Les voeux présidentiels et un terrorisme urbain à Strasbourg : cherchez l’erreur !

Facebook, aux ordres de Macron, n’aime pas entendre des vérités prouvées.
Je suis censuré et interdit de publier pour ce message pourtant très vrai :
« Le français est une sale race , fouteur de merde , pervers dégénéré , donneur de leçons , pays de gauchiasses islamos gauchistes , racailles impunies encouragées , agressions records , insécurité record , syndiracaillerie et ses pagailles permanentes , taxes impôts faillites records surendettement record … un pays de merde ! ».
Serais-je le Zemmour de Facebook ? Deux censures à la suite !
Un mini minuscule Zemmour quand même.

Le pape François qui se prosterne devant l’islamisme, Emmanuel Macron en France, Recep Erdogan en Turquie qui a des vues sur la Libye. Un trio infernal qui va nous emmener vers des lendemains qui déchanteront.
2020 sous de mauvais auspices.

Je ne peux pas m’empêcher d’analyser cette simultanéité entre l’adresse présidentielle et la fureur strasbourgeoise emplie de bruit, de dégradations et de fumées comme un signe éclatant et pervers : un État qui voudrait mais ne peut pas, des voyous qui ne veulent rien mais peuvent tout.
Je remercie Philippe Bilger d’avoir abordé cette grave question qui m’avait aussi choqué et que je me proposais d’aborder en incise.
Oui, une fois de plus tout est là : les discours pompeux d’un côté et la réalité de l’autre, ou bien encore les rêves de lendemains qui chantent et en même temps un crépuscule actuel qui ressemblerait plutôt à un cauchemar.
Mais sommes-nous vraiment sûr que cet État qui ne pourrait voudrait seulement ?
N’y aurait-il pas, selon une classification qui lui serait propre, d’un côté des émeutiers du genre Gilets jaunes – qui sont loin d’avoir détruit en une journée l’équivalent de 1 200 véhicules – sur lesquels il faudrait taper férocement à coups de LBD dans la figure et de l’autre des « voyous », faute de pouvoir les nommer pour ce qu’ils sont réellement, qui peuvent tout se permettre et narguer ce que l’on appelle improprement les « forces de l’ordre » sans même avoir subi une seule égratignure ?
J’entends bien qu’il serait malhonnête d’imputer au président et aux ministres concernés la responsabilité directe de ce qui a offert dans le paysage républicain, sans l’ombre d’une résistance, des scènes d’ignominie urbaine en même temps que le solennel et le lénifiant évitaient soigneusement d’évoquer les inquiétudes françaises : l’identité, la sécurité, la justice, la sauvegarde de notre unité, la compréhension de notre peur face à un savoir vivre ensemble éclaté, bousculé, parfois nié.
Alors là, cher monsieur Bilger, il n’est pas possible de vous suivre sur cette question des responsabilités.
Le président et les ministres concernés ne peuvent pas prétendre que ce genre d’incidents comme la presse les qualifie parfois en oubliant de préciser qu’un incendie volontaire tient plutôt du crime, les a pris par surprise. Et si ce scénario a pu se reproduire, en pire, en 2020 comme pour les années précédentes, c’est qu’aucun dispositif sérieux n’a été mis en place cette année non plus.
Pourtant, quand les Gilets jaunes ont lancé leur cycle de manifestations, les plus hautes autorités de l’État ont bien adapté à chaque fois leur dispositif en conséquence, quitte à chanter victoire ensuite, non ?
C’est donc la preuve, si besoin était de le rappeler, que les responsables par destination existent et qu’ils savent faire face aux événements – parfois de façon contestable – quand cela les arrange.
Sinon, si  le président et les ministres concernés ne peuvent être tenus pour responsables de la qualité de l’ordre qui règne en France, à quoi peuvent-ils donc bien servir  et qui serait alors en droit de ramasser le flambeau de cette mission régalienne du maintien de l’ordre abandonné par ceux qui sont supposés le détenir ?

Non l’autoroute ne sera pas gratuite : il faudra bien l’entretenir. Ce seront donc les contribuables qui paieront et non plus les seuls usagers. Pourquoi pas ? C’est un choix politique. Mais de là à parler de « gratuité » !

On ne peut fermer les yeux, s’habituer à ce type de con*eries qui pénalise une population majoritairement modeste.
Castaner aurait-il une solution ?
Interrogez Zemmour. Il a sûrement un avis sur le sujet…

@ kesaco
Les autoroutes de nos amis espagnols seront, certes, financées par les impôts, donc pas vraiment une « gratuité ».
Mais une espèce de symbole pour dire que nous devons reprendre notre destin en main et d’une main ferme.
Quand E. Macron nous inflige sans cesse le couplet de la souveraineté de l’Europe, que tous ces « progressistes » mondialistes pro-islamistes pour la plupart commencent d’abord à cultiver leur jardin, le pays France.
« Comme les rois déments des contes allemands, coiffés d’un chapeau à grelots, abusés par les magiciens, les chefs des Etats globalisés erraient en leurs palais, persuadés que leurs moulinets de bras redessineraient l’architecture des sociétés hypertrophiées aux commandes desquelles ils étaient arrivés par la grâce des calculs et se maintenaient par la vertu des renoncements ».
« Sur les chemins noirs » Sylvain Tesson.
La France, d’abord, avec ses lois, ses valeurs, sa culture judéo-chrétienne et pas celle des autres !
Si pas contents, vous pouvez partir voir ailleurs… On ne vous retient pas !

@ Denis Monod-Broca 16h02
« Pareil pour les casseurs et autres brûleurs de voitures : leur nationalité ou nationalité d’origine ne fait rien à l’affaire. »
Comment expliquer cependant qu’ils soient presque tous Norvégiens !!

Pareil pour les casseurs et autres brûleurs de voitures : leur nationalité ou nationalité d’origine ne fait rien à l’affaire.
C’est ben vrai, çô, tout le monde il est français…
Ou plutôt, tout le monde est bardé de « papiers » français.
Plus sérieusement, veillez avoir la bonté de nous expliquer pourquoi les incendiaires de véhicules automobiles (en toute rigueur des criminels) sont pour la majorité des cas originaires de certains quartiers dits sensibles faisant régulièrement parler d’eux, plutôt que des habitants de départements comme la Creuse ou le Lot ?

@ Xavier NEBOUT
L’intelligence de Sylvain Tesson à propos de la religion :
« Il arrivait aux alpinistes d’attacher leurs cordes à des Vierges de plomb scellées dans le granit pour descendre en rappel du sommet des aiguilles… Si j’affectionnais ces ferblanteries de la foi, ce n’était pas tellement que je crusse dans la fable morose d’un Dieu unique, ni que je regrettasse le pouvoir des curés. Mais je n’aimais pas qu’on s’en prenne à ce qui était debout. En outre, parmi tous les symboles inventés par l’homme pour illustrer les contes, je ne trouvais pas que la croix et les Vierges des grands chemins fussent les pires. Il ne fallait pas s’échiner à déraciner les choses si l’on n’avait rien à replanter à la place. C’était un principe que le moindre agent de l’Office national des forêts aurait expliqué savamment à un agnostique ».
Sur les chemins noirs, Sylvain Tesson
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@ Denis Monod-Broca
Concernant les « gamins » de banlieues transformés en voyous qui crament régulièrement les voitures, peut-être faudrait-il qu’ils regagnent leur vrai « royaume », leur royaume ou leur pays de cœur qui visiblement n’est pas la France. Au lieu de détruire, ils pourraient alors construire et se reconstruire… Vœu pieu, sans aucun doute ?
Ce « vivre-ensemble » est un leurre pour tout le monde. Les êtres humains ne sont pas interchangeables et c’est tant mieux !

« C’est absurde, c’est irrationnel, c’est condamnable, mais pas plus que notre course frénétique vers le toujours-plus. Et l’un ne va pas sans l’autre. Et ne nous repaissons-nous pas de ces violences qui, par contraste, nous rassurent sur notre propre compte de gens si paisibles et si sensés ?… »
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 02 janvier 2020 à 12:02
Il a raison ce cher ange, cela fait marcher le commerce : tu achètes, je brûle, chacun sa culpabilité…
L’angélisme de DMB me fascinera toujours…
La tyrannie du faible sur le fort, la seule qui dure, surtout quand le fort est castré.

