La cause des hommes !

Les hommes ne sont pas persécutés et l’égalité entre les deux sexes, sur tous les registres, du domestique au social, du quotidien au politique, est loin d’être effective. Il y a encore des progrès à réaliser.

Mais j’évoque la cause des hommes comme s’il fallait les défendre parce que l’actualité nous fait tomber parfois dans un ridicule où à force de nous vanter les femmes par principe on en oublie tout bon sens.

L’élection de François de Rugy comme président de l’Assemblée nationale, à une large majorité, a été presque occultée en raison du fait qu’on ne cessait de nous parler des deux députées femmes qui étaient candidates face à lui dans le groupe dominant de LREM et qui elles-mêmes semblaient anticiper leur victoire. L’information, ce n’était plus l’élection d’un homme mais la défaite d’une femme.

Pourtant le parcours politique et l’expérience, sexe mis à part, pour l’observateur profiteraient surtout à François de Rugy. Ce qui s’est passé.

A entendre les réactions médiatiques, on avait quasiment l’impression que l’homme avait volé sa victoire et qu’un vote n’avait pas eu lieu.

Et que les femmes, deux personnalités estimables soit, avaient été victimes de quelque chose, d’une injustice, d’une fraude. Comme si le fait d’être femme, dans une Assemblée où elles avaient heureusement une représentation plus substantielle, était suffisant à soi seul pour susciter l’adhésion et récolter tous les suffrages. Il y aurait eu presque une immoralité, un manque d’esprit civique à ne pas combler les désirs de ces deux députées dont l’une ou l’autre se voyaient déjà au perchoir.

Une cause des femmes aussi abusivement exploitée frisait la condescendance et faisait de ce sexe qu’on prétendait promouvoir à toute force une sorte d’assisté et de catégorie humaine en péril.

Cette aigreur est d’autant plus absurde que LREM prévoit pour d’autres fonctions importantes, une parité hommes-femmes et que ces dernières ne seront pas privées de responsabilités éminentes. Mais par décret et non par le choix forcément imprévisible de l’élection.

Cette controverse fondée sur rien était d’autant plus inappropriée en l’occurrence que le même jour le comité d’éthique proposait d’autoriser la PMA pour les femmes et les couples lesbiens. Une avancée souhaitée par des associations féministes militantes.

Au risque d’être cynique, les femmes ne sont pas non plus oubliées pour les affaires puisque Muriel Pénicaud, ministre du Travail, est mise en cause, en sa qualité d’ex-directrice générale de Business France, à cause de dysfonctionnements et d’anomalies relevés à l’occasion d’un voyage d’Emmanuel Macron à Las Vegas au mois de janvier 2016 et d’un rapport dont elle aurait retardé la diffusion (Libération). Elle a évoqué « une blague » (RTL).

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Le hasard fait que j’ai rencontré il y a quelques jours la ministre dans un couloir de CNews. Je l’avais saluée par un « Madame le ministre ». Elle m’avait repris : « Madame la ministre ». Je m’étais excusé en disant qu’on ne savait pas toujours comment les femmes titulaires de charges officielles voulaient être appelées. Certaines présidentes de cour d’assises sur ce plan m’avaient donné le tournis.

J’ai conscience de devoir rengainer ma provocation sur la cause des hommes. A condition que le souci de l’égalité entre les sexes ne nous fasse pas tomber dans des délires.

A l’Assemblée nationale ou ailleurs.

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Voir les Commentaires (81)
  1. Les femmes, les noirs, les arabes, les LGBT, les toros (ceux que l’on tue avec une épée, pas les taureaux qu’on tue dans un abattoir), j’allais oublier les abeilles esclaves involontaires et défendues par les végans (on a les causes qu’on peut), et bien d’autres que je dois oublier, tout ce monde vit par la grâce de médias pervers, de philosophes malades d’introspection morbide, et de politiciens démagogues, dans le ressentiment perpétuel.
    Il ne s’agit plus de la recherche naturelle de la dignité et du respect, il s’agit de la vindicte des petites gens, petits moyens, petits cerveaux, on peut être petit dans n’importe quelle position sociale, y compris celle de ministre.
    La hargne n’a pas pour objet de se hisser au niveau de l’antique oppresseur, mais de se hausser du col pour écraser celui qui a dominé si longtemps, et qu’on aimerait bien dominer à son tour. À l’échelle d’une société, la mortelle jalousie de ceux qui ont tué le petit Grégory.
    On en arrive à une hiérarchie des valeurs d’une incohérence surprenante, au-delà même du ressentiment que j’ai évoqué.
    Pour montrer, que dis-je pour donner en spectacle sa compassion, un président croit bon de jouer au tennis en fauteuil roulant, comme si on pouvait vivre quelques minutes la vie d’un handicapé. J’ai été choqué, c’était pour moi inconvenant.
    J’attends qu’il nous fasse un de ses beaux discours en langage des signes des sourds-muets, le plus triste est qu’il en est capable.
    Quel rapport avec le féminisme exacerbé par la recherche et la mise en place d’un langage qui confine parfois à l’absurde ?
    La forme, le paraître, ce qui se donne à voir au détriment du fond.
    Dernière scène à venir de cette comédie du paraître, je viens de découvrir que Macron a invité Trump au défilé du 14 juillet et que ce dernier aurait accepté. Vont-ils poursuivre la partie de main de fer ou passer à une partie de bonneteau pour nous étourdir ?
    PS : Pour les végans qui liraient éventuellement ce commentaire, j’ai commandé à mon apiculteur attitré les vingt kilos de miel de framboisier qui sont ma consommation annuelle. Le miel de framboisier est supérieur au miel d’acacia, il est bien plus parfumé et bien moins écœurant. Braves petites abeilles !

  2. Patrice Charoulet

    Je souscris entièrement à vos propos de ce jour.
    Je suis le moins misogyne des hommes. Les violences physiques faites aux femmes m’indignent. Dans mon panthéon littéraire figurent bon nombre de femmes.
    Qu’il faille ABSOLUMENT une femme au perchoir n’avait ni queue ni tête. Il y avait trois candidats dans le groupe de M.Macron, dont deux femmes. Le moins mauvais a été choisi. La belle affaire !
    Dans au moins deux secteurs, la féminisation excessive a des conséquences qui ne sont pas toujours heureuses. Dans les concours de recrutement des professeurs de lettres, les hommes sont en voie d’extinction. J’étais le seul homme professeur de lettres dans l’établissement où j’ai fini ma carrière, treize ans durant.
    J’ai assisté à de nombreux procès en correctionnelle, où, dans des affaires qui opposaient un homme à une femme, l’avocat de la défense avait en face de lui
    une avocate de la partie civile, une représentante du parquet et un tribunal collégial formé de trois femmes. Devinez dans quel sens la balance penchait ?
    Il est vrai que, pendant des siècles, le poids des hommes dans les enceintes judiciaires était écrasant, scandaleusement écrasant. Mais nous sommes passés d’un excès à l’autre. Il n’est pas correct d’esquisser seulement de le murmurer.

  3. Bonjour,
    « L’élection de François de Rugy comme président de l’Assemblée nationale, à une large majorité, a été presque occultée en raison du fait qu’on ne cessait de nous parler des deux députées femmes qui étaient candidates face à lui dans le groupe dominant de LREM et qui elles-mêmes semblaient anticiper leur victoire. L’information, ce n’était plus l’élection d’un homme mais la défaite d’une femme. »
    François de Rugy me fait un peu penser au personnage de Balzac, Eugène de Rastignac. Il a l’élégance raffinée dont seuls peuvent se prévaloir les gens qui possèdent un nom à particule.
    Opportuniste sans complexe : il a été écologiste puis socialiste, il n’a pas hésité à renier le candidat officiel du PS, le malheureux Benoît Hamon, pour rallier les macronistes, Mais, comme Rastignac, il a malgré tout un bon fond qui le rend sympathique. N’oublions pas que ce dernier a assisté les derniers instants du père Goriot, abandonné par ses filles à qui il avait tout donné pour leur assurer une belle situation.
    Personnellement je pensais que notre président aurait usé de son pouvoir jupitérien pour favoriser l’élection d’une femme au perchoir, ce qui aurait été une première dans notre République.
    Mais François de Rugy disposait d’un CV bien fourni, ce qui ne semblait pas être le cas de ses deux adversaires. Elles n’étaient « que » femmes et en politique cela ne suffit pas toujours.
    Comme l’a dit un jour Françoise Giroud : « La femme sera l’égale de l’homme le jour où, à un poste important, on désignera une femme incompétente ». C’était le moment ou jamais !
    Raté, ce sera pour une autre fois… la prochaine peut-être.

  4. calamity jane

    On aurait échappé au pire ? La crise cardiaque d’Eric Zemmour ?
    Une femme ministre du Travail ! Qui va pouvoir remettre en marche le casse-tête des femmes… qui va les enchaîner à leurs tâches, courir après plusieurs boulots, précaires de préférence, jongler avec tout ce qui fait leur honnêteté de femmes : enfants, maison, en évitant le laisser-aller. Et ainsi on pourra dire que les hommes
    n’y sont pour rien dans le choix qu’une femme ministre aura fait en détruisant le Code du travail qui, quoi que l’on pense, servait de rempart pour certains abus.
    Les retraités qui veulent nous apprendre comment on peut vivre autrement après avoir profité de tous les avantages et notamment ceux et celles qui émargent à plus de deux mille euros par mois, nous saoulent.
    Et pendant ce temps-là Monsieur le Président continue à recevoir à Versailles ?
    Ce Président alors ministre a donné maintes preuves de son mépris en parole et en actes. On attend la suite de Versailles sur les deniers des contribuables.

