S’il y a bien un homme que j’estime à gauche, c’est Raphaël Glucksmann (RG), qui caresse de plus en plus l’idée de se présenter en 2027, au nom de Place publique, et pour vaincre Jean-Luc Mélenchon.
Et j’ai peur pour RG.
Quand un de ses proches déclare « qu’il ne faut pas avoir peur de se faire défenestrer par La France insoumise » (Figaro Magazine), il énonce sur un mode positif ce qui risque d’être au contraire le sort de RG dans cette joute à venir que je perçois comme très inégale. Dans le rapport de force qui pourrait s’annoncer au sein de la gauche et de l’extrême gauche, je crains que RG, aussi estimable qu’il soit, malgré sa conviction qu’il a su faire sa mue de l’intellectuel engagé au politique partisan, soit handicapé par sa finesse et son honnêteté mêmes.
Face à l’instinct de tueur de Jean-Luc Mélenchon qui ne fera pas de quartier, pas plus dans la mouvance LFI qu’à l’égard des candidats kamikazes déclarés comme François Ruffin, et encore moins contre des personnalités comme celle de RG, qui résistera ? RG me paraît assurément relever du registre suscitant le plus de détestation de l’autocrate Mélenchon : une forme de morale tentant de faire oublier sa possible faiblesse derrière un verbe belliqueux. Avec la crainte, pour tous ceux qui apprécient RG et la constance de son combat et de son opposition aux idéologies extrémistes, que sa posture jure avec ce qu’il semble être véritablement. Et notamment sa noble inaptitude à proférer n’importe quoi en le qualifiant de vérité. Sa confiance en lui-même, tellement réduite par rapport à l’arrogance d’exister de JLM, ne le conduira jamais à mon sens à se préférer à une lucidité même préjudiciable à sa cause.
Quand on évoque « entre Glucksmann et Mélenchon, le match qui vient à gauche » (Le Figaro), comment passer sous silence la formidable oralité du second et l’intelligence argumentative du premier ? Celle-ci, aussi convaincante qu’elle puisse être dans un monde urbain et civilisé, pourrait se trouver fragilisée par un rouleau compresseur de concepts, d’affirmations, de provocations, se souciant comme d’une guigne de la pertinence au bénéfice de l’efficacité.
Ce n’est pas à dire que RG n’aurait pas certains atouts face à l’épouvantail Mélenchon mais si je confirme avoir peur pour lui, c’est que je mesure à quel point ses vertus pourraient être précisément son handicap.
Il n’empêche que dans un univers politique qui me permet l’objectivité de la distance, je salue, par avance, la victime de qualité que sera RG face au bourreau Mélenchon.
Cher Philippe Bilger,
À vous lire, vous semblez faire le pari de la stupidité de l’électeur, forcément subjugué par Mélenchon et incapable d’être sensible aux arguments de Glucksmann.
La réalité est un peu différente, car Mélenchon fait le pari du grand remplacement et de la radicalisation des masses musulmanes. Et il a raison.
Car contrairement à ce qu’affirment les observateurs, notamment sur CNews, ce n’est pas une minorité de musulmans qui sont radicalisés, mais bien une majorité, par conviction, esprit de corps ou peur des représailles.
En outre, Glucksmann est l’archétype de cette gauche molle qui nous conduit dans le mur depuis 50 ans. Il n’a pas d’avenir. Celui-ci appartient à une droite capable de s’unir et de surmonter des différences somme toute bien mineures par rapport à celles de la gauche.
Mais il demeure ce surmoi progressiste qui met le RN hors-jeu. Et ce n’est pas le résultat de juillet 2024 qui va inciter la droite à faire alliance avec lui.
JLM a donc une belle carte à jouer en 2027.
« Jean-Luc Mélenchon n’en ferait qu’une bouchée… » (PB)
Il faut arrêter de prendre J-L Mélenchon pour une terreur, même s’il a un peu trop tendance à se prendre pour Robespierre.
