Ce n’est pas parce que je ne me considère pas comme l’un des multiples médecins que l’épidémie a engendrés, que je n’écoute pas ce qui se dit autour de moi, de la part de spécialistes comme du commun des citoyens.
Ce n’est pas parce que je n’ai jamais été sur la ligne facile du « il n’y a qu’à » et du « il suffit de », que l’appréciation d’Emmanuel Macron sur les Français qui seraient tous « des procureurs » ne m’apparaît pas sujette à caution: il y aurait de quoi requérir contre le gouvernement sur le plan sanitaire depuis le début de l’année 2020…
Ce n’est pas parce que j’en ai assez de ces débats médiatiques tournant avec une régularité lancinante autour de la Covid-19, des modalités de la lutte, du confinement ou non, des personnes vulnérables ou non, que je ne mesure pas le degré d’insatisfaction d’une large part de la France qui travaille et qui est condamnée à être à l’arrêt, pour l’essentiel comme pour ce qui l’est aussi mais autrement, comme la culture.
J’évoque la fronde qui à bas bruit puis plus intensément depuis quelques mois, altère le climat national au point que le président de la République hésite à proposer, malgré des statistiques inquiétantes, un régime plus dur. Il craint que l’acceptabilité sociale ait atteint déjà son comble.
Sans mauvais esprit, il faut admettre qu’il y a des erreurs, des carences, des abstentions et des dysfonctionnements qui n’ont pas manqué et que cette protestation, sur certains points n’est pas illégitime.
Comme nous n’avons pas de masques, on nous dit initialement qu’ils ne sont pas nécessaires.
La méthode proclamée – tester, tracer, isoler – a été un fiasco.
Les vaccins dont on savait depuis plusieurs semaines qu’ils allaient heureusement survenir n’ont pas fait l’objet de la logistique et de l’organisation qui aurait dû leur correspondre, avec notamment une latitude laissée aux maires qui n’ont pas cessé de piaffer parce qu’ils mettaient des lieux à disposition mais n’avaient pas les doses.
Malgré la pauvreté hospitalière qui a fait l’objet d’un constat consensuel au début de l’année 2020 et en dépit des promesses présidentielles et ministérielles, rien n’a été accompli pour combler le gouffre entre ce qui existait hier et ce qui aurait dû exister aujourd’hui.
La communication du gouvernement, d’Edouard Philippe à Jean Castex, n’a cessé de se dégrader. On a entendu beaucoup, voire trop, de responsables politiques sur le plan sanitaire et leur parole profuse, loin d’aider à la compréhension des autorités médicales et scientifiques elles-mêmes divisées, a ajouté à l’incertitude. Je conçois qu’une forme de pragmatisme et une adaptation au réel imprévisible et fluctuant étaient obligatoires mais elles n’interdisaient pas d’avoir un dessein clair et cohérent. Ce dernier n’est jamais venu nous rassurer.
L’intervention du Premier ministre, le 29 janvier, n’a pas apporté véritablement d’éléments nouveaux. Le pays a échappé au reconfinement mais les autres mesures, notamment celles concernant la fermeture des frontières dans l’ Union européenne et avec le reste du monde auraient dû être prises depuis longtemps. Pourquoi faut-il que ce qui est nécessaire soit toujours si tardif et que ce qui pourrait nous sauver soit mis à disposition avec tant de parcimonie ? (TF1)
Je crains fort que de « revoyure » en « revoyure », nous finissions par devoir supporter un jour une mise sous cloche encore plus drastique de la France, qui nous sera cette fois communiquée solennellement par le président. Je relève qu’on ne s’est pas orienté vers un partage opératoire et précautionneux entre les personnes âgées et vulnérables d’une part et de l’autre le pays actif, jeune, en pleine force, résistant, qui n’en peut plus de mourir économiquement et psychologiquement à petit feu.
Amateurisme ou incompétence ? Bonne volonté ou défaillance structurelle ? Comportements imparfaits, pas assez professionnels, ou bureaucratie étouffante ? Trop de Conseils de défense, avec une solitude régalienne, ou trop peu de débats parlementaires ?
J’accepterais l’hypothèse de l’amateurisme et de la bonne volonté, pas gratifiante en elle-même sans être déshonorante, si face aux accusations, le pouvoir n’avait pas réagi trop souvent avec arrogance – ce qui était la pire des attitudes alors qu’on aurait espéré une industrieuse et efficace modestie – et en affirmant que notre pays était bien classé par rapport à d’autres nations : argument discutable dont Jean Castex a encore usé ! Nous n’étions pourtant pas loin de la queue, en tout cas pour les vaccins. Avec, en plus, dorénavant, les « primo-injections reportées » selon Olivier Véran.
En 2022, l’enjeu sanitaire et la politique mise en oeuvre depuis le début de l’année 2020 ne seront pas loin de constituer le débat central.
Amateurisme ou incompétence ?
Les deux et bien plus encore cher P. Bilger !
Vous listez avec raison quelques incompétences connues, mais plus grave que celles-ci : la révélation, pour le plus grand nombre de Français, d’un Etat en totale obsolescence.
Le bilan de 2020 et ses conséquences commence à peine à être évalué et déjà on le pressent terrible.
Celui de 2021 sera tragique. Ce soir, dans certains médias on parle de cent mille morts à fin février. Quant à l’économie et au social, c’est au-delà de l’imagination.
L’enjeu de 2022 ne sera pas, à mon avis, sanitaire, mais plutôt une remise en cause de l’Etat et de ses élites technocratiques qui ont failli.
L’Histoire est tragique et E. Macron ne le sait pas.
Cordialement.
C’est avec un sourire désabusé que j’ai vu le pauvre Jean Castex lire avec application son texte.
Quelle honte, même pas capable de faire une si faible déclaration sans lire son texte.
Il aurait pu conclure sa laborieuse déclaration par l’aphorisme de Jean Cocteau:
« Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ! »
Et Jupiter qui nous annonçait fièrement que nous étions en guerre, qui a fait tant et plus de déclarations guerrières, le voilà qui se défile s’apercevant qu’il ne sait plus quoi faire.
Il envoie le Premier des sous-fifres en première ligne affronter l’ennemi, c’est à dire l’ire des 66 millions de procureurs.
Franchement, quel courage face à l’adversité !
J’ai dit que j’avais un sourire désabusé, presque le sourire du désespoir. Au moins le désespoir de voir la vraie nature de nos dirigeants, le niveau zéro.
Parfois je me dis qu’il vaut mieux en rire,
Si vous ne trouvez rien de drôle à cette situation, c’est que vous ne la prenez pas suffisamment au sérieux.
Amateurisme, incompétence, peu importe à partir du moment où aucune conclusion pratique n’en sera tirée.
Au-delà, je crois que la morgue, le dédain affiché, l’absence d’humilité face à la déroute sanitaire et économique, me choquent bien plus que l’amateurisme ou l’incompétence. Voir ces vaniteux (Pinocchio en tête) pérorer depuis des mois comme ils le font alors qu’ils n’ont rien vu et rien fait pour éviter une catastrophe d’ampleur nationale, n’est plus consternant, c’est révoltant.
Le Français aimerait entendre de leur part: « OK, on s’est trompé ». Mais ça, il peut l’attendre longtemps.
Irruption brutale devant le micro, départ tout aussi soudain, lecture studieuse d’un texte rédigé au millimètre, aucune chaleur dans l’élocution, fanfaronnade sur la France meilleure que les autres, sempiternel hommage aux soignants, froideur du décor, absence de tout public… L’intervention de Jean Castex m’a immédiatement rappelé des images que même CCTV ne diffuse plus : le présentateur officiel qui lit le communiqué officiel écrit par le camarade directeur sous la dictée du dirigeant suprême… Choquant, terriblement choquant… Il ne manquait qu’un éloge du chef bien-aimé et la courbette qui l’accompagne. Ni amateurisme, ni incompétence. Simplement de la morgue. Et le bel accent du Sud du messager n’y change rien.
Ingénierie sociale ! mais le système ne gagnera pas la bataille.
« Le médecin a déclaré que rien ne pouvait être fait pour arrêter la propagation du virus, à part protéger les personnes âgées plus vulnérables et que toute cette situation représentait “la politique jouant à la médecine, et c’est un jeu très dangereux“. »
https://www.aubedigitale.com/un-eminent-pathologiste-affirme-que-le-covid-19-est-le-plus-grand-canular-jamais-perpetre-sur-un-public-sans-mefiance/
– Comment éradiquer l’épidémie avec la prophylaxie :
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/27/ce-que-dit-le-professeur-raoult-est-realiste-et-terrifiant/
« Amateurisme ou incompétence »
Question que l’on peut se poser quand on est dans l’opposition où tout semble facile pour régler les problèmes… enfin jusqu’à ce que l’on accède aux responsabilités.
Il est clair que la belle résilience dont ont fait preuve les Français depuis près d’un an, en suivant, plus ou moins scrupuleusement, les consignes prescrites par le gouvernement, commence à se détricoter.
Il y a même des gens, y compris des élus, qui en appellent à la désobéissance civile, voire à la destitution du président. Rien que ça !
Il est vrai que lorsqu’on écoute les débats sur les chaînes d’info continue et certaines radios clairement hostiles au gouvernement, il est difficile de raison garder face à la crise sanitaire qui sévit depuis bientôt un an.
Dans le genre délire populiste, l’émission les Grandes Gueules tient, à n’en pas douter, le bas du caniveau. Les invités sont sélectionnés, non pas pour leurs connaissances, leur pertinence, leur intelligence, mais tout simplement parce qu’ils savent créer un climat électrique qui tend parfois à l’hystérie. Il y a un public pour ça.
Tout cela est consternant !
Il est vrai que les décisions ne sont pas toujours très cohérentes et échappent en grande partie à la compréhension de certaines professions qui sont directement impactées par les mesures restrictives. Certes des milliards ont été destinés à leur indemnisation, mais manifestement cela ne suffit pas car certaines charges ne sont pas prises en compte, malgré le « quoi qu’il en coûte ».
Et puis au-delà du virus meurtrier, il y a un autre mal, bien plus sournois, qui se répand dans la population: la dépression nerveuse. Et celle-ci semble frapper principalement les jeunes qui ont besoin de se rencontrer, de vivre pleinement leur jeunesse, de faire des projets, de se construire un avenir professionnel et familial.
Comment ne pas les comprendre, nous qui avons eu une jeunesse où tout nous était permis, le meilleur comme le pire ?
Mais plutôt que de me laisser emporter par le torrent des excités dont les vociférations ne font qu’empirer la situation, je préfère écouter les gens de bon sens, d’expérience, comme Claude Malhuret, sénateur, médecin épidémiologiste pour l’OMS, coordinateur des équipes médicales de l’association Médecins sans frontières (MSF) dans les camps de réfugiés cambodgiens, laotiens et vietnamiens à la frontière thaïlandaise.
Bref un CV éblouissant (voir sa fiche Wiki). Un homme d’une grande intelligence, aux réparties fracassantes, comme on aimerait en voir plus souvent sur les plateaux TV.
Concernant la situation qui frappe le pays: il dit notamment ceci .
On ne peut pas l’affubler de cet horrible terme de « macronien ». C’est tout simplement un sage.
« J’accepterais l’hypothèse de l’amateurisme et de la bonne volonté, pas gratifiante en elle-même sans être déshonorante, si face aux accusations, le pouvoir n’avait pas réagi trop souvent avec arrogance – ce qui était la pire des attitudes alors qu’on aurait espéré une industrieuse et efficace modestie – et en affirmant que notre pays était bien classé par rapport à d’autres nations : argument discutable dont Jean Castex a encore usé ! Nous n’étions pourtant pas loin de la queue, en tout cas pour les vaccins. Avec, en plus, dorénavant, les « primo-injections reportées » selon Olivier Véran. »
Les gens s’attachent à leurs défauts, ainsi l’arrogance, comme s’ils étaient l’axe de leur identité. Il est vrai que tout peut leur faire défaut à part leurs manques !
Parce qu’à supposer qu’ils aient des qualités, en cas de stress, on peut toutes les perdre. Mais les défauts ?
Jamais.
Il faut évidemment relever tous les défauts des responsables irresponsables. Quand ils sont sans arrogance, sans mépris.
Quand ils méprisent, en les méprisant davantage. C’est justice. Il faut arrêter de se prendre pour des professeurs de gens qui ne sont pas nos élèves, par exemple des gouvernants, et par exemple de Macron. Je n’avais rien contre élire un jeune Président. Mais cela ne veut pas dire embaucher un stagiaire ! Il ne doit pas être plus excusé qu’un autre.
Que d’incompétence ! Que d’arrogance !
Il n’en est pas moins vrai qu’il faut essayer le plus possible de concilier la santé et l’économie.
C’est évidemment le vaccin qui assure cette quadrature du cercle.
Il me semble que si on y est si mal préparé, en France, c’est qu’on s’est tant focalisé sur les confinements et leurs acceptabilité sociale et leurs conséquences économiques qu’on n’a pas assez préparé la vaccination.
Pour un maître du « en même temps » et « des horloges », cela n’est pas fort. Je pense que c’est parce que sa personne l’encombre, moi et les Gaulois réfractaires, moi et les premiers de cordée…
Moi, moi, moi !
Et pourquoi moi, moi, moi ?
Parce qu’en France, notre Constitution est tout juste digne d’être du papier toilette : elle organise une concentration des pouvoirs aux mains de l’Exécutif et surtout du Président.
Cela ne peut qu’avoir tendance à attirer des moi, moi, moi, et à renforcer à la folie cette tendance chez quiconque.
Au plan institutionnel, autant qu’il est possible pour un pays démocratique, la Constitution est l’anneau du Seigneur des Anneaux pour son porteur.
C’est « le coup d’Etat permanent », sauf que quand on en a goûté, on n’en fait plus jamais le dégoûté.
Que dire ? Il faudrait un porteur de l’anneau ayant lu « Le Seigneur des anneaux », si possible, enfant, pour le jeter dans le feu !
Voilà qui confirme le diagnostic présidentiel.
Les plus autocentrés des procureurs apprendront-ils qu’à force d’accuser, fatalement, ils s’appliqueront un jour la dure loi qu’ils font subir à autrui ?
Ils s’apercevront en ce jour béni qu’à force de tourner autour de leur nombril, ils ont fini en cette confusion gravitationnelle par confondre bouche et anus pour proférer leurs infamies, qu’il est heureux ainsi que l’hygiène constitutionnelle sache les évacuer là où ces petits monarques jaloux auraient mieux fait de ne pas s’aventurer en exigeant qu’on leur baise l’anneau, obligeant ceux qui gardent un peu de lucidité à devoir sans cesse nettoyer ces lieux que leur aisance infectée a souillés.
Le Pr Raoult a déclaré sur Sud Radio que la France était très bien classée dans le domaine de la créativité administrative. Nous ne pouvons pas être mauvais en tout.
Cordialement.
Amateurisme ou incompétence ? Les deux, Monsieur Bilger, mais sans oublier l’irresponsabilité.
Alors que selon le président (chef des armées) nous « sommes en guerre », ce pays fonctionnarisé à outrance dans les esprits, l’organisation et les mesures prises, fonctionne mal comme le montrent hélas les événements du quotidien. Tout laisse à penser que la zizanie généralisée perdurera, que demain sera pire qu’aujourd’hui et que Macron sera réélu par des Français inconséquents, névrosés et à l’intelligence collective en déliquescence. C’est désespérant car aucune lueur de salut n’apparaît à l’horizon.
@ Achille
Oui, Claude Malhuret a raison.
Amateurisme ou incompétence de nos dirigeants ? Non, aveuglement collectif ! Nous nous croyons maîtres de tout et nous ne le sommes pas. Nous attendons de nos dirigeants qu’ils mettent en œuvre cette illusoire toute-maîtrise et nous préservent de tout désagrément. Comment le pourraient-ils ? Alors nous les désignons comme coupables, nous qui le sommes tous un peu, et que leur principal tort est d’accepter de jouer ce rôle de coupables tout désignés que nous leur faisons jouer.
Résultat : nous avons transformé une maladie très contagieuse mais pas si grave en une crise économique, politique et sociale mondiale majeure, en un véritable fléau à résonance biblique…
(Il est encore reproché à Jospin d’avoir proféré cette vérité première « l’Etat ne peut pas tout »)
Amateurisme ou incompétence ? Bonne volonté ou défaillance structurelle ? Comportements imparfaits, pas assez professionnels, ou bureaucratie étouffante ? Trop de Conseils de défense, avec une solitude régalienne, ou trop peu de débats parlementaires ?
Attention, ne discréditons pas les amateurs – c’est-à-dire des gens qui aiment ce qu’ils font et s’attachent à bien le faire – comme si les professionnels ne livraient jamais du travail bâclé (il se trouve que j’en sais quelque chose en ce moment).
Et puis, de grandes découvertes, comme par exemple dans le domaine de la radio et autres sciences ou techniques, ont été le fait d’amateurs…
Le gros du problème vient en grande partie d’une bureaucratie obèse, hypertrophiée, pratiquant la dissolution des responsabilités et s’abritant derrière le « ce n’est pas mon boulot » ou le « je ne suis pas payé pour ça », avec bien entendu en plus la peur de prendre une décision partant d’un bon principe mais qui pourrait être sanctionnée.
Que l’on se reporte aux diverses ARS et à leurs organigrammes délirants ainsi qu’à tous les comités Théodule indépendants donc irresponsables qui gravitent autour de la question de la santé voire de « l’égalité » ou du « social » pour mesurer le degré d’absurdité atteint par ces machines à fabriquer les mégots aux frais du contribuables.
Enfin, il est manifeste que tous ceux qui prennent des décisions à tort et à travers – ainsi que le Législateur – ne sont pas habités par un minimum de bon sens, cette qualité française dite « paysanne » qui a désormais déserté la vie de la cité.
Amateurisme ou incompétence ?
Non, tout simplement bazar républicain, comme en mai-juin 1940.
Et pourtant, nous ne sommes même pas exposés à la Wehrmacht mais seulement à un minuscule virus de quelques nanomètres qui parvient par son intelligence diabolique à mettre la pâtée à toute la fine fleur des étranges élites actuelles parfois couvertes de décorations sous toutes les coutures.
Espérons tout de même qu’à l’occasion de la prochaine promotion de la Légion d’honneur, aucun de ces guignols ne sera distingué…
Ras le bol de ces médecins qui s’autorisent à partir de leurs avis médicaux à vouloir imposer des décisions qui relèvent du seul domaine politique. Que chacun reste avec humilité dans sa sphère de compétence.
Pour ce qui est de la décision du 29 janvier, il me semble que la solution adoptée, compte tenu de la proximité des vacances scolaires, est cohérente et qu’enfin le pouvoir politique ne s’est pas soumis aux injonctions des chefs de service des urgences de tel ou tel hôpital.
Mais il appartient aussi au gouvernement de gérer la crise non pas seulement par des oukases nationaux, mais par des décisions plus localisées, adaptées en fonction des situations réelles, comme dans le Grand Est, plus particulièrement en Alsace.
Quant à la fermeture des frontières de l’Union européenne et aux contrôles aux frontières de la France, parce qu’ils étaient demandés par madame Le Pen, ils étaient malvenus depuis un an. Mais à présent nos dirigeants s’y résolvent. Preuve qu’ils sont incapables de sortir de leurs cadres idéologiques.
En ce qui concerne le ridicule de nos ministres, le pompon me semble avoir été obtenu de haute main par celui de la Santé quant, au journal télévisé de TF1, il a dressé un calendrier de vaccinations ubuesque jusqu’à 70 millions de Français à la fin de l’été 2021… Une répétition en quelque sorte du film Ridicule !
Le dernier point qui a révulsé le citoyen républicain que je suis est bien la déclaration du Premier ministre sur le perron du palais de l’Élysée. Car il est la preuve tangible du non respect des principes de notre Constitution et que le président de la République s’en soucie comme de sa première chemise !
En effet, sur le perron de l’Élysée ne doivent s’exprimer que le président de la République ou les porte-parole du Palais, singulièrement son secrétaire général, fonction qu’a exercée de facto le Premier ministre. Il n’est de ce fait qu’un exécutant et non pas un chef du gouvernement qui aurait impérativement dû s’exprimer sur le perron de Matignon.
Certains prétendront qu’il s’agit d’une affaire de pure forme. Mais en Droit, notamment constitutionnel, le respect des formes est fondamental. Ou alors nous ne sommes formellement plus en République.
Le vrai chef du gouvernement est donc bel et bien monsieur Macron qui semble vouloir jouer au Premier Consul…
« En 2022, l’enjeu sanitaire et la politique mise en oeuvre depuis le début de l’année 2020 ne seront pas loin de constituer le débat central. »
En cas de problème de disponibilité de vaccins et de personnels soignants dans les hôpitaux, toute la problématique repose sur les priorités de vaccination.
Faut-il vacciner d’abord les personnes fragiles et donc les personnes âgées souffrant de pathologies les rendant vulnérables ?
Ou bien faut-il d’abord s’occuper des personnes en parfaite santé qui travaillent donc apportent une contribution essentielle dans la vie économique du pays, ainsi que les jeunes qui constituent l’avenir de notre pays.
Et là les avis divergent.
Le gouvernement privilégie la première catégorie, mais de plus en plus de voix s’élèvent pour porter la priorité sur la seconde.
Il fut une époque où dans un naufrage ont faisait monter les femmes et les enfants d’abord. Mais nous avons changé d’époque alors, sur le plan éthique, ça se discute…
En ce qui me concerne, étant dans la catégorie « personnes âgées », bien que pas particulièrement fragile, en cas de décision critique, je laisserai ma place à un jeune, mais cela n’engage que moi, bien sûr !
Bonjour Philippe,
Comme d’habitude je vais essayer de faire simple. Tautologie diront les moins bien intentionnés du blog (il n’y a aucun malintentionné ça va de soi).
Nous avons vécu tout ce que vous décrivez :
– L’absence de masques
– L’absence de tests
– L’absence de volonté d’augmenter les lits d’hôpitaux
– Le vaccin ARN messager, thérapie génique, potentiellement dangereux, sur lequel on ne possède aucun recul.
– …
Est-ce choquant ? Pas vraiment si tout est dit.
Ce sont les mensonges réitérés des uns et des autres, Sibeth la pintade, Buzyn, nommée à l’OMS, on est sauvé, Véran, Macron, Attal… qui choquent.
Notre gouvernement n’a pris aucune initiative responsable (le confinement n’est pas une initiative responsable) et, en compagnie de quelques-uns de ses laquais stipendiés (LCI…) tente de nous faire croire le contraire.
De nombreux responsables, dénoncés par le Pr Raoult, sont également stipendiés par les labos, Gilead… dont l’objectif était de nous vendre un médicament cher et dangereux, le Remdesivir.
Quand on est payé par un labo, on le dit, on ne le masque pas. Surtout quand ce même labo est impliqué dans la pandémie et intéressé au sens pécuniaire du terme.
Ce que ne disent pas les gens qui manquent d’objectivité :
– De nombreuses études américaines, anglaises, chinoises… montrent que l’association préconisée par le Pr Raoult fonctionne sur, comme il le disait, les formes atténuées, les départs de Covid. Azithromycine et plaquénil.
Mais, évidemment, une plaquette de plaquénil coûte 5 euros, le remdesivir 2 500 à 3 000 pour 5 jours de traitement. On se gave bien moins c’est sûr.
Des milliards d’individus ont pris le plaquénil depuis qu’il existe. Des médecins par exemple, j’en connais quelques-uns (médecins pro-vaccination mais très dubitatifs sur le Pfizer)
– De nombreux prétentieux préconisaient une fin judiciaire au Pr Raoult. Ces mêmes par honnêteté, télé, spécialistes des blogs… auraient dû dire que l’ordre des médecins a été débouté plus vite que le temps de le dire de sa plainte.
Heureusement que Véran et Buzyn ne sont pas les seuls médecins du monde, on serait mal parti.
Le moindre doute exprimé sur telle ou telle solution vous fait immédiatement traiter de complotiste, le nouveau point Godwin de l’abruti en manque d’arguments, argument entendu il y a peu sur LCI, la voix de son maître, concernant les gens qui ont été au restaurant à Nice.
Concernant Pfizer, même la fiche Vidal (venant de Pfizer) nous dit : « ne peuvent confirmer l’efficacité de ce vaccin … ni chez les personnes de plus de 75 ans ».
On se demande bien pourquoi on vaccine les anciens.
Ce vaccin présente deux dangers que Pfizer reconnaît implicitement.
En thérapie génique, l’introduction d’une protéine dans l’ARN répond au manque de cette protéine dû à une déficience de l’ADN.
Dans notre cas on introduit dans l’ARN une protéine « malade » qui ne fait pas partie de nos cellules.
En thérapie génique le but est de faire produire cette protéine par l’ARN puisqu’il ne peut l’obtenir des informations venues de l’ADN. Mais la protéine est « saine », et devrait faire partie du patrimoine de l’individu.
Dans le cas du COVID, la protéine est une protéine du virus. Quand l’ARN s’arrêtera-t-il de produire cette protéine malade ? Le sait-on ? non. D’où la volonté de Pfizer de se dédouaner de tout problème possible.
Par ailleurs, il est redouté que la production de cette protéine malade entraîne non pas la production d’anti-corps répondant au virus, mais aussi/ou d’anti-corps qui attaqueraient la cellule, la considérant comme malade, générant ainsi des maladies auto-immunes.
Connu et reconnu par Pfizer qui demande de ne pas être tenu pour responsable des maladies potentielles générées par ce vaccin.
Concernant le confinement.
Quelle stupidité ! Il ne s’agit ni de maltraiter les vieux les jeunes les mûrs les moins mûrs !
Nous mourrons tous un jour ? Alors vivons, en respectant le port du masque, le lavage des mains quand on arrive au boulot avant d’aller visiter les collègues…
Laissez nos anciens sortir s’ils en ont envie, ils en ont vu d’autres. Pourquoi enfermer une personne de 85 ans pour la protéger ? De quoi ? De la mort ? ça ne marche pas. Elle va mourir un jour, comme moi. Et s’il lui reste deux ou trois ans à vivre, laissez-la vivre comme elle l’entend.
Si elle souhaite se protéger elle le fera. Si elle s’en fiche eh bien elle vivra le temps qu’elle aura à vivre.
Les blablateurs qui nous parlent d’altruisme sont des Pinocchio. Ils pensent à eux, pas aux autres. Penser aux autres c’est laisser vivre, embrasser le temps présent, et comme le chantait si bien Nougaro, qui vivra mourra.
Jeunes, vieux et moins vieux, allons au travail, j’y vais depuis le début de la pandémie à l’exception du confinement total qui me les a bien brisées (et je ne suis plus vraiment ni un jeune homme ni d’âge mûr, je dirais que le blet commence à m’atteindre), rouvrons les bistrots, j’ai bu avec un plaisir non dissimulé une bonne pinte de binouze au bar le week-end dernier, merci à ce sympathique restaurateur.
Ce monde ne tourne pas en hystérésis, il est nécessaire de s’y mettre pour que ça fonctionne.
En bref, vivons heureux en attendant la mort.
Si j’ai bien compris votre tweet de ce jour, cher Philippe, vous avez été vacciné grâce au sens de l’organisation d’un excellent maire Philippe Juvin, correctement fourni en doses par le ministère de la Santé. Je me trompe ?
Il est tout de même curieux de dresser un bilan de la lutte contre une pandémie sans dire un mot de ce qui se passe à l’étranger. Puisque, apparemment, la déploration obligatoire et la délectation du malheur sont à l’ordre du jour, allons-y dans le youp’là-boum et l’optimisme correctif.
Nous n’avons pas eu, en France, des émeutes anti-couvre-feu comme aux Pays-Bas, avec vitrines brisées, centre de dépistage et voitures incendiées.
Nous n’avons pas eu, comme au Liban, un couvre-feu intégral, avec interdiction de sortir même pour aller faire les courses.
Nous n’avons pas eu, par conséquent, d’émeutes comme au Liban, avec une mairie incendiée, des forces de l’ordre tirant à balles réelles sur les manifestants, et l’un d’entre eux suppliant la police de prendre sa petite fille de 2 ans, parce qu’il n’a pas de quoi la nourrir et songe à la noyer.
Nous n’avons pas eu, comme au Danemark, de manifestants anti-restrictions brûlant le chef de l’État en effigie.
Nous n’avons pas eu, comme en Espagne, de manifestants défilant pour prétendre que le Covid n’existe pas.
Nous n’avons pas eu d’islamistes attaquant la police pour protester contre le confinement, alors qu’Israël a connu cela avec ses Juifs orthodoxes.
Nous n’avons pas eu, comme aux États-Unis, un président minimisant la gravité de la pandémie, retardant les mesures prophylactiques et dissuadant la population de porter le masque, suite à quoi son pays est devenu l’un des plus gravement touchés par la maladie.
Nous n’avons pas eu de syndicats de professeurs refusant la réouverture des écoles, faisant passer leur sort personnel avant celui de leurs élèves ; et pourtant, nos syndicats à nous ne sont pas censés se faire donner des leçons de socialisme par les fonctionnaires des États-Unis, pays où cela s’est produit.
