Marlène Schiappa (MS), secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, sera co-animatrice avec Cyril Hanouna, dans la soirée du 25 janvier, d’une émission pour, nous dit-on, populariser le grand débat national. En service commandé probablement.
Il y a des échanges médiatiques dont on ressort sinon convaincu du moins ébranlé dans ses certitudes. Quand j’ai quitté « L’heure des Pros » au cours de cette matinée après une discussion animée sur la présence de MS à « Balance ton post ! », je n’avais pas changé d’avis. Au contraire, malgré la qualité de certains de mes contradicteurs (CNews).
Qu’on me comprenne bien : je ne suis pas indigné – l’indignation mérite des causes moins frivoles, plus profondes – mais attristé.
Je ne déteste pas du tout Cyril Hanouna qui est un histrion assumé de grand talent et j’ai toujours trouvé choquant le regard que des élites prétendues raffinées portaient sur lui. Ce n’est donc pas cet animateur volubile et omniprésent qui constitue le problème si on admet qu’il y en a un.
Cette sanctification des Gilets jaunes, encore aujourd’hui, peut me sembler démesurée même si elle excepte deux excités, Maxime Nicolle et Eric Drouet qui n’ont pour vocation que de créer du bruit sulfureux et provocateur autour d’eux.
Pourtant il est tout à fait normal de leur donner la parole et de les écouter mais il convient de cesser ce procès qui à la longue devient insupportable : nous serions tous des citoyens incapables de considération à leur égard et nous les mépriserions alors qu’eux, ils seraient le peuple ! Cette absurdité a assez duré.
Cyril Hanouna, pour la télévision, affirme avoir été le premier à inviter des GJ sur un plateau. En tout cas Sud Radio les a mis en valeur depuis le début du mouvement. Pas une journée à Paris ou ailleurs sans qu’un GJ ait été convié et écouté dans un climat serein, sans condescendance ni hypocrisie.
Pourquoi suis-je attristé par avance par l’intervention de MS le 25 ? Parce que la présence d’une ministre n’est pas souhaitable dans un tel type d’émission sauf si on suppute qu’elle est tellement atypique et sans véritable impact politique qu’on peut lui laisser la bride sur le cou.
Pour ma part, si je ne l’apprécie pas comme secrétaire d’Etat, si beaucoup de ses propos et actions me paraissent relever d’un féminisme totalitaire, je vais tenter de m’abstraire de mon opinion personnelle pour aborder honnêtement cette interrogation.
Je conçois qu’il faille écouter les GJ mais est-il nécessaire, à ce stade de nos joutes démocratiques, d’apporter des éclairages ou des contradictions à leurs doléances, à leurs réclamations ?
Je ne dénie pas que MS puisse disposer du savoir pour répliquer ou informer mais, alors que les Français « se prennent au jeu du grand débat national », qu’il est en cours, incertain, inachevé, riche, effervescent avant le 15 mars, était-il obligatoire de laisser apposer par une secrétaire d’Etat un label prématuré sur un événement capital mais en élaboration (Le Figaro) ?
Pour l’instant il est clair qu’il n’avait pas besoin d’elle, toute comparaison avec le dialogue engagé par le président avec les maires – et dont les modalités vont heureusement changer – étant inadéquate. Celui-ci, dans ses deux manifestations très réussies, nous maintient dans le registre politique et le 25 on va forcément le quitter. Ce ne serait pas dramatique si le politique avait sa chance.
Mais pour peu qu’on examine notre histoire à la fois politique et médiatique, avec sa tenue longtemps puis ses dérives, enfin ses vulgarités, il est patent que mettre ensemble le divertissement et la politique conduit à dégrader la seconde à cause du premier sans que jamais le sérieux puisse espérer ennoblir le rigolard même si on m’a bien précisé que l’émission du vendredi n’avait rien à voir avec celle des autres soirs. Il n’empêche. Cet étouffement va d’autant plus se produire avec une personnalité qui n’est pas naturellement respectée et consensuelle.
La conclusion est que la désaffection civique va s’amplifier et que la démocratie accentuera ce qui lui fait perdre toute grandeur, toute allure : on fera tout pour qu’elle n’élève plus le citoyen, jeune ou moins jeune, mais qu’elle ressemble à sa caricature, à sa grimace.
Je ne veux pas éluder les seuls arguments de ceux qui approuvent l’engagement de MS dans cette aventure médiatique.
On nous dit que beaucoup de jeunes gens regardent l’émission de Cyril Hanouna et qu’il convient de mettre la politique à leur portée. Quel intolérable mépris que cette vision des choses qui, peu ou prou, revient à les traiter de médiocres puisqu’ils ne seraient accessibles qu’à une vision dégradée, dénaturée, démagogique de la politique ! Croit-on vraiment qu’on va ainsi les séduire et les persuader de revenir vers le grave et le républicain ?
Ce sera le contraire. Faire de la politique une plaisanterie médiatique et bruyamment spectaculaire continuera à faire mourir à petit feu l’appétence qu’elle devrait susciter par morale et par civisme. Les jeunes ne sont pas une denrée à traiter comme une publicité. Rien de plus navrant que ce jeunisme qui feint de courtiser mais pour accabler !
De la même manière, quand on use de ce sempiternel et lassant « c’est l’époque » pour se consoler d’approuver ce qu’on est impuissant à empêcher, il me semble que cette triste résignation démontre la nécessité d’une pensée réactionnaire.
Le fil du temps n’est pas en lui-même progressiste, le présent n’est pas forcément une boussole. Le pouvoir a le droit de résister à ce que l’histoire entraîne avec elle de dégénérescence. Il en aurait même le devoir s’il avait du courage, vertu quasiment disparue. Décrire avec complaisance et une sorte de volupté amère la perversion de plus en plus scandaleuse engendrée par la relation entre politique et divertissement, entre bateleurs et ministres est une fuite, une impuissance. Il faut arrêter cette prétendue fatalité. En tout cas le pire n’a jamais justifié qu’on se prive délibérément du meilleur.
Je sais, je ne suis qu’un homme !
Mais Marlène Schiappa, je vous en prie, n’y allez pas !
Faire de la politique une plaisanterie médiatique et bruyamment spectaculaire continuera à faire mourir à petit feu l’appétence qu’elle devrait susciter par morale et par civisme.
Mais quand M. Macron va faire son Barnum décalé devant une claque de maires choisis, encadrés et embrigadés, probablement sommés d’applaudir des propos contestables par quelques discrets « chauffeurs de salle » pour faire croire aux Français, images télévisuelles à l’appui qu’il serait la personnalité politique la plus populaire, ne tombe-t-il pas dans ce travers, avec lui-même dans le rôle de l’histrion ?
Dans notre macronie, tout étant communication destinée à prendre dans ses rets ceux qui s’y laissent influencer, madame Schiappa a pour mission de récupérer une partie de l’électorat « populo » qui regarde ce type d’émission.
L’on perçoit donc que le grand débat national est une forme de préparation aux élections européennes sans que les dépenses affectées au GDN puissent être comptabilisées au titre de ladite campagne électorale. Du grand art dans la manipulation de l’opinion et… des comptes de campagne !
Cette personne, il faut qu’elle se mette en scène et joue les victimes partout.
Et là, en plus, donner du crédit à Cyril Hanouna, un animateur voyeuriste, obscène, à la limite de la pornographie. L’un des animateurs télé qui a été le plus condamné par le CSA.
La prochaine fois, elle organisera le débat au « Journal du hard » sur C+.
Remarquez, elle n’a pas plus d’intégrité, de probité ou d’honneur que lui, pour obtenir un poste de ministre, il suffit de voir ce qu’elle fait ; les deux font la paire comme on dit.
https://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/8028131
M. Bilger,
Pourquoi voulez-vous qu’elle n’y aille pas ? Ils feront la paire…
Moi qui suis tellement obtuse, je suis aussi de ceux qui trouvent dans l’apparence des informations, et donc, je peux dire sans frémir que ces deux visages expriment ce qui m’est le plus insupportable, à la fois la fatuité insondable et la sottise incommensurable…
D’où je tiens cette capitale information ? De mon instinct… et aussi de leurs éblouissants exploits !
Cher Philippe,
Chaque intervention de Marlène Schiappa nous donne la honte d’être femme parce que nous détestons son babillage infantilisant et coulant ou roucoulant.
Nous haïssons le clivage malsain qu’elle plaque entre homme et femme.
Sa vue de l’égalité homme/femme est totalement périmée et son discours au nom de toutes les femmes qu’elle transforme en une sorte de victimisation nous fait pitié.
Nous aimons les hommes et les femmes avec leurs défauts, leurs qualités et ne souhaitons pas une uniformisation de notre façon d’être.
Les féministes d’aujourd’hui dévalorisent l’image de la femme. Elles sont vieilles d’esprit.
Schiappa, c’est la femme papier peint qui découvre qu’elle a un clitoris. Elle alimente de vieux schémas des années cinquante, avec le grille-pain, le mari, les couches, les bébés. C’est une vieille pin-up qui se veut castratrice et qui croit faire rêver.
Les femmes d’aujourd’hui et de demain ne veulent plus de son jeu démodé et veulent la liberté d’organiser leur vie comme elles l’entendent.
Elle ne comprend pas la femme qui ne veut pas être réduite à son sexe et ne rêve pas non plus de devenir une femme phallique.
Ce n’est pas à l’Etat de construire des modes de vie pour les femmes. Nous demandons à ce que ce ministère disparaisse, le titre étant diffamant pour les femmes.
Les défilés où il n’y a que des femmes sont des régressions sociétales.
Qu’elle participe ou pas à ce débat, c’est de la pipe et on s’en tape.
Le cirque médiatique s’anime de lui-même.
A quand la lecture du monologue du « Trou du cul » inspiré de Rimbaud sur les planches?
françoise et karell Semtob
J’ai lu dans le précédent post une appréciation qui m’a fait rire sur « le bouffon et la gourdasse ». Moi j’aime bien Madame Schiappa qui a un franc-parler et assume semble-t-il son passé d’écrivaine de romans légers. Elle peut effectivement apporter quelque chose de frais au débat car elle a un sens de la répartie que je lui envie. Je regarderai ce débat avec curiosité.
« Pas un jour sans qu’un GJ ait été convié et écouté dans un climat serein… »
On imagine une grande cage médiatique climatisée, avec des GJ costumés en serins, Marlène Schiappa en mésange charbonnière venue sur ordre « au charbon » et Cyril Hanouna en corbeau de la fable, attendant les compliments de Maître Achille, pour avoir bien organisé le déplumage des petits oiseaux jaunes.
Bonjour.
J’avais fait connaissance avec un musicien à ses débuts, devenu célèbre depuis. Je me désolais que ses concerts n’attiraient qu’une poignée de spectateurs et le lui dis. Il me répondit que ce serait effectivement préoccupant si personne n’était conquis mais qu’à partir du moment où une seule l’était, c’était gagné.
Vue sous cet angle, la démarche de MS me paraît être sensée. Le but n’est pas tant de ”répondre aux gilets jaunes” mais plutôt de faire la promotion du Grand Débat sur un plateau de télévision où il n’en aurait probablement jamais été question ou bien sur le mode de la moquerie rigolarde puisque c’est la nature de l’émission.
Inversement à vous, je ne vois aucun ”intolérable mépris” vis-à-vis du public de cet animateur mais plutôt une forme de considération. On vient lui parler en face.
Donc oui, il faut y aller !
Marlène Schiappa
Le monde médiatique donne beaucoup d’importance à cette secrétaire d’Etat.
Elle est du niveau de cette émission qui, souvent, est quand même d’une grande médiocrité et dérape régulièrement.
Je ne pense pas qu’elle soit en service commandé. Je crois qu’elle brûlait, tel un papillon, d’aller vers la lumière : elle semble adorer, comme le Président, se retrouver devant une caméra, quelle qu’elle soit !
La politique n’en sortira pas grandie comme vous le laissez entendre cher P. Bilger.
Cordialement.
Pensez-vous que Mme Schiappa qui n’est rien, ne représente rien, aurait pu avoir une autre audience que celle de M. Hanouna ?
Cette dame n’a aucun intérêt, elle est parfaitement à sa place, celle des perdants.
Je ne comprends pas bien pourquoi elle est ainsi descendue en flammes dès à présent alors que sa prestation n’interviendra que vendredi 25 janvier.
Quand je vois ce procès d’intention et que j’entends la bassesse des propos de Christian Estrosi, j’ai vraiment envie de soutenir Marlène Schiappa.
Est-ce qu’on peut au moins attendre sa participation à l’émission de Hanouna avant de formuler des critiques ?
Que Messieurs les Sénateurs soient réticents, c’est tout à fait normal. Il n’est d’ailleurs pas malvenu de les remuer un peu.
Votre billet, cher Philippe Bilger, est certainement un des meilleurs, tant il est chargé à la fois de retenue courtoise – dont vous ne vous départez jamais – et de sévérité vacharde à l’égard de la secrétaire d’Etat qui mériterait beaucoup moins d’égards étant donnée son attitude provocatrice.
Faire alliance, même pour une émission, avec le plus vulgaire des animateurs qui n’a de talent qu’une popularité triviale, en dit long sur la mentalité de la tenancière du poste et, par ricochet, sur celui qui l’a nommée et ceux qui la soutiennent. Gouvernement de foutriquets, incapables jusqu’à l’obscène, choisis en fonction d’un pseudo-règlement dit de parité qui oblige le président-amateur à nommer untel ou unetelle en fonction de son sexe et non de sa compétence supposée.
Quant à l’animateur-comparse, pignouf fantaisiste que je n’ai découvert que parce qu’il déborde toujours de vingt minutes sur l’émission suivante, on se demande bien ce qu’il pourra apporter à la dame-ministre puisqu’ils partagent déjà bien des indélicatesses béotiennes et un manque d’élégance crasse.
Vous avez bien raison de souligner, en termes plus choisis que les miens, cette ‘’vision dégradée, dénaturée, démagogique de la politique’’.
Et pendant ce temps-là, on ‘’dialogue’’ ferme entre revendicateurs exaspérés-brouillons et receveurs polis de paroles. Echarpes tricolores, cidre et saucisson-fromage, gilets jaunes ou neutres, algarades et envolées lyriques, timides et farfelus, lèche-bottes et violents, poussées de fièvre et exhortations au calme vont parsemer une macronie officiellement bienveillante mais bien décidée à imposer son point de vue. Les discussions, sorte d’armistice, pourraient bien durer plus que prévu. Déjà, les syndicats un peu sur la touche commencent à se faire entendre. Les élections municipales en 2020 aiguisent les appétits ; les européennes dans quatre mois font dire beaucoup de bêtises aussi bien à droite qu’à gauche.
La médiocrité règne partout, autant à l’Elysée et dans les ministères que sur les ronds-points et c’est ce qu’il y a de plus inquiétant. Mufles, goujats et malotrus font assaut de balourdises en s’accusant réciproquement de fake news. Les seuls qui semblent indifférents à tout ce micmac sont ceux qui préparent activement carnaval, particulièrement à Dunkerque et à Sarreguemines (le bala-bala).
Est-ce rassurant pour autant ?
Marlène Schiappa est obligée d’y aller.
Elle est investie d’une mission sacrée pour faire éclater la Vérité :
« Alors qu’on lui rétorquait que sa popularité baissait à mesure qu’elle enchaînait ce genre de démarches, elle a répliqué avec le même ton, en se comparant à… Galilée ! « Deuxième chose, ce n’est pas parce que la majorité des personnes pensent que c’est une mauvaise idée, que ça l’est. Je vous rappelle que Galilée était tout seul face à la majorité pour dire que la Terre était ronde et qu’elle tournait. La majorité pensait qu’elle était plate et statique”, explique-t-elle ».
https://www.lesinrocks.com/2019/01/23/actualite/politique/critiquee-pour-son-emission-avec-cyril-hanouna-marlene-schiappa-se-compare-galilee-111161231/
En plus, pour ce qui est de l’histoire des conceptions astronomiques, on voit qu’elle maîtrise parfaitement le sujet. Ce serait dommage qu’elle ne se dévoue pas pour faire triompher les Lumières.
Elle a prévu d’y aller parce que son producteur le lui a dit, et elle n’ira pas s’il lui dit de ne pas y aller.
Le producteur organise le tour de table, et on envoie une assistante sonder le public.
Eh oui, les petits, moi, Macron « je me dis que »:
J’ai acheté le vote des chasseurs (il ne faudrait oublier la diminution de moitié des cartes chasse, car ça dit tout sur l’individu).
Maintenant, je me fais les maires, et j’envoie « chia pas » ratisser chez les débiles, parce que figurez-vous, les débiles ont le droit de vote…
« Quand j’ai quitté « L’heure des Pros » au cours de cette matinée après une discussion animée », écrivez-vous.
J’ai écouté cette émission et je l’ai vue, cher Philippe. J’ai apprécié vos interventions. Je n’ai pas apprécié la veste de l’animateur. Je ne vais chez aucun tailleur. Mes habits sont très ordinaires.
Je ne porte jamais de cravate. Mais la veste de Pascal Praud m’a semblé avoir été prise dans la garde-robe des acteurs des Deschiens. Quelle horreur ! Quel participant a osé lui dire la vérité en sortant ? A mon humble avis, personne. Chacun souhaitant être réinvité. Je n’ai pas cette crainte. Pascal, si tu me lis, change de veste !
« Le pouvoir a le droit de résister à ce que l’histoire entraîne avec elle de dégénérescence. Il en aurait même le devoir s’il avait du courage, vertu quasiment disparue. »
Comment ce pouvoir pourrait-il résister à la dégénérescence quand on a vu Emmanuel Macron le soir de la fête de la musique ou aux Antilles, quand M. Macron nomme Mme Schiappa à un poste de Secrétaire d’Etat, d’où elle prend la parole à tort et à travers comme si elle était Mme Toutlemonde avec ses airs de marchande de poissons. Et voilà maintenant qu’elle va participer à une émission de divertissement. Quelle classe, quel abaissement. A-t-on jamais vu par exemple Mme Veil venir sur un plateau, dans une sorte de jeu radiophonique ?
Et après on s’étonne que les Français se détournent de la politique.
Certes, l’émission ONPC de Laurent Ruquier est également une émission de variétés à laquelle un invité politique participe je dirais sérieusement, mais généralement les interviewers, de Zemmour et Naulleau à Audrey Pulvar, Natacha Polony, Yann Moix, Charles Consigny et même Christine Angot (depuis qu’elle se démacronise) ont une culture générale et politique qui laisse aux interviewés une hauteur qui leur permet de rester dignes de leur fonction, de s’exprimer sans tout ramener à l’humour.
Je connais mal M. Hanouna, mais à plusieurs reprises il a tout de même fait le buzz de façon déconcertante. Quant à Marlène Schiappa et ses petites phrases, elle ressemble à une ministre comme moi à un évêque.
C’est tout cela que je trouve déplorable dans la politique macronienne actuelle, Mme Schiappa, en service commandé probablement, n’est que la continuité des modernités voulues par Macron, un coup il nous joue le grand dirigeant qu’il faudrait prendre au sérieux, fustigeant les populistes et les classes populaires, un coup il se dévalorise lui-même, tout seul.
Déroutant ce Président et son grand débat qui tourne au grand quizz. Du Macron tout craché, notez que pendant que la France s’amuse, il a la paix et peut préparer ses petits coups pour épater la galerie en toute tranquillité.
J’ai déjà beaucoup de mal à croire au bien-fondé de ce débat et de ce qu’il pourra en sortir, vu qu’il maintient son cap, mais là, avec Mme Schiappa chez Hanouna, c’est le coup de grâce et la tristesse pour mon pays et ses habitants qui valent mieux que cela.
