Eliane Houlette a ouvert la boîte de Pandore en faisant, trop tard, ses révélations sur la gestion de l’affaire Fillon, tellement explosives qu’elle a éprouvé le besoin de les atténuer le lendemain (mon billet du 19 juin 2020 : Houlette aurait dû mettre le holà !).
Le Parquet national financier (PNF) s’est trouvé également, d’une certaine manière, impliqué à la suite de cette grave entorse à l’état de droit commise par le président de la République, le 1er juillet 2019, pour sauver la mise de son principal collaborateur Alexis Kohler.
Elle est parvenue tactiquement au PNF le lendemain du départ à la retraite d’Eliane Houlette. Et, comme par hasard, il a fallu une analyse accablante de Mediapart – avec notamment une implacable chronologie – pour qu’enfin une information soit ouverte alors qu’une plainte avec constitution de partie civile avait été portée par Anticor au mois de mars 2019 après deux plaintes simples en 2018.
Je n’ose imaginer l’émoi et la dénonciation si Nicolas Sarkozy s’était permis la même transgression durant son quinquennat – j’aurais été le premier à vitupérer – mais étrange retenue envers Emmanuel Macron qui pousse même le culot, avec une forme de désinvolture royale, jusqu’à se féliciter de cette avancée procédurale alors qu’elle vient menacer l’opportun classement sans suite dont Alexis Kohler avait bénéficié après, pourtant, une enquête aux conclusions initialement dévastatrices pour sa cause.
Pour cette affaire, il est clair que le président aura brûlé toutes ses cartouches ! Il devra regarder faire la Justice sans intervenir, je l’espère en tout cas.
Mais j’arrive au pire.
L’examen des fadettes, par une enquête distincte, de plusieurs avocats de renom – seraient-ils plus modestes que la donne n’en serait pas modifiée ! – dans le plus grand secret, durant plusieurs années, pour déterminer qui avait bien pu informer Me Thierry Herzog de l’écoute de son portable dans la procédure le renvoyant, avec Nicolas Sarkozy et Gilbert Azibert, devant le tribunal correctionnel de Paris (LCI, Sud Radio).
Me Hervé Temime considère, avant l’heure, que celle-ci ne « tient pas ». Ce n’est pas elle qui doit nous préoccuper, le scandale est ailleurs !
Si un peu d’ironie était toléré, je ne pourrais qu’être heureux du communiqué de Nicolas Sarkozy dénonçant dysfonctionnements et violations – il a raison – et invoquant l’état de droit : je ne suis pas persuadé que durant son quinquennat il en ait été si soucieux après sa promesse de République irréprochable !
C’est moins la violation du secret professionnel qui pourrait poser problème, puisque dans le cadre d’une enquête l’examen des factures téléphoniques d’avocats est licite, que le caractère absurdement disproportionné et clandestin de ces investigations prolongées au-delà de toute mesure. Il convient d’ailleurs de préciser à toutes fins que le secret professionnel ne constitue pas une protection indue du barreau mais une garantie fondamentale pour le citoyen et une société démocratique.
Pourquoi ce secret et cette durée ?
Il me semble que les initiateurs de cette enquête choquante avaient évidemment conscience de la disproportion éclatante et de l’enflure de l’appareil mis en oeuvre mais après tout il s’agissait d’identifier une « taupe » et surtout quelle merveilleuse machine de guerre contre quelques avocats, à la fois sadiquement ciblés et jalousés, et à l’égard de Nicolas Sarkozy !
Cette malignité contre le barreau – cet intrus malheureusement obligatoire – est aussi dommageable que l’attaque contre une magistrature décrétée homogène.
Pour Nicolas Sarkozy, on ne peut pas m’accuser de complaisance en faveur de ce dernier mais il y a des limites!
J’ai estimé que les multiples procédures engagées contre lui étaient à la fois légales et légitimes mais on ne peut que dénoncer un processus qui, acharné contre lui, révélait que l’état de droit n’avait pas à être respecté quand il était concerné.
C’est à mille lieues de cette sérénité qui impose de chercher la vérité mais de ne pas la forcer telle une bête dans une chasse.
Me Dupond-Moretti va déposer plainte. Me Hervé Temime s’interroge. Le bâtonnier de l’Ordre des avocats, l’excellent et mesuré Olivier Cousi, va engager une action en justice.
Je suis d’autant plus effaré par ce scandale – on abuse du terme mais en l’occurrence il est pertinent – qu’il va venir renforcer une double idée fausse : celle d’une République des juges et celle d’une politisation globale de la Justice.
Je ne crois pas du tout à la première même si ce secret maximalisme procédural était destiné, d’une certaine manière, à soupçonner des avocats, à les faire sortir de la République en transgressant des principes fondamentaux comme s’ils n’en étaient plus dignes.
Il n’y a pas, derrière ce cataclysme, l’obsession massive d’une République des juges mais seulement des épisodes conjoncturels et spécialement orientés.
Quant à la seconde, elle est encore plus discutable. La tentation est de tout mélanger et de placer sous un même opprobre, sous un unique pavillon délétère, des démarches et des processus n’ayant pas de lien les uns avec les autres.
En l’occurrence, il y a le PNF, François Fillon, Nicolas Sarkozy, Alexis Kohler avec le président. Un dispositif mis en place par une petite équipe à sensibilité de gauche, se connaissant et préférant à la transparence équitable des pratiques les subtiles manoeuvres d’un pouvoir équivoque. Christiane Taubira, Eliane Houlette, Jean-Louis Nadal, Robert Gelli, etc.
J’ai malheureusement eu à dénoncer, sous Nicolas Sarkozy, d’autres coteries domestiquant, à rebours, la justice, concédant à la normalité les nombreuses affaires qui ne les intéressaient pas et se réservant les rares dont elles étaient partie prenante.
Globalement, aujourd’hui, il y a moins de politisation et d’esprit partisan dans la gestion des affaires dites « sensibles » mais il y a des ennemis à abattre par priorité.
J’apprécie les avocats au détail mais pour une fois je suis en gros à leurs côtés.
Et je rejoins Nicolas Sarkozy et j’accable Emmanuel Macron.
On aura tout vu.
Cela faisait des Rustres* que nous n’avions mis les pieds céans, et puis aujourd’hui l’enfilement en cascade des facéties magistrates nous a rappelé l’existence de ce « pilori chic ». Merci d’avance !
*Rustres = version rurale personnelle de Lustres au sens de Long-Temps
« Et je rejoins Nicolas Sarkozy et j’accable Emmanuel Macron.
On aura tout vu. »
On pourrait le croire, mais non. Je suis persuadée que le plus gros est à venir.
Bonjour monsieur Philippe Bilger,
Vous avez lu Mediapart, quel courage et vous prenez parti pour Sarkozy subitement parce que votre ex-poulain Macron-Judas aurait commis un petit sacrilège.
Ne disiez-vous pas que le monde politique français était complètement pourri (non ce n’est pas vous mais votre frère dans le courant d’une onde pure), que Sarkozy est l’homme qui tua Liberty Valance et Gbagbo.
Belle envolée lyrique pour pas grand-chose dans ce monde qui vit à l’ombre des jeunes filles en fleur et qui a la mort aux trousses.
En son temps, Valeurs Actuelles avait dénoncé l’existence d’un « cabinet noir » contre Nicolas Sarkozy. Tout le monde avait ironisé. Il semble pourtant que ce fut le cas.
Pareil pour Fillon lors de la dernière Présidentielle. Il fallait être de mauvaise foi pour ne pas voir que la Justice avait été instrumentalisée contre lui.
C’est une bonne chose que ces affaires sortent mais à quoi cela tient-il ? Pour Nicolas Sarkozy, cela tient à une parole lâchée par une dame qui aurait tout aussi bien pu se taire.
Une fois au pouvoir, les hommes se croient tout permis. Nos institutions se sont révélées impuissantes à juguler ce phénomène pourtant connu depuis la nuit des temps.
Une grande partie des électeurs, dont je fais partie, ont eu l’impression d’avoir une élection volée. Cela laisse des traces indélébiles.
J’apprécie les avocats au détail mais pour une fois je suis en gros à leurs côtés.
Et je rejoins Nicolas Sarkozy et j’accable Emmanuel Macron.
On aura tout vu.
Cela tendrait à démontrer que vous n’êtes pas prisonnier de l’esprit de système, ou du moins très peu…
Le moins que l’on puisse dire et que le PNF (Parquet National Financier) est sur la sellette. Il serait impliqué dans plusieurs sandales, naturellement des scandales d’État. Et Philippe Bilger, qui est sur son terrain, enchaîne les billets sur l’air de « Shame and scandal in the Family ».
Si j’ai un peu compris de quoi il en retournait, il y a trois affaires sans lien entre elles, étalées dans le temps qui par le plus grand des hasards ressurgissent soudainement et simultanément.
La première affaire est en relation avec le dossier François Fillon. Madame Houlette à la tête du PNF dans le cadre d’une commission d’enquête déclare avoir fait l’objet de « très, très nombreuses demandes » du parquet général qui « s’ingérait au quotidien dans l’action publique ». Ces demandes, dit-elle, « étaient d’un degré de précision ahurissante. Je les ai ressenties comme une énorme pression.» Laissons de côté ses démentis ultérieurs qui sur le fond n’apportent rien. J’ai beaucoup de mal à considérer comme une pression politique le fait que la hiérarchie judicaire souhaite suivre en direct l’évolution d’un dossier de cette nature. Il me semble en revanche acquis que l’allergie à la hiérarchie soit une affection assez largement répandue dans le monde judicaire. Je ne crois pas que Philippe Bilger me contredira sur ce point.
