Justice au Singulier

Blog officiel de Philippe Bilger, Magistrat honoraire et Président de l'Institut de la Parole

Barack Obama : un Kennedy honorable ?

Hillary Clinton, si bien soutenue par Barack et Michelle, ne peut pas perdre. Mais elle, elle n’aura pas le choix. Elle ne sera évaluée que sur ses résultats.

Footballeurs et politiques : même langue de bois ?

La qualité du verbe, la correction de la langue française, à mon sens, devraient faire partie de l’apparence comme une belle chemise, un costume bien coupé, des chaussures de classe. Ce qui embellit la personne, ce qui lui permet d’être bien perçue, de présenter « bien ». Je parle bien donc je suis bien. Pour les footballeurs comme pour les politiques.

C’est beau, un Le Foll !

D’accord, le populisme peut cracher sur la classe politique et sur le président de la République mais c’est beau, un Le Foll qui à lui seul met un peu de morale dans le désordre français…

En attendant Hollande…

En attendant Hollande, aujourd’hui malgré l’apparence de sérieux c’est une farce. Je me suis trompé : à peine du Shakespeare mais trop de Feydeau là-dedans !

Sicile intime, Sicile mythique…

Sicile intime, Sicile mythique, elles se bousculent, elles se mélangent. L’or et le sang, le flamboiement des désastres,la fascination des délitements mais l’aspiration aux aurores, à la pureté, les héros et les salauds, la mer et le vent qui chassent le pire, ma Sicile, moins une île qu’une patrie à l’intérieur de soi.

Excuses

Nous sommes en Sicile et il y aura du retard dans la publication des commentaires. Mais que les…

François Hollande poussé à la vérité !

La cause est entendue. François Hollande, sur aucun plan, ne peut se comparer à François Mitterrand. Imagine-t-on ce dernier poussé à la « vérité » par des journalistes ! François Hollande n’a pas été victime mais héros ambigu consentant.

Jean d’Ormesson : le venin dans le velours…

Cette désinvolture de la moquerie me choque parce qu’elle ne sera jamais contredite et que l’absurdité de son jugement sera accueillie avec faveur puisqu’il va dans le sens de la dérision à l’encontre d’un homme qui oppose trop de tenue à la légèreté des temps. Et qu’il sort de la bouche de Jean d’Ormesson, un ami qui ne vous veut pas que du bien !

Le peuple policier n’en peut plus !

Si on ne met pas tout, très vite, sur la table de la société pour un authentique débat pluraliste et ouvert, ce n’est plus une fronde que mènera le peuple policier. Mais une révolution. Qui nous laissera seuls face à l’ennemi.