sans eux, pouvaient lui échapper.
M. Macron n’est jamais meilleur que dans la réaction, lui qui, il y a peu, prêtait autant d’importance (la fameuse « chambre d’écho » que l’on entend sur toutes les bouches de l’expertise des plateaux télévisés, le nec plus ultra du sonar médiatique) aux vues pro-russes de l’extrême gauche qu’à celles de la droite profonde, se retape la cerise sur le dos glacé, une espèce de forêt noire et rouge, de l’irrédentiste gâteau de l’administration tricéphale trumpienne, vancienne et muskienne.
Son « en-même-temps » fonçait tête baissée dans la catachrèse, il était temps pour lui de recharger sa métaphore personnelle, de la repolir, sinon de la redessiner, dans la profondeur de champ, sans faire abstraction de sa dimension temporelle.
L’imbroglio Retailleau-Tebboune n’aurait, comme celui qui présida à la guerre de Troie, jamais dû avoir lieu si le président français avait su jouer de sa personne, de sa vivacité juvénile. Il aurait pu sauter qualitativement les barrières sanitaires de la diplomatie, s’adresser habilement à la jeunesse algérienne, parler d’égal à égal avec elle, quitte à produire un chaotique nouveau « printemps maghrébin ».
M. Macron a trop voulu montrer qu’il savait interpréter – en soliste à haut potentiel – la partition française d’un Quai d’Orsay qu’il aida pourtant à dissoudre (il n’y a plus guère que le verre à dents de monsieur Araud qui émette encore quelque bruit fantôme rangé des voitures et des fourgons de fonction sur la piste du garage de LCI).
Les Français aiment la métaphore militaire, remarquait Baudelaire, métaphore anciennement moustachue, aux poils invisibles mais bien piquants sur la joue.
C’est tout un nouveau chemin allégorique qu’emprunte le chef de l’État, écoutons-le hennir de plaisir.
« Je ne peux pas m’empêcher, devant cette partialité constante à l’égard du président, de me demander qui, en France, confronté au même désordre, à la même incertitude internationale, serait capable de faire mieux, de représenter notre pays avec plus de constance et de fermeté. » (PB)
Fermeté…
Le bon président Tebboune, le véritable homme fort de la France et qui lui dicte sa loi, en rit encore.
Beaucoup de bruit pour rien ?
Assez simplement, M. Macron n’est pas un homme puissant, mais il a tendance à penser différemment.
Un exemple mineur, mais inquiétant : la France n’a plus de puissance financière ; dégradée, esquivant les boulets des agences de notation, elle voudrait tout de même participer au grand sacrifice qui menace en présentant une armée équipée et assez nombreuse pour ne pas ressembler à la gendarmerie monégasque. Il faut donc trouver les fonds et nos augures ministériels tournicotent de propositions en évitements, de raisonnement en sagesse, surtout un certain ministre hautain et glacial qui doit savoir où il va. Et où nous allons : le prélèvement obligatoire, qui va, tout à la fois, satisfaire aux besoins actuels et plonger le groupe territorial (ne parlons plus de nation) dans l’effarement, peut-être la panique, et certainement aussi, la sidération.
Il ne s’agit pas de complotisme mais de l’attitude de tout groupe dominant qui cherche à justifier son existence, tout en assurant sa permanence par la réalisation d’une mesure très banale dans ce type d’occurrence : le coup de force, parfaitement légal. Soit la chose réussit et le pays accepte de s’engager sous le drapeau, la peur au ventre, soit ça ne marche pas, et on se bat dans les rues.
À ce compte, la dissolution révèle sa justification : les autorités ????? nationales, dispersées, l’abaissement grossier des partis de gauche extrême les empêchant de figurer dans les leaders crédibles, et une extrême droite tellement vilipendée, y compris par les réputés républicains qu’elle en devient majori-marginale. Le pouvoir reste, au prix d’un effondrement social qui ne se justifie que si nous entrons dans le vif de la guerre.
L’attitude de M. Trump, qui tourne au vinaigre, ne se comprend que dans la même optique : briser les cadres habituels, choquer dans la vision d’un futur aisément prédictible, comme celui d’un collectionneur d’art, excentrique, follement dépensier qui se retrouve dans un deux pièces ou ces bâtisseurs de villes de châteaux ridicules qui n’ont d’autre ressource que de se ruiner physiquement.
Ce scenario serait du grand art, dédaignable par les analystes de qualité et qui n’est rapportable à aucune autre attitude dans les conflits mondiaux précédents.
Après tout, nous savons maintenant que nous sommes un accident biologique dans une chaîne d’évolution chaotique, relativement récent et que, même si nous faisons exploser notre planète, ce sera un pétard que l’astronome d’un monde plus lointain ne verra sans doute même pas.
L’impact des positions de M. Macron sur le conflit sont epsilonesques. Par contre il bénéficie d’un sursaut de popularité. J’en déduis qu’il a su utiliser à son profit les deux grandes lois du marketing.
M. Bilger vous êtes vraiment trop indulgent et trop sensible aux belles paroles.
On le sait, on l’a vu depuis huit ans, M. Macron aime jouer sur les peurs et forcément la guerre, ça calme.
Toutefois, pourquoi avoir attendu trois ans de la guerre russo-ukrainnienne, sans parler de l’instabilité mondiale avec de grandes puissances en embuscade pour réarmer notre pays ?
Souvenons-nous du renvoi du général Pierre de Villiers qui réclamait une augmentation du budget des armées. Depuis huit ans donc, M. Macron avait d’autres chats à fouetter, entre panthéonisations, inaugurations et autres parades pour parler et discourir, l’armée pouvait bien attendre. Il comptait sur nos vrais faux amis américains.
Trump est brut de décoffrage, ses prédécesseurs enveloppaient leurs discours dans du papier doré mais je doute qu’en cas de conflit grave, ils auraient aidé l’U.E., au moins dès le début d’une guerre, si leur intérêt n’était pas au rendez-vous.
Dans la vie, qu’on ait un pays ami ou pas, il ne faut compter que sur soi, notre encore jeune Président l’apprend à ses dépens.
On a appris à connaître le Président Macron. Tout est bon pour reprendre la main. Les Gilets jaunes, le virus, et maintenant il parle de la guerre pour se comparer à Churchill en détournant l’attention ; hélas pour lui, depuis ce coup d’éclat, on ne parle plus, et c’est heureux, que de paix.
Néanmoins c’est un bel exercice de diversion, aidé par son nouvel ami Starmer qui lui aussi a besoin de détourner l’attention des grandes difficultés de son pays qui se délite et s’appauvrit non pas comme on le répète à cause du Brexit mais bien à cause d’un apport récurrent de miséreux du monde entier.
Et pas besoin de lire et d’écouter ce qu’on appelle aujourd’hui la presse Bolloré pour comprendre les méandres de la pensée macronienne. La presse « propre » non Bolloré, financée par de grands industriels qui vont fabriquer des armes à la demande du chef de l’État, ne peut qu’en dire du bien.
Ne soyons pas naïfs et surtout pas au point de croire une fois encore que la guerre ne serait qu’un mauvais petit moment à passer, comme le croyaient les jeunes soldats, la fleur au fusil, en 1914.
Le monde entier est truffé de dictateurs sans états d’âme. Poutine, ce soviet des temps modernes c’est visible mais derrière on a la Chine, l’Iran, la Corée du Nord, la Turquie même, avec des dirigeants sournois qui sont prêts à intervenir en renfort.
M. Macron le sait c’est pourquoi son discours de va-t-en guerre n’est pas innocent. La preuve c’est que beaucoup de Français en ont oublié huit ans de vide. Dire de lui que c’est un grand homme, cela fait sourire.
Lorsque notre psychopathe pervers narcissique pique des crises, les merdias font son éloge…
https://www.google.com/search?q=brassens+quand+on+est+con+on+est+con&oq=brassens+quand+on+est+con+on+est+con&gs_lcrp=EgZjaHJvbWUyBggAEEUYOdIBCjE2ODUxajBqMTWoAgiwAgHxBTAKXhdO2bNo&sourceid=chrome&ie=UTF-8#fpstate=ive&vld=cid:2ec9aa13,vid:zMALuEYxK6U,st:0
« En tentant, parfois, de rendre justice au président de la République.
Tout, il est vrai, n’est pas forcément de notre faute. Emmanuel Macron n’a pas une personnalité qui appelle une approbation sans réserve. Irréprochable dans son soutien à l’Ukraine et dans sa volonté de réarmer la France et de renforcer l’esprit et la résistance de l’Union européenne, il a été également convaincant dans son attitude à l’égard de l’Algérie. » (PB)
Dans ce paragraphe de votre billet, j’avoue rester assez circonspect. Et tout d’abord, il serait souhaitable de définir le « notre faute », car je comprends mal en quoi le citoyen français lambda serait concerné par les choix politiques de monsieur Macron.
Par ailleurs, des commentaires exprimés jusqu’ici, je retiendrai ceux de
revnonausujai | 15 mars 2025 à 07:28, Solon | 15 mars 2025 à 10:35, Exilé | 15 mars 2025 à 11:22 et caroff | 15 mars 2025 à 11:34 qui me semblent émettre des critiques fondées.
En ce qui concerne la Défense de la France, au-delà de la démission à laquelle peu après sa prise de fonction il a acculé le général de Villiers de manière fort peu élégante, monsieur Macron avait ressenti les propos de ce dernier devant une commission de l’Assemblée nationale comme empiétant sur ses prérogatives alors qu’il évoquait les risques d’un retour à la guerre de haute intensité et de la nécessité de renforcer la budget de la Défense.
Cependant, force est de reconnaître que monsieur Macron a fini par se rendre aux arguments des chefs d’état-major successifs de nos armées et qu’il a entamé un doublement du budget de la Défense qui n’aurait son plein effet qu’à l’issue de son second mandat présidentiel.
Il convient aussi de ne jamais oublier que monsieur Macron, ancien Young Leader, a suivi une politique très favorable aux intérêts des États-Unis, notamment par ses liens avec les dirigeants de BlackRock ou de McKinsey dès avant son premier mandat, notamment quand il a été ministre de l’Économie. C’est aussi la période où, conseillé par McKinsey, il a vendu la partie nucléaire d’Alstom à General Electric.
Par ailleurs, c’est aussi lui qui a décidé l’arrêt définitif de la centrale nucléaire de Fessenheim par son tropisme vert.
Il faut aussi ne pas oublier que, membre de la commission Attali voulue par monsieur Sarkozy, c’est bien lui qui, pour faire des économies substantielles, avait proposé de supprimer la force de dissuasion nucléaire française ! Ayant exercé la fonctions présidentielles, il a dû changer son fusil d’épaule et il se trouve très heureux, dans les circonstances actuelles, d’être le seul chef d’État européen à disposer d’une armée professionnelle aguerrie, d’une force nucléaire qu’à présent l’Allemagne et la Pologne nous envient… Et aussi prêtes à bénéficier de notre parapluie nucléaire sans jamais avoir dépensé un kopeck pour sa constitution et son maintien !
En outre, dans sa position assez belliciste à l’égard de la Russie, je souhaiterais savoir ce qui de son dépit d’avoir courtisé monsieur Poutine comme il l’a fait en début de premier mandat pour se retrouver ensuite en butte aux actions de guerre hybride du Kremlin dans nos zones d’influence africaines, voire dans nos Outre-mer ou même sur le territoire national, conditionne son attitude actuelle à l’égard de la Russie et de son dirigeant.
Quant à l’Algérie, il conviendrait de relativiser son attitude actuelle. D’abord parce qu’il a agi contre la France et son Histoire en l’accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en la colonisant en… 1830 ! Et en s’appuyant sur Benjamin Stora pour réconcilier la France et l’Algérie. Je renvoie à ce sujet au livre que j’ai cité dans mon commentaire du précédent billet (Robert | 14 mars 2025 à 16:55).
En second lieu, après avoir pris fait et cause pour l’Algérie sur le Sahara occidental (ex-Sahara espagnol), d’un coup, il a pris position pour le Maroc et contre l’Algérie, ce que les dirigeants actuels ne lui pardonnent aucunement malgré l’abaissement auquel il a contraint son ministre de l’Intérieur ou notre ambassadeur en Algérie en déposant des gerbes au monument du FLN à Alger.
Ou encore sa propre présence au pont de Bezons le 16 octobre 2021 pour commémorer le « massacre », cérémonie au cours de laquelle il reconnaît là des « crimes inexcusables pour la République », épousant ainsi les thèses du FLN portant à plus de 300 les victimes algériennes, nombre avancé par le journaliste d’extrême gauche Jean-Luc Einaudi, alors même que nos historiens les plus sérieux contestent ce nombre et le réduisent à moins d’une dizaine.
En dernier lieu, s’agissant d’accords inter-gouvernementaux, qu’il s’agisse de ceux de décembre 1968 ou les suivants, n’ayant pas la qualité de traités, il appartient constitutionnellement à mon sens au seul Premier ministre de pouvoir les dénoncer, dans la mesure du possible avec l’accord présidentiel mais aussi le cas échéant contre son avis.
Il n’y a plus que Monsieur Bilger pour croire à une quelconque sincérité et compétence de Macron sur quoi que ce soit.
C’est au point où on se demande si ce n’est pas juste par esprit de contradiction, pour juste dire que Monsieur Bilger a une opinion personnelle fût-elle totalement délirante.
« on peut souligner que sur l’Ukraine, « l’axe Trump-Poutine inquiète les Français et monopolise le débat public » (PB)
Si le « Gorafi » le dit c’est que ça doit être vrai… J’ai même vu un pseudo-sondage sur je ne sais plus quelle chaîne info pro-guerre en Ukraine du genre LCI et Rochebin qui se réjouit de la poursuite de la guerre et donc de centaines de milliers de morts, qui disait que les Français avaient peur de la guerre avec la Russie. Un sondage fait par une obscure ONG qui d’habitude ne fait jamais de sondages, financée par l’Open Society de Soros le démocrate US, dont la présidente est la femme d’un haut placé macroniste.
Alors après tout ça, c’est sûr que si le populo français n’a toujours pas compris qu’il faut que tous les Ukrainiens crèvent au hachoir à viande russe pour que l’UE devienne un seul et unique empire dont le Grand Mamamouchi sera Macron 1er, c’est sûr qu’il y a de quoi désespérer…
On se croirait revenu aux pires heures de la peur de l’invasion rouge. Les chars russes sont déjà aux portes de Paris alors qu’ils n’ont même pas réussi à conquérir plus de 20 % de l’Ukraine en 3 ans.
Après la « guerre » contre le Covid qui a dévasté l’humanité n’est-ce pas ? Alors qu’il n’y a pratiquement aucun changement des courbes de mortalité par rapport aux années précédentes, voici le retour de la bonne vieille menace du popov et de ses chars sur les Champs-Élysées qui va violer vos fils, vos femmes et vos filles, dans le désordre, c’est ça les popov, ils font ça dans le désordre, les sala*ds ! Au moins avec les boches on sait que ça se fait dans l’ordre et la « Deutsche qualität » et c’est pour ça qu’on les a toujours bien aimés, la preuve avec l’UE.
Bref, « Macron n’a pas toujours tort », laissez-moi réfléchir… Ah c’est vrai, Notre-Dame a été reconstruite en 5 ans, avec des costumes de clowns et des meubles de chez Ikea mais au moins elle a été reconstruite.
C’est vrai que Macron n’a pas toujours tort finalement.