La deuxième affaire est en relation avec le dossier Alexis Kolher accusé par certains d’avoir profité de sa situation pour favoriser une entreprise à laquelle il est lié par des liens familiaux. Emmanuel Macron a attesté par écrit que lorsqu’il était ministre des Finances Alexis Kohler l’avait informé d’être potentiellement en situation de conflit d’intérêts et que des dispositions avaient été prises pour éviter de s’y trouver. Aussitôt on accuse le PR de violer le principe de séparation des pouvoirs. On ne voit pas au non de quoi le président ne pourrait pas témoigner. L’affaire Kohler a été relancée par une plainte avec constitution de partie civile. Attendons calmement l’enquête et nous verrons bien si le Secrétaire général de l’Élysée a failli à ses obligations et si le PR a produit un faux témoignage. Que je sache, aux dernières nouvelles, Mediapart n’est pas encore doter de pouvoirs judiciaires.
Enfin la troisième affaire concerne Nicolas Sarkozy, difficile à éviter lorsque l’on évoque des affaires judiciaires. Là c’est effectivement plus sérieux. Le PNF, il l’a reconnu, a enquêté pour essayer de démasquer la taupe qui aurait prévenu Nicolas Sarkozy que son téléphone, souscrit au nom de Paul Bismuth (tout ça est assez gratiné), était mis sur écoute et pour mener cette enquête s’est procuré les fadettes (relevés téléphoniques) d’un certain nombre de ténors du barreau. Bien que son responsable actuel ait déclaré : « Dans toutes les affaires qu’il traite, il se conforme strictement aux exigences du Code de procédure pénale et utilise, sans les outrepasser, les prérogatives que la loi reconnaît aux parquets, et donc au PNF », il est évident qu’il s’agit d’une faute morale et politique, en d’autres termes, d’une connerie.
Pour terminer Philippe Bilger livre en pâture quelques noms et un etcetera qui excitera les imaginations : « Un dispositif mis en place par une petite équipe à sensibilité de gauche, se connaissant et préférant à la transparence équitable des pratiques les subtiles manœuvres d’un pouvoir équivoque. Christiane Taubira, Eliane Houlette, Jean-Louis Nadal, Robert Gelli, etc. »
Dans ces conditions on comprend encore plus mal les déclarations de Madame Houlette…
Rien que le titre du billet entraîne l’adhésion, avec sa référence à Céline, “D’un château l’autre” (1957).
C’est en effet Ferdine qui a inventé cette contraction grammaticale qui évoque l’urgence ou la brutalité d’un récit, ou le témoignage d’une époque décadente.
Pour ce qui est du PNF on peut s’inquiéter de ce que devient cette franc-maçonnerie des hermines, calés bien au chaud sous les ors des palais de Justice, tous décorés de la Légion d’honneur, tous abonnés au guichet de la carrière et des avancements.
On pourrait presque tirer son chapeau à Mme Houlette, qui à deux doigts de sa mort professionnelle a eu un réflexe de “catho zombie” (*).
Elle s’est confessée publiquement.
Le regret, la honte, le remords l’ont rongée. À pécheur repenti miséricorde.
(*) “Catho-zombi”, expression d’Emmanuel Todd.
« Officine » a dit Madame Dati. « Barbouzes » a dit Dupond-Moretti. Marions les deux en « officine de barbouzes. » Cet outil créé par des socialistes a dépassé les espérances de ses créateurs.
Le pire, c’est que, tout honte bue, ils osent prétendre que tout est légal.
Mais qui pour les juger ? Des magistrats ? Ou Macron et son camp, qui ont profité du procédé ? Cent sous que ça ira moins vite que pour Fillon.
« Et je rejoins Nicolas Sarkozy, et j’accable Emmanuel Macron.
On aura tout vu »
Effectivement on aura tout vu !
L’idéologie dans le personnel judiciaire, du bas en haut des échelons, est plus effective que vous ne le laissez entendre. Ce que vous exprimez cher P. Bilger, qui se situe au plus haut niveau de l’Etat, se décline localement.
Nous sommes bien dans une sorte de « gouvernance » des juges. Gouvernance idéologique.
Si cela n’était pas, pourquoi cette profession refuse-t-elle d’être jugée ?
Cordialement.
« Il n’y a pas, derrière ce cataclysme, l’obsession massive d’une République des juges mais seulement des épisodes conjoncturels et spécialement orientés. » (PB)
Une succession d’épisodes conjoncturels spécialement orientés, ça s’appelle un phénomène structurel.
Une pomme qui tombe d’un pommier, c’est conjoncturel, deux pommes qui tombent d’un autre pommier c’est aussi conjoncturel, mais si toutes les pommes d’un verger tombent vers la terre, alors c’est un effet d’un phénomène structurel qui s’appelle la gravitation.
Nous sommes en présence d’un phénomène structurel qui est l’entrisme d’une gauche et dans certains cas d’une extrême gauche dans les institutions judiciaires.
Pire que politisée, la justice est partisane, et petitement partisane.
Un policier noir de la BAC, qui interpelle un dealer noir, est accusé de contrôle au faciès !
La marque même de la dérive gauchiste, extrémiste ne prenant même pas le soin a minima de dissimuler son engagement gauchiste.
Le PNF doit être supprimé, c’est plus qu’une évidence, une banalité à faire. Mais il n’est que la partie émergée d’un iceberg judiciaire qui depuis le Mur des cons, prouve sa volonté de détruire tout ce qui en France se tient droit et ne se courbe pas devant la folle doxa suicidaire qui parcourt la France et l’Occident en général.
Viktor Orban a raison, le nettoyage des écuries d‘Augias doit commencer par la justice.
« Le secret professionnel des avocats a été mis à mal par certains magistrats » (PB)
Certains magistrats ?
Vous plaisantez, Philippe ?
Ou considérez-vous la Cour de cassation comme engeance négligeable ?
https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/03/22/la-cour-de-cassation-valide-les-ecoutes-telephoniques-de-nicolas-sarkozy_4887922_1653578.html
Mais comme vous appréciez désormais les avocats « en gros et au détail », ainsi qu’à l’étal du boucher, que cette nouvelle posture est assez savoureuse, tant votre détestation de la robe d’avocat suintait parfois de vos posts (je n’ai pas le temps de chercher dans les archives mais ma mémoire n’est pas, sur ce point, si défaillante) nous n’allons pas nous plaindre de votre soutien !
Ma perversité n’ira pas jusqu’à soupçonner qu’un borgne vous ait enfin ouvert les yeux…
« Le secret professionnel des avocats a été mis à mal par certains magistrats qui ont été trop contents de le percevoir comme une protection indue du barreau alors qu’il est fondamental pour protéger le citoyen et la société démocratique »
En France, rien n’est à sa place. L’Exécutif a trop de pouvoir, le Législatif pas assez et le Judiciaire n’est pas un pouvoir… Je m’étonne qu’après avoir dit que certains Français n’étaient rien, le Président n’ait pas ajouté que les magistrats aussi. Parce que si on raisonne en terme de rapport de force, comme lui, en oubliant qu’on n’est jamais que le mandant et représentant des Français, puissants ou rien, la même logique s’applique à un pouvoir qui n’est pas un pouvoir.
Enfin, qu’on le dise ou non, le judiciaire n’est rien. Désolé, il n’a que l’ombre d’un pouvoir donc peut abuser, on le fait dès qu’on en a l’occasion, mais ce n’est pas le pouvoir du tripode, exécutif, législatif, judiciaire. Comme je me tue à le dire, le judiciaire n’est pas un pouvoir. Ni dans les textes ni dans le budget.
Pour rappeler que si nous en sommes incapables, une démocratie au niveau devrait avoir trois pouvoirs, je balance un tripode et un tas de belles images de la Chine :
https://fr.123rf.com/photo_50727473_printemps-et-automne-p%C3%A9riode-bronze-tripode-de-la-chine.html
Après cette récréation, revenons aux magistrats que j’appellerais Hermines dépossédées… Des gens représentants ce qui devrait être un pouvoir mais ne l’est pas, sont frustrés de leur dû. Qui sait, ils peuvent se sentir dépossédés… Comme un un tas de gens à problèmes, ils peuvent le faire payer aux autres.
À qui ?
Qu’est-ce qui est à la fois dépendant et rival du magistrat ? L’avocat. On peut imaginer une justice sans avocat s’il vaut mieux pas, pas l’inverse. Donc le magistrat domine. Oui, mais l’avocat reçoit plus de lumière médiatique, c’est drôlement vexant. Si le pouvoir exécutif déborde sur moi, je déborde sur l’avocat, et basta. Sur le justiciable par la même occasion et sans doute dans d’autres occasions.
Je ne crois pas que la plupart des magistrats pensent de manière si cynique, je suppose que cela se fait tout seul. Sans le penser, ou en le pensant à moitié. En tout cas on ne le dit pas, ou entre soi, et si on ne se vante pas, on est bon. Tant de gens d’ordre raisonnent ainsi : ce n’est pas ce qu’on fait qui compte mais que cela se sache. A l’extrême : le mec qui se drogue, surtout en public, est la lie de la terre, celui qui viole dans l’intimité du moment qu’il ne s’en vante pas et surtout si on lui trouve quelque qualité ne doit pas être inquiété et le désordre est la faute suprême… Non, l’injustice est un désordre qui en engendre d’autres, et je ne parle hélas pas de bataille de polochons.
https://www.youtube.com/watch?v=abfZf7yjqJw
« Et je rejoins Nicolas Sarkozy et j’accable Emmanuel Macron.