Nous n’avons pas eu d’ambulances faisant la queue pendant des heures devant les hôpitaux, avec des malades du Covid à l’intérieur, et les médecins prodiguant des soins aux gens dans leur voiture, comme cela s’est produit en Grande-Bretagne, en Italie et en Russie.
Nous n’avons pas eu de patients découverts morts du Covid dans les toilettes des hôpitaux débordés, comme cela a été le cas en Italie.
Nous n’avons pas eu de pénurie massive de produits de base (pâtes, papier hygiénique…) et de queues interminables à la porte des supermarchés, comme cela s’est produit en Grande-Bretagne en raison du confinement.
Nous n’avons pas eu d’entreprises et de salariés empêchés de travailler et pourtant privés de toute aide financière de l’État, comme en Russie.
Nous n’avons pas eu, non plus, de président autocrate imposant par chauvinisme, à différents fonctionnaires, de recevoir le vaccin De Gaulle V, avant que son efficacité et son inocuité ne soient vérifiés par des essais cliniques ; sans pour autant que le président lui-même ne consente à se faire vacciner le premier ; contrairement à la Russie, où c’est ainsi que le vaccin Sputnik V, de conception locale, a été imposé à la population.
Nous n’avons pas eu, comme au Mexique, des cliniques privées vendant des traitements totalement imaginaires contre le Covid (bien que l’hôpital public du professeur Raoult, financé par la Sécurité sociale, ait fait un substitut fort honorable).
Nous n’avons pas eu, comme en Chine, de malades capturés à domicile par la police pour les conduire de force en quarantaine, suite à quoi leur petit garçon, laissé sur place, est mort de faim dans l’indifférence des autorités.
Nous n’avons pas eu, comme en Grande-Bretagne, de chef de l’État gravement atteint du Covid et passant à deux doigts de la mort (mais je ne doute pas que certains, ici, en auraient été ravis).
Nous n’avons pas eu, comme à Taïwan, à Hong Kong, à Singapour ou en Corée du Sud, des personnes contaminées contraintes à un isolement strict de quinze jours, sans même avoir le droit de voir leur famille, contraintes de porter un bracelet électronique, appelées par les autorités plusieurs fois par jour pour vérifier qu’elles ne sont pas dehors, et menacées de prison ferme en cas d’infraction aux conditions de quarantaine.
C’est dommage, d’ailleurs, car ce sont de telles mesures qui auraient permis de lutter efficacement contre la pandémie — mais je vous laisse imaginer les hululements d’indignation des commentateurs dont je peux déjà faire la liste, si jamais la France avait imposé une telle « dictature sanitaire ».
Nous n’avons pas eu, non plus, de loi d’exception autorisant le « flicage » des personnes contaminées, par la vidéosurveillance, la localisation de leur téléphone mobile et le suivi de leurs dépenses par carte de crédit, comme en Corée du Sud.
Nous n’avons pas eu un chef de l’État ordonnant le confinement de la capitale, 6 heures seulement après la découverte d’un seule contamination. La Nouvelle-Zélande l’a fait.
Nous n’avons pas eu, comme en Pologne, de quarantaine obligatoire à domicile, avec le choix entre des visites régulières de la police, et des appels aléatoires sur le téléphone mobile, suivis de l’obligation de faire une photo pour prouver qu’on est bien chez soi. Sous peine d’une amende de 1 000 euros.
Nous n’avons pas eu, pour les Français rentrant chez eux en provenance de l’étranger, de quarantaine obligatoire, comme en Nouvelle-Zélande ou à Taïwan (je veux dire : une vraie, pas une mascarade à la franchouille du genre « soyez gentils, restez chez vous »).
Dommage, là encore, mais que de beaux éditoriaux aurait-on lus, de quelles magnifiques envolées verbales les « grandes plumes » de Boulevard Voltaire nous auraient gratifiés, si jamais le « psychopathe au pouvoir à l’Élysée » s’était avisé de faire tout cela !
Les chiffres sont têtus : pour 100 habitants, Israël a injecté 54 doses de vaccin, Le Royaume-Uni 13, les Etats-Unis 9, l’Union européenne 2. Au sein de l’Union européenne, la France est à la traîne avec 1,89 injection contre 3,82 au Danemark et 2,90 en Espagne (les cris de matamore de Castex et de Véran sont des tromperies).
Un Trump a été meilleur en mettant des milliards de dollars sur la table pour accélérer le développement des vaccins (Pfizer et Moderna en particulier) quand l’Union européenne mettait des centaines de millions d’euros ; Boris Johnson et Netanyahou en négociant directement avec les présidents de Pfizer et Astra Zeneca au lieu de laisser Pannier-Runacher gagner quelques sous et mal ficeler les contrats avec les grands laboratoires (c’est la dame qui avait négocié avec brio les achats de masques avant que la besogne soit confiée aux acheteurs de Leclerc et Carrefour).
Et l’histoire n’est pas finie quand Merkel négocie en direct un accord avec Poutine.
Les fait sont têtus, nos dirigeants sont imprévoyants, inorganisés, retranchés dans leurs certitudes quand le monde autour d’eux tente de sauver des vies, et de sortir au plus vite de la crise économique.
Après un tel billet, la suite logique devrait se présenter sous la forme d’un prochain « Entretien avec XXX » Et là, il y a le choix: Raoult ? Perronne ? Toussaint ? Et combien d’autres ? Après tout, pour des sujets ayant trait à la santé, ne vaut-il pas mieux se référer à des médecins, dont le conflit d’intérêts n’est pas établi, qu’à la camarilla suspecte de médicastres mercenaires, dont tient absolument à s’entourer la très incompétente clique gouvernementale ?? Poser la question, c’est déjà y répondre…
« Malgré la pauvreté hospitalière qui a fait l’objet d’un constat consensuel au début de l’année 2020 et en dépit des promesses présidentielles et ministérielles, rien n’a été accompli pour combler le gouffre entre ce qui existait hier et ce qui aurait dû exister aujourd’hui. »
Tout est là. Depuis les années 80, dégraisser les services publics est à la mode, et râler contre les impôts excessifs et les « freins à l’esprit d’entreprendre » aussi. Rajoutez-y l’Europe que nous n’avons pas réussi à convaincre de préserver le service public, le patronat qui louche en bavant sur la privatisation de la sécurité sociale (vous vous souvenez de Denis Kessler, le numéro 2 du MEDEF), et vous avez le résultat: un service hospitalier sans marge de manoeuvre pour affronter la crise.
Il ne faut pas se plaindre, la situation actuelle est le résultat logique de nos errements d’hier.
Bon, bon, bon… Les élitesquelemondeentiernousenvie :
https://youtu.be/RPdbP1wx-Wg
L’Europe, l’Europe, l’Europe, s’était exclamé Mongénéral. L’Europe roulée dans la farine, et pourtant ils sont nombreux tous ces spécialistes de contrats etc.
https://www.mediapart.fr/journal/france/290121/retards-de-vaccins-comment-les-etats-europeens-se-sont-fait-avoir-par-les-laboratoires
Comment ce bidule qu’est l’Europe se fait rouler dans la farine en toute beauté, sachant que l’artisan de BTP le plus modeste – mais certainement plus roué et intelligent -, connaît la règle de l’obligation de moyen et bien évidemment la plus pressante, celle du résultat… du résultat !
Bref tous ces machins ne servent pas à grand-chose, ils se trouent sur des sujets les plus régaliens de nos vies, comment leur faire confiance ?
Les Anglais champions des places financières savent tout cela et se sont échappés d’une Europe d’incompétence et de nullité crasse, qui apparemment n’aurait pas inclus l’obligation de résultat dans ses contrats… À mourir de rire, la suite au prochain numéro.
Aux dernières nouvelles nous avons 1 300 000 doses qui roupillent dans les frigos (à 77 près pour être juste et pour en rire un peu). Alors qu’il s’agit d’aller le plus vite possible.
Nous sommes gérés par des Bibi Fricotin de la seringue.
—
La journée est mouillée, triste, alors juste pour le plaisir :
https://youtu.be/CyccSgYAW84
« Et puis j’ai demandé à mon médecin ce qu’il pensait du vaccin. Il m’a répondu: « Je ne sais pas, je ne suis pas journaliste ». »
https://youtu.be/muTtoG399kM
Les amateurs et les incompétents, on en trouve autant qu’un évêque peut en bénir, surtout sur les plateaux télé ou les studios de radios. « Y’a tellement de médecins sur les plateaux télé que quand t’appelles le 15, tu tombes sur le standard de BFM », lisais-je hier sur le web !
Qu’on soit incompétent face à un virus nouveau, cela peut se concevoir. On notera même que l’incompétence est mondiale : l’Allemagne, la Suisse, le Portugal qui faisaient figure de meilleurs que nous sont maintenant dans une situation guère plus enviable que la nôtre ; ne parlons pas des US ou du Royaume-Uni.
L’amateurisme, c’est plus ennuyeux. Et là, nos dirigeants ne font pas montre de beaucoup de professionnalisme. Ordres et contre-ordres, rodomontades, etc. De mauvais logisticiens, ce qui est bien normal, puisque ce n’est pas leur métier. L’armée aurait fait beaucoup mieux. Papy Castex fait ce qu’il peut – je ne l’apprécie guère – mais je dois reconnaître qu’hier soir, il a fait le job. Serge HIREL et Tipaza sont sévère avec lui. Bien sûr qu’il n’a pas eu le temps d’apprendre son texte dont l’encre était à peine sèche. Bien sûr que la forme n’était pas chaleureuse et d’une banalité affligeante. Mais j’ai apprécié qu’il dénonce l’insouciance de quelques-uns qui ruinent les efforts de tous. Et qu’il veuille garder les vaccins disponibles pour ceux qui ont reçu la première injection. Nous verrons si les actes suivent…
Quant à la pénurie de vaccins, qui n’a jamais mis en œuvre de processus industriel ne peut s’imaginer les aléas, les bugs, les ruptures de chaîne d’approvisionnement, j’en passe, qui parasitent une production, a fortiori avec des procédés nouveaux, développés dans l’urgence et soumis à une vive pression politique. Sur ce sujet, je ne peux faire de reproche à personne.
@ boureau
« L’Histoire est tragique et E. Macron ne le sait pas. »
Ne le prenez tout de même pas pour un parfait crétin !
Les humains viennent de découvrir qu’ils étaient tous mortels. « Le petit chat est mort » (l’Ecole des femmes de Molière).
Il suffit de se protéger et de s’auto-confiner si nécessaire. Que chacun prenne ses responsabilités. Quelle infantilisation à tous les étages !
Tout ce tapage pour une méchante grippe finalement. Quand les vaccins seront enfin arrivés et distribués (ça risque d’être long), se faire vacciner régulièrement comme dans le cas de la grippe saisonnière et on n’en parle plus. On passe enfin à autre chose.
Plus qu’assez de ces rengaines covidiennes qui ne servent à rien puisque le virus vit sa vie et se propage comme bon lui semble. Il faudrait penser à vouloir enfin regarder les réalités en face au lieu de se cacher, peureusement, derrière son petit doigt.
Pas de mort chez les moins de 35 ans ou rares cas exceptionnels (autres causes que la Covid). Alors, pas de panique !
Quant aux anciens, ils savent très bien ce qu’ils doivent faire du reste de leur vie. S’ils ont réussi à vivre si longtemps, c’est qu’ils ont su passer entre les mailles du filet.
Nullité et fumisterie peuvent être les synonymes d’amateurisme et incompétence que se partagent les deux têtes de l’exécutif.
La tête de linotte et la tête à claques.
Biélorussie, 9,5 millions d’habitants.
Défilé militaire massif nez à l’air le 9 mai 2020. Importantes manifestations depuis des mois contre le régime.
Pas de confinement, pas de couvre-feu ; des tests et des soins.
Résultat: 10 morts par jour du coronavirus et à ce jour un total de 1 700 décès pour 250 000 cas traités.
Vous voyez une ligne, vous entendez un commentaire sur la politique sanitaire suivie et ses résultats ?
Il est toujours plus facile de hurler avec les loups ou de bavasser les mains dans les poches en donnant des leçons sur le plateau de TV Beaufs. Je me permets de vous conseiller d’adresser vos suggestions à M. Véran puisque vous paraissez être très compétent, comme la plupart des observateurs ou commentateurs en virologie et logistique.
Lui a tout résumé:
https://www.youtube.com/watch?v=W1Qv1-YZCj0&feature=share&fbclid=IwAR0cn9PM0QRxW8zKXDzTp6IBvYlNPePZMQcjyNyy8bd9O-BJ9jqGfNZNnHs
Faut-il ajouter autre chose ?
Sans doute, mais ça prendrait deux feuillets A4 et je ne veux pas encombrer ce blog qui doit rester agile et lisible.
Et puis la vérité c’est que j’ai la flemme !
Autant il est compréhensible et excusable d’être sidéré par un événement inédit, tels les Japonais face à l’apocalypse d’Hiroshima, autant il est curieux de se trouver dépourvu lorsqu’une pandémie survient, tant l’Histoire en recense. D’abord la nier, ensuite ne pas s’y préparer avec énergie ne sont pas des erreurs. Ce sont des fautes. Des fautes commises par ceux-là même qui ont voulu la charge qu’ils sont incapables de mener à bien.
En ce sens, les dirigeants politiques de l’heure sont doublement amateurs. Amateurs au sens noble parce qu’ils ont un goût particulier pour l’exercice du pouvoir. Amateurs au sens péjoratif puisqu’ils font la preuve quotidiennement d’un manque de professionnalisme abyssal. Il me semble que les définir « incompétents » reste une gentillesse à leur égard…
Hors l’excuse de la surprise qui n’est pas recevable, ils nous diront pour se défendre que la lourdeur de notre machine administrative, la complexité de notre droit, l’essoufflement de notre système sanitaire ne leur ont pas facilité la tâche, tentant ainsi de reporter sur leurs prédécesseurs une partie de leurs responsabilités. Une complainte que l’on peut entendre… si l’on oublie que, pour être élus, ils ont promis de vastes réformes. Si l’on oublie aussi qu’ils ont laissé la bride sur le cou à certains hauts fonctionnaires. Si l’on oublie encore que, depuis 2017, ils ont continué à massacrer le secteur hospitalier.
Si l’on oublie enfin que ces explications ne valent que pour justifier le manque de moyens de lutte contre la pandémie : la pénurie de masques, la pagaille des tests, la faiblesse des moyens de réanimation… Mais elles ne justifient en rien les choix du Président en matière d’exercice du pouvoir pendant la pandémie.
Pour ma part, il me semble qu’ils sont la résultante d’une triple détermination : le tout-Europe, le tout-communication, le tout-vertical.
Depuis toujours, le premier moyen de lutte contre une épidémie était l’isolement du territoire atteint. On n’y entrait pas, on n’en sortait pas… Mais, cette fois, le Prince est un apôtre fervent du mondialisme et ne jure que par l’avènement d’une Europe souveraine, dont, amoureux fusionnel, il ne saurait supporter quelques semaines de séparation… Il a fallu attendre dix mois et la menace de variants très contagieux pour établir une fermeture des frontières… A minima puisqu’un test PCR suffit pour les ressortissants de l’UE et que le regroupement familial des immigrés reste autorisé…
C’est aussi cette foi en l’Europe qui est à l’origine de la pénurie annoncée de vaccins. Une Europe où nul technocrate ne sait qu’on ne négocie pas les prix à la baisse dans un marché captif où, de plus, la demande est immensément plus forte que l’offre…
« Nous sommes en guerre ! », « quoi qu’il en coûte ! », « Restez chez vous ! », 135 euros d’amende… Face au virus, Macron devait se faire père de la nation – « Restons chez nous », a conseillé « Mutty » outre-Rhin -, il s’est fait généralissime, sans état-major digne de ce nom et sans armes, et père fouettard, réclamant à ses garnements un document qui a fait rire le monde entier : l’auto-ausweis.
Une communication qui, croyait-il, allait rassurer… Elle a créé de l’angoisse, puis de la défiance tant, au fil des interventions, elle est apparue à la fois désordonnée et rigide. Ce manque d’adhésion des Français qu’il subit n’est pas seulement causée par les difficultés de prévoir une stratégie à long terme contre un virus dont on ne savait rien et qui se montre insaisissable – tous les chefs d’Etat sont, sur ce point, dans la même situation – mais par l’arrogance de certains de ses propos et l’impression qu’ils leur laissent d’être au mieux ses sujets, aux pires des mômes qu’il faut faire obéir.
Quant à la verticalité, qui, déjà, était la marque de Jupiter depuis sa promenade nocturne dans la cour du Louvre, le virus l’a renforcée. Le Parlement est mis devant le fait accompli et prié de se réunir sagement quand, sans son approbation, telle ou telle décision serait inconstitutionnelle. Les élus locaux ne sont dans la boucle que pour servir de relais d’information. Leur consultation tourne au « briefing »… Et les ministres sont priés d’assurer le service après-vente… Tout se décide au Château, dans un secret que l’on conçoit aisément nécessaire en temps de véritable guerre, pas lors d’une pandémie. La Covid ne possède pas d’oreilles indiscrètes…
Cela aussi participe à la désillusion aujourd’hui bien installée, d’autant que le Président se montre incapable de mettre fin aux interventions médiatiques qui n’ont pas lieu d’être de la part de ses principaux conseillers scientifiques, qui, ainsi, au 20h, semblent lui forcer la main. Imagine-t-on une même attitude de son conseiller diplomatique ?… Un conseiller, ça conseille… et, écouté ou pas, ça se tait.
Triple détermination donc, mais aussi une hésitation majeure : le choix entre le tout-santé et le tout-économie. Au printemps, le Président a joué la carte sanitaire… Il n’avait guère d’autre choix possible. Aujourd’hui, conscient des dégâts économiques qui ne peuvent plus continuer à s’accumuler, il hésite. C’est tout à son honneur…
Ce qui l’est moins, c’est qu’en démocratie, les décisions ne sont pas celles d’un homme seul, s’appuyant sur sa seule réflexion. Il existe quelques institutions qui ont aussi leur mot à dire, le Parlement par exemple, quelques personnalités qui, expérimentées, grands maires, présidents de régions, de départements, peuvent faire remonter les attentes du terrain plus sûrement que des sondages aux questions biaisées, quelques professionnels aussi qui savent distinguer les discours pro domo et les situations réelles.
La suite de l’histoire ne peut pas être la victoire contre le virus et la défaite irréversible de l’économie. Ni le contraire. Il faut que Jupiter disparaisse et que nous revienne un chef d’Etat capable d’écouter. Capable de rassembler les Français autour de la bonne solution… En tout cas autour de la moins mauvaise.
En toute justice il faudrait accepter le fait que nos énarques ne sont pas plus formés pour prévoir l’imprévisible que tous les autres citoyens français normaux !
Sauf bien sûr nos journalistes, de vrais diplomates à la Churchill, lequel expliquait que la diplomatie est l’art de prédire le futur puis d’expliquer pourquoi les choses ne s’étaient pas passées comme prévu.
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@ caroff | 30 janvier 2021 à 18:56
Il est connu ce type !
Il est sorti major de la promotion « Eole » de l’ENA !
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@ Isabelle | 30 janvier 2021 à 14:36
« Quant aux anciens, ils savent très bien ce qu’ils doivent faire du reste de leur vie. S’ils ont réussi à vivre si longtemps, c’est qu’ils ont su passer entre les mailles du filet. »
Oui ! Logique implacable ! L’expérience sert !
D’autant plus que, à la retraite depuis longtemps, nous avons aujourd’hui plein de temps libre pour regarder BFM TV, CNews et LCI qui nous mettent en garde sans discontinuer contre le danger des escadrilles de Covid-19 alors qu’autrefois les sirènes ne nous prévenaient que quelques minutes avant l’arrivée des escadrilles de Dornier 17 ou Junkers 87 puis, trois ans plus tard, de Boeing 29 ou Lancaster Mk1 !
En plus l’avantage aujourd’hui est qu’on peut se mettre à l’abri confortablement au chaud sur un sofa chez soi, un verre de malt whisky à la main, alors que par le passé il fallait descendre dans une vieille cave à vin, humide et froide, transformée en abri, rester debout et, pire, sans le pinard !
@ Serge HIREL | 30 janvier 2021 à 20:12
Point de vue frappé à l’angle du bon sens.
Cher Philippe,
Il n’est pas temps de faire le bilan, ce qui ne nous empêche pas d’observer les mesures sanitaires prises dans d’autres pays.
Et encore moins pour les responsables d’appuyer leurs décisions sur des conséquences politiques.
La communication de crise est un métier qui ne s’improvise pas.
Anticipation, clarté, réassurance. La compétence, c’est la maîtrise et le vocabulaire « pari risqué », « chance » n’est pas adapté à la situation.
françoise et karell Semtob
« Nous sommes en guerre » a dit notre Jupiter national, équipé de ses troupes ministérielles armées surtout de leur langue, de ventilateurs, et d’éléments de langage… Un peu court encore pour monter au front.
Depuis mon modeste perchoir – home-trainer de compétition -, j’ai bien tenté de prodiguer quelques conseils à nos gouvernants, dont cette suggestion en particulier, celle de regarder et de se pencher de près sur le remarquable reportage d’Arte et la vaccination en Israël.
Concernant le mot « guerre », prononcé par une soignante réserviste de Tsahal – en treillis -, on en mesure tout le poids, toute l’ampleur dans sa bouche, posée sur son tabouret elle envoyait du vaccin et ses missil… seringues sur tout ce qui se présentait.
Elle était en mission, comme l’armée pour la logistique, un major pour expliquer aussi, son sourire rassurant et des citoyens rassurés.
Pendant que nos doses roupillent dans des frigos, ils avaient réquisitionné tout ce que compte le pays de spécialistes en électricité et assimilés pour équiper dès novembre, me semble-t-il, un dépôt unique capable de contenir toutes les doses du pays !
Fier de nous montrer – ce responsable civil – ses magnifiques congélateurs alignés au garde-à-vous, bons pour le service, veillant jalousement sur ses troupes, surveillant la température, poussant même la visite guidée en ouvrant la porte de l’un d’eux encore vide, mais déjà en pression prêt à servir son pays.
Tout y était, expliquant leur stratégie, tout ce qu’ils ont mis en oeuvre pour être les meilleurs, il ne reste plus à nos énarques qu’à copier, sans doute un peu compliqué encore pour eux.
Un regret semble-t-il de la part d’un avocat, qui estimait qu’en échange des informations de suivi de la vaccination, les doses auraient dû être gratuites.
L’histoire ne dira pas ce que sera la suite, mais il était dit que Netanyahou en personne a négocié lui-même la commande. On n’est jamais mieux servi que par soi-même, ce que semble avoir compris chaque acteur de ce pays.
« Nous sommes en guerre » a dit notre Président, apparemment quand elle doit être éclair et massive, on doit revoir notre copie et en même temps, comme il se doit, tout le reste et davantage encore… Désespérant.
Ce petit pays, par le nombre, a retenu les leçons de l’histoire, du moins du côté des vaccinés interrogés, ils étaient plutôt fiers de leur capacité à se sublimer à tout emporter dans le calme et la méthode.
De quoi déprimer chez nous à la vue de ces images.
Une chose est certaine : le gouvernement n’a pas brillé par la cohérence dans ses décisions pour lutter contre la pandémie ni par la sincérité de sa propagande baignant les médias, débitant parfois inepties et incongruités ensuite clouées au pilori pour cause de reniement (masques, etc.).
Les Français ont été infantilisés et le pouvoir a offensé à plusieurs reprises leur intelligence et leur simple droit de penser. L’exécutif ne tolère pas la critique, très rapidement qualifiée de ‘populisme’, dès qu’elle s’écarte un peu trop du dogme d’opinion installée que déserte la science : les Français ne sont-ils pas soixante millions de procureurs ?
Philippe Bilger pense qu’il sera temps de faire le point sur la crise sanitaire à partir de 2022. Mais 2021 suffira amplement, si l’on en juge par l’abondance des livres déjà publiés sur elle. Le dernier en date est celui de Philippe Juvin, sous forme d’un journal. Il a reçu le premier malade chinois fin janvier 2020, arrivé avec sa fille aux urgences de l’HEGP. Cela s’est mal terminé pour ce dernier. Juvin a bien géré la protection des équipes puisque le cluster a été évité de justesse. Eric Caumes, auteur aussi d’un livre, était un des rares professeurs d’université sincères, mais il a été violemment recadré par Véran qui l’a traité d’idiot pour n’avoir pas soutenu inconditionnellement les vaccins à ARN messager. Il avait en effet eu le malheur d’avouer qu’on ignorait totalement les effets indésirables à moyen et long terme de cette « vaccination » inédite. Le dogme affirme en effet que l’ARNm du vaccin ne remonte jamais à l’ADN nucléaire.
Des journalistes peu avares de critiques contre le gouvernement, comme Ivan Rioufol, batailleur renommé chez Pascal Praud, ont condamné la dictature sanitaire que l’exécutif s’est évertué à imposer. I. Rioufol se plaint de l’arrogance du ministre de la santé O. Véran qu’il juge plein de suffisance, de certitudes injustifiées et condamne aussi les coups de semonce du Premier ministre chaque fois qu’il vient délivrer de mauvaises consignes aux Français. Il ne manque que Jérôme Salomon pour parachever le tableau.
I. Rioufol dénonce également la peur que l’exécutif fait régner dans le pays pour faire passer ses amères pilules : sacrifice des libertés, démolition programmée de professions martyres ostracisées, incursion dirigiste dans la sphère familiale…
Des professeurs de médecine tels que D. Raoult et C. Perronne ont été soumis à la vindicte édictée pour avoir été jugés offensants, dérangeants, et adversaires de la pensée dactylographiée d’experts suivistes (déchéance de sa chefferie de service à l’APHP pour le second ; plainte pour charlatanisme devant le Conseil national de l’Ordre pour le premier…).
Les politiques sortent glorifiés de l’épreuve : ils ont montré, par leur exemple, que l’éthique—dans sa splendeur—savait régner dans leurs rangs. Ainsi, Agnès Buzyn a, en abandonnant son ministère en rase campagne, fait bien comprendre que l’enjeu politique de la conquête d’une mairie au profit d’une majorité avide en quête d’élaboration, primait sur la défense de la santé des citoyens qu’elle savait menacée par une pandémie galopante.
@ finch | 30 janvier 2021 à 23:20
« Les Français ont été infantilisés et le pouvoir a offensé à plusieurs reprises leur intelligence et leur simple droit de penser. »
Il ne faut pas infantiliser les Français nous dit-on. Hélas il semblerait que pour certains, il soit trop tard pour faire de la pédagogie pour adultes responsables !
@ Robert | 30 janvier 2021 à 11:02
Depuis 1965, première élection présidentielle au suffrage universel direct, nous portons à la fonction présidentielle des candidats à celle de Premier ministre. Du coup, nous ne savons trop que faire du vrai Premier ministre, et lui non plus
Et j’ajoute :
Nous n’avons pas eu, comme en Suède, l’armée du pays voisin qui patrouille à notre frontière pour bloquer toute incursion de nos ressortissants, suite à une politique dogmatique, obstinée et catastrophique de laissez-faire.
Nous n’avons pas eu, comme en Grande-Bretagne, une police infligeant des amendes de 10 000 euros pour avoir organisé une bataille de boules de neige.
Nous n’avons pas eu, comme en Russie, des respirateurs politiquement corrects car fabriqués par l’industrie nationale, mais néanmoins prenant feu et tuant les malades qu’ils sont censés sauver.
En revanche, nous avons de prétendues restrictions aux frontières qui ne servent à rien. Non seulement elles sont effroyablement compliquées, impossibles à comprendre et bourrées d’exceptions aux exceptions (comme toujours dans l’administration françouése), mais en plus, les voyageurs qui sont admis à pénétrer sur le territoire sont soumis à toute une série d’obligations (tests, autorisations…), sauf la seule qui serait nécessaire : une quarantaine stricte pour tout le monde, dans des locaux prévus à cet effet et gardés par la police.
Sur le site du ministère de l’Intérieur, je vois ces mots : déclaration sur l’honneur. Une déclaration sur l’honneur ? en temps de pandémie et d’immigration illégale ? à une époque où la vertu suprême, aux yeux de beaucoup, est incarnée par des gens comme Didier Raoult ou Christian Perronne ?
Mais dans quel monde vivent ces gens ?
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@ DAUMONT | 30 janvier 2021 à 16:17
« Biélorussie, 9,5 millions d’habitants. […] Pas de confinement, pas de couvre-feu ; des tests et des soins. Résultat: 10 morts par jour du coronavirus et à ce jour un total de 1 700 décès pour 250 000 cas traités. Vous voyez une ligne, vous entendez un commentaire sur la politique sanitaire suivie et ses résultats ? »
Hahaha, mais qu’il est bête… et pourquoi ne partagez-vous pas avec nous les secrets de la fameuse « politique sanitaire » de la Biélorussie et de ses merveilleux « résultats » ? Hein ? Gros malin ?
Parce que la Biélorussie est l’un de ces quelques pays de l’ex-URSS qui ont nié le plus longtemps possible avoir été touchés par le Covid, puis qui ont outrageusement trafiqué leurs statistiques lorsque le déni est devenu impossible.