« Seulement la réponse de la folie strasbourgeoise et des alentours. »
C’est juste de qualifier ce ‘rituel’ de folie, et d’une folie qui commence à inquiéter sérieusement les habitants. En témoigne l’insistance de mon fils chez lequel j’étais invitée aujourd’hui à déjeuner pour que, en plein jour donc, je rentre mon véhicule dans sa cour alors que d’ordinaire je me contente du parking voisin où quelques véhicules ont déjà, en effet, été brûlés.
Pourtant on ne peut pas dire que la police n’était pas présente, de même sur l’autoroute la gendarmerie, mais on dirait que les gens qui
– ignorant les marquages au sol comme les panneaux indiquant par ex. « Pollution, réduction de la vitesse de 20km », accélèrent,
– vous klaxonnent parce que vous ne roulez pas assez vite à leur goût,
– vous doublent simultanément à droite et à gauche en franchissant la ligne blanche ou en circulant sur les bandes d’arrêts d’urgence,
s’en moquent éperdument.
Passe pour les Allemands, les Belges ou les Italiens qui ne comprennent pas forcément les messages des panneaux lumineux électroniques qu’il faudrait peut-être de ce fait, doubler en anglais, mais on ne peut pas dire que ce soit le cas des 67, 68, 92 et j’en passe… et je ne parle pas non plus des pétards et autres explosifs dont les détonations, même lointaines, ont fait hurler mes chiens jusqu’à point d’heure et dont les débris jonchaient la chaussée et les trottoirs.

« L’angélisme de DMB me fascinera toujours…
La tyrannie du faible sur le fort, la seule qui dure, surtout quand le fort est castré. »
Rédigé par : sbriglia | 02 janvier 2020 à 18:06
Ce n’est pas de l’angélisme, mais du trollage provoc, une sorte de Elusen bis en moins haineux, mais ça marche, on lui répond et comme le Pignon tête à claques du Dîner de cons, il est content.

Il arrive parfois que les incendiaires de la Saint-Sylvestre aient tendance à un peu trop s’enflammer. Cela a été le cas à Colombes où une petite racaille a mis le feu à ses vêtements en voulant incendier un véhicule de police.
Comme dit le proverbe : Qui trop embrase, mal éteint !

A chaque saison sa tradition : au solstice d’été, les feux de la Saint-Jean dans nos villages ; au solstice d’hiver, les feux de voitures dans nos quartiers (déjà) chauds… Sur ce dernier point, 2019 a été un excellent millésime, voire une année record, même si, depuis une dizaine d’années, les services de l’Etat refusent obstinément de faire l’addition des épaves. Pour ne pas inciter les voyous à la compétition, argumentent-ils… Pour ne pas étaler au grand jour leur incapacité à résoudre le problème, peut-on aussi arguer.
Tout dans l’attitude des autorités donne l’impression qu’elles considèrent se trouver devant un phénomène naturel, telle une tempête soudaine et quasi imprévisible, dont elles ne peuvent que prévenir et tenter de limiter l’ampleur. Quant à en désigner les responsables…
Un fait précis : à Strasbourg, dans la nuit précédant celle de la Saint-Sylvestre, quinze voitures avaient déjà brûlé (source : DNA). Le maire s’est fendu d’un communiqué demandant aux forces de l’ordre de « faire preuve de la plus grande fermeté ». Comme si cela n’allait pas de soi… N’attendant pas cette énergique remise au pas, lesdites forces de l’ordre avaient déjà arrêté six jeunes âgés de 13 à 16 ans, soupçonnés d’être parmi les auteurs des faits. Placés en garde à vue à l’hôtel de police, ils ont tous contesté les faits… et ont vu leurs gardes à vue levées dimanche après-midi, « dans l’attente des résultats de l’exploitation des images de vidéosurveillance ». Ce qui, probablement, leur a permis de participer à la vraie fête, celle des 220 incendies… Mais aussi aux policiers d’être franchement motivés pour accomplir à nouveau leur mission. La loi, pourtant, permettait de les conserver au chaud au moins douze heures de plus…
Ces « illuminations » récurrentes de la nuit de la Saint-Sylvestre, qui sont autant de délits graves, n’ont jamais fait l’objet de la moindre remontrance d’un président de la République dans son discours de l’an neuf. Emmanuel Macron, pourtant attentif à briser l’Ancien monde, a fait de même. Le premier flic de France n’a pas non plus bronché avant les flammes. Un coup de menton de ces deux-là n’aurait certainement rien changé au résultat, mais il aurait montré aux « terroristes en herbe » que la fête pourrait un jour tourner court pour eux et à leurs victimes qu’elles pouvaient enfin compter sur une vraie réaction de l’Etat.
A moins que notre jeune président, supputant un lien entre la recrudescence de ces embrasements et ses propres dérives verbales (« les gens qui ne sont rien », « Je traverse la rue et je vous trouve un emploi », « un pognon de dingue dans les minima sociaux »…), ait préféré éviter le sujet et faire sien l’adage qui lui va bien aussi : « Il faut que jeunesse se passe »…

@ PR CALGUÈS
« Et Montpellier, à la kalash, ça vous parle ? »
N’avez-vous donc pas encore compris que nous vivions dans une société multiculturelle où les cultures s’enrichissent mutuellement de leurs différences dans un merveilleux vivre-ensemble ?
Les gens qui ont fréquenté le Liban il y a quelques années auraient pu vous raconter que des tirs à la kalachnikov pouvaient parfois correspondre à une façon de manifester sa joie, par exemple à l’occasion d’un mariage.
Donc pourquoi être surpris que la pratique de la fantasia, même privée de sa dimension équestre, prenne parfois le dessus par rapport à nos tristounettes coutumes franco-françaises ?

Merci beaucoup, Monsieur Bilger.
Je m’étais fait une réflexion similaire l’année dernière, lorsque le ministère de l’Intérieur indiquait – sans rire – sur son site Internet :
 »Partout en France, les festivités ont pu se dérouler normalement et ont été exemptes de tensions notables et d’incidents graves. Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, et Laurent Nunez, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, se félicitent du bon déroulement et de la bonne physionomie d’ensemble de cette nuit de la Saint-Sylvestre. »
Le lien vers ce communiqué sidérant est d’ailleurs toujours valable ->
https://www.interieur.gouv.fr/fr/Actualites/Communiques/Bilan-de-la-nuit-de-la-Saint-Sylvestre-2018
Il m’avait fallu aller sur RT News pour apprendre que plus de 1100 véhicules avaient en fait été incendiés sur l’ensemble du territoire national, les autres décomptes n’étant que départementaux ou régionaux…

Parmi ceux qui poussent des cris d’orfraie à propos de la retraite par capitalisation, j’espère qu’il n’y a aucun syndicaliste FO, CFDT, CGC ou CFTC, qui ont créé la Préfon en 1964 et qui en assurent la gestion depuis lors.
Cette caisse est une complémentaire par capitalisation réservée aux fonctionnaires.
Par ailleurs, les personnes ayant des revenus conséquents n’ont pas attendu cette réforme pour préparer leur retraite en capitalisant, soit dans l’immobilier locatif (ce qui permet d’offrir à la location des biens immobiliers), soit dans la Bourse (ce qui permet de financer des entreprises), soit dans l’assurance-vie (ce qui permet à l’Etat de se financer en partie).
Donc arrêtons l’hypocrisie du PS et des autres partis de gauche et demandons à ces messieurs dames si, par hasard, ils n’auraient pas une petite assurance-vie ou un petit compte Préfon ?
Jean-François Cirelli est promu dans la Légion d’honneur en tant qu’apparatchik français, ancien PDG de GDF, après une longue carrière de fonctionnaire.
Chez BlackRock, ça leur « en touche une sans faire bouger l’autre » ! Agnès Pannier a raison de le signaler.
Si on commence à donner la Légion d’honneur aux Français qui réussissent en Bourse, je vais me mettre sur les rangs !
Ce ne serait pas si idiot, on ramène des pépettes à la ruche France.
Mes actions Bayer Monsanto ont pris 50 % depuis le point bas de l’affaire du jardinier !
La Légion d’honneur, un hochet pour faire passer les taxes sur les plus-values et dividendes ?
Finalement je préférerais être totalement ignoré (surtout fiscalement !).

@ Exilé | 02 janvier 2020 à 17:40
« Plus sérieusement, veillez avoir la bonté de nous expliquer pourquoi les incendiaires de véhicules automobiles (en toute rigueur des criminels) sont pour la majorité des cas originaires de certains quartiers dits sensibles faisant régulièrement parler d’eux, plutôt que des habitants de départements comme la Creuse ou le Lot ? »
A la façon prêtée à Staline s’agissant du Pape: la Creuse et le Lot, combien de divisions ?
Z’avez vu le nombre d’immatriculations de véhicules neufs dans ces deux départements en 2018 ?
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2012702
Véhicules neufs en 2018
Creuse + 2 825
Lot + 4 449
Seine-Saint-Denis + 32 060
Bas-Rhin + 36 616
Il est vrai que la Lozère fait mieux + 1 726
C’est l’année nouvelle, essayons d’être optimistes et joyeux, si ce n’est pas le lendemain du Nouvel An, quand le serons-nous en 2020 ??