Quand j’étais adolescent dans les années 80, le chanteur Sting a sorti un tube qui a très bien marché dans toute l’Europe, que j’ai acheté je l’avoue, qui s’appelait « Russians ». Le refrain « I hope the Russians love their children too » voulait dire, pour les non-anglophones, « J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants ».
À l’époque et à l’âge qui était le mien et avec le bourrage de crâne anti-rouges made in USA dont la France était « victime » plutôt (totalement) consentante, ça ne m’avait pas choqué du tout, ni personne d’autre de ma connaissance d’ailleurs.
Vous imaginez qu’un chanteur millionnaire rosbif ose écrire des paroles d’une chanson qui se pose la question de savoir si les parents d’un autre pays aiment assez leurs enfants juste par peur totalement fallacieuse et alimentée par des gouvernements et médias pro-USA, comme s’il fut possible que les Russes provoquent une guerre nucléaire qui anéantirait l’humanité ?
Eh bien quand j’entends aujourd’hui les délires de Macron et de certains autres dirigeants européens, dont les rosbifs qui sont responsables des centaines de milliers de morts ukrainiens et russes de cette guerre inutile qui aurait pu s’arrêter en deux semaines, j’ai un peu l’impression qu’on en est revenu à la stupidité de mon adolescence et que l’humanité n’apprend jamais rien de ses erreurs.
La seule différence est qu’à l’époque l’Europe était sous domination totale des USA et qu’aujourd’hui plus personne de sensé n’est aux commandes et tous ces fous furieux européens qui ont eu tort sur tout depuis des décennies sont prêts à nous entraîner dans une guerre nucléaire qui serait l’éradication de l’humanité.
Il serait temps que les Français se réveillent.
—
Il faut voir à quel point la russophobie actuelle alimentée par les dirigeants européens comme Macron atteint un point de folie incroyable !
Sur LCI, le général de plateau TV Yakovleff, qui semble-t-il n’a rien d’autre à faire d’intéressant de sa vie vu qu’il est tout le temps là, a déclaré : « Rien de pire que la guerre ? si, il y a la dénazification version Poutine. À côté de ce que propose Poutine, ce que la France a vécu de 40 à 44 c’est peace and love, on est dans l’Eurovision ».
Au milieu de la starlette qui présente l’émission, Émilie Broussouloux, mariée au fils Hollande, et de pseudo-« spécialistes et autres universitaires triés sur le volet » comme on dit dans le « milieu », dont aucun ne réagit.
—
Monsieur Bilger, il faut parler du massacre des Alaouites et autres croyances en Syrie par le nouveau gouvernement islamiste supporté par les gouvernements européens.
Souvenez-vous que le nouveau chef de la Syrie islamiste refusait de serrer la main de l’envoyée allemande.
Les Occidentaux qui voulaient la chute de Bachar sont responsables des massacres qui commencent.
Le jour où la pseudo-« révolution » syrienne est arrivée, j’ai dit sur un autre site que le peuple syrien allait très bientôt regretter Bachar. Ce n’est que le début.
Nous ne pouvons pas rester silencieux.
@ Vive la France ! | 15 mars 2025 à 18:38
Vous voulez dire : vive le mensonge, la lâcheté et l’ignominie.
« on peut souligner que sur l’Ukraine, « l’axe Trump-Poutine inquiète les Français et monopolise le débat public » (Le Figaro » (PB)
Mais cette inquiétude ne tombe pas du ciel par hasard, elle a bien été fabriquée quelque part à des fins troubles, non ? Et par qui ?
Puis elle a bien été ensuite martelée par des médias complaisants, que l’on retrouve généralement dans ceux d’entre eux coutumiers des campagnes de communication portant sur des questions sensibles ou sur des sujets sociétaux clivants, non ?
Alors, à qui profite le crime ?
Pour ceux qui ignoreraient encore comment il est possible de leur mettre dans la tête, à leur insu, ce à quoi ils n’auraient jamais pensé par eux-mêmes, voir :
https://nouveauxmedias.fr/theoriser-la-manipulation-le-siecle-dedward-bernays/
Au passage, nous retrouvons là aussi nos chers amis de la CIA…
« Bernays a joué un rôle majeur dans le coup d’État au Guatemala en 1954. Commandité par la United Fruit Company et associé à la CIA, il parvient à mener une campagne de dénigrement contre le “Guatemala communiste” auprès de la presse américaine jusqu’à mener au putsch. »
Bref, tout porte à croire que des techniques de ce genre ont été mises en œuvre pour nous faire accepter malgré nous l’éventualité (désagréable) d’une guerre en Ukraine contre la Russie, tout en nous poussant à soutenir le régime de Kiev.
@ genau | 15 mars 2025 à 13:56
« Après tout, nous savons maintenant que nous sommes un accident biologique dans une chaîne d’évolution chaotique, relativement récent et que, même si nous faisons exploser notre planète, ce sera un pétard que l’astronome d’un monde plus lointain ne verra sans doute même pas. »
Surtout avec François Bayrou qui confond système solaire et galaxie.
« Pardon mais Emmanuel Macron n’a pas toujours tort ! » (PB)
Surtout après avoir écouté le sénateur Claude Malhuret, tenant un discours éloquent, juste et direct qui a frappé fort les esprits européens endormis et averti les Américains libres du danger qui les guette.
Bravo Sénateur Malhuret, vous êtes le meilleur ! E. Macron, V. Poutine, D. Trump, E. Musk et Xi Jinping devaient rester scotchés face à une telle franchise en direct, comme le reste du monde d’ailleurs.
Quand je pense que James David Vance, le valet de Trump, nous reproche le manque de liberté d’expression… Eh bien, ils sont tous servis.
La fin de la récréation a sonné, j’ai adoré !
https://www.youtube.com/watch?v=m8qSZO4jvTI
À l’exception de deux ou trois intervenants atteints de macronite chronique aiguë, maladie dégénérative incapacitante, il y a une belle unanimité sur Emmanuel Macron.
Acteur de son propre rôle, dépourvu de convictions et dont le vide se remplit, à chaque grande occasion, de l’air du temps.
Avec cette capacité à changer d’avis aussi souvent que le vent dominant l’impose pourvu qu’il reste sous les lumières de l’actualité, aidé dans ce tournis de girouette par les médias complaisants.
Il nous raconte que nous sommes en guerre, encore une fois, après la grande guerre contre la Covid, voici la super grande guerre contre la Russie, qu’il ne fallait pas humilier il n’y a pas si longtemps.
Mensonge même pas d’État, nous ne sommes pas en guerre, mais qui donne à celui en parle l’air d’un président résistant.
Un mensonge qui permet d’occulter une vérité dérangeante, l’incapacité d’un président à résoudre les vrais problèmes du pays.
Le président fait ce qu’il sait faire de mieux, il cause en se donnant des airs de gravité.
Et pendant de temps-là le Mercosur qui assassinera notre agriculture continue son chemin.
Et pendant ce temps-là l’Algérie continue de refuser ses citoyens OQTF en France, et le président Tebboune en rigole doucement.
Et pendant ce temps-là le pacte de Marrakech ouvre grand les frontières aux immigrés, clandestins ou pas. En fait surtout aux clandestins puisque les légaux disposant de documents n’ont pas besoin de pacte pour rentrer.
Et pendant ce temps-là, les Gilets jaunes attendent toujours un bilan du grand débat, où Macron, manches de chemise blanches retroussées, faisait la démonstration de ses qualités de débatteur de foire… d’empoigne.
En juin 2020 était décidée par le président Macron la fermeture de la centrale de Fessenhem, le nucléaire n’étant plus à la mode en Allemagne sous Angela Merkel, il ne devait plus l’être en France.
Le vent ayant tourné, le même président Macron annonçait le 12 octobre 2021 un plan d’investissements « France 2030 », doté de 30 milliards d’euros, dont un milliard d’euros pour la filière nucléaire, en particulier pour le développement des petits réacteurs modulaires.
Décidé à frapper vite et fort comme à son habitude – humour – sous sa directive, le 27 novembre 2023, le ministère de la Transition énergétique, afin de soutenir les PME et ETI sensibles de la filière nucléaire, dévoile la liste des six nouveaux lauréats qui recevront dans un premier temps 77,2 millions d’euros de subventions,
Voilà, c’est ça Macron, en 2020 plus de centrales nucléaires, pas à la mode, en 2021 un plan de un milliard pour la filière nucléaire et pour finir, fin 2023, généreusement 77 petits, tout petits millions, débloqués, après formalités administratives.
On attend encore la pose de la première pierre d’une nouvelle centrale.
Et certains en sont encore à s’enthousiasmer des propos de ce président !
On rêverait que nous fussions des ectoplasmes, des fétus de la réflexion comme il y a des fétus de paille. Heureusement la liberté résiste*.
Hommes libres nous sommes encore capables de dire non, mille fois non, à Macron.
*cette belle phrase n’est pas de moi 😉
@ Ellen | 15 mars 2025 à 22:38
Et ce va-t-en guerre voulant poursuivre les va-nu-pieds jusque dans les chiottes s’est complètement planté pendant l’opération militaire « Covidstorm ». Encore un docteur Folamour complètement piqué (ou pas) à la solde des labos. Un Marty number two avec ses milliards d’années de recul sur l’efficacité du vaccin.
Je lui conseille plutôt de se vermifuger deux fois l’an au Flubendazole. Ça fera 30 euros.
@ Vive la France ! | 15 mars 2025 à 18:38
Lui, il me fait penser à la chanson de Pierre Vassiliu « Qui c’est celui-là ? ».
Encore un « original » qui vient faire le kéké sur ce blog en nous déballant des discours de Nicolas Dupont-Aignan, à moins que ce ne soit du Florian Philippot qui ne représente même pas 2 % des intentions de votes. 😊
@ Ellen | 15 mars 2025 à 22:38
« Bravo Sénateur Malhuret, vous êtes le meilleur ! »
Vous voulez dire le dingo égocentrique qui voulait enfermer les non vaccinés dans des caves pendant la pseudo-crise du covid ?
Non, ne les sifflez pas, disait le candidat apparu de nulle part, élu de par les échecs successifs des progressistes comme des conservateurs à savoir réformer le pays.
La proposition de cheminement commun aura mis presque huit ans à démontrer que l’alternative est entre son acceptation, ou la régression démocratique dont les Américains nous offrent le spectacle désolant.
Les Français peuvent en rester à la négation nihiliste de leur réalité née de la défaite totale de leur impérialisme révolu, ou comprendre qu’ils ont l’occasion d’engager l’Europe sur une autre voie que la répétition fatale des effets de meute auxquels beaucoup cèdent ici, quand le wokisme a contaminé tous les esprits, chacun se considérant victime de l’autre, pensant légitime d’alors se comporter comme des chiens vengeurs et traîtres à la nation.
Tant que les citoyens n’auront pas compris que Macron n’est que le symptôme de cette pathologie létale pour la démocratie, ils ne comprendront pas que son échec n’est que l’échec du pays à savoir incarner sa réalité historique de leader du monde libre, quand un général sut tirer les conclusions de l’effondrement total de l’État français en 1940 et le reconstruire en lui donnant les moyens qui, quatre-vingts ans après, lui donnent capacité à défendre ce qui n’est rien d’autre que la possibilité d’un avenir pour l’humanité, renvoyant les vainqueurs du dernier conflit mondial, réunis aujourd’hui pour mieux en répéter la défaite honteuse face aux forces du mal, à l’éclatant échec démocratique qu’ils incarnent.
Les adeptes d’Ancien Régime aujourd’hui sont confondus avec les révolutionnaires d’alors au même désir de décollation, répétition d’un rite ancien que le texte chrétien a dévoilé parfaitement depuis deux mille ans, ôtant à l’humanité l’armure mensongère qui la protégeait de sa propre violence, dont il ne sert à rien d’accuser l’un ou l’autre bord aujourd’hui confondus dans la même incapacité à savoir la contenir autrement qu’en s’entre-détruisant, pour dégager ce qui aujourd’hui en Europe apparaît en sa toute simplicité éclatante, l’humanité ne survivra qu’à savoir se réconcilier.
On a le droit comme genau de continuer à ne pas accepter sa condition de mortel, on en reste aux débordements romantiques au bénéfice du chaos, soumis à l’orgueil destructeur de qui refuse la vie et répète la danse mensongère des meurtriers par incapacité à savoir pardonner.
Le choix est clairement posé et s’exprime en français, l’amour ou la destruction, l’orgueil de la domination ou l’acceptation d’être une créature inscrite en un mouvement qui la dépasse et lui propose d’en être l’incarnation.
Que la paix protège nos vies, et la patience !
Le langage et les actions politiques, la propagande sont destinés à rendre vraisemblables les mensonges, et respectables les meurtres. Donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que du vent.
Trouver de la respectabilité chez un homme qui ne s’inquiète guère des crimes commis par des mouvements étrangers sur notre territoire, et nous prépare peut-être à la fin du monde ou pour le moins à une extinction de masse, est pure folie.
Au fait, la liste des volontaires pour aller au massacre est ouverte, inscrivez-vous, faites le premier pas avant d’y envoyer vos enfants ou ceux des autres.
Victor Hugo nous dit « Il me convient d’être avec les peuples qui meurent, je vous plains d’être avec les rois qui tuent ».
Pardonnez-moi, mais j’ai bien peur que la folie nous gagne.
Cher Philippe Bilger,
Je partage votre sentiment. Cet excellent président n’a pas toujours tort. Laissez-moi ajouter qu’il a très souvent raison. J’ai demandé ici maintes fois qu’on réponde à cette très simple question : depuis sept ans, qui aurait mieux fait que lui ? Nul n’a pu avancer un seul nom. Et pour cause.
@ Tipaza | 15 mars 2025 à 23:58
« Acteur de son propre rôle, dépourvu de convictions et dont le vide se remplit, à chaque grande occasion, de l’air du temps.
Avec cette capacité à changer d’avis aussi souvent que le vent dominant l’impose pourvu qu’il reste sous les lumières de l’actualité, aidé dans ce tournis de girouette par les médias complaisants. »
Je vous ferais juste remarquer qu’en matière d’atermoiements, Marine Le Pen n’est pas mal non plus.
– Après avoir introduit la sortie de l’euro dans son programme, elle a finalement abandonné cette idée qui n’était pas vraiment rassembleuse auprès des électeurs.
– Après avoir largement montré son admiration envers Poutine, elle émet maintenant des réserves à son sujet, sans doute pour la même raison.
– Actuellement elle semble montrer sa préférence pour Donald Trump dont les méthodes n’ont finalement rien à envier à Vladimir Poutine.
On attend maintenant les prochaines « évolutions » de son programme. Mais il faut quand même qu’elle fasse attention dans le classement de ses fiches ! 🙂
@ Tipaza
Relisez le titre du billet de notre hôte qui met en évidence que votre belle unanimité n’est que l’illusion de vos infantilismes.
@ hameau dans les nuages | 15 mars 2025 à 20:36
« Surtout avec François Bayrou qui confond système solaire et galaxie. »
J’ai vu également la séquence dont vous parlez. Effectivement, c’était assez sidérant. Mme Borne, ex-ministre de l’Éducation nationale, présente à ses côtés, n’a même pas tenté de sauver le soldat Bayrou. Finalement, dame Nature nous rappelle que nous sommes tous des « Joe Biden » en devenir, certains plus rapidement que d’autres.
Si Macron met à exécution son projet de remettre à l’Allemagne notre force nucléaire de dissuasion, il aura commis un crime de haute trahison. Ce ne sera plus alors une question d’avoir tort ou raison.
