L’un sort de prison, les autres n’iront pas…

Le hasard judiciaire permet un rapprochement, pas si incongru que cela, entre la libération de Georges Ibrahim Abdallah après 40 années d’incarcération pour des crimes terroristes et la décision du procureur de Bobigny de limiter les détentions à cause de la surpopulation pénitentiaire.

Sur ce dernier point, je comprends mal que dans l’arbitrage à opérer entre la sauvegarde sociale et la protection des personnes d’un côté, et de l’autre le souci carcéral, on ne considère pas comme naturellement prioritaire les premières. Quel que soit le triste état de certains établissements et leur densité d’occupation, ces éléments ne devraient pas l’emporter sur le devoir de la Justice de placer au-dessus de tout la sécurité des citoyens, « la majorité des honnêtes gens ».

D’autant plus que pour une fois nous n’avons pas un garde des Sceaux qui laisse ce problème de la surpopulation et la honte des trop nombreux matelas à l’abandon !

La libération de Georges Ibrahim Abdallah est, elle, tout sauf à saluer. Mais à déplorer. Sauf si on est Éric Coquerel et qu’on appartient à la mouvance qui n’a rien appris, et jamais rien renié. Pour laquelle Georges Abdallah demeure un héros.

Même au bout de 41 ans, le sang n’a pas forcément séché et l’horreur terroriste des agissements demeure.

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Il convient d’autant plus de les garder en mémoire que les prémices de ce dossier ont été largement gangrenées, au niveau des réquisitions, par un Parquet dépassé et trop sensible à la raison d’État (Le Monde). Heureusement, Me Georges Kiejman, pour l’ambassade des États-Unis, a convaincu la cour d’assises spéciale d’édicter la réclusion criminelle à perpétuité.

Georges Abdallah, criminel atypique contestant, malgré les preuves matérielles et balistiques, avoir perpétré ces forfaits, tout en admettant sa responsabilité politique – c’est bien commode ! -, a pris acte du caractère inespéré de cette libération puisqu’il a remercié la mobilisation qui l’a permise, et donc l’idéologie qui l’inspirait.

Il y a dans cette personnalité quelque chose qui fait songer à Cesare Battisti, adulé en France par les intellectuels de gauche. Mais lui a eu le courage de détruire les illusions qu’on avait formées à son sujet. Sur le tard, il a admis sa totale culpabilité.

Georges Ibrahim Abdallah n’a rien regretté des horreurs terroristes commises et il sera donc libéré comme il est entré : en plein contentement de lui-même et de ses crimes. Susceptible, donc, d’en attiser d’autres.

Il aurait dû purger sa peine jusqu’au bout en prison.

Ayant relié Bobigny à Georges Abdallah, je ne peux que constater, sur ces deux plans, une double indulgence de type différent. mais incontestable.

L’une a bénéficié à Georges Abdallah, l’autre bénéficiera aux délinquants qui n’iront pas en prison.

J’espère que la société ne trinquera pas.

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Voir les Commentaires (15)
  1. On parlait, autrefois, d’épargner la peine de mort, en disant que la prison à vie ferait le même office : protéger. Ce n’était pas entièrement vrai, car il est toujours en vérité possible que certains s’évadent, mais c’était du moins inattaquable dans le principe.
    Mais à présent, on condamne la société à la souillure de voir des terroristes polluer les autres de leur présence, sans parler du fait qu’il est toujours possible qu’ils encouragent leur fan-club à les émuler.
    Et puis, papy terroriste peut avoir le démon de midi de la destruction : tant de chiens ne se prouvent vivants que de mordre, et ce d’autant plus que le déclin amène à le contredire, voire à se venger des mécanismes implacables du monde sur des innocents.
    Nous sommes accablés par une nuée de vrais démons* et de faux anges, entre les gens voués à la destruction, et ceux qui s’encombrent du faux devoir et de la vraie illusion de tenter de rédimer les coupables, quand le premier devoir moral est de protéger les innocents.
    *Les démons mythiques sont des êtres intermédiaires entre les humains et les dieux, diabolisés, déjà une érosion de statut d’êtres moyens, si ce n’est pas de la classe moyenne ! Ou bien, dans une politique de rigueur, on les a expulsés du ciel.

  2. « Il y a dans cette personnalité quelque chose qui fait songer à Cesare Battisti, adulé en France par les intellectuels de gauche. Mais lui a eu le courage de détruire les illusions qu’on avait formées à son sujet. Sur le tard, il a admis sa totale culpabilité. » (PB)
    L’ambassade d’Israël à Paris a exprimé son mécontentement en déclarant que « de tels terroristes, ennemis du monde libre, devraient passer leur vie en prison ».
    Cela laisse planer un doute sur la suite, il faut se rappeler la traque de Septembre noir jusqu’au bout et bien des années plus tard.
    Le Mossad a de la mémoire semble-t-il.

