Fatima E., la femme voilée (avec une abaya noire et non un simple foulard) qui a fait l’objet d’une vive interpellation de la part du conseiller régional RN Julien Odoul dans l’enceinte de l’assemblée régionale Bourgogne-Franche-Comté, a été très largement soutenue parce qu’en l’état de la législation elle avait le droit d’accompagner des enfants avec cette apparence, son fils se jetant ensuite dans ses bras sur un mode très démonstratif.
Julien Odoul s’est fait rabrouer par la présidente avec une indignation surjouée et il est évident que cet épisode n’aurait pas pris cette ampleur démesurée, sur les plans politique et médiatique, si le conseiller régional n’avait pas été du RN.
Il est intéressant de relever que cette femme voilée a donné une interview au CCIF, proche des Frères musulmans et que la tonalité générale de celle-ci montrait que l’intéressée n’était pas étrangère à un dessein constituant le voile plus comme un signe ostentatoire que comme un simple foulard traditionnel. Il suffit pour s’en convaincre de retenir qu’elle a « une image négative de ce qu’on appelle la République » et que, selon elle, « le ministre Blanquer a dit des choses honteuses » (Morandini).
Cette péripétie n’était pas si dérisoire puisque depuis, plusieurs polémiques au sujet notamment des accompagnatrices des sorties scolaires – évidemment la continuation de la vie scolaire -, ont démontré que le port du voile demeurait un sujet infiniment sensible en France.
Jean-Michel Blanquer souligne que le droit autorise le voile pour les accompagnatrices mais que lui-même n’est pas favorable à la généralisation de cette pratique. Aurélien Taché, député LREM, lui reproche cette contradiction – il n’a pas totalement tort – et l’accuse d’être sur la ligne de Julien Odoul. Le ministre offensé demande aux instances du parti de sermonner le député.
Sibeth Ndiaye n’a pas du tout la même position que Jean-Michel Blanquer.
Le Premier ministre, sans véritablement s’engager, annonce qu’on ne modifiera pas la loi mais prépare la future prise de parole du président qui traitera du communautarisme, donc pas directement de ce qui préoccupe la société aujourd’hui.
Bruno Le Maire, qui parle net, a indiqué qu’il ne voulait pas que le voile islamique soit le futur de la France (Europe 1).
Un Collectif contre l’islamophobie a publié une tribune avec, en son sein, quelques personnalités discutables et n’a proposé qu’une vision outrancière, orientée, partisane et hémiplégique de la réalité française. En oubliant, au profit de l’islam modéré qui est étouffé au point qu’on ne l’entend pas, l’islam radical, et ses dévoiements terroristes extrêmes.
Le président de la République a déclaré qu’il faut être « intraitable avec le communautarisme, ne pas stigmatiser et que la République doit faire bloc ». Qui pourrait contester des propos aussi généraux et généreux ?
Il est clair pourtant qu’on ne peut plus se contenter de cette posture mi-chèvre mi-chou, d’attentisme lâche et mou et de cette fuite face à ce qui affecte de manière lancinante l’espace et l’esprit publics. Peut-être serait-il nécessaire pour le pouvoir de ne pas adopter, à l’égard de l’urgence, un processus de plus en plus lent ? Il n’apaise pas, il laisse pourrir.
Quelques réflexions dont certaines m’ont été inspirées par le débat passionnant et vigoureux de L’heure des pros, le 16 octobre.
Il ne faut pas feindre d’oublier que si la société est à cran au sujet du voile, avec ce malaise de se méfier non seulement de l’islam radical mais de l’islam tout court – la moindre extériorisation apparemment paisible de celui-ci devenant pour beaucoup source d’angoisse, virtualité menaçante -, cela tient aux crimes islamistes qui ont trop souvent tué et endeuillé en se réclamant de cette foi.
On ne peut pas vivre, cohabiter, comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé.
Va-t-il être possible, face aux avancées insidieuses et/ostensibles de l’islam politique en France, de toujours pouvoir faire le départ entre les musulmans de paix et les autres, même pour l’instant inactifs, qui ne rêvent que d’en découdre avec notre société, nos valeurs et notre mode de vie ?
On s’aperçoit aussi que les « somptueuses banalités » du président, avec l’obligation d’une société de vigilance à décliner par chaque citoyen, n’ont donné aucune piste opératoire puisque, par exemple, le questionnaire de l’université de Cergy-Pontoise qui les avait prises au sérieux, a été pourfendu et qualifié de « monstrueux » par un maître de conférence n’ayant aucun sens de la mesure des mots.
Il serait bon également de ne pas se soucier seulement des musulmanes, mais aussi du désir des autres parents de voir ou non accompagner leurs enfants – et l’accompagnement induit bien d’autres contacts et activités – notamment par des femmes voilées.
Au-delà, puisqu’on peut toujours compter sur LFI et en particulier Eric Coquerel pour proférer des arguments rebattus (Matinale de Sud Radio), il est absurde de comparer les religions entre elles et d’affirmer que l’équité commanderait de traiter l’islam comme le catholicisme et le judaïsme. Le premier n’est que trop à la source des agressions contre nos valeurs et des assassinats perpétrés en France quand le deuxième est d’une faiblesse insigne – on voit son peu d’influence sur les thèmes sociétaux et il ne fait de mal à personne – et que le dernier est attaqué verbalement et physiquement, avec des familles juives devant quitter des quartiers devenus dangereux pour elles.
A cause de cette cacophonie gouvernementale, de ce désarroi du pays, de cette impossibilité de distinguer à chaque seconde l’islam acceptable de l’islam politique, ne serait-il pas bon de trancher en interdisant le voile dans l’espace public ? Je l’ai soutenu mais j’ai conscience que les conséquences seraient peut-être pires que l’état actuel de la France, par les résistances et les multiples transgressions – exemple du voile intégral jamais poursuivi, jamais sanctionné – qui résulteraient de cette mesure extrême.
Alors que faire, comment réagir ?
Ma certitude fondamentale est en tout cas que notre faiblesse à faire respecter nos lois et tout ce qui fonde notre démocratie aggrave les dangers que nous prétendons combattre. Nous luttons mal contre un ennemi plus fort que nous.
Pour toujours ?
Édouard Philippe a pris position.
Il valide cette invasion de foulards.
Pourquoi ? Peut-être pour laisser monter le RN, sûr que Macron est d’avoir en face un adversaire qu’il battra à plate couture.
Il fait du RN le seul rempart à l’islamisme.
Le choix des électeurs se posera ainsi : RN ou islamisme.
Cette question dépasse tous les clivages et la seule possibilité qu’aura l’ancien monde politique, y compris celui de Macron, de se maintenir en place, sera l’institution de la proportionnelle intégrale, tant au rythme où vont les choses et l’invasion foulardesque, le RN reçoit l’assurance d’une inévitable majorité écrasante aux élections locales.
Nous sommes en pleine inversion des valeurs.
Hier, je regardais le débat E. Zemmour avec un soi-disant « essayiste » dont j’ai oublié le nom (mais vraiment, aucune importance).
L’inversion était criante. Ce « chroniqueur » expliquait à E. Zemmour que les couples d’homosexuels étaient des « couples d’amour » (un piètre argument qu’il répétait en boucle), des couples bien meilleurs que les couples représentés par un homme et une femme… Sidérant !
De la même manière, que la vie doit être douce pour les filles de mères encagées sous des voiles noirs, tenues sombres qu’elles vont ensuite imposer à leurs filles dès le plus jeune âge… Les fils, quant à eux, sont des enfants-tyrans, étant « élevés » comme de jeunes mâles virils et à qui même leur mère doit le respect… On imagine aisément la suite de leur vie de futurs islamistes purs et durs !
Nous sommes entourés, depuis l’arrivée de Macron, de nombreuses silhouettes noires et tueuses.
Notre pays s’enfonce de plus en plus dans la haine et la colère que l’islamisme provoque… Dans ce cas également, l’inversion est criante. Ce ne sont pas les Français qui sont haineux au départ. Ne pas se tromper ! N’oublions pas que les islamistes nous méprisent tous, y compris ceux qui les soutiennent bien naïvement.
ENCADRANTS ET LAICITE
Je n’ai jamais voté et je ne voterai jamais pour le parti lepéniste. Le débat politico-médiatique actuel est né d’une intervention d’un élu de ce parti dans une assemblée. Il demandait à la présidente de cette assemblée de prier une dame qui accompagnait des élèves, et qui portait un voile noir, de bien vouloir l’ôter de sa tête.
Voici mon avis là-dessus.
Ce n’était ni à ce député d’intervenir ni à cette présidente de s’occuper de cela. Il n’y a pas à parler d’islamisme, de terrorisme, de choc des civilisations, de PS, de LR, RN, des Kurdes, de Syrie, de Harpon, mais à parler de laïcité, pas à la manière lepéniste, mais à la manière de Henri Peña-Ruiz.
On le sait, cet agrégé de philo, prof de khâgne, a écrit sur ce sujet plusieurs livres qui font autorité, et qui sont d’une grande clarté.
Que vient-il de dire ces jours-ci ? Que, dans l’enseignement public, dans une sortie scolaire, et donc dans le cadre scolaire, les encadrants (enseignants et parents) sont soumis aux mêmes principes laïcs : pas de signe ostensible d’appartenance à une religion (croix, kippa, voile noir…).
Ce n’est ni à un élu, ni à une présidente d’assemblée, de trancher, c’est à la direction de chaque école, de chaque collège, de chaque lycée, dans l’enseignement public, de rappeler ce principe, avant chaque sortie scolaire – tous les enseignants devant le savoir – aux parents qui l’ignoreraient.
Le ministre pourrait, à mon humble avis, dans les prochains jours, le rappeler par un courrier à chaque chef d’établissement.
On ne peut pas vivre, cohabiter, coexister comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé.
Une partie importante du problème tient au fait que si l’Islam comporte un volet « religieux », il est loin de n’être que cela, sachant qu’il aborde tous les aspects de la vie des hommes et des sociétés, dont les aspects politique, militaire, social, juridique, matrimonial, etc.
Donc, le mettre en parallèle avec le catholicisme ou le judaïsme n’a pas tellement de sens.
Et surtout, beaucoup de nos contemporains ignorent ou oublient qu’il s’agit avant tout d’une idéologie de conquête et de soumission de tous les peuples du monde entier, comme son fondateur a commencé à le faire en ayant donné l’exemple par le sabre et en ayant validé les versets dits « violents » de Médine qui ont abrogé les versets « inspirés et pacifiques » de La Mecque…
Monsieur Bilger vous dites :
« Alors que faire, comment réagir ? »
Réponse: il y a trop de musulmans sur la terre chrétienne de France, il faut rétablir les frontières, il faut prôner la laïcité, il faut condamner les provocations (c’est ce qui vient de se passer) par une déchéance immédiate de nationalité et les envoyer en Guyane.
Sans cela c’est nous qui devrons partir et vous le savez bien. S’ils vivaient dans leur pays d’origine ils seraient cloisonnés, bâillonnés, meurtris ; plus nous serons faibles plus ils se sentiront forts.
Macron doit partir !
Problème: nos généraux ont-ils encore des c*uilles ?
Une image plutôt que des mots.

Débat sur le voile :
Ferrari et Saillet, récidivistes, se sont comportées aussi haineusement avec Gilles-William Goldnadel ce jour qu’avec Julien Odoul l’autre jour ; deux fatmas islamistes radicalisées dans nos merdias islamogauchistes. Bravo !
Curieusement on n’entend pas le CSA d’habitude si prompt à condamner sévèrement les intervenants jugés islamophobes racistes s’ils refusent de se mettre à genoux devant des femmes voilées !
De là où je suis, en Catalogne, j’ai pu constater l’hypocrisie crasse de Pascal Praud.
Dans un premier temps, il a suinté le “politiquement correct” pour faire avouer au jeune député Julien Odoul du RN qu’il avait humilié la pauvre dame voilée et traumatisé son bambin.
Le lendemain, patatras, avec Philippe Bilger sur le plateau, on apprend que cette dame a donné une interview à une parution proche des Frères Musulmans, Pascal Praud s’indigne, pauvre chéri, il sort les rames, il se sent violé par un gorille, que n’avait-il écouté ce que lui disait le jeune du RN…
Aucun des invités de Pascal Praud n’a eu le courage de lui faire remarquer sa duplicité, aucun, il y a des ronds de serviette qui frisent l’indécence.
Décidément, des collabos, j’en aurai vu de toutes les couleurs…
Certains commentaires frisent le ridicule. Macron serait responsable du développement du voile en France ! Bon Dieu mais c’est bien sûr, puisque le voile est soudainement apparu le 14 mai 2017. Et si on vire Macron ou mieux, s’il démissionne, il n’y aura plus de voile en France. Une évidence miraculeuse.
D’aucuns prennent leurs rêves pour la réalité. La chute sera d’autant plus rude.
En revanche, et Monsieur Bilger a mille fois raison, l’excessif tintamarre victimaire actuel permet de mettre en sourdine un catholicisme qui était déjà bien silencieux, mais aussi et surtout le mépris et l’agressivité à l’égard des Juifs obligés de fuir alors qu’ils ont un profond respect pour le pays.
Il faut relire Aristide Briand.
« Le silence du projet de loi au sujet du costume ecclésiastique qui paraît le préoccuper si fort, n’a pas été le résultat d’une omission mais bien [celui] d’une délibération mûrement réfléchie. Il a paru à la commission que ce serait encourir, pour un résultat plus que problématique, le reproche d’intolérance et même s’exposer à un danger plus grave encore, le ridicule que de vouloir, par une loi qui se donne pour but d’instaurer dans ce pays un régime de liberté au point de vue confessionnel, imposer aux ministres des cultes de modifier la coupe de leurs vêtements. »
Nous sommes une nation qui depuis vingt ans se complaît dans une dispute pour un fichu.
Nous sommes une nation ridicule.
Ce qui est très drôle, oui, drôle, c’est de voir à quel point un incident soigneusement mitonné par une islamiste lambda, au vocabulaire bien appris, les mots qu’il faut, les attitudes ad hoc, a pu soulever les plus stupides réflexions des personnages en quête de voix. Ndiaye en fait partie, aussi gourde malgré ses diplômes que Schiappa.
Et de plastronner, « je ne permettrai pas », « la honte pour Blanquer », « une vie détruite », etc.
Mais on s’en moque de cette cagole, elle fait partie du troupeau islamiste indifférencié. Il a fallu que quelques histrions, comme le furent les 121, et là, il y avait quand même du beau monde, fassent un « collectif » pour exiger, réclamer, témoignant de leur permanence à piétiner un pays qui les nourrit, mais on l’a déjà vu, comme les prêtres avec le FLN, jadis.
On a aussi entendu cette présentatrice qui anime Vox Pop, sur Arte, Nora Hamadi, faire une sortie aussi creuse que grandiloquente, exprimant son indignation dans l’émission « face à face », d’une voix suraiguë, comme une fatma en colère, en débitant des propos de réunion de parti. Elle utilisait la méthode communiste et musulmane de parler sans arrêt pour empêcher tout échange, technique recuite, apanage des mauvais journalistes comme ce fut celui des minables du PC.
Il a fallu un inculte de crasse pour faire des comparaisons entre les religions, eh bien, tant pis pour ceux qui ont regardé. Il eût fallu, à la place, reprendre du Serrano (pur pata negra) avec un verre de Cahors.
Et renvoyer l’islamiste en voile manger son couscous, avec une petite tape sur la joue.
Elle a honte pour la République, ne la reconnaît pas, en ce qui me concerne, la République ne m’intéresse pas plus que ça, mais je la préfère sans voile, le sein nu, un drapeau à pleine main et escortée de fusils et de sabres.
Charoulet a raison en citant Peña-Ruiz: on peut être islamophobe mais en étudiant l’islam ; ce qu’il est, ce qu’il voudrait être, ce qu’il faut savoir pour le deviner et le déjouer autant qu’admirer ses passages littéraires ou calligraphiques, ses intellectuels délicieux, son histoire si chaotique, et puisons-y des armes pour orner notre esprit…
En revanche, on peut se débarrasser sans regret des petites mains, pleurnicheuses et vicieuses, pas en tant qu’islamistes mais en tant que gourdes inutiles.
Mais de quoi s’agit-il exactement ?
Sachant que je me tamponne mortellement le coquillard de la mode, de la religion, de la politique et de tout ce qui fait du vent sans rime ni raison, je m’en vais donc souffler sur le néant…
Ainsi, que madame untel ait envie de se déguiser, ne me dérange pas outre mesure, que monsieur trucmuche trouve que le déguisement n’est pas seyant ne me secoue pas le neurone spécialement destiné à traiter cette question, mais enfin, il faudrait clore cette polémique par une évidence qui frappe tous les esprits éclairés, à savoir : le voile n’est pas utile !!
Ce monde de « voilés », de « masqués de toutes sortes », qui refuse le dévoilement, est assez pathétique et répugnant, je prône la révélation de façon à ce que la vérité tout entière apparaisse, lumineuse et pure tel qu’Hypéride l’a révélé devant l’aréopage !
Il est vrai que je suis une femme, en conséquence de quoi je refuse et pour l’éternité que le voile vienne me couvrir et me soumettre, car je suis bonne et pure, en tout cas autant que monsieur Toutlemonde…
Quaedam falsa veri speciem ferunt ! Vivre libre ou mourir !
« Alors que faire, comment réagir ?
Ma certitude fondamentale est en tout cas que notre faiblesse à faire respecter nos lois et tout ce qui fonde notre démocratie aggrave les dangers que nous prétendons combattre. » (PB)
Absolument ! Sans l’ombre d’un doute !
Remettre l’autorité là où elle devrait être et faire appliquer les lois, elles existent !
En commençant par financer proprement ceux qui en sont chargés !
A concentrer leur attention sur l’Islam, nos médias et politiciens en oublient les Gilets jaunes et les Black Blocs, que personnel du SAMU, policiers et pompiers sont dans la rue avec raison eux, que pompiers et policiers s’affrontent dans une manifestation. En oublient aussi qu’il n’y a pas si longtemps les enseignants et même les magistrats étaient dans la rue !
Ce n’est pas le voile noir d’une femme trop médiatisée qui est le danger, c’est la désintégration de l’ordre public, de la République en France !
A trop médiatiser l’Islam, et surtout l’islamisme, nous allons tout droit vers des ratonnades, ce qui ne sera pas nouveau !
Pensons-y !
Sans SAMU, sans policiers et sans pompiers, il ne nous restera que l’armée !
Espérons, comme écrit abraracourci ce 16 octobre 2019 à 18:11, que nos généraux ont encore des c*uilles. Puisque nos politiciens n’en ont plus !
Marre de toutes ces fatmas ridicules et soumises sous leurs bâches grisâtres étouffantes et rigides en guise de robe, destinées à cacher leurs formes, beauté fantasmée, charme prétendu et par-dessus tout une pseudo « virginité » réservée à leur seul maître seigneur et mari, selon la charia revue par les salafistes, lue et approuvée ici même par le nouvel évangéliste rebouteux Xavier Nebout, dont on devine qu’il révère les femmes soumises parées d’un couvre-chef informe et laid encadrant rigoureusement leur visage et masquant leurs cheveux (sacrilège), en quelque sorte une serpillère pour éviter toute tentation ! Hors du niqab ou du hijab point de salut pour les meufs, êtres jugés inférieurs selon la loi de l’épicier en chef Muhammad !
Quant à la mégère islamiste qui n’a pas craint de se mettre en scène en y associant son gamin, avant de venir pleurnicher et profiter ici de quelques médias gauchistes complaisants, que ne se pose-t-elle d’abord cette première question: suis-je un bon exemple, un modèle à suivre pour ma progéniture appelée à vivre dans ce pays laïc, aux racines judéo-chrétiennes, en m’exhibant de la sorte et bafouant la loi d’une nation qui m’a accueillie ? Et par mon attitude contraire à tout ce qu’il voit autour de lui, ne serait-ce pas moi qui par mes postures partisanes et mon entêtement à vouloir imposer mes croyances totalement dépassées ici ne serait pas la première cause, sinon la seule, de sa honte et de sa peine ?
Autre remarque concernant les pleurnicheurs compulsifs sur les malheurs des musulmanes empêchées de se voiler de pied en cap par pure provocation, dès lors que rien dans la religion musulmane ne les oblige à se déguiser de la sorte, à plus forte raison en y associant leurs enfants victimes innocentes de leurs excès de prosélytisme, provocations, voire fanatisme ? Autant d’enfants utilisés comme des boucliers par ces militantes inconscientes et cruelles pour servir leur cause, voilà le vrai scandale que les médias devraient dénoncer.
Par ailleurs, que ces pleurnicheurs militants d’associations gauchistes, s’ils veulent faire œuvre utile commencent par s’interroger sur la vraie souffrance d’enfants, de parents ou de conjoints qui viennent, eux, de perdre dans des circonstances atroces l’un de leurs proches, victime du terrorisme islamiste aveugle. Ou même sont confrontés jour après jour à l’angoisse de ne pas voir rentrer le soir un père, une mère ou un fils comme beaucoup que je connais et dont on ne parle jamais.
Pour finir :
Burqa, hijab et niqab ne sont pas des voiles et encore moins des foulards, comme on l’entend trop souvent plutôt par mauvaise foi que par ignorance… Pour y voir clair et cesser de tromper l’opinion, commençons donc par nommer les choses par leur vrai nom en respectant la définition des termes employés. Burqas, hijabs ou niqabs etc. n’étant nullement de simples foulards, bandanas, turbans, coiffes folkloriques, etc. mais des signes ostentatoires arborés par des laïcs, par des fanatiques qui bafouent la loi républicaine et l’égalité entre les sexes… Rien à voir donc avec de simples accessoires de l’habillement féminin et encore moins avec les tenues des religieux et religieuses arborées ès qualités ou dans le strict exercice de leur culte.
Cher PB,
Votre billet du jour fait suite à « la victimisation médiatisée » toute récente d’une musulmane ostensiblement voilée. Je viens d’entendre les propos de Gilles Kepel (spécialiste de l’islam et du monde arabe contemporain – cf Wikipédia) tenus à l’instant dans « C à vous », que je résume : quelque temps après le massacre perpétré à Nice par un assassin islamisé, des femmes musulmanes se sont victimisées avec le port ostensible du burkini et ce sujet secondaire a remplacé le précédent sujet principal. Il n’a pas eu besoin de dire « en clair » que le CCIF et les médias français rééditent l’opération, pour substituer la victimisation d’une femme au récent attentat au couteau ayant tranché la gorge de plusieurs fonctionnaires de police. Ce n’est pas de même niveau mais ça marche, et Lila Charef n’est sûrement pas concernée.
« Il est absurde de comparer les religions entre elles et d’affirmer que l’équité commanderait de traiter l’islam comme le catholicisme et le judaïsme » (PB)
OUI !!!!!
Mais c’est désormais impossible.
Quel candidat aux élections aura le courage de faire l’impasse sur les voix des Français d’origine musulmane dont près d’un tiers pense que l’islam surpasse les fondements de la République (la charia à tous les étages…) ?
Pour revenir une seconde sur l’affaire de la « maman » vêtue d’une abaya au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, on ne souligne pas les effets collatéraux du port de vêtements religieux sur la santé mentale des enfants: les garçons y verront la normalité et continueront de considérer les femmes dans leur ensemble comme des êtres inférieurs, voilées pour ne pas attirer la convoitise des hommes, puisque leurs propres mères acceptent cette soumission. Quant aux filles, pourront-elles se libérer des préceptes d’une religion aux valeurs antagoniques des nôtres si leurs propres mères persistent, dans un pays libre, à se parer des voiles de l’asservissement ?
Personne n’évoque les dommages laissés par ces coutumes sur la vie en devenir de petits Français dont les parents auront décidé de ne pas vivre comme les « Gaulois ».
Nous sommes le fruit de notre éducation et à ce titre je crains que la prochaine génération de franco-musulmans soit aussi contaminée que sa devancière.
C’est pourquoi je suis comme Philippe Bilger, pour interdire le port du voile aux accompagnatrices scolaires et pour les jeunes femmes étudiant à l’université.
Bien entendu cela va couiner autour du couscoussier mais l’Etat doit être impitoyable pour éviter le séparatisme qui nous guette ou qui est déjà à l’oeuvre !
Extrapolons un peu. Nous sommes le 3 octobre 2019 et chacun vaque à ses occupations, à la Préfecture de police de Paris, lorsqu’un employé de longue date et qui n’a jamais fait parler de lui, se met soudain à poignarder des collègues au hasard. Quatre morts seront à déplorer, ainsi que le tireur, abattu par une jeune bleusaille. Après quelques cafouillages ministériels, devenus coutumiers sous ce gouvernement, l’enquête se dirige fort commodément vers les milieux d’extrême droite. Une perquisition menée au domicile du tueur confirme effectivement ses accointances avec la mouvance précitée. Des armes sont découvertes, des posters, etc. Les media s’en donnent à cœur joie, c’est à celui qui vocifèrera le plus d’insanités. Éric Zemmour en prend pour son grade et certaines officines influentes, mais pas toujours objectives, verraient d’un bon œil que l’on attribuât au tribun la responsabilité, fût-elle indirecte, d’avoir excité ce « facho » pour passer à l’acte. En attendant, l’enquête suit son cours.
Bourgogne-Franche-Comté, ce 11 octobre: se tient un conseil régional. Plusieurs élus sont présents. Parmi l’assistance, un individu vêtu d’un singlet arborant ostentatoirement l’effigie de Jean-Marie Le Pen, attire tous les regards (et forcément, les indignations). Ce qui peut se comprendre à une semaine des tueries (revisitées) de la Préfecture.
Question: que pensez-vous qu’il se serait passé dans ce cas de figure et dans les circonstances imaginaires ci-dessus narrées ??
« Ma certitude fondamentale est en tout cas que notre faiblesse à faire respecter nos lois et tout ce qui fonde notre démocratie aggrave les dangers que nous prétendons combattre. » (PB)
Je suis d’accord y compris quand vous dites « Nous luttons mal ».
Comme je l’ai déjà dit, toutes les croyances ont droit de cité, le problème est que nous ne luttons pas contre l’AFFICHAGE de certaines de ces croyances.
J’ai fréquenté dans ma vie professionnelle des femmes qui étaient de religion musulmane mais qui ne sortaient pas toutes voiles dehors pour le proclamer.
J’ai travaillé avec des analystes chinois qui avaient leurs propres croyances mais qui ne faisaient pas de prosélytisme à la cafétéria, ni même lorsqu’ils allaient chercher leurs enfants scolarisés dans les établissements publiques de nos institutions.
Ne nous voilons pas les yeux (c’est le cas de le dire), la madame qui est venue, accompagnée d’enfants, vêtue d’une tenue étudiée, spécifique, dans un établissement dépendant d’un service public quoi qu’on en dise (Conseil régional) savait ce qu’elle venait faire en ces lieux et elle a pris les enfants de l’école de son fils en otage pour qu’on lui donne aujourd’hui une tribune pour pleurnicher sur son sort de victime.
J’imagine que dans quelques heures il y aura un avocat pour défendre cette victime de notre société totalitaire et réclamer au nom d’un préjudice moral pour elle et son enfant victime, une somme qui devrait la satisfaire.
Je tiens le pari qu’après cet incident et après une prochaine assistance juridique gratuite pour elle (mais pas pour nos impôts), pour faire valoir ses droits à des dommages et intérêts pour le préjudice moral qu’elle a subi, nous n’entendrons plus parler de cette femme qui au demeurant n’a visiblement pas de nom 🙁
PS: Odoul s’est-il adressé directement à la dame sans nom mais voilée, ou a-t-il interpellé la présidente du Conseil régional pour qu’elle fasse respecter la loi dans un endroit dont on peut dire qu’il est public ? La réponse est: contrairement à ce que que disent les chaînes zenbloucle, il n’a pas interpellé directement cette femme sans nom, il a juste invité la Présidente du Conseil régional à intervenir.
Les journalistes ne sont meilleurs que lorsqu’ils parlent de Xavier de Ligonnès durant 24 heures 😀
« Le voile ou la vérité ? »
Je vous suis totalement dans votre développement cher P. Bilger.
« Alors que faire, comment réagir ? »
Simple, ultrasimple : du courage politique !
Dans un premier temps : une extension de la loi pour les déplacements scolaires interdisant tous signes religieux pour les accompagnants.
Dans un second temps : interdiction de tous signes religieux dans l’espace public.
En même temps appliquer la loi (qui ne l’est pas).
On a pris moins de gants avec les catholiques pour la loi de 1905. Loi qui a fait ses preuves et nous a apporté la paix civile après bien des soubresauts.
Les musulmans doivent choisir : s’adapter à la loi française ou chercher une patrie qui corresponde à leur moeurs sociétales.
C’est la guerre cher P. Bilger et les dernières analyses sur l’islam sont inquiétantes, vous les connaissez.
E. Macron ne fera rien parce que ces sujets régaliens lui sont intellectuellement étrangers et qu’il n’y est pas confronté journellement. Nous sommes aujourd’hui en pleine confusion et les incidents vont se multiplier.
Alors, nous irons, progressivement, toujours dans le cadre (?) de la République, vers la sécession belliqueuse, territoire après territoire.
Cordialement.
@ Patrice Charoulet | 16 octobre 2019 à 17:21
Trop tard.
Je vous invite à être présent à la sortie de certaines écoles et à voir des femmes entièrement bâchées. Des enfants prépubères faire ramadan. Des enseignants se gardant de faire des remontrances pour ne pas voir arriver les grands frères.
Tout le monde fuit ce « vivre-ensemble », au point de voir des musulmanes se plaindre de ne plus avoir de petits blancs dans l’école de leurs enfants.
Cet angélisme humaniste me scie. Jusqu’à quand allez-vous céder ?
Effectivement le président a un problème de discours en mettant sur le même plan radicalisation et communautarisme.
Autant la radicalisation doit être combattue (reste à savoir comment, c’est compliqué, il doit être aussi difficile de faire changer d’avis un islamiste qu’un électeur du FN), autant je vois mal en quoi le communautarisme est critiquable en soi. Tout le monde est communautariste, en ce sens qu’il préfère la compagnie de sa communauté d’origine ou d’adoption.
Le fond du problème restant quand même que le débat est monopolisé d’un côté par ce CCIF qui ne présente effectivement pas toutes les garanties d’adhésion à nos valeurs et principes républicains, et de l’autre par de faux intellectuels et vrais incultes comme Eric Zemmour. Je suis d’accord pour dire que la communauté musulmane doit être plus active pour lutter contre ceux qui sortent de son sein, mais un examen de conscience historique réaliste de l’histoire des relations entre l’Europe et le monde musulman depuis deux siècles s’impose aussi à nous.
Mais vous avez raison dans votre conclusion: il suffirait de faire appliquer la loi partout, ou plutôt de faire en sorte qu’elle s’applique partout. C’est technique finalement le problème que vous soulevez, il faut encore et toujours travailler à une action de l’Etat plus efficace. Et nous vaincrons un ennemi qui est quand même mille fois plus faible que nous, contrairement à ce que vous affirmez trop vite et sans le moindre argument à l’appui.
@ Valéry | 16 octobre 2019 à 18:25
Vous avez le moral c’est bien… Je trouve la corde bien longue et l’arbre bien petit…
Mais ce que j’en dis !! C’est juste pour faire avancer le Schmilblick, comme aurait dit Coluche.
Bonsoir les fous,
Et si dans notre soi-disant démocratie, on entendait un jour un islamiste nous donner son point de vue ?
Elle est tellement pourrie qu’on ne se pose même pas la question.
Et s’il nous objectait que lorsque ses parents ou grands-parents sont venus en France, dans les années 60, les filles ne portaient pas de minijupes, les femmes portaient un foulard, et il ne venait pas à l’esprit qu’on voie un jour des Gay Pride et la GPA ?
Et par conséquent, qu’il refuse tout simplement et en tant que Français, qu’on lui impose notre décadence spirituelle ?
On lui dit qu’il n’a qu’à partir ?
Et si cette résurgence d’un islamisme militant issu des français musulmans n’était qu’une réaction à notre dégénérescence ?
Vous voulez vous battre contre l’islam ? Alors penchez-vous sur votre athéisme de débiles mentaux, votre progressisme de fous furieux, et ce que vous avez fait de votre religion. Elle était la plus belle, bien trop belle pour vous.
Alors vous aurez l’islam, c’est le christianisme à coups de pied au derrière, ce qu’il vous faut.