@ Achille | 16 mars 2025 à 08:57
« Je vous ferais juste remarquer qu’en matière d’atermoiements, Marine Le Pen n’est pas mal non plus. »
Mais que voulez-vous que ça me fasse !
Libre de mes opinions je n’ai jamais été encarté nulle part.
Trouvez-moi un seul commentaire de ma part où j’ai défendu MLP, je ne pense pas que vous puissiez en trouver. Croyez-moi ou pas, je n’ai jamais voté pour elle.
J’ai partagé beaucoup des points de vue de JMLP, pas tous, et la façon dont MLP a viré son père n’a pas été appréciée de tous les anciens de sensibilité canal historique FN.
À présent, je me sens proche de Zemmour et Sarah Knafo, je l’ai dit d’ailleurs. Proche sans être lié, je suis trop intello pour être un militant.
Et Sarah a cette petite étincelle d’intelligence vive, qui manque à Marine.
Que voulez-vous j’ai toujours privilégié l’intelligence sur la beauté et avec Sarah Knafo, on n’est pas loin d’avoir les deux.
Pour blaguer puisque c’est dimanche, disons qu’il manque à Sarah des yeux verts, mais c’est si rare que je lui pardonne.
——————————————
@ Aliocha | 16 mars 2025 à 09:03
Tiens il a encore fugué de la maternelle !
@ Robert Marchenoir
C’est que la lâcheté est le maître mot de la démocratie représentative.
Après avoir rêvé d’être un élu, vécu et tout fait pour y arriver, Macron a peur de ne pas laisser une trace de héros dans l’histoire.
Notre psychopathe narcissique international mettrait l’Europe à feu et à sang pour être le chef de guerre qui ferait la couverture des livres d’histoire.
Avec ses manières que nos pucelles effarouchées de la corruption, de l’imposture et de la lâcheté qualifient de rustres, D. Trump remet Dieu au centre de la vie politique, à la fois à haute et intelligible voix, et en comptant les souffrances et les morts d’une guerre dont il rend à juste titre son prédécesseur, Zelensky et l’Europe, responsables.
Et c’est alors là que Macron fait merveille en parfait représentant de ce qui sépare de Dieu, le DI-ABLE.
@ Tipaza | 16 mars 2025 à 09:33
« Que voulez-vous j’ai toujours privilégié l’intelligence sur la beauté et avec Sarah Knafo, on n’est pas loin d’avoir les deux. »
Concernant Sarah Knafo, j’avoue que je plus sensible à son physique avenant qu’à son intelligence et surtout à ses idées. Ceci étant je n’irai pas jusqu’à voter pour elle.
Comme dit Camus, « un homme ça s’empêche », en particulier quand il s’agit de politique. 🙂
« …sa volonté de réarmer la France » (PB)
Surtout que ce petit génie jugé « compétent en économie » d’après ses électeurs ayant subi un intense lavage de cerveau médiatique en 2022 et en 2017, est lui-même responsable d’avoir détruit des pans entiers de l’industrie de défense en les ayant vendus à l’étranger…
Et après, comme d’habitude, ce sera au cochon de payant d’être saigné à blanc pour remonter la pente et réparer les dégâts causés par celui qui semble s’acharner à nuire à la France dans tous les domaines…
Le président Trump avait bien cerné le personnage, par une formule triviale mais parlante.
Pardon, Philippe, mais Emmanuel Macron n’a pas souvent raison… Et cette fois encore moins que dans d’autres circonstances. Son analyse de la situation géostratégique créée par le retour au pouvoir de Donald Trump est obsolète, erronée et donc dangereuse, puisqu’elle le conduit à vouloir réarmer. Jamais les armes ne sont restées muettes après avoir été fabriquées. Y compris l’arme nucléaire, utilisée en 1945 à Hiroshima et Nagasaki.
Au XXIe siècle, ce ne sont plus les patries qui s’affrontent, mais les puissances économiques. Si l’on admet cela, la lecture des évolutions récentes des conflits devient limpide et leurs soubresauts cohérents.
Même celui qui ensanglante le Moyen-Orient, lié à des guerres de religion d’un autre âge, s’éteindra, soit par l’anéantissement économique du principal fauteur de troubles, soit par la négociation de « deals » qui assureront la prospérité de tous les belligérants d’aujourd’hui. Vu sous cet angle, le projet de Trump, faire de Gaza une autre Riviera, n’est pas si aberrant qu’on le dit. Les « fous de Dieu » disparaîtront, emportés par la « pax economica », bien plus sûre et pérenne qu’une « paix armée ».
Aujourd’hui, le but de guerre n’est plus la conquête territoriale, le besoin d’espace vital. L’objectif est de s’emparer des richesses industrielles, énergétiques et technologiques d’un pays et, surtout, des matières premières qu’il possède dans son sous-sol. On se bat dans la région africaine des Grands Lacs parce que cette zone immense recèle des trésors.
Si les États-Unis sous Biden ont englouti des dizaines de milliards de dollars en Ukraine, c’est, bien au-delà du prétexte de la défense de la liberté des peuples, parce qu’ils lorgnent les métaux rares de cette contrée qui, pour eux, n’a aucune autre importance. Si Zelensky n’avait pas tenté de négocier l’exploitation de ceux-ci en partenariat avec des sociétés américaines contre une protection militaire de longue durée, le clash du Bureau Ovale n’aurait pas eu lieu.
Derrière les discours d’apparence belliqueuse de Trump, il faut surtout voir des ambitions économiques à la mesure des besoins des États-Unis. Le Groenland, pour lui, est un nouveau Far West, une immense mine inexploitée. Quant au Canada, il imagine en faire, non pas simplement un État de plus de la Fédération, mais une réserve gigantesque qui assurerait aux États-Unis les moyens, face à la Chine, de maintenir aisément son rang de première puissance mondiale.
C’est pour cette même raison que, dès son premier mandat, il a entrepris d’augmenter sans sourciller les droits de douane. Outre la croissance des ventes des produits made in USA sur le marché national, cette politique agressive lui permet d’attirer sur le territoire américain les plus grands groupes étrangers. Le fleuron français du transport maritime, CMA-CGM, n’a-t-il pas annoncé, la semaine dernière, des investissements de 20 milliards de dollars outre-Atlantique ?
On peut ne pas partager les appétits démesurés de Trump, ni ses méthodes d’homme d’affaires sans scrupule, mais, pour les contrer, encore faut-il analyser la situation ainsi créée sans paniquer, ne pas se tromper de combat et répondre avec les armes adéquates. Dans le cas présent, elles doivent être avant tout économiques.
Macron ne l’a pas compris. Banquier d’origine, il n’a jamais fait grand cas de l’économie réelle, n’a rien appris à Bercy et croit encore que la finance dirige le monde, alors que celle-ci doit depuis toujours son existence à l’économie.
Persuadé par ailleurs qu’il est dans la lignée des plus grands, de Gaulle, Churchill, Napoléon… et que son destin sera historique si, comme eux, il devient « chef de guerre », il a engagé, non seulement la France, mais aussi en partie l’Europe, sur le pire sentier, celui de la guerre.
Pour y parvenir, il a extrapolé des déclarations de Trump sur sa volonté d’obliger les Européens à mieux financer l’OTAN, que les États-Unis étaient décidés à ne plus appliquer l’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord. Trump, à aucun moment, n’a brandi sérieusement cette menace. D’autant plus que ce texte, qui, en quelque sorte, interdit à la Russie de faire un pas vers l’ouest sous peine de représailles extrêmes, il en a besoin, entre autres arguments, pour conduire Poutine à accepter une paix durable.
Aujourd’hui, au lieu de mettre leur argent dans la fabrication d’armes de guerre destinées à combattre un ennemi potentiel, les 27 devraient mobiliser leurs forces pour entreprendre une relance massive de leurs économies, toutes en berne. L’objectif essentiel de l’Europe devrait être de donner à ses États-membres les moyens d’être présents dans le combat déjà en cours entre tes grandes économies du monde. Pour l’heure, ils sont sur le point d’en être définitivement éjectés. Tous, y compris l’Allemagne.
Cet objectif, unir nos économies pour assurer la paix, n’est-il pas celui de ses origines ? Tout a dérapé quand la CEE est devenue l’UE. Il est temps de revenir aux sources… et de renvoyer les « va-t-en-guerre » qui rêvent de conquérir Moscou par les armes.
@ glw | 16 mars 2025 à 09:18
« (…) c’était assez sidérant. »
Vous vouliez dire « sidéral ». Pour ma part, « lunaire » m’aurait suffi… Achille nous dira que François était dans la lune… et Patrice Charoulet en profitera pour encenser Jupiter.
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@ Achille | 16 mars 2025 à 08:57
« Je vous ferais juste remarquer qu’en matière d’atermoiements, Marine Le Pen n’est pas mal non plus. »
Giuseppe, qui, hier soir, a sabré le champagne, vous dirait qu’au rugby se débarrasser de la balle en la projetant volontairement à l’extérieur du terrain est puni d’un carton rouge, direct sans passage au bunker… Je me contenterai d’un émoji simulant la repentance…
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@ Ellen | 15 mars 2025 à 22:38
Il est affligeant qu’un sénateur français, à la tribune de la Haute Assemblée, dans un débat hautement sérieux, devant le Premier ministre ouvertement gêné, au nom du groupe parlementaire qu’il préside, insulte aussi grossièrement le président des États-Unis, se permette de le comparer à Néron et à Hitler et, en prime, salisse la mémoire de l’hôte le plus illustre que la ville dont il a été maire a accueilli.
Pour être aussi violent et radicalisé que lui, me plaçant ainsi au niveau de son propos afin de commettre une même faute à son égard, je dirai que Malhuret est un malotru qui devrait oser aller essayer de prononcer ses insanités dans les cimetières américains de Normandie, où reposent ceux qui, ayant payé de leur vie le retour de la liberté, lui permettent aujourd’hui de vomir sur le dirigeant de leur pays. Il se trouvera toujours quelques officiers yankees francophones pour l’en dissuader, manu militari s’il le faut.
Honte à lui ! Comment peut-on en arriver à une telle infamie à ce niveau de responsabilité politique ?
P.-S. : « après avoir écouté le sénateur Claude Malhuret à l’AN »… Il est assez rare qu’un sénateur, même poli, s’exprime au « perchoir »… La République ne mélange pas ses torchons et ses serviettes…
@ Aliocha
« On a le droit comme genau de continuer à ne pas accepter sa condition de mortel, on en reste aux débordements romantiques au bénéfice du chaos, soumis à l’orgueil destructeur de qui refuse la vie et répète la danse mensongère des meurtriers par incapacité à savoir pardonner. »
Sans comprendre pourquoi Aliocha dit ça de moi, ni ce qu’il en tire de réflexion sur un orgueil antinature lié à une danse de meurtriers et leur refus du pardon. Je ne vais pas si haut.
Enfin, c’est gentil quand même, mais je n’ai aucune vocation à susciter de telles imprécations.
Je l’ai écrit ici, Macron a eu raison de dissoudre l’Assemblée et au fond seuls les ambitieux et les courageux, peut-être les deux en même temps, ont décidé de relever le manche pour la nouvelle cognée. Le paysage est bien éclairci et puis au fond la France ne s’effondre pas plus que ce que les imbéciles disaient.
Jordy s’est déballonné, le FN/RN aussi, ils vont en payer le prix fort avec LFI, je mettrais un billet dessus et un gros.
Macron a raison sur l’Ukraine il restera pour sa position de chef des armées, la Débâcle ça suffit ! Pétain et les munichois ont leurs limites, au fond des collabos de la nouvelle heure.
Retailleau pousse, pousse, il a éteint un Wauquiez qui n’a rien compris, il n’est pas monté dans le train en marche il restera à quai, les Français ne veulent plus de ces types qui se débinent sous couvert de vouloir une autre politique.
La prime est aux courageux, à ceux qui y « mettent la tête », on l’a vu hier au soir avec la victoire du XV de Dupont, qui a su soulever des montagnes et se trouver là où personne ne l’imaginait sauf les connaisseurs, médaille d’or à VII.
Retailleau a bien compris, pour ses positions fermes sur des sujets comme la sécurité nationale et l’immigration. Il a notamment plaidé pour une approche de « rapport de force » dans les relations entre la France et l’Algérie, mettant l’accent sur la protection des citoyens français. L’une des personnalités politiques les plus fiables en France – ce qui est plutôt rare dans notre pays. Des sondages récents avec son engagement à traiter des préoccupations nationales pressantes le font découvrir en France profonde. Wauquiez est effacé, il a du souci à se faire, il peut aller taquiner le gardon il en aura le temps.
Ainsi on comprend mieux ce qui différencie un Macron d’un Wauquiez, et un Retailleau en marche pour une ascension irrésistible de fait, paraît-il.
Pour gratter les ballons il faut baisser la tête et aller au carton, Macron le sait, Retailleau l’applique.
@ Achille
Si je suis un kéké comme vous dites, vous êtes un comique qui s’ignore.
Philippot fait peut-être 2 % dans les intentions de vote mais donnez-lui le même temps de parole que le PS ou que LR par exemple qui ont fait 1,75 et 4,78 à la dernière présidentielle alors qu’ils sont subventionnés et qu’on les voyait partout et vous verrez s’il reste à 2 % et si l’idée du Frexit ne progresse pas dans l’esprit des Français comme le vôtre, lobotomisés par des décennies de terrorisme intellectuel eurolâtre à qui on promet la fin du monde si la France quitte l’UE.
Zemmour a fait 7 % alors qu’on le voyait partout et qu’il a CNews et donc les médias de Bolloré pour le soutenir. Lui et Knafo ont toujours le droit à une demi-heure sur CNews tous les 15 jours alors que Philippot est invité une fois tous les 6 mois pendant dix minutes pour se faire attaquer et prendre pour un idiot par Praud qui ose lui dire qu’il est aussi bien traité sur CNews que Zemmour.
Si vous n’avez toujours pas compris que les résultats politiques et donc la progression des idées sont en grande partie une conséquence de l’exposition médiatique c’est que vous n’avez rien compris au système.
Demandez à Macron.
Bravo à la jeunesse serbe… En France nous aimons avoir un fou à l’Élysée, pourtant il mériterait une déculottée… On préfère le voir faire le paon et le laisser détruire notre pays. Ses méfaits ont été énumérés mille fois dans ce blog, inutile d’en rajouter une couche.
https://www.humanite.fr/monde/aleksandar-vucic/en-serbie-une-manifestation-historique-contre-la-corruption-du-gouvernement
@ Tipaza
Quelle maternelle, celle des régressions barbares unanimes du lynchage ?
Vous êtes sans doute trop intello pour comprendre.
@ Xavier NEBOUT | 16 mars 2025 à 10:18
« Notre psychopathe narcissique international [Emmanuel Macron]. »
« D. Trump remet Dieu au centre de la vie politique. »
Vous êtes un grand malade. Donald Trump, un chrétien exemplaire ? Ou même un croyant authentique ? Moi, mon nombril et ma grandiose personne : voilà l’unique boussole du bonhomme. Tous ceux qui l’ont approché ou étudié sont unanimes.
S’il y a un pervers narcissique sur la scène internationale, un authentique psychopathe, c’est bien évidemment Donald Trump. Même son ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton, lorsqu’on l’interroge sur la façon dont les dirigeants occidentaux devraient tenter de le convaincre, n’a que ce conseil à offrir : flattez-le.