@ caffer
« Autre exemple ; à une audience d’un tribunal de province, une femme comparaît voilée. Le magistrat refuse et renvoie l’affaire. Il a été dans les suites puni dans son avancement. »
Un magistrat puni ?
Chez moi on dit « je reste le menton par terre ».
C’est pas tous les jours et on mesure la gravité de l’acte réprimé, bien plus grave qu’une erreur judiciaire ou la mise en liberté de dangereux tueurs par oubli de paperasse !
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@ Denis Monod Broca
« Je pense seulement que nous faisons fausse route. Ce que prouvent abondamment les statistiques, ces violences n’augmentent-elles d’une année sur l’autre depuis des années ? Ne serait-il pas temps d’ouvrir les yeux, de faire autrement, de penser autrement »
Faire autrement que de ne rien faire ? Sans doute.
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@ Paul Duret
« Les Turcs ne sont pas des arabes et ne parlent donc pas l’arabe mais le turc. Ce qui explique peut-être leurs difficultés avec les Libyens. »
Les Libyens non plus, comme la plupart des maghrébins ne sont pas tellement des arabes, ethniquement parlant.
Et les Turcs ont occupé le Maghreb entre autres (avant les Français).

@ Catherine JACOB à 18:27
« …en plein jour (mon fils insiste pour que) je rentre mon véhicule dans sa cour »
Cette précaution me rappelle une précaution similaire recommandée / imposée par un ami à Baden-Baden dans le début des années 90. Les voitures privées stationnées la nuit dans les rues de la périphérie couraient des risques de dégradation, certes moins extrêmes que l’incendie, tels que rayures, bris d’essuie-glaces ou de rétroviseurs, fractures des portières… Les auteurs étaient « les Russes » . En fait, de jeunes Allemands nés de parents ou de grands-parents de nationalité allemande, nés et ayant passé le début de leur vie dans les régions germanophones (mais russifiées) à l’est de la fameuse ligne Oder-Neisse et considérés comme citoyens allemands, rapatriés en Allemagne de l’Ouest après la chute du mur.
Les garnisons françaises, parties, avaient laissé libres de vastes casernements dans lesquels les autorités allemandes avaient logé les familles immigrées / réimportées. Les adolescents en difficulté d’intégration, se livraient à des exactions diverses et en particulier sur les voitures. Le problème a dû être résolu depuis longtemps, en Allemagne. Il y a une analogie certaine avec le comportement d’adolescents, fils ou petits-fils d’immigrés étrangers, en France, actuellement. Je me borne à citer le cas allemand des années 90, sans commentaires additionnels, sinon dire que des causas similaires produisent des effets similaires.

un terrorisme purement national…
Mais en quoi ce terrorisme serait-il purement national alors qu’il a été importé par des irresponsables et des félons qui l’ont entretenu et qui se gardent bien de le combattre à la racine ?
Au contraire, il est totalement étranger à notre pays, à son histoire, à ses traditions, à sa civilisation, à ses croyances, à ses mœurs, à ses vertus, il lui est étranger dans tous les sens du terme et pas uniquement dans celui touchant à la nationalité, il lui est étranger comme un corps étranger s’introduisant avec violence dans les chairs d’un organisme vivant lui cause douleur, dommages, infection et parfois mort.