Je suis effarée par l’attention q’on porte au détail, toute cette mise en scène sur le voile fait écran aux vrais problèmes. La France entière se met à débattre passionnément du genre de burqa acceptable et des lieux où elle est légale, et pendant ce temps-là, les migrants affluent d’Afrique, les pompiers tombent dans des guet-apens, les médecins se font rouer de coups, les profs tabasser, les mosquées prolifèrent, l’AME coûte de plus en plus cher, mais on nous matraque d’informations sur le voile et la laïcité. Et de qui cela fait-il le jeu ?
Je ne suis pas d’accord pour discuter encore du prosélytisme islamiste et de l’exhibitionnisme qui se cache sous le voile. Ce n’est pas la première fois, ni la dernière qu’on ne parle plus que de ça. Le problème est ailleurs, bien caché derrière ce leurre. Qu’on laisse circuler les dames islamistes sous leurs vêtements hideux, à l’image de cette religion sinistre. Mais que les autorités soient intraitables sur le respect dû à la loi sur tout le territoire, et aux frontières.
Alors que faire, comment réagir ?
Se battre, centimètre par centimètre, ce que les Français ne savent et ne veulent plus faire. Se battre bien sûr au sens de défendre les meilleurs côtés de notre société : la chance de ne pas se retrouver au milieu de la moitié des femmes encagoulées, la chance de ne pas se baigner à la piscine au milieu de la moitié des femmes habillées des pieds à la tête…
Et comme le disent beaucoup de gens faisant preuve d’un tout petit peu de bon sens : ceux à qui cela ne convient pas peuvent aller dans un pays musulman qui devrait les accueillir à bras ouverts ! A moins de devenir un jour un pays musulman (cf. « Soumission » de Michel Houellebecq).
@ Patrice Charoulet | 16 octobre 2019 à 17:21
« Ce n’est ni à un élu, ni à une présidente d’assemblée, de trancher, c’est à la direction de chaque école, de chaque collège, de chaque lycée, dans l’enseignement public, de rappeler ce principe »
Ah bon, les élus ne seraient pas légitimes pour établir le règlement de leur assemblée, ni pour, in fine, légiférer ?
Par contre, les fonctionnaires de l’EN pourraient établir leurs propres règles de conduite, en s’abstrayant de la loi si tant est que telle ou telle décision soit prise ?
Décidément, on aura tout lu et entendu !
Il me semble pourtant encore entendre le concert de pleurnicheries des syndicats enseignants quand, en 1989, les politiques s’étaient défaussés et avaient laissé les chefs d’établissement se dé…brouiller avec le problème !
« Nous luttons mal contre un ennemi plus fort que nous. » (PB)
Mais pourquoi poser en postulat que l’islam est un ennemi et qu’il est plus fort que nous ?
Notre force est de savoir douter, force paradoxale sans doute mais insurpassable.
Instituer un interdit vestimentaire revient, pour la laïcité, à se conduire en religion. Ce n’est vraiment pas une bonne idée.
« …comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé. »
Ce n’est pas à vous qu’on va apprendre le poids des mots !
« En 2019, l’Observatoire de la laïcité estime le nombre de musulmans en France à 4,1 millions (soit environ 6 % de la population totale. » […] Toutefois, « parmi les Français de 18 à 50 ans (soit 27 millions de personnes), il y aurait environ 11,5 millions de chrétiens catholiques (religion majoritaire), environ 2,1 millions de musulmans, environ 775 000 autres religions (soit 500 000 chrétiens protestants, environ 150 000 bouddhistes et environ 125 000 juifs). » […] Enfin, toutes origines confondues « 63,2 % des Français en âge de se forger une opinion par eux-mêmes, se déclarent athées, agnostiques, déistes, sceptiques, libres-penseurs, laïcistes (= indifférents ou sans opinion), adeptes du théisme philosophique » autrement dit pas nécessairement hostiles ou absolument indifférents ? comme la sphère médiatique cherche à le donner à penser.
« Va-t-il être possible, face aux avancées insidieuses et/ostensibles de l’islam politique en France, de toujours pouvoir faire le départ entre les musulmans de paix et les autres, même pour l’instant inactifs, qui ne rêvent que d’en découdre avec notre société, nos valeurs et notre mode de vie ? »
D’après l’INSEE, les Français de 20 à 49 ans représentent au bas mot 20 449 574 individus. 11,5 millions de catholiques en représentent un peu plus de la moitié soit 57 % et 2,1 millions de musulmans environ 10,27 %. Reste 32,73 % dont 3,78 % pour les autres religions.
Autrement dit encore, va-t-il être possible de faire la part des choses entre une fraction de 10,27 % des individus en âge d’en découdre dont il serait tout de même intéressant de savoir quel pourcentage cette fraction représente exactement, et le restant de ces 10,27 % sachant que cette fraction est présumée vouloir imposer sa loi à la République et aux 57 + 32,73 = 89,73 % = 198 349 574 individus entre 20 et 49 ans restants, non musulmans.
Quel est ce régime politique où 89,73 % et plus des individus vivent au rythme des états d’âme d’une frange de 10 % du reste de la population ??
« Il est intéressant de relever que cette femme voilée a donné une interview au CCIF, proche des Frères musulmans et que la tonalité générale de celle-ci montrait que l’intéressée n’était pas étrangère à un dessein constituant le voile plus comme un signe ostentatoire que comme un simple foulard traditionnel. Il suffit pour s’en convaincre de retenir qu’elle a « une image négative de ce qu’on appelle la République » et que, selon elle, « le ministre Blanquer a dit des choses honteuses ». »
Non seulement c’est intéressant, mais c’est même tout à fait significatif ! Maintenant, il serait également intéressant de savoir pour qui cette frange de la population a voté ainsi que son pourcentage d’abstentions. Si la République doit se transformer en théocratie pour donner une image positive d’elle-même, sans commentaires !
Une idée pour que le voile se fonde dans la masse, que les 89,73 % non concernés par le voile promènent eux aussi de façon ostentatoire des signes identitaires. Pour commencer, je propose que les chevaliers du tastevin se proposent pour accompagner en costume les sorties scolaires.
Déferlement d’idéologues, historiens, politiciens, experts, sur ce blog comme dans le reste des médias. A l’intérieur du système, on se débat avec une équation impossible : les sorties scolaires.
Ce ne sont pas comme dit Monsieur Jacob, le voyage scolaire de fin d’année, pour lequel les volontaires sont toujours nombreux, car on peut poser une journée lorsqu’on travaille. Non, les sorties scolaires, c’est, entre autres, la natation obligatoire, cadre fixé en 2011 par le directeur de l’enseignement de l’époque, un certain Monsieur J.-M. Blanquer qui, dans le Bulletin Officiel de Juillet 2011, fixe le nombre de séances obligatoires à 30 en CP-CE1 et 10 en CM. Avec, bien sûr, des normes d’encadrement strictes pour la sécurité.
Cela veut dire que le chef d’établissement d’une petite école de 7 classes doit trouver des bénévoles fiables pour…100 sorties minimum obligatoires. Sachant que, selon l’INSEE, 84 % des femmes de 25 à 49 ans travaillent… Et je n’évoque pas la situation de certains quartiers… Que peut dire Monsieur Blanquer, si ce n’est qu’il « ne souhaite pas » les bénévoles voilées, et Monsieur Edouard Philippe si ce n’est qu’il ne souhaite pas une nouvelle loi ? Ils pourraient dire : on supprime la natation et tous les ajouts au rôle de l’école. Je ne crois pas que les chefs d’établissement se plaindraient de cet allègement considérable de leur charge, et de leur terreur d’avoir un jour un petit noyé qui les hanterait de longues années.
Mais les parents, soyez-en sûrs monteraient au créneau, au nom de l’égalité des chances, et blablabla. Comme souvent, ceux qui ont des convictions ne connaissent pas la réalité du terrain… Alors, chers intervenants de ce blog, piscine ou pas piscine ?
Bonsoir M. Bilger,
Je ne comprends pas que le port de signes religieux soit possible à l’occasion de sorties scolaires au motif qu’enfants et accompagnateurs évoluent sur la voie publique alors que ces sorties s’inscrivent dans le cadre de la classe et sont donc le prolongement de celle-ci.
Personnellement, je vis comme une agression la présence dans l’espace public de toute personne porteuse de signes religieux car c’est un espace commun alors que la religion doit relever de la sphère privée. Elle n’a pas à m’imposer cela.
Nos institutionnels et nos politiques peuvent dire ou penser ce qu’ils veulent : je n’accepterai pas que mes enfants soient encadrés par des parents porteurs de signes religieux ostentatoires, voile, croix, kippa ou autre.
Pour autant, en raison de la dimension cultuelle et culturelle, je trouverais anormal que les écoles maternelles ne fêtent pas les rois et ne reçoivent pas le Père Noël. Ces fêtes ont été vidées de leur dimension religieuse.
C’est une erreur que de croire que la laïcité doit faire oublier notre histoire et notre culture. Pire, ce serait une faute !
Je veux préserver la liberté de conscience de mes enfants et libres à eux de choisir la religion qu’ils voudront quand ils seront en âge de le faire.
Enfin, il faut savoir ce que l’on veut : le yaka fokon de la vigilance doit bien se décliner de manière pratique comme a tenté de le faire cette université, pour éviter un massacre à l’instar de ce qui s’est passé dans les locaux de la Préfecture de Police !
Cette obligation de vigilance doit concerner le terrorisme islamique mais elle doit également être étendue au terrorisme de l’ultra-droite qui pourrait s’en prendre aux musulmans (cf. mises en examen récentes dont celle d’un diplomate rapportées par Le Parisien, le 12 septembre 2019).
La bien-pensance et le politiquement correct, le refus de la réalité en face, feront que nous aurons toujours des morts ; mais que les familles soient rassurées : auront été préservés les principes défendus par une minorité qui veut penser à notre place en s’érigeant en censeur comme si nous étions trop bêtes pour nous faire une idée de ce que disent nos chroniqueurs !
Bien à vous.
De nombreux commentaires du billet précédent comme le battage médiatique sur le sujet du voile islamique vous ont conduit, Monsieur Bilger, à y consacrer un billet.
Comme à votre habitude, votre rédaction est toute de mesure et vos constats sont empreints du plus profond bon sens. Je ne puis donc que souscrire à celui-ci : « On ne peut pas vivre, cohabiter, comme si on ne savait pas que la deuxième religion de France, dans son expression furieuse, est mortifère et l’a tragiquement prouvé. »
De fait l’islamisme nous fait, sur notre territoire, d’une part une guerre soft en retournant contre notre société démocratique et laïque nos propres principes démocratiques, d’autre part une guerre réelle et sanglante par des actes terroristes. Et une guerre idéologique, depuis l’affaire du foulard du collège de Creil.
Nos « politichiens » (excusez-moi de cette expression, mais comme ils se couchent tous face aux injonctions islamistes) ne veulent ni voir, ni entendre et encore moins prendre des décisions fermes : l’exemple en a été donné par l’attitude de monsieur Jospin après l’affaire du foulard de Creil en demandant son avis au Conseil d’Etat au lieu de légiférer. Depuis nos dirigeants, de droite comme de gauche n’ont fait que louvoyer et renvoyer toujours la patate chaude à leurs successeurs ou à plus tard, au point qu’à présent le problème est devenu une bombe, au sens figuré comme au sens propre.
De votre texte je retiens ce premier passage :
« …ne serait-il pas bon de trancher en interdisant le voile dans l’espace public ? Je l’ai soutenu mais j’ai conscience que les conséquences seraient peut-être pires que l’état actuel de la France, par les résistances et les multiples transgressions – exemple du voile intégral jamais poursuivi, jamais sanctionné – qui résulteraient de cette mesure extrême. »
Il n’est certes pas possible de reprendre tous les éléments de droit qui concernent ce type de problème. Je ne puis que donner un lien vers un texte fort bien réalisé qui fait le point sur l’état du Droit en la matière : « La laïcité à l’épreuve des parents d’élèves accompagnateurs des sorties scolaires », de Pierre Juston. Le lien fournit l’intégralité du texte des pages 145 à 174
https://books.openedition.org/putc/3797
Si les médias font toujours appel à l’émotion en évoquant les « mamans accompagnatrices », la réalité juridique traite d’accompagnateurs, de parents accompagnateurs d’une activité, certes périscolaire, mais s’intégrant à l’activité du service public de l’école. De ce fait, le législateur doit juridiquement les qualifier de « collaborateurs occasionnels du service public », ce qui les astreint à la neutralité politique, religieuse et philosophique, donc interdit le port de tout vêtement ou signe à caractère religieux, qu’il soit musulman, juif, bouddhiste ou chrétien. Contrairement aux affirmations péremptoires du Premier ministre, le flou a volontairement été maintenu pour transférer la responsabilité de la décision de refuser ou accepter les femmes voilées ou portant l’abaya, signe religieux particulièrement ostensible, aux seuls enseignants…
Si l’on veut lire quelques textes d’abord plus facile que celui de Pierre Juston, il suffit de visiter le site « Mezetulle » de Catherine Kintzler (http://www.mezetulle.fr/accompagnateur-scolaire-ou-maman-voilee/) et de suivre les liens qu’elle donne en fin d’article.
Si je rejoins votre certitude affirmée en conclusion (« Ma certitude fondamentale est en tout cas que notre faiblesse à faire respecter nos lois et tout ce qui fonde notre démocratie aggrave les dangers que nous prétendons combattre »), je suis en désaccord partiel avec la phrase qui suit : « Nous luttons mal contre un ennemi plus fort que nous. »
Ce « nous » me désole car il confond les citoyens français, qui subissent les indécisions des politiques, et leurs dirigeants politiques, qui ne se heurtent pas directement aux effets de leurs atermoiements en cette matière.
Par ailleurs je réfute l’expression : « ennemi plus fort que nous ».
Dans la mesure où l’on s’en tient à un respect absolu de la loi de 1905 sans vouloir la contourner de quelque manière que ce soit, alors ses principes s’appliquent à tous sans distinction et tous doivent s’y soumettre. Il n’y a aucune raison que les chrétiens et les juifs ou les bouddhistes s’y soient soumis et que la dernière religion devenue importante sur le territoire métropolitain ne s’y soumette pas !
Par ailleurs, tous ces pratiquants de l’islam qui posent actuellement problème en France viennent pour la plupart d’anciennes colonies françaises où, dans ce temps-là, ces problèmes religieux ne se posaient pas. En Afrique du Nord, le rite malékite s’accommodait très bien de la cohabitation avec les chrétiens et les juifs. Ce qui a changé, c’est qu’en France on a laissé les Wahhabites, le mouvement tabligh (https://journals.openedition.org/socio-anthropologie/155) et autres Frères musulmans agir à leur guise sur notre territoire. Si bien que la part des jeunes musulmans fréquentant les mosquées est passé de 20 % il y a quelques années à 40 % à présent !
Une guerre ne se fait jamais sans casser des œufs. L’ennemi constitue effectivement une cinquième colonne sur notre territoire. Mais il me semble que, pendant la guerre d’Algérie, le FLN n’a jamais imposé sa loi sur notre territoire et que, lorsqu’il a tenté de le faire le 17 octobre 1961, il en a été définitivement empêché.
Le problème n’est pas de se considérer comme battu, mais de vouloir se battre envers et contre tout. C’est un choix essentiellement politique en face duquel il faut mettre les moyens pour gagner la guerre.
Mais comme le disait Nicolas Bouzou sur Radio Classique, en matière de religion et donc de voile islamique, monsieur Macron a une vision anglo-saxonne. Hors les mots, je le vois mal engager la bataille idéologique pour la défense et illustration de la laïcité française.
En revanche, monsieur Hubert Védrine, sur la question du voile, ce mercredi 16 octobre sur Radio Classique, a parfaitement analysé le problème : https://www.radioclassique.fr/radio/emissions/matinale-de-radio-classique/linvite-de-renaud-blanc/#livePlayer
@ Patrice Charoulet | 16 octobre 2019 à 17:21
« Ce n’est ni à un élu, ni à une présidente d’assemblée, de trancher, c’est à la direction de chaque école, de chaque collège, de chaque lycée, dans l’enseignement public, de rappeler ce principe, avant chaque sortie scolaire – tous les enseignants devant le savoir – aux parents qui l’ignoreraient »
Pour un homme qui se dit de droite, notamment électeur de toujours de LR et de ses prédécesseurs, votre aveuglement sectaire vous aveugle. Il vous conduit à faire vôtre la lâche position de Jospin en 1989, lors de la première affaire du voile : renvoyer aux dirigeants de chaque établissement public d’enseignement le soin de trancher.
Avec des gens de « droite » comme vous, les islamistes ne risquent pas de se faire du souci !
Je me pose la question : est-ce obligatoire, pour des musulmans, que TOUT LE MONDE sache quel dieu, ou autres, ils prient ?
-Comment s’habille un protestant pour clamer au monde son protestantisme ?
-Comment s’habillent les shintoïstes à Paris, Nice… ou Ouessant ?
-Comment s’habille un Chinois qui pratique la religion musulmane ?
Ne cherchez pas, seuls les musulmans, croyants ou pas, veulent que nous sachions qu’ils sont croyants. De gré ou de force. Une espèce de méthode Coué en somme.
@ Exilé à 18h01
« …une idéologie de conquête et de soumission de tous les peuples du monde entier »
Cher Exilé,
Vous faites bien de le dire. Il n’est que de s’intéresser à ce qui se passe dans le monde, sur les marches des pays déjà considérés comme musulmans, et même dans ceux-là. On vient de nous apprendre que le roi du Maroc vient de gracier (de la peine de mort) une femme journaliste responsable d’un avortement : ça ne mérite certes pas une publicité médiatique mais c’est instructif… pour ceux capables d’écouter, de comprendre, d’anticiper. Les imams de France et de Seine-Saint-Denis ne font pas chanter « Dieu, protégez notre France, Terre des Saints et des Preux… » comme le faisaient, en son temps, les curés de villages, mais s’activent pour que la France devienne un pays de plus en plus perméable à leur islam.
Dans ma grande ville normande de 200 000 habitants, l’immigration à 0,5 % par an (admise il y a quelque temps par Denis Monod-Broca qui la croyait à… 0,005 %) fait un apport annuel de 1 000 immigrés par an, soit 30 000 pour les trente dernières années, soit la population de la ville de Dieppe, et les musulmans projettent deux mosquées supplémentaires. C’est notre réalité, jamais mise en perspective.
▬ « Le voile ou la vérité ? »
À voile ou à vapeur ?
▬ « L’islam modéré »
L’islam ne peut pas être modéré, c’est une théorie politique d’extrême droite à tendance fasciste !
Sempiternellement, le pauvre retraité à qui il ne faut pas changer les habitudes, c’est l’heure des pros ou des feux de l’amour, il confond une théorie politique et une religion.
Islam ≠ Musulmanisme.
Islam = islamiste.
Musulmanisme = Musulman.
▬ « si le conseiller régional n’avait pas été du RN »
Balivernes ! Révisionnisme !
C’est le fait que cela ait été filmé et que la vidéo en atteste, en l’occurrence de s’attaquer à une maman qui n’a commis aucune faute, aucun délit, aucun crime, devant des enfants qu’elle accompagnait, dont le sien.
Elle est autant d’extrême droite que Julien Odoul !
Qu’elle nous dise ce qu’elle pense des homosexuels, des juifs, de la peine de mort, de l’IVG, des personnes noires !
Elle pense rigoureusement la même chose que Marchenoir, sylvain, Le Pen, Mégret et Julien Odoul !
Cela va se finir en partouze : un papa, une maman !
L’arabe de nationalité française est venue semer le désordre au Conseil régional et a pris la classe de son fils en otage. Heureusement, elle n’a exécuté aucun de ses otages, mais si nous ne faisons pas attention, il se pourrait bien que sous un foulard se cache un jour un engin destiné à tuer.
Cette musulmane islamiste confirme sa volonté de nuire à la République Française par ses déclarations ciblées.
Pour qui roulent les médias télévisuels ? Pour leurs clients ? Qui sont-ils ? le PSG, le Qatar, les annonceurs qui ont besoin de pétrole, les produits Comme j’aime…
Va-t-on encore accepter longtemps ce genre de comportement de destruction de la France et comme le fait le gouvernement aller jusqu’à l’encourager, voire le subventionner via les tribunaux ?
« Concernant les mères d’élèves accompagnant les sorties scolaires, la circulaire Chatel de mars 2012 leur avait demandé instamment de ne pas porter de signes religieux ostentatoires »
Laquelle circulaire n’a jamais été abrogée.
Du vent dans les voiles ? Circule air, y’a rien à voir !
@ Mary Preud’homme | 17 octobre 2019 à 01:20
Une circulaire n’a pas force de loi !
C’est juste un ordre hiérarchique aux personnels, elle ne s’applique pas aux usagers.
Même la jurisprudence à en lire la Constitution française et son bloc de 1789 n’est pas opposable aux citoyens : force est donnée à la loi, pas à la circulaire, ni à la jurisprudence.
Article 5 :
Ni la circulaire, ni la jurisprudence ne sont mentionnées dans la Constitution.
@ Lucile
« Je suis effarée par l’attention qu’on porte au détail, toute cette mise en scène sur le voile fait écran aux vrais problèmes. »
Vous regardez de trop près. A mon sens le détail – dans ce cas précis – c’est la goutte qui fait déborder le vase. Vous vous rappelez l’argument préféré des islamo-gauchistes – « c’est quoi cette hystérie a propos d’un simple vêtement », comme pour le burkini d’ailleurs.
Justement, ce « vêtement » c’est la partie visible de l’iceberg ; les Français en ont marre d’un ensemble de choses – celles que vous citez, par conséquent ils vont réagir et s’exaspérer à chaque petit détail attestant de son utilité dans le tout organique qui représente la diffusion gangreneuse de l’Islam.
Dans son livre « Nomade », Ayaan Hirsi Ali raconte son itinéraire depuis la Somalie, l’excision chez sa grand-mère quand elle était petite, le mariage forcé, sa fuite en Europe. J’ai retenu qu’elle dit avoir porté un certain temps le voile intégral par choix. Elle se sentait alors différente, purifiée, meilleure que celles qui ne le portaient pas. Elle y trouvait une satisfaction réelle. Je pense que c’est à savoir quand on cherche à empêcher les musulmanes de le porter. C’est pour elles un signe de supériorité spirituelle, et ce n’est pas rien dans une société où l’empreinte religieuse est très forte. C’est une fierté pour elles et pour leur famille. C’est pourquoi je pense que s’attaquer aux problèmes que pose l’Islam par le biais du voile est insensé, et voué à l’échec.
Elle raconte comment elle a d’abord adhéré à tous les préceptes de l’Islam, religion dans laquelle elle a été élevée. Elle a été accueillie en Hollande, y a exercé des responsabilités, mais s’est retrouvée très rapidement menacée par ses coreligionnaires. Elle est devenue un problème pour la Hollande. Elle vit maintenant aux USA. Elle lutte sans relâche contre l’Islam, et contre le communautarisme. Pour elle, « il n’y a pas de cohabitation possible entre l’islam et l’Occident ».
Son livre est très intéressant à lire, et je crois d’ailleurs qu’il a nourri la réflexion de gens qui ont pris conscience des problèmes que pose et que posera l’Islam à l’Europe ; on retrouve par exemple chez Zemmour et chez elle des appréciations communes sur la question.
Les grandes religions, et l’Islam en est une, ont toujours accompagné, mieux, ont généré les civilisations.
Il n’existe pas de civilisation pérenne qui ne soit adossée à une religion.
Le déni de cette réalité historique observée depuis les temps les plus anciens est l’aveuglement idéologique le plus terrible et le plus surprenant de la pensée moderne occidentale.
Il est vrai que cette pensée postule l’absence de Dieu quel qu’il soit et donc nie une réalité qui mettrait en cause son postulat.
L’Islam est un cas limite de ce phénomène d’une religion générant une civilisation dans la mesure où elle se définit non seulement comme un relais vers la transcendance, mais également comme une société rassemblant les croyants dans un ensemble, la Oumma, qui obéit à de strictes lois de fonctionnement de cette société.
L’Islam s’est construit et s’est répandu par la violence dès ses débuts. La force et la victoire étaient le signe que leur Dieu appuyait le religion naissante.
Le port du voile n’est pas seulement la manifestation de l’adhésion à une religion, il est un signe politique de l’adhésion à une civilisation qui n’a pour objectif que de se substituer à la nôtre.
Le grand remplacement n’est pas seulement celui des hommes, mais aussi de toute une civilisation.
Accepter si peu que ce soit le port du voile islamique n’est pas seulement accepter une mode vestimentaire, c’est accepter que la bannière de l’ennemi qui veut nous détruire – et il le montre par ses attentats quasi quotidiens – soit affichée et visible à tous les coins de rue.
« L’épaisseur du rempart compte moins que la volonté de le prendre » a dit Thucydide, le moins que l’on puisse dire c’est que le rempart est défendu avec la mollesse qui est la marque de civilisations décadentes qui sont pressées de disparaître.
On parle beaucoup de la décadence de Rome, nous sommes bien plus pressés que Rome de disparaître.
D’ailleurs la civilisation romaine au sens large a tenu jusqu’à l’effondrement de Byzance quelques siècles après que la Rome occidentale a été envahie par les Barbares.
On discutait du sexe des anges pendant l’assaut des Turcs sur les remparts de Byzance, on discute ici et maintenant du port du voile pendant l’assaut contre notre liberté de penser et d’agir, notre liberté d’être tout simplement.
« …son fils se jetant ensuite dans ses bras sur un mode très démonstratif »
L’Histoire nous dit que l’image de l’enfant aura constamment été un très fort outil de propagande.
La sortie scolaire c’est le prolongement du « lieu » École.
Le voile symbolise plus qu’une simple appartenance à la religion musulmane, c’est aussi une allégeance à sa frange la plus radicale.
Je suis choquée qu’en France on accepte que des mères voilées accompagnent les sorties scolaires, et qu’on se propose de donner à nos enfants, dès la maternelle, dans le cadre scolaire, une image particulière de la femme.
La France accepterait-elle que les enfants de l’école publique soient accompagnés lors de sorties scolaires par des personnes arborant une grande croix pectorale !?
Un accompagnateur scolaire qui affiche, affirme, par sa tenue vestimentaire, sa croyance religieuse ou politique, ou syndicaliste, c’est Non. Ce n’est pas négociable.
Cette affaire du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, provoquée, comme il fallait s’y attendre, par un élu du RN, montre bien à quel point l’ambiance est malsaine dans notre pays actuellement miné par le communautarisme.
Quand ce ne sont pas les problèmes sociaux, ce sont les problèmes religieux qui provoquent la polémique.
Voilà un type, parfaitement inconnu il y a huit jours, qui a cru intelligent d’interpeller une accompagnatrice, alors que celle-ci n’était pas en infraction au regard de la loi.
Il se serait contenté de faire une simple observation sur la tenue vestimentaire de la dame en noir, ou mieux encore, s’il l’avait tout simplement fermé, nous n’aurions jamais entendu parler de cet incident. Mais il a voulu faire le malin.
Bilan des courses, tout un pataquès médiatique avec demandes d’excuses de part et d’autre.
Laurence Ferrari demande à Julien Odoul de faire des excuses à la dame voilée pour avoir fait pleurer son fils. Le lendemain c’est Nadine Morano qui demande à Laurence Ferrari de faire des excuses à Julien Odoul pour la façon dont elle l’a traité. Ensuite Karim Zéribi demande des excuses à Nadine Morano pour avoir fait l’amalgame entre les bons musulmans et les méchants islamistes.
Ajoutons à cela ce collectif contre l’islamophobie qui demande à Emmanuel Macron d’intervenir, un peu comme le ferait un élève de CM1 qui va se plaindre à sa maîtresse parce qu’un vilain camarade fait rien que l’embêter. On se croirait véritablement dans une cour d’école primaire.
Et pour finir, l’accompagnatrice a décidé de porter plainte parce que cette agression a « détruit sa vie » (sic).
Tout cela ressemble à du mauvais théâtre de boulevard où la bêtise le dispute au ridicule.
Rien n’est pire que les indignés, qu’ils soient d’un bord ou de l’autre, qui, au nom des grands principes qu’ils galvaudent allègrement, n’ont pas leur pareil pour semer la zizanie.
Nous voilà donc repartis dans une nouvelle affaire de voile qui va durer des semaines et peut-être des mois.
A noter que les féministes sont bien silencieuses sur cette affaire, elles qui s’indignent au moindre comportement sexiste dans les transports en commun ou sur leur lieu de travail.
Après tout ce sont les femmes qui sont directement concernées par le voile. C’est de leur liberté dont il s’agit, à commencer par celle de montrer leur corps comme bon leur semble (dans la limite de la décence, bien sûr) et non de le cacher au regard des hommes, comme s’il s’agissait d’un objet impur, ce que semble insinuer les islamistes.
Nous sommes dans un pays civilisé paraît-il. Parfois on peut en douter.
Du vent dans le voile
Je ne sais pas si cette dame est venue voilée au Conseil régional par provocation, mais si c’était le cas elle aura réussi son coup. Quelle hystérisation du débat, quelle réaction stupide de Julien Odoul qui demande l’application d’une loi qui n’existe pas, qui réussit à mettre mal à l’aise les responsables de son propre parti qui sont obligés de faire d’acrobatiques contorsions en distinguant le fond et la forme pour condamner les propos de son élu sans le désapprouver, oubliant que la forme c’est le fond qui remonte à la surface. Et les commentateurs de tout poil faisant ce qu’ils savent faire le mieux : du vent, du vent dans le voile. On devrait les regrouper non pas sur un plateau de télévision, mais sur un champ d’éoliennes, au moins ils produiraient de l’énergie.
Et si l’on faisait preuve de discernement au lieu de s’enflammer en brandissant les grands principes ? En acceptant que des mamans voilées accompagnent des enfants lors de sorties scolaires, favorise-t-on le prosélytisme ou facilite-t-on leur insertion dans une société laïque ? J’aurais tendance à pencher pour la deuxième hypothèse, sachant qu’elles pourraient, à cette occasion, rencontrer des mamans non voilées et même des hommes, car il y a aussi parfois des hommes qui participent aux sorties scolaires…
@ Xavier NEBOUT | 16 octobre 2019 à 21:18
« …les femmes portaient un foulard »
Vous voulez parler des non-musulmanes, je suppose ?
Pas toutes les femmes, loin s’en faut, vous pouvez en juger par les photographies de l’époque.
Celles qui en portaient le faisaient pour des raisons météorologiques (pour ne pas se faire décoiffer par le vent, se protéger du soleil pendant la vendange…).
A défaut d’autre couvre-chef, les catholiques avaient un foulard dans leur sac à main. Elles le mettaient en entrant dans une église et l’ôtaient en sortant. Ce n’est plus une obligation pour elles depuis la première moitié des années 1960 (Concile Vatican II).
Ils sont forts parce que nous sommes faibles !
L’islamisme attaque avec des couteaux et des kalashnikovs et nous répondons avec des cure-dents trempés dans du padamalgam !
Si on considère que l’islam est un totalitarisme qui s’exprime au travers d’outils de propagande comme le voile islamique et que le port de cet artifice est incompatible avec notre mode de vie occidental et les valeurs d’égalité femmes/hommes que nous prônons, alors il faut l’interdire sur notre territoire !!
Et puis pour ceux et celles à qui ça ne convient pas, libre à eux d’aller vivre dans un pays ou règne cette religion de paix et d’amour, ils ne manquent pas : l’Arabie saoudite, le Qatar, le Pakistan, l’Iran, l’Afghanistan…
Sans la laïcité pas de pratique religieuse sereine !
Les grands esprits, les grands sages, n’ont imposé à quiconque un signe pour qu’ils puissent être distingués des autres humains.
L’esclavage au signe ostentatoire révèle la pauvreté de la
démarche spirituelle ; signe une démarche de conquête par la violence et d’une manière plus politique l’irrespect du peuple – des femmes en particulier – dans le pays qui les reçoit.
Si les femmes veulent se singulariser pour leur pratique religieuse, elles pourraient devenir inégales devant la Loi dans notre démocratie.
Il est difficile, en effet, d’avoir tous les avantages et d’instiller une forme de soumission non prévue par la Constitution.