Le chef de la première puissance militaire mondiale, qui a le doigt sur le bouton atomique, ne cesse de proclamer qu’il veut annexer ses alliés et se range aux côtés des pires ennemis de l’Occident ; et un diplomate expérimenté comme John Bolton, qui court les plateaux de télévision pour mettre en garde contre son ancien patron, n’a que ce conseil à donner : flattez-le !
Faites ce qu’a fait le Premier ministre japonais Shinzo Abe en 2018, lorsqu’il tentait d’éveiller Donald Trump au danger présenté par la nucléarisation de la Corée du Nord : proposez sa candidature au prix Nobel de la paix !
C’est absolument terrifiant.
Charles Krauthammer, le célèbre journaliste américain conservateur (et psychiatre, au passage), disait de lui : « J’ai écrit qu’il avait le comportement d’un enfant de onze ans. En fait, je me suis trompé de dix ans. Il ressemble à un enfant d’un an. Il voit le monde au travers d’un filtre unique : qu’est-ce qui est bon pour Donald Trump ? »
Autrement dit, l’homme est entièrement dépourvu du moindre sentiment moral. Et vous, vous nous dites que Trump remet Dieu au centre de la vie politique ? C’est qui, votre dieu à vous, au juste ?
La vanité est le moindre des péchés de Trump, puisque vous tenez à adopter le point de vue religieux.
Voler son prochain, c’est contraire aux Dix Commandements, je vous le signale. Trump veut voler les ressources minières de l’Ukraine, il veut voler le Canada, il veut voler le Groenland.
Trump est un escroc depuis le début de sa carrière de « chef d’entreprise », comme disent les naïfs qui ne sauraient pas faire la différence entre une entreprise et un dénoyauteur d’olives. Il a bâti sa richesse sur la fraude, le trafic d’influence et le vol pur et simple.
Stash Luczkiw, journaliste au Kyiv Post, est né et a vécu à New York pendant les années 80, à l’époque dorée du playboy Donald Trump, promoteur immobilier adulé par les médias. Il tenait une petite entreprise de peinture. Tous les entrepreneurs en bâtiment de la ville échangeaient les mêmes histoires, explique-t-il : Trump ne payait jamais la facture finale, qui représentait 20 à 50 % du montant des travaux. Le prétexte : il n’était pas satisfait du résultat.
Mais vous avez signé le contrat, se récriait l’entrepreneur ! Faites-moi un procès, répondait Trump. Vu le prix hallucinant des avocats américains et la fortune de l’intéressé, ils étaient obligés de s’assoir sur leurs 20 ou 50 %.
En 2004, votre pieux chrétien a créé la Trump University. Il a été inondé de plaintes, l’accusant de fraude et d’extorsion de fonds. Les « étudiants » payaient fort cher pour apprendre comment faire fortune dans l’immobilier. Les « cours » n’avaient aucune valeur. Trump a obtenu l’abandon des poursuites en échange de 25 millions de dollars.
La Fondation Trump, créée en 1988 sous couvert d’oeuvres charitables, a en réalité permis à l’intéressé de détourner l’argent des donateurs pour le mettre dans sa poche. Les tribunaux ont ordonné sa dissolution et Trump a dû restituer 2 millions de dollars.
Une liste interminable d’escroqueries précédait ce type avant même sa première élection au poste de président des États-Unis. Et c’est sans même parler de ses 34 condamnations pénales pour fraude fiscale, fausse comptabilité, etc.
Expliquez-nous donc la façon dont Trump « met Dieu au centre de la vie politique », histoire qu’on rigole un peu…
C’est aussi crédible que Poutine « restaurant les valeurs chrétiennes traditionnelles » – pendant qu’il tue par explosif 300 Russes anonymes qui dormaient paisiblement chez eux, dans l’unique but d’attribuer ces attentats aux Tchétchènes, de les « buter jusque dans les chiottes » et de se servir de cette agression militaire barbare (déjà !) pour se faire élire président, lui l’obscur fonctionnaire du KGB adoubé par Boris Eltsine mais totalement inconnu du public.
Remarquez, vous ne nous avez pas dit quel dieu Trump (et Poutine) auraient « mis au centre de la vie politique ». Celui des musulmans autorise, voire prescrit le vol et l’assassinat – et comme par hasard vous passez votre temps à nous vanter votre complaisance pour l’islam dans ces pages.
Force est de remarquer que sur l’image d’illustration le seul semblant dominer, totalement, la situation est Vladimir Poutine, tandis que le pire qui s’oblige à grimacer et simuler une terrible hargne de circonstance est Macron. Trump étant fidèle à lui-même dans son rôle de provocateur et Zelensky de présumé serviteur du peuple, costume compris.
Trump remet Dieu au centre en accusant Zelensky et l’Europe de l’agression des mafieux oligarques dont on voit qu’ils sont loin de n’être que russes.
Ou comment démontrer que ce dieu dont se réclame Xavier Nebout n’existe pas, mais n’est que le faux-nez menteur des systèmes d’oppression intégristes qui n’ont plus que la force pour pallier leur incapacité à rendre la justice.
Tout se voit désormais, comme au cache-cache de la maternelle lyncheuse de Tipaza.
Reste à chacun de nous désormais de soi-même se reconnaître persécuteur, pour accéder à l’âge adulte de notre destin européen, qui est de faire la paix.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Crucifiement_de_saint_Pierre#/media/Fichier:Caravaggio_-_Martirio_di_San_Pietro.jpg
On peut avoir des points de désaccords avec Emmanuel Macron, et j’en ai de très nombreux pour ma part, sans pour autant juger négativement toutes ses actions, quelles qu’elles soient. Dans un bilan, il est fort rare que seul le passif soit rempli et l’actif totalement vierge et il serait malhonnête de n’en consulter qu’une colonne pour ignorer délibérément l’autre.
Dans son attitude actuelle, s’agissant du conflit ukrainien, je ne considère pas que les reproches qui lui sont adressés sont fondés. D’ailleurs, nombre de pays européens se retrouvent sur la même longueur d’ondes et certaines forces politiques en France, ordinairement si critiques à l’égard du pouvoir, se montrent désormais plutôt embarrassées quand elles ne préfèrent pas rester discrètes sur le sujet.
Face à cet autocrate froid et déterminé qu’est Poutine, il faut que l’Europe dont nous sommes partie intégrante cesse de faire preuve de naïveté et de faiblesse. L’Ukraine en a déjà et en paye encore le prix fort aujourd’hui et demain, à qui sera-ce le tour ? Que le confort douillet dans lequel nous sommes installés depuis des décennies ne nous endorme pas et ne nous fasse pas oublier les dangers qui couvent. Le réveil n’en serait alors que plus douloureux.
@ Tipaza | 15 mars 2025 à 23:58
« Voilà, c’est ça Macron, en 2020 plus de centrales nucléaires, pas à la mode, en 2021 un plan de un milliard pour la filière nucléaire et pour finir, fin 2023, généreusement 77 petits, tout petits millions, débloqués, après formalités administratives. »
Et un milliard attribué à l’Afrique du Sud (la France macronique est vaste…) pour l’exploitation du charbon.
Sauf que les caisses du Trésor public ont fini par être complètement vidées à cause de ses farces et attrapes…
Et la gaulliste vote… Poutine, quand genau nie que l’astronome en nos cœurs a laissé potentialité de ne pas désirer le pire et même de travailler à l’empêcher, quand enfin nous aurons compris que désormais ce n’est plus l’homme qui offre des sacrifices à Dieu, mais Dieu qui se « sacrifie » pour l’homme, quand le sacrifice n’a plus pour fonction d’« apaiser » la divinité, mais plutôt d’apaiser l’homme et de le faire renoncer à son hostilité envers Dieu et envers son prochain.
Je ne sais s’il a vocation à de si hautes imprécations, mais il est certain qu’elles sont le fruit de l’admiration amicale qu’il m’inspire au regard du nihilisme parfois lénifiant qu’il exprime, laissant les excès de la première au bénéfice du refus radical du second, ce qui n’enlèvera jamais respect aux libertés d’expression d’un désaccord fondamental.
@ Axelle D | 16 mars 2025 à 21:14
J’en ai lu des âneries dans ma vie, mais avec vous c’est le pompon. Faudra montrer vos diplômes de profileur… Mais quelle poilade ! Foi de brigadier pointeur-tireur de Verdun. Vous devez aussi être spécialiste en canons qui tirent en arrière et en marteau à bomber le verre ?
@ Michel Deluré | 17 mars 2025 à 09:43
« Face à cet autocrate froid et déterminé qu’est Poutine »
Pour un « autocrate » (*), monsieur Poutine est plutôt bien entouré et par des gens qui pour certains sont des « pointures » loin de faire de la figuration, comme Valeri Guerassimov ou Sergueï Lavrov dont il apprécie les conseils…
Et encore, tous les membres permanents ou non ne sont pas listés ici.
Vladimir Poutine : Président du Conseil en tant que Président de la Fédération de Russie.
Dmitri Medvedev : Vice-président du Conseil.
Andreï Belooussov : Ministre de la Défense.
Sergueï Lavrov : Ministre des Affaires étrangères.
Mikhaïl Michoustine : Président du gouvernement.
Anton Vaïno : Chef de l’administration présidentielle.
Valentina Matvienko : Présidente du Conseil de la Fédération.
Viatcheslav Volodine : Président de la Douma d’État.
Vladimir Kolokoltsev : Ministre des Affaires intérieures.
Alexandre Bortnikov : Directeur du FSB.
Sergueï Narychkine : Directeur du SVR.
Valeri Guerassimov : Chef de l’État-major général des Forces armées.
(*) Note : est-il absolument nécessaire de reprendre la phraséologie méprisante des médias aux ordres ? Que cela apporte-t-il de plus à l’information ?
Par ailleurs, sachant qu’il est le chef d’un État qui est à la fois le plus vaste (33 fois la France) et un des plus importants au monde, ne faut-il pas mieux qu’ils soit froid et déterminé plutôt qu’agité et instable (nous ne citerons pas de noms…), y compris dans notre propre intérêt ?
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@ Aliocha | 17 mars 2025 à 18:11
« Et la gaulliste vote… Poutine »
Tout porte à croire que la gaulliste a une tête bien faite et non pas une de ces boîtes à carabistouilles sortant par millions à la chaîne ces dernières années de la « fabrique du crétin ».
@ Robert Marchenoir
« S’il y a un pervers narcissique sur la scène internationale, un authentique psychopathe, c’est bien évidemment Donald Trump. »
C’est vrai que la vie personnelle du couple Macron/Trogneux est digne des plus beaux éloges moraux, il n’y a aucun doute. Mais restons vagues sur le sujet, ça vaut mieux pour le blog de Monsieur Bilger.
Comme disaient Régis et Laspalès des années 90 « Y’en a qu’ont essayé, ils ont eu des problèmes ! ».
Faut-il faire une liste ? Mieux vaut pas.
D’autant plus que si on compare Trump à Macron, Trump tout dingue qu’il soit hypothétiquement, Macron n’est qu’une marionnette de l’État profond US.
Que ceux qui en doutent se demandent pourquoi ses levées de fonds ont été faites dès le début par Goldman Sachs,la banque qui a truqué les comptes de la Grèce pour qu’elle entre dans l’UE et McKinsey et qu’il a été propulsé par les services US dans la commission Attali des années avant qu’il ne se présente alors que même chez Rothschild il est prouvé que tout le monde disait que le soi-disant « Mozart de la finance » ne savait même pas ce que certains termes de finance les plus basiques signifiaient.
*Vous voulez en savoir plus sur cette « aventure Macron » ?
Regardez la dernière vidéo d’Idriss Aberkane qui lui est vraiment un de ces jeunes grands esprits qui réconcilient les vieux dans mon genre avec le futur de l’humanité et me poussent à me dire que peut être tout n’est pas perdu, et faites-vous votre idée par vous-mêmes.
https://www.youtube.com/watch?v=-QNr5utcYUI
Mais surtout, pensez par vous-même au lieu de débiter les stupidités que les médias de grand chemin veulent que vous « pensiez », comme si elle vous aidaient à penser.
@ Giuseppe | 17 mars 2025 à 18:36
Encore loupé votre coup Giuseppe ! Grave erreur de perception pour quelqu’un qui se vante de tirer dans les coins !
J’avais fait un commentaire sur l’image, uniquement… Seulement l’image… Vu ?
La prochaine fois, va falloir mieux ajuster votre périscope !
Il est vrai que le sniper Aliocha a encore fait plus fort que vous en me voyant voter « Putin ».
Halte là, on ne passe pas !
@ Vive la France ! | 17 mars 2025 à 20:22
« Mais surtout, pensez par vous-même au lieu de débiter les stupidités que les médias de grand chemin veulent que vous ‘pensiez’. »
Toujours cette inimitable façon qu’ont les poutinistes d’attribuer leurs vices aux autres. « Les médias de grand chemin »… franchement, vous n’avez pas plus stupide et plus pompeux, dans votre « pensée indépendante » déjà lue à un million d’exemplaires ?
« C’est vrai que la vie personnelle du couple Macron/Trogneux est digne des plus beaux éloges moraux. »
Mettons qu’elle est largement plus morale que celle de la grande majorité des Français, qui changent de conjoint comme de chemise, qui le trompent à tour de bras et qui créent des « familles mono-parentales » sans le moindre trouble de conscience.
Cela dit, on s’en tape, de la « vie personnelle » du couple Macron-Trogneux. Nous sommes en train de parler de politique étrangère, des destinées du monde, de la défense de la France, de la guerre et de la paix. Nous parlons de la trahison de Donald Trump au profit de la Russie et au détriment des États-Unis et de l’Occident. Nous parlons d’une invasion génocidaire menée par l’armée russe qui a peut-être fait 300 000 morts.
Et vous, vous nous parlez de la vie personnelle du couple Macron-Trogneux ?
« Macron n’est qu’une marionnette de l’État profond US. »
Okaaay… donc Macron est manipulé par Trump, qui est un héros, mais Macron est quand même une ordure ?
Ou alors Trump est une pauvre victime de « l’État profond » américain, une lopette impuissante qui réussit, en quelques semaines, à mettre à bas l’ordre international établi depuis 1945, qui oblige son « État profond » à priver l’Ukraine des informations de ses services d’espionnage, provoquant la déroute de cette dernière dans la région de Koursk, mais qui néanmoins ne peut empêcher le même « État profond » de manipuler Emmanuel Macron dans un sens qu’il abhorre ?
Je pense que nous avons touché un vrai champion, là.
« Regardez la dernière vidéo d’Idriss Aberkane. »
Ah oui, d’accord… Idriss Aberkane, mythomane, plagiaire, menteur compulsif, se prévalant de faux diplômes, négationniste covidique qui croyait faire l’éloge de Didier Raoult en disant qu’il était « notre Rommel », et j’en passe…
Idriss Aberkane, l’homme qui se présente comme « hyperdoctor » (sic) et « indéboulonnable triple Ph.D » (*), ce qui signale immédiatement l’escroc à quiconque a deux sous de jugeote.
Heureusement que votre « pensée » est « indépendante »… Qu’est-ce que ce serait si vous étiez un gogo avalant sans méfiance les bobards les plus énormes !
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(*) En plus de tout le reste, l’homme qui prétend avoir trois PhD est incapable d’écrire PhD sans faire une faute d’orthographe.