  3. Julien WEINZAEPFLEN

    @ Jérôme | 18 juillet 2025 à 21:10
    « Honnêtement, rien ne me choquera tant que Nicolas Sarkozy ne croupira pas en prison. »
    Cette envie de faire connaître à nos présidents, à l’inverse du cursus honorum, un parcours qui les fasse aller des palais lambrissés de la République aux fers me paraît justifier l’affaiblissement de la fonction présidentielle, non du fait de la vulgarisation par laquelle ceux qui l’exercent croient nécessaires de parler grossièrement, de prendre des bains de foule, de serrer des louches, de se mettre à portée de baffe et de se laisser apostropher comme on ne se permettrait pas de parler à son PDG, à son préfet ou à son censeur des études, pardon, à son CPE (conseiller principal d’éducation).
    Non, cet affaiblissement de la fonction présidentielle est souhaité, je dirais même plébiscité par le citoyen, qui s’est ouvert de son envie de remettre au goût du jour la notion de « traître à la nation » quand parut cette chanson : « Chirac en prison », à peine « Super Menteur » avait-il fini d’exercer son second mandat, c’est-à-dire à l’avènement de Nicolas Sarkozy.
    https://www.youtube.com/watch?v=DxLFi8_X0yg
    Et Sarkozy à côté de Chirac, c’est de la petite bière (je ne dis pas seulement cela parce qu’il n’en boit pas, Chirac, c’étaient les barbouzeries gaulliennes en un peu moins cruel à des fins personnelles). Et cette chanson comparée aux actions de la justice contre Nicolas Sarkozy ou même contre François Fillon, c’est plus que l’exaucement de cette bluette encore polie, qui raconte l’histoire charmante d’un « homme déconstruit » à qui sa chérie déclare qu’elle « ne fera plus confiance à la justice de son pays » tant que Chirac n’ira pas en prison. Et comme notre petit gars est bonne fille, il finit par épouser le point de vue de sa chérie alors que, cinq ans auparavant, il avait voté pour Chirac, pour protéger le pays contre l’hydre nationaliste.
    Quand on considère ce paysage dévasté, on peut se demander si « la fille du chef », dont ni la condamnation à cinq ans d’inéligibilité ni son exécution provisoire ne me choquent à titre personnel, n’a pas cru se donner une stature présidentielle en détournant « ni vu ni connu j’t’embrouille », quelques fonds publics et en transférant par un jeu d’écritures le trésor du Parlement européen dans la caisse de son parti ou en se faisant prêter sans intérêt par des particuliers plus souvent qu’à son tour des sommes qu’elle n’était pas sûre de leur rendre, art dans lequel son père était passé maître et avant eux Pierre Bérégovoy.
    Mon père débitait souvent, dans des tirades mémorables de milieu de banquet échauffées par le vin, que l’État était le plus grand escroc qui sévisse sous le ciel judiciaire, qu’il n’honorait jamais ou que très tardivement le défraiement de ses commandes publiques alors qu’il vous obligeait à payer vos impôts sans délai, sinon c’était la liquidation judiciaire, et qu’il rêvait du jour où les escrocs en col blanc seraient traités avec la même sévérité que les voleurs de mobylette.
    Nous y voilà (mon père serait content de voir ça), et largement, et trop largement, car nous avons un regard biaisé sur la corruption. Mazarin puisait dans la caisse pour honorer les siens et former le trousseau de ses nièces comme le Français moyen n’aurait pas souffert que son député ne fît pas sauter son PV quand j’étais enfant. Les cols blancs ont la main près de la caisse, ils doivent l’y plonger pour nous, mais ne pas l’y plonger pour eux. Ils doivent nous servir, mais ne pas se servir. Surtout pas d’enrichissement personnel ! Sans quoi leurs têtes doivent tomber sous le couperet du référendum révocatoire exigé par la France insoumise.
    Ces moeurs affaiblissent le prestige de la fonction gouvernementale et on se plaint que le niveau de notre classe politique baisse !
    Quant à Georges Ibrahim Abdallah, je ne sais fichtre qu’en penser, sinon qu’il est l’oncle de Chloé Delaume qui en a parlé avec émotion dans son « Cri du sablier » et dans plusieurs autres livres ou interviews ; que Chloé Delaume était une amie de mon frère et a entretenu une liaison qui a duré longtemps avec Daniel Schneidermann, dont ni l’un ni l’autre ne se cachaient, bien au contraire. Je me réjouis pour elle de la libération de son oncle et je voudrais savoir ce qu’en pensent et Chloé Delaume, et Daniel Schneidermann.
    Car s’il faut s’en rapporter aux agents du Mossad dont nous parle Giuseppe de la manière dont il menace qu’ils peuvent exercer leur droit de vie ou de mort sur n’importe quel terroriste repenti ou qui n’a cessé de clamer son innocence, ou qui se moquait d’être un fuyard et un assassin comme Cesare Battisti (qui n’a jamais intéressé le Mossad), j’estime que non seulement Israël est un agent de déstabilisation régionale autrement plus dangereux que Poutine, mais que le Mossad fait régner la terreur dans le monde entier et n’y a aucun titre, et n’en a aucun droit.