On aura tout vu. »
Billet qui me paraît bien confus. De quoi parle-t-on ? De trois affaires totalement distinctes.
1 L’affaire Fillon ou « Penelopegate », remise au goût du jour par madame Houlette.
2 L’affaire des écoutes téléphoniques de Sarkozy alias Paul Bismuth, aussi appelé l’affaire des fadettes d’avocats de renom.
3 L’affaire Alexis Kohler, principal collaborateur d’Emmanuel Macron.
La Justice, les médias et la politique forment un ménage à trois depuis bien longtemps déjà.
Il serait fastidieux de dresser la liste des affaires politico-financières qui ont émaillé l’actualité tout au long de la Ve République et même, en cherchant bien, sous la IVe et la IIIe.
Les trois derniers présidents ne se distinguent en rien de leurs prédécesseurs.
Les présidents ont toujours usé de leur pouvoir pour protéger leurs collaborateurs et, le cas échéant, pour savonner la planche de leurs adversaires. Rien de bien étonnant à cela. Le président de la République a des pouvoirs digne d’un monarque. Surtout depuis le passage du mandat présidentiel à cinq ans avec les élections législatives dans la foulée.
Je ne comprends pas la raison qui vous pousse, Philippe Bilger, à rejoindre Nicolas Sarkozy et accabler Emmanuel Macron. Celui qui a le plus de casseroles, à ce jour, c’est quand même bien le premier !
Justice racaille, justice pourrie, justice islamogauchiste, il n’y a pas assez de termes pour qualifier cette déchetterie judiciaire entourée de murs des cons, et ses jugements racistes anti-blancs, en faveur des cailleuras hyper relâchés hyperrécidivistes et hyper rapide quand il s’agit d’embastiller les identitaires des Alpes qui font le boulot à la place de cette justice laxiste complice des passeurs migrants et ceux qui demandent la fermeture des mosquées terroristes.
Justice mafia, justice dépendante du pouvoir et des cabinets noirs, ripoublique des juges, qui donne sans cesse des leçons de démocratie au monde entier ; une belle bande de salopards !
On essaye de nous faire croire que le PNF a examiné les « fadettes » de nombreux avocats prétendument pour chercher une « taupe » ayant informé NS ou son conseil de l’existence d’écoutes téléphoniques.
Comment un avocat (ou toute autre personne d’ailleurs) pourrait-il être assez stupide pour prendre son téléphone afin d’informer quelqu’un de l’existence… d’écoutes téléphoniques ? ou pour se promener avec son téléphone allumé pour aller voir l’intéressé ?
Le PNF serait bien inspiré de donner la vraie raison de cette étrange procédure.
« …une petite équipe à sensibilité de gauche » (PB)
« Sensibilité » que de crimes on commet en ton nom !
J’ai toujours aimé les euphémismes de notre hôte.
Moi je n’ai pas une sensibilité de droite: je le suis par toutes mes pores.
Ce léger parfum de « sensibilité » est en réalité chez certains un remugle propre à avertir de très loin la venue au marigot des hyènes assoiffées.
Chez les magistrats, chez les journalistes c’est à cette pestilence qu’on reconnaît les serviteurs zélés.
Laissons la sensibilité à la musique, aux arts divers et variés et ne galvaudons pas les expressions.
Ai-je une gueule de sensibilité ?
@ Savonarole | 26 juin 2020 à 14:59
« On pourrait presque tirer son chapeau à Mme Houlette, qui à deux doigts de sa mort professionnelle a eu un réflexe de “catho zombie” (*).
Elle s’est confessée publiquement.
Le regret, la honte, le remords l’ont rongée. À pécheur repenti miséricorde.
(*) “Catho-zombi”, expression d’Emmanuel Todd. »
Elle est bien bonne, celle-là !
Tout d’abord, il convient d’évacuer Emmanuel Todd et son expression, « catho-zombi », qui est parfaitement puante !
Puis il faut, c’est important, s’entendre sur le sens des mots, et j’aimerais beaucoup savoir ce qui vous conduit à cette envie de tirer votre chapeau à une bougresse, dont la fausseté, la lâcheté et la sournoiserie, ont teinté à la juste mesure les déclarations dont il convient de se tamponner le coquillard…
Oui, j’aimerais beaucoup savoir où vous avez déniché le regret, la honte et le remords qui auraient rongé cette âme bien née ?
Non, décidément, il y a quelque chose de pourri, et la justice sent le faisandé, mais depuis si longtemps que je crois bien que la momification va faire son œuvre et que cette ignoble odeur va disparaître avec ce corps si maltraité, si mal servi par des gens si bien payés…
Mais le Seigneur est mon berger et la Houlette ne jette pas les pierres bien loin !
Il est triste de constater que seul Mediapart fait un vrai travail d’opposition. Malheureusement on a beau ne pas apprécier Edwy Plenel, il faut dire que ses enquêtes et celles de ses équipes s’avèrent toujours justes.
De quoi détourner encore un peu plus les Français de la politique, des urnes et douter de l’impartialité de leur justice. Quelle tristesse de constater que cela donne raison à tous ceux qui n’ont plus confiance en rien.
Impossible de m’intéresser à ces affaires de pouvoir et de coups fourrés. Quoi qu’il arrive, la population ne saura jamais rien de vrai, parce que tout se passe « entre eux ».
De tous ces gens, je n’en connais qu’un, Jean-Louis Nadal, réputé pour sa gestion désinvolte, ses compliments hyperboliques et son autoritarisme de tribune. Rien de bien méchant, charmant en société, il faisait partie de la promotion cassoulet, rien qui pût inquiéter sur le sort de la France.
Quant à Mme Houlette, elle me semble sortir d’un roman de Paul Bourget.
Quant à la France, n’y pensez plus trop.
Je viens de voir le débat Zemmour-BHL sur CNews et c’est quand même impressionnant de voir à quel rythme BHL peut sortir ses c*nneries « moralinistes ». Chapeau l’artiste.
Ça laisse songeur sur le niveau intellectuel général de la « bobocratie » parisienne qui le prend pour un génie.
Ce type n’est qu’un guignol qui a lu des livres et qui fait des phrases, vide de fond. Un « marin » quoi.
https://www.youtube.com/watch?v=3DN1YZd-vZM
@ sbriglia
« Mais comme vous appréciez désormais les avocats « en gros et au détail »,(…)nous n’allons pas nous plaindre de votre soutien ! »
Les « baveux », c’est comme les flics, tout le monde les déteste jusqu’au jour ou on en a besoin. Puis ensuite, comme on les connaît, on ne les déteste plus on les hait.
Sinon, pour une fois je vais défendre M. Bilger… et en même temps je vais le critiquer, c’est le revers de la « médaille » centriste, on peut toujours se faire prendre par-devant et par-derrière.
Au sujet du PNF et de l’affaire Fillon, il n’a jamais trouvé cette histoire « très catholique » d’un point de vue judiciaire (phrase qui ne veut rien dire mais c’est pas grave, je pourrais faire mieux mais j’ai envie de le dire comme ça ce soir, demain est un autre jour…).
https://www.youtube.com/watch?time_continue=130&v=Dd7msQVKusU&feature=emb_logo
Et en même temps… tiens, ça me dit quelque chose… M.B. n’a pas hésité, comme beaucoup d’autres, à balancer Fillon et ses casseroles après deux mois d’affaire médiatique en lui demandant de laisser tomber pour chanter les louanges de sa nouvelle idole, Macron.
Il est comme ça M.B., les convictions chevillées au corps.
Un vrai centriste ! Un dur, un tatoué !
Avec lui, c’est j’y suis, j’y reste !
YOU SHALL NOT PASS !
https://www.youtube.com/watch?v=mJZZNHekEQw
Vous avez vu la ressemblance frappante en dehors des cheveux longs et de la barbe ? C’est lui tout craché dans l’esprit.
Sacré Monsieur Bilger… mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime bien.
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@ Solon
« »Officine » a dit Madame Dati. « Barbouzes » a dit Dupond-Moretti. Marions les deux en « officine de barbouzes. » Cet outil créé par des socialistes a dépassé les espérances de ses créateurs. »
C’est sûr, les barbouzes françaises ont été créées par les socialos… hahaha !
Encore un ignare.
Allez… ne rêvons pas… quand la mafia socialo-centro-verdo-ecolo-3pointo se met en branle au plus haut niveau pour le dictact de ce qui est bon pour la plèbe infantilisée… tout est dit et joué… circulez et avalez braves gens.
Débat Eric Zemmour / Bernard-Henri Lévy dans Face à l’Info.
Le seul suspense : quand BHL a enlevé sa veste et a redressé ses manches de chemise. Chemise d’un blanc immaculé et du meilleur chemisier de Paris sans doute. Avec un décolleté si sexy !!
Christine Kelly n’a pas bien tenu son débat : impressionnée par BHL (ou ce qu’il représente en influence possible) à qui elle a laissé un maximum de temps au détriment d’Eric Zemmour.
Pendant quelques minutes, BHL a frôlé l’hystérie !
Toutefois, elle a eu le mot de la fin quand elle a dit, en dernière seconde à BHL, « Vous pouvez vous rhabiller maintenant ».
Effectivement, notre BHL est habillé pour la saison, une fois de plus par Zemmour.
Cordialement.