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@ Exilé | 17 mars 2025 à 20:20
« Pour un « autocrate », monsieur Poutine est plutôt bien entouré et par des gens qui pour certains sont des « pointures » loin de faire de la figuration, comme Valeri Guerassimov ou Sergueï Lavrov dont il apprécie les conseils… »
Votre ignorance n’a d’égal que le ton péremptoire avec lequel vous propulsez vos affirmations. Bien entendu, je fais là l’hypothèse la plus indulgente pour vous, à laquelle je ne crois pas une seconde. L’autre étant que vous nous écrasez de votre propagande imbécile, comme à l’accoutumée.
S’il y a quelqu’un qui fait de la figuration au gouvernement russe, c’est bien Sergueï Lavrov, l’indéboulonnable ministre des Affaires étrangères. Il ne décide de rien, sauf pour les questions les moins importantes. Pour tout le reste, son unique rôle est de diffuser les décisions que Poutine a déjà prises. Et sans solliciter ses « conseils », bien entendu !
La décision d’envahir la Crimée, qui a bouleversé l’équilibre géopolitique mondial en 2014, a été prise sans même le consulter.
Chaque année, depuis bien longtemps, Sergueï Lavrov demande à prendre sa retraite. Chaque année, Poutine refuse sa demande.
C’est avec une jouissance vicieuse qu’il oblige cet homme, jadis diplomate respecté par ses pairs pour ses qualités professionnelles – même si c’était un adversaire redoutable – à s’avilir en des mensonges éhontés.
Comme celui consistant à déclarer, lors des pourparlers d’Istanbul de 2022 destinés à mettre fin à l’invasion russe de l’Ukraine… que la Russie n’avait pas envahi l’Ukraine.
Ou comme celui consistant à dire, lors du sommet du G 20 en 2023, que la Russie « essayait de mettre fin à la guerre qui avait été lancée contre elle » par l’Ukraine. Provoquant l’hilarité générale de l’auditoire, pourtant trié sur le volet et bien disposé envers l’orateur, puisque le sommet se tenait à New Delhi.
Pauvre Sergueï Lavrov, obligé de s’humilier ainsi en une fin de carrière interminable, lui qui aurait pu se retirer il y a longtemps en conservant les lauriers d’une certaine respectabilité…
Je ne vais pas traiter un par un tous les membres de la liste de responsables que vous nous présentez, comme si dérouler l’organigramme d’une dictature impérialiste, sanguinaire et génocidaire était de nature à réfuter qu’elle soit une dictature impérialiste, sanguinaire et génocidaire…
Mais un mot tout de même sur l’inénarrable Dmitri Medvedev, dont vous n’arrivez même pas à citer correctement la fonction : il n’est pas « vice-président du Conseil », ce qui suggérerait qu’il est vice-premier ministre. Il est vice-président du Conseil de sécurité, ce qui n’a rien à voir.
Il y a un petit détail, cependant : ce poste est un placard doré où il n’a pratiquement rien à faire. Sa fonction essentielle, au Kremlin, consiste à se faire l’aboyeur déchaîné des insultes et des menaces les plus délirantes à l’encontre de l’Ukraine et de l’Occident. Il s’agit pour lui de se faire pardonner d’avoir eu des positions vaguement « libérales » lors de sa fausse présidence intérimaire du pays, pendant laquelle il a gardé la place au chaud pour Poutine.
On peut relever les gracieusetés suivantes au milieu de ses vomissures ininterrompues :
« La Grande-Bretagne et son ministre des Affaires étrangères peuvent se carrer leur idée dans leur trou à m… d’où ils l’ont tirée, pour parler de façon diplomatique. »
« Hé, Micron ! Fais gaffe à ton arsenal nucléaire ! »
« Le gouvernement Trump n’a plus envie de nourrir le bâtard nazi de Kiev. L’Europe décrépite a recueilli ce chien galeux, aux cris joyeux de ‘Mon chien-chien !’. Rien à faire, ce clébard parasite et enragé est dangereux. Mieux vaut mettre fin à ses souffrances en l’euthanasiant. »
« Cet insolent cochon [Zelensky] s’est enfin fait rosser proprement dans le Bureau Ovale. »
« L’Europe, cette vieille fille frigide, est folle de jalousie et de rage. »
« L’hystérie provoquée chez les crétins européens par la visite de Viktor Orban à Moscou montre, une fois de plus, que l’Union européenne et ses maîtres américains méritent la guerre, et non la paix. »
« Macron s’apprête à se rendre à Kiev ? Mais c’est un trouillard zoologique ! Quoi qu’il en soit : je recommande à son bureau de prendre plusieurs paires de caleçons ! Ça sentira très fort… PS : J’ai écrit ça ce matin et je n’ai pas eu le temps de le publier ! Et le soir il s’était déjà chié dessus. Pauvre France ! » (Celle-là était en français à l’origine.)
« L’aide de l’Union européenne devrait avant tout aider l’Ukraine à récupérer la Crimée. C’est ce que pense le soi-disant ministre des Affaires étrangères de la République tchèque, et c’est l’opinion qu’il a exprimée lors du sabbat bandérite démoniaque qui se déroule dans son pays. Vous voulez vraiment la justice à la mode nazie ? Alors rendez les Sudètes à l’Allemagne. » (Bel exploit : une tirade prétendument anti-nazie, et en réalité antisémite.)
Ce n’est pas le pire. Je vous laisse chercher…
Comme vous dites, Poutine est « bien entouré » de « pointures » qui ne sont absolument pas « instables », ni « agitées »… Ça me rappelle Donald Trump et son fabuleux démenti selon lequel il était un génie très stable, contrairement à ce que disent certaines mauvaises langues.
@ Axelle D | 17 mars 2025 à 20:46
Vous n’en loupez pas une ! Vous nous faites un peu rigoler, merci qui ? Axelle bien sûr, la profileuse de la série Mabinette. Quelle poilade !
Faut qu’on vous laisse, partie de manivelles, un peu de transpi et un peu de gras à éliminer… Vous êtes impayable !
@ Exilé 17/03/25 20:20
S’agissant de Poutine, je ne suis nullement sous influence et n’ai pas besoin de reprendre, pour le décrire, une « phraséologie méprisante des médias aux ordres ». Je m’en remets simplement au vocabulaire à ma disposition et qui, pour ce qui me concerne, correspond le mieux au personnage qui, en matière notamment de phraséologie et de mépris, maîtrise parfaitement les sujets.
De qui se moque-t-on ? Il paraît que le gouvernement va faire envoyer à chaque foyer dans sa boîte à lettres un « manuel de survie » en cas de crise pour tous les Français (https://www.midilibre.fr/2025/03/18/un-manuel-de-survie-en-cas-de-crise-va-etre-envoye-a-tous-les-francais-que-contient-ce-livret-12577070.php).
N’est-ce pas ici la volonté de gouverner par la peur alors que dans les années 1970-80 où le risque de conflit nucléaire était réel et concret, notamment pour les militaires qui servaient en Allemagne face au pacte de Varsovie, jamais aucun gouvernement n’avait cru devoir le faire ?
Ou alors serait-ce la volonté de monsieur Macron de se confronter à la « Sainte Russie » jusqu’au conflit nucléaire ? On vit dans un monde de folie et dans ce domaine monsieur Macron n’est pas en reste par rapport à messieurs Poutine ou Trump !
Il est probable qu’à réception, je renverrai ce document au Palais de l’Élysée.
@ Robert Marchenoir
La vie personnelle du couple Macron/Trogneux est plus morale que celle des Français ?
Une prof de 40 ans qui couche avec son élève mineur d’à peine 16 ans ?!
Effectivement vous avez un sacré sens de la morale publique !
J’imagine que si vous aviez un fils ou une fille mineure de moins de 15 ans ça ne vous poserait évidemment aucun problème de le ou la voir sortir avec un ou une de ses profs de 40 ans.
Vous n’êtes qu’un hypocrite et la suite de votre discours ne fait que le confirmer.
« Nous parlons de la trahison de Donald Trump au profit de la Russie et au détriment des États-Unis et de l’Occident. Nous parlons d’une invasion génocidaire menée par l’armée russe qui a peut-être fait 300 000 morts. »
Trahison de Trump alors qu’il veut arrêter une guerre inutile qui a fait au moins un million de morts et blessés graves, qui a été en grande partie provoquée par les Occidentaux que Poutine avait avertis depuis 2007 de ne pas vouloir s’étendre en Ukraine et que personne n’a voulu écouter ?
Cette guerre dont vous déplorez le nombre de morts pouvait se terminer en 15 jours avec un accord mais Boris Johnson a poussé Zelensky à continuer la guerre en l’assurant du soutien occidental, c’est de notoriété publique.
« Invasion génocidaire », rien que ça ! Visiblement vous ignorez totalement la définition du mot génocide.
Et vous Marchenoir, qui voulez vous faire passer pour une grand humaniste en plus d’un grand résistant de salon, où étiez-vous et qu’avez-vous dit quand le régime de Kiev bombardait les russophones du Donbass faisant 15 morts à la louche et que les néonazis ukrainiens du bataillon Azov par exemple massacraient les populations dans votre indifférence totale et qu’avez-vous dit de la trahison de Merkel et Hollande sur les accords de Minsk dont ils ont avoué qu’ils n’étaient qu’un prétexte pour le réarmement de l’Ukraine ?
Et vous qui faites semblant de pleurer sur le sort de l’Ukraine, qu’attendez-vous pour faire votre paquetage, prendre un aller simple vers Kiev et monter au front ; et pour y envoyer vos enfants si vous en avez ?
Encore une fois,vous n’êtes qu’un hypocrite comme tous les va-t-en guerre de plateau TV qui veulent la guerre avec la plus grande puissance nucléaire du monde tant que ce sont les Ukrainiens qui crèvent jusqu’au dernier.
Évidemment que Macron est un agent de l’État profond US. Renseignez-vous un peu sur son arrivée à la commission Attali fulgurante alors que c’était un nullard inconnu chez Rothschild dont tous les employés se moquaient, sur les financements dont il a bénéficié pour sa campagne (Goldman Sachs, la banque US qui a truqué les comptes de la Grèce pour qu’elle entre dans l’UE, qui organise sa levée de fonds à la City de Londres avant même qu’il officialise sa candidature) et pourquoi il vend la France à la découpe depuis (Alstom à General Electric).
Vous ne savez même pas de quoi vous parlez et vous vous complaisez dans votre ignorance.
Et pourquoi s’arrêter là évidemment, vous êtes du genre « tant que je perds, je joue ».
« Idriss Aberkane, mythomane, plagiaire, menteur compulsif, se prévalant de faux diplômes, négationniste covidique qui croyait faire l’éloge de Didier Raoult en disant qu’il était « notre Rommel », et j’en passe…
Idriss Aberkane, l’homme qui se présente comme « hyperdoctor » (sic) et « indéboulonnable triple Ph.D » (*), ce qui signale immédiatement l’escroc à quiconque a deux sous de jugeote. » »
Ouais c’est ça, passez vite à autre chose, parce que si pour vous une page Wikipédia est une preuve de la valeur d’un être, vu les bêtises qu’on y trouve vous êtes effectivement un sacré ignare.
Il se trouve que certains pseudo-journaleux ont dit comme vous d’Idriss Aberkane, que vous n’avez sans aucun doute jamais écouté, que ses diplômes étaient faux et qu’ils ont été condamnés pour diffamation.
Je vous conseille de le contacter directement et de lui répéter ce que vous assenez dans votre commentaire « mythomane, plagiaire, menteur compulsif, se prévalant de faux diplômes, négationniste covidique qui croyait faire l’éloge de Didier Raoult en disant qu’il était « notre Rommel », vous verrez bien…
Et comme vous me semblez être une personne parfaitement honnête intellectuellement, vous nous ferez publiquement un compte rendu honnête, j’en suis sûr…
https://idrissaberkane.org/pour-mes-amis/
@ Robert Marchenoir | 18 mars 2025 à 08:34
Je vous remercie pour ce passage sur les gracieusetés de Medvedev que je ne connaissais pas ; je les ai recopiées-collées tellement elles sont géniales et bien vraies.
Je vais donc rajouter ce M. Medvedev dans ma longue liste de génies politiques, Trump, Poutine, Musk, le président salvadorien et ses prisons sublimes, celles dont je rêve pour nos racailles ; y en a d’autres mais ceux-là sont au-dessus du lot.
Merci encore, si vous avez d’autres joyeusetés comme celles-là, n’hésitez pas à nous les transmettre.
@ Robert | 18 mars 2025 à 12:16
Et le plus consternant c’est que ce livret doit être le résultat final de nombreuses réunions avec de nombreuses têtes pensantes. Je ne savais plus très bien à quoi servait l’argent de mes impôts, me voilà rassuré.
Vous avez vu la dernière trouvaille de l’idole de Marchenoir pour prouver que Macron ne joue pas sur les peurs ? C’est le « livret de survie dans la guerre » ou un truc du genre où il faut que chaque Français ait une lampe torche et des piles, du PQ, des paquets de nouilles et des débilités du genre pour survivre à l’hiver nucléaire parce que les Russes sont aux portes de Paris…
Mais si on vous dit qu’on ne joue pas avec les peurs, vous pouvez le croire !
On se croirait revenu avec les vieux clips US des années 50 dans le cas où il y avait une bombe nucléaire qui tombait à côté de chez vous qui chantaient le refrain « Duck and cover ! », pour les non anglophones « Baisse-toi et planque-toi ! » qui était évidemment le meilleur moyen de survivre à une bombe nucléaire, demandez aux Japonais, qui à Hiroshima et Nagasaki restaient debout pour voir le joli feu d’artifice évidemment !
Vous vous rendez compte du niveau de crétinerie des petits hommes gris français du plus haut sommet de l’État (donc imaginez ceux d’en dessous) qui pensent qu’on va survivre à une guerre avec la Russie avec un livret qui vous dit qu’il vous faut des piles et une lampe torche et du PQ pour survivre ?
Ça laisse totalement consterné sur le niveau général du pays qui fut une grande nation.
@ Vive la France ! | 18 mars 2025 à 15:24
Concernant Robert Marchenoir on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif.
« Une prof de 40 ans qui couche avec son élève mineur d’à peine 16 ans ?! » c’est bien pire… « Mais cela ne nous regarde pas ! ». Enfin si, quand même un peu.
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@ Robert | 18 mars 2025 à 12:16
Il ne paraît pas ! C’est sûr ! Gouverner par la peur est l’une de ses dernières cartouches. Et quand je dis cartouches… Quelques actions false flag pour regrouper les pintades apeurées et le tour est joué. Célérusses ! criera notre obsédé de la lutte contre le poutinisme.
Ma lubie de faire du bois n’était pas si bête que ça. .:)
On va vivre une époque formidable.
@ Vive la France !
« La vie personnelle du couple Macron/Trogneux est plus morale que celle des Français ?
Une prof de 40 ans qui couche avec son élève mineur d’à peine 16 ans ?! »
Je dirai qu’un amour sincère, qui de plus a duré toute une vie, transcende et même donne un nouveau corps aux principes « moraux », qui par ailleurs sont fluctuants, selon les siècles et les différents types de sociétés. Donc pas universels.
Je suis toujours surpris d’observer un bon tiers des publications dites politiques sur les réseaux sociaux s’en prendre au couple Macron, pour des raisons totalement futiles et sans aucun rapport avec l’intérêt national, bien plus préoccupant vu les temps qui courent.
Il y a bien des choses qu’on peut reprocher au président Macron, mais cette chasse aux sorcières sur la différence d’âge me semble être du niveau midinette surexcitée. Une extorsion à la moraline ambiante qui puise son socle dans un marketing efficace manipulant l’argument d’autorité, où la plupart y trouveront matière à critiquer. Mais à la fin des courses, cela n’aurait rien changé si Brigitte avait eu 26, 14 ou 50 ans lors de leur rencontre. À part quelques frais supplémentaires, ou pas, de maquillage.