@ Jean le Cauchois
« 1 000 immigrés par an, soit 30 000 pour les trente dernières années, soit la population de la ville de Dieppe, et les musulmans projettent deux mosquées supplémentaires. C’est notre réalité, jamais mise en perspective. »
Cher Jean, tant qu’il y aura encore dans ce qui reste de France des gens voyant clair et pensant juste sans se laisser influencer par la désinformation diffusée par les perroquets politiques et médiatiques sans oublier leurs idiots utiles, tout ne sera pas perdu…
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@ Robert
« Ce qui a changé, c’est qu’en France on a laissé les Wahhabites, le mouvement tabligh (https://journals.openedition.org/socio-anthropologie/155) et autres Frères musulmans agir à leur guise sur notre territoire. Si bien que la part des jeunes musulmans fréquentant les mosquées est passé de 20 % il y a quelques années à 40 % à présent ! »
Tout cela du fait d’idiots utiles – voire peut-être même de néo-collaborateurs – qui, pour « avoir la paix dans les banlieues » ou par clientélisme, ont joué avec le feu, en ayant facilité la construction à tire-larigot de mosquées farcies ensuite d’imams extrémistes proches d’organisations considérées comme terroristes, parfois même décorés de la Légion d’honneur par ces apprentis-sorciers…
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@ Denis Monod-Broca
« Mais pourquoi poser en postulat que l’islam est un ennemi et qu’il est plus fort que nous ?
Notre force est de savoir douter, force paradoxale sans doute mais insurpassable. »
Qu’il soit un ennemi ne relève pas du postulat mais de la simple constatation des faits historiques ou rapportés par les actualités récentes, à moins de s’enfermer dans le déni obstiné voire dans le négationnisme, ainsi que du long fil rouge sang des crimes qu’il a commis des origines à nos jours et partout dans le monde, au nom de préceptes immuables.
http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2017/10/l-invasion-islamique-de-l-inde-le-plus-grand-genocide-de-l-histoire.html
Voici une liste loin d’être exhaustive qui demanderait à être actualisée (hélas) :
https://www.dreuz.info/2016/07/22/crimes-de-lislam-depuis-les-origines-une-liste-qui-fait-tourner-la-tete-ca-une-religion-de-paix-ils-se-foutent-de-nous/
Et si cet ennemi est souvent « plus fort que nous », c’est tout simplement parce qu’il ne trouve pas face à lui de gens qui sachent lui dire « non, ça suffit », fermement et par la force s’il le faut.
« Instituer un interdit vestimentaire revient, pour la laïcité, à se conduire en religion. »
Sur ce point précis, vous avez raison.
La laïcité à la française n’est que le faux-nez d’un athéisme militant ayant pour objectif d’éradiquer toute idée de l’existence d’un Créateur auquel sa créature humaine est subordonnée, ce qui s’est traduit également par des crimes et des massacres, y compris ceux commis par les régimes totalitaires marxistes-léninistes qui ont repris ce concept et l’ont poussé au summum de l’horreur.
Ceci dit, si nous admettons que l’Islam est moins une religion qu’un système totalitaire visant la conquête et la soumission des peuples qu’il investit par la ruse, par le mensonge et par les armes, interdire le port de ses emblèmes ou de ses uniformes relève simplement de la salubrité publique.
C’est ce qui est fait à l’encontre des quelques résidus subsistant de l’idéologie nazie et personne ne s’en offusque.
Védrine à l’habitude a raison, Robert, il nous met face au cruel constat que nous n’avons plus les moyens de nos émotions, et que la seule solution ne peut s’imaginer qu’au niveau européen, ce qui alors vous met vous-même en contradiction.
Alors, Robert, l’Europe, enfin ?
Le 16 octobre 2019 (20:26) j’écrivais ceci :
« J’imagine que dans quelques heures il y aura un avocat pour défendre cette victime de notre société totalitaire et réclamer au nom d’un préjudice moral pour elle et son enfant victime, une somme qui devrait la satisfaire »
Boum, boum, badaboum comme disait notre Bébel, Fatima E. vient de débouler avec une avocate et DEUX plaintes sous le coude…
« Une première plainte sera déposée au parquet de Dijon pour « violence en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial, selon Me Sana Ben Hadj Younes. Une seconde sera déposée auprès du parquet de Paris pour « incitation à la haine » (Le Dauphiné)
En réalité elle ne pouvait pas faire autrement puisque c’était programmé avant qu’elle ne fasse son show au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.
Vous avez transpiré devant le petit écran en écoutant les médiazenboucles nous raconter durant 24 heures la vie d’un fantôme et la destruction de celle d’un homme tranquille chez qui la police et ses chaussures à clous a perquisitionné en son absence.
Vous allez revivre ces intenses contes médiatiques concernant cette pov’ maman et son petit nenfant venus avec ses copains au Conseil régional, déguisée pour pas qu’on la reconnaisse. Raté, ya des photos d’elle partout, une vraie star !
La presse unanime n’appelle pas cette femme par son nom mais en disant « la maman » ou « cette maman ». Donc dorénavant on ne dira plus « une mère de famille » mais une « maman de famille ».
Pour paraphraser Houphouët-Boigny je dirai : on est au bord du gouffre mais faisons encore un pas en avant…
Bonjour monsieur,
La bataille du voile est perdue, la guerre culturelle aussi car le voile a supplanté la Loi française comme ligne normal/anormal.
Ce n’est pas un hasard car le voile est outil de conquête.
Conquête symbolique ou bien territorial. La stratégie comme la tactique sont optimisées, les Frères musulmans renversèrent le Royaume d’Egypte en 1956.
Votre billet est pragmatique, la Loi a perdu, le droit a perdu, il ne s’agit plus de défendre un terrain perdu mais d’une contre-attaque. Le voile doit RECULER devant la Loi, malgré 90 ventilateurs de bienveillance.
Toutefois la Macronie est un projet flou et invérifiable, volontairement… Macron ne sait pas arbitrer, sa pensée complexe n’est qu’un masque dévoilé.
Macron ne sait pas conduire une guerre, sa structure est pervertie, un système.
Macron ne sait pas vaincre, il ne sait que faire perdre les ordres établis.
Donc le voile est une opportunité pour le peuple, démontrer une flagrance: la corruption et l’incompétence du pouvoir macronien à dominer le voile.
L’Islam, comme en Egypte emportera l’aristocratie et laissera la place à…
Bonne chance.
L’étrange défaite des élites face aux nazis se répète face aux barbus.
Les terroristes gagnent, les théocrates gagnent, les 90 artistes gagnent…
@ Valéry
Je comprends bien votre façon de voir les choses, seulement ça fait vingt ans que la goutte d’eau fait déborder le vase. Peut-être qu’en s’attaquant à la fuite plutôt que de s’en prendre aux gouttes d’eau, on aurait de meilleurs résultats. Je suis d’accord avec Philippe Bilger, qui, posant la question « que faire ? », évoque « notre faiblesse à faire respecter les lois ». Une fois posées des règles claires et nettes, elles doivent être appliquées, par tout le monde.
Citation de saint Augustin (III-IV siècle) complétée au XXIe siècle:
A force de tout voir (de tout lire et de tout entendre)
On finit par tout supporter
A force de tout supporter
On finit par tout tolérer
A force de tout tolérer
On finit par tout accepter
A force de tout accepter
On finit par tout approuver
Et on finit par être bouffé…
« Dans son livre « Nomade », Ayaan Hirsi Ali raconte son itinéraire depuis la Somalie.
Elle a été accueillie en Hollande, y a exercé des responsabilités, mais s’est retrouvée très rapidement menacée par ses coreligionnaires. Elle est devenue un problème pour la Hollande. Elle vit maintenant aux USA. Elle lutte sans relâche contre l’Islam, et contre le communautarisme. Pour elle, « il n’y a pas de cohabitation possible entre l’islam et l’Occident ». »
https://www.amazon.fr/Nomade-Ayaan-HIRSI-ALI/dp/2221125819/ref=sr_1_3?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=34VVAFLHWTQC4&keywords=ayaan+hirsi+ali&qid=1571305007&s=books&sprefix=Ayaan+Hirsi+Ali%2Cstripbooks%2C162&sr=1-3
…on retrouve par exemple chez Zemmour et chez elle des appréciations communes sur la question !!
@ Mary Preud’homme
« Marre de toutes ces fatmas ridicules et soumises sous leurs bâches grisâtres étouffantes et rigides en guise de robe, destinées à cacher leurs formes… »
C’est d’autant plus regrettable que la dame, objet de tout ce ramdam, semble plutôt jolie sur la photo postée par notre hôte !
Il y a une quinzaine d’années, il était extrêmement rare de voir dans les supermarchés de la sortie sud d’Avignon des femmes voilées, je veux dire tout en noir. A ce jour nous en voyons plusieurs dizaines en permanence. Alors ? le port de ce vêtement est à la fois un signe ostensible d’identité mais surtout il s’agit d’habituer le Gaulois à leur présence. C’est l’histoire de la grenouille dans un bac d’eau que l’on chauffe progressivement. Elle ne bouge pas puis finit par mourir ébouillantée. J’ai bien peur que ce soit le scénario qui nous attende.
@ Valéry | 17 octobre 2019 à 02:15
Frère musulman ? Non non, professeur d’histoire et de géographie de l’Education nationale défendant cette pauvre femme musulmane dont la vie est voilée… pardon fichue…
https://0.academia-photos.com/4481681/10979336/15548971/s200_asfoure.mourad.jpg?fbclid=IwAR0SQprpxJK2q_PZZiWe_3kpgkJNPzUN7knT_snxQHw-w8TihJG-_XN_rHk
Je m’interroge.
L’Arabie Saoudite est un pays riche, plein de pétrole et de structures d’accueil pour les pèlerins.
Pourquoi tous ces musulmans radicaux ne se dirigent-ils pas vers cette oasis de paix et de prospérité ?
Pourquoi tous ces réfugiés de pays musulmans affluent-ils vers l’Europe où ils sont plutôt mal reçus plutôt que vers l’Arabie, havre de sérénité ?
Et pourquoi l’Arabie et ses satellites, friands de main-d’œuvre étrangère, n’ouvrent-ils pas leurs bras à leurs pieux coreligionnaires ?
Etonnant non ?
@ Lucile | 17 octobre 2019 à 02:37
Bonjour Lucile,
C’est probablement les femmes qui défendront la patrie en danger, car comme vous pouvez le constater, trop d’hommes sont comme nos politiciens et nos généraux, des amorphes face au danger, voire comme Denis MB des cervelles intoxiquées et réduites.
Ecoutez Wafa Sultan, une femme extraordinaire, voyez son profil sur Internet et son engagement plus que politique.
https://www.youtube.com/watch?v=RFN8ahYN1b0
https://fr.wikipedia.org/wiki/Wafa_Sultan
À propos de vérité…
Il y a quelques jours, on interroge Dalil Boubakeur:
– Que dites-vous à ceux de vos fidèles qui souhaitent que la loi divine remplace la loi républicaine ?
Réponse:
– Je commence par les renvoyer à un verset du Coran « Obéissez à Dieu, au Messager et à ceux qui détiennent le commandement » (IV 59).
Voici qui est fondamentalement rassurant. Dormez en paix, kouffars !
Cependant, si vous avez la curiosité de lire votre Coran, publié par un des traducteurs les plus sûrs, vous trouverez:
IV 59: « Vous qui croyez, obéissez à Dieu. Obéissez à l’apôtre et à CEUX DE VOUS qui détiennent l’autorité… »
Littéralement, le Coran ne semble donc pas autoriser ses adeptes à obéir à un détenteur d’autorité qui ne serait pas lui-même un adepte.
Le sort des incroyants est clairement réglé par un autre verset, sur la même page du Coran:
IV 56: « Ceux qui ne croient pas à nos versets, nous les pousserons au feu. Chaque fois que leur peau sera brûlée, nous leur donnerons une autre peau pour qu’ils goûtent le tourment. Dieu est le puissant, le sage. »
Tout est dans les nuances.
« Taqqiya, un procédé connu qui n’opère efficacement que lorsqu’il est soutenu par un deuxième procédé redoutable : al-Madhlomiyyah, la victimisation. Après chaque attentat islamiste, une affaire de voile éclate ! L’art de gagner sur tous les tableaux par l’inversion accusatoire. » (Mohamed Louizi)
Mohamed Louizi, un musulman qui sait exactement de quoi il s’agit et nous met sans cesse en alerte et ce, depuis de nombreuses années. Merci à lui de tout cœur.
@ Elusen | 16 octobre 2019 à 23:36
« Marchenoir, sylvain, Le Pen, Mégret et Julien Odoul !
Cela va se finir en partouze : un papa, une maman ! »
Que lis-je ? sylvain ? non non, mister Bean, je trouve ça génial !
Vous dérapez cher Elusinou, arrêtez quand même de partouzer avec papa et maman, c’est pas encore légal.
@ Lucile
Bien d’accord avec vous. Au lieu de s’occuper du port d’un foulard par une musulmane en délirant sur les raisons pour lesquelles elle le porte, on ferait mieux de s’occuper de l’invasion africaine qui va nous submerger d’ici peu si on ne fait rien, et qui relève d’un tout autre problème.
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@ Catherine JACOB
Vos chiffres sont trompeurs car on ne peut comparer l’aspiration à la religion et donc sa puissance, chez les catholiques et chez les musulmans.
Les pratiquants catholiques forment l’ombre de ce que fut notre Eglise. Par attachement à leurs racines, ils supportent tant bien que mal les fadaises insupportables de leurs prêtres ignorants voire bien pire, mais il n’y a plus à proprement parler de ferveur religieuse active et encore moins militante.
Il est symptomatique que les femmes y soient bien plus nombreuses que les hommes. Leur aptitude plus naturelle à la mystique leur permet de se tourner vers l’essentiel, sans l’arraisonnement dont les hommes ont du mal à se détacher.
Les messes de Noël relèvent du miracle renouvelé. On espère, on veut croire, mais le prêtre regarde, il est content, mais si on cherche à parler religion avec lui, il n’y a plus rien, au mieux de l’Aliocha, à faire fuir en courant.
Le nombre des premières communions est infime et plus encore pour la suite.
Sauf chez les traditionalistes, le catholicisme est devenu une coquille vide, gangrenée elle aussi par le politiquement correct, encore que même chez les traditionalistes, la théologie ne vole souvent pas bien haut – du thomisme lourd. Encore au moins, conservent-ils la forme, et en la matière, c’est le support qui permet une résurrection de l’Eglise, ou au moins de l’espérer.
Les manifestations contre le mariage pour tous ou contre la GPA devraient être noires de prêtres…
En écoutant bien, on entend de temps à autre le père de La Morandais. Ça ne fait pas beaucoup. Les autres se terrent quand ils ne donnent pas eux aussi dans le progressisme pour faire « ouvert » !
Il en est tout autrement pour les musulmans, qui ont d’autant plus le vent en poupe sur le plan spirituel que c’est nous qui leur donnons le vent avec notre dit « progressisme ».
Pourquoi donc les femmes chrétiennes ne se mettent-elles pas elles aussi un foulard comme elles le faisaient encore il y a soixante ou quatre-vingts ans ?
Ce serait cela, la réponse efficace au foulard dit « islamique ».
Mais non, nous sommes plus près d’une manifestation fesses à l’air pour montrer le chemin du progrès aux musulmanes.
On n’a rien compris à rien… et surtout, on ne veut pas comprendre ; on aurait tellement honte.
Toute la mouvance islamiste défendue sinon encouragée par tellement de citoyens ; bien camouflée derrière la taqiyya ou ostentatoire en djellaba, barbue, priant dans les rues, en abaya, dans la police, dans l’Armée, peut continuer, sans crainte, à s’afficher, à provoquer et à tester les résistances.
Un jour après l’autre, elle progresse la mouvance. Terriblement.
La France fatiguée et volontairement aveugle tombera bientôt.
@ Xavier NEBOUT | 17 octobre 2019 à 11:32
« Par attachement à leurs racines, ils supportent tant bien que mal les fadaises insupportables de leurs prêtres ignorants voire bien pire, mais il n’y a plus à proprement parler de ferveur religieuse active et encore moins militante. »
Il y a plusieurs religieux et religieuses dans notre famille, de diverses obédiences dont un jeune dominicain petit-fils de président de cour d’assises, une sage-femme et un ENS, cacique de l’agrégation, docteur en chimie, docteur en théologie, moine ordonné prêtre et capable d’homélies en trois langues différentes !
Cela dit, pour faire bonne mesure, on a aussi quelques « bouffeurs de curés » bon teint dont certains des enfants et petits-enfants suivent, pour leur part, l’office dominical avec assiduité.
Le voile et les vapeurs… de Pascal Praud.
Encore ce matin, Pascal Praud sort les rames sur ce sujet.
Il avait brutalement pris à parti le jeune député RN, Odoul.
L’évolution de l’affaire qui révèle aujourd’hui que cette dame et son bambin sont défendus par les Frères musulmans ridiculise Pascal Praud. Qui rame, qui rame.
Cerise sur le couscous, le maire de Béziers croit que toutes ses apparitions concernent forcément Béziers, il nous gonfle.
Je veux bien être de droite, mais avec des glands pareil, non merci.
@ marie
« Je suis choquée qu’en France on accepte que des mères voilées accompagnent les sorties scolaires, et qu’on se propose de donner à nos enfants, dès la maternelle, dans le cadre scolaire, une image particulière de la femme. »
Il m’arrive parfois d’assister en passant devant une école aux préparatifs d’une de ces sorties scolaires.
En plus des mamans en uniforme, il faut aussi noter que les conducteurs de bus portent parfois une barbe, selon un style que M. Macron lui-même appelle à dénoncer.
S’agit-il d’accoutumer progressivement les enfants dont les capacités d’observation et de mémorisation sont très fortes à cet âge, à un environnement qui ne correspond déjà plus au mode de vie habituellement propre à la France il y a quelques dizaines d’années, afin de leur donner une autre image de la normalité avant ensuite de les pousser tout naturellement dans les bras de l’Islam ?
Au passage, personne ne parle de ce qui se passe dans les clubs sportifs, mais c’est du pareil au même.
Dormez, Français, dormez bien, le réveil risquera d’être terrible…
@ Marc GHINSBERG
« En acceptant que des mamans voilées accompagnent des enfants lors de sorties scolaires, favorise-t-on le prosélytisme ou facilite-t-on leur insertion dans une société laïque ? »
La meilleure insertion dans une société est économique, c’est-à-dire trouver un travail, subvenir à ses besoins et avoir des relations normales et courtoises avec des collègues, en dehors du cocon familial ou idéologique.
Personnellement je n’ai jamais vu de femme voilée – employée – dans aucun des commerces où j’ai l’habitude de flâner, grande ou petite surface. Jamais.
Je conclus que ces femmes qui choisissent de se délimiter par leur choix vestimentaire font aussi le choix – probablement dû à quelque détail dans leur manuel religieux – de ne pas s’investir dans une activité où on est en constante interaction avec les autres. Probablement ces femmes ne figurent-elles même pas dans les statistiques des demandeurs de travail, ce qui fausserait les pourcentages, déjà catastrophiques sur les banlieues, de façon inquiétante.
Je serai très curieux de savoir si Fatima E. bénéficie des aides sociales. Je trouve toujours extrêmement malsain quand quelqu’un critique ouvertement la main qui le nourrit.
Monsieur Nebout, le hijab, nommé par euphémisme foulard islamique, n’a absolument rien à voir avec un foulard (voir la définition de ce mot) qui est d’ailleurs toujours en vogue, de même que l’écharpe.
Et si l’on devait comparer le hijab avec une pièce de vêtement, on dirait qu’il s’apparente plus à une longue cagoule ou à un passe-montagne qu’à un foulard chatoyant, un bandana bariolé ou une mantille en dentelle !
Mettez-vous ça une fois pour toutes dans la tête, vous et d’autres qui essaient de tromper !
Quant à la position de l’Eglise catholique et de nombre de ses clercs qui fricotent honteusement avec l’islam, sous couvert d’oecuménisme (à sens unique), tandis que l’on massacre leurs frères en Orient, elle est désastreuse et explique pour partie la défection de beaucoup de fidèles.
Hélas en France on ferme et désaffecte de plus en plus d’églises, de temples et de synagogues, tandis que les mosquées et salles de prières poussent comme des champignons.
@ breizmabro | 17 octobre 2019 à 09:14
Et le père dans tout ça, oukilé ?
Cachez cette chevelure que je ne saurais voir.
Faisons un rêve : pas un attentat terroriste en France, le passant croise dans l’indifférence un samedi un juif en kippa, le dimanche une dame un missel sous le bras et un vendredi quelques musulmanes voilées plus ou moins, certes il y en a beaucoup plus, bah l’immigration a été importante ce sont leurs coutumes. Il croise une femme en niqab, tiens celle-là doit être un peu givrée, c’est dommage de cacher son visage, peut-être un beau visage, tant pis et puis il croise un type bizarre déguisé en Napoléon la main dans le gilet, une punk les cheveux rouges, le ventre à l’air et le nombril percé, ils n’ont pas l’air méchant.
Quand même se dit notre passant, il paraît qu’une partie de ces femmes musulmanes sont contraintes, c’est fâcheux, j’espère qu’on sera vigilant et qu’on tentera d’y remédier.
Oui mais voilà, nous sommes loin de ce contexte, il y a eu des attentats, des massacres d’innocents, alors le quidam se dit : ces attentats sont commis majoritairement par des musulmans, qui s’appuient sur le Coran qui contient des sourates mortifères pour justifier leurs forfaits.
Alors il n’est pas étonnant que la vue extérieure de voiles signes de religion musulmane provoque autant de réactions de rejet. Le quidam y verra sans aucun doute une provocation et l’adhésion implicite de ces femmes voilées à une idéologie détestable.
Si les fidèles musulmans avaient fait l’effort de rejeter les versets sataniques et avaient fait aussi l’effort dans le cadre d’un enseignement religieux d’affirmer combien ces versets étaient hors du temps, détestables et responsables des massacres, alors il me semble que l’on serait loin de cette situation où plus de 70 % des Français considèrent le port du voile islamique comme non souhaitable.
De quoi s’agit-il ? Pour la musulmane de cacher au minimum sa chevelure car la montrer c’est aux dires de Ramadan être alors la « femme à tout le monde », une « pute » quoi ! Alors pourrait-on alors suggérer que les musulmanes françaises se contentent d’un discret foulard qui devrait être mieux accepté, non provocateur et répondant au besoin de couvrir sa chevelure ?
Lors d’une table ronde télévisuelle, devant le reproche qui était fait aux musulmans d’adhérer à un Coran aux sourates infâmes et de porter un voile, une brave musulmane se trouve à bout d’argument et de confier : « Dans mon quartier mes voisins ont reçu une lettre recommandant aux parents de faire bénir le cartable de leur enfant ». Diable voilà qui est bien plus grave que le port d’un voile et on imagine un cartable islamique béni par erreur se tordant dans les flammes de l’enfer ! Par bonheur sans doute ignore-t-elle que l’on bénit aussi des cloches et des chiens partant à la chasse, l’horreur suprême !
Mme Fatima E. a dit après l’altercation avec un membre du RN « Je suis déçue par la République » et moi de lui répondre que la République est déçue par Mme Fatima E. qui aurait pu dans cette réunion publique en signe d’apaisement ôter son voile et le remplacer par un discret foulard, au lieu de ricaner et de tenter de nous apitoyer sur les pleurs d’un enfant. Cette dame est connue pour ses actions de prosélytisme. Sa vie est perdue dit-elle… moins quand même que pour les quatre policiers assassinés…
Faisons bloc dit Macron à sa majorité flottante, je ne vois pas bien comment, il débloque.
Interdiction des voiles ostentatoires partout sur la voie et dans les bâtiments publics, pourquoi pas mais au vue de la lutte dérisoire contre la burqa…
Sont-ce au moins des textiles français qui habillent ces ostensibles islamistes ?
Décidément ce monde est un château de cartes dont je ne comprends pas qu’il ne se soit pas encore écroulé…
Il faut dire que je ne comprends pas grand-chose, et sans doute est-ce la raison pour laquelle je me promène inconsciente et fascinée.
Cependant, et malgré cette tare qui m’affecte, je me dis in petto que votre titre M. Bilger, pourrait avantageusement être remplacé par le mien : Le voile ou le mensonge.
Vous pourrez dire sans doute que je ne manque pas d’audace et de grossièreté, mais enfin, si l’on y regarde de plus près, il faut bien se rendre à l’évidence ! De quoi, me direz-vous ? Et je vous répondrai hardiment :
1. Que les religieux s’y entendent pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes
2. Que les pratiquants de toutes les religions connues pensent qu’en affichant toutes sortes de colifichets ou accoutrements, les saints sont parmi les hommes
3. Que les représentants de toutes les religions sont des ânes
4. Qu’un âne frotte l’autre (asinus asinum fricat…)
5. Que le meilleur ennemi de la femme est la femme
6. Que les croyants de toutes les religions ne sont pas meilleurs, ni plus admirables que le bougre qui vaque sans guide, sans vérité, sans rien que sa vie…
7. Que le chiffre 7 est beau mais moins que le chiffre 4 ou 9 ou 12 ou 0
8. Que la danse des 7 voiles, est quand même très jolie
9. Que l’abbé de Rancé suscite la pitié
10. Que la faute originelle n’existe pas
11. Que la liberté se mérite
12. Qu’il est honteux de se trouver des héros de pacotille
13. Qu’il est humiliant de s’en réjouir
14. Que la déesse aux cent bouches n’est pas regardante
15. Que les humains sont désespérants…
Ainsi, et puisqu’il faut un maître aux faibles, puisqu’il n’est pas aisé de finir une vie que l’on croit glorieuse et incomparable, puisque la crainte de l’inconnu est plus forte que la raison, et parce que l’iniquité est le fondement, il est essentiel de regarder le ciel étoilé de Van Gogh en écoutant ceci :
https://www.youtube.com/watch?v=7WvHDrcA084
@ Alpi | 17 octobre 2019 à 10:22
Réponse : parce que l’Arabie et ses satellites ne veulent pas partager leurs richesses et ne sont pas accueillants, il leur faut des esclaves et non pas des miséreux.
Chez nous, ceux qui nous dirigent veulent détruire l’Europe et nous remplacer ; ce sont donc des envahisseurs que nous recevons, en plus de toute la misère du monde.
————————————————-
@ Marc GHINSBERG | 17 octobre 2019 à 07:53
Vous ne devez pas souvent prendre l’air ou vous vous voilez la face pour servir la Macronie antinationale.
Quand je vois une jeune femme portant une abaya noire et qui cherche un coupable pour servir sa cause, je plains son mec, s’il elle en a un, d’ailleurs celle de la photo ressemble à Tariq Ramadan, serait-elle l’une de ses envoyées spéciales ou membre de sa famille ?
Finalement je me demande si la présidente de ce Conseil régional n’était pas elle aussi complice. Allez donc savoir ce qui se passe dans l’ombre en Macronie lorsque Pinocchio est en difficulté.
N.B: Les Frères musulmans entendent instaurer le règne de la Loi de Dieu. Leur mot d’ordre fondamental : « Le Coran est notre Constitution ».
@ Valéry, 17 octobre 2019 à 13:02
« Je serai très curieux de savoir si Fatima E. bénéficie des aides sociales. Je trouve toujours extrêmement malsain quand quelqu’un critique ouvertement la main qui le nourrit ».
100% d’accord avec vous.
Emission de CNews hier soir avec Zemmour
Kelly toujours en progrès.
1ère partie : Très intéressante !
2ème partie : Qui a été chercher Bruno Bonnell (personnage sulfureux et LREM) pour discuter d’Europe avec Zemmour ? il n’y connait rien en matière d’Europe. Par contre c’est le roi du baratin !
Zemmour 1 / Bonnell 0
Au suivant !
L’émission va perdre de son intérêt avec des canassons pareils !
Cordialement.
Comment oser s’en prendre aux musulmans qui sont chez nous sans jamais mettre en accusation les politiciens qui les ont faits entrer… depuis cinquante ans ?
@ Sophie 10h35
« …Après chaque attentat islamiste, une affaire de voile éclate… »
Vous citez Mohamed Louizi, un franco-marocain dénonçant et luttant contre les dérives islamistes et qui donne le nom en arabe de cette technique d' »inversion accusatoire » pratiquée avec efficacité par les Frères musulmans. C’est exactement ce que Gilles Kepel, spécialiste du monde arabe, a évoqué hier soir lors de l’émission « C à vous ».
Il serait utile que les médias nous fassent une émission sur les techniques des Frères musulmans. Je suis encore moins naïf depuis que je viens d’entendre un replay de la matinale de Radio Courtoisie, lors de laquelle Hubert Védrine dit clairement que le président turc Erdogan est sous l’influence des Frères musulmans et tient en otage sur son territoire plus de quatre millions de réfugiés syriens qu’il peut lâcher sur l’Europe…
Je souhaite que nos commentateurs se voulant de la « gauche intelligente », Marc Ghinsberg et Achille, pour n’en citer que deux, écoutent un peu plus Hubert Védrine et en modifient éventuellement certaines de leurs déclarations récentes.
@ Marc GHINSBERG | 17 octobre 2019 à 07:53
« Et si l’on faisait preuve de discernement au lieu de s’enflammer en brandissant les grands principes ? En acceptant que des mamans voilées accompagnent des enfants lors de sorties scolaires, favorise-t-on le prosélytisme ou facilite-t-on leur insertion dans une société laïque ? J’aurais tendance à pencher pour la deuxième hypothèse, sachant qu’elles pourraient, à cette occasion, rencontrer des mamans non voilées et même des hommes, car il y a aussi parfois des hommes qui participent aux sorties scolaires… »
En complément du commentaire de
Valéry | 17 octobre 2019 à 13:02,
sur votre commentaire je vous indique, sobrement, une réaction d’une nièce qui, ayant acquis un appartement dans un quartier nouveau d’une métropole de 500 000 habitants en 2008, mère de quatre filles… a déménagé en 2014 car entourée de voiles à l’entrée ou à la sortie de l’école… mais également dans les squares, magasins et supérettes alentour.
Ce n’est pas bien, je sais… mais en fait l’insertion aurait éventuellement dû (et pu) s’effectuer, dans « l’autre sens »…
Inique, me direz-vous, mais réalité vécue loin des discours autour d’un plateau TV ou sur un blog !
Accessoirement elle a, heureusement pour elle, pu vendre son logement à un juste prix par rapport à celui de son acquisition…
Aujourd’hui le marché immobilier du quartier est catastrophique, les biens ne se vendent pas ou avec 30 à 50 % de décote par rapport au prix d’achat 2008.
N’est-il pas stupéfiant qu’une sortie scolaire d’enfants de 8 ans ait pour objet une séance de Conseil régional ? N’y a-t-il pas d’autres thèmes plus adaptés à des enfants de cet âge ? Qui a pris cette décision ? Est-elle habituelle dans cette école ? Qui a organisé cette sortie ? Tout cela semble avoir été prémédité. Le sourire triomphant de la voilée sur la vidéo le confirme ainsi que son expression sur la photo de l’article : elle jubile car son coup a réussi. Tous les idiots utiles ont pris son parti.
« Vieille France, accablée d’Histoire, meurtrie de guerres et de révolutions, allant et venant sans relâche de la grandeur au déclin, mais redressée, de siècle en siècle, par le génie du renouveau »
Charles de Gaulle (Mémoires de Guerre)
Merci aux nombreux auteurs d’excellents commentaires sur ce blog et à PB qui les a suscités. ils sont rassurants, mais cela ne suffira pas.
La guerre ? On y est, bien évidemment. On est reparti comme en 40. Ce sont EUX, nos ennemis, qu’il n’y a plus lieu de désigner, qui nous l’ont déclarée. La guerre ils l’ont voulue, ils la veulent, ils l’auront. Avec tout ce que le mot guerre veut dire. Nous la mènerons impitoyablement avec toute l’énergie, toute la détermination, toute la volonté, toute la persévérance dont le peuple français est capable, comme sa longue histoire l’a montré, ce que le général de Gaulle rappelle si bien.
Il n’y aura pas de quartier. Ni contre nos ennemis, ni contre ceux de nos concitoyens qui trahissent en leur pavant leur chemin de conquête et en leur donnant des armes.
@ Marc GHINSBERG 17 octobre 2019 à 07:53
Pourquoi dites-vous « des mamans voilées » et « des mamans non voilées »… et
« même des hommes, car il y a aussi parfois des hommes qui participent aux sorties scolaires » ?
Pourquoi ne dites-vous pas « il y a aussi parfois des papas qui participent aux sorties scolaires » ce serait plus gentillet tout ça, non ? Et puis c’est tellement plus attendrissant lors de l’audience suivant une plainte pour « violence en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial » d’employer le mot « maman » pour pleurer sur le sort d’une femme portant le voile lors de sorties scolaires…
Ce matin j’ai pris le bus ; c’était une maman qui le conduisait, elle n’était pas voilée et ne portait pas de foulard mais elle s’est fait tout de même traiter de « grosse salope » par deux jeunes rebeux parce qu’elle n’avait pas ouvert la porte de sortie assez rapidement à l’arrêt de celui-ci.