@ Robert
« Du grand art dans la manipulation de l’opinion et… des comptes de campagne ! »
Chapeau l’artiste. Voilà qu’il recommence. Les comptes de campagne avec les frais détournés de leur objectif, on a l’habitude avec lui, souvenons-nous des dépenses en frais de réception à Bercy pour s’assurer de ses soutiens, de la soirée à Las Vegas à grands frais et pourtant personne ne lui a cherché de poux au jeune prétendant.
Comme quoi, les comptes de campagne tout dépend du candidat. Qu’on soit ou non sarkozyste, il faut quand même voir une énorme différence de traitement médiatique… mais cela n’empêche pas les Français de penser.
A quand un conseil des ministres transmis en direct sur les chaînes d’information en continu et sur LCP, coprésidé par Emmanuel Macron et Cyril Hanouna ?
Allons bon. Elle clame que Galilée a été réprimé pour l’idée que la terre est ronde. Ce n’est pas dramatique d’ignorer ce qu’est l’héliocentrisme. Sauf quand on est secrétaire d’Etat et qu’on convoque Galilée à la rescousse.
On aura difficilement trouvé plus médiocre personnage. Non pas qu’il est gênant d’être ignare, mais ça se conjugue si mal avec ses prétentions.
De Gaulle avait dit un jour de Jackie Kennedy « elle finira sur le yacht d’un pétrolier ».
Ce fut le cas, à peu de choses près.
Marlène finira comme Roselyne Bachelot, présentatrice sur LCI, dernier refuge de la Macronie, avec Cohn-Bendit, Romain Goupil et Julien Dray. Et le tout, sous le sourire béat de Pujadas.
Marlène dans l’arène.
Hier Philippe demandait à Benjamin Griveaux de se taire parfois, aujourd’hui il supplie Marlène Schiappa de ne pas aller chez Hanouna. Il nous assure vouloir « honnêtement » justifier cette injonction. Examinons tout aussi honnêtement ses arguments.
Pour commencer Philippe nous dit « Je conçois qu’il faille écouter les GJ mais est-il nécessaire, à ce stade de nos joutes démocratiques, d’apporter des éclairages ou des contradictions à leurs doléances, à leurs réclamations ? » Je serai tenté de répondre oui car nous sommes à l’heure du grand débat et qu’est-ce qu’un débat si ce n’est l’échange d’éclairages et de contradictions. Le fait que le Président rencontre des maires n’est pas incompatible avec le fait qu’une secrétaire d’État se frotte à des GJ.
Deuxième point développé par PB :
« Il est patent que mettre ensemble le divertissement et la politique conduit à dégrader la seconde à cause du premier sans que jamais le sérieux puisse espérer ennoblir le rigolard même si on m’a bien précisé que l’émission du vendredi n’avait rien à voir avec celle des autres soirs. Il n’empêche. »
« Il est patent » n’est pas un argument mais une affirmation qui n’est étayée ni par un raisonnement, ni par des exemples.
Puis PB enchaîne sur la jeunesse : « On nous dit que beaucoup de jeunes gens regardent l’émission de Cyril Hanouna et qu’il convient de mettre la politique à leur portée. Quel intolérable mépris que cette vision des choses qui, peu ou prou, revient à les traiter de médiocres puisqu’ils ne seraient accessibles qu’à une vision dégradée, dénaturé, démagogique de la politique ! »
Voilà qu’on nous sort l’argument du mépris dont on ne voit pas ce qu’il vient faire ici. Si les jeunes ne regardent pas les émissions politiques pour leur parler politique il faut bien aller dans les émissions qu’ils regardent.
Au total la position adoptée par PB apparaît bien fragile.
Pour ma part je ne dirai pas Marlène Schiappa, n’y allez pas, mais Marlène allez dans l’arène !
« Marlène Schiappa, n’y allez pas ! » (PB)
Un contributeur – caroff je crois – avait souligné qu’elle était d’une habileté redoutable, doublée d’une grande facilité d’élocution.
Lors de son premier passage on devinait sa « grinta » elle devait être chroniqueuse, elle sera députée de l’Europe.
Et elle va y aller, j’ai bien senti qu’elle avait tout à gagner à s’échapper d’un emploi de soignante de misère. Elle tient là sans doute sa chance pour en sortir, BFM la voulait pour chroniqueuse – elle avait accepté -, finalement on la retrouve là où son ambition intérieure devait la mener.
Orange avec AFP-Services, publié le mercredi 23 janvier 2019 à 19h51
« Les gilets jaunes du Ralliement d’initiative citoyenne (RIC) ont annoncé mercredi leur intention de présenter une liste aux élections européennes de mai. Ingrid Levavasseur, l’une des figures du mouvement social, sera tête de liste. »
Marlène Schiappa, la risée souvent des réseaux sociaux, malgré tout une hâbleuse infatigable… Un timbre de voix désastreux, vous fermez les yeux et vous voyez la gamine de cour de récré parler de ses dernières baskets.
Je lui conseillerai un coach vocal, dès qu’elle paraît mes écoutilles se ferment obstinément.
« Mais Marlène Schiappa, je vous en prie, n’y allez pas ! »
Marlène Schiappa y sera ce 25 janvier, c’est à peu près sûr. Et gageons que l’audimat de « Balance ton post ! » sur C8 va exploser, pour la plus grande fierté de Cyril Hanouna qui est prêt à toutes les extravagances pour attirer le chaland.
Je n’aime pas du tout cet animateur, son humour de gros beauf qui sent la bière, ses sketches d’un goût douteux qui lui ont déjà valu des avertissements du CSA, voire des amendes. Mais il faut reconnaître qu’il n’a pas son pareil pour vendre sa camelote.
MS a-t-elle eu l’aval d’Emmanuel Macron pour se prêter à ce numéro de politique spectacle ?
Difficile de le savoir.
D’un autre côté, dans la mesure où les Gilets jaunes refusent obstinément de débattre avec le président, cette émission du 25 aurait le mérite de permettre une « connexion » entre le gouvernement et les Gilets jaunes qui, soit dit en passant, constituent l’essentiel du public d’Hanouna.
Vu sous cet angle cette émission pourrait permettre de trouver un terrain d’entente en vue d’apaiser les esprits particulièrement échauffés ces deux derniers mois.
Mais tout dépendra, bien sûr, de l’état d’esprit des Gilets jaunes amenés à participer à la discussion avec MS. En espérant que celle-ci ne sera pas trop chahutée, car pour l’instant ces derniers ne nous ont pas habitués à beaucoup de délicatesse dans leurs interventions.
@ Xavier Nebout
« Eh oui, les petits, moi, Macron « je me dis que » :
J’ai acheté le vote des chasseurs (il ne faudrait pas oublier la diminution de moitié des cartes de chasse, car ça dit tout sur l’individu). »
Pour acheter le vote des chasseurs, il eût été plus judicieux de diminuer les permis de chasse départementaux. Seuls les permis de chasse nationaux ont été diminués de moitié, ce qui ne concerne que moins de 10% des chasseurs, des CSP+ qui peuvent s’offrir le luxe de la chasse sur tout le territoire. Quoi qu’on pense de cette mesure (dont je ne vois pas trop l’utilité électorale, le vote de ces chasseurs-là étant prévisible), ça n’a pas changé le « vote du chasseur » rural moyen, assez remonté contre cette forme de favoritisme…
D’une Françoise Giroud en 1974 à la papillonnante Marlène Schiappa en 2019… quelle dégringolade !
Secrétaire d’Etat à la Condition féminine, la première fut un vrai « patron de presse » et une auteure reconnue. Tandis que la seconde – vaguement diplômée – nous arrive des champs vaseux de la com’, estampille Euro RSCG comprise. Bonne pondeuse de surcroît, la charmante a commis une vingtaine d’opuscules publiés.
Voilà plus de 18 mois que La Schiappa en fait des tonnes : elle parle beaucoup, elle réplique beaucoup, elle se montre beaucoup, elle agite beaucoup sa chevelure et cherche beaucoup les micros et caméras… jusqu’à solliciter une émission très bas de gamme pour tenter de racoler ses 700 000 téléspectateurs et leur prêcher la bonne parole macronienne (ne pas confondre avec « républicaine »).
Mais qui est donc cette Marlène S au-delà de ses bourgeoises flamboyances de magazines féminins ? Qui est donc cette belle pouliche que d’aucuns étiquettent « cheval léger de la politique » ?
Pour tenter d’élucider cette question, ce sont trois journalistes féminines de Libération qui s’y sont collées. Au terme d’une enquête dans les milieux féministes, associatifs, politiques et universitaires, la conclusion qui s’impose est que Schiappa serait « UN OVNI DANS LA GALAXIE FEMINISTE »…
« Elle passe plus de temps dans les médias qu’avec les associations qui doivent se contenter de suivre sa politique sur Twitter » regrette une responsable associative. Plus macronienne que le roi, « elle sollicite la rencontre directe avec le peuple, tout en négligeant l’expertise des associations qui ont la connaissance du terrain ». « Et puis très macronien aussi » ajoute cette militante, « Schiappa ne supporte pas la critique et prend tout comme une attaque contre elle. Dès qu’on émet la moindre réserve sur ses annonces, elle balance des DM (direct messages) incendiaires ».
Bref, un peu fatiguée par le sujet je passe le témoin à d’autres pour le portrait à décharge.
Ambiance de fête en perspective donc ce 25 janvier chez le distrayant phénomène Hanouna dans la séquence « le clown et la ministre » !
Voici un lien en guise d’amuse-bouche :
https://www.liberation.fr/politiques/2018/03/20/marlene-schiappa-un-ovni-pour-la-galaxie-feministe_1637682
Cher Philippe,
Je vais finir par parler tout à fait comme Wil en vous disant que vos deux derniers billets me paraissent traiter de deux non-sujets. Benjamin Griveaux n’est pas un sujet, c’est un valet. Quant à Marlène Schiappa, que sylvain a appelée dans un autre fil la « poupée gonflante à la voix de bébé » (il fallait la trouver, et je l’ai resservie sur Twitter), ce n’est pas un non-sujet à l’exemple du précédent mâle. C’est un sujet en ceci qu’elle enfile toutes les perles, tous les poncifs du féminisme le plus invertébré en « aimant la lumière », comme le note Alain Duhamel.
Marlène Schiappa se prépare à transgresser toutes les règles du grand débat données par feu (pour la circonstance débattrice) Chantal Jouanno: pas de ministres, ou alors des ministres dans la salle, des ministres à l’écoute. Ici, Marlène Schiappa va jouer les maîtresses d’école. Femme, mais maîtresse, notre Marlène ne répugne pas à se faire photographier selon certains clichés machistes. Elle va se montrer chez Cyril Hanouna, celui-là même qu’elle avait convoqué pour transgression homophobe. Les transgressions se déplacent à notre époque de même que les postures se retournent.
Cyril Hanouna avait commencé par s’afficher comme le meilleur ami télévisuel du président Macron qui se prêtait au jeu. Au début du moment Gilets jaunes, il se retourne et se déclare « le représentant des Gilets jaunes », un peu comme, toutes proportions gardées, Nicolas Dupont-Aignan s’était déclaré « le premier des Gilets jaunes »…
Cyril Hanouna est comme vous le dites un « bateleur », un « histrion assumé » et « volubile ». Dans son genre, il n’est pas désagréable. Vous-même me fournissez l’argument qui me manquait pour penser quelque chose de la présence de Marlène Schiappa chez Cyril Hanouna: il est le dernier lien des jeunes qui le regardent avec la politique. Rien que pour cette raison, il faut que Marlène Schiappa y aille. Sa « voix de bébé » la rend jeune. Son argumentation est réduite à l’expression la plus commune des idées qu’elle propage. Personne de sérieux et de bon goût ne supporte de l’écouter longtemps.
Seulement, que sont les autres émissions politiques devenues ? Je lis ce matin dans « La Croix » que les jeunes de 18 à 24 ans s’intéressent X fois moins à l’actualité que les gens ayant passé 65 ans, ne s’en informent que sur les réseaux sociaux et se méfient des partages lorsque les contenus partagés sont issus de la presse estampillée.
Ce n’est pas tant la fracture informative qui est grave que l’incapacité des organes de presse à repenser l’information en fonction de cette donnée, incapacité qui a deux précédents: le refus des maisons de disque de proposer la création artistique sur des supports adaptés au partage sur Internet, quand ce n’est pas tout simplement de créer (la création musicale s’est arrêtée dans les années 80), et le refus de l’Éducation nationale d’enseigner le numérique à ses élèves, comme si, à l’heure où se profile une révolution des savoirs fondamentaux digne de celle de l’imprimerie que fit naître Gutenberg, l’école s’accrochait au support du livre parce qu’écrire au clavier empêche le cheminement de la pensée au papier que connaissaient les cognitivistes des sciences de l’éducation quand les « scripteurs » tenaient leur stylo à la main.
Aucune émission politique n’est conçue pour les jeunes. J’aime regarder LCI ou C dans l’air, j’aime écouter RTL, mais les référents qu’on m’y propose, surtout sur la première des deux chaînes, sont issus de la gérontocratie française. Je n’ai rien contre cette classe d’âge, mais outre qu’elle est d’une génération qui a dit « place aux jeunes », elle devrait donner un peu plus dans l’inter-générationnel.
Comment pouvez-vous jeter l’opprobre sur le divertissement en politique alors que la manière dont a choisi d’opérer « Sud Radio » dont vous êtes un intervenant fier de l’être – au détriment de votre génie maïeuticien, je ne vous le dirai jamais assez – est précisément de mêler les deux genres et, sur le modèle de RMC, d’organiser des shows en manière de débats ?
À la fracture informative qui s’ouvre, s’ajoute la relégation pécuniaire dont souffrent les jeunes, qui ne bénéficient toujours pas d’un minimum social avant l’âge de vingt-cinq ans, qu’on pousse majoritairement vers des études supérieures en dépit du bon sens, et que leurs homologues éternels étudiants ont privés du contrat première embauche qui leur aurait permis d’entrer sur le marché du travail, bien qu’après être obligés d’acquérir des diplômes qui ne servent souvent à rien, on leur demande de faire état sur leur CV d’une expérience professionnelle que par définition ils n’ont pas. Le chômage des jeunes est un serpent qui se mord la queue. Aux deux extrêmes du spectre générationnel, jeunes et retraités se sentent relégués. Mais la relégation des jeunes est plus profonde. Les retraités détiennent encore la clef de la et des représentations.
C’est pourquoi Marlène Schiappa doit y aller, ne vous en déplaise.
Il m’est arrivé d’entendre une ou deux fois MS…
À chaque fois j’ai dû m’isoler après dans une chambre noire pour écouter du Bach tant mon tympan avait souffert.
Comme Giuseppe…
J’ai connu la femme d’un ami qui avait cette voix de crécelle : lui n’aimait pas la musique.
Je serais curieux de savoir si le compagnon de MS a l’oreille musicale.
Commentaire léger du matin : fermez toujours les yeux lorsque vous êtes amoureux et écoutez ; le timbre d’une voix vaut bien la finesse d’une cheville…
Et il vous poursuivra plus longtemps.
Nos sœurs de la tombe, toujours en deuil de leur bébé Sarko, convoquent l’Idole, le tube où descend la céleste praline rimbaldienne, genau prenait congé de la posture antirrhétique, duvent célébrant la reptation courtisane, et Marchenoir, divine surprise, cite Mme de Staël, grâce au président de tous les Français.
Aujourd’hui, dame Schiappa occupera l’ire du jour, rappelant car il en est toujours besoin, que la transcendance déviée de l’au-delà vers l’en deçà n’est que l’imitation du semblable, idolâtrie haineuse de l’Autre, à qui majuscule est ajoutée puisqu’on l’ôta à Dieu.
L’homme possède un Dieu ou une idole, disait Max Scheler, c’est l’occasion de citer Claudel en son hommage à l’auteur du sonnet du Trou du cul, où la parole naît du silence, celui qui dominera toujours la pestilence des flatulences :
« Le langage en nous prend une valeur moins d’expression que de signe ; les mots fortuits qui montent à la surface de l’esprit, le refrain, l’obsession d’une phrase continuelle forment une espèce d’incantation qui finit par coaguler la conscience, cependant que notre miroir intime est laissé, par rapport aux choses du dehors, dans un état de sensibilité presque matérielle. Leur ombre se projette directement sur notre imagination et vire sur son iridescence. Nous sommes mis en communication. C’est ce double état du marcheur que traduisent les Illuminations : d’une part les petits vers qui ressemblent à une ronde d’enfants et aux paroles d’un libretto, de l’autre les images désordonnées qui substituent à l’élaboration grammaticale, ainsi qu’à la logique extérieure, une espèce d’accouplement direct et métaphorique. « Je devins un opéra fabuleux. » Le poète trouve expression non plus en cherchant les mots, mais au contraire en se mettant dans un état de silence et en faisant passer sur lui la nature, les espèces sensibles « qui accrochent et tirent ». Le monde et lui-même se découvrent l’un par l’autre. Chez ce puissant imaginatif, le mot « comme » disparaissant, l’hallucination s’installe et les deux termes de la métaphore lui paraissent presque avoir le même degré de réalité. « À chaque être plusieurs autres vies me semblaient dues. Ce monsieur ne sait ce qu’il fait, il est un ange. Cette famille est une nichée de chiens. » Pratiques extrêmes, espèce de mystique « matérialiste », qui auraient pu égarer ce cerveau pourtant solide et raisonnable. Mais il s’agissait d’aller à l’esprit, d’arracher le masque à cette nature « absente », de posséder enfin le texte accessible à tous les sens, « la vérité dans une âme et un corps », un monde adapté à notre âme personnelle. »
https://maxencecaron.fr/2010/07/claudel-preface-rimbaud/
Comment elle a défendu son beefsteack la Marlène Schiappa !
Ce serait une émission qui n’a rien à voir avec TPIRQUEMON POST !
Elle illustre parfaitement son patronyme schiappa, de schiappare : fendre du bois (entre autres significations).
Comme le président qui ne prend que des morceaux du peuple français pour nous faire son numéro théâtre-et-politique avant élections…
Nous étions invités hier au soir entre djeuns et adultes.
Les premiers sympathisants GJ dont un ingénieur, n’ont pas goûté la promotion télé de la ministrelle (pardon secrétaire d’Etat).
Mais comme l’a dit l’un d’entre eux : tout voir, tout entendre et se préparer en attendant notre heure. Quand on connaît l’oiseau… on se frotte les mains !
Les politiques ont énormément perdu en crédibilité à partir du moment où ils ont accepté, par démagogie et clientélisme, de participer à des émissions de divertissement.
On se souviendra notamment du passage de Michel Rocard chez Ardisson ou des invités de Michel Denisot dans le Grand Journal sur Canal +.
On vient de franchir un pas supplémentaire dans la politique-spectacle avec Marlène Schiappa puisque là c’est elle qui a sollicité Cyril Hanouna pour organiser ce cirque médiatique.
Faut pas s’étonner ensuite si un jeune appelle le président de la République Manu…
@ Savonarole 24 janvier 2019
« Le cercle des trotskistes disparus »
…qui réapparaissent en majesté dans les chaînes d’infos avec la complaisance de pseudo-journalistes comme Pujadas.
Vous pouvez ajouter à votre liste Serge July, insupportable de suffisance et dont l’argument massue consiste à couper systématiquement la parole et à parler en même temps que son adversaire. Vieille méthode trotskiste !
Qui écoute encore ces vieux canassons engraissés dans les ors de la République ?
