Je ne parviens pas à croire que ce soit pour « écrire un livre » avec David Amiel, « Le progrès ne tombe pas du ciel », qu’Ismaël Emelien, conseiller spécial du président de la République, a quitté l’Elysée.
Mais plutôt, même s’il s’en défend, à cause de l’affaire Benalla. Son implication le plaçait dans une situation gênante et dans un malaise certain si on en juge par les déclarations maladroites et guère plausibles, sur les vidéos qu’il a postées anonymement sur Twitter pour dédouaner Alexandre Benalla ; l’une a été obtenue frauduleusement auprès de la préfecture de police et concernait bien le 1er mai et l’agression incriminée, l’autre était mensongère (C à vous).
Quelle dégringolade depuis la victoire de 2017 et l’arrivée de l’équipe exceptionnelle servant le président de la République à l’Elysée, avec en particulier l’irréprochable Sylvain Fort et Ismaël Emelien sur lequel on ne tarissait pas d’éloges et qui à l’évidence les méritait. Jeune, moderne, connecté, inventif, intuitif, secret, imprévisible, le conseiller spécial d’Emmanuel Macron fascinait. Le président de la République avait rassemblé autour de lui « les Mormons », comme on les surnommait, et leur silence constant ajouté à leur puissance de travail faisait l’admiration de beaucoup. On était enfin sorti de la présidence verbeuse et profuse de François Hollande.
Durant la première année, le président a agi et fait voter deux lois importantes et tout semblait aller pour le mieux à l’intérieur de l’Elysée.
Puis Benalla, les multiples péripéties de cette affaire, la révélation, derrière le professionnalisme apparent, d’un amateurisme total et de transgressions troubles. Puis la commission sénatoriale et le bureau du Sénat saisissant le parquet de Paris comme il le devait. Ce dernier appréciera.
Les Gilets jaunes depuis le mois de novembre.
Pour Ismaël Emelien, cela a été, d’abord, le Capitole.
Et, enfin, ce livre qui n’est pas la roche Tarpéienne.
Parce que l’ouvrage que j’ai lu en trois heures n’est pas médiocre ni déshonorant.
Son style est limpide et clair.
Je n’éprouve pas la joie mauvaise de certains face à cet ouvrage, comme s’il était forcément inférieur à ce qu’on aurait été en droit d’attendre de cet esprit et de cette liberté tant vantés : ceux d’Ismaël Emelien.
Il n’empêche que le constat de notre société, dans ses forces et ses faiblesses, ses limites et ses blocages, tel que les deux auteurs l’exposent, est pertinent et intéressant même si les banalités presque obligatoires de l’analyse peuvent nous conduire à sous-estimer cette partie initiale du livre.
Pour sa part créative, la maximisation des possibles (à distinguer de l’égalité des chances), l’exigence du collectif et la nécessité de commencer par le bas constituent des orientations stimulantes mais qui, elles aussi, ne sont pas à ce point bouleversantes de nouveauté qu’elles justifient par principe une compréhension admirative. Rien n’est dénué d’intelligence ni de lucidité mais l’avenir n’est pas dégagé pour autant.
Ce qui gêne dans leurs pages est la volonté de théoriser le progressisme, autrement dit, pour eux, de définir avec précision le socle du macronisme qui demeurerait pur et intact malgré toutes les traverses qui l’ont dégradé.
Alors que d’une part il ne me semble pas que le progressisme puisse être un projet, encore moins un programme mais qu’il représente un élan, une perspective, une lumière, une forme susceptibles d’irriguer le fond de n’importe quelle politique dans sa substance – même celle, parfois et sur tel ou tel sujet, de ces populistes honnis par les rédacteurs.
Et que, d’autre part, puisque le livre cherche à louer les deux premières années du mandat présidentiel, il tombe tristement à plat au regard de ce qui se déroule dans notre pays et du peu d’impact du progressisme théorique dans la quotidienneté de tous. Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Enfin, Emelien et Amiel abusent de la facilité, qu’ils ne parviennent pas toujours à valider sur les plans intellectuel et politique, d’un milieu prétendu juste, par exemple entre populistes d’extrême droite et d’extrême gauche. Ils s’abandonnent à un centrisme traditionnel qu’ils ont du mal à faire passer pour nouveau et décapant.
Du Capitole au livre, une chute évidente mais ne jurons de rien : une remontée est possible.
« Mon départ correspond à une nouvelle étape de mon engagement. Après Bercy, la campagne présidentielle puis l’Élysée, je veux retrouver la confrontation en première ligne. »
…déclarait le « couteau suisse de la macronie » (Kohler), Ismaël Emelien pour expliquer son départ…
Mais pourquoi donc ces « têtes d’œufs » n’affrontent-ils pas le suffrage universel ?
Ils verraient, en arpentant la Creuse ou tout autre département sinistré, le champ de ruines qu’est la France aujourd’hui, ce bouillon de culture duquel a émergé le gilet jaune…
Mais non, ces petits marquis nous pondent du haut de leur trentaine pucelière des thèses sur le progressisme dont nous n’avons rien à faire, sauf à passer sur BFM ou chez Bourdin à tenter de nous expliquer leur « vision progressiste » avec cette fausse humilité qui est la forme suprême de l’orgueil.
Au travail, messieurs, quelques mois en usine, dans un cabinet d’avocats à arpenter les tribunaux d’instance, dans une ferme du Cantal à humer le cul des vaches, les pieds dans la glaise, à servir la becquée aux vieillards baveux des maisons de retraite, à pousser les brancards aux urgences, à faire des filatures nocturnes aux Tarterêts avec la BRI, à enseigner le calcul mental dans une ZEP de Bobigny…
Et cessez de nous faire suer avec votre progressisme, fourre-tout misérable de votre puérilité citoyenne.
Je suis, sur le coup, très Giuseppien !
Un livre qui n’est pas capital.
Michel Crozier avait écrit en 1970 un livre qui avait eu quelque retentissement : « La Société bloquée ». On serait tenté de croire que rien n’a changé en un demi-siècle. Dans leur manifeste, David Amiel et Ismaël Emelien nous décrivent une société marquée par l’immobilité sociale, géographique, économique où le rentier est roi. Le rentier, voilà l’ennemi avec le monopole (ce qui donne lieu au passage à une charge contre les banques digne des meilleurs populistes…), frein à la diffusion de l’innovation principal moteur du développement économique.
C’est par rapport à cet immobilisme que se définit le progressisme, autre manière de désigner le macronisme, à mi-chemin entre les populistes et les conservateurs : « Nous, progressistes, sommes beaucoup plus pragmatiques que les populistes : nous ne pensons pas qu’il soit souhaitable de changer de société, et nous sommes beaucoup plus idéalistes que les conservateurs : car nous croyons qu’il est en revanche possible et même indispensable de changer la société. ».
Je partage au total votre appréciation, un livre honnête mais qui ne marquera pas l’histoire de la littérature politique.
Il en va tout autrement du livre de Jérôme Fourquet, « L’Archipel français » qui apporte un éclairage nouveau et extraordinairement documenté sur les fractures économiques, sociales, géographiques et politiques de notre pays. Je ne saurai trop recommander sa lecture (dès lors que l’on n’est pas allergiques aux chiffres).
J’espère qu’un prochain billet nous donnera l’occasion d’en débattre.
Manu en Bretagne dit, à propos des retraites des classes moyennes, « les plus aisés savent s’organiser ».
Pas faux.
J’ai lu le montant du parachute doré de Tom Enders, le président exécutif de l’avionneur Airbus qui fait valoir ses droits à la retraite avec un « package » de 36 millions d’euros,
et celui de Carlos Ghosn à 765 000 euros de retraite par an à vie.
Il va falloir beaucoup, beaucoup de start-up du nouveau monde rien que pour financer les retraites de ces deux-là.
Coup de chance pour eux, ils vont percevoir leur retraite AVANT la mise en place de la retraite à points… variables.
Ça c’est ce qu’on appelle dans le monde de l’entreprise, des visionnaires 😀
On a toujours su que c’était une bande d’illusionnistes et d’amateurs. La supercherie, comme toute supercherie, n’aurait duré qu’un temps avant qu’on la découvre.
La prochaine étape, la nouvelle porte-parole du gouvernement, un grand cirque se prépare.
C’est nouveau, ça vient de sortir, c’est le truc qui marche, je me prends un ramponneau* dans la tronche et derechef j’écris un livre, comme un chien ensevelit sa crotte.
Un nouvel Attali est né, il va nous expliquer pendant les trente prochaines années que la terre est carrée.
* « ramponneau, coup de poing, bourrade ; ramponneau, marteau de tapissier : ramponneau, jouet représentant un personnage sur une base semi-sphérique qui se redresse quand on l’a frappé »
@ sbriglia | 03 avril 2019 à 14:51
Bien d’accord avec vous. Rien ne vaut une immersion dans la vraie vie pour se guérir de ces diplômes qui vous donnent la grosse tête, autrement dit l’impression de tout savoir sans avoir vécu, vous rendre plus humble et vous remettre les idées en place !
@ sbriglia | 03 avril 2019 à 14:51
Rien à ajouter après ce « coup du chapeau »
qui « allume le feu »
https://www.youtube.com/watch?v=s3O1Xro7oAI
😉
« La révélation de transgressions troubles. »
A ce sujet, je relève l’amusante sortie du Premier ministre, selon laquelle les critiques à l’égard de la nomination de la nouvelle porte-parole du gouvernement relèveraient du « boulechitte ». C’est tout à fait raccord avec les déclarations de l’intéressée indiquant que « la moeuf est dead ».
« Bololo » était mieux trouvé, il me semble.
Sinon, gageons qu’autant certains ont reproché ses frais de cireur de pompes à tel conseiller de François Hollande, personne n’ira ironiser sur les frais de coiffeur de Sibeth Ndiaye. Ce serait, ce serait… « raciste », voilà, merci.
Coiffure à géométrie variable, pourtant.
Ce qui ne varie pas, c’est le côté pétard des tenues, tout à fait assorti à la jactance.
« Le progrès ne tombe pas du ciel », Ismaël Emelien, publié aux éditions ???
Si M. Ghinsberg me donne la première phrase et la dernière, je pourrai alors exercer mon métier de critique littéraire qui n’a aucunement besoin de lire pour critiquer, ce qui est rare et précieux…
@ sbriglia 3 avril 14h52
Bien dit, cher sbriglia !
Pourquoi tant de haine ? Macron a déjà suscité tellement de réactions virulentes, tellement transgressé le vocabulaire de la France, tellement empuanti ses discours de ces saletés américaines qui font chic et branché sans être claires, sa nouvelle ministre a rajouté les mots du ruisseau ou de la sortie d’école, qu’on ne voit pas comment un livre de ses collaborateurs les plus policés pourrait apporter quelque chose. Mais je n’ai pas lu, pardon.
Donc, l’ennui ne me vient pas, puisque je n’ai pas tout lu.
Or, c’est tout de même étrange, je viens de finir pour la ixième fois un George Steiner et j’y trouve toujours un enseignement que je n’avais pas intégré.
Les rayons sont pleins de ces pseudo-livres où des étoiles filantes racontent comment elles sont passées près du soleil, de vieux météores flatulent les expériences qu’ils n’ont pas pu commettre parce que le monde entier était contre eux, qui avaient tout compris, comme Louis XIV pensait avoir trop aimé la guerre. Un peu tard, mais le trou qu’il avait dans l’organisme lui faisait ressouvenir que le c.l et le cuir ne font pas toujours bon ménage.
@ duvent
Première phrase : « Décider d’écrire ce livre n’avait rien d’une évidence. »
Dernière phrase : « La vôtre ? »
Bon courage !
En ajoutant au billet de Philippe le commentaire de sbriglia, la conclusion est claire : ne pas perdre son temps à lire le bouquin en question et attendre le prochain billet de Philippe.
Économisez 18€. Ce livre ne sert à rien. Des analyses lucides il y en a plein les journaux. La seule question qui vaille aujourd’hui est celle de la mondialisation dont on sait à qui elle profitera. EM est là pour vendre ce produit. Lorsque on comprend ça on comprend ses non décisions, sa diarrhée verbale, son positionnement ubuesque.
Voilà un livre que je ne lirai sans doute pas.
Il me semble qu’on n’a pas attendu ces jeunes prétentieux, aussi intelligents soient-ils, pour avancer et progresser. Le XXe siècle a tout de même été un siècle qui, techniquement, scientifiquement et socialement a avancé comme rarement auparavant, bien avant la macronie.
Par contre, depuis quelques années, la France marche à plusieurs vitesses et, sbriglia a raison lorsqu’il écrit :
« Ils verraient, en arpentant la Creuse ou tout autre département sinistré, le champ de ruines qu’est la France aujourd’hui, ce bouillon de culture duquel a émergé le gilet jaune… »
Mais semble-t-il c’est un sujet qui n’intéresse pas les clones qui entourent le Président. Pour eux le progressisme c’est l’ouverture au monde sans se préoccuper si, dans leur propre pays beaucoup sont à la remorque.
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@ breizmabro
Manu en Bretagne dit, à propos des retraites des classes moyennes, « les plus aisés savent s’organiser ».
J’espère qu’il a une idée pour définir à partir de quel seuil on est aisé. Les situations sont si diverses, entre ceux qui ont des retraites très confortables en couple, d’autres qui sont seuls et toujours locataires, ceux qui ont de l’argent de famille et d’autres pas, ceux qui ont très bien vendu leur fonds de commerce ou leur ferme, etc. etc.
Tout baser sur le montant des retraites n’est pas très malin pour un garçon aussi perspicace.
Les Mormons ? Nous avions compris que les macroniens s’étaient organisés comme une secte autour de son Dieu Jupiter, ce surnom résume bien la situation, une situation qui tend visiblement à se déliter avec ces nombreux départs.
Je crois que Philippe Bilger devrait rajouter deux ou trois chapitres à son dernier livre intitulé « Moi, Emmanuel Macron, je me dis que… », ainsi que l’a fait dernièrement François Hollande pour son livre « Les leçons du pouvoir » car tout semble indiquer qu’il a beaucoup de choses à rajouter concernant notre jeune président.
Difficile, il est vrai, de se mettre dans la peau d’une personnalité à la pensée complexe, c’est sûr ! 🙂
@ sbriglia
Je ne retirerai pas une lettre, que dis-je, pas un souffle de ce que vous avez écrit, il fallait une fine lame ou un grand butteur, ainsi le « progressiste » de satin s’est dégonflé comme une baudruche, un ballon donc.
« Et cessez de nous faire suer avec votre progressisme, fourre-tout misérable de votre puérilité citoyenne. »
Eh oui ils en sont là… Ecuyers de pacotille : « d…errière le professionnalisme apparent, d’un amateurisme total… » (PB)
Une relation de travail pour des cas délicats d’expertise, jeune avocate talentueuse, me parlait parfois de son quotidien.
Elle lisait, comme moi qui ne suis pas juriste, la rubrique « Coups de barre » du Palmipède, toujours instructif de la vie des autres.
La misère crue du quotidien des gens, la vie de tous les jours… Ces « crânes d’œufs » n’en soupçonnent même pas l’existence.
Je pense aussi à cette jeune huissier, arpentant en ma compagnie un ensemble d’habitations avant gros travaux, encore occupé… A la fin, n’ayant pas d’eau potable à portée, je lui ai offert un peu d’eau de lavande qui me suivait toujours dans ma boîte à gants, pour se laver les mains.
Aucun étonnement de sa part, sa carapace était faite.
Elles étaient jeunes mais à leur attitude tous ces apprentissages en faisaient de rudes professionnelles. La vie, quoi !
« La maximisation des possibles », quézaco ? me souffle mon voisin .
Si c’est avec ça que ces cuistots d’opérette comptent mettre du beurre dans les épinards de certains, ils vont pouvoir fournir la recette qui va avec ; avant qu’une partie ne meure de faim, en essayant de goûter à « la maximisation des possibles ».
Maximisation des possibles ?… J’en parlerai à la fleuriste, c’est qui ou quoi docteur ?
Rien que le fait de le prononcer, j’entends le bruit d’une mâchoire lutter avec un chewing-gum. Maximisation des possibles… Ça existe ?
Je n’irai pas plus loin, ressemelage en règle dans un regroupement pour ces enfants de cour d’école pas tout à fait finis, ce qui leur ferait le plus grand bien, un ruck bien appuyé, la sensation de toucher le vrai.
Et dire qu’il leur reste tout un champ à labourer… C’est pas gagné me dit mon voisin.
https://www.valeursactuelles.com/politique/ce-que-ismael-emilien-et-david-amiel-nous-disent-du-macronisme-105470
J’ai été un peu long, et pour cause, je réfléchissais à un plan de table avec quelques-unes et uns de ce blog, comme pour la politique, très délicat, alors je continue à y penser en attendant.
« Giuseppien » c’est très Romain, un peu comme le fond du livre « Sagesse », je l’accepterai ainsi, mais sans doute trop élevé pour moi.
« Jeune, moderne, connecté, inventif, intuitif, secret, imprévisible, le conseiller spécial d’Emmanuel Macron fascinait. »
N’en déplaise au centriste M. Bilger, moderne n’est pas une qualité mais un qualificatif.
Ensuite, quelqu’un qui est inventif, intuitif, imprévisible et secret, il vaut mieux s’en méfier parce que tout ça se résume en un mot: dangereux.
Inventif et intuitif ça va mais en plus imprévisible et secret, ça devient flippant.
En tout cas, il n’y pas de quoi se pâmer d’admiration pour ce genre de personne et il vaut mieux les fuir parce que ça veut dire aussi manipulateur, escroc, arriviste… Pire qu’un alcoolo qui est la plupart du temps prévisible et pas secret, sauf ceux qui n’assument pas évidemment. Mais de toutes façons, ça se voit quand même et il n’y a qu’eux qui croient que personne ne le voit, mais c’est un autre sujet.
Bref, mieux vaut un alcoolo qu’un « inventif, intuitif, imprévisible et secret ». Je vous aurai prévenu.
« Il ne me semble pas que le progressisme puisse être un projet, encore moins un programme mais qu’il représente un élan, une perspective, une lumière, une forme susceptibles d’irriguer le fond de n’importe quelle politique dans sa substance – même celle, parfois et sur tel ou tel sujet, de ces populistes honnis par les rédacteurs. »
Absolument. Le problème est que tout le monde veut du progrès mais que personne n’en a la même définition. C’est un concept tout à fait relatif et donc qui n’a aucun intérêt pour le bien commun donc mieux vaut se passer du « progrès ».
C’est donc d’autant plus comique d’entendre à longueur de temps tous les médiacrates bobos parisiens sauter comme des cabris: « LE PROGRES ! LE PROGRES ! LE PROGRES ! » comme ils le font sur l’Europe alors qu’aucun d’entre eux n’en a la même définition en dehors de « nous sommes les gentils et ceux qui ne pensent pas comme nous qui ne savons pas vraiment ce qu’on pense sont les méchants ». C’est ça le « progrès », c’est en fait le fascisme.
Tous les « fascistes » de l’histoire de l’humanité ont eu le mot progrès à la bouche à toutes les phrases.