Heureusement il y a aussi des papas chauffeurs de bus, sans barbe, qui se font également insulter. Egalité oblige n’est-il pas…
@ Mary Preud’homme 17 octobre 2019 à 13:20
« Et le père dans tout ça, oukilé ? »
Vous voulez sans doute parler du ‘papa’ de cet enfant traumatisé à vie parce que son papa n’était pas présent pour défendre sa maman de l’odieuse agression qu’elle subissait par cet ahuri d’Odoul ?
Je ne sais pas, personne n’en parle, en même temps ‘un père ça peut être une femme’ comme dit Agnès Buzyn. Du coup Fatima E. peut peut-être demander des dommages et intérêts en tant que père de l’enfant également. Qui sait, bien filmé ça peut marcher 😀
@ Yves | 17 octobre 2019 à 10:32
« Tout est dans les nuances. »
Ben le problèmeuuuuuu, c’est qu’il parle d’Abram et de la Torah que vous avez coupée pour que nous ne sachions point la suite.
Coran – Sourate IV. Les femmes (AN-NISSA) –
traduction du chercheur et universitaire, triple docteur Français Malek Chebel.
55 – Certains ont cru en ce message, d’autres s’en sont éloignés. Que la géhenne soit leur brasier !
56 – Car ceux qui n’auront pas cru à Nos signes seront accueillis dans un feu brûlant et, chaque fois que leur peau aura été bien cuite, Nous leur donnerons une autre peau de façon à leur faire sentir le dur châtiment. Allah est puissant et sage.
58 – Allah vous recommande de restituer les dépôts qui sont en votre possession à leurs ayants droit. Il vous recommande aussi d’être justes lorsque vous aurez à juger entre les gens. Allah vous invite à accomplir de belles actions, car Il est Celui qui entend et qui est clairvoyant.
59 – Ô vous les croyants, obéissez à Allah, obéissez au Prophète, obéissez à ceux qui parmi vous détiennent l’autorité. S’il vous arrive de vous disputer à quelque sujet, remettez l’affaire entre les mains d’Allah et de Son prophète, si toutefois vous croyez en Dieu et au Jour dernier. C’est véritablement le meilleur choix que vous puissiez faire.
Le Qur‟ān – Traduction du sens de ses Versets par Zeinab Abdelaziz Professeur Émérite de civilisation française Université Al-AZHAR, Université Ménoufiya.

Sūrah 4 – AN-NISĀ‟ (les Femmes)
Pour le 59, le Messager, Prophète, hé bé comment dire ça, il a clamsé !
Si vous voulez vous en remettre à lui heuuuuu… ben ça vous regarde si vous aimez les cadavres.
@ Marc GHINSBERG 17/10 07:53
« En acceptant que des mamans voilées accompagnent des enfants lors de sorties scolaires, favorise-t-on le prosélytisme ou facilite-t-on leur insertion dans une société laïque ? »
Puisque vous optez pour la seconde hypothèse, je crains alors que l’objectif que vous escomptez ait du mal à être atteint.
Si vous fréquentez en effet certains quartiers de nombre de nos villes même moyennes, vous constaterez qu’au vu de la population qui y réside il y a souvent plus de têtes voilées pour accompagner ces sorties scolaires que de têtes non voilées.
Espérer dans ces conditions que ces sorties soient facilitatrices d’insertion relève de l’illusion. On serait même en droit de se demander si l’inverse ne serait pas plutôt susceptible de se produire, à savoir que des femmes non voilées, alors en minorité, finissent par s’intégrer au final à cette communauté musulmane !
Je doute que le geste fort de la personne à l’origine de la polémique en cours, et divers éléments semblent en attester, n’ait pas été délibéré et ne relève pas de la provocation.
Que penser alors de la véritable et profonde volonté d’insertion d’une telle personne ?
L’imaginez-vous prête à écouter et à suivre la parole et les conseils bienveillants d’une maman française pure souche ?
Permettez-moi d’en douter.
S’intégrer ne demande pas uniquement de la part de celui chez qui vous vous installez le geste facilitateur pour votre insertion, s’intégrer exige aussi et avant tout un état d’esprit, une volonté forte de vous fondre dans la société qui vous accueille et d’en accepter ses règles.
« Y a un truc que je pige pas. Les islamo-gauchistes nous reprochent de faire une fixette sur l’islam jusqu’à en être obsédé. Bien. Mais n’est-ce pas les mêmes qui s’acharnent à imposer à la France entière voiles, burkinis, halal et autres bondieuseries islamiques ?! Qui est obsédé ? » (Jean Messiha)
Bravo et merci à M. Messiha, avec l’humour en prime.
D’après les photos de « Fatima E. », on découvre plutôt un « hijab » qu’une « abaya ».
Le hijab recouvre les cheveux et dissimule le cou ce qui n’est pas le cas d’une abaya.
Si la femme n’avait porté qu’un fichu et des vêtements à l’européenne, peut-être que la réaction de l’élu RN aurait été moindre, peut-être même qu’il n’aurait pas jugé utile de s’en inquiéter ?
Mais le marqueur religieux d’un tel habit moyen-oriental est fort et renvoie à l’idée d’un refus de l’identité européenne.
Je fais l’hypothèse que les Français sont plus sensibles que d’autres au port de parures islamiques parce que la majorité estime que leur mode de vie fondé sur la bonne cuisine, la galanterie, la littérature et la séduction est en quelque sorte bafoué par des gens dont l’accoutrement et les revendications cultuelles signifient: « nous n’adhérons pas à votre pays et n’avons aucune intention de nous intégrer ».
Il est remarquable d’apprendre de la bouche des musulmanes et musulmans formatés (comme les communistes en leur temps par les organes du PCF) par l’appareil du CCIF, appendice des Frères musulmans, qu’ils sont des « enfants de la République ». Moi qui suis français depuis plusieurs générations, je ne prétends être que le fils de mon père et de ma mère !
Grâce aux impôts payés par mes parents j’ai pu aller gratuitement à « l’école de la République » mais pas plus et pas moins.
@ Pierre Blanchard
Comment empêcher, freiner, réduire… la ségrégation géographique ? Vraie grosse difficulté ! Qu’un interdit vestimentaire ne fera pas disparaître comme par miracle…
Faisons échec à l' »inversion accusatoire » utilisée par les Frères musulmans et leurs complices en France, ici et maintenant, et démasquée par Mohamed Louizi et Gilles Kepel. Ne parlons plus des musulmanes voilées mais des islamistes égorgeurs au couteau de cuisine, aussi bien de prêtres dans leur église que de fonctionnaires de police dans leurs bureaux.
Je pensais les musulmanes moins dangereuses mais la justice française vient d’en condamner quelques-unes à des peines très lourdes. Pourquoi ? Avez-vous entendu les médiatisantes françaises vous en parler ? c’est quand même un problème féminin ! Fini, la naïveté pour toutes !
SORTIES SCOLAIRES
Professeur en collège ou en lycée, jusqu’à 65 ans, je n’aurais pas eu une seule fois l’idée saugrenue d’organiser une « sortie scolaire ». Chargé d’enseigner le français, matière principale, et trouvant l’horaire trop petit, je pensais qu’enseigner la grammaire, l’orthographe, La Fontaine et Molière était beaucoup plus important que d’aller faire des balades en bus je ne sais où. Et, comble du comble, avec des dames en voile noir !
Cher Philippe,
Pour commencer, nous tenons à vous féliciter pour le choix de l’illustration qui représente une beauté féminine, une Marianne habitée de spiritualité, un tableau érotique intemporel.
Notre nouvelle Joconde féconde les esprits stériles.
Cette incarnation de la Vierge à l’enfant apporte le trouble et dévoile le vide de nos pensées à concevoir la laïcité.
Se flatter d’enfanter l’esprit de liberté, d’égalité et de fraternité et ne pas savoir accepter autrui avec sa liberté de penser, de croire ou de ne pas croire entre en contradiction avec le non respect de l’autre, à savoir le rejet d’un individu par l’humiliation, limite de la négation de l’autre.
Nous ne pouvons pas être un pays qui se glorifie des blessures volontaires données à l’autre.
Cette situation demande un apaisement rapide. Il est facile de nourrir la haine, plus difficile de l’éteindre.
Nous attendons un discours clair sur la laïcité de nos responsables politiques.
Il existe une charte de la laïcité dans les écoles.
Mais qui s’en empare ?
Quelles méthodes sont conseillées pour aborder cette prise de conscience collective ?
Les dilemmes proposés sont-ils adéquats ? La narration de contes est-elle suffisamment pratiquée ? Le sport à l’école donne-t-il assez de place à la compréhension des règles et à leur respect ?
Nous avons été sidérées par l’envoi de lacrymogènes et de canons à eau sur nos pompiers. Sommes-nous les seules ?
Ces deux corporations travaillent ensemble et nous nous demandons dans quel esprit piqué l’ordre de mettre en scène un affrontement a-t-il germé ?
L’Etat français se devait de laisser s’exprimer le désarroi de cette corporation qui sert majoritairement bénévolement les Français y compris si la circulation ne se remettait pas en place à l’instant T.
Il y a un profond manque d’humanité dans ce qui se déroule et nous demandons aux parlementaires et aux sénateurs de recevoir des représentants de cette noble fonction pour montrer la reconnaissance des Français à leur attention.
françoise et karell Semtob
@ breizmabro | 17 octobre 2019 à 16:49
Bien vu !
En même temps comme dit l’autre, le papa ce pourrait être aussi un flacon quelconque avec un simple numéro d’ordre, dès lors que le sperme à tout vent est devenu furieusement tendance et que les vrais papas sont à la ramasse !
On pourra dire que Julien Odoul aura fait parler suite à son intervention à Dijon.
Nous étions tellement habitués à ce que le RN soit montré du doigt, stigmatisé par ses prises de position dites nauséabondes et le débat clos dans les heures qui suivaient, que les longs débats jusque dans les rangs du gouvernement sont assez surprenants.
Cela montre aussi que le problème existe et qu’il dérange beaucoup de Français.
En effet, là, curieusement, cette algarade a été non pas systématiquement repoussée comme d’habitude mais au contraire elle a permis de nous rendre compte que de nombreux journalistes et personnalités habituellement connues pour leur consensus sur le bien-vivre ensemble, ont largement montré qu’elles n’appréciaient pas le port du voile dans les lieux publics, qu’elles étaient inquiètes de la montée d’un islamisme revendicateur et tout au moins qu’elles y voyaient un véritable problème de société.
Elles ont conscience qu’on ne peut éternellement laisser au RN (quelles que soient ses convictions personnelles) ces questions qui ne cessent d’empirer et de diviser.
Non, le port du voile n’est pas un leurre ou une pacotille sur laquelle nous nous pencherions à intervalles réguliers (Lucile). Si les femmes musulmanes de mon âge portent foulards ou grandes robes, elles le font plus par habitude et tradition que pour offenser les Français, je l’admets. Mais les jeunes femmes le font par choix la plupart du temps, car pour elles c’est une bannière, un porte-drapeau de l’Islam, une provocation. Même si d’autres signes de radicalisation sont tout aussi inquiétants.
Je ne sais si les Somaliennes portent le voile par choix. En 1972, en Somalie, je n’ai vu aucun voile pour la bonne raison que je n’ai vu aucune femme se promener dans les rues de Mogadiscio. Idem à Dacca, au Bangladesh en 1977. A cette époque elles étaient recluses dans leurs foyers.
J’ai visité plusieurs pays musulmans, et d’autres comme l’Inde où plusieurs religions se côtoient malgré la partition, où tout a l’air, pour le touriste occidental, de se passer harmonieusement. Pas si sûr.
En s’intéressant de plus près à la vie courante, on s’aperçoit vite que ce n’est qu’une apparence. Les femmes hindoues qui se promènent dans leurs beaux saris sont obligés de se voiler dans certains quartiers pour complaire à leurs voisins musulmans. Elles se soumettent, même si elles ont évolué en tant que femmes indiennes.
Jamais dans l’autre sens.
Le tourisme ne permet pas d’approfondir la situation sociétale d’un pays. Ce que nous voyons est une vitrine, un passage rapide et souvent une vison un peu idyllique.
C’est en visitant ce pays (en 2012) que nous avons pu rencontrer un diplomate français qui avait travaillé de poste en poste dans plusieurs pays musulmans et qui nous a dit : « Je suis très inquiet pour l’état du monde à venir, dans ces pays dont la Turquie, le Yémen, l’Indonésie, il faut aller dans les familles, dans les arrière-boutiques, bavarder et regarder ce qui se passe en coulisses et ce, quel que soit le pays où j’ai pu exercer, pour s’apercevoir de la radicalisation du monde musulman, une radicalisation dure et préoccupante ».
J’avoue avoir gardé cela en tête et en voyant en France ces femmes voilées qui revendiquent leur appartenance à leur religion en se voilant et en faisant bien d’autres demandes (horaires de piscine, halal dans les cantines, sorties scolaires voilées…) que souvent nos élus se dépêchent de leur accorder pour avoir la paix, je suis préoccupée pour l’avenir de mes enfants et petits-enfants.
Nous avons aujourd’hui clairement une société fracturée. D’un côté une population communautarisée, aux coutumes bien ancrées, avec une religion forte, des traditions d’un autre âge comme entre autres le mariage forcé des jeunes filles à peine pubères, de fillettes voilées ou qui ne sont pas scolarisées et parallèlement, une France d’un progressisme débridé. Une France à deux vitesses et donc une France désemparée.
Ce qui est flagrant et déboussolant c’est d’entendre nos grands sages ouverts à tout, nous dire dans un même discours que les musulmanes ont bien le droit de se voiler, puis s’indigner deux phrases plus loin du patriarcat à la française, et défendre le féminisme jusque dans l’orthographe. Leur parole est inaudible et dévalorisée par ce double langage.
Il faudra qu’un jour ces optimistes nous expliquent ce paradoxe, puisque visiblement ils ne veulent pas voir ce qu’il y a réellement à voir… à moins qu’ils n’appliquent la maxime des trois petits singes pour leur tranquillité.
A la limite, nos pires ennemis ne sont pas les réseaux islamistes bien organisés, les imams haineux, les Frères musulmans ou les pays qui guident tout cela, mais bien ces aveugles-là qui empêchent de remettre de l’ordre dans la baraque.
Notre société a changé progressivement et nous savons qu’aucun retour n’est possible, au moins la loi de 1905 sur la laïcité est-elle censée nous protéger pour un vivre-ensemble correct même s’il est relatif et subjectif ; au moins, qu’on l’aménage pour que chacun vive sa religion dans sa sphère familiale sans prosélytisme, sans que nos petits-enfants ne soient soumis à un mode de vie dont nous ne voulons pas et qui, à terme, les déstabilisera.
Nos Présidents à tour de rôle se sont contentés de laisser courir par peur d’une guerre civile. Aujourd’hui E. Macron est au pied du mur, reniant même son discours d’hommage aux policiers assassinés… dont nous n’aurions pas compris le sens.
C’est dire où nous en sommes.
La majorité des exégètes s’accordent pour situer l’écriture de la Bible (Premier testament) entre les VIIIe et IIe siècle av. J.-C., et celle du Nouveau Testament entre le milieu du Ier et le début du IIe siècle. « Le plus ancien objet sur lequel on retrouve un texte biblique est l’amulette de Ketef Hinnom, datée vers 600 avant JC ».
Quant au Coran, le prophète Muhammad étant illettré, il a commencé à être écrit, au mieux, en l’an 656 après JC, soit 12 siècles plus tard, en pillant d’un bout à l’autre les Saintes Ecritures des Juifs et des Chrétiens, et les interprétant de manière tendancieuse afin d’en faire l’instrument de nouvelles conquêtes censées asservir le monde au nom d’un Dieu omniscient, belliqueux et vengeur, ne souffrant aucune concurrence. Soit le contraire des enseignements des Evangiles christiques et de l’amour à l’œuvre plus fort que la haine. Sans oublier la négation du peuple juif (élu) auquel Dieu s’était adressé le premier et que les musulmans n’ont cessé de persécuter après les avoir dépouillés de tout leur héritage.
L’on en tient un bon là en la personne d’Elusen qui s’épuise à vouloir nous démontrer le contraire des enseignements bibliques et qu’une copie frelatée, déformée et tronquée, bricolée 12 siècles après l’original par un marchand de chameaux, devrait faire figure de modèle, et s’imposer à tous les gens du Livre, par la menace, le chantage et la force brutale.
Au voleur !
@ Elusen
« Ben le problèmeuuuuuu, c’est qu’il parle d’Abram et de la Torah que vous avez coupée pour que nous ne sachions point la suite.
Coran – Sourate IV. Les femmes (AN-NISSA) –
traduction du chercheur et universitaire, triple docteur Français Malek Chebel »
Bon, franchement, on s’en cogne de ces extraits du Coran qui dit que… qui dit quoi…
Qu’est-ce qu’on a à foutre du contenu d’un méchant bouquin rassemblant des dires, probablement apocryphes, d’un bédouin ayant vécu il y a 15 siècles ! Que le Coran ou la Bible (soit dit en passant) soient des livres brutaux, intolérants, violents, c’est un fait, mais c’est un détail (comme disait Naqunoeil). Il n’y a qu’un seul bouquin qui fait foi, qui fait loi, c’est le Code pénal.
Les exégèses des livres ‘saints’ (oxymore, car aucun livre n’est saint), c’est pipeau, ça nourrit des « islamologues » (comme s’il y avait des christianologues ou des judéologues !), mais ça n’a aucun intérêt.
Considérons donc le Coran ou la Bible comme des livres ordinaires, avec leurs qualités littéraires, au même titre que le Kamasutra ou Jacques le Fataliste du grand Diderot !
Mais qu’on arrête de nous emm… pour nous expliquer que le Coran prêche la lutte contre les infidèles (ou les incroyants) par le fer, le feu ou le cure-dents !
Et c’est mon premier coup de gueule sur ce blog !
@ breizmabro | 17 octobre 2019 à 16:49
@ Mary Preud’homme 17 octobre 2019 à 13:20
Mais où sont les grand-mères ?
Le proctologue ?
La mammographie ?
Le gynécologue ?
Le hamster ?
Une personne qui n’a commis aucun délit, aucun crime est agressée publiquement et les seules questions sont :
– mais qu’est-ce qu’elle faisait là ?
– où est le père ?
La même chose pour les femmes et enfants violés !
« Mais qu’est-ce qu’ils faisaient là ?!
Ils l’ont bien cherché !
C’est mérité !
Mais qui a filmé la scène, c’est un coup monté, comme par hasard les caméras de la ville étaient en fonctionnement à ce moment ; à d’autres ?! »
Ah les extrêmes droites que vous soyez islamistes, « culbénistes », Nadine Morano, Le Pen, Zemmour, atrophiés du bulbe, vous passez votre temps à vous bouffer entre vous.
@ Catherine JACOB
Les honorables personnes que vous citez me semblent relever du régulier.
Ne disais-je pas que le christianisme n’existe quasiment plus que dans les monastères ?
Les sorties scolaires j’en ai fait plus d’une. Un cauchemar.
Pas étonnant que les fatmas s’y collent.
Dans les années 90/95 c’était déjà l’écologie.
Je me suis cogné la visite de toutes les déchèteries de la région. Les égouts de Paris.
Sauf une fois, où nous avons été à Canterbury visiter l’église où Thomas Beket a été assassiné par les barons d’Henri II Plantagenêt, on a vu aussi la tombe du Prince Noir, tout ça est passé au-dessus de la tête de nos enfants, ils sont revenus avec ces abominables confiseries anglaises et des drapeaux Union Jack alors que dans leur cour d’école française on avait supprimé toute trace de l’étendard bleu, blanc, rouge.
@ Marc GHINSBERG
Tout à fait d’accord avec vous. Cette tempête dans un verre d’eau a pris des proportions démesurées. Et les médias et éditorialistes de tous bords, une fois de plus, n’y sont pas pour rien. Jouer sur les peurs fait toujours recette, à croire que le public aime avoir peur.
A la lecture des commentaires et de la paranoïa qui suinte de la plupart d’entre eux, et en sachant ce qu’est vivre au milieu des gens voilés ou africains, je m’esclaffe. Où est la France éternelle combattante, sacrebleu ? Dans les voyages d’étude de Valeurs Actuelles ?!
M. Julien Odoul fait donc, dans le contexte que l’on sait, l’objet d’une plainte pour « violences en réunion par une personne dépositaire de l’autorité publique sur un mineur et un majeur à caractère racial », son comportement étant estimé islamophobe, et dès lors raciste. D’un point de vue juridique, il sera poursuivi sur le fondement de l’article 222-13 du Code pénal. Trois des circonstances prévues par cet article étant invoquées (1° : sur un mineur de quinze ans ; 5° bis : à raison de l’appartenance de la victime à une religion déterminée ; 7° : par une personne dépositaire de l’autorité publique à l’occasion de l’exercice de ses fonctions), il encourt sept ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende (dernier alinéa).
M. Odoul est-il vraiment la cible, est-il vraiment dans le collimateur du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) ? Je ne le pense pas vraiment ; je crois (et je crains) bien davantage que le but réel soit d’attaquer notre République, à travers notre Etat de droit. Que l’on me permette de m’expliquer (trop succinctement…).
L’intéressée était juridiquement dans son bon droit, nul ne le conteste plus, en tant que parent participant occasionnellement à l’exécution d’un élément du service de l’enseignement public. N’étant pas soumise à l’exigence de neutralité religieuse (hors prosélytisme), qui ne concerne que les agents du service, notamment les enseignants, elle ne tombait pas davantage sous le coup de la loi du 15 mars 2004, qui vise seulement les usagers que sont les élèves (cf., sur ces points, l’étude de l’assemblée générale du Conseil d’Etat du 19 décembre 2013).
Le but poursuivi par le CCIF, à mon sens, est de faire analyser par la justice (pénale) toute restriction à la liberté de manifester la religion musulmane comme étant, par nature, constitutive d’actes à caractère raciste, au sens de la loi. Qu’on ne croie pas que l’objet de cette action soit seulement de faire (lourdement) condamner cet élu, lequel se plaçait en dehors du champ d’application du principe de laïcité et de la loi de 2004 ! L’essentiel de ce qui est ainsi recherché est de faire dire que les restrictions en cause prévues par la loi dans les services publics, et notamment dans l’enseignement public, s’inscrivent dans le contexte d’une idéologie raciste, qui imprègne l’Etat de droit, et cela au nom d’une loi religieuse qui serait supérieure aux lois de la République française. Ces dispositions ont été reconnues conformes à la Constitution, mais certains s’en affranchissent pour se référer à un autre standard, en quelque sorte « supraconstitutionnel ».
Certes, M. Julien Odoul s’est trompé, il s’est fourvoyé. Mais va-t-on accepter pour autant de tomber dans ce piège diabolique qui nous est tendu, au seul dessein de remettre en cause notre pacte social ?
@ Denis Monod-Broca | 17 octobre 2019 à 17:53
« @ Pierre Blanchard
Comment empêcher, freiner, réduire… la ségrégation géographique ? Vraie grosse difficulté ! Qu’un interdit vestimentaire ne fera pas disparaître comme par miracle… »
L’ interdit vestimentaire, solution ou pas ???
De vous ou de mes réflexions, je ne sais lequel des deux à tort ou raison… mais je sais une chose, c’est que ce que je relate… c’est du VECU et ce que vous indiquez est de l’ordre de l’espérance !
Et, le « VECU » aurait bien plus tendance à se rapprocher de ce qu’indique Michel Deluré | 17 octobre 2019 à 17:10 que de l’espoir que vous nous proposez.
»@ Marc GHINSBERG 17/10 07:53
« En acceptant que des mamans voilées accompagnent des enfants lors de sorties scolaires, favorise-t-on le prosélytisme ou facilite-t-on leur insertion dans une société laïque ? »
Puisque vous optez pour la seconde hypothèse, je crains alors que l’objectif que vous escomptez ait du mal à être atteint.
Si vous fréquentez en effet certains quartiers de nombre de nos villes même moyennes, vous constaterez qu’au vu de la population qui y réside il y a souvent plus de têtes voilées pour accompagner ces sorties scolaires que de têtes non voilées.
Espérer dans ces conditions que ces sorties soient facilitatrices d’insertion relève de l’illusion. On serait même en droit de se demander si l’inverse ne serait pas plutôt susceptible de se produire, à savoir que des femmes non voilées, alors en minorité, finissent par s’intégrer au final à cette communauté musulmane !
Mais tout ceci est de l’ordre de la confrontation d’idées qu’il convient toutefois de confronter à la réalité des faits.
Monsieur le Président Macron ferait bien, de temps à autres, non de s’en rappeler, puisqu’il fuit ce problème depuis deux ans, mais de sortir de ses théories fumeuses pour indiquer ce qui devrait être le cap à suivre…
Or, en la matière, le « en même temps » commence sérieusement à faire preuve de sa totale inefficacité, même et surtout, au sein de son parti LREM qui fuit de tous côtés…
Nous avons eu un « capitaine de pédalo », avons-nous un capitaine d’opérette ?
https://www.youtube.com/watch?v=ml7L6Ag0Zw4
@ Tomas | 17 octobre 2019 à 22:33A
« La lecture des commentaires et de la paranoïa qui suinte de la plupart d’entre eux, et en sachant ce qu’est vivre au milieu des gens voilés ou africains, je m’esclaffe. Où est la France éternelle combattante, sacrebleu ? Dans les voyages d’étude de Valeurs Actuelles ? »
J’adore ce genre d’intervention Tomas.
Ni NOM, ni ADRESSE exacte, vous qui ne SUINTEZ PAS, mais vous habitez où précisément, que votre propos soit confronté à une réalité de votre situation géographique et de votre vécu (ou soi-disant vécu, mais là je mets en doute ce qui ne devrait pas l’être… désolé)
Merci.
Pour Philippe : un autre billet s’il vous plaît, vite, qu’on en finisse avec ce voile et cette voilée en quête de célébrité !
@ Achille | 17 octobre 2019 à 07:36
Achille, il n’a pas interpellé l’accompagnatrice ! Il a demandé à la présidente du Conseil régional de faire le nécessaire pour que cette femme enlève son voile ou dans le cas contraire, quitte la salle. P. Bilger le précise dans son billet et c’est parfaitement visible sur la vidéo diffusée.
@ Michelle D-LEROY | 17 octobre 2019 à 19:49
Je ne pense pas que le port du voile soit une pacotille, mais plutôt un signe, et je pense que ce signe devient un leurre quand on fonce tête baissée dans le piège qu’il nous tend.
Comment peut-on être pris au sérieux quand on se montre pointilleux et intransigeant sur l’apparence, mais quand on ne se donne pas les moyens de lutter vigoureusement contre la délinquance ? C’est le message qu’envoie le monde politique. Odoul a donné à la personne dont il a demandé l’expulsion des cordes pour se faire fouetter puisqu’apparemment elle était dans son droit et maintenant c’est elle qui porte plainte, avec de bonnes chances de l’emporter. Je ne connais pas la théorie des jeux, mais il me semble qu’en agissant en franc-tireur et de façon spectaculaire, il a galvaudé ses atouts, et qu’au bout du compte, elle y a gagné quant à elle de bons atouts contre lui, pour sa cause à elle.
La loi est sans doute ambiguë pour que, bien qu’accompagnatrice scolaire, cette personne puisse arborer un vêtement plus ou moins, et plutôt plus que moins, religieux. Mais enfin, tant que la loi sera ambiguë, il vaudra mieux s’abstenir de la revendiquer pour finalement mordre la poussière. Ces escarmouches, loin de régler quoi que ce soit, finissent par servir la cause contre laquelle on lutte et font passer les élus pour des rigolos.
Ce n’est pas le voile qui est le problème, c’est la religion qui est derrière le voile. Le vêtement est un emblème. On veut anéantir l’emblème afin d’ignorer le problème. Voilà comment je vois les choses. Je me trompe peut-être, ce qui me réjouirait parce que ça signifierait que nous sommes sur la bonne voie.
@ Robert | 16 octobre 2019 à 22:34
Le dernier lien figurant sur votre commentaire ne mène pas à écouter Védrine, mais quelqu’un (pas Védrine) qui est face à Guillaume Durand.
@ Alpi | 17 octobre 2019 à 20:18
« Bon, franchement, on s’en cogne de ces extraits du Coran qui dit que… qui dit quoi… »
Je note que vous n’interpellez pas le loustic qui est à l’origine du propos, mais celui qui lui répond ; cela démontre votre prépondérance.
Du coup, vous n’en avez rien à faire quand cela vous donne tort ; c’est uniquement à ce moment précis que vous n’en avez cure.
C’est surprenant !
Moi, je fais plus que m’en cogner, je m’en fais même des hématomes tellement que je m’en tape.
Je démonte seulement vos mensonges, un grotesque qui prétend que cela parle de Muhammad, des Arabes et du Coran, alors que ça parle de Abram de la Torah et des Hébreux.
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@ Mary Preud’homme | 17 octobre 2019 à 20:07
« au mieux, en l’an 656 après JC, soit 12 siècles plus tard »
Muhammad selon Maxime Rodinson diplômé en langue arabe, turc, hébraïque, docteur en Histoire, directeur d’études à l’École pratique des hautes études (IVe section – Science des religions), indique une naissance et une mort sur la période 571? – 632 après JC.
Muhammad serait mort en 632 ; le Coran selon vous écrit en 656 et vous nous dites 12 siècles entre ces deux dates ; nous allons y réfléchir !
► Coran , qu’est-ce que.
– Régis BLACHÈRE, professeur à l’université de Paris-I, directeur d’études à l’École pratique des hautes études.
– Claude GILLIOT, agrégé d’arabe, docteur ès lettres, professeur à l’université de Provence.
► Qurʾān , qu’est-ce que.
– Helmer RINGGRENN, Emeritus Professor of Old Testament Exegesis, University of Uppsala, Sweden.
– Nicolai SINAI, Associate Professor of Islamic Studies, University of Oxford
Venant d’une traductrice de notice d’appareils électriques, à quoi pouvais-je m’attendre de mieux ?
Ni le voile, la burqa, le niqab, l’abaya, la circoncision, ne sont dans le Coran, mais dans la Torah-Bible.
@ Antoine Marquet | 18 octobre 2019 à 01:07
« Achille, il n’a pas interpellé l’accompagnatrice ! Il a demandé à la présidente du Conseil régional de faire le nécessaire pour que cette femme enlève son voile ou dans le cas contraire, quitte la salle. »
C’est la procédure habituelle dans toutes les réunions de ce genre que de s’adresser au président ou à la présidente de séance pour déposer une réclamation.
Cela ne diminue en rien la nature agressive et humiliante de l’intervention de Julien Odoul envers l’accompagnatrice. Je dirais même au contraire.
Je ne serais pas étonné que, suite à cet esclandre parfaitement regrettable car non justifié au regard de la loi sur le port du voile, nous trouvions prochainement encore plus de femmes voilées parmi les accompagnatrices scolaires et dans l’espace public, par simple réaction ou par défi.
On aurait pu s’en passer !
@ Tomas 17/10 23:04
Je tiens à vous rassurer, aucune quelconque paranoïa chez moi, simplement le constat d’un homme sur la réalité de l’évolution de son environnement depuis des décennies.
Et là où je réside, j’ai pourtant parfaitement conscience que les problèmes rencontrés sont loin d’être à la hauteur de ceux vécus en d’autres lieux.
Quant à la dimension prise par ce fait divers, à qui en incombe la responsabilité ? A celui qui, quelle que soit son appartenance politique, a dénoncé la présence de cette femme dans une enceinte tout de même symbolique ou à celle qui, tout porte à croire de manière délibérée, a joué la provocation ?
De grâce, ne vous trompez pas de pyromane.
C’est en fermant systématiquement les yeux sur de tels actes jugés anodins que nous laissons ainsi, insidieusement, le ver s’installer dans le fruit.
@ caroff
« Grâce aux impôts payés par mes parents j’ai pu aller gratuitement à « l’école de la République » mais pas plus et pas moins. »
Vous avez parfaitement compris que cette formule de « gratuité de l’école publique » relève de la fumisterie voire de l’escroquerie.