Je ne connais pas les scores d’audimat de Bachelot (vieux… sur le retour si je puis me permettre), mais le caméraman qui la filme devrait éviter de placer son visage en très gros plan. C’est… impressionnant !
Cordialement.
Pourquoi s’étonner ou pire encore s’indigner de la présence de Marlène Schiappa à l’émission d’Hanouna ?
C’est une présence qui est dans la continuité des photos de la Fête de la Musique et de l’île Saint-Martin du président, ou de certains propos à l’égard des Français.
La vulgarité comme compensation à sa très forte vision technocratique du monde est chez Macron un élément naturel de comportement et de langage.
Je ne suis même pas sûr que cette vulgarité soit voulue, elle lui est naturellement inconsciente parce que le monde de l’économie dont il est porteur, celui de la quantité, oublie des valeurs non quantifiables, la dignité par exemple de ne pas s’afficher avec des blacks homo ou voyous.
Il y a dans la surestimation de la quantité, au sens philosophique, une forme de nihilisme passif de la qualité, toujours au sens philosophique.
Nihilisme passif qu’il a pratiqué en niant la culture française, quoique là il n’était pas trop passif, ou qu’il pratique en essayant de fondre la France dans un ensemble technocratique dont les seules règles clairement affichées sont des règles et des normes économiques.
Il faudra s’y faire, avec Macron la vulgarité fait partie des valeurs de la République 2.0 du nouveau monde.
« Une première liste « Gilets jaunes » vient d’être annoncée par communiqué »
Ces listes européennes Gilets jaunes, des baisers de Judas !?
Selon un sondage, une liste Gilets jaunes est créditée de 13% des intentions de vote aux européennes.
Tels sont beaucoup trop de Français : ils ne se fatigueront jamais des « astuces » de ceux qui nous gouvernent.
@ Marc GHINSBERG
« Voilà qu’on nous sort l’argument du mépris dont on ne voit pas ce qu’il vient faire ici. Si les jeunes ne regardent pas les émissions politiques pour leur parler politique il faut bien aller dans les émissions qu’ils regardent. Au total la position adoptée par PB apparaît bien fragile. »
Etes-vous bien convaincu de la solidité de votre raisonnement ?
En raisonnant par l’absurde, si les jeunes ne vont plus à l’église mais à la piscine, faut-il faire la messe à la piscine ? Si les jeunes ne peuvent pas se concentrer plus de deux minutes, faut-il cesser de parler plus de deux minutes ?
Vous concluez :
« Pour ma part je ne dirai pas Marlène Schiappa, n’y allez pas, mais Marlène allez dans l’arène ! ».
Elle est au niveau, ceci dit, pour cette « arène ».
Au point où nous en sommes, nos ministres pourraient peut-être aussi s’inscrire à un spécial « Qui veut gagner des millions ? », histoire que les gains potentiels viennent alléger la facture laissée par les Gilets jaunes ! Cet épisode de politique-spectacle aurait au moins le mérite de servir à quelque chose.
Mais c’est peut-être faire preuve de beaucoup d’optimisme que d’espérer dans les capacités de certains à remporter des gains substantiels. Tout au plus, pourrions-nous peut-être remplacer trois ou quatre radars hors-service. Une misère.
Plutôt que de raisonner en disant, puisque certaines couches de notre population se sont éloignées de nous, politiques, alors allons à leur rencontre là où elles se trouvent, ne conviendrait-il pas mieux de s’interroger d’abord sur les raisons qui expliquent que ces mêmes couches se soient écartées de nous, politiques, et d’en déduire les actions à mettre en œuvre pour les reconquérir ?
Ne mélangeons pas les genres et laissons à chacun sa spécialité. Au spectacle les choix de divertissements, à la politique les choix d’organisation et de gestion du pays. Nous pouvons aimer l’eau et le bon vin, mais pour apprécier vraiment l’un et l’autre, mieux vaut les boire séparément.
Marlène Chipolata comme je m’amuse à la surnommer doit bien entendu répondre à l’invitation d’Hanouna, poussée, propulsée qu’elle est par l’Elysée !
Elle coche toutes les cases de la pensée (?) ou de la vision macronienne de la société. Une société où tout se vaut, une société où il est de bon ton de clore le bec de tous ceux qui soupirent de malaise devant les inepties sociétales ou qui ne supportent pas la vulgarité érigée en art par les « cultureux ».
Et puis Macron lui-même a donné la tonalité du quinquennat avec l’invitation d’un groupe de rap sur les marches de l’Elysée le 14 Juillet ; nul étonnement en conséquence de la collaboration du gouvernement avec ce qui se fait de pire à la télévision.
Je pense qu’on n’a pas encore tout vu !!
« …En tout cas le pire n’a jamais justifié qu’on se prive délibérément du meilleur.
Je sais, je ne suis qu’un homme !
Mais Marlène Schiappa, je vous en prie, n’y allez pas ! » (Ph.B)
Ça y est, j’ai compris. Elle n’a plus le choix, sinon ce sera une bonne fessée.
Le Grand Débat National, pour la France d’en haut et la France d’en bas :
Macron : moi, de la France d’en haut, je me prends les maires parce que je suis le chef, et toi Marlène la gourdasse, tu vas aller chez Hanouna le bouffon parce que tu ne vaux rien.
Marlène est punie – fallait pas dire qu’elle est favorable au retour de l’ISF. Casser le jouet de Manu n’était pas malin.
Pépère veut s’inviter au grand débat dit-il, on ne peut que lui conseiller Strike pour son grand retour à lui… Ah, on me dit que cette émission n’existe plus.
@ Marcel P
« En raisonnant par l’absurde, si les jeunes ne vont plus à l’église mais à la piscine, faut-il faire la messe à la piscine ? »
Mais cher Monsieur je n’ai nullement l’intention d’obliger les jeunes à écouter la messe.
Problème des permis de chasse, certes, problème de la pullulation du sanglier aussi.
https://www.franceculture.fr/ecologie-et-environnement/le-grand-remplacement-des-centaines-de-milliers-de-sangliers
@ sbriglia | 24 janvier 2019 à 06:46
J’ai toujours eu un faible pour c’est instrument qui semble avoir été fait pour Bach, extraordinaire compositeur de la sérénité.
https://youtu.be/x8G276nvQdY
Cheville…
Voir un violon c’est déjà l’entendre et s’évader, un violoncelle on sait à coup sûr le son, un bayan aussi, surprenante Marlène Schiappa, physique de contrebasse, voix de pipeau mal accordé.
Marlène Schiappa va faire une séquence séduction chez Cyril Hanouna, elle va tenter de créer de l’affinité avec l’auditoire de l’émission de divertissement la plus suivie du paysage audiovisuel français.
Le gouvernement compte sur elle pour attendrir les contribuables. Elle a intérêt à être à son maximum parce que les gens commencent à recevoir la première feuille de paie de 2019.
Le choc est rude, les calculettes sont en train de chauffer et il semble bien qu’en première analyse une augmentation des impôts ait été réalisée sous le manteau.
@ Michel Deluré
« Plutôt que de raisonner en disant, puisque certaines couches de notre population se sont éloignées de nous, politiques, alors allons à leur rencontre là où elles se trouvent, ne conviendrait-il pas mieux de s’interroger d’abord sur les raisons qui expliquent que ces mêmes couches se soient écartées de nous, politiques, et d’en déduire les actions à mettre en œuvre pour les reconquérir ? »
Exactement.
En fait, ce « grand débat » stérile – qui n’est pour l’instant que du genre « je cause, je cause, je cause et écoutez-moi bien – devrait plutôt être un grand mea culpa, pour servir à quelque chose.
@ Giuseppe 24 janvier 2019 à 11:02
« Pépère veut s’inviter au grand débat dit-il »
Pendant ce temps Valérie Trierweiler, elle, est reçue à l’Elysée par Brigitte.
la la lalère (et en plus ça rime…)
Finalement les Macron ne sont que des rebelles incompris 😀
Adéo Giuseppe, et saluez vos montagnes de ma part
——————————————————-
@ caroff et @ Ellen
Vous vous êtes concertés ou quoi ? Je plaisante, mais en même temps… 😀
Adéo à vous deux
@ Marc GHINSBERG | 24 janvier 2019 à 11:48
« Mais cher Monsieur je n’ai nullement l’intention d’obliger les jeunes à écouter la messe. »
Ben si en fait !
Vous dites qu’il faut aller là où se trouvent les jeunes.
Pour commencer, où se trouvent-ils, les jeunes ?
Comme s’ils allaient tous au même endroit.
Et pourquoi les jeunes auraient-ils plus d’importance que les autres ?!
Le Gouvernement a proposé à Yann Barthès, Quotidien sur TMC, un tel débat, il a refusé, le Gouvernement s’est donc tourné vers M. Hanouna.
De fait votre raisonnement, c’est de dire qu’il faut se rabaisser au niveau de certaines personnes.
Quelle est la légitimité de Marlène Schiappa ?
Elle n’est que la Secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, pas des affaires sociales, du travail, de la réforme, des collectivités territoriales.
Elle ne lutte jamais contre les discriminations, par exemple envers les pauvres, les Amérindiens d’Amazonie, les personnes handicapées, elle ne parle que du féminisme et rien d’autre.
Pourquoi ne pas envoyer la ministre des Armées pendant que nous y sommes ?!
Mais surtout, quelle est la légitimité, dans l’absolu, de ce Hanouna ?!
Donner autant de crédit à un type aussi méprisable, sale, dégénéré ; dans ce cas, que Marlène Schiappa se pointe à la ferme célébrité, dans le Loft, ou le truc minable d’atrophiés du bulbe : Koh-Lanta, un jeu où des gens doivent trouver leur nourriture, alors qu’il y a réellement des gens qui crèvent de faim sur la planète.
La politique ce n’est que du spectacle, ils se fichent tous des citoyens comme de leur première chemise, tout pour exister.
Un ancien salarié d’un Conseil départemental m’avait confié qu’une fois élus ils ne pensaient plus qu’à une seule chose, être réélus.
https://fr.sputniknews.com/france/201901231039755051-venezuela-melenchon-tentative-coup-etat/
Gilles-William Goldnadel a écorché Toubon le « rentier » de la politique et le journaliste présent disant que ce qu’il énonçait c’était de la morale. Et l’éthique ?
J’oubliais… Décidément j’oublie beaucoup de choses en ce moment !
Bref, il est temps que le Château reprenne Monsieur Alexandre, des gamins de la première heure.
Figurez-vous que lorsque fut ouvert le site dit du grand débat, attaché et avec deux d, pas un, mais pas un n’a pensé qu’il fallait supprimer sur les moteurs de recherche tous les noms voisins.
Tous les petits malins de créer leur site avec un seul d, sans d, j’en passe et des meilleures… Et de vendre toutes les salades possibles et imaginables. Le Palmipède l’avait relevé aussi, mais ceux-ci sont de grands malins. Rappelez-vous l’affaire Botul et notre plus grandphilosophequelemondeentiernousenvie.
Des amateurs comme jamais la République n’en a rencontré, autant de conseillers et passer à côté d’un exercice qu’un gamin de 3e n’aurait pas loupé.
Depuis les journaux s’en sont emparés. Misère.
Enarque un jour, misère toujours.
@ Elusen | 24 janvier 2019 à 13:55
« Mais surtout, quelle est la légitimité, dans l’absolu, de ce Hanouna ?! Donner autant de crédit à un type aussi méprisable, sale, dégénéré »
On sent bien que l’étoile jaune va finir par lui sortir de la poche…
@ breizmabro 13h13
« Vous vous êtes concertés ou quoi ? Je plaisante, mais en même temps… »
Non, mais quand deux esprits se rencontrent…
Ken tuch breizmabro !
@ Elusen
« De fait votre raisonnement, c’est de dire qu’il faut se rabaisser au niveau de certaines personnes. »
Pas du tout, ce n’est pas parce qu’on parle avec un imbécile qu’on se rabaisse.
Vous reprochez à Marlène Schiappa de ne parler que du féminisme, visiblement vous ne l’écoutez pas beaucoup. Dans un débat national, par définition tout le monde est légitime pour parler, même la ministre des Armées qui est au demeurant une personne tout à fait estimable de mon point de vue.
Vous demandez quelle est la légitimité de Monsieur Hanouna. Je ne fais pas partie de ses fans, mais force est de constater qu’il fait de l’audience, notamment auprès des jeunes, pas tous les jeunes certes mais beaucoup. Si l’on veut s’adresser aux jeunes il vaut mieux le faire dans l’émission de Hanouna plutôt que dans une émission de Sud Radio dont on connaît pourtant la qualité, à en croire Philippe Bilger, inversement proportionnelle à son taux d’écoute…
@ Finette, 24 janvier 1:23
« D’une Françoise Giroud en 1974 à la papillonnante Marlène Schiappa en 2019… quelle dégringolade ! »
On prête à Françoise Giroud cette célèbre réplique où elle prévoyait une forme de décadence qui n’honore pas les femmes plus enclines à copier l’homme dans ses pires travers au nom d’un égalité de pure forme, plutôt que s’assumer dans leurs différences et relever le niveau :
« La femme serait vraiment l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. »
Je crains, hélas, que nous ne soyons pas au bout de nos peines : après Hanouna, « Guy Lux, le retour » ?
![]()
I have a (très mauvais) dream…
© Alfred Leleu Inc. Studios Production :))
Le matin secrétaire d’Etat du gouvernement et le soir saltimbanque de l’audiovisuel ! Cet amalgame ne me paraît pas très sérieux.
On a malheureusement quelques guignols au pouvoir qui ne rehaussent pas le débat.
@ Giuseppe | 24 janvier 2019 à 01:35
Suite à notre échange sur le billet précédent de Philippe :
« A chaque fois ni tout à fait le même ni tout à fait un autre… » à propos du Grand Débat objet du billet du jour, en réponse à votre dernier commentaire : vous n’avez hélas que trop raison !
Vous écrivez entre autres :
« N’y voyez pas de condescendance, mais je constate que nous perdons le fil de notre culture industrielle ».
Mais non je n’y vois pas de condescendance !
Je vois par contre le recrutement de nos ingénieurs et scientifiques par les Américains et les Canadiens pour qui nos grandes écoles d’ingénieurs sont des « French Elite Schools » qu’ils apprécient grandement.
Les Américains ont des bureaux de recrutement à Paris même, à une époque où nous ne formons que 30 000 ingénieurs par an alors que notre industrie en demande 40 000.
Le taux de chômage parmi nos ingénieurs est de 2,5 %.
Les Canadiens de Québec viennent de limiter l’immigration ! Sauf pour les Français, devinez lesquels !
Non, nous ne perdons pas notre culture industrielle !
Les programmes d’études de nos écoles : X, Piston, A&M, Mines, Supelec… sont pilotés par les associations d’anciens élèves en relation avec nos industries.
En plus ces associations se sont regroupées au sein de l’IESF et font bloc.
Ce qui a le don d’irriter nos hauts fonctionnaires énarques du ministère de l’Education.
Sans le vouloir ils ont réussi à transformer la vieille rivalité entre écoles en coopération totale, à les unifier.
Mieux la mondialisation entre scientifiques et ingénieurs des différents pays est en place depuis longtemps.
Les grands projets scientifiques et technologiques du futur sont le résultat d’équipes multinationales où nous sommes loin d’être absents.
Notre désindustrialisation est aussi humaine, nos jeunes ingénieurs et scientifiques partent à l’étranger où ils sont appréciés, mieux payés, pas occultés sciemment par nos politiciens et médias.
Lisez le cas qui suit, copié-collé de Wikipédia :
Jean-Lou Chameau, né en 1953 en Normandie, est un ingénieur français, diplômé de l’École nationale supérieure d’arts et métiers.
Le 1er septembre 2006, il devient Président du California Institute of Technology (Caltech).
Le California Institute of Technology (Institut de technologie de Californie) est une université privée américaine créée en 1891. Elle se situe à Pasadena, dans la banlieue de Los Angeles, en Californie. Elle compte près de 500 professeurs et chercheurs et de 2 700 étudiants dans un campus qui accueille aussi le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA où travaillent 5 200 personnes.
En 2013, il devient président de l’Université des sciences et technologies du Roi Abdallah (King Abdallah University of Science and Technology KAUST) . Il quitte ce poste en 2017.
Ce n’est pas nouveau : sortant d’école en 1952, possédant un anglais correct, il m’a été offert d’aller au MIT (Massachusetts Institute of Technologie) dans le cadre d’un échange d’étudiants entre les deux écoles (qui existe toujours), pressé de gagner ma vie, en bon crétin, j’ai refusé.
Tout au long de ma carrière à l’étranger, des entreprises américaines ont cherché à me recruter, ce que j’ai finalement accepté en 1971 avec mission de créer et diriger une division francophone dans une société d’ingénierie.
Je suis loin d’être le seul.
Ce qui m’amène à vous dire que, encore grâce à vous, non seulement je vais soulever la question de l’exploration pétrolière en France à l’occasion du Grand Débat, mais aussi celui du piratage de nos techniciens, dont d’ailleurs ne se privent pas non plus les Chinois.
Le Figaro Magazine de la semaine ouvre ses pages à ce sujet, je viens de découvrir, donnant l’adresse courriel suivante:
debatfigmag@lefigaro.fr.
Souvent victime des « modérateurs » du Figaro je vais toutefois chercher aussi ailleurs.
Dommage que Philippe et Pascale n’ouvrent pas leur propre site du « Grand Débat », en annexe de celui-ci, pour y participer et entraîner avec eux la bande de bavards que nous sommes, une bande qui ne manque pas d’idées, qui sait être sage et sérieuse quand nécessaire, et à qui nos hôtes laissent libre parole.
Un livre blanc adressé au Grand Débat sous le titre « Justice au Singulier », titre fort approprié dans ce cas, avec introduction de Philippe, aurait une sacrée gueule (pardon Pascale) !
Nos anonymes pourraient y participer sous leurs vrais noms sans faire et révéler la connexion avec leurs alias.
@ Elusen 24 janvier 2019 à 13:55
En ce qui me concerne je puis dire que vous avez raison sur presque l’intégralité de votre post.
Vous avez noté la circonvolution de ma phrase pour que vous ne m’interpelliez pas en me disant : « vous êtes qui pour être d’accord avec moi !? »
Je plaisante Elusen. Votre post me convient, sauf le truc sur Koh-Lanta puisque je n’ai jamais regardé cette émission.
Un jour je vous raconterai comment « on » filme ces émissions, un peu « pompées » sur celles de Nicolas Hulot (Ushuaïa) devenu ministre de l’Ecologie après avoir été sponsorisé pour ses tournages par Total et par L’Oréal, ce qui lui a permis de devenir millionnaire.
Mais ça, c’est une autre histoire…
———————————————–
@ Finette 24 janvier 2019 à 01:25
« Ambiance de fête en perspective donc ce 25 janvier chez le distrayant phénomène Hanouna dans la séquence « le clown et la ministre ».
En même temps, comme dit l’autre, c’est toujours la fête du slip chez Hanouna avec ses pigistes briefés.
Ceci dit il n’est pas certain que tous ceux qui regardent habituellement (en zappant de temps à autre) l’émission d’Hanouna, soient ceux qui s’intéressent vraiment à la politique et ce que va dire « la meuf, la blonde, la bonne ». Je crois surtout que Hanouna (producteur de cette émission) va faire tomber « la fraîche » dans sa société avec les annonceurs.
Un Breton célèbre avait dit en 2004 (!) : « Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise dans une perspective ”business”. Soyons réaliste : à la base, le métier c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit » (Patrick Le Lay).