Pourquoi ne pas concentrer vos tirs, souvent pertinents, sur des sujets de fond ?
C’est tout de même bien hors sujet et bien petit que, pour discréditer Macron, on sorte le couple qu’il forme avec sa femme.
On parle du sort du monde, et on nous sort une police des mœurs… qui aurait peut-être dû s’appliquer à Brigitte, sortant avec son élève mineur, à l’aurore de leur liaison !
Il y a et disproportion entre les petites affaires du couple et celles du gouvernement, et erreur sur la personne, l’adulte, c’était le professeur. L’adulte au carré, même, il y a la distance entre l’ignorant et le savant.
Enfin bon, les gens ne voient pas les rapports entre les êtres ou entre les entités : dans le cas Russie-Ukraine, il y a un agresseur, la Russie, l’Ukraine, un agressé, la Russie, un pays sans liberté, l’Ukraine, un pays qui pour se garantir tant de la Russie que pour progresser en démocratie, veut s’arrimer à l’ouest et a bien raison.
On devient comme les gens qu’on fréquente et avec qui on s’unit par traités : se laisser submerger par la Russie, c’est renoncer à tous les efforts de démocratisation et de réduction à la corruption qui ont été entrepris.
Les gens veulent dénier l’action transformatrice du temps comme des efforts de ceux qui veulent changer.
Entre autres parce qu’ils sont abonnés à haïr ou mépriser certaines personnes, et bien réticents à essayer de progresser, pour ce qui les concerne. Ils arriment leur vanité à quelque action passée, voire vivent celles d’un de Gaulle par procuration, et dénigrent un peuple héroïque comme celui d’Ukraine, ainsi que son Président.
Ne vaudrait-il pas mieux s’adonner à ce jeu de plateau : le jeu de rôle ? Plutôt que d’en vivre un sans même s’en douter.
On se demande d’où vient l’idée que tout soit illusion ? Certains proposent le rêve mais je propose aussi que voir tant d’erreurs autour de soi ne finit pas par persuader que tout soit erreur et chaos.
Pour retomber du ciel des idées à la boue des commentaires sur la vie privée, la relation de Marcon et de sa dame n’était pas, à l’origine, morale, de par l’emprise que l’adulte avait forcément sur le jeune. Cependant, elle n’a pas brisé Macron…. Peut-être même l’a-t-elle renforcé, quand on voit que le Président, avec le Premier ministre anglais, a le plus de colonne vertébrale face aux abus de la Russie et à la défection des États-Unis.
Pourquoi ? Suspense, suspense…
Je l’attribue au fait que malgré l’abus de la dame, son apprenti et elle étaient liés et par l’amour, par un désir commun d’excellence.
Le fameux en marche… vers les sommets.
Combattons les immoralités pires qui se font aujourd’hui, et imitons leur désir de progresser.
Et le petit Français, devenu ce Russe superstitieux et dépravé ou cet Américain qui vend la liberté au nom de son nationalisme d’une grandeur à retrouver alors définitivement perdue, se retrouve à dénigrer ce que pourtant il est, s’il savait tirer les leçons de l’histoire de sa défaite totale de 1940, le membre de la seule nation à même de résister aux retours de la barbarie universelle, ne sachant, au nom de l’Ancien Régime, que répéter le meurtre du roi pour mieux refuser l’axe unique qui saura sauver l’humanité de sa démence meurtrière, la réconciliation.
Qu’il renvoie donc la brochure destinée à nous protéger à l’Élysée, il signe sa collaboration en pensant résister, à nier ce que tous les raisonnables du monde voient sauf lui :
« Ce regain d’influence d’Emmanuel Macron sur la scène internationale tient en grande partie à sa capacité à incarner l’unité européenne face aux menaces extérieures. Selon The New York Times, son leadership sur la question ukrainienne et son idée d’une Europe dotée d’une défense commune ont renforcé sa légitimité à l’échelle mondiale. Pour le quotidien américain, le président français, initialement affaibli sur la scène nationale, a su capitaliser sur la crise provoquée par le retrait des États-Unis, sous Donald Trump, de leur rôle traditionnel en Europe. Il s’est imposé comme un acteur central en rassemblant les dirigeants européens et en avançant des initiatives audacieuses, telles que l’envoi de troupes européennes en Ukraine et le partage de la protection nucléaire française. Et le New York Times de conclure : « Aujourd’hui, nombreux sont ceux en Europe qui reconnaissent que M. Macron avait raison depuis le début. » »
https://www.lepoint.fr/monde/il-avait-raison-depuis-le-debut-l-activisme-d-emmanuel-macron-salue-par-la-presse-etrangere-15-03-2025-2584804_24.php?boc=641907&nl_key=43a4667adba4931eb94e6042fdcc03b05761d22b161cc90caf19618d0beed259&m_i=V5aVkMNbXlNdRbjWLbk32L4gFOp8P%2BJJ73G9CXjs2XuXG%2B6yklIH8nlZimkLpJeP3zVOhQF4aEDUYY7%2B6sZtSpwE5Pet5g&M_BT=194508641590
@ Lodi | 19 mars 2025 à 07:28
« Peut-être même l’a-t-elle renforcé, quand on voit que le Président, avec le Premier ministre anglais, a le plus de colonne vertébrale face aux abus de la Russie et à la défection des États-Unis. »
Starmer, c’est bien le sinistre individu qui a imposé une omerta judiciaire, policière et médiatique quand des gangs de musulmans pakis réduisaient des milliers de jeunes filles en esclavage sexuel et qui, plus récemment, a vidé les prisons anglaises de nombre de délinquants pour y mettre des manifestants paisibles qui avaient le malheur de protester contre l’assassinat d’une fillette par un allogène ?
Et c’est pareille racaille qui prétend défendre liberté et démocratie !
Pas à dire, qui se ressemble s’assemble !
@ Valéry
« Je dirai qu’un amour sincère, qui de plus a duré toute une vie, transcende et même donne un nouveau corps aux principes « moraux », qui par ailleurs sont fluctuants, selon les siècles et les différents types de sociétés. Donc pas universels. »
Oui, au Moyen Âge on mariait les jeunes gens à 12 ans voire plus jeunes, la durée de vie était inférieure et les moeurs étaient différentes.
C’est hors de propos.
De nos jours et depuis un certain temps, un majeur, d’autant plus s’il a qualité de professeur ce qui aggrave son cas, n’a pas à avoir de relation sentimentale avec un mineur, c’est la loi.
« Dura lex sed lex »
Si c’était n’importe qui d’autre que le président de la République et sa femme, ça ferait un scandale national et les personnes seraient disqualifiées publiquement.
Demandez-vous plutôt pourquoi leur différence d’âge a été si peu mise en avant par des moralisateurs perpétuels de gauche. C’est beaucoup plus intéressant parce que ce n’est sans doute pas un hasard.
« Selon que vous serez puissant ou misérable… »
Je vois qu’il y a ici des lecteurs de Voici.
Ainsi donc une telle relation très ambiguë, relevant du domaine privé, n’aurait aucune conséquence sur la vie publique, donc la nôtre, sachant que les auteurs sont aux plus hautes marches de l’État ? Étonnant.
Je les invite à écouter ou à réécouter l’analyse qui en a été faite en 2017 par un psychiatre italien ainsi que les conséquences. Ce n’est certainement pas anodin car relevant du pénal. Et bien d’autres faits et documents.
D’autant plus que cette situation embarrassante rentre dans les tractations internationales car le dossier en question est beaucoup plus complexe. « Ils » savent et nous feignons de l’ignorer en parlant d’aventure amoureuse. Toujours ce déni.
VOICI et voilà.
@ hameau dans les nuages | 19 mars 2025 à 10:09
Selon Michel Fize, Manu Ier serait atteint de mégalothymie, et ne serait donc pas près de se remettre en cause, encore moins de démissionner. Il pourrait même songer à prolonger son mandat au-delà de 2027 en vertu de l’article 16 (facile à instrumentaliser pour un magouilleur patenté).
Et ses manoeuvres et fanfaronnades de va-t-en guerre, voulant à tout prix continuer à exister et faire capoter un début de négociation (où il n’a pas été convié !) en se servant comme prétexte de défendre (quoi qu’il en coûte) l’Ukraine (mais en réalité la sacrifiant sur l’autel de sa mégalomanie compulsive), ne peuvent aller que dans ce sens, tout en réussissant à tromper les gogos n’ayant toujours pas compris l’infinie vanité et vénalité de cet homme qui n’aime que lui-même et ne roule que pour sa pomme.
Et ce n’est pas Notre-Dame de Paris qu’il est allé jusqu’à narguer jusqu’au pilier (voulant démontrer à tout prix en bafouant toute règle et respect d’un lieu sacralisé qui était le chef suprême et faisait le poids en l’absence du pape) qui va me contredire !
@ revnonausujai | 19 mars 2025 à 09:09
Incriminer spécialement le Premier ministre anglais pour quarante ans de silence quasiment général à propos de viols commis par des Pakistanais ?
https://www.valeursactuelles.com/monde/grande-bretagne-40-ans-de-silence-sur-les-viols-subis-par-1000-jeunes-filles
Ce n’est pas sérieux.
Pas plus que d’incriminer Macron pour ne pas avoir dit avec son arrogance habituelle « je suis votre chef » à un général… Alors qu’en France peu se bousculaient pour déférer à cette nécessité.
Ce qui compte dans les problèmes d’immigration et de Russie ?
Réagir, enfin.
Eh bien, c’est ce que font Macron et le Premier ministre anglais pour la Russie.
Qui se ressemble s’assemble, en effet, certains parlent de la Résistance, d’ailleurs bien minoritaire, de notre pays face à l’Occupation. D’autres font ce qu’ils peuvent aujourd’hui.
Je suis toujours triste que bien des gens ne réagissent à rien, ou bien prennent ou la Russie, ou l’immigration, en compte.
Alors qu’il faut parer aux deux.
C’est malheureux à dire pour les humains et les gouvernants en particulier, mais ils ne voient un piège que quand ils sont tombés dedans. Aussi bien avec les Russes qu’avec l’immigration musulmane, où on innove en nous rendant le mal pour le bien.
Incapables d’anticiper.
Mais enfin, vu le niveau de l’être humain, quand les gens réagissent en essayant de sortir du piège, ne fût-ce que sur une chose, c’est déjà bien.
Quand ils ne se focalisent pas sur une personne, ce n’est pas plus mal non plus.
Macron déploie son activité à l’extérieur, c’est son tempérament et les institutions.
Le Gouvernement doit s’unir pour rendre cohérentes justice et police, et interdire l’immigration musulmane, soit en le disant, soit en le faisant sans le dire.
On est vraiment un pays infantile à se chercher des hommes providentiels, regretter le roi, la Révolution ou n’importe quoi d’autre dans des jeux de rôles croisés, au lieu de faire face aux problèmes de l’heure.
La France fille aînée de l’Eglise, disait-on ? Il faut croire, chacun s’imagine avoir l’explication unique de tout, et veut l’imposer aux autres, en diabolisant tel ou tel, dans la foulée.
Je ne dis pas que Macron n’a pas provoqué les foules en parlant de gens qui ne sont rien et autres semblables insolences d’un mandataire du peuple se moquant de ce dernier. Et je trouvais bien normal de lui rendre la monnaie de sa pièce avec usure.
Mais ça n’en fait pas le responsable des exactions russes et de l’indulgence générale de trop d’Européens envers les exactions musulmanes.
Et moi, c’est mon pays, et l’Europe, ma priorité.
Dingue comme tant de gens l’ont oublié tant Macron les obsèdent… À la prochaine bêtise de sa part, sa moquerie, mais comme il se tient tranquille et qu’il y a plus grave, je trouve du dernier ridicule qu’on s’obsède du personnage et de sa liaison avec sa femme.
Et d’autant que pour l’argument du fait qu’il serait immoral, je tiens tout de même à remarquer que dans une liaison entre un adulte et une personne qui ne l’est pas, le responsable est l’adulte, Brigitte, en l’occurrence.
Non, les gens détestent tant Macron qu’ils lui inventent des culpabilités… Trouver comment empêcher que les Russes et les musulmans nous nuisent serait plus pertinent.
Mais comme la quête de solution pourrait faire mal à la tête et qu’on ne veut pas risquer de prendre son effergalgan, on préfère taper sur Marcon. Il faut dire qu’en France, on attend tout du Président.
Quelle pitié, on n’est pourtant pas dans le mythe arthurien, où tout, jusqu’à la fécondité de la terre, dépend du roi !
https://www.dailymotion.com/video/xbmvd
Nous sommes infantiles.
Et divisés… Franchement, je serais des Pays-Bas, je refuserais que des immigrés français s’installent chez moi. Ces gens toujours occupés à se disputer seraient certainement incapables d’entretenir les digues, les institutions, ou quoi que ce soit, d’ailleurs, seulement avides d’en tirer des polémiques.
Pitoyable.
Non, ce qui va mal n’est pas la faute de Macron. Mais de l’esprit munichois des Européens. Les Européens vivent dans un univers de lâche magie, les musulmans, les Russes, tout le monde va succomber à notre soft power.
Ou sinon ? Bof, ce sont les voisins qui subiront les musulmans, les Ukrainiens les Russes, et si tout cela pousse ses pions à la mesure de nos abandons, quelle importance ? Ils n’arriveront au pouvoir chez soi que quand on sera mort : ainsi, le futur est le dépotoir de ceux qui abdiquent, la servitude, l’héritage qu’ils laisseront derrière eux.
Sauf si ?
Eh bien des gens réagissent. Macron face aux Russes.
Rien n’empêchera le gouvernement et les partis d’en faire de même face au péril musulman.
En fait, tout le leur commande, en vérité.
Si une personne réagit face à un péril, elle montre par l’exemple qu’on peut réagir face à ce péril et à d’autres.
Au lieu de polémique ennuyeuses comme il n’est pas permis, on rivalisait en courage et en désir de trouver des issues aux pièges dans lesquels notre naïveté nous a mis, notre pays ne serait pas loin de valoir ce que notre vanité prétend de lui.
@ Lodi | 19 mars 2025 à 18:00
Ah oui ? Depuis le début de sa carrière juridique jusqu’au poste de directeur des poursuites pénales, Starmer a été une figure de proue de l’aplatissement britannique devant les allogènes et il n’aurait pas pesé de tout son poids dans la conspiration du silence ? Si les services policiers ou sociaux avaient eu pour instruction de parler sans crainte en étant soutenus, ils l’auraient fait ; en tout état de cause, sa conduite répugnante lors de l’assassinat des trois fillettes de Southport n’est que la cerise sur le gâteau !
Macron ? En tout et partout, il n’agit que pour sa gloriole et ses ambitions personnelles, sans aucun souci de l’intérêt de la France.
Cette dernière n’et en rien concernée par l’affrontement russo-ukrainien, symbolisé par l’opposition entre un chef mafieux taiseux et un chef mafieux verbeux.
À qui peut-on faire croire que la Russie, même pas capable en trois ans de conquérir plus de 20 % du territoire ukrainien, pourrait ne serait-ce que traverser la Pologne dans la configuration actuelle de l’armée polonaise, sans même parler de l’application de l’art 5 du traité de l’Alliance atlantique. Alors, tout le cinéma sur un réarmement aussi urgent que nécessaire n’est qu’enfumage, le covid en technicolor !