« Pour cette affaire, il est clair que le président aura brûlé toutes ses cartouches ! Il devra regarder faire la Justice sans intervenir, je l’espère en tout cas. » (PB)
Dans l’affaire de la prise illégale d’intérêts commis par KOHLER-CMS, j’espère qu’Emmanuel Macron va faire moins le fier avec le nouveau procureur Jean-François Bohnert nommé à la tête du PNF depuis le 7 octobre dernier. En tous cas, ce procureur, bien sympathique et fort de tête ne me semble pas se laisser marcher sur les pieds ni se faire dicter le mode d’emploi dans sa fonction de haut magistrat financier par quiconque pour mener à bien et en toute impartialité des affaires confiées. Faut résister à toute soumission, pression et intimidation de la hiérarchie du Parquet, de la garde des Sceaux et de l’exécutif.
Il serait grand temps de mettre de l’ordre dans l’institution judiciaire pour que les Français se réconcilient avec la justice.
Ah m*rde, on est vendredi !
Déjà avant le confinement c’était le soir du dîner mondain et on n’avait pas de commentaires avant deux heures du mat’ quand Madame avait encore assez de force intellectuelle pour retranscrire toutes les c*nneries des commentateurs mais maintenant, suite au confinement, ça doit être carrément les orgies romaines chez les Bilger ou chez leurs hôtes du soir et elle revient « sur les genoux ». Hahaha !
Quelle vie…
Utilisation du procédé scrutateur « Recherchez dans cette page » : il nous a semblé pas inintéressant (double négation affectionnée en robes) de commander au robot incolore asservi (esclave électronique) de nous dire si dans la page de céans-céans on pourrait lire quelque part :
Canard / stratégie / manipul(…) / communic(…) / calcul(…).
Eh bien réponse la même du robot intégré pour ces 5 termes ou fragments : que nenni !
Ni le billet princeps non plus que les incidences post-lectorales : la possibilité d’une oeuvre comme ça si proche d’élections et du rendu sur Sarkozy… personne n’ose se faire taxer de complotiste ??
N’étaient-ce pas Pasqua et/ou Villiers qui avaient persiflé sur l’art magistratesque de surgénérer des factices affaires gigognes pour étourdir (ou du moins le tenter) « le génie commun de la preuve et de la logique » (merci doyen Cornu in ‘Linguistique Juridique’, éd ? Monchrestien ou LGDJ… oubliée) ?
Un petit hors sujet qui vaut le détour.
Formidable débat hier soir, dans l’émission Face à l’info qui opposait le philosophe BHL au polémiste Eric Zemmour.
Deux fortes personnalités débordant d’intelligence, de culture, d’éloquence qui n’étaient pratiquement d’accord sur rien : de Gaulle, la Syrie, la Libye, la misère dans le monde, la Russie, les migrants.
Seuls points d’accord, la Turquie, dont les prétentions hégémoniques constituent vraiment, à ce jour, un réel danger et bien sûr la grandeur de la France que chacun mesurait à l’aulne de ses propres convictions.
La force de l’argumentation résidait sans doute dans le fait que BHL a roulé sa bosse dans de nombreux pays en conflit, alors que Zemmour, lui, n’a jamais quitté les studios climatisés des stations radio et TV où il exerce son talent. Ça compte !
Quelques tacles bien sentis de part et d’autre, des mots à la limite de l’insulte, mais pendant une heure nous avons assisté à un combat homérique sans concession. Quel souffle !
Eric Zemmour a vraiment eu du mal à imposer ses arguments, maintes fois rabâchés, BHL le renvoyant dans les cordes sans se démonter.
Rien à voir en tous cas avec le débat qui l’avait opposé à Michel Onfray et qui n’était qu’un échange de convenances polies, avec quelques escarmouches à fleuret moucheté.
Christine Kelly, malgré son autorité naturelle, a eu bien du mal à mettre un peu d’ordre dans le débat particulièrement animé. Mais elle s’en est bien tirée tout de même.
Donner un vainqueur serait ridicule, mais bien sûr certains, ici, qui ne peuvent s’empêcher de distribuer les bons et les mauvais points, n’hésiteront pas à dire que Zemmour a été le meilleur, ce qui, en l’occurrence est parfaitement faux.
Jamais je n’ai vu Zemmour autant en difficulté face à son adversaire.
Bravo à tous les deux !
Ceci est potentiellement l’information la plus importante :
https://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-sciences/le-journal-des-sciences-du-mardi-23-juin-2020
Les scandales politiques ne doivent pas faire oublier que la science avance et que nos problèmes énergétiques doivent et peuvent sans doute être résolus. On a vu avec la covid ce qu’il en coûtait de moins pouvoir produire, on à une énergie polluante venant trop souvent de lieux à problèmes comme le Moyen-Orient ? On peut imaginer les effets inverses de la richesse produite et accessible à tous par les technologies du futur.
C’est à mon avis là qu’est la solution et non dans ce que j’appellerais le quatrième monothéisme* : je veux dire le culte de la déesse Gaïa dont les victimes sont les peuples premiers chassés de leurs terres pour faire des réserves naturelles… et l’esprit scientifique.
Moins drôle : on voit dans l’émission qu’il faut se méfier des médecins tant applaudis. Surtout, ne rien faire qui puisse donner l’impression d’être un peu à l’ouest ou c’est la case – et la casse ! – hôpital psychiatrique.
*Judaïsme, christianisme et religion musulmane ont un Dieu unique père, là on se découvre une mère à la place, mais c’est toujours la même chanson : l’unique élimine tout le reste. Les écologistes ont été capables de nuire gravement aux plus faibles, des peuples premiers, sans avoir le pouvoir d’Etat, que dire de gens qui n’ont pas besoin d’être au pouvoir pour être corrompus ? On touche le fond, là…
J’adore comme les gens luttent contre le passé et ne font rien en faveur de peuples se faisant laminer, non pas chassés par un peuple mais pour des bêtes. Ce sont vraiment des victimes totales : elles ne peuvent rien, n’étant pas sous nos yeux, et sont les victimes de gens intouchables, les écolos, donc disons amen comme autrefois et je pense encore dans certains milieux les jeunes abusés par les prêtres.
On aura, effectivement, tout vu, et la justice en ce pays est devenue gros mot, les zombies sont vivants, et les cathos bien morts, Céline avait prévu ce goût unique pour l’épuration, la tête du président dans le panier gît, on nous l’avait bien dit, et Bilger désormais épargne Sarkozy.
Le présent déboulonne les volte-face des convictions délétères, la veste à son envers du goût du jour et des invitations mondaines, célébrons au Coliseum l’empereur qui mord la poussière de Jupiter, ce dieu mort offert aux lions pour le grand délassement de la meute, Onfray le stoïque célèbre les romains, et genau, rempli de sa morgue impavide, acte la mort française, tous les savants reprennent en cœur la vieille antienne, le ça ira des apocalypses incomprises de toutes les éruditions, attachant tous leurs efforts à nier qu’il n’y a de loi que l’amour du prochain.
Le spectacle affligeant des barons du luxe se livrant à l’escalade des offrandes est encore plus terrifiant que la charpente en flamme de la sublime et si fragile dentelle de pierre de la justice, offrant le symbole de l’échec de l’Occident à savoir incarner ce qui le fonde, pourtant formulé par les oracles de 1848, le préambule de la Constitution suisse en étant encore le fragile témoin enseveli par toutes les jurisprudences de tout ceux qui veulent sur la simplicité du saint refonder leur domination sacrée, déviant dans le déni du prochain la juste transcendance, se vouant à redétruire le temple du corps de Jésus et recoudre la déchirure du rideau qui, pourtant, ne cache plus rien :
« Au nom de Dieu Tout-Puissant !
Le peuple et les cantons suisses,
conscients de leur responsabilité envers la Création,
résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,
déterminés à vivre ensemble leur diversité dans le respect de l’autre et l’équité,
conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,
sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,
arrêtent la Constitution1 que voici:
… »
Fort de cette si simple connaissance, le chef alors saura exercer la seule autorité possible qui, sans nier le mimétisme mais le plaçant dans la juste polarité à laquelle lui-même se soumet et qui est le soin au plus simple, saura par l’exemple du devoir que sa position lui intime, nommer la fraternité, cet exercice de la liberté encadrée par l’indispensable égalité, incarnant la seule réelle réelle révolution, cette incroyance en la violence qui est soumission à la vie, donc à l’acceptation de la mort, que nous propose le Christ.