Je vous signale que la Biélorussie est quasiment encore un pays soviétique, à tel point que la police politique s’appelle encore le KGB. Mais peut-être est-ce cela qui vous attire chez elle ?
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@ Isabelle | 30 janvier 2021 à 14:36
« Tout ce tapage pour une méchante grippe finalement. »
Mensonge.
« Pas de mort chez les moins de 35 ans ou rares cas exceptionnels (autres causes que la Covid). »
Mensonge, et quand bien même ? Donc, il faudrait s’abstenir de lutter contre une maladie dès lors qu’elle ne tuerait pas les moins de 35 ans ? Donc, nous pouvons tout de suite fermer les services de cancérologie, cesser de nous battre bêtement contre les crises cardiaques, enfin arrêter l’essentiel de l’activité médicale, puisque (grosse surprise !) on a tendance à être bien portant quand on est jeune ?
Mais qui vous a fourré ces idées idiotes dans la tête ? Et qui, surtout, vous a glissé dans l’oreille cet âge de 35 ans ? Le charlatan mondialement discrédité Didier Raoult, qui n’en finit pas de s’accrocher aux micros après la divine surprise de l’exposition médiatique qui lui a été fournie par la pandémie ?
Je crois me souvenir que vous avez été touchée par le Covid. A l’époque, ce n’étaient que plaintes de votre part, la maladie était terrible, il fallait faire quelque chose. Maintenant que vous êtes immunisée, l’épidémie ne compte plus, les autres peuvent aller au diable, rien n’a d’importance en dehors de vos petits plaisirs.
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@ Ninive | 30 janvier 2021 à 14:23
« On nous annonce qu’un étudiant sur deux envisage d’arrêter ses études. Il faut dire que leurs réclamations ne servent à rien puisque le 21 janvier, Emmanuel Macron prévient, face à des étudiants : ‘Je ne pourrai pas rouvrir tout de suite les bars, il va falloir attendre un peu’. »
Crèvent les gens pourvu que vous puissiez aller au bistrot.
On notera aussi votre étrange raccourci : l’intérêt principal des études, c’est d’aller dans les bars. On s’en doutait un peu, mais c’est gentil de nous le confirmer.
Les Américains ont raison : il y a beaucoup trop d’étudiants. Il est urgent de les mettre au travail.
« On vient de couper les ailes du blog d’Ivan Rioufol en lui bloquant ses commentateurs. »
Vous n’êtes pas à un mensonge près. Il s’agit d’une interruption technique temporaire, due à un changement de prestataire. Les commentaires de Rioufol viennent d’être rétablis. Pourquoi n’en profiteriez-vous pas ? Vous seriez tellement mieux là-bas qu’ici, où règne l’horrible « bande des quatre » qui fait régner la terreur…
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@ Alpi | 30 janvier 2021 à 12:58
« j’ai apprécié que Jean Castex dénonce l’insouciance de quelques-uns qui ruinent les efforts de tous. »
Il y en a eu un, ici, qui a relevé cela. Un seul…
Je signale que Boris Johnson en a fait autant. Il a eu des mots très durs pour les irresponsables qui nient la pandémie et violent les règles de prophylaxie. En France, on l’aurait accusé d’arrogance, de mépris, de jupitérisme…
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@ GERARD R. | 30 janvier 2021 à 12:00
« Après un tel billet, la suite logique devrait se présenter sous la forme d’un prochain « Entretien avec XXX » Et là, il y a le choix: Raoult ? Perronne ? Toussaint ? »
Il y a le choix, et parmi les milliers de candidats légitimes, qui nous proposez-vous ? Ces trois charlatans discrédités par leurs pairs, qui s’emploient à répandre des mensonges criminels en temps de pandémie, dans le seul but de gonfler leur célébrité médiatique… et leur compte en banque.
Un livre promu à la télévision, ça rapporte… Quand on est un mandarin vivant de subventions, ça rapporte, de faire de la politique devant les caméras à grands coups de fausses nouvelles et de démagogie…
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@ Jérôme | 30 janvier 2021 à 11:14
« De nombreuses études américaines, anglaises, chinoises… montrent que l’association préconisée par le Pr Raoult fonctionne sur, comme il le disait, les formes atténuées, les départs de Covid. Azithromycine et plaquénil. »
Mensonge. Où sont ces « nombreuses études » ? Fournissez les noms, les dates, les liens. Les études réalisées dans les règles de l’art, au contraire, ont prouvé l’inefficacité et la dangerosité du cocktail promu par Didier Raoult. Dans tous les cas.
« Le vaccin ARN messager, thérapie génique, potentiellement dangereux, sur lequel on ne possède aucun recul. »
Mensonge.
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@baudouin | 30 janvier 2021 à 09:56
« Le Pr Raoult a déclaré sur Sud Radio que la France était très bien classée dans le domaine de la créativité administrative. »
C’est exact, et Raoult en est un exemple éclatant. Son IHU est le type même du monstre administratif, suceur de subventions et dirigé par un mandarin irresponsable : lui-même.
L’IHU de Marseille est le fruit de la créativité administrative, créé sur mesure pour son patron qui y exerce un pouvoir dictatorial, et qui en use comme d’un instrument d’influence politique : à l’opposé de l’image de médecin aux pieds nus qu’il donne de lui-même.
Raoult ne manque pas de culot : il est le voleur qui hurle au voleur, le proxénète qui donne des leçons de chasteté.
@ Achille | 31 janvier 2021 à 07:53
Il restera toujours, à la marge, d’indubitables crétins chez qui même la perfusion de jus de cerveau ne servira à rien.
Quand on parle du système de santé quelemondeentiernousenvie il est courant d’entendre qu’il est celui qui coûte le plus dans le monde. Cela ne serait pas très gênant si nous étions les meilleurs, et là quand on y regarde de plus près la mariée n’est pas aussi belle qu’on veut bien nous la présenter.
5e ou 6e puissance du monde on pourrait imaginer le même classement pour tout ce qui touche aux soins, eh bien non. Le classement pour un pays comme le nôtre est digne de celui de pays en voie de développement. J’entends aussi qu’on devrait s’en satisfaire il existe bien pire ailleurs, regardez… Et en plus nos élites voudraient me faire culpabiliser, nous faire pleurer dans les chaumières, oui, oui, nous avons une chance extraordinaire, il suffit de le dire aurait repris le Volatile.
Je suis heureux de payer des impôts, mais je veux être sûr qu’ils sont employés à la hauteur des prélèvements, l’intelligence en prime évidemment. Là nous sommes dans la déroute, misère de misère.
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/le-systeme-de-sante-francais-classe-au-15e-rang-mondial_1909633.html
Le pire reste à venir, les derniers chiffres de la vaccination sont désastreux dans la comparaison avec nos voisins. Semaine après semaine l’écart se creuse, tout ce qui est dit par l’exécutif est un conte de Noël pour innocents.
Une nouvelle fois un fiasco terrible se profile à l’horizon, quand un projet est mal emmanché dès le départ ce sera toujours un échec au bout, une vraie machine à chagrin.
À notre rythme ce qui aurait été jouable pour le mois d’octobre désormais ce sera :
« Évolution
Pour vacciner l’ensemble de la population adulte (52 millions de personnes) d’ici à août 2021, il faudrait injecter 472 436 doses chaque jour.
Au rythme actuel (moyenne des 7 derniers jours), l’objectif de vacciner l’ensemble de la population adulte serait atteint le 28 janvier 2025. »
https://covidtracker.fr/vaccintracker/
2025 ? 2025 ! 2025… Vous avez bien lu, nous les plus beaux, les meilleursquelemondeentiernousenvie, nous allons mourir d’attente, et sans lumière.
Oui, oui… et de plus :
https://i.goopics.net/8ZQvW.png
Sachant que l’on reçoit 500 000 doses tous les 10 jours (vite dit), à notre allure de vaccination et celle catastrophique des WE, ce n’est plus la pénurie qui nous guette c’est la péremption, j’en rigole mais bon, un peu jaune quand même.
Nos élites stratèges ne savent pas faire, le prochain stage ce n’est pas au Conseil d’Etat qu’on devrait les placer, mais en formation en compagnie du magasinier de plateforme de grande surface qui livre tous les jours des millions de références, sur des centaines de points de vente.
Énarque un jour défaite toujours.
—
C’est normal docteur ? Si l’argent du contribuable n’y est pour rien, cela ne me choque pas :
https://i.goopics.net/5ONGY.png
Par contre l’Europe pourrait s’attacher ses services pour la stratégie et comment se servir de ses pieds quand on est la première économie du monde, et surtout quand on n’a plus de tête. Parfois le génie passe par les pieds, la preuve.
« Amateurisme ou incompétence ? »
Les deux mon capitaine, à quoi il faudrait ajouter aussi et surtout aveuglement idéologique européiste.
Il a déclaré que nous étions en guerre oubliant la vieille règle des chefs de guerre:
Ne rien prévoir, sinon l’impossible.
Ne rien attendre sinon l’inattendu.
On ne comprend rien à Macron, si on ne comprend pas que toute son action est sous tendue par une volonté de bâtir une Europe fédérale.
Chacune de ses actions est soigneusement pesée à l’aune de l’europhilie névrotique qui le conditionne.
Les frontières fermées pour lui, étaient les frontières de Schengen.
Il a pesé de tout son poids pour :
Une mutualisation de la dette Covid,
Une mutualisation des achats de vaccins,
Une harmonisation des dates de vaccination.
Rien sans l’Union européenne, tout avec la Commission de Bruxelles. Chaque fois qu’il parle de souveraineté nationale, il prend soin de l’enfermer dans le cadre de la souveraineté européenne.
Une névrose qui le paralyse dans son action, comme il est d’usage dans un comportement névrotique, et qui le rend aveugle au monde, aux autres et aussi à lui même.
Voici ce qu’il vient de déclarer dans un interview accordée à la presse britannique, le 30 janvier de cette année :
« «Quelle politique [la Grande-Bretagne] a-t-elle envie de choisir ? Elle ne peut pas être le meilleur allié des Etats-Unis, le meilleur allié de l’Union européenne et le nouveau Singapour. (…) Et donc, il faut choisir un modèle», a déclaré le président français. » (Le Figaro)
Il est clair qu’en tenant ces propos qui se veulent cartésien, il oublie le fondement de son action politique tel qu’il l’a défini, le fameux » en même temps « .
Pourquoi dans la cadre du » en même temps », la Grande-Bretagne de pourrait pas être le meilleur allié..etc… ???
Ne nous y trompons pas tous les errements observés dans cette lutte contre la Covid, viennent évidemment de l’amateurisme et l’incompétence de lui même et son équipe pour affronter l’imprévisible, mais aussi de sa volonté de ne pas prendre d’initiatives qui l’éloignerait de la Commission de Bruxelles.
Il joue en partie les mouches du coche, et ne se rend pas compte que chaque avancée vers un fédéralisme, est le résultat d’une volonté allemande.
La mutualisation de la dette répond à la crainte de l’industrie allemande de perdre les marchés US ou chinois et souhaitant se recentrer sur l’Europe qu’il faut refinancer.
La mutualisation des vaccins, est contournée par Merkel qui négocie avec Poutine pour obtenir des vaccins russes et fait pression sur Bruxelles pour la validation de ces vaccins soit accélérée.
Quand aux frontières il y a belle lurette que l’Allemagne les a fermées ou au moins contrôlées sévèrement.
Macron est tendu vers un seul objectif, celui de président d’une UE qui le débarrasserait des tracas domestiques français pour atteindre le sommet de l’Europe.
Et là, il commencera l’ascension vers un gouvernement mondial …L’ubris absolu !
J’exagère ? Peut être pas !!
@ Robert Marchenoir | 31 janvier 2021 à 08:56
Napoléon était capable de dicter plusieurs lettres à plusieurs correspondants « en même temps » (un Macron d’autrefois si on veut).
Marchenoir est capable d’envoyer X commentaires à X intervenants « en même temps » !
Marchenoir le Napoléon du blog. Vous remarquerez que je n’ai pas dit le Macron, ce qui eut été péjoratif chez moi !
Vous fâchez pas Marchenoir je suis bon public, et vous m’amusez… si si…
Vous m’amusez sérieusement, en même temps !
Ni l’un ni l’autre: fraternité, et Raoult ne doit pas être un frère, ou alors, un faux frère.
Le Maroc compte 8 200 décès pour 36 millions d’habitants et la France 75 000 pour 60 millions. Cherchez l’erreur.
Son principal fournisseur en vaccin est l’Inde. Qui a entendu parler du vaccin britannico-suédois AstraZeneca fabriqué en Inde ?
L’Inde ?? Le grand pays d’avenir, avec sa spiritualité comme force universelle dont nous n’avons plus que quelques moines.
Le niveau de qualité de la gestion de la pandémie par le pouvoir exécutif se mesure à l’aune des résultats obtenus en fonction de ce qui a été promis. Les statistiques sont présentées par les médias pour que les Français aient l’impression que tout est fait pour enrayer la poursuite de la pandémie. Qu’en est-il vraiment ?
Quoi qu’il arrive, les conséquences sont là, minimisées, voire cachées mais bien présentes. Les services de réanimation sont pleins et les machines toutes branchées à des malades qui ont attrapé le virus SARS-CoV-2 puis contracté la maladie Covid-19.
Pendant ce temps, les petites gens continuent de travailler dans des bureaux paysagers, on dit open space, c’est plus chic. De plus, il faut assumer les trajets en transports en commun. Les incidents techniques ne connaissent pas la pandémie. En cas de rupture de service sur la ligne, les bus de substitution mis à disposition du public sont pris d’assaut. Dans ce genre de situation, les gestes barrières ne sont plus applicables, c’est chacun pour soi, les coudes et les pieds d’abord.
Pour respecter le couvre-feu à partir de 18h00, quand on finit à 18h00, il faut une attestation de déplacement professionnel pour aller partout dans le périmètre spécifié avec le sentiment d’être pris pour un crétin.
Comme en période de guerre, les petits malins trouvent des moyens pour s’enrichir. Par exemple, il y a des emballages de masques estampillés made in France. Mais à l’intérieur, le masque porte un discret caractère chinois qui signifie haut. Donc, le produit est chinois, l’emballage est français et le consommateur final paye la TVA. Au bout du compte, c’est toujours l’Etat qui ramasse ce qui traîne.
@ Robert Marchenoir | 31 janvier 2021 à 08:56, qui semble superviser de nombreux intervenants
Tout d’abord, merci pour l’intérêt que vous portez à ma contribution. Vous parlez de « charlatans » en citant ces quelques médecins médiatisés. Vous rendez-vous compte que votre allégation est aussi crédible que ce que déclarent ces mêmes médecins ? C’est à dire qu’on n’est pas tout à fait sûr de ce qu’ils affirment. L’erreur étant humaine et la pandémie, encore assez inconnue.
Lorsque l’être humain est confronté à des contradictions permanentes, il s’en remet à son instinct de conservation, pour ceux qui en ont encore un. Vous accusez les médecins de cupidité, en évoquant le fric que vont leur rapporter leurs bouquins, sans doute écrits, comme nombre de politiques, par des « nègres ». Croyez-vous honnêtement que les montants qu’ils espèrent empocher soient comparables à ceux que palpent les apôtres et les commensaux du véritable charlatan, quant à lui, qu’est Olivier « Variant » ? Qui lui, ne jure sans coup férir que par ces fichus vaccins, contre lesquels on nous a pourtant suffisamment mis en garde, à cause des risques sur notre santé, sans parler des doutes sur leur efficacité. Et là, ce ne sont pas que les médecins médiatisés qui alertent. Mon généraliste, qui est une brave personne en qui j’ai toute confiance, m’a déclaré que lui-même ne se fera pas vacciner. Encore un charlatan, is’n’ it ??
« L’Histoire est tragique et E. Macron ne le sait pas. » (boureau)
« Ne le prenez tout de même pas pour un parfait crétin ! »
(Alpi)
—
Nobody’s perfect !
SUPPORTERS
Je suis sans doute parmi les Français qui s’intéressent le moins au football. Je ne regarde pratiquement jamais même les plus « grands » matchs à la télé. Et je n’aurais pas la moindre envie d’aller voir du football dans le coin où je vis. Je n’admire pas les plus grands footballeurs français ou étrangers. Mais, après tout, ce sont des sportifs et c’est une activité qui doit leur apporter de la santé
et du plaisir.
À côté des footballeurs, il y a les supporters. Libre à eux. Ils regardent, ils admirent, ils se réjouissent, ils s’attristent. Bon. Certains, parfois, boivent trop avant, pendant et après. Certains se battent. Ce n’est pas bien.
On nous montre ces jours-ci à la télé des supporters du club de Marseille qui expriment leur grand mécontentement contre leur équipe, les dirigeants de cette équipe, qui jettent des pierres, qui brûlent des choses, qui profèrent des menaces, en meute. Ils perdent la boule ! Drôle de façon de supporter.
Les supporters ne sont pas les maîtres. S’ils ne sont pas contents, qu’ils ne viennent plus, qu’ils ne supportent plus, qu’ils fassent autre chose.
@ Serge HIREL
« il est curieux de se trouver dépourvu lorsqu’une pandémie survient, tant l’Histoire en recense. D’abord la nier, ensuite ne pas s’y préparer avec énergie ne sont pas des erreurs. Ce sont des fautes. »
Pourtant, le risque avait été annoncé et même simulé.
Un livre blanc sur la défense et la sécurité nationale faisant référence au risque pandémique a été publié en 2013, s’inscrivant dans la lignée de celui de 2008.
Ce livre blanc est accessible en ligne et 2013 ce n’est pas si vieux, donc les candidats à la présidentielle de 2017 qui se sont contentés de faire de l’esbroufe « économique » sans en avoir pris connaissance ne sont pas sérieux.
Dès 2001 les États-Unis d’Amérique avaient lancé la simulation « Dark Water » sur ce thème.
L’exercice le plus récent, Event201 sur un scénario proche du Covid-19, remonte à octobre 2019 :
https://trustmyscience.com/pandemie-fictive-coronavirus-simulee-octobre-2019-a-tue-65-millions-personnes/
@ Alpi 30 janvier 2021 13:00
« Ne le (E. Macron) prenez tout de même pas pour un parfait crétin ! »
Ne faites pas l’âne !
Connu du « grand » public à partir de 2012, cela fait donc presque dix ans que nous le voyons, l’entendons, l’étudions, le disséquons ! Ce n’est pas d’hier.
Cette personnalité exceptionnelle présente, à mon avis, des qualités remarquables et des défauts qui ne le sont pas moins.
Il n’en demeure pas moins l’évidence qu’il n’a pas le sens de l’Histoire, puisqu’il pense qu’elle commence à sa prise de fonction.
Il a certes employé deux ou trois fois la formule « l’Histoire est tragique », mais comme simple paramètre, imposé par ses spécialistes de com.
Ses actions politiques reflètent cette méconnaissance. Mais vous pouvez penser le contraire.
Cordialement.
@ Robert Marchenoir | 30 janvier 2021 à 11:53
« Nous n’avons pas eu… »
Merci pour ces aventures du Covid à travers le monde qui relativisent l’incompétence et l’amateurisme français ! Et qui remet à leur place les râleurs et pleureurs invétérés (et parfois invertébrés !), les yakas, les fallaipas. Vous aviez oublié dans votre revue la Biélorussie, mais, fort heureusement, DAUMONT a comblé cette lacune !
@ finch | 31 janvier 2021 à 09:35
« Il restera toujours, à la marge, d’indubitables crétins chez qui même la perfusion de jus de cerveau ne servira à rien. »
Vous parlez des de gauche islamogauchistes ? C’est confirmé par la science, aucun traitement n’en viendra à bout, ils sont incurables du fait que leurs cerveaux s’ils en ont sont en putréfaction.
En remplaçant « grippe aviaire » par coronavirus, monsieur Sylvestre (Guignol de l’info) nous donnait, dès le 11 octobre 2005, toutes les explications nécessaires. Je vais donc vous en faire profiter 😉
https://www.youtube.com/watch?v=STPopTOrPVE
Une pandémie, pour exceptionnelle qu’elle soit, n’a rien d’imprévisible. L’Histoire est là, si besoin est, pour nous le rappeler et George W. Bush, lui-même, en son temps (novembre 2005) avait envisagé une telle hypothèse, c’est dire ! Croire que les seuls et indéniables progrès scientifiques et techniques nous en mettaient à l’abri et qu’ils nous permettraient de l’endiguer sans dommages fut et reste une coupable erreur.
En présence d’un ennemi inconnu et face auquel nous étions démunis en matière d’arsenal thérapeutique, on peut comprendre les interrogations, les tâtonnements initiaux de nos décideurs.
Il est en revanche beaucoup plus difficilement acceptable après que ces mêmes décideurs ont clamé haut et fort que nous étions en situation de guerre, qu’ils ne se soient pas alors montrés capables d’assurer pour le moins l’intendance, qu’ils aient en certaines circonstances adopté une communication mensongère, qu’ils aient fait preuve trop fréquemment d’un manque de fermeté dans l’application des mesures qu’ils prenaient, qu’ils aient étalé au grand jour leurs doutes, leurs divergences là où une seule voix s’imposait pour ne pas semer la confusion et instaurer au contraire la confiance.
Décréter l’état de guerre ne saurait être seulement une image. Cela implique des devoirs, des obligations, des comportements qui tendent vers un seul objectif : se donner les moyens de remporter la bataille.
@ Robert Marchenoir | 31 janvier 2021 à 08:56
Ouf ! j’ai eu peur !
Figurez-vous qu’en tapant votre nom sur mon clavier pour parcourir votre littérature bloguesque comme je le fais de temps en temps, je suis tombé ce matin sur un avis de décès à votre nom-pseudo daté du 23 janvier dernier. Commune de Naveil (41).
Eh bien moi, je suis plutôt d’accord avec Philippe Bilger. Pas sur tout, mais sur l’esprit du billet, oui. L’impréparation à la seconde vague, notamment. Mais il faut dire qu’avec des Raoult (star mondiale du footb… euh, je veux dire de… de quoi déjà ?) qui nous promettait qu’il n’y aurait pas de seconde vague…
Mais enfin, ce n’est pas une excuse. La seconde vague (qui n’est qu’une seconde amplification du même phénomène comme chacun sait) était déjà présente ailleurs dans le monde. Je maintiens donc.
Cependant, comme nous l’a démontré Robert Marchenoir, il faut savoir tempérer sa colère. Partout ailleurs c’est la même chose qui se passe. Soit vous perdez votre liberté et vous avez peu de malades, soit vous laissez courir et c’est la pandémie qui écrase tout. Il n’y a pas d’alternative…
La seule donnée qui diffère d’un pays à l’autre c’est l’attitude adoptée par la population vis-à-vis du pouvoir. L’acceptation d’une situation aussi désespérante ne va pas de soi…
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@ Lodi | 30 janvier 2021 à 07:39
« Il me semble que si on y est si mal préparé, en France, c’est qu’on s’est tant focalisé sur les confinements et leurs acceptabilité sociale et leurs conséquences économiques qu’on n’a pas assez préparé la vaccination. »
Si ça peut vous rassurer, à peu près aucun pays n’a su anticiper correctement la distribution des vaccins. À part Israël, bien entendu.
Aux Etats-Unis, c’est certes mieux qu’en France, mais les chiffres ne sont pas très encourageants. L’avantage ici, c’est qu’on se rapproche de l’immunité collective. Au mois de septembre une étude estimait que 50 millions d’Américains avaient déjà été contaminés. Si c’était vrai nous devrions avoir passé la barre des 100 millions depuis un moment déjà.
Pour ce qui est de l’approvisionnement en vaccins, il faut dire qu’il y a de la demande…
@ XAVIER NEBOUT | 31 janvier 2021 à 10:41
« Le Maroc compte 8 200 décès pour 36 millions d’habitants et la France 75 000 pour 60 millions. Cherchez l’erreur. »
L’erreur, c’est de comparer la mortalité causée par le Covid au Maroc et en France, sans se préoccuper de la différence démographique entre ces deux pays, triple buse.
Le Maroc a une population largement plus jeune que celle de la France. Voyez donc leur pyramide des âges:
https://en.wikipedia.org/wiki/Morocco#/media/File:Bev%C3%B6lkerungspyramide_Marokko_2016.png
@ Ninive (@ Robert Marchenoir)
« Vous devenez de pire en pire en suivant la méthode de F68.10 qui consiste à reprendre des phrases de commentaires pour les falsifier… »
Vous devriez vraiment perdre cette sale habitude que vous avez de cracher sur les propos des autres sans y faire référence pour que tout le monde puisse en juger. Ce n’est pas la première fois que je vous signale que vous avez des habitudes détestables en la matière. C’est au minimum la troisième fois. N’abusez pas de ma patience.
@ Ninive
« Votre patience ? Excité comme vous l’êtes vous n’en avez pas ! »
Je ne suis pas vraiment du type excité. Même franchement placide. Mes propos vous excitent manifestement plus quand vous les lisez que quand je les écris. Mais je peux vous montrer que je peux faire preuve de bien moins de patience. Le désirez-vous ?
« Quant aux références, il suffit de lire vos commentaires. »
Eh bien, s’il y en a tellement, il devrait vous être aisé d’en isoler un. À moins que votre fainéantise vous en empêche ?
« Sachez que la censure nous prive d’arguments frappants lorsqu’on s’adresse à Robert Marchenoir et que je vous mets dans le même sac tous les deux. »
Je ne vois pas de quelle censure vous parlez. Madame Bilger garantit dans l’ensemble que mes propos et vos propos soient libres. Elle corrige parfois des expressions excessives que j’écris pourtant en toute placidité, mais cela me semblerait outrepasser les convenances que de parler de censure.
Quant à Robert Marchenoir, je vous confirme que nous avons des points communs: nous pensons tous deux que l’argumentation et la rationalité importent. Ce qui nous met dans une catégorie bien à part de vous. (Cela étant, cette propension au viiisssse est bien moindre chez Achille et Tomas, et je ne comprends toujours pas pourquoi vous les avez agglomérés à ma personne et à Robert Marchenoir).
« Je considère Marchenoir comme appartenant à la race des crétins… »
J’ai des oppositions qu’on pourrait qualifier d’idéologiques avec Robert Marchenoir, mais il n’est de toute évidence pas un crétin. Mais si nous sommes vraiment des crétins, il devrait être aisé de nous écraser par la seule force de votre verbe. J’attends toujours…
« …mais madame Pascale Bilger ne veut pas qu’il le sache avec certains mots ; nous devons donc nous adresser à lui avec compassion comme aux grands malades. »
Si Robert Marchenoir, tout grand malade qu’il serait, arrive à vous renvoyer dans les cordes par son verbe, il devrait vous être possible de vous saisir des mêmes armes.
« En 2022, l’enjeu sanitaire et la politique mise en oeuvre depuis le début de l’année 2020 ne seront pas loin de constituer le débat central. » (PB)
Certainement !
L’affaire a si mal démarré chez nous: mensonges éhontés de Véran sur les masques en mars, sur l’avancée de la vaccination, sur le centralisme imbécile qui préside à toutes les décisions comme si la France en son extrême diversité géographique devait être soumise aux mêmes règles ! En Espagne et en Italie, selon les pressions covidesques, les prescriptions s’établissent de façon différente ce qui plutôt intelligent.
Entre amateurisme et incompétence mon coeur ne balance pas: je plaide pour l’incompétence car les moyens mis en oeuvre (11 % du PIB en dépenses de santé) et la quantité d’organismes administratifs responsables de notre bien-être (agences, directions régionales, ministère…) est hallucinante. Dès lors, l’on pourrait croire que notre pays eût été classé dans les premiers de la classe, au prorata des moyens colossaux déployés…
Point du tout !
Impréparation, incurie à tous les étages!
Puisque le gouvernement a fait l’énorme erreur de ne pas se préparer à une telle crise, il n’a pas aujourd’hui d’autre choix que de naviguer à vue avec dans ses mains pas mal de mauvaises cartes – hier la géographie, en ce moment notre totale dépendance par rapport à la politique européenne des vaccins (bravo à Sanofi et l’Institut Pasteur !).
Finalement sa seule marge de manœuvre – en plus d’une bonne logistique et de la fermeture des frontières – est d’inciter les Français à avoir des comportements responsables. Malheureusement il manque manifestement de pouvoir de conviction dans ce domaine ainsi que chacun peut le constater en voyant des gens confondre masques et mentonnières ou s’agglutiner dans des fêtes clandestines… Les vieux s’autoconfinent et sont presque prêts à s’emmurer mais les mettre encore un peu plus derrière des murs ne pourrait évidemment pas suffire si le virus et ses variants continuaient à se balader.
Dans ce contexte, il faut vraiment remercier tous ceux qui continuent à tout faire pour que cette navigation à vue se passe le mieux possible.
Je pense, en particulier, à ceux qui soignent, ceux qui vaccinent, ceux qui prennent des précautions… et ceux qui encaissent ou gèrent les conséquences de tout cela – y compris psychiatriques – au jour le jour…
@ Claude Luçon 20h32
« Il est connu ce type ! Il est sorti major de la promotion « Eole » de l’ENA ! »
Non il est centralien.