  5. sbriglia@Marc GHINSBERG

    Monsieur Ghinsberg, avant d’ironiser :
    – Madame Belloubet est en troisième position dans l’ordre protocolaire. Ce qui n’est pas anodin pour une ministre novice.
    – Ce gouvernement est strictement paritaire.
    – Et demain Pascale B. tiendra les chroniques de ce blog tout l’été, Philippe devenant correcteur de l’ombre…

  6. Catherine JACOB

    « L’élection de François de Rugy comme président de l’Assemblée nationale, à une large majorité, a été presque occultée en raison du fait qu’on ne cessait de nous parler des deux députées femmes qui étaient candidates face à lui dans le groupe dominant de LREM et qui elles-mêmes semblaient anticiper leur victoire. L’information, ce n’était plus l’élection d’un homme mais la défaite d’une femme. »
    Pour une fois qu’il y a un Lorrain né, bien qu’en Loire-Atlantique, le jour de la Saint Nicolas, patron de la Lorraine, d’une famille originaire de Metz anoblie en 1785, quatre ans donc avant 1789 de par l’exercice de la charge de conseiller au sein du parlement de Metz, quoique ce parlement ne donnait la noblesse qu’au terme de la deuxième génération d’exercice successif de ladite charge (noblesse graduelle) ce qui ne semble pas être le cas de l’ancêtre Goullet de Rugy, anobli par Louis XVI.
    « Le hasard fait que j’ai rencontré il y a quelques jours la ministre dans un couloir de CNews. Je l’avais saluée par un « Madame le ministre ». Elle m’avait repris : « Madame la ministre ». Je m’étais excusé en disant qu’on ne savait pas toujours comment les femmes titulaires de charges officielles voulaient être appelées. Certaines présidentes de cour d’assises sur ce plan m’avaient donné le tournis. »
    C’est là un faux débat, car le vrai débat devrait plutôt porter sur les violences faites au langage commun – qui n’a que faire des desiderata particuliers – pour complaire à quelques harpies et qui n’apportent rien excepté de la violence, ce qu’est aussi quelque part, le fait de donner le tournis !

  7. « Ce qu’il y a de bien avec cette loi sur la parité homme/femme c’est que les hommes pourront garder au moins 50% des places ». Je cite Alain Minc qui avait émis cette réflexion il y a quelques années.

  8. Je suis d’accord pour la parité hommes/femmes à une condition : que le meilleur candidat remporte. François de Rugy élu à la majorité des voix par les députés à l’Assemblée nationale est légitime pour présider au perchoir. Il le mérite. Bon courage et toutes mes félicitations à François de Rugy. La jalousie maladive en politique ne conduit qu’à la ruine de certains députés et à l’explosion des partis. Quel panier de crabes !…

  9. @ Marc GHINSBERG
    « Dans l’état actuel de l’ordre protocolaire de la République, c’est la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, qui est la première femme à apparaître dans cette liste… à la 11e place. »
    Vous accordez aux classements une importance puérile !
    M. Bilger a développé son argumentation, à laquelle vous n’opposez que la 11e place de Mme Belloubet… C’est un peu court !

  10. La correction faite par cette dame révèle une toute petite pensée, un engagement d’arrière-garde entre un bataillon de fuyards et une avant-garde égarée.
    SI vraiment l’article est important, va bene.
    De toute ma vie, je ne me souviens pas avoir entendu un commentaire négatif sur une femme occupant une fonction quelconque, si on excepte les plaisanteries banales, mais qui, aujourd’hui, sont correctionnalisables compte tenu du climat puritain et illettriste qui règne sur notre Occident.
    Dans le même temps le Comité National d’Ethique recommande l’ouverture de la PMA à toutes les femmes privées d’enfant pour une raison autre que la stérilité, déjà acquise. Parfait, aucune importance, ce sont des choses qui vont et qui viennent au gré des époques, mais celle-ci permet de poser une question ontologique.
    Le CNE prend en compte la souffrance des femmes privées d’enfant. Soit. Comme elles sont aptes à procréer mais qu’elles renoncent à la façon naturelle, quelle qu’en soit la raison, on leur donne un médicament : l’enfant.
    Ainsi, on présume de leur entière compétence, qualité et soin dans l’avenir, tout en reconnaissant que l’absence de père est problématique. Bigre, la prise de risque est sévère et le palliatif, l’examen de la personnalité de la mère digne des « heures les plus etc. ». Mais il faudra bien compenser l’entière liberté de semer à tout vent par une obligation liée à l’être sauf à faire ressembler ce fourre-tout maternisant à une armée picrocholine.
    Par ailleurs, beaucoup d’hommes célibataires ou homo souffrent du même désir d’enfant, mais pour eux, rien de prévu. Ils peuvent et doivent mourir, ils n’ont aucune qualité pour prétendre au soulagement de leur souffrance.
    Ils ont l’adoption. C’est tout. Envisager de trouver une donneuse qui accouche sous X, ou dans la cuisine de la voisine, et dont l’enfant soit reconnu par le père est une aventure peu crédible et risquée.
    Ainsi, l’inégalité qui préside à la complémentarité homme femme est susceptible d’être prochainement gravée dans le marbre de la Loi, par la création d’une inégalité de droit. Gageons que le Conseil constitutionnel n’en sera pas saisi, et qu’y pourrait-il ? C’est le temps qui marche.
    Je lisais récemment qu’une féministe militante rejetait avec dégoût la grossesse, facteur d’inégalité et d’avachissement. Là, je partage son avis, c’est juridiquement parfait : l’enfant issu d’un utérus artificiel est bien préférable. Educatrice gymnaste ou lanceuse de poids, éducateur gymnaste ou lanceur de poids, pas de mélange sinon pour la copulation heureuse et les extases matutinales, et une éducation basée sur les sains principes du chacun pour soi.
    Oublions l’ironie facile, c’est très possible et c’est même un moyen de pallier les dangers de la surpopulation.
    Le CNE s’est peut-être engagé prématurément sur une revendication qui n’est pas encore bien exposée et qui ne correspond qu’à un besoin thérapeutique, somme toute assez vulgaire.
    J’ai toujours pensé qu’en faisant des enfants, on leur donnait une famille mais qu’on ne donnait pas un enfant à une famille, surtout si celle-ci n’existe pas. Beaucoup de flou, d’incertitudes, il faudrait être énarque pour débrouiller tout ça, ou chaman.

  11. Les media s’emparent de n’importe quoi pour transformer l’actualité en feuilleton télévisé. Il faut du suspense, et de l’historique : « Est-ce que pour la première fois on aura une femme au perchoir en France ? ». C’est cependant un faible prétexte pour défendre la cause des hommes, sous-entendu contre les femmes, c’est-à-dire s’indigner une fois de plus contre les féministes et les femmes en général, et susciter les litanies outragées habituelles. Surtout au vu du résultat.
    Merci Marc Ghinsberg de montrer à quel point les machos n’ont toujours pas lieu de s’alarmer, même avec un président se disant féministe et initiateur de grands changements sur la question.
    Par ailleurs, je ne vois pas le rapport entre le rôle des femmes en politique et l’octroi de la PMA, sauf si on considère les deux questions comme des concessions faites aux revendications de féministes pures et dures. Un leurre. En fait c’est la cause des lesbiennes qui avance, pas celle des femmes en général.
    Je trouve certainement dommage que des enfants soient conçus avec l’idée qu’ils n’ont pas besoin de père, mais c’était déjà parfois le cas avec les méthodes de procréation classiques, et ce n’était pas toujours du fait de la dame. Ça ne va pas changer grand-chose, sauf que ça va gagner des lobbies médiatiquement influents au pouvoir en place. Je trouve dommage aussi que la France soit en queue de peloton au milieu des pays les plus rétrogrades, concernant la place des femmes en politique. Avec les résultats brillants que l’on connaît. Mais enfin, ne nous plaignons pas, nous avons le droit de conduire, de voter, et même de nous promener en jupe dans la rue partout dans Paris.

  12. Marc GHINSBERG

    @sbriglia
    « Et demain Pascale B. tiendra les chroniques de ce blog tout l’été, Philippe devenant correcteur de l’ombre… »
    On dit même que Philippe fera les courses au Super U…
    @duvent
    « M. Bilger a développé son argumentation, à laquelle vous n’opposez que la 11e place de Mme Belloubet… C’est un peu court ! »
    Les faits, cher Monsieur, les faits, ils sont têtus.
    @ Patrice Charoulet
    « Qu’il faille ABSOLUMENT une femme au perchoir n’avait ni queue ni tête. »
    Cette plaisanterie de garçon de bain, désobligeante pour les dames, n’est pas de votre niveau, cher professeur.

  13. Un peu hors sujet, mais il s’agit d’un super homme, un Jupiter alors…
    Je viens d’apprendre que l’Elysée a fait savoir à la presse que le président n’accordera pas d’interview le 14 juillet car « la « pensée complexe » du président se prête mal au jeu des questions-réponses avec des journalistes ».
    Je suis admiratif, impressionné, effondré par mon faible entendement, prosterné devant le Dieu de l’Olympe et en même temps de l’Élysée.
    Et brusquement une idée me vient, et si sa pensée apparaissait trop complexe à Jupiter parce qu’elle n’était pas structurée ?
    Ça se structure une pensée, ça s’organise pour soi et pour les autres, il paraît même que cette structuration, cette organisation, ça s’appelle de la pédagogie.
    Allons Cédric, un bon mouvement, maintenant que tu es en marche, il faut apprendre à Jupiter à structurer la complexité, les complexes pour un matheux de génie c’est facile.
    Sinon, je veux bien me dévouer, vous connaissez l’adage « faute de grives, etc. », mais à condition que mes émoluments soient défiscalisés, CGS y compris.
    @ Lucile
    Je suis d’accord sur le droit de conduire et le droit de vote.
    Pour le droit de la jupe, je suis plus restrictif.
    Pas de minijupe au-delà de 25 ans et 55 kilos toute habillée.