Si le leader acceptait de porter l’étole, ce symbole du joug léger du Seigneur, la procession occidentale pourrait sortir de la cathédrale épargnée d’avoir dû devenir ce musée fantomatique et froid comme la mort des idées saintes et, de l’ombre multicolore de la souffrance des rivalités masochistes, accéder à la pure joie de la formulation commune du vrai :
« En suivant une route française entre les champs de sainfoin et les clos de pommiers qui se rangent de chaque côté pour la laisser passer « si belle », c’est presque à chaque pas que vous apercevez un clocher qui s’élève contre l’horizon orageux ou clair, traversant, les jours de pluie ensoleillée, un arc-en-ciel qui, comme une mystique auréole reflétée sur le ciel prochain de l’intérieur même de l’église entr’ouverte, juxtapose sur le ciel ses couleurs riches et distinctes de vitrail ; c’est presque à chaque pas que vous apercevez un clocher s’élevant au-dessus des maisons qui regardent à terre, comme un idéal, s’élançant dans la voix des cloches, à laquelle se mêle, si vous approchez, le cri des oiseaux. Et bien souvent vous pouvez affirmer que l’église au-dessus de laquelle il s’élève ainsi contient de belles et graves pensées sculptées et peintes, et d’autres pensées qui n’ayant pas été appelées à une vie aussi distincte et sont restées plus vagues, à l’état de belles lignes d’architecture, mais aussi puissantes ainsi, quoique plus obscures, et capables d’entraîner notre imagination dans le jaillissement de leur essor ou de l’enfermer tout entière dans la courbe de leur chute. Là, des balustres charmants d’un balcon roman ou du seuil mystérieux d’un porche gothique entr’ouvert qui unit à l’obscurité illuminée de l’église le soleil dormant à l’ombre des grands arbres qui l’entourent, il faut que nous continuions à voir la procession sortir de l’ombre multicolore qui tombe des arbres de pierre de la nef et suivre, dans la campagne, entre les piliers trapus que surmontent des chapiteaux de fleurs et de fruits, ces chemins dont on peut dire, comme le Prophète disait du Seigneur : « Tous ses sentiers sont la paix ». »
https://www.cabourg-balbec.fr/lire-proust-%C3%A9couter-voir/correspondance-et-autres-textes/la-mort-des-cath%C3%A9drales/
BHL en nage doit retirer la veste. Il crie, il hurle, il invective pour essayer d’imposer ses arguments bidon qui font flop !
Il veut encore nous imposer le « vivre-ensemble ». Le pauvre homme, il a cinquante trains de retard.
Dans le camp d’en face qu’il ne veut pas voir, ils en sont à la tyrannie des minorités.
« Antiracisme: la révolution culturelle qui vient
Ce n’est que le début du commencement de la tyrannie »
Adèle Deuez (Causeur)
https://www.causeur.fr/antiracisme-universite-traore-zemmour-178379
BHL, la vieillesse est un naufrage.
Réveillez-vous le soi-disant philosophe, « l’homme est un loup pour l’homme ». Nous ne sommes pas dans le monde des bisounours.
BHL qui se planquait derrière un muret à Sarajevo alors que des soldats fumaient tranquillement une cigarette de l’autre côté. Pathétique !
@ boureau
BHL : « le rossignol des charniers » Michel del Castillo
« La France change-t-elle beaucoup plus vite et beaucoup plus profondément que ne le voudrait le président Sarkozy ? Désormais, quand ce dernier s’agite ici ou là pour le gévin, l’Europe, la Libye, le repeuplement du pays, personne ne s’en aperçoit. Il en va de même pour Bernard-Henri Lévy qui eût tellement aimé que ses compatriotes saluassent en lui l’intellectuel engagé et courageux ayant épargné aux Libyens un bain de sang — qui a eu lieu. Ce qui était ignorer deux choses : 1) la lassitude des Français à le voir gesticuler toute houppette martiale dressée sur la tête à la moindre guerre civile qui éclate, et 2) leur indifférence à l’égard de la prétendue révolution libyenne. Nul doute que l’intéressé considère la première raison du silence qui entoure son héroïsme comme étant la plus grave, mais c’est la seconde qui compte. Car dans cette affaire libyenne, personne en France n’a cru qu’il s’agissait pour l’OTAN de sauver les populations civiles et d’aider un mouvement démocratique, mais de remplacer un dirigeant incontrôlable par une équipe jugée, sans discernement, plus soumise aux puissances occidentales. Les discours lénifiants de BHL sur la liberté des peuples ne sont plus audibles. Les Afghans retrouvent les Talibans. Les Irakiens s’apprêtent à fonder une république chiite. En Tunisie les salafistes la ramènent. En Égypte l’armée pactise avec les Frères Musulmans.
Le printemps arabe annonce un long hiver islamiste. Nous entrons dans l’automne et les premières glaces viennent de saisir la Libye » F. Schiffter ( 22 octobre 2011)
http://lephilosophesansqualits.blogspot.com/2011/10/aspect-actuel-et-particulier-du_22.html
Globalement, aujourd’hui, il y a moins de politisation et d’esprit partisan dans la gestion des affaires dites « sensibles » mais il y a des ennemis à abattre par priorité.
Cette dérive n’est pas que franco-française, elle atteint aussi nos voisins transalpins :
https://www.valeursactuelles.com/monde/migrants-scandale-en-italie-apres-la-divulgation-dechanges-entre-magistrats-sur-salvini-119708
Notons au passage que le contournement judiciaire de décisions qui en principe ne devraient relever que de l’exercice normal de la démocratie est plus qu’inquiétant, surtout que maintenant la CEDH, en partie contrôlée par des organisations s’abritant sous un paravent à caractère philanthropique, s’y met aussi pour empêcher les peuples de choisir librement leur destin.
@ boureau | 26 juin 2020 à 23:06
J’ai été surpris par la superficialité des arguments de BHL.
Aucune vision historique ni de la nation ni de la mondialisation, aucune mise en perspective temporelle de l‘immigration.
Rien que de l’émotion affectée pour se donner le beau rôle de l’humaniste. Un humaniste sélectif comme le veut l’idéologie des droits de l’homme.
Confisquer le temps de parole est un grand classique de ceux qui se savent en faiblesse idéologique.
Zemmour est resté digne, quoique passablement agacé.
Quant à l’épisode du tomber de veste, ça faisait un peu « retenez-moi ou je fais un malheur », dans un vulgaire bistrot.
Il y a du comique qui s’ignore chez BHL.
En même temps son décolleté découvrait une poitrine imberbe. Il lui manquait la pilosité hirsute qui aurait pu lui donner cette virilité qu’il appelait inconsciemment à son secours et qui lui faisait défaut.
Pour un « philosophe » il devrait savoir que l’émotion dont il fait son argumentaire principal est incompatible avec l’archétype éternel de la virilité.
Au bilan, un débat décevant par la faiblesse intellectuelle et la mauvaise foi de BHL.
@ Wil, 21h06
L’ignare se demande si vous savez lire ! Non, les barbouzes n’ont pas été créées par les socialistes, mais le PNF oui. L’officine de barbouzes a donc été créée par le gouvernement socialiste…
@ Henri Gibaud | 27 juin 2020 à 01:27
Épurez, s’il vous plaît, vos commentaires de vos explications grammaticales qui veulent nous faire savoir que vous appartenez au monde de la justice. Vos commentaires en seront plus lisibles et plus pertinents.
Vous pouvez, pour simplifier, prendre comme pseudo : Henri Gibaud avocat ou encore Henri Gibaud master en droit, nous ne vous accuserons pas de faire votre pub.
@ Wil | 26 juin 2020 à 23:30
C’est de l’humour noir ou un défoulement post-déconfinement ?
Essayez plutôt le meilleur de vous-même :
Et si vous mettiez à l’affiche vos commentaires le matin avant 10h00 seulement devant une tasse de café, peut-être qu’il nous serait plus agréable de vous lire. Faites-le, rien que pour nous montrer la différence entre le moment où vous avez un coup dans le pif et le moment où vous êtes sobre.
Wil, ça ne vous dit rien ?
Campagne anti-alcool: « Tu t’es vu quand t’as bu ? »
Bonjour Philippe,
Il n’y a que les ahuris ayant voté pour Morveux 1er qui continue à se débattre dans le déni.
Ce type est de la graine de dictateur, entouré par des affidés lui nettoyant le postérieur à coups de langue.
Kohler, Rugy (dont on s’obstine du côté des macroneuneu à dire qu’il n’y a rien, c’est vrai, juste de l’argent public pour se goinfrer, ben voyons), Ferrand, Goulard, Benalla, Delevoye … Alstom à General Electric…
Les tentatives de corsetage de la parole, loi sur les fake news… faut-il rappeler le paquet de fake news qu’ils nous ont servi par l’intermédiaire de la sotte pintade pendant la pseudo-pandémie.
C’était écrit avant son élection.
Quand quelqu’un feint de découvrir et s’indigne de ces affaires j’ai toujours l’impression qu’on cherche à me faire avaler que la roue n’a pas encore été inventée.
Il n’est pas super-intelligent. Il est cultivé, a une intelligence banale, c’est un morveux de son époque, méprisant de tous et de tout ce qui ne lui ressemble pas. Bobo qui aime bien se donner des airs de dur en serrant les mâchoires et les mains très fort.
Il est dans le paraître.
Médiocre. Condescendant. Arrogant. Méprisant.
L’archétype du paranoïaque.
J’ai toujours raison. Je ne me trompe jamais. Je suis Dieu.
Le Dieu d’une secte. Qui se réduit. Qui bientôt, il faut l’espérer, ne sera plus qu’un mauvais souvenir.
Ne manque plus que des enfants de choeur en toge blanche autour de lui, s’égosillant sur des chants à sa gloire, le tableau serait parfait.
Pôv’type.
@ Solon | 27 juin 2020 à 09:41
« L’officine de barbouzes a donc été créée par le gouvernement socialiste… »
Vrai ! Le PNF a été créé en 2014 par le socialiste François Hollande suite à l’affaire explosive du « socialiste Cahuzac » qui les yeux dans les yeux n’avait rien à se reprocher en cachant sa fortune dans un labyrinthe du paradis fiscal.
Ce n’est pas le PNF en lui-même qui est responsable du scandale mais certaines personnes qui s’assoient sur la séparation des pouvoirs et intiment au procureur financier d’obéir aux ordres pour cacher la vérité.
Ne pas tout mélanger.
@ Achille 27 juin 2020 07:38
« Jamais vu autant Zemmour en difficulté face à un adversaire ».
Forcément puisque BHL monopolisait la parole et montait pour couvrir la voix de Zemmour.
