Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre.
Ni de s’imaginer qu’on va éradiquer la radicalisation islamiste pour proposer soixante mesures fondées principalement sur l’éducation et le monde pénitentiaire (http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/02/23/le-gouvernement-lance-un-plan-tous-azimuts-de-prevention-de-la-radicalisation_5261486_3224.html) !
– Dans les prisons, les détenus radicalisés vont être regroupés, ce qui, sans aucune certitude, semble représenter une démarche plus cohérente que l’éparpillement d’avant.
– Trois centres de jour seront créés qui accueilleront des radicalisés sous main de justice pris en charge individuellement.
– Les mineurs revenant de la zone irako-syrienne, la quasi-totalité ayant moins de 13 ans, les trois quarts ayant moins de huit ans, seront suivis au long cours sur le plan psychologique.
– Des écoles hors contrat seront surveillées et la lutte contre la propagande islamiste sera intensifiée sur les réseaux sociaux en France puis, s’il le faut, sur le plan européen.
– Les fonctionnaires radicalisés (militaires, policiers) pourront être écartés de leurs fonctions.
– La psychologie et la psychiatrie vont être sensibilisées au cours d’états généraux contre la radicalisation.
– Un comité scientifique bénéficiera d’informations privilégiées pour favoriser la recherche contre la radicalisation (Le Figaro).
C’est mieux que rien.
Mais pourquoi ne suis-je pas enthousiaste malgré ce plan tous azimuts ?
Parce que je crois à une spécificité de la radicalisation islamiste et que je doute qu’elle relève de ces thérapeutiques et purifications qui, réussissant à vider un être de l’odieux ou de l’absurde, parviennent à l’emplir avec du sain et du normal.
Parce que je continue à penser que, pour lutter contre une folie meurtrière, il convient que celle-ci s’inscrive, en amont ou en aval de sa manifestation, dans un cercle même étroit de rationalité et que faute de celle-ci, tout dialogue sera voué à l’échec.
Avec le pire criminel ordinaire, à une ou deux exceptions près, mon expérience m’a démontré qu’aux assises, il y avait un échange possible parce que l’accusé même le plus coupable affirmait ne pas vouloir renouveler son crime soit à cause de la peine qu’il allait subir soit par une prise de conscience éthique surgissant et parfois durant miraculeusement.
Avec les radicaux islamistes, il me semble qu’on est totalement éloigné de ces cas de figure.
Les terroristes aspirent à convaincre par la violence, sont fiers des tueries perpétrées au point de vouloir les couronner par leur propre disparition en martyr.
On s’acharne à leur appliquer une grille classique, comme celle qui régit les criminels de notre monde où la culpabilité existe et souvent le regret. Mais ils sont étrangers à notre bienséante rationalité, à notre honorable morale.
Vouloir désintoxiquer les dépendants d’une drogue qui tue surtout ceux qui n’en usent pas, désirer extirper une mauvaise herbe grosse de monstruosités à venir est louable mais ce plan apparemment ambitieux sera, je le crains, un coup d’épée dans l’eau amère de la radicalisation islamiste. Quand l’herbe malfaisante et l’être ne font qu’un, il n’y a rien à tenter. L’optimisme, alors, est une faiblesse.
Pour l’essentiel ce plan tentera de réparer les effets catastrophiques de la radicalisation sans offrir la moindre solution opératoire pour détruire l’intégrisme.
Sauf peut-être pour les enfants de moins de 8 ans, si le contact est rompu avec le poison délétère qui les a déjà irrigués…
Il y a une naïveté obligatoire dans ces mesures gouvernementales que le Premier ministre a annoncées le 23 février à Lille (Libération). Il est de bonne politique de présenter ce train comme enfin la solution alors qu’on sait que c’est faux, qu’on habille l’impuissance et qu’on se berce d’humanisme en espérant qu’il soit contagieux.
On se ment mais on n’a pas le choix.
Pour prévenir ou châtier la « radicalisation », une « radicalité » de notre démocratie sur tous les plans ne serait même pas assurée de vaincre.
J’ai conscience du défaitisme de mon propos qui tient pour quasiment vain ce qui est projeté parce que la seule solution, empreinte d’un réalisme froid et désespérant, serait – et elle est inconcevable – d’instaurer un implacable contrôle, avec une vigilance de tous les instants – justice, police et renseignement alliés – pour empêcher la radicalisation de nuire. On ne l’attendrira pas, il faudrait l’étouffer avant qu’elle nous étouffe et se répande partout.
Alors c’est mieux que rien, bien sûr.
Mais je voudrais tellement avoir tort.
Le regroupement des condamnés pour radicalisation doit être effectué dans un endroit approprié, sinon il ne peut pas être efficace. Je suggère les terres australes ou le département de la Guyane, pas au bord de la mer, mais à l’intérieur de la jungle, là ou les fauves plongent dans les rivières pour attaquer les crocodiles.
Bonjour,
Mieux que rien : le plan contre la radicalisation !
Le fait de séparer les islamistes radicalisés des autres détenus, et notamment des jeunes, est une bonne mesure, vu que tout semble indiquer que les prisons étaient devenues de vrais centres de formation salafiste.
Les autres mesures me paraissent frappées au coin du bon sens. Il est possible que les effets ne se manifestent pas tout de suite, mais difficile de mettre en place des solutions plus coercitives sans immédiatement voir se dresser, vent debout, toutes les associations antiracistes, sans oublier le défenseur des Droits, Jacques Toubon, qui manifeste un zèle sur le plan compassionnel qu’on ne lui connaissait pas quand il était ministre de la Justice de Jacques Chirac.
Il faut laisser à la méthode le temps de se mettre en place, quitte à procéder à de petites corrections de trajectoire pour affiner l’efficacité. L’important est de prendre le problème de l’islamisme radical à bras-le-corps, ce qui n’a jamais été fait véritablement par les présidents précédents, avec pour conséquence les attentats meurtriers de 2015 et 2016 qui ont fait des centaines de morts.
Mieux que rien : le plan contre la radicalisation ! (Ph)
Je n’y crois plus, à cette cinquième tentative de déradicalisation. Ces gens-là sont des ennemis de la France et des chrétiens occidentaux. Commençons déjà par fermer définitivement les mosquées clandestines avec à la tête les imams véreux prêchant en arabe la haine contre les occidentaux, arrêt de toute nouvelle construction de mosquées, taxes sur tout produit halal, surveillance étroite des radicalisés islamistes, contrôles et perquisitions des lieux supposés pouvant stocker des armes et la drogue.
Cette épidémie islamiste a atteint le summum de l’inadmissible dans une France Républicaine : « la laïcité en danger », « le communautarisme islamiste fermé ».
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/11/30/31001-20151130ARTFIG00247-temoignage-quand-les-elus-locaux-flirtent-avec-l-islam-radical.php
La France n’est plus le pays où il fait bon vivre pour les français chrétiens.
Pendant que l’on met nos ennemis islamistes radicalisés au chaud, logés, nourris, blanchis, avec argent de poche (entre 300 et 500 euros/mois), soins médicaux gratuits, assistance d’un psychiatre, éducation gratuite, nous avons depuis des décennies des Français, jeunes et vieux, qui dorment dans la rue et n’ont pour seul refuge temporaire qu’un gymnase pour dormir quelques jours et seulement s’il y a encore de la place, pour ensuite retourner de nouveau dans la rue et demander un bol de soupe.
C’est ça la belle France d’aujourd’hui ? On est dans un monde à l’envers !!
Je suis écoeurée.
– La psychologie et la psychiatrie vont être sensibilisées au cours d’états généraux contre la radicalisation.
– Un comité scientifique bénéficiera d’informations privilégiées pour favoriser la recherche contre la radicalisation.
Dans l’ensemble, assez bon billet de Philippe Bilger qui a compris que l’approche de la radicalisation ne pouvait se faire seulement à partir de nos grilles de lecture rationnelles voire rationalistes pas plus qu’à partir d’un humanisme aussi sirupeux que décalé.
Bien entendu des mesures palliatives et de précaution élémentaire en ce qui concerne le cordon sanitaire à établir autour de ces radicalisés, qu’ils soient déclarés ou bien en voie de l’être, relèvent du simple bon sens en ce qui concerne la protection de la société même si elles ne résolvent rien sur le fond.
Nous avons vu au cours d’un billet précédent qu’une forme de criminalité et même de délinquance était une retombée du « choc des civilisations », se traduisant par l’affrontement de références morales et donc légales opposées.
Cette opposition peut bien entendu se manifester aussi parfois avec encore plus de violence dans la sphère politico-religieuse (les voyous pouvant eux-mêmes se radicaliser), surtout quand un pays ultra-laïcisé – parfois à l’excès – comme la France se trouve confronté à un référentiel différent qui ne comprend pas et n’admet pas la séparation imposée entre le domaine religieux et le domaine temporel, ce que l’Église catholique a elle soutenu depuis toujours avec son « rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César ».
Alors, la solution n’est-elle pas plutôt à rechercher à partir d’éléments liés au domaine religieux plutôt qu’à partir de l’avis d’« experts » qui montrent déjà souvent les limites de leur fiabilité dans le domaine judiciaire classique mais qui en ce qui concerne la radicalisation seraient carrément placés en dehors de leurs domaines de compétences respectifs ?
Eh oui des imprudents, ennemis de la France fille aînée de l’Eglise ont joué avec le feu en ayant ouvert en grand les portes à un Islam fondamentalement conquérant depuis plus d’un millénaire, tenant le Coran d’une main et le sabre de l’autre…
Ceux qui n’ont pas compris cela ne comprendront jamais rien.
Mieux que rien, c’est rien, cher P. Bilger !
La radicalisation est hors raison. La déradicalisation l’est de même.
Instrumentalisation bidon pour satisfaire « l’humanisme bisounours » et amadouer la communauté musulmane (Voyez, on s’occupe de vos enfants perdus !).
Nous savons tous que l’islamisme, comme l’islam d’ailleurs, échappe à toute rationalité. La naïveté de nos dirigeants – Macron en tête – fait peur. Encore une fois ces personnes, si cultivées, si intelligentes, si…, si…, ignorent que l’Histoire est tragique.
Nous allons vers de grandes tempêtes les mains liées, les yeux fermées, en agneaux bêlants !
Cordialement.
Mission impossible !
La preuve ? Même M. Bilger n’a pas réussi à déradicaliser les islamistes fanatiques du blog : Elusen, Tomas, Gaspary mes trois chouchous préférés ; ces apologues de la violence islamiste ont réussi à mettre sous leur coupe les Giuseppe, caroff, hameau etc. et beaucoup d’autres ici, naïfs niais qui démarrent au quart de tour comme des dératés dès que ces malades envoient leurs provocs et fakes.
Je me régale de voir ce cinéma et je tire mon chapeau à ces trois dégénérés qui réussissent à manipuler et squatter ce blog, même méthodes que leurs potes islamistes dans toutes les institutions de la France : provocs et victimisation sont les deux mamelles de la chamelle islamiste, et ça marche du feu de Dieu !
« Des écoles hors contrat seront surveillées »
Paul (4 ans) et sa famille qui habitaient l’ouest de la France ont déménagé et résident désormais dans une banlieue de la région parisienne.
Dans l’école publique de Paul il y a de nombreux enfants de religion musulmane. Il est copain avec tous.
Cette semaine-là, la maman de Paul est en déplacement pour son travail.
Son papa travaille de 13H à 20H.
Les grands-parents ont été sollicités pour garder Paul.
Le lundi soir, vers 20H, Paul doit aller dormir, sa grand-mère l’accompagne dans sa chambre, lui lit une petite histoire, et lui demande d’éteindre la lumière pour dormir.
Paul : Tu me lis encore une autre histoire.
Grand-mère : Non maintenant il est l’heure de dormir.
Paul insiste : Encore une.
Grand-mère : Non non, maintenant tu vas dormir et moi je vais terminer mon travail.
Paul : Quel travail ? Toi aussi, comme maman tu travailles ? Mes copains Malouf et Aassil disent qu’une femme qui travaille « ça ne vaut rien ».
Grand-mère : Tu as dit cela à ton papa et à ta maman ?
Paul : Non, j’ai oublié.
Que signifie le « j’ai oublié » de Paul !
« Heureusement », grâce à cet « épisode » les parents et les grands-parents de Paul ont pu apprendre que déjà à 4 ans, Paul a reçu un « message » que ses petits camarades de maternelle lui ont « injecté », on peut sans doute dire inconsciemment, vu leur âge.
« Des écoles hors contrat seront surveillées ». Oui mais entre deux comptines, dans nos écoles publiques, sait-on ce qu’il se dit, ce qu’il se passe !?
Il me semble que prétendre « déradicaliser » un fou d’Allah, équivaut dans l’absurde à dire que l’on va réparer une maison en la privant de ses fondations et de sa charpente. Ce que nous appelons radicalisation n’est pas une illusion ni une drogue aux yeux du croyant musulman, c’est une éthique, une sorte de sainteté violente, qui le rend juste et cohérent à ses propres yeux et aux yeux de ses coreligionnaires. Il ne va pas remplacer l’éthique qu’il a ingérée avec le lait de sa mère par les injonctions d’éducateurs occidentaux ou de psychiatres soucieux de saper sa foi. Quand même le voudrait-il qu’il ne le pourrait pas. L’idée de rééducation ou de déradicalisation me semble donc complètement à côté de la plaque. Cela dit, si le gouvernement s’inquiète de cet énorme problème, c’est déjà un premier pas.
Penser qu’on va organiser leur religion pour les musulmans procède de la même illusion. « L’Islam de France » est un slogan vide de sens pour eux, et même pour les autres d’ailleurs. Je crains que le « plan contre la radicalisation » soit aussi une construction intellectuelle. Petit détail, les plans « contre » sont promis à l’échec par rapport aux plans « pour » (la santé, la justice, la paix). Mais quand il s’agit par-dessus le marché d’éradication des croyances profondes d’une personne – que l’on fait semblant de considérer comme victime d’une secte – on arrive au résultat inverse. Ce ne sont pas les croyances qu’il faut changer, mais les comportements, en leur imposant un « non » clair et net, en pénalisant au maximum leur moindre tentative, et en les rendant impossibles par une chasse sans complaisance. Chez nous, c’est notre éthique qui prévaut, à l’exclusion de toute autre. En contrepartie, dans les pays musulmans avec religion d’Etat, il nous faut admettre que c’est leur éthique qui prévaut, ce qui n’est pas évident pour nous.
À propos j’ai appris que le mot « slogan », d’origine galloise, serait la contraction de deux mots, signifiant une fois réunis : « cri de guerre de l’armée des morts ».
Dans un HP, Toto se promène dans le jardin en traînant sa brosse à dents au bout d’une ficelle. Au détour d’une allée il rencontre l’éducateur qui lui déclare : « Alors Toto on promène son chien ? » – « N’importe quoi ! ce n’est pas un chien c’est une brosse à dents ! » – « C’est très bien Toto tu fais de gros progrès ! » dit l’éducateur en s’éloignant et Toto de se retourner vers sa brosse à dents : « Tu as vu Médor on l’a bien eu… »
C’est un peu comme un handicapé mental qui habitait au village (paix à son âme) que l’on appelait Peuneu. Son passe-temps était de récupérer des pneus usagés et de les laver dans le ruisseau. Brillants il était content et déçu de les voir à nouveau ternes sous le soleil au bout d’un moment, il les relavait…
Déradicaliser…
Je retiens de cet excellent billet, Monsieur Bilger, ce court passage :
« Avec les radicaux islamistes, il me semble qu’on est totalement éloigné de ces cas de figure.
Les terroristes aspirent à convaincre par la violence, sont fiers des tueries perpétrées au point de vouloir les couronner par leur propre disparition en martyr.
On s’acharne à leur appliquer une grille classique, comme celle qui régit les criminels de notre monde où la culpabilité existe et souvent le regret. Mais ils sont étrangers à notre bienséante rationalité, à notre honorable morale. »
Nos dirigeants politiques, sans doute du fait de nos relations avec les pays wahhabites (l’Arabie séoudite en tête, voire le Qatar), ne veulent en aucune manière les « offenser » car existent de juteux marchés, d’armement, mais pas uniquement.
Il suffit d’observer que l’Occident en Syrie a soutenu des groupes affiliés à Al-Qaïda après qu’ils ont phagocyté puis détruit l’opposition réellement démocratique à Bachar el-Assad…
Or, l’islam wahhabite est d’abord et avant tout un islam politique qui veut s’imposer partout (universalisme), par tous les moyens, de la persuasion à la guerre, en l’espèce asymétrique. L’islam politique est d’abord une idéologie politique visant tous les aspects de la vie sociale comme privée. Nos politiques, dans les années 1980, ont laissé les prêcheurs wahhabites officier dans nos banlieues en pensant qu’ils les pacifieraient par une action positive et modératrice sur les esprits de la jeunesse d’origine immigrée. Tout comme en 1979 Monsieur Giscard d’Estaing avait accueilli l’imam Khomeini comme s’il s’était agi d’un brave curé de campagne !
Cet islam de combat est contraire à l’islam malékite en vigueur dans l’Afrique du Nord que nous avons connue avant les indépendances. On a vu dans les années 90 la manière dont l’islamisme a voulu s’imposer en Algérie et les drames que ce pays a connus pour le combattre… Avec toujours un fondamentalisme musulman accru dans ces sociétés nord-africaines, souvent lié à l’action des Frères musulmans dont l’idéologie est aussi peu conciliante que celle du wahhabisme.
Le problème à présent est que lutter idéologiquement contre l’islamisme politique, dont la référence est le Coran comme absolue parole d’Allah ; cela revient à contrer les dispositions guerrières du Coran, ce qui s’assimile chez nos intellectuels à une action antimusulmane, donc de stigmatisation de tous les musulmans.
La France dispose de la laïcité qui renvoie la religion à la sphère privée, même si une expression dans l’espace public est tout à fait compatible à la condition qu’il ne s’agisse pas d’une affirmation politique, ce qu’est manifestement l’habillement de certaines femmes qui ne se contentent pas d’un petit foulard ceignant la chevelure, mais bien un habillement de pied en cap !
Alors nous attendons avec impatience l’intervention présidentielle sur la laïcité. Nous servira-t-il la version anglo-saxonne, communautariste par essence et par définition, ou osera-t-il enfin affirmer les principes français d’opposition à tout système communautaire et garant de la paix civile ?
Alors, pour le moment, le gouvernement ose une petite approche dont vous savez par expérience professionnelle, Monsieur Bilger, qu’elle est très timide et pas de nature à effaroucher les islamistes convaincus.
@ marie
« « Des écoles hors contrat seront surveillées ». Oui mais entre deux comptines, dans nos écoles publiques, sait-on ce qu’il se dit, ce qu’il se passe !? »
Eh oui, la première des madrassas, c’est la cour des écoles publiques…
N’oublions pas non plus les clubs sportifs de toute nature, auxquels les parents confient leurs enfants sans méfiance, qui sont de plus en plus noyautés et contrôlés par des islamistes :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/10/15/01016-20151015ARTFIG00092-une-note-des-renseignements-pointe-du-doigt-la-radicalisation-dans-le-sport-amateur.php
@ Monsieur Philippe Bilger
Nous ne pouvons qu’être en accord avec votre billet, « c’est mieux que rien ». Ce beau gouvernement qui fait suite à tous les autres, depuis quarante années, et qui font ce qu’il peuvent, c’est-à-dire rien ! Ou plutôt des dégâts, qui minent la France et font exploser en permanence leur bêtise volontaire ou involontaire. Tant que nous accepterons des ânes, des fumistes, des escrocs voire des antinationaux à la tête de notre pays tout marchera de travers.
Simple question, nous allons déradicaliser, mais que fait-on de l’invasion ? Jusqu’à quand la France pourra-t-elle emprunter pour nourrir, héberger, éduquer, distraire tous ces nouveaux chômeurs ? Voyez-vous, nos ânes de ministres sont embauchés pour leur incapacité à comprendre quoi que ce soit, de ce fait on ne peut même pas leur reprocher leur manque de patriotisme !
https://www.youtube.com/watch?v=A3RrJIBj08I&feature=youtu.be
Halte à la destruction de l’Europe, suivons le modèle britannique.
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@ Ellen | 01 mars 2018 à 09:00
« C’est ça la belle France d’aujourd’hui ? On est dans un monde à l’envers !! Je suis écœurée. ».
Chère Ellen, comme un grand nombre de Français vous êtes, vous aussi, tombée dans le panneau Macron et vous découvrez avec effroi que l’on vous a trompée… Je compatis et j’apprécie votre prise de conscience. Si vous en avez les moyens vendez vos biens et allez vivre dans un pays qui refusera l’invasion musulmane ! Faites comme certains juifs allemands avant 39, c’est difficile mais, entre la vie et le néant, il faut parfois choisir et des centaines de milliers de Français d’Algérie ont dû choisir, rappelez-vous « la valise ou le couteau » !
@ Ellen 01 mars 2018 09:00
Je partage certains points que vous évoquez dans votre post, à savoir une plus grande fermeté s’agissant des mosquées clandestines et surtout des imams prêchant la haine de l’Occident. Rien à attendre de ceux qui ne cessent de déstabiliser nos démocraties déjà en danger. Malheureusement le ver est dans le fruit et sa progression ne faiblissant pas, nous allons nous réveiller un petit matin avec la gueule de bois.
Comme l’avait déclaré le Président Chirac en invoquant le climat, la maison brûle et nous regardons ailleurs.
Cette fois-ci cette citation peut se décliner autrement, la nation se délite et nos moyens sont dérisoires face au cancer qui nous grignote sournoisement.
Et j’ai bien l’impression qu’il est trop tard pour enrayer le mal.
@ Lucile
« Chez nous, c’est notre éthique qui prévaut, à l’exclusion de toute autre. En contrepartie, dans les pays musulmans avec religion d’Etat, il nous faut admettre que c’est leur éthique qui prévaut, ce qui n’est pas évident pour nous. »
Vous avez parfaitement compris que cette question de la radicalisation sortait largement du cadre étriqué de mesures de simple police ou bien d’élucubrations de psychiatres-vedettes, de sociologues gauchistes et autres scientifiques n’y connaissant rien en la matière, sachant que les islamologues sérieux, qui ont atteint l’âge de la retraite, seraient les seuls dignes d’être écoutés.