  14. Hier, sur une radio du service public, François de Rugy était soumis à la question par Patrick Cohen. C’était insupportable tant l’agressivité était au rendez-vous.
    Il a eu droit à tout, sa victoire volée à une femme, son reniement à l’égard de Hamon, les avis d’un site d’extrême gauche sur son accession sinueuse au rang de N° 4. Je dis oui à l’information exigeante mais pas à la mauvaise foi ni au guet-apens. Et c’est valable pour tous.
    Il me semble que s’il avait interrogé Philippe Martinez de la CGT, il aurait fait plutôt profil bas. C’est le deux poids, deux mesures, bien partagé au niveau du service dit public.

  15. @Lucile
    « Je trouve dommage aussi que la France soit en queue de peloton au milieu des pays les plus rétrogrades, concernant la place des femmes en politique »
    C’est vrai que même une chèvre aurait été élue avec l’étiquette Macron. Ceci a permis de faire élire 38% de femmes à l’Assemblée nationale, contre 2% en 1968. Un record ! La plupart étant des novices en politique, je ne vois pas comment elles auraient pu, d’entrée, occuper des fonctions plus importantes. Il y a, comme partout, un apprentissage à faire. Ceci est également valable pour les jeunes députés de sexe masculin.

  16. Philip_Marlowe

    Autrefois, Madame la préfète désignait l’épouse du préfet en titre. Cela avait la vertu de la précision.
    Si l’on avait voulu à la fois gommer l’aspect sexiste de cette manière de désigner les personnes dans l’exercice de leur fonction en la transgressant par son application stricte et garder la même précision qu’auparavant, il aurait convenu d’appeler Madame le ministre la femme titulaire de son maroquin et Monsieur la ministre son mari. Cette manière de nommer n’aurait rien d’outrageant et aurait comme avantage de s’appliquer aux mariés de même sexe avec la même limpidité de compréhension.

  17. @ Marc GHINSBERG
    Décidément, vous êtes fuyant et votre explication manque singulièrement de corps… J’ai bien envie de vous laisser entre les mains de sbriglia, qui ne vous opposera pas comme vous le faites l’ignoratio elenchi !

  18. @Paul Duret | 29 juin 2017 à 14:54
    « Hier, sur une radio du service public, François de Rugy était soumis à la question par Patrick Cohen. C’était insupportable tant l’agressivité était au rendez-vous ».
    Tout à fait d’accord. Patrick Cohen, ce gros patapouf de goinfre dégoulinant, est plus à l’aise devant son assiette que devant son micro. Il n’a de cesse de constamment rabaisser les invités qui ne sont pas de son bord.

  19. Michel Deluré

    En politique, cette recherche devenue quasiment obsessionnelle d’une stricte parité homme/femme touche au ridicule.
    Bien sûr qu’il est souhaitable et surtout nécessaire, voire indispensable, que les femmes soient présentes en politique pour y faire entendre leur voix, y exprimer leur sensibilité propre, y décliner leur vision personnelle de la société, y exercer des responsabilités. Toute la société y a intérêt.
    Mais cela doit-il obligatoirement passer par une stricte et impérative répartition 50/50 des effectifs hommes et femmes et cela quelle que soit l’institution politique et quel que soit son échelon territorial ?
    Peu importe pour ma part qu’un gouvernement ou une assemblée soit constitué de 60% de femmes et 40% d’hommes ou l’inverse. Ce qui m’intéresse, c’est la capacité de ce gouvernement ou de cette assemblée à prendre les bonnes décisions et à conduire notre pays sur le bon chemin, vers un avenir meilleur. Et si un exécutif majoritairement féminisé peut atteindre cet objectif, eh bien j’en serais ravi et lui apporterais volontiers mes suffrages.
    Les critères déterminants pour qu’une femme, tout comme un homme d’ailleurs, exerce une responsabilité politique résident d’abord dans sa volonté de s’engager dans ce combat pour le bien général et ensuite dans ses compétences pour exercer de telles responsabilités.
    Alors de grâce, cessons d’exiger que tel ou tel poste soit attribué uniquement en fonction de critères de parité !

  20. Cher Philippe,
    Il est vrai que l’espèce humaine ne s’est jamais remise totalement de la perte de son baubellum ou de son baculum.
    Henri IV n’a fait le deuil de son os pénien que vers l’âge de quarante ans devant l’évidence de quelques troubles dynamiques.
    Les représentants du pouvoir se sont toujours dotés de sceptre et de bâton pour compenser cette douloureuse privation qui les condamnait à l’effort.
    Ce qu’ils n’ont pas compris encore à ce jour, c’est que la disparition de cette baguette magique était liée à la trop forte quantité de testostérone qu’ils s’évertuaient à secréter.
    Nos amis les bêtes ont su éviter cette castration.
    Un compte rendu du XVIIe siècle effectué par un Danois note qu’une libertine blessait ses partenaires car elle avait développé cette calcification érectile.
    L’apparition d’Eve serait-elle une tentative de réponse à cette mystérieuse disparition qui hante l’infériorité humaine depuis la nuit des temps par rapport au confort animal, le grand singe y compris ?
    Encore que les cicatrices restent fort discrètes.
    Si un jour, les humains s’accordent à observer les compétences des humains avant de peser le contenu du caleçon ou de la petite culotte, l’humanité aurait peut-être fait un pas de plus.
    Il semblerait que cette époque assume avec joie une forme de régression, d’infantilisation.
    Mais tout de même la compétence, cela peut s’apprécier dans les actions, les mots, les conseils.
    Et ce que nous observons, c’est décevant, épuisant, navrant.
    françoise et karell Semtob

  21. Catherine JACOB

    @Paul Duret | 29 juin 2017 à 15:04
    « Il y a, comme partout, un apprentissage à faire. Ceci est également valable pour les jeunes députés de sexe masculin. »
    Et pendant la durée de l’apprentissage, qu’est-ce qui se passe ? A combien d’entre eux serait-il seriné : « Vous avez bien conscience de qui vous a permis d’être là, j’espère ! »
    @Tipaza | 29 juin 2017 à 14:20
    « Un peu hors sujet, mais il s’agit d’un super homme, un Jupiter alors…
    Je viens d’apprendre que l’Elysée a fait savoir à la presse que le président n’accordera pas d’interview le 14 juillet car « la « pensée complexe » du président se prête mal au jeu des questions-réponses avec des journalistes ». »

    Ha, ha, ha, ha Ho ho ho, hi hi hi !

  22. @ Tipaza
    « Pas de minijupe au-delà de 25 ans »
    (Et pas de boogie-woogie avant la prière du soir)
    Grands dieux, vous ne voudriez pas que Madame Macron s’habille comme une bourgeoise de son âge (vapeurs), au-dessous du genou ! Tout de même ! Alors que son mari a une pensée trop complexe pour vous et moi, et qu’il travaille avec « Les Nourritures terrestres » sur son bureau. Quel homme !

  23. « J’ai conscience de devoir rengainer ma provocation sur la cause des hommes. A condition que le souci de l’égalité entre les sexes ne nous fasse pas tomber dans des délires. »
    En quoi, Monsieur Bilger, le respect des règles de la langue française serait-il une provocation à l’égard d’une personne occupant des fonctions officielles ? De fait, le dictionnaire définit toujours le mot « ministre » comme substantif masculin (http://www.cnrtl.fr/definition/ministre). Donc, l’intelligence de Madame le Ministre aurait dû suffire à lui éviter une réaction aussi inutile qu’impolie.
    Certains commentateurs s’écharpent également sur l’ordre protocolaire. Il suffit de se rendre sur le site du Premier ministre pour l’obtenir :
    http://www.gouvernement.fr/composition-du-gouvernement
    Il n’y a que deux ministres d’État (Intérieur, Transition écologique et solidaire). L’ordre affiché me semble être celui protocolaire : où l’on s’aperçoit que, malgré l’éviction du précédent ministre (d’État, lui), le ministère de la Justice n’a pas été rétrogradé, qu’il figure en troisième position avant celui de l’Europe et des Affaires étrangères dont le titulaire, Monsieur Le Drian, n’est pas classé ministre d’État, malgré ses états de services…
    Pour plus d’explications, écouter ce billet de France Info :
    http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/expliquez-nous/expliquez-nous-lordre-protocolaire-dans-le-gouvernement_1776245.html
    Ceci étant, j’espère que vous me pardonnerez une petite digression. En effet, je reviens à votre billet du 9 juin dernier intitulé : « La CJUE se moque-t-elle du monde ? », pour également répondre à Elusen | 16 juin 2017 à 03:23. Compte tenu de son ancienneté, l’ajout d’un commentaire à la suite de ce billet ne me paraît pas de nature à être lu par les commentateurs intéressés par le sujet. Aussi me semble-t-il intéressant de signaler l’article paru sur cette institution dans Le Monde diplomatique de juillet 2017.
    Cet article, écrit par Dieter Grimm (ancien membre de la Cour constitutionnelle fédérale allemande), s’intitule « Quand le juge dissout l’électeur ». Le chapeau de cet article est ainsi rédigé :
    « La justice de l’Union européenne est devenue un terrain d’affrontement insoupçonné pour les entreprises et les gouvernements, sur fond de construction du Marché commun. Au fil du temps s’est ainsi élaborée en dehors de tout contrôle une jurisprudence qui contribue à délégitimer l’Union. Dès les années 1970, la Cour constitutionnelle allemande avait détecté ce déficit démocratique ».
    Pour en avoir l’aperçu sur le site du journal :
    http://www.monde-diplomatique.fr/2017/07/GRIMM/57645

  24. La plus néfaste et la plus stupide de toutes les lois est bien celle de la parité hommes/femmes puisque, inévitablement, on en arrive à placer un homme ou une femme moins compétent(e) que celle ou celui qui aurait dû être désigné(e).
    C’est une atteinte au simple bon sens. Ceux qui l’ont décidée ainsi sont des ânes criminels.