C’est la personnalité politique la plus rejetée par les Français. (*)
Il a même réussi à devancer Éric Zemmour c’est tout dire ! 🙂
Ses vitupérations, son arrogance, sa mégalomanie et surtout ses prises de position qui vont totalement à l’encontre des valeurs de notre République n’impressionnent plus personne, si l’on excepte évidemment les adeptes de sa secte. Encore que beaucoup d’entre eux ont commencé à prendre leurs distances.
Alors face à Raphaël Glucksmann ou un autre prétendant de gauche (ils commencent à être nombreux) à l’élection présidentielle, il se fera rétamer, même par un rival qui ne possède pas ses qualités oratoires de bonimenteur de foire expo.
Pour en revenir à Raphaël Glucksmann, il représente la gauche dite intellectuelle qui s’est terriblement étiolée depuis les années 80.
Aucun véritable leader parmi les rescapés du mitterrandisme. Le PS est en train de connaître sa traversée du désert avec Olivier Faure en maître chamelier qui conduit la caravane. Tout cela est bien pathétique. 🙁
(*) article qui date d’octobre 2023, et la cote de rejet de Mélenchon ne s’est pas améliorée depuis, bien au contraire.
Glucksmann est totalement inapte à la fonction gouvernementale ; entre lui et Mélenchon, ce serait une erreur tragique de laisser de tels olibrius atteindre le pouvoir.
Ils ont les mains si propres qu’ils n’ont plus de mains ; je parle là évidemment du premier nommé.
Raphaël Glucksmann est un Macron (bis) qui prend les mêmes recettes de fausse démocratie participative et parisianiste pour recommencer (ou plutôt continuer) la même politique européenne et belliqueuse avec les réseaux de son père et de BHL un peu mieux amarrés à sa cause anationale. Ou pour mieux le situer dans le spectre français dont il n’a que faire, il se situe à l’intersection de François Hollande et d’Emmanuel Macron, c’est-à-dire que, si par malheur il était élu, il prolongerait de cinq et pourquoi pas de dix ans, l’aveuglement qui a placé la France sous la tutelle de ces deux incapables par refus de réélire Nicolas Sarkozy, le dernier de nos présidents à disposer d’une toute petite colonne vertébrale et intelligence politique.
« Les hommes qui veulent exciter les passions du peuple pour s’élever au pouvoir savent bien qu’il faut flatter ses inclinations et non s’y opposer. »
Tocqueville « De la démocratie en Amérique »
Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ont entendu Tocqueville. Raphaël Glucksmann et François-Xavier Bellamy ont fait le pari inverse. On peut craindre que le pari de l’intelligence ne soit pas une garantie de succès.
« …la victime de qualité que sera Raphaël Glucksmann » (PB)
Victime ? De qualité ? Voilà où nous en sommes à cause de ces victimes de qualité !
Bien vu !
Ainsi, nous aurons les juifs qui voteront Glucksmann, les musulmans Mélenchon, les catholiques Retailleau, et le reste RN.
On n’aura pas fini de se poiler, et de Gaulle demandera à ce qu’on lui mette la télé devant sa tombe.
Côté finances, pépère ! On aura le FMI.
Nous allons vivre la version 2.0 de la fable de La Fontaine « Le Loup et l’Agneau » !
La raison du plus fort est toujours la meilleure !
Jean-Cul Méchencon est bien plus construit que Raphaël Glucksmann qui n’est qu’un perroquet européaniste sans idée.
À l’instar des viles créatures que sont Guetta et consorts, il est menteur, manipulateur, prêt à toutes les compromissions pour défendre ses pseudo-idées. Une sorte de Valérie Pécresse pour la gauche boboïsante. Du gnangnan à tous les étages.
Mais alors qui ?
Personne.
Je ne sais pas pourquoi, depuis des lustres, à chaque élection je suis au gastos en train de m’enfiler mon p’tit kilbus de rouquin en clapant. Et après, une fois bien torché, je ne trouve plus le chemin du bureau de vote. C’est ballot.