Il faut effectivement voir les choses de haut, de façon globale, à savoir principalement que de même qu’un tremblement de terre est causé par la rencontre violente de deux plaques tectoniques, les problèmes que nous rencontrons – et qui ne pourront que s’aggraver – sont dus aux rapports de force existant entre deux formes de civilisation incompatibles, chacune étant persuadée que son modèle est le meilleur.
Ces forces dépassent largement les seuls individus qui n’en sont que les jouets et dont le traitement individualisé ne changera absolument rien aux causes du mal.
Que dirions-nous si nous vivions dans un univers islamisé comme il en existe dans d’autres pays et si nous étions vus comme des mécréants radicalisés et que nous étions pris en main par des « experts » qui s’efforceraient de nous convertir en employant divers moyens, y compris la menace et le chantage, pour nous obliger à renoncer à ce que nous appelons nos valeurs – voire à notre religion – et à tout ce qui correspond à notre être ?
Eh bien, admettons que nous ne pouvons pas exiger des radicalisés l’équivalent de ce que nous refuserions nous-mêmes.
« Pour prévenir ou châtier la « radicalisation », une « radicalité » de notre démocratie sur tous les plans ne serait même pas assurée de vaincre. »
Nous sommes sans aucun doute nombreux à partager ce point de vue. Apparemment impuissante, amorphe, sinon laxiste depuis des décennies, notre organisation sociétale est progressivement devenue excessivement tolérante. Organisation et représentation tendant même à nier son obligation morale vis-à-vis de ceux qu’elle représente, et ce jusqu’à en diminuer la gravité de la situation par un laisser-faire sans de véritables contraintes dans le domaine évoqué (mais pas que) devenu aujourd’hui ultra-dangereux pour le court terme.
C’est désormais démontré par le sang qui a commencé à couler, et un nombre insoutenable de djihadistes certains et potentiels, désormais bien enracinés, qui ne rêvent que de se multiplier.
Mais qui sont donc nos représentants politiques dont l’attitude est à l’évidence de regarder ailleurs, de ne pas oser dire stop, carrière oblige, allant jusqu’à demeurer volontairement sourds et aveugles, se considérant sans obligation car impuissants, et pour couronner le tout niant à l’évidence la gravité d’une situation que même notre chef à tous n’ose semble-t-il aborder de front.
« Sauf peut-être pour les enfants de moins de 8 ans, si le contact est rompu avec le poison délétère qui les a déjà irrigués…
Je serais même tenté de dire 6 ans puisqu’à cet âge les bases du petit homme sont en place.
Ainsi j’en arrive encore à ne pas partager totalement notre laïcité telle qu’elle est mise en œuvre aujourd’hui encore.
C’est bien d’abord dans nos écoles primaires que notre laïcité républicaine ne devrait pas demeurer seulement un espace de neutralité protégeant le libre choix des consciences. Cet espace existe-t-il vraiment quand on sait que des enfants juifs n’ont plus semble-t-il la possibilité de partager cet espace. C’est à désespérer.
Notre école primaire devrait bien plus, et il y a urgence, reprendre la main (d’une main ferme) sur l’espace d’émancipation, par l’éducation et l’instruction et de la formation du sens d’être sa propre autorité. Une éducation aux formes diverses de rationalité scientifique, sciences humaines est loin d’être neutre.
Certes, si par notre laïcité, le citoyen a la liberté de conscience, on ne peut évidemment pas lui imposer d’une manière ou d’une autre d’adhérer par exemple à l’évolution des espèces, à la critique philosophique et sociologique etc.
Mais notre laïcité a le devoir d’étudier ces points de vue très très tôt à l’école, de permettre d’en voir, voire d’en entrevoir et d’en tester les tenants et aboutissants…
Quid donc des écoles religieuses (aussi bien catholiques, coraniques, juives), dont l’enseignement spécifique ne devrait être (peut être ?) confié qu’à des responsables reconnus et autorisés. Mais comment et par qui ?
« Vouloir désintoxiquer les dépendants d’une drogue qui tue surtout ceux qui n’en usent pas, désirer extirper une mauvaise herbe grosse de monstruosités à venir est louable mais ce plan apparemment ambitieux sera, je le crains, un coup d’épée dans l’eau amère de la radicalisation islamiste. »
Le but des terroristes islamistes est de vendre l’idée que la charia et le califat doivent pénétrer partout en attirant l’attention sur ce que nous considérons comme la pire des malfaisances… et de ce point de vue, cette sorte de « marketing négatif » fonctionne très bien.
On n’a, en effet, jamais autant parlé de l’Islam, du Coran, des Frères musulmans, des salafistes qu’aujourd’hui, dans tous les médias !
Et le message véhiculé par l’ensemble des politiques et des journalistes revient comme un leitmotiv : surtout pas d’amalgame avec les musulmans et il serait inadmissible que nous ne cédions pas sur des revendications qui, au fond, paraissent comme des points de détail : femmes voilées, séparation hommes-femmes dans les lieux publics, alimentation halal, interdiction de la vente d’alcool et de porc, prières de rue…
Beaucoup évoquent une guerre civilisationnelle ; pour ma part je crois que nous refusons tout simplement d’entamer une guerre contre des gens qui veulent notre perte.
Ne pas interdire le CCIF, ne pas renvoyer chez eux les imams qui répandent la haine, ne pas être plus vigilants sur qui entre sur notre territoire, tolérer des enseignements coraniques parallèles, considérer que notre laïcité serait « islamophobe », supporter que dans des émissions du service public il soit fait une apologie du port du voile et de la haine des femmes (l’émission « C politique » qui invite chaque dimanche des représentant(e)s de l’islamisme comme Rokhaya Diallo, ou la députée Sonia Krimi ou Saïd Benmouffok) en est une parfaite illustration et traduit notre lâcheté…
Et puis comment l’Etat pourrait-il s’attaquer aux messages haineux transmis aux enfants dans les familles musulmanes ?
Dans les écoles ou collèges, des enfants issus de l’immigration refusent d’apprendre notre « common law », notre « vivre-ensemble »…
Dans ces conditions comment garder l’espoir que nous puissions « faire société » ?
@ Achille | 01 mars 2018 à 08:33
« L’important est de prendre le problème de l’islamisme radical à bras-le-corps, ce qui n’a jamais été fait véritablement par les présidents précédents, avec pour conséquence les attentats meurtriers de 2015 et 2016 qui ont fait des centaines de morts. »
A bras-le-corps certes, mais surtout à la racine !.
C’est bien à l’école que les jeunes enfants devraient pouvoir très tôt entendre d’autres sons de cloche, si je puis dire, que ceux entendus à la maison.
Que ce soit religieux, politique, donc moral et éthique.
comment expliquer le nombre de djihadistes français réels que l’on sait, et le nombre potentiel incertain ?
Il va bien y avoir un moment où ça va coincer. A moins que l’Histoire ancienne, additionnée à la plus récente, nous ait donné les clés pour que nous puissions empêcher qu’elle ne se répète à l’identique.
A une autre époque, il y avait moins de blabla.
Il suffisait d’attendre que « la cible » traverse en dehors des passages piétons et bim…
Affaire résolue, dossier classé.
Mais ça, c’était avant.
@ boureau | 01 mars 2018 à 10:54
Certes mais il ne faut pas oublier que l’Europe et l’Islam, c’est « Quinze siècles d’histoire » pour reprendre le titre du livre (Ed. Odile Jacob 2009).
(…le conflit israélo-palestinien, l’immigration musulmane, la place des compagnies pétrolières européennes dans les économies arabes, les accords économiques entre l’Union européenne et le Maghreb, les négociations pour l’entrée de la Turquie dans l’Union : tous ces sujets resteront des enjeux essentiels pendant le XXIe siècle et au-delà…)
L’Histoire va continuer à s’écrire, avec encore du sang sans doute. Mais il est probable que ce soit de très grands imprévus à l’échelle planétaire qui changeront la donne actuelle. Il va y avoir du boulot pour tout le monde.
Mais la Justice est très efficace contre la radicalisation ! La preuve : la mise en examen de Marine Le Pen pour diffusion d’images violentes. C’est à pleurer de bêtise.
Bonjour Monsieur Bilger
Le gouvernement veut déradicaliser !
Les intentions semblent bonnes, lutter contre la radicalisation islamiste, même s’il s’y prend comme un manche.
Il pourrait peut-être aussi arrêter d’importer par paquets de dix mille des individus susceptibles de se radicaliser ou déjà .
Un peu hors sujet, quoique :
J’espère que Tariq Ramadan ne va pas se radicaliser en prison.
Certes mieux que rien peut-être mais assurément plus qu’insuffisant et pas à la hauteur du mal !
Une mesure telle que l’isolement des détenus radicalisés relève tellement de l’évidence, du bon sens le plus élémentaire, que l’on se demande d’ailleurs pourquoi les pouvoirs publics ont tant tardé pour la décider !
Mais tout cela, qui ne fait que tenter de soigner partiellement le mal sans s’attaquer à sa racine, ne suffira nullement à éradiquer cette lèpre.
Assez de naïveté, de bienveillance, de lâcheté, ouvrons enfin les yeux, soyons réalistes et cessons d’appréhender ce phénomène et de le traiter avec le mode de pensée et les outils inadaptés de notre société occidentalisée.
Le combat contre cet islamisme malfaisant exige volonté, fermeté, persévérance, rigueur, intransigeance dans tous les aspects de notre politique d’immigration.
Accueillir notamment sur notre sol des êtres dont nous savons par avance que nous n’avons pas les capacités de les intégrer économiquement et socialement, n’est-ce point déjà créer le terreau plus que propice au développement de ce phénomène de radicalisation ?
@ fugace 01 mars 2018 15:02
« Certes, mais il ne faut pas oublier que l’Europe et l’Islam, c’est quinze siècles d’histoire »
Oui, mais la situation géopolitique a considérablement changé depuis une cinquantaine d’années.
Avant, l’islam était « hors les murs ». Maintenant il est dans toutes les villes et campagnes européennes.
Nous sommes en situation d’infériorité manifeste et le prosélytisme de certaines formes d’islam nous condamne à échéance rapide. Sauf à traiter le problème au niveau européen avec la création d’une charte. Comme Napoléon l’avait fait pour la communauté juive.
Mais je ne vois, hélas, aucun homme ou femme politique actuel ayant suffisamment de convictions pour enclencher cette action.
Donc les tempêtes à venir sont hélas très prévisibles.
Cordialement.
Cher P. Bilger, je ne puis résister à vous donner le résultat du dernier sondage YouGov pour CNews et le HuffPost :
Dégringolade de Macron et Philippe à… 30% d’opinions favorables !!
Pourtant, on nous serine partout que tous les feux sont au vert !
Bizarre non ? Quels ingrats ces Français !
Cordialement.
C’est quoi la radicalisation ?
Quand un protestant se moque du dogme de l’immaculée conception ?
Quand un témoin de Jéhovah essaye de vous placer sa revue ?
Quand un catholique vous parle de la Vierge Marie, mère de Dieu ?
Quand un juif vous informe qu’il fait shabbat chaque fin de semaine ?
Quand un Indien vous parle de la réincarnation ?
Quand Vialatte terminait ses chroniques dans La Montagne par « Et c’est ainsi qu’Allah est grand ! » ?
Douceur de ces « radicalisations »…
On parle d’autre chose ?…
Alors, pourquoi ne pas le nommer ?
Hypocrisie, lâcheté, politiques pitoyables qui ne savez appeler un chat « un chat » !
Mal nommer les choses et rajouter ainsi aux malheurs du monde…
La déradicalisation ne peut pas être une solution. Déradicaliser, c’est tenter de faire abandonner leur foi à des fanatiques. Imagine-t-on qu’on ait, au tournant du 16e siècle, tenté de déradicaliser Ignace de Loyola et sa « Sainte » Inquisition, dont les exactions ne se comptent plus ? Si on combine cet aspect religieux avec les considérations de basse politique, particulières à certains Etats, on mesure pourquoi vous terminez votre chronique sur le scepticisme !
« Vouloir désintoxiquer les dépendants d’une drogue qui tue surtout ceux qui n’en usent pas »
Eh oui. Le fanatisme est addictif et constitutif de l’identité de la personne comme le dit Lucile, alors bon courage pour en purger les porteurs.
Comme nous n’y arriverons donc pas, du moins, il y a des exceptions à tout, en nombre suffisant, comme nous avons refusé de laisser des Français ayant trahi être exécutés par ceux qui les avaient capturés, et comme nous sommes, paraît-il, en guerre, il n’y a qu’une solution : rétablir la peine de mort pour les terroristes.
Il y aura une chose horrible, vraiment, nous ne pourrons plus prendre les Américains de haut avec la peine de mort.
Mais qu’est-ce qui compte le plus, préserver nos vies et notre liberté, ou notre vanité-ressentiment anti-américain ?
Ces gens que nous maudissons de n’avoir jamais, contrairement à nous, perdu leur liberté, ces gens à qui nous devons la nôtre.
De telles supériorités méritent assurément notre ressentiment, comme les terroristes, du fond de leur arriération, nous en veulent de notre avance sur eux.
Ou pas ?
Frappons l’ennemi, honorons l’ami.
@ caroff | 01 mars 2018 à 14:17
Je suis d’accord avec votre exposé… oui mais… pas sur la méthode, voyez-vous Macron décider ce que vous proposez ? Alors que ledit Macron s’est servi des votes des Maghrébins pour arriver au pouvoir :
-amitié subite avec le Roi du Maroc,
-dénigrement du passé de la France en Algérie,
-reniement de la culture française,
-connivence avec une secte et une diaspora pour prendre le pouvoir.
Il y a un siècle il aurait été mis au poteau, aujourd’hui sans le savoir il est le premier imam de France.
La délivrance du fléau que vous évoquez ne passera que par une guerre du même type de celles qui se déroulent depuis plus d’un demi-siècle au Proche et Moyen-Orient.
Et puis comment considérez-vous l’action crapuleuse de Sarkozy en Libye et celle Hollande et Le Drian qui ont incité et favorisé le départ de djihadistes « français » dans la guerre de Syrie, comment considérez-vous les actions du parti socialiste français, de SOS Racisme et autres associations subventionnées par l’Etat français alors qu’ils combattent les fondements de notre pays ?
Le Français de souche même maltraité n’est pas apte à se rebeller… La guerre larvée viendra de mouvements interraciaux qui se forment et concourent actuellement à la prise du pouvoir en France comme les bandes de voyous se disputent le droit de la vente du haschich dans les banlieues.
Nos généraux n’ont rien à craindre par contre je plains d’avance les femmes.
@ Exilé
Bien d’accord. Nous n’avons pas à nous mêler de ce que les gens pensent et croient, mais si ce qu’ils font pose problème, là on peut et on doit intervenir.
@ boureau | 01 mars 2018 à 17:05
Jolie bourde d’Edouard Philippe le 22 février tweetant que les chrétiens d’Orient ont vocation à rester en Orient.
Et donc les musulmans qui viennent chez nous à y rester ?
@ boureau | 01 mars 2018 à 17:05
« Dégringolade de Macron et Philippe à… 30% d’opinions favorables !! Pourtant, on nous serine partout que tous les feux sont au vert !
Bizarre non ? Quels ingrats ces Français ! »
Vu qu’il est peu probable que Philippe Bilger vous réponde, car il le fait très rarement sur son blog, je me permets de le faire à sa place.
Il est rare qu’un président qui a décidé de faire des réformes structurelles en profondeur soit populaire. Il dérange bien des catégories socio-professionnelles qui se satisfont de la situation actuelle leur permettant de vivre grassement sur le dos de la bête.
Alors oui, le président et son Premier ministre perdent des points dans les sondages. C’est parfaitement normal car les Français veulent bien des réformes, à condition qu’elles ne les concernent pas.
Mais vu la cote de popularité de ses principaux adversaires politiques, de gauche comme de droite, ils ont encore une belle marge.
@ la marseillaise est dépassée | 01 mars 2018 à 13:09
Et dire qu’en fin de chaque messe politique ces ânes nous la ressortent pour nous faire croire qu’ils sont des patriotes français. C’est à pleurer de rire.
Histoire vraie : hier, après avoir fait les courses et avant de rentrer à la maison, je marque une pose sur la terrasse d’une brasserie/restaurant pour prendre un chocolat chaud. A ma droite, deux arabes, dont une femme et un homme parlant très mal le français, discutent des allocations de chômage et de l’APL lorsque soudain je les entends dire : « La France, on l’emm…, il faut prendre le maximum de sous à ces kouffars ». J’ai payé mon chocolat et je suis partie avec la boule au ventre en les maudissant.
J’ai vraiment envie de quitter la France et laisser toute cette vermine profitant de nos impôts. Que Bercy ne s’étonne pas qu’ensuite l’argent ne rentre plus dans ses caisses.
@ Michel Deluré
« Mais tout cela, qui ne fait que tenter de soigner partiellement le mal sans s’attaquer à sa racine, ne suffira nullement à éradiquer cette lèpre. »
Exactement.
Rien ne sert de traiter les symptômes si l’on ignore ou si l’on nie les causes du mal.
Et malheureusement les gens qui devraient prendre cette question à bras-le-corps ne font que tergiverser en se voilant la face, en cherchant des prétextes pour ne rien faire.
@ boureau | 01 mars 2018 à 16:53 et à 17:05
« Donc les tempêtes à venir sont hélas très prévisibles. »
Les tempêtes à venir ?
Elles sont déjà là, sur toute la planète, en particulier en pays musulmans !
Quand on a connu l’évolution des Emirats, Bahrein et Oman au cours des cinquante dernières années, quand on observe l’Arabie Saoudite en ce moment, quand on suit le Soudan, l’Erythrée et la Somalie, le Sahel et le Nigeria aujourd’hui, on a plutôt l’impression que l’islam est moribond, qu’il se suicide, qu’il finira comme les autres religions.
Ce sera pénible, certes, mais plus pour eux que pour nous.
La différence est que nous voyons cette tempête à la télévision ce qui ne pouvait être le cas pour les autres religions, qu’à l’époque il n’y avait ni « grands reporters », ni petits reporters en quête de scoop, pas de « panels d’experts » pour débattre du problème à l’infini.
Football et tennis au Qatar, une antenne du Louvre à Abu Dhabi, des vacances à Dubaï… tout cela prend corps pendant que les autres s’étripent.
Leurs femmes vont en masse à l’université étudier sciences et technologies, certes elles se voilent mais nous ne devons pas en faire de même mentalement. Pour moi leurs fort jolis visages (les jeunes Saoudiennes et Iraniennes sont ravissantes comme l’étaient leurs mères), présagent d’un tout autre futur.
Sans guerre depuis 70 ans l’Europe et les USA s’ennuient, il faut bien qu’ils se trouvent quelques problèmes, se fassent peur.
La guerre froide se limite à une tempête de neige. Poutine ne souffle que le froid (sauf pour Robert Marchenoir bien sûr), Staline doit se retourner dans sa tombe !
Lisez ce qu’écrit fugace le 01 mars 2018 à 14:40 et à 15:02, c’est exactement ce que je pense.
« CNews et le HuffPost »
Ne vous y fiez pas trop boureau !
Il faut savoir qui est Arianna Huffington et comment elle est devenue riche et célèbre. Cherchez du côté de Houston, du pétrole et de son beau-père, du côté de l’Indonésie et de Balikpapan en particulier. Elle a importé une version différente de « nouveaux riches » au pays des nouveaux riches et s’est construit une célébrité, pas une sagesse internationale.
Le Huffpost n’est pas une nouvelle Bible ou Torah, ni même un Coran, il n’a rien de sacré, seulement un autre canard, même pas un Canard !
Vouloir déradicaliser un islamisme, c’est comme vouloir lui faire renier son Allah. Arrêtons d’être naïfs et stupides.
Votre texte de ce jour me porte à dire ceci :
Tous ceux qui, parmi nous, vont à la messe entendent, après la lecture d’un fragment de la Bible : « Acclamons la parole de Dieu (variante : du Seigneur) ».
Les musulmans croient tous que Dieu a dicté sa parole à… Mahomet (forme francisée adoptée par Voltaire). D’où le Coran. Certains jeunes musulmans, dans certains pays, peuvent le réciter par coeur et en entier. D’après les musulmans, tout ce qui est écrit là-dedans est vrai et… divin. Or, entre mille autres choses, on trouve dans ce livre-là… l’ordre (divin) de tuer les athées (on en parle peu), les gens de religion juive et chrétienne. Certains CROYANTS musulmans appliquent ce beau programme. Comme c’est bizarre !
Quand des autorités politiques françaises ont le projet de « déradicaliser », il faut traduire : c’est le projet de déraciner ces croyances religieuses-là.
Vaste programme, belle ambition ou mission impossible ? J’opte pour le trois.
Cette histoire de déradicalisation ne peut qu’échouer.
En effet, c’est une perspective purement individualiste : on traite chaque cas isolément.
Or, le problème de l’islam en France n’est pas un problème d’individus, mais un problème politique.
Qu’est-ce qui fait la différence ?
Les problèmes individuels n’ont pas d’influence politique. Par exemple, la forte consommation de psychotropes en France pose des tas de problèmes mais n’a pas d’influence politique. On peut donc traiter chaque cas isolément.
Ce n’est pas le cas de l’islam dont la visée est explicitement politique. L’islam cherche à obtenir un certain effet politique : imposer un mode de vie et des règles à tous.
Chercher à déradicaliser les islamistes, c’est le même raisonnement que si l’on avait ouvert des centres de déradicalisation pour les nazis sous prétexte que leur nazisme était dû à l’aigreur provoquée par la crise économique. Ce qui apparaît comme choquant et ridicule s’agissant des nazis l’est tout autant pour les islamistes.
La déradicalisation, ce n’est pas « mieux que rien » : c’est pire que tout, en ce sens que c’est, une fois de plus, une fuite devant le réel, un refus de regarder les choses en face.