Quant aux parents qui sont obligés de fuir une « école de la République » tournant au pandémonium et de placer leurs enfants dans une école privée, ils sont obligés de payer deux fois…
https://www.radioclassique.fr/radio/emissions/matinale-de-radio-classique/linvite-de-renaud-blanc/
Nathalie LOISEAU
Son explication du voile… 10’40’’
C’est quoi dans certains quartiers pour une femme, soit se faire traiter de salafiste parce que l’on a un voile, soit de prostituée parce que l’on n’en a pas.
Résumons la solution selon Mme Loiseau : puisque certains quartiers « imposent » le port du voile aux femmes, le reste du pays doit accepter les femmes voilées… Pas question de « dire le droit » dans ces quartiers qui deviennent « un Etat dans l’Etat ». Elle rejoint en cela les points de vue de Messieurs Ghinsberg et Tomas.
@ Xavier NEBOUT | 17 octobre 2019 à 21:40
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« Les honorables personnes que vous citez me semblent relever du régulier. Ne disais-je pas que le christianisme n’existe quasiment plus que dans les monastères ? »
Lieux de prière et aussi, de tout temps, hauts lieux de culture jusques et y compris de nos jours.
Je répondais à cette abrupte affirmation de votre part : « les fadaises insupportables de leurs prêtres ignorants voire bien pire »
Je pensais en particulier à Pierre Teilhard de Chardin 1881-1995, prêtre jésuite et scientifique réputé, théoricien de l’évolution, à la fois un géologue, spécialiste de la Chine du Carbonifère au Pliocène et un paléontologue des vertébrés du Cénozoïque.
Cela dit, si Charlemagne n’a pas « inventé l’école », il est tout de même à l’origine d’une importante réforme :
En témoigne l’ Admonitio generalis de l’an 789, dont le chapitre 72 est consacré aux écoles :
« (…) Que les prêtres attirent vers eux non seulement les enfants de condition servile, mais aussi les fils d’hommes libres. Nous voulons que des écoles soient créées pour apprendre à lire aux enfants. Dans tous les monastères et les évêchés, enseignez les Psaumes, les notes, le chant, le comput, la grammaire, et corrigez soigneusement les livres religieux, car, souvent, alors que certains désirent bien prier Dieu, ils y arrivent mal à cause de l’imperfection et des fautes des livres. Ne permettez pas que vos élèves les détournent de leur sens, soit en les lisant, soit en les écrivant. Mais, s’il est besoin de copier les Évangiles, le psautier et le missel, que ce soient des hommes déjà mûrs qui les écrivent avec grand soin. »
L’accent est donc mis sur le respect des textes ainsi que sur la correction d’un langage permettant à la fois de comprendre et de s’exprimer et on s’y soucie des enfants de toutes conditions.
Mais comme l’a écrit Nietzche dans « La gaya scienza », ce qui conserve l’espèce (cité in extenso)
« Les esprits les plus forts et les plus méchants ont jusqu’à présent fait faire les plus grands progrès à l’humanité : ils allumèrent toujours à nouveau les passions qui s’endormaient — toute société organisée endort les passions — ils éveillèrent toujours à nouveau le sens de la comparaison, de la contradiction, le plaisir de ce qui est neuf, osé, non éprouvé, ils forcèrent l’homme à opposer des opinions aux opinions, un type idéal à un type idéal. Par les armes, par le renversement des bornes frontières, par la violation de la piété, le plus souvent : mais aussi par de nouvelles religions et de nouvelles morales ! La même « méchanceté » est dans l’âme de tous les maîtres et de tous les prédicateurs de ce qui est neuf — cette méchanceté qui jette le discrédit sur un conquérant, même lorsqu’elle s’exprime d’une façon plus subtile, et ne met pas de suite les muscles en mouvement, ce qui d’ailleurs fait diminuer le discrédit ! Ce qui est neuf, cependant, est de toute façon le mal, étant ce qui conquiert et veut renverser les vieilles bornes et les piétés anciennes ; et ce n’est que ce qui est ancien qui puisse être le bien ! Les hommes de bien de toutes les époques ont été ceux qui ont approfondi les vieilles idées pour leur faire porter des fruits, les cultivateurs de l’esprit. Mais toute terre finit par être épuisée et il faut que toujours revienne le soc de la charrue du mal. Il y a maintenant une doctrine de la morale, foncièrement erronée, doctrine surtout très fêtée en Angleterre : d’après elle les jugements « bien » et « mal » sont l’accumulation des expériences sur ce qui est « opportun » et « inopportun » ; d’après elle ce qui est appelé bien conserve l’espèce, ce qui est appelé mal est nuisible à l’espèce. Mais en réalité les mauvais instincts sont opportuns, conservateurs de l’espèce et indispensables au même titre que les bons : — si ce n’est que leur fonction est différente.»
Il a donc fallu que ces lois censées soustraire les fillettes de 6 à 13 ans à l’exploitation précoce du labeur domestique ou rétribué et les garçons de moins de 13 ans au travail à l’usine, réussissent à limiter le temps de travail mais pas complètement, comme le montre la loi du 2 novembre 1892 qui ramène la durée maximum de travail des enfants à 10 heures quotidiennes à 13 ans, à 60 heures hebdomadaires entre 16 et 18 ans », enfin lois qui stipulent une « obligation d’instruction et de scolarisation, et loi dont l’article 4 indiquait que l’instruction pouvait être donnée dans les établissements d’instruction, les écoles publiques ou libres ou dans les familles. L’école elle-même n’ayant donc jamais été ni obligatoire ni dépendante.
Ce qui explique cette caricature dans laquelle c’est par un âne qu’un prêtre fait signer une pétition contre ces lois (promulguées en 1881-1882) :
« « Taqqiya, un procédé connu qui n’opère efficacement que lorsqu’il est soutenu par un deuxième procédé redoutable : al-Madhlomiyyah, la victimisation. Après chaque attentat islamiste, une affaire de voile éclate ! L’art de gagner sur tous les tableaux par l’inversion accusatoire. » (Mohamed Louizi, cité par Sophie) »
Au passage, réfléchissons un peu sur ces trois événements qui ont fait la une médiatique ces dernières semaines, à savoir : « Haro sur Zemmour », « Rififi à la PP », « Voiles en folie», ne sont-ils pas, au fond, même si les Français à la mémoire de colibri ont déjà oublié les deux premiers, reliés par un même fil conducteur ?
Et si le lanceur d’alerte Eric Zemmour a fait l’objet de tant de tirs croisés, n’est-ce pas parce qu’il avait globalement raison et que ses craintes pouvaient être non seulement fondées mais encore dépassées ?
@ Mary Preud’homme
« Sans oublier la négation du peuple juif (élu) auquel Dieu s’était adressé le premier »
Là, on se demande si on doit pleurer ou pleurer de rire…
Parce que c’est non seulement avec des bêtises pareilles que les gens s’étripent aujourd’hui en Palestine et par voie de conséquence au coins de nos rues, mais cela tend à justifier l’athéisme de raison d’Etat et la dégénérescence de notre civilisation qui s’ensuit, et par voie de conséquence l’islamisme.
La première mesure à prendre, c’est d’interdire la con*erie !
Merci aux semtob et à Marc Ghinsberg de savoir être fidèles à nos valeurs, et de ne pas se laisser manipuler par ceux qui nous divisent et depuis si longtemps, à l’extérieur comme à l’intérieur, n’aboutissant qu’à la négation de ce que nous sommes.
L’interview de Védrine est celle du mercredi 16 novembre :
https://www.radioclassique.fr/radio/emissions/matinale-de-radio-classique/linvite-de-renaud-blanc/#livePlayer
Tout y est dit avec doigté et intelligence, arrêtons de nous tromper de bonne foi, et d’être les idiots utiles de la dérive islamiste contre les musulmans.
@ Antoine Marquet | 18 octobre 2019 à 01:20
Il faut écouter la session du 16 octobre.
Cordialement
@ Alain MEYET | 17 octobre 2019 à 23:04
Merci pour vos précisons juridiques.
Le problème qui demeure est bien que l’accompagnateur d’une sortie scolaire, dans l’exercice de sa fonction, n’est plus un « parent ». Qu’est-il si ce n’est de facto un collaborateur occasionnel bénévole du service public scolaire ?
Mais le courageux Conseil d’État, depuis la consultation de monsieur Jospin ministre de l’Éducation nationale, n’a jamais osé le décider une fois pour toutes et s’est contenté de circonlocutions juridiques qui font que ce sont les enseignants qui sont chargés d’accepter ou non la présence d’accompagnatrices voilées. Avec en plus une allégation de légalité !
D’où le fait qu’on puisse accepter comme droit d’être présente une femme, non pas voilée, mais habillée de pied en cape à l’identique des Iraniennes, tenue conforme à ce qu’exigent les Ayatollahs en Iran ! C’est-à-dire l’application de la charia dans l’espace public français…
Et la Justice française en vient à accepter une plainte du CCIF dans les conditions que vous dénoncez et avec les craintes que vous formulez à juste titre : « Certes, M. Julien Odoul s’est trompé, il s’est fourvoyé. Mais va-t-on accepter pour autant de tomber dans ce piège diabolique qui nous est tendu, au seul dessein de remettre en cause notre pacte social ? ».
Cependant, dans la vidéo que j’ai vue, j’observe que :
– monsieur Odoul ne s’est jamais adressé à la personne concernée, mais exclusivement à la présidente de l’assemblée générale du Conseil régional ;
– ce que vous décrivez a un nom : subversion, la même que celle utilisée par l’ultra-gauche.
Nous verrons donc si notre Justice a encore un semblant d’honneur en prenant des décisions qui oseront aller contre ce mouvement de subversion de notre République et de son Droit, en relaxant monsieur Odoul. A défaut, la « lutte inflexible » contre l’islamisme politique que monsieur Macron prétend vouloir mener ne sera que poudre aux yeux !
@ Robert | 18 octobre 2019 à 11:29
Merci beaucoup pour cette précision.
Cordialement.
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@ Aliocha | 18 octobre 2019 à 10:06
Désolé mais le lien que vous proposez n’est pas du 16 novembre et de toute façon il propose un entretien avec cette lumière éclairant l’Europe : Nathalie Loiseau. Cordialement
@ Mary Preud’homme 17 octobre 2019 19:27
« …le papa ce pourrait être aussi un flacon quelconque avec un simple numéro d’ordre.. »
Dans quelques années les papas (on ne dit plus les « mères », on ne dit plus les « pères ») ne seront plus reconnaissables qu’en passant le code-barre de la banque du sperme devant un scanner.
En même temps comme dit l’autre, une fois le papa identifié, la demande de pension alimentaire-éducation des enfants, sera réclamée. Comme il est de droit (demandez à Elusen il a l’article du code approprié dans son ordi).
Le droit, le droit, rien que le droit qu’ils disent…
Nous allons vivre, enfin, des moments rigolos 😀
Adéo Mary
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@ Savonarole 17 octobre 2019 à 22:21
Moi aussi, ‘maman’ bretonne MAIS sans coiffe, je suis allée UNE fois en sortie scolaire pour accompagner (charitablement, pour un établissement public…) des élèves de CM2 pour aller constater les dégâts de l’Amoco Cadiz à Portsall.
Ça puait le pétrole cinq kilomètres avant qu’on arrive, du coup on s’est retranché dans une crêperie du coin (principe de précaution ;)), les enfants se sont empiffrés de crêpes au sucre ou au beurre selon la bonne volonté de la crêpière qui gérait la colonie, en buvant du coca qui n’était pas encore Breiz.
Je l’ai fait une fois, mais comme je n’avais aucune revendication bretonnante à soutenir, je ne l’ai jamais refait.
@ Elusen 3:07
Vous êtes un fieffé menteur. Tromper c’est ce que vous faites le mieux et ça ne me gênerait pas dès lors que vos propos malveillants et faux ne risqueraient pas d’induire certains esprits en erreur et de polluer ce blog de bonne tenue.
Voici donc ce que j’avais écrit dans mon post du 17 oct 20:07 :
« La majorité des exégètes s’accordent pour situer l’écriture de la Bible (Premier testament) entre les VIIIe et IIe siècle av. J.-C…/… « Le plus ancien objet sur lequel on retrouve un texte biblique est l’amulette de Ketef Hinnom, datée vers 600 avant JC ».
« Quant au Coran, le prophète Muhammad étant illettré, il a commencé à être écrit, au mieux, en l’an 656 après JC, soit 12 siècles plus tard, en pillant d’un bout à l’autre les Saintes Ecritures des Juifs et des Chrétiens… »
Conclusion : entre 600 avant JC et 656 après, il s’est bien écoulé 12 siècles. Ce que tout le monde avait compris. Simple calcul arithmétique à la portée d’un enfant de CP !
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@ Xavier NEBOUT 10:01
Je vous informe que la phrase que vous citez en tête de votre post et dont vous avez pris prétexte pour m’attaquer bassement, me prêtant des intentions malveillantes et racistes à l’opposé des miennes, est proclamée chaque Vendredi saint lors de la prière universelle dans toutes les églises catholiques. Et, me semble-t-il, dans un esprit de réconciliation, de paix et de fidélité aux textes de l’Ancien Testament.
@ Aliocha
« …les idiots utiles de la dérive islamiste contre les musulmans. »
Ben voyons ! Mais oui bien sûr il faut faire comme eux le subtil distinguo:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_d%27Oran.
Il est bien connu qu’en matière d’attentats ils ne pratiquent pas l’amalgame et ciblent leurs futures victimes: dans un cirque par exemple, où mon épouse, âgée de 8 ans à l’époque, devait aller avec ses cousines
https://p7.storage.canalblog.com/74/15/702570/112302745.pdf
@ Mary Preud’homme
« …prétexte pour m’attaquer bassement, me prêtant des intentions malveillantes et racistes à l’opposé des miennes »
Rien que ça ! Mais d’où tirez-vous cette accusation ? Il faut que vous vous libériez d’une subjectivité parvenue à un niveau dangereux.
Ceci dit avec les termes « dans un esprit de réconciliation, de paix et de fidélité aux textes de l’Ancien Testament », vous confirmez que notre pauvre Eglise catholique ne comprend plus rien au christianisme lui-même puisque si le Nouveau Testament n’abolit pas l’Ancien, le sacrifice de Jésus n’a pas de sens.
Vatican II, le concile des homos, aura été une catastrophe mortelle pour l’Eglise, et la hiérarchie catholique corrompue corps et âme qui ne démord pas de son hérésie en la vendant au diable, doit être brûlée en entier sur les bûchers de l’Inquisition, pape compris – Dieu triera les siens…
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@ Catherine JACOB
Lorsque je parle de prêtres ignorants, il ne s’agit évidemment pas de Teilhard de Chardin, mais de ceux de Vatican II qui l’ont condamné.
Il y a d’ailleurs un terme qui traîne dans le vocabulaire bénédiction à leur sujet: « curés de me*de ».
Si vous êtes proche des monastères, je pense que vous êtes d’accord avec moi sur à peu près tout, quand bien même auriez-vous beaucoup de mal à l’avouer.
Bon, d’accord ! Lorsque je parle de tous les brûler, j’y vais peut-être peu fort…
Si vous écoutiez Hubert Védrine, hameau, vous sauriez que les terroristes représentent 0,1 % des musulmans, que ce sont eux qui sont, et de très loin, les victimes les plus nombreuses du terrorisme islamiste. Il est d’accord avec Blanquer, et moi aussi, sur le sujet du voile, il n’est pas souhaitable, mais l’interdire est parfaitement contre-productif, on l’observe tous les jours.
Ayons donc un peu confiance en nos valeurs, arrêtons de généraliser et de désigner à la vindicte l’ensemble des musulmans. Agissons avec doigté et intelligence, les idiots intelligents de Védrine sont ceux qui sont trop tolérants, j’y rajoute ceux qui ne le sont pas assez, tombant dans l’excès réciproque.
Le lien est effectivement celui que donne Robert, émission du 16 octobre.
Déversement de haine contre Zineb El Rhazoui qui accumule les fatwas et est contrainte de vivre sous protection policière cinq ans après l’attentat de Charlie Hebdo.
QUI, entre elle ou la « Môman » voilée de Dijon, voit réellement sa vie détruite ?
« Cette femme préfère faire pleurer son enfant qu’enlever son voile, garder son voile est plus important pour elle que les larmes de son enfant ? » (Zineb El Rhazoui)
« Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation » (Zineb El Rhazoui)
L’interpellation dans la salle du Conseil régional de Dijon qui a conduit à faire pleurer un garçon de dix ans a beaucoup ému les âmes tendres, forcément les larmes d’un enfant c’est toujours touchant, même si cela sert à la cause.
Pourtant je n’ai pas entendu ces mêmes cœurs tendres s’émouvoir des orphelins des policiers assassinés à la Préfecture de Police ni sur ce petit garçon qui à Magnanville avait assisté au meurtre de ses parents policiers. Il est vrai que ces derniers ont été protégés de la mise en scène médiatique par pudeur… et c’est tant mieux.
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@ Lucile
« Odoul a donné à la personne dont il a demandé l’expulsion des cordes pour se faire fouetter puisqu’apparemment elle était dans son droit et maintenant c’est elle qui porte plainte… »
Vous avez parfaitement raison car si on se positionne par rapport à la loi et rien qu’au droit, les paroles de J. Odoul sont répréhensibles et il aura tort juridiquement parlant.
Par contre il est heureux que par le passé proche ou plus lointain, certains esprits rebelles aient pu transgresser la loi, cela a été souvent le seul moyen de faire avancer la société sur toutes sortes de sujets.
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@ Robert
« Le problème qui demeure est bien que l’accompagnateur d’une sortie scolaire, dans l’exercice de sa fonction, n’est plus un « parent ». Qu’est-il si ce n’est de facto un collaborateur occasionnel bénévole du service public scolaire ? »
Pour moi, cela fait partie intégrante de l’environnement scolaire et si cet accompagnateur est susceptible d’accompagner des enfants de toutes confessions, notre loi devrait être aménagée, car il y a là bel et bien un vide juridique qui ne peut que soulever des protestations un jour ou l’autre.
Et si les protestations de ce jeune député, fussent-elles déplacées, pouvaient servir à compléter la loi, ce serait déjà une belle avancée dans la lutte contre les signes extérieurs de prosélytisme.
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@ Breizmabro
Je vois que vous aussi avez remarqué cette nouvelle mode de ne plus dire ma mère, mon père mais mon papa, ma maman.
Autant je trouve normal de parler de maman devant quelqu’un qui la connaît bien, autant je trouve cela un peu nunuche devant quelqu’un d’étranger à ma famille… pourtant cela est de plus en plus fréquent.
@ breizmabro | 18 octobre 2019 à 15:33
« Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation » (Zineb El Rhazoui)
Cette dame se trompe, dans nos familles de policiers, gendarmes et autres militaires, pompiers etc. on en parle énormément et l’on vit avec en permanence.
Et si l’on reste discret concernant nos proches, petits et grands qui doivent vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, c’est d’abord pour ne pas les exposer dans les médias, donnant ainsi leur souffrance en pâture, voire en faire de nouvelles cibles innocentes pour des terroristes qui ne reculent devant aucune ignominie dans leurs frappes sauvages !
Le nouvel argot
Dans une prose récente, ALFRED LELEU avait usé de trois mots que je ne connaissais pas. Je pourrais les élucider en explorant Trappes et Aulnay-sous-Bois la nuit et en devisant avec les habitants de ces endroits, le joint aux lèvres. Ne comptant pas y aller, je vais devoir acheter Abdelkarim Tengour, Tout l’argot des banlieues, le dictionnaire de la zone, en 2600 définitions, éd. de l’Opportun, 2018, où ces trois mots sont traduits en français. Ce sera plus court et moins risqué.
@ Pierre Blanchard
Mais je vous en prie, vous avez droit à des précisions. J’ai vécu plusieurs années récemment dans une banlieue du 93 en ZEP intégrale avec un jeune sur deux au chômage. J’ai déjà été le seul Blanc dans un wagon de RER, ça fait bizarre au début mais après on s’y fait. Et cætera. Il y a sûrement des endroits bien pires que le mien, j’admets, mais pas mal de mes visiteurs ont été un peu déroutés au début, j’admets.
Vous ne m’avez pas bien lu sinon, j’ai dit que le problème était technique et se limitait à faire appliquer la loi. Il n’est pas évident de faire en sorte que la pression sociale de la famille et du quartier en faveur du voile ne s’exerce plus, sauf à adopter un régime fasciste. Quant à interdire le port du voile ou tout symbole religieux, c’est liberticide.
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@ Michel Deluré
Je suis comme Pierre Blanchard était avant mon message, dans l’ignorance de votre environnement. S’il se dégrade c’est la faute à la hausse de la population mondiale et à la mondialisation basée sur la surconsommation des ressources, pas à cause des immigrés ou des musulmans. Sauf si vous habitez un charmant village du Bassin parisien devenu centre-ville d’une ville nouvelle, évidemment. C’est le progrès, que voulez-vous.
Quant à la responsabilité de ce malheureux événement, elle en revient aux deux si la dame a voulu provoquer, ce qu’on ne peut exclure. Même si on doit constater que sans la fine intervention de l’élu du FN cette tempête dans un verre d’eau n’aurait pas éclaté. Il faut deux idiots pour déclencher une polémique stérile et ce n’est pas ça qui manque dans les rangs du FN et des islamistes. Plus la presse qui a trop monté en épingle ce qui n’est qu’un fait divers.
@ breizmabro | 18 octobre 2019 à 15:33
Attentat dans une mosquée en Afghanistan : au moins 62 morts
Publié le 18 octobre 2019 à 8h16 – Agence France-Presse
Physicians for Social Responsibility, ONG prix Nobel de la paix en 1985, estimait qu’en Irak de 2003 à 2015, il y avait eu aux alentours de 655 000 morts.
Plus de 370 000 morts en Syrie de 2009 à 2019.
Cependant, c’est vous tous qui passez votre temps à parler d’un épiphénomène !
Certains sont même allés jusqu’à en parler sur des sujets sans rapport et après vous venez chialer ; alors que la solution hé bé, c’est que vous la fermiez, tout simplement, du coup vous ne passerez plus votre temps à pleurnicher.
Si vous vous souciez tant que de ça des orphelins, vous n’avez qu’à donner à l’UNICEF, payer vos impôts au lieu d’utiliser des niches fiscales ou pratiquer l’évasion, mais les orphelins des quatre personnels de police, en réalité vous vous en tamponnez.
Comme il y a toujours pire ailleurs, faites comme les assistantes sociales et la police dans l’affaire d’Outreau, laissez quatre enfants être violés, parce que, eux, ce ne sont pas des orphelins et c’est stabilisant d’avoir un papa, une maman.
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@ Mary Preud’homme | 18 octobre 2019 à 13:35
Vous avez mal écrit votre paragraphe ; à vous de l’assumer !
Mais vous n’assumez jamais rien, ce qui vous rend sans dignité, sans honneur.
Contrairement à vous et la majorité des autres lascars j’ai lu ces dégénérés de Torah-Bible et le Coran, des lors je sais que vous ne valez pas mieux les uns que les autres.
Vous n’assumez même pas ça : la pédophilie, le cannibalisme, les génocides prônés par la Torah-Bible !
Et je pourrais ajouter toutes les parties qui font la promotion de l’esclavage.
Judaïsme, christianisme, musulmanisme, vous êtes un danger pour les démocraties, le libre-arbitre, la liberté de conscience, la souveraineté des Nations et des peuples, car votre dieu les interdit.
Vous devez être déclarés comme secte, dissous et traités comme des organisations criminelles, tels que les francs-maçons, les bandes organisées, les mafias, les proxénètes, etc.
@ Aliocha | 18 octobre 2019 à 15:25
1 % ? Vous êtes sérieux ? Alors que 30 % des musulmans estiment que la charia est supérieure aux lois de la République ?
Onfray à juste titre dénonce en plus le nouveau pacte germano-soviétique entre la gauche et les musulmans.
Votre foi vous aveugle.
@ Michelle D-LEROY | 18 octobre 2019 à 16:14
Comme suite à vos remarques :
a) nous attendons une loi ou un décret qui dicte les obligations vestimentaires dans les écoles, collèges, lycées, facultés, réunions publiques.
Cela évitera de rester dans le flou actuel (chacun interprétant les arrêtés à sa façon).
b) Monsieur Julien Odoul a eu parfaitement raison de signaler la surprenante apparition d’une abaya dans l’enceinte du conseil régional.
Les reproches que certains lui font sont injustifiés, d’autant que le scénario était préparé à l’avance, peut-être même avec la complicité de la présidente.
c) Les débats qui n’en finissent pas sur ce sujet démontrent que la France est en plein désarroi et que la haine que véhiculent les musulmans que nous accueillons est bien vivace.
Rappelez-vous le sort des moines de Tibhirine et comparez-le avec ce qui vient de se passer.
Très cordialement.
@ Mary Preud’homme 18 octobre 2019 à 16:55
Bien évidemment que vous et votre entourage pensez à ces orphelins de leurs papas 😉
Ce que veut dire Zineb El Rhazoui c’est que la presse, elle, n’en parle plus, de ces orphelins de pères assassinés, c’est fini, on tourne la page, place à l’enfant de Fatima E. qui pleure parce que sa… maman a préféré ne pas enlever son voile dans cette salle immense malgré ses pleurs.
Contrairement à ce que disent certains psys cet enfant ne sera pas traumatisé à vie (!) par l’intervention de Odoul vis-à-vis de sa ‘maman’ mais par le fait que sa ‘maman’ a préféré ne pas enlever son voile revendicateur et a préféré, publiquement, ne pas être une ‘maman’ comme les autres mères de ses copains qui l’accompagnaient.
Les enfants de 8-10 ans ne supportent pas que leurs parents fassent exception.
A partir de maintenant l’enfant de Fatima E. ne sera plus dans son école que l’enfant de Fatima E. Et pas sûr que tous ces copains et copines en soient fiers.
@ Michelle D-LEROY 18 octobre 2019 à 16:14
« …autant je trouve cela un peu nunuche devant quelqu’un d’étranger à ma famille »
Oui mais ça fait toujours son petit effet avec les journalistes.
Si on dit « cette femme était voilée et son enfant a pleuré parce qu’elle s’est distinguée des autres femmes présentes » ça ne vaudra pas un clou.
Par contre si vous dites « cet enfant de 10 ans a pleuré parce que sa ‘maman’ seule femme voilée dans cette salle immense… », ça change tout.
La corde sensible pour faire pleurer dans les chaumières, c’est la base.
@ Tomas
« …ça fait bizarre au début mais après on s’y fait. »
Ahaha ! J’adore ! On dirait une pub pour de la vaseline.
Vous faites pareil en toutes choses de la vie ?
« Vous avez mal écrit votre paragraphe »
Rédigé par : Elusen | 18 octobre 2019 à 19:13
Pris en flagrant délit de mensonge et de diffamation, c’est tout ce qu’il trouve à dire pour se justifier. Ce n’est pas lui qui a essayé de tromper, de ridiculiser l’adversaire en déformant ses propos, c’est l’autre qui se serait mal exprimée du fait de son inculture dûment soulignée au passage. Pauvre type !
Excellents commentaires, qui montrent une chose : nombreux sont les Français qui ont compris de quoi il retourne, et qui sont parfaitement documentés sur l’islam. Cela n’empêche pas les excusistes, dont nous avons quelques exemplaires ici.
Reprenons donc : il n’est pas question de voile. Ce n’est pas un problème vestimentaire. Quand des Algériens brandissent le drapeau algérien sur les Champs-Élysées, vous ne dites pas : c’est un problème textile. Le voile est le drapeau de l’armée islamique conquérante. C’est assez simple à comprendre. Qu’il soit brandi par des femmes ou des hommes n’a aucune espèce d’importance. Il y a des femmes dans l’armée.
Et puis il faudrait éviter ce vice si français, consistant à se perdre dans les détails en montant une usine à gaz. J’en vois déjà qui se demandent gravement si le voile dans les sorties scolaires, le voile à la maison, le voile aux guichets de la R-r-république… J’en vois déjà qui sortent leur code pénal, leur Conseil constitutionnel, qui commencent à couper les cheveux en quatre…
On s’en moque, du voile. Le voile est un détail de la Troisième Guerre mondiale. On risque encore de passer des plombes à légiférer gravement sur des décimètres carrés de tissu, alors que notre maison est en feu, comme dirait l’autre.
Nombreux sont les intervenants qui ont remis les pendules au centre du village : le cirque de la pauvre môman avec son petit n’enfant est une provocation pure et simple, organisée, préméditée. La preuve : son avocat porte plainte pour « violences en réunion », alors que Julien Odoul n’a pas porté le petit doigt sur elle. Son avocat Maître Sana Ben Hadj Younes. Ben Hadj. Le fils de celui qui a fait le pèlerinage à La Mecque. Il faut vous faire un dessin ?
La subversion musulmane s’insinue partout. « Fatima E. » (on n’a pas le droit de connaître son nom ? c’est une délinquante, elle aussi ?) s’emploie à subvertir le langage, en plus de tout le reste. S’inscrivant ainsi dans un mouvement de masse dirigé par les islamistes, la gauche, et plus généralement les grandes puissances autocratiques, impérialistes et anti-occidentales qui ont le vent en poupe : Russie, Chine, Turquie.
Ces derniers font semblant de croire que « violence » veut dire : mots pabien, opinion que je ne partage pas, critique quelconque adressée à un membre d’une catégorie protégée. Et ils tentent d’inscrire cette déviation dans la loi. Au niveau domestique comme au niveau international.
Une fois le langage détruit et la liberté d’expression supprimée (enfin, ce qu’il en reste), la véritable violence suivra et la tyrannie pourra s’établir. Le futur n’étant pas tout à fait adapté, en l’occurrence.
A ce sujet, il conviendrait que la plainte de la madame soit purement et simplement rejetée. Par la femme de ménage de la concierge du livreur Deliveroo du greffier du tribunal. Afin d’apprendre à Maître Ben de mes fesses ce qu’est vraiment la « violence » — et on pourra agrémenter la réponse de la « République » d’une main dans sa g…, afin d’illustrer le petit dictionnaire du français tel qu’on le parle en France, par opposition au pays du trou du c… du monde où son papa a fait son « pèlerinage ».
Hélas, je crains que de bien plus augustes personnages ne soient mobilisés pour fournir à ces messieurs-dames la réponse qu’ils méritent, contribuant ainsi à gonfler un peu plus la dépense publique qui nous ruine.
Il faut bien comprendre une chose : ici, c’est le voile, mais demain, une autre fatma, ou un autre Maître Ben Machin pourra se pointer dans les tribunes du public à l’Assemblée nationale, avec une ventouse à déboucher les goguenots sur la tête, et hurler à « l’islamophobie » et à la violence si les huissiers le prient de se la carrer là où je pense. Nos invités venus d’ailleurs nous expliqueront alors que le port d’une ventouse à déboucher les WC sur la tête est une prescription irrémédiable de leur sainte religion, et qu’on insulte leur prophète en les requérant d’en faire un meilleur usage.
Ainsi, dans différents pays du monde, dont les Etats-Unis, les musulmans ont inventé une nouvelle règle : la présence d’un chien les insulte. Tout à fait par hasard, il s’agit des chiens d’aveugles, et tout à fait par hasard, les protestataires sont des chauffeurs de taxi musulmans qui possèdent un monopole de fait sur le transport entre des aéroports et la métropole qu’ils desservent.
Décodage : c’est nous qui faisons la loi dans s’pays, nous la modifions quand ça nous chante, nous nous attaquons aux plus faibles pour humilier le peuple ennemi (nous refusons de transporter les passagers aériens aveugles accompagnés de leur chien) ; et si jamais vous n’êtes pas d’accord, on vous bloque l’aéroport tout entier. Parce que nous sommes de pieux musulmans ouverts à l’Autre, porteurs d’une religion d’amour et de paix.
Bien entendu, les musulmans se moquent de nous en nous tapant un scandale avec leurs chiens. Cet animal est certes considéré comme impur par leur fausse religion de barbares, mais quand les douaniers du Pakistan (pays créé pour abriter les pauvres musulmans des méchants islamophobes qui leur veulent du mal) ont besoin de détecter la drogue dans les bagages, ils utilisent des chiens comme tout le monde, et aucun musulman ne se sent insulté.
Deux poids, deux mesures, et je déplace la cage de buts à roulettes quand je veux.
Comment fait-on pour lutter contre des vicieux pareils ? On interdit le voile, certes, mais avant tout on adopte une stratégie découlant d’un diagnostic : nous sommes en butte à une invasion, on nous fait la guerre, par conséquent nous devons combattre l’ennemi jusqu’à la mort.