Vous m’direz, j’pourrais y aller à l’odeur… de la trahison. Celle du peuuuuuple. De gôôôche, de droâââte, de la Fraaance, j’ai l’appendice olfactif fragile, je préfère m’en tenir à l’odeur de la bonne tortore que je ne vais pas manquer d’aller m’enfiler une fois de plus.
Une bonne petite côte de cochon noir de Bigorre avec euh, un p’tit Madiran. Ça vaut bien un bulletin d’vote.
Raphaël Glucksmann ne joue-t-il pas subtilement le vote musulman – à supposer que cela existe – par cause interposée, à savoir la condition des Ouïghours en Chine occidentale ?
Là où Jean-Luc Mélenchon la joue direct en mode voilottin et patriarcal.
Mais en toile de fond, RG est un activiste atlantiste, voir son engagement de conseiller spécial en Géorgie.
Et c’est surtout cela son côté fâcheux, les coups de main à l’oncle Sam, le même qui empêche tout avenir européen sérieux.
Quant à JLM, son ajournement « voilottin et patriarcal » devrait lui ôter une bonne partie du vote des femmes, y compris musulmanes, pas pressées du retour d’un pouvoir masculin dominateur et belliqueux requérant essentiellement des femmes leur faculté à générer du carburant humain : chair à canon et à religion. On ne fait pas plus repoussant, on a eu beaucoup mieux.
Alors, candidats de gauche RG et JLM ? pas vraiment.
@ Marc Ghinsberg 06/07/25 07:29
Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ont tellement entendu Tocqueville que nous sommes alors en droit de craindre, si l’une ou l’autre parvenait au pouvoir, qu’il installe une sorte de système dont on se rendrait rapidement compte, toujours en référence à Tocqueville, « qu’il rend moins utile et plus rare l’emploi du libre arbitre ; qu’il renferme l’action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu’à l’usage de lui-même. »
Cela ressemble étrangement au despotisme.
La guerre est donc ouverte. Avoir une opinion aujourd’hui serait se priver de la voie indigne, de voir trébucher les candidats, les excès de langage atteindre des sommets.
Le choix de Jérôme est sincère, soigneusement argumenté et me plaît bien, encore que je sois peu tenté, par les temps de chaleur qui courent, par le porc noir et le Madiran. Mais c’est un détail, je ne vais pas becqueter dans son assiette et me contenterai d’une rascasse grillée accompagnée d’un Pouilly blanc très frais.
C’est qu’il y a des candidats sérieux au rôle de maître queux, experts en cuisine avariée. Nous savons que Macron, fier parmi les fiers, brûle la terre autour de lui, mais brûle aussi toutes ses recettes en se faisant doubler par les barbaresques qui lui font préférer le couscous à la potée.
Bien sûr que le sujet est sérieux : qui conduira le convoi funèbre de la France ?
Ce pays qui a su abandonner ses excellences à la voracité des mains tendues, façon mendiant algérien : Missié, di sous. Mais bien sûr, au nom de l’égalité, de la justice, on va supprimer la richesse et tout ira bien, mais pour cela, il faut brûler tous les livres de cuisine et s’en remettre aux ingénieurs de la bouffe, la sale bouffe.
D’abord, on laissé partir, sous la menace CGT, puis on a vendu, sous la pression US puis celle UE, on a fait du « gros riche » la cible privilégiée tout en continuant à nourrir ce qui était indispensable au rêve absolu, la gastronomie des Dieux : la redistribution, mise en place par l’État vorace et régurgitée par l’État-providence, pléthorique, mangeur de bénéfices, avide de mauvaise graisse et finalement ruiné pour avoir oublié, avant de mettre sur les étals, d’acheter le nécessaire.
Restaient les stocks. Les fournisseurs de TVA avec qui il valait mieux avoir de bonnes relations et ils ont été comblés de bienfaits, comme des oligarques, mais sans pistolet sur la tempe.
Enfin, la prostitution : la Chine, ultime recours des incapables, obligés d’y faire leur marché parce que le nôtre est trop cher.