Mais bon, parler de politique, de vraie politique, pas des macronades et autres amusements pour les crétins, c’est de moins en moins à la mode.
L’analyse écrite par caroff me paraît parfaitement pertinente. D’ailleurs c’est la tonalité générale des commentaires. Nous sommes beaucoup plus menacés par l’islamisation rampante que par les excès de vitesse. Mais dans sa grande naïveté le gouvernement actuel croit le contraire.
@ sbriglia
Douceur de ces « radicalisations »…
Vous avez oublié de mentionner la radicalisation fouteballistique…
Votre désenchantement est naturel et votre scepticisme relève du bon sens.
Le Coran propose aux radicalisés une grille de lecture du châtiment, de la cruauté directement liée à la foi islamiste.
Ce sont des sourates simples, où les mots sont faciles à isoler et donnent à la conscience de l’adepte sa justification, même dans l’horreur.
Le Coran ne comprend pas que cela, mais, en général, c’est un livre qui demande une attention profonde pour en comprendre le projet, la finalité, et encore faut-il s’abstraire de la date de sa fabrication.
Dans ces conditions, la pauvreté de nos arguments est flagrante : qui croira à la liberté, l’égalité et la fraternité quand nos dirigeants, en général, entrepreneurs comme politiques, mentent sans cesse ou dissimulent, alors que le Coran utilise un adjectif clair, « véridique ».
Comment un psychologue, aussi habile fût-il, pourrait-il décrypter et désamorcer le passage à l’acte, alors que notre société, oublieuse de toutes ses motivations, n’a pour but qu’un bien-être matériel que le Coran promet à l’égorgeur en l’assortissant de délices de miel, de lait et de fraîcheur sans parler des pucelles perinde ac cadaver.
Le drame du Coran, c’est comme la légende dorée : il est réductible et les radicalisés en reçoivent une impression très forte parce que manichéenne. Pas question d’explorer les hadiths ni de contester une traduction au petit point, non, l’affirmation est la base de leur catéchisme habillé d’une gloire éternelle.
Enfin, comment voulez-vous faire admettre un régime qui combat l’islamisme mais qui bâtit des mosquées à tout-va par le truchement de maires voyous, car, même si la vision politique qui est derrière ce paradoxe pourrait se justifier en termes économiques et électoraux, jamais le radical, voyant s’élever les termes qui soutiennent sa pensée et s’ouvrir des écoles plus ou moins clandestines qui sont des foyers de diffusion de la thèse barbare, ne pourra avoir de respect pour la pitoyable comédie jouée par nos hommes politiques.
De plus, les liens économiques et financiers avec les pays du Golfe sont un appel à la radicalisation, tant ces gens-là, pourtant relativement prudents, exposent le reflet de la vie glorieuse des musulmans intégristes, fondée sur la rente, le faible nombre et l’argent dispensé.
Nous n’avons aucun moyen de lutter : c’est une duperie de plus et les gouvernants le savent, même si Gilles Kepel est le conseiller de Macron.
Il est à craindre qu’il ne faille se résoudre à compter les bandes mitrailleuses.
Cher Philippe,
Voilà ce que l’on appelle un plan absurde !
– Premier point : le regroupement présente une situation idéale pour la multiplication de commandos terroristes. Une petite armée intérieure.
– Deuxième point : trois centres de jours ; impeccable aussi pour favoriser la diffusion de la radicalisation.
– Point 3 : pour les mineurs revenant de la zone irako-syrienne et le suivi psychologique : un fichage des enfants de l’Etat. Une honte !
– Point 4 : des enfants stigmatisés dans les écoles et lutte contre la propagande islamiste : lutte contre la propagande terroriste et liberté d’expression sont les deux mamelles de la France.
– Point 5 : des fonctionnaires radicalisés écartés de leurs fonctions : un retour de la politique de Vichy ? Interdiction d’exercices.
– Point 6 : les Etats généraux contre la radicalisation : une opération de com ?
– Dernier point : favoriser la recherche contre la radicalisation. Quelle composition de ce comité scientifique ? Encore une réunionite de gauche rêveuse qui met de l’huile sur le feu. Le comité des affaires musulmanes.
Où est passée la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905 ?
A quand un ministère des Affaires religieuses ? Macron en prend la direction.
Il fracasse les piliers des monothéistes sur l’autel de la foi scientifique et de la raison politique.
Il veut prendre la tête des écoles coraniques en violant la loi de 1905. Jusqu’à preuve du contraire, il n’est pas le chef des religions.
Il porte atteinte au principe de laïcité qui est la garante de la liberté de croire ou de ne pas croire sans mesurer les conséquences de ses décisions.
Dans un pays du nord de l’Europe, les parlementaires ont voté la possibilité d’une peine aggravée pour les personnes des ghettos, en toute équité.
En Egypte, la pénalisation des non-croyants devient le pendant de la pénalisation des terroristes, le tout sur un idée d’équité.
Cela prend la forme maladroite d’un soupçon généralisé sur une population qui dans sa grande majorité ne demande que la paix.
Il s’agit de la manifestation d’un Etat faible qui veut montrer ses poings.
Cela donne la sensation d’un parallèle entre radicalisation et maladie mentale, ce qui n’est absolument pas le cas. Les nazis n’étaient pas fous et bien responsables de leurs exactions. Il en est de même pour les radicalisés. Leur objectif est de gouverner et de détruire les autres façons de penser ou de vivre. Les radicalisés se vivent comme l’expression de la perfection destinée à éradiquer les êtres pensés inférieurs.
Nous aurions dû laisser les terroristes adultes apprécier les lois qu’ils prétendent généraliser en les empêchant de revenir diffuser leur haine et la mort.
La seule réflexion à mener concernait la protection des enfants et encore au cas par cas.
A force d’être compréhensif, nous serons devant une situation incontrôlable qui détruira l’Etat et ses valeurs républicaines.
françoise et karell Semtob
Seule solution, la déportation de longue durée aux Kerguelen.
Tirés des propos d’Agnès Buzyn, ne figure souvent QUE la mesure envisageant une forte hausse du prix du paquet de cigarettes.
Si les commentateurs qui s’insurgent contre cette mesure en se plaignant que celle-ci soit à la fois pénalisante, insuffisante, donc inutile, avaient pris le temps de lire complètement les propos de la ministre, ils auraient pu prendre connaissance des mesures d’accompagnement envisagées.
Quant à la question de l’alcoolisme, la ministre s’en soucie également, comme le prouvent ses propos.
Enfin, considérer que la lutte contre le tabagisme est une atteinte aux libertés fondamentales est un argument plus que discutable.
Fumer sans pouvoir s’en défaire m’apparaît plutôt comme le signe d’un asservissement, puisqu’il y a addiction.
Le tabagisme passif comporte également de vrais dangers, pour les enfants en particulier.
Ne retenir que la mesure la plus « visible » tient vraiment de la mauvaise foi, en l’occurrence.
Mais tout est prétexte à critiquer quand on tient à s’opposer.
La première mesure contre le radicalisme est de traiter correctement les immigrés et de cesser la discrimination à leur égard. Cela prendra du temps car c’est à la société et non à l’Etat de le faire, mais tant qu’existera cette discrimination, il existera un terreau fertile pour le phénomène et d’autres nuisances sociales.
Je ne comprends pas bien la spécificité de la radicalisation islamiste sur d’autres formes de radicalisation. De même qu’on peut avoir milité à Occident dans les années 60 et être devenu un politicien respectable aujourd’hui, on peut aussi être devenu un radical et en être sorti : tous les radicaux ne sont heureusement pas terroristes !
Les mesures proposées sont par nature insuffisantes pour éradiquer le fléau à court terme car il a des causes multiples et profondes, mais elles vont dans le bon sens en permettant aux pouvoirs publics de réagir plus vite. Et vous avez raison, à part faire de la France la RDA, il n’y en a pas d’autres.
On attend en revanche le plan de déradicalisation de vos lecteurs vu les solutions proposées par certains, qui font d’eux des croisés intégristes en pantoufles !
@ sbriglia | 01 mars 2018 à 17:06
Dans un essai de 1944, paru dans Poésie 44 (Sur une philosophie de l’expression), Albert Camus écrivait : « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde ».
Et donc, bien citer c’est
1- mettre des guillemets
2- contextualiser en rapport avec le billet du jour.
@ Ellen
Vous parlez arabe ? Je vois mal des gens « parlant très mal le français » utiliser une telle expression dans la langue de Molière ! Emigrez si vous voulez, mais vous trouverez les mêmes ailleurs, sauf à aller vivre dans les pays pauvres sans prestations sociales. Bon courage à vous alors, j’espère que vous avez la santé.
@ Franck Boizard
Au cas où vous l’ignoreriez, il restait des centaines de milliers de nazis en Allemagne en 1945. Une opération de dénazification de grande ampleur a eu lieu, qui comprenait outre une épuration administrative qui fut forcément limitée et incomplète une rééducation de la population par des programmes scolaires et de divertissement culturel adaptés.
On ne peut pas dire que ça n’ait pas marché.
Mais sinon, votre solution à vous, c’est remigration ou extermination ? Vous êtes au courant que le quart des terroristes français partis en Syrie sont des convertis ?
J’invite tous les hystériques de l’invasion à lire le commentaire de Claude Luçon : le monde arabo-musulman entre dans la modernité et ça ne se fait pas sans heurts et sans réaction de désespoir des milieux traditionalistes encore assez puissants pour se faire entendre et faire peur, retardant ainsi l’inévitable changement qui attend ces sociétés. Comme chez nous, qu’on se souvienne que l’Action française prospéra sous la IIIe République laïque, quand l’Eglise avait encore assez de pouvoir pour s’opposer aux changements.
La France en a vu d’autres durant le siècle écoulé (Occupation, « péril rouge » d’après-guerre, guerre d’Algérie, terrorisme d’extrême gauche, attentats des Iraniens, du GIA algérien…), elle s’en remettra. Pas la peine d’aller polluer l’environnement des caïmans de Guyane et des lions de mer des Kerguelen, appliquons juste avec rigueur et équité le droit existant, et tout ça passera !
@ fugace | 01 mars 2018 à 14:14
« Quid donc des écoles religieuses (aussi bien catholiques, coraniques, juives), dont l’enseignement spécifique ne devrait être (peut être ?) confié qu’à des responsables reconnus et autorisés. Mais comment et par qui ? »
Wouahou ! Me permettez-vous de vous rappeler
1- la liberté de croyance et que
2- c’est le christianisme qui imprègne l’univers européen depuis le Moyen Âge
3- bien que souvent portée au seul crédit de lois inspirées par le Vosgien de confession catholique Jules Ferry, l’Instruction publique laïque est cependant issue d’un réseau d’écoles mis en place par les Révolutionnaires avec pour mission de remplacer, à terme, l’instruction devenue par l’ordonnance royale de 1698 obligatoire et gratuite mais déjà assurée par des maîtres d’école.
Jusqu’à cette création de la Révolution qui pour être laïque n’en fut pas pour autant idéologiquement neutre, l’instruction, comme le chantait la regrettée France Gall, était assurée depuis Charlemagne qui fait ouvrir des écoles dans tous les monastères et dans tous les évêchés de son royaume et prié dès l’an 803 les parents d’envoyer leurs enfants à l’école, tout d’abord dans les écoles monastiques qui les ont reçus à titre gratuit, puis ces dernières ayant été réputées réservées aux moines, en d’autres lieux jusqu’à la fondation en 1253 par Robert de Sorbon, Chapelain et confesseur de Louis IX (Saint-Louis), de l’Université que la Révolution ferma en 1791 et que Louis XVIII rouvrit en 1821.
Or donc, le problème actuel n’est pas tant l’enseignement dit libre où le catéchisme est réduit à la portion congrue et est en option tout comme dans l’enseignement public en Alsace et en Moselle, dont le personnel enseignant compte lui aussi des agrégés, pas partout certes, qui accueille des élèves de toute confession, et qui, lorsque sous contrat, est dès lors aussi sous tutelle quelque part du ministère de l’Education dont un autre Vosgien, mais de confession juive, a pu être et le ministre (1992-93 et 2000-2002) et président de l’Institut du monde arabe (depuis 2013), ni l’enseignement dit privé (la business school de Lyon dont les élèves ont enregistré Wauquiez contre sa volonté, est de droit privé), mais celui de lieux d’endoctrinement sans aucun rapport avec les programmes scolaires !
Donc, ne confondez pas tout et n’importe quoi s’il vous plaît !
@ Tomas
« On attend en revanche le plan de déradicalisation de vos lecteurs vu les solutions proposées par certains, qui font d’eux des croisés intégristes en pantoufles ! »
Je ne sais pas de quelles mesures vous parlez au juste et encore moins qui vous visez, mais il a lieu en continu, et avec des résultats contre-productifs.
Il s’agit de l’interdiction de dire ceci ou cela dans la loi… Il en résulte que ceux qui le font se prennent pour des martyrs d’un côté, et que de l’autre, quand on prône des solutions de fermeté face à l’islamisme et tout ce qui peut nous mettre dans le cas d’avoir des islamistes, comme le fait d’accueillir de nombreux musulmans, simple calcul de probabilité, on passe pour tel.
Il s’agit de la censure sur Internet, moins ici.
Voilà… Sinon, pour le fun, quelles mesures de déradicalisations prônez-vous au juste ?
Enfin, c’est la France…
Quant aux croisés en chambre, ils descendent parfois dans la rue, ainsi contre les homosexuels.
C’est bien triste pour ces derniers, mais positivons, certains sont sortis des illusions sur le fait que tout le monde les accepte, induites par une loi interdisant de tenir des propos homophobes.
Et pour ce qui nous intéresse ici, cela décrédibilise davantage encore la religion, qui s’en prend encore une fois à des gens qui ne nuisent à personne. Et ce, avec le sens de la loyauté qui la caractérise aussi, puisque dans le même temps, on ne manifestait pas pour les chrétiens d’Orient persécutés. Combien s’en prendre à qui ne nuit à personne faisait ressortir à mes yeux ne rien faire pour ses frères, et ne rien faire pour ses frères mettait en valeur le fait de vouloir maintenir les homosexuels dans leur infériorité légale, en passant en les insultant, c’est si jouissif.
Bref, je ne vois pas en quoi les abaissements de la liberté d’expression seraient bons, et guère davantage en quoi quelque religion que ce soit pourrait bien pousser à l’amour du prochain, la justice, la loyauté et autres choses semblables.
@ Tomas
« Je ne comprends pas bien la spécificité de la radicalisation islamiste sur d’autres formes de radicalisation. »
Celle-là, elle est très forte ! Bon, c’est vrai, le cerveau est un organe précieux, il ne faut pas trop l’user.
Les arguments des sœurs semtob qui consistent à démontrer point par point que ce plan est contraire aux droits des citoyens, au principe de laïcité, qu’il n’aura pour effet que de renforcer la radicalisation au lieu de la réduire, que ces dispositions sont un retour à la politique de Vichy et autres balivernes de ce genre, sont affligeants de mauvaise foi, pour ne pas dire de bêtise. Mais les semtob nous ont habitués à des démonstrations alambiquées totalement extravagantes.
J’ai lu tous les commentaires et je n’en ai pas trouvé beaucoup de bien pertinents, sauf ceux qui consistent à traiter le problème à la racine (fugace), notamment en favorisant l’intégration sociale, dès l’école, des jeunes issus d’une communauté qui est en guerre contre « le système » et se sont réfugiés dans la pratique de l’islamisme radical (et accessoirement dans le trafic de drogue).
Claude Luçon laisse entendre que l’islamisme radical s’essouffle, ce qui semble effectivement être le cas dans certains pays fortement islamisés. C’est le cas en Arabie Saoudite et aussi en Iran qui ont été longtemps plongés dans un obscurantisme moyenâgeux et dans lesquels les femmes commencent lentement à s’émanciper. Nous ne pouvons que nous en réjouir.
Comme les épidémies meurtrières qui ont provoqué des millions de morts, peut-être, en effet, que ce fléau s’éteindra de lui-même, les peuples qui y sont soumis se lassant de ce rigorisme religieux intolérable. Encore faut-il veiller à ce que le feu qui couve ne reparte pas de plus belle.
Et pour cela il faut bien faire quelque chose et ne pas se contenter de contester stupidement toutes les mesures qui pourraient être prises par le gouvernement en invoquant des prétextes fallacieux !
@ Tomas | 01 mars 2018 à 22:31
« La première mesure contre le radicalisme est de traiter correctement les immigrés et de cesser la discrimination à leur égard. Cela prendra du temps car c’est à la société et non à l’Etat de le faire, mais tant qu’existera cette discrimination, il existera un terreau fertile pour le phénomène et d’autres nuisances sociales. »
Vous êtes bien naïf de le croire ou vous êtes un traître. A moins que vous ne préfériez le grand remplacement des français chrétiens et des non croyants par des islamistes guerriers cherchant à prendre le pouvoir religieux et politique sur notre territoire et en Europe.
Allez donc chez eux et vous verrez ce qu’il risque de vous arriver si vous protestez et exigez, en tant que migrant illégal chrétien, le droit de vous maintenir sur leur sol et faire votre prière dans la rue en exhibant la croix du Christ.
@ Tomas | 02 mars 2018 à 00:34
Il ne me viendrait pas à l’idée d’immigrer illégalement dans un pays pour ensuite l’insulter parce que je n’obtiens pas ce que j’ai exigé de lui et encore moins d’agresser et proférer des menaces de mort.
Vous raisonnez à l’envers. Dites, pourquoi vous n’allez pas chez eux les aider sur place ? Ou bien vous pourriez très bien leur offrir votre hospitalité : le gîte et le couvert, et vous pourriez partager avec eux votre salaire, non ?
@ genau
« Enfin, comment voulez-vous faire admettre un régime qui combat l’islamisme mais qui bâtit des mosquées à tout-va par le truchement de maires voyous »
Il faut savoir que pour les musulmans l’édification d’une mosquée sur un sol mécréant en fait une terre d’Islam à jamais, « aussi loin que porte la vue du haut du minaret ».
Donc ces maires voyous, qui sont prêts à faire n’importe quoi pour se faire réélire, ne se rendent pas compte qu’ils se comportent en infâmes collaborateurs soumis à leurs nouveaux maîtres qui les méprisent.
Et ils jouent contre leur propre camp dans la mesure où une mosquée, qui n’est pas qu’un « lieu de culte », concurrence aussi leur mairie.
Cette prolifération de mosquées qui poussent comme des champignons est une illustration de la conquête pacifique de la France, et ce n’est pas par hasard que plusieurs mosquées sont nommées « El Fath » (la Conquête).
http://www.mosqueehaguenau.org/
http://www.mosqueedebrive.com/
Y aurait-il une autre solution que de progresser dans notre appréhension des rapports de la raison et de la foi, ici, chez nous, où les phantasmes de grand remplacement sont les facteurs de risque d’une contre-radicalisation de la raison qui ferait alors perdre tout espoir de solutions rationnelles :
« Constatons d’abord que toute tentative pour faire de ce point de vue une théologie « scientifique », réduit le christianisme à un fragment misérable. Plus encore, l’homme lui-même en est diminué. Car les questions spécifiquement humaines sur nos origines et notre destinée, les questions soulevées par la religion et l’éthique, ne trouvent alors plus de place dans le champ de la raison communément définie par la « science », mais doivent être reléguées dans le champ de la subjectivité. Le sujet décide à partir de ses expériences ce qui lui paraît supportable d’un point de vue religieux, et la « conscience » subjective devient l’unique instance éthique. De cette façon, pourtant, morale et religion perdent leur capacité de formation collective et deviennent totalement personnelles. C’est là une situation dangereuse pour l’humanité, comme nous pouvons le constater en voyant les pathologies de la religion et de la raison, qui doivent nécessairement se manifester là où la raison est si réduite que les questions de la religion et de la morale ne relèvent plus de son domaine. Toute tentative pour construire une éthique à partir des règles de l’évolution ou de la psychologie et de la sociologie se révèle tout simplement insuffisante.(…)
La raison scientifique moderne doit tout simplement accepter comme donnée la structure rationnelle de la matière, tout comme la correspondance entre notre esprit et les structures rationnelles qui règnent dans la nature. Mais la question ‘pourquoi cela doit-il être ainsi’ demeure. Elle doit être transmise par les sciences de la nature à d’autres modes et à d’autres niveaux de pensée – la philosophie et la théologie.
Pour la philosophie et, d’une autre manière, pour la théologie, l’écoute des grandes expériences et intuitions des traditions religieuses de l’humanité, en particulier de la foi chrétienne, est une source de connaissance, et l’ignorer serait une restriction inacceptable de notre capacité d’écouter et de trouver des réponses. Ceci me rappelle ce que dit Socrate à Phédon. Les conversations précédentes ayant évoqué beaucoup d’opinions philosophiques fausses, Socrate déclare : « On comprendrait aisément que quelqu’un, devant tant de faussetés, passât le restant de sa vie à haïr et à mépriser tous les discours sur l’être. Mais de cette manière, il perdrait la vérité de l’être et s’attirerait un très grand dommage. » Depuis longtemps, l’Occident est menacé par cette aversion envers les questions fondamentales de la raison et ne peut ainsi que courir un grand danger. Le courage pour élargir la raison, et non la dénégation de sa grandeur : tel est le programme qu’une théologie responsable de la foi biblique doit assumer dans le débat actuel. « Ne pas agir selon la raison (selon le Logos) s’oppose à la nature de Dieu », répliqua Manuel II, en accord avec sa vision chrétienne de l’image de Dieu, à son interlocuteur persan. C’est dans ce grand Logos, dans cette large raison que nous invitons nos partenaires au dialogue des cultures. La redécouvrir constamment, telle est la grande tâche de l’Université. »
https://www.nouvelobs.com/monde/20060918.OBS2371/le-discours-de-benoit-xvi-a-ratisbonne-texte-integral.html
Le choix radical doit être, face aux radicalités déraisonnables, de progresser dans notre définition de la foi dans la raison, seule à même de formuler la Loi la plus juste possible, fruit d’un dialogue raisonnable et respectueux, fruit de ce « Logos » qui n’est que le plus juste nom de l’amour, et la plus puissante des protections contre ce qui nous menace au premier chef : nous-mêmes.