Avec la vidéo en entier, ce serait plus simple, afin que les individus sachent au moins de quoi vous parlez, son Honorable Honoraire, sans se contenter d’extraits retirés du contexte et pouvant être extrapolés pour faire dire tout et n’importe quoi.
Les 30 minutes d’entretien, que dis-je, de blabla communicationnel des deux loustics.
C à vous – première partie – jeudi 28 mars 2019.
https://www.youtube.com/watch?v=5sa5roPo554
Les deux individus ne disent strictement rien, c’est un propos insipide, vide de sens, creux, avec des lieux communs : le feu ça brûle, l’eau ça mouille.
Puis ils tentent d’utiliser des techniques minables de rhétorique communicationnelle :
– « Les Gilets jaunes sont d’accord avec nous, ils revendiquent ce que nous disions. »
Grosso modo, deux types violent une femme, elle hurle « non », ils sont attrapés par la police et la Justice et ils balancent :
« Mais nous disions la même chose qu’elle : non ; elle était donc d’accord avec nous. »
Je serais assez enclin à rejoindre l’agacement de Savonarole concernant ces conseillers, secrétaires d’Etat, ministres qui, dès qu’ils sont remerciés, se croient obligés d’écrire un livre pour justifier leurs actions heureuses et malheureuses lorsqu’ils étaient « aux responsabilités », en profitant au passage pour tacler leur patron qui, selon eux, ne les a pas écoutés, voire n’a rien compris.
Je doute que le livre d’Ismaël Emelien « Le progrès ne tombe pas du ciel » connaisse un franc succès, quand bien même serait-il très bien écrit et aborderait-il un sujet plus que jamais d’actualité : le progressisme.
Et pourtant les réacs, arc-boutés sur leur vécu, leur expérience, devront bien se faire à cette évidence, le monde change a une vitesse fulgurante. Aujourd’hui nous ne travaillons plus comme il y a 20 ou 30 ans.
En vingt ans le numérique (Internet, les smartphones, les appareils connectés et leurs corollaires, les réseaux sociaux, les chaînes d’info continue, les applis diverses et variées) ont complètement chamboulé notre vie de tous les jours, à commencer par notre rapport avec notre entourage que ce soit dans le domaine professionnel et privé.
Ces nouveaux outils laissent de moins en moins de place à la réflexion personnelle. Celle-ci est substituée par des applis sophistiquées qui analysent les données à la vitesse de la lumière ne laissant à l’utilisateur qu’un choix souvent restreint et dirigé qui ne saurait être assimilé à une décision personnelle.
La vraie révolution du XXIe siècle est d’abord technologique. Notre mode de penser s’en ressent, le temps de la réflexion, si précieux quand il s’agit de prendre une grande décision, s’est effacé. Les logiciels de simulation sont là pour analyser la situation à notre place en puisant dans ses banques de données censées recouvrir tous les cas possibles.
Ecrire un livre pour le souligner peut être utile, mais le mieux est encore d’adapter sa façon de vivre à la nouvelle problématique. Bref être progressiste si ce n’est par conviction au moins par nécessité.
A toutes les élections, j’ai voté RPR, puis UMP, puis LR. Tout me convient dans ce mouvement politique : son président, Laurent Wauquiez, ses porte-parole, sa liste aux européennes. François-Xavier Bellamy est une bonne idée. Mais il ne me déplaît pas que Nadine Morano et Brice Hortefeux soient en bonne place sur la liste. La première a été très injustement calomniée. Le second, contrairement à d’autres, sait quel est son devoir et sa famille politique. J’ai de l’estime pour lui.
Je n’ai jamais été macroniste un seul instant. Quant à Le Pen fille, quelle calamité ! Elle, ses lieutenants et ses élus.
Le conseiller de M. Macron est passé partout pour faire la promo de son livre. Je l’ai entendu parler et je n’ai pas envie de le lire.
« …du Capitole à un livre ! »
Peut-être l’auteur a-t-il justement voulu, par ce livre, éviter la roche Tarpéienne, perspective à laquelle sa si grande proximité avec « Jupiter » l’exposait.
La maximisation du possible, un cas d’école qui tourne mal.
AFP, publié le jeudi 04 avril 2019 à 02h01
« Le constructeur automobile Renault a chargé mercredi son ancien patron Carlos Ghosn, inculpé au Japon pour abus de confiance, révélant de nouvelles transactions suspectes pour plusieurs millions d’euros et poursuivant des efforts de transparence pour rétablir la confiance. »
Ils sont arrivés, jeunes pousses élevées sur les gravats des illusions perdues d’une Europe à la dérive, prônant la bienveillance des espoirs déjà envolés, rêvant du possible que les institutions vermoulues laissait envisager, et n’ont pas su retourner le ressentiment fondamental, pierre angulaire inversée et jalouse qui structure les ressorts du pays.
Les vaillants alors n’ont d’autre solution que l’invitation mondaine au festin des destructions, incapables eux aussi de renoncer à leur intempérance, et agrégeant alors leur sens du travail bien fait à la dissolution qu’exige l’esprit de division.
S’il n’en reste pas un qui ne cède, et si tous se soumettent, la cité sera détruite, et nous pourrons alors déguster les mets fins devant la plus belle vue du monde, se délectant que l’enfant qui eut le malheur de se prendre pour un prince ne soit pas sur la liste des invitations, avant que le feu du ciel ne change cette docte assemblée en la statue de sel des écritures, œuvre du mensonge, désir de France renié dansant autour du bûcher où brûlent ses descendants trop brillants pour sa haineuse vacuité.
Déclaration de Vincent Crase à propos des porte-manteaux qui gèrent nos vies.
Terrible et effrayante déclaration à l’encontre de gamins qui nous gouvernent depuis leur bac à sable ou leur cybercafé.
Ils sont « bidon » comme l’avait chanté Alain Souchon.
Comme si la touche du clavier allait arroser le jardin et retourner la terre.
Des pieds nickelés, pour écrire de la BD insipide qui déroule le plus grand tas de cuistrerie et de lieux communs au kilomètre : ça pour écrire ils écrivent, mais pour prendre le soc et le manche, là que du vent.
D’ailleurs savent-ils ce qu’est un soc ? Pour eux sans doute ce doit être de la famille des spams.
Notre destin entre les mains de ces oiseaux de passage, on croit rêver, la nullité qui se fait croire conseil, quelques lignes minuscules sans talent et puis s’envolent.
Des cerveaux tristes au secours d’un pays qui a tant besoin de courage et d’abnégation, de gratteurs, de laborieux, de vision.
Le magasinier du coin qui tape sur son écran le nombre de vis qu’il vous faut. Misère ! Et plutôt décourageant.
« Les enfants gâtés de LREM.
Embauché pour assurer la sécurité du parti présidentiel, Vincent Crase parle également dans son livre des « enfants gâtés de LREM qui pensent qu’on peut changer la vie avec un clavier ». « La déconnexion de la présidence reflète la déconnexion du parti. Ces jeunes hors-sol n’ont aucun intérêt pour le terrain », tranche-t-il. »
Les nouvelles que la presse française tente de cacher sur ordre :
« Un médecin militaire mort au Mali (Ouest-France). »
Circulez il n’y a rien à voir !
« Le capitaine Marc Laycuras, 30 ans, médecin au 2° RIMa, au Mali depuis le 2 mars 2019, a été tué le 2 avril 2019 en opération. »
La France quoi qu’on en dise n’est plus le gendarme de l’Afrique (les troupes de l’ONU sont chargées de cela), mais poursuit insidieusement les guerres coloniales qu’elle avait perdues.
Pinocchio aura-t-il le temps de faire les honneurs nationaux à ce capitaine, au risque d’interrompre son grand débat de bêtas qui ne sert qu’à le mettre en scène ?
La Macronie espèce nouvelle de menteurs, tordus, escrocs avec pour chef Pinocchio, tente de cacher toutes ses erreurs et monstruosités. La presse est sous scellés et son honneur aussi, simplement pour satisfaire les folies de ce régime ; on emprunte en se disant que l’inflation, que l’on attend comme la venue du Messie, régularisera toute cette débauche financière et qu’avec le temps les crétins votants ne se souviendront plus de rien, ni qui ils sont !
Pinocchio c’est Caligula ressuscité (ouste du balai, au trou avec Benalla) !
@ Gavroche | 04 avril 2019 à 11:32
Ici c’est un blog. La règle du jeu consiste à donner son avis sur le billet en cours et pas à faire sa petite revue de presse personnelle.
« Le progrès ne tombe pas du ciel »
Le talent non plus cher P. Bilger !
Au-delà de la novlangue de communicants qu’ils sont, les « jeunots » macroniens montrent dans cet essai leurs limites intellectuelles.
Sur le fond, une brassée de lieux communs, enrobée de quelques rares jolies phrases comme vous les aimez et qui vous font oublier la vacuité de leur pensée.
Du banal, cent fois ressassé par des « experts » en culottes courtes !
Les « Marie-Louise » de Strauss-Kahn sont aussi médiocres les uns que les autres. Et pourtant que ne disait-on pas sur leur intellect, leur puissance de travail. Les compétences les plus diverses leur étaient attribuées. Ayant vu quelques-unes de leurs apparitions télé, je constate du médiocre, de l’hésitant, de la langue de bois.
Ces petits marquis ne semblent jamais être sortis du VIIe ou du XVIe. Du hors sol absolu dans toute sa médiocrité !
Arrivent les dernières cartouches strausskahniennes : Sibeth Ndiaye et Cédric O.
Sibeth Ndiaye promet beaucoup. Et devrait nous distraire. Avec de l’inédit : être porte-parole du président et accessoirement du gouvernement ! Une nouveauté sous la Ve République. Avec E. Macron tout arrive.
Issue de la haute bourgeoisie sénégalaise, cette carriériste acharnée et opportuniste doit aux relations socialo-franco-africaines et francs-maçonniennes de ses parents ainsi qu’à la pouponnière socialiste l’UNEF, ce parcours d’étoile filante.
Elle dit vouloir servir l’Etat et la France avec humilité. Cela la changera. Compte tenu de son amour pour la patrie, je me demande ce qui l’empêche de servir son pays le Sénégal : il y a tant à faire pour ceux qui l’aiment.
Mais, comme beaucoup d’enfants des « élites » (sic) africaines, que l’on retrouve placés dans les grandes institutions internationales, elle doit penser comme eux : il fait bien meilleur vivre à New York, Londres ou Paris qu’à Dakar ou Ouagadougou !
Cordialement.
« Et sans lui devoir, comme vous, des chandelles,
C’est nous qui cependant lui restâmes fidèles !
Aux portières du roi votre cheval dansait !…
Au Duc.
De sorte, Monseigneur, qu’à la cantine où c’est
Avec l’âme qu’on mange et de gloire qu’on dîne…
Sa graine d’épinard ne vaut pas ma sardine ! »
(L’Aiglon)
Obligatoire, toutes ces starlettes de pouvoir devraient savoir dès l’entrée au collège ces quelques vers.
Chausser les crampons pour le bien de notre pays, hors-sol a dit Vincent Crase, en fait comme les tomates qui poussent en hiver, sous serre, sans goût, ni odeur, rien que de l’eau aucune pulpe.
@ Achille
« Ces nouveaux outils laissent de moins en moins de place à la réflexion personnelle. »
C’est dommage et c’est déjà effectif car, en lisant les commentaires, en lisant ou écoutant les infos, on voit de plus en plus de réflexion formatée. Du pain bénit pour tous nos politiques qui espèrent ainsi progresser en toute tranquillité. A nous, les uns et les autres, de garder notre libre arbitre en pesant ce qu’on nous assène.
Cela est déjà très visible sur ce blog, il y a ceux qui ne se laissent pas berner facilement et les autres.
J’ai entendu Emelien s’exprimer dans les médias et je m’abstiendrai de dépenser un € pour déguster davantage de truismes…
Plus intéressant, j’ai assisté il y a peu à la présentation par Alain Minc de son dernier opuscule « Voyage au centre du système ».
Il connaît parfaitement deux présidents, l’un en exercice, l’autre entres parenthèses (Sarko). De ce dernier il dit qu’il possède trop d’adrénaline ce qui le rend, par temps calme, incapable de décisions sereines et par temps agité (crise des subprimes en 2008) un maître des horloges achevé.
De Macron qui lui rendit visite lors de sa sortie de l’ENA et de son entrée à l’inspection des finances, il dit qu’il est habité par la fonction et qu’à la question rituellement posée par Minc à chaque impétrant : « que ferez-vous dans trente ans ? », il répondit tout à trac: « président de la République »…
Minc hait les populistes parmi lesquels il place Zemmour et Onfray. Il déteste Salvini dont il dit qu’il échouera dans son projet qui est intenable au plan économique. A aucun moment il ne cite ni ne commente les raisons pour lesquelles le populisme a surgi dans de nombreux pays occidentaux. Il souligne que le capitalisme est tout à la fois porteur d’efficacité et d’inégalités et que puisqu’il y a une inquiétude de plus en plus forte devant la montée de celles-ci, il estime probable un retour du socialisme y compris aux Etats-Unis où un succédané de Sanders pourrait émerger lors de la prochaine élection. Il voit Corbyn prendre le pouvoir et, finalement, à rebours de tout ce que nous pouvons constater aujourd’hui, Minc miserait sans doute un peu d’argent sur des candidats de cette obédience…
Minc reste la caricature tant vilipendée de cette élite arrogante continuant de vanter les délices d’une mondialisation qui ne peut qu’être heureuse et d’une Europe victorieuse des résidus de souveraineté nationale….
Il y a un mois Onfray, dans la même salle, avait attiré 230 personnes dans une salle dont la jauge est à 150. Minc a dû se contenter d’un public clairsemé conscient que son logiciel de pensée datant des années 1980 devrait être mis à jour.
Onfray et Zemmour sont dans l’air du temps au contraire de Minc et Macron qui s’obstinent à ne pas voir l’éléphant dans le couloir: le désir des populations d’être protégées de la mondialisation et de la concurrence intra-communautaire est plus vivace que le désir d’un épanouissement financier des banques.
@ Gavroche 04 avril 2019 à 11:32
Entièrement d’accord, et ça suffit aussi les fake news étatisées façon Ismaël Emalien.
Mais le meilleur reste à venir avec Sibeth (LaREM)…
@ Marc GHINSBERG | 03 avril 2019 à 19:46
« Première phrase : « Décider d’écrire ce livre n’avait rien d’une évidence. »
Dernière phrase : « La vôtre ? »
Bon courage ! »
M. Ghinsberg, ce n’est pas bien de me pousser vers ma pente, mais c’est gentil de participer à mon désir aberrant de devenir « La » critique littéraire hors norme, et pour cette bonne action il vous sera beaucoup pardonné…
Ainsi, il convient de donner l’avertissement utile au lecteur que le hasard aura conduit ici, il a été convenu lors de la réunion avec moi-même que cela était conforme et bon de critiquer un ouvrage dont on ignore tout, sauf le titre donné par M. Bilger, la première phrase et la dernière, communiquées par M. Ghinsberg.
Il a été aussi considéré ces données comme véritables, non tronquées, non manipulées, et bien évidemment non traduites de la langue d’origine, car nous savons tous que le traducteur est un traître.
Ceci étant posé et puisqu’un commentateur a donné subrepticement le prix de cet opus remarquable (18 euros), je dois affirmer que proportionnellement au contenu nous pouvons constater que ce prix n’est pas celui qui aurait dû être pratiqué, le prix réel peut être évalué à un euro tout rond, car un euro tout rond n’est pas le prix d’un petit noir au comptoir, et donc ce livre à un euro est à s’arracher dans toutes les bonnes librairies, depuis Mollat jusqu’à Amazon.
Voyons donc ce qu’il faut admirer dans cette œuvre, dont le titre « Le progrès ne tombe pas du ciel », est sans aucun doute une fumisterie de premier ordre, pourquoi me direz-vous, eh bien pour la raison flagrante que le progrès frappe où il veut, et depuis son lieu habituel de résidence, qui a toujours été estimé « le ciel », et même l’azur, et pourquoi ne pas le dire l’éther ?
Ainsi, il ne nous échappe pas que l’auteur se moque de nous, mais voyons plus avant son but, et interrogeons-nous sur l’emploi du mot « progrès », que vient faire le mot progrès dans ce titre ?
Il faut, bien sûr, rassurer les inquiets, et inquiéter les rassurés, en disant aux deux catégories que ce mot de progrès avant MM. Pasteur, Lavoisier et Newton, n’avait pas d’effet sur le public, inconscient, inconsistant, et totalement étanche aux sciences.
Dès lors, il apparaît évident que le mot « progrès » s’attache à nous indiquer que la personnalité de l’écrivain est beaucoup plus renseignée que celle du lecteur, que l’on appelle dans le jargon des progressistes « un c*n » ! Voilà ! Le mot est lâché, le progressiste se moque éperdument de la volaille, des dindons et de la farce… même connectés !
Pourtant, il est indispensable de relever combien l’intérêt est entretenu par l’auteur, et à quel point le lecteur est happé par l’intrigue, car il n’est pas facile de vendre du vent, et je sais de quoi je parle !
En effet, le vent est instable, et follement capricieux…
Mais je m’égare, revenonausujé, qui est : « Le progrès ne tombe pas du ciel », c’est heureux et vrai ! Ce qui tombe du ciel, ce sont les tuiles, où les Boeing MAX, nous pouvons donc conclure de cet écrivain qu’il est avisé. Il faut donc le prendre au sérieux et le lire attentivement…
Ce que j’ai fait et ce qui m’a donné une migraine colossale.
Celle-ci n’est pas due au contenu puisque je ne l’ai pas lu, ni à la jaquette puisque je ne l’ai pas vue, ni à l’odeur de la colle puisque je ne l’ai pas acheté, il semble qu’elle ait été déclenchée par le nombre de voyelles répétées dans Ismaël Emelien ! Trop, c’est trop…
Mais ici, je dois avouer que l’argument est bas, indigne et qu’il détruit complètement cette critique littéraire de qualité !
Pourtant, on peut comprendre et même manifester de la compassion à mon égard, car quelle raison, perverse et orgueilleuse, peut pousser un écrivain de cette farine, à terminer son opus par : La vôtre ?
Pour qui se prend-il, qu’est-ce qui l’autorise à interroger au moment de prendre congé ? Cela n’est pas convenable. Jamais au grand jamais, on ne doit prendre congé de son lecteur par une question qui ne contient pas de verbe ni de complément d’objet direct. Quelle honte !
Pour conclure : vous pouvez si vous m’en croyez, donner votre monnaie sonnante et trébuchante à la première personne que vous croiserez en lui disant que c’est de la part de Monsieur I.E., elle vous bénira et s’exclamera : les voies du Seigneur sont impénétrables ! Amen !
PS : Vous aurez noté que je n’ai pas commenté la première phrase : « Décider d’écrire ce livre n’avait rien d’une évidence », parce que critiquer cet opus n’a pas été évident, et je n’ai pas peur de dire que ça n’a pas été évident du tout !!
On nous annonce un deuxième opus des ex. Le copain de la vedette, Monsieur Crase. Mais que font donc ces écrivaillons du devoir de réserve qui, aux yeux de tout citoyen normal, devrait s’imposer sans restriction à celui qui accepte un poste de collaborateur du chef de l’Etat ? La loyauté, connais pas !