Je me suis amusé à calculer le temps de parole des deux intervenants. BHL a monopolisé plus des trois quarts du temps de parole imparti aux débatteurs. Sans compter les moments où il couvrait les réponses de Zemmour de vociférations.
Sur le fond, BHL a confirmé qu’il était une catastrophe ambulante.
Je connais bien le dossier libyen, j’y ai fait des affaires pendant des années. Il ne fallait surtout pas occire Kadhafi : c’était le seul liant (autoritaire) du pays.
Toujours cette manie occidentale de juger le monde à l’aune de sa propre histoire et de ses propres valeurs : le principe stupide de l’ingérence humanitaire.
Finalement un débat sans grand intérêt : BHL ne participe à des débats que dans la mesure où il est le seul à parler. Sa jalousie vis-à-vis de Zemmour était flagrante. La courtoisie de Zemmour était toujours là. Quelle patience !
Cordialement.
Gouvernement des juges ? Vous oubliez la méfiance des révolutionnaires de 89 pour le pouvoir judiciaire. Eux qui se souvenaient que les parlements avaient contribué à l’effondrement de l’Ancien Régime en sapant l’autorité et les tentatives de réforme du pouvoir exécutif royal.
Dans la crise actuelle il ne faut pas oublier l’incompréhension générale – y compris celle des magistrats – à l’égard du Droit. Beaucoup de magistrats pensent qu’ils ne sont plus là pour faire respecter les règles établies par le législateur, mais qu’ils sont là pour rendre La JUSTICE, c’est-à-dire leur conception personnelle de la justice… ils se substituent ainsi au législateur. Ceci n’est pas étonnant quand on recrute les magistrats non plus dans les facultés de droit mais dans les Instituts d’études politiques !
@ Tipaza 9h29
« Au bilan, un débat décevant par la faiblesse intellectuelle et la mauvaise foi de BHL. »
J’ai transmis à une de mes connaissances qui a une petite maison sur l’île de Lesbos, dévastée par les réfugiés, les pleurnicheries de BHL.
Il devrait apprécier, lui qui se demande si ce paradis est encore vivable… mais Béchamel n’aura jamais à souffrir d’un environnement criminogène et insalubre, lui qui habite un hôtel particulier dans le 7e !!
@ Achille
« La force de l’argumentation résidait sans doute dans le fait que BHL a roulé sa bosse dans de nombreux pays en conflit, alors que Zemmour, lui, n’a jamais quitté les studios climatisés des stations radio et TV où il exerce son talent. »
Mon pauvre Achille, une fois de plus vous prenez des vessies pour des lanternes :
https://www.dreuz.info/2012/06/07/le-serment-de-tobrouk-de-bhl-par-bhl-avec-bhl-et-que-pour-bhl/
Ce n’est qu’un exemple, nous pourrions aussi évoquer les conditions dans lesquelles le grand homme a été photographié dans d’autres pays en conflit…
Quant à Eric Zemmour, il se fait physiquement agresser, à Paris, en sortant de chez lui ou en allant faire ses courses…
Eliane Houlette ne sait plus si elle a accéléré la mise en examen d’un candidat à l’élection présidentielle. Elle ne sait plus si ce geste procédural lui a été soufflé par un procureur général, un ministre de la Justice ou un cabinet noir de l’Elysée. Une petite période de prison préventive pourrait peut-être attendrir la viande comme le disait sa délicieuse collègue, la juge Eva Joly : ses souvenirs se clarifieraient après un petit séjour derrière les barreaux et des convocations menottées.
Bon, là, 100 % d’accord avec vous, s’il y a eu ingérence du pouvoir politique dans les actions du parquet c’est un scandale absolu. On ne va pas pleurer sur Fillon et Sarkozy mais il ont droit au même traitement que les autres et il n’y a pas de raison que M. Kohler, dont les liens familiaux étaient de toutes façons d’entrée incompatibles avec sa fonction, n’ait pas droit au traitement de rigueur et bénéficie d’un traitement de faveur.
Pas la peine de donner des leçons de respect d’Etat de droit aux dictatures d’opérette en gestation d’Europe orientale quand on a recours à de tels procédés.
Il faut vraiment liquider la Ve République et son pouvoir présidentiel absolu d’un autre âge, c’est une catastrophe, on va finir comme la Russie à ce rythme. Là est le vice originel du système. Les contre-pouvoirs c’est bien joli mais ça s’use et ils disparaissent les uns après les autres, il faut donc d’urgence rééquilibrer les trois pouvoirs au détriment d’un exécutif qui prend vraiment trop ses aises.
@ Tipaza 27 juin 09:29
J’ai regardé Zemmour/BHL pendant dix minutes. Au bout de ce temps obligatoire, il était certain que ce serait un fiasco puisque BHL n’était là que parce que cette émission est très regardée et pour faire ce qu’il sait faire de mieux, montrer sa garde-robe* et son nouveau brushing.
En même temps c’était à prévoir, je voyais mal BHL plus inventif que d’habitude, être capable de donner une fessée au ferrailleur des plateaux qu’est Zemmour.
*J’ai loupé le coup de la veste mais j’ose croire qu’il a eu la délicatesse de la poser de façon à ce que les téléspectateurs voient la griffe du couturier ! 😀
@ Wil | 26 juin 2020 à 21:06
« C’est sûr, les barbouzes françaises ont été créées par les socialos… hahaha !
Encore un ignare. »
Je ne suis pas de ceux qui vous soupçonnent de ne pas prendre de café au petit-déjeuner, je préfère vous taxer d’une terrible mauvaise foi ! En effet Solon n’a jamais prétendu que les « barbouzes françaises » sont une création des socialistes. Dans son commentaire : « …Cet outil créé par des socialistes a dépassé les espérances de ses créateurs. » L’outil en question est le PNF et vous le savez bien, mais pour noyer Solomon vous dites qu’il a la rage !
Vous êtes malhonnête !
Essayez de reprendre vos esprits que diable !
Et Jérôme enfin pourra faire de la France la Corée du Nord, pour légitimer ses délires éthyliques de résistant planqué derrière l’écran, à traiter les autres de ce qu’il est: pôv’ type.
Petite digression, il a cité André Malraux, il aurait tant aimé être ce dernier, le combattant de l’impossible, le courageux de causes perdues, le héros de toute une génération, l’emblème inoubliable de tout un pays, Malraux de Mongénéral, sans peur et sans reproches, le combattant, le vrai, le résistant.
BHL de pacotille, tigre de papier mâché, mis en lumière par Eric Zemmour, et encore ce dernier n’a pas sauté sur l’occasion pour finir d’enfoncer ce « philosophe à la noix ».
Et de lui rappeler ses anciens exploits guerriers, quand il a expliqué qu’il s’était rendu dans un camp de migrants après le déconfinement… En souliers vernis, gel hydroalcoolique et respirateur dans ses bagages ?
https://i.goopics.net/kDgLZ.png
Photo qui a fait le tour de la terre, l’a fait rire aussi, « philosophe à la noix » qui publie un bouquin sur le confinement et bien sûr les contradictions habituelles. Cela ne vaut pas un pet de lapin.
Certains lui ont octroyé la médaille, la plus belle qui soit, comme dans la chanson de Souchon « J’suis bidon », à tous ces desperados de salons et tentures immaculées :
https://i.goopics.net/aDpxE.png
Malraux pour l’éternité, BHL pour la crème fraîche et l’imposture révélée:
http://revesbleus.over-blog.com/article-2109422.html
Le philosophe à la noix.
D’un scandale à l’autre.
D’une débilité à l’autre.
En macronie, les premiers de cordée nous font escalader des sommets de scandales, de débilité, d’incapacité à gouverner, de laxisme à l’égard des nouveaux tyrans du nouveau monde.
Vous avez dit « scandale ».
L’Oréal nous joue les dames de grande vertu !
« L’Oréal supprime les mots «blanc», «blanchissant» et «clair» de ses produits.
Cette décision intervient dans un contexte mondial de manifestations anti-racistes. »
https://www.lefigaro.fr/societes/l-oreal-supprime-les-mots-blanc-blanchissant-et-clair-de-ses-produits-20200627
Où allons-nous arrêter notre soumission, notre lâcheté, notre pleutrerie, notre veulerie ?
Avons-nous le droit de broyer du noir devant tant de bêtise crasse ?
Aurons-nous le droit dorénavant d’utiliser les expressions :
Broyer du noir, avoir des idées noires, voir les choses en noir.
Travailler au noir
Une marée noire
Une série noire
Noir de monde
Une caisse noire
C’est sa bête noire (Horreur ! À bannir du dictionnaire de suite !)
Avoir un humour noir
Avoir un œil au beurre noir
La magie noire
Acheter au marché noir
Avoir peur du noir (et se mettre à genoux dare-dare !)
Etre noir/complètement noir etc.
Nous nageons dans un océan de débilités, les marins auront-ils encore le droit de naviguer dans le pot au noir…
C’est bien simple ! Plus les gouvernements promettant une République irréprochable, exemplaire, se succèdent et plus on atteint les sommets de la putréfaction. Tant qu’il y a des c*** pour les élire, pourquoi se gêneraient-ils ?
À force de multiplier les organismes spécialisés dans un seul domaine, de créer en permanence des lois circonstancielles, on aboutit à des aberrations juridiques.
Le Conseil constitutionnel, tout comme le Conseil d’État d’ailleurs, qui a pourtant admis nombre de textes gouvernementaux au cours du traitement de la pandémie Covid-19 s’est tout de même avisé que la loi Avia était largement inconstitutionnelle http://libertescheries.blogspot.com/2020/06/la-loi-avia-un-desastre-annonce.html.