@ Exilé | 02 mars 2018 à 08:47
Merci pour le lien. Une honte que la France qui dit séparer l’Eglise de l’Etat et prône la laïcité ne le fasse pas avec les mosquées islamistes.
Ainsi cette association islamiste récupère 66% sur les impôts ? :
« Votre don ne vous coûtera presque rien… Un avantage fiscal vous permet de réduire de vos impôts le don adressé à notre mosquée selon la loi (car notre association est déclarée en préfecture). »
Je propose la « non défiscalisation » des dons versés aux associations islamistes pour leurs mosquées et leurs écoles coraniques.
Stop !
@ Tomas | 02 mars 2018 à 00:34
Non, je ne parle pas l’arabe. Phonétiquement c’est une langue trop « moche », de plus ils ne savent pas parler normalement sans hurler à vous faire éclater les tympans.
@ Claude Luçon | 01 mars 2018 à 18:20
Là vous parlez de l’intelligentsia des pays arabes possédants et cultivés. Je crois qu’en Algérie par exemple à la mort de Bouteflika la musique va changer et comme dit genau on va entendre le bruit saccadé des mitrailleuses. Le peuple est dans la misère et les possédants corrompus essayent de s’acheter une conduite en construisant une mosquée rivalisant avec La Mecque.
@ Tomas
Vous continuez à délirer sur un vieux schéma gauchiste. Que je sache les immigrés français ont les mêmes droits, voire plus avec les zones franches, et perçoivent les mêmes aides que les autochtones. Reste à savoir ce qu’ils font de leur argent comme par exemple l’envoyer au bled pour aider la famille nombreuse sous l’arbre à palabres.
Vous êtes un xénophile parmi les autres. En général, même si vous vous appuyez sur votre passage dans les banlieues, ils n’y habitent pas et ne les fréquentent pas mais veulent s’acheter une conduite morale. Ces privilégiés, artistes ou fonctionnaires, souvent sans enfants, prennent chez eux un migrant comme un NAC, nouvel animal de compagnie. Ils pimentent leur vie de vrais pantouflards en en prenant un sous la menace d’une expulsion. Ils frissonnent de s’opposer à l’ordre établi.
Image hautement symbolique : le mari est en retrait, l’épouse enlace le migrant et le chat est dehors :
https://uploads.disquscdn.com/images/733a157114d26a1cfe371a0dc24a1b67164712139a88f39d9e222ca61f32c717.png?w=600&h=344
@ Tomas 01/18 22:31
« …traiter correctement les immigrés… »
Mais ne pensez-vous pas qu’il appartient aussi, en retour, aux immigrés de bien traiter ceux qui les accueillent dans leur pays ? N’est-ce pas la moindre des choses ?
Or nombre d’exemples, au quotidien, attestent malheureusement que c’est loin d’être toujours le cas.
Alors arrêtez de ne voir derrière chaque citoyen et commentateur de ce blog qu’un mauvais Français, qu’un indécrottable raciste !
A continuer de laisser entrer tous ceux qui franchissent la porte de notre pays, légalement ou illégalement, alors que d’une part nous n’avons pas les capacités à les intégrer et que d’autre part nombreux sont les arrivants qui n’ont aucune volonté de réellement s’intégrer, nous nous exposons de plus en plus à ces phénomènes de rejet.
Plutôt que de prendre des mesures parcellaires au gré des circonstances, définissons et mettons sur pied une véritable politique d’immigration.
@ Tomas
« On attend en revanche le plan de déradicalisation de vos lecteurs vu les solutions proposées par certains, qui font d’eux des croisés intégristes en pantoufles ! »
Ainsi, il serait inconcevable de vouloir se défendre des musulmans radicalisés au motif que l’on porterait des pantoufles. Pourtant, quand les commentateurs de ce blog sont chez eux, il est tout à fait normal qu’ils portent des pantoufles ou des chaussures d’intérieur. Alors de deux choses l’une, ou bien Tomas porte aussi des pantoufles parce qu’il est chez lui ou bien il porte des chaussures de ville parce qu’il est à son travail.
Si Tomas est chez lui, je ne comprends pas qu’il puisse critiquer les porteurs de pantoufles et rendre illégitime leur intervention au motif qu’ils portent des pantoufles. Il se discréditerait lui-même !
Si Tomas est à son travail, soit il passe son temps sur Internet au lieu de travailler, soit il est payé pour infiltrer les blogs et pratiquer l’entrisme dans la grande tradition de l’Internationale socialiste.
@ Ellen | 01 mars 2018 à 17:59
« Histoire vraie : hier, après avoir fait les courses et avant de rentrer à la maison, je marque une pose sur la terrasse d’une brasserie/restaurant pour prendre un chocolat chaud. A ma droite, deux arabes, dont une femme et un homme parlant très mal le français, discutent des allocations de chômage et de l’APL lorsque soudain je les entends dire : « La France, on l’emm…, il faut prendre le maximum de sous à ces kouffars ». J’ai payé mon chocolat et je suis partie avec la boule au ventre en les maudissant. »
Il y a une chose qui me chiffonne dans votre « histoire vraie ». Je ne vois pas pourquoi ce couple d’arabes qui, de votre propre aveu, parlaient très mal le français, utilisaient notre langue alors que, conversant entre eux, il leur était bien plus facile d’utiliser leur langue maternelle. A moins, bien sûr, que ce ne soit pour vous faire bisquer, ce qui est fort probable, en effet… Manifestement ça a marché !
@ Tomas 22h31
« J’invite tous les hystériques de l’invasion à lire le commentaire de Claude Luçon : le monde arabo-musulman entre dans la modernité et ça ne se fait pas sans heurts et sans réaction de désespoir des milieux traditionalistes encore assez puissants pour se faire entendre et faire peur, retardant ainsi l’inévitable changement qui attend ces sociétés.
@ Claude Luçon 1er mars 18h20
Remarque liminaire : la Tunisie et l’Arabie Saoudite sont les deux pays ayant le plus grand nombre de djihadistes chez Daech…
En fait, je crains que vous ne confondiez l’accès à la modernité via les sciences et les techniques, les marchés financiers et les investissements exogènes avec l’évolution de l’Islam (pour faire simple ce n’est pas parce que les Saoudiens ou les Qataris achètent en masse des technologies occidentales qu’ils deviennent des Occidentaux !!).
Cette théorie soutenue par Gilles Kepel n’a pas pris corps dans la réalité comme en témoignent les luttes acharnées entre les Saoudiens et les Yéménites au nom de la religion, entre l’Iran (Chiites) et l’Arabie Saoudite (Sunnites), toujours au nom de la religion et globalement dans tous les pays musulmans qui voient une recrudescence des phénomènes rigoristes ou traditionalistes qui traduit l’impossibilité pour ces sociétés du sud et de l’est de la Méditerranée d’évoluer vers des schémas sociétaux occidentalisés.
Il faut bien comprendre que les textes ne changent pas et que les exégètes susceptibles d’offrir des voies alternatives à des croyances et des coutumes venant du 7ème siècle après JC ne sont pas entendus, lorsqu’ils existent.
Même un pays comme la Tunisie qui, avec Bourguiba, avait réussi à émanciper ses femmes, régresse totalement de ce point de vue. Les barbus sortis de prison par Ennahdha ont désormais, hélas, pignon sur rue !
Et l’Egypte avec Nasser qui moquait les femmes voilées dans les années 1950 : où en est-elle maintenant ?
Avez-vous constaté le sort réservé aux Chrétiens d’Orient ?
Ces pays ont-ils supprimé le crime d’apostasie ? Permettent-ils le mariage entre un chrétien et une musulmane sans obliger celui-ci à se convertir ? La libre-pensée est-elle même envisageable dans des pays qui considèrent la laïcité comme une monstruosité ?
@Achille | 02 mars 2018 à 10:01
D’abord ce n’était pas un couple, mais apparemment une connaissance du même pays (ex-colonie). Ils parlaient tantôt en arabe tantôt en arabe mélangé avec un très mauvais français.
@ Achille | 02 mars 2018 à 10:01
Non, souvent ils mixent les deux. Ils font du pataouète disent les pieds-noirs. Mon beau-père français d’Algérie parlait pataouète, écorchant le français phonétique, et pour ce qui est de l’écriture… Je tremblais à l’idée qu’il rencontre mon père professeur de français qui avait une haute estime de lui-même et aurait préféré pour son fils une autre rencontre féminine…
@ Claude Luçon 01 mars 2018 18:20
Pour les tempêtes à venir je parlais de l’Europe et de la France. Je ne porte pas toute la misère du monde !
« On a plutôt l’impression que l’islam est moribond »
Diable, voilà une nouvelle surprenante ! Contrairement à ce que vous semblez penser l’islam n’est pas, et de loin, seulement le Moyen-Orient.
Le plus grand nombre de musulmans se trouve en Asie et l’Afrique progresse fortement.
« CNews et HuffPost »
Ce n’est pas parce qu’on relaie une information d’un organe de presse que l’on cautionne sa ligne éditoriale.
Je connais le parcours d’Arianna Huffington et son sectarisme… Cette grande amie d’Anne Sinclair…
@Achille 01 mars 2018 17:57
« Dégringolade de Macron dans les sondages »
Pour les « réformes structurelles en profondeur » comme vous dites, pour l’instant je n’ai encore rien vu.
Seulement quelques réformettes qui prennent garde, in fine, de ménager bien du monde.
Il redescend lentement sur son socle de départ lors des élections présidentielles.
Les Italiens descendent dans la rue et commencent à s’énerver contre l’immigration illégale : 600 000 clandestins répertoriés en décembre 2017, mais surtout ils ne supportent plus cette montée des agressions et de la délinquance. Qui peut accepter ce désordre dans son pays à part la gauche et les sans cervelle ?
@ Tomas | 01 mars 2018 à 22:31
Je parle l’arabe et j’ai eu comme lecture Richard Francis Burton et René Caillé entre autres. J’ai vécu
avec des Maghrébins en tant que coopérant enseignant pendant deux ans et j’ai fait le tour du monde.
Citoyen Tomas vous n’aimez pas les Français de souche.
@ Claude Luçon
Un coup pile un coup face.
Au fait avez-vous vu Recep Tayyip Erdoğan avec la fillette lors du congrès du 24 février 2018 ?
@ Tomas
« La France en a vu d’autres durant le siècle écoulé (Occupation, « péril rouge » d’après-guerre, guerre d’Algérie, terrorisme d’extrême gauche, attentats des Iraniens, du GIA algérien…), elle s’en remettra. »
La France a été délivrée par les Alliés, bénéficiant de la protection de l’OTAN, mais il n’est pas dit que les Américains ne retournent pas à leur isolationnisme.
Ils ne nous doivent rien, c’est nous qui leur devons d’avoir été délivrés du nazisme, protégés du communisme.
Heureux Tomas qui croit que la société de consommation durera forcément toujours et que nous aurons toujours droit à la protection américaine quand l’axe du monde se déplace vers le Pacifique !
Et vous plaisantez ? Comparer la décolonisation et le fait de subir une migration dont pour la première fois une partie de ceux qui viennent veulent notre destruction n’a rien, mais vraiment rien à voir.
Les doigts m’en tombent sur le clavier !
@ boureau | 02 mars 2018 à 10:35
Je pense, Pascale aidant, que vous avez maintenant une idée plus claire de mes élucubrations 🙂
@ caroff | 02 mars 2018 à 10:21
« En fait, je crains que vous ne confondiez l’accès à la modernité via les sciences et les techniques »
Ne craignez que cette partie-là car je suis totalement convaincu que, oui, la modernité, le progrès, ne viennent que par les sciences et techniques et, par contre, que la destruction vient par la finance débridée et un excès de philosophes, en France seulement pour ces derniers. Les USA sont là pour conforter ma « confusion ».
Chacun de nous pense en fonction de son expérience de vie je crois.
J’ai eu la chance de passer par l’école communale à une époque où nos instituteurs nous enseignaient les devoirs d’un citoyen et l’Histoire de notre pays. Pas le politiquement correct subit par les générations après 1968 avec l’approbation enthousiaste de nos médias un tantinet gauchisants, pour ne pas dire délirants.
Je sais donc qu’un Français a des devoirs, pas uniquement des droits au point de protester contre un gouvernement qui n’empêche pas la neige de tomber quand ils veulent se balader sur les autoroutes.
Je sais aussi qu’il nous a fallu beaucoup de temps, et de sang, pour que catholiques et protestants arrêtent de s’entre-massacrer. Qu’il a fallu encore plus de temps pour que les chrétiens, catholiques et protestants unis, acceptent les juifs, en fait jusqu’en 1945 après le « final » à la nazi comme vous savez, le détail de JMLP.
Ajoutez à cela, côté travail et résidence, 13 ans passés en pays musulmans, sunnites et chiites, autour du Golfe, Arabique pour les uns, Persique pour les autres, et uniquement sunnites dans la Pointe de l’Afrique et au Maghreb avec, en plus, quelques 18 années passées au Nigeria où la moitié de la population (160 millions à mon époque) est musulmane sunnite.
Je n’ai malheureusement passé que six semaines en Indonésie, dommage d’ailleurs car j’ai beaucoup aimé.
J’ai conservé une idée assez précise des musulmans et suis convaincu que l’islamisme n’est pas l’Islam.
Je vois en l’islamisme plutôt, de très loin bien sûr, un parallèle, une similitude avec les Brigate Rosse et le Parti Communiste Italien sur fond de soviétisme, une forme de religion prolétarisée. Les uns trucidés, le parti rentré modestement dans le rang.
Le futur le dira mais j’ai l’impression que l’Arabie Saoudite vient de se donner un dirigeant du genre Maréchal al-Sissi d’Egypte, ce qui serait une bénédiction, je suis catholique et de droite bien que pas très croyant dans les deux cas.
Un jour viendra peut-être où nous serons enfin cohérents avec nous-mêmes.
Pour l’instant, tout en proclamant haut et fort abhorrer la colonisation, nous continuons à imposer à nos anciens protectorats et colonies le type de gouvernement qui nous convient sans nous soucier de savoir s’ il convient aux citoyens de ces pays, proclamant un Printemps arabe et allant les aider à l’ensoleiller avec des bombes et obus.
Ne nous étonnons pas de subir des dommages collatéraux.
J’ai toujours préféré Voltaire à Rousseau ce qui m’a amené à rentrer chez moi pour y finir mes jours.
Mon voisin me souffle à l’oreille que la réponse doit être proportionnée aux méfaits et s’interroge sur le fait de savoir où est rangée la guillotine : traître au pays, terroriste, bombe… Demandez à Vladimir – d’ailleurs on ne sait jamais avec lui – la recette, et à d’autres d’ailleurs, il paraît que Guantanamo devait disparaître.
Heureusement nous avons le soleil et la mer, « allongés sur le sable… », c’est quand même inquiétant, non ? me souffle-t-il.
@ sylvain
« Mission impossible !
La preuve ? Même M. Bilger n’a pas réussi à déradicaliser les islamistes fanatiques du blog : Elusen, Tomas, Gaspary mes trois chouchous préférés ; ces apologues de la violence islamiste ont réussi à mettre sous leur coupe les Giuseppe, caroff, hameau etc. et beaucoup d’autres ici, naïfs niais qui démarrent au quart de tour comme des dératés dès que ces malades envoient leurs provocs et fakes. »
Vous oubliez « Achille », qui déverse des torrents d’insultes envers Laurent Wauquiez, mais soutient tellement Mennel Ibtissem qu’il remet sa photo sur le blog.
@ semtob | 01 mars 2018 à 20:34
« Où est passée la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905 ? »
Cette loi a vécu et il est à souhaiter qu’elle disparaisse par son auto-étouffement.
L’Eglise n’est plus le problème, ni même la solution.
Macron l’a bien compris, et il est urgent que l’Etat démocratique mette en place les premiers outils, afin de reprendre la main sur des enseignements parallèles (dont des écoles coraniques, mais pas que) qui vont à tout jamais imprégner le cerveau d’un enfant, de nombreux enfants, dont certains deviendront plus que d’autres des victimes, avant de devenir des adeptes involontaires.
https://lesprosdelapetiteenfance.fr/bebes-enfants/psycho-pedagogie/education-bienveillante-etre-lecoute-des-tout-petits-et-de-leurs-emotions/les-decouvertes-sur-le-cerveau-essentielles-pour-mieux-comprendre-le-jeune-enfant
Et ça les religieux aussi l’ont compris depuis longtemps.
@ Catherine JACOB | 02 mars 2018 à 01:08
« Donc, ne confondez pas tout et n’importe quoi s’il vous plaît ! »
Merci du retour. Et votre critique, que j’accepte sans problème est évidemment juste.
Je me suis mal exprimé (comme bien souvent) mais je me soigne.
…le problème actuel n’est pas tant l’enseignement dit libre… mais celui de lieux d’endoctrinement sans aucun rapport avec les programmes scolaires !
Evidemment. C’est dans ce sens que je voulais dire que l’enseignement des religions (ou du fait religieux) ne devrait plus être laissé aux (bons ou mauvais soins des) religieux.
Quant aux lieux d’endoctrinement, ils commencent où et quand ? C’est bien là un des problèmes de fond que l’on sait. On fait quoi et comment ?
…qui accueille des élèves de toute confession…
Et c’est très bien, sauf qu’il semblerait (la presse) que des enfants de confession juive en particulier ne pourraient, en 2018, accéder à l’école de la République sans être harcelés sinon plus. N’y en aurait-il qu’un seul, cette situation (entre autres) est insupportable.
@ vamonos
Vous vous défendez comment des islamistes radicalisés, personnellement ? A part de proposer sur un blog confidentiel la déportation aux Kerguelen ou en Guyane ? Sinon oui, j’admets, je porte des pantoufles à la maison, ne serait-ce que pour éviter les chutes dans l’escalier.
@ Ellen
Traître, diantre, tout de suite les grands mots ! Ainsi que je l’ai écrit ailleurs, je ne vois pas d’autre avenir à l’Europe que son africanisation (partielle, on est quand même nombreux encore) ou sa décadence irrémédiable si elle fait le choix de se claquemurer derrière des barbelés. Le rapport démographique n’est en effet pas en notre faveur.
Je regretterai cette France des petits villages dans laquelle j’ai grandi mais ce n’est pas bien grave, après tout personne ne parlait français dans le Sud-Ouest il y a un siècle et demi, les temps changent et nous n’y pouvons rien. Autant s’y faire !
Quant au parallélisme auquel vous vous livrez entre nos immigrés qui ne respecteraient rien (je m’excuse, mais votre témoignage sent le fake à plein nez) et nos expatriés qui devraient respecter à la lettre les sévères prescriptions locales, il est hasardeux. Nos expatriés se débrouillent en général pour avoir à peu près tout ce dont ils ont besoin, et puis on ne peut pas décemment exiger de pays qui n’ont pas connu les Lumières, la révolution industrielle, l’alphabétisation de masse et la découverte du relativisme culturel qu’ils intègrent leurs immigrés de la même manière que nous !
@ hameau dans les nuages
Je ne suis ni xénophile ni xénophobe, d’abord : je classe les individus entre gens sympathiques et pas sympathiques. Ensuite j’ai habité en banlieue, j’y reviens souvent et y habiterai vraisemblablement encore, donc la gauche caviar ce n’est pas moi (même si j’aime beaucoup le caviar). Enfin, avoir les mêmes droits (c’est indéniable) ne signifie pas ne pas être victime de discrimination, que ce soit à l’embauche, quand on cherche un logement, qu’on veut aller en boîte ou même qu’on veut acheter un timbre chez un buraliste (j’ai vu ça déjà).
@ Franck Boizard
Appliquez-vous votre sage conseil à vous-même et achetez-vous un cerveau, espèce de cuistre. Vous n’êtes même pas capable de répondre à ma remarque sur votre parallèle hasardeux avec les Nazis.
@ caroff
Nasser moquait le port du voile à une époque où les Frères musulmans, justement, commençaient à asseoir leur influence, bien aidés d’ailleurs par sa gestion calamiteuse. Bourguiba a fait de même en imposant à la société ce dont elle ne voulait pas, et a abouti ce faisant au même résultat que les communistes en Pologne avec l’Eglise, qu’ils ont plus renforcée qu’affaiblie avec leur dictature. Au passage, il me semble que depuis peu, il n’est plus obligatoire de se convertir à l’Islam pour épouser une Tunisienne.
Vous avez raison sur un point, ce n’est pas parce qu’ils adoptent nos modes de consommation qu’ils deviendront occidentaux comme nous. Mais il suffira d’une convergence minimale entre nos cultures, pour peu qu’elle aille dans le sens de la nôtre (encore que qui sait, peut-être et même sans doute aurions-nous des choses positives à tirer de leur culture), pour que ce phénomène de la radicalisation qui est tout de même largement nourri par la haine de l’Occident cesse. Voyons les faits : les Musulmans français sont de plus en plus nombreux à fêter Noël, les ventes de foie gras halal explosent, la consommation de bière au Proche-Orient idem (pourtant, en soi, ce n’est pas positif), ils sont fanatiques de foot comme nous, les filles s’instruisent, etc., etc. Mais évidemment, ce genre de convergences culturelles prend du temps et ne suit pas un processus linéaire.
Monsieur Philippe Bilger,
« Mais pourquoi ne suis-je pas enthousiaste malgré ce plan tous azimuts ? »
Tout simplement parce que ce n’est qu’un Yaka Faukon de plus, comme d’habitude. La plupart du temps, lorsqu’ils accèdent au pouvoir, ils ne connaissent même pas les dispositions antérieures prises sur les sujets que gère leur propre ministère et croient que parce qu’ils ont dit quelques phrases ils font des miracles. Or vous le savez bien ils ne font que répéter ce qui se dit dans la rue.
C’est aussi le cas du jeune qui est à l’Elysée, il va changer les meubles de place et il rugira entouré de mille CRS, et c’est tout. Pour limiter les dégâts aujourd’hui c’est à chaque corporation de ruer dans les brancards et de dire nous aussi nous voulons du caviar et gratuitement comme vous.