Admirable délicatesse des Chinois : nous laisser venir, à croire que les glorieux énarques n’ont jamais lu Sun Tzu. Ainsi, nous camons à la vertu de l’électrique qui permet de tondre les consommateurs mais nous ne savons pas le construire, les Chinois oui, donc les Chinois « DEHORS ». Vous avez vu les muscles ? oui, mais je n’aurai bientôt pas de quoi les réparer, la Chine ne veut plus me vendre de scalpels, bistouris, etc.
C’est sot. C’est français, de la mauvaise tambouille.
Et allez donc, on vomit dans la soupe avant de l’ingurgiter et de la décréter immangeable, alors que nous sommes le seul État à avoir, s’il nous restait un minimum de dignité, les moyens de résister à l’oligarchie.
Rascasse grillée avant la côte de soi, le pouilly est là pour oublier les excès de madiran.
Les royalistes faisandés s’unissent aux révolutionnaires rancis pour mieux déserter la démocratie, bénissent le rouge en saluant le brun pour surtout ne pas défendre le pays, exercent leur liberté pour retourner se remplir la panse aux facilités de l’esclavage, soumis au tyran de la force en insultant ceux qui remarquent qu’ils sont devenus marchandise consentante et manipulée, consommateur obèse ou fat qui se prend pour le roi, chair à Mélenchon ou à Le Pen pour mieux s’offrir aux Chinois plutôt que de reconnaître sa désespérante et nihiliste inutilité, se permettent à cette occasion de pérorer sans fin sur la responsabilité individuelle alors qu’ils sont incapables de l’exercer au moins sur leur propre parole.
Haineux sans imagination, ils insultent Glucksmann ou les autres, avec le même mépris indifférent, tant qu’on leur sert ce qui encore, mais pour combien de temps, leur garde l’illusion d’être quelqu’un qui aurait droit, n’est-ce pas, de renoncer au devoir qu’ils réclament d’autrui, alors qu’ils s’offrent, consentants, à l’ennemi qui les invite, trop heureux de leur aveuglement, aux souilles fangeuses de leur commun ressentiment.
Élection présidentielle. Chacun votera comme il voudra. Moi, je sais déjà que je ne voterai, au premier comme au second tour, ni pour un candidat LFI ni pour un(e) candidat(e) RN. Au premier tout, je voterai pour un candidat du centre droit ou de droite. Problème, ça se bouscule au portillon. Il est sûr et certain qu’Édouard Philippe sera candidat. M. Retailleau devenu président de LR sera candidat. M. Darmanin a créé un parti (« Populaires ») et est tendu vers une candidature. M. Attal préside le parti macroniste et rêve d’une candidature. M. Wauquiez rêve de la présidentielle depuis dix ans.
Xavier Bertrand est abonné. Villepin s’invite partout, crée un parti et se voit en candidat surprise.
Il n’est pas impossible que M. Bayrou pense son jour de gloire arrivé.
Il suffit que trois d’entre eux se mettent sur les rangs au premier tour pour que le second tour nous offre le choix entre RN et LFI. La cata.
Madame Panot dit pour une fois une vérité, c’est-à-dire que Raphaël Glucksmann est un Macron bis.
Bien que cette personne ne soit pas habituellement ma référence politique, loin de là, elle a parfaitement raison, pour moi, c’est une sorte de gendre idéal, poli, moderne et élégant, souriant, aux discours bien tournés, mais aux actions toujours tournées vers la gauche. L’intellectuel à la pensée unique condescendant avec le petit peuple. Comme notre Président.
Un européiste dont l’idée première est de ne pas déplaire à ses électeurs mais surtout à ceux, venus à la fois d’extrême gauche ou d’une droite molle pour un deuxième tour possible. Avec cette mentalité qui nous suit depuis des années, comment voulez-vous que la France avance ou que le macronisme ne soit plus qu’un mauvais souvenir ?