Excellente parodie d’un certain type de consultants !
@ Ninive
« Mais je peux vous montrer que je peux faire preuve de bien moins de patience. Le désirez-vous ? » — F68.10
« Réponse : qu’attendez-vous ? » — Ninive
—
La réponse qui vous sied. Plus vous continuerez à citer ainsi mes propos sans les citer, plus j’interprèterai cela comme un « oui ». Un « oui » un peu masochiste, mais c’est vous qui voyez.
@ Herman Kerhost
« Si ça peut vous rassurer, à peu près aucun pays n’a su anticiper correctement la distribution des vaccins. À part Israël, bien entendu. »
Ça ne me rassure pas : je ne souhaite pas le malheur des gens qui n’en ont pas fait à d’autres, dans une épidémie, mieux vaut que le plus de gens possible ne puissent plus transmettre le virus pour qu’il ne nous revienne pas dans la figure.
Et puis, si d’une part j’ai dit ce qui, étant nos tares traditionnelles, ne nous avait pas aidé, il est embêtant de ne pas avoir meilleur que soi, pour imiter, tout simplement. D’habitude, j’aurais plutôt tendance à avoir les pays anglo-saxons et accessoirement le Japon, comme modèles.
Changer pour Israël ne me dérange pas.
Je partage ce point de vue.
Il aurait été souhaitable de différencier les jeunes peu vulnérables des anciens que la Covid atteint plus sévèrement.
Les jeunes ont le sentiment d’être punis au nom de la protection des vieux.
Mais qu’en dirait le Conseil constitutionnel ? Macron estime qu’il y a trop de procureurs. On peut aussi estimer qu’il y a trop de juges.
Par ailleurs, les ressources des retraités sont intactes alors que d’autres perdent leur emploi ou voient leurs revenus d’amenuiser ou disparaître.
La solidarité devrait se manifester. Un effort devrait être demandé aux retraités aisés.
Il n’est pas tolérable par exemple de voir des étudiants basculer dans la pauvreté.
Résumons les propos des négationnistes du Covid :
1. Le Covid n’existe pas, c’est une manipulation statistique pour instaurer une dictature mondiale.
2. Le Covid existe, c’est un complot effroyable pour instaurer une dictature mondiale.
3. Le Covid n’existe pas, la preuve : il ne tue que les vieux, les gros ou les Noirs (et en tous cas, pas moi).
4. Le Covid existe, mais pour l’éradiquer, il suffirait de ne rien faire (comme la Suède, qui n’a pas confiné) ou de prendre une petite pilule magique (la chloroquine du bon docteur Raoult).
5. Le Covid existe, mais c’est la faute exclusive du gouvernement, qui n’a pas fait ce qu’il fallait.
Inutile de dire que certains vicieux tiennent simultanément plusieurs de ces propos contradictoires.
La vérité est toute simple : le Covid existe, on peut le combattre, et cela réclame des sacrifices personnels de la part de chacun.
Il suffit, pour s’en convaincre, de considérer le faux modèle : la Suède, et le vrai : Taïwan.
Les partisans du laisser-faire montrent la Suède en exemple, parce qu’elle n’aurait pas confiné (ce fut vrai, ce ne l’est plus). L’ennui est que le mieux qu’ils puissent en dire, c’est qu’elle a un taux de mortalité, dû au Covid, à peu près similaire au nôtre. La France faisant partie des pays qui ont échoué face à la maladie, on voit mal en quoi la Suède pourrait faire figure de modèle.
Il est vrai qu’en France, les gens se vantent souvent d’être aussi nuls que les autres. Le fait qu’ils pourraient être meilleurs, et que cela puisse même être souhaitable, ne les effleure pas.
Taïwan, une île qui est juste en face de la Chine, n’a connu que 8 morts dus à la maladie, pour une nation de 23,5 millions d’habitants. Cela correspondrait à 23 morts en France, alors que nous en sommes à 76 000.
Dans un article de Cap-X, le journaliste britannique James Bloodworth explique à nouveau pourquoi c’est la méthode taïwanaise (et asiatique en général) qui est la bonne. Il fustige ainsi l’approche de son propre pays : avec plus de 105 000 décès, l’Angleterre, dont la population est inférieure à celle de la France, s’y est encore plus mal prise que nous.
Disons tout de suite sur quel point l’auteur de cet article a tort : il est faux de suggérer que la tendance des Asiatiques à l’auto-discipline et au civisme n’est pas un facteur majeur dans la réussite des pays concernés.
En revanche, il est exact que malgré cette différence fondamentale de mentalité, nous devons tenter d’appliquer les mesures asiatiques qui ont réussi.
James Bloodworth rappelle les principales mesures qui ont permis à Taïwan d’échapper presque entièrement à la pandémie : le blocage des frontières, une quarantaine stricte, et des méthodes informatiques intrusives de suivi des personnes contaminées. Le tout appliqué de façon préventive et sans délai.
La clé de l’affaire, c’est qu’il n’y a pas de bénéfices sans efforts. Bien sûr que le gouvernement doit appliquer les bonnes décisions, mais ces dernières entraînent nécessairement des contraintes déplaisantes pour la population. Si cette dernière les refuse, la maladie explosera.
La différence entre le modèle taïwanais et le modèle occidental (la France n’est pas seule en cause), c’est que l’Occident a choisi des contraintes généralisées et tardives (le confinement) ; tandis que Taïwan a choisi des contraintes précoces, impitoyables et dirigées sur les seules personnes contaminées, ou susceptibles de l’être (la quarantaine et la surveillance).
Il n’y a pas de troisième voie avec déjeuner gratuit à la clé. C’est l’illusion propagée aussi bien par une partie de la population française, que par le charlatan Raoult : celui-ci laisse entendre que les Asiatiques s’en seraient tirés avec de la chloroquine et pas de confinement. Mais c’est faux.
Pour s’en convaincre, on peut lire cet article, publié en juillet dernier, dans les blogs du British Medical Journal, où les responsables taïwanais de la lutte contre l’épidémie expliquent leur succès. Ils mettent l’accent sur les procédés de surveillance électronique utilisés, qui auraient soulevé des hurlements en France au nom de la défense de la vie privée.
Et en effet, ils portent fortement atteinte à la vie privée : accès instantané, par les autorités sanitaires, au dossier médical des personnes, à l’historique de leurs déplacements, à leurs contacts, à leur participation à des rassemblements, à leurs données d’immigration…
Tous les individus mis en quarantaine, ainsi que leurs contacts, sont localisés en temps réel par leur téléphone portable, et l’historique est conservé pendant un mois.
Inutile de dire que le mot hydroxychloroquine ne figure pas une seule fois dans cet article…
Mais il y a un autre aspect crucial à la réussite de l’approche taïwanaise : la sévérité des sanctions qui frappent les contrevenants.
Un homme, placé en quarantaine dans l’un des nombreux établissement réservés à cet effet, est sorti dans le couloir l’espace de 8 secondes : il a reçu une amende de 2 900 euros.
Une hôtesse de l’air d’une compagnie taïwanaise, qui avait rompu sa quarantaine pour aller au restaurant, a été licenciée par son employeur. Motif : tout comportement mettant en danger la santé du public est intolérable ; ce métier requiert une forte éthique professionnelle et un degré poussé d’auto-discipline ; ceux qui violent les mesures de prévention de l’épidémie ne sont pas dignes de travailler chez nous.
Rions un peu en imaginant une entreprise française licenciant un employé pour ce motif…
Enfreindre les conditions de quarantaine peut valoir jusqu’à 59 000 euros d’amende et 2 ans de prison.
Répandre, sur l’épidémie, de fausses informations susceptibles de nuire à autrui, peut valoir jusqu’à 88 000 euros d’amende et 3 ans de prison.
A Taïwan, Didier Raoult et ses épigones seraient en prison. Quant à certains commentateurs de ce blog, ils pourraient serrer les fesses.
Pour que les Français qui se plaignent du confinement puissent être crédibles, il faudrait au minimum qu’ils acceptent, lors de leur retour de l’étranger, d’être mis en quarantaine dans des établissements conçus à cet effet et gardés par la police, sous peine d’amende et de prison.
Inutile de dire que même les « dictateurs sanitaires » et autres « psychopathes » au pouvoir à l’Élysée n’ont jamais instauré de telles mesures.
« Selon les experts, 98 % des personnes infectées par le coronavirus s’en remettent, un taux obtenu notamment à partir des études épidémiologiques menées en Chine. Cela pourrait même être plus élevé, le nombre de personnes contaminées étant probablement bien supérieur au nombre de cas avérés. »
Sans compter les personnes qui n’ont jamais été testées ou les nombreux cas qui (du fait d’une forme d’infection virale atténuée) ont guéri spontanément et ne se sont jamais fait connaître.
Il faut donc arrêter d’infantiliser les gens ou les effrayer en manipulant des statistiques, aux fins de faire de nos compatriotes des moutons dociles et soumis que l’on conduit à la trique, sous les directives ubuesques de quelques politicards technocrates infatués d’eux-mêmes cornaqués par les mandarins des plateaux.
Procédés indignes d’une démocratie !
Mais sommes-nous encore en démocratie ?
Ce week-end montre une incroyable baisse des vaccinations, aujourd’hui une des pires, l’interprétation de la courbe montre bien que chaque fin de semaine elle s’écrase en palier… Nous ne sommes pas en guerre ! nous sommes en week-end, quand tous nos voisins accélèrent jusqu’à épuisement de leurs doses, seul moyen stratégique de bousculer les labos, les acculer, les secouer, les mettre en face de leurs responsabilités.
Quelle désespérance ! Aujourd’hui nous sommes rendus en 2025 ! Il n’est pas possible de continuer ainsi, ce sera une catastrophe.
1 200 000 de doses qui roupillent encore.
https://i.goopics.net/ZR7d3.png
@ Mary Preud’homme
« Il faut donc arrêter d’infantiliser les gens ou les effrayer en manipulant des statistiques… »
C’est vous qui manipulez les statistiques. 98 % de gens qui s’en remettent ne signifie absolument pas que le nombre de morts est négligeable.
Si je prends un flingue et que je tue une personne sur cent que je croise dans la rue, sur 8 milliards d’êtres humains, cela fait 80 millions de morts. Hitler il était à combien de millions ? (Attention: il n’y a qu’une seule bonne réponse). Bref, à 80 millions de morts, je deviens quand même un sérieul killeu à mettre hors d’état de nuire assez vite.
Ben le coronavirus, c’est du même style, si vos statistiques ne sont pas manipulées. Le chiffre n’est bien sûr pas 80 millions de morts. Mais on est quand même à 2,2 millions de morts selon les statistiques officielles. Elles aussi sont manipulées ?
@ F68.10 | 01 février 2021 à 00:05
À ce jour 4 600 décès du corona en Chine sur 1 403 000 000 habitants…
Mary va aller danser à la fête mélenchoniste contre les lois liberticides, rejoignant le magma rouge-brun-rose-bleu des anti-macronistes, virus plus létal pour la démocratie que n’importe quel Covid, la Le Pen à l’Élysée et Jean-Luc à Matignon, bye bye la France, rappelons-nous bien ce que disait Fillon, les lucides soutiennent, surtout en temps de crise, celui qui a été élu, quoi qu’on en pense, et à part ceux qui, rongés de ressentiment, se torchent avec la Constitution, il est vital de reconnaître qu’Elle nous protège de la vague mondiale des océans démagogues, signe supplémentaire que le grand Charles connaissait bien les réflexes suicidaires des Français, qui en sont, toujours hélas, à penser que la révolution, c’est : le roi, c’est moi.
La crise donne raison aux volontés réformatrices du président qui fait ce qu’il peut avec un État décadent, les cooptés irresponsables de tous bords s’accrochant aux illusions du privilège pour tous, alors que, fondamentalement, il s’agirait d’enfin accomplir le destin français d’affirmer hautement qu’il n’est pour personne.
Alors, et alors seulement, il sera temps quand ce peuple aura compris à quel avenir il est voué, d’aller vers l’âge adulte de sa République qui n’est pas, pour préserver son privilège, de sans cesse décapiter son roi.
Il est peu de dire, Mary nous le démontre à l’image de Lodi, qu’on n’y est pas.
@ Robert Marchenoir
« il faudrait au minimum qu’ils acceptent, lors de leur retour de l’étranger, d’être mis en quarantaine dans des établissements conçus à cet effet et gardés par la police »
C’est ce qu’au bon vieux temps on appelait des lazarets.
« Le gouvernement est une machine de destruction massive de notre pays, de son histoire, de sa culture, de son industrie, de ses libertés, de son statut social…
Cela se réalise avec de multiples complicités, journalistes et experts achetés, corruption généralisée, l’incompétence portée aux postes de responsabilités, et le fait que les gens sont maintenus loin de l’information réelle, des analyses du système faites par des penseurs indépendants systématiquement censurés. »
https://www.agoravox.fr/commentaire5973543
@ Mary Preud’homme
« À ce jour 4 600 décès du corona en Chine sur 1 403 000 000 habitants… »
Vous donnez du crédit aux statistiques chinoises ? Moi absolument pas… Un pays sans liberté d’expression ne peut pas avoir de statistiques fiables. Ils ont quand quand même confiné, et durement, 19 millions de personnes récemment (ici 5 millions documentés en confinement) dans un contexte où ils n’auraient que si peu de cas ? En risquant de faire crever de faim les bien-portants avec un manque de denrées alimentaires ? C’est trop incohérent: les Chinois mentent pas mal sur le coronavirus. Cela crève les yeux.
@ Exilé 01 février 09:07
… ou s’ils ne veulent pas leur fournir une crécelle pour qu’ils/elles se signalent lorsqu’ils/elles se déplacent. C’était top du temps des pestiférés 😀
Y a pas plus menteur, plus dictateur, plus criminel qu’un pays communiste. La Chine en fait partie. Menacer, torturer, emprisonner, exécuter à mort tous ceux qui disent la vérité doivent disparaître.
Et la France qui se dit pays démocratique, un pays libre, a honteusement fauté en donnant tous ses brevets les plus prestigieux et a livré nos industries à la Chine pour fabriquer nos produits les plus utiles et les plus précieux pour notre pays. Nous sommes leurs larbins. Ne nous étonnons pas que notre pays soit devenu soumis au bon vouloir de ces pays communistes et arabo-islamiques. Nous avons d’un côté la Chine qui pompe toutes nos ressources et nos économies industrielles, et de l’autre côté, nous avons les pays du Golfe qui ont acheté cash notre plus beau patrimoine immobilier avant que leurs puits de pétroles ne s’assèchent.
Où est passé l’argent que Bercy a encaissé ?
La France s’est enfermée dans son propre piège. Les politiques français, naïfs, aveugles et corrompus à souhait ont vendu la France à la découpe. Notre pays est soumis au bon vouloir des Chinois et à leurs virus de toutes espèces mortifères qu’ils nous ont importés. Est-ce volontaire ? On a le droit de se poser la question.
« Point de situation sanitaire du 29 janvier 2021 en Bretagne (ARS) »
La Bretagne enregistre 1 114 cas positifs supplémentaires au cours des dernières 48 h soit un taux d’incidence de 99,1 cas pour 100 000 habitants.
En même temps faut dire qu’on a des vents à plus de 70 sur les côtes, du coup mister Corona s’éparpille façon puzzle 😀
« Il est peu de dire, Mary nous le démontre à l’image de Lodi, qu’on n’y est pas. »
…profère le lâche Aliocha, incapable de s’adresser à Mary, à moi ou aux deux. Et qu’est-ce qu’il me veut, cette fois-ci ?
C’est obscur, mais enfin, j’imagine qu’il me reproche de ne pas prendre Macron pour un sauveur.
Certes, je suis loin de penser du bien de Macron, mais pour moi, il n’est pas important.
La droite et la gauche et le centre pas tellement non plus, à vrai dire… Pour nous confondre, Mary et moi, il faut vraiment manquer de bonne foi.
Mais la manœuvre est claire : comme je ne suis pas d’un clan, majoritaire ici, droite, ou minoritaire, gauche, je n’ai pas d’allié et on peut m’attaquer comme on veut.
Ensuite, quiconque peut m’amalgamer quelqu’un pour le compromettre aux yeux des esprits partisans.
Je redirai toujours pourtant, sauf si je parle de sujets plus intéressants, la base, l’alpha et l’oméga politique de notre pauvre pays : notre Constitution est une tare, une honte nationale, un désastre et un obstacle. Un OVNI, un objet violant nos institutions.
Ainsi, la fonction présidentielle a tendance à attirer des gens qui aspirent à un pouvoir démesuré sur les autres, démesuré, en vérité, car notre pays n’a pas d’équilibre des pouvoirs mais un déséquilibre des pouvoirs inscrit dans le marbre.
Nul sculpteur ne devrait profaner une telle matière, à plus forte raison, nul homme d’Etat ne devrait pervertir le rôle de la Constitution. Elle est une balance, une règle, un diapason, pas un trône pour un monarque républicain, pas un texte incantatoire au service d’un homme providentiel, cette illusion qui ne passe pas dans un pays qui s’en sert pour continuer à s’en faire sur lui-même, contrée d’incurable lâcheté politique.
Quand on est Président, on a trois solutions : la vertueuse, autant dire pas dans notre pays d’incapables, redistribuer le pouvoir, la polie, les autres n’ont pas de pouvoir mais on fait comme si, et la provocatrice, certains insulteront les magistrats, d’autres les concitoyens de base, la démesure des médiocres les porte non à l’accomplissement de grandes choses mais à la profération d’énormités que ses partisans défendront et que ses adversaires décriront sans songer à répudier notre Constitution, la diabolisation de l’adversaire et la quête aliénante de sauveur.
Je sais que je ne suis pas populaire mais je n’aime guère qu’on me diabolise, même si c’est le risque de l’indépendance.
Je n’apprécie pas non plus qu’on se serve de moi comme piège, soit l’interpellé réagira en disant je n’ai rien à voir avec ça en diabolisant à son tour et tombera dans l’injustice et l’irréflexion, soit par équité il me défendra en prenant le risque de voir son propre discours occulté par le mien.
Je défends la liberté d’un côté, ce n’est pas pour qu’elle soit attaquée d’un autre. Quelle vie, il faudrait décapiter toutes les têtes de l’hydre d’un coup ! Je défends la liberté politique, et à présent, aussi, la liberté pour chacun de commenter à sa manière.
Certains sont mal vus pour se référer à d’autres, exemple, on rabaisse Hermann parce qu’il lui arrive de soutenir Marchenoir, certains qui ne se réfèrent pas à quelqu’un sont attaqués parce que supposés dans le sillage de quelqu’un dont ils ne se réclament pas, exemple Mary.
Ces abus sont tous deux condamnables, chacun a le droit d’avoir des modèles, ici ou ailleurs, manifestes ou cachés, on n’a pas à faire la police des influences après la police des masques.
Si j’avais des disciples, il serait de mon devoir d’insister sur la liberté de choisir ses modèles, on doit veiller sur les siens.
Mais je n’ai pas de disciples et je ne peux en avoir, c’est donc par pure grâce que je l’affirme, haut et fort, à moins que mon style ne soit affecté d’une extinction de voix.
Que chacun soit libre, permette aux autres de l’être et favorise cette grâce chez tous sans l’espérer des autres.
@ Ellen | 01 février 2021 à 20:22
Cela fait un bon moment (à la louche près de quarante ans) que la France fricote avec la Chine et quelques autres ex-non alignés du même tonneau, leur cède ses brevets, son savoir-faire et leur envoie ses meilleurs ingénieurs afin de monter leurs usines robotisées et inhumaines et booster leur économie…
Tandis que de notre côté on n’a cessé de sacrifier la nôtre, de brader et délocaliser nos plus beaux fleurons industriels jusqu’à devenir incapables de fabriquer ne serait-ce que des masques, soumis à la loi du marché de ceux qui nous étaient redevables, passant en quelques décades de créateurs et maîtres de nos destinées et pourvoyeurs de savoir et biens de toutes natures au rang de suiveurs, d’exécutants dociles et simples consommateurs.
Quelle dégringolade !
La liberté, si elle ne trouve ses limites, tombe en tyrannie.
Vous dites des horreurs, Lodi, en vous pensant aussi pur que l’agneau immolé, lisez donc ceci, vous comprendrez que la notion d’expiation renouvelant la création est à sa fin. C’est fait, il n’y a plus rien à faire. Nous sommes laissés en tant qu’êtres humains au milieu de ce qui est, libres, responsables, privés de la faculté de rejeter le blâme pour ce qui se passe, capables de penser en dehors de la causalité victimaire :
http://jamesalison.com/fr/girard-livre-de-lapocalypse/
Et si vous voulez mieux connaître J.Alison :
http://jamesalison.com/fr/devenir-vivant-en-christ/
Bonne lecture.
Attention ce ne sont pas des bonbons inoffensifs !
On entend parler de la vitamine D et du zinc, éléments complémentaires bienfaiteurs utiles à notre corps pour renforcer notre immunité contre le Covid-19. À prendre sous conditions et sur ordonnance prescrite par le médecin généraliste après un examen sanguin obligatoire pour connaître les doses nécessaires et la durée pour chaque patient.
https://www.midilibre.fr/2021/02/01/coronavirus-alerte-a-la-surconsommation-de-vitamine-d-pour-lutter-contre-le-covid-19-9346444.php
@ Aliocha
Vous commettez toujours la même erreur, vous prendre pour celui qui doit remettre les autres dans l’orthodoxie girardienne, mais Girard, je l’ai lu, et ai plusieurs fois remarqué que vous lui faisiez dire des choses qu’il ne disait pas.
D’autre part, j’ai déjà subi une sorte d’interrogatoire girardien, et on ne me reprendra plus à m’abaisser à me justifier. En plus, vous vous en moquez, mais tout ce que vous dites ne fait que jeter un injuste discrédit sur ce penseur. Alors vos liens…
Vous ne me comprenez pas plus que vous n’en usez bien avec Girard, vous dites :
« Vous dites des horreurs, Lodi, en vous pensant aussi pur que l’agneau immolé »
Ce qui peut vouloir dire que je dis des horreurs, mais on ne dit pas lesquelles, et il ne vaut mieux pas, d’ailleurs, puisqu’il n’y en a pas.
Ce qui peut vouloir dire qu’il est horrible de se prendre pour un pur agneau immolé.
Je vais développer le second point. Je ne suis pas pur ou impur : et pourquoi ? Le pur et l’impur ne sont jamais que des notions religieuses liées au sacrifice, n’étant point un croyant et encore moins quelque sacrificateur, je laisse ces notions pour l’analyse des sociétés humaines et dans mon cabinet de curiosité, je ne pense pas à me classer ou à classer les autres dans des cases, et d’autant moins quand elles sont dignes de latrines.
Evidemment, comme le pur et l’impur sont enfouis dans la psychologie humaine, cela peut ressortir chez tout le monde : il faut donc que chacun se surveille, que puis-je dire de plus ?
Sinon, vous semblez confondre la pureté religieuse et l’action pure, je veux dire désintéressée. Pas je me fais bien voir par le voisin ou Dieu s’il existe, il faut se déconditionner de la culture religieuse et assimilée pour se tenir droit, lève-toi et marche sur le plan moral.
Ou bien, et dans le même mouvement, être si convaincu que certaines choses doivent être faites, si enthousiasmé dans ses bons jours, si stoïque dans le malheur qu’on fait son devoir comme un artiste heureusement traversé par l’inspiration créera à en briser son corps tant il l’a exploité en forgeant ses créations.
À part ça, il y a le terme « immolé », eh bien, suis-je un immolé ? Je pourrais dire que certains m’ont outragé, et comme plus populaires que moi, je ne considère pas avoir combattu à un contre un, d’un autre côté, puis-je dire avoir été victime ?
Avec une prudence que vous n’avez pas, je vous rappelle que René Girard disait que dans certains cas, il n’était pas facile de dire qu’on avait en face de soi un lynchage ou non, comme en plus je ne préfère pas être juge et partie, je ne me prononcerai pas.
Quoi qu’il en soit, il est certain que je ne suis pas populaire et ne peut pas l’être puisque pas dans un groupe et allant même contre les préjugés les plus divers.
En somme, il me faut lutter contre bien des adversaires, ce qui est un peu, disons, exigeant :
https://www.youtube.com/watch?v=yPmj0MELT6k
Je ne peux donc pas plaire à beaucoup, et dans les gens en question, peu peuvent oser m’apporter leur soutien. Je ne leur dédie pas moins mes combats, que j’offre surtout à l’avenir.
Pour un monde où chacun ait le droit de s’exprimer librement, où l’action soit aussi désintéressée que l’art pour l’art et aussi responsable que les Japonais mettant leurs masques pour ne pas infecter les autres, jusque chez nous, quand, longtemps, nous ne les avons pas compris.
Au coeur du marché de Wuhan et des origines du Covid-19 dont les premiers malades atteints par ce virus ont été dépistés à l’hôpital dès le 29 décembre 2019. Les trois quarts des malades atteints par cette infection travaillaient sur ce marché à ciel ouvert où la saleté des animaux vivants vendus en l’état à des restaurateurs et à des particuliers ne pouvaient qu’être la chaîne de contamination à grande échelle.
Voici le reportage mené avec soin à Wuhan en juin 2020
https://www.youtube.com/watch?v=mg1W6F1p-Rk
L’agneau tout pur prône la stérilisation des femmes en se torchant avec la Constitution, point de Girard là-dedans à prôner la justice comme justification de la vengeance, on ne discute pas avec l’innommable.
On ne peut que regretter qu’il errera éternellement aux souterrains de son ressentiment, tel Golum à la recherche de son précieux anneau, analogie poétique de l’orgueil envieux, permettant de comprendre pourquoi l’histoire humaine n’est que répétition cataclysmique :
« Ce que je suggère alors, c’est que le Livre de l’Apocalypse nous rend sensibles à la façon dont la réalité culturelle humaine est, à chaque génération, cataclysmique : guerres et rumeurs de guerres, de révolutions, d’empereurs, de dieux. Et, à chaque génération, tout cela a été pris en charge par le sacrifice : le sens, l’appartenance, l’identité et ainsi de suite, le tout avec la mort comme garantie, l’assassinat travesti en sacrifice, dulce et decorum est pro patria mori. Il ne peut guère y avoir quelque chose de moins cataclysmique que l’arrivée lente et graduelle, dans le temps humain, de l’inverse de cela : le sacrifice montré comme un meurtre, la mort perdant son pouvoir en tant que garant ultime de la culture. Néanmoins, cette arrivée percute en son cœur même le fondement et la condition de possibilité de toute culture humaine. Et ce basculement est au cœur de ce que nous appelons la Résurrection : la résurrection de Jésus n’a pas été la fin heureuse d’une triste histoire. C’est la révélation réellement choquante du vrai début de l’histoire, avec une effervescence qui n’est plus celle de la mort au milieu d’une parodie futile et autodestructrice qui passait pour en être l’origine. Nous n’avons aucune forme de mise en récit pour vivre cette histoire vraie, autre que celle qui nous est offerte à partir de l’inversion de notre fondement narratif, vécue dans et depuis le pardon. La défaite de la mort relativise automatiquement, et de façon dévastatrice, toutes les histoires, tous les mythes, toutes les cultures, et initie le processus terrifiant de la « dé-catastrophisation » de l’expérience humaine. »
http://jamesalison.com/fr/girard-livre-de-lapocalypse/
@ Denis Monod-Broca
« Il est encore reproché à Jospin d’avoir proféré cette vérité première « l’Etat ne peut pas tout » »
C’est exact… Dans le domaine de la santé, comme le médecin, l’Etat n’a pas une obligation de résultat mais il a une obligation de moyens… et le premier d’entre eux est la prévention. La Covid-19 était inconnue, mais pas les moyens de prévention d’une pandémie. Le gouvernement avait à sa disposition plusieurs rapports précis et documentés qui disaient l’urgence de les mettre en œuvre et de les maintenir en état de fonctionner dès la première alerte (cf le commentaire d’Exilé -31 janvier à 11:22 et le rapport de la Cour des comptes sur la gestion de la grippe H1N1).
Les Français ont parfaitement le droit de demander des explications via la justice au gouvernement et à l’Etat, qui, en ne tenant pas compte de ces avertissements, dont certains en provenance de leurs propres services, les ont mis ainsi en danger. N’en déplaise à Claude Malhuret, dont le discours tient du verre d’eau de Vichy tiède. On le connaissait plus vindicatif quand il était l’un des bretteurs de la « bande à Léo »…
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@ Achille 30 janvier 2021 à 11:06
« Il fut une époque où dans un naufrage… »
Naufrage ! Vous avez dit naufrage ?! J’ai compris : c’est de l’humour au quatrième degré…
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@ Robert Marchenoir 30 janvier 2021 à 11:53
Quel beau pays la France !… qui n’a plus de restaurants, plus de bars, plus de salles de spectacles, plus de cinémas, plus de stations de ski, plus de lieux de loisir, qui désespère ses jeunes, angoisse ses vieux et colle des amendes pour défaut d’auto-ausweis… Bref, la vraie douceur de vivre. Pourvu que ça dure !