@ anne-marie marson | 02 mars 2018 à 15:50
« Vous oubliez « Achille », qui déverse des torrents d’insultes envers Laurent Wauquiez, mais soutient tellement Mennel Ibtissem qu’il remet sa photo sur le blog. »
Ben dites donc vous avez la rancune tenace vous !
D’abord, si vous relisez bien mes commentaires je ne « déverse pas un torrent d’insultes envers Laurent Wauquiez ». Je pense que notre modératrice ne le tolérerait pas. J’ai juste donné mon avis sur son comportement déplacé, rien de plus. Si vous lisez ce que lui a dit Nicolas Sarkozy au téléphone, vous pourrez constater que mes propos étaient bien plus soft.
En fait, pour ne rien vous cacher, je me fiche complètement du sort de LW. Il est assez grand pour savoir ce qu’il doit faire et je pense qu’il a compris la leçon de sa petite mésaventure à l’école de commerce de Lyon.
Quant à Mennel Ibtissem, je la trouve ravissante, même avec son turban et elle a une voix magnifique. Elle a reconnu qu’elle avait écrit des bêtises. Tout le monde a droit à une seconde chance. Bientôt tout cela ne sera qu’un mauvais souvenir.
@ Tomas | 02 mars 2018 à 19:20
Vous êtes encore plus c.n que vous en avez l’air. Comme je disais, votre cerveau est si précieux que vous évitez de l’user.
Pour dénazifier l’Allemagne, il a fallu commencer par l’écraser. Et c’était tout à fait volontaire : quand on a reproché à Winston Churchill la violence des bombardements sur les villes allemandes, il a répondu : « Je veux faire passer à jamais aux Allemands le goût de la guerre ».
@ Noblejoué
Les Américains nous ont libérés… avec les Russes, qui ont mobilisé les deux tiers de la Wehrmacht, et plus vite l’Europe pourra se passer d’eux, mieux ça vaudra, et pour eux, et pour nous, et pour le reste du monde.
Je ne crois pas que la société de consommation durera éternellement, mais tant que nous demeurerons attractifs aux yeux des autres, ceux-ci viendront chez nous.
Enfin, je me refuse à croire que des gens prennent par milliers le risque de se noyer en Méditerranée « pour le plaisir de nous détruire ». Ils cherchent une vie meilleure et plus libre, voilà tout. Qu’une fraction infinitésimale de ceux-ci s’avère après-coup indésirable est malheureusement inévitable. Pour mémoire, la plupart des radicalisés sont nés ou ont grandi chez nous, et, je me répète, un quart des combattants de Daech venus de France sont des convertis de fraîche date.
@ boue tabou
Ravi de vous connaître et félicitations pour vos talents linguistiques. Je ne vois pas ce qui vous autorise à dire que je n’aime pas les « Français de souche », dont je fais partie moi-même pour autant que mon arbre généalogique me permette de l’affirmer. L’amour de la patrie n’empêche pas un regard lucide et critique de celle-ci, on n’est pas en Corée du Nord ici !
———————–
@ Franck Boizard
Vous en êtes un autre cher Monsieur. Dois-je vous rappeler que l’Allemagne nazie avait occupé toute l’Europe ? Ce n’est pas le cas aujourd’hui, il faut vraiment ne plus avoir confiance en soi pour s’imaginer que 10% d’immigrés ou descendants d’entre eux pour la plupart confinés dans leurs banlieues menacent notre pays…
@ Tomas
« Bourguiba a fait de même en imposant à la société ce dont elle ne voulait pas, et a abouti ce faisant au même résultat que les communistes en Pologne avec l’Eglise, qu’ils ont plus renforcée qu’affaiblie avec leur dictature. »
Comment, comment qu’ils ne voulaient pas ? Les islamistes, les conservateurs certainement, mais pas la majorité du peuple tunisien bienheureux de se sortir de l’infecte gangue religieuse.
Aujourd’hui encore beaucoup des Tunisiens qui ont connu cette époque déplorent la mainmise des barbus sur les rouages sociétaux de leur pays !
A vous lire on a systématiquement l’impression que vous vous réjouissez de ce qui vous semble inéluctable : l’invasion africaine dont Dieu veuille bien nous préserver, l’islamisation de notre pays qui serait due à une discrimination (?) des musulmans.
En fait le volontarisme en politique vous échappe totalement !
En juin 1940, tous les Français ou presque pensaient que c’en était fini de la Nation française… et pourtant !!
@ fugace | 02 mars 2018 à 18:52
Au fait, vous savez que c’est l’instruction qui est obligatoire et non pas la fréquentation de l’école.
Par conséquent, les parents sont libres de faire eux-mêmes ou de faire faire chez eux la classe à leurs enfants, dès lors que le programme est suivi.
Et au moins, ceux-là sauront lire quand ils atteindront l’âge d’entrer en sixième…!
@ Tomas
« Enfin, je me refuse à croire que des gens prennent par milliers le risque de se noyer en Méditerranée pour le plaisir de nous détruire. »
J’avais oublié ça, la meilleure !
Je n’ai pas dit qu’ils venaient POUR nous détruire mais ils le feront. Il suffit d’une minorité de terroristes pour l’aspect violent, et d’un nombre suffisant de grignoteurs de liberté chez le reste.
Trois choses existent, action faite et voulue par l’Homme, guerre, action faite et pas voulue par l’Homme, pollution, action faite par la nature, sans le vouloir bien sûr, météorite.
Qu’importe la volonté ? Tous les dangers doivent être traités non comme sauvetage d’âme, psychologie, religion, mais politique, à savoir rapport de force.
« Sauf peut-être pour les enfants de moins de 8 ans, si le contact est rompu avec le poison délétère qui les a déjà irrigués… »
Les enfants !! C’est là en effet une question préoccupante. Hier matin, les trottoirs et le grand parking du Cora de Metz étaient transformés en patinoire. En début d’après-midi il a commencé à neigeoter. Une bande de gosses dont le plus jeune devait en effet avoir dans les huit/neuf ans, s’amusait entre les véhicules au risque de finir dessous.
Je traverse ce parking sous mon parapluie en faisant attention de ne pas glisser moi-même quand je me fais apostropher par la voix aigrelette du plus jeune : « Sorcière ! ».
Je relève la tête et fait observer gentiment « Ce n’est pas une bonne idée d’asticoter les sorcières, on ne sait pas ce qu’on risque… ! »
Et le plus âgé de lancer alors avec force un « Salope ! » qu’il ne s’est pas privé de répéter à loisir en se sauvant dangereusement jusqu’à se trouver hors de ma vue. Et je me suis dit : « Tiens, il craint manifestement les sorcières, mais pas les salo..s ».
Or donc, que faisait cette bande de gamins par ce temps à cet endroit, terminus du tram (Mettis = bus – tram, mais bon), où se trouve non seulement ce parking, mais plein d’autres parkings alentours ? Certes, la Moselle est en zone B, et donc ils sont en vacances, mais aussi sans surveillance à insulter les passants et peut-être aussi à surveiller les plus fragiles.
Je pense à votre vieille victime de 84 ans du 23 février dernier. Le risque étant et du côté des gamins et du côté des passants, pourquoi est-ce qu’aucun gardien de la paix ne patrouille jamais dans ce genre d’endroit qu’aucune caméra de surveillance ne protège non plus, afin de prendre l’initiative de ramener les plus jeunes chez eux ??
@ caroff
Bourguiba un démocrate se souciant de l’avis du peuple, première nouvelle ! Les Tunisiens vivent désormais en démocratie, il leur est libre de se déterminer par les urnes et c’est ce qu’il font.
Je ne souhaite pas que la France se transforme en Somalie, mais je suis bien obligé de constater que c’est inévitable. Car oui, le volontarisme en politique a ses limites !
Mais vous aussi, vous proposez quoi pour empêcher ce que vous semblez craindre ? d’affamer l’Afrique, de la génocider, de la stériliser ? Puisque vous êtes volontariste, vous devez en avoir des solutions ?
Comme c’est étrange, sur la photo illustrant l’article mis en lien, les jeunes hommes qui y figurent (et qui ne sont manifestement plus de l’âge des « enfants-soldats ») sont tous revêtus d’un maillot identique semble-t-il à celui porté par certains fouteux qui sévissent en France…
Question naïve : quel point commun peut-il donc exister entre tous ces gens-là ?
http://www.lefigaro.fr/international/2018/03/02/01003-20180302ARTFIG00033-les-temoignages-glacants-des-enfants-soldats-de-l-etat-islamique.php
Ah, au fait, contrairement à ce que prétend sans rire un certain troll, ils n’ont pas eu besoin d’avoir été des immigrés en France pour avoir été radicalisés…
@ Tomas
« Les Américains nous ont libérés… avec les Russes, qui ont mobilisé les deux tiers de la Wehrmacht, et plus vite l’Europe pourra se passer d’eux, mieux ça vaudra, et pour eux, et pour nous, et pour le reste du monde. »
Aucune reconnaissance pour les Russes. Si nous avions été du mauvais côté du mur comme ces pauvres Polonais, nous n’aurions fait qu’échanger une dictature contre une autre.
« Je ne crois pas que la société de consommation durera éternellement, mais tant que nous demeurerons attractifs aux yeux des autres, ceux-ci viendront chez nous. »
Vous ne comprenez pas que les gens qui viennent pour la société de consommation, sitôt sauvés de la misère, essaieront de recréer l’environnement de chez eux, abolition de la laïcité, obscurantisme scientifique, contrôle des femmes.
Et cela serait encore plus marqué s’il n’y avait pas de société de consommation. Vos protections n’en sont pas vraiment, par contre vous nous mettez en danger en poussant à l’accueil de gens arriérés.
Qu’on les retienne le plus possible de l’autre côté de la Méditerranée, qu’arrivés ici ils comprennent tout de suite qu’ils sont les derniers dans la hiérarchie, c’est ce que je préconise.
Et pour les terroristes ayant tué, la peine de mort, ceux n’ayant pas tué mais Français, la déchéance de nationalité. Certes, il y a des djihadistes français, mais ce n’est pas une raison pour en accueillir d’autres. Voyons, comment faire comprendre la politique ? Quand on le sida, il n’est pas conseillé de se faire réinfecter, par contre, il est très important de se soigner.
@ Michel Deluré
« Mais ne pensez-vous pas qu’il appartient aussi, en retour, aux immigrés de bien traiter ceux qui les accueillent dans leur pays ? N’est-ce pas la moindre des choses ?
Or nombre d’exemples, au quotidien, attestent malheureusement que c’est loin d’être toujours le cas. »
Exactement.
Et comme ce n’est pas la culture et la psychologie qui étouffent les ignares qui nous gouvernent depuis quarante ans, ils ne se rendent absolument pas compte qu’en passant tous leurs caprices à certains immigrés ils les transforment en enfants gâtés qui rendent la vie intenable à tout le monde.
Pis encore, ils ne savent pas que dans certaines cultures ne connaissant que les rapports de force, entre domination et soumission, le fait d’être gentil et serviable avec les gens, bien les traiter, leur faire des cadeaux (comme le fait de les entretenir sans qu’ils aient à travailler par exemple) est vu comme un acte de soumission méprisable.
Personne de bonne foi ne peut prétendre que la France actuelle – ou plutôt son contribuable – maltraite les immigrés, l’immigration nous coûtant grosso modo le montant de l’IRPP, une paille, souvent pour renouveler des cadeaux qui partent en fumée du fait des caprices des destinataires…
Et puis c’est oublier que par exemple la Suède, qui se pique d’être à la pointe du progrès social dans tous les domaines, qui n’a pas eu de passé colonial, qui n’a pas participé à des conflits extérieurs, qui chouchoute littéralement ses immigrés, n’empêche en rien – au contraire – ces derniers de faire preuve de plus en plus de violence à son encontre et l’islamisme de progresser.
@ Catherine JACOB | 03 mars 2018 à 08:50
« Hier matin, les trottoirs et le grand parking du Cora de Metz étaient transformés en patinoire. En début d’après-midi il a commencé à neigeoter. Une bande de gosses dont le plus jeune devait en effet avoir dans les huit/neuf ans, s’amusait entre les véhicules au risque de finir dessous. »
Je connais bien le Cora de Metz-Borny. Il m’arrivait d’aller y manger une pizza de temps en temps, histoire de me changer de la « bouffe » Sodexo de la cantine quand je travaillais dans le centre d’études situé à quelques centaines de mètres.
Il est vrai que ce centre commercial n’est pas très loin de la zone de Borny qui, vous le savez sûrement, n’est pas le quartier le plus fréquentable de Metz…
Si vous voulez mon avis, mieux vaut éviter d’entamer une conversation avec un gamin, même de huit ans, qui vous lance une grossièreté, sinon vous vous retrouvez en quelques secondes entourée par toute la smala qui prendra la défense du « pauvre petit » et vous risquez d’avoir bien du mal à vous sortir de cette situation.
@ Achille | 03 mars 2018 à 12:44
Faites comme François Bayrou. Une bonne distribution de claques ça les remet en place. Et si le jeune menace de porter plainte avec ses parents, une deuxième claque.
https://www.youtube.com/watch?v=A29NJMsuyzw
@ fugace | 02 mars 2018 à 18:52
« N’y en aurait-il qu’un seul, cette situation (entre autres) est insupportable. »
237 921 cas de harcèlement scolaire ont été recensés au Japon pour la seule année 2016. Or, il n’y est pas question d’antisémitisme vu que avant l’éventuel enfant juif qui fréquenterait un établissement scolaire style lycée français international de Tokyo ou quelque autre établissement parmi les écoles internationales de Tokyo, il y a la notion de >Henna Gaïjin (変な外人) : littéralement « Celui-là qui vient d’ailleurs » = « qui n’est pas d’ici », et c’est plutôt lorsqu’il fréquente un établissement public japonais que, appelons-le « l’enfant blond », a des chances de rencontrer une certaine forme d’hostilité, que s’il fréquente une école internationale.
Ce sont donc les enfants japonais qui se harcèlent entre eux, que les parents soient bouddhistes, shintoïstes, chrétiens, agnostiques, tout à la fois, modernistes ou traditionalistes.
Bien sûr, nous sommes sensibilisés à la notion « d’enfant juif » telle que dans cet après-Shoah qui est le temps dans lequel nous nous vivons.
Mais, à dire les choses comme je les pense, je ne suis pas persuadée que toutes les situations de harcèlement scolaire dans lesquelles peuvent se trouver hélas victimes aussi des enfants juifs, soient à rapporter obligatoirement à de l’antisémitisme et il est très possible que la qualité de juif serve simplement de prétexte à du harcèlement qui aurait sans doute pu se focaliser sur tout autre chose. Et donc, souligner dans chaque cas que l’enfant harcelé était juif et créditer systématiquement d’une motivation antisémite le phénomène de harcèlement ne me paraît pas très judicieux ni propice à le faire combattre, vu que, comme vous le savez sans doute, dès qu’un gamin s’aperçoit que quelque chose est propre à attirer l’attention et à lui donner de l’importance, plus il aura tendance à le reproduire ou à récidiver.
Je pense donc que le phénomène de harcèlement scolaire est à traiter indépendamment de sa motivation, tant profonde qu’alléguée ou encore qu’apparente, comme un phénomène de harcèlement avant tout !
Plus on traitera les enfants juifs comme des enfants comme les autres et moins les gens auront tendance à les considérer comme des enfants juifs, autrement dit à part, autrement dit encore comme incitant à la comparaison avec le commun qui comme on le sait est toujours défavorable au singulier. Un tout seul ne lynchera jamais une foule, en revanche, s’agissant de l’inverse je n’ai pas besoin de vous faire de dessin. Ceci dit, je ne suis pas sans savoir qu’il s’agit là d’une opinion politiquement très incorrecte et ayant donc peu de chances d’être admise.
Pour en revenir à votre « On fait quoi et comment ? » l’image des Britanniques et autres Anglo-Saxons qui apprennent à leurs jeunes à boxer dans les règles pour éviter qu’ils ne se battent dangereusement comme des chiffonniers, je pense qu’il faut muscler l’intellect des élèves et pour cela, sans doute rien de mieux que d’abaisser l’âge auquel on est censé aborder la philosophie, tout comme on a repensé celui de la majorité pénale…
Il existe cet excellent petit ouvrage qui relate une expérience d’introduction à la philosophie en classe de 5ème des collèges, qui prouve que l’acquisition de l’esprit d’analyse est possible à cet âge et permet donc d’inférer qu’il s’agit là de la meilleure des défenses contres les endoctrinements et manipulations des jeunes esprits par des malfaisants de tout bord. Ce qui accessoirement pourrait à terme permettre de recruter des gens peu perméables aux diverses formes de désinformation. Mais, présentement ce n’est pas le propos.
Evidemment, un élève qui raisonne et apprend à se faire de façon sensée sa propre opinion, c’est une âme perdue non seulement pour le diable quel qu’il soit, mais aussi sans doute, pour les dieux, quels qu’ils soient…
Ce qui explique pourquoi non seulement ce n’a pas été fait, mais encore on a également souhaité par un moment supprimer cette discipline des programmes de Terminale où elle est une spécificité française, ce au motif qu’elle fabriquerait et des chi..rs et des inutiles !
@ Noblejoué
« Qu’on les retienne le plus possible de l’autre côté de la Méditerranée… »
Fort bien, mais comment ? Et s’ils la traversent malgré tout, que fait-on ?
« …qu’arrivés ici ils comprennent tout de suite qu’ils sont les derniers dans la hiérarchie, c’est ce que je préconise »
C’est déjà le cas, en général un immigré commence sa vie professionnelle dans son pays d’accueil au bas de l’échelle professionnelle…
@ Tomas | 03 mars 2018 à 18:24
Vous le faites exprès ? Aborder les bateaux humanitaires qui font profession de faire des ronds dans l’eau au large des côtes libyennes, les remorquer et en cas de résistance les couler (avec mon côté humain je préconise bien sûr de les vider de leurs occupants). Que ces clandestins sachent qu’ils ne bénéficieront d’aucune aide ici. Grâce aux satellites nous savons en temps et en heure où se trouvent et d’où partent les bateaux des passeurs. Les couler systématiquement à leur retour au port d’attache. Le message va vite passer. Ils ne sont pas fous. Il est étonnant que chaque paysan reçoive ses photos de ses champs ou l’on peut compter les vaches et qu’on puisse jouer la surprise en voyant les canots pneumatiques arriver sur nos côtes… « Ils » savent tout.
A vous lire je me demande si vous n’êtes pas finalement pour cette nouvelle forme de commerce d’ébène dont se félicite monsieur Gattaz :
http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/09/08/les-migrants-sont-un-atout-pour-la-france_4749301_3232.html
@ Tomas
« Fort bien, mais comment ? Et s’ils la traversent malgré tout, que fait-on ? »
Eh bien la Turquie et d’autres pourraient les retenir en échange de subventions.
« …qu’arrivés ici ils comprennent tout de suite qu’ils sont les derniers dans la hiérarchie, c’est ce que je préconise »
« C’est déjà le cas, en général un immigré commence sa vie professionnelle dans son pays d’accueil au bas de l’échelle professionnelle… »
Oui, eh bien, il y en a plein à avoir critiqué notre société…. Incroyable ! Quand on vient de pays arriérés, on ferait mieux de la fermer. Ça me fait penser, en pire, aux Français qui critiquent les Etats-Unis, pays qui les a délivrés et s’est maintenu libre, alors que nous, non.
Comment s’améliorer si on n’imite pas les meilleurs ? Notre pays, par exemple, devrait changer de Constitution…
Quant à savoir tout ce que les immigrés devraient changer pour être au niveau, je n’ose seulement y penser, alors leurs critiques, franchement, sont un très mauvais signe.
@ Catherine JACOB | 03 mars 2018 à 08:50
« Je pense à votre vieille victime de 84 ans du 23 février dernier. Le risque étant et du côté des gamins et du côté des passants, pourquoi est-ce qu’aucun gardien de la paix ne patrouille jamais dans ce genre d’endroit qu’aucune caméra de surveillance ne protège non plus, afin de prendre l’initiative de ramener les plus jeunes chez eux ?? »
Ces gamins sont des anges à côté de ceux que l’on trouve en banlieue, dans les quartiers appelés aussi zones de non-droit, ou territoires oubliés de la République.
Dans un quartier connu, les policiers ont arrêté trois gamins de 10-12 ans qui faisaient du « car jacking » devant le panneau STOP censé protéger leur sortie d’école. Adossés au muret de leur école, capuches relevées, devant le STOP ils attendaient les voitures qu’ils « carjackaient » avec une technique élaborée : un gamin devant la voiture pour l’empêcher d’avancer, un derrière la voiture, et un sur le côté avec une pierre cachée dans la manche de son blouson pour casser rapidement la vitre arrière.
Les policiers ont expliqué que les voitures ciblées étaient les voitures neuves, conduites principalement par des femmes blanches.
Il est vrai que ces gamins, courageux mais pas téméraires, ne caillassent pas les voitures-poubelles des barbus ou des voilées de leur communauté.
Ce qu’il faudrait, c’est que les maires voyous qui construisent des logements sociaux où ils entassent ces populations pour assurer leur réélection en mettant en danger le reste de la population, comparaissent devant les tribunaux en même temps que les délinquants.
@ Ellen | 03 mars 2018 à 13:54
« Faites comme François Bayrou. Une bonne distribution de claques ça les remet en place. Et si le jeune menace de porter plainte avec ses parents, une deuxième claque. »
A noter que depuis quelque temps le pauvre François Bayrou se prend plus de claques qu’il n’en donne. C’est souvent le sort qui est réservé à ceux qui donnent des leçons de morale qu’ils se gardent bien d’appliquer à eux-mêmes…
@ anne-marie marson | 03 mars 2018 à 23:55
« Il est vrai que ces gamins, courageux mais pas téméraires, ne caillassent pas les voitures-poubelles des barbus ou des voilées de leur communauté. Ce qu’il faudrait, c’est que les maires voyous qui construisent des logements sociaux où ils entassent ces populations pour assurer leur réélection en mettant en danger le reste de la population, comparaissent devant les tribunaux en même temps que les délinquants. »
Pas seulement certains maires voyous, mais aussi certaines associations socialistes et gauchistes profitant des subventions de l’Etat vont chercher des voix chez cette population leur promettant monts et merveilles juste pour continuer à chauffer leur siège de maire ou de député. Dans toutes ces zones de non droit et dans certaines banlieues, dites de gauche et d’extrême gauche, vous remarquerez que la violence et la délinquance ne cessent d’augmenter. Et c’est de pire en pire. Faut pas s’étonner que les banlieues « propres » refusent la population de loubards cagoulés par crainte de voir leurs immeubles et rues dégradés et voitures brûlées. Chacun aspire à vivre chez soi et en paix.