  4. Je ne sais pas ce qui me révolte le plus :
    – Le fait qu’on libère un terroriste compromis dans l’assassinat de deux diplomates (un Américain et un Israélien) alors qu’il ne manifeste aucune repentance pour ces crimes odieux et semble bien parti pour reprendre ses activités criminelles après son expulsion au Liban.
    – Ou bien que des élus de la République française, en l’occurrence Mathilde Panot, Marine Tondelier, Sandrine Rousseau, Rima Hassan, et surtout Éric Coquerel se réjouissent de sa libération.
    Ce dernier pousse l’indécence jusqu’à considérer Georges Ibrahim Abdallah comme un militant politique au même titre que Nelson Mandela qui, lui, avait passé 27 années en prison.
    LFI a dépassé les limites de l’acceptable depuis longtemps. Jusqu’où iront ces gens-là dans l’ignominie ? Quel monde veulent-ils nous préparer si, par malheur, ils accédaient au pouvoir ? Par qui sont-ils stipendiés ?

  5. Xavier NEBOUT

    Au vu du dossier Wikipédia qui semble complet et impartial, on peut se demander en vertu de quels principes la France a détenu aussi longtemps un prisonnier politique se battant contre ce qu’on n’ose pas appeler, par lâcheté, le crime permanent contre l’humanité perpétré par l’État d’Israël en Palestine.
    Couardise, lâcheté, mensonges, infamie, crime contre l’humanité, génocide, voilà en effet les qualificatifs qu’il conviendrait d’employer au sujet d’Israël, cela tel que le dénonce Rony Brauman pourtant né à Jérusalem.
    La Fraaaaaaance, pays héros de l’antirévisionnisme, et cela depuis la grande guerre de salut national sur le pire de l’histoire de l’humanité, et supplantant de loin dans l’horreur ce qui a été commis par les nazis et même Pol Pot : les exploits des colonnes infernales en Vendée agissant sur ordre écrit de la République.
    On signalera par ailleurs, l’imposture de l’appellation « Occident » qui est aujourd’hui à vomir dans son ensemble, alors que le mot vient d’oc, chez moi, les gens du pays d’oc, face à celui des en d’oil, les andouilles.

  6. Michel Deluré

    Bruno Retailleau est finalement lucide et a parfaitement raison lorsqu’il affirme que « LFI est la première et la pire menace politique » pour le pays. Le soutien apporté de manière récurrente et indécente à l’idéologie terroriste par ce parti est affligeante et répugnante et on se demande comment les autres partis de gauche osent encore ne pas rompre définitivement les liens qui les rattachent à lui.
    Quant à la libération anticipée de Georges Abdallah, elle est aussi incompréhensible qu’inadmissible. Face au terrorisme, il ne peut y avoir d’indulgence. La justice une nouvelle fois se discrédite et apporte de l’eau au moulin de ceux qui considèrent que les plateaux de sa balance ont décidément bien du mal à rester en toutes circonstances parfaitement équilibrés.