@ Aliocha | 04 avril 2019 à 10:32
« Le ressentiment fondamental, pierre angulaire inversée et jalouse qui structure les ressorts du pays. »
Pour une fois que vous nous sortez un truc à la fois juste et important, je ne vais pas le rater.
______
@ Gavroche | 04 avril 2019 à 11:32
« Les nouvelles que la presse française tente de cacher sur ordre : ‘Un médecin militaire mort au Mali (Ouest-France).’ Circulez il n’y a rien à voir ! »
Fabuleux exemple de la débilité mentale qui frappe un nombre considérable de nos concitoyens, et des ravages du discours automatique anti-Macron qui semble les protéger de l’effondrement psychique. (Mais c’était le discours anti-Hollande hier, anti-Sarkozy avant-hier, et c’est un autre qui sera diabolisé demain.)
Une nouvelle cachée ? Sur ordre ? Mais comment le camarade Gavroche l’a-t-elle apprise, alors ? Il a des contacts parmi les services secrets ? Et comment l’ai-je apprise moi-même ? Alors que toute la presse française tente de la cacher ?
Eh bien, il l’a lue dans Ouest-France… et il nous le dit lui-même :
« Les nouvelles que la presse française tente de cacher sur ordre : ‘Un médecin militaire mort au Mali (Ouest-France).’ Circulez il n’y a rien à voir ! »
Donc Ouest-France, qui n’est jamais que le plus grand quotidien français et de loin (650 000 exemplaires), c’est quoi ? Un moule à gaufres ? une catachrèse ? un tire-bouchon à décentrement latéral ? un média russe donnant un autre éclairage sur le monde ?
Une recherche dans Google News, qui prend exactement deux secondes, nous apprend qu’en sus d’Ouest-France, les médias suivants ont annoncé cette nouvelle : BFM TV, CNews, LCI, RTL, Europe 1, France Info, France Bleu, Le Monde, Le Parisien, Le Figaro, Libération, 20 Minutes, L’Obs, Le Point, L’Express, France 3, La Croix, le Huffington Post, Mediapart, la Charente Libre, L’Alsace, Sud-Ouest, Actu Orange, Yahoo Actualités, MSN.com, Actu.fr, le compte Twitter d’un certain Emmanuel Macron (dont de mauvaises langues me disent qu’il est président de la République), le compte Twitter du ministère des Armées (l’armée française, pas l’armée russe)… liste très partielle, bien entendu.
Mais ça ne fait rien. Le politiquement correct d’extrême droite comme celui d’extrême gauche veulent que « les médias du système nous cachent des trucs » et que « la presse française mente sur ordre » (de qui ?), c’est ce que répètent aux bulots leurs médias « de réinformation » (vigoureusement secondés par les médias de désinformation du Kremlin), donc « Gavroche » (à la suite de milliers d’autres internautes au QI de moule, et de menteurs délibérés), tient absolument à nous insérer sa crotte, ici, afin de réparer un scandale totalement inexistant.
Dans laquelle il dit, littéralement : voici ce que j’affirme, et d’ailleurs voici la preuve que je mens.
Je retiens de votre billet, Monsieur Bilger, ces deux alinéas de la dernière partie :
[…] »puisque le livre cherche à louer les deux premières années du mandat présidentiel, il tombe tristement à plat au regard de ce qui se déroule dans notre pays et du peu d’impact du progressisme théorique dans la quotidienneté de tous. Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Enfin, Emelien et Amiel abusent de la facilité, qu’ils ne parviennent pas toujours à valider sur les plans intellectuel et politique, d’un milieu prétendu juste, par exemple entre populistes d’extrême droite et d’extrême gauche. Ils s’abandonnent à un centrisme traditionnel qu’ils ont du mal à faire passer pour nouveau et décapant. »
Je pense qu’il s’agit bien moins d’un centrisme, au sens traditionnel, que d’un libertarisme absolu qui inverse tout ce sur quoi est fondée la société française. Et d’une manière générale les nations, notamment européennes qui sont priées de mettre sous le boisseau leur identité pour que disparaisse le concept-même de nation dans une vision purement idéelle de l’Europe de leurs vœux. On comprend alors que même madame Merkel ne suive pas ces théoriciens fumeux dont monsieur Macron est le prototype.
La vision est certes abstraite parce qu’elle n’est aucunement incarnée dans l’Histoire du peuple français (cela fait partie du populisme exécré), encore moins sur ses traditions ou sur l’identité française, gros mot insupportable à cette pseudo-élite.
C’est bien pour cela que ne sont considérées que les métropoles boboïsantes, dont certaines parties de la population sont acquises à cette vision libertaire. Pour elles, la société n’est qu’un assemblage hétéroclite d’individus dont le seul point de mire doit se limiter à leur nombril et à n’être que des consommateurs invétérés des produits que leur soumet le « marché » ; surtout pas des citoyens… Que d’autres crèvent en France n’est pas leur problème : ces gens de peu, voire de rien, sont sans intérêt parce que « losers ».
Je rejoins l’analyse de sbriglia | 03 avril 2019 à 14:51. Il s’agit d’une bande de « premiers de la classe » qui ne connaissent quasiment rien du réel et qui veulent changer le réel au gré de leurs thèses. D’où aussi que leurs références ne soient que des « valeurs » et non pas des « principes fondamentaux » que le Siècle des Lumières a mis en évidence comme fondement de la société. D’où aussi qu’il méconnaissent volontairement les contraintes de la Loi fondamentale qu’ils modifient au gré de leurs lubies : ils sont animés par les mêmes manières de penser que les ex-marxistes-léninistes et autres staliniens.
D’évidence je ne gaspillerai pas mes euros à l’achat de leur « pensum » laborieux et de fort peu d’intérêt.
@ Achille 04/04 07:57
« Le mieux est encore d’adapter sa façon de vivre à la nouvelle problématique. Bref être progressiste si ce n’est par conviction au moins par nécessité ».
Le problème ne réside-t-il pas dans l’inadéquation entre d’une part la rapidité avec laquelle interviennent les bouleversements technologiques et leurs effets induits et d’autre part la capacité de l’Homme à s’adapter à ces changements ?
L’individu est-il apte à anticiper et à s’adapter à un rythme aussi rapide que celui effréné que lui impose l’innovation technologique ?
L’adaptation est-elle aisée lorsque le rythme des innovations génère des difficultés, des inégalités, voire de la décroissance et bouleverse jusqu’à nos mœurs, nos façons de vivre ?
Je ne pense pas que l’individu puisse être progressiste par nécessité. Il ne peut l’être que par volonté.
Et sa volonté doit l’amener à faire le choix d’une politique de maîtrise de l’innovation, afin que celle-ci ne soit pas asservissante, et d’une anticipation des conséquences à tous les niveaux de celle-ci pour se préparer aux bouleversements qui seront inéluctablement engendrés.
@ Robert Marchenoir | 04 avril 2019 à 17:16
« Ouest-France, qui n’est jamais que le plus grand quotidien français et de loin (650 000 exemplaires) »
650 000 exemplaires ne veut pas dire qu’il y ait 650 000 lecteurs des pages politiques de ce quotidien malgré sa diffusion gratuite dans les bars, brasseries et restaurants des départements qu’il dessert.
En réalité Ouest-France est surtout lu pour ses pages « décès » (en toutes régions) qui sont, avec la page « immobilier » (en toutes régions) ce qui lui rapporte le plus, le reste étant subventionné.
« …les médias suivants ont annoncé cette nouvelle : BFM TV, CNews, LCI, RTL, Europe 1, France Info, France Bleu, Le Monde, Le Parisien, Le Figaro, Libération, 20 Minutes, L’Obs, Le Point, L’Express, France 3, La Croix, le Huffington Post, Mediapart, la Charente Libre, L’Alsace, Sud-Ouest, Actu Orange, Yahoo Actualités, MSN.com, Actu.fr, le compte Twitter d’un certain Emmanuel Macron (dont de mauvaises langues me disent qu’il est président de la République), le compte Twitter du ministère des Armées (l’armée française, pas l’armée russe)… liste très partielle, bien entendu »
Ben dites-moi, vous êtes un vrai médiaphile vous 😉
Une telle pub sur la mort du docteur Marc Laycuras mort au Mali pour… (je ne sais plus quoi) fera que, comme pour d’autres, une petite cérémonie en son honneur aura lieu, présidée par Manu off corse, ou alors devra-t-il attendre que le monument dédié aux militaires morts en opérations extérieures prévu depuis 2011 soit construit ?
En même temps Manu a d’autres chats à fouetter puisqu’il a mis fin à ses shows, dont la plupart ont été télévisés, et que du coup il a fait le clap de fin en île de Corse (c’est mieux qu’à Sainte-Hélène).
Maintenant va pouvoir commencer la commercialisation des shows avec, comme il se doit, de larges extraits pour ne rien oublier… d’important. L’après-vente en somme.
Le tout sera commenté par la belle Sibeth du gouvernement (sic) qui, elle, n’est pas Malienne. Ouf ;))
Adéo Robert M.
VARIA
« Pour trouver un travail, même pas besoin de traverser la rue ! » (Sibeth Ndiaye)
Dessin humoristique dans « Le Canard ».
Le type que le PS a choisi comme tête de liste aux européennes dirigeait un microparti qui a deux cents adhérents.
Les races n’existent pas, alors que les espèces existent. (Francis Wolff, philosophe, Le Monde, 30 mars)
L’ensauvagement des mots précède l’ensauvagement des actes. (Mona Ozouf, 2019)
Grand causeux, petit faiseux.
Luchini par son spectacle sur l’argent dit gagner 35 000 euros chaque soir.
C’est Hollywood qui fait l’histoire américaine. ((Pierre Conesa)
Dans son récent procès Tapie a dit en plein prétoire à Peyrelevade : « Salopard ! Pourriture ! »
Tous mes jours sont des adieux. (Chateaubriand)
Moi, je sais mes ruines. (Chateaubriand)
J’ai en moi une impossibilité d’obéir. (id)
Je souhaite une éloquence cachée. (Gide)
8% des Français sont musulmans. (X)
Zemmour a 60 ans.
« zemmour » veut dire « olivier » en berbère.
Ce qu’on voit sur certains murs, même en France, « ACAB » veut dire « All Cops Are Bastards ». INADMISSIBLE !
S’énerver, c’est perdre. (X)
Un quart des Français boivent trop d’alcool.
L’hiver a ses beautés. (Delille)
Bonjour,
…Facta, non verba…
Pour rendre cela accessible aux élites françaises formatées au grand blabla, voici la version qui devrait parler aux INI (intellectuels néanmoins idiots):
« Les perdants tentent de trouver des arguments pour gagner, les gagnants tentent de gagner », proverbe de la pègre, tous pays, depuis cinq siècles…
Voilà, voilà, décrochez de vos claviers, le monde réel ne vous attendra pas.
Bonne chance aux perdants.
L’Emission politique sur France 2.
Le seul qui soit arrivé avec un livre ce fut Bellamy, tous les autres ont dévalisé une quincaillerie pour démarrer l’émission, lamentables bonimenteurs.
Dès que j’ai vu que Nathalie Saint-Cricq n’avait toujours pas pris un douche, j’ai éteint mon poste.
Drôle de retournement des choses pour Carlos Ghosn.
Hier encore c’était le dernier des salopards, un ignoble individu sur fond de Gilets jaunes, soudain depuis 24 heures les médias français ont retourné leur veste.
Soudain on lui reconnaît des tas de qualités et le Japon un pays très, très, méchant…
Restera sur Bruno Le Maire une tache indélébile, il a eu un comportement lamentable, un foutriquet lâche et hypocrite. « Mon royaume pour un cheval ! »
Il l’a fait sous Fillon, il recommence sous Macron. Un traître.
En zappant je viens de tomber sur un nouveau jeu télévisé bizarre qui dure trois plombes s’appelant l' »Emission politique », sur France 2, où les candidats sont derrière des pupitres et doivent taper pour ou contre sur les écrans devant eux pour répondre aux questions qu’on leur pose et ils ont une minute pour dire pourquoi.
Au bout de trois heures ils ont parlé chacun environ dix minutes.
Ca valait vachement le coup…
C’est le jeu télévisé le plus ennuyeux que j’ai jamais vu !
Sérieusement, imagine-t-on le général de Gaulle se fourvoyant dans ce genre de guignolade au milieu d’une bande de comiques troupiers se faisant traiter comme des bons à rien – ce qu’ils sont c’est vrai – par deux journaleux sans doute encore plus mauvais que tous les autres réunis vu qu’ils sont journaleux justement.
Tiens, ça me fait penser au billet de M. Bilger sur Mona Ozouf qui dit « je ne dirai jamais que c’était mieux avant ».
J’avais déjà répondu à sa déclaration stupide en prenant les Arts pour exemple, eh bien en voilà un autre, la politique.
J’affirme que la politique était « mieux avant ».
Tout le monde sait et dit avec raison que le niveau de la classe politique française ne cesse de s’écrouler depuis des décennies.
Mitterrand a été le plus grand escroc de la Ve République et Chirac en est le Poulidor mais au moins ils ont été des escrocs talentueux, cultivés et ne se seraient jamais commis dans ce genre de cirque télévisuel ; ils auraient été assez intelligents pour faire passer tous ceux qui s’abaissent à ce niveau pour des crétins.
Enfin, Mitterrand c’est sûr, Chirac était prêt à tout.
Pauvre France.
@ Michelle D-LEROY | 04 avril 2019 à 15:14
« Cela est déjà très visible sur ce blog, il y a ceux qui ne se laissent pas berner facilement et les autres. »
Et je suppose que vous me classez dans la seconde catégorie. 🙂
Ceci étant, nous nous faisons tous emberlificoter, si ce n’est pas par le gouvernement, c’est par l’opposition et notamment les partis extrêmes RN et LFI qui ne sont pas avares de fake news.
La vérité importe peu en politique, l’important est d’affaiblir l’adversaire. Le temps qu’il fasse la démonstration que les propos pernicieux dont il est l’objet sont mensongers, sortis de leur contexte, le mal est fait et surtout la suspicion s’est distillée dans les esprits.
Seule la victoire est belle.
——————————————–
@ Michel Deluré | 04 avril 2019 à 18:44
« Le problème ne réside-t-il pas dans l’inadéquation entre d’une part la rapidité avec laquelle interviennent les bouleversements technologiques et leurs effets induits et d’autre part la capacité de l’Homme à s’adapter à ces changements ? »
Oui sans aucun doute. L’adaptation étant d’autant plus difficile que l’on prend de l’âge. Les ados n’ont aucun problème avec les outils informatiques qu’ils maîtrisent sans la moindre difficulté.
Mais il n’en est pas de même pour les « anciens » qui sont désemparés dès qu’il s’agit d’aller sur le net pour rédiger leur déclaration d’impôts, vérifier leurs remboursements de la sécu et de la mutuelle, adresser un mail à une administration et même envoyer un SMS.
Or de plus en plus la communication de documents se fait par Internet au détriment du bon vieux courrier écrit.
@ Patrice Charoulet | 04 avril 2019 à 19:21
« 8% des Français sont musulmans. »
Mensonge !
Les statistiques racialistes, religieuses sont constitutionnellement interdites en France ; par conséquent personne ne sait, et quand on ne sait pas, et bien on la… chut.
« Le type que le PS a choisi comme tête de liste aux européennes dirigeait un microparti qui a deux cents adhérents. »
Mensonge !
Il n’a jamais dirigé ou codirigé aucun parti.
Pourquoi les gens passent-ils leur temps à inventer des statistiques et des faits ?
La vie n’est-elle pas suffisamment tordue comme cela pour qu’eux viennent en rajouter en permanence ?
Enfin, Emelien et Amiel abusent de la facilité, qu’ils ne parviennent pas toujours à valider sur les plans intellectuel et politique, d’un milieu prétendu juste, par exemple entre populistes d’extrême droite et d’extrême gauche.
Ah, ce milieu prétendu juste…
Entre les extrémistes qui prétendent d’un côté que l’amanite phalloïde est mortelle et de l’autre ceux qui prétendent qu’il n’en est rien (du moins sous certaines conditions), les tenants du juste milieu n’ingéreront qu’une portion modérée de ce champignon…
@ Achille 05/04 01:00
Lorsque je parlais d’adaptation, je n’avais pas uniquement en tête les difficultés que peuvent éprouver certaines catégories spécifiques de personnes déboussolées face à l’intrusion des nouvelles technologies.
Je pensais plus généralement aux bouleversements que l’arrivée rapide de ces nouvelles technologies engendrent dans tous les secteurs, notamment économiques, et qui amènent entrepreneurs, salariés, à se remettre en cause en permanence.
Il ne peut y avoir adéquation parfaite entre le moment où ces technologies arrivent sur le marché et bouleversent donc l’existant et celui où l’entreprise, l’individu sont prêts à faire face aux conséquences qui résultent de cette arrivée.
Les comportements demandent du temps pour évoluer, pour s’adapter.
Et c’est ce déphasage qui est, entre autres mais pas uniquement, à l’origine de maux qui ébranlent notre société.
@ Patrice Charoulet 04 avril 2019 19:41
@ Elusen 05 avril 2019 03:41
Malgré l’absence de statistiques, la répartition des Français selon la religion pratiquée est relativement connue. De nombreuses approches ont été réalisées et donnent, à peu près toutes, la même répartition :
55/60 % catholiques
25/30 % athées et agnostiques
6/7 % musulmans
2 % protestants
1 % juifs
0,5% bouddhistes
Depuis un siècle et demi (1872) les statistiques religieuses sont interdites. Si, à l’époque, il se trouvait peut-être des raisons pour cette interdiction, on peut se demander pourquoi aujourd’hui cette interdiction perdure.
Paresse et frilosité des politiques comme d’habitude sans doute.
Cordialement.
@ Elusen
« Pourquoi les gens passent-ils leur temps à inventer des statistiques et des faits ? »
Et d’abord, pourquoi les statistiques « ethniques » sont-elles interdites en France, si elles ne reflètent rien d’inquiétant ?
C’est cela, la conception française de la démocratie ?
C’est donc que si les Français savaient ce qui se passe réellement chez eux, de l’aveu même des gens pas très recommandables qui gouvernent, ils risqueraient de se lancer dans une révolte à côté de laquelle celle des Gilets jaunes ne serait qu’un enfantillage…
De toute manière, les gens ne sont pas totalement idiots et même si par exemple les médias ont reçu comme consigne de faire le silence radio sur l’origine des auteurs les plus fréquents de certains types de crimes et délits, ils sont capables de lire entre les lignes, comme le faisaient les Russes à l’époque de la Pravda et des Izvestias et de comprendre en creux ce qu’on leur cache.
De même, il est manifeste qu’une nouvelle forme de criminalité se développe en France depuis une quarantaine d’années, qui était totalement inconnue avant, et pour qui a connu cette période la différence est flagrante.
C’est comme ça, on pourra toujours le nier en poussant des cris d’orfraie et agonir d’injures ceux qui se contentent d’énoncer des évidences, ça ne changera rien à la réalité.