Devant les petits écrans il y aura 50% de « journalistes », 30% de personnes qui vont « jeter un oeil » sur le programme avant d’aller regarder Profilage sur TF1 ou un film sur Netflix, 5% seront dans la catégorie Ph. Bilger « je ne peux pas critiquer sans savoir », et les 5% restants vont « se marrer dix minutes en regardant la meuf avec son paperboard et ses crayons de couleur », avant d’aller jouer sur leur console.
Question audience il y en aura, mais c’est comme pour les raviolis : quantité ne signifie pas qualité.
Ne serait-ce pas là un conseil déjà donné à François Bayrou à l’époque de la présidentielle ? Il n’y est pas allé mais il s’est fait proprement bai**r quand même. Prévoyez-vous le même sort pour MS ? Comme qui dirait, un prosit alors…!
https://www.youtube.com/watch?v=dX5QNZtQXX4
La contradiction dans l’affaire vient de ce que le Grand Débat se veut comme une réponse à un mouvement issu de la base. Mais cette réponse a visiblement besoin d’artifices pour retourner à la base. Il ne s’agit bien sûr pas de la même base, car je suppose que les téléspectateurs de Cyril Hanouna sont plutôt urbains, jeunes et branchés. Leurs points communs avec les Gilets jaunes sont j’imagine de ne pas être surdiplômés et de ne pas se faire une haute idée de la politique. Cyril Hanouna et Marlène Schiappa, ces deux phénomènes, vont se charger de la leur faire aimer, en investissant le cœur même de leur bulle médiatique. On comprend l’intérêt pour le gouvernement, mais on est loin du débat entre Français.
@ Giuseppe | 24 janvier 2019 à 14:07
L’Amérique du Sud est une mine inépuisable de fantoches, tous plus comiques les uns que les autres, de Pancho Villa à Maduro.
L’historien Jacques Bainville racontait dans son livre « Les dictateurs » qu’un prêtre avait été envoyé pour donner l’extrême-onction à un de ces fantoches sud-américains.
Il lui demande, « regrettez-vous, demandez-vous pardon à tous ceux que vous avez opprimés ? »
« Yé né peux pas, yé les ai tous toués ! »… (pour ceux qui ne parlent pas espagnol, « je ne peux pas, je les ai tous tués »)
Ce fut son dernier souffle.
Au Venezuela, la comédie perdure.
« La bataille du rail » a commencé sur les chaînes de télévision : grand débat !
Comment, ce n’est pas dans des gares où il y a « des gens qui sont rien » ?
Par bonheur nous approchons de la période des carnavals…
Je n’ai pas d’opinion bien établie sur M. Hanouna ni sur Mme Schiappa, mais je sursaute chaque fois que j’entends prononcer le nom de cette dernière. Il me semble que la prononciation skiappa serait à la fois plus correcte et plus euphonique que le chuintant chiappa qui nous est assené à tous les coups. Incidemment, schiappa signifie, en italien familier, une nullité, quelqu’un de pas doué. Sur dictionnaire.reverso.net on trouve pour Ho scaricato la schiappa la traduction: J’ai viré la courge. Je confesse avoir ri.
Les Bolloré aux commandes, Hanouna futur ministre de la Culture, Toubon enfin utile à quelque chose mais à 30 000 euros mensuels, Macron en campagne qui a compris que passer à la télé de façon réitérée vous assurait, quoi que vous fassiez ou disiez, une familiarité avec les futurs électeurs pouvant suffire à gagner aux prochaines élections présidentielles, éclipsant Edouard Philippe qui devrait suivre Collomb s’il veut garder une dignité qu’il ne mérite pas de perdre, bref le « nouveau monde » est pire que l’ancien et les mutilés et morts auront sacrifié vie, yeux, mains, pour presque rien, car le pouvoir est entre les mains d’une oligarchie et nous sommes enfin à notre vraie place de pays dominé par la corruption, l’ambition, les affaires, le fric.
Une seule solution à ce prurit de fausses informations et de bourrage de crâne qui a gagné, hélas, toutes les couches de la société, friandes de passer à la télé : la dépipolisation massive.
Et pourquoi pas un beau match de foot à la place du binôme Hanouna/Schiappa pour faire revenir sur terre les plus accrocs à cette lèpre médiatique (tics !)…
Mieux encore, aller au cinéma, au théâtre, au concert, lire un bon livre, faire de la musique ? Ou inviter vos amis mais surtout, surtout, fermez vos télés dès qu’elles font la promotion d’un débat avec force slogans et joueurs de « pipeau », comme pour une nouvelle marque de lessive censée « laver plus blanc que blanc » !
In memoriam Coluche homo et rictus !
@ Marc GHINSBERG
« Mais cher Monsieur je n’ai nullement l’intention d’obliger les jeunes à écouter la messe. »
Et vous n’avez nullement l’intention d’obliger « les jeunes » à se concentrer plus de deux minutes.
(Notez les guillemets encadrant les « jeunes » – de qui parlez-vous ?)
Bonsoir,
Je suis souvent plus que critique avec votre vision. Sur ce billet je converge, tant sur le profil de la Secrétaire d’Etat que sur son abstention et sur les qualités de l’histrion aussi, c’est un pro de son art même si sa vulgarité me répugne, c’est un pro, elle non, il va la soumettre, je le crains.
Enfin, Macron-Griveaux-Schiappa sont immatures, ils passent à l’acte et ne mentalisent pas les conséquences de leurs actes, en amont.
Macron à Aix-la-Chapelle (après trois passages TV en Allemagne pendant les Gilets jaunes… merci la censure française) a encore commis une insulte à la langue française.
Griveaux dérape plus qu’il ne dérape pas, et Schiappa, son papa n’a pas fait le job semble-t-il, dépit de castration avec violente envie de pénis. Les psys parlent de complexe de Diane.
Le plus dangereux est Macron, il viole les mots et symboles avec délectation.
Macron ne me semble pas vicieux, il est pire, sans filtres, sans limites, sans interdits.
Bref, je suis d’accord avec vous, MS à cette émission a une stratégie perdante certaine: LREM aura moins d’options avant qu’après et des risques de dérapages exponentiels…
Bonne soirée, bonne chance.
Cher Philippe,
Savez-vous pourquoi Macron ne manque pas d’air dans la Drôme ?
Réponse : parce que le drome adhère. Drôme se dit « droma » en occitan.
Nous conseillons aux opposants au RIC de créer le mouvement RICQLES, à consommer uniquement en soda, pour relancer l’industrie de la Meuse et promouvoir le Référendum d’Initiative Citoyenne Que Locale Environnementale et Sociale.
Ceci pour apporter quelque fraîcheur et prévenir les risques du RIC.
françoise et karell Semtob
C’était à Bourg-de-Péage, hier soir. En déboulant de manière impromptue dans une réunion à laquelle il n’était ni invité ni attendu, le président de la République a répondu – en partie – au petit concours de, comment dit-on, « bullshits » courant.
Je n’ai fait que survoler très rapidement les émissions de télé hier soir sur le « Débat », ma conclusion est claire, il faut pousser Marlène Schiappa à participer au plus grand nombre possible de telles émissions.
Elle fera la démonstration que la femme peut être aussi sotte et d’aussi mauvaise foi que l’homme, ce que nous les hommes savons depuis la Genèse, mais que les féministes niaient.
« Si la femme est l’avenir de l’homme », comme dit le poète, nous sommes mal barrés, « No Future » comme disait l’autre ou alors ce futur reconduira le passé.
Une heure de télé Schiappa réduira à néant une année de propagande hystérique féministe et remettra à leur place les publicités décourageantes qui font de l’homme un débile mental.
Une heure de télé Schiappa rétablira l’égalité homme/femme dans la médiocrité de la nature humaine.
Avant d’être politique, le combat est culturel, et de ce point de vue, Schiappa comme Roselyne Bachelot, sont des alliées objectives qu’il faut mettre en avant.
Évidemment on pourra me parler de Margaret Thatcher, l’exception qualitative qui confirme la règle, elle est morte d’un AVC, ce qui ne risque pas d’arriver à moult de nos féministes par défaut de cerveau.
Quant à Macron s’invitant à un débat dans une petite commune, il triche de façon éhontée en se mesurant à des adversaires de niveau inférieur, qui n’ont ni sa formation intellectuelle, ni son intelligence formatée et qui ne peuvent qu’opposer un bon sens, et encore timidement avec une certaine forme de respect, que Macron est en train de galvauder sans s’en rendre compte.
Lorsqu’il se présente comme un modèle de démocrate en disant « dans quel pays un président dialogue directement avec les citoyens ? », on pourrait lui répondre « dans certains pays avant de signer des pactes internationaux le président demande l’avis sinon du peuple du moins celui des assemblées représentatives ».
Sous l’écran de fumée d’un débat naturellement brouillon et le vacarme du bruit de fond qui en découle, se poursuit la mise en place d’une démocrature douce, une certaine accoutumance à discuter de tout sauf de l’essentiel, l’avenir du pays et pas seulement de celui des habitants.
Le tout n’est pas la somme des parties.
« Le grand débat est faussé : une simple consultation »
Ce matin sur LCI (8h), Chantal Jouanno a mis les pieds dans le plat et a donné son sentiment sur la réalité de ce grand débat. Au vitriol !
Le grand débat ne serait qu’un leurre : une simple consultation manipulée par Macron.
Cet homme est la fausseté même ! C’est comme la visite hier de Macron dont l’Elysée nous serinait qu’elle était improvisée alors qu’il se découvre ce matin que tout le monde ment y compris la maire (Bourg-de-Péage), très proche de Guillaume.
Il serait intéressant cher P. Bilger que soit commentée cette nouvelle fausseté du président Macron, qui montre, comme nous sommes beaucoup à le penser sur ce blog, que tout cela n’est que de la com’ pour berner les Français.
Le conflit des Gilets jaunes n’est pas près de s’éteindre dans ces conditions.
La présidence du mensonge.
Cordialement.
Mais bien sûr que Marlène va y aller !
Elle va pouvoir faire la victime avec sa petite voix et ses sourires désespérés.
Elle va pouvoir continuer à promouvoir les femmes pour des emplois intéressants. La fonction publique se féminise de plus en plus. Les carrières du médical sont majoritairement occupées par des femmes. Il en va de même dans les lieux d’enseignement et de propagande.
Elle va pouvoir faire de la publicité pour que la France soit représentée au concours de l’Eurovision par un travesti. Dans le journal « 20 minutes », on peut lire « elle » pour désigner un homme travesti en femme.
I have a (très mauvais) dream : le pire est à venir…
https://tinyurl.com/y8ozs5gu
© Alfred Leleu Inc. Pictures France
@ breizmabro | 24 janvier 2019 à 17:25
« En même temps, comme dit l’autre, c’est toujours la fête du slip chez Hanouna avec ses pigistes briefés. »
Je ne savais pas qu’il existait « une fête du slip », mais cela est sans doute dû au fait que je n’ai pas de téléviseur…
Vous dites que c’est « toujours », mais le Jour, le vrai, il est indiqué où sur le calendrier ?
J’ai questionné à ce propos ma boulangère, ce matin, elle m’a répondu ceci : « Les c*ns c’est comme les amibes tant que vous êtes en vie, ils vous font chi*r ! »
Je ne l’ai crue qu’à moitié…
Derrière le prétexte du « grand débat », il est clair – les observateurs de la presse l’ont reconnu – que M. Macron est en campagne électorale, en faveur de la liste LREM aux élections européennes.
Mais est-ce légal en ce qui concerne les comptes de campagne ?
« Il est donc en campagne, à quatre mois de l’échéance. Problème: c’est strictement illégal, et caractérise un comportement pénal. Et il faut le dire clairement, les élections européennes sont d’ores et déjà faussées. Si les organes de contrôle recommençaient à contrôler, leur contrôle devrait déboucher sur l’annulation du scrutin et sur des poursuites pénales. »
https://www.causeur.fr/macron-grand-debat-campagne-maires-2-158433
@ Marc GHINSBERG | 24 janvier 2019 à 15:53
Vous n’avez jamais proposé de parler à des imbéciles, mais aux jeunes, à moins que vous ne confondiez les deux.
La majorité des jeunes allant sur les sites pornos selon plusieurs sources statistiques, pourquoi Marlène Schiappa, spécialiste du genre dans ses livres, n’irait-elle point organiser un débat sur ce type de sites ?
Votre argumentation ne tient pas la route, car ce ne sont pas les jeunes qui sont dans la rue actuellement !
Sans compter que vous n’avez aucune preuve que ce sont les jeunes qui regardent Hanouna.
Pour quelle raison devrait-on spécifiquement s’adresser à eux d’ailleurs ?
De plus vous dites des balivernes, si nous nous en tenons aux taux d’audience de Médiamétrie, C8 ne ferait sur la période du 14 au 20 janvier 2019 que 3,1% de part d’audience.
Du 7 au 13 janvier 2019 : 2,9% de part d’audience.
Touche pas à mon poste !, c’est du 3,2% de part d’audience de moyenne, diffusion en direct, rediffusion et replay, sur une année du 1er janvier 2018 au 31 décembre 2018, une moyenne de spectateurs de 1,896 millions.
Avec quoi, du potentiellement 450 000 jeunes ?!
https://frama.link/2sME9gAS
Selon l’Ined en 2018, de 0 à 19 ans, c’est 15 687 985 de jeunes, donc pour 450 000 spectateurs, cela fait 2,8% des jeunes et si tous les spectateurs sont des jeunes alors du 12% des jeunes.
Tout en sachant que Médiamétrie calcule à partir de l’âge de 4 ans, mais l’Ined ne donne le chiffre qu’à partir de zéro.
Schiappa chez Hanouna, c’était ça ou l’Eurovision ; avec sa voix de Voice Kids elle avait toutes ses chances, surtout qu’en ce moment flotte une ambiance de mode transgenre dans ces milieux showbistiques LGBT.
@ Claude Luçon | 24 janvier 2019 à 17:18
Toute jeune, après une école d’ingénieur en France, elle a poursuivi un doctorat de recherche au Canada après un passage au Brésil et autres pays.
Ayant décliné l’offre canadienne son cursus achevé, que croyez-vous qu’il arrivât ? Les Belges viennent – encore eux – de la recruter à toute vitesse et Bruxelles sera son nouveau port.
Les Belges une nouvelle fois ! Ils n’ont pas de pétrole mais de la suite dans les idées.
Ils ne perdent pas le nord, alors que nous en sommes encore à chercher, avec tous nos blablas, la boussole.
Claude, vous devriez ressortir vos tubes pour les aider à la retrouver.
A nouveau on tombe dans le délire, me semble-t-il, de grandes idées qui ne mangent pas de pain et chacun de se gargariser de « il faut ».
Bien sûr il y a des carences, une soignante avec enfant qui ne peut vivre de son travail est inadmissible dans notre pays.
Après la phase d’étude, la phase d’étude d’exécution, impitoyable, allait-on gagner ou perdre ? Et d’annoncer le résultat et puis au boulot, vite, avancer, des résultats à obtenir, un objectif à atteindre qu’il pleuve, neige ou vente.
Nous sommes indécrottables, nous ne savons que faire des débats et des palabres sans fin, brasser beaucoup de vent.
Hier j’ai entendu le Président du RCT au milieu de ce brouhaha de réclamations, demandes, doléances, projections, conjectures et j’en passe, « combien devrais-je payer de taxes en plus pour que tout ce que j’entends ici cesse ? ».
Question essentielle quand le pays de François Fillon est en « faillite » (là je suis d’accord avec son diagnostic).
Le PDG de ma jeunesse se serait tourné vers moi en disant « pour parler ici on parle, quand est-ce qu’on coule du béton ?! ».
« La majorité des jeunes allant sur les sites pornos selon plusieurs sources statistiques, pourquoi Marlène Schiappa, spécialiste du genre dans ses livres, n’irait-elle point organiser un débat sur ce type de sites ? »
Rédigé par : Elusen | 25 janvier 2019 à 09:52
Je ne savais pas que vous étiez si jeune cher Elusen ; Wikifake, Wikibeauf, vous consultez aussi Wikiporn ? je suis tout époustouflé par votre niveau d’érudition.
Le grand débat, version Hanouna-Schiappa, que tout le monde, ou presque, attend avec impatience, c’est ce soir sur C8.
Titre de l’émission « Balance ton post ! ». Personnellement je croyais que le titre exact était « Balance ton poste » qui me paraissait plus approprié (c’est Pascale qui m’a corrigé).
BTP, pâle copie de ONPC qui, même si on peut critiquer cette émission, difficilement supportable quand il s’agit de subir les gloussements de pucelle de Laurent Ruquier, est quand même deux ou trois pointures au-dessus de l’émission de Hanouna.
Pour ne rien vous cacher je ne regarderai pas l’émission qui dure quand même trois heures, sans compter les dépassements d’horaire dont Hanouna est coutumier. C’est au-dessus de mes forces.
Je me contenterai de re-visualiser, en replay, les meilleurs moments du «spectacle » et attendrai sereinement le prochain billet de notre hôte qui ne manquera pas de nous faire part de ses impressions sur ce grand moment de télévision.
@ Alfred Leleu
Cher Monsieur,
Votre texte semé d’argotismes m’avait donné lieu d’annoter. Il m’a ensuite beaucoup occupé par des courriers divers à plusieurs. Je suis d’un naturel curieux. Vous aviez fait penser plusieurs d’entre nous à deux ou trois habitués.
L’énigme est levée : de source très sûre, j’apprends ce matin que vous ne souhaitez pas me communiquer votre mail. Libre à vous.
N’étant pas première gâchette, tout juste cinquième couteau, je n’ai pas qualité pour vous souhaiter la bienvenue. Passez, je vous prie, cette privauté, à qui n’a eu que le très mince mérite d’annoter votre prose langue verte.
Cher nouveau venu, bienvenue parmi nous.
Mon choix est fait.
Plus de temps à perdre avec des débats… débats… débats… déb… d…
https://youtu.be/XIJM2kZgYiI
J’ai tenté de supporter la voix de Marlène, mes oreilles se sont fermées comme des persiennes et personne de lui dire ?
Il n’y a plus de nouvelles ni d’informations, tout tourne autour des abondantes allocutions dispensées quotidiennement par Emmanuel Macron d’un endroit à l’autre. À croire qu’il ne se passe rien d’autre, sauf que des traités sont signés, dans des lieux symboliques, mais ce sont des traités symboliques, des traités de rien du tout, qui n’engagent à rien du tout, et ne changent rien du tout. Seuls les complotistes, les nazis et les racistes s’interrogent.
Quant aux Gilets jaunes, peut-être en dira-t-on deux mots samedi prochain pour expliquer qu’ils sont moins nombreux et qu’ils rentrent peu à peu dans le rang. Il y en avait un hier soir dans la Drôme pour dialoguer avec Macron, tout à fait représentatif, l’air d’un Peau-Rouge, abruti, entêté, mal embouché, un peu drogué peut-être.
Macron très convaincant a expliqué que les Rosbifs (c’est Leleu qui déteint sur moi) avaient voté le Brexit comme des ploucs parce qu’ils avaient été saturés de mensonge auparavant, et que depuis ils s’en mordent les doigts, c’est THE catastrophe, curieusement cela n’a pas trop amoindri leur économie, mais ils rament et sont dans l’angoisse depuis deux ans. Et ce n’est que le début. Bien fait. Pas comme nous. Donc, le référendum, sûrement pas, avec tous ces gens qui nous mentent et qui nous bourreraient le crâne de fake news pour qu’on vote comme les Anglais.