  25. Marc GHINSBERG

    @duvent
    « Décidément, vous êtes fuyant… » dites-vous, vous adressant à moi, planqué derrière votre pseudo. Décidément vous ne manquez pas d’air cher duvent.

  26. Patrice Charoulet

    @Marc GHINSBERG
    « Histoire sans queue ni tête  » : incohérente (Petit Larousse)
    Je n’avais pas cru un instant faire une plaisanterie. Le premier mot signifiant « fin » et le second signifiant « début ». Je n’y voyais pas malice. Ne craignez rien pour mon (très modeste) niveau, que je vous sais gré de juger élevé. Loin de moi cette ridicule prétention !

  27. En distillant les dernières nouvelles, j’ai l’impression que quelqu’un est en train de vouloir nous mettre en boîte.
    En ce qui me concerne je n’ai pas l’intention de me laisser faire par un petit prétentieux, la dictature ne passera pas et ouste, du balai !

  28. @PHansen
    «  »Ce qu’il y a de bien avec cette loi sur la parité homme/femme c’est que les hommes pourront garder au moins 50% des places ». Je cite Alain Minc qui avait émis cette réflexion il y a quelques années. »
    Vous vous trompez tout comme Alain Minc.
    La parité est strictement à sens unique.
    Avez-vous jamais entendu réclamer quoi que ce soit dans les domaines où les femmes sont l’écrasante majorité : enseignement, médecine et santé, justice etc. Et dans les domaines où les hommes sont très majoritaires mais pour des fonctions pénibles, peu glorieuses ou mal payées ?
    La parité est un outil très injuste au service de militants rivés à leurs intérêts…

  29. Je sors du Tecina Golf pour entendre parler encore et encore de la parité homme/femme, décidément nous avons du temps à perdre.

  30. Si j’avais un choix de peinture à faire je ferais appel à François de Rugy, un vrai arc-en-ciel cet homme.

  31. Catherine JACOB

    @semtob | 29 juin 2017 à 17:32
    «Henri IV n’a fait le deuil de son os pénien que vers l’âge de quarante ans devant l’évidence de quelques troubles dynamiques. »
    Os pénien :
    pourquoi les humains ont perdu cet outil de compétition sexuelle
    Comment le baculum — c’est son nom scientifique — s’est développé chez les mammifères :
    « En étudiant sa distribution chez les différentes espèces et leurs descendances, selon l’analyse de Matilda Brindle et Christopher Opie, du département d’anthropologie de l’University College de Londres et selon l’arbre phylogénétique, l’os pénien serait apparu après la séparation des mammifères placentaires et non placentaires et avant celle des primates et des carnivores, soit entre -145 millions d’années et -95 millions d’années.
    Et si l’ancêtre commun aux primates et aux carnivores en était doté, cela signifie que toutes les espèces de ces groupes dépourvues d’os pénien — comme les humains — l’ont bel et bien perdu au cours de l’évolution. »
    Donc, quand la petite fille dit : « Moi aussi j’en avais un mais, je l’ai perdu », elle se souvient de ses incarnations antérieures et fait référence, dans le cadre de la métempsychose, à l’évolution de l’espèce humaine ?
    D’après vous donc, cet ancêtre commun disposait d’une longévité pénienne d’une quarantaine d’années ?
    Cependant, « loin d’être une façon simple de passer un bon après-midi – nous avons là incidemment, une intéressante notation anthropologique sur les mœurs de l’autre côté du Channel –, prolonger l’intromission est un moyen pour un mâle d’empêcher une femme de se défiler et de s’accoupler avec quelqu’un d’autre avant que son sperme ait eu la possibilité d’atteindre son but », explique Matilda Brindle.
    Ce qui prendrait environ trois minutes. Voyez-vous ça.
    Maintenant on va dire que, dans le cas de certains types de couples, la particularité des Bourbon ne présente sans doute aucun intérêt vu que l’intromission du pénis n’y a pas pour vocation la pérennité de l’espèce.

  32. Je me permets une petite digression tellement est nulle la prise de photo originale du Président quant on veut exprimer l’assise et le cadre il faut réduire.
    Heberger image

  33. @Catherine JACOB
    « Vous avez bien conscience de qui vous a permis d’être là, j’espère ! »
    Eh oui, malheureusement, depuis le passage à cinq ans du mandat présidentiel, les législatives sont devenues une formalité. Il suffit d’être du parti du Président. Vague bleue, vague rose puis vague Macron, il faut savoir la prendre.

  34. @ Tipaza
    « Le miel de framboisier est supérieur au miel d’acacia, il est bien plus parfumé et bien moins écœurant. »
    Ah, le miel, dès que quelqu’un en parle bien, le rêve ! Et vous me faites penser qu’il est dommage qu’il semble ne pas ou ne guère y avoir de poésie sur le miel, un produit tout aussi délicieux, dans un autre genre, que le vin.
    Je crois que l’hydromel, lui, ne mérite pas tant d’honneur. Pour toute personne favorablement disposée pour le miel et l’alcool, leur mariage, franchement, déçoit.
    @ semtob
    « L’apparition d’Eve serait-elle une tentative de réponse à cette mystérieuse disparition qui hante l’infériorité humaine depuis la nuit des temps par rapport au confort animal, le grand singe y compris ? »
    Qui sait si ce mythe, sans doute polysémique comme tous, n’exprime pas aussi cela ? En tout cas, si une femme reproche à un homme de ne pas en être un à cause de performances insuffisantes, il pourra toujours dire qu’il est bien un Homme, vu qu’on voit bien qu’il a un propre de l’Homme.
    On dit toujours qu’il faut le sens de la réplique pour prétendre qu’on ne trompe pas son conjoint alors que si. Le sport en chambre est aussi un endroit où certains partenaires doivent se rattraper… aux branches.
    @ Catherine JACOB
    A propos de pensée complexe, je crois que vous vouliez parler de fantômes ? Est-ce qu’il y en a dans toutes les cultures ? Pourquoi les revenants reviennent-ils ? Peut-on les aider – au cas improbable où ils existent et qu’on tombe précisément sur un fantôme ?
    @ Patrice Charoulet
    Non seulement vous avez un niveau élevé, mais de plus vous ne prêtez pas attention aux manières dont vos expressions et autres éléments de votre discours peuvent vous desservir. Vous vous contentez de dire ce que vous croyez juste avec pédagogie et modestie. Vous avez certainement le coeur pur. J’espère que nous ne vous froissons pas trop, parfois. Si oui, je pense exprimer le sentiment général en disant que nous nous en excusons.
    @ Lucile
    « Je trouve certainement dommage que des enfants soient conçus avec l’idée qu’ils n’ont pas besoin de père, mais c’était déjà parfois le cas avec les méthodes de procréation classiques, et ce n’était pas toujours du fait de la dame. »
    Exact. On fait toute une histoire parce que certaines femmes se passeront de père tandis que la masse des abandonnées, et en sens inverse, le certain nombre de pères malgré eux, ne pose pas problème ! Toujours pareil… la trahison est acceptée, tellement « traditionnelle » mais les nouveaux comportements dénigrés. Enfin, ailleurs, loués immodérément, à savoir sans admettre que plus de liberté, de pouvoir, amène plus de responsabilité, de devoirs.
    Bref, il pourrait y avoir des enfants sans père – ou sans mère, savoir que deux souris mâles ont pu avoir, avec intervention technique, des petits ensemble – sans dommage.
    Mais comme cela est plus difficile qu’avec, malgré tout, il faudrait que les candidats calculent à chaque fois s’il leur est possible de compenser leur singularité sociale par leur supériorité sociale et leur excellence éducative.
    Au final, ce n’est ni la tradition ni l’innovation qui devraient primer mais la loyauté entre partenaires et l’intérêt de l’enfant.

  35. @ Marc GHINSBERG
    L’argument du pseudo… Argumentum baculinum ??
    De plus en plus léger, ou de moins en moins convaincant, Monsieur Ghinsberg !

  36. François de Rugy, c’est surtout un traître qui mange à tous les râteliers !
    S’étant présenté aux primaires socialistes, il s’était engagé à soutenir le vainqueur !
    Si, c’est cela que vous appelez l’expérience ! Ouais ! Haha !
    Génération écologie les Verts => Rejoint le Groupe Socialiste de l’Assemblée nationale => Primaire du PS => Soutient Manuel Valls => Soutient Emmanuel Macron.
    Avec Pétain, il aurait été du côté de Laval pourvu qu’il ait un poste de ministre !
    À un moment donné, la probité, l’intégrité, l’honneur, ne pensez-vous que c’est supposer compter ?
    Effectivement voter pour une femme, parce que c’est une femme, pourquoi ne pas choisir Simone Gbagbo ?!
    Ou encore : Véronique Courjault, après tout c’est une femme !