Et au fait, quand les spécialistes de la mercatique adaptent leur stratégie commerciale avec un ciblage de leur publicité ou bien de la présentation de leurs produits en fonction de l’irruption en France de diverses populations exogènes, ils le font bel et bien sur des bases statistiques, même officieuses, n’est-ce pas ?
Y a-t-il eu un président aussi clair sur la description du chemin de crête corse ?
De 2:42 à 2:58, vous ne serez pas obligé d’écouter les six heures, la distinction de Macron entre compétence et responsabilité est sans doute un des diagnostics les plus importants du Grand débat, en réponse à Jean-Baptiste Luccioni (1:16:40) :
https://www.youtube.com/watch?v=C8P2h_XZ6w0
M. Emelien m’était complètement inconnu jusqu’à ce billet de M. Bilger.
Une première lecture en trois heures m’apparaît comme un tour de force, sauf si la police de caractère est grosse et qu’il y a beaucoup d’illustrations. Si une deuxième lecture est envisageable, il n’en va pas de même pour l’écriture. Ce livre a été écrit une fois pour toutes, il n’y aura pas de deuxième édition, ni de publication au format livre de poche. Il y aura même un passage au pilon pour tous les invendus.
Je trouve toujours étonnant de constater que des hommes soi-disant très occupés par des postes à responsabilités multiples trouvent le temps d’écrire des livres. Ou alors, ils ont des nègres littéraires qui travaillent à l’abri des salons feutrés. Une autre explication est plus prosaïque, ils travaillent en quelque sorte à mi-temps à l’instar de M. Neymar Jr qui est comme chacun sait le talentueux attaquant du PSG.
Sur l’ensemble de la saison 2017-2018, on peut dire que M. Neymar Junior a occupé un poste à mi-temps au Paris Saint-Germain. Cette année tout porte à croire qu’il est en train de récidiver, il vient de reprendre l’entraînement, sur l’ensemble de la saison, il aura occupé un poste à mi-temps.
« Les statistiques racialistes, religieuses sont constitutionnellement interdites en France ! »
Ben ouais, c’est normal, tout ce qui gêne l’intelligensia, la nomenklatura intello bobo islamo gauchiste et ce pouvoir collabo trafiquant esclavagiste de migrants est interdit, censuré, falsifié, pénalisé, fortement sanctionné par la justice aux ordres et les merdias couchés ; rien d’anormal quand un pouvoir corrompu comme le nôtre règne en maître sur les moeurs coutumes propagandes et mensonges constitutionnels.
Ils ont même réussi à légaliser un des plus grands trafics esclavagistes de population outre-marine, ce crime impuni laissera une tâche de honte sur nos peuples complices de ces dirigeants mafieux : UE ONG Macron Merkel Juncker, passeurs officiels et associations humanitaires au parc automobile rutilant depuis cette bonne aubaine solidaire humaniste droit d’asiliste droit de l hommiste. »
ll est un moyen très facile et honnête de savoir ce qui se passe dans les prisons : interrogez le maton du coin et il vous dira qu’elles sont pleines à 90% de… Scandinaves, chuuutt ! Interrogez aussi n’importe quel fonctionnaire et il vous dira que toutes nos institutions sont noyautées par le « scandinavislamisme »et les déguisements carnavalesques… scandinaves, chuuut !
Traversez les Saindenikistan, Lyonnistan, Marseillistan et toutes les banlieues de franchouïe et vous aurez économisé un voyage trop onéreux dans les pays… « scandinaves », chuuut !
La Constitution ? en rouleau papier toilette à la rigueur, elle se rendrait plus utile.
D’accord avec Wil, l’Emission politique d’hier soir était sidérante. Du hachis, et une vraie cacophonie.
Je me demandais pourquoi Tipaza avait disparu, et je le regrettais. Bonne nouvelle, il est toujours vivant. Et maintenant, quand reviendra-t-il ?
@ vamonos 05 avril 2019 à 10:02
« Je trouve toujours étonnant de constater que des hommes soi-disant très occupés par des postes à responsabilités multiples trouvent le temps d’écrire des livres »
Peut-être qu’Ismaël dort peu, comme son maître ! Mais il est vrai que, entre bricoler des fake news pour sauver le soldat Benalla et écrire un livre en gros caractères c’est… interpellant.
Quelle était la rémunération horaire d’Ismaël déjà ?
@ Achille
@ Robert Marchenoir
« Sans critique valable, il n’est point d’éloges flatteurs. »
Je vous excuse vous n’avez aucun sens de l’analyse et encore moins celui de la synthèse.
@ Savonarole | 04 avril 2019 à 21:54
« Drôle de retournement des choses pour Carlos Ghosn.
Hier encore c’était le dernier des salopards, un ignoble individu sur fond de Gilets jaunes, soudain depuis 24 heures les médias français ont retourné leur veste. »
Et pourtant on vient de retrouver dans les comptes de nouvelles traces de ses filouteries.
Au fait ne serait-il pas l’un des grands donateurs de Macron, lorsque celui-ci était encore aux finances et qu’il fit un bref aller-retour en Angleterre pour récolter des fonds afin de lui permettre de financer son parti naissant ?
Ce qu’il y a de certain c’est que je n’achèterai jamais de voiture de marque Renault.
@ sylvain | 05 avril 2019 à 10:25
J’étais dernièrement de passage à Béziers et j’ai eu l’impression de me retrouver étranger dans une ville du Maghreb, pourtant tous ces gens seraient beaucoup mieux dans leurs pays d’origine, la France devrait y songer et verser sans justificatifs à tous les habitants de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie, directement sur place là-bas, les allocations familiales qu’ils sont obligés de venir percevoir ici.
Comme disait notre ancien ministre de l’Intérieur : « nous sommes actuellement côte à côte mais lorsque nous serons face à face ce sera autre chose. »
@ sylvain | 05 avril 2019 à 10:25
« Ben ouais, c’est normal, tout ce qui gêne l’intelligentsia, la nomenklatura intello bobo islamo gauchiste et ce pouvoir collabo … »
Aaaah ah ah ah ah !
Oh le c*n et ça vient du fond du coeur ; cela fait du bien de se marrer, certes au détriment des racistes, mais quand même.
Les statistiques sont interdites depuis 228 ans.
Donc rien à voir avec votre propos pathétique.
Cela vient de la première Constitution française de 1791 et du syntagme : un et indivisible.
▪ Titre II – De la division du royaume, et de l’état des citoyens
Article 1. – Le Royaume => est un et indivisible <=.
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@ Exilé | 05 avril 2019 à 09:44
« C’est cela, la conception française de la démocratie ? »
Oooooh ah ah ah, ô mon dieu, ça continue, encore et encore, c’est que le début, d’accord, d’accord !
La démocratie ?!
Mais qu’est-ce que ça vient faire ici ?!
La démocratie – demos et cratos – en rapport avec le droit de vote.
La démocratie, c’est uniquement qui ou non a le droit de voter ou pas, cela repose sur les définitions du peuple et du citoyen.
Pourquoi ne pas balancer pendant que vous y êtes que c’est une violation des hémorroïdes ?
Les gens emploient le mot démocratie à toutes les sauces, sans même savoir ce que cela veut dire.
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@ boureau | 05 avril 2019 à 09:31
« Depuis un siècle et demi (1872) les statistiques religieuses sont interdites. »
Non !
1793 !
Vos statistiques sont fausses et mensongères, d’ailleurs vous ne les sourcez même pas !
Sans compter que sous l’Empire colonial français de 1872, les musulmans étaient majoritaires aux alentours de 60 % de l’Empire colonial français.
@ Michel Deluré | 05 avril 2019 à 09:24
Certes. Je ne faisais qu’évoquer un des aspects symptomatiques, facilement observable, du comportement humain face aux nouvelles technologies. Mais le phénomène est global.
Ceux qui refusent de faire l’effort de s’adapter sont très vite dépassés par cette évolution irréversible et de plus en plus rapide de la technologie.
Le temps de la réflexion a fait place à celui de la réactivité. Pas sûr que cela constitue un plus en qualité de vie.
@ Achille | 05 avril 2019 à 01:00
« …aller sur le net pour rédiger leur déclaration d’impôts… »
Aujourd’hui 5 avril 2019, la date à laquelle vous allez devoir faire votre déclaration en ligne s’agissant de vos revenus 2018 n’est toujours pas connue. Incroyable mais vrai !
Pas grave, avec le prélèvement à la source (polluée ou non), nous allons tous bénéficier d’une année blanche, grâce au CIMR ; sacré cadeau !
https://droit-finances.commentcamarche.com/faq/56876-2018-annee-blanche-sans-impot-prelevement-a-la-source.
Ils sont géniaux quand même !
« Statistiques ethniques et religieuses interdites en France. »
Que c’est fatigant d’être sans cesse confronté à la bêtise, à l’ignorance et à la malhonnêteté…
Statistiques ethniques :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2575541#consulter
Statistiques religieuses :
http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/veille/breves/pratique-religieuse-france
« Interdiction » des statistiques :
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/539164-les-statistiques-ethniques-interdites-en-france-une-belle-hypocrisie.html
Réfléchir avant de parler. Se renseigner quand on ne sait pas. Il n’est jamais trop tard pour apprendre.
@ Robert Marchenoir 16h51
@ sylvain 10h25
@ Exilé 9h44
Puisque vous êtes intéressés par le changement démographique dans notre pays, je vous conseille la lecture de cet article écrit par Philippe Lemoine, brillant chercheur à l’université Cornell (Ivy League) qui a utilisé des chiffres tirés des bases de nos statisticiens… Comme quoi !
https://necpluribusimpar.net/un-point-sur-la-dynamique-des-populations-et-le-changement-demographique-induit-par-limmigration/
Les « rienologues » plutôt que le Capitole, un autre angle de vue, décidément ce livre a les pages qui ont jauni avant l’heure et pas pour finir en bonne place sur un rayon.
Ephémère, un de plus, pour un coup pour rien.
https://blogs.mediapart.fr/paul-cassia/blog/020419/le-manifeste-anti-macron-des-strateges-de-l-elysee
@ Elusen 05 avril 2019 15:46
« Vos statistiques sont fausses et mensongères »
J’ai parlé de « nombreuses approches » et rien d’autre.
Maintenant, si reprendre, avec agressivité, chaque billet des habitués de ce blog vous permet d’exister, tant mieux pour vous !
Cordialement.
@ Lucile | 05 avril 2019 à 10:53
Bonsoir Lucile, ou bonjour selon l’heure où vous me lirez.
Vous êtes bien aimable de vous intéresser à ma modeste personne, mais pas tout à fait un misérable ver de terre puisque nous ne sommes pas en Chine.
J’ai pris un peu de champ avec le blog, je suis très occupé ce qui n’est pas original, et je me demande si je ne suis pas un peu décalé par rapport aux autres intervenants.
Sur le sujet de ce billet, concernant Emelien et au-delà la bande des Mormons qui a permis à Macron de devenir président, je crois que nous avons là une bande de jeunes hommes, des ados retardés, hyper brillants, super intelligents, mais qui ont considéré la conquête du pouvoir par Macron, et plus globalement la vie politique, comme un jeu vidéo.
Je veux dire par là, que cette conquête du pouvoir s’est faite SANS prise de risques, et c’est tout le problème. Une pure victoire intellectuelle, sans qu’à aucun moment leur liberté ou leur vie aient été mises en danger.
Un vrai jeu vidéo, où le joueur n’a rien à perdre que sa vanité de super brillant. Une fois la partie gagnée, alors « Game Over », et on zappe vers un autre jeu, éventuellement en écrivant le mode d’emploi du jeu que l’on vient de gagner.
Nous avons connu des intellectuels qui risquaient leur vie et leur liberté dans le combat pour le pouvoir et la mise en oeuvre d’une idéologie à laquelle ils croyaient.
Malraux s’est battu en Espagne contre le franquisme, plus près de nous Régis Debray a joué sa vie et sa liberté en rejoignant le Che en Amérique du Sud pour une idéologie dont il est revenu.
Cette prise de pouvoir sans risques et le zapping qui suit est la marque d’une certaine immaturité qui caractérise la bande à Macron, considérant la vie comme un jeu où l’influx nerveux est la seule chose qui circule, ignorant le prix de la sueur, des larmes et du sang.
Paradoxalement le seul humain de cette bande d’humanoïdes brillants est Alexandre Benalla, qui n’a pas hésité à faire le coup de poing dans la rue. Certes il ne risquait pas sa vie, mais enfin s’il était tombé face au boxeur de CRS, il aurait souffert dans sa chair. Si je vous dis que cet individu m’est un peu, un tout petit peu, sympathique, car dans un autre temps, recruté dans une unité d’élite il aurait fait un parfait sous-officier.
Cette immaturité est aussi la marque de Macron comme on peut le constater à chacun de ses dérapages ou bavardages interminables du Grand débat. Heureusement pour lui, cette immaturité est compensée par la maturité de son épouse-mère qui lui fournit ce qui lui manque;
Mais je me demande si cette maturité exogène dont il dispose ne l’empêche pas de développer une maturité endogène.
Le problème de la prise de pouvoir sans risque vital est le propre des démocraties d’aujourd’hui. Il y a quelques décennies, les hommes d’État avaient eu un parcours où ils avaient pris des risques ; de Gaulle, Kennedy, Churchill, tous avaient connu le feu du combat, ce qui donne une certaine densité à la personnalité, cela se sent de façon subliminale, aujourd’hui nous avons des politiquement corrects qui ne risquent pas ou plus leur peau au sens propre dans la vie.
C’est peut-être une des raisons de l’éloignement des citoyens des démocraties de leur classe dirigeante, constatant leur manque de densité humaine.
Bon, j’en resterai là.
Vous voyez, je suis toujours aussi nuancé et aussi décalé, mais je ne cherche à convaincre personne 😉
Sur ce, je vous adresse un blogual* salut, ainsi qu’à Achille qui s’était interrogé lui aussi sur mon absence.
(*) On dit bien un salut amical, cordial, convivial, pourquoi pas blogual ? Lorsque Philippe Bilger sera membre de l’Académie j’espère qu’il oeuvrera à la reconnaissance de ce salut !
@ caroff | 05 avril 2019 à 17:53
Effectivement même un bac moins 3, voire un pauvre Noir affecté d’un QI d’à peine 70 devrait pouvoir comprendre votre raisonnement, étant entendu qu’il puisse lire le lien sans difficultés, ce qui n’est pas sûr, vu qu’avec un QI de 60 à 70 on est carrément catalogué comme débile dans le registre occidental.
Bref, admettons… Mais ensuite que faisons-nous de tous ces experts, psychopathes, racistes et expatriés cupides de tout poil et aujourd’hui donneurs de leçons sans vergogne sur ce même blog, eux ou leurs affidés, alors que par leurs théories fumeuses, leur haine, leur bêtise, leur appât du gain facile et leurs rejets de populations qui ne souhaitaient que vivre et s’épanouir dans leur propre pays, il ont largement contribué durant près d’un siècle à ce qui se passe aujourd’hui. Terrible constat d’échec et ils veulent encore la ramener, après avoir empêché par tout moyen l’accès aux commandes des Africains les plus capables, isolés, poussés à l’exil ; quand ils n’ont pas fait assassiner les meilleurs et promu à leur place des roitelets ignares, afin de garder la haute main sur la manne économique !
Alors que sans ces imposteurs, ces tricheurs et ces engeances qui font honte à la France on n’en serait manifestement pas là à se demander comment on va s’y prendre pour donner à des milliers de migrants qui ont cru et croient encore à l’Eldorado vanté par des pourritures de psychopathes racistes, dont nous avons quelques échantillons sur ce blog, le goût de rester (ou de revenir) chez eux pour développer leur pays et en chasser définitivement tous les tenants de la corruption, du fascisme ou du marxisme (peu importe leur couleur de peau) qui après l’esclavage ont pris le relais de profiteurs sans scrupules.
Quant aux statistiques ethniques, personnellement j’ai toujours été pour, ne serait-ce que pour que certains prennent définitivement conscience de la diversité d’origine des Français, sachant que parmi les plus racistes figurent parfois ceux qui sont les moins enracinés dans notre vieux pays.
@ Gavroche
« Les nouvelles que la presse française tente de cacher sur ordre :
« Un médecin militaire mort au Mali (Ouest-France). »
Circulez il n’y a rien à voir ! »
—
Vous n’êtes pas à une contradiction près !
La « presse française », comme vous dites, par le truchement de Ouest-France, l’un des plus gros tirages – si ce n’est le plus gros – publie la nouvelle que vous voudriez nous faire croire qu’on veut nous cacher.
A Pinocchio, Pinocchio et demi…
Mais Achille a raison, ceci est HS. Quand j’étais môme, ça valait une roue de vélo…
@ Achille
« Mais il n’en est pas de même pour les « anciens » qui sont désemparés dès qu’il s’agit d’aller sur le net pour rédiger leur déclaration d’impôts, vérifier leurs remboursements de la sécu et de la mutuelle, adresser un mail à une administration et même envoyer un SMS.
Or de plus en plus la communication de documents se fait par Internet au détriment du bon vieux courrier écrit »
Eh bien, désolé d’être « trash », il suffit d’attendre quelques années… Quand les « anciens » seront partis, toutes les démarches pourront se faire sur Internet.
Inutile de s’en plaindre ou de s’en réjouir, c’est inéluctable. Et il en est ainsi de moult choses désignées sous le vocable de « progrès ».
Alors autant s’adapter.
@ caroff | 05 avril 2019 à 17:53
https://necpluribusimpar.net/un-point-sur-la-dynamique-des-populations-et-le-changement-demographique-induit-par-limmigration/
Enfin un article rationnel, auquel j’ajouterais l’argument suivant : les négationnistes du Grand remplacement se livrent à cette fraude intellectuelle gauchiste bien connue, qui consiste à réfuter une proposition que l’adversaire n’a jamais avancée. En la remplaçant par une autre, plus invraisemblable ou carrément fantaisiste.
Donc voici ce que le Grand remplacement n’est pas, selon ceux qui le voient comme le nez au milieu de la figure, qui s’en inquiètent, et qui souhaitent y mettre fin :
Ce n’est pas un « complot ». Qu’il soit organisé ou non, délibérément ou par inaction, de façon clandestine ou non, on s’en tape. C’est un autre débat. Quand bien même le Grand remplacement serait spontané, et les éminences qui nous gouvernent ne se seraient-elles aperçues de rien, que ce serait toujours une catastrophe.
Ce n’est pas la prédiction que les immigrés vont finir par représenter 50 % de la population plus 1. On s’en tape, de la « majorité ». La prise du pouvoir ne se décide pas à la majorité, et la destruction d’une culture et d’une identité nationale non plus.
Cette arnaque de la « majorité » provient d’une extension abusive du principe de la démocratie. Tant que les immigrés représenteraient seulement 49 % du corps électoral, suggère cet argument imbécile, alors les indigènes ne risqueraient rien, et il serait « raciste » de leur part d’exprimer des craintes.
Tant qu’à faire, les tripoteurs qui font cette fausse objection devraient nous expliquer qu’un remplacement, surtout s’il est grand, c’est quand 100 % des habitants de la France seront noirs, arabes ou musulmans. Sinon, ça ne compte pas. Bon, comme le truandage serait vraiment trop flagrant s’ils allaient jusque-là, ils diffusent le mensonge en deçà et ils nous jouent le pipeau de la majorité.