Très intéressant tout ça. On attend la prestation de Madame Schiappa chez Cyril Hanouna. Transgresseront-ils ou pas ? Question palpitante.
Chers amis, j’essaie ordinairement d’éviter les tics de langage, mais cette fois le mot qui s’impose à ma vue est ce mot usé jusqu’à la trame : jubilatoire…
Je m’interroge gravement sur le fait de savoir si vous voyez ce que je vois sur la vidéo ci-jointe en fin d’article ? Est-ce bien en mini SHORT à carreaux Vichy blanc/bleu sur collant noir que notre pétulante ministre médiamétrique s’adresse à nous droit dans les yeux – j’ai dit dans les yeux – pour nous expliquer comment elle compte « ramener dans le débat » les 700 000 brebis égarées dans les chaînes d' »infotainment » (c’est un barbarisme, mais enfin vous m’avez comprise) ?
Nous savons que dans notre société des apparences la mode peut faire sens… jusqu’à pallier un pathétique vide politique ?
Streetstyle et politique : voilà une manière fort novatrice et ludique de battre le pavé ou plutôt la « campagne » ! Enjoy.
En attendant, parmi le charroi d’incongruités que nous déversent les médias et les réseaux divers, faute de pouvoir nourrir ma réflexion, je viens de m’enrichir d’une nouvelle expression : « tout pour l’audimerde ! ». Joli non ?
https://www.huffingtonpost.fr/2019/01/24/balance-ton-post-sur-le-grand-debat-comment-les-chaines-sadaptent-et-en-profitent_a_23649650/?utm_hp_ref=fr-homepage
Allez, comme par chance je n’ai pas la téloche, je m’en retourne dans nos merveilleux musées parisiens et … bonne chance la France !
See you again.
@ Exilé | 25 janvier 2019 à 09:23
Merci Exilé d’avoir mis votre lien en lumière.
Il n’en est pas à sa première et ne s’arrêtera tant qu’il sera en marche pour cracher sur la France et les Français !
Tout ceci reconfirme bien que Macron, n’est qu’un roublard et un imposteur qui se moque des bonnes règles de conduites. Ce type de comportement n’est que celui d’un braqueur de la nation et tant qu’il restera à l’Elysée, devenu depuis son arrivée la cage aux fous et aux drag queens dégénérés, la France insultée n’a aucune chance de retrouver sa couleur et sa culture d’origine.
Soyons très vigilants et ne lui laissons rien passer !
Schiappa, en italien, ça veut dire « cancre ».
Voili voilou, tout est dit !
@ Bibasse | 24 janvier 2019 à 08:27
« Faut pas s’étonner ensuite si un jeune appelle le président de la République Manu… »
Ce jeune qui s’est fait remonter les bretelles par notre Manu national était blanc de souche, tout ce qu’il exècre ; s’il avait été « colorisé » comme les deux djeuns de Saint-Martin, nul doute qu’il aurait trouvé ça génial et qu’il lui aurait tripoté les abdos.
Entendu quelque part :
– Marlène Schiappa, et pourtant elle poussait !
J’avoue avoir ri.
@ duvent 25 janvier 2019 à 09:16
« Vous dites que c’est « toujours », mais le Jour, le vrai, il est indiqué où sur le calendrier ? »
Il n’y a pas UN jour, c’est toujours (= tous les jours)
En même temps si vous n’avez pas la télé vous ne pouvez apprécier.
————————————————
@ Lucile 25 janvier 2019 à 13:09
« On attend la prestation de Madame Schiappa chez Cyril Hanouna »
Qui « on » ? Pas moi en tous cas, déjà que les émissions d’Hanouna que j’ai regardées une ou deux fois m’insupportent, je ne vais pas, en plus, me coltiner Lili Marlène 😉
Adéo Lucile
@ Tipaza 25 janvier 2019 à 08:10
« La mise en place d’une démocrature douce, une certaine accoutumance à discuter de tout sauf de l’essentiel ».
Macron a ouvert le Grand débat national à ce que les citoyens puissent proposer n’importe quel « sujet concret ». Sous cette réserve d’une démocratie matérialiste, il n’y a pas de sujet tabou.
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@ Savonarole 23 janvier 2019 à 21:07
« Marlène finira comme Roselyne Bachelot. »
Vous ne croyez pas si bien dire ou vous savez que le point commun entre la jeune secrétaire d’Etat qui se prend pour Galilée et l’ancienne ministrelle, qui apprit qu’elle était nommée une première fois ministre de l’Ecologie par Jacques Chirac (elle qui croyait à ses débuts que la terre se réchaufferait de cent degrés en cent ans) dans un magasin de lingerie (je crois tenir l’information sur sa nomination du livre de Guy Birenbaum, « Nos délits d’initiés ») est qu’elles ont toutes les deux joué « Les Monologues du vagin, et Marlène Schiappa est très fière d’avoir fait l’actrice en étant ministre.
Quant au frère de Roselyne, Jean-Yves Narquin, il sert de prise de guerre à Marine Le Pen parce qu’ »on lui a menti », dit sa sœur.
Une anecdote concernant Madame Bachelot. En tant que ministre chargée du handicap (son titre exact était ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale), elle s’est rendue en 2011 aux États généraux de la déficience visuelle organisés par le CFPSAA, qui fédérait l’ensemble des associations typhlophile qui voulaient bien faire cause commune. J’ai retenu deux traits de la ministre d’alors. Elle félicita chaleureusement le président de cette association d’être respecté « tel un monarque absolu » en regrettant de ne pas jouir de cette autorité sans réplique à son poste gouvernemental. Où l’on voit le cas réel que font de la démocratie ces grands démocrates, car ça avait moins l’air d’une blague que de l’expression sans filtre de ce qu’elle retenait d’ordinaire dans les cénacles moins confidentiels.
Le président en question répondit à son discours et lui fit remonter quelques doléances qui s’étaient coagulées dans la préparation de cette réunion à laquelle j’avais, de ma place, beaucoup contribué. Madame Bachelot avise alors son directeur de cabinet, Grégoire François-Dainville, et lui ordonne cavalièrement, mais de façon consonante avec son propos monarchique absolutiste : « Notez, Grégoire. »
@ Giuseppe
Merci de votre propos sur Bach, « compositeur de la sérénité ». C’est beau comme du Cioran. Il y a longtemps que j’en ai rabattu sur l’idée romantique que je me faisais de ce compositeur, qui aurait voulu ramasser et exprimer « toutes les peines du monde ». Il y a chez Bach un trait rythmique que je me plais à souligner : il ne s’arrête jamais, comme le cœur ne s’arrête pas de battre, mais ralentit parfois, en essayant de faire converger la pulsation avec le rythme respiratoire. De la respiration, un ami me disait : « L’air est inépuisable. Il donne à l’homme la seule substance inépuisable qui soit à sa portée. » C’était pourtant bien après les menaces qu’on disait peser sur la couche d’ozone, dont le trou serait bouché ou n’aurait jamais existé, comme on dira demain peut-être du réchauffement climatique (que Macron préfère appeler « dérèglement » en général, sans qu’on l’accuse de climato-scepticisme). et mon ami était pourtant sensible aux « eaux empoisonnées ».
@ Ellen | 25 janvier 2019 à 15:55
Macron matin, midi et soir avec en contrepoint Benalla et en toile de fond les GJ, soit au total une toute petite minorité de grandes gueules, de menteurs, de roublards et de fâcheux dont les médias font leur choux gras depuis des mois.
Stop ! Nous sommes gavés et au bord de l’écoeurement.
Pour commencer, ah s’il pouvait la boucler ce Macron, nous faire grâce de ses longs discours qui sonnent creux et faux, de sa voix de fausset insupportable avec ces aigus qui partent en vrille quand il s’énerve – et se mettre au boulot comme une simple femme de ménage en commençant par un grand nettoyage pour y voir clair dans ce foutoir qu’est devenu la France !
@ sylvain | 25 janvier 2019 à 10:41
« Je ne savais pas que vous étiez si jeune cher Elusen ; Wikifake, Wikibeauf, vous consultez aussi Wikiporn ? je suis tout époustouflé par votre niveau d’érudition. »
Systématiquement, il faut que vos interventions fassent la promotion de la pédophilie, même avec des insinuations.
L’extrême droite dans toute sa splendeur et son problème de perversité avec les enfants.
@ Julien WEINZAEPFLEN | 25 janvier 2019 à 19:35
J’ai écouté jouer du Bach, souvent, très souvent, il était au programme pour le prix du conservatoire ; les préparations s’enchaînaient à la maison, j’avais la chance de les écouter tard le soir quand je rentrais.
J’ai loupé le jour où tout l’auditorium a fait une ovation, l’exécution était exceptionnelle, cela ne se vit pas par procuration, j’y pense encore, j’étais de mon côté pour le business… Je n’aurais pas dû.
Un témoin de la scène, aspirant musicien à l’époque, s’en souvient encore, il me l’a rappelé récemment. Par bonheur j’ai la possibilité de l’entendre toujours, Bach encore plus beau, la maturité de l’exécution le rendait encore plus dense.
@ Savonarole 24 janvier 19:30
La manie des dictateurs sud-américains de beaucoup tuer a peut-être été apprise en Vendée.
En 1793, le général Westermann rend compte au Comité de salut public de la bataille de Savenay contre les Chouans:
« Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé ».
La Vendée aura 165 000 morts, 20 à 25% de la population totale.
Ici et là, homo homini lupus.
@ Elusen | 25 janvier 2019 à 21:41
Si ça vous intéresse cher Gaspary, comme pour les vins, y a foire en ce moment : pour dix « consommés », un gratuit.
Pas besoin d’aller en Thaïlande, suffit de cliquer sur le site habituel : sacristies.fr
Kss kss, nonosse !
Une vraie maîtresse d’école la jeune Marlène. Paperboard, feutres de couleur pour noter les doléances, une empathie presque maternelle vouée au jeune garçon de 14 ans un peu seul parmi les grands adultes. Prestation, dans sa globalité, pas mal réussie. On avait peur !
Hanouna et le CSA se sont forcément mis d’accord pour faire sérieux. C’est la carrière de Macron et de Marlène qui se joue. Alors pas de fausses notes, sinon c’est le blâme.
Quelle surprise ! Quand on veut, on peut. Le bouffon Hanouna laisse son minishort penthouse pour un homme bon chic bon genre dans un trois pièces des années 1950, aux cheveux gominés à la perfection années 1930, le parlé collé au plus près de la senorita Lola Marlène pour être au top.
Macron n’est pas loin, il surveille et note les acteurs à la sortie du spectacle.
Tous les acteurs de l’Elysée attendent les (vrais/faux) sondages. Bingo ! 4 points de plus pour Macron et 5 pour E. Philippe en un mois. C’est pas beau ça ? On continue la série jusqu’au 15 mars. C’est moins long que Dallas. Et puis les Français s’habituent à tout, l’opération séduction ça marche mieux que son cap.
@ boureau | 25 janvier 2019 à 08:21
Merci pour cette information. Il est de bon ton de fustiger Chantal Jouanno pour avoir refusé de mener le « Grand débat ». Sa mise au point sur CNews se réduit, sauf erreur (je n’ai pas réussi à retrouver l’intégralité de son entretien en vidéo) à un résumé écrit et à un passage vidéo de quelques secondes…
De fait, ce grand débat n’est qu’un déballage médiatique et ne répond pas aux critères d’un débat véritable et sincère.
Après les premiers débats avec les élus de monsieur Macron, nous assistons à une véritable « offensive communicationnelle tous azimuts » puisque, outre Marlène Schiappa, c’est à présent le Premier ministre qui s’y colle et, dans les prochains jours, tous les ministres sont appelés à en faire autant ! A croire qu’ils ne sont pas indispensables dans leurs ministères où l’on doit sans doute se rouler les pouces !!
J’ai écouté la première partie économique du débat et j’ai raccroché les gants.
Une gourdasse feutre à la main qui écrivait dans tous les sens des pattes de mouches.
Gribouillis d’une incompétente qui n’était pas à sa place.
C’est là que l’on voit sa nullité technique: deux couleurs pour deux colonnes plus et moins, c’est pas compliqué, quoi ! Une classe de CM2 aurait compris l’exercice en moins de temps qu’il ne fallait pour l’écrire.
Des feutres devenus inutiles dont les couleurs s’entrelaçaient sur un support inadapté, bref, zéro pointé et redoublement, la nullité face au tableau.
François Boulo – le jeune avocat lucide – mention très bien, pour Xavier aussi, le restaurateur entrepreneur connaissant excellemment bien ses dossiers et les arcanes d’un CICE dont il a vulgarisé et mis au jour la mécanique qui profitait aux « alpages suisses ».
Intéressante proposition sur la TVA… Sauf que pour l’avoir pratiquée sur des sous-traitants quand la TVA avait baissée, il en faut drastiquement contrôler les petits malins de la distribution pour qu’ils n’en profitent pas pour relever, avec la « méthode chinoise », leurs prix HTVA.
Cela suppose une veille efficace et surtout pas un machin de plus qui est en place pour le CICE, qui ne brasse que du vent a relevé le restaurateur.
Je n’en pouvais plus de supporter la voix de la potiche de service, d’ailleurs d’une incompétence crasse pour un exercice au-dessus de ses qualités intellectuelles.
Le tableau et les feutres de couleur devant lesquels elle se trouvait, me faisaient penser à une poule qui aurait trouvé une fourchette.
Et sa voix désastreuse qui n’en pouvait plus de m’écorcher les tympans a eu raison de ma patience.
@ Mary Preud’homme | 25 janvier 2019 à 20:52
« Stop ! Nous sommes gavés et au bord de l’écoeurement.
Pour commencer, ah s’il pouvait la boucler ce Macron… »
Ah non pas d’accord ! Si Macron ne dit rien, les médias TV pourraient faire une crise d’épilepsie et les GJ une grosse colère devant le portail de l’Elysée. Tant que le moteur tourne, faut pas s’arrêter en si bon chemin.
Je les tous écoutés pour me faire une idée. Maintenant je prends mes vacances et se sera sans TV, pas d’ordi, juste mon smartphone sans Internet. Y a pas mieux pour s’oxygéner la tête en haut de la montagne.
Après avoir visualisé les principaux passages de BTP d’hier soir et écouté les commentaires des médias à peu près pertinents, il semble que Hanouna dans son rôle d’animateur et Schiappa dans celui de « médiatrice » aient été plutôt bons.
Et quand c’est bon, même si nous avons un a priori plutôt défavorable sur les deux personnalités qui ont animé cette émission (c’est mon cas), il faut le dire.
Sept propositions ont été retenues qui seront transmises au gouvernement.
Il a été question de zéro TVA sur les produits de première nécessité, peine plancher pour les fraudeurs fiscaux, réexamen des niches fiscales, révision des «cycles horaires» de la police, crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) réservé aux TPE et PME, retour de l’ISF – d’avance exclu par Emmanuel Macron – et augmentation de 2 à 4% du budget des hôpitaux.
Propositions intéressantes dont certaines ont un coût assez élevé, mais qui méritent réflexion. La dette publique attendra…
A noter également qu’il n’y a pas eu de couac pendant les presque quatre heures d’échanges avec le public. Ce qui est plutôt remarquable vu les sujets abordés et le public particulièrement remonté contre le président.
Certes MS a bien dit que « la France est un pays où l’on aime se plaindre », ce qui n’a pas eu l’heur de plaire à certains Gilets jaunes du fond de la salle.
Remarque, au demeurant, parfaitement exacte, d’autant que les plus geignards ne sont généralement pas toujours les plus à plaindre.
Par contre comparer le Grand Débat National à « une engueulade chez belle-maman au repas dominical » ne me paraît pas une analogie très appropriée. Ce n’est pas très gentil pour les belles-mamans, ce qu’elle sera peut-être un jour.
Pour résumer disons que Hanouna s’est montré un bon animateur, ce qui nous change de son rôle de cabotin déjanté qu’il affiche généralement dans son émission TPMP.
Quant à Marlène Schiappa, elle a enfin réussi à nous faire oublier son côté féministe échevelée particulièrement agaçant. Elle a su se montrer pédagogique et constructive. Bon point pour elle, en espérant toutefois qu’elle ne retombe pas dans ses travers. Ce serait dommage !
Le plus triste de l’affaire est qu’il faut sans aucun doute passer par une émission avec Hanouna, triste sire profitant et se jouant d’un certain misérabilisme ambiant avec deux retraitées qu’il n’arrêtait pas de « bisouiller » pour faire peuple, le pape lavant les pieds du miséreux, lui, récoltant l’audimat.
Détestables images de vulgarité, de la charité veule qui ne dit pas son nom, au rabais pour l’intelligence collective, dissoute et offerte au marchandage.
Dire qu’il faille passer par ce type d’émission pour se faire entendre ! A vomir.
La misère se porte bien, elle est photogénique et bien propre sur elle, télévisuelle à souhait, Hanouna une caisse enregistreuse qui n’avait pas plus senti que les autres le phénomène des Gilets jaunes, ailleurs il s’en parlait déjà à la radio.
Publicité déversée dans la première partie jusqu’à l’écoeurement, la bise aux miséreuses, à la misère qu’il remerciait, mais le tiroir-caisse bien ouvert. A vomir.
Voyeurisme obligé pour passage obligé. Triste démocratie de l’antenne ; les autres médias doivent être bien nuls pour que ce grand remplacement de charité, opportunément rémunératrice et ses producteurs fassent la devanture.
Une blonde cautionnant un exercice de superficialité extrême dont le Président au fond du puits, et aux abois, se fiche comme de sa première chemise – c’est du spectacle gratuit pour miséreux en quête de reconnaissance.
La misère n’a pas d’oreille, elle prend tout ce qui passe à portée, Hanouna était à portée et une dinde pour passer les plats, j’ai quitté après les entrées le service était détestable, la musique de fond inaudible et désaccordée.
Le peu que j’ai regardé de l’émission m’a surpris, d’abord parce que Marlène Schiappa n’était pas du tout invitée à discuter avec des citoyens lambda comme annoncé, mais avec une députée, Bernard Laporte, Eric Naulleau ou Xavier Denamur, un jeune avocat déjà rompu à la plaidoirie à l’aisance impressionnante et quelques Gilets jaunes perdus dans le décor.
Marlène Schiappa avait dû lire « Justice au singulier » et faire un peu de coaching vocal puisqu’elle parlait comme si elle avait la grippe, ce qui rendait sa voix moins insupportable – je n’ai pas le même sentiment que Giuseppe.
J’ai assisté au passage où elle a « macronisé » sur ces Français qui se plaignent sans cesse. Elle jouait un double rôle qui ne pouvait satisfaire personne puisqu’elle devait à la fois collecter les doléances et colporter la parole gouvernementale en étant juge et partie. Dans le premier de ces deux rôles, elle se montra tellement incapable de synthétiser une proposition de loi que Cyril Hanouna dut faire appel à la régie. Celui-ci sut adapter sa parole et son ton à l’autorité de son interlocuteur. Misérabiliste avec le public, il comprenait ses invités de marque et résumait leur pensée à l’usage de ses « chéris du public », au cas où ils n’auraient pas saisi leurs raisonnements capitaux et capiteux.
@ Ellen | 26 janvier 2019 à 11:50
« C’est pas beau ça ? On continue la série jusqu’au 15 mars. C’est moins long que Dallas. Et puis les Français s’habituent à tout, l’opération séduction ça marche mieux que son cap ».
En somme, les Français risquent de tout gober faute de divertissements plus honnêtes, or se divertir, il le faut, le monde est insupportable. Vite, un miracle, de meilleures séries françaises !
Ou US. Dans ce cas, les Américains nous auront encore sauvés, mine de rien.