Les grands patrons réunis à Aix-en-Provence sont pessimistes et craignent un effondrement de l’économie pendant les deux dernières années de macronisme, pourtant, c’est bien grâce à eux que ce dernier a été élu et glorifié comme le « Mozart de la Finance ». Ils craignent les divisions du pays, l’effondrement de l’éducation, les problèmes sécuritaires, etc. et redoutent les deux ans à venir. Deux ans, c’est long ! mais en élisant RG en 2027, ce serait immanquablement poursuivre la même politique. Du copier-coller.
Ils disent ne plus avoir confiance dans le personnel politique. Cela ne les rassurera pas, mais moi non plus !
Non seulement je n’ai plus confiance mais je ne vois personne pourvoir relever le défi vu les divisions politiques tous partis confondus. Dès qu’un Michel Barnier, un Bruno Retailleau et autre personne de bonne volonté essaient d’avancer, la belle gauche lui tombe dessus (y compris le Président) comme s’ils étaient les pires fascistes, les pires destructeurs de la planète, les pires soutiens aux plus riches.
Et comme beaucoup, je ne vote plus pour quelqu’un mais contre quelqu’un. Aux dernières législatives, on a vu le PS, le PCF, les Verts, et même le centre mou se retirer pour laisser le candidat LFI gagner. Cet exemple démontre que la gauche reste et restera la même.
Entre-temps, il va y avoir les municipales. Raphaël Glucksmann va nous montrer ce qu’il vaut et qui il soutient. Va-t-il s’allier dans les grandes villes à ceux (PS et écolos) qui ont mis une pagaille absolue côté budget et surtout côté sécurité à Lyon, Nantes, Bordeaux, Dijon ou même Strasbourg pour bloquer des personnalités plus à droite (son obsession même sans parler du RN) ? Ici à Orléans c’est déjà bien parti, le journal local (résurgence de Libé) avec ses petits articles lèche-PS qui n’ont l’air de rien balancent des piques bien ciblées au maire trop à droite pour eux.
La vérité c’est que la gauche bien présentable, propre sur elle, aux beaux discours humanistes et qui serait devenue tout à coup pro-économie, conserve ses vieux réflexes communistes. La seule chose qui ait évolué c’est qu’elle se préoccupe des pauvres s’ils sont immigrés, mais plus du tout des petites gens trop franchouillards. Cela fait plus chic et plus évolué. Comment s’étonner de voir ces Français oubliés se tourner vers le RN ?
Et, pour le prouver, c’est que dans la situation présente cette nouvelle gauche se tait sur les dérives verbales d’un Mélenchon, sur le coût social et les immanquables évolutions civilisationnelles dues à une immigration massive, sur les problèmes de la sécurité au quotidien qui empoisonnent la vie des Français, et j’en passe. Tout cela pour garder ses prérogatives mais surtout parce que c’est aussi son fonds de commerce depuis des décennies.
Raphaël Glucksmann n’est que la continuité de ce qui nous mène doucement mais sûrement vers le vide. Rien de nouveau.
Raphaël Glucksmann n’affrontera pas seulement Mélenchon mais toute sa milice d’élus prêts à tout pour l’enterrer, absolument tout, depuis qu’il les a devancés aux Européennes. Je ne le sens pas de force pour ce véritable combat de chiens.
Et pour Mélenchon, 2027 sera le dernier match avant l’oubli ou le Sénat, donc il ne reculera devant rien.
Et la palme de l’inspiration est donné à Jérôme | 06 juillet 2025 à 10:00 à qui, pour récompense, j’offre cette chanson d’un duo jadis presque underground de la scène française, duo dont l’un des chanteurs est mort tandis que l’autre l’a renié pour devenir directeur de France Inter et influenceur du « Charlie » de la pire époque, mais là, c’est le mort qui chante :
https://www.youtube.com/watch?v=V4DkqC12yiE&list=PLA57PHVW5bckWq3dm6ldLatCOw37ItQl-&index=21
Désarmer la police municipale, démanteler la vidéosurveillance.
Mais que cherchent exactement J-L Mélenchon et sa bande de décérébré(e)s, si ce n’est créer le chaos dans le pays pour ensuite imposer leur dictature ?