La vérité, c’est que le Grand remplacement démarre dès 3 ou 4 %, si l’on a affaire, comme c’est le cas, à des populations aux mœurs radicalement différentes des nôtres, rétives à toutes les règles en vigueur chez nous, résolument hostiles à notre encontre, et, en ce qui concerne les musulmans, pourvues de mille quatre cents ans d’expérience dans la mise en pratique d’une doctrine de subversion et de prise du pouvoir inculquée et imposée par leur religion.
Le Grand remplacement démarre lorsque des Français de souche, en l’occurrence des Juifs (mais pas seulement), sont systématiquement persécutés et pris pour cible par des immigrés, et que la police, c’est-à-dire des types avec des flingues à la ceinture qui ont la possibilité technique de vous tuer en trois secondes, leur disent : « Partez. Déménagez. On ne peut rien pour vous. »
Chose qui arrive régulièrement dans notre beau pays de France. Le Grand remplacement a déjà eu lieu. Il a déjà commencé. La question n’est pas de discuter sur le sexe des anges statistiques, elle est de savoir comment le stopper et comment l’inverser.
Au demeurant, même sur l’aspect « complot » des choses, un type aussi peu suspect d’anti-immigrationnisme enragé que l’actuel ministre de l’Intérieur de « la Macronie » vient d’accuser certaines ONG d’être « complices » des passeurs qui organisent l’entrée en masse des immigrés illégaux chez nous. Il n’a pas précisé si ces ONG avaient bénéficié de subventions, comme c’est probable.
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@ Gavroche | 05 avril 2019 à 14:30
« Je vous excuse vous n’avez aucun sens de l’analyse et encore moins celui de la synthèse. »
J’ai eu peur. Un moment, j’ai cru que vous alliez m’accuser d’avoir écrit des choses fausses, et que vous alliez nier avoir menti.
@ Robert Marchenoir | 05 avril 2019 à 16:51
Seriez-vous si fiers d’être inculte ?
Marchenoir se contente de lire les titres et hop il affirme qu’il y a bien eu statistiques racialistes et religieuses.
1°- Un sondage IFOP sur les religions, ce n’est pas de la statistique.
C’est pathétique ; ne même pas savoir faire la différence entre un sondage et des statistiques publiques.
2°- L’INSEE a fait une enquête sur la nationalité, pas sur l’ethnie.
Enquête sur la nationalité des personnes qui immigrent en France.
Inouï, vous ne savez même pas faire la différence entre racialisme et nationalité.
Même pas capable de lire la fiche INSEE sur les statistiques racialistes et religieuses ; elle indique qu’elles sont illégales, mais que le droit et la jurisprudence du Conseil constitutionnel autorisent les statistiques sur la nationalité.
https://www.insee.fr/fr/information/2108548
C’est affligeant de se complaire dans une telle bêtise, qu’une personne affirme qu’un sondage serait de la statistique et qu’une nationalité serait une ethnie, en somme Marchenoir est heureux d’être inculte et le balance publiquement.
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@ boureau | 05 avril 2019 à 18:25
Il n’y a aucune statistique publique là-dessus, elles sont illégales, point !
Tout le reste relève de votre fantasme.
Le nouveau Premier ministre de l’État fédéré, provincial, de Québec veut que l’État provincial devienne laïc.
C’est un centriste, pour l’égalité des droits entre femmes et hommes, égalité des droits pour les couples de même sexe, antiraciste, il veut créer une maternelle pour permettre aux femmes d’aller travailler et non pas garder les enfants à la maison. Il est nationaliste dans le sens qu’il défend ardemment le français comme langue obligatoire dans l’État provincial et au niveau fédéral.
Son parti est la CAQ.
Il est fascinant de voir le débat en direct live !
Tout le monde lui tombe dessus en le traitant de :
– raciste
– fasciste
– allant à l’encontre de la démocratie
– un nettoyage ethnique (c’est réel)
– violation des droits humains
Pourtant la laïcité qu’il veut n’est pas celle de la France, il veut l’imposer aux personnes en situation d’autorité, les juges, avocats de la couronne (procureurs), enseignants, gardiens de prison et toutes les personnes qui exercent une profession avec une arme.
Il veut retirer le crucifix du Parlement provincial qui surplombe l’hémicycle, au-dessus du président.
Projet de loi 21, Loi sur la laïcité de l’État :
http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-21-42-1.html
C’est une curiosité sociologique et politique de voir que le débat recommence dans les mêmes conditions qu’en France en 1905, les mêmes injures, les mêmes mensonges, les mêmes invectives.
Très souvent dans les débats, ils se balancent la France à la figure, c’est devenu un épouvantail et ils mentent sur la France.
L’ancien Premier ministre du Parti centriste non laïc et non nationalité, Parti libéral, avait fait passer une loi pour imposer de recevoir et de donner les services publics à visage découvert ; dans tout le Canada cela a fait scandale au point où un autre État fédéré a voté une loi pour condamner le Québec comme État fédéré raciste.
Au Canada la burqa, le niqab sont autorisés y compris avec les enfants dans les garderies, crèches à l’école, même, tenez-vous bien, pour aller voter.
Les juifs d’extrême droite ont même agressé des personnes qui passaient dans leur quartier à Montréal parce qu’elles n’étaient pas habillées comme ils l’entendaient, ils ont tout fait pour faire interdire dans leur quartier les femmes policières. Ils ont imposé des vitres teintées ou opaques à des bâtiments qui recevaient des femmes.
Au Canada il y a de très petites villes exclusivement réservées à certains groupes religieux : chrétiens, juifs, musulmans.
Ils ont des ministres et des députés avec des turbans sikhs dont certains luttent contre les lois de sécurité routière parce que leurs turbans n’entrent pas dans les casques de moto, scooter et vélo.
Ils ont même réussi à imposer dans toutes les écoles publiques canadiennes que leurs garçons à 11 ans puissent porter un couteau avec une lame de 11 cm à la taille : le kirpan. Les adultes ont le droit de le porter dans la rue, y compris en tant qu’élu ou ministre.
Voyez une partie du débat par curiosité, car moi cela me fait marrer, cela vous fait sortir de votre débat stérile franco-français et nombriliste, allons voir ce qui se passe dans le monde.
https://frama.link/JoJWk7nf
@ Tipaza | 05 avril 2019 à 19:23
Bonjour Tipaza. Je suis content de vous voir revenu parmi nous.
Nous n’avons pas exactement les mêmes opinions, mais je sais apprécier vos commentaires à leur juste valeur : bien écrits, avec une argumentation solide qui s’appuie sur une érudition certaine. Le tout présenté avec cette fausse modestie qui caractérise ceux qui sont bons, le savent et donc n’ont pas besoin de « charger la barque ».
Être apprécié par Lucile est toujours un gage de qualité.
@ Tipaza
« Nous avons connu des intellectuels qui risquaient leur vie et leur liberté dans le combat pour le pouvoir et la mise en oeuvre d’une idéologie à laquelle ils croyaient.
Malraux s’est battu en Espagne contre le franquisme, plus près de nous Régis Debray a joué sa vie et sa liberté en rejoignant le Che en Amérique du Sud pour une idéologie dont il est revenu ».
Certes, votre commentaire est pertinent, mais ni Malraux, ni Debray n’ont atteint le sommet de l’Etat (et le voulaient-ils ?). Et cette prise de pouvoir sans prise de risque n’est pas l’apanage de Macron et de ses boys. Sarkozy, Hollande, même Giscard et Pompidou n’ont pas ferraillé très longtemps pour « prendre » le pouvoir.
Pour Chirac et Mitterrand, ce fut plus long, mais ces professionnels de la politique n’avaient pas la carrure historique d’un de Gaulle. J’observe qu’ailleurs, les Trump, Bolsonaro ou même Merkel n’ont pas l’étoffe de héros ! L’époque des Tito, Castro est révolue et c’est sans doute tant mieux car ces « héros » n’étaient que rarement de grands démocrates…
Grand Débat
Je suis surpris du silence des habitués sur d’éventuelles propositions à transmettre aux autorités.
Etant peu concerné, à la fois compte tenu de mon âge et de ma situation financière, je livre toutefois mon témoignage transmis en son temps sur le cahier de doléances de ma mairie. Le tout dans le désordre :
Rétablissement de l’indexation des pensions de retraite sur le coût de la vie.
Moratoire de l’immigration pendant deux ans.
Etude du coût de l’immigration.
Suppression du regroupement familial.
Résolution, en urgence, du problème des sans papiers déboutés du droit d’asile.
Rémunération des fonctionnaires au mérite et à l’activité.
Refonte à la baisse de la grille des salaires dans la fonction publique et des collectivités, au delà de €10 000 mensuels nets.
Suppression de la taxe d’habitation pour tous les contribuables.
Suppression des avantages et privilèges des anciens Présidents et Premiers ministres.
Réduction du nombre de sénateurs et députés (30%).
Suppression des députés et sénateurs des Français de l’étranger.
Découplage de l’élection présidentielle et des élections législatives.
Mise à plat du fonctionnement de l’Union européenne.
Diminution de 50% des promotions ENA, X, Centrale.
Paiement des impôts sur le revenu pour tous les Français.
Tranche supplémentaire de l’impôt pour les plus fortunés.
Audit généralisé (par des cabinets privés) de la fonction hospitalière.
Audit généralisé (par des cabinets privés) des services de la fonction publique et des collectivités.
Suppression de tous les comités « Théodule ».
Adaptation des régimes spéciaux de retraite des fonctionnaires (fonction publique et collectivités) sur le régime général des privés.
Décentralisation régionale des services de l’Education nationale.
Réexamen des critères d’attribution des aides de l’Etat aux associations et aux entreprises.
Contrôle strict et efficace des aides de l’Etat aux entreprises.
Création d’une commission spéciale sur la fraude fiscale avec pleins pouvoirs.
Voilà, voilà, voilà.
Cordialement.
@ Elusen
« La démocratie – demos et cratos – en rapport avec le droit de vote.
La démocratie, c’est uniquement qui ou non a le droit de voter ou pas, cela repose sur les définitions du peuple et du citoyen. »
Un peu confus, tout ça.
La démocratie ne se limite pas au droit de vote.
Il existe de nos jours de nombreux pays où les gens peuvent voter mais qui ne sont pas des démocraties pour autant et qui sont régis de fait par de quasi-dictateurs élus.
Par certains côtés, la France où un homme élu pour cinq ans se croit tout permis dans l’intervalle faute de contrôle par des contre-pouvoirs (qui sont en principe consubstantiels à une démocratie normale) et n’en fait qu’à sa tête se rapproche de pays comme l’Algérie ou le Venezuela, par exemple.
@ boureau | 06 avril 2019 à 09:52
Ceci me paraît un excellent programme. Toutefois les « chiens de garde » et autres lobbys qui profitent de certaines rentes de situation ne manqueront pas de faire blocage. Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Reste à savoir si ces dispositions entraîneront l’arrêt des manifestations des Gilets jaunes qui, après avoir obtenu satisfaction sur un certain nombre de leurs revendications, « ne lâchent rien » et ne veulent rien d’autre que la démission d’Emmanuel Macron sans condition.
Rien n’est moins sûr !
« Les statistiques publiques concernant l’immigration et ses effets néfastes dans notre société sont interdites » LOL !
C’est pour ça que les citoyens doivent, en détournant la censure et les interdictions de penser et de s’exprimer, se rendre compte et s’informer par eux-mêmes sur le terrain : n’importe quel flic, gardien de prison, juge honnête, surtout pas un juge de gauche, fonctionnaire, et tous ceux qui sont obligés d’être au contact d’une certaine population de type… « scandinave », vous prouveront qu’une communauté, et une seule, peuple en majorité les prisons, défilés hyper multirécidivistes dans les tribunaux sans en être inquiétés, par laxisme trouille lâcheté et souci de « paix sociale » ; les chiffres officiels cachés voire falsifiés sont connus mais interdits de publication sous peine de payer très cher cette vérité criante mais gênante pour le pouvoir islamogauchiste complice.
Les vrais chiffres fournis par la « Scandinavie » sur les taux de remplissage de prisons, de délits, d’actes de délinquance, d’insécurité, de trafics de drogue, etc. tournent toujours autour des 90%.
Les polices antiracistes soutenues par le pouvoir embastillent à tour de bras ceux qui osent exprimer des vérités, ça s’appelle une dictature.
@ Tipaza
Merci d’avoir répondu. Je sens votre morosité politique. Elle est partagée.
Je vous envoie une vidéo qui m’a secouée parce que la France y est dépeinte entre les lignes, et pas seulement, comme un épouvantail malfaisant pour l’UE, en pleine déconfiture industrielle, mais usant à fond de sa capacité de nuisance.
Une « nationaliste de droite » s’adresse à Angela Merkel au Bundestag. Pour ceux qui ne comprennent pas les sous-titres en anglais : elle lui reproche la nonchalance et l’indifférence de Bruxelles devant le Brexit qu’elle considère comme un affaiblissement majeur de l’Europe.
Par ailleurs, elle craint dorénavant, faute d’une minorité de blocage, l’influence des pays « du Cub Med et de la France » en Europe, la centralisation galopante macronesque en marche, l’inflation ruineuse de la monnaie unique, les budgets non équilibrés qui se font sur le dos de l’Allemagne, la volonté de ces pays de s’emparer de la richesse de l’Allemagne. Elle fait remarquer que l’économie de l’Angleterre à elle toute seule représente l’économie des 19 plus petits pays de l’UE. Elle rapporte que Barnier aurait dit à un proche qu’il aurait réussi sa gestion du Brexit s’il créait des conditions si dures pour les Anglais qu’ils le regretteraient amèrement. Voilà dit-elle le genre d’amis qui ne font pas de bien à l’Europe.
Elle plaide pour des frontières européennes dignes de ce nom, mais pour une économie ouverte, profitable pour les pays européens, un traitement qui n’ostracise pas économiquement les Anglais une fois détachés de l’UE, elle demande pour l’UE de la souplesse, des aménagements possibles, un souffle d’air frais par opposition au mur de briques opposé par Bruxelles aux pays qui veulent garder une marge d’autonomie politique.
Enfin, elle n’a pas l’air d’apprécier du tout le traité récent d’Aix-la-Chapelle, ce papier administratif qui porte dit-elle, les empreintes digitales de la France sur toutes les pages.
Ce Dr. Alice Wiedel est certainement une vile nationaliste. Problème : elle ne dit pas que des bêtises. Son allocution date du mois de mars. À méditer.
https://www.youtube.com/watch?v=63IcW4eo4uM
@ Achille
Merci de votre remarque si amicale. À vrai dire je ne pense pas que Tipaza ait besoin d’être apprécié de moi pour l’être de tous. Je retrouve dans ses préoccupations une partie des miennes, mais il les énonce et les commente différemment.
Au sujet de la médiocrité de beaucoup d’élus, j’ai lu un article intéressant de Nathalie MP dans Contrepoints. Elle évoque la déception qu’on peut éprouver à l’égard de Macron, et pose la question « mais alors qui d’autre ? ». C’est pourquoi, dit-elle, on se résigne.
https://www.contrepoints.org/2019/04/05/340881-daccord-macron-cest-pas-ca-mais-qui-dautre-alors
Je pense comme elle qu’aucun nom ne vient spontanément à l’esprit, mais je ne pense pas que ce soit faute de personnalités valables, si seulement on leur permettait d’émerger au sein des partis, et dans les media. Dans tout le pays, il n’y aurait donc personne qui arrive à la cheville d’Emmanuel Macron ? Je ne parle d’ailleurs pas de perles rares dans son genre, car il est vrai qu’il est singulier.
On a tellement entendu répéter qu’il n’y avait « personne d’autre » que c’est devenu une croyance. Plutôt que de réfléchir, les téléspectateurs dociles reprennent l’argument à leur compte.
Et ce leitmotiv nous est répété par qui ? Toujours par les mêmes frères prêcheurs ou petits vieux, style Muppet Show, qui pérorent à longueur de soirée et de matinée sur les chaînes d’info. Je ne leur ferai pas l’injure de les nommer (en dehors du Goupil qui n’a d’autre raison de nous bassiner que sa proximité avec le chef de l’Etat, ce qui lui vaut les bassesses des responsables d’émissions). Les braillards revendicatifs et fumeux sont invités à longueur de programmes, plutôt que les gens sérieux.
Quand on sait déjà que le réalisme est beaucoup moins vendeur que l’utopie, on comprend que les gens intéressants restent dans l’ombre. Les questions de rivalité dans les partis expliquent également comment ceux qui sont arrivés au sommet empêchent, consciemment ou non, les nouveaux venus de se faire connaître. Seuls ceux qui sont prêts à l’effraction y parviennent. Ce ne sont pas toujours les plus intéressants.
Et voilà qu’un flemmard, tartuffe, nébuleux et nanti tel que Hulot arriverait en tête des préférences politiques des Français. Je parle au conditionnel, parce que là encore ce sont les media qui le disent…
@ Lucile | 05 avril 2019 à 10:53
Peut-être que Tipaza vous aura répondu lorsque mon commentaire apparaîtra.
Et maintenant, quand reviendra-t-il ? m’a connecté au son de… Barbara :
https://www.youtube.com/watch?v=nUE80DTNxK4
et évidemment aux images :
https://www.bing.com/images/search?q=Tipaza+images&id=8215ED8A608F606FBA0559A83E435AD122A7DCC4&FORM=IQFRBA
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@ breizmabro | 05 avril 2019 à 12:29
Dans La Firme, les avocats, dont Mitch, font payer leurs clients pour chaque minute pendant lesquelles ils ont seulement pensé à leurs dossiers respectifs.
Nos politiques ont retenu la leçon pour eux. Sur le pont 365/365, 7/7, 24/24, le coût global d’un gouvernement à la minute pourrait-il être communiqué sur simple demande, au titre de la transparence tant réclamée au cours du fumeux Cirque Médiatique, nommé Grand Débat ?
@ boureau | 06 avril 2019 à 09:52
Allons à l’essentiel avant, femme seule soignante avec enfant qui n’arrive pas à vivre de son énergie au travail.
Trois ans de prison pour les fraudeurs fiscaux, au moins on sera sûr qu’on leur mettra les pinces comme dirait un contributeur, et la vitrine du bing pour rêver à de la joncaille cachée en espérant des jours meilleurs.
Tout le reste est de la dentelle, vous auriez pu rajouter les frais d’obsèques de 20 000 € des sénateurs, ainsi que les 2 350 € résiduels accordés aux députés ainsi que les 7 200 € annuels sans déclaration sur l’honneur et sur papier libre, quand nous égarions quelques factures, ou dépenses commerciales d’invités à la fête locale de la crêpe et du vin blanc.
Le boulot est immense et simple à la fois, alors commençons par le frigo, avant de réclamer une vraie transparence de nos chers élus qui ont le c*l qui baigne dans la graisse d’oie dirait mon voisin.
L’heure approche, le contributeur sbriglia est déjà en place, je m’en vais de ce pas oublier pendant quatre-vingts minutes ces turpitudes qui nous entourent.