@Achille | 04 mars 2018 à 07:29
Je parlais de la délinquance et de la violence des jeunes et plus spécialement du gamin qui faisait les poches de Bayrou et des jeunes qui ont cassé la vitre à coup de cailloux en présence du maire de Strasbourg. La politique c’est une chose, et la délinquance des jeunes c’en est une autre. Ces deux phénomènes doivent être traités séparément.
@ Ellen | 04 mars 2018 à 07:41
« La politique c’est une chose, et la délinquance des jeunes c’en est une autre. Ces deux phénomènes doivent être traités séparément. »
La délinquance des jeunes est certes un gros problème sociétal qui existe depuis des décennies et contre laquelle aucun politique n’a encore trouvé une solution fiable et durable, si toutefois il en existe une.
Mais le comportement de certains politiques qui défrayent la chronique peut s’apparenter à une forme de délinquance d’autant plus inexcusable qu’ils sont censés être exemplaires. Rare le sont, en tout cas parmi les leaders actuels de gauche comme de droite.
Ceci explique en partie la défection des Français pour la politique.
@ hameau dans les nuages
Les choses sont simples avec vous. Vu le nombre de voies d’accès maritimes ou terrestres à l’Europe, il va nous en falloir des bateaux pour endiguer des flux qui ne feront que croître… pour financer cela encore vous pressurer davantage, et un gouvernement coulant les bateaux de migrants (vous les mettez ou, celui-ci, si votre humanisme vous pousse à ne pas les couler dans un autre bateau ?!) n’hésitera pas tôt ou tard à tirer sur ses agriculteurs ou des ouvriers s’ils se rebellent !
@ Noblejoué
Ah bin oui, réglons le problème à coup de subventions à des Etats qui finiront pas réouvrir les frontières à la première bisbille diplomatique venue après avoir empoché l’argent, brillante idée en effet. Pas de doute, avec des brillants penseurs comme vous et votre collègue béarnais, la France est sauvée !
@ Tomas
« Ah bin oui, réglons le problème à coup de subventions à des Etats qui finiront pas réouvrir les frontières à la première bisbille diplomatique venue après avoir empoché l’argent, brillante idée en effet »
Mais je vois au moins que la venue des Barbares est un problème, et je cherche des solutions, au lieu d’attendre que tout se règle tout seul comme s’il y avait une Providence dans ce triste univers !
Oui, les Etats-tampons peuvent ouvrir la cage aux fauves mais existe-il des raisons pour des bisbilles diplomatiques ? Cessons de réclamer que les Barbares appliquent les droits de l’Homme, par exemple, c’est provocant et ne sert à rien… Cela servirait s’il y avait une action armée ou du moins un blocus commercial total… Comme cela ne se fera pas, parler ne sert à rien, et peut provoquer le lâchage des fauves chez nous.
Alors non !
Autre chose, dans le temps qui passe, il y a quoi ? Le progrès technologique : nous pourrons sans doute mieux repérer les gens venant chez nous et les renvoyer d’où ils viennent pour moins cher.
Autre chose : s’étant déshabitués à l’idée que les fâcheux viennent ici, les solutions que je préconise seront mieux appliquées.
Et il se peut qu’on en trouve d’autre.
Le temps ne joue pas dans le sens que vous croyez, société de consommation, Arabes se civilisant.
Il se joue, l’effet de sidération des masses migratoires venant chez nous passé, à l’application de solutions plus efficaces.
Sans compter que l’on aura sans doute d’autres idées…
Fi de la Providence et de toutes les illusions possibles et imaginables !
L’intelligence est le but et le moyen, l’intelligence, j’aurais tendance à dire, est tout, mais il ne faut pas oublier la volonté d’appliquer ce qui en résulte.
@ Tomas | 04 mars 2018 à 12:57
Vous êtes terrible ! Tout entier à votre idéologie vous lisez en travers les autres commentaires. Je parle des bateaux humanitaires financés par Soros. Une mise en demeure avec tir de semonce à celui étant dans l’attente des clandestins donc vide. Remorquage et si opposition abordage, mise en sécurité de l’équipage et destruction du bâtiment. Pour ce qui est des passeurs sur leurs hors bord ou bateaux de pêche il faut bien qu’une fois leur cargaison amenée vers les « humanitaires » ils reviennent dans leur port d’attache donc à vide… destruction illico presto sans sommation.
J’appliquerai la même méthode pour les go fast trafiquants de drogue. Ah oui c’est vrai que pour vous c’est aussi inévitable…
Avec vous la racaille a de beaux jours devant elle.
@ hameau dans les nuages
C’est bien ce que je dis, vous solutions rappellent celles des dictatures sud-américaines des années 70… Par ailleurs, étant pour la légalisation des drogues pour des raisons déjà développées ailleurs, je suis sans doute bien plus dangereux pour les trafiquants que vous !
@ Noblejoué
Les Barbares… Vous êtes en plein délire civilisationnel.
Je ne vois pas vraiment en quoi le progrès technique pourra empêcher les vagues migratoires à venir, sauf au détriment de notre liberté. Vous préférez une Europe fasciste blanche ou une Europe démocratique métissée ?
@ Achille
« La délinquance des jeunes est certes un gros problème sociétal qui existe depuis des décennies et contre laquelle aucun politique n’a encore trouvé une solution fiable et durable, si toutefois il en existe une. »
En clair, les politiques connaissent bien la nature du mal, mais ils refuseront mordicus de l’admettre, à savoir qu’eux et leurs prédécesseurs ont fait entrer en France – et continuent de le faire – sans aucune précaution des populations qui pour certaines ont été endoctrinées dès leur enfance dans leur pays d’origine dans une attitude de haine de la France, et donc des Français, accusés de tous les maux de la Terre et dont il convient de se venger.
Une fois chez nous, certains passent aux travaux pratiques en prenant en priorité pour cibles en matière de délinquance ou de criminalité des Franco-Français, mais de façon curieuse quand de telles affaires passent devant les tribunaux, elles sont dépersonnalisées, comme si elles avaient été commises par des délinquants lambda mus uniquement par des raisons crapuleuses alors que dans un cas de figure inverse nous n’entendrions parler que de racisme…
Ceci dit, sans pour autant tomber dans le « yaka-fokon », il existe toute une palette de solutions, des plus simples et de bon sens aux plus énergiques.
Quand on veut, on peut.
@ Tomas
« Je ne vois pas vraiment en quoi le progrès technique pourra empêcher les vagues migratoires à venir, sauf au détriment de notre liberté. »
Vous ne comprenez vraiment rien. On surveille la mer Méditerranée et d’autres endroits-clés par divers moyens.
Cela ne veut pas dire qu’on surveille les citoyens… Et si des citoyens veulent aider les entrants, on n’en fera pas un délit.
Les devoirs des forces de l’ordre ne sont pas celles du médecin, et pour le reste, si le devoir des gouvernants et de ceux qui voient ce que pourrait être l’avenir est d’anticiper, le devoir d’autres gens est autre.
« Vous préférez une Europe fasciste blanche ou une Europe démocratique métissée ? »
On vous entend moins quand des gens tiennent des propos racistes, et peut-être, en somme je ne suis pas comme vous, je ne fais pas de procès d’intention, fascistes.
Mon problème n’est pas la couleur de peau des gens mais le danger qu’ils font courir sur la démocratie, justement.
« Les Barbares… Vous êtes en plein délire civilisationnel »
De quelqu’un qui croit que nous sommes encore dans la civilisation romaine, cette accusation est comique.
Dire que quelqu’un délire parce que vous n’êtes pas d’accord est-il le signe d’une discussion bien rationnelle ?
Une fois, vous avez dit ne pas avoir le temps de me répondre. Et si c’était plutôt que vous n’avez rien à dire ?
@ Noblejoué
Effectivement sur le sujet j’ai tout dit, là on se répète. Mais je trouve votre vision un peu idyllique, je ne vois pas une société bloquer les migrants par tous les moyens à nos frontières d’une part et tolérer ceux qui les laisseraient rentrer d’autre part.
Quant au racisme, il me semble m’être insurgé plusieurs fois contre, c’est d’ailleurs ce que je suis en train de faire présentement car on ne va pas se le cacher, c’est le fait que la France se basane qui nous heurte.
Enfin, si on peut considérer vu la permanence de son héritage que la civilisation romaine n’a pas disparu, elle a toutefois muté. Utiliser aujourd’hui le terme de Barbare est aussi subtil que d’employer celui de racaille, qu’adorent employer certains commentateurs ayant l’impression d’être transgressifs en singeant Sarkozy. Je me refuse pour ma part à ce genre de simplifications, et pense mordicus que ni les Arabes, ni les Musulmans, ni les Noirs, ni les Chinois, ni les Juifs, ni les Roms, ne représentent un danger mortel pour notre civilisation. Si celle-ci a confiance en elle (pas gagné, lisez le beau texte de Guy Debord sur l’intégration, il y a hélas du vrai), elle s’enrichira de ces nouveaux venus pour retrouver une vigueur nouvelle. Si elle se replie sur elle-même tel un petit vieux n’ouvrant à personne, elle est effectivement condamnée à brève échéance par le rouleau compresseur de l’Histoire. Ce ne sera pas une tragédie, après tout les civilisations aussi sont provisoires !
Le mal existe. Il existe des êtres intrinsèquement maléfiques. Pour s’en convaincre, il suffit de se plonger dans la biographie d’Ian Brady et de sa compagne Myra Hindley, les plus abominables assassins en série et violeurs d’enfants que la Grande-Bretagne ait connus depuis longtemps. Longtemps, ils ont symbolisé pour les Britanniques le mal absolu. Condamnés à la prison à vie pour une série de crimes commis dans les années 1960, ils sont morts l’un et l’autre en prison, Ian Brady l’année dernière, à l’âge de 79 ans.
Le détail le plus abominable qui a révulsé les Britanniques : l’assassin n’a jamais voulu révéler l’endroit où il avait enterré l’une des victimes. Les autres corps ont été retrouvés, mais Brady a emporté avec lui, dans la mort, le secret concernant le dernier cadavre.
Il ne l’a pas emporté dans sa tombe, car son corps a été incinéré, et ses cendres dispersées en mer, de nuit, par la police ; mesure hors du commun, quasi moyenâgeuse, témoignant de la condamnation unanime de la société.
Marque supplémentaire de sa vocation au mal, Ian Brady, fait extraordinaire, a écrit en prison, et publié, un livre consacré à la biographie de plusieurs assassins en série.
Ce livre est précédé d’une introduction où il justifie, et en tous cas excuse, les actes de ces criminels.
Ces justifications sont le décalque exact des arguments de gauche que vous lisez tous les jours dans les commentaires de blog, sous la plume des intellectuels conformistes, dans la bouche des journalistes ordinaires, dans les déclarations des hommes politiques de gauche (et même de droite), pour expliquer et excuser la criminalité : c’est la faute de la société, la délinquance en col blanc est la plus grave, l’oppression du peuple par les patrons reste impunie, et d’ailleurs, lui-même, Ian Brady, demeurait injustement emprisonné par le système.
On croirait lire un éditorial du Monde, un communiqué de la France Insoumise ou une tirade de Christiane Taubira.
Or, Ian Brady était la réfutation incarnée de ces thèses éculées, avatar de l’idéologie communiste : son inclination criminelle n’était pas la faute de la bêtise, il était extrêmement intelligent ; elle n’était pas due à l’absence d’éducation et de culture, il était extrêmement cultivé.
Sa dernière biographie a été écrite par un professeur de théologie, qui l’a visité très régulièrement dans sa prison, pour le comprendre, à la demande de la mère de l’une des victimes. Brady en a fait son confident, et son exécuteur testamentaire. Le livre, publié l’année dernière, constitue une plongée fascinante dans l’âme criminelle.
Ian Brady, dans sa prison, discutait longuement, avec son visiteur, de Sartre, Camus, Dostoïevski et Nietzsche. Interrogé sur son choix de tuer des enfants plutôt que des adultes, il répondit : « Ce sont des exercices existentiels ». Interrogé sur ses motivations, il revendiquait ses crimes et les justifiait : rien n’avait d’importance, la moralité n’existait pas, la seule vie valant d’être vécue était une vie de rébellion.
Cette rébellion qui semble, en France, être l’une des « valeurs républicaines » les plus fréquemment invoquées par les gauchistes les plus enragés comme par l’extrême droite la plus convenable, mais aussi par les braves gens les plus modérés, les plus affables, qu’ils soient du centre, de gauche ou de droite.
Dans sa jeunesse, Ian Brady s’est « rebellé » contre tous les symboles de la société. A une époque où, en Angleterre, les cinémas terminaient la séance par l’hymne national, et où chacun, bien entendu, se levait en signe de respect, lui et sa compagne se ruaient hors de la salle avant le « God save the Queen », pour ne pas avoir à subir cette « humiliation ». Dans sa rage « anti-système », un jour, Ian Brady souleva de terre un spectateur qui lui barrait le passage à ce moment-là. Plus tard, il dit qu’il aurait pu le tuer.
Il avait, bien sûr, un profond mépris pour la religion chrétienne. Une fois, Myra Hindley, qui servit d’appât aux enfants assassinés et participa activement à leur mise à mort et aux agressions sexuelles, l’accompagna dans une église, pendant la messe, « pour voir ». Pris de dégoût, ils se précipitèrent à l’extérieur, et Ian Bradley urina contre le mur de l’église.
Très tôt, il avait lu les oeuvres de Hitler et du marquis de Sade.
Ian Brady et Myra Hindley étaient des indigènes. Des Blancs. Pour ceux que ce mot choque, des Européens de culture judéo-helléno-romano-chrétienne. Si leurs forfaits, commis il y a plus de cinquante ans, sont encore présents à ce point dans la mémoire des Britanniques, si l’Angleterre entière connaît le nom — et le visage — d’Ian Brady, si le couple infernal est resté emprisonné jusqu’à la mort malgré ses multiples demandes de libération, si les restes de Brady ont été symboliquement répandus en mer pour que rien n’en demeure, c’est que des crimes aussi révoltants sont excessivement rares, de la part des autochtones.
Leurs forfaits prouvent que « iadéconpartou », suivant la formule toute prête immanquablement opposée, par les gens comme il faut (c’est-à-dire de gauche, même quand ils votent à droite), à ceux qui s’inquiètent de la sur-délinquance suscitée par l’immigration de masse de populations extra-européennes.
En revanche, qui se rappelle le nom du chef africain du « gang des barbares » qui a organisé l’enlèvement, la torture et l’assassinat d’Ilan Halimi ? Bien peu de gens, et il est douteux que quiconque pourra le citer dans un demi-siècle, à l’instar de celui d’Ian Brady.
Qui connaît le nom de ces musulmans qui ont égorgé un prêtre à Saint-Etienne-du-Rouvray, pendant la messe ? Pas moi, et pourtant je suis, de près, les funestes progrès du terrorisme islamique en France et dans le monde.
Qui connaît les noms de ces Pakistanais, Afghans et autres immigrés musulmans en Grande-Bretagne , qui ont transformé en esclaves sexuelles des milliers, peut-être un million de très jeunes filles paumées, blanches et de culture chrétienne ? Personne, tout simplement car il y en a trop : si des centaines de ces violeurs ont été condamnés, des milliers d’autres sont probablement en liberté.
Il faut donc bien comprendre qu’en matière d’islamisation, nous sommes complètement en dehors du cadre pénal. Même au sein de cet univers, l’exemple de Ian Brady montre que la règle de Philippe Bilger, issue de son expérience, selon laquelle « aux assises, l’accusé même le plus coupable affirme ne pas vouloir renouveler son crime, soit à cause de la peine qu’il va subir, soit par une prise de conscience éthique surgissant parfois miraculeusement », n’est pas toujours vraie, et qu’il y a, en effet, comme il le souligne, des « exceptions » qui sont bien réelles.
Avec la « lutte contre la radicalisation », nous entrons dans une tout autre dimension. Pour commencer, il faudrait avoir le courage de nommer les choses. Il ne s’agit pas de lutte contre la radicalisation, ni même de lutte contre la radicalisation islamique. Il s’agit de lutte contre l’islam. Il s’agit de riposter à la guerre que nous mène l’islam.
Parler de lutte contre la radicalisation garantit l’échec, d’abord parce que, contrairement à Philippe Bilger, les sommités qui nous dirigent se contentent en général de parler de radicalisation tout court, et suggèrent donc que la solution se trouverait dans une modération centriste de bon aloi, et que toute réaction radicale serait funeste.
Ce faisant, ils fourrent aussi dans le même sac toutes les opinions« radicales » quelles qu’elles soient. Par exemple, votre serviteur est souvent qualifié, ici ou là, « d’ultra-libéral » (et je peux pourtant vous garantir que je suis un libéral mollasson du point de vue d’innombrables « ultra-libéraux », qui ne se privent pas de me le faire savoir).
Plus grave, les autorités suggèrent ainsi que se dire radicalement opposé à l’islamisation de la France et à l’immigration de masse constitue, également, une forme de « radicalisation » condamnable. Alors que cette conviction est, au contraire, indispensable pour lutter efficacement contre l’offensive islamique.
En réalité, nous devons lutter contre ceux qui s’emploient à mettre en oeuvre, pour nous détruire, l’authentique doctrine de l’islam. Pas l’islam « radical », l’islam « interprété de travers » ou je ne sais quelle autre fadaise. Le véritable islam, ce qui s’appelle l’islam, tout simplement.
Il est bien évident que beaucoup de musulmans sont de mauvais musulmans : leur religion leur enjoint d’asservir et de massacrer le monde entier pour faire triompher l’islam. Il faut bien dire que c’est assez fatiguant, de massacrer tout le monde ; et puis c’est aussi un peu risqué : on risque d’y passer soi-même. Tous ne s’y emploient donc pas, tout le temps.
De même, beaucoup de chrétiens sont des chrétiens, mettons, moyens. Leur religion leur enjoint de tendre à la sainteté, de s’humilier pour l’amour du Christ et l’amour de leur prochain ; voire de sacrifier leur propre vie pour convaincre le monde du bien-fondé de leur religion.
Sans attenter à la vie des autres, bien entendu, ce qui fait du martyr chrétien exactement le contraire du martyr musulman, qui, lui, est glorifié à la mesure du nombre d’incroyants qu’il tue en même temps qu’il prend l’initiative de se suicider. Scandaleuse confusion lexicale, qui est exploitée tant et plus par les musulmans et leurs complices occidentaux pour manipuler les foules.
Disons, tout au plus, si l’on tient à couper les cheveux en quatre, qu’il s’agit de lutter contre l’activation de l’islam. Une bactérie peut rester dormante pendant des siècles, une bombe atomique peut rester sagement dans son silo, une doctrine imbécile et maléfique peut être cantonnée à une poignée d’illuminés qui se contentent de rêver de rivières de sang, sans pour autant les faire advenir.
Il n’en reste pas moins que la nature du bacille de la peste est de transmettre la peste, et que l’essence de la bombe atomique est d’infliger des destructions inimaginables.
Il faudrait être aveugle, ou de mauvaise foi, pour ne pas discerner que dans les circonstances historiques où nous nous trouvons, l’islam a été activé, et qu’il a été activé contre nous, les Occidentaux, les chrétiens, les juifs, et plus généralement contre quiconque n’est pas musulman. Et ce, à travers le monde entier. Puisque telle est la doctrine musulmane.
La doctrine musulmane impose de faire la guerre au monde entier, par les moyens les plus abominables dont nous sommes témoins actuellement. Ce sont ceux qui sont prescrits dans le Coran et les autres textes sacrés musulmans. Cela porte même un nom : le djihad.
Je me souviens du temps où un certain nombre d’hurluberlus dans mon genre écrivaient ce terme dans l’espace public, et où nous avions l’impression de parler en sanscrit à des Danois. Depuis, il y a eu des « progrès » : le mot, hélas, est entré dans le discours public.
La solution n’est donc ni pénale (bien que différentes mesures judiciaires soient indispensables), ni scolaire et encore moins « sociale ». Elle est politique, et militaire.
Il s’agit de lutter contre la guerre que nous mènent les musulmans, sur notre propre sol et à l’étranger. Je ne parle pas seulement du terrorisme. Les Pakistanais « britanniques » qui capturent de pauvres filles de treize ans pour les violer en groupe, puis les soumettre à la prostitution, et qui s’en vantent une fois capturés par la police, font partie de ces guerriers.
De même que l’Africain qui a, récemment, tué une vieille dame juive, à Paris, en la jetant par la fenêtre. De même que les individus issus de l’immigration qui se livrent, désormais régulièrement, à travers l’Europe, à ce crime abominable, et à ma connaissance absolument inconnu auparavant, du viol de femmes très âgées.
La seule façon de nous sauver de ce péril mortel est de mener une guerre impitoyable (et, oui, radicale) contre ces envahisseurs qui « viennent, jusque dans vos bras, égorger vos fils, vos compagnes ».
Ce sera une guerre sale. Mieux vaut le savoir. Il est impossible de faire face autrement à la guerre hybride que nous mène l’islam sur notre propre territoire, à l’aide de troupes non seulement déjà infiltrées, mais possédant la nationalité des pays ennemis (les nôtres) et ayant largement commencé à en noyauter les centres de pouvoir.
Guerre hybride, en passant, comme celle que mène le gouvernement russe contre les nations européennes et les Etats-Unis, avec des moyens déloyaux et clandestins qui permettent de nier officiellement toute intention belliqueuse.