  7. @ Julien WEINZAEPFLEN
    Je n’ai pas réfléchi suffisamment à ce que vous dites, prenez ma réponse pour ce qu’elle est, un peu hâtive, ce à quoi nous « oblige » Internet. D’un autre côté je n’aime pas réfléchir 😀.
    Vous avez certainement raison dans l’idée que le citoyen apprécie de moins en moins de se faire « cheffer ». J’y vois en grande partie une responsabilité de nos « élites » qui font montre d’horizontalité quand il s’agit de diluer les responsabilités et de verticalité quand il faut s’attribuer des mérites.
    C’est criant en entreprise mais également très vrai en politique. Les chefs ne sont plus des chefs. Pas tous, fort heureusement.
    Pour Sarkozy, loin de moi l’idée de vouloir dézinguer l’élite. Je tiens pour acquis qu’il a, a minima, favorisé, si ce n’est provoqué, le séisme libyen, sur des motifs fallacieux, pour masquer les turpitudes présidant à ses relations avec ce même État. Des centaines de milliers de morts, des viols, de la torture, de l’esclavage, les conséquences sont dramatiques pour des êtres humains qui, comme vous et moi, aiment leurs enfants, leurs maris, épouses, pères, mères, oncles, amis… et qui ont vu tout cela voler en éclat.
    C’est en cela qu’à mon sens, il devrait croupir dans un cul-de-bas-fosse avec des chaînes aux pieds. Le TPI, l’opprobre générale et la prison, voilà tout ce qu’il mérite, ce voyou.
    Pour Georges Ibrahim Abdallah, je ne comprends pas les propos qui se tiennent. Quarante années de prison, ça suffit. Je constate, as usual, que les plus lâchement vindicatifs sont les « socialistes » revendiqués, façon Pierre Laval. Ils poussent des cris d’orfraie parce que la mode est au soutien inconditionnel à l’État génocidaire d’Israël. Il faut montrer son indignation, alors qu’un Sarkozy, cf plus haut… pas plus antisémites que ces philosémites de foire qui, lorsque l’opinion se retournera, seront les premiers à contempter ce qu’ils « thuriféraient ».
    Il sort le Georges, tant mieux. Ce n’est ni Marc Dutroux, ni Abdallah Senoussi que le même Sarkozy a cherché à faire absoudre alors que condamné pour être le commanditaire d’actes terroristes. Nos belles âmes de gôôôche ont protesté d’un supposé acharnement des juges contre lui, Sarkozy, pourtant.
    Sur l’élite, j’y reviens. Il y avait des sal*uds. Mais on pouvait leur reconnaître des qualités très au-dessus de la moyenne. Un Mitterrand était loin d’être un saint. De Gaulle idem. Ils avaient un petit plus qu’il est dur de retrouver chez nos nouveaux sal*uds. La politique n’est pas une affaire d’ange, mais il faut savoir donner l’impression d’en être un. C’est peut-être une partie du petit plus nécessaire que les actuels n’ont plus.
    P.-S. : j’ai oublié de vous dire que j’adore la poésie de Patrick Font.

  8. C’est quoi cette justice en France qui rétropédale contre le bon sens ? Elle libère les prisonniers dangereux à cause de la surpopulation ou à cause de la canicule.
    Pendent ce temps, le président Trump porte plainte contre deux journaux à New York pour diffamation concernant l’affaire Epstein et demande 10 milliards de dollars US de dédommagement. En France, pour le même cas, vous auriez droit à une boîte de cacahuètes ou 1 euro symbolique, ou au mieux entre 1000 et 3000 € sachant que rien que les honoraires de l’avocat coûtent deux fois plus. On s’étonne qu’en France 80 % des plaintes soient classées sans suite parce que les magistrats débordés n’arrivent pas à gérer toute la paperasserie…
    Je vous le dis, on est dans un pays de ploucs ! Raison pour laquelle la délinquance et les crimes augmentent et la surpopulation migratoire clandestine ne reconnaît pas de frontières de l’UE et rentre comme dans un moulin pour profiter du guichet social trop généreux. Nous, les Français, nous payons sans fin les dégâts de nos politiques. Il faut que cela cesse !

  9. Xavier NEBOUT

    Vous avez dit terrorisme ?
    Les Français, en ont été les experts historiques en 1793, et ils le sont toujours.
    Quel est en effet le meilleur moyen d’aller en prison ?
    Ce n’est pas en volant, ni même en exerçant une violence physique le fût-ce sur un policier, non ! C’est en prônant une pensée sur l’Histoire mettant en cause ce que la pègre intellectuelle de la République en a décidé. Un vrai terroriste justifiant toute l’énergie de l’État pour qu’on aille le chercher là où il est – en Écosse – pour le mettre en prison, c’est Vincent Reynouard.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Reynouard
    Je ne dis pas qu’il n’a pas parfois poussé le bouchon un peu loin, mais sa poursuite ne relève que de la terreur intellectuelle.
    Nous devons reconnaître que si on ne le faisait pas taire, il n’est pas impossible que l’idée vienne aux Français d’ouvrir des camps de vacances pour y mettre quelques milliers de nos chers élus, hauts fonctionnaires, et copains d’associations.
    ——————————
    Le saviez-vous ? Nous sommes dotés d’un Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH), d’une Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) et d’une Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) qui contribue aux travaux de l’Observatoire de la haine en ligne (ARCOM)…
    « Ce vendredi 25 octobre 2024, Othman Nasrou, secrétaire d’État chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les discriminations, a visité l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité et les crimes de haine (OCLCH), afin d’évoquer le contentieux traité par la division de lutte contre les crimes de haine ainsi que le déploiement de l’application « Neo haine ». »
    https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/gendinfo/actualites/2024/le-secretaire-d-etat-charge-de-la-citoyennete-et-de-la-lutte-contre-les-discriminations-visite-l-oclch