« Dépassé par le chaos on a pris le parti de lui laisser carte noire. » — Philippe Bilger.
Oooooh ! mais c’est ouacist’, ça, didon ! En plus, c’est une odieuse stigmatisation d’une marque de café française, Môssieur ! Un fleuron de notre industrie nationale, jadis odieusement bradé à des intérêts américains, puis heureusement racheté par les macaronis… un moindre mal, assurément.
« Il serait temps que le pouvoir s’occupe de nous, donc de ce qui devrait le regarder au premier chef. »
A ce sujet, il est utile de se pencher, une fois les flonflons de l’actualité passés, sur la façon dont un pouvoir digne de ce nom s’occupe de son peuple. Je veux parler du nouveau gouvernement de Boris Johnson en Grande-Bretagne.
Chez nous, un vain peuple, symbolisé par l’écervelé communiste Éric Zemmour, croit discerner la confirmation de ses préjugés idéologiques dans le fait que la réélection de Boris Johnson signifierait « l’abandon du thatchérisme ». Rien n’est plus faux.
Sous prétexte que les conservateurs ont annoncé un accroissement de la dépense publique en faveur du système de santé nationalisé, notre étatiste forcené croit pouvoir se vanter d’avoir toujours eu raison, puisque les Anglais renonceraient à leurs errements libéraux.
Or, Margaret Thatcher n’a jamais tenté de privatiser le National Health Service. Non seulement parce qu’elle avait déjà beaucoup à faire avec le reste, merci bien, mais parce que le NHS est, chez les Britanniques, ce qui s’apparente le plus à une religion, selon Nigel Lawson, ex-député conservateur. Comme l’écrit un blogueur nord-américain, « des adultes parlent du NHS comme s’il s’agissait d’un être vivant ou d’un demi-dieu ». Les expressions « notre précieux NHS » ou « notre NHS bien-aimé » sont aussi répandues que le sont les « valeurs républicaines » ou la « solidarité » chez nous. Cela va bien au-delà du culte français de la Sécurité sociale. Chez nous, au moins, quand on parle de « la sacro-sainte Sécurité sociale », c’est en général dans un sens ironique.
Il n’y a jamais eu, jusqu’à présent, le moindre espoir d’un soutien populaire pour un homme politique qui envisagerait de libéraliser le système de santé britannique. Cela changera sans doute un jour, au vu des résultats catastrophiques : nombre de médecins et de lits d’hôpital parmi les plus bas du monde occidental, délais d’attente à rallonge, mortalité très élevée chez les cancéreux…
Quant aux autres promesses de dépense publique faites par Boris Johnson (police, trains, recherche…), elles doivent être mises en rapport avec son parti pris pro-entreprises et pro-marché, sans cesse martelé. « C’est parce que nous croyons aux vertus du libéralisme que nous pourrons apporter l’excellence dans les services publics », a expliqué Johnson en substance.
On chercherait en vain de telles proclamations non seulement parmi la droite française, mais chez le prétendu « ultra-libéral » Emmanuel Macron.
Inimaginable en France, également, le récent avertissement lancé aux fonctionnaires, par le gouvernement britannique, d’avoir à se préparer à un bouleversement complet de leurs habitudes de travail.
Ils n’ont pas bien compris que le Premier ministre avait la ferme résolution de moderniser la fonction publique du sol au plafond, a annoncé Rachel Wolf, l’un des rédacteurs du programme des Conservateurs. Les plans existants pour supprimer, fusionner ou créer des ministères ne sont que la partie émergée de l’iceberg, a-t-elle expliqué. Seront éliminées toutes les dispositions qui permettent, actuellement, aux fonctionnaires d’atteindre leur seuil d’incompétence, et d’échapper aux conséquences de leurs erreurs. Il est même envisagé de les soumettre à des examens réguliers, afin qu’ils puissent faire la preuve qu’ils sont toujours à la hauteur.
Je vous laisse imaginer le nombre de gilets jaunes, rouges ou verts à pois bleus qui pourraient déferler dans les rues françaises, si un conseiller gouvernemental se mettait à penser des choses pareilles, ne serait-ce que dans ses rêves nocturnes.
Rachel Wolf a prévenu : cela fait vingt ans que Dominic Cummings, le conseiller stratégique tout-puissant de Boris Johnson, (celui qui ressemble à un clodo et s’habille dans les poubelles avant de suivre les jolies femmes dans la rue), réfléchit à la façon appropriée de révolutionner la fonction publique. C’est indispensable, dit-elle, afin d’appliquer les réformes promises. Dominic Cummings a déploré à plusieurs reprises que les fonctionnaires soient rarement licenciés, et qu’on ne puisse les faire travailler tard le soir en période de crise.
Pour mesurer l’inanité qui consiste à plaquer, sur le gouvernement de Boris Johnson, les fantasmes gaullo-communistes de la France moisie (copyright Bernard-Henri Lévy, qui n’a pas dit que des sottises), je vous conseille de lire la petite annonce que Dominic Cummings vient de publier sur son blog, afin, justement, de recruter les fonctionnaires 4.0 (comme on dit chez BFM) dont l’Angleterre libérale a besoin.
Car Dominic Cummings a un blog — qu’il écrit lui-même, naturellement. Faites-moi signe quand l’immense Patrick Buisson (ex-homologue de Cummings auprès de Sarkozy) ou la divine Marion Maréchal (notre future Jeanne d’Arc) auront un blog (*).
Extraits :
« Nous recrutons des mathématiciens sortant de l’ordinaire, des physiciens, des spécialistes de l’informatique théorique et des spécialistes de la science des données. » Pour aider à la décision politique, je précise. Pas pour inventer le Minitel du XXIe siècle.
« Vous devez avoir atteint un niveau exceptionnel dans l’une des meilleures universités du monde. » Il n’y a pas marqué : vous devez sortir de Polytechnique, de l’ENA, de Normale Sup ou de l’école des cadres de Marion Maréchal.
« Vous n’avez pas besoin d’avoir un doctorat. Nous recrutons aussi des chercheurs de niveau exceptionnel qui n’ont pas fini leur doctorat. » Il n’y a pas marqué : vous devez être X-Mines, avoir deux doctorats et l’agrégation.
« Des capacités mathématiques exceptionnelles sont primordiales. » Il n’y a pas marqué : vous devez avoir lu tout Shakespeare et La Princesse de Clèves.
« Expérience obligatoire dans l’emploi d’outils tels que Python, SQL ou R. » Ça m’étonnerait beaucoup que Jean Messiha, pour ne citer que lui, sache seulement ce qu’est Python.
« Nous recrutons des économistes sortant de l’ordinaire. Vous devez être jeune diplômé, avoir atteint un très haut niveau dans une excellente université, et avoir envie de travailler avec des physiciens. Le candidat idéal pourrait, par exemple, avoir un diplôme en mathématiques et un autre en économie, avoir fait un stage à l’accélérateur de particules du CERN, un autre auprès d’un fonds d’investissement quantitatif, et avoir programmé des logiciels pour une start-up lors d’un troisième. »
Et Cummings précise : « Nous en avons déjà trouvé un. Mais il nous en faut au moins un autre. » Il ajoute : le candidat devra pouvoir, par exemple, discuter de cet article du journal Science : « Computational rationality : A converging paradigm for intelligence in brains, minds, and machines ». Notez l’absence de pleurnicheries sur le « transhumanisme ».
« Nous recrutons des gestionnaires de projet de niveau exceptionnel. Si vous êtes l’un des rares gestionnaires de projet au monde à véritablement exceller dans votre discipline, nous devons nous rencontrer. » Et il cite, à titre d’exemple, cette entreprise de BTP californienne qui est systématiquement en avance sur les délais lorsqu’elle répare les ponts et les routes. Et pas de 10 % : l’État lui avait donné 144 jours pour reconstruire deux ponts détruits par un tremblement de terre. Le travail a été fait en 66 jours. A comparer avec les multiples déclarations de « responsables » politiques français estimant « normal » que tout projet de construction public dérape dans les grandes largeurs, en délais comme en budget… parce que c’est « compliqué ».
« Nous recrutons des chargés de recherche junior. Nous sommes à la recherche de jeunes gens extrêmement intelligents, sortis il y a peu de l’université, dotés d’une forte curiosité et d’une grande capacité de travail. L’un d’eux sera mon assistant personnel pour un an. Je ne veux pas de baratineurs sûrs d’eux, sortis d’une école privée. Je cherche des gens beaucoup plus intelligents que moi, capables de travailler dans un environnement extrême. Si vous vous aventurez à des intrigues de bureau, vous serez démasqué et mis à la porte. » Nous sommes assez loin des assistants parlementaires à la Fillon, Marine Le Pen et autres.
Et enfin, le gouvernement britannique recrute… « Des excentriques supérieurement doués. On parle beaucoup de ‘diversité’ dans les allées du pouvoir, mais on entend rarement par là la diversité de l’intelligence. Ce dont le gouvernement a besoin, ce ne sont pas des bavardages supplémentaires sur la ‘diversité’ en provenance de diplômés d’Oxford en sciences humaines, mais plutôt une authentique diversité en matière d’intelligence. Nous avons besoin de véritables non-conformistes, d’artistes, de gens qui ne sont jamais allés à l’université et qui ont réussi à revenir de l’enfer, de marginaux [de roman] […]. Par définition, je ne sais pas ce que je cherche, mais je veux que les gens autour de moi soient à l’affût de telles personnalités. »
En conclusion : « La plupart des idées qui paraissent de mauvaises idées à tout le monde le sont, mais les idées géniales ressemblent aussi à de mauvaises idées au départ — sinon, elles auraient déjà été mises en pratique. »
Ostensiblement absentes, dans cette petite annonce, sont les expressions « d’État fort et stratège », de « monopoles naturels », de « bien commun », de « justice sociale », de « politique qui passe avant l’économie », de « nation qui ne se dirige pas comme une entreprise », de « corps du roi », de « charisme », de « missions régaliennes », de « droits pour lesquels nos ancêtres se sont battus »… et pas davantage d’allusions à l’histoire de la Couronne, de bavardages sur l’ancienneté de la tradition démocratique britannique, de péans à Churchill ou à Cromwell.
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(*) Je parle d’un vrai site de réflexion. Pas d’une plaquette publicitaire à la franchouille, remise à la sauce Internet.
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@ Sophie | 02 janvier 2020 à 16:08
Merci de m’avoir épargné l’achat des ouvrages de Sylvain Tesson, écrivain à la mode envers lequel je n’avais aucun préjugé jusqu’à présent, et que je me garderai bien de lire depuis que vous nous révélez, commentaire après commentaire, à quel point il est une outre vide et infatuée.
« Les chefs des États globalisés erraient en leurs palais, persuadés que leurs moulinets de bras redessineraient l’architecture des sociétés hypertrophiées aux commandes desquelles ils étaient arrivés par la grâce des calculs et se maintenaient par la vertu des renoncements. »
Mon Dieu, que c’est mauvais ! Quel style de cochon, quel enfilage de clichés traînant partout et quelle application de lycéen tirant la langue : « Ils étaient arrivés par la grâce des calculs et se maintenaient par la vertu des renoncements ». C’est Corneille à la portée de Florian Philippot !

Trump fait assassiner un général iranien et s’en vante. Que disent les autorités françaises, par la voix de la ministre des Affaires européennes sur RTL ce matin ? : « Nous sommes contre l’escalade ». La belle affaire ! Qui n’est pas contre l’escalade ?
Si nous ne nous désolidarisons pas de ces initiatives criminelles de nos amis américains, si nous ne disons pas haut et clair qu’elles sont contraires aux principes les plus sacrés qui sont les leurs autant que les nôtres, les choses vont mal finir.

@ Ellen
« Face à cette racaille indomptable, la mollesse du gouvernement est sidérante. »
Et cette mollesse, au lieu de calmer les choses, les entretient dans la mesure où elle attire sur la France et les Français un mépris de la part de populations qui ne respectent que la force (ce que Lyautey avait parfaitement compris).
« Si tu es lion, je serai mouton, si tu es mouton, je serai lion ».

“Inch Allah t’es plus là en 2020” : Yassine Belattar souhaite la disparition de Zineb El Rhazoui
https://www.valeursactuelles.com/societe/inch-allah-tes-plus-la-en-2020-yassine-belattar-souhaite-la-disparition-de-zineb-el-rhazoui-114519
Ce Belattar, grand copain de Macron, fait encore parler de lui. Un soi-disant humoriste… menaçant !
Honte à ce gouvernement et à tous ces larbins de l’islamisme.

@ Robert Marchenoir
Marchenoir critique pratiquement tous les écrivains quels qu’ils soient. Il estime probablement que c’est lui le plus grand écrivain devant l’Eternel… du moins sur ce blog !
« Toutes nos rancunes viennent de ce que, restés au-dessous de nous-mêmes, nous n’avons pu nous rejoindre. Cela nous ne le pardonnerons jamais aux autres. » Cioran
J’attends impatiemment une critique de Cioran…

@ Robert
« Sauf à rajouter que Strasbourg est devenu un fief turc et que ces feux nocturnes doivent réjouir monsieur Erdogan, lui qui veut maintenant prendre le contrôle du pétrole libyen en appuyant les islamistes de Tripoli, celui de la Syrie lui ayant échappé. »
Erdogan, souvent soutenu par Trump ces derniers temps.
Donald Trump, ami ou ennemi de l’Europe et de la France ?
Finalement, que l’Europe et la France s’écroulent lamentablement grâce à la cohorte d’islamistes qui se propagent sur notre sol, cela arrange bien les USA, un concurrent économique en moins… Pas vrai ?!
https://amp.lefigaro.fr/vox/societe/le-dessein-conquerant-des-freres-musulmans-en-europe-20191220?__twitter_impression=true
Face à toute cette bande de féroces, nous avons E. Macron qui fait des courbettes aux musulmans, aux islamistes, aux rappeurs et tutti quanti…
Macron parfois surnommé « micron » ne fait pas le poids face à ce monde de brutes très épaisses. Il se prosterne trop. Il n’aime pas son pays, la France.