Guerre sale veut dire : moyens d’exception. Pensez : police politique anti-musulmane. Brigades contre-djihadistes. Mukhabarat inversés à la française. C’est le travail des services secrets. Je suppose — j’espère — que ces derniers ont déjà entamé leur mutation sur ces lignes.
Pensez aussi : Guantanamo. Camps de concentration. Oh ! on ne les appellera pas ainsi, pour ne pas froisser la sensibilité ultra-délicate de nombre de nos contemporains. Je fais confiance à l’imagination des énarques pour trouver des désignations tout à fait anodines, du genre « centres de protection de la population » ou « quartiers de pacification ».
N’oublions pas que la France possède un nombre considérable de territoires isolés, voire insulaires, à l’autre bout du globe. On nous parle tout le temps de leurs richesses maritimes cachées sous forme de « nodules métalliques », dont personne n’a vu, pour l’instant, la queue d’un. Tant qu’a subir le lourd poids budgétaire de ces boulets intempestifs, autant les mettre au service du rétablissement de la sûreté nationale et de la souveraineté de la France.
On ne parlera pas de bagne, bien sûr. Là encore, nous avons cinq millions de fonctionnaires, qui, au lieu de déplier des trombones, seront ravis d’appliquer leurs talents à inventer des institutions adaptées, et les appellations administratives qui vont avec. Les Australiens l’ont fait.
Faute de quoi, la prédiction qu’a faite mezzo-voce, il y a quelques années, Bernard Lewis, l’un des meilleurs islamologues encore vivants (qui n’a rien du fou furieux ni du militant), a toutes les chances de se réaliser : l’Europe deviendra sans doute musulmane, a-t-il déclaré à un magazine allemand.
L’homme a 101 ans, et a consacré sa vie à l’étude de l’islam. Son expertise est reconnue aussi bien par les musulmans que par les Israéliens. Ce n’est pas faire injure à Edouard Philippe que de dire que Bernard Lewis en connaît un peu plus long que lui sur le sujet.
@ Robert Marchenoir de 02:41
Implacable démonstration, comme d’habitude.
Pour égayer votre propos on aurait pu citer le livre de Gilles Kepel, qui en 2000 avait prédit « la fin de l’Islamisme ». Véritable gag macabre, puisque le 11 septembre 2001 les deux tours du World Trade Center s’effondraient.
Cela n’a pas empêché ce druide de passer sur tous les plateaux de TV et radios pour nous annoncer la bonne nouvelle jusqu’au 11 septembre 2001…
Ses étudiants de Sciences Po sont toujours aussi nombreux à assister à ses fulgurances prévisionnelles.
http://journals.openedition.org/assr/20904
Guerre sale contre dévoiement des religions, il y aurait une solution contenue en filigrane dans les propos de Marchenoir, avant qu’il ne conclue comme à l’habitude après un diagnostic des plus justes, par une solution des plus erronées.
Cette solution serait de réellement se poser la question scientifique du phénomène religieux, de continuer à l’étudier pour s’apercevoir que l’escalade violente vient des réciprocités de domination que le monde vit depuis les origines, s’appuyant sur des textes décrivant ces mouvements profonds et en niant les conclusions auxquelles ils arrivent, le Coran n’étant finalement que la dénonciation de cette hypocrisie et l’affirmation apocalyptique de la révélation, la position particulière du Christ dans ce texte en témoignant, car révélant ce qui ne peut être que la fin des religions par la connaissance du religieux.
L’inculture généralisée des phénomènes propitiatoires de contention de la violence du groupe humain trouve dans le dévoiement final islamique l’apogée hypocrite de la créature hominidée qui refuse de renoncer à son pouvoir de domination, risquant la destruction totale.
Les peuples européens vivent des instants cruciaux, et les élections allemandes et italiennes viennent alimenter la contradiction décrite ci-dessus. Leur responsabilité est particulièrement engagée dans l’exercice naturel de protection que la situation demande et qui est de l’ordre de la connaissance profonde inscrite dans leur culture du phénomène religieux, et là se place la radicalité nécessaire à opposer à la violence dont ils sont actuellement victimes.
Le pari est de fonder sa geste sur la raison, et non de céder aux réciproques qui pulvérisent alors la connaissance, et de faire confiance au pouvoir subversif absolu du texte chrétien, le christianisme étant l’incroyance dans le phénomène violent, l’affirmation pleine et entière que, justement, Dieu est amour, que là est la vérité qui , même si elle déchaîne la violence car elle en révèle le mensonge et l’inanité, la violence alors, en retour, ne peut rien contre elle.
Là se situe la foi, dans la certitude que nous est donnée la possibilité de savoir réellement, qu’il ne nous en faut que le courage et la patience de savoir l’affirmer, que les peuples européens, après avoir failli dans cette croyance de la réalité du réel, sont absolument déterminés à défendre cette science et par tous les moyens, au bénéfice de l’humanité.
@ Tomas
« C’est le fait que la France se basane qui nous heurte. »
Et vous dites avoir vécu dans les cités banlieusardes ? Que faites-vous des basané(e)s de ces cités qui appellent au secours ? Elles ne vous intéressent plus car assimilées par la France « blanche » ?
En fait vous n’avez rien compris. A défaut d’être complice.
@ Robert Marchenoir 2h41
« Ce sera une guerre sale. Mieux vaut le savoir. Il est impossible de faire face autrement à la guerre hybride que nous mène l’islam sur notre propre territoire, à l’aide de troupes non seulement déjà infiltrées, mais possédant la nationalité des pays ennemis (les nôtres) et ayant largement commencé à en noyauter les centres de pouvoir. »
La totalité de votre post mérite les louanges de tous ceux qui ne veulent pas de l’islamisation de notre pays.
Dans un autre fil je crois, j’ai écrit que nous ne voulions pas la guerre parce qu’elle était impossible à mener dans le contexte politique d’aujourd’hui qui érige en héros (ou héroïnes) les défenseurs « progressistes » de l’islam, en fait 95% des journalistes-animateurs-hommes et femmes politiques de tous bords…
Si nous ne voulons pas la guerre c’est que nous sentons bien que les seules solutions qui vaillent apparaissent violentes et cruelles, voire injustes. Et c’est précisément parce que notre société est imprégnée par le christianisme et les valeurs que vous avez décrites que l’islam triomphera tôt ou tard !
@ Tomas
« Mais je trouve votre vision un peu idyllique, je ne vois pas une société bloquer les migrants par tous les moyens à nos frontières d’une part et tolérer ceux qui les laisseraient rentrer d’autre part. »
C’est-à-dire qu’il faut bien comprendre, je sais que je vais choquer, que tout le monde n’a pas les mêmes devoirs. Je ne préconise pas une société de caste, mais simplement, je sais que tout le monde n’a pas la même vocation. Le soldat doit tuer, exception au non meurtre, le médecin se taire, exception à dire certaines choses que d’autres devraient dénoncer.
Il en va de même face à l’émigration. Il y a éviter que cela touche notre sol, et quand cela est, les réactions contrastées des membres de notre société face à cette réalité : à société à division du travail et valeurs pluralistes des réactions contrastées.
« Quant au racisme, il me semble m’être insurgé plusieurs fois contre, c’est d’ailleurs ce que je suis en train de faire présentement car on ne va pas se le cacher, c’est le fait que la France se basane qui nous heurte. »
Ah, vous vous êtes insurgé. Dans ce cas mes excuses… Par contre, pour moi, et pour bien des gens, ce n’est pas que la France se basane, le problème.
C’est de se faire contaminer par la non démocratie, la non science, la non égalité, même en droit, des femmes, la non laïcité.
Si tout ça ne vous suffit pas pour fermer la porte, que vous faudra-t-il donc, on se le demande ? Vous savez ce qu’on fait, lors des épidémies, on se renferme. Ce n’est pas nous qui allons leur apporter la santé, mais eux la destruction. A moins que vous ayez vu des épidémies de bonne santé ? Il se peut qu’un jour, qui sait, le monde arabe se démocratise. En attendant que des gens soient devenus convenables, on ne les admet pas chez soi. Mais c’est quoi cette histoire de croire que la consommation, que l’éducation peut tout ? Si c’était le cas, nous n’aurions pas les problèmes de djihad gaulois que nous avons sur les bras. Incapacité française de reconnaître ses échecs, mais enfin, d’après vous nous avons surmonté Vichy. Non ? Nous avons renversé ce régime, vaincu l’Allemagne ? On peut être dans le camp des vainqueurs sans être vainqueur comme un citoyen romain réduit en esclavage délivré quand les légions détruisent l’ennemi. Une confusion qui arrange notre vanité, laquelle compte plus que notre survie, on ne se demande pas comment éviter de perdre encore notre liberté.
« Ni les Arabes, ni les Musulmans, ni les Noirs, ni les Chinois, ni les Juifs, ni les Roms, ne représentent un danger mortel pour notre civilisation. »
Ne noyons pas le poisson, voulez-vous ? Les Noirs sont des malheureux, les Chinois, des concurrents, les Roms, essentiellement un problème de mauvaise coordination de l’Union européenne, les Juifs, des gens que j’ai longtemps pris pour des malheureux qui avaient néanmoins découvert le mécanisme du bouc émissaire, et sur qui j’aurais bien plus envie de me renseigner pour, finalement, leur amour de la liberté et de la connaissance, découvert à partir d’un livre passionnant sur les pirates juifs des Caraïbes, on passe de l’histoire lacrymale à tout autre chose, vraiment, j’ai mille fois plus envie de creuser ce sujet, un peu commencé, que l’arabe, je n’aime pas trop agir sous la menace, les Juifs me plaisent plus quoique le monothéisme soit un sacré problème, c’est le cas de le dire.
Les Arabes… J’ai le droit de ne pas me répéter ?
« Si elle se replie sur elle-même tel un petit vieux n’ouvrant à personne, elle est effectivement condamnée à brève échéance par le rouleau compresseur de l’Histoire. Ce ne sera pas une tragédie, après tout les civilisations aussi sont provisoires ! »
Si la mort individuelle et celle des civilisations n’est pas une tragédie, qu’est-ce qui l’est ? Faire confiance, pour sa sécurité, à quelqu’un qui ne prend pas suffisamment à cœur la préservation n’est pas sérieux.
Et puis, vous vous contredisez. Notre civilisation est romaine, ou alors, la civilisation romaine a disparu, et ce n’est pas grave, tout civilisation étant provisoire ? Il peut y avoir mille causes de mort d’un individu ou d’une civilisation, mais enfin, sauf avec le chat quantique, on n’est pas à la fois mort et en vie !
Que vous êtes sérieux. Je ne vous confierais ni une civilisation, ni une vie, en fait, rien, puisque les réalités de la plus haute importance ne sont pas graves, et comme si cela ne suffisait pas, que vous dites des choses contradictoires. Mais comment prendre la réflexion au sérieux quand on ne le fait pas du monde ?
@ Robert Marchenoir
Depuis Brady en passant par le dépliage des trombones, c’est ce qui s’appelle du raisonnement !! Je crois même qu’un instant vous avez réussi à m’effrayer… Noblejoué a essayé de prendre votre place laissée vacante un instant mais vous êtes bien meilleur ! Je vais commencer le stockage du sel de la terre, vital, je pourrais éventuellement en faire une contrebande. La peur n’évite pas le danger, mais enfin, le chœur des trembleurs se fait entendre dans les forêts pas lointaines…
Par ailleurs, damnatio memoriae ? to be or not to be ? un œil pour trois ? œil pour œil ? Je sens que si vous poussez encore un peu votre argumentaire il se pourrait qu’il me vienne des idées de crimes…
La confusion est une vertu ? Si oui, Pandore le savait-elle ? Si non, que fait l’espérance dans sa boîte ?
Il y a quelque temps, j’avais fait lire aux lecteurs de ce blog un article, assez original, de Richard Millet s’exprimant sur le décès du chanteur de rock adoré des Français. Ses textes méritent le détour, sur beaucoup de sujets.
Mais, puisqu’il est ici parlé d’islam, je cite encore Richard Millet et le commenterai :
« Il n’est pas interdit d’espérer que, comme en 1975 et en 1976, de jeunes chrétiens, collant sur la crosse de fusils d’assaut des images du Christ Roi ou de la Sainte Vierge, la croix autour du cou, avanceront un jour vers ces bastions pudiquement appelés « quartiers difficiles », ou plus justement « zones de non droit » – exactement ce qu’était le camp de Tel al-Zaatar. »
L’ennui, c’est que je crois savoir qu’un commandement célèbre dans la religion chrétienne est : « Tu ne tueras point. » Sans oublier que le coeur de la morale, bien nouvelle, de Jésus est : « Aimez vos ennemis », « Tendez l’autre joue », « Rendez le bien pour le mal », etc.
On comparera avec ce que Dieu, dans le Coran, demande de faire aux athées, aux juifs et aux chrétiens.
@ Robert Marchenoir
Effectivement, il n’y a qu’à se plonger dans la biographie de Ian Brady pour apprendre qu’il ne connut pas son père et fut confié par sa mère en famille d’accueil dès sa plus tendre enfance. Comme les frères Kouachi, en somme. On fait mieux comme départ dans la vie, même si heureusement tous ceux qui sont passés par là ne sont pas devenus des criminels, mais je pense que ce parcours familial le fait déjà sortir de la norme. Enfin, passons.
Pour le reste vous nous faites encore du Zemmour (que j’ai entendu dire l’autre jour qu’en 1900, « le Kosovo comptait 99% de Serbes », ce qui est totalement faux, mais évidemment ce n’est pas cet inculte de Pascal Praud qui allait le contredire) : faits assénés à la louche sans aucune source valable, généralisations abusives et approximations flagrantes.
Commençons par le million de jeunes Anglaises qui auraient été violées par de sauvages musulmans assoiffées de sang. Le Système britannique doit être complice alors, car les dernières données officielles sont tristement banales : au Royaume-Uni, 1 enfant sur 20 a été abusé sexuellement, et 90% d’entre eux par quelqu’un qu’ils connaissaient :
https://www.nspcc.org.uk/preventing-abuse/child-abuse-and-neglect/child-sexual-abuse/sexual-abuse-facts-statistics/?_t_id=1B2M2Y8AsgTpgAmY7PhCfg%3d%3d&_t_q=fact+and+figures+about+child+abuse+in+the+UK&_t_tags=language%3aen%2csiteid%3a7f1b9313-bf5e-4415-abf6-aaf87298c667&_t_ip=77.158.88.38&_t_hit.id=Nspcc_Web_Models_Pages_TopicPage/_62dec983-67bd-477b-abe4-4b7343b682ad_en-GB&_t_hit.pos=2
Poursuivons par l’opposition caricaturale entre le martyr chrétien qui sacrifierait sa vie sur l’autel de la religion, et son homologue musulman qui serait célébré à la hauteur du nombre de victimes qu’il aurait causées. Là on est tout bonnement dans l’intoxication pure et simple. Le terme arabe « shahîd » a le même sens étymologique de « témoin » que le mot martyr, lequel est d’origine grecque. Dans le Coran on désigne par ce terme ceux qui se sont soumis à Allah (la soumission à Allah est l’idée centrale du Coran, le reste est accessoire), les vertueux, les prophètes (en islam, Jésus est donc un martyr), sans aucune mention de leurs performances en matière d’éradication d’infidèles (on rappellera par ailleurs que le Coran proscrit les conversions forcées des « gens du Livre »). Aujourd’hui, les autorités principales de l’islam (dans laquelle je n’inclus pas le calife autoproclamé Al-Baghdadi) accordent le statut de martyr à toute personne morte violemment. Rafic Hariri, Premier ministre libanais tué dans un attentat en 2005, est un martyr ; les soldats libanais morts dans le conflit avec Israël en 2006 sont des martyrs ; des migrants morts dans le naufrage de leur bateau en 2007 se sont vu décerner le titre de martyr par la grande mosquée Al-Azhar, mais il est vrai que cela n’a pas fait l’unanimité. Bref, il est réducteur d’affirmer que « dans l’islam, le martyr est celui qui tue des chrétiens ». (https://www.oasiscenter.eu/fr/le-martyre-dans-l-islam-actuel)
Terminons sur le djihad. Je m’étonne au passage que vous pensiez être le précurseur de l’emploi d’un terme largement connu du grand public depuis les années 70/80 et la guerre du Liban au minimum, mais passons. Le djihad n’est pas seulement un équivalent de la croisade chrétienne (qui n’est pas une invention de la Bible, c’est vrai), mais l’ensemble des devoirs religieux qui s’imposent au bon musulman. C’est un combat sur soi-même avant d’être une exhortation à convaincre les infidèles. D’ailleurs les règles de la guerre en islam édictées par le Coran interdisent de tuer les innocents, de brûler les corps de leurs ennemis ou de les mutiler.
Tout cela pour dire que contrairement à ce que vous affirmez péremptoirement, ce ne sont pas l’islam ou le Coran qui sont le problème, mais bien les islamistes et leur méconnaissance profonde des règles élémentaires de leur religion. Je suis comme vous partisan d’une lutte résolue contre eux, ainsi que d’un traitement des causes multifactorielles du phénomène. Ce sera long, compliqué et coûteux, et il faut espérer que la dynamique propre du monde musulman (dont je maintiens qu’elle n’est pas aussi négative qu’elle en a l’air) nous donnera un coup de main.
Quant à Bernard Lewis, sa thèse sur le déclin de l’islam à partir de la Renaissance est intéressante, mais un distingué chercheur ne devrait pas faire de pronostic hasardeux comme il le fait : les Musulmans sont largement minoritaires en Europe comme en France et les pays musulmans d’Afrique du Nord ont pour la plupart terminé leur transition démographique, quant à l’Afrique qui constituera la principale source d’immigration à venir au cours de ce siècle, elle est autant chrétienne que musulmane. En démographie la prévision est toujours un exercice délicat.
Enfin, vous au moins vous avez le mérite après votre longue et poussive démonstration, nourrie aux fake news de surcroît, de proposer une solution claire : police politique, camps de concentration, mukhabarat à la française. Cette franchise trop rare est à saluer !!
@ hameau dans les nuages
Ecoutez, vous me fatiguez avec vos invectives dépourvues de la moindre esquisse d’argument. Pour vous faire passer la ruque vous devriez créer un kriegspiel sur la bataille d’Alger ou une uchronie finissant bien sur l’Algérie française, ça vous soulagerait peut-être la bile. Quand je dis « nous », je pense aux Français blancs chrétiens (ou catholiques zombies, pour reprendre la jolie expression d’Emmanuel Todd) qui me semblent être l’essentiel sinon la totalité des commentateurs de ce blog. Et je reste parfaitement solidaire des habitants des banlieues, basanés ou pas, qui appellent à l’aide en réclamant le minimum syndical en matière de services publics, une éducation de qualité qui leur permettrait d’espérer un autre avenir que le chômage de masse pour leurs enfants et une police un minimum plus respectueuse.
@ Noblejoué
« C’est de se faire contaminer par la non démocratie, la non science, la non égalité, même en droit, des femmes, la non laïcité ».
Dans ce cas, les pro-life de la manif pour tous et les anti-vaccins de tout bord sont aussi des ennemis de la République. Je préconise qu’on les envoie en Somalie (par exemple, y’a qu’à les débarquer dans des bateaux, personne y dira rien !), comme ça la démocratie sera préservée chez nous.
Plus sérieusement, je vois mal comment 10% de la population pourrait contaminer les autres. Je suis d’accord avec vous, il faut convertir les immigrés musulmans qui viennent d’arriver à la laïcité qui leur est une notion absolument étrangère, mais je ne vois pas en quoi ça ne serait pas faisable.
« Vous savez ce qu’on fait, lors des épidémies, on se renferme. »
Euh non. Au Moyen Age peut-être mais aujourd’hui, on prend des mesures prophylactiques sur les vols à risque et on envoie l’OMS tuer l’épidémie dans l’œuf. Comparaison non pertinente.
« Si c’était le cas, nous n’aurions pas les problèmes de djihad gaulois que nous avons sur les bras. »
Effectivement, si nous avons 25% de convertis chez Daech, des Maxime Hauchard, des David Drugeon, des Emilie König, c’est à cause de l’immigration. Ce ne serait pas plutôt à cause du délitement de notre propre société, que nous refusons de voir en face, préférant trouver des boucs émissaires ?
« D’après vous nous avons surmonté Vichy. Non ? Nous avons renversé ce régime, vaincu l’Allemagne ? On peut être dans le camp des vainqueurs sans être vainqueur comme un citoyen romain réduit en esclavage délivré quand les légions détruisent l’ennemi. »
Nous avons surmonté Vichy, oui, enfin presque, il reste quelques scories mais elles n’en ont plus pour longtemps espérons-le. Reconnaissance éternelle aux soldats américains, anglais, canadiens, australiens, néo-zélandais, sud-africains et autres venus se faire tuer sur les plage de Normandie et à l’Armée rouge qui non contente d’avoir anéanti la Wehrmacht a eu le bon goût de s’arrêter à Berlin, mais on ne va pas ressasser cette histoire et la laisser influencer notre politique intérieure et étrangère ad vitam aeternam.
« Si la mort individuelle et celle des civilisations n’est pas une tragédie, qu’est-ce qui l’est ? »
La disparition de l’espèce humaine sur la Terre. Tout le reste, franchement, c’est accessoire. La mort individuelle n’est pas une tragédie mais l’aboutissement logique de la vie, sauf évidemment quand elle survient prématurément et de manière injuste. La fin des civilisations, qui n’est jamais totale (voir ce qui reste de Rome chez nous, ce n’est pas négligeable), est un événement courant de l’histoire humaine, comme la mort des Etats et des empires. Notre tour viendra un jour, soyez-en sûr !
« Que vous êtes sérieux. Je ne vous confierais ni une civilisation, ni une vie, en fait, rien, puisque les réalités de la plus haute importance ne sont pas graves, et comme si cela ne suffisait pas, que vous dites des choses contradictoires. »
Si ça peut vous rassurer, je ne prétends pas sauver la civilisation à moi tout seul ! Mais vous pourriez me donner vos enfants à garder, vous les retrouveriez intacts, je vous assure ! Mes contradictions ne sont que l’expression de ma pensée qui est sans doute trop complexe pour être exposée de façon digeste en cinq minutes sans relecture comme je le fais.