Qui peut voter pour ce parti aux prochaines élections législatives qui permet aux narcotrafiquants de continuer tranquillement à faire leur petit trafic et aux casseurs de détruire tout sur leur passage lors des manifestations ?
Vu les propos séditieux de ces élus de la République, il est temps de penser à la dissolution de LFI… mais je suppose que le Conseil constitutionnel va s’y opposer car décision non conforme à la Constitution… Ben voyons !
Glucksmann, le pire !
@ genau
Cher genau, la rascasse grillée je ne dis pas non. Et pour terminer le Pouilly, un petit chèvre sec qui me fera grimper le taux de cholestérol.
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@ Julien WEINZAEPFLEN
Cher Julien, tout comme vous j’ai conchié à partir, de mémoire, 1996, Philippe Val et sa lâcheté affichée dans une « tribune » ou il affirmait peu connaître Patrick Font, ne pas bien connaître l’école « oblique » du col des Aravis, tout ça pour se prémunir d’une complicité artistique que quelques crétins aurait pu lui reprocher du jour où Patrick Font s’est fait accuser, puis condamner pour pédophilie.
C’était minable. Les ayant vus plus d’une dizaine de fois, la grossièreté de son reniement sonnait pour moi comme une évidence.
Je ne lui en aurais pas voulu de lui dire qu’il rompait son amitié car à ses yeux ses actes étaient impardonnables, mais là, le couard carriériste a révélé sa nature.
Au fond, Julien WEINZAEPFLEN | 06 juillet 2025 à 07:24, genau | 06 juillet 2025 à 15:58 et surtout Michelle D-LEROY | 06 juillet 2025 à 19:37 (que j’ai retrouvée avec le plus grand plaisir et que je me permets de saluer ici) me semblent avoir exprimé l’essentiel.
Le parcours en France depuis quelques années de monsieur Glucksmann reste une image fictive créée par nos médias à la solde de l’étranger et surtout étrangers à l’intérêt général de notre pays et de notre Peuple.
Comme monsieur Macron, Young Leader de la promotion 2012, n’est que le représentant des intérêts des fonds américains comme BlackRock et autres entreprises de type McKinsey et consorts (tout autant que madame von der Leyen représente par son mari les intérêts de Big Pharma), monsieur Glucksmann représente d’autres intérêts. Il s’est dit que son aventure en Géorgie comme conseiller spécial de 2009 à 2012 du président Saakachvili était liée aux actions de la CIA. Marié à une femme politique géorgienne, après la chute du président géorgien, il s’est réfugié en Ukraine avec elle où ils se sont mêlés au mouvement Euromaïdan, sous l’influence connue de la CIA.
Il est également intéressant de citer la notice Wikipédia de ce personnage :
« Après un passage du côté de la droite à Alternative libérale en 2007 avec une position atlantiste, il s’oriente vers le centre gauche de tendance libérale et la social-démocratie europhile, puis lance en 2018 le mouvement politique Place publique, destiné à rassembler la gauche proeuropéenne. »
Si l’on ajoute les références idéologiques de ses documentaires, notamment sur le Rwanda, ou, dans sa jeunesse, son stage de sept mois dans la presse algérienne, l’on voit que monsieur Glucksmann est dans la même veine idéologique que monsieur Macron.
Comme l’exprime Michelle D-LEROY citant Mathilde Panot, monsieur Glucksmann au pouvoir serait un Macron bis, dans la filiation atlantiste démocrate états-unienne.
Ce n’est pas cela qui serait en mesure de redresser la France !
@ Michelle D-LEROY 19h37
« Raphaël Glucksmann n’est que la continuité de ce qui nous mène doucement mais sûrement vers le vide. Rien de nouveau. »
Et rien à ajouter à cette triste assertion.
R. Glucksmann : la gauche Saint-Germain-des-Prés qui s’imagine rive droite !!
Glucksman : encore un triste sire qui a voulu faire son buzz électoral en allant tortiller du popotin en Hongrie avec les LGBT pour défier Orban, ce méchant fasciste raciste homophobe d’extrême droite xénophobe islamophobe etcétérophobe.