« …pour déterminer qui saura le mieux profiter de l’absence de toute autorité de la part de l’Etat. »
Je vous pose la question, vous qui semblez souhaiter l’autorité de l’Etat et qui dès que cette dernière s’exprime, même timidement, êtes soudainement très critiques.
Les grèves notamment SNCF, RATP, les Gilets jaunes, les automobilistes (radars), les motards, les étrangers que nous accueillons, la liste est très longue. Pour tout dire comme vos lecteurs je ne suis pas dans ce domaine un « innocent » qui respecte l’autorité démocratique, je constate pas grand monde, et cela ne s’arrangera pas.

@ Michel Deluré | 03 janvier 2020 à 11:31
J’avais un grand-oncle qui à chaque promotion de la LO disait que la seule médaille qui vaut quelque chose est la médaille du sauvetage en mer, la seule où l’on ne puisse pas tricher.
Inutile de dire qu’il l’avait eue, et il s’en vantait à la fin des repas de famille.
Cette médaille porte le nom officiel de « Médaille d’Honneur pour Actes de Courage et de Dévouement ».

Une simple et rapide analyse du Bas-Rhin permet d’additionner un certain nombre de ce qu’il est difficile d’appeler des coïncidences:
1. Le Bas-Rhin détient largement le record de saccages de cimetières juifs depuis des années,
2. Le Parlement européen, premier centre de gouvernance en Europe, est basé à Strasbourg,
3. L’ENA, symbole du pouvoir en France, est maintenant située à Strasbourg,
4. La violence civile est courante à Strasbourg,
5. Le Bas-Rhin est frontalier avec l’Allemagne,
6. Le néonazisme et l’extrême droite connaissent une croissance importante outre-Rhin.
On est donc en droit de se demander pourquoi Strasbourg n’est pas l’objet d’une surveillance politique et policière plus musclée qu’ailleurs aussi bien de la part de la Mairie, du Conseil régional, de la Préfecture, du gouvernement français ET de la Commission européenne.
Un jour viendra où les autres pays européens comprendront peut-être que nous ne sommes pas les seuls à devoir assurer la sécurité de l’Europe au Mali, au Moyen-Orient… et à Strasbourg ?
Il existe pourtant un cas similaire à New York où est basée l’ONU et une Université prestigieuse et influente, Columbia, mais où il semble que la situation soit sous contrôle, qui pourrait peut-être servir de référence ?

@ breizmabro 03/20 13:09
Merci pour le lien. Les infos contenues dans l’article ne font que me conforter dans mon opinion concernant ces deux distributions annuelles de prix qui, il faut tout de même le souligner, ne datent pas de l’ère actuelle. Les prédécesseurs d’EM avaient déjà montré le chemin.
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@ Claude Luçon 03/20 14:44
Comme vous le sous-entendez, il serait effectivement possible d’agir. Mais il ne suffit hélas pas de pouvoir, faut-il encore le vouloir politiquement, autrement dit en avoir le courage. Et là, c’est une autre histoire.
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@ Tipaza 03/20 11:31
Et votre grand-oncle avait bien raison de s’en vanter car il pouvait en être fier, cette distinction étant la reconnaissance et la juste récompense de mérites sans nul doute beaucoup plus grands et avérés que ceux de certains des promus aux deux sessions annuelles de la LO.

@ Robert Marchenoir | 03 janvier 2020 à 09:38
« Chez nous, un vain peuple, symbolisé par l’écervelé communiste Éric Zemmour… »
Alors, là, non ! Non ! Et non !
Dites donc, Marchenoir, il va falloir cesser d’être approximatif, car voyez-vous l’approximation a ceci de déplorable, c’est qu’elle est trop approximative.
Comment voulez-vous que l’on comprenne quelque chose à votre délire communiste si vous mettez dans la marmite le triste sire Zemmour ?
N’est pas communiste qui veut !
Et puis communiste, Marchenoir, c’est du travail, pas toujours au noir, par des noirs dans le noir, non des fois communiste c’est juste synonyme de MOAMOA !
Et puis, cette façon que vous avez d’écrire « un vain peuple », c’est un peu  léger tout de même !
Le peuple vain et léger, rit et s’amuse tandis que les communistes pullulent et complotent…
Dites-nous Marchenoir si « l’écervèlement » est douloureux, on me dit ici, que pas du tout, mais sur cette question je préfère m’en remettre à vous, vous me semblez vivre bien votre écervèlement.
Obiter dictum vous avez raison pour Tesson, mais vous avez raison grâce à la diagonale du fou !

@ jack
« On ne peut fermer les yeux, s’habituer à ce type de con*eries qui pénalise une population majoritairement modeste. »
Oui, les automobiles qui partent en fumée sont plus celles des Alsaciens ou autres Français sur plusieurs générations qui en ont besoin pour aller travailler que les grosses berlines allemandes qui pullulent dans ces quartiers que les médias qualifient parfois à tort de défavorisés.
Comprenons aussi le désespoir de tous ces gens modestes qui, ayant à faire face au drame personnel vécu à travers l’incendie de leur véhicule, se verront en plus extorquer des impôts supposés payer une sécurité que l’État trahissant sa mission est incapable – ou refuse – d’assurer…

« Vu de la Pologne, la France paraît de plus en plus exotique » commente, ironique, un journaliste polonais sur le plateau de Pujadas.
Ce brave Pujadas est tellement habitué à l’insécurité qu’il ne peut croire qu’il n’y ait pas de voitures brûlées en Pologne ! En Pologne il y aurait 20 voitures brûlées, il y aurait des émissions spéciales. En France 1 000 voitures brûlées, on dit que la nuit a été « sereine ».
Quand j’écrivais que la France devient de plus en plus la risée du monde….

Et allez, on commence l’année par la ritournelle, la complainte des voitures brûlées du Réveillon. Faut-il rappeler que
1) ce sont des escroqueries à l’assurance dans la plupart des cas
2) que ça dure depuis des années (d’où sort votre « record » ? Vous avez les statistiques complètes des vingt dernières années ?)
3) que c’est la manifestation regrettable du problème bien plus profond des banlieues, que la police seule ne règlera jamais ?
Vous commencez l’année au ras des pâquerettes après l’avoir finie sur les sommets avec votre billet sur le verdict de l’assassin de Mme Halimi, mais je vous la souhaite néanmoins belle et bonne !

@ Robert
« En effet, la plupart des véhicules incendiés doivent sans doute être de vieux diesels. Donc, c’est une manière, peut-être pas très écologique certes, de commencer la « dédiésélisation » si chère à nos gouvernants ! »
Parlons-en des écologistes en peau de lapin, eux qui d’habitude font un scandale pour quelques microgrammes de polluants de trop s’échappant de pots catalytiques, ils sont dans ces circonstances aux abonnés absents.
Faisons un calcul rapide, pour déterminer une approximation du poids des polluants parfois hautement toxiques libérés par la combustion festive ou rageuse de 50 000 véhicules par an.
Estimons à 100 kg minimum le poids des matériaux combustibles (carburant, pneumatiques, équipements électriques ou structurels en matières plastiques etc.) présents dans un véhicule, ce qui nous fait au total 50 000 x 0,1 soit 5000 tonnes de produits polluants envoyés dans l’atmosphère…
Ceci en ce qui concerne la seule pollution.
Allo Greta ?