Cordialement, cher b.
Pour cette fois je fais l’impasse, elle pourrait porter la poisse à tout un pays cher à Claude Nougaro, le ballon ovale est tellement capricieux.
@ Achille
Ce que je sous-entendais c’est qu’il est plus facile pour un grand nombre de Français de se satisfaire des vérités médiatiques uniformes que de chercher à relativiser ou à comprendre au-delà de la bien-pensance du monde idyllique vu par les ex-socialistes aujourd’hui macroniens.
Ce qui m’afflige c’est de lire des commentaires dociles à cette presse et aux discours ambiants sans questionnements, et encore plus c’est de lire que toute personne qui refuse d’adhérer à ces discours soporifiques est immédiatement taxée d’extrémisme, de lepenisme et autres qualificatifs populistes bien faciles. Genre « circulez il n’y a rien à voir ».
Malheureusement les fake news ne sont ni l’apanage des opposants politiques quels qu’ils soient ni celui des dirigeants. A nous de faire la part des choses puisque chacun arrange sa sauce politique selon sa propre vision politique, de façon à convaincre le plus possible ses adhérents.
Ensuite il y a fake news et fake news.
Bien avant Internet et les réseaux sociaux, de vraies fake news circulaient et parfois se répandaient de bouche à oreille à la vitesse de l’éclair.
Que ce fut l’affaire du collier ou plus proche de nous, la rumeur d’Orléans. Ces rumeurs se sont propagées rapidement et chacun y croyait dur comme fer car c’était un ami bien informé qui le tenait d’un autre ami qui nous l’avait dit.
Et c’est justement là qu’intervient le bon sens personnel, celui de faire le tri dans les informations d’où qu’elles nous arrivent. Le doute n’est pas plus populiste que la docilité ou la soumission. Là encore, de nombreux exemples dans l’Histoire ont montré que la résistance et le doute ont permis de créer le débat, de découvrir des affaires peu reluisantes, d’avancer.
Si toute pensée dissidente est surnommée fake news pour faire taire un opposant, où allons-nous ?
@ Exilé | 06 avril 2019 à 10:38
Lu et approuvé.
Mais que peuvent comprendre ou retenir des leçons de vie ceux qui ne savent ou n’acceptent ni de nommer les choses, ni de se remettre en question, et encore moins laisser régler par d’autres qu’eux-mêmes, des affaires sensibles, voire explosives que leurs seuls aveuglement, cupidité et préjugés ont généré.
Autrement dit des pompiers pyromanes qui se revendiquent comme soldats du feu et sévissent partout, trompent et abusent le péquin de base avec des discours alambiqués et des copiés-collés racoleurs pour gogos, collectés sur des sites de gourous dont ils font collection !
Alors que dans la vraie vie ces matamores (camouflés dans l’anonymat) ne sont que des baudruches, des dégonflés, des pétochards qui fuiraient comme des pleutres à la première alerte, et pour tout dire des lâches prêts à se rallier honteusement pour sauver leur peau ou leurs prébendes au premier bonimenteur venu !
@ Exilé | 06 avril 2019 à 10:38
« Un peu confus, tout ça. »
La démocratie par principe, par définition n’existe pas, à cause de : démos.
« Le Peuple », ce n’est pas le Peuple qui vote, mais le citoyen.
Pour être citoyen, avoir accès aux droits civiques, il faut avoir 18 ans en France, pourtant tous les enfants en dessous de cet âge sont bien membres du Peuple.
En cela, il convient que vous notiez que l’on peut être citoyen, avoir le droit de vote, sans être membre du Peuple ; au sein de l’Union européenne, les membres des 27 autres pays peuvent voter en France à certaines élections sans être membres du Peuple de France, mais à condition qu’ils vivent en France.
L’on peut même retirer les droits civiques à une personne, mais elle reste membre du Peuple.
Démocratie est ainsi un abus de langage, nous sommes dans des citoyen-craties, citoyenocratie ?!
Par la suite vous confondez droit de vote avec liberté d’expression, cela ne va pas de pair.
Des pays peuvent avoir un droit de vote pour tous leurs citoyens, mais le reste du temps leur demander de la fermer.
« …se croit tout permis dans l’intervalle faute de contrôle par des contre-pouvoirs »
C’est inexact !
La France n’est pas une démocratie, c’est bien inscrit dans la Constitution.
C’est la République qui est démocratique, pas la France.
Le mot employé est bien : démocratique, un adjectif qualificatif, et non le substantif : démocratie.
L’adjectif qualificatif porte sur République.
Tout autant, en France, il y a des contrepouvoirs qui sont clairs.
Reste à savoir si les personnes supposées les exercer n’en font pas autre chose.
@ fugace
Merci pour les liens. (J’aime beaucoup cette chanson.)
@ fugace | 06 avril 2019 à 14:16
Les images que vous nous offrez sont très belles.
Mais elles ne peuvent traduire le ressenti comme on dit en météo, et aussi en poésie.
Voici ce que dit Albert Camus de Tipasa, qu’il orthographie comme on le faisait à son époque, alors qu’il y a un z en arabe.
« Au printemps, Tipasa est habitée par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l’odeur des absinthes, la mer cuirassée d’argent, le ciel bleu écru, les ruines couvertes de fleurs et la lumière à gros bouillons dans les amas de pierres. A certaines heures, la campagne est noire de soleil. Les yeux tentent vainement de saisir autre chose que des gouttes de lumière et de couleurs qui tremblent au bord des cils. L’odeur volumineuse des plantes aromatiques racle la gorge et suffoque dans la chaleur énorme.
…/…
Je redécouvrais à Tipasa qu’il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l’injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise. Je retrouvais ici l’ancienne beauté, un ciel jeune, et je mesurais ma chance, comprenant enfin que dans les pires années de notre folie le souvenir de ce ciel ne m’avait jamais quitté. C’était lui qui pour finir m’avait empêché de désespérer. J’avais toujours su que les ruines de Tipasa étaient plus jeunes que nos chantiers ou nos décombres. Le monde y recommençait tous les jours dans une lumière toujours neuve. Ô lumière ! c’est le cri de tous les personnages placés, dans le drame antique, devant leur destin. Ce recours dernier était aussi le nôtre et je le savais maintenant. Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu’il y avait en moi un été invincible. »
@ Lucile | 06 avril 2019 à 12:02
Je partage pour l’essentiel les propos d’Alice Weidel, ce sont des propos de bon sens, ce bon sens que l’idéologie eurobéate a oublié, ou pire a nié.
Il faudrait quand même se souvenir que ce qualificatif de nationaliste est la définition donnée au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Sans souveraineté point de liberté, et toute délégation de souveraineté est une délégation de liberté et donc une perte de liberté, pour le meilleur ou pour le pire, c’est selon.
Ce n’est pas parce que ce droit des peuples à disposer d’eux-mêmes est devenu, sous l’effet de l’idéologie perverse nazie, à disposer des autres peuples qu’il faut renoncer à ce droit fondamental.
La perversion d’un droit ne saurait être la règle comme l’affirment les idéologues de l’Union européenne.
Je partage en particulier l’opinion d’Alice Weidel sur Michel Barnier. Ce n’est pas un secret qu’il a tout fait pour torpiller une sortie propre et en douceur de la Grande-Bretagne de l’UE et c’est exact qu’il s’en est vanté.
Attitude mesquine, technocratique, prouvant qu’il n’avait pas compris la profondeur historique qu’il convenait de donner à ce Brexit, pour relancer et refonder une autre Europe. Il n’est pas le seul d’ailleurs, Macron a également poussé les feux dans ce sens.
Il faut dire que cette petitesse a été facilitée par le comportement brouillon de Theresa May, qui ne s’est pas montrée, elle non plus, à la hauteur de la tâche, dès la dissolution ratée du Parlement britannique.
La négociation aurait pris une autre direction et un autre sens si Margaret Thatcher avait été à la manoeuvre
J’ai bien peur pour la Grande-Bretagne que Jeremy Corbyn ne vienne rapidement prendre la place de Theresa May, et que commence pour ce pays, symbole de démocratie s’il en est, une folle période.
Il est comme ça dans l’histoire des nations et des civilisations des périodes où tout s’effondre et se dilue sans que l’on puisse s’y opposer.
Du coup me vient une idée machiavélique, qui relève de la politique du pire.
Le rejet du Brexit, la négation du vote des Britanniques comme cela s’est passé en Irlande, Pays-Bas, France, et le maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union européenne.
Avec la pensée politique erratique de Corbyn, l’arrogance vaniteuse de Macron et l’absence de l’ancrage modérateur d’Angela Merkel qui s’en va, nous pourrions tenir là, la meilleure façon de détruire de l’intérieur cette Union européenne technocratique.
Et pendant ce temps-là, l’immigration de masse se poursuit !
@ Lucile | 06 avril 2019 à 14:14
L’article est intéressant, en effet. L’auteur semble sous-entendre qu’il faudrait un président à la Churchill qui dirait à son peuple « Je n’ai à vous offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
Mais quel citoyen voterait pour ce candidat ?
Le contexte est très différent. Nous ne sortons pas d’une période de guerre, mais de plus de soixante-dix ans de paix. Situation jamais vue dans l’Histoire et ceci, qu’on le veuille ou non, en grande partie grâce à l’Union européenne.
Le pays n’est pas en ruine, les citoyens n’ont pas à faire la queue dans les centres de ravitaillement avec des tickets de rationnement pour se procurer de quoi se nourrir.
Il y a des pauvres, certes, même des très pauvres, mais je ne pense pas que ceux qui cassent les équipements publics, pillent les magasins, incendient poubelles et véhicules soient de cette catégorie.
Ces gens-là sont des factieux dont l’action est commanditée par des mouvements anarchistes, pas seulement français d’ailleurs, venant de pays qui veulent introduire un régime mortifère dont les premières victimes seraient les gens de condition modeste.
Alors certes Emmanuel Macron n’est pas l’homme providentiel que l’on espérait. Mais ses moyens d’action, tout président qu’il est, sont limités. Il doit tenir compte des règles mises en place par l’Union européenne, par les Droits de l’Homme, par le Conseil constitutionnel.
Gouverner ce n’est pas dilapider le capital de la France et augmenter toujours plus le déficit public. Il faut trouver l’adéquation entre la justice sociale, la répartition des richesses et la concurrence internationale face à des pays qui ne respectent pas les lois du marché, à commencer par les pays du S-E asiatique et notamment la Chine qui est en train de conquérir l’Afrique et bientôt l’Europe.
Quel est l’homme ou la femme politique française capable d’affronter ce genre de géant ? Parmi les prétendants, EM n’est certainement pas le plus mauvais.
C’est curieux comme nos politiques sont prodigues en conseils éclairés et criques acerbes lorsqu’ils sont dans l’opposition et d’une incurie affligeante dès qu’ils accèdent au pouvoir. Et ça fait quarante ans que ça dure !
Il ne faudrait pas éluder au premier chef le facteur essentiel, au-delà des défauts ou qualités du président, que la Constitution a permis son élection démocratique, qu’il a su profiter de l’héritage du grand Charles pour s’adresser directement au peuple, et imposer sa vision de la vérité dans un contexte d’extrême division.
L’échec qui accompagne sa gouvernance ne fait que confirmer l’exactitude de ses diagnostics, tout l’appareil politico-médiatique résistant au bouleversement qu’exige l’usure d’un système dépassé et inadapté à ce monde qui se défait, chacun comme à l’habitude voulant préserver sa prébende et son petit pré carré, relevant les totems vermoulus de ses illusions, tentant de recoudre les rideaux mités du mensonge qui ne suffisent plus à cacher notre incapacité à nous adapter en préservant nos valeurs.
Mais ne nous y trompons pas, même la Suisse est prise, évidemment, dans cette perte universelle de repères, et là-bas aussi, les professeurs ont toutes les peines du monde à tenter d’éduquer une jeunesse perdue dans le divorce généralisé, récupérée par les systèmes pornographiques publicitaires qui ne font que mécaniser les artifices de son intelligence, déguisant sous des dehors démocratiques la récupération systématique par les bataillons d’avocats aux ordres des puissances retournant inévitablement l’expression pourtant bien réelle de son peuple.
Macron n’a d’autre solution que de continuer à exprimer sa vision de cette réalité, il a l’occasion de le faire maintenant, peut-être, et c’est un souhait si pieux que cela s’approche d’une prière, que les Gaulois réfractaires qui coûtent un pognon de dingue pour des résultats minables sauront admettre qu’il n’a pas été élu par hasard, que le redressement du pays dépend plus d’eux que de lui, que les ronds-points remplis de divorcés qui n’ont su ni assumer leur choix ni éduquer leurs enfants se videront alors, père et mère rentrant à la maison autour du foyer essentiel qui manque aux nantis comme à ceux qui ne sont rien, le foyer du soin aux plus petits et du respect de soi-même par l’amour du prochain.
@ Achille 07/04 09:07
« Quel est l’homme ou la femme politique française capable d’affronter ce genre de géant ? »
Et je serais tenté d’ajouter « quel citoyen français est capable d’apporter son soutien franc et massif à cet homme ou cette femme politique si cette action sert l’intérêt général du pays ? ».
Un homme ou une femme politique ne ne peut s’engager courageusement à fond dans une action que pour autant qu’il sente qu’une forte majorité est prête à le soutenir dans ce combat.
Le niveau d’adhésion du citoyen décide en fait de l’action ou de l’inaction de l’homme ou de la femme politique au pouvoir.
Cette contrainte ne peut être balayée. Or, nous savons comment se comporte le citoyen, souvent versatile et incohérent, privilégiant le court terme au long terme, l’égoïsme à l’altruisme.
@ Giuseppe 06 avril 2019 14:42
« Allons d’abord à l’essentiel »
Je suis bien d’accord avec vous.
Ne voulant pas tomber dans la démagogie, je n’ai pas écrit de propositions « sociales ». Ayant peu ou pas de compétences sur ce sujet.
Il apparaît évident que si nous voulons conserver notre cohésion sociale, un vaste « plan Marshall » sur la justice sociale et fiscale doit être développé sur plusieurs années.
L’évolution sociétale est si considérable depuis trente ans, que le système social « à la française » dont nous étions si fiers prend eau de toutes parts.
Travail herculéen dont je ne crois pas capable, hélas, Emmanuel Macron et sa majorité tant ils sont loin des classes moyennes et populaires.
Néanmoins, je ne puis croire que ce vieux pays que nous aimons tant les uns et les autres ne trouve pas un sursaut pour affronter l’obstacle.
Cordialement.
@ Michelle D-LEROY | 06 avril 2019 à 15:55
« Si toute pensée dissidente est surnommée fake news pour faire taire un opposant, où allons-nous ? »
Je pense que nous sommes tous ici capables de faire la part des choses entre les fake news (je préfère le terme infox) et l’information objective, argumentée à partir d’éléments factuels.
Les médias ne sont pas tous à la botte du pouvoir ainsi que le laissent entendre J-L Mélenchon et MLP. Les journalistes sont des professionnels et, à ce titre, astreints à vérifier leurs informations avant de les publier.
Je ne parle pas, bien sûr, de certains médias qui utilisent des moyens illégaux pour obtenir des renseignements (écoutes téléphoniques, récupération d’échanges e-mails et SMS à caractère privé). Nous connaissons tous ces chasseurs de scoop qui vivent de la délation et de ce genre de procédés douteux.
Quant aux politiques, ce sont essentiellement les leaders des partis extrêmes qui n’hésitent pas à faire état de fausses informations afin de mieux faire passer leur idéologie.
Dupont-Aignan et ses 18 millions d’émigrés en cinq ans est coutumier de ce genre d’intox, mais MLP n’est pas en reste. Elle s’est fait remettre en place d’une façon cinglante par Xavier Bertrand, concernant ses affirmations sur les travailleurs détachés du canal Seine-Nord dernièrement.
Je vous laisse apprécier la réponse de XB. un régal !
https://www.huffingtonpost.fr/entry/xavier-bertrand-ironise-sur-une-fake-news-de-marine-le-pen_fr_5c9f31f2e4b0bc0daca90d0e
Mais les champions toutes catégories dans ce genre de procédés sont, bien sûr, le bras cassés du LFI.
François Ruffin dans ce registre est encore plus pernicieux que son chef J-L Mélenchon.
Son documentaire « J’ veux du soleil » qui se veut apolitique (mais qui a été réalisé par un député) est la meilleure démonstration de la récupération du mouvement des Gilets jaunes par LFI. Pathos et démagogie à volonté !
@ Michel Deluré | 07 avril 2019 à 09:58
Entièrement d’accord avec vous sur ce point !
@ boureau | 07 avril 2019 à 10:06
Hier je suis tombé par hasard sur les duettistes dont Emelien pour parler de leur livre… Et c’est avec un discours proche du mode d’emploi d’une console de jeu qu’ils voudraient reconstruire la France ? On croit rêver.
J’ai lu quelques passages du livre de Vincent Crase en ligne – même si c’est orienté -, il explique que nous avons affaire à un élevage de poulets en batterie, hors sol, qui ne voient la lumière du jour que lorsque la porte de l’élevage s’ouvre, et une nourriture d’esprit faite de granulés en silo. Le clavier pour sauver le monde.
Nous sommes fichus ! « Maximiser les possibles » ! J’en parlerai à mon chat, la pharmacienne du coin ne connaît pas ce médicament.
Je ne sais pas s’ils se rendent compte et savent ce qu’est un pays, une population, des gens qui travaillent, qui se soignent, qui galèrent, qui sont dans l’urgence pour 9 000 000 d’entre eux.
On devrait tout reprendre à zéro de leur éducation, je vais leur envoyer une boîte Meccano avec de belles vis et des boulons pour qu’ils se rendent compte, enfin, de comment fonctionne un assemblage cohérent.
Belle journée.
@ Aliocha | 07 avril 2019 à 09:45
«…du grand Charles…»
Parlez-vous bien du type planqué du côté de London in UK pendant la Seconde Guerre mondiale ?
Pendant que la Résistance française faisait tout le boulot et qu’il arrive à la fin pour en tirer la gloire ?
Pendant que 600 000 Français mouraient, dont 80 000 résistants dont vous ignorez les noms ?
Tout autant que les 600 000 résistants français, qui connaît leurs noms ?
Mais un type planqué à London in UK qui descend les Champs-Élysées…
Comme quoi cela a du bon de manifester sur les Champs-Élysées.
@ Aliocha | 07 avril 2019 à 09:45
« Les ronds-points remplis de divorcés qui n’ont su ni assumer leur choix ni éduquer leurs enfants. »
Et de deux… Depuis le début de cette lamentable pantalonnade des Gilets jaunes, j’entends plaindre les « femmes seules avec enfant » qui formeraient un solide contingent de gardiennes de ronds-points, qui seraient vraiment très malheureuses et franchement c’est un scandale.
Donc, en fait, le gouvernement, il devrait faire quoi ? Leur fournir un mari ? Leur donner du pognon pour les récompenser de n’avoir pas su garder le leur ? Les féliciter pour s’être données au premier venu sans se préoccuper des conséquences, vu que, dans la France rétrograde et ultra-libérale, la contraception et l’avortement sont interdits ?