Quel beau pays la France !… dont, le dimanche après 18h, le courtois ministre de l’Intérieur préfère accueillir, au péage de Buchelay (Yvelines), les « bourges » qui rentrent de Deauville, en offrant des « prunes » à 135 euros pièce à chaque passager, plutôt que de rendre visite, à 800m de là, au Val Fourré, quartier exotique de Mantes-la-Jolie, aux serviables « chancespourlaFrance » qui poursuivent, heureux et démasqués, leur petit commerce de poudre de perlimpinpin et leurs animations pétaradantes…
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@ Robert Marchenoir 31 janvier 2021 à 08:56 (@ Ninive)
«Les commentaires de Rioufol viennent d’être rétablis. Pourquoi n’en profiteriez-vous pas ? Vous seriez tellement mieux là-bas qu’ici, où règne l’horrible « bande des quatre » qui fait régner la terreur… »
Quelle lucidité ! Maximilien, où réinstalle-t-on la machine à Guillotin ? Devant le palais de la citoyenne Anne H. ? Place de la Concorde, qui porte si mal son nom ? Rue de Ségur, devant la demeure de l’illustre Diafoirus Olivier V. ? La charrette des condamnés est déjà pleine… On pourrait aussi d’abord l’envoyer à Marseille… Il y a un peu trop longtemps qu’un charlatan y pérore, n’est-ce pas ?
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@ Robert Marchenoir 31 janvier 2021 à 22:08
Vous qui adorez les comparaisons et les présentez systématiquement comme favorables à la remarquable gestion française de la crise sanitaire, pourriez-vous en dresser quelques-unes en matière de conséquences de la pandémie sur les économies de divers pays, dont la France bien sûr. Je pense que vous arriverez à nous prouver que, là aussi, nous sommes les meilleurs !
@ breizmabro
« …ou s’ils ne veulent pas leur fournir une crécelle pour qu’ils/elles se signalent lorsqu’ils/elles se déplacent. C’était top du temps des pestiférés 😀 »
De nos jours, une application suffirait à faire crépiter tous les ordiphones passant à proximité d’un covideux en goguette…
@ Serge HIREL | 02 février 2021 à 10:01
« Naufrage ! Vous avez dit naufrage ?! J’ai compris : c’est de l’humour au quatrième degré… »
Ben oui. Faut pas m’en vouloir, je n’arrive pas à faire en dessous. C’est sans doute pour cela que je ne suis pas toujours bien compris sur ce blog. On a pu le constater encore dernièrement, avec ma petite insolence sur les juifs…
@ Serge HIREL | 02 février 2021 à 10:01
« Vous qui adorez les comparaisons et les présentez systématiquement comme favorables à la remarquable gestion française de la crise sanitaire… »
Eh bien, puisque nous sommes ici au café du commerce, je ne vais pas vous l’emballer dans du papier de soie : vous êtes c…, ou quoi ? Je viens d’expliquer, par le menu, en quoi les résultats de la France étaient mauvais. Et je viens d’expliquer très précisément ce qu’il conviendrait de faire pour qu’ils le soient moins. En nous inspirant des rares pays qui ont eu de bons, voire d’excellents résultats.
« Quel beau pays la France !… qui n’a plus de restaurants, plus de bars, plus de salles de spectacles, plus de cinémas, plus de stations de ski, plus de lieux de loisir… »
Euh… oui. Comme la plupart des pays touchés par le Covid. Et donc, votre solution à vous, ce serait…? Je veux dire, au-delà de pincer la lyre d’Assurancetourix en nous expliquant sur des kilomètres à quel point nous sommes malheureux ?
Pour ma part, j’ai proposé mes solutions. Quelles sont les vôtres ?
Je note que les Français sont le peuple le plus heureux de la terre : ils vivent une catastrophe épidémique sans équivalent depuis un siècle, et leurs seuls désagréments, d’après vous, sont d’être privés de restaurants, de bars, de salles de spectacles, de cinémas et de stations de ski.
Mais ça ne vous empêche pas de sangloter comme un petit enfant auquel on viendrait d’apprendre la mort de ses parents. Peuple de sybarites et de mauvais littérateurs !
« Le dimanche après 18h, le courtois ministre de l’Intérieur préfère accueillir, au péage de Buchelay (Yvelines), les ‘bourges’ qui rentrent de Deauville, en offrant des ‘prunes’ à 135 euros pièce à chaque passager… »
Ça sent le vécu… Donc d’après vous, la meilleure façon de lutter contre l’épidémie, c’est de ne pas sanctionner l’infraction aux règles ? Et vous auriez des exemples de pays étrangers qui auraient obtenu de meilleurs résultats que nous, en appliquant votre brillante idée ?
Parce que pour ma part, je viens de vous exposer l’exemple de Taïwan, le pays qui a obtenu les meilleurs résultats du monde (8 morts en tout et pour tout, depuis le début de l’épidémie), et il applique la politique exactement inverse : des sanctions impitoyables. Amendes astronomiques, et jusqu’à trois ans de prison.
Juste pour rigoler : en Grande-Bretagne, dans les zones infectées par le variant sud-africain du Covid, les autorités sanitaires vont de porte en porte pour tester les habitants à domicile, et elles leur recommandent de ne même pas sortir de chez elles pour acheter à manger.
Mais en Frônce, nous sommes étanches au variant sud-africain, et la principale préoccupation c’est de rouvrir les bars et les restaurants, et de ne pas infliger d’amendes aux « bourgeois » qui reviennent de Deauville à Paris, parce que les « bourgeois », ils ne transmettent pas le Covid et ils ont droit à un peu d’égards, saperlipopette.
Que l’on contrôle les b… et les n…, et qu’on fiche un peu la paix aux Blancs aisés qui votent à droite, non mais sans blague.
@ Achille
« Le gouvernement privilégie la première catégorie, mais de plus en plus de voix s’élèvent pour porter la priorité sur la seconde. Il fut une époque où dans un naufrage ont faisait monter les femmes et les enfants d’abord. Mais nous avons changé d’époque alors, sur le plan éthique, ça se discute… »
E la nave va. Vous reprendrez bien un peu de lait de rhinocéros ?
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@ Serge HIREL
« Quelle lucidité ! Maximilien, où réinstalle-t-on la machine à Guillotin ? »
Parce que vous comparez réellement notre comportement à moi, Robert Marchenoir, Achille et Tomas à l’épisode de la Terreur ? Pourquoi pas aux camps d’extermination ? Vous avez mis votre petite étoile jaune ?
Ces comparaisons sont véritablement oiseuses. En ce qui concerne moi-même et Marchenoir, nous sommes beaucoup plus préoccupés par l’idée de vous apporter des contradictions par le biais de nos arguments que par l’idée de vous envoyer au Goulag.
Honnêtement…
Il demeure par contre bel et bien qu’il est légitime, quand des gens sont en position de responsabilité, qu’on leur demande des comptes. En ce qui concerne Raoult, il me paraît absurde que celui-ci ne soit pas démis de ses fonctions. Et comme il est protégé par le blanc-seing de l’État, ce qui permet de faire semblant de croire à de la persécution politique alors que ce ne serait que logique qu’il soit renvoyé, il convient de changer de système.
En somme de faire en sorte que son institut ne dépende pas de l’État: qu’il bénéficie de financements publics, soit, je veux bien l’accepter ; mais que la décision de le renvoyer dépende d’autorités étatiques, ce n’est pas acceptable. C’est justement un mécanisme qui lie alors l’État et la science de manière institutionnelle et politique, alors que l’État et la science devraient être autant séparés que l’État se doit l’être de l’Église et même de la philosophie morale, à mon sens partie intégrante de ce qui devrait se nommer la science.
Voilà à quoi se résume votre « machine à Guillotin »: un simple changement de statut légal quant il s’agit de postes tels que ceux de Raoult. En gros, que ces postes cessent d’être des postes de fonctionnaires. Et qu’ils deviennent responsables vis-à-vis de la société civile et non pas vis-à-vis de l’État. Et donc que Raoult soit confronté à ses pairs, non seulement en France mais aussi à l’international.
Ce qui n’est nullement assimilable à un couperet trapézoïdal comportant un tranchant en biseau. À moins de perdre le sens des proportions dans le domaine de l’évaluation morale.
Je ne vois pas en quoi la citation de Girard contredit quoi que ce soit de ce que je dis. Il n’a pas parlé des points que j’évoque comme notre perverse Constitution, oui, perverse, elle organise non un équilibre mais un déséquilibre des pouvoirs.
On peut tirer la chasse et passer à autre chose ?
Je ne prône pas la stérilisation « des femmes » mais des femmes et des hommes qui maltraitent leurs enfants.
Si on préfère ne pas prendre cette mesure, qu’on ne vienne pas s’étonner que les nouveaux enfants soient traités comme les anciens.
Moi aussi, je concours pour le Bossuet d’or !
Quant à la vengeance… Ce que je dis ? La vengeance privée est mauvaise pour la société à partir d’un certain stade de développement, d’où sa condamnation. Mais bonne pour l’individu.
Ulysse sans vengeance n’aurait été qu’un mendiant des mers : c’est la reprise de son trône qui met un point final à son aventure.
Et c’est moi l’immonde ?
Parce que je dis la vérité du mimétisme, il mène à la violence, si on la régule, il y a une variable d’ajustement, la victime, soit sacrifiée par lynchage, soit sacrifiée quand pas tuée mais qu’on l’empêche de se faire justice.
Elle est, comme je l’ai dit, un trognon, ce qui ne veut pas dire mignon, elle est un relief de repas, le reste de ce qu’elle était avant l’outrage, les os que l’ogre en a laissé.
Soit on abat l’ennemi, soit on est abattu, plus fondamental encore que le mimétisme et le sacrifice sans parler de la vengeance publique, il y a la domination, cet instinct trop nié mais manifesté selon leur style par les trolls.
« Gollum » quand j’explique au contraire qu’il faut jeter l’anneau-notre Constitution aliénante, dans le feu… Ce sont les autres, et pas moi, qui sont possédés par l’Anneau, ma parole !
On dirait bien de Gandalf qu’il doit être drôlement mauvais pour vouloir détruire l’anneau : ne reconnaît-il pas être plus exposé à sa tentation que beaucoup ?
Quelle vie, vraiment, les dominants forgeant des chaînes sont adorés des masses stupides tandis que ceux qui leur proposent de s’en affranchir sont vilipendés.
On peut en tirer parti, d’ailleurs :
https://www.les-crises.fr/minute-semaine-de-la-haine-1984/
Quand on est comme moi, on appréhende les choses et combien cette compréhension sera refusée et le monde dévoré par des flammes qu’on prend pour des aurores. Pourquoi donc alerter, et se faire, conséquemment, traiter d’immonde ? Ou de nazi, de raciste, de comploteur, de sans talent et j’en passe ?
Va savoir… Peut-être parce que je sais que le monde est démons et merveilles : qui en masque les démons leur en livre les merveilles.
@ F68.10 (@ Serge HIREL)
« Parce que vous comparez réellement notre comportement à moi, Robert Marchenoir, Achille et Tomas à l’épisode de la Terreur ? Pourquoi pas aux camps d’extermination ? Vous avez mis votre petite étoile jaune ? »
F68.10 semble avoir oublié son post du 01 février 2021 à 00:05 où il nous parlait, sans aucun rapport avec le sujet, de tueurs en série, de millions de morts et d’Hitler. Bien incapable de répondre sur le fond ou d’admettre son ignorance. À l’image de son mentor RM, dès qu’il se retrouve en difficulté, il se lance dans des explications interminables et sans queue ni tête, ou se livre à des comparaisons foireuses ou injurieuses. Y compris quand le commentaire ne lui est pas adressé, c’est plus fort que lui il faut qu’il la ramène.
@ Mary Preud’homme
« F68.10 semble avoir oublié son post du 01 février 2021 à 00:05 où il nous parlait, sans aucun rapport avec le sujet, de tueurs en série, de millions de morts et d’Hitler. »
Alors, attendez, je vérifie. Je retourne dans les méandres du blog… et… ah !… le voilà !
Oui, eh bien… je ne vois absolument pas où est le problème: Hitler nous a bien fait un petit paquet de millions de morts. Le coronavirus aussi. En termes purement quantitatifs, c’est du même ordre de grandeur, et même Hitler est potentiellement moins meurtrier car à 98 % de survie pour chaque personne infectée, une fois que chacun y aura goûté, cela ferait 160 millions de morts. À la louche.
Donc, oui, c’est bien l’ampleur du coronavirus: 2,2 millions de morts actuellement selon les statistiques officiels, et 160 millions de morts prévus si vos statistiques sont justes.
L’enjeu de ce message était simplement de vous montrer ce que signifient des pourcentages quand on les multiplie par 8 milliards. Et donc, pour vous expliquer, simplement, l’ampleur du coronavirus: je prends donc bien Hitler comme point de référence, ce qui est parfaitement mon droit ; et en fixant, par convention, l’unité « Hitler » à 1 Hitler = 6 millions de morts, nous sommes actuellement à 0.36 Hitlers et à 26 Hitlers selon les prévisions induites par vos statistiques. À la louche.
« Bien incapable de répondre sur le fond ou d’admettre son ignorance. »
À quel sujet devrais-je admettre mon ignorance ? L’ondulation en papillon ? Je ne crois pas… Explicitez donc le point en débat, et j’aviserai.
« À l’image de son mentor RM, dès qu’il se retrouve en difficulté, il se lance dans des explications interminables et sans queue ni tête… »
Vous avez essayé Babar, à la place? C’est plus facile à lire. Plus distrayant. (Et Robert Marchenoir n’est pas exactement mon mentor… je vous l’ai déjà dit, me semble-t-il: c’est William Bartley.)
« ou se livre à des comparaisons foireuses ou injurieuses. Y compris quand le commentaire ne lui est pas adressé, c’est plus fort que lui il faut qu’il la ramène. »
Je la ramène essentiellement sur les commentaires qui me sont adressés. Et parfois, oui, je varie. Et je ne vous adresse pas la parole spécialement plus qu’à une autre personne de mon propre chef. La dernière en date, de mon propre chef, c’est Claude Luçon. Pas vous. Détendez-vous.
Après tout, peut-être que l’innommable, qui ne peut être nommé, est immonde.
Ulysse savait-il lire ?
Alison n’est pas Girard, le tout pur n’est pas possédé, juste obsédé par la vengeance, fondement de sa justice.
On ne transige pas avec l’innommable.
En effet, je ne transige pas avec rien de bas… Par parenthèse, rien n’est innommable : le vocabulaire est riche, et si on se trouve par malrencontre en manque de mots, il existe les périphrases et la possibilité de créer des mots et des expressions.
Eh oui, le monde moderne en est plein, totalitarisme par exemple.
Les musulmans étant trop souvent non seulement arriérés mais facteurs d’arriération avec leurs atteintes à la laïcité, droit des femmes, attentats et autres joyeusetés, je propose arriérants.
Les parents ayant maltraité leurs enfants se permettant d’en procréer d’autres en principe promis au même sort, sont des gâcheurs d’enfants, qu’on ne devrait pas plus laisser procréer qu’il ne faut permettre à des abuseurs d’enfants d’approcher les enfants.
Dire les choses telles qu’elles sont et prendre les mesures pertinentes sinon… Je sens qu’avec certains, je vais avoir le Bossuet d’or.
Il est bas pour une victime de se soumettre ou quand on ne l’est pas de laisser une victime être soumise selon les mécanismes aussi incontestables qu’incontestés par vous que j’ai évoqués.
Les formules ronflantes comme quoi on ne transige pas avec l’innommable ne sont jamais que jet d’encre de pieuvre pour couvrir sa fuite.
Je ne fais ni ne permets rien de bas.
Par contre, je n’écope pas pour les sottises des autres, que ceux qui ont créé ou laisser se créer une situation s’en débrouillent ! Je refuse de jamais rien faire contre ce dont j’ai averti quand il en est encore temps.
Et je veux bien du Bossuet d’or, mais pas des corvées afférentes, merci !
je, je, je, rime avec le moi, moi, moi, et le serpent du beau suaire d’or se mord, oui, oui, oui, la queue, queue, queue.
@ F68.10 | 03 février 2021 à 00:55 + 02 février 2021 à 17:24
« En ce qui concerne Raoult, il me paraît absurde que celui-ci ne soit pas démis de ses fonctions. »
Exactement. Curieusement, absolument personne n’appelle à une telle décision. Pas un journaliste, pas un homme politique, pas un intellectuel… pire : pas un savant, pas un médecin.
Quel que soit le bord politique, l’idéologie, la conviction… du plus modéré au plus extrémiste, de la gauche radicale à la droite fasciste, des plus « rebelles » aux « médias du système », il n’y en a pas un pour faire ce constat d’évidence : Didier Raoult a gravement trahi ses responsabilités et l’éthique de son métier, il est donc indigne de rester une minute de plus à la tête de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection — financé par le contribuable, faut-il le rappeler.
Personne en France, en tous cas. Et les gens s’étonnent quand je dis que la France est un pays communiste. C’est pire que ça : dans les pays communistes, il y avait une opposition, des dissidents…
« À quel sujet devrais-je admettre mon ignorance ? »
Laissez tomber. Mary Preud’homme, c’est un bloc de névrose compact. Elle a les mêmes invectives obsessionnelles et infondées, au mot près, à l’égard de n’importe qui sur ce blog, depuis des années. Longtemps avant mon arrivée.
Enfin, plus précisément envers les hommes. Elle a un problème avec les hommes.
Elle est suffisamment perverse pour que chacun puisse se sentir légitimement mis en cause, l’espace d’un moment. Mais c’est un hamster dans sa cage. On ne raisonne pas avec un hamster dans sa cage, qui pédale jusqu’à la fin des temps pour se maintenir en vie.
@ Robert Marchenoir 02 février 2021 à 12:49
« Je viens d’expliquer, par le menu, en quoi les résultats de la France étaient mauvais. »
Vous en êtes sûr ? Relisez donc votre propre litanie « c’est bien pire ailleurs » du 30 janvier à 11:27. Difficile de nous faire croire qu’il s’agit d’une critique de la gestion « guerre en dentelles » de Jupiter… et votre commentaire du 31 janvier à 22:08 tient aussi de l’éloge en creux : ni dictateur taïwanais, ni irresponsable suédois, notre Président !
Le curseur entre crise sanitaire et fiasco économique exactement là où il faut, au bon moment ?… Pas sûr, puisque la France – tout juste un peu moins que la Grande-Bretagne – a réussi l’exploit d’accumuler à la fois un nombre de décès important et une chute vertigineuse du PIB. Ne serait-il pas temps qu’au Château, on se rende compte que nous perdons sur les deux tableaux ? Les hésitations sur le troisième confinement annoncent-elles le début de la sagesse ?
Pour votre part, vous semblez accroché au tout contre le virus « quoi qu’il en coûte »… D’où ma question sur les conséquences économiques… à laquelle vous ne répondez pas.
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@ F68.10 02 février 2021 à 17:24
Mon commentaire faisant référence aux heures les plus ignobles de la Révolution ne s’adressait qu’à Robert Marchenoir et pas du tout à vous, ni à Achille, ni à Tomas, membres à ses yeux du Comité de salut public qu’il tente d’imposer sur le blog… En un seul message (31 janvier à 08:56), il condamne une dizaine de personnes pour le seul motif qu’il ne les aime pas ou qu’elles lui tiennent tête…
Quant au Professeur Raoult, son amour immodéré pour les caméras peut troubler, mais je n’ai nulle compétence ni pour le juger, ni, s’il doit l’être, faire le choix entre ses deux statuts, médecin et fonctionnaire. Ce dont je suis sûr, c’est que, si ce dernier l’emportait, on ressortirait la sempiternelle irresponsabilité des agents de l’Etat avant même le début d’une instruction. Et j’en serais fort mécontent, considérant que cette disposition, qui s’applique à nos six millions de fonctionnaires et assimilés, est l’une des causes majeures du mauvais fonctionnement de nos administrations.
@ Robert Marchenoir | 03 février 2021 à 13:49
Quand il laisse éclater son dépit, sa hargne et ses frustrations de déblablateur compulsif, Il est vraiment pathétique et me fait pitié. Furieux que je ne l’aime pas et avec raison, moi la « vieille folle obsédée sexuelle qui a trahi sa race, etc. » (pour reprendre l’un de ses hommages appuyé, parmi d’autres du même tonneau), voilà maintenant qu’il se prend pour « les hommes de ce blog » et prétendrait se faire leur porte-parole, les malheureux !
@ Robert Marchenoir
« Exactement. Curieusement, absolument personne n’appelle à une telle décision. Pas un journaliste, pas un homme politique, pas un intellectuel… pire : pas un savant, pas un médecin. »
Effectivement, c’est lamentable. Nous parlons bien vous et moi de démettre Raoult de ses fonctions de l’IHU à Marseille. Pas de plaintes devant le conseil de l’ordre, hein…
De toutes manières, quand on voit que Karine Lacombe, quoi qu’on pense d’elle, est poursuivie en diffamation pour avoir qualifié les positions de Raoult de non-éthiques, on se dit qu’il y a quand même un problème de fond dans la législation française sur la liberté d’expression.
Il est tout à fait naturel de débattre dans les médias de ce sujet sans être visé par des plaintes en diffamation. Sinon, effectivement, il est impossible de discuter d’un renvoi de Raoult de l’IHU. Et ce devrait bien être le rôle de la société civile que de pouvoir débattre de cela. Véritable problème de fond…
Le statut de fonctionnaire, de médecin, de mandarin, couplé à un cadre légal parfaitement inadéquat en matière de liberté d’expression et en particulier de diffamation garantit l’épanouissement de l’autoritarisme à la française.
Heureusement qu’en anglais, c’est plus vivant: « Bullshit artist » pour qualifier Raoult, c’est quand même un peu plus proche des réels enjeux que les attaques à fleurets mouchetés de Lacombe qui nous parle de manque d’éthique… Toute en rondeur, la Lacombe… elle ne dit probablement pas le dixième de ce qu’elle pense…
« Laissez tomber. Mary Preud’homme, c’est un bloc de névrose compact. Elle a les mêmes invectives obsessionnelles et infondées, au mot près, à l’égard de n’importe qui sur ce blog, depuis des années. Longtemps avant mon arrivée. Enfin, plus précisément envers les hommes. Elle a un problème avec les hommes. »
Ouais, ben, que voulez-vous que je vous dise ? Elle nous fait éternellement le coup de la victime en peau de lapin. Nous expliquant que nous « insultons », que nous « injurions ». C’est assez pathétique, mais il convient bien de répondre point à point à son agressivité, et de ridiculiser ses tentatives d’humiliation à deux balles.
On remet les pendules à l’heure en parlant bien de ce que signifie 2 % de morts sur 8 milliards, à savoir 26 Hitlers, et elle trouve que le calcul est injurieux ou quelque chose dans le genre. Mary Preud’homme offensée par l’opérateur de multiplication… Du grand art. Quant à moi, je suis prié de croire que toutes les horreurs qui figurent dans mes dossiers ne sont que de la gentillesse afin de prendre soin de moi et de mon pauvre esprit égaré qui à un problème avec sa môman… Deux poids deux mesures dans l’évaluation morale de ce que constitue l’injure ou l’insulte, je trouve. Du grand n’importe quoi: un art de l’asymétrie consommé.
Heureusement que Mary Preud’homme veut envoyer tout un tas de violeurs comme copains de chambrée en hôpital psychiatrique. J’apprécie beaucoup. Déjà que je me trouvais bien urbain quand j’étais contraint d’accepter de voir un de mes copains de chambrée se masturber devant moi sans pouvoir râler (car sinon je me « sentirais persécuté », n’est-ce pas ?), je me réjouis de l’impact des mesures prônées par Mary Preud’homme dans le domaine de la lutte contre les maltraitances sexuelles. D’autant plus que les victimes de viol fréquentent aussi assidûment ces lieux de luxe, calme et volupté.
@ F68.10 | 03 février 2021 à 19:24
« Quand on voit que Karine Lacombe, quoi qu’on pense d’elle, est poursuivie en diffamation pour avoir qualifié les positions de Raoult de non-éthiques, on se dit qu’il y a quand même un problème de fond dans la législation française sur la liberté d’expression. »
Vous me l’apprenez. C’est un scandale. Le fait que Raoult défende des positions scientifiques au moyen de procès en diffamation dit assez de quelle racaille intellectuelle il s’agit. Je remarque qu’Olivier Berruyer en fait autant lorsqu’on l’accuse (avec raison) d’être un agent de désinformation russe, etc.
Cela dit, il s’agit d’une tendance mondiale, hélas. Les Anglais ne sont nullement en reste, bien au contraire. Le procès en diffamation, ou sa simple menace, est devenu chez eux un moyen d’empêcher la publication d’informations compromettantes. En particulier pour le régime russe.
Comme les musulmans, le Kremlin se sert de nos lois pour saboter nos démocraties. Et la Chine n’est pas loin derrière…
« Elle nous fait éternellement le coup de la victime en peau de lapin. Nous expliquant que nous ‘insultons’, que nous ‘injurions’. »
Au-delà de la personne concernée qui n’a aucune importance, c’est une tendance générale. On remarquera que c’est exactement le mécanisme du politiquement correct de gauche, de la « cancel culture », qui permet de faire régner très efficacement, aux États-Unis, la terreur intellectuelle, politique et sociale.
C’est d’autant plus paradoxal que Mary Preud’homme se revendique bruyamment de droite, et gaulliste.
Au passage, cela révèle quelque chose sur la nature du gaullisme, qui est en réalité à gauche.
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@ Mary Preud’homme | 03 février 2021 à 17:07
« Moi la ‘vieille folle obsédée sexuelle qui a trahi sa race’, etc. »
Vous êtes effectivement une vieille folle obsédée sexuelle qui a trahi sa race. Il est curieux que vous vous vantiez sans cesse d’imputations peu flatteuses, mais exactes, qui vous ont été faites il y a un ou deux siècles, que tout le monde a oubliées à commencer par moi, mais que vous tenez à remettre sur le tapis périodiquement — en omettant, bien entendu, de rappeler le contexte qui les a provoquées.
Comme si la pauvre chochotte que vous êtes avait été traitée d’obsédée sexuelle de but en blanc, comme ça, sans la moindre provocation de votre part.
Mais l’univers tourne autour de votre nombril, apparemment. Vous resterez rongée par le ressentiment jusqu’à la fin de vos jours. Tout se passe comme si votre raison d’être était de casser les pieds à la terre entière.
Vieille folle obsédée sexuelle, vous venez de le prouver une fois de plus, en disant à mon propos :
« Furieux que je ne l’aime pas. »
Si vous aviez seize ans, ce serait déjà ridicule, mais alors à votre âge…
Quant à la trahison de votre race, merci de me redonner l’occasion d’expliquer la perversité qui est la vôtre ici, et qui importe non pas à l’aune de votre minuscule personne, dont personne n’a rien à faire, mais parce qu’elle reflète exactement le mécanisme de l’idéologie « anti-raciste », politiquement correcte et « woke » qui opprime des centaines de millions de gens à travers l’Occident actuellement.
S’il est important de vous signifier que vous avez trahi votre race en épousant un Noir, ce n’est évidemment pas parce que vous êtes une Blanche qui a épousé un Noir.
C’est parce que vous passez votre temps à nous le faire savoir, et ce, non dans le but de manifester votre amour à votre mari (je n’ai jamais vu un témoignage d’estime, d’admiration ou d’affection à son égard dans vos propos), mais dans le but d’accuser les autres de « racisme ».
Vous brandissez votre intimité à la figure des gens pour faire du chantage politique. Vous exploitez votre vie privée pour tenter d’interdire aux autres de s’opposer à l’immigration de masse, et d’expliquer les bonnes raisons qu’ils ont pour cela. Vous commencez par faire du chantage affectif, avant de faire du terrorisme intellectuel et politique.
Que vous ayez fait cela pour dire m… à votre famille, et que vous ayez l’impudeur de vous en vanter, passe encore. Mais que vous prétendiez nous dicter, à tous, ce que devraient être nos opinions politiques au prétexte des choix de votre vie privée, voilà qui passe les bornes de l’indécence.
Comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, si le fait, pour un Blanc, de se marier en dehors de sa race le transforme en « anti-raciste » enragé et en dictateur politique prenant systématiquement le parti de la race de son conjoint contre les intérêts supérieurs de sa nation, alors, effectivement, cela justifie le « racisme » le plus énergique (plus précisément : le réalisme racial) et donne corps à la notion de trahison raciale.
Vous êtes la preuve vivante que la race, ça compte, et que la fidélité du sang prime sur la citoyenneté et la raison.
Vous n’avez jamais réfuté cette observation de bon sens. Au contraire, vous vous obstinez à la confirmer par votre comportement.
Ben oui, qui humilie sera humilié, comme celui qui pardonne…
Ce n’est pas qu’on avance, nous voilà au cœur du sujet qui n’est plus un objet.
« Masques, tests, vaccins, communication : amateurisme ou incompétence ? » (PB)
Les deux mon général. Sans compter l’habituel lobbyisme !