Donc peu importe le voile. On commence par sécuriser nos frontières, par interdire l’immigration, par expulser les indésirables, par les interner si nécessaire (tels les Japonais aux Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale), et surtout l’on montre notre résolution à l’ennemi.
Cela implique de lui faire mal précisément là où il hurle préventivement afin que l’on ne fasse rien. Cela implique de faire assaut « d’islamophobie », de « racisme » et de « fermeture à l’Autre ». Cela implique de montrer à l’ennemi que son cirque intimidatoire ne marche pas. Et cela nécessite de démonter les salades des idiots utiles de souche, par la même occasion.
Il faut donc piétiner ostensiblement quelques-uns des symboles de l’islam qu’on nous met sous le nez : le voile, les minarets, les mosquées tout entières, le halal, le « prophète » Mahomet… C’est justement parce que toutes ces choses-là sont si « saintes » pour eux (soi-disant) que nous devons montrer notre infini mépris à leur égard.
C’est une position de principe. Une fois ce principe arrêté, l’intendance suivra et les bureaucrates feront leur travail. Il ne restera qu’à déterminer le cocktail adéquat de mesures suffisamment insultantes pour communiquer notre détermination.
Par exemple, les Suisses ont adopté la combinaison suivante : interdiction de l’abattage halal (oui, oui, interdiction, pas seulement « régulation », et ce depuis le XIXe siècle… et au passage, l’abattage casher est également prohibé) ; et interdiction des minarets. Si avec ça, t’as pas compris que ta religion de m…, on n’en veut pas… Bon, ça n’empêche pas les musulmans de Suisse d’avoir à leur tête un Nicolas Blancho, tout ce qu’il y a de plus autochtone comme son nom l’indique, et qui malgré tout veut imposer la charia ; ni d’héberger 25 % d’étrangers, et en particulier des « Français comme vouzémoi » venus du pays voisin pour se livrer à la délinquance. Mais personne n’a dit que ce serait facile…
Pour mener victorieusement ce combat, il faut aussi porter le fer dans la plaie de ce bubon infecté : les peigneurs de girafe fonctionnarisés. Plusieurs commentateurs ont utilement expliqué cette particularité française, la sortie scolaire, qui nous a valu cette grotesque provocation musulmane au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.
Cela seul suffirait à justifier la suppression des sorties scolaires, et à remettre les enfants au travail. Comme si le but de l’école était d’en sortir ! Comme si les fonctionnaires-professeurs étaient payés pour faire faire du tourisme aux écoliers ! Non seulement cette détestable engeance s’emploie à décerveler les enfants qui lui sont confiés, comme le montre l’état de plus en plus désastreux de la population en matière d’alphabétisation, de calcul et d’histoire, mais en plus, elle se moque ouvertement de nous en emmenant les enfants en promenade !
Non seulement ça, mais même pour ne pas faire leur travail, les profs sont trop fatigués ! Suivant en cela un grand classique du fonctionnariat français, ils font faire leur non-travail par les gens qu’ils sont censés servir : les cochons de contribuables.
C’est ainsi que nous avons été habitués à considérer comme normal que des « bénévoles » (c’est-à-dire des parents, des usagers, des clients) soient mis à contribution pour ces fameuses « sorties scolaires ». Une intervenante se demande gravement comment les écoliers pourraient encore aller à la piscine apprendre la natation, si les « mamans » ne les y accompagnaient pas (voilées ou non).
Eh bien… par exemple… si les professeurs d’éducation physique faisaient leur travail ? Qui inclut, naturellement, la torture ultra-libérale consistant à accompagner les enfants à la piscine ou au stade ? Professeur d’éducation physique est déjà, dans s’pays, une arnaque notoire permettant de bénéficier du même traitement et de la même retraite qu’un prof normal tout en en faisant trois fois moins, ce qui n’est déjà pas grand-chose. Pas de copies à corriger, pas de cours à préparer, peu d’heures de cours et une matière qui, disons… ne nécessite pas d’efforts intellectuels exagérés. Et en plus, il faut qu’ils fassent « accompagner » leurs élèves par les parents ? Le moquage de figure est véritablement exceptionnel.
Sans surprise, les musulmans s’infiltrent dans cette termitière vérolée par la paresse des fonctionnaires bien de chez nous. Vous avez besoin de « bénévoles » ? Mais comment donc ! Nos « mamans » vont s’en charger ! N’en faisant pas une rame de la journée, elles non plus, financées qu’elles sont par la bonne dépense publique allocatoire, elles ont tout le temps pour endoctriner les petits Blancs (qui le sont de moins en moins) aux beautés de l’islam. Pour enfoncer dans la tête des gens l’équation service public = islam. Et pour taper un scandale de temps à autre, avec poursuites judiciaires à la clé.
Plus fondamentalement, il faut bien comprendre qu’il n’y a pas d’islam « radical » et d’islam pacifique. Pas plus qu’il n’y avait de nazisme « extrémiste » à côté d’un nazisme gentil et mignon. Tous les Allemands étaient des ennemis. Ils ne cherchaient qu’à obtenir une vie meilleure, pour eux et leurs enfants (*) ? Justement. C’était bien le problème. Ils cherchaient à le faire à notre détriment. En conséquence, il a bien fallu en tuer un certain nombre, « pour encourager les autres », comme on dit en anglais.
Mais nous sommes civilisés, nous. Nous avons tué juste le nombre nécessaire. Nous ne sommes pas des monstres assoiffés de sang.
Nous avons bien constaté, ces derniers jours, l’inanité grotesque de cette distinction illusoire entre un mystérieux « radicalisme » même pas qualifié de musulman, et l’islam normal censé ne poser aucun problème.
Emmanuel Macron a eu des propos stupéfiants suite à l’attentat de la Préfecture de police. Le Figaro rapporte :
« Pour autant, Emmanuel Macron a reconnu que ‘les institutions seules ne suffiront pas’ pour en finir avec ‘l’hydre islamiste’. Le président de la République en a appelé à ‘la nation toute entière qui doit s’unir, se mobiliser, agir’. ‘Nous ne l’emporterons que si notre pays se lève pour lutter contre cet islamisme souterrain qui corrompt les enfants de France’, a-t-il affirmé. »
« Il a notamment prôné une ‘écoute attentive de l’autre’ pour ‘savoir repérer à l’école, au travail, dans les lieux de culte, les relâchements, les déviations. Ces petits gestes qui signalent un éloignement avec les valeurs de la République’. Emmanuel Macron a ainsi proposé d’établir une ‘société de vigilance’, et non du ‘soupçon qui corrode’. »
» ‘Opposons à la haine l’intransigeance républicaine, à l’obscurantisme l’amour de la raison et son exigence. Faisons bloc, tous ainsi réunis. Face au terrorisme islamiste, nous mènerons toujours le combat et à la fin nous l’emporterons car nous avons cette force d’âme. Nous le faisons pour nos morts, pour nos enfants, au nom de la Nation’, a conclu le chef de l’État.’ «
Quouâââ ? Il faudrait se mobiliser contre l’hydre islamiste ? Il faudrait savoir repérer à l’école, au travail, dans les lieux de culte, les relâchements, les déviations ? Mais… mais… c’est de l’islamophobie ! C’est de la discrimination !
Les injonctions du président de la République violent explicitement la loi, qui interdit toute provocation à la haine ou à la discrimination en raison d’une religion. Il l’a fort bien compris, d’ailleurs, puisqu’il se contredit lui-même dans son discours : il faudrait établir une « société de vigilance », « faire bloc, tous réunis » pour « savoir repérer les déviations » (autrement dit, il appelle à un régime totalitaire de surveillance mutuelle et de dénonciation), mais il ne faudrait surtout pas que cette société soit celle « du soupçon qui corrode » ! Il faudrait savoir… on ne peut pas, à la fois, réclamer une chose et son contraire.
Pour mieux comprendre cette opposition illusoire entre « radicalisation n’ayant rien à voir avec l’islam » et « véritable islam pacifique de la plupart des musulmans », il faut lire intégralement l’analyse que Richard Landes a écrite pour la Middle East Review of International Affairs, avant de la republier sur son blog Augean Stables (Les Écuries d’Augias).
Un commentateur a obligeamment indiqué que « mettre le da’wa » signifiait, en argot arabo-français, créer le désordre. Mais cela veut dire bien plus que ça. Comme l’expose Richard Landes, cela veut dire, à l’origine, convertir à l’islam par des moyens de persuasion et d’intimidation s’arrêtant juste avant la violence — et je vous laisse méditer sur le fait que les Arabes français eux-mêmes ont popularisé le sens par extension de cette expression : subvertir, créer le chaos et l’émeute.
Il faut lire ce long texte d’un Juif américain « islamophobe » et « raciste », ancien élève de l’École normale supérieure et vivant en Israël. Il explique comment le djihad (prosélytisme par la violence) et le da’wa (prosélytisme par la pression politique) se complètent, alternent chez les mêmes individus, et sont en fait les deux côtés de la même pièce : le califatisme, c’est-à-dire ce mouvement visant à établir le pouvoir politique et totalitaire de l’islam sur le monde entier.
C’est interminable, nuancé, érudit, irréfutable, autrement dit c’est juif, c’est du Finkielkraut en anglais — mais il faut bien se cogner les travaux des canaris dans la mine si l’on veut éviter que celle-ci ne s’écroule sur nous. Et puis Richard Landes emploie le mot « padamalgam » en français dans le texte, donc vous savez ce qui vous reste à faire…
Au passage, il faut noter qu’on n’est pas aidés, avec les sous-doués du Front national. Après les intolérables « violences en réunion » dont a été victime la pauvre « môman » voilée au conseil régional de Bourgogne, une élue de ce parti l’a poursuivie jusqu’aux toilettes, en hurlant : « Quand les Russes vont arriver, vous allez dégager ! » Mais bien sûr… c’est papa Poutine qui va venir te border dans ton lit, pauvre cloche.
On n’est pas aidé, non plus, par les sous-doués de l’aplaventrisme, comme le faux chrétien (et curieusement macrono-maniaque) Aliocha (18 octobre 2019 à 15:25) : « Si vous écoutiez Hubert Védrine, hameau, vous sauriez que les terroristes représentent 0,1 % des musulmans, que ce sont eux qui sont, et de très loin, les victimes les plus nombreuses du terrorisme islamiste. »
Tout à fait. Les guerres se décident à la majorité. Si t’as pas 50 % + 1, tu remballes tes Kalachnikov et tes couteaux de boucher, et tu t’inclines sportivement devant ta défaite. En Allemagne nazie aussi, les membres de la Gestapo ne représentaient que 0,04 % de la population (**). Quant aux Allemands de l’époque, on peut dire à bon droit qu’ils ont, eux aussi, été victimes du nazisme. Et ? donc ? il ne fallait pas faire « d’amalgame » ? Il ne fallait surtout pas dire du mal du nazisme, « parce que les Allemands n’attendaient que ça » ? Il ne fallait pas faire la guerre à l’Allemagne, sans distinguer entre « bons » et « mauvais » Allemands ayant compris le nazisme tout de travers ?
Il faut lire Les Entretiens oubliés d’Hitler, 1923-1940, d’Eric Branca, aux éditions Perrin. Les interviews qu’il a données à la presse européenne et américaine avant la guerre rappellent furieusement les protestations de pacifisme de nos musulmans « modérés » contemporains, et celles de leurs défenseurs dhimmis en Occident. Quant à l’aplaventrisme des journalistes qui ont réalisé ces entretiens, il n’a rien à envier à celui des maîtres du politiquement correct qui tiennent les médias aujourd’hui.
______
(*) L’une des principales justifications de l’idéologie nazie, largement oubliée aujourd’hui, consistait à fournir des terres supplémentaires aux agriculteurs allemands, afin d’augmenter leur niveau de vie. Le nazisme était, pour une grande part, un paysanisme impérialiste et militariste.
(**) Compte tenu des chiffres suivants : 32 000 membres de la Gestapo en 1944, 80 millions d’Allemands au recensement de 1939 (Autriche comprise).
@ Breizmabro 18 octobre
Merci.
Dans mon post du 16 octobre à 20:19 rappelé ci-après, j’avais déjà fait part de ces mêmes réflexions :
« Autre remarque concernant les pleurnicheurs compulsifs sur les malheurs des musulmanes empêchées de se voiler de pied en cap par pure provocation, dès lors que rien dans la religion musulmane ne les oblige à se déguiser de la sorte, à plus forte raison en y associant leurs enfants victimes innocentes de leurs excès de prosélytisme, provocations, voire fanatisme ? Autant d’enfants utilisés comme des boucliers par ces militantes inconscientes et cruelles pour servir leur cause, voilà le vrai scandale que les médias devraient dénoncer… »
« Par ailleurs, que ces pleurnicheurs militants d’associations gauchistes, s’ils veulent faire œuvre utile commencent par s’interroger sur la vraie souffrance d’enfants, de parents ou de conjoints qui viennent, eux, de perdre dans des circonstances atroces l’un de leurs proches, victime du terrorisme islamiste aveugle. Ou même sont confrontés jour après jour à l’angoisse de ne pas voir rentrer le soir un père, une mère ou un fils comme beaucoup que je connais et dont on ne parle jamais ».
@ Robert (18 octobre 2019 à 12 h 7, en réponse à mon commentaire du 17 octobre 2019 à 23 h 4)
Dans mon commentaire, je m’étais limité à signaler un aspect particulier, qui me paraît préoccupant, des problèmes susceptibles d’être soulevés par cette affaire. Vous prenez davantage de champ, et vous avez sans doute raison.
Puisque vous évoquez la question des collaborateurs occasionnels du service de l’enseignement public, effectivement au coeur du débat, voici quelques éléments factuels. Le Conseil d’Etat, en assemblée générale, dans son étude publiée le 19 décembre 2013, s’est nécessairement borné à présenter l’état du droit positif ; ce n’est pas pour autant qu’il s’est défilé !
Sans doute les accompagnateurs de sorties scolaires, dans l’exercice de leurs fonctions, ne sont-ils plus des parents, mais des collaborateurs occasionnels bénévoles du service public scolaire, ainsi que vous l’analysez clairement. Toutefois, en l’état du droit en vigueur, ces personnes ne constituent pas une catégorie juridique reconnue, prédéfinie, « pertinente » dit le Conseil d’Etat, qui existerait entre les agents du service public et ses usagers, et qui bénéficierait à ce titre d’un statut particulier. On peut seulement les considérer, a priori, soit comme des tiers au service soit comme des usagers de ce service.
Considérant que les parents d’élèves ont un lien évident avec le service public, le Conseil d’Etat statuant au contentieux les a depuis longtemps regardés comme des usagers.
Dès lors, ces collaborateurs occasionnels, dans l’exercice de la liberté de manifester leurs opinions religieuses qui leur est reconnue, doivent toutefois s’abstenir de toute forme de prosélytisme (port de la burqa ou du niqab, d’ailleurs interdits en vertu de la loi du 11 octobre 2010, mais pas seulement) et faire en sorte de ne pas troubler le bon fonctionnement du service, question examinée au cas par cas (en conséquence de l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, partie intégrante du bloc de constitutionnalité).
La loi du 15 mars 2004, qui encadre le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les établissements scolaires, ne pouvant trouver application s’agissant des parents d’élèves et une telle réglementation ne pouvant résulter que de la loi, le Conseil d’Etat, avec le pragmatisme qu’on lui connaît, fait observer néanmoins que « les exigences liées au bon fonctionnement du service public de l’éducation peuvent conduire l’autorité compétente, s’agissant des parents d’élèves qui participent à des déplacements ou des activités scolaires, à recommander de s’abstenir de manifester leur appartenance ou leurs croyances religieuses » (p. 34 de l’étude).
Ce faisant, ce n’est pas un moyen de botter en touche, c’est reconnaître, implicitement mais nécessairement, que c’est au législateur de prendre ses responsabilités, sous le contrôle du Conseil constitutionnel ; autrement dit, la balle est dans son camp (leur camp ?)…
Quant à la plainte dont est l’objet M. Julien Odoul, il est normal qu’elle puisse être déposée (pose davantage problème, à mon sens, la faculté reconnue à des associations de se porter partie civile, mais cela est un autre débat). La question de son bien-fondé est tout autre chose ; mais, comme je l’ai dit par ailleurs, ce n’est pas ce qui est recherché par le CCIF…
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@ Robert Marchenoir 18 octobre 2019, à 22 h 24
Vos développements sont d’un intérêt certain, leur mérite étant de présenter des bases de réflexion. Toutefois, il ne faut pas écarter du débat les questions juridiques, car, en fin de compte, c’est grâce à la qualité ou à cause de l’insuffisance de notre Etat de droit que nous réussirons à traiter ces problèmes ou qu’ils nous échapperont définitivement.
Mais le droit n’a certainement pas le monopole de ces questions. Les juristes, les hommes politiques, les praticiens, les intellectuels, en réalité tous les citoyens intéressés, doivent manifester leur intérêt, voire leurs préoccupations. Néanmoins, qu’on le veuille ou non, on ne s’en sortira que par une volonté politique clairement affirmée (qui devra passer tôt ou tard, ne vous en déplaise, par une adaptation de la Constitution ou du bloc de constitutionnalité).
@ Robert Marchenoir | 18 octobre 2019 à 22:24
Bob – je me permets – je vous ai lu entièrement, pour l’instant je n’ai pas eu le temps de trier, parfois il me semble que c’est génial en dehors de certaines obsessions, mais quand on vous connaît… ou plutôt vous lit en entier, on ne sait plus, une relecture s’impose à tête reposée.
Deux choses qui n’ont rien à voir avec ce que vous avez écrit, car je suis à bout de souffle, d’ailleurs vous devez avoir un coeur de champion, lors des épreuves à l’effort vous devez faire sauter les compteurs, non ?
Donc deux choses :
Tout d’abord la réponse à Tomas de hameau dans les nuages – je ne sais pas le fond – je l’ai trouvée excellentissime du style pub pour le savon Bébé Cadum de l’époque, et qui m’a bien détendu après vous avoir lu :
@ Tomas
« …ça fait bizarre au début mais après on s’y fait. »
Ahaha ! J’adore ! On dirait une pub pour de la vaseline.
Vous faites pareil en toutes choses de la vie ?
Rédigé par : hameau dans les nuages | 18 octobre 2019 à 22:11
La deuxième, étant donné que nous sommes concentrés sur le futur match contre le pays de Galles l’heure n’était pas à l’analyse de votre texte – vous nous pardonnerez, Mon voisin est déjà sur le terrain et rien ne saurait l’en distraire, je n’envisage donc pas pour le moment de lui poser de questions sur votre prose, il m’enverrait balader, donc peut-être à plus tard.
Quant à ma leste coiffeuse, c’est trop tard je lui ai déjà confié ma tête, et ce sera pour un autre jour.
Bob, mon pouls est redescendu à la normale, il faut dire que cette fois-ci vous avez mis le paquet et c’est ma montre chrono qui me le dit elle ne se trompe jamais.
C’est bien ça, Marchenoir a été s’entraîner à l’impitoyable épuration et nous revient documenté.
A hydre, hydre et demie, le voilà qui s’adonne à son prosélytisme de guerre civile, confondant nation et religion, il n’est que l’instrument de l’ennemi.
Ma position n’est pas pacifique, et réclame l’application stricte des lois.
La référence au nazisme ne témoigne que de psychologies désaxées, la vieille névrose française qui n’admet pas la défaite de son désir impérial et, incapable d’accomplir son destin européen, ne sait répondre à la déviance que par la déviance, et vient vous traiter d’aplaventriste pour légitimer ses excès.
En conséquence, nos opinions divisées par ce genre de boutefeux irresponsables affaiblissent nos démocraties qui, tour à tour, se vautrent dans le jaune des gilets ou du bazar catalan, sans parler de l’état du royaume britannique, de l’Italie ou des pays de l’Est, traversés par leur délire moyenâgeux, et finissent par nous offrir à l’Ottoman, qui lui se souvient quels alliés luttaient entre eux il y a cent ans pour se partager ses dépouilles, flairant l’odeur de la vengeance.
Continuez donc à fustiger ces Français pas plus idiots que vous, Marchenoir, qui savent ce qu’est en train de faire Erdogan avec les réfugiés syriens, avec les Frères musulmans, et qui se désolent de vous voir non pas marcher, mais courir aux pièges qu’on vous tend, et nous affaiblir plus que la majorité d’entre eux, à abandonner ainsi nos principes fondamentaux.
Je l’ai déjà prouvé et n’y reviendrai pas, votre hydre est une imposture à l’image de celle de nos ennemis, retournez donc vous entraîner à vos impitoyables épurations, le fait même que vous employiez ces termes témoigne de votre dangereux aveuglement, non sur eux, mais sur vous-même.
@ Mary Preud’homme | 18 octobre 2019 à 22:21
▬ « Pauvre type ! »
Vous vous posez donc comme le contraire, la sale bourgeoise !
▬ « diffamation »
La traductrice de notice électrique n’a pas l’air de savoir ce que cela veut dire.
À deux doigts d’écrire qu’il y aurait eu extorsion.
Il vaut mieux savoir faire usage d’un mot avant de l’employer.
Vous avez écrit n’importe quoi et mal écrit votre propos, assumez-le !
Une personne a comptabilisé le nombre de personnes assassinées directement par dieu dans la Torah-Bible, c’est plus de 2,8 millions en dehors des génocides de l’humanité et des exterminations.
Dans la Torah-Bible les peuples agissant sur son ordre ont tué jusqu’à 25 millions de personnes.
Cependant ma précédente intervention a été réécrite par quelqu’un d’autre, car elle était plus longue.
@ hameau dans les nuages | 18 octobre 2019 à 19:21

« Alors que 30 % des musulmans estiment que la charia est supérieure aux lois de la République ? »
C’est un pseudo-sondage fait pour le compte d’une obscure fondation qui a volé le nom d’un mort, Jean Jaurès ; créée en 1992, Jean Jaurès mort en 1914.
Comme si Jean Jaurès avait donné son accord pour être associé à ça !
Par la loi et la Constitution, il est interdit de faire des statistiques racialistes et religieuses, de ficher les personnes, comment auraient-ils pu interroger des Français musulmans puisqu’ils ne savent pas qui ils sont ?!
Ils auraient interrogé par téléphone 1 012 de 15 ans et plus ; et cela en 14 jours !
Vos 30 %, cela fait 300 personnes pour la charia !
Puisque les statistiques religieuses sont interdites, il n’y a aucun fichier des Français musulmans, pour être représentatif, il faut une comparaison, mais à partir de quoi ?!
C’était quoi la question au téléphone ? « bonjour êtes-vous musulman ? »
Ils sont donc allés à la pêche.
Les répondants savent-ils ce qu’est la charia ?
Car il y a un grave problème dans ce truc ; être pour la charia et le droit des homosexuels en même temps ?!
Pour la charia et la laïcité en même temps ?!
Ce sont des alcooliques vos musulmans, puisqu’ils vont jusqu’à trouver à plus de 53 % qu’il y a trop d’immigrés en France et que les personnes sans emploi sont fainéantes.
En somme, ce sont de bons gros cons de beauf, 100 % français quoi !
Qui est majoritairement pour la charia ?
Page 53, les mômes !
Vite, vite, vite chameau dans les nuages, les ados ça pense !
Et surtout, la deuxième catégorie pour la charia, ce sont les étrangers, ceux nés hors de France, et qui n’ont pas la nationalité française, à 41% ; comme les Français musulmans pensent qu’il y a trop d’étrangers en France, ben les 41 % sont dans la m*rde !
Mon dieu que c’est sérieux un sondage !
@ Elusen
Monsieur,
Plusieurs d’entre nous ont dialogué avec vous. Je ne suis pas de ce nombre.
Sur Facebook, un prof de prépa, commentant un de mes scribouillages, écrit : « On peut remonter du pseudo à l’IP, si on est un peu hacker. »
En vous lisant, j’ai cru comprendre que vous étiez, entre autres choses, vous-même « un peu hacker ». Auriez-vous l’amabilité de m’expliquer comment procéder ?
@ Alain MEYET
« Toutefois, il ne faut pas écarter du débat les questions juridiques, car, en fin de compte, c’est grâce à la qualité ou à cause de l’insuffisance de notre État de droit que nous réussirons à traiter ces problèmes ou qu’ils nous échapperont définitivement. »
La France est depuis très longtemps – influence romaine oblige – un pays imprégné de droit, parfois jusqu’à l’extrême.
Je crois savoir que pour les Chinois, la France est « le Pays des lois ».
Le problème est que ces lois sont dans certains cas ignorées, inappliquées voire carrément foulées aux pieds par ceux-là mêmes qui prétendent s’en faire les garants, alors que dans d’autres elles sont invoquées autour de questions aberrantes dans un pointillisme complètement surréaliste selon lequel le juridisme étouffe la justice et ce qui devrait être son esprit.
Notre pays qui sombre dans une délectation morose à se vautrer à mauvais escient dans ce pointillisme, est tout simplement en train de courir à sa perte s’il ne redresse pas la barre en remettant le bon sens au cœur de la Cité.
Ce point faible n’a pas échappé à des gens qui ne nous veulent pas que du bien :
« Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques nous vous dominerons »
(Youssef al-Qaradâwî)
@ Patrice Charoulet | 19 octobre 2019 à 07:36
Il y a un bon moment que mon Elusinou chou a été démasqué, pas la peine d’être hacker, il sévit aussi en temps que troll islamomacronien sur le blog à Roufiol ; ses Wikifakes l’ont trahi, c’est un patho haineux, seul au monde, abandonné de son entourage, sa solitude est un poison qui lui a dévoré ce qui lui restait de neurones, il maudit la terre entière et se venge sur les blogs, méthode connue, il n’est pas le seul, rassurons-le et ayons pitié de lui.
Par contre il est spécialiste en Wikiporn, il joue en nocturne (3h37), si ça vous intéresse contactez-le à ce sujet il est expert en matières, heu… restons courtois.
Le 0,1 %, hameau, et non pas 1, concerne la population musulmane mondiale. Ecoutez donc Védrine, cela vous évitera d’être contaminé par Marchenoir.
Vous croyez à quoi, Exilé, à Youssef ou à nos lois ?
Nous vaincrons les déviances, car nous les vaincrons par l’affirmation du Droit, et non en se vautrant dans la transgression contaminante de ses principes fondamentaux.
Vous avez raison M. Bilger: « encore un effort M. le Président »… tirez-vous.
@ Patrice Charoulet | 19 octobre 2019 à 07:36
« On peut remonter du pseudo à l’IP, si on est un peu hacker. »
Connaître l’IP d’un internaute ne vous servira strictement à rien si vous n’êtes pas un expert en informatique.
D’ailleurs il n’est pas nécessaire d’être un hacker chevronné pour ce genre d’investigations que personnellement je réprouve.
Il est plus facile d’identifier un internaute directement en parcourant ses commentaires sur les réseaux sociaux, Facebook en particulier, où beaucoup de personnes se laissent aller à des confidences, photos et informations parfois très personnelles.
Une personne s’est même vantée, sur ce blog, d’avoir obtenu les coordonnées de Marchenoir, pourtant très avare de confidences, sans même être passé par son IP.
Pour répondre au dernier commentaire d’Exilé (19 octobre 2019 à 8 h 28), on ne peut que vous approuver dans votre souci de vouloir faire prédominer le bon sens sur le juridisme et le pointillisme ; autrement dit, de vouloir que la justice puisse fonctionner comme il est souhaitable. Et comme nous sommes, dans notre propos, dans la sphère du droit pénal, permettez-moi de vous livrer ces quelques réflexions, émanant de M. Alain Bauer, professeur de criminologie au Conservatoire national des arts et métiers (magazine « C dans l’air » de France 5, 12 octobre 2019, 55e à 57e min), qui raisonne sur l’état actuel du Code pénal et de la justice pénale…
https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/1078865-c-dans-l-air.html
« Il y a des pulsions irrésistibles de l’exécutif et parfois du Parlement, qui considèrent que de manière permanente il faut réformer le Code pénal. Ce qui fait qu’il grossit, il grandit, il devient incompréhensible. (…)
« La technicalité devient un enjeu, y compris pour les magistrats. Il y a de plus en plus de recours permanents sur des fautes de procédure, qui ne remettent pas en cause le travail intellectuel ou pénal des magistrats, mais alors… Il manquait 24 heures, il manque une signature, il manque un truc ! Donc parfois, on libère des criminels endurcis (…).
« L’erreur de signature, le manque de greffiers, le manque de moyens, le manque de policiers, le manque de magistrats est un sujet, ce n’est pas seulement une sorte de revendication syndicale. C’est que le système judiciaire en son ensemble, ce qu’on appelle la chaîne pénale, et que je préfère appeler le système pénal ou le processus pénal, est en perdition. (…)
« Il y a un manque considérable de moyens humains à l’intérieur du dispositif ; je ne parle pas des moyens matériels, parce qu’on va rester polis… Mais il y a là une justice et une police paupérisées, et qu’il ne faut pas sous-estimer, et qui pose des problèmes de lenteur, de complications, de difficultés d’enquête, et d’erreurs : tous les ans, il y a un millier de jugements qui sont réformés par le Casier judiciaire national pour une faute de procédure dans le jugement final… »
Méditons ces propos, ils disent à peu près tout de ce qu’est devenue notre justice pénale en France…
@ Aliocha
« Nous vaincrons les déviances, car nous les vaincrons par l’affirmation du Droit, et non en se vautrant dans la transgression contaminante de ses principes fondamentaux. »
Pour l’instant, avec des gens qui ignorent tout de la nature profonde de… – disons l’adversaire – , de son idéologie et des conséquences historiques et humaines de cette dernière et qui parfois collaborent à ses projets de conquête, c’est plutôt mal parti, surtout quand en plus leur préoccupation première est de tourner le Droit contre ceux qui ont été les premiers à lancer l’alerte sur les méthodes employées par ledit adversaire…
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@ Alain MEYET
« …le manque de moyens, le manque de policiers, le manque de magistrats »
Ah ! Manque de moyens ! Que de dénis de justice commet-on en ton nom…
La justice relève-t-elle avant tout d’une attitude, d’un engagement, d’une morale, d’une volonté de servir voire d’un sacerdoce couplés à un solide bon sens ou bien uniquement d’une question sordide de « moyens », sans pour autant nier la nécessité de faire appel à ces derniers en ce bas monde ?
Quand il faut poursuivre tel ou tel homme politique gênant ou tel journaliste qui a le tort d’appeler un chat un chat et Rollet un fripon, bref, quand il faut bâillonner la liberté d’expression, les « moyens » ne manquent pas, au contraire, ni même les enquêtes préliminaires mobilisant des OPJ et tout le toutim…
Ne serait-il pas préférable d’affecter la débauche de « moyens » ainsi mobilisée à la défense de la survie de la France et des Français ?
Petit cours de sémantique.
Certains avaient évoqué le hidjab ; j’avais parlé de l’abaya qui est effectivement une robe à laquelle était associé un hidjab ou tchador en Iran.
Au cours d’une lecture du Figaro Magazine ce matin, j’ai trouvé en note de bas de page le terme « jilbab ».
Si l’on fait une recherche avec le moteur le plus utilisé, on obtient des photographies très évocatrices du vêtement de l’accompagnatrice scolaire.
Figurait aussi un entretien avec monsieur Stanislas Guerini, porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Où l’on comprend que le « port du voile » des accompagnatrices scolaires n’est pas la priorité et que la lutte contre l’islamisme « radical » n’est pas près d’être gagnée.
Nous en sommes toujours à discuter du sexe des anges, tandis que Byzance est assiégée et près de tomber !
En ce qui concerne la disputation entre le député Aurélien Taché qui a publiquement et gravement mis en cause monsieur Blanquer ministre de l’Education nationale, l’heure est à la recherche de l’apaisement par monsieur Guerini.
Quant à la conception de la laïcité, un monde sépare les macronistes entre eux, certains comme madame Marlène Schiappa ayant une interprétation stricte, d’autres comme monsieur Taché faisant de l’entrisme au profit de l’islamisme…
@ Alain MEYET
« …le manque de moyens, le manque de policiers, le manque de magistrats »
Ah ! Manque de moyens ! Que de dénis de justice commet-on en ton nom…
La justice relève-t-elle avant tout d’une attitude, d’un engagement, d’une morale, d’une volonté de servir voire d’un sacerdoce couplés à un solide bon sens ou bien uniquement d’une question sordide de « moyens », sans pour autant nier la nécessité de faire appel à ces derniers en ce bas monde ?