@ Denis Monod-Broca | 03 janvier 2020 à 10:21
« Trump fait assassiner un général iranien et s’en vante. »
Oui, c’est un peu comme ces nazis d’Israéliens qui font rien qu’à embêter les Palestiniens, juste pour s’amuser.
L’Iran (et non « un général iranien » : pourquoi pas « un noble vieillard perse » ?) a attaqué et envahi l’ambassade des États-Unis en Irak, ce qui est un acte de guerre.
Les États-Unis se défendent, fort légitimement, en exerçant des représailles militaires (très précisément ciblées, extrêmement limitées) contre l’Iran.
Mais vous allez peut-être nous dire que les États-Unis, comme les Juifs, n’ont pas le droit de se défendre, et devraient se coucher en attendant d’être annihilés ? Un peu comme nous, face à l’invasion migratoire et au terrorisme musulman ?
J’ajoute que l’attaque iranienne était revendiquée : les agresseurs ont écrit sur les murs de l’ambassade que ce « général iranien » était leur chef. L’autre responsable militaire tué avait été photographié parmi les attaquants.
L’Iran avait commis, au préalable, une longue série d’attaques militaires contre les États-Unis et leurs alliés. Washington avait laissé passer sans réagir.
D’après le gouvernement américain, d’autres attaques étaient en préparation dans les jours qui viennent. Organisées par ce même « général iranien », « assassiné », selon vous, sans le moindre motif. Pauvre bichon de « général iranien ».
Tandis que des Irakiens se sont livrés à des manifestations publiques de joie à l’annonce de la mort de Soleimani. Figurez-vous que tous les Irakiens ne sont pas ravis de l’infiltration iranienne dans leur pays. Les deux pays se sont livré une guerre sanglante il n’y a pas si longtemps.
Heureusement que vous nous vaporisez de profondes considérations sur l’importance de la vérité — qui est cependant introuvable, ajoutez-vous prudemment.
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@ Sophie | 03 janvier 2020 à 11:37
« Marchenoir critique pratiquement tous les écrivains quels qu’ils soient. Il estime probablement que c’est lui le plus grand écrivain devant l’Eternel… du moins sur ce blog ! […] J’attends impatiemment une critique de Cioran. »
C’est marrant de voir comment de grandes filles jouent les midinettes outragées, dès qu’on s’attaque à leur idole. Avec en plus le coup de pied de l’âne qui va bien, de la part de la petite peste qui ne peut pas s’imaginer qu’on critique quelqu’un sans le jalouser.
Il se trouve que je ne critique pratiquement jamais d’écrivains, ici. Mais face à votre patient travail d’attachée de presse bénévole de Sylvain Tesson, souffrez que d’autres avis que le vôtre puissent s’exprimer à son sujet, sans que vous transformiez aussitôt le débat en attaques personnelles.
Quant à Cioran (une autre de vos stars de groupie énamourée, apparemment), vous nous expliquerez comment il a pu dire à Vanessa Springora, quand elle avait quatorze ans : « Votre rôle est d’accompagner Gabriel [Matzneff] sur le chemin de la création et de vous plier à ses caprices. » Alors qu’elle s’était réfugiée chez lui pour lui demander secours.
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@ Claude Luçon | 03 janvier 2020 à 14:44
Mais bien sûr. Maintenant, les voitures brûlées à Strasbourg et les cimetières juifs profanés en Alsace, c’est la faute de l’extrême droite allemande. Rien à voir avec nos musulmans à nous, ni avec notre extrême droite nationale.
Quant à New York, non, la situation n’y est pas vraiment « sous contrôle ». On vient précisément d’y constater une succession d’attaques et même de meurtres antisémites. Commis par vos amis noirs. Vous devriez vous tenir au courant.

J’ai lu le livre de Tesson sur sa cabane en Sibérie. Le sujet n’était pas trop mal traité puisque je l’ai fini, mais je ne le relirai pas ni aucun de ses livres, je pense.
Sur la nature, il est deux excellents livres, dont on peut avoir une idée sur le lien que j’envoie, que j’incite chacun à lire, voire à acheter, pour pouvoir les relire et les prêter :
http://www.leseditionsnoirsurblanc.fr/le-tigre-john-vaillant-9782882502704
Si vous aimez la nature, les humains, comprendre le monde et un style au niveau des exigences dites plus haut, précipitez-vous !
Sinon, que puis-je faire pour vous ?
https://www.youtube.com/watch?v=bfukcKYjNGs

@ Tomas
« 8 morts, mille incendies, 2 500 sorties de pompiers la nuit dans tout le pays. Qui dit mieux ?  »
Il faut comprendre que déjà, les Polonais font du feu l’hiver pour se chauffer vu qu’ils n’ont pas le chauffage, vu qu’il n’ont ni gaz ni électricité, donc il est normal qu’il y ait des accidents de feu et que les pompiers doivent intervenir.
Et en plus, vous êtes de mauvaise foi en parlant des morts, des incendies et des pompiers parce que c’est bien connu, les Polonais boivent beaucoup plus que nous.
CQFD.

@ Robert Marchenoir | 03 janvier 2020 à 21:27
« Commis par vos amis noirs.  »
Ben oui ! J’ai eu des ami(e)s noir(e)s, je l’avoue.
Ils n’étaient pas plus criminels que vous et moi.
J’ai même célébré joyeusement l’indépendance de 140 millions de Nigérians le 1er octobre 1960 à Lagos en écoutant Louis Armstrong, descendant de Yoruba, et ses All Stars.
Un excellent et mémorable souvenir que je n’ai toujours pas oublié.
Satchmo était venu célébrer l’occasion en l’honneur de ses ancêtres qui avaient émigré aux Amériques, plutôt brutalement et involontairement, quelques siècles plus tôt.

Mon premier coup de gueule de l’année et certainement pas le dernier .
Des grévistes qui refusent toute discussion, demandant le retrait pur et simple de la réforme des retraites, en passant par les non-grévistes qui exercent leur droit de retrait en soutien (plus ou moins spontané) à leurs camarades grévistes, en passant par les « faux-culs » qui voudraient bien être grévistes mais préfèrent se mettre en arrêt-maladie avec la bienveillance coupable de leur médecin traitant et ainsi continuer à percevoir de l’argent sur le dos de la brave bête qu’est la Sécu, nous subissons depuis un mois une pagaille intolérable.
Dans ses délires de névropathe, Philippe Martinez appelle, rien de moins, tous les Français à faire grève. Il est vrai que lui s’en fiche vu que grève ou pas grève, il continue à percevoir ses généreux honoraires de leader syndical. Il se dit même prêt à bloquer le pays, au nom du droit de grève, dans l’espoir de pousser les Français excédés les uns contre les autres.
Ses milices cégétistes n’hésitent pas à insulter et menacer les agents non-grévistes . Le tout sous l’œil compatissant des partis populistes, toujours prompts à s’indigner des violences des policiers, mais qui là, accordent leur bénédiction à des factieux qui menacent le droit des travailleurs à refuser de faire grève si bon leur semble.
A noter que les leaders des partis qui, naguère encore, étaient au pouvoir (PS et LR notamment), trop heureux de pouvoir rendre la monnaie de sa pièce à EM, qui les a humiliés lors de la dernière élection présidentielle, soutiennent ouvertement les mouvements subversifs, pensant sans doute pouvoir renverser « l’usurpateur ».
Tout cela est totalement irresponsable de la part d’élus et de syndicalistes prétendant agir au nom du peuple alors que ces actions ne peuvent conduire qu’au désastre avec au bout du compte un régime de nature dictatoriale où la démocratie serait à coup sûr perdante.
Combien de temps encore la majorité silencieuse va-t-elle continuer à subir les exigences d’une minorité d’exaltés : des Gilets jaunes incapables de se structurer, aux cégétistes qui rêvent du retour de la dictature du prolétariat ?
La France est-elle encore un pays capable d’être dirigé sans que continuellement les citoyens soient amenés à subir des mouvements sociaux venant d’exaltés qui croient encore à un État providence qui n’existe plus, si toutefois il a existé un jour ?

@ Achille | 04 janvier 2020 à 06:47
« Combien de temps encore la majorité silencieuse va-t-elle continuer à subir les exigences d’une minorité d’exaltés »
Quelle naïveté ! On ne pourra jamais condamner une majorité silencieuse de vouloir rester silencieuse, puisque par définition, une majorité silencieuse est condamnée à rester silencieuse sinon ce ne serait plus une majorité silencieuse.
Le terroriste de la communauté silencieuse islamiste de Villejuif n’est pas un terroriste puisque la majorité silencieuse qui est au pouvoir est condamnée à rester silencieuse sur ce sujet.
Silence dans les rangs !

Les Français lucides en sont réduits à attendre un miracle à l’horizon 2022. Il reste donc peu de temps pour atteindre un nombre suffisant de gens conscients des enjeux pour leur pays qui, d’ici là, sera encore plus envahi. S’il n’est pas déjà trop tard lors de l’élection 2022, il leur faudra aussi une bonne dose de courage. En effet, le prix à payer sera élevé pour toutes les années d’angélisme, de laxisme, d’inaction, de complicité, de trahisons et de collaboration des élus, des médias et des diverses associations avec l’ennemi qui est désormais chez lui dans ce qui reste de notre pays en lambeaux, la France. En Macronie, nous atteignons des sommets de collaboration à la destruction…

ABRACADABRA. Carlos is ghosn !
« Une fois bien installé dans son palais des mille et une nuits payés par le contribuable français, ce soir de changement de décennies, entre 2019 et 2020, aidé par ses amis, le Carlos a bouffé un élevage industriel de dindes au marron, il s’est roulé dans le foie gras, il a macéré dans un jacuzzi de caviar, il a pris un bain dans une piscine olympique remplie de champagne, puis, à minuit, il a porté un toast méprisant à l’endroit des Gilets jaunes et des grévistes qui défendent leur système de retraite, il s’est permis ensuite quelque fantaisie grossière (genre: « Nique les Gilets jaunes » ou bien « Aux chiottes les grévistes », sinon: « Salauds de pauvres », les amis conviés, BHL & Badiou, Attali & Minc, etc., ont ri à s’en faire péter la sous-ventrière…), ensuite il a allumé un Cohiba en regardant la Méditerranée de sa terrasse avant d’envoyer un texto à Emmanuel Macron afin de le remercier pour tout.
Le lendemain matin, en guise de réponse, la secrétaire d’Etat à l’économie du gouvernement français, une certaine Agnès Pannier-Runacher, dont on peut imaginer qu’elle avait en amont pris l’avis de l’Elysée, a fait savoir urbi et orbi que, s’il venait à l’idée du Carlos de se réfugier sur le territoire français, il ne serait pas extradé vers le Japon d’où il s’est « évadé »…
Ceux qui, le jour où Marine Le Pen arriverait au pouvoir, feraient semblant de se demander pourquoi, pourront relire sinon cette chronique, du moins mes chroniques écrites depuis… disons plus d’un quart de siècle. »
Michel Onfray
https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/abracadabra

@ Wil
@ Ellen
« Les Polonais boivent beaucoup plus que nous. »
Je confirme qu’ils peuvent boire beaucoup mais surtout, ils tiennent mieux le coup que nous.