Ah, pardon, j’avais oublié que les femmes seules avec enfant, du fait même qu’elles sont dans la mouise, font partie des Classes Protégées pour lesquelles c’est toujours la faute du gouvernement, de même que le Peuple — ou présumé tel. (Il est bien évident, pour fixer les idées, que Philippe Bilger ne fait pas partie du peuple. Au hasard.)
Les classes protégées, comme on dit très officiellement en Amérique ou en Angleterre, je ne me souviens plus, pour désigner les gens dont il est interdit de dire du mal, selon les édits du politiquement correct. Je m’empresse de préciser qu’aucun de vous n’en fait partie, sauf à la rigueur la moitié féminine du lectorat, et encore : si vous n’êtes pas noire, musulmane et lesbienne, vous arrivez au dernier rang, et les privilèges de « l’intersectionnalité » ne sont pas pour vous (voir votre département universitaire le plus proche « d’études de genre », pour plus de précisions sur ce terme).
Au moins, aux États-Unis, le problème des « femmes seules avec enfant » (en général noires, là-bas) fait-il partie du débat public depuis un bon demi-siècle. C’est à peu près l’ancienneté du crêpage de chignon qui oppose la gauche, selon laquelle l’État devrait en faire toujours plus pour assurer la « justice sociale » à ces pauvres malheureuses, et la droite, qui fait remarquer que « femme seule avec enfant » est une profession, pour la minorité noire de la population.
Le parcours normal de vie consistant à ne pas en faire une rame à l’école, à se faire mettre enceinte pour rattraper, à bénéficier du coup des subsides de l’État, puis à rencontrer une série de mâles de passage, dont aucun ne daignera poser ses valises.
Le résultat est la quasi-disparition des pères dans un vaste pan de la population noire, lesquels sont remplacés par l’État, dans leur rôle financier comme dans leur rôle éducatif et moral. Forcément, ça ne peut pas marcher, d’où les taux stratosphériques de délinquance et d’emprisonnement dans cette section démographique, qui ne sont pas aidés par le taux moyen prodigieux de bêtise et de propension à la violence au sein de la section en question.
Mais naturellement, ça va être notre faute, à nous les vieux mâles blancs hétérosexuels, et dans un sens, ça l’est : nous ne sommes pas assez « racistes », nous cédons trop au confort moral de l’explication du monde par le néo-communisme ambiant.
Ça marche aussi quand la question raciale n’est pas en jeu. Je n’ai pas entendu dire que les « femmes seules avec enfant », jaunes, soient également noires — sauf une seule, et encore elle ne semble pas avoir d’enfant.
Mais on imagine le tollé si quelqu’un s’avisait, au cours du « Grand débat », de mettre en cause la responsabilité des ces fameuses « femmes seules avec enfant ». Déjà qu’on est accusés d’être sans cœur lorsqu’on ose ne pas réagir par « l’empathie » laïque et obligatoire à l’égard de la partie masculine des jaunistes (obligatoire, mais pas gratuite, il y en a pour 10 milliards à l’heure où nous parlons), on voit bien ce qu’il en serait si un semblable appel au bon sens était adressé à ce sous-groupe victimaire.
Plus près de nous, pour mesurer les ravages de cette complaisance gauchiste envers l’irresponsabilité, et plus encore lorsqu’elle est teintée de pleurnicherie « anti-raciste », il faut lire lentement, ligne à ligne, un fascinant article que Le Parisien vient de consacrer aux déplorations émises par la famille britannique d’un des innombrables « jeunes » tués à coups de couteau, à Londres, ces temps derniers. Britannique, et noire, bien entendu.
Rappelons le contexte : l’Angleterre connaît une explosion de meurtres au couteau. Rien qu’à Londres, depuis le début de l’année, il y a eu un meurtre tous les trois jours. En mars, le rythme est passé à un meurtre tous les deux jours. Les statistiques officielles font état de 40 personnes poignardées tous les jours, à Londres, entre octobre 2017 et septembre 2018.
Il suffit de consulter la presse pour constater que, dans un très grand nombre de cas, les victimes sont des jeunes Noirs. Il faut fouiller un peu plus entre les lignes — mais ce n’est pas bien difficile — pour constater que, dans la quasi-totalité des cas où la victime est noire, le meurtrier l’est tout autant. (Et aussi, très souvent, quand elle est blanche.)
Comme le disent pudiquement les journaux : ce sont des « guerres de gangs ». Comprendre : trafic de drogue, « mauvais regards », etc. Et dans certains cas, meurtres de victimes prises au hasard, comme rite d’initiation.
Voyez, par exemple, cette amusante scène de genre filmée à Newcastle : combat de Noirs avec machettes, « en plein jour », comme disent les journaux français. (Les criminels pourraient tout de même attendre la nuit pour faire leurs saletés.)
Maintenant que vous avez ces informations préliminaires, vous pouvez consulter l’article en question. Chaque phrase est un délice.
« La famille de Bjorn Brown, un Britannique de 23 ans mortellement poignardé en 2017, se mobilise pour rétablir la vérité. »
Bjorn Brown, norvégien comme son prénom l’indique — ah, pardon : noir comme son nom l’indique.
Les méchants Blancs ont menti à la famille Brown. Heureusement qu’elle est là pour rétablir la vérité. Que ferions-nous si les Noirs n’étaient pas là pour rétablir la vérité ?
L’air pétillant d’intelligence de la famille Brown, l’attitude de victimes amaigries par la pauvreté et la faim arborée par ses membres, tout cela nous laisse présager des révélations explosives (et je ne parle pas des magnifiques perruques de ces dames).
« Maxine Bogle, aide-soignante, se souvient comme si c’était hier de ce moment où elle a appris la mort de Bjorn Brown, son fils de 23 ans. »
Elle est aide-soignante. C’est une pauvre n’infirmière (fonctionnaire). Elle se casse le dos à nous soigner (gratuitement), et nous, on lui tue son fils. Franchement, c’est pas bien.
« C’était il y a deux ans, un jour de printemps 2017. Le jeune père d’un nouveau-né, et ami d’enfance du rappeur anglais Stormzy, s’est fait poignarder à trois reprises, le 29 mars au soir, par deux hommes, dans son quartier de Croydon, banlieue sud de Londres. »
En plus, la victime était amie du rappeur anglais Stormzy. La fine fleur de la culture britannique. Nous avons failli à protéger un représentant éminent de l’élite du pays. Plus jamais ça.
Ce jeune père, donc (larmichette obligatoire : il a réalisé l’exploit d’engendrer un enfant) s’est fait poignarder par deux hommes. Deux hommes comment ? Le Parisien n’en sait rien. Deux vieux mâles blancs hétérosexuels, à n’en pas douter. De ceux qui perpétuent la domination du patriarcat, je suppose (oui, parce que dans ce cas, la paternité est une mauvaise chose ; c’est subtil, je sais…).
Il faut consulter la presse britannique pour apprendre que, grâce aux vidéos de surveillance diffusées par la police, on sait que « le premier suspect est décrit comme un homme noir, de corpulence athlétique et d’une taille d’un mètre soixante-sept environ ». Immense surprise.
On apprend également, grâce aux vrais journaux, c’est à dire ceux qui se publient en dehors de l’Hexagone, que « le second suspect est décrit comme un homme noir, d’une constitution maigre ou ordinaire, et d’une taille d’un mètre soixante-cinq environ ». Franchement, si je m’attendais à ça…
» ‘Les jours précédant sa mort, on a vu beaucoup de choses de ce genre aux informations, je veux dire des attaques au couteau’, se rappelle Maxine, entourée de ses deux sœurs. »
A qui le dis-tu…
« Depuis le début de l’année, 49 personnes au moins ont été tuées par arme blanche au Royaume-Uni. Et 285 personnes en Angleterre et au Pays de Galles sur un an, de mars 2017 à mars 2018. Un record depuis… 1946. Un quart des victimes sont des hommes jeunes, entre 18 et 24 ans, un quart a la peau noire. »
Et voilà. Ils nous font la bonté de venir s’installer chez nous, et nous on les massacre sans pitié. Notez que dans ce cas, on a le droit de mentionner la couleur de peau : c’est important. Les bonnes manières contemporaines sont un champ de mines.
« Mais ça ne touche pas que des garçons ou des Noirs, insiste la mère de Bjorn. Tout le monde est concerné, même dans les beaux quartiers ! »
Tout à fait. Le nombre de financiers de la City poignardant des filles de comtesses blanches est positivement préoccupant. Là, on sent que la mère du Norvégien a un éclair de lucidité, et se dit qu’à force de placer le mot Noir dans la conversation, accolé au mot meurtre, certains pourraient finir par se poser des questions.
« La faute aux affrontements entre bandes, parfois, aux réseaux sociaux, peut-être, mais pas seulement. »
On a beaucoup exagéré le poids des affrontements entre bandes.
» ‘Il faut embaucher des professeurs pour apprendre les qualités humaines à l’école’, réclame Sandi Bogle. ‘Depuis des années, on ferme des classes, des centres de loisirs. Les jeunes sont désœuvrés, et leurs parents ne rentrent du travail qu’à 18 heures !’ «
Ce n’est pas le rôle des mères noires d’apprendre les qualités humaines à leurs enfants. En fait, elles en sont totalement incapables. Ce sont elles qui le disent.
C’est le rôle des professeurs, payés par l’État blanc impérialiste et raciste de Sa Majesté, d’apprendre aux petits Noirs les qualités humaines du genre : éviter de poignarder les gens dans la rue, c’est malpoli. Chacun son boulot, zut alors.
Si les professeurs blancs quittent les jeunes Noirs des yeux ne serait-ce qu’une heure ou deux, ces derniers en profitent pour s’entretuer. Un Noir désœuvré, c’est un Noir qui tire un couteau de sa poche et le plante dans le ventre du voisin. Je n’invente rien, ce sont les Noirs eux-mêmes qui le disent.
Notez que les parents noirs ne rentrent du boulot qu’à 18 heures. Je me demande ce qu’on attend pour mettre fin à cette exploitation quasi esclavagiste du Noir par l’homme blanc. Ces journées de travail à rallonge ne peuvent plus durer.
« Voilà pour les racines du mal. Quant à la réponse, elle semble manquer encore d’efficacité. Et pour cause. En neuf ans, la police britannique a perdu 20 000 postes. »
Tiens, d’habitude la chansonnette gauchiste tient qu’il y a trop de policiers, et qu’on les voit trop. Sans compter qu’ils sont racistes, et qu’ils font des « contrôles au faciès ». Là encore, subtilité, subtilité…
« Aucune arrestation n’a eu lieu depuis le meurtre de Bjorn Brown. »
Les méchants policiers anglais racistes font exprès de ne pas arrêter les Noirs qui ont tué le Norvégien Bjorn Brown. S’ils croient qu’on n’a pas compris leur manège…
» ‘Je pense à lui tous les jours’, confie la mère du jeune homme, en essuyant une larme de ses doigts aux ongles vernis. ‘Il était comme un fils pour nous’, insistent ses tantes Tracy et Sandi, respectivement agent d’immigration et vedette de téléréalité. ‘Il aimait chanter, faire des danses bizarres dans le salon, manger. Nous, on adore cuisiner.’ «
Que ferait-on, sans les immigrés qui viennent faire les boulots que nous ne voulons pas faire : agent d’immigration, vedette de téléréalité… Et quel drame de se priver de leurs enfants, et de leurs talents : faire des danses bizarres dans le salon, et manger.
Sans compter que leurs mamans « adorent cuisiner », et ça, nous, on en est incapables.
» ‘Nous voulons la justice’, scande la tante de Bjorn, Sandi Bogle. »
De vous à moi : nous aussi. Mais ce n’est peut-être pas la même.
« En attendant, les sœurs Bogle tentent de vivre sans leur fils et neveu, et appellent à une prise de conscience. À cesser de réduire le nombre de policiers, de professeurs, d’infirmiers… ‘L’argent existe pour tout ça, martèle Sandi Bogle. Regardez combien le gouvernement dépense rien que pour le Brexit !’ Un discours repris par la mère de Bjorn, voix douce sous ses cheveux argentés. ‘L’argent ne peut pas ramener la vie, mais on espère que ça évitera que d’autres vies soient perdues.’ «
Si les Noirs mettent Londres à feu et à sang, c’est parce qu’il n’y a pas assez d’infirmiers (employés de l’État, en Angleterre comme chez nous). Logique impeccable, logique africaine — mais aussi, notez-le, logique socialiste.
Si les socialistes adorent les immigrés au point de les importer par millions, c’est parce que la bêtise socialiste rentre comme du beurre chez ces gens-là. Contrairement aux fables marxistes répandues par la gauche comme par l’extrême-droite, ce ne sont pas « les patrons qui les ont fait venir ». Ce sont les politiciens et les fonctionnaires socialistes qui importent des électeurs, pour assurer la perpétuation d’un système incapable de se maintenir autrement.
Il faut arriver à la fin de l’article pour que la brochette de mamans et de tantes éplorées lâche enfin le morceau : elles veulent notre pognon, et puis c’est tout. Nous venons nous installer chez vous sans y être invités, nous y répandons le désordre et la criminalité, et pour que ça cesse, nous réclamons l’argent des Blancs par l’intermédiaire de l’État.
A coup sûr, augmenter les « moyens » va tout régler, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
A ce stade, je vous invite à relire l’intégralité de l’article, et à me dire à quel moment la famille de Bjorn Brown aurait « rétabli la vérité », au fil de ses déclarations pleurnichardes, ainsi que le prétend le journaliste du Parisien. Sinon par ce que je viens de vous dire : le prétendu « anti-racisme » est un racisme anti-blancs, un racket pur et simple.
______
@ Tipaza | 07 avril 2019 à 06:28
« Du coup me vient une idée machiavélique, qui relève de la politique du pire […]. Nous pourrions tenir là, la meilleure façon de détruire de l’intérieur cette Union européenne technocratique. »
Non. Éternelle tentation française du çavapétisme, de la destruction purificatrice qui permettra de dessiner l’Homme Nouveau à partir d’une feuille blanche. Ça a formidablement bien marché en 1917, comme on a pu le constater.
@ Robert Marchenoir | 07 avril 2019 à 17:03
« Mais naturellement, ça va être notre faute, à nous les vieux mâles blancs hétérosexuels, et dans un sens, ça l’est : nous ne sommes pas assez « racistes », nous cédons trop au confort moral de l’explication du monde par le néo-communisme ambiant. »
Que lis-je en retrouvant mon blog préféré ?
Que Marchenoir est « un vieux mâle blanc hétérosexuel ».
Vieux, vous êtes vieux ? Eh bien, vous ne faites pas votre âge, autant de méchanceté dans un vieux corps, cela me laisse perplexe…
Dites donc Marchenoir, vieux mâle blanc hétérosexuel, est-ce que vous croyez qu’il est bon pour votre santé mentale de prétendre être ce que nous n’êtes pas ?
Bref ! Trêve de plaisanterie, puisque le monde attend du secours de toute urgence, auriez-vous l’extrême amabilité de nous faire une amusante étude, sur les rednecks de votre pays de Cocagne ?
Des rouquins, blancs, hétérosexuels, édentés, alcoolisés, dingues de la gâchette, il paraît que ça existe, mais moi, je n’y crois pas, puisque Marchenoir n’en parle pas ! Enfin, je les ai vus une fois, c’était dans un vieux film : Délivrance ! Est-ce que vous savez jouer du banjo ?
@ Robert M. 07 avril 2019 à 17:03
Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres « classes protégées » ?
La mouche a changé de coche ? *
* pour les attaques ad hominem ou autres insolences, ne vous fatiguez pas ça me fait un peu le même effet que l’eau sur les ailes d’un canard (si vous voyez ce que je veux dire ;))
Adéo Robert M.
Eh ben dis donc, apparemment, appuyer sur le bouton divorce sors la porte Marchenoir de ses gonds, j’ai pas tout lu, même la souris a trouvé ça long à défiler, mais j’ai bien cru déceler le salmigondis éruptif d’une crise cyclique que nous connaissons bien. Je ne plains pas plus les femmes que les hommes, ou les membres d’un couple homo, je rappellerais que pour divorcer il faut être deux, que noir ou multicolore n’a rien à faire là-dedans, si ce n’est peut-être quelque traumatisme mal digéré par notre ami qui nous afflige de ses flatulences turbo-compressées (et je suis poli), et que tout simplement ma vie témoigne qu’un père présent et un couple stable est excellent pour l’éducation des enfants, je veux bien, si c’est cela le néo-communisme, être néo-communiste.
@ breizmabro | 07 avril 2019 à 21:28
Votre profil psychologique est assez curieux. Voyons ce que donne votre dernière éructation :
« Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres ‘classes protégées’ ? »
Non, je m’excuse, pas cette fois-ci. Je ne parle pas tout le temps des sujets que Votre Impératrice voudrait m’imposer. Il m’arrive d’aborder différents sujets. Ça vous pose un problème ? Il y en a qui sont interdits ?
On pourrait faire un petit concours : compter le nombre de commentaires de votre part réclamant la baisse du nombre des fonctionnaires, et compter le nombre des miens. Quelque chose me dit que vous ne sortiriez pas gagnante.
« La mouche a changé de coche ? Pour les attaques ad hominem ou autres insolences, ne vous fatiguez pas ça me fait un peu le même effet que l’eau sur les ailes d’un canard. »
Je commence par une attaque ad hominem et des insolences, et puis j’accuse préventivement mon interlocuteur d’avoir des intentions similaires.
En somme, vous dites n’importe quoi, comme d’habitude. Et vous vous livrez à une fort belle entourloupe gauchiste d’inversion accusatoire.
Ce coup-ci, c’est le prurit « anti-raciste » qui vous aura saisi, je suppose. Ou le prurit féministe, on a le choix. Ce n’est pas comme si vous daigniez donner des explications. Et ce n’est pas comme si qui que ce soit accordait aucune importance à celles que vous pourriez fournir.
Il y a une assez jolie brochette de pervers, sur ce blog. Et la parité est largement atteinte, dans ce domaine au moins.
@ Giuseppe 11h47 le 7 avril
Pareil ! Un djeun de leur génération voulut aussi se prendre de les écouter ! Avant la fin de leur prestation, il s’excusa et partit se coucher !
D’accord pour l’envoi de la boîte Meccano ! Mais sans lire le bouquin…
@ Robert M. 08 avril 2019 à 00:26
J’ai, une fois n’est pas coutume, lu entièrement votre commentaire qui, exceptionnellement, n’abuse pas des caractères en italiques un peu pénibles.
Un texte insolent avec légèreté (« vous dites n’importe quoi, comme d’habitude »), avec dedans un peu de prurit d’anti-racisme et de féminisme mal fagoté, ici ou là.
Parfait. Vous avez été parfait, d’autant que vous avez récapitulé cela en quelques lignes, oubliant du coup le passage sur le cryptocommunisme dont je suis parfois atteinte ; mais je vous pardonne cet oubli (dans un texte si court on ne peut pas tout mettre non plus…).
Adéo Robert M.