  37. Robert Marchenoir

    « Madame la ministre ».
    C’est ça qu’il y a de bien, avec les idéologies victimaires des minorités protégées (qui, ici, ne sont même pas minoritaires, mais passons) : vous avez tort à tous les coups. Un jour, vous aurez la mère Pénicaud qui va vous reprendre comme un gamin mal élevé en vous rétorquant : Madame la ministre, et puis le lendemain vous aurez la mère Duchemolle qui va vous reprendre avec le même ton de maîtresse d’école frustrée en vous assénant : Madame le ministre.
    Pile je gagne et face tu perds, et le plus beau c’est que vous ne savez jamais à l’avance de quel côté ça va tomber. Dans les deux cas, on saura vous faire comprendre que vous avez gravement porté atteinte à la dignité des fâââmes.
    De votre côté, en tant que vieux mâle blanc et de surcroît de droite, vous n’avez aucun moyen de vous en tirer, sinon en rampant sous le tapis.
    Et encore, on n’en est pas encore rendus au délire des universités américaines, haut lieu du dérangement mental politiquement correct, où tout étudiant(e) a désormais le droit de se faire appeler « Brounz » au lieu de « Monsieur », parce qu’il estime faire partie du sixième sexe à gauche au fond du couloir, juste avant d’arriver à la salle des profs.
    Cela étant, il serait bon que Madame le ministre du travail nous donne l’adresse de son coiffeur, afin que la moitié de la population qui estime encore (à tort ou à raison) faire partie du sexe féminin évite soigneusement de s’y rendre, même par accident. Le mot accident est celui qui convient. Catastrophe industrielle, dirai-je même.
    C’est marrant, la façon dont des dames d’un certain âge, arrivées à un certain niveau de pouvoir, ostensiblement féministes et plutôt de gauche, se livrent à un relâchement cosmétique et vestimentaire agressif, l’air de dire : quoi ? quoi ? y’a un problème ?
    De même que, pour un homme, la marque suprême du pouvoir est de mentir ouvertement à la face de ses interlocuteurs, en sachant que personne n’osera vous contredire (méthode Poutine), de même, pour une femme, un signe sûr qu’il ne faut vraiment pas vous casser les pieds est que vous avez pu atteindre de hautes fonctions sans vous départir de votre look Sécurité sociale.
    Inutile de dire que ce style passif-agressif se rencontre plus souvent dans les rangs de la fonction publique (et donc en politique) que dans le secteur privé.

  38. calamity jane

    Puisque Giuseppe digresse, j’en profite pour la photo.
    La pensée complexe du Président est contenue dans son crâne (partie antérieure) et fuse en feuillages touffus de part et d’autre laissant apparaître un ciel blafard : la compréhension réduite de cette complexité…
    Le Président se situe au centre cachant la perspective. Le drapeau français à sa droite, l’européen à sa gauche. D’un mouvement de bras et avec la main, il pourra ainsi poker (de poke et dans le sens de pousser) l’un ou l’autre ou les deux à l’instar de T. Ardisson (le royaliste télévisuel de service) après présentation d’un livre dont il aura fait la promotion: « on dégage de l’image » ; laquelle en dit plus qu’une conf-garden-party le 14 Juillet.
    « Quand les Français élisent une femme, c’est l’homme qui marche » me soutient sournoisement le voisin apprenant qu’une charte serait pondue pour la Madame Bee épouse de E. Macron. « Monsieur la Présidente en quelque sorte ».

  39. Le portrait présidentiel relève-t-il de la cause des hommes, probablement, je ne serai pas hors sujet donc.
    Tous les observateurs sont allés de leur analyse pointilliste sur ce portrait, l’ouverture du paysage, le syncrétisme des deux drapeaux, l’horloge du maître des horloges, les livres ouverts de Gide et de Gaulle (quel rapport entre eux ?), mais aucun de ces analystes n’a vu ce qui crève les yeux.
    Emmanuel Macron n’est pas campé droit dans ses bottes, il est en appui sur le bureau.
    Oh, un appui léger certes, du bout des fesses sur le bord du bureau, mais en appui tout de même, les mains crispées sur ce bureau et on voit ses phalanges légèrement blanchies.
    Symboliquement, on voit que cet homme a besoin d’appuis pour se tenir droit et je rejoins l’opinion de M. Onfray, grand bavard devant l’Éternel, mais pertinent dans ses analyses sur le soutien du grand capital à Macron, etc. Je vous invite à vous plonger dans cette analyse géniale de mauvaise foi mais juste sur le fond.
    Jamais au grand jamais, un légionnaire, un vrai, un tatoué, n’aurait accepté d’être photographié en appui dans une mission essentielle comme celle-là.
    C’était ma contribution d’une totale bonne foi (si, si) à l’analyse d’un portrait sur lequel les médias en ont fait un peu trop à mon gré.

  40. Catherine JACOB

    @ Giuseppe | 29 juin 2017 à 20:48
    « Si j’avais un choix de peinture à faire je ferais appel à François de Rugy, un vrai arc-en-ciel cet homme. »
    Peut-être que c’est sa façon à lui d’exprimer une identité messine et lorraine dans l’exil.
    Voici en effet à quoi ressemble l’histoire de Metz – repris de Wikipédia.
    En 1882, un biface datant de 200 000 ans av. J.-C. a été découvert dans une sablière de Montigny-lès-Metz.
    IIIe siècle av. J.-C. : Oppidum des Médiomatriques (Oppidum = nom donné par les historiens romains à un type d’habitat protohistorique fortifié que l’on trouve en Europe occidentale et centrale.) cité par Tacite sous le nom de Divodurum Mediomatricorum. Cf. « Divoduri, Mediomatricorum id oppidum est (…) » – Composé des éléments celtiques (gaulois) bien connus divo – divinité et duro – marché, forum que d’aucuns traduisent pas « enclos divin » situé au confluent de la Moselle et de la Seille. Une Assemblée de type oligarchique y exerçait le pouvoir. Le toponyme actuel est issu du nom du peuple que mentionne Jules César et dont le territoire s’étendait de la forêt l’Argonne au Rhin. La forme moderne Mettis apparaît au VIe siècle.
    52 av. J.-C. : République romaine puis Empire romain, Gaule belgique, province de Trèves ;
    IIIe siècle : évêché de Metz ;
    Ve siècle : Royaume des Francs (Regnum Francorum)
    511 : Royaume de Reims ;
    548 : Royaume de Metz ;
    556 – 560 : Royaume de Soissons (Soissons, la cité du Vase – latin Ama : sceau à incendie –, est connue pour avoir été la première capitale de la France).
    561 : Royaume de Reims : Fief de Thierry 1er qui après s’être installé à Reims, se ravise et déplace sa capitale à Metz.
    751 : Royaume d’Austrasie – capitale Metz (nord-est de la France actuelle, les bassins de la Meuse et de la Moselle, jusqu’aux bassins moyen et inférieur du Rhin, soit la Lorraine, la Rhénanie, l’Alsace, la Champagne, la Belgique et la partie septentrionale des Pays-Bas actuels, d’où la proposition « Austrasie » pour Grand Est qui n’a pas recueilli la majorité des suffrages, ne faisant plus sens pour beaucoup. Berceau des carolingiens et noyau de l’empire.
    768 : Empire carolingien. Ci-après autographe de Charlemagne dont le centre rappelle la lettre de l’écriture de l’Indus qu’on retrouve dans nombre d’inscriptions et qui figure ci-après au-dessus de la tête de la matriarche sur cette « empreinte de sceau avec écriture. Approx. 3,5 cm x 3,5 cm. State Museum, Bhopal »:
    843 : Francie médiane (dont le territoire s’étendait de la Frise (mer du Nord) à la Provence (mer Méditerranée) et englobait également la moitié nord de l’Italie.)
    855 : Lotharingie (Lotharii Regnum du nom de l’arrière-petit-fils de Charlemagne)
    925 : Saint-Empire romain germanique (Il s’agissait au départ d’un regroupement politique, aujourd’hui disparu, de terres d’Europe occidentale et centrale au Moyen Âge chapeauté par un ‘Empereur des Romains’. Lequel s’est considéré du Xe siècle jusqu’à sa suppression par Napoléon, non seulement comme le continuateur légitime de l’Empire d’Occident des Carolingiens, mais également de l’Empire romain.)
    959 : Duché de Haute-Lotharingie (dure jusqu’en 1766, date de son intégration dans le royaume de France par un tour de passe-passe de Louis XV)
    Début du XIe siècle : évêché de Metz ;
    1234 : République messine dont le blason, celui d’un groupement de familles, est resté l’actuel blason de Metz. Devise : «Si nous avons paix dedans, nous avons paix dehors»
    1552 : protectorat français de facto des évêchés de Metz, Toul et Verdun.
    Créé le 15 janvier 1633 par Louis XIII, le parlement de Metz est une cour de justice souveraine qui a également été Chambre des comptes, Cour des aides et Cour des monnaies et dont les magistrats ont été détachés à Nancy entre 1634 et 1637, puis transféré à Toul pendant une vingtaine d’années.
    1648 : traité de Westphalie, incorporation de jure au Royaume de France
    Le 1er décembre 1658, après des années de tractations, le parlement réintègre Metz.
    En septembre 1658, le roi Louis XIV accorde au parlement de Metz des lettres de noblesse. Les membres du parlement sont ainsi automatiquement anoblis après vingt années de carrière. Selon l’Édit de septembre 1658, les officiers du [archive] Parlement de Metz seront nobles ainsi que leurs enfants, pourvu qu’ils aient servi vingt années ou soient morts en charge.
    En 1766, le duché de Lorraine intègre le royaume de France, mais sa juridiction ne sera pas confiée au parlement de Metz.
    Un édit du 10 octobre 1771 supprime le parlement de Metz et intègre son ressort à la cour souveraine de Nancy.
    Le 26 septembre 1775, le parlement est rétabli à Metz. Il siège dans l’hôtel du Parlement, place d’Armes à Metz.
    Un décret de l’assemblée nationale du 3 novembre 1789 met un coup d’arrêt aux parlements dans l’attente d’une nouvelle structure judiciaire.
    (Accessoirement et incidemment, on dira que l’un des ancêtres de ma grand-mère paternelle était greffier du bailliage royal de Thionville du ressort du parlement de Metz).
    1804 : 1er Empire : le blason de la ville change temporairement ; y figure le haut d’une sirène couronnée de trois tours crénelées d’Or ;
    1871 : Ville libre d’Empire ;
    1918 : Victoire de la France dans la Première Guerre mondiale
    1940 : annexion de facto par le 3ème Reich
    Depuis 1944 – Seconde Guerre mondiale-:
    1976 à 2015 : Metz est la préfecture de la Région Lorraine
    Depuis 2016 Metz est dans la Région Grand Est. On n’a non plus un blason mais un logo : Chef lieu : Strasbourg. Ce territoire compte 5 554 645 habitants et réunit, sur 57 433 km2, des territoires de l’Europe rhénane, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle et l’est des Vosges à l’est et des territoires du Bassin parisien (les Ardennes et la Marne) à l’ouest. Cinq villes y comptent plus de 200 000 habitants.
    Les territoires d’Alsace-Moselle (donc Metz) y restent par ailleurs soumis à un droit local qui se substitue au droit général français dans certains domaines depuis 1919. Ce territoire est cependant le berceau de La Marseillaise. Sur le plan culturel, des traditions vivaces comme la fête de la Saint-Nicolas, le lapin de Pâques ou encore les marchés de Noël sont communes à une partie importante de la population du Grand Est. Frontalière avec la Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne et la Suisse, la région est particulièrement ouverte aux marchés internationaux. Mais bon, ça a toujours été et ce n’est pas dû à la réforme territoriale Hollande. Incidemment on dira que Metz est le plus grand port céréalier d’Europe. C’est bien évidemment un port fluvial.