Quand il faut poursuivre tel ou tel homme politique gênant ou tel journaliste qui a le tort d’appeler un chat un chat et Rollet un fripon, bref, quand il faut bâillonner la liberté d’expression, les « moyens » ne manquent pas, au contraire, ni même les enquêtes préliminaires mobilisant des OPJ et tout le toutim…
Ne serait-il pas préférable d’affecter la débauche de « moyens » ainsi mobilisée à la défense de la survie de la France et des Français ?
Sur fond de débats électrisés concernant l’insécurité, l’immigration et l’identité, la question des mères accompagnatrices voilées provoque des attaques inacceptables et irresponsables à l’encontre du principe de laïcité et de ses défenseurs. Ces controverses ne contribuent pas à un débat serein.
Le Préambule de la Constitution de 1946 proclame que « la loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme » et affirme que « l’organisation de l’enseignement public gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l’Etat ».
Ce texte, qui a valeur constitutionnelle (par renvoi du préambule de la Constitution de 1958), énonce ainsi avec force le rôle intégrateur de l’école, lieu de travail et d’émancipation où des élèves, vulnérables, sont appelés à forger leur liberté de conscience.
Encadrer des élèves dans le temps des activités scolaires ou durant un temps pédagogique revient manifestement à contribuer à l’éducation, laquelle ne se réduit pas à un enseignement mais emprunte aussi la voie de l’exemplarité.
En ce sens, il est discutable de soutenir qu’un accompagnateur serait un simple usager de l’école, bien que l’état actuel du droit ne permette pas d’interdire à des mères d’élèves de participer à un tel encadrement sous le seul motif qu’elles portent un voile.
Il est évidemment difficile de donner une protection normative – sous forme de lois contraignantes – à un ordre symbolique, issu d’un pacte séculaire de discrétion, dans lequel la religion ne s’exhibe pas et ne déborde dans l’espace public que de manière limitée (processions traditionnelles, sonneries de cloches, musées, etc.). Un ordre symbolique dans lequel la femme donne volontairement à voir (au travers de la visibilité de sa personne) qu’elle n’est ni asservie ni reléguée, et que ce n’est pas à elle, mais à l’homme, de contrôler la libido masculine.
Mais l’univers scolaire, en tout état de cause, appelle des règles claires et non équivoques, pour préserver nos enfants et protéger toutes les familles du prosélytisme et de l’assignation. C’est une condition essentielle du projet émancipateur de la République.
Depuis plus d’un siècle, le principe de laïcité a permis de faire société, dans un respect mutuel et dans la cohabitation paisible de la croyance et de l’incroyance.
C’est la voûte commune et protectrice qui préserve à la fois l’intérêt général et la liberté de conscience.
Il appartient, au plus haut niveau de l’Etat, de rappeler rapidement toute la portée et toute la grandeur du principe émancipateur qu’est la laïcité, pour réaffirmer les principes républicains et pour réunir un pays fragmenté.
@ Alain MEYET
« Il y a un manque considérable de moyens humains à l’intérieur du dispositif ; je ne parle pas des moyens matériels, parce qu’on va rester polis… Mais il y a là une justice et une police paupérisées, et qu’il ne faut pas sous-estimer, et qui pose des problèmes de lenteur, de complications, de difficultés d’enquête, et d’erreurs : tous les ans, il y a un millier de jugements qui sont réformés par le Casier judiciaire national pour une faute de procédure dans le jugement final… (Alain Bauer) »
Il est évident que la justice manque de moyens humains et matériels tout comme la police. A cela on peut rajouter l’hôpital et bien d’autres domaines.
En ce moment une grève dénommée « droit de retrait » par les syndicats, suite à un accident, démontre aussi une restriction de personnel à bord des trains, alors que la violence et l’insécurité s’installent partout.
Sans vouloir excuser les syndicats de la SNCF que j’ai maudit moult fois, sachant que cette compagnie est très endettée et que les contribuables mettront la main à la poche, malgré cela je pense que le manque de contrôleurs à bord des trains pose un réel problème aussi.
On a beau dire qu’il y a trop de fonctionnaires, moi je pense qu’il y a surtout une mauvaise répartition de ceux-ci et qu’à force de rogner sur les effectifs, préférant payer des chômeurs et des aides sociales, on arrive à une saturation des services et à des difficultés insurmontables tout en ne faisant pas d’économies au final.
Après il faut savoir ce qu’on veut. Il faut aussi que l’Etat fasse ses comptes.
@ Alain MEYET | 19 octobre 2019 à 12:35
Pour ma part, de mémoire, je situe en 1993 la complexification de la procédure pénale.
Il est à cet effet utile de lire la chronologie qu’en a faite La Documentation française. Il est dommage que ce document s’arrête à l’année 2005 : https://www.vie-publique.fr/politiques-publiques/justice-penale/chronologie-justice-penale/. Mais l’on perçoit bien l’inflation législative après l’année charnière 1993-94.
Avec un défaut majeur à mon sens : le législateur a privilégié la forme sur le fond…
@ Greaudon | 17 octobre 2019 à 16:36
Je suis tout à fait d’accord avec votre commentaire. L’ennemi islamique a pour l’instant le choix des armes: camion, kalash, bombe, couteau, voile, foulard…
Par mesure de précaution, il ne fallait pas laisser M. Harpon à la Préfecture de Police. Comme il ne faut pas laisser les « mamans » voilées accompagner les sorties scolaires.
@ Achille | 19 octobre 2019 à 11:53
Requête de Patrice Charoulet à Elusen | 19 octobre 2019 à 07:36
(avec la déférence pateline qui convient à sa requête…)
« Monsieur,
…Sur Facebook, un prof de prépa, commentant un de mes scribouillages, écrit : « On peut remonter du pseudo à l’IP, si on est un peu hacker. »
En vous lisant, j’ai cru comprendre que vous étiez, entre
autres choses, vous-même « un peu hacker ». Auriez-vous
l’amabilité de m’expliquer comment procéder ? »
———
Et voici la névrose revenue du monsieur, qui aimerait
découvrir les adresses IP, les noms des intervenants et si
possible leur adresse mail…
Dans quel but ?
Bien évidemment dans l’intention d’inonder leur boîte de sa prose, de ses « pauvretés », de ses « scribouillages », etc. (sic)
Tout ça pour se donner l’illusion d’exister enfin, malgré sa collection de 300 dictionnaires et son herbier de 2908 citations littéraires, oxymores, adages, pensées profondes etc.
Je ne sais pas comment on nomme cette psycho-pathologie.
Le concours est ouvert… Mais le cas est intéressant.
Ce qui m’intrigue, au cas très hypothétique où il obtiendrait satisfaction, c’est que ce serait peu gratifiant qu’il ne le garde que pour lui… Et donc, j’attends avec gourmandise qu’il écrive :
Hé hé, Savonarole, hé hé, Breizmabro, je connais
votre adresse IP, je connais votre adresse mail,
na-na-naire etc.
Et de plus, la procédure pour ce faire serait publique, puisque décrite sur ce blog !
Ce monsieur est complètement barjot qui a tenté d’avoir mon adresse mail par l’intermédiaire de Pascale Bilger laquelle fort aimablement m’a demandé mon avis (j’ai refusé). Par sa requête à Elusen, il essaie de contourner Pascale Bilger qui a son mot à dire sur ce genre de divulgations…
Audiard avait donc raison quand il a écrit :
« Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît… »
@ Jean-Pierre
« Depuis plus d’un siècle, le principe de laïcité a permis de faire société, dans un respect mutuel et dans la cohabitation paisible de la croyance et de l’incroyance. »
C’est fou ce que l’on peut nous rebattre les oreilles ces temps-ci avec des gens paraît-il paisibles qui sortent de toute part…
Tenez, voilà à quoi ressemblent par exemple ces paisibles partisans de la laïcité à la française :
https://eldorhaan.wordpress.com/2019/10/18/guillaume-perrault-quand-les-catholiques-etaient-des-citoyens-de-seconde-classe/
Des gens paisibles comme ceux-là, je les appellerais plutôt des fous furieux…
@ Achille | 19 octobre 2019 à 11:53
Avec l’identité de l’état civil, vous avez plusieurs solutions légales pour trouver une personne.
1° – vous vous déplacez dans un endroit pour consulter le Journal Officiel sans restriction, car celui publié sur Internet a des restrictions dues à la loi CNIL.
Vous pouvez obtenir la naturalisation, la date de naissance, le lieu de naissance.
2° – le registre du cadastre et le registre des hypothèques sont publiques, mais consultables sur place pour certaines choses.
Souvenez-vous j’avais obtenu légalement l’identité d’un propriétaire sur un bien immobilier tout simplement en demandant par courriel aux Finances publiques chargées des impôts fonciers, j’avais même mis le lien sur le document qu’ils m’avaient communiqué ; cela concernait un député.
3° – la secte : l’Église des saints des derniers jours, dits les mormons, ont eu une autorisation de l’État français et de la CNIL pour avoir accès aux registres de l’Etat civil.
Leur secte impose de baptiser tous les ancêtres d’une personne qui se convertirait à leur courant.
Ils ont pour obligation d’y permettre un accès public ; il semble que la décision de la CNIL ait été abrogée depuis, mais pas l’accord passé dans les années 1960.
4° – les condamnations publiques: vous pouvez y avoir accès en en faisant la demande auprès du Tribunal de Grande Instance, mêmes celles qui ne sont pas les vôtres.
J’ai demandé celle des Balkany !
5° – consulter le bulletin d’information de la Cour de cassation, les arrêts y sont tous publiés, ainsi que le Bulletins des arrêts.
6° – le registre du commerce qui est public, vous pouvez obtenir l’adresse personnelle du PDG et là par Internet.
7° – le journal officiel des associations, en allant consulter sur place à la Préfecture vous obtenez le statut, le nom, la profession des membres du conseil d’administration, même l’adresse des responsables.
Etc.
Après, il y a des petites techniques non légales, mais très simples, pour obtenir des documents, tels que l’extrait de casier judiciaire, une fiche d’état civil.
Pour comprendre comment fonctionne le da’wa, le djihad politique (et en particulier celui qui se livre à l’aide du voile islamique), il suffit de suivre l’actualité et de relier les pointillés.
1. Un musulman « bien sous tous rapports » assassine quatre policiers à la Préfecture de police de Paris où il travaille.
2. Quelques millions de Français supplémentaires sortent la tête du sable, deviennent « racistes » et « islamophobes », et réclament des mesures.
3. Le président de la République pète un plomb, oublie sa propre partition et se met à appeler à la dénonciation citoyenne de « l’hydre islamiste ».
4. Trois jours plus tard, une « maman », qui se dévoue la main sur le cœur pour accompagner les sorties scolaires de ces racistes de petits Français, visite tout à fait par hasard un temple de la République. Elle se fait violenter en réunion par des fachos d’extrême droite, sous prétexte qu’elle porte le voile.
5. Une semaine après, l’un de ces médias aux mains des suprématistes blancs, Le Parisien, publie une guirlande d’interviews larmoyantes de musulmanes voilées. Elles racontent comment elles se font terroriser, dans le métro, par des beaufs radicalisés.
6. Pratiquement au même moment, le même journal montre à quoi sert le voile en réalité : une musulmane conduit sur une voie de tramway en Seine-Saint-Denis, la police l’arrête, elle refuse de montrer ses papiers, elle insulte les policiers, elle ameute le voisinage, prétend qu’elle est contrôlée parce qu’elle porte le voile, fait l’apologie du terrorisme. Elle a un chien d’attaque dans sa voiture, il se montre agressif, les policiers sont obligés de le tuer (*).
7. Épouvantée par cette lâche agression raciste, une gentille musulmane anonyme pleure toutes les larmes de son corps sur Twitter : « J’suis choquée , les policiers ils ont agressee une femme voilée , ils voulaient lui retirer le voile . Y’a un homme qui est venu les défendre avec son chien , ils ont tué la chien à la fin. » (Grammaire, orthographe et ponctuation conservées.) Sur sa photo, elle porte le voile. Elle affirme vivre à Manchester, et affiche le drapeau du Pakistan sur son profil.
« Depuis que j’habite en Angleterre ; j’ai jamais subi le racisme . J’ai toujours été accepter avec voile partout . La prof de ma petite sœur en école primaire est voilée et porte souvent une abaya. La cantine de l’école est halal . Pourtant c’est une école publique chtetienne. »
Son pseudonyme est Mimi Uzi. Comme c’est mimi… Pour ceux qui n’auraient pas les prodigieuses connaissances de Mary Preud’homme sur les armes à feu, je précise qu’Uzi est une marque de pistolet-mitrailleur israélien, favorite des terroristes arabes et communistes depuis les années 70. C’est l’une des armes utilisées par Mohammed Merah pour ses assassinats de 2012…
Mais à part ça, ce sont les gentilles musulmanes anonymes du Parisien qui sont les pauvres victimes. Leur discours est parfaitement rodé (prénoms modifiés) :
« Sarah, 19 ans, étudiante en psychologie à Nanterre : » (Que ferions-nous sans les musulmanes qui se dévouent pour faire psychologie à Nanterre ?) « Ce qui m’a d’abord frappée, ce sont les regards hostiles dans les transports. »
Houlàlà… quelle horrible persécution, les « regards hostiles » dans les transports… Nous autres, beaufs de souche, on aurait plutôt tendance à être assassinés par les musulmans pour cause de « mauvais regard »… réel ou supposé… aucun rapport avec le « regard » que les Européens portent sur l’islam, naturellement.
« En tant que femme, on doit déjà faire preuve de vigilance. Avec le voile, c’est redoublé. »
Euh… si t’es davantage menacée « en tant que femme » avec le voile que sans le voile, pourquoi tu le mets ? gourdasse ?
« On me demande parfois si on m’a imposé le voile ou non, sans mauvaise arrière-pensée, sans réaliser que c’est grave de soupçonner ça. »
Rôlàlà, oui, c’est grave… les gentilles musulmanes ne sauraient être soupçonnées de rien. Elles sont blanches comme la colombe et pures comme le yaourt sans OGM. Ne serait-ce que penser un truc avec lequel des musulmans ne seraient pas d’accord est crès crès grave. Même vouloir défendre les musulmanes est intolérable !
« Bien sûr, ce genre de cas existe, surtout à l’étranger, et ça me brise le cœur. »
Pauvre chérie… D’ailleurs, c’est notre faute. C’est nous qui obligeons les musulmanes du Bouboukistan à porter le voile.
« Mais nous, on n’est pas les porte-parole de toutes les musulmanes dans le monde qui portent le voile. »
Bien sûr que non. L’islam n’a rien à voir avec l’islam.
« J’ai l’impression que les hommes politiques préfèrent parler du voile plutôt que d’être interrogés sur les vrais problèmes de notre société. »
Voilà. Parlons des vrais problèmes de notre société : la justice sociale, le racisme, l’islamophobie…
« Quitte à faire des musulmans des boucs émissaires. »
Tout à fait. Ce sont les Juifs qui ont massacré tout le monde au Bataclan.
« Parler de nous à la troisième personne, ça nous déshumanise. »
De même qu’il faut interdire les caricatures de Mahomet, il faut interdire la troisième personne. Notez l’apparition d’un nouveau mot-slogan en provenance des Etats-Unis : « déshumaniser », ça veut dire ne pas passer son temps à chanter les louanges des « catégories protégées ». Et chacun sait bien que la « déshumanisation » est le préambule aux fours crématoires.
« Zouna, 55 ans, travaille comme agent territorial spécialisé dans une école maternelle à Paris. » (Que ferions-nous sans les immigrés venus faire agent territorial spécialisé ?) « Elle enlève son voile tous les matins en arrivant au travail. »
Euh… si tu peux l’enlever pour travailler, c’est que tu peux aussi l’enlever le reste du temps, non ?
« Aujourd’hui, il y a des regards un peu gênants, parfois même méchants dans le métro. »
C’est vraiment effroyable, l’islamophobie. Il y a des regards méchants dans le métro. Que fait la police ?
« Je porte le voile [un turban précisément, NDLR] depuis mes 22 ans mais en France, je ne porte plus de djellaba. Comme pour le ramadan et la prière, je pense qu’il faut se faire discrète avec le voile. Cela passe par le fait de faire attention lors des sorties scolaires. Je me souviens de la réaction d’un enfant de trois ans, une fois, après avoir vu une femme voilée vêtue d’une robe noire. Il a dit que c’était Zorro, il avait vraiment peur… »
C’est une musulmane modérée. Nous sommes censés nous liquéfier de reconnaissance à ses pieds.
« Hind, 22 ans, est née à Bordeaux. Elle prépare aujourd’hui à Lyon un master de sociologie. » (Que ferions-nous sans les Arabes venus faire un master de sociologie à Lyon ? Sociologue gauchiste, encore un métier que les Français ne veulent pas faire.)
« Ma famille est musulmane. J’ai commencé à porter le voile, à 16 ans. Des personnes de ma famille n’ont pas compris. Une tante a cru que j’étais sous l’emprise de mon père, à qui je n’ai jamais parlé de religion, et m’a même dit que j’allais finir en Syrie ! »
Même les musulmans sont islamophobes ! C’est terrible, l’ONU doit faire quelque chose…
« Il y a toujours ce truc insupportable d’infantiliser les femmes qui portent le voile, forcément manipulées par un homme. »
Les gourdasses qui se répandent sur le Web musulman s’infantilisent très bien toutes seules. Sérieusement, lisez leurs sites. On dirait vraiment des petites filles. C’est l’une des choses les plus frappantes de ce milieu.
« En tant que féministe, je déteste ça ! On voit tous les jours des femmes qui portent le voile. Il n’y a pas d’excuse à cette ignorance. »
Autre mot-slogan gauchiste : quand t’es pas d’accord avec un gauchiste (ou un musulman), c’est que t’es ignorant. Tu dois être rééduqué.
« Très vite, en portant le voile, j’ai été confrontée à l’islamophobie. C’est un symbole visible de l’islam. Alors on se demande si on est en sécurité. Si quelqu’un me regarde longtemps, dans les transports par exemple, je me demande tout de suite s’il n’est pas raciste, s’il y a un problème, si je crains quelque chose… »
Le « racisme » et « l’islamophobie » sont complètement imaginaires. La pire persécution que subit un musulman, c’est de se demander si les gens qui le regardent ne sont pas racistes. La chochotte de service se demande si elle craint quelque chose, et cela seul prouve qu’elle subit une intolérable agression. La seule possibilité de se trouver aux côtés d’un « raciste » (qui ne ferait rien : c’est une qualité purement imaginaire, fantasmée) constitue une persécution gravissime.
La future « sociologue » explique elle-même que si elle ne portait pas le voile, personne ne ferait attention à elle, mais elle n’en tire pas la conclusion logique, qui serait de ne pas porter le voile. Elle veut « être confrontée à l’islamophobie ». C’est bien son but. Il s’agit d’une provocation délibérée.
« Quand je me promène, j’ai toujours des documents sur mon téléphone sur la loi et sur la laïcité, pour répondre à des gens qui pourraient me dire que mon voile est interdit. Mais j’ai le droit ! «
La casse-pieds, quoi. La tête de linotte qui fait son intéressante.
« À un moment, j’avais même une petite bombe lacrymogène sur moi. »
Tout à fait. C’est plus prudent. On ne compte plus le nombre de musulmanes voilées qui se sont fait violer par des membres du Front national.
« J’en ai marre d’avoir peur tout le temps. Mais si je retire mon voile, là je serais vraiment soumise. »
Logique musulmane (non euclidienne). J’ai peur parce que je porte le voile, par conséquent je porte le voile.
« Sabrina, âgée de 54 ans, est originaire d’Algérie. Elle travaille à Paris en tant qu’employée de maison. » (Que ferions-nous sans les employées de maison algériennes ? Sabrina insulte Michel Onfray et sa maman.)
« Je porte le voile depuis deux ans seulement. Pendant plus de 50 ans, j’avais les cheveux à l’air libre. »
Il n’est jamais trop tard pour commencer à casser les pieds à tout le monde.
« Je mettais le voile de temps en temps, par exemple lors du ramadan en Algérie. Et puis un jour, j’ai décidé de le garder à mon retour en France. »
Comme ça. Par hasard.
« Je trouve ça pratique quand il fait froid. »
C’est ça. Prends-nous pour des imbéciles.
« C’est probablement pour ça que les débats autour du voile ne m’intéressent pas beaucoup. »
C’est probablement pour ça que tu donnes une interview au Parisien sur le sujet.
« Évidemment, pour la femme qui a été exclue du conseil régional, j’ai trouvé ça injuste. Moi, j’aime la liberté : c’est pour elle que ma famille est venue en France il y a 35 ans. »
Tout à fait. En Algérie, on n’a pas le droit de porter le voile, ma famille a donc fui en France pour avoir le droit de le faire. Encore l’étincelante logique musulmane. Remarquez, sur ce coup-là, on a échappé au « réchauffement climatique cause de l’immigration ».
« Safia est âgée de 37 ans. Née dans le Val-d’Oise, cette vendeuse habite à Paris avec son mari et ses trois enfants. » (Encore une vendeuse arabe qui vient bouffer le pain de nos Polonaises.)
« Toutes ces polémiques m’ont peut-être encouragée à porter le voile. Vous savez, souvent, l’interdit attire. »
D’accord. Celle-là avoue donc tout de go qu’elle est une emm… A 37 ans, hein. Si vous vous opposez au voile, on va porter le voile. Et si vous l’autorisez… on va se gêner, peut-être !
« Quand j’ai commencé à porter le voile, mon mari, qui m’avait connue très féminine, n’arrivait pas à y croire. Il était même un peu gêné : dans la rue, il marchait deux-trois mètres derrière moi ! »
On y croit… Le pipeau islamique, c’est mignon trente secondes, mais il ne faudrait tout de même pas abuser.
« Dans mon quotidien, j’ai très peu de soucis à ce propos. Au final, c’est une minorité qui pourrit la France et fout la haine dans le cœur de tout le monde. »
Une minorité musulmane.
« Moi je travaille pour une personne de confession juive. Je côtoie de la clientèle tous les jours avec mon turban sur la tête. Cela ne m’empêche pas de faire un super chiffre d’affaires. »
Mais bien sûr. Une musulmane voilée dont le mari marche trois mètres derrière elle dans la rue, et qui travaille pour un Juif. Ils se moquent de nous, en plus.
« Inès, âgée de 21 ans, est née dans le nord de la France d’une famille musulmane pratiquante. Elle est étudiante en L3 d’anglais à Lille : ‘Au quotidien, je n’ai pas vraiment de remarques. C’est sur les réseaux sociaux qu’on sent surtout les discriminations. On voit la montée des radicaux d’extrême droite. Ils ne se cachent plus.’ «
Elle n’est absolument pas victime de racisme dans la vie réelle, mais y’a des gens… sur les réseaux sociaux… qui ne sont pas franchement enthousiasmés par l’islam. Voilà ce qui s’appelle, en muslim-speak, une discrimination. Les « radicaux d’extrême droite » devraient se cacher. Ce n’est pas normal qu’on les autorise à déambuler en plein jour.
« Tout le monde clame haut et fort qu’il est raciste et que la femme musulmane est soumise. »
Euh… ça m’étonnerait. Je serais curieux de savoir à quel endroit, dans les réseaux sociaux, « tout le monde clame haut et fort qu’il est raciste ».
« Il faut insister sur un point : on ne porte pas le voile pour provoquer ! »
Non, bien sûr. Pas du tout… comme le montrent à l’évidence les déclarations ci-dessus !
Il faudrait être extrêmement naïf pour croire que ces « réactions spontanées de musulmanes anonymes » ne répondent pas à une stratégie soigneusement organisée.
______
(*) Mais, attendez… je croyais que le chien était un animal impur, pour les musulmans ? C’est quand ça les arrange… Quand il s’agit de refuser les chiens d’aveugle des sales kouffars dans les taxis américains, canadiens, britanniques, autrichiens ou norvégiens, le chien est impur. Quand il s’agit d’attaquer les sales policiers français racistes qui font des contrôles d’identité, il est permis par « le prophète ». L’islam est une religion tout en nuances…
« Pour ceux qui n’auraient pas les prodigieuses connaissances de Mary Preud’homme sur les armes à feu, je précise qu’Uzi est une marque de pistolet-mitrailleur israélien, favorite des terroristes arabes et communistes depuis les années 70. C’est l’une des armes utilisées par Mohammed Merah pour ses assassinats de 2012… »
(Robert Marchenoir, 19 octobre 20:40)
Gageons que ce compliment inattendu sinon mérité de ce bon Marchenoir, va me valoir une crise de jalousie « carabinée » de mon ami préféré, ci-devant gendarme en retraite, lequel en est resté, modestement, au Smith et Wesson et autres Manurhin !
@ Achille | 19 octobre 2019 à 11:53
« Une personne s’est même vantée, sur ce blog, d’avoir obtenu les coordonnées de Marchenoir, pourtant très avare de confidences, sans même être passé par son IP. »
Vous devriez nommer cette personne, qui est Elusen. Il s’agit évidemment d’un mensonge. Il est parfaitement impossible de retrouver « mon adresse postale » à partir de mes commentaires, ainsi qu’il l’a prétendu. Pas plus que la vôtre, qu’il s’est aussi vanté de pouvoir obtenir (« Il peut le faire… »).
J’attends toujours la carte postale que je lui ai réclamée.
Quant à Patrice Charoulet qui prend Elusen pour un « hacker », et s’imagine qu’on peut identifier les gens « avec leur adresse IP »… Je connais un prince nigérian qui a 10 millions de dollars à blanchir, et qui a besoin d’un professeur de lettres à la retraite à cet effet (résidant de préférence en bord de mer). Discrétion assurée, belle récompense à la clé.
Et puis j’ai du mal à comprendre sa stratégie : il annonce haut et fort qu’il cherche à pirater les données personnelles de gens sur Internet (ce qui est juste un délit, je le précise à tout hasard), et simultanément il fait le siège du ministère des Relations extérieures de ce blog, pour solliciter les mails des commentateurs ? Il y a des gens bizarres.
@ Robert Marchenoir | 19 octobre 2019 à 23:30
« J’attends toujours la carte postale que je lui ai réclamée. »
Et moi j’attends toujours qu’il me donne mon adresse IP sur ce blog.
Je crois que nous pouvons attendre longtemps ! 🙂
« Ma certitude fondamentale est en tout cas que notre faiblesse à faire respecter nos lois et tout ce qui fonde notre démocratie aggrave les dangers que nous prétendons combattre. Nous luttons mal contre un ennemi plus fort que nous. » (PB)
Ah bon ! Il y aurait donc une « faiblesse » (mais de qui ?) à faire respecter les lois ? Première nouvelle !
Il faut oser affirmer cela à ceux qui sont – et lourdement – tombés pour délit d’opinion. Pour de simples dessins, pour quelque boutade, un peu graveleuse à la rigueur, mais immédiatement frappés du sceau de racisme. Ou d’incitation à… tout ce qu’on veut !
Pour quelques propos déplaisants, auxquels il suffisait de répliquer verbalement.
Où est passé le concept selon lequel « force doit rester à la loi » ? Pourquoi cette assertion est-elle appliquée avec une telle géométrie variable ? Et souvent, très très souvent, au profit de la même communauté ! Qui dès lors se sent intouchable. Et forcément, multiplie les revendications. Comme les infractions, d’ailleurs !
Ne faudrait-il pas, afin de remettre tout à plat, envisager d’organiser le procès du siècle ? Celui de la « justice », qui à l’instar de nombre de ses magistrats, me semble bien bien déboussolée ?
Au banc des prévenus, devront également comparaître tous ceux qui, selon des critères qui leur appartiennent, prennent la liberté de jouer aux petits juges sans droit ni titre (il risque d’y avoir du monde).
Tiens ! Un exemple: pas plus tard qu’hier, le haut « Procureur général » de la justice Édouard Philippe décrétait, aux côtés du patron de la SNCF, que les actuelles perturbations ferroviaires constituent bel et bien une GRÈVE SAUVAGE ! Le verdict est tombé, sans procès ! Un procès d’épargné. L’État est gagnant. La séparation des pouvoirs, c’est moins sûr !
#Décryptage Ile-Saint-Denis : interpellation d’1 conductrice (voilée) circulant à vive allure (sur une voie réservée au tramway) qui a refusé le contrôle et insulté les policiers, proféré des paroles faisant l’apologie du terrorisme, puis incité les passants à l’émeute. 1 molosse agressif neutralisé par un tir. (@MimiUzi)
(source tweet Préfecture de police, 19 oct 2019, 04:04)
@ Achille | 20 octobre 2019 à 08:36
« Je crois que nous pouvons attendre longtemps ! »
Non mais le gamin : « t’es pas cap ! »
Vous ne croyez quand même pas que je vais tomber dans le panneau et commettre le délit en direct ?!
« t’es pas cap de sauter ! » Pouf il est mort !
@ Elusen | 20 octobre 2019 à 19:36
« Vous ne croyez quand même pas que je vais tomber dans le panneau et commettre le délit en direct ?! »
Seul le propriétaire du blog est responsable des informations qui sont communiquées sur son blog.
En plus je vous ai autorisé à afficher mon adresse IP (dont tout le monde se fiche ici).
Donc vous ne risquez pas grand-chose.
@ Achille | 20 octobre 2019 à 21:31
« Donc vous ne risquez pas grand-chose. »
C’est faux !
Le blogue est hébergé et là ce propriétaire a quelque chose à dire sur le spoofing, le sniffing et autres !
En second lieu tout ce que j’écris n’est pas publié !
@ Elusen 22h26
« En second lieu tout ce que j’écris n’est pas publié ! »
Allah soit loué !!
@ caroff | 20 octobre 2019 à 23:32
« Allah soit loué !! »
Ben ceux qui ont des troubles de la sexualité louent des femmes et d’autres : Allah !
Lequel des trois est le plus vénal, à part celui qui loue….
Je souhaite réexaminer la teneur du commentaire que j’ai posté le 18 octobre 2019, à 22 h 39. En effet, la question du voile et des accompagnatrices de sorties scolaires méritant d’être étudiée plus avant, j’ai mis à profit ce week-end, lequel, portant conseil, m’a permis d’en arriver à la conclusion que le port du voile (ou d’autres signes religieux) dans ces conditions peut être juridiquement prohibé. Toutefois, le raisonnement à tenir doit passer par le Code de l’éducation (élément que tous les commentateurs semblent avoir omis).
Aux termes de l’article L. 111-3 du Code de l’éducation, « Dans chaque école, collège ou lycée, la communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l’établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à l’accomplissement de ses missions. / Elle réunit les personnels des écoles et établissements, les parents d’élèves […]. » L’article L. 111-4 dispose : « Les parents d’élèves sont membres de la communauté éducative. […] / Leur participation à la vie scolaire et le dialogue avec les enseignants et les autres personnels sont assurés dans chaque école et dans chaque établissement. »
Ces dispositions législatives, qui trouvent leur origine dans la loi du 10 juillet 1989 d’orientation sur l’éducation, offrent la faculté, pour les établissements scolaires et pendant le temps scolaire, de recourir à la participation de parents d’élèves, en vue d’assurer un complément d’encadrement pour les sorties scolaires et les activités régulières se déroulant en dehors de l’école. La participation des parents d’élèves à la vie scolaire, c’est-à-dire à l’accomplissement de la mission confiée au service public de l’enseignement, ainsi que leur appartenance à la communauté éducative, aux côtés des enseignants et des personnels administratifs, sont ainsi expressément reconnues par la loi.
Dès lors, pas plus qu’ils ne peuvent être considérés comme des tiers au service, les parents d’élèves accompagnateurs, dans l’exercice de cette fonction, ne peuvent légitimement être regardés comme de simples usagers du service de l’enseignement public. Il en résulte nécessairement, afin de définir la situation qui est la leur et pour déterminer les obligations qui leur incombent au regard des principes fondamentaux et des valeurs de la République, rappelés par la Charte de la laïcité à l’école, qu’ils doivent être assimilés aux personnels des écoles et établissements scolaires et traités à cet égard comme des agents publics. L’idée fréquemment émise de recourir à la notion de collaborateurs occasionnels du service public s’avère en l’espèce stérile, cette catégorie n’étant pas pertinente au regard de l’état de notre droit positif, ainsi que l’a indiqué le Conseil d’Etat dans son étude du 19 décembre 2013.