La preuve : « Covid-19. Vaccin nantais livré d’abord au Royaume-Uni : la présidente des Pays de la Loire en colère: C’est le Royaume-Uni, et non la France, qui va être la première à bénéficier du vaccin anti-Covid mis au point par la société nantaise Valneva dont le premier actionnaire est le groupe choletais Grimaud. La présidente de la Région des Pays de la Loire déplore que la France ait raté cette occasion unique, met en cause le ministre de l’Industrie et parle d’un « terrible sentiment de gâchis ». »
Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/pays-de-la-loire-vaccin-nantais-anti-covid-la-presidente-de-region-accuse-le-ministere-8651c1ea-647a-11eb-8db3-7bfa2ba325d2
Mise au point :
Une fois de plus Marchenoir, le vengeur masqué du blog, étale son obsession raciste dominante, comme si la norme était d’avoir la peau « blanche » et qu’il fût nécessaire de se justifier quand tel n’est pas le cas.
Alors que personne n’a à s’excuser de ses origines ni de la couleur de sa peau, de celle de son père, sa mère, son conjoint ou ses enfants : des détails qui devraient n’avoir aucune importance dans un pays civilisé.
Une fois encore, Marchenoir se permet de m’injurier en tant que femme, en tant que mère, en déblatérant et diffamant au sujet de mon conjoint « amérindien » (décédé) et de ses racines multi-ethniques, détail que je n’avais mentionné qu’à titre de commentaire sur le sujet précis du métissage et dont cet individu avait pris prétexte (alors que mon propos ne s’adressait pas à lui) pour venir m’agonir, déverser sa haine raciale compulsive et m’accuser de trahison, bien sûr complétement hors sujet.
Et aujourd’hui, bien loin d’avoir quelque regret pour sa conduite passée inqualifiable, il en remet plusieurs couches, montrant par là sa noirceur d’âme, sa hargne et son esprit vindicatif vis-à-vis de toute personne digne, équilibrée et bien dans sa peau qui a l’audace de le démasquer.
À son âge, sauf miracle pour l’extirper de sa gangue où il s’embourbe de plus en plus, il semble donc que son K soit désespéré. D’autant que contaminé par le nouveau virus raoulphobique (après le russo-poutino phobique) il y a peu d’espoir qu’il s’en sorte !
Priez pour lui !
@ Robert Marchenoir | 04 février 2021 à 10:49
« Quant à la trahison de votre race, merci de me redonner l’occasion d’expliquer la perversité qui est la vôtre ici, et qui importe non pas à l’aune de votre minuscule personne, dont personne n’a rien à faire, mais parce qu’elle reflète exactement le mécanisme de l’idéologie « anti-raciste », politiquement correcte et « woke » qui opprime des centaines de millions de gens à travers l’Occident actuellement. »
Vous qui sans rien connaître d’une personne, ou si peu, pouvez ici, sous couvert d’une vertueuse volonté que vous seul pénétrez, déverser votre trop-plein de bile…
Et moi qui ne vous connais pas plus que vous ne connaissez Madame Preud’homme, laquelle a l’âge de ma mère, je viens avec cette même « saloperie », celle que vous nous présentez comme utile et nécessaire, vous dire que si par hasard un jour vous aviez eu envie d’être utile au monde et nécessaire à l’humanité, vous auriez consacré ce qui fait battre votre cœur et vibrer vos neurones à laver l’opprobre qui chaque jour est jeté au visage de ceux qui cherchent une issue mais vous préférez vous vautrer dans la vomissure où patauge l’humanité…
Vous n’avez aucune éducation, et votre semblant de connaissance ne vous sert à rien…
Rien ne sert à rien s’il ne sert pas à ce que M. Bilger sur l’autre fil se désespère de voir sauvé, et qui coule à pic dans la fange nauséabonde de la médiocrité.
Pourvu que F86 quisaittout, ne se mette pas en tête de me répondre, car je manque cruellement de temps, il faut que je vienne à bout de l’immortel BWV 1052, et je suis pulvérisée…
Marchenoir pourquoi n’épouseriez-vous pas F98quisaittout, je vous enverrai des lys blancs et purs et tous deux vous pourriez rêver d’un monde sans les femmes hystériques, inutiles et idiotes traîtresses ??
Le bonheur tient à si peu de choses…
Pour moi, il tient à quelques notes, et par chance j’ai l’oreille absolument parfaite ou parfaitement absolue !! De te fabula narratur…
@ Serge HIREL
« Ce dont je suis sûr, c’est que, si ce dernier l’emportait [i.e. le statut de fonctionnaire de Raoult sur son statut de médecin], on ressortirait la sempiternelle irresponsabilité des agents de l’Etat avant même le début d’une instruction. Et j’en serais fort mécontent, considérant que cette disposition, qui s’applique à nos six millions de fonctionnaires et assimilés, est l’une des causes majeures du mauvais fonctionnement de nos administrations. »
Je vous remercie de cette appréciation, frappée au coin du bon sens et qui me semble malheureusement assez peu partagée.
Mais, si on tient, comme moi, à réellement séparer la science de l’État comme en d’autres temps la religion de l’État, il conviendrait pour cela que des questions de limogeage ne se retrouvent pas traitées dans un tribunal qui aurait à traiter des aspects scientifiques sous-jacents au limogeage. Et c’est bien parce qu’ils ne le peuvent ou ne devraient pas le faire si on souhaite séparer autant que faire se peut la science de l’État qu’il conviendrait que ces décisions sortent de son giron.
En gros, qu’on laisse l’appréciation d’une décision de limogeage sur le plan scientifique et médical à la société civile et non pas à l’État, qui ne devrait juger que des conditions contractuelles ou administratives d’un tel limogeage.
Cette discussion est générale, et bien que je prenne Raoult comme point d’appui, le cadre en est plus large, comme vous le notez à juste titre.
« Mon commentaire faisant référence aux heures les plus ignobles de la Révolution ne s’adressait qu’à Robert Marchenoir et pas du tout à vous, ni à Achille, ni à Tomas, membres à ses yeux du Comité de salut public qu’il tente d’imposer sur le blog… En un seul message (31 janvier à 08:56), il condamne une dizaine de personnes pour le seul motif qu’il ne les aime pas ou qu’elles lui tiennent tête… »
Bien que le ton du commentaire initial de Marchenoir soit véhément, j’ai du mal à ne pas être en accord avec lui. Cela étant, quand il parle de la « bande des quatre » qui fait « régner la terreur », il fait surtout référence à des propos dénigrants de Ninive. Il ne s’agit pas de Comité de Salut Public qu’il serait question d’instaurer… enfin, pas que je sache…
Si je devais être le seul homme à monter au créneau pour manifester le dégoût que m’inspirent les tombereaux d’insanités déversés par monsieur Marchenoir sur Mary P., si je devais être le seul à lui dire qu’à mon sens il est indigne, par ses vociférations, de jouir de cet espace de liberté rare et précieux que nous offre Philippe Bilger, si je devais être le seul à dénoncer son obsession à lancer urbi et orbi des anathèmes, si je devais être le seul à penser que cette obscène tyrannie est un repoussoir pour beaucoup d’entre nous qui songeons à quitter le cloaque qu’il s’ingénie à répandre, alors oui, je douterais de tous ceux qu’au long de ces quinze années de présence ici j’ai appris à connaître et à apprécier…
Mais je ne suis pas le seul à considérer que ce triste sire, gâchant un réel talent de plume, est, somme toute, assez misérable pour insulter une femme respectable, dont le seul tort, sans doute, est de ne pas laisser macérer dans la fange qui lui sert de litière son interlocuteur.
Chère Mary, je ne vous ai pas fait de cadeau, parfois, mais sachez que l’abjection de votre contempteur révulse, j’en suis certain, la quasi-majorité des habitués de ce blog.
Affectueusement à vous.
@ duvent (@ Robert Marchenoir)
« Pourvu que F86 quisaittout, ne se mette pas en tête de me répondre… »
Ah ben, là, si !
« …car je manque cruellement de temps… »
Ce qui n’est absolument pas mon problème.
« Marchenoir pourquoi n’épouseriez-vous pas F98quisaittout, je vous enverrai des lys blancs et purs et tous deux vous pourriez rêver d’un monde sans les femmes hystériques, inutiles et idiotes traîtresses ?? »
Primo: non, je ne sais pas tout. Secundo… c’est quoi votre problème ? Qu’est-ce qui vous fait penser que je crois que les femmes sont par nature « hystériques », « inutiles » ou « traîtresses » ? Pourquoi mettez-vous dans ma bouche des propos désobligeants que je tiendrais seulement parce que vous le souhaiteriez à l’encontre, au hasard, de ma fille et de sa mère ? De quel droit vous permettez-vous cela ? De quel droit vous permettriez-vous cette injonction vicieuse, sous forme d’insinuation, à épouser Marchenoir ? Qu’est-ce qui cloche chez vous ?
À aucun moment je ne nie le besoin de prendre en compte les aspirations des femmes dans nos sociétés. À aucun moment. Tout le contraire, même.
Par contre, oui, j’affirme fermement que ce n’est pas parce qu’on a des couettes qu’on a raison. Et j’affirme fermement aussi que ce n’est pas parce qu’on est une mère que la parole d’une mère a prééminence sur celle de ses gosses. Et dans la situation personnelle que j’ai vécue, cela relève de l’évidence: il importe de dépasser les images de femme aimante pour se permettre de juger de certaines réalités.
Ce qui n’implique en rien que le sort des femmes dans nos sociétés, comme dans les sociétés à l’autre bout du monde, n’importe pas. Au contraire. Permettez-moi de vous rappeler que 21 % des femmes dans le monde, soit une sur cinq, ont été mariées avant l’âge de 18 ans. Et permettez-moi aussi de vous informer que je ne revendique aucune compétence en matière de déploiement de serviettes hygiéniques ni en matière de dégrafage de soutiens-gorge. Et que si vous vous permettez des attaques sous la ceinture, je me les permettrai aussi, sans aucun complexe.
« Le bonheur tient à si peu de choses… »
Mon bonheur personnel ne m’intéresse pas. Veuillez ne pas vous immiscer dans cette question qui ne vous regarde nullement. Vous êtes libre de vos aspirations. Moi de même.
Ce blog est devenu nauséabond.
Deux barbares narcissiques ont pris le dessus et le maîtrisent.
Sous prétexte de liberté d’expression, la modératrice laisse passer insultes et ignominies. Elle appelle ça « liberté d’expression », ben voyons.
La plupart des intervenants s’écrasent comme des chiffes molles, personne n’ose résister à ces deux psychopathes. Un ban de limandes lamentable.
Seules deux femmes, Mary Preud’homme et duvent, osent ferrailler avec ces deux tarés. Peine perdue, ils sont irrécupérables.
Achille remarquait à juste titre que les commentaires du blog de Rioufol étaient ahurissants par rapport à ce qu’il exprimait lui-même, un égout, on n’en est pas loin.
@ Savonarole
« Deux barbares narcissiques ont pris le dessus et le maîtrisent. »
Et bien expliquez à duvent que ce n’est pas correct de mettre des propos à l’encontre des femmes que je n’ai jamais prononcé ni défendu. À savoir qu’elles seraient des « hystériques, inutiles et idiotes traîtresses ». (sic)
Votre honnêteté vous honorera.
Parce que si vous êtes agacé, moi aussi je le suis.
La liberté sert aussi à ouvrir les fenêtres pour aérer, notre modératrice fait cela à merveille, et la vaillante Mary, faisons-lui toute confiance, est assez bien outillée pour savoir se défendre et savoir sur qui elle peut compter.
Que chacun ose donc se dresser s’il l’estime nécessaire, Robert Marchenoir et F68.10 ont aussi leurs qualités malgré leur tendance hégémonique à l’humiliation, personne n’est empêché de ferrailler avec eux, je précise à Savonarole que je suis de sexe masculin et fort heureux en l’occurrence, même si comme sbriglia je ne m’empêcherai jamais de leur dire ce que je pense, d’être en ces féminines compagnies pour continuer le début de ce qui n’est qu’un combat pour que chacun ait droit à savoir apporter sa voix.
@ duvent, Savonarole, sbriglia
Un grand merci pour vos paroles amicales, attestant d’une authentique ouverture d’esprit et noblesse de caractère, appréciées à leur juste valeur par une vieille dame digne ayant beaucoup vécu et n’ayant pas pour réputation de faire des compliments à la légère.
J’ai aussi reçu plusieurs messages de soutien émanant de proches ou amis, lecteurs assidus de ce blog, mais aussi quelques reproches de certains m’ayant conseillé de longue date de ne plus m’abaisser à réagir et répliquer systématiquement aux provocations de ces deux « barbares narcissiques ».
nota à l’attention de duvent (eu égard à son oreille absolue, contrairement à la mienne qui n’est que relative) : je suppose que vous connaissez la pianiste Colette Maze qui à 106 ans, soit âgée de près de trente ans de plus que moi, continue de jouer et improviser au piano (en passionnée et virtuose) 4 à 5 heures par jour…
https://youtu.be/6R4qiuUQoEE
@ F68.10 | 04 février 2021 à 16:31
« Ah ben, là, si ! »
Incroyable, je tombe à la renverse d’étonnement…
« Ce qui n’est absolument pas mon problème. »
Incroyable, les bras m’en tombent…
« À aucun moment je ne nie le besoin de prendre en compte les aspirations des femmes dans nos sociétés. À aucun moment. Tout le contraire, même. »
Incroyable, je tombe de l’armoire…
« Mon bonheur personnel ne m’intéresse pas. Veuillez ne pas vous immiscer dans cette question qui ne vous regarde nullement. »
Incroyable, je m’en tamponne mollement le coquillard…
Je salue au passage Savonarole et sbriglia, si vous le permettez, bien entendu, sinon je me mettrai mon salut sur l’oreille et je le fumerai à Noël, et dans ce cas, je dis : Vivement Noël !! Jingle bells ! Jingel bells !
@ duvent
« Incroyable, je tombe à la renverse d’étonnement… […] Incroyable, les bras m’en tombent… […] Incroyable, je tombe de l’armoire… »
Après toutes ces aventures, je vous suggère de vous rendre à l’hôpital. Quelques radiographies et quelques chirurgies pour vous raccrocher les bras devraient vous permettre de repartir comme en 40.
« Mon bonheur personnel ne m’intéresse pas. Veuillez ne pas vous immiscer dans cette question qui ne vous regarde nullement. » — F68.10
« Incroyable, je m’en tamponne mollement le coquillard… » — duvent
Cela tombe très mal: je ne me moque absolument pas du respect de ma faculté de déterminer moi-même les aspirations qui doivent être les miennes. J’ai même tendance à devenir extrêmement hargneux quand je vois des gens m’expliquer ce que je dois faire de ma vie, qui je dois épouser (ce que vous venez de faire) ou le type de passe-temps que je me dois d’apprécier.
Remballez donc votre camelote pseudo-morale, et veuillez cesser de croire que votre statut de femme vous autorise à mépriser les mâles au motif, selon vous, qu’ils mépriseraient les femmes.
Du balai, en somme.
@sbriglia@Mary P. | 04 février 2021 à 16:01
Excellent commentaire auquel je souscris !
Quand je vois la manière dont les sexuels se traitent entre eux, je ne souhaite guère aux asexuels de devenir sexuels même si on comprend qu’un asexuel aille voir un sexologue pour s’adapter à la personne aimée.
Si certains changent de milieu, pourquoi pas d’instinct ? Cela rejoint les chevaliers accumulant les dragons-trophées pour leur princesse…
Quand je vois comme les hommes et les femmes se traitent entre eux, on se demande comment il se fait que certains s’aiment, un miracle, pourrait-on croire…
Ou les statistiques ?
Moi qui n’ai rien de bien religieux y vois quelque chose d’accompli, un peu comme un chef-d’oeuvre, et suis triste qu’on puisse attaquer l’amour de l’autre. Amour loyal, qui défend la mémoire de l’autre à travers la tombe.
Défenseurs loyaux de la liberté, de l’amour ou d’autre chose devraient s’encourager mutuellement à être loyaux, alliés contre les forces de dissolution de la trahison.
Unis contre le nihilisme, contre la ruine…
Quelle rigolade ce soir !
Rembobinez le film à l’envers, lorsque ces deux cinglés sont apparus sur ce blog ce fut la pâmoison des Lucile et congénères, bigoudis en flammes on leur trouvait d’immenses qualités puisqu’ils nous causaient engliche, ah ! Jordan Peterson, ah ! Ze New York Post et Poutine. Complètement et quotidiennement hors sujet ils vous charmaient. Y a pas mieux qu’un lustre de culture anglo-saxonne pour vous assommer, quand on voit ce qu’ils deviennent on se rassure…
Combien d’entre vous n’ont pas vu l’intrusion de ces malfrats, et qui n’ont pas vu l’imposture ? Étiez-vous presbytes… sans jeu de mot ?
@ Savonarole
« Rembobinez le film à l’envers, lorsque ces deux cinglés sont apparus sur ce blog ce fut la pâmoison des Lucile et congénères, bigoudis en flammes on leur trouvait d’immenses qualités puisqu’ils nous causaient engliche, ah ! »
Arrêtez votre char. Je n’ai jamais recherché l’admiration de quiconque. Il se trouve aussi que le fait que je sois anglophile n’est pas vraiment apprécié par beaucoup sur ce blog. J’ai d’ailleurs été surpris de voir Lodi afficher son appréciation des Anglais à mes débuts sur ce blog, ce qui me fit plaisir quand on constate l’insularité culturelle de la France.
Quant à moi, je ne vais pas faire semblant d’être qui je ne suis pas: j’ai été bien mieux éduqué en Afrique australe que je ne le fus en tant que normalien. Et entre Polytechnique et Cambridge, je conseille Cambridge.
« Jordan Peterson, ah ! »
Euh non. Je n’ai pas vraiment donné de crédit à ce monsieur.
« Ze New York Post et Poutine. »
C’est pas trop moi, cela. Les derniers journaux que j’ai cités furent Deutsche Welle et le Corriere della Sera. Mais, par contre, je vous affirme que la culture anglophone est de nos jours sur une large gamme de plans supérieure à la culture francophone. Que vous l’acceptiez ou non.
« Y a pas mieux qu’un lustre de culture anglo-saxonne pour vous assommer, quand on voit ce qu’ils deviennent on se rassure… »
Voui. Un lustre. Au détail près qu’avec Internet, je n’ai plus qu’à me baisser pour m’y engouffrer intégralement. Et peut-être qu’un jour vous comprendrez que la culture sans rigueur intellectuelle ne sert essentiellement qu’à confirmer nos a priori.
« Combien d’entre vous n’ont pas vu l’intrusion de ces malfrats, et qui n’ont pas vu l’imposture ? Étiez-vous presbytes… sans jeu de mot ? »
Malfrat, si cela vous chante, et si vous m’autorisez à vous affubler symétriquement de noms d’oiseaux. Mais imposteur ? Je ne vois pas sur quoi vous vous basez pour affirmer cela.
En gros, vous n’êtes pas content, et vous n’aimez pas les Anglais. OK. On a compris. Quant à moi, je pense que l’annexion de la France par la Grande-Bretagne nous ferait le plus grand bien. Puis tant qu’à prendre, une annexion par les États-Unis ou le Canada ne serait pas de refus non plus.
Soutien total et entier, une nouvelle fois, au précieux additif de ce blog Robert Marchenoir.
J’espère (je sais) qu’il ne prend pas au sérieux le lamentable commentaire de sbriglia. Rien de ce que dit celui-ci ne fait écho à la réalité. Et je suis presque certain que les lecteurs du blog qui ont une mémoire qui marche encore pensent la même chose, et apprécient les excellentes contributions de Robert Marchenoir.
@ Savonarole
Stop ! La culture n’est pas un cosmétique, elle est une curiosité tournée vers la compréhension du monde et non l’espionnage du voisin ou l’excitation prise aux aléas du monde comme dans l’actualité la plus spectaculaire.
Expression de soi comme séduction des autres, c’est le style qui peut être séduction.
Quand la forme et le fond sont assez bons et ne forment qu’un, ils peuvent séduire, encore que nul ne plaise à tout le monde. Si votre causticité rencontre un public, il y en a aussi un pour des démarches plus argumentées et moins immédiatement cinglantes.
Mais quoi que les gens expriment, démarche scientifique, politique ou de défense d’individus ou de groupes, il leur faut bien réagir aux réactions, qu’elles soient favorables, défavorables ou simple échange d’information ou d’impression, et un échange peut dégénérer en duel, ce qui fait que chacun peut en venir à devenir cinglant de manière plus ou moins justifiée, rapide et absolue selon les cas.
Contrairement à ce que vous semblez suggérer, la culture anglaise ne plaît pas tant que cela dans notre pays, et c’est bien dommage car elle est très riche et a une plus grande appétence pour la liberté que la culture française.
Cependant, les personnes dont vous exagérez le succès pour le dire immérité et se moquer des gens qui les apprécient, ne sont pas des télévangélistes de la culture anglaise ou anglo-saxonne.
Et Lucile n’est pas une groupie mais l’égale de quiconque en intelligence, culture et style, ce qui veut dire qu’elle n’a ni besoin ni envie de s’exciter à la suite de quelque gourou… Elle a autant d’esprit que vous sans se sentir obligée de le montrer à tout propos, de la culture sans l’étaler ou la dénigrer, ce qui revient au même : l’instrumentaliser au service de son ego sans en avoir alimenté sa réflexion. Lucile est trop intègre et équilibrée pour ces dérives. Et cerise sur le gâteau, elle n’est pas inféodée à une culture : avez-vous oublié la nonne espagnole ?
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@ F68.10
Les anglophiles parlent aux anglophiles !
À part ça, vous avez parfois dit essayer de faire qu’il y ait une désescalade de la violence dans les débats.
On en est arrivé à une guerre des sexes, des groupes et à la mise en cause de la culture anglaise. Je ne prétends pas pour ma part avoir un tempérament me portant à la désescalade quand on me met en cause ou en posséder les techniques, mais enfin, outre l’intérêt général, il y a mon intérêt, disons de curiosité de voir ça.
Enfin, c’est vous qui voyez.
Ai-je vécu assez longtemps pour me payer le plaisir raffiné d’avoir à défendre Marchenoir Robert ?
@ F68.10 | 04 février 2021 à 15:07
Concernant le professeur Didier Raoult, je ferai les remarques suivantes :
1- Il ne fait pas partie de ces médecins, qu’ils soient d’éminents épidémiologistes, simple médecins généralistes, syndicalistes qui passent leur temps sur les plateaux de télévision pour nous expliquer doctement ce que le gouvernement devrait faire ou ne pas faire, fort de leurs dix ou quinze années d’études, ce qui ne les empêche nullement de se contredire entre eux quand ils ne se contredisent pas eux-mêmes.
Je pourrais citer dans ce registre, l’incontournable professeur Philippe Juvin, mais aussi Martin Blachier, Jean-Paul Hamon, Patrick Pelloux , Rachida Inaoui-Rozé, Brigitte Milhau. Cette dernière étant devenue carrément animatrice dans la matinale de CNews.
En fait Didier Raoult est en permanence dans son institut hospitalo-universitaire et les journalistes pour l’interviewer doivent se rendre dans son bureau. Ceci plaide plutôt en sa faveur.
2- Tout les détracteurs de Raoult, y compris ses confrères les plus éminents, reconnaissent ses compétences concrétisées par des distinctions pour ses travaux dans le domaine médical.
Je suis bien incapable de donner un avis éclairé sur ses propos qui vont à contre-courant de la politique qui est appliquée actuellement par le gouvernement, mais je ne me permettrais pas de le considérer comme un farfelu, même si son look et son comportement le font plus passer pour un savant fou que pour une sommité mondiale du domaine médical.
Je pense qu’il est possible pour les plus grands experts de se tromper, cela s’est déjà vu par le passé. Il est possible aussi qu’il ait raison contre tout le monde, mais cela nous ne le saurons que dans quelques mois quand la pandémie sera derrière nous. En espérant que cela ne tarde pas trop car un vent de folie est en train de régner sur les plateaux TV depuis trop longtemps déjà et il est temps d’arrêter la partie, car les Français sont au bord de l’implosion, et pas seulement les Français d’ailleurs.
Oh ! Comme cela est fâcheux, le grand, le puissant, l’inénarrable Marchenoir reste muet, tandis que les sapeurs-pompiers veillent… Jusqu’ici, tout va bien…
Mais enfin, j’ai écrit « fâcheux » ! Ce mot est trop faible, il est même complètement inapproprié, que dis-je, il ne traduit pas du tout le désarroi dans lequel me plonge le silence du Minotaure et les caquètements de la basse-cour. Il ne décrit pas la réalité, car ce qui a été infligé à Marchenoir peut être qualifié d’injustice affreuse, d’ignoble offense, de terrible affront.
Dès lors, je regarde cette petite armée d’affidés piétiner le sol, faire monter la poussière, piailler férocement, et je m’inquiète, et je me perds en conjectures. Est-ce que par un hasard dont je ne sais rien, j’y serais pour quelque chose ??
NON, pas du tout, et comment cela serait-il possible, je vous le demande ??
Non, non, non, Sa Majesté Marchenoir ne se commet pas, et comme elle a raison !
Tandis que SMM mâchouillait sa petite rengaine amère, la folie gagnait du terrain, et elle s’en prenait maintenant aux corps sains abritant des esprits plus sains encore…
Mais la petite armée doute et craint le pire pour SMM, la voilà qui s’organise un peu nonchalamment, SMM, pendant ce temps, hurle à qui veut l’entendre : Noli me tangere !!
Et moi, bonne camarade, je veux bien l’entendre, je lui tends aimablement quelques délices de Capoue, et je lui susurre : Ô athlète contrefait, gymnaste au ruban, petit voltigeur, « tu sais vaincre, mais tu ne sais pas profiter de la victoire » !
Une plume en tungstène, une encre fielleuse préparée par une femme (car il est écrit partout que 7 fois sur 10, derrière le poison se trouve une femme… Etrange ! Bizarre !), voilà les attributs de ce quasi Dieu…
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes…
P.-S.: merci à Mme Preud’homme pour le partage, je ne connaissais pas.
@ Savonarole | 04 février 2021 à 22:02
Je ne serai pas aussi sévère que vous concernant Lucile, même s’il est vrai qu’elle semble fascinée par les connaissances des deux hyperactifs du blog et accepte d’échanger notamment avec Marchenoir malgré ses propos indignes envers Mary Preud’homme. Mais c’est sans doute son attirance pour les « intellectuels » qui veut ça…
De même F68.10 ne tient jamais de propos vraiment agressifs, ou alors cela m’a échappé. J’avoue que je ne suis pas tous ses commentaires qui sont souvent hors sujet et d’une longueur qui me font renoncer à les lire en entier.
Il me fait plutôt penser à ces surdoués un peu à l’étroit dans ce monde trop normal et donc qui n’est pas à leur démesure.
Bref, pas le mauvais bougre finalement, mais franchement invasif pour ne pas dire envahissant. Mais il paraît que je le suis moi-même selon certains commentateurs de ce blog, alors je ne saurais lui en faire grief… 🙂
@ F68.10 | 04 février 2021 à 19:50
Vous, vous êtes un drôle !
Je n’ai guère la passion de vos écrits, mais je retiens le meilleur, qui se résume à peu…
Si d’aventure vous étiez très occupé à des choses très importantes, il me paraît judicieux, voire recommandé, d’économiser votre énergie à des fins plus grandes et plus utiles que de venir répandre avec une constance qui m’éblouit votre ressentiment dont l’efficience et l’utilité est égale à la râpe à parmesan sur une andouillette de Vire.
Je vous dis cela par pure bonté !
Par ailleurs, je dois vous préciser (parce que ma bonté est illimitée) que c’est en vain que vous descendez la poubelle que je suis, et plus vainement encore, passez votre coup de balai…
La prochaine fois que vous aurez envie de parler de « serviettes hygiéniques » ou de « votre mère », il conviendra de me prévenir quelques jours avant, de façon à ce que je puisse prendre des renseignements hautement scientifiques, car malheureusement, je dois le reconnaître, et cela m’est pénible, je n’ai pas de compétence satisfaisante en ces deux domaines, dont il semblerait que le second me soit totalement inconnu…
Ayant un sens du devoir qui confine au délire, je me ferai un point d’honneur de vous donner des réponses à la mesure de votre attente vertigineuse…
@ Lodi
Je suis vraiment très touchée de votre passage me concernant, parce que je dois l’avouer, même si je me suis fait une raison, les attaques personnelles m’intimident et me chagrinent d’où qu’elles viennent ; et donc un commentaire sympathique apaise les morsures subies par l’ego.
J’ai fini par comprendre que pour certains les cultures françaises et anglaises sont en opposition, et si l’on aime l’une cela implique forcément à leurs yeux que l’on ignore l’autre ou qu’on lui manque de respect. Pour moi ça ne marche pas comme ça – pour vous non plus, c’est évident – mais bon, les gens sont comme ils sont, comme on dit au café du commerce. Pour la culture, il me manque des pans entiers de connaissances, et je ne fais aucun effort pour m’y mettre car je suis dilettante. Je picore là où me mène ma fantaisie. Mais je picore beaucoup, et j’ai de la mémoire.