  41. @ Giuseppe | 29 juin 2017 à 21:06
    Petit descriptif des symboles intégrés sur le portrait officiel du président pour ceux à qui ils auraient échappé.

  42. Catherine JACOB

    « …tellement est nulle la prise de photo originale du Président »
    Vous avez raison, ce cliché le fait paraître tout à fait disproportionné avec de tout petits bras.
    @ Noblejoué | 29 juin 2017 à 21:22 @ Catherine JACOB
    « A propos de pensée complexe, je crois que vous vouliez parler de fantômes ? Est-ce qu’il y en a dans toutes les cultures ? Pourquoi les revenants reviennent-ils ? Peut-on les aider – au cas improbable où ils existent et qu’on tombe précisément sur un fantôme ? »
    Bonne question, le revenant revient en effet. Le tout est de savoir d’où. D’un sentiment de culpabilité ? Des non-dits familiaux, d’autres cryptes. Il y a peut-être bien un revenant de la Vologne. Quel juge d’instruction saura le convoquer et l’interroger ?

  43. A noter que la photo a dû être refaite à cause d’un intrus qui s’était immiscé dans le champ.

  44. On a l’impression que l’on ne fera pas l’économie de ces faux débats qui ne cachent finalement que notre incapacité à intégrer les lois déjà décrites par les génies de l’humanité, qui mettent en lumière les confusions sophistes entre amour et pouvoir de séduction, désir d’accomplissement et droit à la justice, où la nature, finalement, se croit en l’humanité corrigée par elle-même, alors qu’elle ne fait que reproduire ad nauseam ses errances, sa croyance que ce qui rompt crée de la nouveauté, alors qu’il n’est éternellement reproduit que du même.
    « Au contraire, on laissa s’enfuir tous les Sodomistes honteux, même si, apercevant un jeune garçon, ils détournaient la tête, comme la femme de Loth, sans être pour cela changés comme elle en statues de sel. De sorte qu’ils eurent une nombreuse postérité chez qui ce geste est resté habituel, pareil à celui des femmes débauchées qui, en ayant l’air de regarder un étalage de chaussures placées derrière une vitrine, retournent la tête vers un étudiant. Ces descendants des Sodomistes, si nombreux qu’on peut leur appliquer l’autre verset de la Genèse : « Si quelqu’un peut compter la poussière de la terre, il pourra aussi compter cette postérité », se sont fixés sur toute la terre, ils ont eu accès à toutes les professions, et entrent si bien dans les clubs les plus fermés que, quand un sodomiste n’y est pas admis, les boules noires y sont en majorité celles de sodomistes, mais qui ont soin d’incriminer la sodomie, ayant hérité le mensonge qui permit à leurs ancêtres de quitter la ville maudite. Il est possible qu’ils y retournent un jour. Certes ils forment dans tous les pays une colonie orientale, cultivée, musicienne, médisante, qui a des qualités charmantes et d’insupportables défauts. On les verra d’une façon plus approfondie au cours des pages qui suivront ; mais on a voulu provisoirement prévenir l’erreur funeste qui consisterait, de même qu’on a encouragé un mouvement sioniste, à créer un mouvement sodomiste et à rebâtir Sodome. Or, à peine arrivés, les sodomistes quitteraient la ville pour ne pas avoir l’air d’en être, prendraient femme, entretiendraient des maîtresses dans d’autres cités, où ils trouveraient d’ailleurs toutes les distractions convenables. Ils n’iraient à Sodome que les jours de suprême nécessité, quand leur ville serait vide, par ces temps où la faim fait sortir le loup du bois, c’est-à-dire que tout se passerait en somme comme à Londres, à Berlin, à Rome, à Pétrograd ou à Paris. »
    Sodome et Gomorrhe I, Marcel Proust.
    Autrement dit, la discrimination subie ne donne aucune autorité à discriminer en retour, qu’on soit homme, femme, macho ou homo, et la norme devra se définir enfin, non comme les particularités tentent tour à tour et réciproquement d’imposer la leur, Sens Commun et les LGBT nous en donnant actuellement l’exemple chorégraphique, mais comme l’effort d’établir une relation devant trouver l’équilibre de son apaisement.

  45. J’ai aidé une étrangère à remplir une demande de visa pour les USA récemment.
    A la rubrique sexe, on a le choix entre masculin, féminin et autre.
    Comme cette personne est une athlète androgyne j’ai été bien heureux de pouvoir cocher la case « autre »…
    Mais comment l’appeler ? Mademoiselle, Madame, Monsieur, Masieur, Mondame ?
    Il m’est arrivé, comme notre hôte, de saluer une femme ministre. De peur d’être rabroué comme lui, je tends la main avec mon plus beau sourire en disant : bonjour « Madame » et je n’ai pas essuyé de remarques…
    Puisqu’il est question de parité dans ce billet, je voudrais attirer l’attention des contributeurs sur le scandale de la surreprésentation (90% des reçus au concours de l’ENM) du beau sexe dans la magistrature, dans l’enseignement primaire et secondaire.
    Au fond la possibilité évidemment bienvenue de rencontrer des femmes à quasi-parité dans nombre de corps de métiers permet de perdre l’entier de ses illusions. Elles sont en effet aussi mesquines, aussi méchantes et… aussi compétentes que les hommes !!

  46. Patrice Charoulet

    Il y a des gens qui sont plutôt du matin (je suis de ce nombre) et il y a des gens qui sont plutôt du soir. Mais, pendant que nous dormions tous, Robert Marchenoir a écrit sa prose à 03h53 et Elusen a écrit la sienne à 03h47. C’est difficile à croire. Mon imagination n’allait pas jusque-là.

  47. @calamity jane 29 juin 2017 à 07:50
    « Les retraités qui veulent nous apprendre comment on peut vivre autrement après avoir profité de tous les avantages et notamment ceux et celles qui émargent à plus de deux mille euros par mois, nous saoulent »
    Bien d’accord avec vous.
    @ Elusen | 30 juin 2017 à 03:47
    Moi j’aurais plutôt voté pour Jacqueline Sauvage, car à égalité hommes-femmes dans la violence c’est elle qui a gagné.
    En la circonstance le principal n’étant pas de participer, contrairement à l »élection au perchoir, mais de gagner.
    Honneur aux vainqueurs ! (masculin pluriel :-D))

  48. Encore deux hors sujets.
    – L’Allemagne a mis moins d’une semaine pour autoriser le mariage pour tous.
    – N’y a-t-il pas une loi qui permettrait de juger « l’homme » Michel Sapin au minimum pour publicité mensongère sur le budget 2017 ? Il a caché des milliards sous le tapis. D’autres sont inquiétés pour beaucoup moins que cela.

  49. @Tipaza | 30 juin 2017 à 08:43
    Bon, les symboles autour de la photo me font penser aux jeux de piste de la garderie de ma jeunesse.
    Sur la position devant le bureau, je diverge de votre opinion, pour l’avoir pratiquée. Elle est une situation dominante – je vous écoute mais c’est moi qui décide – le bout des fesses à peine appuyées enlève la brutalité de la décision.
    Le volontarisme se lit sur les mains crispées prêtes à propulser le corps en avant pour l’action.
    Ceci n’engage que moi, mais une photo de ce type n’est jamais plus qu’un portrait qui se veut officiel, sans plus.

  50. Tout cela ne devrait pas empêcher Mme Pénicaud de passer de temps en temps chez le coiffeur, on dirait une scaphandrière qui remonte de plongée à bord de la Calypso de Cousteau.
    Je vous signale que « scaphandrière » vaut 21 points au Scrabble.
    Entre Mme Pénicaud et Nicole Belloubet il s’avère urgent de rappeler le coiffeur de François Hollande.

  51. Claude Luçon

    @ Giuseppe | 30 juin 2017 à 11:09
    « Ceci n’engage que moi, mais une photo de ce type n’est jamais plus qu’un portrait qui se veut officiel, sans plus. »
    @ Achille | 30 juin 2017 à 09:23
    « Petit descriptif des symboles intégrés sur le portrait officiel du président pour ceux à qui ils auraient échappé. »
    On peut analyser cette photo plus en détail qu’Achille et jouer les psy et Mme Soleil :
    Il s’appuie en trois points sur son bureau, donc manque de solidité et de sécurité.
    Il masque le jardin, donc obstrue le futur, et le ciel est déjà nuageux ce qui est de mauvais augure au départ d’un quinquennat.
    La pendule sur la droite sans doute installée là par Brigitte pour lui rappeler qu’il est l’heure : soit du goûter, 15h40, soit d’aller au lit 20h20, ce qui fait enfantin.
    Vu la disposition des drapeaux il est français de droite et européen de gauche, mais tout cela est déjà derrière lui et sa campagne électorale.
    Son bureau est mal rangé avec des bouquins, une espèce de cloche avec un coq et la pendule, ça fait désordre.
    La chaise est derrière le bureau, quand il y est assis il voit l’arrière de la pendule, pas étonnant qu’il soit toujours en retard.
    Il a les épaules plus étroites que les hanches, ce qui fait plutôt féminin que macho, et ce qui explique que lorsqu’il joue au tennis il le fait sur un fauteuil roulant.
    Conclusion : tout cela ne sert guère la cause des hommes !
    On peut faire dire tout et n’importe quoi à une photo.
    Comme écrit justement Giuseppe : ce n’est en fait qu’une photo officielle.
    Les jours prochains vont peut-être enfin nous dire qui il est réellement.
    On sait déjà qu’il ne sera pas très copain avec Mélenchon ni Martinez.
    Ces deux-là non plus ne servent guère la cause des hommes.