@ duvent | 07 avril 2019 à 20:26
Par contre des mâles, et même des meufs, colorés de tons variant du gris foncé au marron dégradé jusqu’au noir complet, fous de Kalachs, d’explosions, de crimes, de terrorisme, de lapidation, de tabassages de meufs, de décapitations, d’appels à la haine et toutes sortes de joyeusetés bien de chez eux, y en a plein les rues dans le monde entier.
Mais on n’y croit pas non plus puisque duvent brasse de l’air et n’en parle pas.
Encore des fakes propagées par les blancs fachos racistes xénos discriminos réacs cathos islamophobos.
@ breizmabro | 07 avril 2019 à 21:28
« Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres « classes protégées » ? »
Les fonctionnaires ne sont pas une classe protégée, c’est une légende urbaine formée pour conditionner les plus faibles d’esprit.
Ceux sur qui marchent déjà : les juifs ceci, les Noirs cela, les blancs autre chose, les musulmans etc.
Il n’y a qu’un seul emploi à vie, toutes les autres personnes qui travaillent pour l’État sont licenciables, révocables, toutes sans exception.
L’emploi à vie est défini dans l’article 56 de la Constitution française, actuellement seules quatre personnes en ont un.
@ sylvain | 08 avril 2019 à 11:17
« Par contre des mâles, et même des meufs, colorés de tons variant du gris foncé au marron dégradé jusqu’au noir complet, fous de Kalachs, d’explosions, de crimes, de terrorisme, de lapidation, de tabassages de meufs, de décapitations, d’appels à la haine et toutes sortes de joyeusetés bien de chez eux, y en a plein les rues dans le monde entier.
Mais on n’y croit pas non plus puisque duvent brasse de l’air et n’en parle pas.
Encore des fakes propagées par les blancs fachos racistes xénos discriminos réacs cathos islamophobos. »
Monsieur sylvain, auriez-vous l’extrême amabilité d’écrire en français de façon à ce que, éventuellement, je puisse vous répondre précisément ?
J’ai bien noté que votre principale qualité réside dans le fait que vous êtes né blanc, ce qui est un exploit qui a requis de votre part une extraordinaire compétence, qui elle-même soutenue par l’action du hasard, rend votre propos particulièrement incisif et percutant…
Avez-vous pensé à faire évaluer votre QI, j’ai bien peur qu’il s’y trouve malheureusement une quantité de déchets qui ne viennent pas de la partie noble du programme, mais bel et bien de la partie infâme…
Mais tout n’est pas perdu, vous pouvez si vous le désirez améliorer votre score en sortant votre tête de l’endroit où elle se trouve, et ainsi, libérer le vaste siège de votre étroite raison.
@ duvent | 08 avril 2019 à 15:00
Ma pôv’ duvent, à l’heure où le texto règne en maître, vous en êtes encore à l’époque du porte-plume et de l’encrier ; je compatis.
@ sylvain | 08 avril 2019 à 11:17
« jusqu’au noir complet »
Il ne peut pas y avoir de noir complet, puisque noir, c’est l’absence de couleur, c’est de la physique mon petit.
Blanc, c’est l’addition des couleurs, la lumière réfléchie y donne un arc-en-ciel, l’on apprend cela dès le collège.
Aux USA petite chose si fragile, les Blancs sont tués par des Blancs et les Noirs par des Noirs
c’est la statistique du FBI, cela devrait vous rendre tout gai, ou gay, avec vous je ne sais plus.
En 2017 :
– 80,20% des Blancs tués l’ont été par des Blancs.
– Seulement 16,14% des Blancs tués l’ont été par une personne Noire !
Vous avez toutes les chances de l’être par un bon Blanc.
Alors ?! Heureux ?!
@ Elusen 12h28
« …toutes les autres personnes qui travaillent pour l’État sont licenciables, révocables, toutes sans exception. »
Cette manie d’aborder des sujets que vous ne connaissez pas !
Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015, on n’a décompté qu’une centaine de révocations (on ne parle pas de licenciement dans la fonction publique)… sur combien d’agents publics déjà ?
Même pas l’épaisseur du trait.
Les syndicats reconnaissent du reste que les fonctionnaires ont un emploi à vie !
@ caroff | 08 avril 2019 à 23:39
« Cette manie d’aborder des sujets que vous ne connaissez pas ! »
Parce que vous, vous savez de quoi vous parlez ?!
Licenciable est possible dans la fonction publique, mais pas pour un fonctionnaire, car un fonctionnaire, c’est un contrat en droit privé dit CDI ; donc l’on parle de révocation pour tous les autres personnels de la fonction publique non-fonctionnaire, vacataire en CDD ou en CDI (mais non fonctionnaire), des services publics, l’on parle de licenciement.
Pour les fonctionnaires, c’est un CDI mais de droit public, ainsi révocable, il y a des personnes qui travaillent pour la fonction publique avec des CDI de droit privé, donc licenciables.
« Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015… »
Combien d’employé du Groupe BNP Paribas ont été licenciés sur les 202 624 employés ?
Sur les 129 000 salariés de Bouygues Construction ?
Combien de personnes vous avez licenciées sur le total de vos employés ?
Pour révoquer et licencier encore faut-il que les employés aient fait des fautes, des délits, des crimes.
Vous ne saviez pas cela vous ?!
Pour rappel, dans la fonction publique, il ne faut pas avoir de casier judiciaire, contrairement au privé.
@ caroff | 08 avril 2019 à 23:39
« Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015, on n’a décompté qu’une centaine de révocations (on ne parle pas de licenciement dans la fonction publique)… sur combien d’agents publics déjà ? »
Tiens donc. Intéressant factoïde. Voilà une information sur laquelle « les médias du système » ne font pas beaucoup de battage…
Une centaine de révocations, c’est rien, mais 3 200 sanctions disciplinaires seulement, c’est tout aussi dérisoire… sur 5,7 millions de fonctionnaires… Vraiment, il n’y a que des saints et des héros qui travaillent dans la fonction publique. Quelle chance nous avons !
Auriez-vous un lien vers une source ? Je serais curieux de creuser le sujet.
@ Robert Marchenoir | 09 avril 2019 à 16:49
Problème pour vous et pour lui, c’est que c’est un ramassis de bêtises.
Il ne sait même pas lire les documents, si tant est qu’il les ai lus et qu’il ne rapporte pas ici un truc du genre : on m’a dit que.
Il ment parce que ce n’est que sur les titulaires des personnels travaillant pour les ministères uniquement.
Les personnels travaillant pour les ministères, ce n’est que : 2,5 millions de personnes ; mais combien de titulaires ?
Les statistiques datent de 2014 et non de 2015, elles ont été publiées en 2015.
Fonction publique d’État (FPE) ; Fonction publique territoriale (FPT – région, mairie, etc.) ; Fonction publique hospitalière (FPH).
* Sanctions disciplinaires prises par les ministères à l’encontre des agents
titulaires en 2014 => Tableau en image <=
=> Petit pdf des tableaux <=
Combien de licenciés chez Castorama, Carrefour, Airbus sur le nombre de leurs effectifs par an ?
50% du personnel ?
1% ?
@ Robert Marchenoir 16h49
« Auriez-vous un lien vers une source ? Je serais curieux de creuser le sujet. »
La source officielle se trouve ici: https://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/rapports_annuels/2016/E_09_Relations_professionnelles.pdf
Beaucoup d’informations utiles sur le site de la FP:
https://www.fonction-publique.gouv.fr/publications-par-collections
La paresse des médias sur ce sujet est colossale !
@ sylvain | 08 avril 2019 à 22:23
« Ma pôv’ duvent, à l’heure où le texto règne en maître, vous en êtes encore à l’époque du porte-plume et de l’encrier ; je compatis. »
Monsieur sylvain,
Quand bien même le texto régnerait-il en maître, je me permets de vous préciser qu’il est recommandé d’écrire en français pour se faire comprendre des Français…
Mais sans doute vous croyez-vous dispensé d’écrire correctement, parce que l’époque du texto vous dispense de penser proprement…
Il faut que je vous dise que votre compassion me va droit au cœur, et aussi que votre français approximatif me rend charitable, car sans doute votre basse extraction en est-elle la cause…
Et comme dirait je ne sais plus qui, peut-être Savonarole, les prolos sont vraiment des c*ns…
@ caroff | 09 avril 2019 à 19:45
Merci.
______
@ duvent | 09 avril 2019 à 20:47
L’impudence de certains ne connaît pas de limites. Vous reprochez à sylvain de ne pas savoir écrire et de mal penser, mais il écrit infiniment mieux que vous. Il a les idées parfaitement claires. On comprend tout de suite ce qu’il a à dire.
On ne peut pas en dire autant de la bouillie que vous produisez. Vous avez apparemment une très haute idée de votre prose, mais j’ai rarement vu quelqu’un réussir à enfiler autant de lignes qui ne veulent rien dire. Et quand je dis rien, c’est strictement rien.
@ Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 08:31
« L’impudence de certains ne connaît pas de limites. Vous reprochez à sylvain de ne pas savoir écrire et de mal penser, mais il écrit infiniment mieux que vous. Il a les idées parfaitement claires. On comprend tout de suite ce qu’il a à dire. On ne peut pas en dire autant de la bouillie que vous produisez. Vous avez apparemment une très haute idée de votre prose, mais j’ai rarement vu quelqu’un réussir à enfiler autant de lignes qui ne veulent rien dire. Et quand je dis rien, c’est strictement rien. »
_______________________________________
En voilà une bonne surprise !! Marchenoir pourriez-vous me dire la raison qui vous pousse, alors que vous avez affirmé ne pas me lire (pour la raison excellente que mes propos sont sans intérêt), à maintenant prendre la défense de Monsieur sylvain ?
Je me perds en conjectures, seriez-vous l’épouse de Monsieur sylvain ?
Par ailleurs, et si vous préférez le style pur et sobre de Monsieur sylvain à la bouillie que je produis, qu’est-ce dont qui vous empêche de vous en délecter ? Pas moi, c’est certain…
Comme je tiens compte de votre analyse, je m’empresse de vous dire que je suis allée me relire, et que vous n’avez pas tout à fait raison, et même que vous avez complètement tort…
Pourtant, vous avez écrit trois fois le mot « rien » à propos de mes lignes, est-ce un hasard, ou avez-vous délibérément écrit trois fois « rien » ? Trois fois « rien », c’est peu de chose…
Mais je ne vais pas être méchante pour une fois, non !
Je vais même être gentille, et vous encourager à fréquenter les personnes qui ont les qualités que vous recherchez et que vous avez trouvées chez Monsieur sylvain, ces qualités exceptionnelles vous feront progresser dans votre pauvreté d’esprit, et vous pourrez engranger quantité de savoir, de connaissance, de culture et de science et de sensibilité (ce dernier mot je l’ai choisi pour plaisanter, car je n’ignore pas que vous y êtes allergique, et que le risque d’un choc anaphylactique est mortel…).
Ce monde est merveilleux qui fait que les c.ns se reconnaissent et s’assemblent, il est réellement magnifique lorsqu’il répand sous notre regard outragé une sottise infatuée et impérieuse, il est réconfortant lorsqu’il plie sous les fourches caudines des imbéciles nombreux et insensés, le promeneur solitaire, vraiment tout cela est beau, et Marchenoir est LE SOUVERAIN BIEN !
Je dois tout même attirer votre attention sur le pseudonyme de « duvent », que j’ai choisi pour la raison qui ne vous a pas échappé, ce que je dis est exactement trois fois « RIEN », tandis que vous avez choisi celui de « Robert Marchenoir ». Cela m’a conduit à deux hypothèses ; la première est que vous avez lu Léon Bloy, et connaissez donc Caïn Marchenoir, la deuxième et la plus plausible, est que vous êtes un bougre qui a peur du noir… Alors pour vous il faut dire : « Fiat lux ! »
Enfin, je me tamponne ardemment le coquillard des propos de Marchenoir, lequel ne sait pas se défendre lorsque je le malmène mais utilise d’autres pour venir me déposer son compliment !
Nota Bene : « strictement rien » est équivalent à « rien » et à « trois fois rien »…
@ caroff | 09 avril 2019 à 19:45
« La paresse des médias sur ce sujet est colossale ! »
Surtout que vous mentez, donc il y a bien une intention de votre part, divulguer une fausse information, puisqu’il est bien écrit :
Juste les ministères et non la fonction publique, juste les personnels sous le statut de fonctionnaire et rien d’autre, donc pas votre délirant 5,4 millions de personnel, mais énormément moins.
Est-ce que les médias parlent des sanctions disciplinaires chez Axa, Total, CNP Assurance, Auchan ?
Vraiment le type qui tente de faire un scandale avec du vent !
Pour lui il faudrait qu’il y ait 70 % de révocation, il faudrait 70 % de fonctionnaires des ministères corrompus, s’il n’y a pas de corruption ce sont donc de mauvais fonctionnaires.
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@ Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 08:31
« On comprend tout de suite ce qu’il a à dire. »
Non !
Il n’y a qu’un raciste pour comprendre un autre raciste à tendance pathologique.
@ Robert M. 09 avril 2019 à 16:49
C’est sympa de revenir sur le sujet des fonctionnaires alors que vous traitez teellllllement d’autres sujets.
Bon d’accord j’ai bien compris que vous ne voulez pas vous prononcer sur les 120 000 postes que Manu veut (voulait) supprimer sur les 5,7 millions (citation) de fonctionnaires.
Une goutte d’eau dans le puits pourtant. Non ?
@ duvent | 10 avril 2019 à 10:43
Quel punch Madame !
Marchenoir renvoyé dans les cordes et sonné pour le compte ! On aurait presqu’envie de le plaindre de s’être fait moucher de la sorte par une petite fâmme, une de plus…
Décidément le pauvre garçon n’a pas l’art et la manière de se faire entendre par la gent féminine. Manifestement en raison de déboires dont, sans vouloir les exposer pour sauvegarder son lâche anonymat, il nous donne une idée, voire nous gave à longueur de textes en copiés-collés, à coups d’allusions, de références et de liens.
Jusqu’à citer Elusen, après avoir épuisé ses dernières cartouches, si si (que ne pouvez comprendre si n’avez suivi « laborieusement » tous les fils de Marchenoir). Jusqu’à ce jour où son nouveau copain du café du commerce, « blanc, catho, hétéro, facho, parano, poivrot » est célébré et consacré : sylvain qui n’en demandait peut-être pas tant, sachant que parmi les racistes et petits sectaires revendiqués il fait partie des moins dangereux, des sans envergure et par conséquent des plus faciles à faire changer d’avis.
@ breizmabro | 10 avril 2019 à 16:53
« Bon d’accord j’ai bien compris que vous ne voulez pas vous prononcer sur les 120 000 postes que Manu veut (voulait) supprimer sur les 5,7 millions (citation) de fonctionnaires. Une goutte d’eau dans le puits pourtant. Non ? »
Non, vous n’avez rien compris, ou vous mentez, ou les deux. Au stade où nous en sommes, ça n’a pas d’importance.
Non seulement je me suis amplement « prononcé » sur les micrométriques suppressions de fonctionnaires prévues par ce gouvernement, et d’autres, à d’innombrables reprises, et depuis des années (on me l’a suffisamment reproché) ;
Mais en plus, j’ai partagé, ici, une quantité assez significative d’informations à l’appui de mon pronunciamento, informations qui ne traînent pas forcément partout. C’est plus qu’on ne peut en dire sur votre compte.
Vous avez le culot de me troller, maintenant, en faisant mine de me reprocher de n’être pas assez libéral, alors que c’est moi qui m’étonnais de vous voir manifester une ombre de libéralisme à ce sujet, puisque vous nous écrasez habituellement de vos complaintes socialistes.
Je ne vois donc vraiment pas pourquoi vous vous en prenez à moi une fois de plus sur ce point, sinon par racaillerie pure et simple, la même qui semble animer vos collègues Preud’homme et duvent : faire ch… les autres, voilà l’essentiel de la motivation de votre aimable trio — qui n’a rien de féminin, je m’empresse de le préciser à l’intention des pétroleuses de service.
Etre une femme et être féminine, ce sont deux choses différentes. Il y en a qui ne semblent pas encore avoir percuté.
Vous devriez prendre exemple sur les vraies femmes de ce blog. Il y en a.
@ Elusen 11h11
« …juste les ministères et non la fonction publique, juste les personnels sous le statut de fonctionnaire et rien d’autre, donc pas votre délirant 5,4 millions de personnel, mais énormément moins. »
Triple buse, Bachi-Bouzouk, crétin des Alpes !!! Primo je n’ai pas cité de chiffres, j’ai uniquement fait référence à la FP, secondo ne savez-vous pas que la loi de finances attribue des moyens humains et budgétaires à chaque ministère et qu’en conséquence chaque ministre gère et surtout dirige son administration qui englobe non seulement les services centraux mais aussi les services déconcentrés en région ?
Il y a aujourd’hui 2,4 millions de fonctionnaires en FPE (16% de contractuels), 1,9 M en FPT (19% de contractuels) et 1,2 M en FPH (18% de contractuels) et toujours une centaine de révocation par an dont 65 % concernent des fonctionnaires du ministère de l’Intérieur (tiens donc…).
Est-ce clair ?
@ Robert Marchenoir 10 avril 2019 à 21:03
« …par racaillerie pure et simple, la même qui semble animer vos collègues Preud’homme et duvent : faire ch… les autres, voilà l’essentiel de la motivation de votre aimable trio — qui n’a rien de féminin »
Alors là mon cher vous versez dans la trivialité, vous manquez de tenue.
@ caroff | 11 avril 2019 à 14:15
« Il y a aujourd’hui 2,4 millions de fonctionnaires en FPE (16% de contractuels)…
Est-ce clair ? »
Le prête-nom Shakespeare a permis de signer une pièce s’intitulant La Mégère apprivoisée !
De nouveau vous mentez, comme l’indique le document de 2018 !
Ce ne sont pas des fonctionnaires, mais 2,4 millions d’agents, de personnel qui travaillent dans la Fonction publique d’État dont 16 % de contractuels, il faut également retirer les stagiaires, puisqu’ils ne sont pas révocables, il suffit de ne pas les titulariser ainsi le contrat prend fin.
Les fonctionnaires ne sont que 1,5 million pour la FPE.
Au total en France, il n’y a que 3,8 millions de fonctionnaires et pas 5,4 millions !
En quoi révoquer 147 personnes sur 1 545 827 de fonctionnaires serait un scandale ?
En quoi les 1 545 827 devraient-ils tous être révoqués ?
Auriez-vous des preuves de leur corruption ?
Combien y a-t-il de licenciements pour faute par an dans le secteur privé sur 19 462 200 de salariés ?
Expliquez-nous votre pseudo-scandale ?
@ breizmabro | 11 avril 2019 à 16:43
« Alors là mon cher vous versez dans la trivialité, vous manquez de tenue. »
Ah. La marquise bretonne a ses vapeurs.
C’est parfaitement délibéré, je vous le signale. Une petite rouste de temps à autre, quand des greluches en prennent trop à leur aise, c’est exactement ce que préconise la Faculté.
@ Robert Marchenoir | 12 avril 2019 à 20:21
«…quand des greluches en prennent trop à leur aise…»
Alors que depuis qu’il n’y a plus de genre, il est su que vous seriez une fille facile !