Ceux que vous appelez « les cinglants » rendent la participation au blog épineuse ; de plus en plus, on y marche sur des œufs, et ce n’est pas bien plaisant. Il faut s’y faire, donc on s’y fait. Mais où est le plaisir ? Heureusement beaucoup réussissent encore à écrire des commentaires intéressants sans cultiver rageusement leurs antagonismes.
Merci encore, cher Lodi.
————————————————–
@ Achille
Je pense que vous avez un bon fond, mais je suis un peu consternée de vous voir discuter mon cas avec Savonarole, surtout pour lui dire que vous êtes moins « sévère » que lui à mon égard. Je sais bien que vous pensez plaider ma cause, et je vous en remercie, mais enfin, quelle faute ai-je commise au juste ? Alors comme ça, je passe en conseil de discipline. Dans le cas de Savonarole, ce n’est pas de la sévérité, c’est de l’antipathie.
Ni lui ni vous n’êtes mes juges ou le censeur du pensionnat. Tiens, ça me rappelle des souvenirs. Dans mon lycée, la surveillante générale était hommasse, courte sur pattes, et elle avait de la moustache. Elle portait des lunettes rondes comme des hublots, avec des verres très épais qui lui faisaient des petits yeux noirs brillants ; elle avait un chignon serré, une démarche dandinante, et une voix traînante. En fait, on l’imaginait comme ça plus qu’on ne la voyait, car elle était omniprésente mais isolée dans son bureau, un lieu où il ne faisait pas bon se trouver. Elle s’appelait Mademoiselle Merlin, comme l’enchanteur. Vous ne voudriez tout de même pas lui ressembler.
Je me suis quand même aperçue un jour qu’elle était fort gentille, et elle a même fini par me sourire. Je ne désespère donc pas tout à fait, en ce qui vous concerne du moins, parce que pour Savonarole, ça sera plus difficile….
Une autre petite remarque, vous disiez plus haut que vous étiez prêt à vous sacrifier pour un jeune. Je ne sais pas d’où sort cette idée. Il y a de la place pour tous, et je ne vois pas en quoi la mort prématurée des vieux peut permettre aux jeunes de mieux vivre. La propagande gouvernementale fait croire aux jeunes qu’on les a « sacrifiés » pour prolonger les vieux. Laissez-moi rire. Si on regarde les chiffres, ni les jeunes ni les vieux n’ont été spécialement protégés. Ces derniers parce qu’ils sont morts à la pelle et qu’on ne les laissait pas venir « encombrer » les hôpitaux… les jeunes parce qu’une ère de pauvreté s’annonce maintenant pour eux, et pour leur avenir. Bien sûr on dira aux vieux qu’on a fait tout ça pour eux, et qu’il faut passer à la caisse, c’est bien normal après tout qu’ils donnent leurs économies, déjà que certains ont encore l’audace de vivre après 80 ans. Commencer à faire croire que les vieux restent en vie au détriment des jeunes est une honte absolue. Une étude a été faite sur la question : de tous les pays du monde, ce sont la France et l’Italie qui colportent le plus ce raisonnement binaire, et pernicieux, digne d’un film catastrophe.
@ duvent
« La prochaine fois que vous aurez envie de parler de « serviettes hygiéniques » ou de « votre mère », il conviendra de me prévenir quelques jours avant… »
Euh non… je fais ce que bon me semble. Et si je précisais bien que je ne revendique aucune compétence en matière de déploiement de serviettes hygiéniques, c’est bien pour vous signifier que votre obsession à toujours ramener votre féminité en avant pour décrire les mâles, et par extension le premier contradicteur mâle qui vous déplaît, comme des ordures, c’est bien malhonnête, inepte, hors-propos, trollesque. Et il convient de vous le faire remarquer sans aucune gêne. Ni permis décerné de votre autorité.
« Si d’aventure vous étiez très occupé à des choses très importantes, il me paraît judicieux, voire recommandé, d’économiser votre énergie à des fins plus grandes et plus utiles que de venir répandre avec une constance qui m’éblouit votre ressentiment dont l’efficience et l’utilité est égale à la râpe à parmesan sur une andouillette de Vire.
Je vous dis cela par pure bonté ! »
Ah oui. Mais bien sûr. Vous me donnez encore des conseils sur ce que doivent être mes aspirations. Par pure bonté, bien sûr. C’est sûrement ce côté féminin et maternel que vous brandissez en bouclier ou glaive rhétorique qui vous autorise probablement à penser à la place des autres. Je me trompe ?
« …de façon à ce que je puisse prendre des renseignements hautement scientifiques, car malheureusement, je dois le reconnaître, et cela m’est pénible, je n’ai pas de compétence satisfaisante en ces deux domaines, dont il semblerait que le second me soit totalement inconnu… »
Vous semblez bien fière de votre ignorance revendiquée. Mais puisque que vous vous enquérez d’à quelles superbes et supérieures fins j’emploie mon temps libre dans le cadre du vaste plan cosmique qui nous occupe tous perdus que nous sommes sur notre magnifique petit caillou… je me permets de vous donner satisfaction.
Alors voilà: prenez un ensemble et interprétez une relation ternaire dessus liant trois éléments a, b et c en une assertion ab→c. Considérez quatre règles d’inférence h-inductives (au sens de B. P. et I. ben Y.) du type suivant:
Théorème de F68.10: sous l’hypothèse que la relation ternaire → interprète une loi de composition partiellement définie, ces règles d’inférence h-inductives axiomatisent les groupoïdes.
Voilà. Vous n’en avez très probablement rien à faire des choses pas entièrement triviales qui occupent parfois mon temps libre. D’autres, dans des instituts respectés, s’en moquent – peut-être – un peu moins. Moi, je considère cela utile. Vous, apparemment, les valses de Méphistophélès vous bottent un peu plus. Mais votre mépris et votre condescendance ainsi que vos injonctions visant à déterminer à la place d’autrui ce qui doit leur importer vous déshonorent.
En gros: lâchez-moi les basques.
Nous admirons et remercions tous ces camarades qui fouillent Tiktokandwikiki inlassablement pour nous en rapporter des sédiments dont nous n’avons que faire.
@ F68.10 | 05 février 2021 à 15:16
« En gros: lâchez-moi les basques. »
Est-ce-que vous m’autorisez à vous citer ?
« …je fais ce que bon me semble. »
Si c’est possible pour vous, ça devrait l’être pour moi aussi, qu’en pensez-vous ?
« Et si je précisais bien que je ne revendique aucune compétence en matière de déploiement de serviettes hygiéniques, c’est bien pour vous signifier que votre obsession à toujours ramener votre féminité en avant pour décrire les mâles, et par extension le premier contradicteur mâle qui vous déplaît, comme des ordures, c’est bien malhonnête, inepte, hors-propos, trollesque. Et il convient de vous le faire remarquer sans aucune gêne. »
Mais vous avez bien raison de ne pas être gêné, il y a juste un petit problème, c’est que vous parlez plus de féminité que n’importe quelle femme sur ce blog, est-ce-que vous ne trouvez pas ça étrange ?
Personnellement, cela ne me dérange pas que vous parliez de féminité, de la mienne ou de la vôtre, il ne faut pas se gêner pas vrai ?
Il est vrai que je ne peux pas me défaire aisément de la mienne, j’ai pensé un temps me faire pousser une moustache, et j’ai hésité longuement sur le style, plutôt Hitler, Charlot, ou Oliver Hardy ??
Je n’ai pas su choisir, les femmes sont tellement nulles en « moustacherie »…
Bref ! Revenons à nos moutons…
Avez-vous remarqué qu’il manque des lettres à votre abécédaire ? J’en ai appris plein d’autres, très jolies, que je brode les jours de pluie devant ma fenêtre, sur des mouchoirs en dentelles pour les phtisiques 19 et 20 et 21…
Alors quand je lis mon portrait sous votre plume, je suis émue :
« Mais votre mépris et votre condescendance ainsi que vos injonctions visant à déterminer à la place d’autrui ce qui doit leur importer vous déshonorent. »
Pourquoi, me direz-vous ? Mais parce que vous croyez qu’une bougresse dans mon genre pourrait souffrir du déshonneur, mais de quoi parlez-vous exactement ??
Allez jusqu’au bout de votre raisonnement, parce qu’il manque quelque chose qui s’appelle la logique, et c’est ainsi que lorsqu’on mésestime quelqu’un, on ne vient pas lui faire le coup du déshonneur.
Écoutez, il faut que je vous laisse, là tout de suite, je dois retrouver mon honneur que j’ai oublié sur le comptoir du café des bons amis…
@ Lucile | 05 février 2021 à 14:55
« Alors comme ça, je passe en conseil de discipline. »
En fait dans ce conseil de discipline je joue plutôt le rôle de délégué de classe qui essaie d’obtenir l’indulgence du jury pour ma camarade de blog.
Mais je reconnais que vous avez en Lodi un allié précieux qui sera toujours présent pour assurer votre défense avec une belle pugnacité.
Concernant Marchenoir, pas de souci pour lui, il a son fidèle Hermann qui surveille tout ce qui se dit sur le blog et surgit comme un diable de sa boîte dès que quelqu’un tient des propos inconvenants sur son champion.
@ duvent
« Si c’est possible pour vous, ça devrait l’être pour moi aussi, qu’en pensez-vous ? »
Tout à fait ! Et c’est bien pour cela que je me permets de vous affirmer que ce serait sympa que vous me lâchiez les basques. Parce que c’est mon bon plaisir que de vous le notifier.
Maintenant, sur le fond, vous n’apportez rien à la discussion, hormis me notifier que devrais enfin adopter vos valeurs, sentiments, us et coutumes. Et je vous le dis tout net: non.
« Mais vous avez bien raison de ne pas être gêné, il y a juste un petit problème, c’est que vous parlez plus de féminité que n’importe quelle femme sur ce blog, est-ce-que vous ne trouvez pas ça étrange ? »
Non: c’est vous qui nous la ramenez systématiquement en pleine face et qui ensuite jouez les vierges effarouchées parce qu’on vous le fait remarquer. Vous inversez les rôles, et vous le savez.
« Il est vrai que je ne peux pas me défaire aisément de la mienne, j’ai pensé un temps me faire pousser une moustache, et j’ai hésité longuement sur le style, plutôt Hitler, Charlot, ou Oliver Hardy ?? Je n’ai pas su choisir, les femmes sont tellement nulles en « moustacherie »… »
Demandez aux homosexuels, alors. Ils sauront vous conseiller. Cuir moustache, comme on dit.
« Bref ! Revenons à nos moutons… »
Non. Vous ne faites aucune remarque intéressante ni de substance. Vous pourrissez la discussion pour le plaisir de manifester votre ire. Inintéressant.
« Écoutez, il faut que je vous laisse, là tout de suite, je dois retrouver mon honneur que j’ai oublié sur le comptoir du café des bons amis… »
Passez-lui le bonjour quand vous l’aurez retrouvé. Quant à moi, je vais me détendre avec Harry Potter. Plus intéressant que votre personne.
@ Lucile | 05 février 2021 à 14:55
« Heureusement beaucoup réussissent encore à écrire des commentaires intéressants sans cultiver rageusement leurs antagonismes. »
Vous voulez sans doute faire allusion à votre ami Marchenoir, toujours si convaincant dans l’art de manier le dialogue contradictoire et tellement convivial ? MDR
Quant à Savonarole c’est un seigneur comme je l’ai déjà écrit, si bien que lui faire la roue pour lui complaire aboutirait au résultat inverse.
Idem pour sbriglia qui m’a souvent égratignée et moqué mon côté belliqueux, mais dont j’ai pu reconnaître à maintes occasions les qualités humaines.
Concernant duvent, qui aurait l’âge de ma fille ou de ma belle-fille d’après ses dires, il me semble qu’elle ne se laisse jamais influencer, sait garder son indépendance d’esprit et de jugement en toutes circonstances, tout en pointant avec humour l’angle juste d’attaque ou de défense afin d’affirmer son point de vue…
@ Achille | 05 février 2021 à 19:42
« L’indulgence du jury ? » De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question.
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@ Mary
Ce n’est pas parce que vous avez un conflit avec Robert Marchenoir que vous en avez un avec moi. Sauf si vous le souhaitez.
@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37
Il me semble que le vocable « conflit » soit pour le moins impropre (sinon fort indulgent) dans le cas d’une agression répugnante et diffamation à sens unique en l’occurrence, laquelle ne date pas d’hier.
Quant à mes souhaits, rien d’autre que ceux d’un peu de silence des « sans opinion » ne se prononçant jamais à votre image lissée, faute d’attendre de leur part l’élémentaire franchise de nommer les choses et les faits tels qu’ils sont. Et encore moins le courage de prendre parti comme l’ont fait ici quelques-uns.
@ Mary Preud’homme (@ Lucile)
« Concernant duvent, qui aurait l’âge de ma fille ou de ma belle-fille d’après ses dires, il me semble qu’elle ne se laisse jamais influencer… »
C’est sûr qu’en se mettant du persil dans les oreilles, question isolation mentale, c’est assez béton.
« …sait garder son indépendance d’esprit et de jugement en toutes circonstances, tout en pointant avec humour l’angle juste d’attaque ou de défense afin d’affirmer son point de vue… »
Euh… non. Elle n’affirme aucun point de vue. Sauf de dire qu’elle est une femme et qu’elle n’aime pas les hommes car ils prennent les femmes pour des « hystériques, inutiles et idiotes traîtresses » (sic). Le niveau zéro de la pensée, en somme. Si elle a affirmé quelque chose de relativement intéressant, il faudrait m’en faire signe.
Il n’y a pas d’idées formulées, chez duvent. Vous ne la soutenez que parce qu’elle tape sur Marchenoir et moi-même. C’est du pur esprit partisan chez vous. Rien de plus.
« Et encore moins le courage de prendre parti comme l’ont fait ici quelques-uns. »
Ah ! Et maintenant l’injonction de Mary Preud’homme à prendre parti ! S’agit-il d’une injonction à défendre Marchenoir ? Ou d’une injonction à le condamner ? Sûrement d’une injonction à en juger en toute liberté et en tout âme et conscience… Sûrement… Alors allons-y:
Jusqu’ici, j’ai dans l’ensemble évité de prendre position dans le conflit entre vous-même et Marchenoir sur le qualificatif de « traître à votre race » à votre encontre. Je n’apprécie que très peu qu’on ramène des thématiques raciales sur le tapis (et ce n’est un mystère pour personne que j’ai une opposition avec Marchenoir sur ce thème) et je renâcle à cautionner les attaques personnelles notamment visant la famille d’autrui.
Cela étant, Marchenoir vous a aussi signifié que ces qualificatifs ne tombent pas de nulle part. Et il vous a fourni une explication de sa position. Il y a deux options: 1. soit on prend position sur les positions racialistes de Marchenoir 2. soit on accepte – compte tenu, entre autres, que ce blog soit dans l’ensemble plus à droite que ma personne… – que des positions racialistes relèvent de la liberté d’opinion, et il convient alors de prendre position dans ce contexte sur ses propos à votre encontre dans un contexte où (selon lui) vous instrumentalisez votre vie familiale afin d’imposer une doxa « antiraciste » (selon lui).
C’est dans ce contexte qu’il convient de juger ses propos. Si on souhaite procéder à un minimum de distinctions. Sinon, on peut dire « méchant raciste », mais j’avoue que j’en ai ma claque des simplismes. Ou on peut aussi affirmer que c’est mal de s’en prendre à la famille d’autrui, mais ce n’est pas exactement ce que fait Marchenoir non plus: il ne condamne aucunement le fait que vous vous soyez mariée avec une personne de phénotype non-européen.
Il s’oppose surtout à l’argumentation que vous tirez de votre expérience personnelle sur un sujet qui est beaucoup plus vaste.
Malgré mon opposition avec Marchenoir sur le racisme et le racialisme, il a de mon point de vue raison de s’opposer vigoureusement à cette attitude rhétorique qui est la vôtre. Maintenant, personnellement, j’emploierais franchement d’autres mots…
Voilà: j’ai fait ma B. A. J’ai eu « le courage » de « prendre parti »: je viens de taper sur les doigts de Marchenoir. Je vous laisse donc et retourne à Harry Potter et le prince de sang-mêlé.
@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37 (@ Achille)
« »L’indulgence du jury ? » De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question. »
Ah, chère Lucile, ce n’est pas la bonne question.
Vous essayer de rationaliser l’irrationnel, et ce faisant vous finissez par culpabiliser.
Il faut inverser la cause et la conséquence.
La bonne question c’est : pourquoi suis-je accusée.
Qu’y a-t-il chez ceux qui m’accusent, qui les poussent à m’accuser ?
Il faut porter le regard de l’anthropologue et parfois celui de l’entomologiste sur les commentaires et les commentateurs.
Et la partie devient passionnante, souvent même amusante.
Remarquez, vous pouvez aussi répondre avec l’humour de la nonne espagnole qui avait tant surpris.
Bref, hispanique ou anglo-saxonne, prenez de la distance, en restant présente. 😉
@ Lucile | 05 février 2021 à 21:37
« »L’indulgence du jury ? » De quoi suis-je accusée ?
Je vous pose vraiment la question. »
L’infâme Laubardemont disait un jour : « Qu’on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme de France, et j’y trouverai de quoi le faire pendre. » (Le Dico des citations)
À noter que pour les honnêtes femmes ça marche aussi !:)
Les femmes enceintes de la France macronienne ont désormais le choix. Au terme de leur grossesse, et ce jusqu’au dernier jour, elles peuvent soit avorter soit accoucher.
Ceci est un message du ministère de la santé, du confort et du bien-aise de la population.
@ Tipaza | 06 février 2021 à 06:10
Pobre de mi, que burla !
(burla : farce)
La Nonne espagnole
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@ Achille
Merci d’avoir répondu.
@ JM0001
« Les femmes enceintes de la France macronienne ont désormais le choix. Au terme de leur grossesse, et ce jusqu’au dernier jour, elles peuvent soit avorter soit accoucher. Ceci est un message du ministère de la santé, du confort et du bien-aise de la population. »
N’importe quoi. Il s’agit d’interruption médicale de grossesse. Pas d’interruption volontaire de grossesse. Ce qui signifie que l’interruption pour motifs médicaux peut, dans l’ensemble, être relativement non-consensuelle.
Ce n’est pas exactement un « progrès des droits des femmes ». C’est probablement parfois une solution, mais l’aspect « médical » et non pas « volontaire » n’en fait pas une sinécure, ni un droit, ni quoi que ce soit de funky pour la femme qui passe par là.
Certes, il s’agit là de « détresse psycho-sociale », sur le papier. Mais ce n’est pas parce que vous prétendez être en détresse psycho-sociale que le corps médical jugera que c’est le cas. Le risque d’arbitraire existe, toutefois. Mais vos propos relèvent dans l’ensemble de la propagande. Pas d’une analyse honnête de la question.
@ F68.10
Avec son humour décalé, duvent a l’art d’envoyer n’importe qui dans les cordes et surtout les prétentieux. Un talent qui a mis bien des fois Marchenoir et vous-même KO, ce qui fait bobo à votre ego.
Il serait donc très présomptueux de ma part de vouloir défendre une femme qui bien mieux que moi excelle dans l’art de la réplique et fait mouche à chaque fois…
Je n’ai jamais caché non plus que les « ni ni » et autres béni-oui-oui m’agacent prodigieusement et que je leur préfère de beaucoup ceux qui, à défaut de prendre parti, ont au moins la décence de se taire.
Concernant vos couplets embrouillés et contradictoires sur le racialisme, le sexisme etc. ils mériteraient de figurer dans le Guinness de l’hypocrisie.
Comme si l’on devait s’excuser d’être une femme, d’avoir tel âge, telle couleur de peau. Comme s’il fallait absolument éviter de mentionner tel ou tel détail de sa vie privée, une expérience, un vécu, de crainte de se faire railler méchamment, insulter et diffamer par un névrosé psychorigide.
Pour couronner le tout, vous venez de m’en apprendre une bonne : ainsi mon défunt mari était un « phénotype » non-européen, excusez du peu. Il était temps que je l’apprenne, j’aurais pu mourir sans le savoir dites donc !
Va falloir que j’en parle aux enfants et corrige ma biographie en ce sens…
Phénotype, génotype, monotype, stéréotype, quelle famille !!
Le niveau intellectuel des commentateurs est consternant. L’affect a pris le dessus. On ne débat plus, on se plaint. « Maman, y’a monsieur Marchenoir qui fait que m’embêter ! »
Mary Preud’homme pense qu’elle a le droit d’insulter tout le monde (et c’est ce qu’elle fait) sans jamais se prendre un revers en pleine poire. Voilà où on en est. Bravo, les gars !
Un conseil à ceux qui prennent la défense de Mary Preud’homme: allez donc faire un tour dans les archives du blog (pour Savonarole, ça ne devrait pas poser de problème, fouiller les archives de Google est déjà sa seconde passion – après em*erder le monde). Bien sûr, il faut aussi avoir trois ou quatre neurones qui circulent encore, et un peu de bonne foi pour tirer l’affaire au clair.
RM n’est pas (loin s’en faut !) la première personne à se farcir Mary Preud’homme ou le troll espagnol. Curieusement, ses deux-là ont souvent les mêmes cibles… Hier, c’était, entre autres, Jean-Dominique Reffait. Celui-ci ne désirait même plus répondre à celle-là, et de mémoire, n’a jamais jugé utile de répondre aux provocations journalières de Savonarole. JDR avait des choses intéressantes à dire, il devait donc être fusillé.
Il suffit de dire un truc qui ne plaît pas à certains commentateurs pour déclencher leur rage à n’en plus finir. Le ressentiment est leur moteur inconscient.
Eh bien, professeur Rogue, vous voilà donc à l’épilogue.
Point donc de simagrées à justifier, Marchenoir est imbuvable sur le racisme, c’est de la plus élémentaire liberté d’expression de le lui signifier, lui intimant le silence à lui enfoncer dans la gorge ses insanités.
Qu’il se taise donc sur le sujet, et écoute ses maîtres, one, two, three, four, and get funky (début du show à 2.30):
https://www.youtube.com/watch?v=8lPmsn3DeOI
@ F68.10 | 06 février 2021 à 00:52
« Le niveau zéro de la pensée, en somme. Si elle a affirmé quelque chose de relativement intéressant, il faudrait m’en faire signe. »
Dans cette phrase « elle », c’est moi…
Bon, puisque vous vous immiscez dans la conversation entre Mary Preud’homme et Lucile dans le seul but de me faire des compliments, je me sens redevable, et même un peu confuse, d’accaparer autant d’attention.
Je prie donc les lecteurs de ce blog et les propriétaires d’accepter mes plates excuses…
Quant à vous, je ne peux pas vous tanner la couenne, pour la raison que vous nous avez dit combien vous avez été maltraité, et cela m’empêche d’être sans égards. Sans quoi…
Ici, s’arrête votre existence à mes yeux et ici, je reprends ma liberté de n’avoir aucune considération pour votre point de vue, lequel scientifique ou autre, fera le plus grand bonheur des visiteurs de ce blog.
N’ayant aucun souvenir d’avoir signé un contrat me liant à vous, n’étant l’employée de personne, n’ayant fait aucune promesse à M. Bilger sur la qualité de mes commentaires, n’ayant pas convenu avec les femmes d’une connivence de bon aloi, n’ayant pas murmuré à l’oreille des chevaux, je crois pouvoir dire que je suis encore libre de dégoiser, déblatérer, causer, jaser, fabuler, broder, inventer, forger, et dire ce qui me plaît et qui n’a aucune valeur ni mathématique, ni physique, ni chimique, ni politique, ni philosophique, ni…, ni… !
Et cela, vous l’auriez compris depuis fort longtemps si vous vous étiez attardé sur un pseudonyme choisi précautionneusement…
Il faut savoir que dans ce bas monde déambulent toutes sortes d’âmes, la mienne est fugace et légère, elle n’apporte rien, elle ne change rien, elle n’enlève rien, elle n’est rien, elle ne fait que passer et ce faisant elle dérange, c’est cela qui est extraordinaire, et c’est cela qui m’amuse, et vous déplaît…
Ce monde, vous et tout le reste je m’en tamponne mollement le coquillard, je ne suis pas ici, je ne suis pas maintenant, je suis un peu le loup de genau… une louve !
@ Mary Preud’homme
« Avec son humour décalé, duvent a l’art d’envoyer n’importe qui dans les cordes et surtout les prétentieux. Un talent qui a mis bien des fois Marchenoir et vous-même KO, ce qui fait bobo à votre ego. »
Meuh non… où avez-vous la tête ? Elle est juste désagréable, ne raconte que des banalités, et son humour ne vaut pas mieux que ce qu’on rencontre en hôpital psychiatrique.
« Concernant vos couplets embrouillés et contradictoires sur le racialisme, le sexisme etc. ils mériteraient de figurer dans le Guinness de l’hypocrisie. »
Absolument pas. Ils décrivent bien la nature du contentieux qui vous oppose à Marchenoir. Et vous restez essentiellement coite sur chacun des points soulevés.
« Comme si l’on devait s’excuser d’être une femme, d’avoir tel âge, telle couleur de peau. »
Cela ne vous a absolument jamais été demandé. Vous jouez la persécutée à peu de frais. Comme d’hab.
« Comme s’il fallait absolument éviter de mentionner tel ou tel détail de sa vie privée, une expérience, un vécu, de crainte de se faire railler méchamment, insulter et diffamer par un névrosé psychorigide. »
Ce n’est pas ce qu’il vous reproche.
« Pour couronner le tout, vous venez de m’en apprendre une bonne : ainsi mon défunt mari était un « phénotype » non-européen, excusez du peu. »
C’est pourtant bien ce que vous racontez, non ? C’est quoi votre problème? Un problème de formulation ? Un choix de mot ? Ou vous prétendez maintenant qu’il avait un phénotype hyperboréen ?
« Phénotype, génotype, monotype, stéréotype, quelle famille !! »
Chacun de ces mots figurent bien dans le dictionnaire.
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@ duvent
« Dans cette phrase « elle », c’est moi… »
Je vous le confirme.
« Bon, puisque vous vous immiscez dans la conversation entre Mary Preud’homme et Lucile dans le seul but de me faire des compliments… »
Erreur: je m' »immiscais » dans la conversation car elle demandait le pal pour Marchenoir et demandait l’approbation de la foule, dont je fais partie. Ou peut-être souhaite-t-elle un sort un peu plus clément, mais il faudrait le lui demander. Vous ne faisiez que passer par là, et les propos de Mary Preud’homme à votre sujet me concernaient assez directement. Donc, ben voilà… Collateral dammage.
« Quant à vous, je ne peux pas vous tanner la couenne, pour la raison que vous nous avez dit combien vous avez été maltraité, et cela m’empêche d’être sans égards. Sans quoi… »
Ah non ! Allez-y ! Sans vergogne ! Torturez-moi ! On verra bien si cela me chatouille.
« Ici, s’arrête votre existence à mes yeux et ici, je reprends ma liberté de n’avoir aucune considération pour votre point de vue… »
J’en suis ravi.
« Il faut savoir que dans ce bas monde déambulent toutes sortes d’âmes, la mienne est fugace et légère, elle n’apporte rien, elle ne change rien, elle n’enlève rien, elle n’est rien, elle ne fait que passer et ce faisant elle dérange, c’est cela qui est extraordinaire, et c’est cela qui m’amuse, et vous déplaît… »
C’est pratique, un tel aveu du type « je raconte n’importe quoi et j’en suis fière ». Dont acte.
@ F68.10
Mais c’est vous seul qui jouez les victimes en permanence F68.10, avec toutes vos misères étalées sur des kilomètres, les femmes castratrices ou maltraitantes et votre mère en particulier, les médecins tous incapables ou pourris etc. Quant à votre copain Marchenoir, ça ne vaut pas mieux avec toutes ses rancoeurs, son racialisme et ses haines recuites contre les gauchistes réels ou présumés, les gaullistes, les poutinistes imaginaires, les féministes, antiracistes et non racistes assimilés, les paysans, les fonctionnaires… Sans oublier les parachutistes, éducatrices, contraltistes et traductrices !!
Par ailleurs qui de vous, lui ou moi n’a eu de cesse que de s’immiscer dans des échanges où il n’était invité à aucun titre ? Jusqu’à les transformer en guéguerres d’ego interminables, assommantes et vaines alors qu’il n’avait à aucun titre voix au chapitre ?
Allons, allons, calmez-vous, prenez des vacances et recentrez-vous sur des sujets de discussion qui en valent la peine et où vous ne viendrez pas seulement pour vous « montrer » de façon maniaque et compulsive afin de polluer le débat.
https://youtu.be/fHJuqMzfNwI
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@ Herman Kerhost | 06 février 2021 à 15:52
Sauf erreur JDR était sans ambiguïté de gauche et avait une belle plume, claire et concise qui n’a vraiment rien à envier à celle de Marchenoir (se revendiquant lui de plus à droite que la droite) beaucoup plus brouillonne, sans originalité et qui ne cesse de nous ressasser dans des posts interminables les mêmes scies et détestations compulsives et sectaires.