  52. @Paul Duret 10:52
    S’agissant de la non sincérité des comptes de l’Etat, dénoncée par la Cour des comptes, je partage totalement votre point de vue.
    Dans une entreprise privée, le Directeur financier serait viré avec fracas avec une éventuelle plainte au pénal.
    Oui, il serait tout à fait normal que M. Sapin, comptable public, soit appelé par la Cour des comptes pour s’expliquer sur cette non sincérité et d’en tirer toutes conséquences utiles au nom de l’intérêt général.
    Qu’en pense le Président Macron alors que l’un de ses projets est de remoraliser la politique ?

  53. La photo du Président Macron évoque Yves Mourousi posant ses fesses célestes sur le bureau de Mitterrand pour lui demander s’il était branché, l’autre lui avait répondu qu’il était câblé, les plus jeunes d’entre vous s’en souviennent.
    Cette photo fait un chouïa bistrot branché du samedi soir dans le Ve arrondissement.
    Faute de goût ? non, pas du tout, c’est ce qu’on appelle une décadence.

  54. calamity jane

    Et voilà comment on détruit une réputation !
    Giuseppe, ce matin avant que je ne visse la photo officielle, je me suis basée sur la vôtre… Patatras : il en manque la moitié !
    Suite au prochain lever du soleil pour le décryptage du bas. MDR !

  55. @ Achille | 30 juin 2017 à 09:23
    Vous omettez dans la description des symboles figurant dans la photo présidentielle la présence des « Mémoires de guerre » du général de Gaulle ; celles-ci sont censées traduire l’aspect jupitérien de notre nouveau président : maître de la force des armes comme des horloges. Poutine, Trump et autres velléitaires, tremblez face à notre nouveau Bonaparte !.
    On peut espérer que son règne, le rêve n’est pas interdit, ne s’achève pas tel celui de son neveu « Badinguet ».
    @ Patrice Charoulet | 30 juin 2017 à 10:26
    Vos propos dénote une forme de condescendance vis-à-vis de ces deux commentateurs fort prolixes que sont Robert Marchenoir et Elusen.
    Le premier certes ressasse, quel que soit le sujet traité par notre hôte, et cela avec souvent moult références US, ses trois phobies : russophobie, poutinophobie et haine des paysans français.
    Le second, qui donne l’apparence d’une culture encyclopédique au travers de posts aussi interminables que confus, illustre fort bien la phrase de Montaigne : « Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine ».
    Question : quelles notes et appréciations auraient données à ces deux personnages, le professeur de lettres que vous fûtes ?

  56. @Achille | 30 juin 2017 à 09:33
    Merci, maintenant le Vert de toutes les nuances est de retour. Un vrai caméléon.

  57. @ caroff | 30 juin 2017 à 10:20
    « A la rubrique sexe, on a le choix entre masculin, féminin et autre. »
    « Mais comment l’appeler ? Mademoiselle, Madame, Monsieur, Masieur, Mondame ? »
    Cela n’a aucun rapport !
    Vous confondez organique, biologique, génétique et fonctions sociales !
    Mâle, femelle et autre, c’est organique, c’est de la biologie, de la génétique, puisque certaines personnes naissent sans sexe, ou avec les deux sexes.
    L’on parle alors d’intersexe.
    28 Minutes – Arte
    https://www.youtube.com/watch?v=K5dXFHpq-y4
    Mademoiselle, Madame, Monsieur, sont des fonctions sociales.
    D’ailleurs le Premier ministre François Fillon avant de partir de son poste a émis un décret pour interdire l’usage de Mademoiselle dans la fonction publique.
    Du simple fait de l’égalité, car pour les mâles, il n’y avait que Monsieur.
    Madame et Mademoiselle étant employés pour indiquer une soumission de la femelle au mâle, pour montrer une possession, une propriété.
    Qui possède quoi :
    – Mademoiselle possession du père,
    – Madame possession du mari.
    Ce sont originellement des statuts juridiques, alors que Monsieur n’en a jamais été un.
    L’organique, le biologique, c’est : mâle et femelle et autre (pour l’heure), la fonction sociale, c’est : Femme, Homme, Madame, Monsieur.
    – Une femme cela porte des robes, des jupes, des chaussures à hauts talons, cela fait le ménage, la cuisine, cela se soumet, etc.
    – Un homme cela porte des cravates, des pantalons, cela joue au foot, cela casse la gueule, cela viole, cela tue, etc.
    Homme, femme, madame, monsieur, mademoiselle, ce sont des inventions sociales tributaires des définitions.
    La société attribue une fonction, elle exige que l’on remplisse un rôle, sans rapport à la biologie.
    Alors que mâle et femelle, c’est biologique, tributaire d’aucune définition pour exister, c’est une réalité organique, à laquelle certaines personnes échappent.

  58. @Achille | 30 juin 2017 à 09:23
    Posé sur le bureau derrière le Président Macron, vous avez oublié sa lecture préférée, « Le Rouge et le noir » de Stendhal, écrit en 1830. Très beau roman au passage, qui lui ressemble.

  59. @ Robert Marchenoir
    « De même que, pour un homme, la marque suprême du pouvoir est de mentir ouvertement à la face de ses interlocuteurs, en sachant que personne n’osera vous contredire (méthode Poutine), de même, pour une femme, un signe sûr qu’il ne faut vraiment pas vous casser les pieds est que vous avez pu atteindre de hautes fonctions sans vous départir de votre look Sécurité sociale. »
    A mon avis, pour les femmes, c’est qu’elles en ont trop bavé pour leur apparence à l’époque de leur ascension. Quand on sera moins dur avec elles sur ce chapitre pour réussir, certaines n’auront pas une coiffure qui est pire que de ne pas en avoir une fois arrivées. Je crois que l’évolution est dans ce sens, et que par conséquent, ce comportement revanchard, en somme plus drôle que gênant, ne va pas perdurer.
    Pour les menteurs, c’est, à mon avis, parti pour durer. Et bien plus grave ! On dirait que des gens parvenus à force de mensonges discrets au pouvoir ne peuvent s’empêcher de les révéler en faisant de plus en plus gros une fois qu’ils y sont. Il y a aggravation du mal par arrogance qui me rappelle les serial killer multipliant crimes et indices, non pas, quelle gentille interprétation, pour qu’on les pince, mais par goût du défi et de la démesure.
    Sinon, j’ai apprécié votre intervention contre notre nouveau GG. Curieux quand même, attaquer les gens pour le moindre mot et se prétendre en quelque sorte maître des sources pour tomber dans le plus grand n’importe quoi plus tard. On dirait qu’on regarde, mal d’ailleurs, l’arbre, pour ne pas voir la forêt.

  60. Jean le Cauchois

    @ Catherine JACOB à 09:10
    Il ne manque pour moi qu’une explication : pourquoi, dans la cathédrale de votre belle ville, les deux vitraux représentant respectivement Sainte Bernadette et Sainte Ségolène existent, et sont juste l’un à côté de l’autre ? Ce ne sont pourtant pas des célébrités (si l’on peut dire) locales et actuelles ?

  61. @Savonarole | 30 juin 2017 à 13:49
    Ah non, pas de coiffeur ! Plus elles resteront moches et moins il y aura de risques de harponner le beau Macron.

  62. @ Catherine JACOB
    « Quel juge d’instruction saura le convoquer et l’interroger ? »
    Si les fantômes existaient, quelle confiance pourrait-on leur accorder ? Plus qu’aux humains en chair et en os car on ne semble pas pouvoir les menacer et corrompre, ou moins car on ne semble pas pouvoir les punir pour faux témoignage ?
    Sur un thème proche, Asimov a écrit, pour une fois, une nouvelle dans le genre fantastique, Bon sang ne saurait mentir, qui n’est pas dans le genre terrifiant, mais…

  63. @ Trekker | 30 juin 2017 à 17:18
    Concernant les livres disposés derrière lui, il n’y a guère que les initiés qui pouvaient connaître les noms des ouvrages.
    N’oublions pas que le Général a été obligé de démissionner en 1969, désavoué par les Français. Espérons que notre nouveau Commandeur ne connaisse pas le même sort.
    Encore faut-il pour cela qu’il n’en fasse pas un peu trop car depuis quelque temps il commence à agacer beaucoup de monde. Attention la chance insolente qu’il a eue jusqu’à présent risque de tourner.

  64. @ Ellen | 30 juin 2017 à 17:52
    Il est vrai qu’Emmanuel Macron s’est emparé de la République un peu comme Julien Sorel a conquis le cœur de madame de Rênal. Son minois de romantique tourmenté a su séduire les électeurs et surtout les électrices (enfin ceux et celles qui sont allés voter, bien sûr).