  10. hameau dans les nuages

    @ Ellen | 19 juillet 2025 à 20:58
    Laissez faire les ploucs et le ménage sera vite fait, je vous prie de me croire 🙂
    Les gens ont peur, complètement tétanisés. L’épidémie de Covid en a été le reflet. La peur !…

  11. Récemment, Philippe Bilger s’indignait, à juste titre :
    « Mais qui pouvait prévoir ce coup de grâce porté par le maire PCF de Nanterre, Raphaël Adam ? Je ne l’ai pas cru tout de suite tellement c’était stupéfiant ! Dans quelle tête municipale sensée a pu germer l’absurdité d’une plaque commémorative en hommage à Nahel ? »
    https://www.philippebilger.com/blog/2025/06/le-maire-de-nanterre-nous-donne-le-coup-de-gr%C3%A2ce-.html
    Or dans l’article Wikipédia consacré à Georges Ibrahim Abdallah, nous pouvons lire que :
    « Le 19 mai 2012, André Delcourt, maire communiste de Calonne-Ricouart (Pas-de-Calais), nomme Georges Ibrahim Abdallah citoyen d’honneur de la ville. »
    Et que :
    « Le 13 décembre 2013, Marc Everbecq, maire communiste de Bagnolet (Seine-Saint-Denis), nomme à son tour Georges Ibrahim Abdallah citoyen d’honneur de la ville (…) ».
    Une fois de plus nous retrouvons là la manie ignoble des maires communistes de faire l’apologie de faits ou de personnages criminels, selon une inversion léniniste des valeurs (reprise par Orwell dans son roman 1984) nous éclairant sur la façon selon laquelle ils se comporteraient en cas d’accès au pouvoir.
    Philippe Bilger pourrait peut-être demander à son ami le gentil Fabien Roussel ce qu’il en pense.
    Par ailleurs, sachant que le PCF est intégré au prétendu « arc républicain » et pas le RN, nous sommes tout de même en droit de nous poser des questions…

  12. @ Exilé | 20 juillet 2025 à 12:51
    « Récemment, Philippe Bilger s’indignait, à juste titre :
    « Mais qui pouvait prévoir ce coup de grâce porté par le maire PCF de Nanterre, Raphaël Adam ? Je ne l’ai pas cru tout de suite tellement c’était stupéfiant ! Dans quelle tête municipale sensée a pu germer l’absurdité d’une plaque commémorative en hommage à Nahel ? » »
    Parfait, très bonne idée, quand je passerai devant cette plaque commémorative islamogauchiste en l’honneur de cette racaille de Nahel et because ennui de prostate et de vessie, je n’aurai plus qu’à ouvrir ma braguette et baptiser cet endroit comme il se doit dans une pissotière publique.
    Merci M. le maire islamogauchiste pro-racailles !

  13. Oui, libérons-le, faute d’avion, il restera en France, avec une aide d’État pour subsister, on créera une commission pour préparer une loi de programmation relative aux cas semblables dans l’avenir.
    C’est ce qui se passe pour l’aide à l’enfance, qui croule sous la règlementation souvent absurde, les complications à n’en plus finir, qui crée les voyous violents par sa bêtise et sa pleutrerie, faute de moyens. Après cela, on s’étonne de la violence. Abdallah bienvenue au pays de Coquerel et de Mélenchon, sous tracé par une horde d’inutiles, de professionnels incompétents et de Franco-Marocaine non qualifiée pour un poste bien gras, bien protéiné, qui permettrait de nourrir cinquante enfants chaque mois. Au nom du saint suffrage et de l’entre-soi.

  14. Si je me fie à cette photo , il semblerait que les conditions de détention de Georges Ibrahim Abdallah ne soient pas si pénibles que cela. Le visage est souriant, il est vrai qu’il dispose de toutes les commodités dans sa cellule. Pas sûr qu’il serait aussi bien cocooné dans une geôle d’Iran.
    Rien à voir avec le sort des petites racailles qui se retrouvent à trois par cellule vu la surpopulation carcérale.
    Enfin le parquet va se pourvoir en cassation. Georges Ibrahim Abdallah va devoir attendre encore un peu avant de retourner au Liban…

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