J’ajoute qu’en dépit de multiples escarmouches JDR, lui, ne m’a jamais insultée, ne m’a jamais manqué de respect de façon directe ou allusive. Comme quelques autres ici, en particulier sbriglia et Savonarole. Question d’éducation sans doute…
Par ailleurs, si nous devions examiner les archives de ce blog pour y mesurer la constance de nos convictions, de nos fidélités et de nos choix, je ne suis pas sûre que vous ayez à y gagner en crédibilité cher Hermann, en tout cas beaucoup moins que moi à en juger par vos volte-face idéologiques.
@ Mary Preud’homme
« Mais c’est vous seul qui jouez les victimes en permanence F68.10, avec toutes vos misères étalées sur des kilomètres »
Ce qui est fait est fait. Ce n’est pas vous qui trouviez infect qu’on vous reproche (selon vous) d’exposer vos tranches de vie ? Bon alors… un peu de tenue.
Non: les femmes ne sont pas spécifiquement castratrices (cela, c’est la théorie de ma chère mère, Mary… ben oui… elle est psychiatre…). Les femmes ne sont pas spécifiquement maltraitantes non plus. (Sinon, je ne me tuerais pas répétitivement à mettre en lien le documentaire Maternophobie…)
Ma mère est d’ailleurs une femme qui, outre son côté parfaitement givré sur la médecine, est dans l’ensemble une femme estimable, qui s’est retrouvée piégée à son propre jeu: la médecine. Les médecins ne sont pas tous pourris, mais le SMpP existe bel et bien et ils refusent, dans l’ensemble, en France de le reconnaître. Nous avons d’ailleurs un ratio 3:394 (page 48) de détection entre la France et la Grande-Bretagne à ce sujet. Et dans le contexte du SMpP, les médecins sont bel et bien des tortionnaires, ce qu’ils reconnaissent d’ailleurs eux-mêmes dans la littérature.
Par contre, vous illustrez à la perfection les raisons pour lesquelles les personnes qui témoignent du SMpP sont, sans aucune exception, depuis Julie Gregory, des femmes: ce chantage à la haine des femmes est un des tabous que recouvre le SMpP, et n’importe quel mâle qui en est victime doit y faire face sans relâche. Et vous n’êtes pas l’exception qui réfuterait cette règle que j’ai dû me résoudre à établir empiriquement compte tenu de la masse de déni que j’ai pu observer depuis pas mal d’années.
C’est d’ailleurs en large partie ce qui caractérise la maltraitance: le fait qu’elle prenne toutes vos intuitions à revers. Ce qui garantit et impose le silence.
« Quant à votre copain Marchenoir, ça ne vaut pas mieux avec toutes ses rancoeurs, son racialisme… »
Vous avez remarqué que je n’ai pas les positions de Marchenoir sur le racisme et le racialisme ? Non ? C’est dommage. Permettez-moi de vous présenter des petites scènes de pièces de théâtre dans l’école où j’ai grandi et que j’encense:
« Le temps est venu que les aigles volent ! Le temps est venu de devenir roi ! Le temps est venu de défier l’homme blanc !« — Pièce de théâtre au sujet de Sa Majesté Moshoeshoe Ier, MEMPS 4 Impala Assembly 2013.
J’ai de très bons souvenirs de cet endoctrinement. Toute mon enfance !
« Par ailleurs qui de vous, lui ou moi n’a eu de cesse que de s’immiscer dans des échanges où il n’était invité à aucun titre ? »
Rhôôôôôô !! Vous appelez la populace à prendre parti sur Marchenoir, et vous refusez qu’on vous expose notre point de vue ? Quelle hypocrisie manifeste ! N’importe qui a le droit d’intervenir dans un échange. Il n’y a pas de « permis de parler ». Pour les conversations privées, il y a Telegram.
« Jusqu’à les transformer en guéguerres d’ego interminables, assommantes et vaines alors qu’il n’avait à aucun titre voix au chapitre ? »
Vous êtes pas mal dans ce genre-là. Pas tout à fait au niveau de duvent, mais vous vous défendez dans la catégorie gonflage d’ego en baudruche…
« Allons, allons, calmez-vous, prenez des vacances… »
Je n’ai pas à prendre de conseils de vous. Vous n’êtes pas ma mère… Je retourne donc à Harry Potter et les Reliques de la Mort. Parce que tel est mon bon plaisir.
Un commentateur éminent et prolifique, qui a une connaissance intime de l’art médical pour avoir fréquenté de nombreux établissements psychiatriques, nous déclare qu’il ne faut pas moins de neuf mois moins un jour pour que le corps médical puisse déclarer l’état de « détresse psycho-sociale » chez une patiente atteinte de grossesse.
Par honnêteté intellectuelle il précise : « Le risque d’arbitraire existe, toutefois. »
@ JM0001
« Par honnêteté intellectuelle il précise : « Le risque d’arbitraire existe, toutefois. » »
Exact. Ce qui signifie que si deux médecins en décident, ils peuvent faire un peu ce qu’ils veulent sur la femme enceinte sans qu’elle soit nécessairement d’accord. Il ne me paraît d’ailleurs pas inconcevable que la « détresse psycho-sociale » puisse paradoxalement venir d’un désir de garder l’enfant dans un contexte qui rende cela compliqué…
Rappelez-vous, JM0001, que les certificats de virginité (parfois frauduleux en plus d’être illégaux, et frauduleux car paradoxalement établis pour de justes motifs…) sont des choses qu’on pratique encore en France de nos jours. Bien qu’ils soient interdits…
Donc, oui, le monde médical est un peu compliqué, et plein de subtilités que vous ne semblez pas maîtriser.
En tout cas, l’idée, que vous insinuez, que Madame se promènerait guillerette, dans un cadre féérique, à la rosée du matin, pleine de joie de vivre, et qu’elle décide, une coupe d’hydromel à la main, à 8 mois en demi de se faire avorter sur un coup de tête en prétendant la détresse psycho-sociale auprès de deux médecins complaisants prêts à pratiquer une interruption médicale de grossesse… non… cela ne se passe absolument pas comme cela.
Je le répète: il ne s’agit pas d’un droit accordé aux femmes. Et c’est même réellement immoral de votre part que de populariser l’idée que ce le soit. Des jeunes filles trop jeunes et trop bêtes pourraient être tentées de croire, en vous lisant, que c’est pour elles un droit. Un choix.
Il n’en est rien.
Renseignez-vous donc un peu. Voici un témoignage d’une interruption médicale de grossesse:
« On nous a fait passer devant un conseil de médecins pour savoir s’il fallait ou non garder le bébé. On avait l’impression que du fait de la rareté de notre cas, tout le monde voulait avoir le dossier en main, mais au bout du compte personne ne savait rien et ne pouvait nous donner de réponses claires. De mon côté j’ai cherché des témoignages sur Internet de parents ayant eu des enfants atteints de trisomie 9 mais il n’y en avait aucun. Je ne pouvais pas me rendre compte de l’impact que ça pourrait avoir sur ma vie. Nous avons donc décidé de procéder à une IMG. » — Emeline
Là, Madame manifeste son accord. Mais rien que ce témoignage devrait vous convaincre qu’en matière d’interruption médicale de grossesse, l’initiative en revient au corps médical. En dans le cas de la « détresse psycho-sociale », nous risquons d’avoir nombre d’arbitraires pas béatement joyeux, qu’on trouve déjà en psychiatrie, qui se surimposent sur ce contexte.
Mais, non, ce n’est pas un choix de Madame comme le serait le choix entre banane ou chocolat. Vos commentaires répétitifs sur le sujet propagent des idées fallacieuses et dangereuses au sujet de l’interruption médicale de grossesse. Qui, rappelons-le, n’est pas l’interruption volontaire de grossesse.
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@ JM0001
« Un commentateur éminent et prolifique, qui a une connaissance intime de l’art médical pour avoir fréquenté de nombreux établissements psychiatriques… »
Oh ! Vous savez ma paranoïa de scientologue remonte à bien plus loin dans le temps: depuis le moment où je fus fécondé, j’ai été sous la surveillance médicale permanente et constante d’un psychiatre. Qui d’ailleurs me louait son utérus. Mon carnet de santé est éloquent quant à l’intensité et la ferveur de cette prise en charge précoce et permanente.
@ Mary Preud’homme | 07 février 2021 à 15:08
« Sauf erreur JDR était sans ambiguïté de gauche et avait une belle plume »
C’est quoi le rapport ? Et puis, je croyais que vous étiez de droite ? Je ne défends pas Robert Marchenoir pour ses idées politiques. Même si je suis d’accord avec certaines d’entre elles. Ce que je défends c’est l’usage qu’il fait de sa liberté d’expression.
Par exemple, je ne vous aurais pas accusée d’être une traître à votre race. Je comprends pourquoi RM l’a fait, mais je n’aurais pas été aussi loin.
Cependant, il faudrait, pour mieux comprendre, relire les échanges qui avaient donné lieu à ce propos. Or, tout le monde a oublié. C’est bien pourquoi ramener des propos anciens dans la discussion d’aujourd’hui est un procédé malhonnête. Et c’est ce en quoi vous vous êtes distinguée.
« JDR avait (…)une belle plume claire et concise qui n’a vraiment rien à envier à celle de Marchenoir (se revendiquant lui de plus à droite que la droite) beaucoup plus brouillonne, sans originalité et qui ne cesse de nous ressasser dans des posts interminables les mêmes scies et détestations compulsives et sectaires. »
C’est à ça que je remarque que ce ne sont pas vos neurones qui s’expriment, mais vos tripes. Rien n’est plus faux que ce que vous venez d’écrire.
« J’ajoute qu’en dépit de multiples escarmouches JDR, lui, ne m’a jamais insultée, ne m’a jamais manqué de respect de façon directe ou allusive. »
Je ne vais pas aller vérifier, mais je crois que vous vous trompez. Il est même possible que le même vocabulaire fut employé…
« Comme quelques autres ici, en particulier sbriglia et Savonarole. »
Vous voulez dire que ces deux là aussi vous ont insultée ?
« Par ailleurs, si nous devions examiner les archives de ce blog pour y mesurer la constance de nos convictions, de nos fidélités et de nos choix, je ne suis pas sûre que vous ayez à y gagner en crédibilité cher Hermann, en tout cas beaucoup moins que moi à en juger par vos volte-face idéologiques. »
Aucune volte-face. Je suis toujours de gauche. Mais je ne suis plus antiraciste, si c’est à cela que vous faites référence. J’ai en effet été anti-raciste pendant longtemps. La simple observation des faits, et des lectures mieux choisies, m’ont fait revoir mon jugement. C’est donc par un déclin (léger) de mon ignorance que j’en suis arrivé au constat de la nocivité de l’idéologie (c’en est une) de l’anti-racisme.
Ce n’est pas un manque de constance que d’avoir changé d’opinion sur une douzaine d’années. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.
@ Herman Kerhost
Merci de m’avoir répondu.
Je suis indéniablement de droite, votre croyance ne vous a donc pas trompé !
Concernant les propos anciens que vous m’accusez de remettre sur le tapis afin de les utiliser hors contexte, il me semble que vous êtes loin d’avoir suivi le fil. À moins que vous ne fassiez preuve d’un manque total d’impartialité. Sinon vous sauriez qui de moi ou du monsieur que vous soutenez n’a cessé d’instrumentaliser et ressortir hors contexte des remarques ou confidences anciennes que j’aurais pu faire à d’autres que lui afin d’illustrer un sujet précis…
Et s’il l’a fait c’était bien dans l’unique objectif de me clouer au pilori, en m’administrant « une bonne correction » comme il disait, ajoutant qu’une femme de « mon âge », etc. je ne vais pas rappeler toutes les injures et les allusions salaces dont il m’a gratifiée alors… Ce que toute personne de bonne foi a pu remarquer ici, sauf vous apparemment.
Si vous êtes enceinte des œuvres d’un autochtone sans boulot que vous vous apprêtez à quitter pour refaire votre vie avec un bel homme brun venu du désert, il vous est loisible dans l’intérêt de l’enfant à venir, du futur beau-père et du vôtre de vous rendre dans un établissement républicain (et gratuit) ce pour y avorter, pendant toute la durée de la grossesse moins un jour.
Il vous suffira d’exposer votre situation sociale devant le comité d’éthique.
Ceci est un message du ministère de la justice, de la paix des ménages et des chances pour la France.
@ JM0001
« Si vous êtes enceinte des œuvres d’un autochtone sans boulot que vous vous apprêtez à quitter pour refaire votre vie avec un bel homme brun venu du désert, il vous est loisible dans l’intérêt de l’enfant à venir, du futur beau-père et du vôtre de vous rendre dans un établissement républicain (et gratuit) ce pour y avorter, pendant toute la durée de la grossesse moins un jour. »
Votre art de toucher le fond est inimitable. Ce n’est même pas du racisme, là… c’est un bloc de stupidité compact.
« Il vous suffira d’exposer votre situation sociale devant le comité d’éthique. »
Le « comité d’éthique » ne se réunit que si tel est son bon plaisir. Il ne se réunit pas sur demande souveraine de Madame, sauf dans votre réalité parallèle où les tapis volent et où les licornes existent.
Explications ici.
« Ceci est un message du ministère de la justice, de la paix des ménages et des chances pour la France. »
Ceci est un message du la mission interministérielle de lutte contre la stupidité en ligne.
Un peu de contexte:
« Le résumé d’une thèse de doctorat en médecine soutenue, le 6 mars 2013, par Madame Lucie Versnaeyen souligne que, dans la pratique, des IMG ont été admises pour des motifs plus larges: « Au niveau médical, le peu de la littérature existante sur le sujet retrouve trois grands types d’indications de recevabilité d’une demande d’IMG pour péril psychique. La première est le risque majeur de passage à l’acte autoagressif lié à la grossesse. Les suivantes renvoient à la notion d’une souffrance psychique incompatible avec la poursuite de la vie mentale de la femme: une maladie mentale sévère et/ou chronique aggravée par la grossesse et un risque pour la santé mentale de la femme en cas de poursuite de la grossesse.» » — Le Figaro, 2020.
Cela, c’est la situation actuelle. Et comme vous le voyez, ce n’est pas vraiment Madame qui décide, en pleine possession de ses moyens mentaux.
Le concept de détresse psychosociale élargit et consacre les critères psychiatriques d’interruption médicale de grossesse. Le consentement de la mère dans ces cas… excusez-moi, mais je doute qu’on lui demande beaucoup…
Le même article cite:
« Désormais, le péril grave risque d’être constaté indépendamment même du risque pesant sur la santé de la femme, simplement comme conséquence d’une «détresse psychosociale» à géométrie variable: situation sociale précaire, risque de violence conjugale ou intrafamiliale, fragilité psychique ne risquant pas de mettre la vie de la mère en danger. » — Le Figaro, 2020.
Et ce qui est frappant, dans cet article, rédigé, dans l’ensemble, par des milieux chrétiens, c’est qu’ils se soucient du gosse, certes, mais qu’à aucun moment ils ne remettent en cause l’idée ou évoquent les problèmes du caractère potentiellement non-consensuel de ce type de pratiques lorsque deux médecins, saisis non pas par la femme mais par des membres de son entourage, décideront, sans l’accord de la femme, qu’on l’avorte parce qu’elle n’a pas de pognon, parce qu’elle se ferait taper, ou des trucs du genre.
C’est là qu’on sent le sens des priorités des milieux chrétiens sur les thématiques médicales: jamais aucune remise en cause de décisions médicales, en l’occurrence l’avortement, au motif d’un pouvoir trop puissant des médecins sur les patients, les femmes ici en l’occurrence. Non, cela, ils aiment bien. Ils ont besoin de cette puissance médicale et besoin de la préserver pour garder une courroie de transmission permettant d’imposer leurs soucis sociétaux via la médecine. Alors ils n’y touchent pas…
Alors ils pleurent sur le sort du gosse. Et par contre, lorsqu’il s’agira de retirer le gosse à sa mère pour les mêmes motifs qu’ils considèrent inacceptables à justifier un avortement, là, ils seront à fond les bielles pour demander un pouvoir médical fort. On ne les entendra pas pleurer sur le sort de la mère à qui on retirera le gosse au motif de pauvreté. Sauf si la mère est bigote, auquel cas, ils joueront, à l’occasion, les pleureuses. Mais si la mère est black, p*te et animiste, ils n’en auront rien à cirer.
La mère n’est qu’un objet pour eux.
On a vu les mêmes tours de passe-passe sur de multiples sujets. Notamment la prostitution. L’alliance du féminisme de gauche et du conservatisme chrétien pour taper sur les p*tes en menaçant, par exemple en Suède, de retirer leurs gosses, cela ne gêne pas grand monde… Et après ce sont ces mêmes féministes qui viennent faire le chantage moral aux mâles comme quoi, pour eux, les femmes seraient soit des mères soit des p*tes. N’importe quoi… Le monde à l’envers.
Redescendez sur Terre.
@ Mary Preud’homme
La mémoire est courte sur ce blog.
On tresse aujourd’hui des couronnes au feu dénommé « JDR »
Une famille qui a défrayé les faits divers d’il y a 10 où 15 ans, il suffit de taper leur nom pour voir surgir un best of de ce qui arrive à Olivier Duhamel, pédophilie, ou mariage forcé pre mortem sur un lit d’hôpital, un roman français.
De gauche jusqu’au mur, il n’a jamais dévié, seule la honte du socialisme français explique sa disparition. À mon avis, il est aujourd’hui dans une abbaye cistercienne, Paray-le-Monial. Où il se fouette dès poltron-minet.
Ce fameux « JDR » habitait Champigny et nous daubait sur l’art d’y vivre, à l’entendre on y aurait passé ses vacances, il nous racontait qu’il avait traversé sa ville avec un sac à dos rempli de billets de banque sans jamais avoir été molesté. On peut se demander ce que Bercy pourrait lui demander sur ce qu’il faisait dans le RER avec des biftons.
En fait, « JDR » est mort de honte.
@ Savonarole, 9 février 15:58
Il se trouve que j’ai une très bonne mémoire.
C’est pourquoi je me souviens fort bien de mes nombreux accrochages avec JDR, au demeurant belle plume, mais qui avait du mal à supporter la contradiction notamment venant d’une personne, outre de droite, qu’il estimait moins cultivée que lui. Néanmoins, quelles qu’aient été nos escarmouches portant essentiellement sur des questions de choix politiques, cela n’a jamais dégénéré en insultes ou basses attaques ad hominem (de part ou d’autre). À ce sujet, je me souviens même qu’il a à plusieurs reprises reproché à notre hôte de laisser polluer les débats par des commentateurs (réfugiés dans l’anonymat) maniant l’injure et la diffamation sans contrôle.*
Concernant son départ de ce blog, il me semble qu’il a coïncidé avec l’élection présidentielle de 2017 et le succès de son champion « En marche » Emmanuel Macron, qu’il soutenait ouvertement.
*cf archives du blog de Philippe Bilger, billet du 11 août 2011 « La liberté jusqu’où ? »
@ Savonatroll | 09 février 2021 à 15:58
Commentaire lamentable, comme souvent. C’est sûr que si on google « Savonarole » on ne risque pas de trouver grand-chose sur votre compte. Qui nous dit que vous n’appartenez pas à une famille de pédophile ?
Jean-Dominique Reffait n’a pas disparu, il a simplement autre chose à faire. Ce n’est pas une obligation de venir commenter sur Bilger.com vous savez… Il y a une vie ailleurs que sur Internet. Votre remarque ne vaut donc rien. Mais enfin, puisque vous aimez traîner les gens dans la boue, il aura eu au moins l’utilité de satisfaire votre désir de nuire.
Que JDR ait dit des bêtises durant les années (qui n’en dit pas ?) où il commentait ne signifie pas qu’il ne disait que des bêtises. Quoi qu’on pense de ce qu’il défendait ici, il est indéniable qu’il a positivement contribué à la qualité des commentaires. Contrairement à vous.
C’est à cause de pervers comme vous que la plupart des commentateurs font usage du pseudo pour signer leurs textes.
@ Herman Kerhost
« Commentaire lamentable, comme souvent. C’est sûr que si on google « Savonarole » on ne risque pas de trouver grand-chose sur votre compte. Qui nous dit que vous n’appartenez pas à une famille de pédophile ? »
Effectivement. Par ailleurs, j’ai googlé Jean-Dominique Reffait, et je ne suis pas (encore) tombé sur une anthologie judiciaire digne du Marquis de Sade. J’y ai trouvé un franc-maçon qui aimerait bien, a priori, ouvrir le débat sur la nature, les particularismes et la légitimité de la franc-maçonnerie. J’y ai trouvé une personne qui loue la recherche de vérité de Monsieur Bilger et qui souhaite éviter des dérives fonctionnariales dans la justice. J’y ai aussi trouvé, à mon grand plaisir, une personne qui questionne les simplismes articulant justice et médecine et qui questionne la propension de la justice à se laver les mains de ce qu’elle ne comprend pas ou ne cherche pas à comprendre en déléguant le traitement de pédocriminels à la médecine et à la psychiatrie en particulier.
En particulier, il y questionne l' »efficacité » du traitement médical (ben ouais: une médecine qui ne prouve pas son efficacité, cela s’appelle du charlatanisme et quand c’est ainsi couplé à la justice, c’est une dérive inquisitoriale, même au sujet de pédocriminels) et remet en cause (à juste titre et maladroitement) les poncifs sur le concept de déviance, qui permettent de médicaliser un peu ce qui arrange la société plutôt que de médicaliser la réelle souffrance sur des bases prouvées efficaces. Il se positionnait donc à juste titre (compte tenu du contexte médiatique de l’époque) sur la ligne d’Onfray en la matière.
A priori, rien de condamnable chez Jean-Dominique Reffait. Et si jamais il vient d’une famille de pédophiles, ce que semble insinuer Savonarole, cela n’en fait pas pour autant un complice, et encore moins s’il s’est retrouvé dans la position de victime. (Ce qui devrait aller de soi pour n’importe qui doté d’un semblant de colonne vertébrale en matière de morale). Mais je n’ai rien trouvé à ce sujet.
Florilège:
« Un peu de tristesse aussi : le franc-maçon que je suis – et du Grand Orient de France, en plus ! – sait qu’il y a des critiques véritables à formuler sur la franc-maçonnerie mais se désespère de lire un jour une vraie remise en cause, documentée et intelligente, qui porterait le fer dans la plaie. Non, l’anti-maçonnisme demeure idiot, frappe toujours à côté de la plaque, énonce des crétineries que l’inlassable répétition ne saurait transformer en vérité. » — Jean-Dominique Reffait
« Franchement, Monsieur Bilger, de quelle école de magistrats sortez-vous ? Depuis quand un avocat général ne considère-t-il pas comme faute professionnelle d’avoir un regard critique sur les dossiers qu’on lui présente ? […] Que s’est-il passé dans votre jeunesse ? Avez-vous eu une […] vraie vocation de vérité et non d’accusation ? J’avoue que l’extra-terrestre Bilger me laisse rêveur 😉 » — Jean-Dominique Reffait
« JP Ledun et sbriglia, lorsque j’écris que le viol d’enfant n’est pas une perversion naturelle mais culturelle, cela n’a évidemment rien à voir avec une démarche esthétique ou intellectuelle ! Il s’agit de savoir si cela relève de la maladie ou non. Ce n’est pas un débat byzantin, JP Ledun, car vous savez très bien que cet argument de la maladie accompagne le suivi de ceux qui sont mis en liberté : dans la mesure où le criminel « se soigne », la société, par l’intermédiaire de la justice, se considère tranquille. […] Contrairement à ce que vous suggérez l’un et l’autre, mon propos n’exonère aucunement les responsables de tels actes, au contraire ! » — Jean-Dominique Reffait
Psychiatre sa mère biologique était.
Longue fut sa quête pour la remplacer.
Justice Singulière aujourd’hui sa nounou devenue.
Pour lui désormais plein d’égards nous serons.
@ JM0001
« Psychiatre sa mère biologique était. »
Factuel.
« Longue fut sa quête pour la remplacer. »
Non. Ce sont des mots qui ne font sens que dans votre esprit.
« Justice Singulière aujourd’hui sa nounou devenue. »
Vous devriez plutôt répondre sur le fond aux propos que je vous adresse au sujet de votre lamentable propagande sur l’interruption médicale de grossesse.
Les nounous, c’est vous qui les demandez et les imposez rhétoriquement à ceux qui n’en veulent pas. Ayez donc un minimum de décence et déterrez plutôt la hache de guerre.
« Pour lui désormais plein d’égards nous serons. »
Je m’en passe. Des égards qui ne sont que prétexte à l’ostracisme et au misérabilisme, c’est justement une des plaies mentales qui fait refuser, par exemple, la scolarité aux autistes. C’est immoral. Tentez la cruauté, plutôt: c’est un peu plus franc et honnête que cette pseudo-charité que vous dissimulez derrière votre christianisme mal dégrossi.
@ F68.10 | 10 février 2021 à 00:56
Exactement. Merci pour ce florilège. Cela suffit à réduire à rien la critique de Savonarole, lui qui n’a jamais rien apporté de comparable.
On comprend aussi pourquoi ce troll n’a cessé de harceler ce commentateur. La vomissure sur un esprit plus élevé que le sien étant, comme chacun sait, sa motivation première.
L’enfant à naître ne doit plus être un obstacle pour contracter un mariage heureux entre une Française de souche et un homme issu de l’immigration.
Des comités d’éthique sociale sont en place dans toutes les maternités des hôpitaux civils. Mesdames, ils vous attendent pendant toute la durée de votre grossesse. Le service est gratuit.
Ceci est un communiqué du Ministère de la sécurité sociale et de la mondialisation heureuse.
@ JM0001
« L’enfant à naître ne doit plus être un obstacle pour contracter un mariage heureux entre une Française de souche et un homme issu de l’immigration. »
Je me contorsionne les doigts pour trouver les bons mots à vous adresser… mais êtes-vous au courant que militer pour l’interdiction des mariages raciaux, c’est quand même un peu sud-africain old school ? Laissez tomber cette idée: elle génère des guerres. Il faut accepter que les blacks et les blanches b*isent ensemble.
J’ai d’ailleurs un souvenir ému de ce couple à la piscine de Vevey. Elle: vieille, blanche, les fesses flasques, les seins plus exactement de toute première fraîcheur et un compte en banque suisse bien garni. Lui, black, jeune, grand, musclé, élancé, le torse naturellement en V, sans un rond et probablement sans permis de séjour. Une belle bête aurait-on dit du temps de l’esclavage.
Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que son compte en banque est maintenant mieux garni que le vôtre. Et je m’en réjouis. Ke thabile.
« Des comités d’éthique sociale sont en place dans toutes les maternités des hôpitaux civils. Mesdames, ils vous attendent pendant toute la durée de votre grossesse. Le service est gratuit. »
C’est faux. On vous l’a expliqué. Vous le savez donc, maintenant.
Par ailleurs, ce ne sont pas des comités d’éthique, mais des conclaves de deux médecins. La profession d’éthicien clinique en matière médicale est une profession respectable. J’en connais en Suisse: Carlo Foppa. Je n’en connais pas en France. Ces comités ne sont donc pas, quoi que vous en pensiez, des comités d’éthique: ce sont des conclaves de médecins. Rien à voir.
@ Herman Kerhost | 10 février 2021 à 23:06
Cf le billet de Philippe Bilger « Pierre Desproges ne serait plus compris aujourd’hui ! ».
Pas sans cause que Savonarole ne le soit donc plus depuis quelque temps par certains individus qui de toutes façons n’ont jamais brillé ici par leur esprit critique, leur humour et leur liberté de penser hors des sentiers battus.
Ceci n’étant qu’une apparence ne trompant en fait que les quidams sans vraie personnalité ne cédant qu’aux modes, incantations, injonctions et anathèmes émanant du dernier fort en gueule uniquement occupé à faire allégeance en toutes servilité à l’homme fort du moment et à sa suite de laquais.
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Le laboratoire et la taverne, le plein air et le bouge, un voyou et un gentil, un ancien Européen et un nouveau Tiktokandwikikipiste…
@ JM0001
« Le laboratoire et la taverne, le plein air et le bouge, un voyou et un gentil, un ancien Européen et un nouveau Tiktokandwikikipiste… »
Mouais. C’est probablement quand même connu depuis le paléolithique supérieure que les rapports sexuels ont quelque chose à voir avec la procréation. Je crois que vous confondez le laboratoire ou la taverne avec la caverne.
Enfin bon… de toute manière, vous vous êtes avéré incapable d’émettre une pensée un tant soit peu intelligente ou structurée sur ces sujets…
Aliocha, petit père, je ne suis pas Jean Michel 001 mais votre Jean Mineur 0001.
LUCILE
se demande ce que je viens faire danse blog.
Moi pareil !
LUCILE
ne m’aime pas, elle le déclara.
Je ne partage pas ce désamour.
LUCILE
aime ceux qui sont longs:
pas ceux qui font court, ils prennent moins la tête.
La gracile Lucile va-t-elle se rendre compte qu’à force de mesure et d’équilibre on peut se retrouver dans le camp des accusés ?