  65. Catherine JACOB

    @ Jean le Cauchois | 30 juin 2017 à 18:22
    « Ce ne sont pourtant pas des célébrités (si l’on peut dire) locales et actuelles ? »
    Sainte Sigolène (ou Ségolène) dans le prénom de laquelle figure le vocable germanique « Sig = victoire » comme dans « Siegfried », est née en effet à Albi au VIIe siècle et vécut en région Midi-Pyrénées. Le culte de Sainte Ségolène serait cependant arrivé très tôt en Lorraine et une première chapelle est édifiée à Metz dès l’an 800, donc avant la première église ottonienne sur laquelle a été édifiée la cathédrale. Elle figure de nouveau en 912, dans un cartulaire de l’abbaye bénédictine de Gorze. L’église actuelle se situe dans la proximité du conservatoire de musique, sur la place Jeanne d’Arc anciennement place des « Quatre Maisons » et qui marque la limite du Metz gallo-romain.
    Il existe une « Notice historique sur l’église Sainte-Ségolène de Metz » dans les Mémoires de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle, mais comme je ne suis pas à Metz en ce moment, pas plus que le grand livre de la cathédrale, je ne l’ai présentement sous la main. Il faudra vous contenter dès lors de renseignements partiels.
    On dit que l’église possède le plus ancien vitrail de Lorraine il représente une scène de la crucifixion, mais l’église Saint Maximin dans le quartier Outre-Seille ainsi que l’une des plus anciennes églises rurales de Lorraine, l’église Saint Martin à Rustroff qui était autrefois une paroisse bien plus importante que l’humble village actuel et où ont été retrouvées des tombes à char avec du mobilier hallstattien, en possède, je cite de mémoire, à peu près de la même époque (12ème ~ 13ème).
    Les 6500 m² de vitraux de la cathédrale Saint Etienne ont été réalisés du 13ème au 20ème siècle par Hermann de Münster, Thiébault de Lixheim, Valentin Bousch, Jacques Villon ou encore Marc Chagall mais je n’ai pu trouver aucune information sur Internet qui soit relative au pourquoi du comment des vitraux de Sainte Bernadette et Sainte Ségolène.

  66. @Claude Luçon | 30 juin 2017 à 16:00
    « Les jours prochains vont peut-être enfin nous dire qui il est réellement. »
    Pour l’instant on est dans la confiture Bonne Maman, bientôt le Tour de France pour EM aussi, il va devoir montrer non seulement qu’il est le maître des horloges – rien de bien difficile – mais surtout monter un 56X12 pour avaler le contre-la-montre dès la première difficulté réelle.
    Il a la tête, voyons pour les jambes qui me paraissaient un peu fluettes sur la photo de Paris Match.
    Ensuite les cols et le dur, notre Légionnaire de l’ENA sera-t-il un Federico Bahamontes prenant le temps de manger une glace en haut du Tourmalet ? Mystère.
    Je le vois plutôt Anquetil qu’Eddy Merckx, nous allons pouvoir juger de la qualité des gregarios aussi, tous les vainqueurs de la France… enfin, du Tour de France sont d’énormes rouleurs et « en même temps » escaladeurs.

  67. @ Trekker | 30 juin 2017 à 17:18
    « Question : quelles notes et appréciations auraient données à ces deux personnages, le professeur de lettres que vous fûtes ? »
    Tant que vous y êtes, demandez-lui de noter tout le monde à chaque intervention !
    Et on notera quoi, d’abord ? Le fait de rester dans le sujet, la rhétorique, la cohérence d’une pensée, sa créativité, l’honnêteté intellectuelle, les éléments de culture fournis ou le style ou tout cela avec éventuellement autre chose ?
    Tiens, puisqu’on en est aux gamineries, moi qui suis incapable de résoudre des devinettes, j’en ai inventé une, saurez-vous la résoudre ? Qu’est-ce qu’on tient par la main et qui vous tient par les yeux ?

  68. Jean-Christophe Lagarde se plaint de son salaire de député – il fait des heures – de qui se moque-t-il ? Il n’y a pas un ingénieur de son âge et avec plus d’ heures que lui, qui le devance.
    Assez de ces pleurnicheurs ! Qu’ils se mettent au boulot et ils verront que la mère de famille avec un smic assure une deuxième journée chez elle. J’exècre ces pleureuses.
    Bon, je me suis éloigné, que les citoyens aillent lire les revenus et avantages des députés, ils seraient édifiés du manque de respect envers ceux qui galèrent vraiment.
    Cela m’a mis en colère d’entendre de façon récurrente certains se plaindre ainsi, et aussi me fait honte…
    On voit les résultats, 2200 milliards d’euros de dettes, avant de réclamer une augmentation nous affichions nos résultats, qu’il s’en aille s’il n’est pas content.
    Quart d’heure d’agacement.

  69. @Claude Luçon | 30 juin 2017 à 16:00
    Excellent humour. On dirait du Savonarole.
    @ Patrice Charoulet | 30 juin 2017 à 10:26
    « Mais, pendant que nous dormions tous, Robert Marchenoir a écrit sa prose à 03h53 et Elusen a écrit la sienne à 03h47. C’est difficile à croire. Mon imagination n’allait pas jusque-là. »
    J’aurais tendance à penser que ces deux-là écrivent depuis les States. Soit décalage de 6H pour New York et 9H pour la Californie. Ce qui les ramène à 22H ou 19H, heures locales horaires parfaitement raisonnables.

  70. calamity jane

    Photo, suite matinale.
    Le message subliminal des alliances : une à chaque annulaire qui est soit le quatrième doigt en partant du pouce soit le deuxième en partant de l’auriculaire… je ne l’ai pas compris.
    Par contre le pouce côté drapeau français s’incline quand l’autre s’appuie sur les ors de la table !
    Le livre ouvert aux deux tiers et s’il s’agit des Mémoires d’Espoir du Général de Gaulle le serait au chapitre « Renouveau » cad le nouveau d’hier renouvelé cad l’ancien… et ça c’est fort sans compter que l’on comprend à qui s’adressent ces messages. Pour les lettrés bien sûr
    qui ne seront pas concernés par sa réforme phare : le Code du travail.
    A la claire fontaine de la complexité !

  71. calamity jane

    Le message des alliances décrypté : pas d’alliance avec la gauche ni avec la droite mais avec des hommes et des femmes de gauche ou de droite qui se rallient à moi qui suis au centre de la photo !
    Et se pourrait-il qu’il y ait un autre message subliminal ?

  72. Patrice Charoulet

    @Trekker
    Vous m’honorez grandement en me priant de dire quelles notes et quelles appréciations je pourrais donner, ex-professeur de lettres, à Elusen et Robert Marchenoir.
    Votre proposition est pour le moins singulière.
    De note, il est hors de question d’en donner. Pour les appréciations, je vais vous décevoir beaucoup. La montagne (votre serviteur !) va accoucher d’une souris.
    Robert Marchenoir me semble avoir beaucoup de talent. Il a du souffle, alors que j’en manque infiniment, il a de la ressource, il est documenté. Ses thèmes ne sont pas les miens. Ses préoccupations sont étrangement récurrentes.
    Pour ce qui est d’Elusen, je ne lis pas tout. Il est relativement nouveau, ici.
    Je suis loin de pouvoir émettre un avis sur lui. Il me déconcerte. Je vais attendre pour en juger.

  73. Jean le Cauchois

    @ Catherine JACOB
    « Je n’ai pu trouver aucune information… au pourquoi du comment des vitraux de Sainte Bernadette et de Sainte Ségolène »
    Merci beaucoup pour votre recherche… Maintenant le mystère est partagé entre nous deux. Dans Sigolène (ou Ségolène) figure le vocable germanique « sig = victoire ». Je frémis rétrospectivement en pensant que les partisans de Ségolène auraient pu nous crier « Sieg Heil » en cas de victoire en 2007 !
    Et toutes mes félicitations pour votre amour affiché de votre région, que j’ai découverte et appréciée au tout début de ma vie professionnelle, en résidant dans une ville que je ne retrouvais avec surprise depuis l’Allemagne voisine que sous le nom de Didenhofen.

  74. @ Robert Marchenoir 30 juin 2017 03:53
    A propos du coiffeur de Madame Pénicaud !
    Cela semble une spécialité des femmes politiques de gôôôche d’affirmer leur liberté féminine en se masculinisant dans un négligé qu’elles croient moderne et chic. Alors qu’elles n’apparaissent que vulgaires.
    Souvenez-vous de Nicole Bricq (éphémère et totalement incompétente ministre du Commerce extérieur) tout aussi dépenaillée que Mme Péricaud et qu’il me semble avoir vue dans une réception officielle avec des « crocs » aux pieds !
    Cordialement.

  75. J’ai conscience de devoir rengainer ma provocation sur la cause des hommes. A condition que le souci de l’égalité entre les sexes ne nous fasse pas tomber dans des délires.
    Chose étrange, ces personnes du sexe dit faible, si chatouilleuses face aux affreux mâles blancs sur l’application d’une égalité par ailleurs mal comprise, sont étrangement silencieuses sur la façon selon laquelle des millions de femmes venues d’autres cieux sont traitées en France, selon des coutumes ancestrales totalement étrangères à notre civilisation, à nos mœurs et le plus souvent à nos lois.

  76. Robert Marchenoir

    @ boureau | 01 juillet 2017 à 20:59
    En effet. Je pensais très fort à Nicole Bricq. Entre autres. Dans un genre un peu différent (celui de la femme qui s’imagine élégante alors qu’elle ne fait qu’accentuer les outrages de la nature), on peut citer la grande amie de notre hôte, Christiane Taubira. Et tant d’autres, anonymes, croisées dans la rue.

  77. @ Exilé | 02 juillet 2017 à 11:33
    « …sont étrangement silencieuses sur la façon selon laquelle des millions de femmes venues d’autres cieux sont traitées en France, selon des coutumes ancestrales totalement étrangères à notre civilisation, à nos mœurs… »
    Pour toutes ces vétilleuses ultra-féministes au nom de la lutte contre la xénophobie, islamophobie et autres fariboles, les « droits » que s’arrogent dans notre pays les mâles issus de ces milieux, vis-à-vis de leurs consoeurs, priment sur toute autre considération.

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