Au contraire, elle a tout à perdre d’un soutien aveugle à l’Ukraine sous la férule de la hyène de Bruxelles et de sa conséquence quasi inéluctable, l’intégration à l’UE.
À court et moyen terme, ça nous coûte et coûtera un pognon de dingue entre les aides déjà accordées, la facture de la reconstruction effectuée par d’autres et la destruction de notre agriculture et du reste de notre industrie confrontées à une concurrence pas du tout « équitable et non faussée ».
À long terme, ça sera désastreux pour notre place et notre influence dans l’UE, le barycentre géographique et démographique se déplaçant encore plus vers l’Est.
Que l’Allemagne (ne pas oublier que VDL est boche et œuvre en faveur de son pays), qui a échoué deux fois militairement à asservir l’Europe, y voie une occasion inespérée de bâtir un IVe Reich, c’est dans l’ordre des choses, mais pas nous !
« Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts »
Les « boches » ne sont toujours pas sortis de la tête française, dont la notion du temps a cent ans de retard…
L’alternative est pourtant limpide : la réconciliation européenne comme unique défense de nos modèles de société, ou la soumission à l’oligarchie barbare universelle.
C’est un choix, on a le droit de rejoindre la coalition rouge-brune des esclaves, qu’on ne vienne pas nous dire qu’elle est française.
@ revnonausujai
Je n’ai pas dit que le Premier ministre anglais n’avait pas de responsabilité dans l’étouffement des crimes commis par les Pakistanais.
Simplement que cela n’avait pas de sens de le mettre particulièrement en avant alors que la conspiration du silence incluait presque tous ceux ayant connu un mal qu’on taisait à cause du politiquement correct.
C’est tristement ennuyeux de devoir se répéter, et en fait, vous savez quoi ? Il faut redire les choses sous une autre forme, car il est à craindre ne pas avoir été compris parce qu’on disait une chose sous une forme insaisissable par l’autre.
Donc, vu le logiciel chrétien de beaucoup de gens, voyons… Jésus a été condamné par tout le monde. Je ne pense pas que cela aurait de sens de le reprocher particulièrement à quelque personne de la chaîne de commandement à l’époque.
Logiciel gréco-romain : il n’y aurait pas plus de sens de reprocher à tel ou tel responsable la mort de Socrate.
Tous les gens de ces deux exemples ont des torts, mais cela n’a pas de sens d’en diaboliser tel ou tel. Par contre, il aurait été bon, à l’époque, de changer de logiciel.
Eh bien, à notre époque, il est bon de changer aussi de logiciel, sans quoi on continue à faire des victimes innocentes.
Il faut bien comprendre que quand il y a consensus délétère, c’est la manière de voir et d’agir qu’il faut changer.
Et que si on examine les individus, on doit voir ce qu’est leur parcours. Ainsi, on peut mal agir dans le cas, par exemple, Jésus ou Socrate, et administrer de son mieux les affaires de la cité dans d’autres circonstances. Je ne saurais évidemment dire si les protagonistes de ces deux fameuses affaires ont progressé ou non…
Par contre, il semble que le Premier ministre anglais l’ait fait, lui, en enterrant des informations allant contre le sacro-saint « ne faisons pas de vagues » dans le cas pakistanais, avant, au contraire, de se reprendre, en prenant la menace russe au sérieux.
Plus de temporisation, de poussière sous le tapis !
C’est à mon avis un progrès.
Je ne vois pas pourquoi les Russes ne s’empareraient pas peu à peu de l’Europe, si j’étais d’un pays liberticide sans remettre en cause cette manière de ravaler le citoyen et de s’emparer du voisin, je le ferais croyez-moi. En prenant mon temps : chaque génération avançant ses pions.
Il vaudrait mieux ne pas sombrer au charme du présentisme, vous savez. Tout le monde ne vit pas au rythme des sondages.
Des gens font pire : ils se figurent être une troisième Rome, sans parler de la vérité de la foi chrétienne. Inutile de vous dire qu’un empire et un salut du monde à la sauce messianique ne se fait pas en un jour.
À part ce type de représentation mentale, il y a plus, bien plus basique, il faut au prédateur le temps de digérer sa proie, en s’emparant du plus d’Ukraine possible.
Puis il y a l’Est…
Puis…
En principe, les empires et les messianismes n’ont pas de limite : il faut pour les contenir une force sérieuse de l’autre côté, ou bien la sagesse de l’Empire romain, tout à fait inaccessible à la soi-disant troisième Rome.
En combien de temps une éventuelle menace en Europe de l’Ouest ?
Comment voulez-vous en avoir une idée ?
Mais gouverner, c’est prévoir, et il faut établir des digues avant l’inondation.
Sinon, le temps que le prédateur digère sa proie n’est pas perdu.
Outre soumettre les Ukrainiens, il peut être avantageusement utilisé pour mener une propagande amenant de plus en plus de gens pleins de ressentiment en Europe à se rallier à la Russie.
Ce n’est pas ce qui manque… Entre les chrétiens s’imaginant que l’orthodoxie russe est un modèle, les nostalgiques du communisme et ce qui y ressemble et les gens croyant qu’un régime vassal de la Russie nous préserverait de la submersion musulmane, il y a de quoi faire.
Et si j’ai de telles idées, il est bien évident que des gens ne songeant qu’à nous fragiliser, eux, ont en plus celles, plus pratiques, de comment les mettre en oeuvre.
Et n’oublions pas le mélange d’indécrottable naïveté et lâcheté de tant d’Européens, tout se résoudra parce qu’on charmera les Russes, ou bien, après moi, le déluge de soumission pour les générations futures !
Il est donc bien temps que les Européens se débarrassent de leurs illusions et lâcheté paralysantes.
Sans parler de se prêter assistance au plus vite.
Les nations ne sont pas des monades solitaires, et maintenant, moins que jamais.
Ce qui est bien dommage, je le concède, et la Chine, et le Japon, n’ont rien gagné de significatif à fréquenter les Européens que de se retrouver embringués dans des guerres mondiales.
Et ce alors qu’il s’agit de civilisations extrêmement profondes et brillantes et résilientes.
Alors pour les autres…
Mais dans notre monde, les nations, et notamment les nations européennes, sont liées les unes aux autres.
Certaines sont alliées, ne fût-ce que contre des ennemies : à la Russie se comportant en ennemie en s’en prenant à l’Ukraine, les Européens doivent répondre en organisant leur défense, ce qui n’est pas trop tôt, comme je l’ai dit plus haut.
Espérons pas trop tard, quand on sait combien les mentalités et les comportements les plus bas, inconscience et lâcheté, sont difficiles à réformer.
Ce qui est tellement accablant que Hölderlin est allé inventer qu’au moment où croît le péril, croît aussi ce qui sauve. Bravo pour le contraste dramatique, mais c’est tout simplement faux.
Il rejoint de charmantes superstitions, aide-toi, le ciel t’aidera ; parce que le ciel aide ? Remarquez, certains croient bien qu’ils parle.
Ou encore, la première fois qu’on fait l’amour, on ne risque pas de tomber enceinte.
Réveillez-vous, les gens ! La vie ne fait pas de cadeau. Enfin, en général : il y avait l’Oncle Sam, maintenant…
À présent, si on veut rester libre, et si on songe aussi aux générations futures, il faut se défendre. Parce que les Américains nous abandonnent, il faudrait s’abandonner ?
Au contraire, à présent que l’Europe est abandonnée par l’Oncle Sam, elle doit enfin apprendre à se défendre.
Comme je l’ai déjà écrit, chaque nation européenne – et canadienne soit dit en passant, si les Canadiens me lisent – doit prendre l’arme atomique comme ultime recours, et avoir une force conventionnelle sérieuse articulée avec les alliés pour les premiers chocs.
Les prédateurs attaquent de préférence les faibles : avec des armes atomiques, à savoir des griffes et des dents, et en faisant front ensemble, on est quelque peu dissuasifs.
Cependant, les illusions, la lâcheté et les admirateurs des Russes peuvent empêcher ce redressement, et nous ravaler au rôle de proie, ce qui n’aurait rien de bien étonnant pour le coq gaulois remarquez, il fait du bruit, du bruit, mais il finit à la casserole.
@ Vive la France ! | 18 mars 2025 à 15:24
Vous venez de débarquer sur ce blog. Il semble vous échapper qu’il existe depuis vingt ans. Inutile de vous dire que depuis ce temps, il n’a pas manqué de poutino-lécheurs, de poutino-complaisants et de poutino-naïfs déversant une prose similaire à la vôtre.
Si vous voulez susciter le moindre intérêt chez des gens dotés d’un cerveau, je vous conseillerais de développer, dans cette branche, des propos un tant soit peu novateurs, personnels ou originaux. Surtout si vous vous mêlez d’enjoindre les autres à « penser par eux-mêmes », au lieu de « débiter des stupidités » qui leur seraient suggérées par telle ou telle source de propagande.
Hélas, jusqu’à présent, je n’ai guère lu, sous votre plume, que les mêmes « stupidités » lues mille fois, qui trouvent effectivement leur origine dans la propagande russe.
Comme d’habitude chez les poutinistes et les communistes, c’est : faites ce que je dis, pas ce que je fais.
Vous comprenez bien que nulle personne sensée ne va passer son temps à expliquer, pour la millième fois, pourquoi la Terre n’est pas plate, pourquoi 2 + 2 ne font pas 5, etc.
Cependant, vous venez de démouler deux « arguments » parmi les plus pervers et les plus souvent diffusés par la propagande russe, et je ne me souviens pas qu’ils aient été réfutés ici jusqu’à présent.
Aussi, à titre de service public et ne reculant devant rien pour satisfaire l’aimable clientèle, je vais me donner la peine, une fois pour toutes, d’expliquer pourquoi il s’agit de prodigieuses sottises, à but malveillant de surcroît.
Vous avez écrit :
« Et vous qui faites semblant de pleurer sur le sort de l’Ukraine, qu’attendez-vous pour faire votre paquetage, prendre un aller simple vers Kiev et monter au front ; et pour y envoyer vos enfants si vous en avez ? »
La réponse est : je n’irai pas au front, bien entendu. Pas plus que vous, gros hypocrite.
Cet argument prêt à l’emploi de la trousse à outils poutiniste se conjugue de la façon suivante : ceux qui soutiennent Kiev contre Moscou sont des lâches, car ils ne risquent rien, puisqu’ils refusent d’aller se battre en Ukraine.
Il est aisé de démontrer que ce sont les défenseurs de cet « argument » qui sont les lâches, et qui dissimulent leur lâcheté en accusant les autres du vice dont ils se rendent coupables.
En effet, quel est le risque, en la matière ? Les poutino-lécheurs dans votre genre nous l’ont expliqué mille fois : si la France et l’Occident soutiennent l’Ukraine, s’ils lui fournissent des armes, ce sera la troisième guerre mondiale.
Sous-entendu (la Russie l’a dit mille fois, de façon on ne peut plus claire), vous (les Français, les Européens), vous allez vous prendre une bombe atomique sur la figure.
À mon tour, donc, de vous poser une question, à vous, Monsieur « Vive la France ! », ainsi qu’à toutes les poutino-carpettes dans votre genre : êtes-vous prêts à vous prendre une bombe atomique russe sur la figure ?
Moi oui. Je suis prêt à mourir sous le terrifiant feu nucléaire russe, et à défaut, à voir ma maison détruite, ma ville rasée, mes proches tués, le reste de ma vie rendu abominable par l’invalidité et les blessures inguérissables.
Et vous, Monsieur « Vive la France ! » ?
De plus, je suis prêt à courir le risque d’une aggravation de la guerre hybride d’ores et déjà menée par votre ami Poutine sur le sol français et européen : assassinats à l’arme chimique, sabotages rendant malcommode voire périlleuse la vie quotidienne (brouillage GPS, sectionnement des câbles Internet…), attentats destructeurs et potentiellement mortels (cyber-attaques contre des hôpitaux, attaques de dépôts de munitions à l’explosif, incendies volontaires de centres commerciaux, pose de bombes dans les avions…).
Tout cela, la Russie le fait déjà et est susceptible de le démultiplier si jamais nous ne lui déclarons pas notre servitude ainsi qu’elle le réclame.
Et vous, Monsieur « Vive la France ! » ? Êtes-vous prêt à courir ce risque ?
De plus, je suis prêt à courir le risque (quasiment certain, en fait) d’une baisse notable du reste de la dépense publique en contrepartie de l’indispensable doublement (au moins) du budget militaire.
Je suis prêt à subir les conséquences d’une « casse des services publics » auprès de laquelle tout ce qui a été dénoncé comme tel par les rouges-bruns depuis des décennies paraîtrait une aimable plaisanterie ; à assumer la privatisation de la Sécurité sociale et de l’Éducation nationale, l’instauration de peines de prison pour les congés-maladie de complaisance, et ainsi de suite.
Et vous, Monsieur « Vive la France ! » ? Êtes-vous prêt à courir ce risque, je veux dire cette certitude d’une baisse de la dépense publique hors budgets militaires et de sécurité, avec toutes les conséquences envisageables sur votre vie quotidienne ?
Enfin, dans l’hypothèse où « les chars russes défileraient sur les Champs-Élysées », suivant l’imbécile prêt-à-penser pro-communiste et pro-russe en vigueur depuis un demi-siècle, je serais effectivement disposé à prendre les armes contre les Russes pour défendre le territoire national, si les autorités mobilisaient ma classe d’âge, et à servir dans tous les rôles de défense civile, dans le cas contraire : aide au déblaiement, secours aux blessés, aide aux réfugiés, fabrication d’équipements de défense improvisés… tout en signalant aux autorités l’emplacement des unités ennemies.
Et vous, Monsieur « Vive la France ! » ? Seriez-vous prêt à vous battre contre les Russes s’ils envahissaient le territoire national ? À prendre une part active à la défense civile, comme l’ont fait les femmes, les enfants et les vieillards en Ukraine ? À transmettre aux autorités militaires les coordonnées des unités ennemies, comme l’a massivement fait le peuple ukrainien, risquant l’arrestation, la torture et l’exécution sommaire ?
En somme, Monsieur « Vive la France ! », quels risques personnels êtes-vous prêt à prendre pour défendre la souveraineté et la liberté de la France ?
Voilà les vraies questions qui se posent, et qui distinguent les vrais patriotes des lâches qui bombent d’autant plus le torse qu’ils prônent le défaitisme et la soumission à un ennemi qui a juré notre perte.
Votre question imbécile et perverse sert à dissimuler le vrai débat. Elle est inspirée d’une vision de la chose militaire relevant de « Martine va à la guerre », et encore.
Figurez-vous que les Ukrainiens n’ont jamais demandé l’assistance de troupes étrangères. Ils ont toujours répété : nous n’avons pas besoin de vos hommes, nous avons besoin d’armes, de munitions et d’argent.
Ils ont ajouté à mi-voix, parce qu’ils sont polis : soyez tranquilles, nos soldats sont mille fois plus aguerris que les vôtres. Le plus dur que les vôtres aient fait depuis bien longtemps, c’est se battre contre des guerilleros en pick-up Toyota totalement dépourvus d’aviation. Donc les Russes, vous êtes gentils, on va s’en occuper nous-mêmes.
Votre apostrophe insultante est un mensonge pour une autre raison.
Figurez-vous qu’en France, comme dans la plupart des nations européennes, nous avons une armée de métier. Le peuple délègue sa défense à des volontaires payés pour cela. Il n’y a nulle lâcheté à ne pas intégrer l’armée, certainement pas si le territoire national n’est pas occupé.