Il va quand même devoir batailler ferme contre d’autres guignols tous aussi pathétiques prétendant à la couronne :
Édouard Philippe le pétochard qui s’est mis à genoux devant la ZAD de NDDL et actuel maire de la ZAD narco du Havre.
Attal qui a été touché par la grâce divine. Son programme : « Proposer un chemin aux Français ». Fallait y penser ! Et comme dirait Audiard : « Quand on est… on est… ! » Y a escadrille chez ces péloquins.
Et bien entendu toute la lie de la fange habituelle de gauche PS PCF EELV et les nazislamistes des LFI HamaSS qui refusent de voir les réalités terribles qui se déroulent sur notre sol et préfèrent lutter contre un danger fantasmé bien moins risqué : le RN. Un énième procès est en cours sur des malversations qui tombent à pic pour lui barrer la route 2027.
BEN VOYONS !
J’irai vomir dans vos urnes !
« s’il y a bien quelqu’un que j’estime à gauche » avez-vous écrit. Vu le pedigree de RG vous avez fait ma journée. Je continue à rire…
« Jean-Luc Mélenchon n’en ferait qu’une bouchée…
Il n’empêche que dans un univers politique qui me permet l’objectivité de la distance, je salue, par avance, la victime de qualité que sera RG face au bourreau Mélenchon. » (PB)
Bien sûr !
RG n’est que de la pâte de guimauve politique, un ersatz de son père André !
Où est la qualité ?
« Il n’empêche que dans un univers politique qui me permet l’objectivité de la distance, je salue, par avance, la victime de qualité que sera Raphaël Glucksmann face au bourreau Mélenchon. » (PB)
Philippe Bilger nous conte ici une fable du genre « bad cop, good cop », avec d’un côté le méchant Mélenchon et de l’autre le bon socialo-gauchiste Glucksmann, qui est cependant supposé capable d’avoir approuvé ou éventuellement voté les lois les plus abjectes que la gauche ait pu promulguer pour plonger la France et les Français dans la décrépitude.
Bonnet rouge et rouge bonnet.
@ Achille | 07 juillet 2025 à 07:21
« Ben voyons ! »
Houla Achille vous vous zemmourisez ??
@ sylvain | 08 juillet 2025 à 09:12
« Houla Achille vous vous zemmourisez ?? »
Ça m’arrive de temps en temps quand je suis énervé, mais après ça passe !
J’imagine que l’estime accordée par Philippe Bilger à Raphaël Glucksmann s’adresse à sa personnalité plus qu’à sa qualité d’éventuel futur président de la République. Toutefois, comme RG « caresse de plus en plus l’idée de se présenter en 2027″, la question se pose.
Je ne suis pas une adepte des jeux vidéo, mais les jeunes de mon entourage me tiennent au courant du vocabulaire et des concepts que ces jeux introduisent dans la langue courante ; dont l’expression « quête secondaire » (« side quest » en anglais). Définition du Cambridge Dictionary : « Une partie de jeu vidéo qui a sa propre finalité et sa propre histoire, mais qui ne fait pas partie du jeu principal ». (« A part of a computer game that has its own aim and story but is not part of the main game ». https://dictionary.cambridge.org/us/dictionary/english/side-quest)
Concernant l’élection présidentielle de 2027
– Quête principale : trouver un candidat qui réponde au profil.
– Quête secondaire : trouver un candidat qui puisse susciter de l’estime.
Mes conclusions personnelles :
– Mélenchon ne répond ni à ma quête principale ni à ma quête secondaire.
– J’aurais du mal à trouver quelqu’un pour ma quête principale qui ne réponde pas aux critères de ma quête secondaire.
– Ce n’est pas parce que certains candidats pourraient correspondre à ma quête secondaire qu’ils ont une chance de figurer dans la liste des possibles pour ma quête principale.
– J’en mettrais beaucoup d’autres avant RG pour ma quête secondaire.
– Le simple fait que Mélenchon puisse ne faire qu’une bouchée de RG – si c’est le cas – le disqualifie pour la course.