Enfin, un jour on finira bien par tomber en dictature à force de gober tout et n’importe quoi et que nos gouvernants se moquent de nous.
A vrai dire, et au vu de notre passé comme de notre Constitution pousse-au-crime, je m’étonne que cela ne soit pas encore arrivé. Comme quoi, le pire n’est jamais certain, mais à force de tenter le diable, on finira bien par tomber en enfer.
@ sbriglia | 24 janvier 2019 à 14:44
« On sent bien que l’étoile jaune va finir par lui sortir de la poche… »
Quel est le rapport entre étoile jaune et Cyril Hanouna ?!
Encore un qui aurait fait Führer chez Pétain !
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@ sylvain | 26 janvier 2019 à 07:25
Avec tant de priapisme, il ne reste plus que la castration chimique.
En compagnie d’un djeun ou deux et trois, nous avons initié la fameuse apparition de la donzelle et du bateleur dans l’émission BTP, Bâtiment et Travaux Publics, pour les personnes de nationalité étrangère qui fréquenteraient cet espace.
Après avoir éclaté de rire seule, les djeuns se sont enquis de savoir le pourquoi. Et c’est alors que je les ai laissés à leur visiomètre.
Mais, comme @ Giuseppe, j’ai eu le temps de voir les Gilets jaunes et autres citoyens, yennes, bien placés derrière les ceusses qui savent parler télé. Question style, j’ai décidé de m’adapter…
Bonnes vacances Ellen !
@ Julien WEINZAEPFLEN | 26 janvier 2019 à 17:57
Décidément Julien – je me permets – je me surprends à vous entendre (entender en espagnol, ma mère nous reprenait, comprendre donc).
« Dans le premier de ces deux rôles, elle se montra tellement incapable de synthétiser une proposition de loi que Cyril Hanouna dut faire appel à la régie. Celui-ci sut adapter sa parole et son ton à l’autorité de son interlocuteur. Misérabiliste avec le public… »
J’ai vite compris que la synthèse n’était pas son fort, on lui avait proposé deux couleurs et ainsi compléter deux colonnes, dépenses et recettes, ou plutôt comment faire les poches pour récupérer l’argent et ainsi équilibrer les comptes.
Le Président a aussi expliqué par ailleurs que les découverts peuvent être salutaires si c’est pour financer des infrastructures lourdes. Avec cela on ne peut être que d’ accord mais… La dette au milieu fausse ces raisonnements de comptables, c’est aussi une autre histoire.
Dès le coup d’envoi, j’ai compris qu’à sa façon de remplir les pages dans tous les sens elle allait vivre un calvaire, comme quoi ne pas faire confiance à ces élitiques incapables de diviser une feuille en deux d’un simple trait de crayon pour déjà y voir plus clair.
Imaginez un peu à qui nous confions la gestion de nos vies !
Ceci dit je regrette que dans sa partie économique, l’explication du restaurateur n’ait pas pu être couchée convenablement, tant notre godiche nationale avait barbouillé la page blanche dans tous les sens.
Il s’est levé mais malheureusement Gribouille avait occupé tout l’espace sans jamais le remplir intelligemment, dommage pour la compréhension d’un public et une curiosité à satisfaire.
Ainsi que notre jeune avocat, comme vous je le crois très efficace, d’ailleurs il a dû se lever aussi et inscrire sur la surface d’un timbre-poste une idée qui à mon avis ne manquera pas ailleurs de se développer, il a une tête remarquablement bien faite.
Ah oui, la voix, on pouvait penser qu’elle la gardait dans la gorge pour l’étouffer par moments, mais quand elle a « macronisé » – la voix de son maître – le naturel est revenu au galop.
Ceci dit dès la moindre remarque elle se sent attaquée et déroule une suite de paroles mécanisées sans nuances. Chaleur absente, rendant insupportable à mes « portugaises » le son discordant, comme aurait dit un contributeur.
@ Marc GHINSBERG
Selon Médiamétrie : 1 089 000 de téléspectateurs de 22h10 à 23h15.
Puis à partir de 23h20 : 756 000 téléspectateurs.
Au total sur toutes les chaînes confondues, de 22h10 à 23h15, il y aurait eu 17 852 459 de téléspectateurs, sur 67 à 70 millions de Français (si on ajoute les Français de l’étranger).
Pour Médiamétrie, les jeunes c’est 15-34 ans.
Selon l’Ined les 15-34 ans représenteraient : 15 207 496 personnes.
Si et seulement si, nous considérons que les 756 000 à 1 089 000 de téléspectateurs avaient tous de 15 à 34 ans, alors nous avons : 4,9 % à 7,1 % des jeunes.
Soit 92,9 % à 95,1 % des jeunes qui ne l’ont pas regardé !
Et comme cela ne peut pas être 100% des 15-34 ans, nous sommes à du 2 à 3% qui auraient regardé ce truc, soit du 98% des jeunes qui s’en tamponnent.
C’est vachement là que se trouvaient les jeunes !
Bien sûr, je me répète, mais qui ne croit pas à Dieu croit au diable, celui qui prête au semblable la responsabilité de sa haine idolâtre, empruntant à l’Un sa majuscule, pour l’offrir à l’autre.
Il y a là pour les sincères occasion de saisir l’essence du monothéisme.
Marlène Schiappa a comparé les réactions à sa démarche à la traversée du désert connue par… Galilée.
«Ce n’est pas parce que la majorité des personnes pensent que c’est une mauvaise idée que ça l’est. Je vous rappelle que Galilée était tout seul face à la majorité pour dire que la Terre était ronde et qu’elle tournait. La majorité pensait qu’elle était plate et statique», a-t-elle souligné (sur RT).
C’est à cela qu’on reconnaît la puissance de vue de notre phare national. Une vraie lumière, incapable de faire une synthèse, elle nous montre la terre, si l’une était plate et statique, elle, est plutôt creuse et arrêtée, pour une En marche ! nous avons du souci à nous faire.
Sans avoir été macroniste un seul instant, ni avant l’élection ni après, je désapprouve fortement les gens en jaune depuis le premier jour. N’aimant ni la bêtise, ni la violence, ni les incendiaires, ni la chienlit, ni le n’importe quoi.
N’ayant jamais supporté Marlène S. et Hanouna, je n’ai pas voulu écouter la chose. Je ne la commenterai donc pas.
@ Aliocha | 27 janvier 2019 à 09:49
« Bien sûr, je me répète, mais qui ne croit pas à Dieu croit au diable… »
J’affirme que vous ne maîtrisez pas le mot croire, pour vous il vaut mieux ne pas l’employer, cela vous rendra bien moins ridicule :
Qui ne croit pas au Père Noël croit aux hémorroïdes !
Pour ce vieil adage français, que je me dois de vous rappeler : les gens intelligents pensent, les autres croient.
Croyance : https://www.universalis.fr/encyclopedie/croyance
Foi : https://www.universalis.fr/encyclopedie/foi/7-croyance-et-confiance
Dans un tableau :
► Dieu
– génocide de l’humanité à plusieurs reprises.
– holocauste (sacrifice).
– promotion de l’esclavage.
– vengeance.
– massacre.
– viol.
– pédophilie.
– jalousie : je suis un Dieu jaloux.
– convoitise, il fait un enfant (Îssâ, le Jésus) à la femme d’un autre.
– inceste, il fait un enfant à sa propre mère : Priez pour nous Marie mère de Dieu.
– interdiction de la connaissance et du savoir.
– encense l’imbécillité : heureux les simples d’esprit.
– la femme est inférieure.
► Diable, dit Lucifer :
– promotion de la connaissance et du savoir, par le fruit de l’arbre de la connaissance.
– aucun meurtre à son actif.
– aucun génocide à son actif.
– aucun viol à son actif.
– aucune promotion de l’esclavage.
– aucune promotion de la pédophilie.
– promotion de l’égalité.
– promotion du libre-arbitre, du droit à l’autodétermination.
Qui croit en Dieu est un pervers polymorphe et un tueur en série potentiel.
Le constat est lucide, MS n’est qu’une boîte aux lettres toujours vide.
«Un système politique inégalitaire produit des politiques injustes»
31 décembre 2018 Par Lénaïg Bredoux (Mediapart).
Le chercheur Fabien Desage salue « la lucidité » des « gilets jaunes », très critiques de la Ve République et demandeurs de réformes institutionnelles profondes. Premier volet de notre série consacrée à la crise démocratique.
Critique du train de vie des élus, du manque de représentativité de l’Assemblée, appel à la démission d’Emmanuel Macron, débats sur la révocabilité des mandats, référendum d’initiative citoyenne… Très vite, le mouvement des « gilets jaunes », parti de la dénonciation de la hausse des taxes sur les carburants, a porté dans le débat public une critique, vive, des institutions de la Ve République et vilipendé une démocratie peu représentative.
Bien sûr, camarade Elusen, puisque vous savez tout, vous ne pouvez qu’avoir raison.
Je vous conseille néanmoins le codicille :
« Ils voulaient assurer le triomphe du droit, refaire l’unité morale de la nation, n’avaient pas le temps de penser à la littérature. Mais ce n’étaient que des excuses parce qu’ils n’avaient pas ou plus de génie, c’est-à-dire d’instinct. Car l’instinct dicte le devoir et l’intelligence fournit les prétextes pour l’éluder. Seulement les excuses ne figurent point dans l’art, les intentions n’y sont pas comptées, à tout moment l’artiste doit écouter son instinct, ce qui fait que l’art est ce qu’il y a de plus réel, la plus austère école de la vie, et le vrai Jugement dernier. »
Vous oubliez toujours de tout lire.
@ Giuseppe | 27 janvier 2019 à 20:03
Il n’a même pas lu l’article, car ce n’est pas le genre à être abonné à Mediapart ! Il a juste lu le titre !
https://frama.link/zcVmoAe0
Fabien Desage, maître de conférences en Science Politique à l’université de Lille 2, interview donnée sur une radio qu’il n’écoute même pas : France Culture.
Mais qu’a réellement dit ce maître de conférences au journal de 12h30 de France Culture le 07/01/2019 ?
Son intervention au bout de 7 mn et 30 s : https://frama.link/pfa62Eb8
Aucune recherche, une prise de position, il donne une opinion et ne fait aucune analyse ce Fabien Desage.
@ Aliocha | 28 janvier 2019 à 00:06
« …puisque vous savez tout, vous ne pouvez qu’avoir raison. »
Tant d’ignorance dans un être autant pétri de certitude.
La croyance ne demande aucune raison, aucun dialogue, aucun doute ; elle demande la foi, la dévotion, la soumission, être esclave de son maître Yahvé Allah.
Yahvé est pourtant dans l’Antiquité le démon d’un volcan.
Lucifer signifie porteur de lumière, celui qui réveille, éveille, qui apporte la connaissance.
Où serait la preuve que Dieu ce n’est pas Lucifer et que Yahvé est ce démon qui se révolta contre lui, mais qu’en réalité il a gagné, vos écrits mystiques ne disent point qui a gagné la bataille ?
Tant d’ignorance pour ne pas maîtriser savoir et raison qui ne signifient point la même chose, et surtout, qu’aucun ne découle de l’autre.
@ Elusen | 28 janvier 2019 à 10:51
Gaspary s’est encore planté de fakes, faudrait qu’il passe son logiciel à l’antivirus islamiste :
Yahvé n’est ni plus ni moins qu’un salut romain envers son supérieur :
« Yahvé Caesar, morituri te salutant » est un exemple.
Yahvé Elusen, nonossum ? kss kss
Vous croyez donc en Lucifer, cher Elusen, et avez signé le pacte idolâtre, on ne peut que le constater avec désolation, tout en vous rappelant que l’arbre en question, ce que vous éludez avec constance, est l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
Je vous laisse à vos jeux d’amères victoires et de glorieuses défaites, n’oubliez cependant pas qu’il est possible d’accéder à l’age adulte :
« Mais vous n’êtes plus maintenant en l’état où Je vous ai formés. J’ai créé l’homme saint, innocent, parfait. Je l’ai rempli de lumière et d’intelligence. Je lui ai communiqué ma gloire et mes merveilles. L’œil de l’homme voyait alors la majesté de Dieu. Il n’était pas alors dans les ténèbres qui l’aveuglent, ni dans la mortalité et dans les misères qui l’affligent. Mais il n’a pu soutenir tant de gloire sans tomber dans la présomption, il a voulu se rendre centre de lui‑même et indépendant de mon secours. Il s’est soustrait de ma domination et, s’égalant à moi par le désir de trouver sa félicité en lui‑même, je l’ai abandonné à lui, et révoltant les créatures qui lui étaient soumises je les lui ai rendues ennemies, en sorte qu’aujourd’hui l’homme est devenu semblable aux bêtes et dans un tel éloignement de moi qu’à peine lui reste-t-il une lumière confuse de son auteur, tant toutes ses connaissances ont été éteintes ou troublées. Les sens indépendants de la raison et souvent maîtres de la raison l’ont emporté à la recherche des plaisirs. Toutes les créatures ou l’affligent ou le tentent, et dominent sur lui ou en le soumettant par leur force ou en le charmant par leur douceur, ce qui est une domination plus terrible et plus injurieuse. »
http://www.penseesdepascal.fr/APR/APR1-moderne.php
@ Aliocha | 28 janvier 2019 à 11:45
« Vous croyez… »
Vous êtes vraiment limité intellectuellement, juste un esclave atteint du syndrome de Stockholm qui finit par vénérer ses maîtres.
Quand aurais-je employé le concept : croire ?
Il n’y a que vous, enfermé, borné dans la croyance.
Vous êtes de plain-pied dans l’idolâtrie, vous croyez en Yahvé Allah et non dans la religion.
Un dieu est une idole ; la religion c’est une infrastructure, une organisation cultuelle.
Il y a des déesses et dieux sans religion et des religions sans eux, mais vous, dans votre servitude, vous idolâtrez votre maître.
Votre idole vous dit de tuer, de violer, de mettre en esclavage, de partager votre couche avec sylvain, vous le faites.
Moi pas !
Vous en êtes encore à croire, Elusen, que je suis un miroir, et tenez à me fouler aux pieds, l’aveu est d’importance.
Vous ne savez pas encore imaginer une divinité qui ne serait pas violente, et avez besoin de dénigrer pour exister. Mais vous avez raison, je suis sorti de toute religion, car je suis chrétien, ce que le Christ propose par l’amour du prochain et qui est connaissance du religieux, c’est de ne plus croire en la violence, ce qui permet d’imaginer d’autres modes de fonctionnement.
Sans doute avez-vous été trop blessé pour pouvoir entendre les valeurs enseignées par Jésus, trop révolté par les institutions qui ont séquestré le message d’amour et qui l’ont perverti, vous emprisonnant dans les fers du désir de vengeance.
Puisse qui vous voudrez vous en délivrer, je ne vous souhaite rien d’autre que d’accéder à la liberté.
« …partager votre couche avec sylvain, vous le faites.
Moi pas ! »
Rédigé par : Elusen | 28 janvier 2019 à 12:22
Quel dommage ! Gaspary dans ma couche, quel pied !
@ Aliocha | 28 janvier 2019 à 14:11


« Vous ne savez pas encore imaginer une divinité qui ne serait pas violente… »
« …ce que le Christ propose par l’amour du prochain, c’est de ne plus croire en la violence… »
Aaaaaaaaaaaaaaah, ah, ah, ah !
En boucle et en rouge, comme à l’habitude, Elusen, au service du diviseur, vous êtes sur un manège dont l’axe est votre nombril, et vous voilà – aaaaaaaaaaaaaaah, ah, ah, ah – pris du spasme sardonique, divisé contre vous-même, car incapable de saisir que, oui, sans l’écoute du Fils de l’homme, de l’homme, Elusen, la famille comme l’État, comme le monde, se voient privés par la révélation évangélique de toutes protections sacrificielles, et sont voués, s’ils ne renoncent à cet ancien artifice définitivement abattu car dévoilé, aux destructions de la division.
Continuez donc à vous mentir, à remplir vos poches d’archives universelles, plutôt que vous-même vous reconnaître persécuteur, vous ne faites que rééditer la vieille erreur, au lieu d’entendre ce qui est trop simple à admettre aux âmes compliquées que nous sommes trop souvent, notre orgueil préférant toujours la glace des labyrinthes du mensonge au plein soleil de la vérité.
» …Aaaaaaaaaaaaaaah, ah, ah, ah ! »
Rédigé par : Elusen | 29 janvier 2019 à 00:11
Ne vous inquiétez pas cher Aliocha, ce n’est que le brame de Elus-haine Gaspary du fond de la couche à sylvain ; le même qu’on entend parfois dans les sacristies après les offices religieux ; je n’ai pas dit les « orifices » ah non, ne schématisons pas !
Kss kss !
@ Aliocha | 29 janvier 2019 à 07:38
▬ « En boucle et en rouge… »
Votre Bible et votre Coran sont en boucle !
Pour le rouge, c’est aussi l’Église catholique.
C’est son site officiel qui met à disposition sa traduction officielle, édulcorée et non universitaire, de la Bible.
* La Bible liturgique, Association Épiscopale Liturgique pour les pays Francophones.
– Son site en 2015, blanc et rouge : https://frama.link/1cgYwkQw
– Son site en 2019, gris et rouge : https://frama.link/Q3nus8CT
▬ « Continuez donc à vous mentir… »
Contrairement à votre Yahvé Allah, à votre religion, et à vous du fait que vous les soutenez, je n’ai aucun mort sur la conscience.
Aucun viol, aucun acte de pédophilie, aucun génocide, aucun esclavage, aucun sacrifice humain ou d’animaux.
Je ne pratique pas le cannibalisme et la vampirisation non plus : « buvez, c’est mon sang, mangez c’est mon corps. »
Je ne suis pas un lâche : « Soumettez-vous ou périssez. Craignez-moi. »
▬ « …à remplir vos poches d’archives universelles… »
La fameuse et éternelle interdiction de la connaissance qui expulse du jardin d’Eden.
L’imbécilité pour servir votre Yahvé Allah.
Bible liturgique – Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu – Chapitre 6, 13 :
« Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. »
C’est donc votre Yahvé Allah qui soumet à la tentation et au Mal.
Vous priez qui en somme, un démon ou un Dieu ?
Vous êtes sur le même manège qu’Elusen, sylvain, et je suis autant inquiet pour vous que pour lui, le duel pulvérisant toute possibilité d’y voir clair en ces obscurités.
Puisque vous êtes chrétien, sortez donc des ténèbres du temple antique, et accédez au seul temple réel, le corps de Jésus, recevez le message essentiel :
« L’homme est infiniment libre, à cette condition de reconnaître la transcendance à l’horizon de son humanité, de se savoir fils, se recevant d’un Autre qui le dépasse absolument, ce que n’a pas su faire Adam, notre double. »
https://www.editionsartege.fr/livre/fiche/jesus-selon-matthieu-9782249624421
Accédez au pardon, sylvain, qui est le véritable pouvoir, quittez la joie mauvaise qui rabaisse, et servez la nouvelle loi :
« Dès le matin, on commence par éteindre dans l’église toutes les lampes, pour marquer que l’ancienne loi, qui éclairait le monde, est désormais abrogée.
Puis le célébrant bénit le feu nouveau, figure de la Loi nouvelle. Il la fait jaillir du silex, pour rappeler que Jésus-Christ est, comme le dit saint Paul, la pierre angulaire du monde. Alors, l’évêque et le diacre se dirigent vers le chœur et s’arrêtent devant le cierge pascal.