Il y a une autre conception morale fallacieuse à la base du truc de désinformation poutiniste dont vous vous faites l’écho, après des milliers d’autres hurluberlus. L’argument est le suivant : si vous soutenez les Ukrainiens dans leur guerre de résistance à l’invasion, vous devez prendre au moins autant de risques qu’eux. Sinon, ce n’est pas de jeu. Vous vous battez « jusqu’au dernier Ukrainien ».
Il s’agit là d’une morale de cour de récréation – ou bien inspirée par l’égalitarisme communiste. Dans la vraie vie, celle que vous et les vôtres affectez de privilégier, c’est le contraire qui est vrai : la morale consiste à infliger le maximum de pertes à l’ennemi tout en se préservant au maximum.
Avant d’en arriver là, elle consiste à dissuader au maximum l’agresseur potentiel en contrepartie des coûts les plus bas possibles pour soi.
Or, justement, la situation nous est exceptionnellement favorable à cet égard. Les Ukrainiens eux-mêmes le disent : nous nous battons pour nous, mais aussi pour vous. Nous donnons notre vie, fournissez-nous les armes.
Les poutino-carpettes ont tout fait pour saboter les chances de la France, de l’Europe et de l’Occident à cet égard, en parvenant à limiter les livraisons d’armes pour empêcher une victoire décisive de l’Ukraine.
Résultat : nous sommes contraints maintenant de nous réarmer à toute allure, pour défendre nos propres nations. Ce qui sera long, aléatoire et difficile.
Enfin, votre boule puante issue en droite ligne du KGB suppose carrément que nous soyons au Moyen Âge (et encore !) : vous vivez dans un monde imaginaire où ce sont les parents qui « envoient leurs enfants à la guerre ». Figurez-vous que les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Ce sont eux qui, éventuellement, décident de se porter volontaires pour intégrer l’armée de métier.
Cela étant, l’Ukraine a bel et bien constitué une légion étrangère qui s’est battue sur le front. Parce que, justement, d’innombrables volontaires de tous les pays du monde ont décidé de risquer leur vie pour défendre la liberté en Ukraine. Y compris des Français.
Votre vertueuse tirade aurait été plus convaincante si vous aviez commencé par leur rendre hommage.
Mais votre but n’est pas de défendre la souveraineté de l’Ukraine ni celle de la France : il est de prôner l’asservissement à la Russie par le biais d’un veule pacifisme, tout en vous prétendant plus courageux que ceux qui sont résolus à faire le nécessaire pour défendre leur liberté. Cette inversion morale est véritablement répugnante.
Vous avez également écrit :
« Et vous Marchenoir, qui voulez vous faire passer pour une grand humaniste en plus d’un grand résistant de salon, où étiez-vous et qu’avez-vous dit quand le régime de Kiev bombardait les russophones du Donbass faisant 15 morts à la louche et que les néonazis ukrainiens du bataillon Azov par exemple massacraient les populations dans votre indifférence totale. »
J’étais ici, figurez-vous. À faire exactement ce que je fais en ce moment : suivre l’invasion de l’Ukraine par la Russie, et réfuter les mensonges propagandistes des poutino-carpettes dans votre genre.
Et vous, Monsieur « Vive la France ! » ? Vous étiez déjà en train de cracher la désinformation concoctée par les services d’espionnage russes ?
Cet autre outil prêt à l’emploi de la propagande du Kremlin, que vous venez de nous servir, est l’un des plus imbéciles qui soient. Il suppose a) que les défenseurs de l’Ukraine ignorent ce qui s’est passé lors de la première invasion russe en 2014, b) que ce qui s’est passé alors justifie la seconde invasion russe, au lieu de prouver la permanence des intentions criminelles du Kremlin, et sa propension à violer tous les accords qu’il signe.
Figurez-vous que « le régime de Kiev » (vous voulez dire : le gouvernement démocratiquement élu de l’Ukraine, contrairement à la Russie dirigée depuis 25 ans à ce jour par le même dictateur) n’a pas « bombardé les russophones du Donbass » en 2014.
Formulation imbécile qui suppose que des Ukrainiens sanguinaires aient cherché à en exterminer d’autres simplement parce qu’ils parlaient russe (comme la grande majorité des Ukrainiens).
Le gouvernement ukrainien a tenté, comme c’était son devoir, de repousser l’envahisseur russe, lequel a envoyé son armée occuper la Crimée, puis a envoyé un détachement dirigé par un ancien officier du FSB, Igor Girkin, s’emparer des postes de police dans plusieurs villes du Donbass, suscitant la subversion de séparatistes locaux aidés de gangsters, puis envoyant des troupes russes en bonne et due forme munies d’armes lourdes.
Ce qui a conduit à la destruction d’un avion civil de Malaysian Airlines en provenance d’Amsterdam, faisant 300 morts. Crime pour lequel deux Russes, dont Igor Girkin, ainsi qu’un séparatiste ukrainien, ont été condamnés à la prison à vie, en leur absence, par un tribunal hollandais en 2022.
Cette première invasion a provoqué, non pas 15 morts comme vous l’écrivez avec une précipitation ridicule qui dit assez le sérieux de votre démarche, mais 15 000, dont la responsabilité incombe exclusivement à l’envahisseur, c’est à dire à la Russie.
Aujourd’hui, Moscou tente de « finir le job » avec la complicité de Donald Trump, tout en se préparant à des agressions armées envers d’autres pays. Et vous, vous les soutenez.
@ Lodi | 20 mars 2025 à 17:07
Je vais essayer de faire court :
Il en est de Starmer comme de Macron : il ne « progresse » pas, il fait du cinéma en politique étrangère parce que ça part en (d)ouille sur le plan intérieur et que plus on parle de la première, moins on pense au second !
À cet égard, les menaces existentielles qui pèsent sur la France sont : 1° la submersion migratoire, 2° l’entrisme musulman 3° le narcotrafic, encore que des liens entre elles peuvent être établis.
Ça fait déjà beaucoup de pain sur la planche, alors multiplier les priorités, c’est n’en avoir aucune. L’Europe « unie » est (heureusement) un fantasme. Je comprends que, par exemple, les pays baltes soient inquiets de la proximité russe mais il n’y a aucune raison pour nous de la craindre militairement.
Concentrons-nous sur la lutte contre nos menaces immédiates et proches !
@ Aliocha
La réconciliation avec les boches ?! C’est une blague j’espère !
Apparemment vous n’êtes pas au courant de ce qui se passe en Europe depuis des décennies et que les boches ont la mainmise sur l’UE grâce à l’Euro/Mark.
Qui achète du matériel militaire aux ricains? Qui fait tout pour réduire à néant l’industrie française pour exporter ses voitures ? Qui s’attaque au nucléaire français en forçant la France à augmenter ses tarifs énergétiques pour que l’Allemagne reste concurrente alors qu’en théorie l’UE c’est la concurrence libre et non faussée ? Qui empêche la préférence nationale ?
Le seul délire pro-UE qui vient bien des pseudo-élites françaises c’est bien le « couple franco-allemand » qui n’a jamais existé ailleurs que dans leurs esprits collabos qui ont gardé le pli depuis les années 40, j’en conviens.
Soyons sérieux un peu.
« Les « boches » ne sont toujours pas sortis de la tête française, dont la notion du temps a cent ans de retard…
L’alternative est pourtant limpide : la réconciliation européenne comme unique défense de nos modèles de société »
Mais bien sûr que tant qu’à être collabos depuis 40 soyons-le jusqu’à la fin de la France !
Regardez braves gens ce que tous le Aliocha d’Europe veulent, une France qui disparaît dans le « grand tout boche », c’est leur rêve et ils s’y sont employés depuis la Seconde Guerre mondiale.
Ça dure trois heures mais c’est extraordinairement édifiant sur la trahison des pseudo-élites françaises face à l’Allemagne et les conséquences sur le pays.
N’importe quel Français européiste devrait avoir vu ce documentaire pour ensuite avoir le toupet de dire « C’est super l’UE, il y a Erasmus et on n’a plus besoin de papiers pour changer de pays ! »
Ils ont tous vendu la France comme de vulgaires prostituées faisant le trottoir rue Saint-Denis et ils continuent.
https://www.youtube.com/watch?v=yY9h0edVVPk&list=LL&index=2
@ revnonausujai | 20 mars 2025 à 18:45
Je peux faire encore plus court.
Les menaces sur l’Europe ? À égalité, la Russie, l’islamisme.
La France a un bonus : la désindustrialisation et la dette. Fou comme on oublie l’économie, en France, alors que sans argent, on ne peut rien !
Si, il y a progrès du Premier ministre anglais et de tous ceux percevant ne fût-ce qu’une de ces menaces.
Remarquez, il y a aussi des menaces moins immédiates mais encore plus graves pour toute la planète.
Bref, je pense que nous nous en sommes assez dit pour que chacun se fasse son opinion !
@ « À bas la France ! »
N’auriez-vous pas remarqué un petit changement de politique américaine dernièrement, avec les conséquences qu’on observe sur l’atlantisme allemand et ses rigueurs budgétaires ?
Si tel était le cas et que vous n’étiez pas enfermé en vos comportements complotistes de tique toquée manipulée, vous seriez alors obligé de donner raison à ceux qui, depuis le Te Deum de Reims en 1962, savent qu’il n’y aura d’autre choix pour sauver l’humanité que la réconciliation des ennemis, que là est la nouvelle vocation européenne après que le vieux continent a échoué à exporter par la domination son idéologie, pour en définir avec précision quelles sont les conditions de la paix, qui jamais ne s’imposent mais toujours proposent à ceux qui voudraient en imiter les désastreuses méprises la salvifique solution.
Vous pourrez toujours vous exciter comme un pou, vous ne trouverez l’apaisement qu’en intégrant intimement ce qui n’est que notre réalité humaine, celle-là qui vous invite au pardon des offenses pour ensemble, localement comme internationalement, construire la paix et la défendre par tous les moyens à disposition contre ceux qui veulent la détruire.
Vous êtes libre de choisir la guerre, tant qu’il me restera un souffle de vie, je serai toujours là pour vous dire que cela n’est pas français.
@ Lodi 21 mars 06:02
« …alors que sans argent, on ne peut rien ! »
Vous n’avez pas tort, sauf que de l’argent il y en a un paquet en France, mais sous forme d’épargne. Et cela fait un bon moment que les rapaces du pouvoir projettent de mettre la main dessus.
« L’épargne totale des Français atteindrait près de 6 000 milliards d’euros (hors immobilier) – soit le double de la dette publique. Les deux tiers dorment sur des comptes bancaires, ou sont placés en épargne dite réglementée (assurance vie, livrets d’épargne). C’est une épargne qui est peu rémunérée. Leur capacité à relancer la machine économique reste ignorée et très peu exploitée. »
Ignoré et très peu exploitée ? Plus pour longtemps… L’équipe gouvernementale actuelle lorgnant de plus en plus sur ce magot providentiel* et gageons que l’ex-banquier de chez Rothschild, qui perce sous le président, connaît toutes les magouilles pour faire cracher le pognon aux épargnangnants !
*Du providentiel au présidentiel il n’y a qu’un pas. Ne pas oublier que Macron a fait ses classes à la (quasi divine) Providence.
@ Lodi | 21 mars 2025 à 06:02
Merci de faire court.
Vous parlez de « menaces sur l’Europe », rien à battre !
Seule la France me soucie.
« L’Europe » ou plus exactement l’UE dans sa forme actuelle est un monstre qu’il est souhaitable de détruire* au plus tôt pour revenir à des coopérations entre nations souveraines.
*et peu importe qui y prête la main, Trump, Poutine ou le Grand Malhubec !
@ Axelle D | 21 mars 2025 à 13:07
Il y a risque qu’on siphonne comptes et épargne, en effet, ce qui pourrait faire que placer son argent en actions d’entreprises pérennes à bon dividende devienne, contre la manière de voir habituelle, le placement le plus sûr. Mais j’imagine peu les Français passer le pas.
Comme j’essaie de le montrer dans bien des commentaires, les mentalités ont un rôle important qu’on oublie souvent.
Pardon aux historiens des mentalités !
Quoi qu’il en soit, je préférerais qu’on ne confisque voire ne vole pas l’épargne et pour le principe, et parce que si les Français investissent peu, c’est parce qu’ils n’ont pas confiance.
Eh bien, si on met la main sur leur argent, ça ne va pas s’améliorer, on peut en être sûr.
De plus, il y a lien entre un minimum de confiance et l’esprit d’entreprise. En s’emparant de leur argent, on ne va pas non plus dans ce sens.
Or il ne suffit pas que les Français travaillent plus pour produire plus, il faut que ceux qui en ont la vocation n’en voient pas la flamme étouffée par le vent mauvais de la méfiance envers les autorités publiques.
Je pense de plus qu’il serait possible d’obtenir que les Français investissent dans la Défense, que ce soit dans des prêts ou en rendant par exemple plus avantageux d’investir dans des entreprises françaises d’armement : en principe, quand l’État incite, il défiscalise.
Souvent, il le fait pour pousser à embaucher, mais cela va trop contre l’esprit du temps remplaçant les humains par les machines.
Par contre, produire, produire, si possible du matériel plus performant, y adhère. Je suppose donc qu’il serait possible de pousser à mettre son argent dans des entreprises françaises d’armement.
Quoi qu’il en soit, il faudrait avant tout modifier le RSE.
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-carriere/quest-ce-que-la-rse
Réactives, les entreprises militaires œuvrent à modifier le RSE :
https://www.nlto.fr/le-lobby-des-armes-veut-faire-de-larmement-une-industrie-rse/
Oui, l’argent est le nerf de la guerre, et d’ailleurs, pas que de la guerre.
Mais je pense surtout qu’on va le puiser dans l’allongement du temps de travail.
Vu qu’il semble qu’on ne va pas revenir en arrière malgré la conférence dont l’objet me semble d’avoir été de faire passer le budget : plus de production de richesse égale plus de richesses pour se défendre.
Entre autres.
Pour la nécessité de réformer les retraites, il y a un réalisme qu’on a pu discuter puisque le président du conseil des retraites relativisait la nécessité de la réforme.
https://www.lesechos.fr/economie-france/social/retraites-pierre-louis-bras-le-president-du-cor-va-quitter-ses-fonctions-1992287
Comment admettre une réforme comme nécessaire si le chef de ce qui l’étudie dit qu’il n’en est rien ? Je m’étonne qu’on s’étonne des manifestations, et du soutien à ces dernières.
Cependant, d’un autre côté, il y a l’autorité de tous les autres pays du monde et qu’une opposition qui s’enlise fatigue.
Dans ce contexte, vient la guerre et la nécessité que l’économie française produise plus, par exemple, pour la Défense.
Ces facteurs produisent que les derniers débats sur la retraite, désertés par certains intervenants, intéressent aussi de moins en moins le public.
Y succède le débat sur le service militaire, plus plébiscité par les vieux que par les jeunes qui devraient s’y astreindre, mais malgré tout assez populaire chez ces derniers.
Voilà qui change des questions habituelles.
Macron tente de refaire l’histoire. Et BFM et autres CNews lui font sa pub.
Il n’avait rien vu. Il avait réduit le budget des armées, viré le général Pierre de Villiers qui lui, voyait les dangers. Le mensonge, la fake news, le narcissisme, l’incompétence, la violence envers les citoyens, le mépris, la condescendance, les mamelles de la macronie.