@ Tomas
« Il faut convertir les immigrés musulmans qui viennent d’arriver à la laïcité qui leur est une notion absolument étrangère, mais je ne vois pas en quoi ça ne serait pas faisable ».
Mais pour les raisons que j’ai déjà exposées. Parce que la culture existe, et que bien malheureusement, la culture arabo-musulmane actuelle n’y prédispose pas. Le fait de venir en force, s’imposer quoi, ne prédispose pas, invité malgré l’hôte, à écouter ce que ce dernier pourrait avoir à dire… Vous connaissez les dynamiques de situation ? De plus l’hôte, pas trop content, on le comprend, peut souhaiter limiter au maximum ses contacts avec les indésirables, les laissant se former en ghettos, avec les risques inhérents à la situation.
Et ce que j’ai dit avant. En fait, ce que moi, je ne vois pas, c’est pourquoi l’intégration, sinon à dose très réduite, et dans un tout autre esprit, serait faisable.
« Euh non. Au Moyen Age peut-être mais aujourd’hui, on prend des mesures prophylactiques sur les vols à risque et on envoie l’OMS tuer l’épidémie dans l’œuf. Comparaison non pertinente. »
C’est quoi, les mesures prophylactiques, qu’on rigole ? Quant à tuer l’épidémie dans l’œuf, c’est, je suppose, d’aller conquérir tout le Moyen-Orient sauf la Tunisie et d’y instaurer une démocratie garantie par nos armées… Faisable, souhaitable ? Je pense que non. Réfutation de comparaison non pertinente.
« Effectivement, si nous avons 25% de convertis chez Daech, des Maxime Hauchard, des David Drugeon, des Emilie König, c’est à cause de l’immigration. Ce ne serait pas plutôt à cause du délitement de notre propre société, que nous refusons de voir en face, préférant trouver des boucs émissaires ? »
Le poison islamiste vient du Moyen-Orient. Comparaison avec le sida : on se soigne et on ne se réinfecte pas.
Je ne suis pas contre l’immigration en tant que telle, mais l’immigration arabo-musulmane, celle qui pose problème. Les chrétiens et leurs sermons ! Tandis que les chrétiens d’Orient étaient persécutés, défilaient contre le mariage pour tous. Et vous, chrétiens comme eux, ne songez pas à défendre l’immigration chrétienne, yézidie, juive, ou de n’importe quelle autre obédience qui puisse exister. Vous oubliez les vôtres, et plus généralement, les innocents, au bénéfice des coupables !
Déloyauté envers les frères en religion, déloyauté envers les frères en liberté, Américains, oubli des « adorateurs du diable » et autres minorités persécutées au Moyen-Orient, qui n’intéressent personne, parce que tout ce qui intéresse, c’est ce qui nous menace.
Déloyauté, injustice et soif de s’anéantir.
Ecoutez, je n’ai rien, mais vraiment rien contre le suicide. Mais on n’ouvre pas le gaz, pour les voisins, et on n’ouvre pas les frontières à des gens dangereux, pour les concitoyens.
Les monothéistes ont vraiment un problème avec le suicide, ils n’y ont pas droit, mais en revanche, qu’est-ce qu’ils (je me censure d’avance !) le monde, pour compenser. Ils cherchent « la palme du martyre », il faut bien que l’autre soit méchant pour avoir du mérite, ou pire, se tuent s’ils peuvent en profiter pour tuer les autres. Lamentable… Se faire ouvrir les veines, retenir son souffle et en mourir, fumer sciemment trop d’opium pour faire croire à un accident et éviter que les survivants se culpabilisent, comme trop souvent, c’est un tout autre style.
« La disparition de l’espèce humaine sur la Terre. Tout le reste, franchement, c’est accessoire. »
La survie à tout prix, donc ? Eh bien, certains pensent qu’un gouvernement mondial résoudraient des problèmes mondiaux, eux aussi, et militent pour cette idée lamentable.
Lamentable pourquoi ? S’il y avait une dictature. Or tout gouvernement peut l’être dès l’origine, ou le devenir. Si une dictature de la sorte existait, elle ne pourrait jamais être renversée.
Pourquoi ?
Tout pouvoir à l’intérieur, les totalitarismes, d’autres choses encore, ont augmenté les techniques de pouvoir. Le savoir opprimer, j’en ai des idées amusantes, sur le sujet, mais ne nous dissipons pas, enfin, pas trop… Tout pouvoir à l’intérieur grâce à des technologies plus développées qu’elles le furent dans les pays totalitaires.
Or le nazisme a été vaincu par les armes, le soviétisme par la course aux armements.
L’extérieur. Mais il n’y en a plus, si un même gouvernent contrôle tout ! Ainsi donc, la tyrannie n’a aucune raison de cesser, sauf repentir des gouvernants, aussi probable que dans les régimes totalitaires… En fait, moins. Car l’extérieur existant, les dirigeants étant le mieux placés pour savoir ce qu’on pouvait penser de leur régime et d’eux-mêmes, et pouvaient en être influencés. Chaque nouvelle génération de dirigeants connaîtra moins ce que l’opinion des siècles passés aurait pensé d’elle, parce que le présent est plus présent que le passé. D’ailleurs, on aurait pu en effacer les traces… Il est dans la dynamique de la situation, pour cela et d’autres raisons, que les tyrans soient toujours plus atroces, les soumis, soumis, sans doute exterminés de loin en loin, parce que la distance croissant de plus en plus entre dirigeants et dirigés, devrait ravaler sans cesse davantage là plèbe à l’esclave et à l’animal.
Donc, peut-être probabilité plus importante de résoudre les problèmes d’un côté, et de l’autre, possibilité d’une dictature durant en principe autant que l’espère, que choisiriez-vous ?
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@ duvent
« Depuis Brady en passant par le dépliage des trombones, c’est ce qui s’appelle du raisonnement !! Je crois même qu’un instant vous avez réussi à m’effrayer… Noblejoué a essayé de prendre votre place laissée vacante un instant mais vous êtes bien meilleur »
Je n’essaie pas de prendre la place de quiconque, je suis ma propre voie… On est d’accord Robert Marchenoir et moi ou non, mais on ne peut nier que nous essayons de trouver des solutions pour défendre la liberté. Ce ne sont pas les mêmes, mais chacune a sa logique.
On peut se demander quel est votre souci, à part persifler, et votre logique, à part essayer de capter l’attention.
@ Tomas
Votre disque est totalement rayé. La preuve est que vous en restez aux années 60 que ce soit de l’Algérie ou des banlieues. Les personnes appelant au secours dans les citées sont effarés de voir l’Etat les abandonner ou plutôt renoncer devant une grande minorité de sal**** saccageant tout alors qu’il existait comme partout les services publics. En fait vous le savez, les infirmières et services de santé ne peuvent même plus apporter les soins aux habitants basanés ou pas, les pompiers sont caillassés et j’en passe et des meilleures. En fait oui, hélas, il se prépare de nouvelles batailles d’Alger pour reconquérir les territoires perdus et vous faites partie des porteurs de valise, j’espère uniquement par vos écrits.
C’est dans le monde rural, dont mon village, que Blanquer annonce la fermeture de près de 300 classes. Et les parents d’élèves ne vont pas aller caillasser la brigade de gendarmerie, la caserne de pompiers ou casser la figure du docteur.
C’est l’aveuglement de vos semblables (pour ne pas dire plus) qui fait les résultats électoraux italiens. Ne vous en déplaise. Et le tsunami électoral arrive… inévitable lui aussi et ce sera de votre responsabilité. Mais pour conjurer le sort vous pouvez continuer à planter des aiguilles dans votre poupée vaudoue à l’effigie de Le Pen.
Le pauvre Goupil face à Bercoff essaye lui aussi…
@ Patrice Charoulet
Dans le Coran, il est bien spécifié qu’il ne faut pas convertir de forces les « gens du Livre », les Juifs et les Chrétiens, mais ils doivent s’acquitter d’un impôt supplémentaire. Les autres, évidemment (au VIIe siècle, rien d’étonnant à cela) ont vocation à être esclaves ou à se convertir.
Le génie du christianisme réside à mon sens dans la place centrale qui est accordée à la notion de pardon. Mais certains passages de l’Ancien Testament ne sont pas moins rudes pour le non-croyant ou celui qui transgresse les règles, que le Coran (la lecture du Lévitique m’avait traumatisé en son temps).
Après, ce n’est pas tant les textes religieux qui sont importants que l’usage qui en est fait. Chaque religion a eu sa part de tyrans sanguinaires semant la mort par le fer et le feu au nom de la vraie foi. Récemment, un moine birman a réalisé une synthèse assez originale du bouddhisme et du nazisme, se référant explicitement à Hitler, qui a débouché sur le massacre des Rohingyas. Jusqu’ici, je voyais le bouddhisme comme une religion éminemment pacifique, en fait non.
Richard Millet, dont je ne connais pas le talent littéraire, fait à l’évidence partie de ceux qui rêvent de croisade. Il faut une certaine dose de mauvaise foi pour oser comparer un camp de réfugiés pendant la guerre du Liban et une banlieue française, et une grosse dose d’irresponsabilité pour écrire des âneries telles que celles que vous citez. Encore un qui ne rêve que de guerre, de feu et de sang, sans doute. S’il le souhaite, il y a le Kurdistan pour ça, la Rojava attire pas mal de jeunes Européens rêvant d’exploits militaires et de dépassement de soi dans un monde trop aseptisé, normé et prévisible à leurs yeux. Les combattants de l’Etat islamique venus d’Europe sont leurs doubles maléfiques, qu’est-ce qui a bien pu pousser un jeune Normand aux parents divorcés, certes, mais venu d’une bourgade tranquille et sans histoire, à aller s’embarquer dans cette galère ?
C’est bien pour cela que ce plan contre la radicalisation (qu’on aimerait voir chiffré d’ailleurs) ne suffit pas. D’ailleurs aucune réponse de l’Etat ne suffira, c’est à la société de trouver les réponses à ce mal endémique de nos sociétés modernes, car si vous regardez bien, chaque époque depuis la Révolution industrielle a eu ses extrémistes, qu’ils soient religieux ou politiques.
@ hameau dans les nuages
Mais oui, mais oui, c’est bien connu, plus personne n’entre dans les zones de non-droit du 93 ! Zones rurales et banlieues délaissées même combat, le jour où leurs habitants l’auront compris l’oligarchie aura du souci à se faire.
Si en 2022 la France vote massivement pour Marion Maréchal-Le Pen il ne faudra pas m’en tenir pour responsable, c’est trop facile de faire culpabiliser parce qu’on ne pense pas dans le sens du vent. Ca ne marchera pas avec moi !
@ Noblejoué
Mais je ne fais pas de discrimination entre les immigrés moi, où m’avez-vous vu dire que je ne voulais pas de chrétiens d’Orient chez nous ? Je ne vois pas trop la différence avec les Arabes d’ailleurs, c’est vrai que pour la plupart ils le sont.
Les musulmans s’y mettront à la laïcité, tôt ou tard, tant qu’on ne baisse pas la garde sur le sujet en se gardant de toute posture agressive.
Pour répondre à votre question finale : ni l’un ni l’autre, entre dictature locale et mondiale je refuse de choisir. Quant au gouvernement mondial, c’est là une perspective bien trop lointaine pour que j’aie la même opinion là-dessus !
L’expression « les gens du Livre » est une trouvaille des Mahométans qui ont pompé et pillé tous les écrits de la Révélation judéo-chrétienne pour les accommoder à leur sauce et s’infiltrer partout par la force ou la ruse. Ce que Jacques Ellul avait compris de longue date.
« Il faudrait veiller à expurger du discours chrétien contemporain des expressions aussi dangereuses que « les trois religions abrahamiques », « les trois religions révélées » et même « les trois religions monothéistes » (parce qu’il y en a bien d’autres). La plus fausse de ces expressions est « les trois religions du Livre ». Elle ne signifie pas que l’islam se réfère à la Bible, mais qu’il a prévu pour les chrétiens, les juifs, les sabéens et les zoroastriens une catégorie juridique, « les gens du Livre », telle qu’ils peuvent postuler au statut de dhimmi, c’est-à-dire, moyennant discrimination, garder leur vie et leurs biens au lieu de la mort ou de l’esclavage auxquels sont promis les kafirs, ou païens. Qu’on emploie si facilement de telles expressions est un signe que le monde chrétien n’est plus capable de faire clairement la différence entre sa religion et l’islam. »
(Jacques Ellul, Islam et judéo-christianisme)
@ Tomas
« Jusqu’ici, je voyais le bouddhisme comme une religion éminemment pacifique, en fait non. »
Nichiren. Pourquoi le bouddhisme a été expulsé de l’Inde. Et autre. Mais ce ne sont pas les je vais trouver l’éveil, les pires.
La religion, c’est violent, à la base, c’est sacrificiel. Et « la caque sent toujours le hareng ».
@ Tomas
« Où m’avez-vous vu dire que je ne voulais pas de chrétiens d’Orient chez nous ? Je ne vois pas trop la différence avec les Arabes d’ailleurs, c’est vrai que pour la plupart ils le sont. »
Vous ne défendez que les musulmans. Or il existe des non-musulmans arabes, contre la venue desquels les gens ne sont pas forcément, mais en voulant obliger à accueillir les musulmans dangereux pour nous, les gens comme vous vont faire qu’on fermera notre porte à tout le monde.
Si on veut forcer les gens à tout accepter, et jusqu’aux gens qui veulent les détruire, soit ils se soumettent, soit ils rejettent tout. Si par hasard, vous ne voyez pas le risque que vous courez, je vous en avertis.
« Les musulmans s’y mettront à la laïcité, tôt ou tard, tant qu’on ne baisse pas la garde sur le sujet en se gardant de toute posture agressive. »
Pas baisser la garde, il y aura donc combat… Vous avez remarqué que l’Europe a gagné des combats ces derniers temps ?
De toute façon, nous avons autre chose à faire que de nous mettre en danger pour des gens dont il est hautement vraisemblable qu’ils nous nuisent à la prochaine occasion.
« Pour répondre à votre question finale : ni l’un ni l’autre, entre dictature locale et mondiale je refuse de choisir. Quant au gouvernement mondial, c’est là une perspective bien trop lointaine pour que j’aie la même opinion là-dessus ! »
Mon dieu, vous n’avez même pas compris la question ! Vous mettiez la survie de l’espèce au-dessus de tout, je voulais voir si cela allait au-dessus de la liberté.
Le gouvernement mondial est le type de fausse bonne idée. On dit problèmes mondiaux, gouvernement mondial, tout va bien.
FAUX.
Dans tout gouvernement il y a possibilité de dictature. Une dictature mondiale serait indéracinable.
Pourquoi ? Tout pouvoir, plus totalitaire qu’aucun, on se perfectionne, dedans, les gens ne peuvent donc se révolter utilement, ou même, se révolter, je pense, à moins que les dirigeants ne les y provoquent pour rire un peu. Les humains lambda seront dans un état de servitude inédit.
Et alors, le Débarquement, la guerre froide qui fait tomber le mur, autre chose ? Rien parce qu’il n’y a rien, le monde est totalement sous les griffes des dirigeants comme les rois tenaient un globe.
Et voilà pourquoi, sauf miracle, mais je ne crois pas à ces fariboles, cette dictature durera autant que l’espèce humaine.
Donc peu importe le faible degré de probabilité de cette menace, elle vaut bien que je fasse mon possible contre elle.
C’est par le désir de paix et autre que les gens sont menés à cette possible ergastule, c’est en leur en présentant toute l’horreur qu’il y aurait peut-être une chance d’en dégoûter préventivement le monde.
Quand les Français ont fermé le marché aux esclaves d’Alger en 1830, cela faisait mille ans que les arabes terrorisaient les marins, les pêcheurs et paysans qui vivaient au sud de l’Europe. La barbaresque attaquait, pillait, tuait, enlevait. Les barbares agissaient en conformité avec le Coran.
Les barbares avaient des solutions radicales à des besoins simples. Pour vivre, ils faisaient la guerre et vendaient les chrétiens comme esclaves.
Les barbares avaient des esprits simples et radicalisés.
@ Noblejoué | 05 mars 2018 à 20:26
« Je n’essaie pas de prendre la place de quiconque, je suis ma propre voie… On est d’accord Robert Marchenoir et moi ou non, mais on ne peut nier que nous essayons de trouver des solutions pour défendre la liberté. Ce ne sont pas les mêmes, mais chacune a sa logique.
On peut se demander quel est votre souci, à part persifler, et votre logique, à part essayer de capter l’attention.
Donc, vous êtes en toute simplicité un « défenseur de la liberté », et moi-même un persifleur (persifleuse ??)… ou mieux (ou pire) un capteur d’attention (capteuse ??)…
Vous n’y allez pas de main morte, et c’est drôle mais je maintiens, Marchenoir est meilleur et donc plus drôle !
Ainsi, vous semblez avoir une mission de la plus haute importance, dès lors, je ne voudrais pour tout l’or du monde l’empêcher !
L’étrange c’est que vous savoir maintenant le « défenseur de la liberté » , ne me rassure que très très passablement… Pourquoi, me direz-vous ? Voilà une excellente question à laquelle je vais vous laisser réfléchir paisiblement…
@ Tomas
Nous ne convaincrons jamais les arabo-musulmans de respecter la liberté pour toutes sortes de raisons mais surtout parce qu’au fond, les Français n’aiment pas la liberté. Ils préfèrent l’égalité (enfin surtout que les autres ne soient pas plus haut qu’eux). Voir Tocqueville et Chateaubriand.
Cette agressivité, je rabaisse, mêlé à ce qui reste d’esprit, produit du persiflage.
Exemple :
duvent | 06 mars 2018 à 09:16
Je ne sais – qui peut juger ? – si je défends bien la liberté, mais cela devrait être le devoir, ressenti en effet comme une mission, de la part de tout citoyen, de le faire.
En France, on adore ne rien faire et critiquer les autres. Encore une attitude éducative envers nos « invités », si nous ne cessons de nous diviser, insulter, tourner tout effort de préservation de liberté en dérision…
On juge Marchenoir, on me juge, on ose me dire de réfléchir quand on ne produit aucun effort cognitif.
Cas très général chez nous, tout à fait contre-éducatif…
On enseigne ce qu’on EST.
C’est mal parti.
Et que je sois capable de défendre la liberté ou non, en tout cas par l’esprit, je n’ai pas tenté plus avant de faire réfléchir le je-démontre-malgré-moi-que-tu-as-raison.
Son ton m’autorise même à réquisitionner sa prose pour dire que nous ne sommes pas capables d’éduquer les arabo-musulmans à la liberté.
Autre chose, le ton de duvent me dégoûte de poursuivre davantage avec il ou elle, je ne sais plus, et qu’importe, que je ne dise pas ça, c’est déjà bien bon de ma part, vous croyez que j’irais dire ceci ou cela à vos invités ?
A ceux qui auront voulu d’eux de s’en débrouiller… Je refuse absolument, après coup, de m’occuper des dégâts causés par les autres.
Je ne pense pas être le seule personne dans ce cas.
Paraître assumer l’ombre de l’ombre d’une responsabilité pour ce qu’on n’a pas voulu, voire tenté de son mieux, si misérable que ce soit ou misérablement méprisé, d’empêcher ?
Jamais.
Pour cette affaire et quelques autres, si certaines menaces qui ont une certaine probabilité d’advenir auxquelles je pense deviennent effectives, je dis tout de suite que je m’en lave les mains.
J’ai longtemps cru que j’étais lâche, comme la plupart des gens, bien évidemment. Mais il n’y a pas que ça ! Je fais plus que rendre son mépris au monde et renvoie chacun aux conséquences de ses actes.
Je ne suis pas « gentil ».
@ Catherine JACOB | 03 mars 2018 à 15:03
Merci pour cette réponse et le temps que vous y avez consacré.
Au-delà des philosophes multiples et variés, qui que ce soit qui apporte de la clarté, de la précision dans la formulation mal exprimée, en pointant en particulier les erreurs de raisonnement, pratique déjà de la philosophie à mon sens.
Evidemment, un élève qui raisonne et apprend à se faire de façon sensée sa propre opinion, c’est une âme perdue non seulement pour le diable quel qu’il soit, mais aussi sans doute, pour les dieux, quels qu’ils soient… Ce qui explique pourquoi non seulement ce n’a pas été fait, mais encore on a également souhaité par un moment supprimer cette discipline des programmes de Terminale où elle est une spécificité française, ce au motif qu’elle fabriquerait et des chi..rs et des inutiles !
On dit qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, mais de la philo en 5ème, n’est-ce pas trop tôt ou trop tard ?
Son fil directeur, c’est justement une philosophie de l’éducation :
« L’éducation, c’est la vie. En tant qu’homme, qu’être humain, c’est par l’éducation que l’on se définit. Ce sont par les interactions que l’on a dès la naissance, et même un peu avant, que nous sommes des personnes. Donc l’éducation, c’est la vie. Mon fil directeur, c’est d’abord une philosophie de l’éducation, qui mène à la liberté. Ce qui donne sens à toute éducation, c’est de donner plus de liberté, d’émancipation, à l’enfant. Pas la liberté de consommation, immédiate, prônée par notre société, mais une liberté de construction ». Jean-Michel Blanquer
@ anne-marie marson | 03 mars 2018 à 23:55
Mais les maires sont élus et réélus ! Et par anticipation à des risques de perdre leur mandat, ils implantent tout simplement des électeurs futurs.
Anne Hidalgo sera sans doute réélue. Faudra-t-il s’en étonner ?
@ Achille | 04 mars 2018 à 10:39
« La délinquance des jeunes est certes un gros problème sociétal qui existe depuis des décennies et contre laquelle aucun politique n’a encore trouvé une solution fiable et durable, si toutefois il en existe une. »
Ben oui, il y en a une : un boulot, dès l’âge de 14 ans (avant même celui qui va bientôt correspondre au consentement sexuel). Et que ça plaise ou non ; « l’oisiveté étant mère de tous les vices »…