Ce cierge, nous apprend Guillaume Durand, est un triple symbole. Éteint, il symbolise à la fois la colonne obscure qui guidait les Hébreux pendant le jour, l’ancienne Loi et le corps de Jésus-Christ. Allumé, il signifie la colonne de lumière qu’Israël voyait pendant la nuit, la Loi nouvelle et le corps glorieux de Jésus-Christ ressuscité. Le diacre fait allusion à ce triple symbolisme en récitant, devant le cierge, la formule de l’Exultet.
Mais il insiste surtout sur la ressemblance du cierge et du corps de Jésus-Christ. Il rappelle que la cire immaculée a été produite par l’abeille, à la fois chaste et féconde, comme la Vierge qui a mis au monde le Sauveur. Pour rendre sensible aux yeux la similitude de la cire et du corps divin, il enfonce dans le cierge cinq grains d’encens qui rappellent à la fois les cinq plaies de Jésus-Christ et les parfums achetés par les Saintes Femmes pour l’embaumer. Enfin, il allume le cierge avec le feu nouveau, et, dans toute l’église, on rallume les lampes, pour représenter la diffusion de la nouvelle Loi dans le monde. »
https://www.delitdimages.org/la-mort-des-cathedrales-par-marcel-proust-le-figaro-1904/
Vous n’avez, Elusen, ni copié ni collé « plutôt que vous-même vous reconnaître persécuteur », même si cette réalité naissait d’une persécution que vous auriez subie.
Comme à l’habitude, vous éludez l’essentiel, et préférez les satisfactions obscures qui délassent, croyez bien qu’en priant le Fils de l’homme, c’est vous-même que je prie, comme c’est en vous que je crois, sachant qu’il existe en vous ou en sylvain les mêmes potentialités qu’en moi, et je vous enjoins comme à lui d’accéder au véritable pouvoir qui est de pardonner, d’accéder à l’infinie liberté qui est offerte à l’homme au point, comme vous vous y obstinez, de la refuser, préférant les mirages de l’idolâtrie plutôt que de résister à la tentation de toute-puissance et d’autosuffisance des illusions de la connaissance, plutôt que de reconnaître la limite qui libère, celle qu’Adam, qui représente en chacun l’homme non converti, veut sans cesse transgresser.
« C’est donc votre Yahvé Allah qui soumet à la tentation et au Mal. Vous priez qui en somme, un démon ou un Dieu ? »
Rédigé par : Elusen | 29 janvier 2019 à 09:38
Yahvé hallal ? Bah, j’aime pas la charcuterie islamiste, moi blanc de souche chrétien hétéro de méga droite je suis plutôt blanquette de veau ; j’ai pas dit blanquéquette, attention, on a déjà donné n’est-ce pas ?
Nonosse ?
@ Aliocha | 29 janvier 2019 à 10:05
Soyez pas si déprimé mon cher Aliocha, venez nous rejoindre moi et Gaspary Elusen, il reste encore une place dans ma couche, je suis très partageur le saviez-vous ?
@ Aliocha | 29 janvier 2019 à 10:51
▬ « Vous n’avez, Elusen, ni copié ni collé « plutôt que vous-même vous reconnaître persécuteur », même si cette réalité naissait d’une persécution que vous auriez subie. »
Waouh, me revient à la mémoire le fameux slogan : tu t’es vu quand t’as bu ?!
Il faut être sous l’emprise de quoi pour décoder votre truc ?!
▬ « …vous éludez l’essentiel… »
Yahvé Allah est un démon-dieu de Volcan que priait une tribu aux pieds de ce dernier.
Il est un Dieu polythéiste inférieur, de 7ème niveau qui selon la Bible et le Coran a organisé un coup d’État contre les autres Déesses et Dieux pour leur voler leur place.
Jamais il ne nie l’existence des autres Déesses et des autres Dieux, mais passe son temps à dire : vous ne prierez que moi !
Il passe son temps à dire qu’il faut exterminer ceux qui refusent de le prier.
Il veut le pouvoir absolu, c’est un absolutiste, c’est de votre monothéisme que va naître la dictature et le fascisme.
Du polythéisme est né la démocratie.
C’étaient des assemblées de Déesses et de Dieux qui gouvernaient, qui partageaient le pouvoir, et pas qu’en Grèce.
▬ « …comme c’est en vous que je crois… »
Vous ne croyez point en moi et en quiconque, puisque vous nous interdisez d’être différent de vous.
Vous voulez nous soumettre, nous convertir, c’est du fascisme ; d’ailleurs les Églises chrétiennes ne s’y sont jamais trompées, puisqu’elles ont toujours collaboré avec.
▬ « …ou en sylvain… »
Laissez-le tranquille, ou attachez-le à un arbre en forêt, il se prend déjà pour un chien voyant des nonosses partout et voulant systématiquement remuer la queue dans des blanquèquettes de veaux, dans des églises, ou des enfants.
Bien que les monothéistes cela ne vous gêne point : laissez venir à moi les petits enfants.
@ Elusen | 29 janvier 2019 à 15:04
Elusen un bipolaire avec bouffées délirantes ou plus prosaïquement un troll ?
De toute façon, un nuisible à éviter pour votre propre équilibre et la bonne santé de ce blog auquel je souhaite longue vie…
Amen !
« …laissez venir à moi les petits enfants… »
Rédigé par : Elusen | 29 janvier 2019 à 15:04
Ben dites donc, ça recommence ! petit canaillou va !
C’est vrai, vous ne comprenez rien, Elusen, et sélectionnez ce qui sert vos dénonciations.
Vous condamnez l’institution religieuse et ses compromissions d’ordre politique, ce que je partage au demeurant en large partie, et du coup vous vous coupez de la réalité des textes et de la révélation qu’ils portent, sans doute car vous avez été blessé, ce qui explique que vos positions cherchent à blesser, vous éloignant du fondement de cette révélation.
En dénonçant la persécution, vous devenez donc vous-même persécuteur et complice de ceux-là que vous dénoncez, sourd et aveugle à ces textes qui décrivent justement ces phénomènes, prisonnier de la conséquence de discriminations qui seules peuvent expliquer votre enfermement, dont vous ne sortirez qu’en vous reconnaissant vous-même persécuteur.
Ma position n’est pas fasciste, mais témoigne que je vous comprends, ce qui n’est manifestement pas votre cas à mon endroit, vos déchaînements témoignent plus d’un désir de vengeance que de la nécessaire reconstruction qu’il exigerait, mais que vous êtes parfaitement libre de refuser.
Chacun sa croix.
@ Mary Preud’homme | 29 janvier 2019 à 18:49
Ça c’est de l’argumentation !
La femme au foyer qui n’a jamais fait d’étude, ni travaillé, mais qui exerce illégalement la médecine.
Je sens le niveau d’une tatie Danielle !
—————————————-
@ Aliocha | 29 janvier 2019 à 18:58
▬ « …celle qu’Adam, qui représente en chacun l’homme non converti… »
Convertir, c’est de la violence, dictionnaire du CNRTL :
– Changer complètement quelqu’un dans sa nature.
– Transformer (une chose) en une autre chose.
– Changer quelque chose en l’adaptant à de nouvelles fonctions, en lui donnant une autre nature, un autre usage.
En somme, vous refusez l’autre pour ce qu’il serait et vous exigez qu’il se soumette à vous, à vos croyances.
Vous n’êtes pas dans l’amour de l’autre, mais dans l’amour de vous-même, tous doivent vous ressembler. Vous ne pratiquez que l’onanisme, cela ne vise qu’à vous satisfaire.
▬ « …sélectionnez ce qui sert vos dénonciations. »
Parce que vous ne sélectionneriez rien ?
Alors expliquez-vous sur le fait que vous ne dites jamais que la Bible et le Coran appellent à l’esclavage, au viol, au meurtre, au génocide, à la pédophilie.
▬ « …vos positions cherchent à blesser… »
Vu le nombre de mort que votre monothéisme a sur la conscience sur près de 2 000 ans d’histoire, des centaines de millions, je me demande qui cherche à blesser ?!
▬ « En dénonçant la persécution, vous devenez donc vous-même persécuteur… »
Les témoins oculaires dans un procès sont donc devenus ceux qui ont commis le délit ou le crime. Comme les inquisiteurs, vous avez le sens de la Justice, vous !
Si Aliocha est tabassé, il ne déposera jamais plainte, même quand il est cambriolé, il se tait.
Extraordinaire, le catholique qui a résolu le problème de la pédophilie dans son ordre religieux, les coupables sont les enfants.
Mais ici, Elusen, vous tabassez Aliocha, qui ne vous en tient pas rigueur, vous demandez-vous pourquoi ? La raison en est que je me protège, que je m’en donne les moyens, et vous propose de les partager avec moi.
Vous vous agitez comme le poisson à l’hameçon, la conversion ne peut venir que de vous, car elle n’est que consentement, je vous le répète, elle ne saura jamais s’imposer.
Restez donc dans vos attitudes braquées d’adolescent blessé, à l’image ici de nos retraités, révolutionnaires en pantoufles prouvant s’il en était encore besoin que l’on est immature à tout âge, et ma satisfaction n’entre pas en ligne de compte, elle ne tient qu’à l’expression de ce que je ressens, que vous le preniez comme une oppression vous concerne strictement, même si, de mon côté, je comprends que votre position ne soit chez vous qu’un conservatisme, vu qu’apparemment vous n’envisagez en rien de progresser, et tel l’enfant-roi que vous êtes, n’admettez aucune contradiction, fermant toute possibilité de débat.
Enfermez-vous donc dans vos croyances, Dieu est un vilain violent, apparemment vous le connaissez mieux que moi, qui ne suis pas pratiquant, car j’ai le courage d’affronter l’océan des affects, laissant aux trop intelligents l’écume de leurs discriminations: « L’amour, c’est l’espace et le temps rendus sensibles au cœur. »
@ Elusen
@ Aliocha
Vous avez raison tous les deux, on trouve ce que vous dites dans la Bible et bien d’autres choses encore, personne n’est bête, personne n’est méchant, personne n’a besoin de changer.
Vous le savez, tout le monde le sait, je suppose, mais la Bible, c’est ce qu’on voit dans la Bible, et un formidable objet de rivalité et de dispute.
Bon, quand je dis quelque chose, même que l’eau est humide, on ne me croit pas, alors citons…
Bible. Universalis
« Sans la Bible, le discours, autrement dit la façon non seulement de parler et d’écrire, mais aussi de juger et de penser, de créer et de rêver, serait en effet tout autre. Les rapports entre les hommes sont eux-mêmes définis par des lois dont les racines sont pour beaucoup bibliques. Or la Bible porte elle-même l’empreinte profonde de plusieurs autres cultures, antérieures et contemporaines. Bien plus, en se formant, elle a drainé les eaux de civilisations antiques, des civilisations égyptienne et sémite surtout, en son premier temps, et, pour sa part plus tardive, des civilisations orientale et hellénique.
La Bible a restitué par la suite ce qu’elle avait pris, au cours d’une très longue carrière où l’on n’a cessé de l’écrire et de la dire, et, pour ce faire, d’abord de la traduire. Paradoxalement, quel que soit l’arsenal linguistique dont dispose le savant qui la scrute dans ses langues dites originales – l’hébreu, l’araméen et le grec –, on peut affirmer aisément que la Bible comme Bible n’a vraiment d’autre histoire que celle de ses versions : née comme traduction dans l’Alexandrie hellénistique du IIIe siècle avant J.-C., elle est également grecque par le nom qu’elle y reçut, hè Biblos, « le Livre ». Dans l’Antiquité et jusqu’à nos jours, elle n’a pu s’imposer que parce qu’elle fut toujours traduction. Il n’y a même de Bible véritable qu’avec l’habit d’une vulgate, c’est-à-dire quand la totalité des membres d’une communauté peut la reconnaître et la lire en sa langue propre. Après sa phase de fécondation et de gestation, qui fut hébraïque, la Bible naquit grecque pour mûrir et s’épanouir ensuite dans une multitude de langues, qui sont autant de langues bibliques en quelque sorte originales.
Ce paradoxe en commande ou en reflète bien d’autres. La Bible se présente comme un livre unique, que son nom même désigne d’emblée comme tel ; mais elle est aussi une vraie bibliothèque, évoquant et signifiant les longues étapes d’une évolution culturelle et religieuse dont on ne cessa dans le passé et dont on ne cesse aujourd’hui de décrire l’ordonnance et de démontrer la logique.
Car la Bible, selon les yeux qui la regardent, apparaît soit comme le comble de l’anarchie, soit comme le sommet de la cohérence. En fait, sa cohérence est anarchie dans la mesure où elle trouve en chaque lieu et chaque moment son principe nouveau, dont le lecteur seul est maître. Et son anarchie est cohérence dans la mesure où toute dérive qu’elle révèle ou engendre n’est en fait qu’une trajectoire nouvelle de sens qui vient croiser quelque part la somme totale des autres. La Bible est rigide et dure ; elle est « règle » ou « canon ». Elle est souple et libre ; elle est « livre » et « lecture ». Durant son histoire, elle a fait condamner et fut elle-même, toute ou en partie, condamnée, parfois juge et parfois accusée, mais toujours pour des causes qui, objectivement, engageaient l’homme et avec lui le monde. »
Au moins, les nuages, quand l’un y voit une cafetière, et l’autre un éléphant pour une forme qui peut faire penser aux deux, personne n’est rabaissé.
Les disputes théologiques font mourir, le vent dans les saules, titre par parenthèse de roman, fait vivre.
@ Aliocha | 30 janvier 2019 à 08:38
« …apparemment vous le connaissez mieux que moi… »
Vous avez de curieuses fréquentations, très mégalomane !
Vous êtes le bourreau qui joue la victime, un peu comme Eichmann.
Ce qui me renvoie à ce que vous êtes réellement : la banalité du mal.
Et voilà, je vous avais prévenu, Elusen, vous êtes possédé, et le délire vous gagne.
Relisez-moi pour vous soigner, le vrai pouvoir est de savoir pardonner.
@ Aliocha | 31 janvier 2019 à 16:23
« …le vrai pouvoir est de savoir pardonner. »
De la part de celui qui demande pardon à ses prêtres, à confesse, à son Dieu, mais jamais à ses victimes, je trouve cela cocasse.
Un rire sardonique de plus dans le concert mondial des suppôts contaminés, n’est-ce pas ?
https://www.youtube.com/watch?v=0-i5S4uXlNg
« La trompette éclatante répandant sa sonorité
parmi les tombeaux de l’univers,
rassemblera tous les hommes devant le trône.
La mort et la nature s’étonneront,
quand la créature ressuscitera,
pour rendre compte au Juge.
Le livre sera apporté,
dans lequel sera consigné
tout ce sur quoi le monde sera jugé.
Quand le Juge aura pris place,
tout ce qui est caché apparaîtra,
rien ne restera impuni.
Que dirai-je alors, malheureux que je suis ?
Quel protecteur invoquerai-je
quand le juste même ne sera pas sans crainte ? »
Vous pouvez même, mon frère, aller jusqu’au Recordare, sans rien éluder, rien, car tout est révélé.
La Bible de Jérusalem, traduction archéologique et universitaire.
► Le Deutéronome:
Chapitre 21 § 10 à 13: les femmes sont des prises de guerre dont l’homme a le droit d’user sexuellement.
§ 14: s’il arrive qu’elle cesse de te plaire, tu la laisseras partir à son gré, sans la vendre à prix d’argent : tu ne dois pas en tirer profit, puisque tu as usé d’elle.
Usé d’elle ! Et s’il ne l’avait pas violée, il aurait eu le droit de la vendre.
Voilà comment l’on aime son prochain.
► L’exode:
Chapitre 20 § 5:
Je suis un Dieu jaloux qui punit la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants.
Cherchons ensemble où se trouverait le pardon !
@ Aliocha | 31 janvier 2019 à 16:23
« …le vrai pouvoir est de savoir pardonner. »
De la part de celui qui demande pardon à ses prêtres, à confesse, à son Dieu, mais jamais à ses victimes, je trouve cela cocasse.
Rédigé par : Elusen | 31 janvier 2019 à 20:22″
————-
« De concession en concession, on finit en concession à perpétuité », c’est le cas de l’Eglise, surtout avec ce jésuite déguisé en Pape.
@ Aliocha
« Quel protecteur invoquerai-je
quand le juste même ne sera pas sans crainte ? »
Vous ne vous rendez pas compte que ces mots donnent une mauvaise image de Dieu, présumé capable de s’en prendre même à un juste, une déviance présumée pas par n’importe qui, par un juste.
Elusen sort des passages ignobles de la Bible, et vous montrez aussitôt combien les injustices bibliques ont prospéré jusque dans des chefs-d’œuvre. Et cela sans même l’admettre. Puissant !
Un dieu créateur, notre cause, qui s’en prend à nous, ses conséquences ! Horrible.
Qui de nous ou de lui doit pardonner à l’autre, dans ce cas ? Je ne parle pas de force mais de justice.
Enfin, reste la possibilité que Dieu ou les dieux n’existent pas ou qu’ils ne soient pas plus injustes que moi.
Ce qui me paraît quand même un minimum… Il ne faut pas oublier que les humains se projettent. On disait à Voltaire que Dieu a créé l’homme à son image, il répondait qu’ils le lui avaient bien rendu… Certes.
Le pardon se trouverait dans sa propre capacité à reconnaître que nos interprétations des textes révèlent qui nous sommes, vous croyez dur comme fer à ce dieu violent, Elusen, pour justifier votre propre violence.
On peut trouver autre chose dans la bible, par exemple :
http://www.bibleenligne.com/commentaire-simple/commentaire/os/3112-osee-11-1-11.html
Vous pouvez, Noblejoué, créer Dieu à votre image.
« C’est la vision des nombres. Nous allons à l’Esprit. C’est très certain, c’est oracle, ce que je dis. Je comprends, et ne sachant m’expliquer sans paroles païennes, je voudrais me taire. »
Et je me tais.
@ Aliocha | 02 février 2019 à 09:18
▬ « … vous croyez dur comme fer à ce dieu violent, Elusen, pour justifier votre propre violence. »
Décidément, vous êtes obtus comme tout les intégristes fiers de l’Inquisition.
Vous ne savez même pas ce que veut dire le mot ‘croire’, mais vous l’employez à tour de bras, de petit bras devrais-je dire ; vous devez prouver que je crois, matériellement, vous en êtes incapable.
▬ « …pour justifier votre propre violence. »
Non mais, vous êtes le type qui bat sa femme et qui affirme que c’est elle qui est violente ?!
Que c’est pour son bien, parce que vous l’aimez.
Votre Yahvé Allah a des génocides à son actif, l’esclavage, la pédophilie qu’il prône, le viol qu’il glorifie.
Je n’ai aucun casier judiciaire, vous c’est moins certain !
La bible de Jérusalem traduction archéologique et universitaire.
Deuxième livre de Samuel – chapitre 7 § 14 :
Le lévitique – chapitre 20 § 9 :
Vive l’inceste et les infanticides, gloire à Yahvé Allah et à Véronique Courjault.
Nombres – Chapitre 15 § 35 et 36 :
Évangile de Luc – chapitre 19 § 27 :
Le Deutéronome – chapitre 13 § 8 à10 :
À par ça, ce n’est pas votre Yahvé Allah qui est violent ?!
Ce qui reste surprenant, c’est que vos liens ne concernent jamais votre Torah-Bible ou votre Coran.