Pour ce qui concerne le Parquet national financier, d’évidence ce ne sont pas les enquêtes proprement financières concernant les escrocs patentés qui constituent le fond de l’opposition. Sur ce point, l’avis de Serge Sur, professeur émérite de l’Université Paris 2 – Panthéon-Assas diverge d’autant plus qu’il en fait l’éloge : http://libertescheries.blogspot.com/2020/06/les-invites-de-llc-serge-sur-vive-le.html
De fait le discrédit provient de la dernière élection présidentielle où manifestement le politique semble avoir instrumentalisé cette institution pour éliminer un candidat du second tour. D’une certaine manière, la précipitation de l’enquête était sans doute liée au fait que, s’il avait été élu, monsieur Fillon serait resté inatteignable pendant tout son mandat.
Ce qui à mon avis doit être reproché au PNF est qu’il n’a pas veillé au secret de l’enquête et que de nombreuses pièces ont « fuité ». Est-ce du fait du PNF lui-même ou des échelons hiérarchiques supérieurs à qui ont été fournis les éléments du dossier à titre d’information ? Seule une enquête approfondie pourra le préciser.
Il n’en reste pas moins que le PNF a maintenant l’image d’un instrument du pouvoir, créé par lui et destiné à éliminer des concurrents politiques dans les moments les plus importants de la vie politique, tout particulièrement dans la lutte pour le pouvoir suprême ! Et, a contrario, de protéger avec le même empressement des poursuites judiciaires les politiques appartenant au (ou protégés) par ledit pouvoir.
Par ailleurs, l’indépendance du Parquet est d’autant plus mise en doute en matière d’opportunité des poursuites que les propos de Madame Houlette, même après son effort de relativisation quant aux pressions qu’elle a subies, ont généré un doute profond. D’autant plus que l’ouverture de l’information contre monsieur Fillon est tombée juste au moment opportun pour que le juge désigné soit monsieur Tournaire, chargé précédemment d’enquêtes visant MM. Sarkozy, ou Tapie pour ne citer que les plus emblématiques : (https://www.leparisien.fr/faits-divers/serge-tournaire-le-juge-dur-mais-juste-qui-a-mis-en-examen-nicolas-sarkozy-22-03-2018-7623537.php). Le choix de ce magistrat instructeur conforte ainsi l’impression d’instrumentalisation du PNF au profit du pouvoir en place.
Il me semble donc qu’à présent rares seront les politiciens qui affirmeront, la main sur le cœur : « J’ai confiance en la Justice de mon pays ». Et secondairement, l’image de l’institution judiciaire dans son ensemble me paraît encore plus écornée dans l’opinion publique. Un symbole supplémentaire du délitement total de l’autorité de l’État, puisque cela vient après les attaques contre la police pour les violences qu’elle est censée exercer même contre les citoyens innocents… Il est vrai que la notion d’innocence est devenue particulièrement extensive, notamment dans les entourages des milieux délinquants !
Bonsoir,
Le Professeur Raoult est odieusement consulté par une commission imbécile (de plus) de l’Assemblée nationale. Voici un article sur le sujet du Covid-19 suivi par l’audition du professeur Raoult, écoutez-le et commencez à comprendre que nous ne sommes plus qu’un petit pays avec les dirigeants ad hoc.
https://infodujour.fr/sante/36920-covid-situation-en-france-et-dans-le-monde-au-27-juin-2020
@ Isabelle
Tout cela me met dans une colère noire. Sauf bien sûr si je n’ai pas le droit non plus ! Le mieux serait de rayer la moitié du dictionnaire dont certains mots sont complexants pour une cause ou une autre.
Nous sommes en plein délire.
@ Exilé | 27 juin 2020 à 12:00
Si vous voulez me convaincre, évitez de me transmettre en lien des articles de « dreuz.info » qui est un site d’extrême droite qui ne lésine pas sur les fake news.
Si ça peut vous rassurer, je ne suis pas un inconditionnel des thèses de BHL. Mon humanisme ne va pas jusqu’à adopter ses thèses un peu trop angéliques à mon goût.
Quand j’invite quelqu’un chez moi, je ne tolère pas que celui qui s’assied à ma table m’impose le menu ou encore décide du programme TV à regarder.
Pour les réfugiés qui viennent en France, c’est pareil.
En fait, dans cet entretien, je me suis surtout intéressé aux aspects techniques du débat, d’autant plus passionnant que les deux intervenants exposaient des approches totalement opposées. Rien de plus.
——————————————-
@ boureau | 27 juin 2020 à 11:22
« Je me suis amusé à calculer le temps de parole des deux intervenants. BHL a monopolisé plus des trois quarts du temps de parole imparti aux débatteurs. »
Puisque vous aimez manier le chrono, je vous invite à mesurer le temps de parole de Zemmour dans l’émission Face à l’info lorsqu’il est avec les trois autres intervenants habituels.
Vous constaterez que c’est lui qui monopolise les trois quarts du temps de parole, n’hésitant pas à les interrompre à tout bout de champ.
Il n’a fait que recevoir la monnaie de sa pièce. Il a pu ainsi s’apercevoir à quel point c’est pénible d’être constamment interrompu quand on s’exprime devant des téléspectateurs.
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@ Giuseppe | 27 juin 2020 à 14:05
« BHL souvent étiqueté philosophe n’a pas de diplôme de philosophie. BHL n’a fait que des films minables et des livres douteux publiés uniquement par complaisance. »
Votre lien du « Journal de la rue » prétend que BHL n’a pas de diplôme de philosophie, or il a fait Normale Sup et en 1971, il est reçu 8e à l’agrégation de philosophie.
Donc j’émets les plus grands doutes sur la fiabilité de ce journal.
Bonsoir Philippe,
Votre billet ne concerne pas vraiment Botul-Henri Lévy ?
J’m’a trompé peut-être.
Perso j’ai compris qu’il s’agissait des vilenies du dictateur en herbe, M le maudit, qui ne Mabuse pas.
Voyou, voyou.
Heureusement qu’il nous reste quelques images intègres dans ce bas monde pour espérer : le Che, Fidel, Maduro et Madoff.
Obliger à supprimer le mot « noir » dans la vocabulaire parce que associé systématiquement à une race, serait de facto participer à la suprématie blanche, de la race blanche.
Les musées vont-ils devoir faire disparaître les oeuvres de Pierre Soulages…?
Certains commentaires sont d’une vulgarité affligeante. Les propos orduriers ne sauraient apporter la moindre crédibilité à des opinions. Ce serait même plutôt le contraire.
Ce comportement est une atteinte à la liberté d’expression, mais aussi à l’intelligence.
sic :
« Épurez, s’il vous plaît, vos commentaires de vos explications grammaticales qui veulent nous faire savoir que vous appartenez au monde de la justice. Vos commentaires en seront plus lisibles et plus pertinents.
Vous pouvez, pour simplifier, prendre comme pseudo : Henri Gibaud avocat ou encore Henri Gibaud master en droit, nous ne vous accuserons pas de faire votre pub. »
(Walson, le 27 juin à 09h57)
????????????????????????????????????
ça alors : !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
@ Achille | 27 juin 2020 à 21:05
Vous avez raison Achille. Cela m’a surpris, et montre surtout que pour beaucoup il n’est pas un philosophe au sens noble du terme, malgré ses diplômes d’ailleurs ; il fait allusion aussi aux affaires, de cela non plus je crois que tout est vendu.
Mais je pense que le coquin de ce blog qui écrit, est aussi désinvolte avec lui que lui peut l’être avec ses reportages de guerre depuis sa chambre d’hôtel.
C’est peut-être le message qu’il voulait faire passer (?).
Achille c’est le moment de voter, je m’équipe pour y aller, chez moi c’est triangulaire et le résultat incertain.
Les dernières nouvelles du front… Le nôtre :
https://www.rugbyfederal.com/
https://www.mediapart.fr/journal/france/260620/affaire-kohler-l-ardoise-de-msc-s-eleve-26-milliards-d-euros-pour-l-etat?onglet=full
@ Achille
« Si vous voulez me convaincre, évitez de me transmettre en lien des articles de « dreuz.info » qui est un site d’extrême droite qui ne lésine pas sur les fake news. »
Est-il nécessaire de reprendre le baragouin des macronistes ?
Surtout que question fausses nouvelles, ils sont les premiers à en user…
Mais « extrême droite » ou pas, la photographie parle d’elle-même et un œil averti permet de repérer les divers éléments montrant qu’il s’agit d’une mise en scène.
Voici quelques autres photographies du vainqueur de Kadhafi, prises manifestement alors que la poudre avait cessé de parler depuis un certain temps :
http://www.bernard-henri-levy.com/libye-avril-2011-47413.html
@ Tipaza | 27 juin 2020 à 09:29
« Au bilan, un débat décevant par la faiblesse intellectuelle et la mauvaise foi de BHL. »
Vous dites faiblesse intellectuelle de BHL ? Là je crois que votre aversion envers BHL vous égare. On peut contester les idées de BHL, lui reprocher bien des choses, mais l’accuser de faiblesse intellectuelle est tout simplement ridicule. Pour le coup c’est vous qui faites preuve de mauvaise foi.
Ressaisissez-vous Tipaza, vous valez mieux que ça d’habitude.
Un petit moment de faiblesse sans doute. 🙂
@ Achille 27 juin 2020 21:05
Débat Zemmour / Lévy
Vous êtes bien souvent à côté de la plaque parce que vous avez des a priori.