@ Achille
Je souscris totalement à votre commentaire. M. Moustache ne roule pas pour les salariés mais pour la CGT. Il n’a pas digéré de s’être fait doubler par la CFDT.
C’est un peu après moi le déluge.
Par contre, ce que je ne m’explique pas, c’est comment une entreprise comme la SNCF peut se trouvée paralysée par moins de 10 % de grévistes.

@ Tomas
« 8 morts, mille incendies, 2 500 sorties de pompiers la nuit dans tout le pays. Qui dit mieux ?  »
Sacré Tomas, le maître de l’enfumage.
Votre lien énumère le nombre d’incendies et sorties de pompiers – en Pologne – dans la nuit du Nouvel An, pas le + par rapport aux autres jours. Donc il serait correct et honnête de le comparer avec l’ensemble des incendies en France, et non pas « seulement » aux 1033 voitures incendiées, comme vous vous évertuez et vous vantez de le faire.
Donc on apprend qu’en Pologne on a une totalité de 1 000 incendies, alors qu’en France on a 1 033 voitures incendies, PLUS les incendies habituels, domestiques, etc. Chapeau pour tenter de nous faire croire que la Pologne serait pire que la France, avec une ficelle si grosse.

@ Xavier NEBOUT | 04 janvier 2020 à 12:28
« Les voitures incendiées sont souvent de véritables catastrophes pour leurs victimes. Le plus souvent pas bien riches et remboursées de trois fois rien pour des voitures qui faisaient bien leur affaire. »
C’est très juste. Certaines des victimes des près de 300 véhicules incendiés songent même à déménager, ne se sentant plus en sécurité dans des quartiers autrefois agréables.
Cela dit, je ne sais pas si vous êtes au courant mais dans le quartier de Cronenbourg, un véhicule de pompiers s’est trouvé pris dans un guet-apens lorsqu’ils sont venus éteindre un barrage de poubelles et de caddies en feu. Leur fourgon pompe-tonne a en effet été caillassé et eux-mêmes sur le point d’être lynchés ont fort heureusement pu joindre la préfecture pour demander du secours, puis réussi à se dégager en marche arrière.
Le conducteur cependant blessé par un caillou au visage a dû être raccommodé par quelques points de sutures, son copilote a subi une commotion cérébrale du fait d’un trou dans son casque. Les pompiers estimant que tout véhicule avec gyrophare et tout symbole de l’Etat étant désormais visé, ils se refusent à retourner dans la « cité » concernée.
C’est franchement plus possible ! Une quarantaine d’interpellations tout de même et un appel à vidéos témoins.

@ Isabelle
L’islamisme induisant le terrorisme et les voitures brûlées : même traitement par les autorités depuis des années.
Après chaque 31 décembre ou après des événements festifs, des voitures, en nombre, ont été incendiées pour le plaisir de jeunes de banlieues, depuis des années nos dirigeants politiques n’ont eu d’autres mots que le récurrent : « inacceptable ! »
Sous-entendu : il faut bien que jeunesse se passe, ou encore que ces pauvres jeunes si discriminés et si désargentés ne peuvent fêter autrement le Nouvel An…pour s’amuser.
Et lorsqu’un islamiste, criant « Allahu akbar », commet un attentat en groupe ou solitaire, c’est un peu la même chose, puisque les islamo-collabos trouvent immédiatement la simple excuse de la folie ou plaident le dérèglement psychiatrique. Sauf que souvent, les jours suivants, on découvre objets religieux, appartenance à des réseaux islamistes ou encore de proches amis qui remettent en question l’imager du loup solitaire ou du déséquilibré… et comme aucun psy n’affirme que le fanatisme est une forme de folie…
Circulez donc braves gens, il n’y a rien à dire, rien à faire, sinon laisser passer en haussant les épaules… jusqu’à la prochaine fois.
———————————————
@ Achille
On peut critiquer la CGT et je la critique. Une CGT, toutefois, qui n’a pas changé depuis 70 ans : mêmes récriminations, même critiques, mêmes slogans sauf qu’aujourd’hui elle gêne le prodige présidentiel et donc ses admirateurs.
Mais si pendant un an, tous les samedis, on voit des manifestations, c’est peut-être quand même qu’il y a un vrai problème de communication entre l’Etat et les Français. Un traitement de passage en force qui remet en cause le simple système démocratique, celui de la négociation et du respect de l’autre.
Une réforme floue et mal engagée qui de compromissions en compromissions va encore plus aggraver les différences et les injustices entre régimes spéciaux (qui deviendront trente ans plus tard non plus spéciaux mais particuliers) et le régime du privé.
Une réforme qui n’aura plus que le nom de réforme. Alors même si la CGT reste fidèle à elle-même, au moins elle tient tête à des têtes de mule prêtes à tout pour dire qu’elles réforment.
Je les renvoie dos à dos.

@ Paul Duret
« Par contre, ce que je ne m’explique pas, c’est comment une entreprise comme la SNCF peut se trouvée paralysée par moins de 10 % de grévistes. »
Ce que nous pouvons surtout nous demander est pourquoi la stratégie d’inspiration stalinienne de placer en 1945 les secteurs clés permettant de bloquer la France en cas de tension intérieure voire extérieure sous le contrôle de syndicalistes qui à l’époque n’étaient pas à gauche mais à l’Est (selon le mot de Guy Mollet) n’a pas encore été dénoncée depuis longtemps alors que Staline est mort et que même la Russie soviétique a procédé depuis longtemps à la déstalinisation.
Pour bloquer un secteur stratégique, il suffit d’identifier les nœuds précis contrôlant le reste de l’organigramme et d’y affecter des syndicalistes aux ordres.
Le reste n’est qu’une question de terrorisme syndical.
Voir aussi l’ouvrage « La France aux ordres d’un cadavre » par Maurice Druon.
——————————————
@ Gérard R.
« Pourtant, on n’entend jamais une compagnie d’assurance se plaindre d’avoir à indemniser annuellement les dommages des incendies volontaires subis par leurs assurés. Ce qui est d’autant plus étonnant, quand on sait que les enquêtes concernant les déclarations d’incendies sont hyper-pointilleuses, dès lors qu’il s’agit d’établir une fraude à charge de l’assuré. »
Vous soulevez là une question qu’il m’est déjà arrivé d’évoquer ici et ailleurs.
Il semblerait qu’une sorte de rituel non-dit dans une sorte de ballet entre les préfets, la police, les pompiers et les assureurs, se soit instauré chaque année à la même époque sur cette question des incendies volontaires qui ne semble plus émouvoir personne, la police se contentant – certainement sur ordres – de regarder sans rien faire sauf peut-être pour signaler aux pompiers les habitations menacées par les flammes, la fin de partie se terminant au commissariat, en l’absence des incendiaires qui se sont bien amusés mais en présence des possesseurs de ce qui fut une automobile, qui, n’ayant plus que leurs yeux pour pleurer, se voient généreusement remettre en file indienne un certificat « pour leur assurance ».
Car manifestement, en cas de délinquance ou de criminalité portant sur des biens, il semblerait que la police ait tendance à laisser commettre les méfaits sous ses yeux, sans intervenir, sous le prétexte que « les assurances paieront ».
Certes, « les assurances paieront », mais combien, entre autres pour un véhicule ancien sans valeur marchande mais précieux pour son propriétaire qui compte sur lui pour gagner sa vie et qui risque d’avoir du mal à en racheter un autre ?
Et si « les assurances paieront », qui n’a pas encore compris que les primes ne pourront que croître à un point tel qu’il sera un jour difficilement possible de souscrire une police d’assurance ? 
Une société ne peut vivre, y compris sur le plan économique, dans un environnement où règne l’insécurité et où elle est acceptée comme une fatalité inexorable par ceux qui ont pour mission de la combattre.
Un pays qui accepte de sombrer sans réagir dans un tel chaos peut-il encore revendiquer l’appellation de démocratie ?