Vous avez du éluder un truc, Elusen, et même en noir, vous sélectionnez ce qui vous arrange :
http://www.bibleenligne.com/commentaire-simple/commentaire/os/3112-osee-11-1-11.html
Il est possible de croire en autre chose que la violence, cela évite la dépression et d’avoir, un jour ou l’autre, recours aux neuroleptiques : relisez-moi, vous verrez qu’il est possible d’entendre et de voir autre chose que ce que votre ressentiment sélectionne, il suffit d’apaiser et de taire son tumulte intérieur, s’apercevant alors que la réalité nous est extérieure bien que nous n’en ayons conscience que par la trace qu’elle laisse en nous, qu’alors et alors seulement elle nous est accessible et nous parle.
Je ne vous souhaite rien d’autre que cette accession à l’âge adulte, je ne suis pas sûr que vous choisissiez réellement cette répétition d’infantilismes dont vous nous affligez, il suffirait de vous émanciper de votre propre désir, le diable n’en est que la représentation tyrannique et banale.
@ Aliocha | 06 février 2019 à 09:31
Dans la Torah-Bible, votre Yahvé Allah a tué lui-même 160 personnes et sur ses ordres, en dehors des génocides de l’humanité tout entière, il a fait tuer au total 2,8 millions de personnes.
Le tout a été dénombré par un certain Steve Wells dans son livre :
► Drunk with Blood: God’s Killings in the Bible – https://frama.link/WDbj2J3a
Si vous êtes monothéiste, de la religion juive, coupée en trois courants : hébraïque, christique, musulmaniste, vous êtes forcément un adepte de la violence, de la haine, du viol, de la pédophilie, du massacre, du meurtre, des génocides.
Alors heureux ?!
C’est bien plus important que cela, mon pauvre Elusen, ils sont tellement nombreux, vos semblables qui n’ont rien compris à rien depuis le fond des âges et qui, à ce titre, se sont précipités dans les bras du malin et réitèrent ad libidum les horreurs de leur manque d’imagination, hurlant vengeance contre le Tout-Puissant qu’ils créditent de leur vice, alors qu’Il n’a fait qu’indiquer le chemin de l’amour du prochain et la route escarpée de la vie éternelle, brisant enfin la bêtise de la violence des humains à qui pourtant ont été donnés l’intelligence et le don de s’apercevoir, accompagnés, hélas, de la vanité et de l’orgueil qui leur font oublier la seule puissance réelle, celle du cœur, qui leur fait appeler dieu ce qui n’est que le miroir des croyances de leur désir.
@ Aliocha | 07 février 2019 à 14:27
▬ «…à ce titre, se sont précipités dans les bras du malin…»
Du malin ?!
Encore la condamnation de l’intelligence !
– Lucifer, lux et cifer, porteur de lumière, celui qui apporte la connaissance et le savoir.
– l’arbre de la connaissance, manger son fruit, avoir accès à la connaissance, aux savoirs exclus du paradis.
– « heureux les simples d’esprit »
– et maintenant : le malin ; il est malin, la connaissance est un mal ; ce mot associe la connaissance au mal.
Mais combien de personnes a violées Lucifer ?
Combien d’enfants victimes de pédophiles à cause de Lucifer ?
Combien de génocides à son actif ?
Combien de massacres à son actif ?
Combien de meurtres a-t-il commis ?
Yahvé Allah a de lui-même assassiné 160 personnes et sur son ordre ses fidèles ont, dans la Torah-Bible, assassiné 2,8 millions de personnes de -1800 ans à 50 ans.
Combien de morts depuis l’an 200 à 2019 devons-nous ajouter ?
▬ «…brisant enfin la bêtise de la violence des humains à qui pourtant ont été donnés l’intelligence et le don de s’apercevoir…»
Non cela n’a pas été donné, mais refusé, votre Dieu dit :
Vous ne mangerez pas de ce fruit-là
▬ «…brisant enfin la bêtise de la violence…»
L’Exode – Chapitre 20 § 5 :
Je suis un Dieu jaloux qui punit la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants.
160 meutres à son actif personnel ; 2,8 millions sur ses ordres, il va briser quoi ?!
L’élusion est systématique, l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Elusen, tout le reste de la forêt est à votre disposition.
Vous préférez imiter Adam, c’est votre choix, bien que j’ai peur que vous n’en ayez guère conscience, car vous refusez alors l’enseignement décisif du Christ, celui qui amène à la réelle connaissance.
@ Aliocha | 08 février 2019 à 09:39
Adam, voilà l’exemple même de la perversité sexuelle de votre Yahvé-Allah, de votre obscénité d’incestueux.
Adam et Éve, qui eurent des rapports sexuels avec leurs propres enfants, forçant les frères et sœurs à coucher entre eux, les petits-enfants tout autant, sinon comment peupler la planète comme il le dit :
▪ Croissez et multipliez.
Puis vint le génocide et l’on recommença la même chose dans cette pédophilie, dans cet inceste d’orgies avec Noé, frères, sœurs, parents, enfants, petits-enfants…


Qui avez-vous épousé sur la recommandation de votre Yahvé-Allah mon Aliocha ?
Un arbre ? Une forêt ?
Remarquez, cela explique pourquoi, au final, les adeptes de ce culte, vous finissez par être des congénitaux.
▬ «… Christ, celui qui amène à la réelle connaissance. »
Qui a supposément créé le diable si ce n’est votre Yahvé-Allah ?
Si omniscient qu’il n’a jamais su que ce dernier se lèverait contre lui.
Et Elusen rougit de honte, divisé contre lui-même, obligé de s’accoupler, à qui, nul ne le sait, pour se multiplier, peut-être à lui-même justement, s’offrant à la machine des clones, serpent se mordant la queue car inaccessible à l’amour du prochain, s’offrant au sacrifice en victime consentante par désir de pouvoir, car il ne consent pas à admettre la puissance de ce qui nous est caché, et préfère rentrer en rivalité avec les mystères de l’existence et se vouer à la destruction par vanité.
Nous ne sommes même pas les démons, Elusen, quand nous cédons, mais les porcs qu’ils investissent, et qui nous précipitent vers l’abîme.
Je préfère, quand à moi, tel le possédé délivré, m’asseoir au pied du crucifié puis, obéissant, retourner raconter ce que Dieu fit pour moi.
http://www.bibleenligne.com/commentaire-simple/commentaire/lc/1204-luc-8-26-39.html
@ Aliocha | 09 février 2019 à 09:21


Pervers un jour, pervers toujours !
* Proposer ses propres filles au viol collectif :
* Coucher avec son père pour procréer, vous restez en famille et la famille, c’est sacré :
Adam est bloqué dans sa genèse, ne s’apercevant plus que le temps a passé, et il voudrait sans cesse à l’origine retourner, pour éviter l’effort et se donner les moyens de savoir imaginer autre chose que la folie meurtrière que sa paresse lui ordonne de suivre, soumis à la fatalité des victimes, clones de leur propre traumatisme, machine à répliquer l’infâme de la vessie des mensonges qui ramène à l’abîme du passé des vengeances, prêtant à son dieu la forme de son désir, ce tyran implacable sans lequel il ne pourrait sans sombrer mentalement accepter le don de l’amour et de la vie qui lui offre la capacité de savoir pardonner.
Il n’a plus d’autre choix, alors, le pauvre malheureux, que la folie ou la folie.
Promotion du cannibalisme dans la Torah-Bible, ainsi parla Yahvé-Allah :

Bon après il parle de cruche, mais j’ai craint que cela ne soit de vous.
Oui, Elusen, fonctionner avec des arguments sélectionnés par la machine ne vous empêche en rien d’en rester à l’âge de la cruche et du clic luciférien du haters réfractaire de base, le cerveau s’en remettant à la contamination électronique instantanée.
J’ai bien peur que les moyens modernes ne soient finalement que des facilitateurs de réflexes incapables d’intégrer la simplicité de l’espace et du temps, les rendant insensibles au cœur, et vous allez encore, enfermé en votre mécanique, appuyer sur un bouton qui ne saura citer que le pire, entendant la parole archaïque sans entendre l’harmonie mozartienne qui permettrait à chacun de savoir qu’il n’est jugé qu’à la mesure, et strictement, de son propre jugement, et qu’il ne sera sauvé, et parfaitement, qu’en l’admettant.
Alors, la structure manichéenne du mental humain saura intégrer son sfumato, la ligne est rapport entre ombre et lumière, et indique aux modernes à quel savoir ils sont convoqués, qu’il suffirait de renoncer à l’illusoire victoire des combats dépassés, pour accéder à ce pourquoi nous sommes fait, incarner la parole du réel.
Brisez donc la cruche, Elusen, pour mieux entretenir votre soif, cela ne tarira jamais la source d’eau vive qui, quand vous le choisirez, et librement, est à même de l’étancher.
@ Aliocha | 13 février 2019 à 08:58

«…du haters réfractaire de base…»
Ah raté !
Ce n’est pas moi qui ai écrit la Torah-Bible et le Coran, aucun droit d’auteur là-dessus, pas plus de droit de grenouille de bénitier.
Après votre Beaujolais nouveau… le nouveau-né !
Du coup, cela fait quand même peur quand nous entendons : mangez ça, c’est mon corps ; buvez ça, c’est mon sang.
Les chrétiens becquettent leur Dieu quand même !
Bravo, Elusen, vous allez arriver à comprendre l’alternative entre Dieu et l’idole, Jésus et Satan, celui qui donne et celui qui prend, l’Ancien et le Nouveau Testament, le sacré et le saint.
Bienvenue au Royaume, vous allez enfin vous comprendre vous-même, et n’avez plus besoin de moi, vous commencez à savoir lire :
« Le triomphe de la croix
Avant le Christ l’accusation satanique était toujours victorieuse en vertu de la contagion violente qui enfermait les hommes dans les systèmes mythico-rituels. La croix fait triompher la vérité car, dans les récits évangéliques, la fausseté de l’accusation est révélée, l’imposture de Satan ou, ce qui revient au même, celle des principautés et des puissances est à jamais discréditée dans le sillage de la crucifixion. Ce qu’il faut retenir ici dans l’idée du triomphe ce n’est pas l’aspect militaire, c’est l’idée d’un spectacle offert à tous les hommes, c’est l’exhibition publique de ce que l’ennemi aurait dû dissimuler afin de se protéger, afin de persévérer dans son être que lui dérobe la croix. En privant le mécanisme victimaire des ténèbres dont il doit s’entourer pour gouverner toutes choses, la croix bouleverse le monde. Sa lumière prive de son pouvoir principal celui d’expulser Satan. Une fois que ce soleil noir sera tout entier éclairé par la croix, il ne pourra plus limiter sa capacité de destruction. Satan détruira son royaume et il se détruira lui-même.
En nous permettant d’accéder à l’intelligence du mécanisme victimaire et des cycles mimétiques, les récits de la Passion permettent aux hommes de repérer leur prison invisible et de comprendre leur besoin de rédemption. »
http://lirephilosopher.canalblog.com/archives/2014/06/17/30090619.html
@ Aliocha | 14 février 2019 à 11:16

« Bravo, Elusen, vous allez arriver à comprendre…»
Que vous auriez dévoré votre Dieu ?! Le corps, le sang, hey ?!
Que reste-t-il à prier alors ?
Sont-ce des morceaux telles certaines de vos reliques chrétiennes ?
Il est à craindre le pire quand nous partageons un dîner avec les adeptes de la Torah-Bible, surtout si nous ne voyons point les enfants.
Mince, Elusen, vous avez encore besoin de mes lumières, il me semblait que vous vous étiez approché de la signification de l’eucharistie, ce que la lente maturation des textes révèle si on a la capacité de ne pas les morceler. Il vaut mieux s’alimenter de quelque chose qui n’existe pas, j’use de votre dialectique d’athée, plutôt que de dévorer son prochain, signification de l’image chrétienne du Dieu vivant, cet homme supplicié sur une croix.
Je suis sûr que vous en conviendrez, même si apparemment vous avez subi de sévères dommages de la part de chrétiens prétendus qui sont dans le même déni que vous, et vous interdit pour l’heure toute possibilité de rédemption.
Je vous remercie néanmoins de l’agitation de vos provocations, elles alimentent le moulin de ma démonstration.
@ Aliocha | 16 février 2019 à 09:55
Vos lumières ?!
Alors que je sais que vous ne l’avez pas à tous les étages, je ne voudrais point vous priver de ce qui reste.
Vous avez un petit côté Sarah Sanders, elle aussi la lumière c’est au bout du tunnel – Agence France-Presse, Washington DC, le 30 janvier 2019 à 17h12 :
Vous n’aurez aucune limite, Elusen, au service de votre maître, comme rien ne pourra arrêter les ignominies que vous décrivez, vous en rendant complice au demeurant par la publicité que vous en faites, tant que vous ne saurez vous-même vous envisager, ce dont chacune de vos interventions ici démontre que ce n’est pas le cas, comme un humain doué d’entendement, et non possédé par l’obsession mécanique et meurtrière des désirs de vengeance.
Que Dieu, qui n’est pas celui que vos contaminations décrivent, vous garde et vous bénisse, vous permette d’accéder à cette réalité où cet adorable petit bonhomme n’est certainement pas Sa victime mais celle de la violence des hommes, dont je regrette que vous vous rendiez complice par votre propagande, celle qui préfère à l’offrande divine de la vérité l’ignominie diabolique des mensonges.
@ Rédigé par : Aliocha | 17 février 2019 à 09:43




En somme, c’est écrit dans votre Torah-Bible, mais le problème n’est pas votre Yahvé-Allah, mais celui qui l’a lu, sait ce qui y est écrit et peut prouver l’imbécilité de l’écrit.
Ce qui apparaît évident, c’est que vous êtes un lâche, vous priez un Yahvé-Allah parce que vous avez peur de lui ; vous collaborez comme pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Mark Twain : De la Religion – Dieu est-il immoral ? ; édition l’Esprit Frappeur.
1 ♠
2 ♣
3 ♥
4 ♦
On va vous appeler la Sarah Sanders du blog, cher Elusen, vous êtes dans la même confusion que beaucoup de chrétiens qui ne savent parler qu’en termes de domination, et votre maître effectivement a fait de vous une machine, incapable d’assumer la liberté du choix qui lui est proposé, se vendant à celui, illusion dérisoire, qui lui semble le plus savant, le plus puissant, et ainsi incapable d’imaginer un Dieu aimant, incapable alors d’envisager la vie humaine pour ce qu’elle est, un miracle, instant de la création où la nature s’aperçoit elle-même, se nomme, a donc l’occasion de se décrire et de se comprendre.
Que depuis la nuit des temps les humains prêtent leur violence à ce qu’ils se représentent comme étant leur créateur est aujourd’hui la preuve, et vos répétitions infantiles le soulignent, de l’incapacité de beaucoup à pouvoir accéder à cette aventure mirifique qu’est la vie humaine et qui est décrite dans les textes, car ils ont été abusés par votre maître comme il abuse de vous, entraînant l’humanité dans cette répétition si ennuyeuse des cycles de vengeance, les institutions les organisant.
Vous ne pouvez plus, alors, imaginer autre chose que cet esclavage où le malin vous domine, et vous êtes destiné à répéter les mêmes salades infâmes, à végéter dans vos provocations saumâtres, jusqu’au jour où j’espère que, comme Proust, vous saurez recevoir la grâce à laquelle les chagrins qui vous ont été infligés vous permettraient d’accéder, et ainsi d’entrevoir un peu de lumière dans votre nuit :
« Les chagrins sont des serviteurs obscurs, détestés, contre lesquels on lutte, sous l’empire de qui on tombe de plus en plus, des serviteurs atroces, impossibles à remplacer et qui par des voies souterraines nous mènent à la vérité et à la mort. Heureux ceux qui ont rencontré la première avant la seconde, et pour qui, si proches qu’elles doivent être l’une de l’autre, l’heure de la vérité a sonné avant l’heure de la mort. »
Je ne vous souhaite rien d’autre que d’accéder de l’état de machine à l’état d’être, croyez-moi sur parole, c’est possible.
@ Aliocha | 17 février 2019 à 22:44
Mark Twain disait :
« Quand un individu dit parler à Dieu, nous disons qu’il a la foi, mais qu’il dise que Dieu lui parle, il finit en psychiatrie. »
Vous avez un maître, vous vous soumettez à un ami imaginaire alors que vous n’avez aucune preuve de son existence, pas plus que ce soit lui qui ait donné la Torah-Bible et le Coran.
Il y a même les preuves du contraire, qu’elle fut écrite par Irénée de Lyon et son gang.
À cela s’ajoute la preuve que Moïse n’a jamais existé et que sa légende apparaît en -600 avant notre ère.
Votre lâcheté à vous soumettre à votre ami imaginaire vous la tenez de votre peur : « craignez-moi », dit-il !
♦ Bible de Jérusalem, traduction universitaire et archéologique.
2 Chroniques ; chapitre 30 § 8 :
Ne raidissez plus vos nuques comme l’ont fait vos pères. Soumettez-vous à Yahvé, venez à son sanctuaire qu’il a consacré pour toujours, servez Yahvé votre Dieu et il détournera de vous son ardente colère.
♦ La Bible dévoilée – des professeurs Finkelstein et Silberman – édition Gallimard 2004.
https://www.cairn.info/revue-nouvelle-revue-theologique-2004-3-page-446.htm
♦ Documentaire France 5 et Arte, en quatre parties : https://archive.org/details/la_bible_devoilee
Mais non, Sarah-Elusen, je prends les textes comme des fictions qui nous parlent de l’homme, et révèlent son essence.
Revenez quand vous aurez lu Proust, d’ici-là, je vous laisse à vos Carmen censurées.
@ Aliocha | 18 février 2019 à 16:06
Proust et la Torah-Bible ?!
L’homosexualité et sa condamnation à mort ?!
Et maintenant Carmen et la Torah-Bible.
Le vin de messe, vous n’êtes pas supposé le boire au goulot ; remarquez, cela rend plus heureuse la lâcheté de votre soumission par peur de Yahvé-Allah, un peu comme la femme battue : « Tu peux pas comprendre, je l’aime… »
Mais si c’est l’alcool qui vous aide, hum…
On pourrait se mettre sur la tête, Elusen, que vous continueriez à nous révéler qui vous êtes en projetant vos phantasmes que vous êtes seul à produire.
Enfermé dans la grotte avec Adam, celle qui n’a pour ciel que les orages de votre ressentiment, vous tenez à rester dans le seul carré que vous connaissez, ce bac à sable que je vous invite en vain à quitter, tentant de vous démontrer qu’en en sortant, vous pourriez accéder à la vraie vie qui vous attend.
Restez donc dans vos atavismes infantiles, ils m’ennuient trop pour continuer cette conversation, vous pourrez toujours me relire si vous désirez enfin vous désaxer un peu de vous-même, car il est fatal que vous finirez par vous ennuyer dans la même mesure, vous vous apercevrez alors qu’il est possible d’entrer en relation, qu’il existe un dehors à l’en dedans, qu’en ces temps troublés et si vous souhaitez un jour accéder à l’état de citoyen, il serait nécessaire à vos asphyxies de vous rendre compte qu’un autre existe, qu’on peut l’appeler le prochain, et que dans l’équilibre du rapport qu’on entretient avec lui, on arrive à consentir à la vie.
J’ai bien peur néanmoins que, tenant à la victoire, vous ne nous délivriez encore qu’une de vos interprétations qui, encore, nous révélera qui vous êtes, celui-là que je vois sans le juger, mais que vous semblez ne pas connaître.
@ Aliocha | 19 février 2019 à 12:00

Parce qu’Adam aurait été enfermé dans une grotte.
Genre homme des cavernes, homo erectus.
C’est d’ailleurs ce qui plaît le plus à votre prêtrise : homo erectus surtout en présence d’enfants.