Le Face à l’info de Zemmour/Lévy est un débat entre deux personnes. D’où égalité objective de temps de parole.
L’émission Face à l’info traditionnelle est une émission dont le centre ciblé – cela vous a sans doute échappé – est Zemmour. D’où son succès qui vous désespère sans doute.
Votre « Il ne fait que recevoir la monnaie de sa pièce » est donc hors de propos. Mais ce n’est pas la première fois que je me rends compte que des éléments essentiels de réflexion vous échappent.
Cordialement.
@ Achille | 27 juin 2020 à 21:05
« Le journal de la rue » est à l’image du canular de l’époque, plus c’est gros plus ça passe sauf avec un 15 de votre qualité :
« BHL en flagrant délire : l’affaire Botul
Ce devait être le grand retour philosophique de Bernard-Henri Lévy. Patatras ! L’opération semble compromise par une énorme bourde contenue dans « De la guerre en philosophie », livre à paraître le 10 février. Une boulette atomique qui soulève pas mal de questions sur les méthodes de travail béhachéliennes.
Par Aude Lancelin »
https://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20100208.BIB4886/bhl-en-flagrant-delire-l-affaire-botul.html
@ boureau | 28 juin 2020 à 11:41
Il est certain que sur ce blog je suis souvent à côté de la plaque qui sert de référence à la majorité des intervenants.
Je ne pense pas comme eux, c’est une évidence.
En fait j’ai d’autres valeurs qui parfois me rapprochent de BHL, mais je conserve, rassurez-vous, un petit côté « zemmourien » (ou franchouillard si vous préférez) qui m’empêche de sombrer dans le monde lénifiant des Bisounours.
Comme vous sans doute, je regarde, aussi souvent que je le peux, l’émission Face à l’info que je trouve très intéressante. Mais je dois bien avouer que je suis souvent plus intéressé par les propos de Marc Menant, Éric de Riedmatten et Harold Hyman que par les éditos d’Eric Zemmour qui finalement racontent toujours la même chose.
D’où mon irritation bien légitime quand il les interrompt intempestivement, coupant ainsi le fil de leurs développements souvent très intéressants.
@ Giuseppe | 28 juin 2020 à 11:51
Je dois bien reconnaître qu’avec Jean-Baptiste Botul, BHL s’est pris les pieds dans le tapis.
A sa décharge il est bon de préciser que ce personnage fictif a été imaginé par le facétieux Frédéric Pagès, qui est agrégé de philo et plume du Canard enchaîné. Ce n’est pas rien !
Rien que le titre « La Vie sexuelle d’Emmanuel Kant » laissait à penser que cette œuvre était un canular, mais il arrive parfois que les phares de la pensée qui éclairent jusqu’au bout de l’horizon, ne distinguent pas les petits écueils qui émergent à leurs pieds…
@ Achille | 28 juin 2020 à 11:15
Je maintiens ce que j’ai dit concernant la dialectique de BHL dans ce débat:
« Aucune vision historique ni de la nation ni de la mondialisation, aucune mise en perspective temporelle de l‘immigration.
…/…
Au bilan, un débat décevant par la faiblesse intellectuelle et la mauvaise foi de BHL. »
Il y a chez BHL une lecture instantanée des événements, dans lesquels il plonge et se noie dans une émotion réelle ou feinte.
Chaque événement est lu indépendamment des autres, et il fait très peu de liens entre eux, qu’il s’agisse de « Touche pas à mon pote » ou des immigrés de Lesbos ou autres.
Alors qu’au contraire Zemmour se place dans une lecture liant les événements entre eux, en essayant de décoder l’évolution de la société dans le temps à travers des événements singuliers.
Au fond j’ai eu l’impression d’un débat à front renversé, où BHL était le journaliste politique, décrivant l’événement le nez collé sur le quotidien successif, alors que Zemmour faisait au contraire oeuvre d’historien ou de philosophe de l’évolution de la société française en reliant les événements écoulés dans les cinquante dernières années pour décrypter comment la France avait basculé dans le chaos intellectuel dont le point d’orgue est le « en même temps » macronien, négation absolue de la politique qui est le choix de la décision pertinente.
C’est au vu de cette inversion des rôles entre BHL et Zemmour que j’ai conclu que dans ce débat, BHL avait été faible puisqu’il n’avait pas rempli sa fonction de philosophe supposé, qui est précisément de prendre du recul par rapport au quotidien pour passer du concret étroit à l’abstrait généralisant.
BHL a été parfaitement incapable de ce passage.
Par courtoisie j’ai parlé de faiblesse intellectuelle, mais je pensais nullité absolue.
Enfin après avoir parlé du fond, quelques mots sur la forme qu’il a donnée au débat.
La façon dont il s’est exprimé était indigne d’un débat d’idées, l’individu BHL est plus doué pour hausser le niveau sonore d’une discussion que le niveau intellectuel.
Par ailleurs, concernant l’humanisme de BHL, voici ce que j’ai dit:
« Rien que de l’émotion affectée pour se donner le beau rôle de l’humaniste. Un humaniste sélectif comme le veut l’idéologie des droits de l’homme. »
Dans le billet suivant Philippe Bilger remarque que « BHL optait pour des « frères humains » à la carte, exilant dans une sorte d’enfer ceux qu’il ne considérait pas comme tels… »
Et développe ce point de vue avec plus de talent que moi évidemment.
@ Achille 28 juin 2020 12:58
Vous avez tout à fait raison Harold, Marc et Eric 2 participent, avec talent, à la réussite d’une émission qui devient exceptionnelle avec le temps et en compagnie de Christine Kelly et Eric Zemmour.
Ne boudons pas notre plaisir, c’est la meilleure émission des médias dans la catégorie News & Co comme disent nos amis américains.
Cordialement
@ boureau | 28 juin 2020 à 22:45
« Ne boudons pas notre plaisir, c’est la meilleure émission des médias dans la catégorie News & Co comme disent nos amis américains. »
Nous sommes enfin d’accord. Comme quoi tout arrive ! 🙂
@ Tipaza | 28 juin 2020 à 16:50
Ouais, en fait nous sommes toujours un peu enclin à mesurer la puissance intellectuelle d’un philosophe à travers le prisme de nos propres convictions, alors qu’en fait il serait plus objectif de faire référence à des qualités objectives : érudition, bien sûr, mais aussi, maîtrise de la parole et de l’écrit, force de l’argumentation sans oublier la pugnacité qui bien souvent dans un débat fait la différence.
En ce qui me concerne je ne me permettrais pas de parler de faiblesse intellectuelle d’une personnalité avec laquelle je ne partage pas les idées, mais qui sait les développer avec habilité.
Il y a effectivement de quoi être atterré par les méthodes du PNF et aussi par celles du parquet de Nanterre dans l’affaire Solère.
Si l’on en croit Le Point et le JDD de ce week-end, non seulement le PNF a mené pendant des années une enquête clandestine en dehors de toutes les règles de procédure en épluchant les fadettes de plusieurs centaines d’avocats (oui plusieurs centaines…) sur la simple suspicion que l’un d’eux avait peut-être informé Thierry Herzog de la mise sur écoute de leurs lignes téléphoniques, mais, de surcroît, Madame Houlette a, dans une réponse écrite aux avocats de Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog, qui l’interrogeaient sur ce point, nié farouchement l’existence même de cette enquête pour ne pas avoir à en révéler le contenu et l’absence de résultat.
Si je ne m’abuse, attester de l’inexistence d’une enquête dont on sait qu’elle existe, ce n’est pas seulement un mensonge, cela tombe sous le coup de la qualification pénale de faux en écritures publiques (un « faux intellectuel »).
Selon les mêmes organes de presse, les fadettes auraient été obtenues par la police judiciaire auprès des opérateurs téléphoniques en prétextant de l’urgence et de l’existence de gardes à vue en cours.
Visiblement encore une déclaration fausse…
Dans l’affaire Solère, selon les révélations du JDD, l’institution judiciaire aurait demandé à l’Assemblée nationale de lever l’immunité parlementaire de l’intéressé à la faveur d’un récit des faits truffé d’informations dont la fausseté avait déjà été établie à ce stade de l’enquête (il était affirmé que les prêts bancaires contractés par T. Solère pour acquérir des appartements étaient fictifs, alors que les documents bancaires prouvant l’existence et le remboursement de ces prêts avaient de longue date étaient communiqués par la défense). Donc, si les informations de ce journal sont exactes, l’institution judiciaire a trompé le Parlement en lui communiquant des informations qu’elle savait inexactes pour obtenir une décision dans le sens souhaité. En droit public, cela s’appelle surprendre une décision par fraude…
De deux choses l’une.
Ou les informations données par ces deux organes de presse sont fausses et l’on attend que les personnes mises en cause agissent en diffamation.
Ou ces informations sont vraies et, alors, qu’attend-on pour déclencher une enquête et des poursuites pénales ?
Question importante : commettre des faux est-il devenu le mode normal de fonctionnement du parquet ?
J’aime bien relire les billets de PB avec un peu de recul. Notamment ceux de cette qualité et objectivité que j’avais tout juste survolés et pas commentés (en raison d’une absence de quelques semaines).
Par ailleurs, quelqu’un aurait-il des nouvelles de boureau ?
@ Mary Preud’homme
« Par ailleurs, quelqu’un aurait-il des nouvelles de boureau ? »
Il me semble qu’il avait des problèmes de santé plutôt pas agréables.