@ genau | 04 janvier 2020 à 16:31
« Etrange sensation en entendant les voeux de M. Macron. Comme un psaume détourné, une incantation débarrassée de sa ponctuation dans un phrasé déshumanisé »
C’est exactement ça. Après 20 minutes d’écoute, on se sent comme drainé, et résigné. Je ne me risquais pas à faire de commentaire, après m’être obligée à écouter l’allocution présidentielle. Ce que vous en dites correspond à ce que j’aurais voulu en dire. Merci d’avoir trouvé les mots, ça rassure de savoir qu’on n’est pas tout seul avec un sentiment d’étrangeté.

@ Thomas
« Pour les thuriféraires d’Orban, Kaczyński et consorts qui en douteraient, j’invite à aller tester les hôpitaux locaux, qui préfigurent assez bien d’ailleurs ce qui nous attend dans dix ans si on ne remet pas d’urgence des sous dans le système de santé. »
Scrogneugneu, scrogneugneu, scrogneugneu…
Des sous, des sous, des sous et encore des sous…
Brisons déjà l’hôpital public pour qu’il ne prenne en charge que ce qui nécessite des lits, et externalisons le travail de suivi dans des officines privées regroupant des gens à même de faire ce boulot.
L’hospitalocentralisme tue l’hôpital.
Quant à moi, très personnellement, j’asphyxierais bien l’hôpital. Voire apprécierais de le voir partir en fumée…
https://m.youtube.com/watch?v=-tuq03f9DhY
Mais bon, je le conçois: on n’argumente pas une politique publique sur la base de simples préférences personnelles.

@ breizmabro 4 janvier à 20 h 45
Chère camarade,
Vous venez de commenter brillamment, selon votre habitude, un envoi outrageusement modifié par l’ordonnatrice du blog, qui avait jugé raciste mon commentaire initial !
Tel qu’il a paru il a perdu tout intérêt, il est d’une « ternitude » affligeante ! Nul et plat !
Il est assuré qu’une heure après les faits il y avait un mille de griffures plus relevées sur la blogosphère !
Quoi qu’il en soit je vous remercie et vous prie de bien vouloir m’excuser d’être à l’origine de ce non-événement !
Bonne année à vous

@ Tomas
Votre animosité à mon égard vous emporte.
La justice administrative issue de la révolution de 89 est une spécificité française.
Excellente il y a une cinquantaine d’années, Mitterrand l’a réduite à ce qui a présidé à son fondement: préserver le pouvoir politique.
Il y a une défaillance du pouvoir dans la préservation des incendies de voiture, et on devrait donc obtenir d’être indemnisé de celle-ci.
Et là, vous aurez affaire à la justice de tous les pays totalitaires.

@ Tomas 23h57
« Quant à la question de savoir où on vit le mieux, en France ou en Pologne, ben en France sans hésitation bien sûr camarade. On y vit plus longtemps, ce qui déjà est un signe »
Si l’on choisit le taux de criminalité, il vaut mieux vivre en Pologne qu’en France !
https://fr.numbeo.com/criminalit%C3%A9/classements-par-pays

@ Pierre Blanchard | 05 janvier 2020 à 14:41
Le 30 mai 1968, ils étaient près de 400 000 à défiler à Paris – presque autant dans des dizaines de villes de province.
Une manifestation de cette ampleur ne s’improvise pas. Elle s’organise, se coordonne et pour cela il faut des responsables suffisamment influents pour réunir tout ce monde. Bref rien à voir avec le mouvement des Gilets jaunes.
Ceci d’autant qu’à l’époque il n’y avait pas Internet pour communiquer dans la seconde.
Certes il y avait des jeunes et des moins jeunes dans cette grande manifestation, mais en tête de la manif se trouvaient des élus et des notables qui étaient des anciens résistants.
Les jeunes présents n’avaient pas adhéré aux mouvements trotskistes et maoïstes des étudiants de la Sorbonne et de Nanterre. Etudiants, pour la plupart fils de bonne famille, qui par la suite sont devenus profs d’université, avocats, journalistes célèbres et philosophes ou politiciens (de gauche, mais pas toujours).
Pour la petite histoire Alain Finkielkraut faisait partie de ceux-là. Il a bien changé depuis.
Par ailleurs ce n’est pas parce que je profite de ma retraite qui ne sera pas impactée par la réforme Macron que je dois me désintéresser de celle de mes enfants et petits-enfants.
Rien ne permet d’affirmer que cette dernière sera minorée. Ceci est la propagande de ceux qui veulent la retirer et utilisent un simulateur bidon pour essayer de le démontrer.
Il est clair que désormais la retraite par répartition est devenue insuffisante et que nos enfants doivent assurer la leur par d’autres sources de revenus.
D’ailleurs moi-même je dispose de pensions issues de caisses complémentaires par capitalisation. et heureusement sinon je ne toucherais pas grand-chose avec la somme qui m’est allouée par la CRAV.

@ Caroff
Je préférerais encore Cuba et la Biélorussie, qui sont en haut du classement, à y être.
Faut-il que vous soyez à court d’argument pour répondre avec des choses pareilles…
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@ Valéry
Très bien, on peut conclure donc que la Saint-Sylvestre fait des morts et des blessés en Pologne à cause des incendies provoqués par les feux d’artifice et des voitures brûlées en France à cause des incendies provoqués par des voyous ou des jeunes en période voyousarde.
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@ Xavier NEBOUT
Si si je m’énerve car j’en ai marre des comparaisons hâtives et simplificatrices. Vous pourrez dire ce que vous voudrez, l’absurdité de votre comparaison disqualifie tout ce que vous dites.

@ Achille
« Emmanuel Macron n’a personne de cette trempe avec lui. Sa seule force, si l’on peut dire, est la médiocrité de ses adversaires, de gauche comme de droite, qui ne cessent de le critiquer mais qui sont incapables d’apporter des solutions alternatives. »
Mais vu le genre de solutions qu’il a déjà commencé à appliquer, allant à rebours de toute logique en aggravant les choses, il ferait mieux rester tranquille :
https://www.lefigaro.fr/social/retraites-ces-professions-qui-ont-deja-obtenu-des-concessions-20191226
Nous avons de plus en plus de raisons de nous demander si ce marcheur, qui manifestement fait de la marche arrière en bien des domaines, ne marcherait pas aussi sur la tête…
Rappelons tout de même à M. Macron à titre d’exemple que le président Reagan exposé à une grève dure des contrôleurs aériens a fait licencier tout le monde avant de réembaucher un par un les gens qui voulaient travailler.

@ Achille | 05 janvier 2020 à 20:08
Puisque comparaison vous faites, comparons donc ce 30 mai 1968 avec le 27 janvier 2019 ou vous étiez, peut-être, en tête de cortège… Il y avait « de la place »
https://www.reconstruire.org/les-foulards-rouges-ou-le-30-mai-gaulliste-rate/
😉

@ Pierre Blanchard
« Cela ne vous dérange donc pas du tout de voir celle de vos enfants (si vous en avez) minorée ? »
C’est l’argument massue des opposants à la réforme. Or, personne n’en sait rien. Ce qui est certain, en revanche, c’est que si on ne change rien, nos enfants – et ils en sont malheureusement bien conscients – toucheront ballepeau, sauf s’ils sont cheminots, électriciens ou gaziers qui continueront à jouir de leurs zacquisocios financés par nous tous.

@ Chemins de traverse | 07 janvier 2020 à 09:50
Le côté suffisant de ceux qui comme vous, croient tout savoir.
Ah les vilains fonds de pension américains, l’arme fatale de ceux qui refusent la réforme des retraites.
Je vous invite à écouter ce que dit Claude Weill concernant l’économie en général et les caisses de retraite en particulier vu par des gens qui se laissent volontiers influencer par les délires que l’on peut lire sur les réseaux sociaux et qui sont volontiers relayés par les syndicats de cheminots qui défendent bec et ongles leur régime spécial.
La théorie du complot quand on ne comprend rien et que l’on ne cherche surtout pas à comprendre, ça finit par devenir grotesque.

@ Lotus | 08 janvier 2020 à 17:16
Tien, c’est curieux, Lotus, c’est la marque de mon papier Q triple épaisseur parfumé au jasmin.

@ Achille
Expliquez donc, vous qui comprenez tout ! notamment de ce que fait le président qui « ne devait pas toucher au système des retraites ».
Toujours prompt à accuser d’autres de ses propres turpitudes…
Je vous invite à venir faire connaissance avec un de mes amis artistes qui se prend pour Dieu avec des personnages suffisamment imbus d’eux-mêmes pour
mépriser qui pourrait jouer une autre musique que leur scie…!?
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Achille, je m’excuse mais si vous pouviez relire mon commentaire ! Même quelques lignes vous sont incompréhensibles ? et vous répondez en mettant l’autrice en défaut… beurk !

@ Lotus
…Je m’appelle Lotus… et c’est un tort chez moi !