Dans ces conditions, le principe de neutralité de l’école laïque, qui est l’un des éléments du principe constitutionnel de neutralité des services publics, s’applique à ces parents accompagnateurs, qui participent, activement quoique occasionnellement, au service public, et leur interdit de manifester, par leur tenue ou leurs propos, leurs convictions religieuses. Le principe en cause ayant valeur constitutionnelle, il se suffit à lui seul et il n’est nul besoin qu’une loi soit prise en ce sens ; il paraît néanmoins nécessaire que cette prescription, pour pouvoir être utilement invoquée, figure dans le règlement intérieur de l’établissement scolaire.
Une analyse différente de la situation conduirait paradoxalement à devoir tolérer le port du voile pour les accompagnatrices mères de famille, qui ont la charge de l’encadrement des élèves, alors qu’il est prohibé s’agissant des femmes agents administratifs, qui ne sont pourtant pas toutes au contact du public…
Il est à noter que – personne ne le signale, je me demande bien pourquoi – la jurisprudence administrative s’est engagée dans cette voie. Certes le Conseil d’Etat n’a pas encore eu à connaître de la question au contentieux, mais le tribunal administratif de Montreuil, par un jugement du 22 novembre 2011 (req. n° 1012015), non frappé d’appel et donc devenu définitif, est parvenu à la même conclusion (même si, pour ce faire, il n’a pas estimé nécessaire de faire le détour par le Code de l’éducation). Ces manquements à l’obligation de neutralité devront être appréciés compte tenu de la nature et du degré de caractère ostentatoire de la tenue vestimentaire, et à la lumière de l’avis contentieux du Conseil d’Etat du 3 mai 2000 (req. n° 217017, JO du 23 juin 2000).
Telle est ma position, et je soutiens que les problèmes auxquels nous sommes actuellement confrontés ne pourront trouver une issue apaisée qu’au prix d’une mise en oeuvre intelligente et mesurée de la solution juridique que je préconise.
@ Alain MEYET | 21 octobre 2019 à 05:08
Votre analyse juridique est particulièrement fouillée. J’en retiens ce paragraphe :
« Dès lors, pas plus qu’ils ne peuvent être considérés comme des tiers au service, les parents d’élèves accompagnateurs, dans l’exercice de cette fonction, ne peuvent légitimement être regardés comme de simples usagers du service de l’enseignement public. Il en résulte nécessairement, afin de définir la situation qui est la leur et pour déterminer les obligations qui leur incombent au regard des principes fondamentaux et des valeurs de la République, rappelés par la Charte de la laïcité à l’école, qu’ils doivent être assimilés aux personnels des écoles et établissements scolaires et traités à cet égard comme des agents publics. L’idée fréquemment émise de recourir à la notion de collaborateurs occasionnels du service public s’avère en l’espèce stérile, cette catégorie n’étant pas pertinente au regard de l’état de notre droit positif, ainsi que l’a indiqué le Conseil d’Etat dans son étude du 19 décembre 2013. »
Le Conseil d’Etat n’a certes pas voulu considérer l’applicabilité aux accompagnateurs scolaires de la notion de collaborateurs occasionnels du service public, ce qu’en réalité pratique ils sont. Et la notion « d’agents publics » dans le temps de l’exercice de leur fonction me semble plus contraignante encore.
A mon sens le problème n’est pas que ce type d’interdiction figure dans un règlement intérieur des établissements scolaires, collèges ou lycées, mais bien que les ministres de l’Education nationale (de gauche comme de droite ou du centre et d’ailleurs) se soient toujours abstenus de prendre le moindre arrêté ministériel qui fixe une doctrine générale et s’impose à tous les établissements.
Comme vous le rappelez, le manque de neutralité est bien caractérisé par le caractère ostentatoire des tenues qui ne laissent aucun doute sur les intentions des femmes qui le portent.
Mais toute personne qui s’oppose à ce type de comportement se trouve traduite devant nos tribunaux. Je pense en particulier à Mohamed Louizi qui est un vrai lanceur d’alerte et démonte le système de l’intérieur pour l’avoir pratiqué en son temps. Mais il est aussi poursuivi en justice. Il suffit de lire l’article d’Aurélien Marcq pour s’en convaincre tout comme de la duplicité de monsieur Macron sur ce sujet:
https://www.causeur.fr/mohamed-louizi-rachid-el-kheng-islamisme-proces-macron-167665
N’y aurait-il pas dans ces poursuites infondées un abus de droit punissable ?
@ Alain MEYET | 21 octobre 2019 à 05:08
« Toutefois, le raisonnement à tenir doit passer par le Code de l’éducation (élément que tous les commentateurs semblent avoir omis). »
Que deviendrait ce blog de malvoyants sans vous ? Merci de nous ouvrir les yeux !
« « Allah soit loué !! »
Ben ceux qui ont des troubles de la sexualité louent des femmes et d’autres : Allah !
Lequel des trois est le plus vénal, à part celui qui loue… »
Rédigé par : Elusen | 21 octobre 2019 à 04:43
MDR ! Je connaissais les poulets de Loué, mais Allah ? Je ne savais pas qu’il s’envoyait en l’air avec des poulets ; vous avez essayé de faire comme votre dieu cher Elusen ? Attention à vous mon chou, ces drôles de bestioles ont des becs pas très pratiques pour certaines pratiques.
@ Alain MEYET 5h08
« Le principe en cause ayant valeur constitutionnelle, il se suffit à lui seul et il n’est nul besoin qu’une loi soit prise en ce sens ; il paraît néanmoins nécessaire que cette prescription, pour pouvoir être utilement invoquée, figure dans le règlement intérieur de l’établissement scolaire. »
Votre analyse est parfaitement satisfaisante. Au reste, n’étant pas juriste je ne me risquerais pas à en contester ni les prémisses, ni les conclusions.
Cependant, pour ne pas créer des différences trop flagrantes entre établissements, ceux situés dans des zones à immigration intense étant plus concernés que d’autres, ne faudrait-il pas que le ministre de l’Education édicte une circulaire ou un arrêté à portée nationale, donc une sorte de garantie sur laquelle s’appuieraient les chefs d’établissement pour faire taire les inévitables polémiques ?
@ Elusen 20 octobre 2019 à 22:16
« Tout ce que j’écris n’est pas publié ! »
Heureusement ! ça nous fait des vacances 😀
Si j’ai bien compris, TOUTES les mamans de la classe de CM2 du petit ‘n’enfant’ de madame Fatima E. étaient d’accord pour que ce soit elle qui accompagne leurs enfants au Conseil régional (Dijon) pour assister à des délibérations sans intérêt pour des enfants de 10 ans, vêtue d’un voile ?
Dites-moi si je me trompe.
Sur les 25 élèves concernés, AUCUNE maman n’a été interviewée pour recueillir son opinion à ce sujet ?
Curieux non, d’autant que Fatima-sans-nom, elle, a donné une interview dans les 24 heures suivantes, relayée par la presse populiste.
@ breizmabro | 21 octobre 2019 à 19:00
▬ « ça nous fait des vacances »
Oh, plus l’âge avance, plus ce sont les autres qui auront des vacances.
▬ « madame Fatima E. »
En fait vous êtes comme les grands singes, vous êtes encore en train d’épouiller cette femme.
▬ « AUCUNE maman n’a été interviewée »
Et selon vous il y en avait combien ?
▬ « Fatima-sans-nom, elle, a donné une interview dans les 24 heures »
C’est quand même elle qui a été agressée !
Quant à l’agresseur tous les plateaux télés et radios lui ont été ouverts.
De nouveau, la technique appliquée à la femme violée : « qu’est-ce qu’elle faisait là. Comme par hasard pas d’autres femmes. En plus elle vient parler dans les médias… »
————————————————————
@ Robert Marchenoir | 19 octobre 2019 à 23:30
« Il s’agit évidemment d’un mensonge. Il est parfaitement impossible de retrouver « mon adresse postale » à partir de mes commentaires, ainsi qu’il l’a prétendu. »
Diantre aurais-je prétendu cela ? Mais où serait la source ?
Quant aux restes, IP, DNS, Hostname, The Honorable Honoraire Bilger Corporate and Associates a assuré vos arrières et m’a interdit de vous répondre.
@ breizmabro | 21 octobre 2019 à 20:06
« Sur les 25 élèves concernés, AUCUNE maman n’a été interviewée pour recueillir son opinion à ce sujet ?
Curieux non, d’autant que Fatima-sans-nom, elle, a donné une interview dans les 24 heures suivantes, relayée par la presse populiste. »
Pas de mamans, ni de papas non plus (ne les oublions pas) pour donner leur avis sur la question.
Bizarre, bizarre, comme c’est étrange ! comme aurait dit je ne sais plus qui, je ne sais plus où, à propos de je ne sais plus quoi !
De quoi en perdre son latin, ce qui est justement le but !
@ Robert 21 octobre 2019, à 12 h 43
Je vous remercie de vos propos motivants. L’article que j’ai rédigé (qui aurait pu être beaucoup plus long !) est en quelque sorte la synthèse de l’état du droit, tel qu’il doit être appliqué à la question des accompagnatrices de sorties scolaires portant un voile islamique. Je n’ai pas pris personnellement position, j’ai présenté la solution qui paraît s’imposer au vu des textes constitutionnels et législatifs en vigueur.
J’aurais pu faire référence, pour nourrir mon propos, à la fameuse affaire de la crèche « Baby Loup », qui a conduit, après moult péripéties judiciaires, à l’arrêt de l’assemblée plénière de la Cour de cassation du 25 juin 2014, rejetant le pourvoi de la salariée licenciée pour avoir porté un tel voile dans l’exercice de ses fonctions. Il est intéressant de noter qu’a joué dans la décision le souci de préserver le pluralisme dans l’éducation des enfants.
S’agissant de l’étude du Conseil d’Etat du 19 décembre 2013, il ne faut pas lui faire dire davantage qu’elle ne le peut. Demandée par le Défenseur des droits, cette étude se borne à présenter l’état du droit à cette époque, tel que résultant des textes et de la jurisprudence ; elle n’avait pas à faire de la prospective juridique…
On peut, comme vous-même, regretter que les ministres de l’Education nationale successifs n’aient eu ni la volonté ni le courage d’adresser des circulaires aux recteurs d’académie et aux directeurs d’établissements scolaires sur le sujet qui nous occupe.
Enfin, je ne pense pas que l’on puisse comparer mon travail, purement intellectuel et élaboré dans un certain confort, avec l’implication physique, mêlée de courage, de M. Mohamed Louizi. Il est probable que nous dénoncions l’un et l’autre les mêmes choses, mais celui-ci prend des risques que je ne prends pas, ce qui impose le respect et devrait conduire à une réaction de soutien des médias.
Merci à Mary Preud’homme (21 octobre 2019 à 21 h 30) de nous remettre incidemment en mémoire ce dialogue culte du film « Drôle de drame » de Marcel Carné, entre Louis Jouvet et Michel Simon. L’occasion, pourquoi pas ? de le revivre en intégralité, c’est si rare…
Louis Jouvet et Michel Simon dînent d’un canard à l’orange.
L.J. – Vous croyez, cher cousin ? (Regardant son couteau) Bizarre, bizarre…
M.S. – Qu’est-ce qu’il a ?
L.J. – Qui ?
M.S. – Votre couteau !
L.J. – Comment ?
M.S. – Vous regardez votre couteau, et vous dites : « bizarre, bizarre »… Alors, je croyais que…
L.J. – Dites-moi, j’ai dit : « bizarre, bizarre » ? Comme c’est étrange… Pourquoi aurais-je dit : « bizarre, bizarre » ?
M.S. – Je vous assure, cher cousin, que vous avez dit : « bizarre, bizarre » !
L.J. – Moi, j’ai dit « bizarre » ? Comme c’est bizarre…
Comme quoi, ce blog mène à tout !…
https://www.youtube.com/watch?v=mWaWxkwGjj4
@ caroff 21 octobre 2019, à 17 h 15
Vous vous interrogez sur l’action du ministre de l’Education nationale à propos des problèmes de laïcité et de neutralité à l’école.
Il est vrai que les ministres successifs n’ont jamais abordé de front la question du port de signes religieux ostentatoires par les parents accompagnateurs ou de leur tenue vestimentaire. Néanmoins, les sujets de laïcité et de neutralité sont clairement invoqués dans le « règlement type départemental des écoles maternelles et élémentaires publiques », annexé à la circulaire ministérielle du 9 juillet 2014.
Le règlement intérieur d’une école, élaboré par le directeur, définit les droits et les devoirs de chacun des membres de la communauté éducative : élèves, enseignants, personnels administratifs, parents.
L’article 1-7, qui concerne les intervenants extérieurs à l’école, précise que « Toute personne intervenant dans une école pendant le temps scolaire doit respecter les principes fondamentaux du service public d’éducation, en particulier les principes de laïcité et de neutralité ». Est par là concernée la participation des parents ou d’autres accompagnateurs bénévoles.
S’agissant de la communauté éducative, réputée inclure les parents d’élèves, l’article 2 prévoit que « Tous les membres de cette communauté doivent, lors de leur participation à l’action de l’école, respecter le pluralisme des opinions et les principes de laïcité et neutralité ».
Ce règlement type recommande en outre de joindre au règlement intérieur de l’école la Charte de la laïcité à l’école.
Comme quoi, notre République est bien pourvue d’un point de vue juridique (davantage que je ne le pensais a priori), ce qui est sans doute une bonne chose… à condition que ces outils ne restent pas lettre morte !
@ Alain MEYET | 21 octobre 2019 à 23:49
A propos d’aborder de front la question du voile islamique et autres signes ostentatoires dans le cadre scolaire, il me semble que le ministre de l’Education nationale Luc Chatel était allé au charbon sans ambiguïté :
Pour mémoire, publié sur ce fil le 17 octobre à 01:20
« Concernant les mères d’élèves accompagnant les sorties scolaires, la circulaire Chatel de mars 2012 leur avait demandé instamment de ne pas porter de signes religieux ostentatoires ».
Laquelle circulaire n’a jamais été abrogée.
@ Elusen qui dit : « plus l’âge avance, plus ce sont les autres qui auront des vacances » je réponds:
« …vous ne savez ni le jour ni l’heure » (Matthieu)
ou « rira bien qui rira le dernier » 😉
@ Alain MEYET | 21 octobre 2019 à 23:49
Merci pour votre démonstration juridique.
Ce que je peux résumer en tant que bipède binaire totalement basique: complicité ou lâcheté avec un soupçon d’indifférence.
@ Robert Marchenoir (comme le gouvernement « en marche » mais vers le noir… absolu)
« Mais, attendez… je croyais que le chien était un animal impur, pour les musulmans ? C’est quand ça les arrange… Quand il s’agit de refuser les chiens d’aveugle des sales kouffars dans les taxis américains, canadiens, britanniques, autrichiens ou norvégiens, le chien est impur. Quand il s’agit d’attaquer les sales policiers français racistes qui font des contrôles d’identité, il est permis par « le prophète ». L’islam est une religion tout en nuances… » (R. Marchenoir)
Merci Robert pour ce trait d’ironie. Cela fait du bien de lire des commentaires de cet acabit. Ce qui nous aide, un peu, à avaler toutes les pilules amères.
Surprise !
Ce soir j’entame une boîte de fortifiants pour renforcer mes défenses naturelles avant les premiers frimas.
Je lis sur le descriptif: gélatine certifiée halal…
Cela venant s’ajouter au conseil d’Etat autorisant de zigouiller les animaux dans les abattoirs sans les étourdir…
https://lemuslimpost.com/abattage-rituel-conseil-etat-deboute-oaba.html
Tic tac tic tac tic tac… Cours ! cours Macron !
Je viens de lire qu’un certain Yassine Belattar, franco-marocain, se présentant comme humoriste, s’en était pris violemment au ministre de l’Education nationale J-M Blanquer, lequel n’avait fait que son travail en rappelant les règles élémentaires de la laïcité et du bien vivre ensemble. Selon cet énergumène franco-marocain, ledit ministre, eu égard à son rappel de certaines règles et à son soutien sans faille des enseignants en difficulté dans les cités où l’islamisme radical nargue le pouvoir, serait désormais en danger et tenu d’éviter pour sa sécurité certains départements de la République, en premier lieu le 9 3 !
C’est vraiment le monde à l’envers et l’on se demande combien de temps l’on pourra encore supporter sans broncher, côté peuple, ce genre de provocation inouïe. D’autant que Macron vient de nous faire savoir depuis Mayotte (où les Musulmans sont l’écrasante majorité) que la question du foulard n’était pas primordiale et ne pourrait se régler que dans un dialogue apaisé ! Excellente formule pour se laver les mains et renvoyer dos à dos provocateurs, transgresseurs, agresseurs, voire terroristes et leurs victimes.
Dès lors que selon la nouvelle sourate de Macron proclamée depuis Mamoudzou, les problèmes afférents au port du voile islamique, hijab, abaya et autres burqa dans la sphère publique ne seraient qu’un détail, voire un leurre entretenu par des islamophobes compulsifs incapables de s’ouvrir à l’étranger, lui faire toute la place qu’il mérite, quitte à piétiner ses propres lois, sa culture millénaire et replacer les femmes à un rang inférieur, pour la plus grande gloire d’Allah le miséricordieux !
@ breizmabro | 22 octobre 2019 à 07:06
▬ « vous ne savez ni le jour ni l’heure »
Non mais je sais que vous êtes à l’heure d’hiver depuis un bon moment.
———————————
@ Mary Preud’homme | 22 octobre 2019 à 01:22
«la circulaire Chatel de mars 2012 […] Laquelle circulaire n’a jamais été abrogée. »
Pour la deuxième, c’est FAUX !
Cela indique que le mensonge c’est pathologique chez vous !
Le Conseil d’État est passé par là en 2013, un usager du service public n’a pas obligation…
Une circulaire ne s’applique qu’au personnel, jamais aux usagers et les mamans ne sont pas du personnel, mais de simples usagers qui fournissent une aide ponctuelle.
Les circulaires sont des ordres qui peuvent être illégaux, ainsi :
Code Pénal – art. 122-4.
Le Tribunal Administratif de Nice le 09 juin 2015, N°1305386 a condamné l’Éducation nationale à 1 000€ de dommages intérêts pour avoir refusé à une maman l’accompagnement à une sortie scolaire parce qu’elle était voilée et que cela ne reposait sur aucun texte législatif.
Circulaire Chatel concernant la participation des parents d’élèves aux sorties scolaires :
Elle fut signée le 27 mars 2012 par Luc Chatel, alors ministre de l’Éducation nationale. Confirmée par son successeur Vincent Peillon et jamais abrogée
[•Selon cette circulaire, les mères de famille accompagnant les enfants lors des sorties scolaires participent à l’exécution d’une mission de service public et, considérées comme des collaborateurs occasionnels du service public de l’éducation, ont l’interdiction de «porter des signes religieux ostentatoires».]
Rappelons que c’est à Najat Vallaud-Belkacem que l’on doit la contestation et la non-application de cette circulaire (jugée par elle liberticide, rien que ça !) – avec il est vrai la complicité du Conseil d’Etat.
Bel exemple de neutralité de la part d’une ministre binationale franco-marocaine de religion musulmane !! La même qui a voulu supprimer le latin des programmes du secondaire. Devinez pourquoi ?
@ petit Elusen
« vous êtes à l’heure d’hiver depuis un bon moment »
Et ça peut durer encore longtemps vu que l’heure d’hiver a été remise au goût du jour dans les années 73 par un certain Giscard Giscard d’Estaing*.. 😀
Il ne faut pas faire de pronostics en la matière petit Elusen, un de mes frères est mort à 20 ans dans les Aurès.
* 93 ans !
@ Mary Preud’homme | 23 octobre 2019 à 12:38

Définition du Dalloz :
Une circulaire ne s’applique pas aux usagers, le Conseil d’État l’a confirmé, ainsi que le Tribunal administratif de Nice.
A propos du régime des circulaires administratives…
Le Conseil d’Etat a été amené à élaborer le régime juridique des circulaires et des instructions. Après plusieurs décennies de vicissitudes, il s’est prononcé par deux arrêts importants : une décision de l’assemblée du contentieux du 28 juin 2002, « Villemain » (req. n° 220361), et une décision de section du 18 décembre 2002, « Mme Duvignères » (req. n° 233618).
Il résulte désormais de cette jurisprudence que les circulaires et les instructions ont pour objet de faire connaître l’interprétation que l’autorité administrative entend donner des lois et règlements qu’elle a pour mission de mettre en oeuvre, en en explicitant les dispositions à destination des services déconcentrés. L’auteur de la circulaire se borne en général à commenter les dispositions concernées. Il peut aussi, à son niveau, émettre des dispositions impératives à caractère général, dans la mesure où celles-ci ne fixent pas une règle nouvelle ni ne méconnaissent le sens et la portée des dispositions explicitées ; autrement dit, il ne peut légalement ajouter à l’état du droit en vigueur.
S’il est vrai qu’en principe les circulaires ne s’appliquent pas aux administrés, la loi du 10 août 2018, pour un Etat au service d’une société de confiance, a, par son article 20 (codifié aux articles L. 312-2 et L. 312-3 du Code des relations entre le public et l’administration), prévu, du moins dans son principe, que toute personne peut se prévaloir des circulaires et instructions émanant des services de l’Etat, ainsi que de l’interprétation qui y est donnée (situation qui a pour effet de créer une certaine confusion…).
S’agissant de la circulaire du ministre de l’Education nationale (Luc Chatel) du 27 mars 2012, son intitulé « Orientations et instructions pour la préparation de la rentrée 2012 » montre qu’elle a épuisé ses effets à l’été 2013. On peut s’étonner que le successeur, Vincent Peillon, ait pu arguer de son applicabilité fin 2013 (déclaration du 23 décembre 2013, mentionnée dans le journal « Le Monde » du lendemain). Quoi qu’il en soit, n’étant pas reprise sur le site Internet dédié aux circulaires en vigueur, celle-ci est réputée être abrogée (je préfère dire caduque). On observera par ailleurs que le Conseil d’Etat n’en a fait aucunement mention dans son étude dédiée du 19 décembre 2013.
Cette circulaire de 2012 a été signée, par délégation du ministre, par le directeur général de l’enseignement scolaire d’alors, qui n’était autre qu’un certain Jean-Michel Blanquer…
Quant au fond du débat, étant donné qu’une circulaire revêt évidemment une présomption de légalité, la seule façon de lui reconnaître ce caractère légal invite à faire implicitement référence aux dispositions du Code de l’éducation définissant la « communauté éducative », ainsi que je m’y suis risqué dans un précédent commentaire.
@ Alain MEYET | 24 octobre 2019 à 21:59
▬ « L. 312-2 et L. 312-3 du Code des relations entre le public et l’administration »
Ce ne sont pas les services publics qui peuvent invoquer ces articles, mais les usagers quand ils sont concernés.
Je ne vois pas une enturbannée venir demander l’application de la circulaire NOR : MENE1209011C à son endroit !
– « le Conseil d’État n’en a fait aucunement mention dans son étude dédiée du 19 décembre 2013 »
Ce que vous dites est inexact, puisque le Conseil d’État parle du port des signes religieux dans cette étude et indique que les usagers ne sont pas concernés, car les usagers ne délivrent pas le service public.
La définition du service public est donnée page 21, elle renvoie à la Constitution.
Les gens ne lisent que la partie de 1958, or le Préambule de 1946 est toujours en application en France :
Page 30 et 31 de l’étude du Conseil d’État:

@ Elusen 25 octobre 2019, à 4 h 11
Si j’ai cité la loi du 10 août 2018 et les deux articles du Code des relations entre le public et l’administration qu’elle a modifiés, permettant désormais que les usagers, sous certaines conditions, puissent invoquer le contenu de certaines circulaires (ce qui conduit en pratique à un sérieux embrouillamini !), c’était seulement en vue de répliquer à votre affirmation un peu hâtive selon laquelle les circulaires et instructions ne s’appliqueraient jamais aux usagers (votre commentaire du 23 octobre 2019, à 3 h 36).
Les parents accompagnateurs de sorties scolaires doivent-ils être assimilés à des agents publics, à des usagers du service ou à des tiers à ce service ? Pour obtenir une réponse claire et définitive à cette question qui nous occupe, il faudra nécessairement attendre que le Conseil d’Etat soit amené à statuer au contentieux sur la question. Cela arrivera peut-être plus vite qu’on pourrait le croire, car, au vu des problèmes du moment, un tribunal administratif saisi d’un tel litige pourrait fort bien (et opportunément) transmettre le dossier au Conseil d’Etat en lui posant une question pour avis (comme ce fut le cas, par exemple, du renvoi qui a conduit à l’avis contentieux du Conseil d’Etat du 3 mai 2000, que j’ai précédemment mentionné).
A moins que, sait-on jamais ? le Conseil d’Etat, en formation solennelle de section ou d’assemblée du contentieux, ne décide qu’il y a lieu de mieux prendre en compte ces collaborateurs occasionnels, ces participants au service de l’enseignement public, pour leur reconnaître un statut spécifique, lequel tiendrait sans doute à la fois de celui des agents et de celui des usagers. Le Conseil d’Etat peut (presque) tout décider, jusqu’à « appeler carpe ce qui n’est que lapin », comme disait le professeur René Chapus… Patience, donc ; le tour de cette question viendra !
Quant à votre crainte que les citoyens français aient quelque peu perdu de vue leur Constitution, je vous trouve un peu pessimiste, mais peut-être somme toute avez-vous raison…
Profitons-en pour rappeler (sous le contrôle de M. Philippe Bilger !) de quoi est composé le « bloc de constitutionnalité ». D’abord, comme il se doit, le texte de la Constitution du 4 octobre 1958 : un préambule et 92 articles à l’origine ; aujourd’hui, au terme de vingt-quatre révisions successives, la dernière remontant à 2008, les articles se montent à 108, numérotés de 1 à 89, répartis en 17 titres. Le préambule renvoie expressément à trois autres textes : la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et ses 17 articles (I à XVII), demeurés inchangés ; le Préambule de la Constitution de la IVe République, comportant 18 alinéas (non numérotés à l’origine) ; enfin, adoptée en 2004 et adossée à la Constitution, la Charte de l’environnement, qui comprend 10 articles. Ai-je tout juste, ou bien dois-je redoubler ma dernière année de droit ?…
À propos de burqas, Boris Johnson a publié une colonne qui a fait scandale en août 2018 dans Le Télégraphe où il écrivait régulièrement des articles. Il se disait contre l’interdiction du voile intégral, mais trouvait ridicules les femmes qui le portaient, déguisées selon lui en boîtes aux lettres (en Angleterre ce sont des colonnes cylindriques avec juste une ouverture assez haut placée pour faire passer le courrier). Il trouvait aussi qu’elles ressemblaient à des braqueurs de banques (bank robbers).
On lui a demandé de présenter ses excuses, toutes sortes d’associations ayant avancé des statistiques bidon pour prouver que ses comparaisons insultantes avaient fait monter en flèche les agressions islamophobes. Boris Johnson a maintenu ses propos, qualifiant l’indignation qu’on lui reprochait d’avoir suscitée, de « fabriquée ».
https://www.pressgazette.co.uk/boris-johnson-telegraph-column-muslim-women-letterboxes-bank-robbers-spike-islamophobic-incidents/
@ Alain MEYET | 27 octobre 2019 à 20:30
▬ « s’appliqueraient »
J’ai pourtant bien pris la précaution d’employer la terminologie : s’appliquer. Même s’il est fort vrai que souvent quelqu’un réécrit mes propos avant de les publier, ‘s’appliquer’ est bien resté.
Je réaffirme : les circulaires ne s’appliquent pas aux usagers.
Il y a une différence notable entre s’appliquer et se prévaloir.
‘S’appliquer’ veut dire qu’une circulaire est opposable à un usager ; or ce n’est pas le cas.
Je ne vois pas des intégristes religieux se prévaloir de la circulaire NOR : MENE1209011C : « Bonjour, je veux que l’on m’applique cette circulaire, vous êtes bien aimable, d’avance merci. »
Dire que cette dame n’a commis aucun délit, aucune faute, aucun crime, qu’elle avait le droit d’être représentée habillée de la sorte, cela n’a jamais voulu dire que l’on cautionne.
Nous ne pouvons vouloir des droits pour nous, que nous refuserions aux autres.
▬ « être assimilés à des agents publics »
Cela poserait un énorme problème s’ils étaient assimilés :
1° immédiatement s’appliquerait la Loi n° 83-634 portant droits et obligations des fonctionnaires.
2° toute la partie du Code pénal concernant les agents des services publics s’appliquerait à eux :
– rébellion envers un agent des services publics
– outrage…
3° le tout sans que leur nom eût été publié au Journal Officiel, qu’il y ait eu un arrêté de nomination et les procédures annexes.
4° la vérification du casier judiciaire.
5° toute la responsabilité pénale et civile de l’État. Le parent devrait prendre une assurance professionnelle, l’Autonome de Solidarité de la Seine, etc.
Imaginez-vous le travail qu’il faudrait faire, la mobilisation des ressources, le pataquès que vous allez mettre, uniquement pour des parents accompagnateurs ?!
▬ « dois-je redoubler ma dernière année de droit ? »
Vous avez fait l’impasse sur le droit international, en l’occurrence celui de l’Union européenne, au moins celui-là :
– Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne
@ Elusen 28 octobre 2019, à 1 h 13
Je suis tout à fait d’accord avec vous s’agissant de cette question de terminologie liée aux circulaires administratives, qui traduit leur régime juridique. Permettre que, sous certaines conditions, des circulaires puissent être invoquées par des usagers du service public (c’est-à-dire à leur profit) n’implique aucunement qu’il faille reconnaître leur applicabilité aux administrés. Ce sont là deux notions différentes, qu’il ne faut pas confondre, et je suis désolé d’avoir été quelque peu confus à ce sujet…
S’agissant du statut des parents accompagnant des sorties scolaires, je n’ai pas fait état de ce que je souhaite à titre personnel (ce qui présente peu d’intérêt), mais de ce que permet l’état actuel du droit. Quand j’observe que ces parents pourraient fort bien être assimilés à des agents publics (en conséquence de leur appartenance, qui leur est reconnue par le Code de l’éducation, à la communauté éducative), il faut comprendre que cette assimilation leur serait reconnue, selon une formulation jurisprudentielle habituelle, « au sens et pour l’application des dispositions » en cause, sans plus.
Et puisque vous semblez vous méprendre sur ma propre analyse de la situation, sachez que, pour ma part, je considère que ce pataquès qui est fait autour du voile islamique porté dans les conditions que l’on sait est un faux problème. Je ne sache pas que ces mères voilées aient porté atteinte à l’ordre public, en suscitant des troubles et des désordres ; si des problèmes sont apparus, c’est au nom d’a priori, de préjugés, au terme d’un raisonnement politique. Cette question ne devrait pas être saisie par le droit.
Aussi ai-je apprécié les observations qu’a faites le ministre de l’Education nationale, M. Jean-Michel Blanquer, hier devant les sénateurs appelés à examiner une proposition de loi tendant à interdire expressément aux parents accompagnateurs de sorties scolaires le port de signes religieux. Une telle initiative me paraît contre-productive. Même si, à l’évidence, cette proposition n’ira pas à son terme, autrement dit n’aboutira pas à l’adoption d’une loi en ce sens, elle est de nature à semer encore un peu plus le trouble dans l’esprit de nos concitoyens.
Mais profitons-en pour savourer deux citations que le ministre a tenu à faire : « Les lois inutiles affaiblissent les lois nécessaires » (Montesquieu) ; « Il faut être sobre de nouveautés en matière de législation » (Portalis)…
@ Alain MEYET | 30 octobre 2019 à 21:31
Je suis d’accord avec vous sur ces points.
Cependant, le voile me gêne et je fais avec.
Pour moi, tout seul dans mon coin, il est une dénonciation calomnieuse permanente à l’endroit des hommes et non des femmes. C’est un truc qui prône ouvertement la ségrégation envers les hommes.
Sempiternellement il faut le rappeler, mais le voile et toutes ses déclinaisons ne sont pas dans le Coran.
Le voile et ses dérivés affirment que tous les hommes sont des pervers, des violeurs, et qu’il faut ainsi se protéger de ces dégénérés que sont les hommes.
Après le parapluie, le parapoux, voici que s’annonce le parasperme.
C’est comme porter un tee-shirt « à mort les noirs ; ou les flics ».
Ces voiles ont une intention, mais si nous nous mettons à légiférer sur les vêtements…
Donner le statut d’agent de l’État aux parents accompagnateurs me paraît risqué d’un point de vue juridique, de la science politique, de la gestion du pouvoir.
Quant à Montesquieu, je m’abstiendrai de citer un esclavagiste, et qui est contre l’égalité des droits avec les femmes.